Marvin Haberland, porte-parole de Next Level, explique dans une interview avec Kla.TV que la recherche sur les virus n'a jusqu'à présent pas pu fournir de preuves scientifiques de l'existence du virus. De plus, on n'a jamais pu expliquer scientifiquement comment fonctionne la contagion. En effet, d'innombrables tentatives de contagion ciblées ont lamentablement échoué. Et pourtant, la médecine et la recherche pharmaceutique prétendent savoir exactement ce qu'il en est. [lire la suite]
ATTENTION: L’interviewé n'est PAS un scientifique !
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Australie - Un document explosif sur le couvre-feu COVID, gardé secret pendant quatre ans, révélé après une bataille juridique
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 20 avril 2025 - 11:39
Résumé : un document obtenu après plus de quatre ans de bataille juridique révèle que le couvre-feu imposé à Victoria, en Australie, en 2020, interdisant les sorties entre 20 h et 5 h, n’était pas fondé sur des conseils de santé publique, contrairement aux affirmations de l’ancien Premier ministre Daniel Andrews. Une correspondance par courriel entre Finn Romanes, commandant de la santé publique, et Brett Sutton, directeur de la santé, montre l’absence d’évaluation écrite justifiant cette mesure. Obtenu grâce à une demande d’accès à l’information par le député libéral David Davis et une décision du Tribunal civil et administratif de Victoria (VCAT), ce document expose une faille dans la légitimité du couvre-feu, emblématique des confinements stricts de Melbourne, qui ont totalisé 262 jours. Publiée le 19 avril 2025 par Sky News Australia, cette révélation a ravivé les critiques contre Andrews, accusé d’autoritarisme. John Pesutto, chef de l’opposition, a salué la transparence imposée par le VCAT, mais le public reste divisé, avec seulement 50 % des Victoriens approuvant la gestion de la pandémie. Cette affaire met en lumière des tensions sur la transparence et la prise de décision, alimentant le débat sur les coûts sociaux et économiques des restrictions.
Australie - Un document crucial, dissimulé pendant plus de quatre ans par le gouvernement de l’État de Victoria, en Australie, a révélé que le couvre-feu strict imposé pendant la pandémie de COVID-19 n’était pas fondé sur des conseils de santé publique. Cette révélation, publiée par Sky News Australia le 19 avril 2025, découle d’une bataille acharnée pour la liberté d’information menée par le député libéral David Davis contre le Département de la Santé de Victoria. Le document, obtenu après une décision du Tribunal civil et administratif de Victoria (VCAT), met en lumière une correspondance par courriel entre Finn Romanes, commandant de la santé publique de Victoria à l’époque, et Brett Sutton, alors directeur de la santé de l’État. Datée de 2020, cette correspondance montre que Romanes n’avait vu aucune évaluation écrite ou analyse formelle justifiant la nécessité d’un couvre-feu, contredisant directement les déclarations publiques de l’ancien Premier ministre Daniel Andrews, qui avait affirmé que cette mesure était basée sur des recommandations des autorités sanitaires.
Le couvre-feu, instauré à partir du 2 août 2020, interdisait aux résidents de Victoria, en particulier ceux de Melbourne, de quitter leur domicile entre 20 h et 5 h, sauf pour des raisons essentielles comme le travail ou des urgences médicales. Cette mesure, intégrée aux restrictions de niveau 4, faisait partie de la réponse agressive de Victoria à la seconde vague de COVID-19, qui a vu Melbourne subir l’un des confinements les plus longs au monde, totalisant 262 jours entre 2020 et 2021. Les résidents ont exprimé une frustration croissante face à cette mesure, perçue comme particulièrement intrusive et autoritaire, d’autant plus que Daniel Andrews avait insisté, lors de conférences de presse, sur le fait que le couvre-feu était une directive directe des autorités sanitaires, notamment du professeur Brett Sutton. Cependant, le courriel de Finn Romanes à Sutton, révélé dans le document, indique clairement qu’il n’existait « aucune évaluation écrite spécifique » ou « analyse formelle » pour étayer la décision d’imposer un couvre-feu, soulevant des questions sur la légitimité de cette mesure draconienne.
RépondreSupprimerDocument exclusif
La bataille pour obtenir ce document a été longue et semée d’embûches. David Davis, membre du Conseil législatif de Victoria et fervent défenseur de la transparence, a déposé une demande d’accès à l’information en 2020, peu après l’instauration du couvre-feu. Le Département de la Santé a initialement refusé de divulguer les documents, invoquant des exemptions liées à la confidentialité et à la sensibilité des informations. Davis a persévéré, portant l’affaire devant le VCAT, qui, après des années de litige, a tranché en avril 2025 en faveur de la publication des courriels. Cette décision a été un tournant, mettant fin à ce que Davis a décrit comme une « culture du secret » au sein du gouvernement victorien. Dans une déclaration à Sky News Australia, Davis a accusé le gouvernement Andrews d’avoir « trompé le public » en prétendant que le couvre-feu était scientifiquement justifié, alors que les preuves disponibles suggèrent qu’il s’agissait d’une décision politique.
Le document révèle également des tensions internes au sein du Département de la Santé. Dans un autre courriel, Finn Romanes exprimait des inquiétudes quant à la communication publique autour du couvre-feu, notant que les affirmations selon lesquelles il était basé sur des conseils sanitaires pourraient être contestées en l’absence de documentation formelle. Romanes écrivait à Sutton : « Je n’ai pas vu de rapport ou d’analyse spécifique qui recommande explicitement le couvre-feu comme mesure nécessaire. Si cela existe, pourriez-vous me le transmettre ? » La réponse de Sutton, bien que partiellement caviardée dans les documents publiés, ne semble pas fournir de justification claire, renforçant l’idée que le couvre-feu était davantage une décision improvisée qu’une mesure étayée par des données scientifiques.
RépondreSupprimerCes échanges internes contrastent fortement avec les déclarations publiques d’Andrews, qui, le 3 août 2020, avait affirmé lors d’une conférence de presse : « Le couvre-feu est une mesure difficile mais nécessaire, basée sur les conseils des experts de la santé publique. »
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La révélation de ce document a intensifié les critiques contre Daniel Andrews, qui a quitté ses fonctions de Premier ministre en septembre 2023. Andrews, surnommé « Dan le Dictateur » par ses détracteurs, a été à la fois loué pour sa gestion rigoureuse de la pandémie et vilipendé pour son approche perçue comme autoritaire. Le couvre-feu, en particulier, est devenu un symbole des mesures controversées de son gouvernement, avec des manifestations anti-confinement à Melbourne en 2020 et 2021 ayant parfois dégénéré en affrontements avec la police. Les critiques, y compris des groupes de défense des libertés civiles comme Liberty Victoria, ont soutenu que le couvre-feu violait les droits fondamentaux sans preuve claire de son efficacité.
Un rapport du Herald Sun publié en 2024 a révélé que seulement 50 % des Victoriens estimaient que le gouvernement avait bien géré la pandémie, un chiffre qui reflète une fracture persistante dans l’opinion publique.
John Pesutto, chef de l’opposition victorienne, a salué la décision du VCAT, déclarant que « la transparence est essentielle pour restaurer la confiance dans nos institutions ». Dans une interview accordée à Sky News Australia, Pesutto a qualifié le couvre-feu de « mesure draconienne qui a infligé des souffrances inutiles » et a appelé à une enquête plus large sur la prise de décision pendant la pandémie. Il a également critiqué l’héritage d’Andrews, affirmant que « les Victoriens méritent de savoir pourquoi des décisions aussi lourdes ont été prises sans fondement clair ». De son côté, le gouvernement actuel de Victoria, dirigé par la Première ministre Jacinta Allan, a minimisé l’importance du document, un porte-parole déclarant que « les décisions prises pendant la pandémie étaient basées sur les meilleures informations disponibles à l’époque dans un contexte de crise sans précédent ».
RépondreSupprimerCette affaire intervient dans un contexte où la population victorienne reste profondément divisée sur la gestion de la pandémie. Si certains créditent Andrews d’avoir contenu la propagation du virus dans un État qui a enregistré plus de 40 % des cas australiens de COVID-19 en 2020, d’autres dénoncent les coûts humains et économiques des restrictions. Les fermetures prolongées des écoles, la mise à l’arrêt des entreprises et les restrictions de mouvement ont contribué à une augmentation des problèmes de santé mentale, avec une hausse de 30 % des appels aux lignes d’assistance psychologique en 2020, selon Beyond Blue. L’économie victorienne a également souffert, avec un chômage atteignant 7,5 % à son pic en 2020, selon l’Australian Bureau of Statistics.
La révélation que le couvre-feu, l’une des mesures les plus emblématiques, manquait de fondement scientifique risque d’alimenter davantage le mécontentement et de relancer les appels à une commission d’enquête publique sur la gestion de la pandémie à Victoria.
Et en France
RépondreSupprimerLa gestion de la pandémie de COVID-19 a suscité des controverses majeures, marquées par des confinements stricts, une instrumentalisation de la science pour justifier des mesures parfois infondées et une opacité dans la prise de décision, notamment via le Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN).
Les confinements de mars et octobre 2020, parmi les plus rigoureux d’Europe, ont été imposés sur la base de modèles épidémiologiques, comme ceux de l’Institut Pasteur, qui surestimaient les hospitalisations et les décès, entraînant des restrictions jugées excessives par des économistes et des défenseurs des libertés. La science a souvent été instrumentalisée pour généraliser des assertions fausses, comme l’efficacité universelle des vaccins ou la dangerosité exagérée de certains traitements précoces, tels que l’hydroxychloroquine, discrédités sans considération rigoureuse par les autorités, alors que de nombreuses études dont celles de l’IHU Méditerranée montraient leur efficacité.
Le CDSN, présidé par Emmanuel Macron, a centralisé les décisions dans un cadre confidentiel, échappant au contrôle parlementaire et marginalisant les experts indépendants, ce qui a alimenté les accusations d’autoritarisme.
Un sondage France-Soir/BonSens.org du 27 février 2025 révèle une défiance profonde : 55 % des Français estiment que les effets secondaires des vaccins COVID sont trop nombreux et 69 % exigent une évaluation indépendante des traitements précoces. Par ailleurs, 67 % soutiennent la création d’une commission d’enquête sur la gestion de la crise, et 58 % demandent la levée du secret-défense sur les décisions du CDSN pour clarifier les contrats vaccinaux et les choix stratégiques. Des erreurs logistiques, comme la pénurie de masques et les retards dans les tests, combinées à une hausse de 20 % des troubles anxieux en 2021 (Santé publique France), ont exacerbé la méfiance.
Cette fracture, amplifiée par l’opacité et l’instrumentalisation scientifique, continue de nourrir un débat sur l’équilibre entre santé publique et libertés fondamentales.
https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante/australie-un-document-explosif-sur-le-couvre-feu-covid-garde-secret
Covid, La maison Blanche dévoile le scandale :Fauci a délocalisé ses recherches sur les gains de fonction vers Wuhan et l’Ukraine. Macron offrira t il à Fauci un asile poitique ?
RépondreSupprimerle 19 avril 2025
par pgibertie
Aujourd’hui, Trump a accusé Fauci de crimes contre l’humanité et a démontré la complicité du régime Biden en lui accordant une grâce à partir de 2014, date à laquelle Fauci a délocalisé ses recherches sur les gains de fonction vers des pays comme Wuhan et l’Ukraine.
Le Dr Fauci est devenu le tsar des armes biologiques en 2001… et le développement des armes biologiques inclut toujours le développement de vaccins. Ils ont transféré cette recherche sur le gain de fonction (financée par l’USAID) en Ukraine. Selon la Convention de Genève, mener une telle recherche ici constitue un crime de guerre… – RFK Jr., HHS.
Fauci a induit le Congrès en erreur sur la date de sa retraite au gouvernement, selon de nouveaux documents. Il a déclaré avoir pris sa retraite en décembre 2022, au moment même où le Parti républicain s’apprêtait à prendre le contrôle des commissions d’enquête. En réalité, il a pris sa retraite en janvier 2023, coïncidant avec l’arrivée du nouveau Congrès, qui aurait pu le convoquer à la tête du NIAID.
La fortune de Fauci a augmenté de 3,5 millions de dollars lors de sa « retraite » en 2023.
« J’ai la PREUVE que le Dr Fauci a contourné le Comité de sécurité pour financer le laboratoire de Wuhan… et j’ai des E-MAILS qui montrent qu’il SAVAIT qu’il s’agissait d’une « recherche sur le gain de fonction ». » — Sénateur Rand Paul (2023) Ce n’est pas une spéculation. C’est la preuve directe d’une dissimulation au plus haut niveau. Fauci n’a pas seulement approuvé la recherche — Il connaissait les risques… et l’a quand même financée. Puis il a passé des années à mentir au Congrès et au monde. Si cette preuve tient — Ce n’est pas seulement un scandale. C’est une conspiration criminelle qui a peut-être conduit à la plus grande catastrophe mondiale de notre époque. La vérité arrive. Et Fauci devrait être très, très inquiet.
Des rumeurs de dernière minute suggèrent que le Dr Anthony Fauci pourrait planifier un visa d’urgence de dernière minute pour la CHINE — prétendument pour occuper un poste à l’Institut de virologie de Wuhan… Le laboratoire même lié à l’origine de la pandémie.
Fuite d'un laboratoire sur les origines du Covid-19
L’ORIGINE
RépondreSupprimerLa publication « L’origine proximale du SARS-CoV-2 » — qui a été utilisée à plusieurs reprises par les responsables de la santé publique et les médias pour discréditer la théorie de la fuite de laboratoire — a été incitée par le Dr Fauci à promouvoir le récit préféré selon lequel le COVID-19 est d’origine naturelle.
- voir carte sur site -
1.
Le virus possède une caractéristique biologique que l’ on ne retrouve pas dans la nature.
2.
Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d’ une seule contamination humaine . Cela contraste avec les pandémies précédentes, qui ont connu de multiples contagions.
3.
Wuhan abrite le plus grand laboratoire de recherche sur le SRAS de Chine , qui a pour habitude de mener des recherches sur le gain de fonction (modification génétique et suralimentation d’organismes) à des niveaux de biosécurité inadéquats.
4.
Les chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont présenté des symptômes similaires à ceux du COVID-19 à l’automne 2019, des mois avant que le COVID-19 ne soit découvert sur le marché humide.
5.
Selon presque tous les critères scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà fait surface . Mais ce n’est pas le cas .
Wuhan Chine Carte Origine du Covid-19
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Rapport de surveillance de la ChambreTélécharger
PUBLICATION D’ORIGINE PROXIMALE :
La publication « L’origine proximale du SARS-CoV-2 » — qui a été utilisée à plusieurs reprises par les responsables de la santé publique et les médias pour discréditer la théorie de la fuite de laboratoire — a été incitée par le Dr Fauci à promouvoir le récit préféré selon lequel le COVID-19 est originaire de la nature.
RECHERCHE SUR LE GAINS DE FONCTION :
Un incident en laboratoire impliquant une recherche sur le gain de fonction est très probablement à l’origine de la COVID-19. Les mécanismes gouvernementaux actuels de supervision de cette dangereuse recherche sur le gain de fonction sont incomplets, extrêmement complexes et peu applicables à l’échelle mondiale.
ALLIANCE ÉCOSANTÉ INC. (ÉCOSANTÉ) :
RépondreSupprimerEcoHealth, sous la direction du Dr Peter Daszak, a utilisé l’argent des contribuables américains pour faciliter des recherches dangereuses sur les gains de fonction à Wuhan, en Chine. Après que le sous-comité spécial a publié des preuves de violation par EcoHealth des conditions de sa subvention des National Institutes of Health (NIH), le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a engagé une procédure d’exclusion officielle et suspendu tout financement d’EcoHealth.
De nouvelles preuves montrent également que le ministère de la Justice (DOJ) a ouvert une enquête sur les activités d’EcoHealth pendant la pandémie.
ÉCHECS DU NIH :
Les procédures du NIH en matière de financement et de supervision des recherches potentiellement dangereuses sont déficientes, peu fiables et constituent une grave menace pour la santé publique et la sécurité nationale. De plus, le NIH a favorisé un environnement propice au contournement des lois fédérales sur la conservation des données, comme en témoignent les agissements du Dr David Morens et de Marge Moore, la « Dame de l’information ».
Pardon d'Anthony Fauci
Grâce de Fauci
OBSTRUCTION DU HHS :
Le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) de l’administration Biden s’est livré à une campagne pluriannuelle de retards, de confusion et d’absence de réaction, visant à entraver l’enquête de la sous-commission spéciale et à dissimuler des preuves susceptibles d’incriminer ou d’embarrasser de hauts responsables de la santé publique. Il semble que le HHS ait même intentionnellement sous-financé sa composante chargée de répondre aux demandes de contrôle législatif.
OBSTACLE À L’ÉCOSANTÉ :
Le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth, a entravé l’enquête de la sous-commission spéciale en divulguant des informations publiques, en ordonnant à son équipe de réduire la portée et le rythme des productions et en falsifiant des documents avant leur publication. De plus, le Dr Daszak a fourni de fausses déclarations au Congrès.
DR DAVID MORENS :
Le conseiller principal du Dr Fauci, le Dr David Morens, a délibérément entravé l’enquête du sous-comité spécial, a probablement menti au Congrès à plusieurs reprises, a illégalement supprimé les dossiers fédéraux sur le COVID-19 et a partagé des informations non publiques sur les processus de subvention du NIH avec le président d’EcoHealth, le Dr Peter Daszak.
OBSTACLE À NEW YORK :
RépondreSupprimerLa Chambre exécutive de New York, dirigée actuellement par la gouverneure Kathy Hochul, a expurgé des documents, présenté de nombreuses revendications de privilège illégitimes et retenu des milliers de documents sans base juridique apparente pour entraver l’enquête du sous-comité spécial sur les échecs de l’ancien gouverneur Cuomo pendant la pandémie.
- voir clip sur site -
ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) :
La réponse de l’OMS à la pandémie de COVID-19 a été un échec cuisant, car elle a cédé aux pressions du Parti communiste chinois et a placé les intérêts politiques de la Chine avant ses obligations internationales. De plus, la nouvelle initiative de l’OMS pour résoudre les problèmes exacerbés par la pandémie de COVID-19 – via un « Traité sur la pandémie » – pourrait nuire aux États-Unis.
DISTANCIATION SOCIALE :
La recommandation de distanciation sociale de « 2 mètres de distance » – qui a entraîné la fermeture des écoles et des petites entreprises dans tout le pays – était arbitraire et non fondée sur des données scientifiques. Lors d’une audition à huis clos, le Dr Fauci a déclaré que cette recommandation était « apparue comme par magie ».
PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE :
Il n’existait aucune preuve concluante que les masques protégeaient efficacement les Américains contre la COVID-19. Les responsables de la santé publique ont fait volte-face quant à l’efficacité des masques sans fournir de données scientifiques aux Américains, provoquant une forte augmentation de la défiance du public.
CONFINEMENTS :
Les confinements prolongés ont causé des dommages considérables non seulement à l’économie américaine, mais aussi à la santé mentale et physique des Américains, avec un impact particulièrement négatif sur les jeunes. Au lieu de privilégier la protection des populations les plus vulnérables, les politiques gouvernementales fédérales et étatiques ont contraint des millions d’Américains à renoncer à des éléments essentiels à une vie saine et financièrement stable.
ÉCHECS DE LA PANDÉMIE À NEW YORK :
RépondreSupprimerLe décret du 25 mars de l’ancien gouverneur de New York, Andrew Cuomo, qui obligeait les maisons de retraite à accepter des patients positifs à la COVID-19, « constituait une faute médicale ». Les faits montrent que M. Cuomo et son administration ont œuvré pour dissimuler les conséquences tragiques de leurs décisions politiques, dans un effort apparent pour se soustraire à toute responsabilité.
https://www.whitehouse.gov/lab-leak-true-origins-of-covid-19/
https://pgibertie.com/2025/04/19/covid-la-maison-blanche-devoile-le-scandale-fauci-a-delocalise-ses-recherches-sur-les-gains-de-fonction-vers-wuhan-et-lukraine-macron-offrira-t-il-a-fauci-un-asile-poitique/
Fuite de laboratoire : La Maison-Blanche dévoile un rapport exhaustif sur les véritables origines de la COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 20 AVRIL 2025 - 00H50
L’administration Trump a publié vendredi une analyse approfondie de la manière dont le Dr Anthony Fauci et les agences de renseignement américaines ont étouffé la théorie de la fuite de laboratoire à l’origine de la COVID-19 à des fins politiques.
« Les responsables de la santé publique induisent souvent le peuple américain en erreur par des messages contradictoires, des réactions instinctives et un manque de transparence. Plus grave encore, le gouvernement fédéral a diabolisé les traitements alternatifs et désapprouvé des récits, comme la théorie de la fuite de laboratoire, dans une tentative honteuse de contraindre et de contrôler les décisions sanitaires du peuple américain », peut-on lire sur une nouvelle page web de la Maison-Blanche.
Et tandis que nous attendons toujours ces perquisitions anticipées – c'est-à-dire un semblant de responsabilité –, les révélations d'aujourd'hui de la Maison Blanche apportent une bouffée d'air frais sur une « théorie » selon laquelle des sites comme ZeroHedge et The Federalist auraient été sanctionnés pour avoir suggéré des faits. Des millions de dollars de revenus publicitaires se sont évaporés après que des organisations de censure financées par l'USAID ont lancé des campagnes publiques de diffamation, en collaboration avec les médias grand public, dans le but de dissimuler la vérité.
À titre d'exemple, moins de 48 heures après qu'un subalterne de Fauci a signalé un article de ZeroHedge pour examen, nous avons été bannis de Twitter suite à un article critique sur BuzzFeed, rédigé par un journaliste qui a ensuite été licencié pour plagiat. Dans les semaines qui ont suivi, nous avons été bannis par Amazon et les plateformes publicitaires de Google pour des contenus qui n'avaient jamais posé problème jusque-là (et bien que nous nous soyons réconciliés avec Google, Amazon continue de blacklister ZeroHedge – probablement pour avoir continué à se moquer de la fusée en forme de pénis de Jeff Bezos, qui joue les seconds rôles derrière SpaceX).
Des mois plus tard, Twitter a rétabli notre compte, invoquant une « erreur » (alors que les preuves d'une fuite en laboratoire commençaient par coïncidence à s'accumuler ailleurs).
Pour maintenir notre activité, ZeroHedge a lancé son service premium et, plus récemment, la boutique ZH, où nos fidèles lecteurs nous font régulièrement vendre des casquettes, des chemises, des couteaux et, sans surprise, le multi-outil ZeroHedge. Inutile de préciser que nous apprécions votre soutien.
Plongée dans le vif du sujet
RépondreSupprimerLe communiqué accablant de la Maison Blanche publié aujourd'hui détaille en détail la dissimulation de l'affaire COVID-19 par des acteurs clés.
1. Le virus possède une caractéristique biologique inexistante dans la nature.
2. Les données montrent que tous les cas de COVID-19 proviennent d'une seule introduction chez l'homme. Cela contraste avec les pandémies précédentes, qui ont connu de multiples contagions.
3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui a l'habitude de mener des recherches sur le gain de fonction (modification génétique et suramplification d'organismes) avec des niveaux de biosécurité insuffisants.
4. Des chercheurs de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) ont présenté des symptômes similaires à ceux de la COVID-19 à l'automne 2019, quelques mois avant la découverte de la COVID-19 sur le marché.
5. Selon presque tous les critères scientifiques, s'il existait des preuves d'une origine naturelle, elles auraient déjà fait surface. Or, ce n'est pas le cas.
La publication « L'origine proximale du SARS-CoV-2 », utilisée à maintes reprises par les responsables de la santé publique et les médias pour discréditer la théorie de la fuite en laboratoire, a été inspirée par le Dr Fauci pour promouvoir le récit privilégié selon lequel la COVID-19 serait d'origine naturelle.
RECHERCHE SUR LE GAIN DE FONCTION :
Un incident en laboratoire impliquant des recherches sur le gain de fonction est l'origine la plus probable de la COVID-19. Les mécanismes gouvernementaux actuels de supervision de ces recherches dangereuses sur les gains de fonction sont incomplets, extrêmement complexes et peu applicables à l'échelle mondiale.
ECOHEALTH ALLIANCE INC. (ECOHEALTH) :
EcoHealth, sous la direction du Dr Peter Daszak, a utilisé l'argent des contribuables américains pour faciliter des recherches dangereuses sur les gains de fonction à Wuhan, en Chine. Après que le sous-comité spécial a publié des preuves de violation par EcoHealth des conditions de sa subvention des National Institutes of Health (NIH), le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a engagé une procédure officielle d'exclusion et suspendu tout financement d'EcoHealth.
De nouveaux éléments montrent également que le ministère de la Justice (DOJ) a ouvert une enquête sur les activités d'EcoHealth en période de pandémie.
FAILLANCES DES NIH :
RépondreSupprimerLes procédures du NIH en matière de financement et de supervision des recherches potentiellement dangereuses sont déficientes, peu fiables et constituent une grave menace pour la santé publique et la sécurité nationale. De plus, les NIH ont favorisé un environnement propice au contournement des lois fédérales sur la conservation des données, comme en témoignent les actions du Dr David Morens et de Marge Moore, la « Dame de la liberté d'information ».
OBSTRUCTION AU HHS :
Le HHS de l'administration Biden s'est livré à une campagne pluriannuelle de retards, de confusion et d'absence de réactivité pour tenter d'entraver l'enquête de la sous-commission spéciale et de dissimuler des preuves susceptibles d'incriminer ou d'embarrasser de hauts responsables de la santé publique. Il semble que le HHS ait même intentionnellement sous-financé sa composante chargée de répondre aux demandes de surveillance législative.
OBSTRUCTION À L'ÉCOSANTÉ :
Le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth, a fait obstruction à l’enquête de la sous-commission spéciale en divulguant des informations publiques, en ordonnant à son équipe de réduire la portée et le rythme des productions, et en falsifiant des documents avant leur publication. De plus, le Dr Daszak a fourni de fausses déclarations au Congrès.
DR DAVID MORENS :
Le Dr David Morens, conseiller principal du Dr Fauci, a délibérément fait obstruction à l’enquête de la sous-commission spéciale, a probablement menti au Congrès à plusieurs reprises, a illégalement supprimé des dossiers fédéraux relatifs à la COVID-19 et a partagé des informations non publiques sur les processus d’octroi de subventions des NIH avec le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth.
OBSTRUCTION À NEW YORK :
La Chambre exécutive de l’État de New York, actuellement dirigée par la gouverneure Kathy Hochul, a expurgé des documents, invoqué de nombreuses prétentions illégales au secret professionnel et retenu des milliers de documents sans fondement juridique apparent afin d’entraver l’enquête de la sous-commission spéciale sur les manquements de l’ancien gouverneur Cuomo pendant la pandémie.
ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) :
RépondreSupprimerLa réponse de l’OMS à la pandémie de COVID-19 a été un échec cuisant, car elle a cédé aux pressions du Parti communiste chinois et a placé les intérêts politiques de la Chine avant ses obligations internationales. De plus, la nouvelle initiative de l’OMS pour résoudre les problèmes exacerbés par la pandémie de COVID-19, par le biais d’un « Traité sur la pandémie », pourrait nuire aux États-Unis.
DISTANCIATION SOCIALE :
La recommandation de distanciation sociale de « 2 mètres de distance », qui a entraîné la fermeture des écoles et des petites entreprises dans tout le pays, était arbitraire et non fondée sur des données scientifiques. Lors d’une audition à huis clos, le Dr Fauci a déclaré que ces directives étaient « apparues comme par magie ».
PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE :
Il n’existait aucune preuve concluante que le port du masque protégeait efficacement les Américains contre la COVID-19. Les responsables de la santé publique ont fait volte-face quant à l’efficacité du masque sans fournir de données scientifiques aux Américains, provoquant une forte hausse de la défiance du public.
CONFINEMENTS :
Les confinements prolongés ont causé des dommages incommensurables non seulement à l’économie américaine, mais aussi à la santé mentale et physique des Américains, avec un impact particulièrement négatif sur les jeunes. Plutôt que de privilégier la protection des populations les plus vulnérables, les politiques gouvernementales fédérales et étatiques ont contraint des millions d’Américains à renoncer à des éléments essentiels à une vie saine et financièrement stable.
ÉCHECS DE LA PANDÉMIE À NEW YORK :
Le décret du 25 mars de l’ancien gouverneur de l’État de New York, Andrew Cuomo, obligeant les maisons de retraite à accepter des patients positifs à la COVID-19, « constituait une faute médicale ». Il est prouvé que M. Cuomo et son administration ont œuvré à dissimuler les conséquences tragiques de leurs décisions politiques, apparemment pour se soustraire à leurs responsabilités.
DÉSINFORMATION SUR LA COVID-19 :
RépondreSupprimerLes responsables de la santé publique induisent souvent le peuple américain en erreur par des messages contradictoires, des réactions instinctives et un manque de transparence. De manière plus flagrante, le gouvernement fédéral a diabolisé les traitements alternatifs et désapprouvé des récits, comme la théorie de la fuite en laboratoire, dans une tentative honteuse de contraindre et de contrôler les décisions sanitaires du peuple américain.
Lorsque ces efforts ont échoué, l'administration Biden a eu recours à une « censure pure et simple – en contraignant et en collusion avec les plus grands réseaux sociaux du monde pour censurer toute dissidence liée à la COVID-19 ».
For those with the stamina, the complete 557 page report can be read here:
Vindication ? Perhaps. Satisfaction? Far fucking from it !
https://www.zerohedge.com/covid-19/lab-leak-white-house-unveils-massive-report-true-origins-covid-19
Vous avez aimé Pfizer, vous allez adorer SANOFI, la vérité sur l’ARNm ne viendra pas de France, au contraire
RépondreSupprimerle 20 avril 2025
par pgibertie
L’enjeu est financier , Sanofi doit profiter des ARNm pourtant contestés; La France sera donc à la tête des injections
Mais qui se souvient encore du scandale de la Dépakine ?
Dans une information judiciaire, ouverte en 2016 et portant sur le cœur du scandale de la Dépakine et ses impacts éventuels sur la santé, le groupe est mis en examen pour « tromperie aggravée » et « blessures involontaires » depuis 2020. En juin 2023, la Cour de cassation avait toutefois estimé prescrites un certain nombre de plaintes,
- voir doc sur site :
https://pgibertie.com/2025/04/20/vous-avez-aime-pfizer-vous-allez-adorer-sanofi-la-verite-sur-larnm-ne-viendra-pas-de-france-au-contraire/
La FDA expulse les représentants de Big Pharma de ses organes consultatifs
RépondreSupprimerle 20 avril 2025
par pgibertie
MAKARY : « Aujourd’hui, nous annonçons que nous retirons les membres de l’industrie pharmaceutique des comités consultatifs de la FDA… Nous allons inviter les entreprises pharmaceutiques à envoyer des représentants aux comités consultatifs, mais ils pourront siéger avec le reste du public, observer et poser des questions. »
- voir doc sur site :
https://pgibertie.com/2025/04/20/la-fda-expulse-les-representants-de-big-pharma-de-ses-organes-consultatifs/
Macron a sali la mémoire de notre prix Nobel parce qu’il avait affirmé le premier que le covid venait d’un labo et il veut accueillir tous les « chercheurs » wokes des USA
RépondreSupprimerle 19 avril 2025
par pgibertie
La France pays de la Recherche, Macron se fout du monde ! Souvenez vous du mépris à l’égard du prix Nobel de médecine Luc Montagner qui avait affirmé le premier l’origine humaine du covid…
Quels « chercheurs veut il attirer, des wokes en sciences humaines …
Pas moins de 298 scientifiques américains ont candidaté pour poursuivre leur recherche au sein d’Aix-Marseille Université, a indiqué, jeudi 17 avril, sur franceinfo le président de l’université, Éric Berton : “Ce sont ceux qui sont vraiment empêchés dans leur rôle, dans leur recherche, dans leur art, dans leur science et dans leur liberté académique”, détaille-t-il.
Le programme de l’université “Safe space for science” offre un asile scientifique aux chercheurs américains pendant 3 ans. Un programme “nécessaire” pour Éric Berton, qui appelle à la création d’un statut de réfugié scientifique, avec François Hollande.
Les candidats sont majoritairement des profils expérimentés, qui travaillent en sciences humaines et sociales : “Ce sont principalement ceux qui s’intéressent au genre, à l’histoire. Souvent, ils sont accusés de réécrire l’histoire”, explique le président d’Aix-Marseille Université,
- voir graph et docs sur site :
https://pgibertie.com/2025/04/19/macron-a-sali-la-memoire-de-notre-prix-nobel-parce-quil-avait-affirme-le-premier-que-le-covid-venait-dun-labo-et-il-veut-accueillir-tous-les-chercheurs-wokes-des-usa/
La science est REFUTABLE, pas la foi. Si une donnée va a l’encontre de votre modèle il faut détruire ce modèle et c’est le cas pour les narratifs du climat, du covid, de l’ARNm
RépondreSupprimerle 19 avril 2025
par pgibertie
Le Professeur Martin Zizi nous expose la méthode scientifique en un twitt Il reprend les conclusions de Claude Bernard et de Thomas Kuhn
@MartinZ_uncut
Arme Anti-troll Comment AVANCER de manière objective face à l fausse science (TM) politisée et surtout gagner le débat?
En lisant bcp d’échanges sur pleins de fils, il m’apparait qu’il y a pleins de malentendus et de discussions inutiles entre des personnes qui sont soit de mauvaise foi, soit pas formées à la science mais prétendent, soit perdues .
Je me suis svt posé les questions suivantes: – Comment éviter le piège des scientifiques politisés? – Comment réagir aux agressions de non -scientifiques qui VOUS tapent des papiers à la figure? – Comment approcher une discussion ou un échange scientifique de manière correcte que l’on soit scientifique ou pas? Que l’on soit juste curieux de s’informer…
La solution vient de loin. Mes mentors ont toujours dit la science DOIT sa structure au fait d’étre réfutable.
En clair, les données et les experiences sont faites pour DEMOLIR nos théories ou interprétations des phénomènes pas pour les confirmer.
Si UNE donnée, UNE seule expérience, CONTREDIT ce que l’on croit alors on peut CORRIGER et avancer. Mais Il faut alors REVISER son interprétation.
Appliqué aux échanges en ligne ici ou ailleurs, cela signifie: – Que les gens NON scientifiques ou les faux scientifiques ou les vendus vont VOUS jeter à la figure tel ou tel papier qui « démontre que… »
– On trouvera TOUJOURS des expériences CORRECTES dont les résultats peuvent CONFIRMER l’un ou l’autre point… ceci NE prouve RIEN, c’est juste un biais de CONFIRMATION et c’est l’inverse de la démarche scientifique.
– Certains de ces papiers sont faux, sont des daubes.. et certains sont VRAIS mais TOUS ceux qui INTERPRETENT les résultats pour coller à ce qu’ils croient font de l’anti-science. –
La seule attitude correcte est de faire des expériences pour DEMOLIR ce que l’on croit Donc sachez TOUS que si UNE donnée contredit une hypothèse, contredit un modèle, contredit une interprétation – c’est FINI! IL n’y a plus à discuter. ON peut parler de la qualité du papier, de ses manques ou de sa pertinence, mais on ne peut PLUS se raccrocher à l’interprétation qui était donnée avant ce papier.
RépondreSupprimerEn clair
– pour le climat, il y a plein de données qui ne collent pas au narratif , donc le narratif c’est de la daube! – pour les ARN, il y a pas mal de données (et ce depuis le début 2021, en UK notamment) qui montrent SA non efficacité puis son « efficacité négative » donc c’est de la daube et on devrait tout stopper
– pour SARS2, la majorité de décès furent dûs aux infections secondaires… et aux complications NON traitées à temps donc ce terrible virus c’est de la daube!
Si une donnée réfute l’hypothèse de travail, il faut changer d’hypothèse de travail – donc ne perdez plus votre temps en discussion inutiles.. parlez surtout des données qui réfutent et donc détruisent un narratif ou une DOXA en disant ce qu’Einstein et plein d’autres disaient : Si une donnée va a l’encontre de votre modèle il faut détruire ce modèle et en changer Cela a l’air théorique mais en fait cest puissant, vrai et assez simple.
Mot clé – réfutabiilté. La foi, les croyances ne sont PAS réfutables. Donc si nous n’enfonçons pas ce clou… nous retournerons en arrière aux temps d’avant le procès de Galilée… Voici votre arme anti-trolls Bonne journée
https://pgibertie.com/2025/04/19/la-science-est-refutable-pas-la-foi-si-une-donnee-va-a-lencontre-de-votre-modele-il-faut-detruire-ce-modele-et-cest-le-cas-pour-les-narratifs-du-climat-du-covid-de-larnm/
Comment le diméthylsulfoxyde (DMSO) élimine naturellement les cancers
RépondreSupprimerPar un médecin du Midwest
Recherche mondiale,
19 avril 2025
Le diméthylsulfoxyde (DMSO) traite efficacement de nombreuses affections, notamment les accidents vasculaires cérébraux, les lésions tissulaires, l'auto-immunité et une myriade de maladies de la peau et d'infections difficiles.
Les propriétés uniques du DMSO le rendent également particulièrement adapté à la fois à l’élimination des cancers et à la protection des cellules normales contre les thérapies anticancéreuses.
Des centaines d’études ont montré que le DMSO peut transformer une large gamme de cellules cancéreuses en cellules normales, ce que très peu d’autres agents sont capables de faire.
Le DMSO renforce la réponse immunitaire au cancer et permet au système immunitaire de reconnaître et d'éliminer définitivement de nombreux cancers différents qui, autrement, échappent au système immunitaire.
Le DMSO est directement toxique pour les cellules cancéreuses et accroît considérablement l'efficacité d'un large éventail d'agents anticancéreux naturels et conventionnels. Cela augmente les taux de guérison et permet de réduire les doses de chimiothérapie, réduisant ainsi significativement leur toxicité.
*
Le DMSO est une substance naturelle qui, utilisée correctement , améliore rapidement et en toute sécurité diverses affections traitées par la médecine, notamment la douleur chronique . Par exemple, des milliers d'études montrent que le DMSO traite un large éventail de :
• Blessures telles que les entorses, les commotions cérébrales, les brûlures, les incisions chirurgicales et les lésions de la moelle épinière (discutées ici ).
• Accidents vasculaires cérébraux, paralysie, de nombreux troubles neurologiques (par exemple, le syndrome de Down et la démence) et de nombreux troubles circulatoires (par exemple, la maladie de Raynaud, les varices ou les hémorroïdes), qui ont été abordés ici .
• Douleur chronique (par exemple, due à un disque endommagé, à une bursite, à l’arthrite ou à un syndrome douloureux régional complexe), qui a été abordé ici .
• De nombreux troubles auto-immuns, protéiques et contractiles tels que la sclérodermie, l’amylose et la cystite interstitielle (discutées ici ).
• Affections de la tête, notamment acouphènes, perte de vision, problèmes dentaires et sinusite (discutés ici ).
RépondreSupprimer• Maladies des organes internes telles que la pancréatite, l’infertilité, la cirrhose du foie et l’endométriose (abordées ici ).
• Un large éventail d’affections cutanées telles que les brûlures, les varices, l’acné, la perte de cheveux, les ulcères, le cancer de la peau et de nombreuses maladies dermatologiques auto-immunes (discutées ici ).
• De nombreuses infections difficiles telles que le zona, l’herpès, les infections chroniques de l’oreille ou des dents et l’ostéomyélite (abordées ici ).
Malheureusement, lorsque la FDA a compris l'ampleur des transformations que le DMSO allait apporter à la médecine, elle a décidé de l'effacer de l'histoire. Résultat : des millions de patients aidés par ce médicament et des milliers d'études sur son potentiel thérapeutique ont été largement oubliés. Prenons par exemple cette émission de 60 Minutes de 1980 :
- voir clip sur site -
Heureusement, comme le DMSO est efficace pour un large éventail de maladies, il a connu un succès phénoménal au cours des six derniers mois (par exemple, j'ai déjà reçu plus de 2 000 rapports de réponses remarquables au DMSO, dont beaucoup pour une variété de « maladies incurables » 2 ).
- voir clip sur site -
DMSO et cancer
En raison de la controverse entourant le DMSO, lorsque ses pionniers ont réalisé qu'il traitait également le cancer, il a été décidé de minimiser cet aspect du DMSO, car les traitements anticancéreux « non prouvés » sont systématiquement contestés par le système médical. Par conséquent, les propriétés anticancéreuses du DMSO restent encore relativement méconnues.
Dans la première partie de cette série , j’ai présenté des dizaines d’études qui montrent que le DMSO traite efficacement la douleur cancéreuse (qui est souvent très difficile à traiter) et réduit considérablement de nombreuses complications liées à la radiothérapie et à la chimiothérapie (car il protège sélectivement les cellules saines de ces agents).
Étant donné à quel point chacun de ces éléments peut être débilitant pour un patient atteint de cancer, il est remarquable que le DMSO n’ait été adopté pour aucune de ces applications, d’autant plus que le fait de s’attaquer à ces problèmes ne prive pas l’industrie du cancer de ses activités (et inciterait même davantage de patients à suivre des soins conventionnels contre le cancer).
RépondreSupprimerRemarque : 65 % des revenus des oncologues proviennent des médicaments de chimiothérapie 3 (qui, par coïncidence, constituent de loin le marché pharmaceutique le plus rentable 4 ).
Dans cet article, je vais me concentrer sur la façon dont le DMSO élimine le cancer.
Différenciation du cancer
Au début de la vie, la première cellule peut prendre n'importe quelle forme, et en se divisant, elle se spécialise grâce à un processus appelé différenciation. Ce processus est essentiel en médecine, notamment pour les cellules souches, qui peuvent remplacer les cellules endommagées. Le cancer, quant à lui, est une maladie de dédifférenciation, 5 dans laquelle les cellules normales perdent leur structure et commencent à se diviser de manière incontrôlable.6
Ainsi, un produit capable de différencier les cellules cancéreuses en cellules normales serait extrêmement utile dans le traitement du cancer. Malheureusement, la médecine conventionnelle ne dispose que d'un seul agent de ce type (l'acide tout-trans rétinoïque, utilisé uniquement pour un cancer du sang relativement rare 7 ).
Tout cela a commencé en 1971, lorsqu'un virologue a découvert que le DMSO pouvait induire une différenciation dans les cellules érythroleucémiques à une concentration de 2 %, ramenant la plupart d'entre elles à l'état de cellules normales. 8 À des concentrations plus élevées, le DMSO arrêtait la croissance et tuait même les cellules cancéreuses (et était beaucoup moins susceptible de tuer les souris que celles injectées avec des cellules cancéreuses non traitées).
- voir schéma sur site -
dose-réponse DMSO
RépondreSupprimerPar la suite, elle a publié une variété d'études qui ont cartographié comment ce processus se produisait, quels agents le supprimaient ou l'amélioraient. Elle a montré que l'effet différenciant persistait longtemps après la disparition du DMSO. 9 , 10 , 11 , 12 Ses travaux sur l'érythroleucémie ont ensuite été reproduits à plusieurs reprises (par exemple, j'ai examiné 62 études corroborantes, 13 ainsi que 95 autres pour le cancer apparenté, la leucémie myéloïde aiguë 14 ).
Remarque : La capacité du DMSO à différencier les cellules leucémiques a été si bien reconnue qu'en 1992, il a été sélectionné pour une expérience de microgravité sur la Station spatiale internationale. 15
En 1983, il a été reconnu que le DMSO pouvait différencier 12 types de cancer différents, 16 et maintenant cette capacité de différenciation a été démontrée à plusieurs reprises pour chacun des cancers suivants :
• Cancers du sang — Leucémie aiguë promyélocytaire, 17 leucémie myéloïde chronique, 18 érythromyéloleucémie cutanée, 19 leucémie à tricholeucocytes, 20 lymphome histiocytaire, 21 lymphome non hodgkinien, 22 leucémie à cellules T, 23 lymphome à cellules T 24
• Cancers d'organes — Vessie, 25 cerveau, 26 sein, 27 côlon, 28 œsophage, 29 intestin, 30 rein, 31 foie, 32 poumon, 33 prostate, 34 rectal, 35 ovaire, 36 estomac, 37 thyroïde 38 , 39
• Autres cancers — Carcinome embryonnaire (dans les cellules cardiaques), 40 fibrosarcome, 41 mélanome, 42 nasopharyngé, 43 rhabdomyosarcomes 44
Collectivement, ces études ont montré :
• Le DMSO permettait généralement de différencier le cancer (il était rare que je trouve des études où ce n'était pas le cas) et ce, de manière dose-dépendante (par exemple, on utilisait souvent une concentration de 0,5 % à 2 % 45 ). À des concentrations plus élevées (par exemple, 1,5 %), ces changements étaient souvent permanents 46 .
• La croissance, la prolifération et la survie du cancer ont souvent diminué. Parallèlement, les gènes clés suppresseurs de tumeurs ont augmenté (par exemple, P21, 47 , PTEN, 48 et RB 49 ), de nombreux gènes cancéreux ont été supprimés 50 et les cellules cancéreuses ont été affaiblies (par exemple, par des cassures transitoires de brins d'ADN) ou induites en mort cellulaire programmée 51 , 52.
En tant que tel, je pense qu’il est tout à fait probable que si davantage de lignées cellulaires cancéreuses ou de protéines et de gènes cancéreux spécifiques étaient testés, le DMSO démontrerait également des propriétés anticancéreuses dans ces domaines.
Remarque : il a également été démontré à plusieurs reprises que le DMSO empêche les cancérogènes puissants de provoquer le cancer. 53 , 54 , 55
RépondreSupprimerMécanismes de différenciation
En plus du fait que le DMSO modifie positivement de nombreux facteurs associés au cancer (par exemple, la réduction des gènes du cancer , l'augmentation des protéines anticancéreuses et la modification de l'ADN cancéreux ), quelques autres mécanismes ont également été identifiés par les chercheurs.
Premièrement, les cellules tumorales se développent généralement de manière chaotique, mais l'ajout de 1 à 2 % de DMSO a conduit à une structure plus organisée ressemblant à des cellules normales. 56 Sur une période de quatre jours, le DMSO a provoqué la réorganisation du cytosquelette des cellules de mélanome, stoppant ainsi leur croissance. 57 De même, dans une autre étude, 1 % de DMSO a significativement modifié le squelette cellulaire des cellules de mélanome, mais pas celui des cellules normales : 58
- voir photos sur site -
contrôle cellulaire DMSO
Le DMSO affecte également d’autres aspects structurels des cellules cancéreuses :
• Il déplace la température de transition de la membrane cellulaire, la rendant plus semblable à un gel 59 (un trait partagé avec d'autres agents de différenciation du cancer 60 ).
• Le DMSO a provoqué le réarrangement des cellules cancéreuses désordonnées et serrées dans une orientation parallèle ordonnée comme celle observée dans les tissus non cancéreux. 61
Remarque : les solvants polaires autres que le DMSO peuvent également provoquer ces changements et induire la différenciation des cellules cancéreuses, ce qui suggère qu'il s'agit d'un élément fondamental du processus de différenciation. 62
• Le DMSO a réduit le cytoplasme des cellules cancéreuses de 23 % en neuf heures. 63
RépondreSupprimer• Le DMSO a augmenté la teneur en phospholipides chargés négativement dans les membranes des cellules cancéreuses, 64 améliorant la fluidité et le potentiel zêta de la cellule (une mesure de sa charge électrique qui détermine la tendance des éléments à s'agglutiner).
Collectivement, bon nombre de ces études abordent une observation de longue date selon laquelle la transition vers le cancer est en partie due aux charges électriques et à l'état de l'eau dans les cellules (par exemple, elle devrait être dans un état cristallin liquide générateur d'énergie 65 — quelque chose que l'augmentation de la température de transition de la membrane favorise), ce qui est un sujet sur lequel j'ai écrit plus en détail ici .
De plus, le DMSO dissout également une barrière autour des cellules cancéreuses qui empêchait les médicaments de chimiothérapie d’y pénétrer 66 , 67 et il a été découvert qu’il rendait les chimiothérapies ciblant le cytosquelette 30 à 1 000 fois plus puissantes. 68
- voir photos sur site -
cytosquelette à lumière polarisée
Remarque : le DMSO permet également à la chimiothérapie de traverser la barrière hémato-encéphalique, de sorte que des cancers du cerveau autrement inaccessibles peuvent être exposés à la chimiothérapie. 69
Pléomorphisme
L'une des écoles de médecine oubliées est que les micro-organismes peuvent adopter différentes formes (morphologies) et que certaines morphologies peuvent être très néfastes pour la santé. Par exemple, les pionniers des thérapies alternatives contre le cancer, oubliés depuis longtemps (Rife 70 et Naessens 71 ), pensaient que ces organismes difficiles à détecter étaient à l'origine de certains types de cancers et, comme je l'ai montré ici , qu'ils étaient également liés à de nombreuses maladies auto-immunes 72 .
Une étude russe de 1967 a testé des patients atteints de cancer pour détecter des bactéries pléomorphes, en les isolant d'échantillons de sang de patients et de l'entourage de personnes décédées d'un cancer. 73 Ils ont prélevé 59 échantillons sur 53 patients et 17 échantillons de tumeurs, la plupart produisant des bactéries pléomorphes, qui, en raison de leur petite taille, étaient très sensibles au DMSO.
RépondreSupprimerCliquez ici pour lire l'article complet :
https://www.globalresearch.ca/how-dmso-naturally-eliminates-cancers/5884768
La guerre de la FDA contre la santé américaine
RépondreSupprimerPourquoi tant de thérapies innovantes ne voient-elles jamais le jour ?
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
18 AVRIL 2025
Aperçu :
• La FDA a été créée en 1906 en réponse aux inquiétudes du public concernant les aliments et les médicaments dangereux, tels que les aliments avariés et les produits contrefaits. Cependant, les lobbyistes de l'industrie agroalimentaire ont progressivement gagné en influence, entraînant la destitution du premier dirigeant de l'agence. De ce fait, de nombreux additifs alimentaires nocifs ont obtenu le statut « généralement reconnus comme sûrs » (GRAS) et sont toujours utilisés aujourd'hui.
• En 1962, la FDA s'est vu conférer de larges pouvoirs pour superviser la sécurité des médicaments suite à l'incident de la thalidomide. Malheureusement, la nouvelle réglementation a instauré des normes strictes d'efficacité des médicaments, souvent appliquées de manière sélective, au profit de l'industrie pharmaceutique. Malheureusement, la FDA a de plus en plus ciblé les thérapies naturelles, ce qui a conduit à leur disparition.
Malgré de nombreuses tentatives de réforme de l'agence, des problèmes d'inefficacité et de partialité persistent au sein de la FDA. Cet article examine ces défis et suggère des réformes potentielles pour améliorer le rôle de l'agence dans la protection de la santé publique.
Pendant la majeure partie de ma vie, j'ai observé la FDA réprimer avec acharnement les traitements naturels et toute thérapie non conventionnelle menaçant le monopole médical, tout en imposant une variété de médicaments dangereux et inefficaces, malgré les protestations publiques. Prenons l'exemple de ce témoignage au Sénat de 2004 du scientifique de la FDA qui a obtenu l'interdiction du Vioxx, qui décrit avec précision ce qui allait arriver aux vaccins contre la COVID deux décennies plus tard :
De ce fait, je n'ai pas une image positive de la FDA, d'autant plus que, pendant la COVID-19, j'ai (comme beaucoup d'autres) passé des centaines d'heures à essayer d'obtenir de l'agence qu'elle autorise l'utilisation limitée de traitements non brevetés pour la COVID-19, sans succès en raison des obstacles injustifiés que l'agence a constamment dressés.
Au cours de l'année écoulée, et plus particulièrement depuis l'élection de Trump, j'ai reçu de nombreuses questions concernant la réforme de la FDA. Pour aborder la question avec pertinence, j'ai examiné attentivement les deux aspects.
RépondreSupprimerEn médecine, la « sensibilité » désigne la capacité d'un test à identifier correctement les personnes atteintes d'une maladie (par exemple, détecter une infection), tandis que la « spécificité » mesure la capacité du test à éviter les faux positifs (c'est-à-dire à identifier correctement les personnes indemnes). Le problème est que l'amélioration de l'un réduit souvent l'autre. Par exemple, l'augmentation du seuil de cycle PCR des tests COVID a augmenté la probabilité de détecter les infections (sensibilité accrue), mais a également augmenté les faux positifs (spécificité réduite). Ce compromis entraîne des problèmes, comme pour le dépistage du cancer du sein, où une sensibilité élevée peut entraîner des faux positifs et des « traitements » inutiles pour des femmes qui ne sont pas réellement atteintes de cancer.
La FDA est confrontée à un défi similaire : elle doit empêcher la mise sur le marché d'aliments et de médicaments nocifs tout en veillant à ce que les produits utiles ne soient pas bloqués. Bien que cela paraisse simple, c'est incroyablement difficile, et la FDA a souvent échoué sur ces deux fronts, malgré une direction dévouée à la santé publique.
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Crime contre la loi alimentaire
À la fin du XIXe siècle, les producteurs alimentaires vendaient des produits frelatés et les laboratoires pharmaceutiques vendaient des médicaments contenant des ingrédients secrets comme l'opium et l'alcool. L'indignation du public s'est accrue, notamment après des révélations comme « La Jungle » d'Upton Sinclair, qui ont contribué à l'adoption de la loi sur la pureté des aliments et des médicaments de 1906. Cette loi a donné au Bureau de la chimie le pouvoir de garantir un étiquetage précis et d'empêcher l'utilisation d'additifs nocifs dans les aliments.
Le directeur du Bureau de la chimie (et donc premier directeur de la FDA), Harvey Wiley, a mené des tests sur les additifs alimentaires, prouvant qu'ils rendaient malades des volontaires sains. Si le public et de nombreux scientifiques ont soutenu ses conclusions, l'industrie alimentaire a riposté avec de puissants lobbyistes et des moyens juridiques.
RépondreSupprimerRemarque : les additifs examinés par Wiley étaient l’acide borique et le borax, l’acide salicylique (aspirine) et les salicylates, l’acide benzoïque et les benzoates, le dioxyde de soufre et les sulfites, le formaldéhyde, le sulfate de cuivre (utilisé pour verdir les produits) et le salpêtre (nitrates).
Progressivement, l’industrie agroalimentaire a pris le contrôle de la présidence et, en 1912, Wiley a démissionné, réalisant qu’il pouvait faire davantage pour la santé des Américains en tant que simple citoyen qu’au sein du gouvernement.
L’ouvrage de Wiley, « L’histoire d’un crime contre la loi alimentaire », détaille une grande partie des tactiques odieuses de l’industrie que nous observons aujourd’hui. Par exemple, une série de rapports d’enquête a récemment montré que les lobbyistes de l’industrie agroalimentaire ont œuvré avec ferveur en coulisses pour bloquer la nomination de RFK et que, sans les protestations publiques généralisées, ils nous auraient empêchés de « rétablir la santé de l’Amérique ».
Ces tactiques mettent également en lumière un point essentiel soulevé par Wiley : la seule façon de faire évoluer cette industrie est de convaincre le grand public de l'exiger. En effet, dès que l'on compte sur les membres du gouvernement pour corriger la situation, les lobbyistes anéantiront ces efforts.
Généralement reconnus comme sûrs
De nombreux additifs alimentaires sont « généralement reconnus comme sûrs » (GRAS), ce qui signifie qu'ils sont largement utilisés sans réglementation. Wiley était confrontée à deux problèmes majeurs : la contrefaçon dans l'industrie alimentaire et les additifs nocifs. L'industrie falsifiait souvent des produits pour réduire les coûts, par exemple en vendant de l'alcool de grain sous forme de whisky ou en utilisant des eaux polluées pour agrandir les huîtres.
Malgré les preuves de leur nocivité, l'industrie alimentaire affirmait que ces additifs étaient essentiels à la production, même si ses concurrents démontraient que des produits de meilleure qualité (et, in fine, plus rentables) pouvaient être fabriqués sans eux. Wiley a également averti qu'une exposition chronique aux additifs pouvait entraîner des problèmes de santé à long terme, tels que des lésions organiques et le vieillissement.
Malheureusement, ses préoccupations ont été ignorées face à l'influence croissante de l'industrie et il n'a pas pu les interdire ; ils ont finalement été reclassés comme « généralement reconnus comme sûrs ». Par conséquent, ces additifs « sûrs » ont contribué à l'apparition de maladies chroniques généralisées dans la société.
RépondreSupprimerRemarque : ces additifs comprenaient le benzoate de sodium, le dioxyde de soufre, l'alun (sulfate d'aluminium et de potassium), le dioxyde de soufre, la saccharine, les sucres de maïs modifiés, la saccharine et la farine blanchie à l'azote, dont beaucoup étaient liés au cancer. Malheureusement, depuis 2000, près de 99 % des nouveaux produits chimiques alimentaires ajoutés à la chaîne d'approvisionnement ont exploité la faille GRAS. Je pense que l'utilisation généralisée de l'aluminium dans les aliments transformés est particulièrement néfaste (car il altère considérablement le potentiel zêta physiologique et provoque des microcoagulations dans tout l'organisme) et explique en grande partie pourquoi on observe souvent des améliorations rapides chez les individus qui cessent de consommer des aliments transformés et leurs additifs.
L'amendement Kefauver-Harris
Dans les années qui ont suivi le départ de Wiley, le handicap de la FDA s'est poursuivi. Ainsi, l'agent de la FDA chargé de la thalidomide, un médicament contre les nausées matinales, ne pouvait que retarder son approbation, mais non la rejeter – une tactique qui a permis d'éviter des malformations congénitales catastrophiques aux États-Unis. Un amendement de 1962 a ensuite été adopté, donnant à la FDA le pouvoir de bloquer les médicaments dangereux.
Cette loi a conféré à la FDA des pouvoirs excessifs, ralentissant l'approbation des médicaments et entraînant une mauvaise gestion. Elle exigeait également des essais « bien contrôlés » pour l'approbation des médicaments, que la FDA a définis comme des essais contrôlés randomisés (ECR) en double aveugle coûteux. Cela :
A augmenté le nombre d'ECR, transformant l'approbation des médicaments en un système « pay-to-play », avec des coûts d'approbation atteignant 0,98 à 4,54 milliards de dollars.1,2
A créé des biais, car les ECR coûtent si cher qu'ils produisent inévitablement des résultats en faveur de leur promoteur (qui l'emportent souvent sur les avantages de leur conception « contrôlée » coûteuse).
Les essais observationnels plus petits et efficaces ont été mis à l’écart, car étant abordables, ils sont réalisables pour les chercheurs sans parrainage pharmaceutique et peuvent produire les mêmes résultats que les grands ECR (prouvé par une revue Cochrane de 2014).
• Nombreuses maladies des organes internes.
RépondreSupprimer• Infections aiguës et chroniques, dont le zona et l'herpès.
• Nombreuses affections cutanées, dont l'acné, l'herpès, la chute des cheveux et les varices.
• Nombreuses formes de cancer et, en association avec d'autres thérapies, traitement direct de cancers difficiles.
De même, depuis la publication de cette recherche, j'ai reçu plus de deux mille témoignages de lecteurs qui l'ont suivi et ont obtenu des résultats presque incroyables, correspondant exactement à ceux rapportés dans les années 1960 et 1970.
Tout cela soulève une question simple : comment se fait-il que personne ne connaisse le DMSO, ni qu'un agent capable de réduire considérablement le besoin d'opioïdes ou d'éviter à des millions de personnes victimes d'AVC et de lésions de la moelle épinière une vie d'invalidité ?
En effet, face à la propagation rapide du DMSO aux États-Unis dans les années 1960, la FDA a changé d'avis et déclaré le DMSO dangereux sans preuve. Ce revirement, initialement motivé par la volonté de la FDA de ne pas avoir à traiter un flot de demandes d'autorisation de mise sur le marché de nouveaux médicaments, a ensuite été opéré pour préserver le statu quo et justifier ses nouveaux pouvoirs de police. Malgré des études approfondies sur l'innocuité du DMSO pour l'homme et de nombreuses audiences au Congrès en vue de sa légalisation, la FDA a continué pendant des décennies à le diaboliser, prétextant un manque de preuves de son efficacité (les effets caractéristiques du DMSO rendant impossibles les essais en aveugle). De ce fait, le DMSO n'est devenu disponible que des décennies plus tard, après que le public en eut assez de voir la FDA cibler les médicaments naturels et que la loi de 1994 sur les compléments alimentaires, la santé et l'éducation (Dietary Supplement Health and Education Act) a été promulguée (qui a privé la FDA de sa capacité à réglementer les médicaments naturels et à mener des descentes de police chez les fournisseurs). La guerre de la FDA contre la médecine naturelle
Peu avant les élections, RFK Jr. a fait ce que je considère comme l'une des déclarations les plus importantes de toute la campagne :
RépondreSupprimerCe tweet soulignait que, depuis des décennies, l'Association médicale américaine (AMA) fait tout son possible pour éliminer du marché les thérapies naturelles transformatrices qui concurrencent le monopole médical (par exemple, l'irradiation sanguine aux ultraviolets et les traitements alternatifs contre le cancer), et que la FDA lui emboîte le pas. Par exemple :
GHB : Dans les années 1990, un somnifère naturel révolutionnaire s'est répandu aux États-Unis et a guéri l'insomnie sans danger. La FDA l'a donc interdit. En revanche, les somnifères bloquent le sommeil réparateur (essentiel à la santé) et multiplient par deux à cinq le risque de décès.
Thérapie psychédélique : La psychothérapie assistée par MDMA est le seul traitement efficace existant pour les anciens combattants souffrant de TSPT, mais la FDA a tout de même bloqué son approbation malgré des essais cliniques « non contrôlés » convaincants (car il est impossible de réaliser des séances psychédéliques en aveugle). Les anciens combattants se font donc souvent soigner à l'étranger en raison des restrictions imposées par la FDA.
Traitement par chélation : Le traitement par chélation à l'EDTA (surtout à faible dose) est efficace pour la santé cardiovasculaire, mais la FDA l'a systématiquement ciblé, malgré les réticences des NIH à prouver son efficacité.
Cellules souches du sang de cordon ombilical : La réglementation de la FDA sous Biden et Peter Marks a rendu difficile l'offre de ce traitement révolutionnaire et a entraîné la fermeture des entreprises qui le fournissaient.
Lumière du soleil et santé : L'industrie dermatologique a diabolisé la lumière du soleil comme cause de cancers cutanés mortels, négligeant son importance pour la santé globale et la prévention du cancer. Des études montrent que les personnes qui évitent la lumière du soleil ont 60 à 130 % de risque de décès supplémentaire.
Lait cru : La FDA a continuellement ciblé les vendeurs de lait cru, malgré une demande importante, l'absence de preuve de son lien avec un risque accru de maladies microbiennes et des preuves de plus en plus nombreuses que la pasteurisation détruit les nutriments essentiels et crée des allergènes (voir plus loin ici). Remarque : la pasteurisation du lait le transforme également d’une substance augmentant le potentiel zêta en une substance qui l’altère (provoquant une congestion dans tout l’organisme).
Lait maternisé et huiles de graines : La loi de 1980 sur les laits maternisés s’est appuyée sur des données scientifiques obsolètes des années 1960 pour imposer l’inclusion d’huiles de graines problématiques dans les laits maternisés. La FDA cible donc les fabricants qui n’en incluent pas. Ces ingrédients contribuent à l’obésité infantile, car ils altèrent le métabolisme et favorisent une prise de poids rapide (malheureusement normalisée grâce aux courbes de croissance utilisées par les pédiatres).
RépondreSupprimerDissimulations de vaccins
Nombreux sont ceux qui ont été horrifiés d'apprendre que la FDA et les CDC ont systématiquement ignoré tous les signes possibles de dangerosité des vaccins contre la COVID, les imposant à un nombre croissant de personnes (par exemple, des enregistrements récemment divulgués montrent l'obstination du directeur de la division vaccins de la FDA à refuser de reconnaître les preuves présentées par un groupe de personnes vaccinées gravement blessées).
Cette grave trahison de la part de nos autorités a poussé beaucoup à se demander : « Comment une telle chose a-t-elle pu se produire ?» En réalité, cela n'est pas arrivé de nulle part. Il s'agissait simplement de l'intensification d'une tendance de longue date du gouvernement à imposer la commercialisation de vaccins qu'il savait dangereux et inefficaces.
Dissimulations et échecs de la FDA et des CDC concernant les vaccins :
Catastrophes vaccinales historiques : De nombreux problèmes liés aux vaccins ont été ignorés ou dissimulés par les autorités sanitaires, notamment de nombreux incidents mortels impliquant des « lots chauds ».
Problèmes liés au vaccin contre la polio : Dans les années 1950, un vaccin antipoliomyélitique défectueux, produit rapidement, contenait des virus vivants et a provoqué des paralysies. De plus, on a découvert plus tard que le vaccin contenait le virus SV-40, un virus cancérigène, qui n’a pas non plus été divulgué au public. Entre 40 et 98 millions d’Américains ont été exposés au virus SV-40, ce qui a entraîné une vague massive de cas de cancer.
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Remarque : Pour produire à grande échelle les vaccins d’urgence contre la COVID, un nouveau procédé de fabrication a été utilisé, ce qui a entraîné leur contamination par des plasmides bactériens dangereux, altérant l’ADN et contenant une partie du virus SV-40.
RépondreSupprimerÉchecs des vaccins contre la grippe : En 1945, un scientifique du gouvernement a découvert que les premiers vaccins contre la grippe étaient inefficaces et dangereux. Malgré cela, le scientifique a subi des représailles et les vaccins ont été mis sur le marché. Cela a conduit à une audience du Sénat en 1972 qui a retiré du marché 32 vaccins douteux.
Catastrophe du vaccin contre la grippe porcine (1976) : Le vaccin contre la grippe porcine, commercialisé malgré des preuves démontrant l’absence de risque, a provoqué des centaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, de paralysie et de décès. Comme pour les vaccins contre la polio, la FDA a été avertie par ses propres scientifiques que ces vaccins n’étaient pas sûrs, mais a néanmoins encouragé leur commercialisation. Cependant, l’incident s’est produit à une époque où 60 Minutes était disposé à consacrer un reportage sur cette catastrophe (qui présente de nombreux parallèles remarquables avec ce qui s’est passé pendant la COVID-19).
- voir clip sur site -
Syndrome de la guerre du Golfe : Pendant la guerre du Golfe, la FDA a levé les protections dont bénéficiaient les soldats contre les médicaments expérimentaux et les soldats américains en ont reçu de nombreux, dont un vaccin désastreux contre l’anthrax (qui, en raison de sa production « d’urgence » précipitée, a été contaminé). Une vague de maladies chroniques graves (syndrome de la guerre du Golfe) a suivi, touchant 250 000 anciens combattants (voir plus loin ici). Malgré cela, le vaccin est resté obligatoire pendant des décennies, jusqu'à son annulation par un tribunal en 2004.
Controverse sur le vaccin contre le VPH : Ce vaccin lucratif contre le VPH a été approuvé par la FDA malgré des signaux d'alerte tout au long des essais cliniques (par exemple, taux élevés d'auto-immunité, décès et risque de cancer du col de l'utérus – abordés plus en détail ici). Une fois commercialisé, il a provoqué une vague de blessures, mais la FDA et les CDC ont continué à le défendre et à le promouvoir sans relâche.
Autres autorisations de médicaments désastreuses :
RépondreSupprimerAntidépresseurs ISRS : La FDA a approuvé des ISRS comme le Prozac malgré le manque de preuves de leur efficacité et la gravité avérée de leurs effets secondaires, notamment des tendances suicidaires, un engourdissement émotionnel, des comportements violents et des fusillades de masse. Ces risques ont été dissimulés au public, malgré de nombreuses plaintes et poursuites judiciaires démontrant ultérieurement que ces dangers avaient été détectés lors des essais.
Médicaments contre la maladie d'Alzheimer : Une nouvelle classe de médicaments contre la maladie d'Alzheimer, malavisée et dont l'efficacité n'a pas été démontrée et qui a entraîné des effets secondaires dangereux comme un gonflement cérébral et des saignements chez 40 % des participants, a été approuvée par la FDA après avoir contourné le vote négatif d'un comité consultatif. La manipulation du processus d'approbation par l'agence a suscité des inquiétudes et entraîné une surveillance accrue.
Ozempic et médicaments pour la perte de poids : La FDA a également approuvé des médicaments pour la perte de poids comme Ozempic sans preuves suffisantes, en les promouvant agressivement malgré les inquiétudes quant à leur sécurité et leur efficacité à long terme. Cette promotion a conduit à sa commercialisation à grande échelle, même pour les enfants.
En résumé, la FDA a un historique établi d'approbation de vaccins et de médicaments dangereux et inefficaces, souvent en occultant les preuves et en protégeant les intérêts des entreprises au détriment de la sécurité publique.
Conclusion
À ce jour, j'ai vu diverses propositions visant à réformer la FDA, alternant entre sa réforme et sa suppression pure et simple.
À mon avis, les principaux dilemmes sont les suivants :
Ressources insuffisantes : Réglementer efficacement les aliments et les médicaments aux États-Unis est une tâche titanesque qui dépasse les capacités de la FDA.
Corruption et conflits d'intérêts : La FDA s'en remet souvent aux laboratoires pharmaceutiques pour les évaluations de sécurité des médicaments, ce qui conduit à un système de paiement à l'acte où l'approbation est influencée par les contributions financières plutôt que par l'intégrité scientifique.
RépondreSupprimerManque de responsabilité : Une fois qu'un médicament est approuvé, la FDA le révoque rarement, même lorsque des preuves de nocivité apparaissent.
Poursuites sélectives : La FDA cible les médicaments naturels car ils ne disposent pas des ressources nécessaires pour riposter comme les laboratoires pharmaceutiques, créant ainsi une façade (sans risque) de protection du public.
Les solutions proposées pour restructurer la FDA comprennent :
Lois sur les conflits d’intérêts : Loi annulant rétroactivement les votes ou les décisions des régulateurs ou des membres des comités d’experts ayant des liens financiers actuels ou futurs avec des entreprises pharmaceutiques.
Voies d’approbation distinctes : Créer deux systèmes d’approbation : l’un pour les médicaments conventionnels (axé uniquement sur la sécurité) et l’autre pour les thérapies alternatives dont la sécurité est prouvée mais l’efficacité est discutable.
Efficacité axée sur le marché : Laisser la demande du marché déterminer l’efficacité d’un médicament plutôt que de se fier uniquement à l’approbation de la FDA, car les consommateurs ont souvent une meilleure idée de ce qui fonctionne.
Implication du public : Impliquer le public et les systèmes d’IA dans l’examen de vastes ensembles de données patients (anonymisées) afin de contribuer à identifier les signaux d’alerte (souvent négligés).
Transparence de l’accès aux données : Rendre publiques les données des essais de médicaments afin de révéler les données frauduleuses ou incomplètes (par exemple, les essais du vaccin contre la COVID-19 étaient entachés de fraudes).
Révocation des approbations de médicaments : mettre en œuvre des mécanismes pour révoquer l’approbation des médicaments dangereux, notamment en autorisant les interdictions au niveau des États et en habilitant les tribunaux à retirer les médicaments nocifs du marché.
- voir clip sur site -
Auparavant, mettre en œuvre de telles idées était impossible, mais maintenant que des plateformes comme Twitter (𝕏) ont brisé l'emprise des médias de masse sur la démocratie et permis aux dirigeants désireux de changer les choses d'améliorer les choses, je crois que c'est possible (par exemple, le secrétaire Kennedy a récemment pris des mesures pour combler la faille GRAS et, comme indiqué ci-dessus, le commissaire Makary vient de supprimer la participation des représentants de l'industrie pharmaceutique aux comités d'approbation de leurs médicaments). Cependant, comme Wiley l'a prévenu avec clairvoyance, cela ne peut se faire que si le public s'implique activement – ce que le mouvement MAHA (et chacun d'entre vous) rend désormais possible !
RépondreSupprimerNote de l'auteur : Ceci est une version abrégée d'un article sur la guerre inadmissible de la FDA contre le DMSO (qui a déterminé le comportement de l'agence pour les décennies à venir), d'un article sur les désastres vaccinaux passés de la FDA et d'un article plus long qui détaille les points mentionnés ici ainsi que d'autres thérapies prometteuses que la FDA a mises sur liste noire (à lire ici).
https://www.midwesterndoctor.com/p/the-fdas-war-on-americas-health
Point de vue : Robert F. Kennedy Jr, l'homme le plus inefficace de l'administration Trump
RépondreSupprimer19 Avril 2025
Amanda Zaluckyj, AGDAILY*
C'est ainsi que cela commence. Cette semaine, le secrétaire d'État à la Santé et aux Services Sociaux, Robert F. Kennedy Jr, a lancé une vaste initiative visant à étudier les liens potentiels entre les toxines environnementales – telles que les pesticides, les additifs alimentaires et les moisissures – et les maladies chroniques telles que l'autisme.
Dans un discours prononcé dans l'Indiana, M. Kennedy a annoncé qu'il trouverait la « cause » de l'autisme d'ici au mois de septembre (ce qui est contraire au processus scientifique : on est censé partir d'une hypothèse, et non d'une conclusion). Cette approche agressive n'est pourtant pas surprenante, car M. Kennedy a longtemps accusé ces « toxines » d'être à l'origine de toute une série de problèmes de santé, sans qu'aucune preuve ne vienne étayer ses affirmations.
Mais il y a un hic : Nombre de ces questions ont déjà été posées – et des réponses y ont été apportées. Les scientifiques ont mené des recherches approfondies sur ces substances, notamment des études épidémiologiques, des analyses toxicologiques et des évaluations réglementaires. La loi fédérale sur les insecticides, les fongicides et les rodenticides (Federal Insecticide, Fungicide, and Rodenticide Act – FIFRA) exige un examen long et coûteux des pesticides avant qu'ils ne soient autorisés à être utilisés à des fins commerciales, ainsi que des évaluations régulières et de routine afin de garantir une sécurité permanente. Le système réglementaire n'est pas une plaisanterie. En moyenne, il faut plus de 11 ans pour que la matière active d'un nouveau pesticide passe de la découverte à la mise sur le marché, et cela coûte environ 286 millions de dollars.
Bien qu'aucun système ne soit parfait, ces études ont été examinées par des pairs, reproduites et, dans de nombreux cas, utilisées pour définir la politique de santé publique. Mais l'annonce de M. Kennedy donne vraiment l'impression qu'il veut revenir sur des acquis, bien qu'il ne puisse pas mettre en évidence de défauts méthodologiques dans les études scientifiques dont nous disposons déjà. Et il n'a aucune preuve que l'un ou l'autre de ses croquemitaines soit lié à une maladie chronique (M. Kennedy n'a pas mentionné les vaccins dans son discours, mais il a fait référence à des « médicaments »).
RépondreSupprimerS'il n'en tenait qu'à M. Kennedy, les contribuables paieraient la facture de la réouverture de toutes les études majeures sur la santé et la sécurité réalisées au cours des 50 dernières années. Nous rejetterions les données de l'EPA, de l'USDA, de la FDA et des CDC, non pas parce que la science est erronée, mais parce que M Kennedy n'aime pas ceux qui la soutiennent. Il créerait une utopie biologique où seuls les colporteurs de compléments alimentaires pourraient comprendre la vérité. Ce n'est pas de la précaution, c'est de la paranoïa.
On ne rejette pas une étude solide parce qu'elle a été financée par l'industrie, pas plus qu'on ne rejette la conception d'un pont parce qu'elle a été parrainée par une société d'ingénierie. Si les données sont vérifiées et que la méthode est solide, on va de l'avant. C'est ainsi que la santé publique progresse, et non en tournant en rond à chaque fois qu'un activiste radical invoque la « partialité ».
L'objectif de M. Kennedy nous fait reculer. Nous n'avons pas besoin d'étudier si les vaccins (ou ce qu'il entend par « médicaments ») causent l'autisme ; nous savons très bien que ce n'est pas le cas. Pourquoi diable gaspiller du temps, de l'argent et des ressources pour une telle enquête ? Les défis réels et actuels en matière de santé publique ne manquent pas et nécessitent une attention unifiée et volontaire.
Les visions de M. Kennedy et de M. Musk ne sont pas compatibles. Et il n'est pas nécessaire d'aimer l'un, ou bien l'autre, ou leurs méthodes, pour le reconnaître. Le mieux que nous puissions espérer, c'est peut-être que ces deux-là se battent.
________________
* Amanda Zaluckyj tient un blog sous le nom de The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui entoure l'industrie agroalimentaire américaine.
Source : Viewpoint: RFK Jr.: The most inefficient man in Trump's government
https://seppi.over-blog.com/2025/04/point-de-vue-robert-f.kennedy-jr-l-homme-le-plus-inefficace-de-l-administration-trump.html
SupprimerMr Kennedy (D !) n'est ni docteur et encore moins un scientifique !!
Mangez de la VIANDE ! Une étude révèle que les enfants ont besoin de plus de protéines animales pour survivre et se développer
RépondreSupprimer20/04/2025
Willow Toh
Une étude révolutionnaire révèle que les protéines animales sont essentielles à la survie et au développement des enfants, tandis que les protéines végétales favorisent la longévité des adultes de plus de 60 ans. Les nutriments essentiels des produits animaux (par exemple, protéines complètes, fer, zinc) favorisent la croissance des enfants, tandis qu'une alimentation végétale réduit les risques de maladies chroniques chez les personnes âgées.
Une analyse menée dans 101 pays (1961-2018) montre qu'un apport plus élevé en protéines animales réduit la mortalité infantile, mais qu'une réduction de la consommation de protéines animales à un âge plus avancé est corrélée à une espérance de vie plus longue. L'apport en matières grasses suit une tendance similaire : bénéfique pour les enfants, mais néfaste pour les personnes âgées.
Les jeunes ont besoin de protéines animales riches en nutriments pour leur croissance physique et cognitive, tandis que les organismes vieillissants bénéficient d'antioxydants végétaux, de fibres et d'une alimentation pauvre en graisses. La modélisation statistique a pris en compte les facteurs économiques et démographiques, renforçant ainsi les effets des protéines selon l'âge. L'étude préconise de modifier les sources de protéines à chaque étape de la vie, afin de concilier survie de l'enfant, santé vieillissante et durabilité environnementale.
Une étude révolutionnaire remet en question les idées reçues en matière de nutrition en révélant que l'apport optimal en protéines évolue radicalement avec l'âge. Publiées dans Nature Communications, des recherches menées par l'Université de Sydney concluent que les enfants ont besoin de plus de protéines animales pour survivre, tandis que les adultes de plus de 60 ans vivent plus longtemps avec une alimentation riche en protéines végétales. Ces résultats, basés sur des données recueillies dans 101 pays sur près de six décennies, soulignent la nécessité d'élaborer des recommandations alimentaires adaptées à l'âge, dans le cadre des efforts mondiaux de transition vers des systèmes alimentaires durables.
Besoins de l'enfance versus âge d'or
L'étude, menée par le Dr Alistair Senior et Caitlin Andrews, a analysé l'approvisionnement alimentaire et les données de mortalité de 1961 à 2018. Elle a révélé une tendance marquée selon l'âge : les jeunes enfants s'épanouissaient dans les régions où la disponibilité des protéines animales était plus élevée, ce qui était corrélé à des taux de mortalité plus faibles avant l'âge de cinq ans. Les nutriments essentiels présents dans les sources animales, tels que les protéines complètes, le fer et le zinc, contribuent à une croissance rapide et au développement immunitaire, ont noté les chercheurs.
« Au début de la vie, les protéines animales semblent jouer un rôle irremplaçable », a déclaré Senior. « Leur profil complet en acides aminés est essentiel pendant les phases de croissance physique et cognitive intense.» Ce constat s'est vérifié à l'échelle mondiale, y compris dans les pays en développement où la survie de l'enfant reste une priorité.
Au-delà de l'âge mûr, cependant, le paradigme nutritionnel évolue. Les adultes de plus de 60 ans vivant dans des pays où les sources de protéines végétales prédominent (légumes, noix et céréales), ont une espérance de vie plus longue. Ces régimes, associés à une consommation réduite de matières grasses, étaient associés à une réduction des risques de maladies chroniques comme les maladies cardiovasculaires. « En vieillissant, notre corps pourrait bénéficier davantage des fibres, des antioxydants et des divers micronutriments présents dans les sources végétales », a déclaré Andrews.
RépondreSupprimerDes données mondiales révèlent des décennies de tendances nutritionnelles
L'équipe de recherche a utilisé une modélisation statistique avancée pour contrôler les variables économiques, démographiques et temporelles, isolant ainsi les effets des sources de protéines sur la mortalité. Ils ont constaté qu'une réduction de la consommation de protéines animales après l'enfance était corrélée à une meilleure survie à l'âge adulte, tandis qu'un faible apport total en protéines nuisait à la santé à tous les âges.
Il est intéressant de noter que la consommation de graisses reflétait la tendance liée à l'âge : les régimes riches en graisses amélioraient la survie des enfants, mais aggravaient les résultats chez les personnes âgées. « Cela suggère que les priorités nutritionnelles ne se limitent pas aux protéines, mais s'alignent sur les changements métaboliques tout au long de la vie », a observé Senior.
Les données de l'étude, couvrant plus de 4 000 données par pays, année et sexe, ont mis en lumière des paradoxes au cœur des débats nutritionnels modernes. Par exemple, les pays riches dont la population vieillit pourraient durablement adopter une alimentation végétale sans compromettre la longévité. À l'inverse, les régions en développement qui luttent contre la mortalité infantile doivent veiller à ce que les protéines animales, comme les œufs et les produits laitiers, restent des aliments de base accessibles.
Équilibrer santé et durabilité
Ces résultats ont de lourdes implications pour la santé publique et les politiques environnementales. Alors que les préoccupations climatiques incitent à une transition mondiale vers une alimentation végétale, l'étude met en garde contre une approche universelle. Les pays doivent concilier objectifs écologiques et besoins nutritionnels spécifiques à chaque âge, en veillant à ce que les enfants reçoivent suffisamment de protéines animales tout en orientant les personnes âgées vers des options végétales.
« L'essentiel n'est pas d'éliminer la viande, mais de répartir stratégiquement les sources de protéines en fonction des étapes de la vie », a déclaré Andrews. Les pays en développement, par exemple, pourraient avoir besoin de subventions ou de programmes pour rendre les protéines animales abordables pour les populations vulnérables. Parallèlement, les pays riches pourraient encourager des politiques végétales adaptées aux régimes alimentaires des personnes d'âge moyen et des personnes âgées.
RépondreSupprimerCette recherche renforce également les appels à des politiques régionales spécifiques. Senior a souligné : « Dans les pays où les protéines végétales sont déjà répandues, comme le Japon ou l’Italie, nous constatons à la fois longévité et durabilité. Mais dans les régions qui dépendent d’exportations importantes de protéines animales, des transitions progressives et équitables sont nécessaires.»
Conclusion
Avec le vieillissement de la population mondiale et l’intensification des pressions environnementales, cette étude redéfinit la science de l’alimentation comme un parcours de toute une vie, où le rôle des protéines évolue de la nécessité à la durabilité. En alignant les systèmes alimentaires sur les besoins liés à l’âge, les décideurs politiques peuvent agir à la fois sur la santé publique et sur la santé planétaire. Comme l’a déclaré Senior : « Notre alimentation façonne non seulement notre espérance de vie, mais aussi la longévité de la planète. Cette recherche est un modèle pour y parvenir.»
Pour les consommateurs, le message est clair : soyez à l’écoute de votre corps. Tout comme les enfants se renforcent grâce aux protéines animales, les seniors peuvent trouver leur vitalité dans les plantes – un paradoxe de la longévité désormais ancré dans la science.
Sources include:
StudyFinds.org
Nature.com
PubMed.gov
https://www.naturalnews.com/2025-04-20-study-finds-children-need-to-eat-more-meat.html
La viande animale (comme celle des êtres humains) est composée 100 % de végétaux.
SupprimerAppliquer la loi « pollueur-payeur » à l’information : un enjeu de santé publique et de responsabilité
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 20 avril 2025 - 18:30
L’information comme chaîne binaire et ses impacts corporels
Dans un monde numérisé, l’information peut être vue comme une séquence binaire – une suite de 0 et de 1 – interprétée par le cerveau humain. Ce processus neurologique transforme les données en perceptions, croyances et, ultimement, en comportements. Si ces informations sont fausses ou biaisées, elles peuvent provoquer des réactions toxiques : défiance envers les institutions, refus de soins médicaux, ou actions violentes. Appliquer le principe « pollueur-payeur» à l’information vise à responsabiliser ceux qui diffusent de telles "pollutions" et à financer leur dépollution, en s’inspirant du modèle environnemental où les responsables d’un dommage assument ses coûts, comme stipulé dans les politiques européennes.
Ce 20 avril 2025 marque le 15e anniversaire de Deepwater Horizon, l'une des plus grandes catastrophes environnementales, dans le Golfe du Mexique. Avec des coûts de dépollution et d'indemnisation de plus de 65 milliards de dollars, elle illustre les enjeux de la pollution. La pollution informationnelle moderne engendre des conséquences avec des quantums bien supérieurs à celui de Deepwater Horizon. Par exemple, les 350 milliards du cout du conflit russo ukrainien pour les économies occidentales, sans prendre en considération les pertes humaines ou encore le cout mondial de la crise covid que le FMI a estimé en 2021 à 18 000 milliards d'euros sur les économies mondiales, devraient alerter tous les observateurs sur les dérives de la pollution informationnelle.
Une théorisation mathématique et économique basée sur la théorie des incitations est développée ainsi qu’un cadre juridique, et une illustration de cette idée avec des exemples concrets de pollution informationnelle comme la fraude scientifique Pradelle-Lega, le scandale RECOVERY, la désinformation sur l’origine du SARS-CoV-2, le conflit russo-ukrainien, et l’annonce récente du ministre de la Santé français.
Information fausse
RépondreSupprimerThéorie des incitations : formulation mathématique et économique
La théorie des incitations étudie comment les agents ajustent leurs comportements face à des récompenses ou des pénalités. Appliquée à l’information, elle suppose que les diffuseurs (médias, individus, institutions) adaptent leur production en fonction des coûts et des bénéfices perçus. Des études montrent que la désinformation, souvent motivée par des gains financiers ou politiques, prospère dans des environnements non régulés.
Des données récentes soulignent l’ampleur du problème en France : selon un sondage France-Soir/BonSens.org de mars 2025, 84 % des Français estiment que les médias exacerbent leurs peurs, 87 % ressentent une anxiété croissante liée à l’information, et 79 % jugent qu’il est presque impossible de distinguer le vrai du faux. Ces chiffres montrent l’urgence de réguler la diffusion d’informations toxiques.
Modélisation mathématique
Considérons une information I comme une chaîne binaire de longueur ( n ) (bits), interprétée par un individu avec une probabilité Pv d’être vraie et Pf=1−Pv d’être fausse. Le cerveau traduit I en une utilité U(I) , influençant un comportement B (B = behavior en anglais) . Si I est fausse, B peut devenir déviant, avec un coût social Cs
Fonction d’utilité pour le diffuseur : Ud=R−Cp où R est le revenu (clics, audience) et Cp le coût potentiel (sanction). Sans régulation, Cp =0 , incitant à maximiser ( R ) même avec des ( I ) fausses.
Coût social : Cs=α * N * Pf * D où alpha est la sensibilité moyenne au préjudice, ( N ) le nombre de personnes exposées, et ( D ) le dommage par individu (ex. refus vaccinal menant à une hospitalisation).
Avec le principe « pollueur-payeur », on impose Cp=k * Cs où ( k ) est un coefficient de pénalité (ex. k=1 pour une réparation totale). Le diffuseur ajuste alors son comportement pour minimiser Pf et maximiser Pv , réduisant la pollution informationnelle.
Modélisation
- voir schéma sur site -
2. Approche économique
RépondreSupprimerVoyons l’aspect économique de cette proposition. Afin de gérer la pollution informationnelle, il faut :
- Des incitations positives pour récompenser les diffuseurs vérifiant leurs sources (ex. subventions pour le fact-checking ou le journalisme collaboratif citoyen).
- Des incitations négatives visant à taxer les « pollueurs » proportionnellement à N et D, mesurés via des études d’impact (ex. portée sur réseaux sociaux, enquêtes publiques). Les fonds collectés financent la « dépollution » (campagnes correctives, éducation).
3. Rôle des algorithmes
Les algorithmes des réseaux sociaux, comme ceux de X ou de Youtube, amplifient la désinformation en priorisant les contenus répondants aux règles de la communauté ou viraux, souvent au détriment de leur véracité.
Par exemple, des posts relayant l’étude Pradelle-Lega ou des narratifs sur les « laboratoires biologiques » en Ukraine ont atteint des millions de vues grâce à ces mécanismes. Ces biolabs ont d’abord été traité de fausses informations pour petit à petit laisser la place à la vérité d’émerger, qu’il y avait bien des biolabs en Ukraine.
Intégrer les plateformes dans le cadre « pollueur-payeur » pourrait impliquer des amendes proportionnelles à la portée de contenus faux amplifiés, avec une obligation de modifier ces algorithmes pour privilégier des sources vérifiées.
Cadre juridique, « Tu pollues l’information, tu payes pour sa dépollution »
Un cadre juridique devrait s’inspirer des lois environnementales européennes en reposant sur ces principes :
La pollution informationnelle peut être définie comme : « toute diffusion d’une information fausse ou trompeuse, intentionnelle ou par négligence grave, ayant un impact mesurable sur la santé, la sécurité ou le bien-être social, comme observé lors de la « désinfodémie » Covid-19».
Identification des responsables : diffuseurs primaires (médias, auteurs) et secondaires (plateformes amplifiant le contenu).
Les mécanismes de sanction devraient inclure :
- Des amendes proportionnelles à la portée N et au préjudice D, calculées par une autorité indépendante.
- La réparation comme une obligation de financer des campagnes de rectification (ex. publicités ciblées sur X avec la vérité corrigée).
RépondreSupprimer- Des pénalités renforcées : en cas de récidive, amendes doublées et poursuites pour mise en danger d’autrui.
La mise en œuvre s’effectuerait au travers de la création d’une « Agence de dépollution informationnelle citoyenne » (ADIC), financée par les amendes, chargée d’évaluer Cs, de collecter les fonds et de coordonner les efforts de correction. L’ADIC pourrait s’appuyer sur des outils d’intelligence artificielle pour détecter les incohérences, comme dans le cas de l’étude Pradelle-Lega. Par exemple, si un média atteint 1 million de personnes avec une fausse information causant 1 000 hospitalisations (coût moyen : 5 000 €/cas), Cs=5 millions d'euros. Une amende de 5 millions d'euros est imposée, reversée à l’ADIC pour une campagne corrective.
Mise en place de garanties pour assurer la protection de la liberté d’expression via un seuil de preuve élevé (intention ou négligence avérée) et un droit de défense devant un tribunal spécialisé.
Éducation aux médias : les fonds collectés par l’ADIC pourraient financer des programmes d’éducation aux médias pour développer l’esprit critique des citoyens. L’OMS recommande des stratégies comme le « prebunking » pour prévenir la désinformation avant.
Ces programmes pourraient être déployés sur les réseaux sociaux pour contrer les narratifs toxiques, comme ceux du conflit russo-ukrainien.
Etude rétractée
Pollution informationnelle en science : le cas Pradelle-Lega et d'autres cas
L’étude Pradelle-Lega : 17 000 morts fictifs de l’hydroxychloroquine. Décrivons le processus en 4 points
Contexte : le 4 janvier 2024, une étude menée par Alexiane Pradelle, Jean-Christophe Lega et al., publiée dans Biomedicine & Pharmacotherapy, affirmait que l’hydroxychloroquine avait causé environ 17 000 décès dans six pays lors de la première vague de covid-19. Mathieu Molimard a promu cette étude dans les médias comme Sud Ouest, France Info, sans contradicteurs. Cependant, des études antérieures, comme celles de l’IHU Marseille, montraient un bénéfice à faible dose, soulignant la nécessité d’un débat équilibré.
Pollution : les médias mainstream comme Le Monde, L’Express, Libération, ont relayé cette conclusion sans vérification, atteignant des millions de personnes. L’étude reposait sur une modélisation erronée et trompeuses, démontrée fausse par BonSens.org, ainsi que par Vincent Pavan et Emmanuelle Darles. Elle fut rétractée le 22 août 2024.
Mesure de l’impact : la couverture initiale a gravé une fausse impression – l’hydroxychloroquine comme « tueuse » – tandis que la rétractation a été ignorée. Cela a renforcé la défiance envers un traitement potentiellement utile, influençant des comportements (ex. rejet par des patients).
RépondreSupprimerApplication « pollueur-payeur » : lLes auteurs (Pradelle, Lega, Molimard) et les médias diffuseurs auraient pu être taxés pour Cs (ex. coût des campagnes anti-Raoult amplifiées par cette désinformation), avec une amende reversée à une campagne de clarification.
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Mais, il y a pléthore d’autres exemples scientifiques
Le LancetGate (mai 2020) : une étude frauduleuse dans The Lancet a conduit à la suspension mondiale de l’hydroxychloroquine, rétractée 15 jours plus tard. La couverture médiatique massive a « pollué » les perceptions, sans correction équivalente. Cette affaire montre comment des revues prestigieuses peuvent devenir des « pollueurs » par négligence.
L’étude RECOVERY, un scandale mortel : cette étude britannique a testé l’hydroxychloroquine à des doses, évaluées comme toxiques, discréditant ce traitement. Publiée en juin 2020, elle a été relayée sans questionner sa méthodologie, contribuant à la méfiance et à des pertes de chances pour les patients. Appliquer le principe « pollueur-payeur » impliquerait de taxer les chercheurs et médias pour financer des campagnes sur les doses appropriées.
Désinformation sur l’origine du SARS-CoV-2. Dès 2020, l’hypothèse zoonotique du SARS-CoV-2 a été promue par les médias, gouvernements et l’OMS sans vérification rigoureuse, tandis que l’hypothèse d’une origine en laboratoire était marginalisée. Ceci lié avec la décrédibilisation des traitements précoces a laissé sa place au vaccin – en faisant prendre des risques importants à la population avec un produit expérimental. Des déclarations récentes, y compris de la Maison-Blanche, suggèrent une possible origine fabriquée. Cette pollution a eu des conséquences graves :
Pertes de chances : en discréditant l’hypothèse du laboratoire, des enquêtes sur les failles de sécurité ont été retardées.
Guerre des vaccins : la focalisation sur une origine naturelle a alimenté une course aux vaccins (ARNm) sans débat suffisant sur les risques, exacerbant la méfiance.
RépondreSupprimerApplication « pollueur-payeur » : les institutions, médias et politiques ayant promu l’hypothèse zoonotique sans preuves pourraient être taxées pour financer des enquêtes indépendantes.
Lableak
Pollution informationnelle en géopolitique : la guerre en Ukraine
L’information comme vecteur d’impact corporel : la désinformation, comme dans le conflit russo-ukrainien, induit des réactions déviantes (peur, violence) avec des conséquences toxiques. Cela a amplifié la méfiance envers l’aide à l’Ukraine et renforcé la polarisation.
Contexte : dès mars 2022, il est attribué à la Russie qu’elle a diffusé via RT et Sputnik une information alléguant que les États-Unis finançaient des laboratoires biologiques secrets en Ukraine. Relayée par Tucker Carlson (Fox News, 8 mars 2022) et des comptes sur X, cette affirmation a atteint des millions de personnes. Des enquêtes ont confirmé l’existence de laboratoires financés par les États-Unis, mais pour des recherches scientifiques, non des armes, une nuance souvent absente des débats.
Labo en ukraine
Pollution : le narratif, établi sur des documents falsifiés, a été démenti par le Département d’État américain (10 mars 2022) et l’Atlantic Council. Sa couverture massive (50 millions de vues) a semé la peur et la méfiance envers l’aide occidentale.
Impact non corrigé : la rétractation, peu médiatisée, n’a pas atteint l’audience initiale. Une étude IFOP (2022) montre que 17 % des Européens doutaient de la responsabilité russe, un chiffre amplifié par la désinformation.
Perspective alternative sur les origines du conflit : Luc Ferry soutient que l’Ukraine a contribué aux tensions dès 2014 par des actions provocatrices dans le Donbass, exacerbant le conflit. Cette vision nuancée met en lumière la nécessité de « dépolluer » les narratifs des deux camps.
La propagande sur la guerre russo-ukrainienne et le plan REARM
RépondreSupprimerDepuis 2022, les deux camps ont inondé le monde d’informations biaisées. La Russie parle d’une « opération spéciale », tandis que des récits occidentaux simplifient les événements pour justifier le REARM. Cette propagande a des effets concrets : peur, nationalisme, et soutien à des politiques coûteuses sans débat nuancé
La pollution informationnelle, c’est-à-dire la diffusion de fausses informations ou de narratifs biaisés ayant un impact négatif sur les populations, pourrait être mesurée à travers plusieurs indicateurs :
Volume de désinformation : Nombre de publications (articles, posts sur X, vidéos) contenant des informations fausses ou trompeuses, détectées par des outils de fact-checking comme ceux de l’EU Disinfo Lab ou de l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire.
Portée et viralité : analyse de l’audience touchée (vues, partages, mentions) sur les réseaux sociaux et médias traditionnels, en utilisant des métriques comme l’engagement ou la propagation via des bots et comptes inauthentiques.
Impact cognitif : sondages mesurant la croyance du public en des narratifs spécifiques (ex. : en France, un sondage IFOP de mars 2022 a montré que plus d’un Français sur deux adhérait à au moins une thèse de la propagande russe).
Indice de polarisation : évaluation de la division des opinions publiques (via analyse sémantique des commentaires en ligne ou études sociologiques) causée par des récits contradictoires.
Coût de la dépollution : estimation des ressources nécessaires pour contrer la désinformation (campagnes publiques, éducation aux médias), en termes financiers et humains.
REARM
L’annonce du ministre de la Santé : une pollution informationnelle institutionnelle ?
Le 18 avril 2025, le ministre de la Santé français, Yannick Neuder, a annoncé le lancement d’une « politique publique de lutte contre la désinformation » dans un article publié par L’Express.
Cette annonce, bien qu’apparemment louable, soulève des questions sur sa sincérité et son impact, notamment lorsqu’elle est relayée par un média connu pour sa contribution à la pollution informationnelle. L’Express a été critiqué à plusieurs reprises pour discréditer les voix alternatives et relayer des narratifs biaisés, notamment pendant la crise Covid-19.
Une annonce paradoxale, car Yannick Neuder, cardiologue et ancien député, avait lui-même dénoncé en 2022 l’inefficacité des vaccins covid-19 et les politiques de santé coercitives, plaidant pour la réintégration des soignants non vaccinés.
RépondreSupprimerSon revirement, désormais ministre, semble opportuniste, surtout lorsqu’il affirme qu’il n’existe pas d’outils pour sanctionner la désinformation, malgré l’article 223-1-2 du Code pénal qui punit jusqu’à 3 ans de prison la propagation de fausses informations médicales dangereuses.
Cette contradiction, relayée par L’Express illustre une forme de pollution institutionnelle : des déclarations d’autorité visant à surpolluer l’espace informationnel pour discréditer les voix dissidentes, comme France-Soir, accusé d’être « dangereux pour la santé » sans preuves solides qui sera évoqué prochainement dans une analyse complète.
Discrédit par arguments d’autorité. Cette stratégie de discrédit, qui utilise des arguments d’autorité pour marginaliser les médias alternatifs, contribue à la « surpollution informationnelle ». En qualifiant France-Soir de « dangereux » sans démontrer de lien direct entre ses publications et des dommages concrets, les autorités et leurs relais médiatiques cherchent à étouffer le débat. Ils appliquent un lien causal sans preuve, liens qu’il refuse aux victimes des effets secondaires de la vaccination covid.
Cette pratique, dénoncée par France-Soir, empêche une réelle « dépollution » et renforce la méfiance des citoyens, déjà élevée : 61 % des Français estiment que la science est manipulée par les politiques et les médias, selon le sondage France-Soir/BonSens.org.
Application du principe « pollueur-payeur ». Dans ce cas, le ministre et L’Express pourraient être considérés comme des « pollueurs » pour leur rôle dans la diffusion d’un narratif biaisé.
Une amende proportionnelle à l’audience de l’article (estimée à plusieurs centaines de milliers de vues) pourrait financer des campagnes éducatives sur les lois existantes contre la désinformation et sur le rôle des médias alternatifs dans le pluralisme.
L’information, comme chaîne binaire interprétée par le corps humain, peut devenir une arme toxique si elle est fausse. Appliquer la loi « pollueur-payeur » via une approche mathématique, économique et juridique offre une réponse pragmatique.
Les cas Pradelle-Lega, RECOVERY, et la désinformation sur l’origine du SARS-CoV-2 illustrent le besoin de responsabiliser les diffuseurs pour protéger la santé publique. L’annonce du ministre Neuder, relayée par L’Express, montre comment même les initiatives officielles peuvent contribuer à la pollution informationnelle, surtout dans un contexte où 84 % des Français estiment que les médias exacerbent leurs peurs.
Un slogan s’impose : « Tu pollues l’information, tu payes pour la dépollution » :
RépondreSupprimerLa propagande russo-ukrainienne façonne perceptions, économies et sociétés. La perspective de Luc Ferry rappelle que les responsabilités sont partagées, nécessitant une « dépollution » des narratifs biaisés. Mesurer son impact exige des outils comme l’IA, tandis que ses conséquences touchent des millions de vies.
La question reste : comment dépolluer cet espace sans tomber dans une contre-propagande biaisée ? L’information est une arme – il est temps de responsabiliser ceux qui l’empoisonnent.
https://www.francesoir.fr/societe-economie-justice-sante-science-tech/appliquer-la-loi-pollueur-payeur-l-information-un-enjeu
Suppression de l’abattement fiscal envisagé pour les retraités
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 21 avril 2025 - 10:09
Face à une dette publique record, mais surtout face à un déficit qui ne cesse de se creuser, toutes les options sont bonnes pour les membres de l’exécutif, quitte à ne pas tenir leurs promesses. Contrairement au ministre de l’Économie, Éric Lombard, qui a écarté la semaine dernière toute hausse d’impôts, la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, met la suppression de l’abattement fiscal dont bénéficient les retraités sur la table. La proposition est saluée par le Conseil d’orientation des retraites et le Medef, mais critiquée par certains députés.
En 2024 et selon l’Insee, le déficit public s'est ainsi établi à 5,8 % du PIB, soit 169,6 milliards d’euros. Un chiffre qui représente une déroute eu égard aux 5,4 % enregistrés en 2023 et aux 4,7 % de 2022. Toujours selon l’Insee, au quatrième trimestre de l’année dernière, la dette publique a atteint 3305,3 milliards d’euros, soit 113 % du PIB. Un nouveau record avec près de 4 milliards d’euros de plus, après avoir déjà dépassé les 3 300 milliards d’euros au trimestre précédent.
“Ce n’est pas l’âge, mais les moyens”
Peu après cette annonce, le ministère de l’Économie alertait sur la situation. “Ce n’est pas une bonne nouvelle, c’est un déficit trop élevé. C'est pourquoi nous devons le réduire”, a-t-il affirmé, évoquant un “enjeu de souveraineté”. Pour lui, “il est hors de question d’augmenter les impôts. L’accent sera mis sur les économies et sur une éventuelle augmentation des recettes liées à la croissance”.
Cette déclaration visait à rassurer les ménages et les entreprises suite aux discussions concernant l’abandon de la contribution différentielle sur les hauts revenus, qui impose un taux minimal de 20 % d'impôt sur le revenu pour les contribuables les plus aisés et dont le rendement, après son maintien par le gouvernement Bayrou pour 2025, est annoncé autour de 2 milliards d'euros.
"Je souhaite que cette contribution soit pérenne pour les personnes ayant de hauts revenus ou de hauts patrimoines ou les deux [...] C'est une question d'équité, nous demandons beaucoup d'efforts à tous [...] ce signal de solidarité me semble nécessaire", a expliqué le ministre.
Cet effort devrait aussi concerner les retraités. Dans une interview accordée au journal Le Parisien, la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, a révélé ne pas écarter la possibilité de supprimer l’abattement fiscal pour les retraités, abattement de 10 % sur leurs revenus annuels qui leur permet de réduire leur déclaration.
Elle a précisé que “dans le cadre du conclave” sur les retraites, les “partenaires sociaux regardent l’ensemble des sujets”, y compris “les avantages pour les retraités”. “Je pense, à titre personnel, qu’on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement”, estime-t-elle. De son avis, “ce n’est pas votre âge qui doit définir votre contribution, mais aussi les moyens dont vous disposez”.
RépondreSupprimerQue peut impliquer une telle mesure ? Introduit en 1978, l’abattement fiscal pour les retraités avait pour objectif de mettre à égalité ces derniers avec les actifs. Une suppression de cet abattement entraînerait alors l’augmentation de l’impôt sur le revenu à payer pour certains et un changement de situation pour ceux qui ne sont pas imposables actuellement et qui pourraient le devenir.
Le Medef favorable, l’UNSA Retraités bien moins
Le président du Conseil d’orientation des retraites (COR), Gilbert Cette, s’était déjà dit, en janvier, favorable à la suppression de cet abattement fiscal. Le président du Medef, Patrick Martin, est du même avis. “Qu’un retraité bénéficie d’une exonération fiscale pour des frais professionnel, pour 4 milliards et demi d’euros par an, c’est contre-nature et aberrant”, a-t-il déploré.
Mais l’UNSA Retraités rappelle que “l’abattement de 10 % appliqué à la fiscalité des retraités n’a rien à voir avec la déduction fiscale pour frais professionnels” et sa suppression “augmenterait la contribution fiscale de 8,4 millions de retraités, soit la moitié de l’ensemble des retraités et, dans cette moitié, tous ne sont pas riches”.
Le député du Loiret et porte-parole du Rassemblement national, Thomas Ménagé, se dit “profondément choqué parce que ça va à l'encontre de tout ce qui a été dit. On nous a promis 'pas de hausse d'impôts', au final, ça va être 500 000 retraités qui vont être imposés, ça va être 8,5 millions de retraités qui vont voir leur impôt augmenter de facto. Ce ne sont pas que des retraités riches", a-t-il déclaré.
https://www.francesoir.fr/societe-economie/suppression-de-l-abattement-fiscal-envisage-pour-les-retraites
Si un 'réfugié climatique' a 65 ans lors de son entrée en France, il touche sans avoir cotisé ! 'sa' retraite !!!
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