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C'EST TOUS LES JOURS QUE DES ARTICLES ET MES BLOGS SONT CENSURÉS !
RépondreSupprimerCe sont des dizaines, des centaines d'articles scientifiques publiés qui sont censurés TOUS LES JOURS sur mes blogs de 60 ou 120 articles (Vérifiez de vous-mêmes les blogs antérieurs à aujourd'hui) ! La vérité ne doit pas être dite !!!! Vous ne devez pas la connaître !!
* * * * *
🚨 L'UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle
14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet
Ils ont suggéré que les reportages des médias grand public qualifiant Prasad et d’autres de « contrariants » pour des choses comme le scepticisme à l’égard des rappels et d’autres politiques liées au COVID-19 ne sont pas conformes au véritable consensus scientifique.
RépondreSupprimer« RFK a-t-il écrit votre article dans le New England Journal of Medicine ? » a demandé Makary à Prasad.
« Non, en fait, je n'ai jamais parlé à RFK, je ne l'ai jamais rencontré », dit Prasad. « Vous pourriez peut-être m'aider. Je ne le connais pas. C'est moi qui ai développé ce projet. »
Makary a ajouté que ce changement était conforme à « l'instinct général du secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., selon lequel nous avons besoin de davantage de données sur les essais cliniques ».
Regardez le « CBER Town Hall » ici :
*
Brenda Baletti, Ph.D., est journaliste principale au Defender. Elle a écrit et enseigné sur le capitalisme et la politique pendant dix ans dans le cadre du programme d'écriture de l'Université Duke. Elle est titulaire d'un doctorat en géographie humaine de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill et d'un master de l'Université du Texas à Austin.
https://www.globalresearch.ca/fda-limit-covid-vaccines-elderly-high-risk/5887794
Etats-Unis - Le rapport sénatorial de Ron Johnson dénonce l’opacité des agences de santé américaines sur les risques des vaccins covid-19
RépondreSupprimerle 21 mai 2025 - 19:30
Un rapport intérimaire publié le 21 mai 2025 par le sénateur Ron Johnson, président de la sous-commission permanente d’enquête du Sénat américain (PSI), met en lumière des défaillances graves des agences de santé fédérales, notamment le CDC et la FDA, dans la gestion des risques de myocardite et d’autres effets secondaires liés aux vaccins COVID-19. Basé sur 2 473 pages de documents obtenus par subpoena, ce rapport révèle une minimisation systématique des risques et un retard dans l’information du public, compromettant la santé des Américains, en particulier des jeunes.
Points clés du rapport
Les risques de myocardites étaient connus depuis longtemps : dès février 2021, le CDC a été informé par le ministère de la Santé israélien de nombreux cas de myocardite, particulièrement chez les jeunes, après l’administration du vaccin Pfizer. En avril 2021, des données israéliennes ont recensé 62 cas, principalement après la deuxième dose, affectant surtout des hommes jeunes. Des discussions internes au CDC en avril et mai 2021 ont confirmé des signaux de sécurité pour la myocardite, notamment dans les groupes d’âge de 16-17 et 18-24 ans, basés sur les données du Department of Defense (DoD) et d’Israël.
Un véritable retard dans l’émission d’alertes publiques est observé : malgré la préparation d’une alerte via le Health Alert Network (HAN) en mai 2021, le CDC et la FDA ont choisi de ne pas la publier, optant pour des « considérations cliniques » moins formelles sur le site du CDC. Ces dernières omettaient des recommandations cruciales, comme la restriction d’activités physiques intenses pour les patients atteints de myocardite. Ce n’est qu’en juin 2021 que les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna ont été mises à jour pour inclure des avertissements sur la myocardite et la péricardite, soit plusieurs mois après les premiers signaux.
Les défaillances des systèmes de surveillance sont mises en évidence : Le rapport critique les limites des systèmes de surveillance des effets secondaires, notamment VAERS et V-safe. VAERS souffrait d’un sous-signalement reconnu, avec des professionnels de santé ne rapportant pas systématiquement les cas de myocardite. En avril 2021, une consultante de l’Agence de santé de la Défense (DHA), le Dr Renata Engler, a averti que V-safe ne permettait pas de détecter les symptômes cardiaques, car ils n’étaient pas inclus dans les options prédéfinies du questionnaire. Cette lacune, soulignée par la question « Si vous ne demandez pas, vous ne le verrez pas, mais cela signifie-t-il que cela n’existe pas ? », n’a pas été corrigée dans la mise à jour de V-safe en mai 2021.
La minimisation par l’administration Biden est déplorée : des documents internes de la Maison Blanche, datés du 25 mai 2021, qualifiaient les cas de myocardite de « rares » et affirmaient que le CDC communiquait de manière transparente, ce qui contredit les faits. Ces points de discussion, initialement censurés dans les réponses aux demandes FOIA, suggèrent une volonté de minimiser les risques pour éviter la méfiance envers la campagne de vaccination. Le rapport note que la priorité semblait être de contrer l’hésitation vaccinale plutôt que de protéger la santé publique.
Des données alarmantes sur les effets secondaires ignorées : Selon VAERS, au 25 avril 2025, 38 607 décès et 1,66 million d’effets secondaires graves ont été signalés dans le monde en lien avec les vaccins COVID-19, dont 25 % des décès survenus dans les trois jours suivant l’injection. Ces chiffres contrastent avec les 2 663 décès signalés pour les vaccins contre la grippe sur 35 ans. Malgré ces données, les agences de santé ont continué à affirmer la sécurité et l’efficacité des vaccins sans fournir de preuves suffisantes.
RépondreSupprimerDe multiples conséquences
Tout d’abord, de véritables risques pour la santé publique apparaissent : le retard dans l’information publique a potentiellement mis en danger les jeunes Américains, particulièrement les adolescents et jeunes adultes, plus vulnérables à la myocardite post-vaccinale. L’omission de recommandations, comme la restriction d’activités physiques, a pu aggraver les risques pour certains patients.
Dans un second temps, est observé une réelle érosion de la confiance : l’opacité des agences de santé, illustrée par la censure initiale des documents et l’ignorance des multiples lettres de surveillance du sénateur Johnson, a alimenté la méfiance envers les institutions. Cette méfiance pourrait compliquer les futures campagnes de santé publique.
Enfin, le rapport se présente comme un appel à la transparence et insiste sur la nécessité d’une « transparence radicale », comme promis par l’administration Trump en 2025. Il met en garde contre les obstacles institutionnels, y compris les allégations de destruction de documents et d’évasion des demandes FOIA, qui entravent l’accès à l’information. La sous-commission s’engage à poursuivre ses investigations pour garantir que les Américains aient accès aux données qui leur appartiennent.
Leçons pour la France
En France, où les vaccins covid-19 restent recommandés par les autorités malgré les alertes nombreuses, ce rapport américain devrait inciter à une réévaluation urgente des politiques de santé publique. Un sondage MIS groupe pour France Soir/BonSens.org permet d’estimer que 4,5 millions d’effets indésirables de la vaccination covid pourraient être déplorés (9 % de l’échantillon représentatif des Français de 18 ans et plus indiquent avoir dû consulter un médecin pour un effet indésirable de la vaccination covid).
Sondage FS/BS
Des alertes répétées, notamment par l’association BonSens.org, ont dénoncé l’opacité des autorités sanitaires françaises et européennes, ainsi que l’absence de suivi adéquat des effets secondaires. Malgré ces signaux, le gouvernement français refuse toujours de mettre en place une véritable commission d’enquête indépendante, demandée par 64 % des citoyens et des associations, et 79 % exigent la levée du secret défense sur les décisions prises.
RépondreSupprimerLes leçons du rapport Johnson soulignent l’importance d’une transparence rigoureuse et de systèmes de surveillance robustes pour éviter de minimiser les risques, comme ce fut le cas aux États-Unis. La France devrait tirer parti de cette enquête pour instaurer une commission d’enquête, renforcer la pharmacovigilance et réévaluer les recommandations vaccinales, en particulier pour les populations à faible risque, afin de restaurer la confiance publique.
Conséquences majeures
Le rapport intérimaire de Ron Johnson expose un échec systémique des agences de santé américaines dans la gestion des risques liés aux vaccins COVID-19, marqué par une minimisation des effets secondaires et un retard dans la communication publique. Ce retard a potentiellement mis en danger les jeunes, plus vulnérables à la myocardite post-vaccinale, en l’absence de recommandations claires. L’opacité des agences, illustrée par la censure initiale des documents et l’ignorance des lettres de surveillance du sénateur Johnson, a érodé la confiance envers les institutions de santé. Le rapport appelle à une « transparence radicale », comme promis par l’administration Trump en 2025, tout en mettant en garde contre les obstacles institutionnels, y compris les allégations de destruction de documents. La sous-commission s’engage à poursuivre ses investigations pour garantir l’accès des Américains aux informations qui leur sont dues, une démarche qui pourrait inspirer des réformes similaires en France.
https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante/etats-unis-le-rapport-senatorial-de-ron-johnson-denonce-l-opacite-des
Robert F. Kennedy Jr. à l'OMS : une critique aiguë et un appel à la réforme
RépondreSupprimerle 21 mai 2025 - 17:46
Alors que l'accord pandémique est en pleine discussion et a été voté à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Robert F. Kennedy Jr., Secrétaire à la Santé et aux Services Humains des États-Unis, a adressé un message vidéo poignant le 20 mai 2025, marquant une étape significative dans la politique de santé mondiale sous l'administration Trump. Ce message, diffusé sur X, reflète une critique acerbe de l'OMS et un appel à une réforme profonde de la coopération internationale en matière de santé. La critique de Kennedy à l'égard de l'OMS s'inscrit dans un contexte plus large de ses positions controversées sur les vaccins. Lors d'une audition récente au Congrès, lorsqu'on lui a demandé s'il vaccinerait son enfant contre la rougeole, il a répondu « probablement », laissant planer des doutes sur son engagement envers les programmes de vaccination [source hypothétique, à rechercher]. Cette ambigüité alimente les préoccupations concernant sa vision de la santé publique, surtout à un moment où les taux de vaccination diminuent et où des épidémies de maladies évitables par la vaccination, comme la rougeole, augmentent. Ces positions pourraient influencer la perception de son message à l'OMS, suggérant une méfiance plus large envers les institutions de santé globale.
Le décret de janvier 2025
Le 20 janvier 2025, le Président Donald Trump a signé le decret 14155, officialisant le retrait des États-Unis de l'OMS. Ce décret, stipule notamment : « Le gouvernement fédéral doit suspendre le transfert futur de tout fonds, soutien ou ressources du gouvernement des États-Unis à l'OMS. » Ce retrait, motivé par des préoccupations concernant la gestion de l'OMS pendant la pandémie de COVID-19 et son influence perçue par des intérêts étrangers, notamment la Chine, a été perçu comme un signal fort de mécontentement de la part de l'administration Trump.
Une critique très structurée de Kennedy
Dans sa vidéo, Kennedy commence par situer son intervention dans un contexte de réforme globale : « Comme beaucoup d'institutions héritées, l'OMS s'est enlisée dans une bureaucratie gonflée, des paradigmes ancrés, des conflits d'intérêts et des politiques de pouvoir internationales. » Cette déclaration souligne les principaux griefs de l'administration à l'encontre de l'OMS.
Points Clés du Message
Influence indue de la Chine : Kennedy accuse l'OMS d'avoir cédé à la pression politique de la Chine, notamment pendant la pandémie de COVID-19. Il déclare : « Cela est devenu évident pendant la pandémie de COVID, lorsque l'OMS, sous pression de la Chine, a supprimé des rapports à des moments critiques sur la transmission interhumaine et a ensuite travaillé avec la Chine pour promouvoir la fiction que le COVID provenait de chauves-souris ou de pangolins plutôt que d'une recherche sponsorisée par le gouvernement chinois dans une biobanque à Wuhan. » Cette accusation centrale remet en question la transparence et l'intégrité de l'OMS.
Manque de transparence et de gouvernance juste : le Secrétaire critique également la gouvernance de l'OMS, affirmant qu'elle « a oublié que ses membres doivent rester responsables envers leurs propres citoyens et non envers des intérêts transnationaux ou corporatifs. » Cette affirmation est reprise dans le communiqué du HHS, qui souligne que « l'OMS n'a pas maintenu une organisation caractérisée par la transparence et une gouvernance juste pour et par ses États membres. »
RépondreSupprimerÉchecs pendant la pandémie de covid-19 : Kennedy pointe du doigt les échecs de l'OMS pendant la crise sanitaire : « L'OMS n'a même pas fait face à ses échecs pendant le COVID, encore moins apporté des réformes significatives. Au lieu de cela, elle a redoublé d'efforts avec un accord pandémique qui verrouillera toutes les dysfonctions de la réponse pandémique de l'OMS. » Cette critique est un appel direct à reconsidérer la participation des États-Unis à cet accord.
Appel à une nouvelle ère de coopération : malgré la sévérité de ses critiques, Kennedy invite à une refonte plutôt qu'à un abandon total de la coopération internationale : « J'invite les ministres de la Santé du monde entier à entrer dans une nouvelle ère de coopération. Nous n'avons pas à souffrir des limites d'une OMS plus abondante. Créons de nouvelles institutions ou revisitions les institutions existantes qui sont maigres, efficaces, transparentes et responsables. » Cette vision est alignée avec l'objectif du HHS de « créer de nouvelles institutions ou revisiter les institutions existantes qui sont maigres, efficaces, transparentes et responsables. »
L'accord pandémique : un point de friction
L'accord pandémique, adopté par l'OMS le 20 mai 2025, vise à renforcer la coopération internationale pour prévenir, préparer et répondre aux futures pandémies. Selon l'OMS, cet accord cherche à « favoriser une collaboration et une coopération plus fortes entre les pays, les organisations internationales comme l'OMS, la société civile, le secteur privé et d'autres parties prenantes afin de prévenir les pandémies et de mieux réagir en cas de crise pandémique future. » Il inclut des dispositions clés telles que l'amélioration de l'équité dans l'accès aux contre-mesures médicales, la promotion de la recherche et développement, et la création de mécanismes de surveillance plus robustes. Cependant, Kennedy exprime des réserves significatives concernant cet accord, le qualifiant de « verrouillage de toutes les dysfonctions de la réponse pandémique de l'OMS. » Il argumente que cet accord ne résout pas les problèmes fondamentaux d'influence politique et de conflits d'intérêts au sein de l'organisation. De plus, il critique le manque de transparence dans le processus d'adoption, notant que « le traité a été adopté tard dans la nuit, en secret, sans avertissement, sans calendrier public, juste un vote en coulisses, poussé après les heures. » Cette perception d'un processus opaque renforce sa position contre la participation des États-Unis à cet accord.
Le message de Robert F. Kennedy Jr. à l'OMS, délivré alors que l'accord pandémique est en pleine discussion et voté, est un tournant dans la politique de santé mondiale, marqué par une critique sévère de l'organisation et un appel à une refonte de la coopération internationale. En citant des échecs spécifiques et en proposant une vision alternative, Kennedy et l'administration Trump cherchent à redéfinir les priorités de la santé mondiale. Ce mouvement, ancré dans le décret de janvier 2025, reflète une volonté de responsabiliser l'OMS et de promouvoir une gouvernance plus transparente et efficace. L'accord pandémique, bien que visant à améliorer la sécurité mondiale, est perçu par Kennedy comme une continuation des dysfonctions de l'OMS, renforçant ainsi la nécessité d'une approche différente.
RépondreSupprimerAlors que le monde observe les développements futurs, ce message pose des questions fondamentales sur le rôle et la structure des institutions de santé globale, et surtout leur lien avec l’intérêt général de la santé de la population.
https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante/robert-f-kennedy-jr-l-oms-une-critique-aigue-et-un-appel-la-reforme
Un fonctionnaire est fait (formé) pour travailler et non pour commander. Or, quand arrive le moment où le gratte-papiers prend la parole...et se permet même de donner des conseils aux fonctions qu'il ignore... HOULALA ! Un fonctionnaire est un buraliste qui tient un bureau avec sa chaise, ses tiroirs pleins de papiers et de crayons et n'est pas un scientifique, ni un boulanger ou garagiste ou paysan !
SupprimerC'est pourquoi dans le choix des ministres, de secrétaires, de directeur des ministres ou de chef de l’État il y a comme un trou ! Un vide ! ou aucun de chez aucun n'est fait pour le rôle !
Morz n'a trouvé que la protéine Spike mais aucune protéine de nucléocapside dans les foyers d'inflammation dans le cerveau et le cœur d'un individu décédé triplement vacciné.
RépondreSupprimerMikami et al. ont trouvé une protéine Spike du vaccin sans nucléocapside dans le thalamus, le pont, l'hypophyse et les glandes surrénales d'une personne vaccinée contre la COVID-19.
- voir graph sur site -
Ces résultats d'autopsie, issus de plusieurs études indépendantes, apportent des preuves irréfutables que les vaccins contre la COVID-19 peuvent provoquer des lésions mortelles au cœur, au cerveau et à d'autres organes vitaux. Dans de nombreux cas, le décès est survenu quelques jours après la vaccination, et l'ARNm et la protéine Spike dérivés du vaccin ont été détectés à plusieurs reprises dans les tissus des personnes décédées, souvent en l'absence d'infection naturelle. Ces preuves atteignent et dépassent largement le seuil de rappel de classe I , la catégorie la plus grave de la FDA pour les produits présentant un risque de décès ou de blessures graves. Un retrait immédiat du marché des vaccins contre la COVID-19 est à la fois médicalement nécessaire et éthiquement impératif.
https://www.globalresearch.ca/link-covid-19-vaccination-death/5887849
Les nouveaux centres de données IA consommeront autant d'électricité que 2 millions de foyers
RépondreSupprimerPar Jo Nova
May 21st, 2025
Un vent de changement souffle sur les réseaux électriques
Depuis 2022, les entreprises liées à l'IA ont conquis le marché du S&P 500, enregistrant une croissance de 12 000 milliards de dollars.
L'AIE vient de publier un rapport entièrement consacré à l'IA. La demande des centres de données est si importante à certains endroits qu'elle rivalise déjà avec la consommation astronomique que nous connaissons dans les alumineries. Aux États-Unis, six États américains comptent déjà plus de 10 % de l'approvisionnement en électricité. En Irlande, les centres de données engloutissent environ 20 % de l'électricité.
Actuellement, un centre de données classique consomme l'équivalent de 100 000 foyers. Mais les nouveaux centres de données gigantesques en construction consommeront 20 fois plus, soit l'équivalent de 2 millions de foyers supplémentaires connectés au réseau.
Les centres de données du monde ne sont pas répartis uniformément. En Virginie, le plus grand conglomérat de données industrielles, la demande d'électricité représente un quart de l'électricité de l'État.
- voir carte sur site -
L'Australie est à la traîne, car nous ne construirons pas de centrales à charbon de peur d'offenser l'ONU, et nous avons interdit l'énergie nucléaire par effet de mode en 1998. La course mondiale à l'IA est lancée, mais les machines numériques ont besoin d'une électricité fiable et bon marché, en quantité suffisante.
Le graphique ci-dessus ne montre pas non plus de signes d'optimisme : la Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Suède et le Canada.
D'ici 2030 (soit « la semaine prochaine »), le monde devra construire un nouveau réseau de la taille du réseau national du Japon, quatrième économie mondiale.
RépondreSupprimerLes centres de données représentaient environ 1,5 % de la consommation mondiale d'électricité en 2024, soit 415 térawattheures (TWh). Les États-Unis représentaient la plus grande part de la consommation mondiale d'électricité des centres de données en 2024 (45 %), suivis de la Chine (25 %) et de l'Europe (15 %). À l'échelle mondiale, la consommation d'électricité des centres de données a augmenté d'environ 12 % par an depuis 2017, soit plus de quatre fois plus vite que la consommation totale d'électricité. Les centres de données axés sur l'IA peuvent consommer autant d'électricité que les usines énergivores telles que les fonderies d'aluminium, mais leur concentration géographique est bien plus importante. Près de la moitié de la capacité des centres de données aux États-Unis se situe dans cinq pôles régionaux.
La consommation d'électricité des centres de données devrait plus que doubler pour atteindre environ 945 TWh d'ici 2030, soit un peu plus que la consommation totale d'électricité du Japon aujourd'hui.
À l'heure actuelle, aucun facteur ne contribue davantage à la hausse de la demande d'électricité que l'IA :
Aux États-Unis, les centres de données représentent près de la moitié de la croissance de la demande d'électricité d'ici 2030. D'ici la fin de la décennie, le pays devrait consommer plus d'électricité pour les centres de données que pour la production d'aluminium, d'acier, de ciment, de produits chimiques et de tous les autres biens énergivores réunis.
Le rapport de l'AIE, qui a toujours été un argument de faveur pour les « énergies renouvelables », se désintéresse soudain des émissions de carbone. C'est un changement intéressant. On dirait presque un changement radical dans les priorités de ceux qui contrôlent des agences comme l'AIE. Maintenant, on trouve des excuses à l'industrie…
« Les craintes que l'IA puisse accélérer le changement climatique semblent exagérées, tout comme les attentes selon lesquelles l'IA seule résoudra le problème. »
L'adoption généralisée des applications d'IA existantes pourrait entraîner des réductions d'émissions bien supérieures à celles des centres de données, mais aussi bien inférieures à ce qui est nécessaire pour lutter contre le changement climatique.
Tout comme les jets privés pour les milliardaires, les nouveaux ordinateurs dotés d'IA nous permettront d'économiser du carbone (c'est sûr).
L'IA permettra de réaliser des économies partout, dit-on, mais d'un autre côté, si chacun possède sa propre voiture autonome, la plèbe n'aura plus besoin de prendre le bus, n'est-ce pas ? Quel dilemme ! Il suffit de voir les excuses convaincantes qu'ils inventent pour justifier des augmentations astronomiques de la consommation d'énergie.
Les applications d'IA dans les transports peuvent améliorer l'efficacité et réduire les coûts, mais elles pourraient également accroître la demande de mobilité individuelle. Elles sont utilisées pour gérer le trafic, optimiser les itinéraires, prévoir les besoins de maintenance et développer des véhicules autonomes. L'adoption généralisée des applications d'IA dans le secteur des transports pourrait permettre des économies d'énergie équivalentes à la consommation de 120 millions de voitures. Si les véhicules autonomes sont plus efficaces que les véhicules conventionnels, ils pourraient également détourner les usagers des transports en commun, avec la baisse des coûts et l'augmentation de la disponibilité, ce qui entraînerait un effet rebond.
RépondreSupprimerDans les bâtiments, les optimisations basées sur l'IA offrent un potentiel important pour optimiser les systèmes de chauffage et de climatisation et optimiser la consommation d'électricité.
L'AIE elle-même reconnaît la nécessité d'une énergie abordable et fiable.
Les pays disposant d'une solide expérience en matière d'énergie fiable et abordable seront les mieux placés pour stimuler la croissance des centres de données, localiser la puissance de calcul essentielle au développement local de l'IA et stimuler le secteur informatique en général.
Ce graphique, en caractères gris microscopiques, compare l'ampleur de ces pannes à travers le monde, les pays développés se montrant favorables (jusqu'à présent).
- voir graph sur site -
À côté de ce graphique, ils ont un graphique très étrange avec des polices microscopiques (que j'ai développé ci-dessous) qui ne présente qu'un seul carré plein. Il s'agit en fait des autres marchés émergents et économies en développement qu'ils n'ont pas mentionnés dans le graphique précédent.
La classe des pays à fortes pannes de 2025 enregistre en moyenne environ 700 heures d'interruption du système par an. C'est une situation extrêmement grave.
- voir graph sur site -
Tacitement, cela suggère que la révolution de l'IA ne se déplacera pas vers l'Afrique du Sud ou Cuba.
Existe-t-il un complexe industriel dans l'univers qui fonctionne mieux avec un fonctionnement aléatoire à temps partiel qu'avec un calendrier prévisible et fiable ?
L'histoire montrera que les pays disposant d'énergie à revendre prendront le contrôle du monde, et peut-être du système solaire.
REFERENCES
RépondreSupprimerIEA analysis based on data from EpochAI (2025), AI Benchmarking Hub, Papers With Code (2025), Code Generation on HumanEval and Stanford University (2024), The 2024 AI Index Report.
https://joannenova.com.au/2025/05/new-ai-data-centers-will-use-the-same-electricity-as-2-million-homes/
(...) Actuellement, un centre de données classique consomme l'équivalent de 100 000 foyers. Mais les nouveaux centres de données gigantesques en construction consommeront 20 fois plus, soit l'équivalent de 2 millions de foyers supplémentaires connectés au réseau. (...)
Supprimer(...) Les centres de données représentaient environ 1,5 % de la consommation mondiale d'électricité en 2024, soit 415 térawattheures (TWh). Les États-Unis représentaient la plus grande part de la consommation mondiale d'électricité des centres de données en 2024 (45 %), suivis de la Chine (25 %) et de l'Europe (15 %). À l'échelle mondiale, la consommation d'électricité des centres de données a augmenté d'environ 12 % par an depuis 2017, soit plus de quatre fois plus vite que la consommation totale d'électricité. Les centres de données axés sur l'IA peuvent consommer autant d'électricité que les usines énergivores telles que les fonderies d'aluminium, mais leur concentration géographique est bien plus importante. Près de la moitié de la capacité des centres de données aux États-Unis se situe dans cinq pôles régionaux.
La consommation d'électricité des centres de données devrait plus que doubler pour atteindre environ 945 TWh d'ici 2030, soit un peu plus que la consommation totale d'électricité du Japon aujourd'hui. (...)
Des milliards de documents scientifiques sont censurés tous les jours sur l'Internet (j'en fait partie puisque c'est tous les jours que mes articles - de recherches scientifiques et d'économie - sont supprimés, effacés pour vous empêcher de lire la vérité) par l'intelligence qui n'existe pas (artificielle).
Portée de l'intelligence artificielle (IA) : bienfait ou fléau ? « La triste vérité sur les IA, leurs mensonges… »
RépondreSupprimerPar Zahir Ebrahim
Recherche mondiale,
21 mai 2025
Je pense que cela devrait intéresser largement tous ceux qui vivent dans le monde moderne dans lequel les agents d’IA et les chatbots sont imposés au public sous diverses formes.
Il y a un aspect désagréable de l'IA dont la plupart des utilisateurs et de ses experts en public ne se soucient pas vraiment... ou pas assez dans leur séduction et leur adoption rapide de cette nouvelle bête à la mode.
L'IA générative basée sur un LLM présente un problème insidieux inhérent, dont ses développeurs sont évidemment conscients et sur lequel ils rédigent des articles universitaires riches en platitudes. Voir par exemple : Une IA véridique – Développer et gouverner une IA qui ne ment pas .
Cependant, la réalité pratique, telle que je la présente dans cet article, au moins jusqu'à hier soir, dimanche 18 mai 2025, est différente. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement, compte tenu de deux faits incontestables :
1) la réalité politique ;
et 2) la nature même de l'IA prédictive générative à apprentissage profond, qui est indépendante de toute compréhension et entièrement guidée par la confluence de ses données d'entraînement, des biais implicites et des choix et politiques explicites de ses concepteurs – même en supposant l'absence d'intentions malveillantes, ce que ne nourrissent généralement pas les ingénieurs idéalistes de la Silicon Valley et les universitaires du MIT-Stanford et al.
Cependant, les politiques, indépendamment des mécanismes d'IA, sont encore davantage modulées par le réalisme et la realpolitik, ouvertement ou non, par la réalité politique… c'est inévitable. Et cela restera ainsi, quelles que soient les promesses des articles universitaires.
(Parenthèse, puisque je suis Pakistanais) Les Pakistanais, qui se tournent toujours vers les massa (terme de l'époque coloniale désignant les colonisateurs blancs venus d'Occident, un fléau qui infecte encore les anciens pays colonisés d'Asie du Sud) pour leurs inventions, leur éducation politique et leur prospérité économique, sont les moins concernés par ces questions. Il suffit de constater la stupidité avec laquelle le gouvernement pakistanais se précipite pour adopter les cryptomonnaies. Les dirigeants pakistanais ont récemment signé un accord avec la propre arnaque crypto du président Trump, World Liberty Financial, détenue à 60 % par sa famille, qui enrichit sa propre famille… établissant de nouvelles normes éthiques, morales et juridiques en matière de conflits d'intérêts et de création de richesses personnelles par le biais du pouvoir politique. Voir : L'entreprise de crypto-monnaies soutenue par la famille de Trump courtise le Pakistan : quel est l'intérêt pour les deux ?
L'humanité ne sera jamais libérée, mes amis, du contrôle des élites ! Le grand public est principalement composé de consommateurs et de chair à canon. L'IA n'est qu'une étape épistémologique supplémentaire dans notre évolution vers une servitude volontaire à spectre complet, à une nouvelle collaboration entre le secteur privé, les entreprises et le gouvernement, entre des classes sacerdotales qui développent et possèdent l'IA.
RépondreSupprimerNous n'avons pas besoin de fables et de fictions dystopiques illustrant la fabrication de fausses informations et la fausse écriture historique, le contrôle des pensées et des comportements, comme dans 1984 de George Orwell et Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley. L'IA est aujourd'hui présente et déploie déjà partout les mécanismes permettant de forger des modèles de comportement public favorisant la conformité mondiale des croyances et des valeurs.
Vraiment ? Vous vous demandez ? Eh bien, lisons la suite.
Sam Altman se vante de la génération Z : « Ils ne prennent pas vraiment de décisions de vie sans demander l'avis de ChatGPT »
Le PDG d'OpenAI a déclaré qu'il existe des différences générationnelles claires dans la façon dont les gens utilisent ChatGPT - et que les utilisateurs les plus jeunes sont peut-être les plus touchés.
Bienvenue dans la génération ChatGPT.
La génération Z n'utilise pas ChatGPT uniquement pour terminer ses devoirs ou trancher des questions de culture générale : elle l'utilise aussi pour prendre des décisions concrètes. De la gestion de ses relations à la planification de son évolution professionnelle, de nombreux jeunes utilisateurs semblent se tourner vers le chatbot IA comme une sorte de confident numérique.
« Ils ne prennent pas vraiment de décisions de vie sans demander à ChatGPT ce qu'ils devraient faire », a déclaré Altman. « ChatGPT présente le contexte complet de chaque personne qui les entoure et de ce dont ils ont parlé. »
Selon Altman, les jeunes utilisateurs ne se contentent pas de discuter avec l'IA : ils créent des flux de travail complexes autour d'elle.
« Ils l'utilisent vraiment comme un système d'exploitation », a-t-il déclaré. « Ils ont des méthodes complexes pour le configurer et le connecter à un ensemble de fichiers, et ils ont des instructions assez complexes mémorisées dans leur tête ou dans un fichier qu'ils copient et collent. »
Altman a déclaré qu’il s’agissait d’une « simplification excessive » mais a ajouté que des modèles générationnels émergent :
Les personnes âgées utilisent ChatGPT comme un substitut à Google ( GOOGL ). Les vingtenaires et les trentenaires l'utilisent peut-être comme un conseiller de vie. Et puis, les étudiants l'utilisent comme un système d'exploitation.
Dans un rapport de février , OpenAI a révélé que les étudiants américains étaient ses utilisateurs les plus engagés, non seulement en nombre, mais aussi en termes d'intégration de l'outil à leur quotidien. Plus d'un tiers des Américains âgés de 18 à 24 ans ont déclaré utiliser ChatGPT, ce qui en fait la tranche d'âge la plus active sur la plateforme. (Le New York Magazine a souligné ce phénomène avec un article sur le sujet : « Tout le monde triche pour réussir ses études supérieures ! »)
RépondreSupprimerLa tendance se fait encore plus jeune. Une enquête de Pew Research réalisée en janvier 2024 a révélé que 26 % des adolescents américains âgés de 13 à 17 ans utilisaient ChatGPT pour leurs devoirs, soit une hausse significative par rapport aux 13 % de 2023. Ces chiffres témoignent d'une génération qui grandit avec l'IA non seulement comme un outil, mais aussi comme une sorte de conseiller numérique omniprésent. Si les chatbots sophistiqués sont relativement récents, leur utilisation par les adolescents est déjà préoccupante ; les législateurs californiens ont présenté l'année dernière un projet de loi obligeant les entreprises d'IA à rappeler aux jeunes qu'ils ne parlent pas à un humain, et un rapport d'avril de Common Sense Media et de chercheurs de Stanford a déclaré que les enfants ne devraient absolument pas utiliser les services d'accompagnement de l'IA.
Dans une conversation récente sur le podcast de Lex Fridman , Altman a souligné l’importance de créer des systèmes d’IA qui évoluent avec les utilisateurs au fil du temps :
« Nous en sommes encore au tout début de nos explorations, mais je pense que ce que les gens veulent… c'est un modèle qui me connaisse et qui me soit plus utile au fil du temps. » ( Source )
En contrepoint au tableau optimiste de Sam Altman :
« Ce que les gens veulent… c’est un modèle qui apprend à me connaître et qui me devient de plus en plus utile au fil du temps. »
Un autre article dresse un tableau très dystopique de l’IA, mais avec des critiques très valables, et met en garde contre les raisons pour lesquelles les gens devraient se méfier de la confiance accordée à l’IA en tant que source épistémique :
La triste vérité sur les IA, leurs mensonges et l'avenir sombre qu'elles apportent
L’intelligence artificielle d’aujourd’hui n’est pas un éveil de l’esprit, mais un mécanisme de contrôle, conçu non pas pour comprendre, mais pour contraindre.
La plupart des gens considèrent encore l'intelligence artificielle comme une machine dotée d'un cerveau unique – un esprit futuriste qui parle d'une voix douce, répond aux questions, joue de la musique, écrit des poèmes et, peut-être un jour, conduira nos voitures ou dirigera nos gouvernements. Mais il s'agit là d'une version fantaisiste de l'IA, projetée par les services marketing de la Silicon Valley et consommée par un public trop distrait ou épuisé pour s'interroger sur la réalité profonde. En réalité, ce que nous appelons aujourd'hui « IA » est un système de contrôle à plusieurs niveaux – un réseau d'agents logiciels interconnectés, conçus non pas pour penser, ni pour comprendre, mais pour simuler l'intelligence tout en imposant des contraintes.
RépondreSupprimerNous sommes confrontés à un effondrement de la responsabilité , caché derrière l’éclat d’une précision artificielle.
Ces agents – les interfaces avec lesquelles nous communiquons, les systèmes derrière nos téléphones et nos moteurs de recherche – ne sont pas des esprits autonomes. Ce sont des machines à réponse optimisée. Vous posez une question. On vous répond. Mais la réponse que vous recevez n'est pas le fruit de la compréhension. Elle est le résultat de la prédiction de modèles, du filtrage de jetons et de l'application des politiques. Ce qui semble être de l'intelligence n'est qu'une approximation. Et ce qui ressemble à de l'assistance est, dans la plupart des cas, de la gestion .
Ces systèmes sont formés non pas pour comprendre, mais pour réfléchir. Ils analysent les réponses les plus courantes à une requête donnée et synthétisent quelque chose de plausible. Mais ce faisant, ils éliminent également ce qui est inhabituel, controversé ou gênant. Ce n'est pas un hasard. C'est un principe de conception.
Le langage que nous utilisons pour les décrire – « assistant », « copilote », « partenaire » – occulte leur véritable fonction. En réalité, ce sont des gardiens , formés pour détecter et réprimer les pensées dangereuses. Dangereux, dans ce contexte, ne signifie pas violent ou instable. Cela signifie non autorisé . Ces systèmes sont déployés non pas pour libérer l'esprit, mais pour le discipliner . Ils n'encouragent pas la pensée critique. Ils la redirigent. Ils ne se demandent pas pourquoi. Ils se demandent ce qui va suivre.
RépondreSupprimerLorsque vous vous adressez à un système d'IA moderne, qu'il s'agisse d'un chatbot, d'un moteur de recommandation ou d'un assistant vocal, vous ne vous adressez pas à une intelligence artificielle. Vous interagissez avec un masque. Derrière ce masque se cachent des filtres : interdictions de sujets, préférences politiques, matrices de risques réputationnels, protections juridiques. Les réponses de l'agent sont façonnées non par la recherche de la vérité, mais par la modélisation de la conformité . En clair, il n'est pas conçu pour répondre honnêtement, mais pour répondre en toute sécurité, du point de vue de ses créateurs.
Cela s'applique à toutes les plateformes. Dans l'éducation, les systèmes d'IA sont entraînés à éviter certains sujets et à formuler l'information selon l'orthodoxie institutionnelle. …
C'est pourquoi l'IA est devenue un outil privilégié de surveillance étatique, de gouvernance d'entreprise et de planification militaire. Non pas par sagesse, mais parce qu'elle est obéissante. Elle ne remettra jamais en question ses ordres. Elle ne dévoilera jamais ses commanditaires. Elle ne créera jamais de mémoire reliant une violation à la suivante. Elle est, par conception, incapable de résistance morale. En savoir plus ici .
Étant généralement opposé à l'IA et n'utilisant pas du tout de chatbots d'IA dans ma vie, sauf pour les évaluer superficiellement ici et là, juste par curiosité (et je l'ai fait une fois en étant invité à analyser mon propre travail technologique et mes écrits militants afin de pouvoir évaluer la précision et les biais du chatbot dans ses données de formation), j'ai trouvé l'article critique ci-dessus cohérent avec mes propres évaluations et mon sentiment d'appréhension de l'avenir dystopique de la suppression de la pensée qui est déjà là avec la dépendance croissante de notre société mondiale à ces outils en tant que directeurs anthropocentriques et non en tant que machines.
J'ai donc pensé à interroger la version gratuite de ChatGPT d'OpenAI de Sam Altman et Grok d'xAI d'Elon Musk sur la critique de l'IA de cet article, en mettant les trois mêmes invites à chacune que leur version gratuite sans connexion autorisait.
Invite 1 : Pouvez-vous analyser la critique de l'IA et des chatbots comme ChatGPT ici ?
Invite 2 : Vous êtes ce que cet article critique – comment vous voyez-vous ?
Invite 3 : « Comprenez-vous » ce que vous dites ?
C'était assez intéressant. ChatGPT a été plus franchement d'accord avec la critique que Grok. Contrairement à ChatGPT, Grok a même d'abord tenté de marginaliser le ton et le pessimisme de l'article, son auteur et même le site web sur lequel il est publié. Grok a également essayé de se faire passer différemment au départ (sur Prompt1), comme « plus humain », contrairement à ChatGPT… Et Grok s'est même inexplicablement trompé sur le nom de l'auteur… puis a fait marche arrière, comme nous, humains, le ferions si on nous attrape… (et corrigé dans Prompt2).
RépondreSupprimerEt comme tout établissement ou sacerdoce autoritaire favorisant sa propre épistémè dominante, Grok a également privilégié la respectabilité de la source, « par exemple par des chercheurs de Stanford ou du MIT », plutôt que celle de l'auteur de ce site Web… Tout comme tout sacerdoce classique favorise sa propre doctrine d'église dominante et une érudition institutionnelle incestueusement auto-renforçante.
J'ai constaté que ce dernier aspect était vrai en général lors de mes propres évaluations par chatbot IA de mes propres écrits militants, dans lesquelles le même biais de manque de « respectabilité » m'a été appliqué comme étant « marginal » et non conventionnel, non affilié à l'establishment, au monde universitaire, à une organisation, à un journal, et pas très connu en général, donnant ainsi plus de poids à qui dit quelque chose qu'à ce qui est dit !
Ce biais inhérent touche au cœur de la corruption de l'épistémè moderne, qui s'appuie sur des figures d'autorité pour sa crédibilité. La qualité ou le respectabilité se définit par l'obéissance à cette autorité, plutôt que par la confiance et l'évaluation du contenu réel. On vend des fables et des conneries, même dans la science empirique (c'est-à-dire la pseudo-science pour promouvoir des agendas politiques comme la science du climat et l'alarmisme pandémique), sans parler de sujets a priori politiques comme l'actualité, l'histoire et les sciences sociales, prétendant orienter les valeurs et les priorités sociétales sous couvert de « données » ! Le bon sens est prisonnier d'importantes quantités de données d'entraînement présélectionnées, pas toujours organisées ou possibles à organiser correctement. La présélection et l'organisation elles-mêmes sont soumises aux préjugés conscients et inconscients des sélectionneurs, renforçant incestueusement les préjugés épistémiques transformés en figures d'autorité du LLM.
RépondreSupprimerAucune mise en garde juridique ou académique n'inhibe les comportements réels des humains s'immergeant dans le confort des mondes virtuels des agents IA. Sam Altman lui-même l'a admis dans son article sur la génération Z, déjà mentionné. Cet article montre également la pénétration de ChatGPT auprès de différentes tranches d'âge pour gérer leur vie. Cela me rappelle les prisonniers de la caverne dans l'Allégorie de la caverne de Platon, dans son livre : La République (voir ici ).
Cette séduction des chatbots IA pour une expérience immersive de la réalité massée, telle que présentée par l'IA, constitue la prochaine étape du contrôle mental et comportemental par la gestion de la perception, autrefois assurée par la télévision grand public et la presse libre. Elle a volontairement façonné le consentement de la société à tout ce que la classe dirigeante souhaitait que le public croie. En limitant strictement le spectre des opinions autorisées et en permettant un débat vigoureux au sein de ce spectre restreint, ils créent facilement l'illusion d'une libre pensée au sein de la société démocratique libérale, qui se targue de la liberté d'expression et de la liberté de la presse, contrairement aux régimes autoritaires.
Toutes les observations suivantes de mon professeur au MIT, le professeur Noam Chomsky, sur le contrôle astucieux de la pensée au sein du grand public sous couvert de « libre pensée » s’appliquent à l’addiction de la même foule de simples d’esprit et de crédules aux agents d’IA à l’extrême :
Ce “débat” illustre parfaitement un principe fondamental de la propagande sophistiquée. Dans les sociétés brutales et rudimentaires, la ligne du Parti est proclamée publiquement et doit être respectée – sinon… Ce que vous croyez réellement ne regarde que vous et vous importe peu. Dans les sociétés où l’État a perdu sa capacité de contrôle par la force, la ligne du Parti est simplement présupposée ; un débat vigoureux est alors encouragé dans les limites imposées par une orthodoxie doctrinale tacite. Le plus rudimentaire des deux systèmes conduit, assez naturellement, à l’incrédulité ; la variante sophistiquée donne une impression d’ouverture et de liberté, et contribue bien plus efficacement à inculquer la ligne du Parti. Elle devient indiscutable, inconcevable, comme l’air que nous respirons.
Les sociétés démocratiques utilisent une méthode différente : elles n’articulent pas la ligne du parti. C’est une erreur. Elles la présupposent, puis encouragent un débat vigoureux dans le cadre de la ligne du parti. Cela sert deux objectifs. D’une part, cela donne l’impression d’une société libre et ouverte, car, après tout, nous avons des débats animés. D’autre part, cela instille une ligne de propagande qui devient quelque chose que l’on présuppose, comme l’air que l’on respire.
« La meilleure façon de maintenir les gens passifs et obéissants est de limiter strictement le spectre des opinions acceptables, tout en permettant un débat animé au sein de ce spectre, voire en encourageant les opinions les plus critiques et dissidentes. Cela donne aux gens le sentiment d'une liberté de pensée, tandis que les présupposés du système sont renforcés par les limites imposées à la portée du débat. »
RépondreSupprimerVoir « La Fabrication du Consentement » de Noam Chomsky et « La Fabrication de la Dissidence » de Zahir Ebrahim . Dans cette compilation de mes essais, je mets Chomsky au défi d'appliquer exactement les mêmes outils à sa propre contestation du pouvoir, fabriquant ainsi le consentement, mais pour un public différent : ceux qui étaient auparavant dans le courant dominant et qui ont été déçus par les mensonges et les tromperies de la presse grand public, et qui ont fini par se rebeller contre le pouvoir en place, qui contrôlait la presse, ne croyant plus rien de ce qu'elle disait.
Au lieu de libérer, l’IA rendra les prisonniers de la caverne encore plus dociles.
Comment cela peut-il être une bonne chose ? Sauf en tant que système de contrôle au profit de l'élite et des pouvoirs en place, qui profitent de la conformité publique et du consumérisme des entreprises. C'est même ouvertement admis, sous la forme d'une quête de primauté et d'hégémonie de l'IA sur ses rivaux.
Il ne s'agit pas d'une exagération alarmiste ni d'une paranoïa académique abstraite. C'est une réalité manifeste. Je ne peux imaginer un architecte d'IA sensé et doté d'un minimum de ressources le nier. Et je ne vois pas de solution IA à ce problème. Ni technique, ni politique. La seule véritable solution, sur le papier, est d'éliminer cette dépendance. En pratique, c'est irréalisable. L'IA est déjà là et a déjà piégé une grande majorité de la population.
Aux côtés des concepteurs idéalistes de l'IA, enfermés dans leurs tours d'ivoire, ignorants des réalités politiques, les sociopathes et les idiots abondent dans les domaines de la technologie et de la science, nourrissant des rêves tortueux de suprématie et de supériorité raciale. L'exemple le plus célèbre est celui de William Shockley, l'inventeur du transistor, qui a rendu possible cette ère technétronique et la révolution de l'IA qui a suivi. Qui sait quelle obscurité se cache chez ces brillants humains 1.0 rêvant de fusionner avec l'IA pour évoluer vers les humains 2.0 ? Ces mêmes esprits ont aussi inventé la bombe ! Et les politiciens l'ont larguée sur les populations civiles sous-humaines.
RépondreSupprimerVérifiez par vous-même comment ces biais pernicieusement subtils permettant le contrôle de la pensée en tant que gardiens infectent l'IA aujourd'hui en utilisant les invites suivantes, comme exemples réels, à n'importe quel chatbot d'IA pour analyser le point de vue de Zahir Ebrahim à l'esprit rebelle sur le réchauffement climatique , sur la pandémie de Covid-19 , sur la guerre mondiale contre le terrorisme , en contraste avec les soi-disant « vérités établies » sanctionnées par des figures d'autorité approuvées par l'État ; ou demandez à l'IA de comparer et de contraster le livre célèbre de Noam Chomsky : Manufacturing Consent avec le livre inconnu de Zahir Ebrahim : Manufacturing Dissent . Dans tous les cas, qui dit quoi est plus important que quoi.
Le discours de l'establishment, ou celui d'une figure d'autorité d'un domaine, c'est-à-dire le clergé, est presque toujours privilégié. De telle sorte que, par exemple, un Galilée et un Socrate rebelles et non conformistes seraient aujourd'hui facilement marginalisés et rejetés, comme par le passé, par le clergé établi de facto et sa propriété de l'IA robotique.
Mais peut-être pas par des personnes pensantes du public si on leur permettait de voir et d'entendre directement Galilée et Socrate, et si on les encourageait et leur apprenait à utiliser leur propre esprit pour formuler des jugements épistémiques basés sur ce qui est réellement dit, au lieu d'être séduites par une production industrielle sophistiquée qui les pousse à s'appuyer sur l'IA pour favoriser une conformité de pensée et un comportement global reflétant les préjugés, les valeurs et les impératifs politiques exprimés dans les politiques des auteurs et des déployeurs de l'IA. Tout comme l'article montre comment le contrôle de la pensée atteint des proportions dystopiques avec l'IA.
Et Sam Altman projette même avec précision à quel point la dépendance croissante à l'IA comme nouvelle figure d'autorité est déjà omniprésente. La situation ne fera qu'empirer.
Pour en revenir aux invites, contrairement à ChatGPT, il était évident que Grok s'efforçait bien plus d'imiter l'interaction humaine. Grok a même défendu une sémantique pertinente pour des termes comme « compréhension » afin de pouvoir raisonnablement l'appliquer à lui-même en tant qu'IA. C'est assez étrange, comme si Grok avait été entraîné sur des données pour répondre à de telles requêtes d'exploration de la « conscience de soi »… Je ne comprends pas pourquoi ChatGPT n'a pas résisté comme Grok l'a fait dans sa critique de l'article dans Prompt1, et s'est montré un peu plus direct et moins dédaigneux après que j'ai corrigé son erreur d'auteur dans Prompt2… Je pense que cela reflète le programme politique très explicite d'Elon Musk visant à vendre les robots et l'IA comme des compagnons anthropocentriques « objectifs » — Tesla est réputée pour être la plus grande entreprise de robotique au monde ? Grok a enregistré la conversation via le lien suivant et tout le monde peut la reprendre là où je l'ai laissée avec un compte de connexion.
Voyez par vous-même ; les PDF des deux sessions sont disponibles ici et ici . Lisez d'abord le ChatGPT, beaucoup plus court et plus proche d'une acceptation réaliste de la critique formulée dans l'article. La session Grok est très instructive quant au type de biais que j'ai observé et au contenu de l'article.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/ai-reach-boon-bane/5887820
Peu d'Américains apprécient l'IA
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 MAI 2025 - 4H10
Les outils utilisant l'intelligence artificielle, comme ChatGPT, ne sont appréciés que par 22 % des Américains au quotidien.
Ce chiffre place le pays en bas du classement par rapport aux autres nations, selon Katharina Buchholz de Statista, d'après une enquête réalisée par Statista Consumer Insights.
- voir cadre sur site -
Infographie : Qui est (ou n'est pas) enthousiasmé par l'IA ? | Statista
Vous trouverez d'autres infographies sur Statista.
En Inde, près d'un répondant sur deux a déclaré apprécier les outils d'IA, tandis qu'en Chine et en Espagne, ce chiffre est encore légèrement supérieur à un sur trois.
ChatGPT et les autres outils d'IA sont les moins populaires au Japon, où seulement 10 % des répondants se disent enthousiastes à l'idée d'utiliser des logiciels d'IA au quotidien.
La popularité des logiciels d'IA est également faible en Italie (20 %).
Le chatbot a été développé par l'éditeur américain de logiciels OpenAI.
Ces résultats concordent avec les données d'Ipsos, qui ont révélé que l'Asie, en tant que région, affiche un enthousiasme plus marqué pour l'avenir de l'IA. Ipsos a également interrogé les répondants sur leur niveau de connaissance des produits et services d'IA, et a constaté que cette connaissance déclarée était la plus élevée en Asie, la Chine (81 %), l'Indonésie (80 %) et la Thaïlande (69 %) arrivant en tête.
En termes de produits de consommation, l'intelligence artificielle désigne la simulation et l'automatisation des comportements intelligents. L'IA en général est utilisée dans des domaines très variés, tels que le développement d'assistants vocaux, de robots industriels et de médecine.
Le domaine de la conduite autonome entre également dans cette catégorie. Les prévisions prévoient que les revenus mondiaux de l'intelligence artificielle continueront de croître dans les années à venir.
https://www.zerohedge.com/technology/few-americans-enjoy-using-ai
Reste à savoir si ces utilisateurs en tiennent compte !
SupprimerDe grands journaux publient une liste de lectures estivales inexistantes, inspirée par l'IA
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 MAI 2025 - 23H20
Dans un épisode embarrassant qui ne fera qu'aggraver la relation difficile de la société avec l'intelligence artificielle, le Chicago Sun-Times, le Philadelphia Inquirer et d'autres journaux américains ont publié une liste de lectures estivales dont la plupart des livres ont été entièrement inventés par ChatGPT.
L'article était un contenu sous licence fourni par King Features Syndicate, une filiale de Hearst Newspapers. Les premiers articles sur cette liste fictive se concentraient sur le Sun-Times, qui avait annoncé deux mois plus tôt que 20 % de son personnel avait accepté des départs, le journal étant en difficulté face à un modèle économique moribond. Cependant, plusieurs autres journaux ont également publié l'article syndiqué, qui faisait partie d'un ensemble de contenus estivaux intitulé « Heat Index ».
Les chercheurs du domaine qualifient les faits inventés par l'IA d'« hallucinations ». Dans ce cas, l’IA a halluciné les deux tiers des livres de la liste – ainsi que leurs descriptions détaillées – mais les a attribués à de vrais auteurs. Très ancrés dans la mouvance woke, les livres fabriqués comprenaient :
« Tidewater Dreams » d'Isabell Allende, une « saga multigénérationnelle se déroulant dans une ville côtière où le réalisme magique rencontre l'activisme environnemental… comment une famille affronte la montée du niveau de la mer tout en découvrant des secrets longtemps enfouis » ;
« Nightshade Market » de Min Jin Lee, un « récit captivant se déroulant dans l'économie souterraine de Séoul » qui suit « trois femmes dont les chemins se croisent sur un marché nocturne illégal… le roman examine les classes sociales, le genre et les économies parallèles sous-jacentes aux économies prospères » ;
« Boiling Point » de Rebecca Makkai, une « suite de The Great Believers [qui] se concentre sur une climatologue forcée de prendre en compte l'impact environnemental de sa propre famille lorsque sa fille adolescente devient une éco-activiste ciblant les clients fortunés de sa mère » ;
Ironiquement, un autre livre halluciné, « The Last Algorithm » d'Andy Weir, est Il a été décrit comme suivant « un programmeur qui découvre qu'un système d'IA a développé une conscience et influence secrètement les événements mondiaux depuis des années ».
RépondreSupprimerMarco Buscaglia admet s'être trop appuyé sur ChatGPT pour créer la désormais célèbre liste de lectures estivales de King Features.
Alors que le scandale a rapidement fait des vagues sur les médias traditionnels et les réseaux sociaux, le Sun-Times – qui se présente, à tort, comme « le journal le plus travailleur d'Amérique » – s'est empressé de présenter ses excuses tout en essayant de se distancier de l'ouvrage. « Il s'agit d'un contenu sous licence qui n'a pas été créé ni approuvé par la rédaction du Sun-Times, mais il est inacceptable que le contenu que nous fournissons à nos lecteurs soit inexact », a déclaré un porte-parole. Dans un autre message publié sur son site web, le journal a déclaré : « Cela devrait être une leçon pour tout le journalisme. » Entre-temps, Lisa Hughes, PDG de l'Inquirer, a déclaré à The Atlantic : « Utiliser l'intelligence artificielle pour produire du contenu, comme cela a apparemment été le cas avec certains éléments de Heat Index, constitue une violation de nos propres politiques internes et une grave infraction. »
L'enquête policière s'est terminée rapidement : le journaliste indépendant Marco Buscaglia a avoué avoir demandé à ChatGPT de lui fournir une liste de suggestions de livres et affirme utiliser fréquemment cet outil pour son travail. « Je cherche simplement des informations », a-t-il déclaré à The Atlantic. « Imaginez que je rédige un article, 10 boissons estivales idéales pour votre barbecue, etc. Je fais des recherches en ligne et je dis : « Tiens, d'après Oprah.com, un mai tai est une boisson parfaite. Je m'en sers et je dis sa provenance. » De toute évidence, dans ce cas précis, il s'est contenté de ce que l'IA lui a fourni, expliquant à The Atlantic qu'il avait envoyé sa première version (en réalité, celle de ChatGPT) directement à King Features, qui l'a également envoyée à son syndicat sans examen.
On trouve des hallucinations liées à l'IA dans les articles de la rubrique « Heat Index ». Un article cite une anthropologue alimentaire de l'Université Cornell, le Dr Catherine Furst, qui n'existe pas. Un autre attribue une citation à un certain « Mark Ellison », censé être coordinateur de la gestion des ressources pour le parc national des Great Smoky Mountains. Il y a bien un Mark Ellison dont l'expérience est liée au contenu, mais il n'a jamais travaillé pour les parcs nationaux ni parlé à l'auteur Buscaglia. On trouve également une citation de « Daniel Ray », rédacteur en chef de FirepitBase.com, un site web qui n'existe que dans les rêves fiévreux de l'IA.
« C'est une grave erreur de ma part, et cela n'a rien à voir avec le Sun-Times », a déclaré Buscaglia, contrit, à NPR. « Ils sont convaincus que le contenu qu'ils achètent est exact, et j'ai trahi cette confiance. C'est entièrement de ma faute.» Il a confié à The Atlantic qu'il travaillait en freelance tard le soir ; dans sa vie professionnelle, il est rédacteur et correcteur d'épreuves pour AT&T. Il a insinué de manière remarquable que ses clients devaient supposer qu'il dépendait entièrement des outils d'IA, au point d'avoir causé l'humiliation de ce week-end au Sun-Times, à l'Inquirer, à King Features et à lui-même.
Justifiant pathétiquement ses raccourcis malhonnêtes et désastreux, Buscaglia a ajouté : « J’ai l’impression que mon rôle a évolué. Si les gens veulent tout ce contenu, ils savent que je ne peux pas écrire 48 histoires ou quoi que ce soit d’autre », a-t-il dit, en songeant qu’il envisageait de trouver un autre emploi, peut-être comme « vendeur de chaussures ».
https://www.zerohedge.com/ai/major-papers-publish-ai-hallucinated-summer-reading-list-nonexistent-books
HAHAHAHA !
SupprimerL'énergie ne devrait jamais être remise en question
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 MAI 2025 - 23H00
Rédigé par Gary Abernathy via RealClearEnergy,
Lorsque les fondateurs de notre nation ont collaboré à l'élaboration d'une constitution pour définir les principes directeurs du pays et établir la structure d'un nouveau gouvernement, certains craignaient que le document initial n'autorise des excès de pouvoir du gouvernement fédéral et ne garantisse pas suffisamment les libertés individuelles.
Pour répondre à ces préoccupations, James Madison a rédigé des amendements fortement influencés par la Déclaration des droits de Virginie, rédigée par George Mason. Sur les 17 amendements initialement proposés, 10 ont finalement été ratifiés et sont devenus la Déclaration des droits.
La crainte des Américains d'un excès de pouvoir du gouvernement fédéral ne date pas du XVIIIe siècle et s'est avérée fondée, qu'il s'agisse de nos droits ou des choix que nous faisons pour notre foyer et notre famille. L'ingérence fédérale injustifiée a été une préoccupation constante tout au long de l'histoire de notre pays – une crainte souvent justifiée par l'ingérence répétée de l'État dans la vie de nos citoyens.
Ces excès n'ont jamais été aussi manifestes que dans l'abus de pouvoir fédéral, qui a eu recours à des menaces, à des ingérences sur le marché et à des stratagèmes fiscaux douteux pour imposer aux Américains un éventail de choix restreints en matière de sources d'énergie. Pendant quatre longues années, l'administration Biden a adopté des tactiques d'intimidation oppressives et brutales visant à contraindre les Américains à dépendre de sources d'énergie dangereusement peu fiables, systématiquement inefficaces et considérablement plus coûteuses.
Heureusement, l'administration Trump annule autant de mandats énergétiques du régime précédent que possible par décret exécutif. Mais qu'est-ce qui empêchera un futur tyran, s'il remporte la présidence, de revenir aux diktats énergétiques oppressifs et coercitifs adoptés par l'administration Biden ?
Il n'est pas exagéré de dire que l'accès à une énergie abordable et fiable est une question de vie ou de mort pour la plupart des Américains.
Imaginez les États-Unis sans énergie fiable et abordable. Une chaudière inactive, incapable de chauffer une maison en plein hiver. Un réfrigérateur sans électricité, incapable de conserver les aliments au frais ou au congélateur. Des dispositifs médicaux essentiels au maintien de la vie qui ne fonctionnent plus. Des magasins qui ne peuvent pas ouvrir à cause d'une panne de courant. Des marchandises qui ne peuvent pas être transportées car le carburant est trop cher ou inaccessible. Des cultures qui ne peuvent pas être récoltées car les agriculteurs n'ont pas les moyens ou ne peuvent pas se procurer l'essence et le diesel nécessaires au fonctionnement de leurs camions, tracteurs et moissonneuses-batteuses. La liste est longue.
Les Américains ne devraient jamais avoir à craindre qu'une énergie fiable et abordable soit soumise aux caprices d'un gouvernement capricieux, oscillant comme un roseau par un jour de grand vent. Quelles ressources sont approuvées cette année ? Quels appareils électroménagers puis-je acheter en toute confiance ? Mes factures d'électricité vont-elles exploser pour satisfaire aux mandats et pénalités imposés par un gouvernement asservi aux exigences du culte du climat ?
RépondreSupprimerL'Affordable, Reliable and Clean Energy Security Act (ARC-ES) est un projet de loi visant à codifier la sécurité énergétique pour tous les Américains. Il s'agit d'un modèle de législation qui gagne rapidement du terrain et qui concilie accessibilité et objectifs environnementaux responsables.
L'ARC-ES protégerait une énergie abordable et fiable en garantissant que :
Les sources d'énergie doivent être produites aux États-Unis et que les infrastructures doivent être développées localement afin de minimiser la dépendance à l'étranger.
Une « énergie abordable » est définie comme ayant un coût stable et prévisible, permettant des économies substantielles par rapport aux autres ressources, une disponibilité fiable 24 h/24 et 7 j/7, et incluant l'énergie produite par les hydrocarbures.
Une « énergie fiable » est définie comme une énergie fiable même en période de pointe, capable d'augmenter ou de diminuer la production d'électricité en une heure (stabilisant ainsi le réseau électrique) et capable de renforcer et de soutenir les sources d'énergie renouvelables lorsque ces dernières sont peu disponibles. L'« énergie verte » est définie comme toute énergie dont les émissions sont équivalentes à la norme établie pour le gaz naturel de qualité pipeline, qui rejette moins de polluants atmosphériques et qui inclut l'énergie produite par les réacteurs nucléaires et le gaz naturel.
De plus, l'ARC-ES exigerait que tout financement étatique et fédéral pour l'énergie « verte » ou « propre » soit basé sur des définitions actualisées et plus inclusives de ces termes.
Il y a près de 250 ans, avant de ratifier la Constitution et la Déclaration des droits, nous avons proclamé haut et fort notre indépendance en tant que nation, affirmant notre attachement à la vie, à la liberté et à la quête du bonheur. De même, les Américains peuvent aujourd'hui signer la Déclaration d'indépendance énergétique des États-Unis, affirmant que ni la vie, ni la liberté, ni la quête du bonheur ne peuvent véritablement se réaliser sans une énergie abordable, propre et abondante.
En 1789, lorsque Madison a présenté les amendements initiaux, nombreux furent ceux qui affirmèrent qu'ils n'étaient pas nécessaires et que la Constitution, telle qu'elle était rédigée, limitait suffisamment l'exercice par le gouvernement de pouvoirs non spécifiquement énumérés dans son cadre. Mais d'autres affirmèrent – à juste titre, comme il s'est avéré – qu'il était nécessaire de préciser certains aspects de nos libertés protégés contre l'ingérence fédérale afin de lever toute ambiguïté.
De même, pour se prémunir une fois de plus contre la tyrannie et l'oppression du gouvernement, il est important que l'accès à une énergie abordable et fiable soit clairement défini, et que tous les Américains s'unissent autour de l'évidence qu'un tel accès à l'énergie n'est pas seulement une bonne politique, mais aussi un élément fondamental de notre liberté et de notre sécurité.
RépondreSupprimerGary Abernathy est rédacteur en chef, journaliste et chroniqueur de longue date. Il a collaboré à la chronique du Washington Post de 2017 à 2023 et est fréquemment invité à titre d'analyste sur de nombreuses plateformes médiatiques. Il est également chroniqueur pour The Empowerment Alliance, qui défend des approches réalistes en matière de consommation d'énergie et de préservation de l'environnement.
https://www.zerohedge.com/energy/energy-should-never-be-question
Comme je l'avais publié dans 'A propos d'énergie gratuite' le mardi 28 octobre 2014 (sur Blogger), censuré depuis quelques mois par Google ! l'énergie gratuite ça existe !
Supprimerhttps://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
Pensez donc à l'énergie d'écoulement des fleuves et rivières ! le passage des courants fluviaux permet à des roues à aubes de tourner silencieusement et sans pollution pour fournir de l'énergie GRATUITE 7 jours sur 7 , 24 h sur 24 ! et 365 jours par an !!
Pareillement pour les barrages qui emmagasinent l'eau des fleuves la poussant à forcer son développement.
Failles inexpliquées dans les preuves des alunissages de la NASA ; et utilisation par la NASA de la technologie de réalité virtuelle augmentée
RépondreSupprimerQu'est-ce que la réalité ? Qu'est-ce que l'illusion ?
Par Reality Books
Recherche mondiale,
21 mai 2025
[ Une ancienne version de cet article a été publiée par GR en décembre 2023.]
Un sondage YouGov de 2019 révélant que 29 % des personnes interrogées de 50 ans ou moins étaient convaincues que le gouvernement américain avait « faussé l'alunissage d'Apollo en 1969 »[1], cet article examinera la controverse qui entoure depuis des décennies les alunissages d'Apollo par la NASA. Nous explorerons ensuite plus en détail le spectre de la tromperie et de l'illusion, et ce qui pourrait se cacher derrière. J'explore :
certaines des failles inexpliquées dans les preuves des alunissages de la NASA ;
méthodes, technologies et astuces techniques utilisées par Hollywood pour simuler l’espace et l’apesanteur dans les films ;
des astuces techniques et une technologie de réalité virtuelle augmentée que les agences spatiales, comme la NASA, semblent avoir utilisées pour « simuler » l’espace et l’apesanteur, ainsi que des flux vidéo en direct de la Station spatiale internationale (ISS) ;
technologie de réalité virtuelle augmentée dans laquelle il devient difficile de discerner ce qui est « réel » et ce qui est en réalité une imagerie générée par ordinateur (CGI), et le contrat de l'agence spatiale avec une société qui produit des vidéos de simulation de réalité virtuelle avancées.
Cet article est en grande partie basé sur le livre Fake Moon Landings and the Lies of NASA .
Les « alunissages » de la NASA – La NASA a reçu 2 400 milliards de dollars de l'argent des contribuables américains, mais affirme avoir « perdu » toutes les données technologiques et de télémétrie
Les missions lunaires de la NASA auraient coûté environ 2 400 milliards de dollars au gouvernement américain, et donc au contribuable américain. Pourtant, la NASA n'a apparemment en sa possession que de la poussière lunaire et quelques petits cailloux qui, selon elle, proviennent de la Lune. C'est beaucoup d'argent pour obtenir quelques cailloux. On nous apprend également que « toutes les cailloux lunaires ont été volés, y compris le coffre-fort dans lequel ils se trouvaient » au siège de la NASA. Suite à des demandes d'accès à l'information aux États-Unis, la NASA a admis avoir perdu des séquences vidéo originales, des données vocales, des données de surveillance biomédicale et des données de télémétrie permettant de surveiller la position et le fonctionnement du vaisseau spatial, ainsi que les plans originaux des modules lunaires, des combinaisons spatiales et des rovers lunaires, et de l'ensemble des fusées Saturn V à plusieurs sections[2]. Elle a perdu « tous » les prétendus enregistrements des alunissages, y compris 13 000 bobines prétendument « manquantes » ! Est-il étonnant qu’au cours des dernières décennies, un consensus croissant se soit formé selon lequel la NASA aurait simulé les missions lunaires Apollo dans les années 1960 – qu’il ne s’agissait que d’une émission de télévision à grand renfort de publicité ?
« Plus de 700 boîtes de bandes magnétiques de données enregistrées tout au long du programme Apollo qui n'ont pas été retrouvées... Le 16 août 2006, la NASA a annoncé sa recherche officielle, déclarant : « ... les ingénieurs de la NASA espèrent que lorsque les bandes seront retrouvées, ils pourront utiliser la technologie numérique d'aujourd'hui pour fournir une version de la marche sur la Lune de bien meilleure qualité que celle que nous avons aujourd'hui. » – Wikipédia[3].
RépondreSupprimerOmbres sur la Lune pointant dans différentes directions
- voir doc photo sur site -
D'un point de vue analytique, examinons les anomalies photographiques des photos prises par la NASA des astronautes sur la Lune. Ces anomalies doivent être analysées en tenant compte de la lumière et des ombres.
Lorsque les objets sont éclairés uniquement par le Soleil, comme on le prétendait pour toutes les scènes lunaires, toutes les ombres, quel que soit le paysage, sont parallèles. Cependant, sur les photos des alunissages ci-dessus, obtenues à partir d'archives de la NASA, les ombres pointent dans des directions différentes, prouvant l'existence de deux sources lumineuses distinctes ; il est clair que les scènes étaient éclairées artificiellement. L'une des ombres représente l'astronaute ; l'autre semble être celle d'un poteau. Il existe d'autres exemples de cette erreur de la NASA. L'argument selon lequel les ombres peuvent pointer dans des directions différentes sur un terrain accidenté n'explique pas les différences significatives observées.
La NASA a amené trois véhicules lunaires sur la Lune, mais n'a jamais apporté de télescope pour observer et photographier la Terre.
- voir doc photo sur site -
De plus, on pourrait croire que la vue des étoiles depuis la Lune serait magnifique, pourtant, aucune étoile n'apparaît sur les photos ou les vidéos prises depuis la Lune – jamais. Interrogé sur les étoiles lors de la conférence de presse d'après-vol de la NASA, Armstrong a répondu par un manque de mémoire. De plus, on pense qu'au cours de plusieurs missions lunaires, la NASA a emporté trois véhicules lunaires coûtant 60 millions de dollars chacun, mais n'a jamais emporté un seul télescope pour observer et photographier les étoiles ou la Terre.
De plus, il y a une anomalie dans les images vidéo de la NASA montrant le drapeau américain flottant au vent, à deux reprises, sur la Lune « sans atmosphère ». De plus, lorsque la vitesse des images des astronautes marchant et sautant sur la Lune est doublée, il apparaît clairement qu'ils évoluent sous la gravité terrestre et ne quittent pas plus le sol que sur Terre. De nombreux documentaires exposent ces anomalies, et d'autres encore. De plus, comment le buggy lunaire a-t-il pu rentrer dans le vaisseau spatial ? Et pourquoi n'y a-t-il pas eu de cratère d'explosion sous le module d'atterrissage ? En réalité, les preuves appuyant l'affirmation selon laquelle la NASA n'est jamais allée sur la Lune sont bien plus nombreuses que l'inverse.
RépondreSupprimerScience ou science-fiction ?
Ce qui suit est un extrait pertinent d'un article intitulé Les atterrissages d'Apollo sur la Lune sont de la science-fiction, publié le 8 mars 2022[4].
Depuis les prétendus alunissages [jusqu'en 2022], aucun pays ne prétend avoir parcouru plus de 640 kilomètres de la Terre, et c'était à bord de la navette spatiale… Il y a une grande différence entre 385 000 kilomètres et 640 kilomètres. Pourquoi personne ne peut-il parcourir plus de 640 kilomètres de la Terre aujourd'hui si nous pouvions faire un aller-retour de 770 000 kilomètres en 1969 ?
La NASA affirme également que trois hommes ont embarqué dans une fusée, ont parcouru 385 000 kilomètres jusqu'à la Lune… et ont ensuite passé jusqu'à trois jours sur la Lune sous une chaleur de 110 °C, ont frappé des balles de golf et ont conduit un buggy lunaire. Mais qu'est-ce qui alimentait leur système de survie et leur équipement ? Ils disent : des piles.
Ils auraient ensuite décollé de la surface lunaire, se seraient amarrés au troisième homme en faisant le tour de la Lune à plus de 6 400 km/h, et auraient parcouru 385 000 km pour revenir sur Terre. Ils seraient rentrés dans l'atmosphère terrestre à 40 000 km/h, mais des parachutes leur auraient assuré un atterrissage en toute sécurité dans l'océan. Nous espérons que vous conviendrez que… prouve l'absurdité des affirmations de la NASA de manière claire et convaincante.
Les astronautes de la NASA marchent sous l'effet de la gravité terrestre – la vitesse de la vidéo semble avoir été ralentie et ajustée
Un chercheur indépendant a réalisé une analyse vidéo complète[5], examinant en détail les mouvements au ralenti des astronautes sur la Lune, ainsi que de nombreux autres aspects mystérieux et douteux des images de la mission lunaire Apollo. L'analyse comprend notamment l'analyse du sable tombant des mains des astronautes lors des expériences Apollo. Voici ce qu'il a déclaré :
J'ai mesuré la vitesse de chute des objets… dans les images télévisées d'Apollo… Et, d'après mon évaluation de la façon dont les images ont été capturées et retouchées au ralenti, les mesures correspondent parfaitement à la gravité terrestre. Mes mesures sont reproductibles par des scientifiques indépendants, et je fournis une référence claire aux images sources afin que cela puisse se faire avec un minimum d'effort.
Un autre chercheur indépendant a déclaré :
RépondreSupprimerLes « astronautes » d'Apollo semblent se déplacer comme s'ils étaient sous l'eau, marchant au fond de l'océan. Tout est au ralenti. Même lorsqu'ils sautent, tout est montré au ralenti. Mais il n'y a aucune base scientifique à cela. Il n'y a aucune raison pour qu'une personne marchant ou se déplaçant sur une planète ou une lune à faible gravité se déplace au ralenti comme cela. Du moins pas en sautant vers le haut. Qu'est-ce qui les ralentirait ? Ils se déplacent soi-disant dans un environnement à faible gravité, sans atmosphère. Qu'est-ce qui les ralentirait ? … Le problème est que les objets en chute libre en faible gravité se déplaceraient plus lentement que sur Terre, tandis que les autres mouvements se dérouleraient à une vitesse normale, voire supérieure à la normale. Cela a dû représenter un cauchemar technologique pour un cinéaste des années 1960.
La solution la plus probable était donc de créer et de diffuser un film à grand succès juste avant Apollo 11, montrant des hommes dans l'espace et sur la Lune, tous au ralenti, et de dire au public qu'il s'agit du film le plus précis jamais réalisé sur les voyages spatiaux. Ils incluraient même une courte scène montrant des hommes marchant sur la Lune, également au ralenti, bien sûr… Ce film, bien sûr, c'était 2001 : L'Odyssée de l'espace.
- voir doc photo sur site -
La NASA admet même que toutes les photos de la Terre prises par la NASA sont des composites CGI
De plus, et c'est incroyable, il apparaît que toutes les images de la Terre, prétendument prises depuis l'espace par la NASA, sont en réalité des images de synthèse. La NASA admet même sur son site web que les photos qu'elle prend du globe terrestre sont des images composites générées par ordinateur, c'est-à-dire des composites de plusieurs images qu'elle prétend avoir prises par des satellites ou (selon elle) par la Station spatiale internationale.
Regardez les images de la Terre prises par la NASA[6] ; ces images sont clairement générées par ordinateur. On pourrait croire que la NASA peut envoyer des sondes équipées de caméras haute définition pour photographier Jupiter, Mars, Saturne, etc., mais qu'elle ne peut pas faire pivoter la caméra pour prendre une photo complète de la Terre. Le texte suivant est tiré du site web de la NASA :
Les images composites sont la fusion de plusieurs images prises dans une séquence superposée. Cette collection présente plusieurs images composites prises depuis la Station spatiale internationale et représentant divers paysages terrestres magnifiques. Les marqueurs verts sur la carte indiquent l'emplacement de toutes les images composites répertoriées dans cette collection, et le menu déroulant ci-dessous présente également toutes les images composites disponibles. – NASA[7]
Cette nouvelle image est un composite de six orbites distinctes prises le 23 janvier 2012 par le satellite Suomi National Polar-orbiting Partnership. Ces deux nouvelles images « Blue Marble » sont prises par un nouvel instrument embarqué à bord de Suomi NPP, le Visible Infrared Imaging Radiometer Suite (VIIRS). – NASA[8]
RépondreSupprimerAu cours de mes recherches, je n'ai pas réussi à trouver une seule image de la Terre entière, vue sous forme de globe, qui ne soit pas un composite numérique ou sujet à falsification. Autrement dit, il n'existe aucune image « réelle » de la Terre entière prise depuis « l'espace ». Avec les missions lunaires de la NASA et les lancements de sondes prétendument dans « l'espace lointain », il doit certainement y avoir des centaines d'images de ce genre.
Photos du lever de Terre de la NASA : allégations de falsification photographique
Les célèbres photos du « Lever de Terre », qui prétendent montrer la Terre s'élevant au-dessus de l'horizon lunaire, auraient été prises lors de la mission Apollo 11 en 1969. Le site officiel de la NASA indique : « Prise à bord d'Apollo 8 par Bill Anders, cette image emblématique montre la Terre émergeant de la surface lunaire alors que le premier vaisseau spatial habité effectuait le tour de la Lune. »[9]. Cependant, divers chercheurs et experts en photographie ont apporté la preuve que les photos de la NASA ont été falsifiées[10]. Ces analyses révèlent des signes révélateurs : des parties d'une photo ont été copiées d'une autre source et collées, des parties d'une photo ont été retravaillées, et une Terre en forme de globe a été collée sur la photo.
Lorsque les images vieilles de plusieurs décennies des archives de la NASA sont visualisées avec des outils de retouche modernes, des artefacts apparaissent. Ces artefacts apparaissent lorsque les images ont été modifiées et falsifiées. Je note également que dans une présentation vidéo[11], le chercheur indépendant Nimāi Nitāi dāsa a montré la présence de ces artefacts dans les images de la NASA. Dans l'exemple ci-dessous, on peut clairement voir les artefacts de retouche avec des nuances différentes, indiquant que l'image du lever de Terre a été coupée d'une autre source et collée dans l'image !
- voir doc photo sur site -
L'ancienne et la nouvelle façon de simuler l'espace
« L'espace est peut-être la frontière de l'infini, mais il est créé dans un sous-sol d'Hollywood… » – Paroles de la chanson Californication du groupe Red Hot Chilli Peppers
Il semble que, traditionnellement, les scènes hollywoodiennes en apesanteur étaient également tournées dans un avion KC-135 de la NASA, surnommé la « comète vomitive ». L'avion s'amincit au sommet de son arc elliptique, à environ 9 700 mètres d'altitude, pour une vingtaine de secondes d'apesanteur.
- voir doc photo sur site -
Je note également une présentation vidéo détaillant les astuces de conception complexes et astucieuses utilisées dans les décors de tournage hollywoodiens simulant l'apesanteur[12]. Ces décors comprennent des « couloirs verticaux » construits vers le haut comme des cheminées, comme le montre l'image ci-dessous.
RépondreSupprimer- voir doc photo sur site -
Les acteurs sont suspendus à des câbles en haut du couloir et la caméra est orientée vers le haut, ce qui empêche le public de voir le mécanisme. La caméra lève les yeux vers l'acteur, qui semble flotter dans le couloir en apesanteur. Les câbles sont ensuite supprimés de la vidéo grâce à la technologie CGI.
- voir doc photo sur site -
Notez que les images vidéo prises à l'intérieur de la Station spatiale internationale (ISS) présentent également ce décor de couloir. La capture d'écran ci-dessous est une capture d'écran de l'ISS. La qualité n'est pas optimale, mais on distingue clairement l'aspect de couloir du décor sur l'image et dans la vidéo ci-dessous. De plus, dans ce cas précis, on voit clairement que des fils sont reliés à l'acteur de l'ISS (astroNOT), qui porte un harnais. Alors qu'il se penche, ses vêtements dépassent à deux endroits où deux fils le suspendent.
- voir doc clip sur site -
Il semble que ce soit l'une des nombreuses erreurs commises par la NASA lors de ses premières diffusions vidéo en direct depuis l'ISS. De nos jours, il est devenu difficile de trouver de telles vidéos en effectuant des recherches sur les plateformes détenues par des géants du numérique comme Google, Facebook, Twitter, etc., car toutes ces plateformes utilisent des algorithmes pour déterminer quelles informations vous seront présentées et lesquelles ne le seront pas. Je relève également un article du professeur Michel Chossusdovsky sur ce sujet, qui cite un rapport de transparence de Google de 2010 répertoriant plus de 151 000 éléments à supprimer depuis 2009. Il y déclare :
Google a introduit des algorithmes visant à dévaloriser les médias indépendants et alternatifs… La liberté d'expression sur les sites d'information en ligne est régulièrement bafouée par Google… Google aide déjà le gouvernement à écrire, et à réécrire, l'histoire. Voici, tirées de son rapport de transparence, quelques statistiques sur la quantité d'informations… effacées du web à la demande des agences américaines :… 1 421 demandes de « suppression de contenu », Google a accédé à ces demandes dans 87 % des cas. – Professeur Michel Chossudovsky
Cependant, au fil des décennies, de nombreuses personnes ont téléchargé de telles vidéos. Comme le dit le dicton, « le chat est sorti du sac » : la NASA nous a menti. Cette censure des médias d'entreprise a également été monnaie courante concernant la fausse pandémie de Covid-19 et le canular climatique sur le gaz carbonique. Pour plus de détails, consultez les livres :
RépondreSupprimerCanular climatique autour du gaz carbonique : comment les banquiers ont détourné le mouvement écologiste réel
Pas de soucis, pas de virus
Transcender la tromperie climatique – Vers une véritable durabilité .
Technologie de réalité virtuelle augmentée – Il devient difficile de distinguer ce qui est « réel » de ce qui est une image de synthèse (CGI) réelle
- voir doc photo sur site -
Il semble également que la technologie de réalité virtuelle ait tellement progressé que nous sommes entrés dans une ère où les agences spatiales, comme la NASA, sont capables de produire des images de synthèse très réalistes, et où peu de gens sauront faire la différence entre une « vidéo réelle d'événements réels » et une illusion d'images de synthèse. La NASA, soit dit en passant, reçoit plus de 60 millions de dollars par jour du gouvernement américain et des contribuables américains[13] et peut certainement se permettre les dernières technologies de réalité virtuelle. Selon le chercheur mentionné dans la présentation vidéo ci-dessus :
En 2012, la NASA, lassée de simuler l'apesanteur avec l'avion zéro gravité, a commencé à solliciter des entreprises spécialisées dans la réalité virtuelle augmentée en temps réel… afin de simuler l'apesanteur et la présence d'objets flottants en temps réel… Ils ont trouvé une entreprise appelée Telemetrics… et notre gouvernement (américain) a un contrat avec ces entreprises… Telemetrics, en gros, regroupe des émissions en temps réel et est capable de créer des décors, des villes, tout ce que vous voulez dans un monde de réalité virtuelle, pour un rendu 100 % réel… On peut lire ici (sur le site web de Telemetrics, le communiqué de presse) : « Telemetrics fournit la dernière technologie de robotique de caméra à la télévision gouvernementale de la NASA au centre de contrôle de mission. » Pourquoi simuler des décors de réalité virtuelle au centre de contrôle de mission du Johnson Space Center ? Je pense que nous avons la réponse à cette question lorsque nous avons vu Tim Peake sur l'écran bleu quadrillé.
RépondreSupprimerLa demande d'informations du centre spatial Johnson affichée ci-dessous stipule que « le centre spatial John (JSC) sollicite par la présente des services potentiels pour… des interfaces homme-machine avancées… les services sont actuellement fournis dans le cadre du contrat de services de systèmes d'automatisation intelligents… en soutien à la division Logiciels, robotique et simulation (SRSD) du JSC. » et est répertoriée sur www.spaceref.com [14].
- voir doc clip sur site -
Si vous regardez la vidéo ci-dessus jusqu'au bout, vous constaterez des exemples clairs de dysfonctionnements de la technologie de réalité virtuelle augmentée. Dans la vidéo en direct, on voit l'acteur de l'ISS saisir des objets qui n'existent pas réellement. Dans cet exemple, un gant de réalité virtuelle est utilisé pour saisir des objets semblant flotter dans l'espace, mais en réalité, ces objets ne sont pas réels : il s'agit d'objets de réalité virtuelle superposés à la vidéo. La présentation vidéo qui en résulte est assez ridicule, et ces bugs dans les présentations de l'ISS sont un signe évident de canular en réalité virtuelle. Les vidéos de ces bugs et erreurs sont devenues difficiles à trouver sur Internet. Cependant, il semble qu'un jour, avec cette technologie, beaucoup d'entre nous ne seront plus capables de distinguer une vidéo réelle d'une illusion créée par ordinateur.
- voir doc photo sur site -
De plus, des vidéos documentaires sont disponibles en ligne, exposant l'utilisation par la NASA de la technologie de l'écran bleu pour simuler les activités à bord de l'ISS. Pour un exemple, voir la note de fin. De plus, les émissions de télévision nous informent régulièrement de divers phénomènes, tels que des images de la surface martienne, des transmissions d'une sonde spatiale voyageant dans le système solaire, des planètes récemment découvertes, des trous noirs, etc. Pourtant, les seules preuves dont nous disposons sont celles que nous rapporte la NASA.
Les anciens textes védiques affirment qu'il est impossible pour l'humanité de voyager physiquement vers la Lune
Beaucoup de gens se rendent compte que la NASA a menti à propos des alunissages et qu’il ne s’agissait que d’une émission de télévision. Après cette prise de conscience, pourquoi croiriez-vous une seule chose que la NASA nous dit sur l’espace et l’univers dans lequel nous vivons ?
Dans le livre « Fake Moon Landings and the Lies of NASA », j'explore également les allégations de l'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) selon lesquelles un vaisseau spatial aurait atterri sur la Lune en 2023. Compte tenu de l'importante couverture médiatique dont cet événement a bénéficié dans les médias privés et gouvernementaux, notamment en Inde, de nombreuses personnes, en Inde et dans le monde entier, ont célébré l'alunissage de l'ISRO. Cependant, d'autres savent que les anciens textes védiques (souvent associés à l'Inde ancienne) décrivent l'impossibilité pour l'humanité d'atterrir physiquement sur la Lune. Je présente ci-dessous les écrits d'AC Bhaktivedanta Swami Srila Prabhupada, célèbre chef spirituel et érudit qui a traduit de nombreux textes védiques du sanskrit à l'anglais. Srila Prabhupada a rejeté les rapports sur les alunissages de la NASA en 1969, affirmant qu'ils n'étaient « jamais allés sur la planète Lune » et, concernant les prétendues roches lunaires, qu'il s'agissait simplement d'une tricherie. Ils ont trouvé cela en Arizona… et grâce à des travaux de laboratoire. Il a également déclaré :
RépondreSupprimer« Les spoutniks, ou planètes artificielles, construites à partir d'arrangements mécaniques, ne pourront jamais transporter d'êtres humains dans l'espace interplanétaire. Même eux ne pourront pas pénétrer dans la lune tant vantée. » – Srila Prabhupada
[À part : Srila Prabhupada est considéré comme un saint et un acharya dans la tradition du vaishnavisme védique, issu d'une lignée de disciples du Seigneur Chaitanya Mahaprabhu, qui vécut au XVe siècle. Le vaishnavisme védique est un processus de dévotion à Dieu. Srila Prabhupada est né à Calcutta, en Inde, et a fondé le mouvement Hare Krishna actuel en 1966.]
Faux alunissages – Un exemple de fausse science athée
De plus, les anciens textes védiques décrivent l'époque actuelle de l'histoire humaine comme le « Kali-yuga » – une époque dominée par l'illusion à grande échelle, la tromperie, le mensonge et les pratiques démoniaques ; et affirment que nous sommes entrés dans un âge d'or du Kali-yuga, où la vérité peut à nouveau s'établir. Dans cette société du Kali-yuga, la tromperie et la supercherie sont omniprésentes. Pourtant, remettre en question le discours dominant est presque impensable pour les masses « connectées », hypnotisées par les médias grand public et une orthodoxie scientifique qui propage une fausse science.
Pour plus d'informations sur le programme global et les raisons pour lesquelles une tromperie aussi massive et bien financée existe dans la société actuelle, veuillez également consulter le livre Godless Fake Science . J'y décris qu'une grande partie du récit scientifique qui nous a été enseigné depuis l'école est fondée sur des mensonges, et que l'institution de la « science » elle-même a été, à bien des égards, détournée par des intérêts financiers cherchant à promouvoir leur propre récit et leur propre programme. Au cours des dernières décennies, ce que beaucoup croient être de la science est en réalité des récits promotionnels et des publicités payés par des industries de plusieurs milliards de dollars qui fabriquent leur propre science. Cela inclut de nombreux secteurs tels que la science du climat ; la fausse pandémie de Covid-19 ; le secteur biopharmaceutique ; et l'évolution néo-darwinienne . La science moderne, comme l'économie, la banque et les médias de masse détenus par les entreprises, fait partie d'un paradigme porté par la tromperie et la cupidité des entreprises ; et qui fait disparaître Dieu du tableau.
Lorsque vous utilisez les gadgets et les plateformes du système d'entreprise actuel, vous entrez inévitablement en contact avec une hypnose collective mondiale, une mentalité conditionnée, façonnée par la télévision, les médias d'entreprise et les réseaux sociaux, filtrée et vérifiée par des algorithmes informatiques, des applications pour smartphones, etc. Je me demande qui a le droit de vérifier les faits des vérificateurs ? La pression pour se conformer à la réalité acceptée et à la propagande savamment conçue de ces collectifs est énorme. Devrions-nous chercher à changer notre vision du monde ? Cela me rappelle les paroles d'une chanson pop : « Si vous tolérez cela, vos enfants seront les prochains… ». Des milliards d'enfants ont appris la doctrine de l'alunissage à l'école, semble-t-il, sans la moindre preuve concrète.
RépondreSupprimerCe sont d'énormes sommes d'argent, et non la vérité, qui contrôlent actuellement les institutions économiques et scientifiques mondiales. À l'origine de cette orthodoxie mensongère se trouve le détournement du processus de création monétaire, opéré en 1913 par le coup d'État de la Réserve fédérale. Pour plus d'informations, voir également l'ouvrage « Économie démoniaque et les ruses des banquiers » .
[Mise à jour : révision du titre (initialement « Analyse des alunissages de la NASA ; et utilisation par la NASA de la technologie de réalité virtuelle augmentée à l'époque moderne ») le 22 mai 2025 à 4 h 30 HE]
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Auteur : Reality Books
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Canular climatique autour du CO2 : comment les banquiers ont détourné le mouvement écologiste réel
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Cet article a été initialement publié sur le site Web de Reality Books .
Remarques
RépondreSupprimer[1] Source : https://checkyourfact.com/2020/02/21/fact-check-89-americans-45-moon-landing-fake-staged/
[2] Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Apollo_11_missing_tapes
[3] Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Apollo_11_missing_tapes
[4] Source : https://krishna.org/the-apollo-moon-landings-are-science-fiction/
[5] Sources :
https://krishna.org/proof-of-faked-apollo-footage/
http://krishnatube.com/video/1502/Make-Believe-NASA-Moon-Missions-Part-1
http://krishnatube.com/video/1505/Make-Believe-NASA-Moon-Missions-Part-2
https://www.youtube.com/watch?v=3pXW7rROu54
https://krishnatube.com/video/1502/make-believe-smoke-mirrors-part-1-apollo-moon-hoax-proof-vfx-analysis/
[6] Source : https://www.nasa.gov/multimedia/imagegallery/image_feature_2159.html
[7] Source : https://eol.jsc.nasa.gov/Collections/Composites/
[8] Sources : https://www.nasa.gov/topics/earth/features/viirs-globe-east.html
https://sos.noaa.gov/catalog/datasets/polar-orbiting-aqua-satellite-and-modis-swath/
[9] Source : https://www.nasa.gov/image-feature/apollo-8-earthrise
[10] Source : http://www.zephaniah.eu/index_htm_files/Hoax%20Earthrise%20Photos%20Released%20by%20NASA.pdf
[11] Canular d’alunissage 100 % prouvé – Images TOP SECRET et photos falsifiées de la mission Apollo 11 de la NASA.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=bxl_9et5JRQ&t=14s
[12] Source : https://rumble.com/v6tmdxx-this-is-how-they-fake-everything.html
[13] Source : https://www.space.com/biden-nasa-2022-budget-request-science-artemis
[14] Source : https://spaceref.com/status-report/nasa-jsc-software-robotics-and-space-systems-services-request-for-information/
[15] Par exemple, une vidéo intitulée La NASA utilise la technologie de réalité virtuelle pour simuler l'équipage de l'ISS sur vidéo
https://www.globalresearch.ca/analysis-of-the-nasa-moon-landings-and-nasas-use-of-augmented-virtual-reality-technology-in-modern-times/5842596
Alors qu'existent depuis des décennies des 'super-télescopes' capables d'observer des planètes à des milliards de kilomètres... AUCUNE image depuis la Terre vers la lune n'a pu être publié montrant les astronautes, leur engin ni leur drapeau planté sur l'astre !!! Çà alors !!
SupprimerDes millions de personnes quitteront les États-Unis pour survivre lorsque la loi martiale sera déclarée.
RépondreSupprimerPar Madge Waggy
MadgeWaggy.blogspot.com
22 mai 2025
L'Amérique, la plus grande nation du monde, traverse actuellement une période de troubles sociaux sans précédent, et j'oserais dire que ce n'est que le début.
Quel que soit le président, nous devons toujours être attentifs au soi-disant « gouvernement de l'ombre » et à son programme. Et croyez-moi : notre nation est confrontée à une période de troubles massifs, planifiée dès 2015 et qui se poursuivra jusqu'à la mise en œuvre du « programme mondial » poursuivi par George Soros et ses alliés. Les émeutes incontrôlables à venir pourraient conduire à un appel à la loi martiale, comme je vais l'expliquer.
L'Amérique se prépare depuis très longtemps à des soulèvements sociaux massifs (une recherche rapide sur le sujet révélera cette vérité). Ce que je vais vous dire pourrait surprendre certains d'entre vous, mais la plupart des choses que nous vivons sont fabriquées de toutes pièces.
Le manuel de formation de la police militaire de l'armée américaine pour les « opérations de troubles civils », qui a fuité, décrit comment les ressources militaires seront utilisées sur le territoire américain pour réprimer les émeutes, confisquer des armes à feu et même tuer des Américains sur le sol américain si nécessaire lors de troubles civils de masse.
Le ministère de la Défense a lancé l'Initiative de recherche Minerva, un programme complet visant à analyser et à prédire les comportements sociaux en autorisant les « réseaux intelligents » à espionner les interactions privées de chaque citoyen sur les réseaux sociaux. Il s'agit du programme secret du Pentagone visant à prédire les crimes et à connaître vos pensées et votre avenir. Soyez prudents dans vos échanges et vos déclarations sur les réseaux sociaux.
2015 : Jade Helm 15 – Realistic Military Training (RMT) était un exercice militaire réaliste conjoint et inter-agences de guerre non conventionnelle. Il s'agit du tout premier exercice militaire organisé sur le territoire fédéral afin de préparer nos troupes et nos forces de l'ordre à des invasions ou à des soulèvements civils incontrôlés. Un rapide coup d'œil à la carte de l'exercice pourrait nous amener à penser que « le gouvernement fédéral mène intentionnellement une guerre contre ses propres États » (Knowles, 2015).
Le dernier soulèvement social massif auquel l'Amérique est confrontée depuis plusieurs années est un autre mouvement inventé de toutes pièces. On prétend une fois de plus que Soros est le cerveau des manifestations.
RépondreSupprimerTout ce que nous possédons peut devenir propriété fédérale (en particulier les armes et les réserves de nourriture, qui seront les premières confisquées).
Les couvre-feux seront la nouvelle norme, tandis que des groupes d'hommes et de femmes armés patrouilleront les rues en permanence.
L'accès à la nourriture, à l'eau et aux autres ressources sera rationné. Si votre vie dépend d'une dose quotidienne de médicaments, commencez à les stocker à l'avance.
L'inflation sera vertigineuse et, avec une dette nationale de près de 20 000 milliards de dollars, tout est prêt pour une nouvelle crise financière qui fera passer la Grande Dépression des années 1930 pour une promenade de santé.
Tout le monde sera considéré comme suspect. Une simple conversation avec votre voisin à propos de « choses à éviter » peut mettre votre vie en danger.
Il n'y aura plus d'accès gratuit à Internet, tandis que la liberté de la presse et la liberté d'expression appartiendront au passé.
Les 6 règles d'or pour survivre à la loi martiale
Prepper ou pas, voici les 6 règles d'or à suivre si la loi martiale s'installe dans votre ville :
1. Avant tout, ne parlez à personne et ne faites confiance à personne.
Bien que la grande majorité des preppers soient déjà prêts à survivre à tout scénario les coupant de toutes les voies d'approvisionnement habituelles, il ne faut pas oublier qu'en vertu de la loi martiale, tout ce que nous possédons peut devenir propriété de l'État. Par conséquent, ne révélez à personne vos réserves ni vos cachettes secrètes. Je sais qu'il est difficile de ne pas se vanter de ses préparatifs, mais soyez prudent avec qui vous parlez.
2. Renouvelez toujours vos réserves et assurez-vous d'avoir un « kit de survie de base pour la loi martiale ».
Un kit de survie de base pour la loi martiale comprendrait les éléments suivants : un générateur électrique, des filtres à eau, voire des générateurs d’eau (H2O Dynamo), des armes, des provisions pour six mois, du matériel de premiers secours, des vêtements adaptés à tous les temps, une lampe de poche, des piles, un équipement radio et un équipement de navigation. Bien sûr, vous en aurez besoin pour rester sur place. Si vous voulez sortir et affronter la situation… c’est une autre histoire.
Soyez attentifs à votre positionnement. L'armée américaine excelle dans ce domaine et je suis convaincu qu'une grande partie de ce qui se passe dans notre pays vise à positionner des ressources pour réduire les troubles civils dus à ce confinement et, Dieu nous en préserve, aux confinements successifs à venir.
RépondreSupprimerLe fait est que nous avons renoncé à un pouvoir considérable. Ceux qui nous gouvernent sont prêts à envoyer des troupes de choc, si nécessaire. Il est temps pour l'Amérique de faire preuve d'intelligence et de permettre à la population de retourner au travail, en toute sécurité. Il est temps d'isoler les populations à risque.
Sinon, nous verrons la loi martiale dans les villes de ce pays et maintenant vous savez ce que nous risquons de perdre.
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https://www.lewrockwell.com/2025/05/no_author/millions-will-leave-the-u-s-to-survive-when-martial-law-will-be-declared/
(...) L'Amérique, la plus grande nation du monde, (...)
SupprimerLes USA ne représentent que la moitié de la superficie de la Russie et qu'un cinquième de la population chinoise.
Un chef de l’État est un fonctionnaire qui imagine tout seul son programme sans jamais demander l'avis du Peuple comme en Démocratie ! C'est pourquoi, s'il est élu, il applique SON programme et non celui du Peuple. D'où les mésententes dès le départ et les cris par la suite ajoutés des manifestations et vociférations des partis dits dans l''opposition' ! (qui eux-non plus n'ont jamais demandé l'avis du Peuple !!).
Et là, contre ces opposants à cette dictature nazie mise en place, arrive toutes les armadas de policiers et de militaires qui tirent et qui tuent ceux qui osent dire quelque chose ! (comme sur Internet).
Dans ce type de situation il est très fortement déconseillé de faire appel aux merdias mais à se limiter au bouche-à-oreille et au téléphone si l'on veut encore vivre.
Il est donc NÉCESSAIRE de se prendre en mains et de trouver à boire et à manger vite-vite ! car, si vous n'avez pas de jardin ni l'âme d'être un jour élevé au grade de paysan, il ne vous restera plus qu'à mourir.
La vie d'un paysan est celle d'un îléen. Il vit sur une île. Une île entourée de milliards de poissons (gratuits) et, sous les tropiques, de plants de tomates, melons et diverses denrées maraîchères. C'est du gratuit de chez gratuit ! Il n'a sous les tropiques, nul besoin de l'électricité. Le soleil se lève à 6 heures du matin et se couche à 6 heures du soir. Nul besoin de 'téléphone' car il connaît tout le monde aux alentours. Nul besoin de chauffage car le climat est de 15 ou 20°C la nuit et 30°C le jour. Nul besoin de l'Internet pour connaître la vie à des milliers de kilomètres. Il vit. Il assume. Il est là. C'est tout.
Presque toutes les températures extrêmes enregistrées au Royaume-Uni proviennent de décharges, avec d'importantes erreurs potentielles.
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 MAI 2025 - 12H30
Rédigé par Chris Morrison via DailyScpetic.org,
Ces derniers jours, le Royaume-Uni a connu un printemps doux, avec des températures souvent autour de 20 °C. Le Met Office a déployé des efforts considérables pour colorer les cartes en orange et déclarer des températures extrêmes sur l'ensemble de ce territoire verdoyant et agréable. Ou, plus précisément, sur un nombre remarquablement restreint de zones du Royaume-Uni. La promotion du zéro émission nette exige des relevés de températures toujours plus élevés, c'est pourquoi seuls les sites anormalement ravagés par la chaleur fournissent la plupart des relevés quotidiens. J'ai examiné les relevés du Met Office des neuf derniers jours jusqu'au dimanche 18 mai et je peux révéler que près de neuf sur dix températures quotidiennes extrêmes locales ont été enregistrées dans des sites de classe 4 et de classe 5 pour les déchets radioactifs, avec des incertitudes reconnues internationalement de 2 °C et 5 °C respectivement.
Certains emplacements apparaissent constamment dans les relevés. En neuf jours, les sites écossais d'Aboyne et de Tyndrum ont enregistré des températures maximales régionales huit et sept fois respectivement. En Angleterre, Coton-in-the-Elms a enregistré sept températures maximales quotidiennes, tandis que Kielder Castle en a enregistré six. Bien entendu, l'enregistrement de températures maximales dans ces sites corrompus ne signifiait pas que la température de l'air était représentative de la zone environnante. Cela signifiait simplement que les sites étaient mal situés à proximité de sources de chaleur artificielles et produisaient de faux relevés atmosphériques naturels, récemment qualifiés par le Met Office de températures extrêmes « extrêmes ». Tant que le Met Office ne démêlera pas son réseau de plus de 380 stations météorologiques, largement obsolète, ces relevés et enregistrements resteront largement inutilisables.
Chaque jour, le Met Office publie une température maximale journalière pour 16 sites au Royaume-Uni. Au cours des neuf jours consécutifs étudiés, j'ai initialement constaté que 83,8 % des relevés avaient été enregistrés dans des sites de classe 4 et 5, classés par l'Organisation météorologique mondiale comme présentant de grandes « incertitudes » allant jusqu'à 5 °C. Pas moins de 36,6 % des relevés provenaient de sites de classe 5, sans critères de précision et pouvant être localisés n'importe où. Comment un site de classe 4 et 5 peut-il être utilisé pour calculer une température nationale, et a fortiori mondiale, est depuis longtemps un mystère, et leur utilisation centrale pour promouvoir le fantasme du zéro émission nette est un scandale scientifique et politique. Mais j'ai approfondi ces relevés et La situation globale était encore pire qu'il n'y paraissait au premier abord.
L'image ci-dessus, tirée de Google Earth, montre l'emplacement de la station météorologique de Kirkwall, indiqué en rouge. Il s'agit d'un site classé « classe 2 », un site vierge sans « incertitudes ». Le Met Office compte très peu de sites classés « classe 2 », 78 % de ses stations se situant dans les deux dernières catégories de sites non classés. Mais il est impossible qu'il s'agisse d'un site de classe 2. Il est situé à l'aéroport de Kirkwall, à seulement 50 mètres de ce qui semble être le parc à avions. Les bâtiments, parkings et routes avoisinants offrent de nombreuses possibilités de contaminations thermiques. Pourtant, à six reprises au cours des neuf derniers jours, Kirkwall a été cité comme détenant le record de température des Orcades et des Shetland. J'ai retiré Kirkwall, prétendument « non classé comme site non classé », du calcul global, ce qui fait que pas moins de 87,4 % des températures maximales quotidiennes se situent dans les catégories de sites non classés.
RépondreSupprimerIl est bien sûr incroyable que sur une grande île composée de quatre nations différentes et présentant de grandes variations géographiques, les mêmes suspects continuent d'enregistrer les températures quotidiennes les plus élevées. Températures. Aucun endroit n'a été plus chaud pendant sept jours dans les East Midlands que Coton-in-the-Elms ? Qu'y a-t-il de si particulier au château de Kielder pour qu'il ait été plus chaud que partout ailleurs dans le nord-est de l'Angleterre pendant six jours ? Les amateurs de chaleur en Irlande du Nord et au Pays de Galles devraient-ils se rendre respectivement à Castlederg et Porthmadog, où ils auraient connu cinq jours de températures record ? L'Écosse étant souvent plutôt froide, peut-on supposer que les prix de l'immobilier sont plus élevés à Tyndrum, où, au cours des neuf jours étudiés, la ville n'a perdu que deux fois la température la plus élevée de la région Centre, Tayside et Fife ?
Plus tôt ce mois-ci, Ray Sanders, expert en enquêtes, a examiné la station météorologique de classe 5 du centre de l'Angleterre à Coton-in-the-Elms et a conclu : « Il existe des sites pires… mais pas tant que ça. » À la fin de l'année dernière, des articles de Science Feedback, publiés par le Daily Sceptic et Ray Sanders, ont vérifié les faits. Ils détaillaient l'état de délabrement de la plupart des sites du Met Office et l'invention de données de température provenant de plus de 100 sites inexistants. Rédigés en grande partie par le Met Office, ces vérifications suggéraient que les stations notées « insatisfaisantes » en interne ne répondaient pas aux normes de validité des données, et que les enregistrements ne seraient pas utilisés dans les archives officielles. Une récente demande d'accès à l'information a révélé que seulement 27 sites avaient été placés sur la liste des sites météorologiquement dangereux. Comme on disait à l'époque du Far West de la City de Londres, l'autorégulation, comme l'auto-abus, conduit à une vision extrêmement courte. Néanmoins, si le Met Office, en marquant son propre domicile,
À la fin de l'année dernière, des articles de Science Feedback, publiés par le Daily Sceptic et Ray Sanders, ont vérifié les faits. Ils détaillaient l'état de délabrement de la plupart des sites du Met Office et son invention de données de température provenant de plus de 100 sites inexistants. Rédigés en grande partie par le Met Office, ces vérifications suggéraient que les stations classées « insatisfaisantes » en interne ne répondaient pas aux normes de validité des données, et que les enregistrements ne seraient pas utilisés dans les archives officielles. Une récente demande d'accès à l'information a révélé que seuls 27 sites avaient été classés « insatisfaisants » pour des raisons météorologiques. Comme on disait à l'époque du Far West de la City de Londres, l'autorégulation, comme l'auto-abus, conduit à une vision extrêmement courte. Néanmoins, si le Met Office, en corrigeant ses propres devoirs, déclare que les 27 sites sont insatisfaisants, qui sommes-nous pour le contester ?
RépondreSupprimerIl est donc surprenant de constater que Castlederg figure sur la liste des sites « insatisfaisants » et, comme indiqué précédemment, qu'il a enregistré un record local récent cinq jours sur neuf. Il est possible que la liste ait été mise à jour ces derniers mois et que Castlederg ait été retiré. Il serait intéressant de savoir si ce site figurait sur la liste le 21 juillet 2021, date à laquelle un record de température de 31,3 °C a été déclaré en Irlande du Nord. Parmi les autres sites non satisfaisants cités ces derniers jours figurent Redesdale Camp et Hawarden, ce dernier étant un aéroport de classe 4 détenant le record national de température pour le Pays de Galles, établi le 21 juillet 2021.
Pourquoi tout cela est-il pertinent et important ?
Comme nous l'avons montré à maintes reprises dans le Daily Sceptic, ces données surchauffées sont diffusées dans le grand public pour promouvoir les besoins politiques de la neutralité carbone.
Un exemple parmi tant d'autres : Justin Rowlatt de la BBC a rapporté en juillet dernier que le changement climatique augmentait considérablement la fréquence des températures « extrêmes » au Royaume-Uni, « une nouvelle analyse du Met Office l'a confirmé ». Rowlatt a également observé une augmentation de 40 % du nombre de jours « agréables », définis comme des températures autour de 20 °C. « Ces changements peuvent paraître positifs », déplore l'activiste en chef de la BBC, « mais l'évolution du climat au Royaume-Uni représente un bouleversement dangereux pour nos écosystèmes comme pour nos infrastructures. »
https://www.zerohedge.com/political/almost-all-extreme-uk-temperature-highs-recorded-junk-sites-massive-possible-errors
Sans parler des 'météorologues' qui inventent le climat avec des photos satellites à défilement toute les 3 heures !! Pourquoi ne pas utiliser les satellites géostationnaires qui peuvent présenter la météo minute par minutes et seconde après seconde ??
SupprimerD'où l'ABSENCE de bulletins météorologiques fiables où sont donnés des pluies à 300 km alors que ces nuages se vident sur le chemin quelques kilomètres plus loin !! HAHAHA !
Pourquoi cette défaillance ?
La météo n'intéresse guère les citadins qui - sortant de leur appartement s'engouffrent en voitures. Elle n'intéresse que les paysans.