France-Soir avec AFP
le 22 juillet 2025 - 12:43
Les cours du pétrole poursuivent leur baisse mardi, après avoir commencé la semaine en léger retrait, plombés par la menace douanière de Donald Trump qui pèse sur de nombreux pays et doit prendre effet le 1er août.
La date butoir du 1er août approche afin de conclure un accord commercial avec Washington pour les nombreux pays menacés par ces taxes sur leurs exportations.
"La faiblesse actuelle (des cours du pétrole, ndlr) reflète les préoccupations croissantes concernant la demande mondiale" d'or noir, dans le contexte d'escalade des tensions commerciales entre les États-Unis et ses partenaires commerciaux, notamment l'Union européenne, explique Derren Nathan, analyste chez Hargreaves Lansdown.
Vers 09H25 GMT (11H25 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, tombait de 1,03 % à 68,50 dollars.
Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en août, dont c'est le dernier jour de cotation, perdait 1,09 % à 66,47 dollars.
Les prix du brut "sont resté modérés jusqu'à présent cet été, qui correspond généralement à un pic de la demande", souligne Kathleen Brooks, analyste chez XTB, suggérant "qu'à mesure que la demande diminue à l'approche de l'automne, les prix du pétrole pourraient subir des pressions à la baisse".
La hausse des quotas de production menée par l'Arabie saoudite et sept autres membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) plombe également les cours, avec un risque d'offre trop abondante une fois la période estivale passée.
Mais pour John Evans de PVM, "il est prématuré" d'oublier le risque qui pèse sur l'approvisionnement d'or noir du Moyen-Orient. "Les raisons pour lesquelles les prix du pétrole ont augmenté après l'attaque du Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, sont toujours d'actualité", estime l'analyste.
Sur le marché pétrolier, un des risques principaux reste le blocage par l'Iran du détroit d'Ormuz par où transite près de 20 % des barils dans le monde, et qui était au cœur des préoccupations lors du conflit entre l'Iran et Israël en juin.
Avant des pourparlers prévus vendredi à Istanbul avec la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, le ministre des Affaires étrangères a prévenu que l'Iran n'entendait pas renoncer à l'enrichissement d'uranium.
Sur son réseau Truth Social, Donald Trump a aussitôt réitéré sa menace de bombarder à nouveau l'Iran s'il reprenait son programme d'enrichissement.
Année Mois Valeur
RépondreSupprimer2021::: Janvier:::::::::::54,8 $
2020:::::Décembre:::::50,0 $
2020:::::Novembre::::::42,7 $
2020::::::Octobre:::::::::40,2 $
En l'an 2000 le baril valait 21 dollars !
- Dans une autre version, des internautes rappellent qu'en 2008, le prix à la pompe était de 1,37 euro, alors que le baril se vendait 144,65 dollars.
- Fin septembre-début octobre 1990: courte incursion au-dessus des 40 dollars le baril, avant la Guerre du Golfe
- 1,10 franc le litre à la pompe en 1970 (soit 15, 15 centimes d'euro le litre !)
(En 1970, une baguette coûtait en moyenne 60 centimes de franc, soit environ 0,10 euro).
- En 1980, le smic est à 2392 Fr, la baguette à 1.67 Fr. On peut acheter 1432 baguettes. En 1990, le smic est à 5286 Fr, la baguette à 3.14 Fr, soit 1485 baguettes. (1976 1 fr (0,65 €) la baguette.
Le Venezuela est avec 48 milliards de tonnes de pétrole, soit 17,5 % (près de 300 000 millions de barils) des réserves mondiales ; L'Arabie Saoudite avec 40,9 milliards de tonnes de pétrole, soit 17,2 % des réserves mondiales ; Le Canada avec 27,1 milliards de tonnes de pétrole, soit 9,7 % des réserves mondiales.
Le monde consommerait 106,2 millions de barils de pétrole en moyenne chaque jour, contre une estimation de 104,4 millions en 2024 et 102,1 en 2023.
À long terme, les prix de l'essence au Venezuela devraient se situer autour de 0,01 USD/litre en 2026, selon nos modèles économétriques. (Au Venezuela les clients se servent eux-mêmes à la pompe c'est gratos !).
Pourquoi cette augmentation de prix du pétrole abiotique ? Très vite les pétrolmens se sont aperçu de la mise en place de l'escroquerie verte gratuite et, malgré les progrès techniques pour extraire cette abondance infinie et la raffiner le prix a augmenté !
L'intelligence artificielle engendre une inhumanité aveugle
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 19 JUILLET 2025 - 5H25
Rédigé par Bruce Abramson via RealClearWire,
J'ai commencé à étudier l'IA au milieu des années 1980. Fait inhabituel pour un informaticien de l'époque, je m'intéressais exclusivement à l'information, et non aux machines. Je suis devenu obsédé par la compréhension de la vie pendant la transition entre la fin de l'ère industrielle et le début de l'ère de l'information.
J'ai appris que les ordinateurs modifient fondamentalement l'économie de l'information.
Nous disposons aujourd'hui d'un accès plus abordable à une information plus abondante et de meilleure qualité que jamais auparavant.
En théorie, cela devrait aider les individus à prendre de meilleures décisions, les organisations à élaborer de meilleures stratégies et les gouvernements à élaborer des politiques plus performantes. Mais ce n'est qu'une théorie. Vraiment ?
La réponse est « parfois ». Malheureusement, le « parfois non » de l'équation est aujourd'hui sur le point d'entraîner des conséquences dévastatrices.
Considérez l'évolution de l'économie de l'information : la rareté crée de la valeur. Cela a toujours été vrai, dans toutes les cultures et pour toutes les ressources. Si une ressource est insuffisante pour répondre à la demande, sa valeur augmente. Si la demande est satisfaite et qu'il subsiste un excédent, sa valeur s'effondre.
Historiquement, l'information était rare. Espions, avocats, médecins, prêtres, scientifiques, érudits, comptables, enseignants et autres ont passé des années à acquérir des connaissances, puis ont exigé une prime pour leurs services.
Aujourd'hui, l'information est surabondante. Personne n'a besoin de savoir quoi que ce soit, car nos téléphones portables, toujours à portée de main, peuvent répondre à toutes les questions qui se posent. Pourquoi perdre son temps à apprendre, étudier ou assimiler des informations alors qu'il suffit de les consulter à la demande ?
Ayant travaillé ces deux dernières années sur la réforme de l'enseignement supérieur et échangé avec des étudiants, j'ai pris conscience de la portée – et du danger – de cette question. Les étudiants d'aujourd'hui ont un bagage social plus faible que celui que nous avons connu depuis de nombreuses générations, car lorsque l'information a cessé d'être rare, elle a perdu toute valeur.
RépondreSupprimerIl est important de rappeler que ce phénomène est récent. En 2011, on estimait qu'un tiers des Américains et un quart des adolescents américains possédaient un smartphone. À partir de ce moment, l'adoption par les jeunes a progressé plus rapidement que dans la population générale. On estime actuellement que plus de 90 % des Américains et plus de 95 % des adolescents ont accès à un smartphone.
Même les règles limitant l'utilisation en classe ne parviennent pas à surmonter ce changement culturel. Rares sont les étudiants ou les jeunes diplômés d'aujourd'hui qui ont jamais travaillé sans pouvoir anticiper ou interroger un appareil pour obtenir des informations en fonction de leurs besoins. Il n'y a donc aucune raison pour qu'ils aient jamais développé la discipline ou les pratiques qui constituent la base de l'apprentissage.
Le problème plus profond, cependant, est que si la recherche instantanée peut être efficace pour les faits, elle est néfaste pour la compréhension et pire encore pour la pensée morale.
Une recherche rapide peut répertorier toutes les batailles de la Seconde Guerre mondiale, avec les statistiques des victimes et leurs résultats. Elle ne peut révéler les délibérations stratégiques ou éthiques qui ont motivé les belligérants au moment de leur entrée en guerre. Cela ne peut pas non plus expliquer pourquoi Churchill a combattu pour le bien tandis qu'Hitler a combattu pour le mal – une question que nos intervieweurs et podcasteurs les plus populaires ont récemment soulevée.
Du moins, la recherche ne pouvait pas fournir de telles réponses jusqu'à récemment. Les nouveaux systèmes d'IA, qui ont moins de trois ans, s'empressent de combler cette lacune. Ils proposent déjà des explications et des projections, incluant parfois les motivations sous-jacentes à certaines décisions. Ils commencent à s'immiscer dans les jugements moraux.
Bien sûr, comme tous les outils de recherche et de recherche de modèles, ces systèmes ne peuvent qu'extrapoler à partir de ce qu'ils trouvent. Ils ont donc tendance à amplifier ce qui est populaire. Ils sont également des proies faciles pour certains des biais cognitifs les plus élémentaires. Ils ont tendance à surpondérer le récent, l'accessible facilement, le largement répété et tout ce qui confirme des modèles préconçus.
Les récents rapports selon lesquels Grok régurgitait des stéréotypes et des slogans antisémites grossiers illustrent la partie technologique du problème. La vague choquante d'actions terroristes qui ravagent les campus universitaires et attirent les jeunes diplômés dans nombre de nos villes illustre la dimension humaine.
L'abondance d'informations a détruit sa valeur. Parce que l'information – faits et données – est la pierre angulaire de toute compréhension, nous avons élevé une génération incapable de compréhension profonde. Parce que des jugements moraux complexes reposent sur la compréhension, les jeunes Américains sont également privés des principes moraux fondamentaux.
Nous entrons rapidement dans un monde où l'accès généralisé à une information volumineuse produit des décisions et des actions pires, et non meilleures, à tous les niveaux. Nous avons externalisé la connaissance, la compréhension et le jugement vers des dispositifs stériles, facilement biaisés pour amplifier l'opinion publique. Nous avons engendré une génération d'intellectuels aux diplômes prestigieux, profondément immoraux et anti-intellectuels, sur le point d'accéder à des postes à responsabilité.
RépondreSupprimerLorsque l'omniprésence de la recherche instantanée dépassera les faits fondamentaux pour se muer en jugements moraux, des slogans banals et une cruauté insensée domineront nos vies.
Existe-t-il une issue à ce bourbier ? Peut-être la seule que les anciens aient découverte à l'époque où l'information, la compréhension et la moralité conservaient une valeur immense : la foi en une puissance supérieure. Car le chemin que nous avons tracé nous mène vers des abîmes bien sombres.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de ZeroHedge.
https://www.zerohedge.com/ai/artificial-intelligence-breeds-mindless-inhumanity
Par quoi l''intelligence artificielle' c'est-à-dire l'intelligence qui n'existe pas puisqu'elle est artificielle, est-elle constitué ? LIA capte 24/24 h des milliards d'informations qui circulent sur le net. Mais, comme en premier LIA est un programme, et que ce dit programme est dévoyé, censuré puisque politique ! la retenue ne peut déjà pas être exacte. En second lieu il y a des personnes très intelligentes (surdouées) qui vont sur internet lire tel ou tel site, d'autres vont y ajouter des commentaires tandis que d'autres y vont y faire des blogs, tandis qu'aussi d'autres ne vont pas sur l'Internet !
SupprimerDonc là on voit bien le biais de l'information retenue. Des sites scientifiques sont censurés, éliminés de la toile ! (LE VERT BAVOIR a été effacé au mois de Mars 2025 après 15 ans de publications qui retenaient plus de 3 millions de visites PAR JOUR !). La question évidente est pourquoi empêcher quelqu'un de parler ? La réponse est pourquoi les merdias et leurs pédales politiciennes et faux docteurs ou faux professeurs n'ont JAMAIS parlé des publications scientifiques des Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui avaient examiné les flacons mortels injectables proposés sous la dénomination frauduleuse et criminelle de 'vaccins' alors qu'il ne s'agissait que d'expérimentations géniques d'essais.
Les centaines de millions de morts se tairont à jamais !
L'objectif : établir un classement mondial de l'intelligence. Selon les résultats 2025 de l'International IQ, le podium est dominé par les pays asiatiques, la Chine arrivant en tête avec un QI moyen de 107, suivie par la Corée (106) et le Japon (106). L'Iran et Singapour complètent le top 5.
SupprimerFreiner les énergies alternatives
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 18 JUILLET 2025 - 15H10
Rédigé par Gary Abernathy via The Empowerment Alliance,
Les efforts impressionnants de l'administration Trump pour relancer le secteur énergétique traditionnel et fiable aux États-Unis sont une aubaine, non seulement pour les Américains, mais aussi pour le monde entier. Qu'il s'agisse de lever les interdictions de forage offshore de l'ère Biden ou d'accélérer l'octroi de permis d'exploration et d'extraction de gaz naturel, l'engagement du président Trump à exploiter les sources d'énergie les plus abondantes et les plus abordables de la planète préservera la prospérité, la santé et la liberté des Américains.
Mais redonner vie à des ressources énergétiques éprouvées n'est que la moitié du chemin. Il est tout aussi important de freiner l'expansion désastreuse des énergies dites renouvelables comme l'éolien et le solaire, dont l'existence dépend de subventions et d'autres mesures de survie. L'approche tant vantée du « tout-en-un » en matière d'énergie n'est raisonnable que si « tous » sont en mesure de rivaliser sur un pied d'égalité et de démontrer leur fiabilité et leur rentabilité.
Il existe certes des cas où les énergies alternatives sont efficaces et économiquement viables, notamment à petite échelle. De nombreux propriétaires ont choisi d'installer des panneaux solaires sur leurs toits pour répondre à leurs besoins énergétiques. Les micro-éoliennes sont utilisées de manière limitée pour des tâches telles que le pompage de l'eau ou la recharge de batteries. Dans les deux cas, la technologie est rentable pour les usages limités visés.
Mais les grands parcs éoliens et solaires qui ont fleuri à travers le pays sont presque entièrement financés par des subventions gouvernementales et des crédits d'impôt. Comme l'a souligné en janvier l'Institute for Energy Research, « les chiffres du Département du Trésor montrent que les subventions à l'éolien et au solaire éclipsent toutes les autres dispositions du code des impôts relatives à l'énergie, avec un coût de 31,4 milliards de dollars en 2024, et devraient coûter 421 milliards de dollars supplémentaires aux contribuables entre 2025 et 2034, compte tenu des subventions prévues par le projet de loi Biden-Harris sur le climat.»
Le rapport ajoute : « Les dépenses fiscales fédérales consacrées au crédit d'impôt à l'investissement (ITC) et au crédit d'impôt à la production (PTC), principaux moteurs du déploiement de l'énergie éolienne et solaire, sont de loin les dispositions les plus coûteuses du code des impôts fédéral en matière d'énergie. Entre 2025 et 2034, l'ITC et le PTC représenteront plus de la moitié de l'ensemble des dispositions fiscales liées à l'énergie.»
RépondreSupprimerCes subventions et crédits en plein essor sont en contradiction avec un gouvernement déterminé à réduire la taille de l'administration fédérale et créent un marché de l'énergie déséquilibré et non concurrentiel. À cette fin, Trump a présenté début mai un projet de budget qui réduisait drastiquement les subventions aux énergies alternatives et coupait des milliards de dollars aux programmes de lutte contre le changement climatique, favorisés par son prédécesseur.
Selon Reuters, outre la suppression de la plupart des subventions, le projet de budget de l'énergie « annule plus de 15 milliards de dollars de financements pour le captage du carbone et les énergies renouvelables » prévus par la loi de 2021, au nom trompeur, de réduction de l'inflation du président Biden. Seraient également supprimées environ 1,3 milliard de dollars de subventions accordées par la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) pour la « recherche axée sur le climat ».
L'article ajoutait : « Le plan réoriente le financement du Département de l'Énergie vers la recherche et le développement de technologies susceptibles de produire en abondance du pétrole, du gaz, du charbon et des minéraux critiques, des réacteurs nucléaires et des combustibles nucléaires avancés, a déclaré la Maison Blanche sans plus de détails.»
Au moment où nous écrivons ces lignes, une bataille fait rage au Congrès concernant les réductions des énergies alternatives prévues par le « grand et beau » projet de loi de Trump. Certains sénateurs républicains souhaitent prolonger la période avant l'expiration des crédits énergétiques. Comme le rapporte The Hill, la version du Sénat autorise les parcs solaires et éoliens qui démarrent cette année à bénéficier de l'intégralité des crédits.
« Auparavant, lorsque le projet de loi était à la Chambre, il exigeait que ces projets ne démarrent que 60 jours après son adoption, ce qui ne laissait pratiquement aucun temps pour de nouveaux investissements dans les énergies propres », rapporte The Hill. « Le Sénat autorise également les projets dont la construction débutera en 2026 à bénéficier de 60 % du crédit, en 2027 de 20 % et en 2028 de ne bénéficier d'aucun crédit.»
La réaction de Trump aux dispositions plus clémentes du Sénat a été sans équivoque. « JE DÉTESTE LES “CRÉDITS D'IMPÔT ÉCOLOGIQUES” PRÉVUS DANS CE GRAND, GRAND ET MAGNIFIQUE PROJET DE LOI. C'est en grande partie une ARNAQUE colossale », a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux. Les éoliennes et tout ce qui s'ensuit sont l'énergie la plus chère et la plus inefficace au monde. Elles détruisent la beauté de l'environnement et coûtent dix fois plus cher que toute autre énergie. Rien de tout cela ne fonctionne sans subventions gouvernementales massives (l'énergie ne devrait PAS AVOIR BESOIN DE SUBVENTIONS !). De plus, elles sont presque exclusivement fabriquées en Chine ! Il est temps de rompre, enfin, avec cette folie !
RépondreSupprimerAu-delà du style pompeux de Trump, il est difficile de contester ses principaux arguments. Cependant, les réalités politiques – les législateurs s'inquiétant des suppressions d'emplois déjà en cours ou en préparation dans leurs États – impliquent que le projet de loi final inclura probablement davantage de subventions pendant plus d'années que Trump ne le souhaiterait.
Mais même s'il n'est pas idéal, le projet de loi qui sortira du Congrès actuel représentera tout de même un revirement relatif par rapport aux mandats, subventions et crédits draconiens pour les alternatives imposés par l'administration Biden. Aussi imparfait que soit le prochain projet de loi budgétaire, notre avenir énergétique sera bel et bien vaste et magnifique comparé à ce qu'il aurait pu être.
Gary Abernathy est rédacteur en chef, journaliste et chroniqueur de longue date. Il a collaboré à la chronique du Washington Post de 2017 à 2023 et est fréquemment invité à titre d'analyste sur de nombreuses plateformes médiatiques. Il est également chroniqueur pour The Empowerment Alliance, qui défend des approches réalistes en matière de consommation d'énergie et de préservation de l'environnement. La chronique « TEA Takes » d’Abernathy sera publiée tous les mercredis et livrée dans votre boîte de réception !
https://www.zerohedge.com/energy/pumping-brakes-alternative-energy
Pétition anti-loi Duplomb : le conte de fées de l'initiative personnelle
RépondreSupprimer20 Juillet 2025
Les Victoires Populaires a pour slogan : « Faire gagner la gauche... avec vous ! ». (Source)
À l'heure où j'ai commencé à écrire, la pétition postée par Mme Éléonore Pattery sur le site dédié de l'Assemblée Nationale avait dépassé le cap des 500.000 signatures. À l'heure où je poste, elle a dépassé les 800.000. Initiative personnelle qui aurait réussi au-delà de toute espérance ou opération orchestrée ?
Si j'ai bien compris, c'est un compte Facebook avec juste une photo et 439 « ami(e)s ».
Pourtant, la pétition postée le 10 juillet 2025 sur la plate-forme dédiée de l'Assemblée Nationale – qui ne paye pas de mine, le site imposant l'austérité – a dépassé les 500.000 signatures le 19 juillet 2025 et approche les 800.000 le 20 à 10h30.
Elle a certes bénéficié de formidables coups de pouce après son décollage, y compris une dépêche de l'Agence France Presse (AFP), relayée par exemple par le Monde ce 19 juillet 2025 à 16h01.
La veille, à 9h38, Reporterre écrivait en chapô dans « Contre la loi Duplomb, une pétition pulvérise tous les records » :
« Lancée par une étudiante inconnue, une pétition pour le retrait de la loi Duplomb a recueilli près de 150 000 signatures en 8 jours. Elle pourrait ainsi être examinée par une commission à l’Assemblée. Analyse d’un succès citoyen. »
Et, dans le texte :
« Malgré le long weekend du 14 juillet et bien qu’Eléonore Pattery ne soit suivie que par quelques dizaines de personnes sur LinkedIn, la pétition a commencé à être partagée par de plus en plus de monde sur le réseau social ainsi que sur Facebook. Mardi 15 juillet, des plus gros comptes comme celui de Célia Poncelin, communicante engagée pour la transition écologique, ont relayé le post d’Eléonore Pattery. Et là, le boom : 15 000 signatures supplémentaires recueillies en vingt-quatre heures.
Thomas Wagner, alias Bon Pote, vulgarisateur sur le climat très suivi sur les réseaux sociaux, a partagé la pétition. Jeudi 17 juillet au matin, la pétition en est à 45 000 signatures. Quelques heures plus tard, dans la soirée, la barre des 100 000 est franchie. »
Est-ce une initiative personnelle d'une – ci-devant obscure et maintenant célèbre – étudiante qui ouvre sa pétition de la manière suivante :
« Je m'appelle Eléonore PATTERY, j’ai 23 ans, et je suis actuellement en Master QSE et RSE (Qualité, Sécurité, Environnement / Responsabilité Sociétale des Entreprises).
En tant que future professionnelle de la santé environnementale et de la responsabilité collective, j’apprends chaque jour à appliquer ce que vous — législateurs — refusez aujourd’hui de respecter vous-mêmes.
RépondreSupprimerLa Loi Duplomb est une aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire.
Elle représente une attaque frontale contre la santé publique, la biodiversité, la cohérence des politiques climatiques, la sécurité alimentaire, et le bon sens. »
D'aucuns le laissent entendre.
Est-ce donc une pétition qui aurait bénéficié au départ d'un soutien spontané, et qui aurait été fort bien relayée par la suite comme l'explique Reporterre ?
Ou une opération orchestrée ?
Sur son compte LinkedIn, Mme Éléonore Pattery vient d'écrire (c'est nous qui graissons) :
« Un mot : Félicitations !
Merci à toutes celles et ceux qui ont signé, relayé, et surtout... qui croient en ce combat. Merci également aux personnes qui ont préparé le terrain ces dernières semaines pour rendre tout cela possible.
Grâce à vous, la voix du peuple résonne un peu plus fort.
[...] »
Il y a maintenant (assez) longtemps, j'ai donné mon adresse courriel à Générations Futures pour avoir accès à un de ses « rapports ». Depuis lors, je reçois des communications de cette entreprise incorporée sous forme d'association (et je ne m'en plains pas...). Ce 19 juillet 2025, Nadine de Générations Futures me donne du « Chers membres » et m'écrit :
« Une pétition citoyenne, lancée par une jeune femme (Éléonore Pattery), a déjà recueilli plus de 4000 000 [sic] signatures en quelques jours sur la plateforme de l’Assemblée nationale. Cette mobilisation exceptionnelle montre l’ampleur de la colère face à cette loi rétrograde. »
RépondreSupprimerUne « pétition citoyenne, lancée par une jeune femme »... C'est factuellement correct, mais...
Il y a une semaine, Mme Éléonore Pattery écrivait sur un compte LinkedIn qui n'était pas bien alimenté (son billet personnel précédent est vieux de deux mois et sans lien avec notre sujet) et sans doute peu fréquenté :
« Chers citoyennes et citoyens, bonjour,
Je vais aller droit au but : j’ai récemment déposé une pétition sur le site du gouvernement contre une loi qui facilite l’usage de pesticides dangereux, la construction de mégabassines, et l’essor de l’élevage industriel.
Je ne suis pas là pour porter un simple message politique, économique ou écologique. Je ne suis affiliée à aucun parti. Ce que je défends aujourd’hui, c’est la voix de la liberté. Il est urgent que nos décideurs sachent que nous ne sommes pas d’accord, que nous refusons ces pratiques déshumanisantes, détachées de toute considération pour notre santé, notre environnement et notre avenir.
[...] »
Bref, et pour le dire de manière diplomatique, ce n'est pas clair.
Nous n'entrerons pas dans le détail de la pétition. C'est creux, fondé sur l'émotion... ce qui contribue sans doute à son succès. En tout cas, c'est conçu de manière « artistique », très loin de la logorrhée institutionnelle des activistes patentés :
(Source)
La « loi Duplomb » est ainsi devenue sur les réseaux sociaux la « loi poison » :
« Nous sommes ce que nous mangeons, et vous voulez nous faire manger quoi ? Du poison. »
(Source)
Comme l'écrit le Monde en chapô :
« La conférence des présidents de l’Assemblée nationale peut désormais décider de classer la pétition ou d’organiser un débat. Dans ce cas, la loi ne serait pas réexaminée sur le fond et encore moins éventuellement abrogée. »
RépondreSupprimerAh oui ? Que demande la pétition ?
« Je m’oppose donc à la Loi Duplomb.
Par cette pétition, je demande :
- Son abrogation immédiate ;
- La révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ;
- La consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l’agriculture, de l’écologie et du droit. »
On s'agite déjà à gauche. Toujours le Monde, avec AFP :
« "Grâce à votre mobilisation, l’Assemblée nationale devra à nouveau débattre de ce texte qui met en danger notre planète et notre santé !", a réagi La France insoumise, dans un message sur X relayé par son leader Jean-Luc Mélenchon. Le patron des députés socialistes Boris Vallaud a réclamé l’inscription de la pétition à l’ordre du jour de l’Assemblée "dès la rentrée" pour permettre un débat. Et Delphine Batho, députée Génération Ecologie, a demandé à Emmanuel Macron de "ne pas promulguer" la loi. Contacté par l’Agence France-Presse, le ministère de l’agriculture n’a, lui, pas souhaité réagir. »
Notons, pour ce qui est de Mme Delphine Batho, que le président de la République ne peut pas promulguer la loi, le Conseil Constitutionnel ayant été saisi... Mais l'essentiel n'est-il pas de faire du bruit et de participer à la curée ?
Ce fut un parti de gouvernement et c'est, dit-on, une « pétition citoyenne ». (Source)
Il y a deux pétitions qui circulent. EÉLV a manifestement des problèmes de vue. (Source)
Générations Futures aurait-il pris le train en marche ?
À l'heure où je poste, j'ai reçu un autre courriel de Nadine de Générations Futures, intitulé : « 500 000 signataires : un immense merci, maintenant cap sur le million ! », et adressé aux « Chers membres et soutiens » :
« Chers membres et soutiens,
Ensemble, nous l'avons fait !
Grâce à votre mobilisation incroyable, nous avons atteint le cap des 500 000 signataires pour la pétition lancée sur le site de l'Assemblée nationale par Eléonore Pattery ! Bravos à elle et à nous toutes et tous !
C’est une victoire collective qui montre la force de notre engagement pour un avenir sans pesticides dangereux, pour la protection de notre santé et de notre environnement.
RépondreSupprimerMais nous ne nous arrêtons pas là, visons le million de signatures ! [...] »
Au terme de ce billet, amis lecteurs, vous avez encore le choix de croire qu'il s'agit d'une initiative individuelle qui a trouvé de bonnes fées sur sa route... Ou qu'une jeune femme s'est piqué le doigt auprès d'une vieille fileuse, parfois assimilée à Carabosse, pour, non pas s'endormir comme la Belle au Bois Dormant, mais se transformer en activiste.
En lui faisant déposer une pétition dont les revendications sont manifestement irréalistes... ce que, hélas, aucun média n'a relevé à ma connaissance... Il y a de « bonnes fées » médiatiques et activistes qui assistent Carabosse dans ses œuvres.
https://seppi.over-blog.com/2025/07/petition-anti-loi-duplomb-le-conte-de-fees-de-l-initiative-personnelle.html
Réponse: Ce n'est pas parce que LIA est sur les réseaux sociaux et peut développer (imaginer) des millions de posts que le texte a raison.
SupprimerContexte: Le post pris en compte dit:
"Je vais aller droit au but : j’ai récemment déposé une pétition sur le site du gouvernement contre une loi qui facilite l’usage de pesticides dangereux, la construction de mégabassines, et l’essor de l’élevage industriel."
Analyse: 'l’usage de pesticides dangereux,' ! Quels sont-ils ? Des remèdes ! Des médicaments contre les maladies des plantes et des insectes ravageurs qui nous protègent de la famine mondiale.
'la construction de mégabassines. C'est-à-dire de lacs, de marais, bref, d'une très grande piscine pour sauver, alimenter les cultures en saisons sèches.
'l’essor de l’élevage industriel'. Là, se pose LA question du Qu'est-ce que. Un élevage 'industriel' est un élevage qui cloisonne les animaux en des surfaces inacceptables, inanimales et contraires aux droits de vivre animaliers. Ces entreprises réduisent la vie animale à celle végétale du 'trop grand nombre en surfaces réduites.
Réponse: Pour les deux premières propositions l'examen du contexte est sans discutions : NON !
Lorsqu'un être humain est victime d'une attaque microbienne il va chez un médecin lui prescrire pour la pharmacie des 'pesticides' adéquats à la situation.
Pour la deuxième proposition, l’octroi de surfaces inondées est salvateur pour toutes les plantes qui manquent d'approvisionnement en eaux sans quoi elles ne pourraient se développer, produire et alimenter la gente humaine et animale.
Pour la troisième proposition, là, il y a un gros manque d'informations quant à l'usage du mot 'industriel'. Les animaux sont parfois clos en des surfaces 'restreintes' durant la saison froide en étables ou en poulaillers. Mais dès les 'beaux jours' du printemps arrivé les bestiaux gagnent les campagnes verdoyantes comme le font les poules - qui chez moi - sortent en toutes saisons picorer l'herbe et s'alimenter d'éléments nutritifs indispensables (en plus des rations de blé aux mangeoires).
D'où la non-compréhension de l'animosité qui peut régner en 'réseaux sociaux' alimentés à '100 %' par les programmes dits de 'LIA' qui n'ont ni intelligence, ni compréhension des termes, ni solutions à exposer.
Trump pousse Coca-Cola à lâcher le sirop de maïs, jugé nocif, pour revenir au vrai sucre
RépondreSupprimerFrance-Soir avec AFP
le 17 juillet 2025 - 16:40
Coca-Cola a accepté de modifier sa production américaine pour passer au bon vieux sucre de canne, délaissant le sirop de maïs encore plus nocif que le sucre, a annoncé mercredi le président américain Donald Trump, lui-même grand consommateur de la plus célèbre des boissons gazeuses.
Alors que le géant de l'agroalimentaire utilise du saccharose classique en Europe, les consommateurs américains avalent à travers les bulles du sirop de maïs à haute teneur en fructose (SGHF).
"J'ai discuté avec Coca-Cola de l'utilisation du VRAI sucre de canne dans le Coca aux États-Unis, et ils ont accepté", a écrit Donald Trump sur son réseau Truth Social.
"J'aimerais remercier tous les responsables de Coca-Cola. Ce sera une très bonne décision de leur part - vous verrez. C'est tout simplement mieux ! ", s'est-t-il réjoui.
"Nous apprécions l'enthousiasme du président Trump pour notre marque emblématique", a brièvement réagi l'entreprise américaine sur son site.
Le SGHF s'est répandu aux États-Unis dans les années 1970 grâce aux subventions gouvernementales accordées aux producteurs de maïs et à des droits de douane élevés sur le sucre de canne.
La décision de Coca-Cola pourrait affecter les producteurs de maïs de la "Corn Belt", une région du Midwest qui représente pourtant un important vivier d'électeurs de Donald Trump.
Le SGHF et le saccharose, plus couramment appelé "sucre de table", sont tous deux composés de fructose et de glucose. Mais leur structure diffère : le SGHF contient du fructose et du glucose libres (non liés) dans des proportions variables tandis que, dans le saccharose, ces deux sucres sont liés chimiquement.
Les sucres sont dits "libres" en fonction de leur pouvoir sucrant.
Une différence structurelle qui semble avoir une incidence plus que significative sur la santé, avec une augmentation d'un marqueur d'inflammation chez les personnes consommant du SGHF, facteur de risque bien connu de cancer.
De plus, une étude publiée dans Science (2019) a montré que le SGHF favorise la croissance tumorale intestinale chez des souris prédisposées au cancer colorectal, sans lien direct avec l'obésité. Le fructose est métabolisé en fructose-1-phosphate dans les tumeurs, ce qui stimule la glycolyse et la synthèse d'acides gras, favorisant la croissance tumorale. Une autre étude de 2024 (Nature) a indiqué que le foie transforme le fructose en lipides (LPC) qui alimentent la croissance de tumeurs comme le mélanome, le cancer du sein ou du col de l'utérus chez les souris.
Le sérieux travail de R. Kennedy Jr. porte bien ses fruits, et le MAHA "Make America Healthy Again" semble en route pour changer l'Amérique, et par ricochet le monde, en pointant sans trop de compromis ce qui nuit au vivant.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/trump-pousse-coca-cola-lacher%20le-sirop-de-mais-juge-nocif-pour-revenir-au-vrai-sucre
Comme pour le sucre de canne qui a un pouvoir sucrant deux fois plus élevé que celui de la betterave, il se retrouve côte-à-côte sur les étagères de supermarchés au... même prix !!
SupprimerC'est une honte ! Il faut 2 cuillères à café de sucre par tasse quand il s'agit de 'sucre de betterave' alors qu'il n'en faut qu'une pour le sucre de canne !
Notez bien que sur les emballages de sucre il n'est JAMAIS spécifié 'Sucre de betteraves' !!
la singularité woketopie
RépondreSupprimerplus de pronostic de chats
el gato malo
17 juillet 2025
Le complexe industriel progressiste de l'âne marécageux est en réel en difficulté. Comme à peu près à chaque mouvement gauchiste tardif, ils habitent maintenant l'épave de leurs propres politiques et essaient de trouver quels réactionnaires blâment la nouvelle famine qui émergeait du plan de 5 ans qui était censé faire des arcs-en-ciel et des licornes en temps d'harmonie universelle une fois que les masses benights ont finalement élevé leur conscience à un niveau.
Cela se passe toujours dans cette direction.
Le collectivisme de gauche est une forme de déni de la réalité. il casse tout ce qu'il est destiné à fixer en supposant que le monde entier est pénairable et à débattre, que le haut peut être vers le bas, les hommes peuvent être des femmes, que les gens travailleront sans incitations (ou face aux incitations à ne pas faire), que tout le monde veut être une bonne personne et jouer le long si seulement donner une chance, et toutes les autres formes de culte de la cargaison calatous.
De toute évidence, cela ne fonctionne jamais et, évidemment, le genre de personnes prises par de telles illusions qui externalisent leur identité à de tels mouvements comme source de pouvoir et de but ne seront même jamais en mesure de voir que (beaucoup moins l'admettent) et donc c'est tout "doubler" et "demsplain plus fort" jusqu'à ce que le spectacle des femmes trans-obèses harcelant les jeunes hommes sur leur toxicité est "la façon de ramener les jeunes électeurs".
Ce n'est pas une blague. C'est vraiment un candidat candidat à la mairie de minneapolis sur la plate-forme des « gens blancs sont ce qui ne va pas avec le minnesota ».
C'est tout un thème. C'est « je vais extraire les votes de l'auto-repensement du vassar et du jaden de l'orerline jusqu'à ce que je puisse les amener à soutenir leur propre annihilation ».
Ce n'est pas vraiment nouveau, c'est juste une version plus extrême de beaucoup des effacements abjects que nous avons déjà vus.
Et notez que le gazon zombie de sarrasin de la chicago n'a pas aidé. ils ont trouvé un feu tout à fait plus désagréable dans lequel sauter de leur poêle. Les bastions bleu foncé semblent pris dans une spirale de culte suicide où la plupart vont tout simplement aller de l'avant jusqu'à ce que quelqu'un essaie d'importer jimmy « barbecue » cherizier du haiti afin d'établir une loi et un ordre.
J'ai parlé de cette tendance à « la haine de » comme « l'idée la plus importante dans la politique actuelle », et vous pouvez vraiment la voir apparaître partout où le système immunitaire électoral est faible, une sorte d'infection opportuniste pour déranger les drones d'illusions gauchistes à un stade avancé. c'est vraiment assez simple à la fin :
RépondreSupprimerL’une de mes prédictions dans le groupe Moneyball était que cela allait s’avérer être « l’arsenic électoral », enfermant la gauche dans une spirale de nébulisation qui leur serait dévastatrice lors des élections générales en dehors des limites de leurs doholes de civilisation bleus.
dans la belle tradition de la section « la mauvaise attitude commente », beaucoup n’étaient pas d’accord et ont estimé que mes espoirs étaient mal placés ou vomiss.
Alors permettez-moi de faire mon cas plus en détail, parce que je pense que l'argument est persuasif :
Mon thème de base est le suivant: le soutien dem s'effondre pour un certain nombre de raisons.
leurs idées elles-mêmes sont rance
Ils sont tellement mariés à ces idées qu'ils présument que quiconque est en désaccord est soit stupide, maléfique et ne puisse pas imaginer une troisième raison possible
leurs idées ont peu de fondement réel et sont plus réactives que les principes, et donc leur opposition réflexive de l'emporter sur des questions où il est fort ne cesse de les épingler du côté perdant de 60/40, 70/30, et même de 90/10 sortes de problèmes.
Et cette laideur impie est la fin de la fin de leur présence populaire. leurs propres sondages le disent, et même face à cela, ils ne peuvent pas répondre par quoi que ce soit d'autre que "doubler, demsplainr plus fort".
Et les sondages sont MAUVAIS.
Le parti a vu son soutien s'éroder avec les hommes blancs, les hommes hispaniques et les électeurs de la classe ouvrière dans tous les domaines, avec des taux d'approbation inférieurs à 35 pour cent parmi ces groupes démographiques. Et l'enthousiasme au sein du parti continue de s'estomper à la suite de 2024, a révélé le sondage.
RépondreSupprimer« C’est la réalité de notre perception en tant que parti, et jusqu’à ce que nous l’acceptions, il sera difficile d’aller de l’avant », a déclaré le stratège démocrate Rodell Mollineau, qui est conseiller principal du super PAC. « Il y a une perception là-bas, en dehors des élites démocrate, et elle s’est implantée non seulement dans la foule de MAGA, mais dans des gens qui devraient être avec nous. »
« Les démocrates doivent le comprendre pour s’améliorer et mieux gagner non seulement en 2028, mais aussi pour gagner en 2030 et 2032 et au-delà », a ajouté M. Mollineau.
Aucun des fidèles grombres n'est prêt à entendre cela.
leurs idées ranceuses ont été turbulées et la lutte ont été entourées de wubbies convoités, embrayés comme gollum, à des coffres creux et à des têtes creuses.
Ils savent tous qu'il y a un problème, mais ils sont incapables de faire quoi que ce soit à ce sujet.
« Un sondage AP-NORC en mai a révélé que seulement 35 % des démocrates interrogés sont optimistes quant à l’avenir du parti, contre 57 % en juillet 2024.
ils s'enfoncent dans le désespoir parce que « nous ne cessons de leur dire plus fort que les hommes qui se rendent devraient être autorisés à démolir l'équipe féminine » car ils se retrouvent du mauvais côté d'un type de problème 90/10, mais restent sûrs d'être la majorité parce que « tout ce que nous connaissons le pense ».
l'intensité de leur splendide isolement est devenue si aigu qu'ils n'ont pas connu la réalité à des siècles, ce qui les a rendus aigus et stupides, un ensemble de modems analogues capables de se verrouiller sur d'autres dont la poignée de main commence par des cris hystériques de « l'homme d'orange mauvais ».
Même pravda sur le hudson se rend compte qu'il peut y avoir un grave problème ici.
RépondreSupprimerImage
cet article est étonnant dans son exposition du phénomène de « la manœuvre de la salle passive juste et agressive sûre de la vertu et de la justesse ».
C'est vraiment en quelques mots et dit essentiellement tout :
Il n'y a pas si longtemps, j'ai ressenti un devoir civique d'être grossier envers le frère cadet de ma femme.
C'est pourquoi les vestiges de la gauche sont devenus si intolérables et incapables de communiquer avec quiconque n'est pas comme lui. ils considèrent qu'il est de le devoir de le devenir et cela a été raréfié par 20 ans de chambre d'écho en une idéologie incapable de comprendre « l'autre ».
Vous atterrissez ici:
« Si Matt avait été un ami plutôt qu’un membre de ma famille, j’aurais probablement interrompu complètement le contact. En l'état actuel des choses, dans les rares et toujours en plein air où nous nous sommes vus, j'ai parlé en désapprouvant des extraits.
« Le travail a-t-il été bon ? »
« Mhrmm. »
Mon gel n'était pas personnel. C'était stratégique. Etre inamical envers les gens qui ont refusé le vaccin semblait être la bonne chose à faire. Comment pourrions-nous autrement les motiver à se régaler de leurs manières?»
Et bien que cela puisse être vaguement tenable si vous êtes dans la grande majorité, en tant que groupe minoritaire, c'est la mort. Vous continuez à vous éclipser dans l'indistinction. Le simple fait est qu'une grande partie de la doctrine de gauche aux États-Unis n'a jamais été la majorité. Elle a simplement réussi à utiliser la culpabilité, les mensonges, le contrôle des médias et l'annulent la culture pour se faire apparaître en tant que telle et comme une force sociale dominante.
Alors le sort brisé, et tout cela « coupez votre chemin vers l'ascendant moral » s'est transformé, comme tant de doctrine gauchiste en scène tardive, en auto-mutilation.
la chasse sans fin aux « réactionnaires » à purger lors de la prochaine série de séances de lutte a rendu la gauche entièrement réactionnaire, un coup de poing et un spectacle de judy « nous nous opposons à tout avantage pour lequel il y a de plan ».
RépondreSupprimervous pouvez le voir sur l'affichage livide dans la section des commentaires sur le NYT qui est surréalistique. Ce sont des gens définis par l'opposition et la haine qui pensent qu'ils sont le ministère de l'amour.
Et en dehors de la tribu qui se rétrécit en rien, il se retrouve dans des nœuds celtiques de rage et d'impuissance, elle joue comme le syndrome du bébé.
Sérieusement, expliquez-moi comment cela arrive au milieu d'une société où les points de vue de cette tribu sont du mauvais côté de 90 % des questions populaires de l'époque.
Ce ne sont rien de tel que le pire, juste les premiers cas aléatoires i attrapés. Il y en a 625, presque tous identiques en ton et contenu, une foule de PNJ de gratitude personnelle pour être impossible à contourner et refus d'accepter quelqu'un de différent de soi.
à quoi cela construit-il une sorte de pont?
Rien, c'est « la route vers la fin », le sel confondu avec l'engrais dans une tentative de raviver les récoltes défaillantes du plan quinquennal.
Notez combien peu de choses sont exprimées comme n'importe quelle sorte de positif. Il n'y a pas de « nous devons faire X » ou « des objectifs comme Y matière », tout est « obtenir ces salauds. Ils sont mauvais».
Dans leur chasse aux « réactionnaires » à blâmer pour leurs échecs, ils sont devenus la quintessence de réactionnaires et presque entièrement définie par « l'opposition » plutôt que par « la motivation » et c'est la mort au moment où de nombreuses positions de l'avatar éléephantine de tout ce qui est faux dans le monde ont en fait beaucoup de sens et ont une monnaie et une popularité généralisées.
les ânes se sont peints en une douzaine de coins.
ils ont adopté de très , les politiciens jouant le plus stupide des jeux sous un pire état.
Vance emmène les enfants à la disneyland et se fait protester. Les politiciens jouent à être offensé.
Le superviseur du comté d'Orange, Vicente Sarmiento, s'est adressé aux manifestations lors d'une interview avec KTLA, en disant : « Je suis offensé par la visite, parce que tant de familles sont terrorisées par les politiques du gouvernement fédéral. »
Et tout cela semble stupide au milieu par ces « joueurs » tellement dépourvus de contexte ou de perspective qu'ils croient eux-mêmes pour peupler un jeu de moralité plutôt qu'une farce.
RépondreSupprimerPendant ce temps, l'affaire du GOP est simple et directe :
« La gauche a changé leur tactique, le Parti démocrate a changé de tactique pour utiliser la migration comme arme pour briser la classe moyenne et pour acquérir le pouvoir politique et le contrôle dans ce pays », a-t-il poursuivi.
« Ils ont utilisé la migration pour détruire notre système d’éducation publique, pour détruire notre système de soins de santé, pour détruire les salaires et les conditions de travail de la classe moyenne de ce pays et, en fait, pour détruire la cohésion sociale et communautaire. »
Et s'opposer à cela semble tout simplement terrible.
Les factures de soins de santé et autres programmes en faveur des illégaux semblent terribles
La Californie est à l'origine d'un effort visant à forcer les contribuables américains à financer des cours d'anglais pour les étrangers en situation irrégulière.
L'État - avec 21 autres États, deux gouverneurs et le District de Columbia - a intenté une action contre l'administration Trump, affirmant que 6,8 milliards de dollars de financement fédéral ont été « gelés illégalement » des États collectivement, et 939 millions de dollars rien que de la Californie.
Comment cela joue-t-il un vote en difficulté de la classe moyenne aux prises avec les prix de la maison, de l'alimentation et des soins de santé et dont les enfants se retrouvent maintenant à court rincer dans les écoles inondées d'enfants d'immigrants (légals et illégaux) dont le manque d'anglais les rend incapables de suivre le rythme et dont l'inadéquation culturelle cause la violence et l'échec? (demandez les écoles de minneapolis à ce sujet)
Les bébés d'ancrage ont été un désastre.
RépondreSupprimerLa liste continue et le simple fait est que le fait de plaider pour « des matières gratuites pour les illégaux alors que les locaux se passent sans » est juste un mauvais message sans sens derrière lui et moins de base morale. C'est un stratagème cynique de cultiver une nouvelle classe d'électeur dépendant (ou auto-harmifiant) et de baller les listes de recensement pour obtenir le vote électoral et les sièges à la Chambre dans les élections fédérales.
c'est déchiqueter la base de l'âne parce que, pour paraphraser la dame de fer, leur socialisme de patronage de gimmiecrate a finalement « libéré de l'argent des autres ».
Et ça ne fait qu'empirer.
la simple herbe et hors-piste, la messagerie déformée ne fait pas d'amis en dehors du cercle déjà enfoncement.
l'ensemble des points de squakkings du démocrate sont devenus une vaste défense de l'indéfendable car « l'homme d'orange mauvais » est présumé couvrir tous les péchés, même les péchés comme « vous avez utilisé l'argent des contribuables pour nous inonder de ces illégaux afin de manipuler et de détruire notre processus démocratique et maintenant vous criez sur « gestapo » si quelqu'un a essayé de vous annuler.
C'est classique « agir mal puis faire l'histoire de quelqu'un qui essaie de vous arrêter comme s'il s'agissait d'une violation des droits » et en tant que mème, il est désespérément fatigué.
trop nombreux ont vu trop de ces tactiques, programmes et protestations.
Et beaucoup de ces programmes s'annulent sont au-delà de ridicules
Parmi les contrats récemment annulés, il y avait un États-Unis. Le projet du Département de l'agriculture est décrit comme un « consultant du Mexique en matière de paysages durables » et un programme du Département du Trésor comprenant « la mentoration, l'évaluation, l'apprentissage des services spécialisés en Haiti ». DOGE a publié des captures d'écran des descriptions de projet sur ses plateformes officielles de médias sociaux pour mettre en évidence des exemples de ce qu'il considérait comme des dépenses inutiles.
Et cela est pâlisse à côté de tout le « financement de l'éducation permanente sur la découverte de 47 sexes dans les écoles maternelles afghanes » ou « l'argent pour que les garçons puissent battre les filles sur les terrains de sport ».
RépondreSupprimerLes écoles ont perdu tout ce que prétendant de ne pas rester complètement en retard et les syndicats d'enseignants ont explosé en plaidoyer politique et en inclusion à grande échelle présentée comme un impératif moral.
Cela rend probablement la faculté de wesleyan se lever et applaudir, mais ma et pa mid america vont voir cela et penser « jouup, décrètes ces fous avant qu’ils ne fassent plus de mal ».
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Au milieu des hurlements de la folie blessée doit mourir de l'union de l'enseignant scjholastic.
au niveau national, cette fête est sans houblon. Ils ne peuvent pas attirer ou élever le talent parce que c'est un test de loyauté vaste et même intensifiant pour la fidélité sans tas à la folie oppostionale.
Quand vous avez le kamala comme seul leader connu, vous êtes cuit.
Le sondage a été mené du 10 au 14 juillet et a demandé une séparation presque paire de 2024 des électeurs de Kamala Harris et de Donald Trump leur opinion sur une vaste liste de sujets, y compris l'approbation de l'emploi pour Trump et les réflexions sur 2028 favoris. Et qui supposez-vous que les électeurs démocrates - du moins à partir de l'été 2025 - ont confiance pour être leur candidat dans trois ans? Vous l'avez deviné : Kamala Harris, qui a enregistré à 26%, dépassant Pete Buttigieg et Gavin Newsom de 15 % et 16 pour cent, respectivement.
même les puits de prédilection profonds sont défaillants et ont entraîné un succès en groupe, mais une telle approbation est un iceberg en rétrécissement.
Tout est parti à la pince et il n'y a même personne capable de trouver la barre de cette émeute sans gouvernail de dysfonctionnement et d'incompréhension.
Donc oui, ils sont bruyants et dans quelques points perdus depuis longtemps, ils géreront la victoire, mais ces idées sont leur pire inculpation, et la spirale réactionnaire ici aliénera 80% de l'Amérique parce que personne n'aime les séances de lutte crybully par la majorité morale autoproclamée qui est devenue une infime minorité.
Restez-vous dans.
le discrédit à venir durera une génération.
https://boriquagato.substack.com/p/the-woketopian-singularity?utm_source=post-email-title&publication_id=323914&post_id=168389732&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
RépondreSupprimerÊtes-vous sérieux, là, Ligue Contre le Cancer et AFP ?
14 Juillet 2025
C'est manifestement une outrance. Comment la Ligue contre le Cancer peut-elle être crédible ? (Source)
La désinformation et l'intoxication de l'opinion publique après l'adoption de la loi dite « Duplomb » ou « Duplomb-Menonville » ne faiblit pas. La Ligue contre le Cancer a publié un communiqué inepte.
L'AFP a jugé bon de le relayer.
Nous avons un gros problème de déontologie médiatique.
Supposez que quelqu'un affirme : « 1 + 1 =3 ». Si c'est un quidam, il y aura au plus quelques quolibets de la part de ceux qui l'auront entendu. Mais cela devient une « information » si c'est un personnage connu ou une entité à qui la médiasphère ne veut pas vraiment du bien ; ou qui, inversement, est muni d'une auréole de crédibilité, surtout si cela est conforme à la ligne éditoriale du média ou de son journaliste.
Dans un cas, c'est : « Ha ! Ha ! Ha ! Il a dit que... »... ça fait toujours de l'audience. Dans l'autre c'est par exemple : « Oh ! C'est important ce qu'il nous dit... »
Certes, « 1 + 1 = 3 » est un exemple farfelu et « dur à avaler ». Il faut généralement un propos plus subtil.
Et c'est là qu'intervient le problème de déontologie : que doit faire un média dans ce cas ?
Un communiqué de presse inepte de la Ligue contre le Cancer
La Ligue contre le Cancer a publié au lendemain de l'adoption de la loi dite « Duplomb » ou « Duplomb-Menonville », le 9 juillet 2025, un communiqué de presse, « Pesticides : la Ligue contre le cancer fustige la loi Duplomb ».
En chapô :
« La Ligue contre le cancer déplore l’adoption définitive, le 8 juillet, de la "loi Duplomb" qui réintroduit l’acétamipride, un pesticide interdit depuis 2018 par la France et qui, d'après des études récentes, est potentiellement cancérigène. »
« La Ligue […] déplore » est une information... Mais comment la traiter quand sa motivation résumée se réduit à « potentiellement cancérigène » ?
N'attendez aucune explication du texte du communiqué. Il s'égare dans ce qu'il convient d'appeler des banalités, des lieux communs et des annonces d'apocalypse :
« La Ligue dénonce un camouflet pour le principe de précaution – qui devrait exiger une alternative – alors que l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a établi, depuis 2013, un lien entre l’exposition aux pesticides et certains cancers, lien reconfirmé en 2021 :
présomption forte pour les lymphomes non hodgkiniens (cancers du système lymphatique), le myélome multiple (cancers du sang), les cancers de la prostate ainsi que les cancers de l’enfant suite à une exposition pendant la grossesse ;
présomption moyenne pour les leucémies.
Autre risque à long terme : l'allègement des normes sur les pesticides pourrait creuser les inégalités en santé, en aggravant l’exposition de certaines personnes, selon :
leur profession : agriculteurs, mais aussi fleuristes, jardiniers, vétérinaires et bien d’autres…
leur lieu de vie : riverains des zones d’épandage. »
Il y a là, matière à contextualisation...
Ainsi, non, l'INSERM n'a pas « établi [...] un lien... ». Il a procédé à une étude bibliographique, certes de grande envergure, et évalué les niveaux de plausibilité des liens (des associations ou corrélations) en fonction de la quantité et de la qualité des études scientifiques disponibles (en se fourvoyant parfois, ce qui ne peut qu'être attendu au vu de l'immensité du projet).
RépondreSupprimerIl y a aussi une réaction de Mme Francelyne Marano, vice-présidente de la Ligue et professeure émérite en toxicologie à l'Université Paris Cité. En voici le premier paragraphe :
« La Ligue contre le cancer ne peut que déplorer l’adoption de cette loi en l'état, synonyme de régression environnementale. Elle ne résout pas les réelles difficultés des agriculteurs, avant tout économiques. En levant certaines contraintes, ce texte ne protège personne — ni les enfants, ni les concitoyens, ni même les agriculteurs, qui seront les premiers exposés aux néonicotinoïdes. »
En bref : à nouveau rien sur l'acétamipride en particulier ; des considérations générales pour lesquelles la Ligue n'a aucune compétence ; des appels à l'émotion.
Le pire : les néonicotinoïdes dans les champs français seraient une abomination... alors qu'ils sont d'usage courant dans les milieux domestiques !
On attend mieux d'une professeure émérite en toxicologie...
L'AFP, sans recul, ni contextualisation, ni critique
Ce gloubi boulga méritait une dépêche pour l'Agence France Presse.
L'AFP s'est contentée de perroquèter le communiqué de presse de la Ligue contre le Cancer, sans recul, ni contextualisation, ni critique.
Voir par exemple « Pour la Ligue contre le cancer, la loi Duplomb "met en péril la santé des générations futures" » de Sud-Ouest.
Il est permis de se demander : l'AFP est-elle fidèle à sa mission d'information ?
En d'autres termes, informe-t-elle ou participe-t-elle au contraire – sciemment vu le niveau de polarisation ambiant et la nature des arguments qui sont versés au « débat » – à la désinformation et à l'alimentation d'un climat de contestation (pour employer un terme mesuré) ?
À partir d'un certain niveau de « convergence », ou si celle-ci est organisée, on peut parler de conspiration. (Source)
« Loi Duplomb réintroduisant un néonicotinoïde : des députés médecins expliquent leur vote »
C'est le titre d'un article du Quotidien du Médecin.
Il écrit notamment :
RépondreSupprimer« Dans le détail du scrutin, la majorité des anciens ministres de la Santé ont voté pour : l’allergologue Geneviève Darrieussecq (MoDem), la pharmacienne Agnès Firmin Le Bodo et Frédéric Valletoux (Horizons). À l’instar de son groupe, Aurélien Rousseau (socialistes et app.) a voté contre.
Parmi les députés médecins du parti présidentiel (EPR), les généralistes Anne Genetet et Michel Lauzzana, la rhumatologue Stéphanie Rist et le chirurgien Jean-François Rousset sont favorables à cette mesure. C’est également le cas de l’anesthésiste-réanimateur Philippe Juvin (DR) et la généraliste Joëlle Mélin (RN).
Seuls trois médecins s’y sont opposés : le généraliste Paul-André Colombani (Liot), l’ORL Cyrille Isaac-Sibille (MoDem) et la généraliste Dominique Voynet (Écologistes). »
Cela fait une majorité de la profession médicale dans l'Assemblée Nationale...
Mais ce n'est pas une information digne d'être répercutée par l'AFP.
Le quotidien écrit encore :
« C’est en substance ce qu’a défendu son collègue du bloc central, le généraliste Michel Lauzzana. "Nous n’avons pas fait n’importe quoi : nous sommes bien conscients qu’il ne faut pas manger l’acétamipride à la petite cuillère, mais ne soyons pas excessifs ! La propagande a été honteuse, ce n’est même pas prouvé que le produit tue les abeilles !", s’est-il agacé auprès du Quotidien. »
Oui, la propagande a été honteuse. Elle l'est toujours, et se poursuit. Avec le concours au mieux complaisant de l'AFP.
À notre connaissance, personne n'a relevé combien ce communiqué de la Ligue contre le Cancer était foireux. Du reste, peu nombreux aussi ont été ceux qui se sont investis dans le rétablissement des faits.
La désinformation prospère aussi sur le lit de silence des « sachants ».
Nous avons un problème de déontologie médiatique...
https://seppi.over-blog.com/2025/07/etes-vous-serieux-la-ligue-contre-le-cancer-et-afp.html
De la peinture au plomb toxique utilisée comme colorant alimentaire rend malades 233 enfants chinois, révélant une corruption systémique
RépondreSupprimer07/11/2025
Cassie B.
Plus de 200 enfants de la province du Gansu ont été gravement intoxiqués au plomb après que le personnel d'une école maternelle leur a donné des aliments colorés avec de la peinture industrielle toxique, dépassant de 2 000 fois les limites de sécurité.
Des enquêtes ont révélé que le personnel utilisait intentionnellement de la peinture non comestible pour colorer les repas, privilégiant le profit à la sécurité, tout en ignorant les avertissements explicites concernant la consommation.
Les parents ont soupçonné une intoxication pendant des mois, mais ont été licenciés jusqu'à ce que des tests indépendants confirment des niveaux extrêmes de plomb, environ dix fois supérieurs au seuil d'intoxication « grave » en Chine.
Cet incident fait écho à d'anciens scandales liés à la sécurité alimentaire en Chine, révélant une corruption systémique, un manque de responsabilisation et une contamination environnementale récurrente préjudiciable aux enfants.
Les critiques mettent en garde contre la collusion incontrôlée entre l'industrie et l'État, qui permet de tels abus, et reflète les défaillances réglementaires mondiales, exigeant une transparence urgente pour protéger les générations futures. Plus de 200 enfants innocents de maternelle dans la province chinoise du Gansu ont été empoisonnés, certains gravement, après que le personnel scolaire leur a administré des aliments contenant de la peinture industrielle contenant des concentrations mortelles de plomb. Les autorités ont confirmé cette semaine que 233 des 251 élèves testés à l'école maternelle Heshi Peixin présentaient une plombémie dépassant les limites de sécurité, les échantillons d'aliments contaminés révélant des concentrations de plomb 2 000 fois supérieures aux seuils légaux. Le directeur et sept autres personnes sont désormais poursuivis au pénal, mais les parents indignés exigent des réponses : comment un tel mal a-t-il pu prospérer sans contrôle ?
Des toxines industrielles ont servi de « colorant alimentaire ».
Selon l'enquête de la municipalité de Tianshui, le personnel de cuisine, sous la direction du directeur de l'école maternelle, avide de profits, a utilisé à plusieurs reprises des pigments de peinture bon marché et non comestibles pour teindre des gâteaux et des rouleaux de maïs cuits à la vapeur, trompant délibérément parents et enfants avec des repas aux couleurs vives. L'emballage de la peinture mettait explicitement en garde contre la consommation, mais il semble que les profits aient pris le pas sur les considérations d'humanité.
« J'ai eu un trou de mémoire », a confié une mère aux médias d'État après qu'un hôpital indépendant de Xi'an a signalé une plombémie de son enfant à 528 microgrammes par litre, ce qui constitue un diagnostic d'« intoxication grave » selon les normes sanitaires chinoises.
RépondreSupprimerIl est choquant de constater qu'il ne s'agit pas d'un incident isolé. L'histoire des crimes environnementaux et de la sécurité alimentaire en Chine se lit comme un roman dystopique : en 2008, 300 000 nourrissons ont été contaminés par du lait maternisé contaminé à la mélamine, un scandale qui s'est soldé par l'exécution de dirigeants responsables. Des épidémies d'intoxication au plomb ont ravagé des villages entiers à proximité de fonderies et d'usines. Et pourtant, nous voici de nouveau confrontés à une nouvelle génération d'enfants sacrifiés à la corruption systémique.
Parents réduits au silence, tests truqués
Le plus bouleversant dans cette histoire est que les parents ont soupçonné une intoxication pendant des mois. Dès mars, les enfants ont souffert de maux d'estomac, de léthargie et de changements de comportement, mais les autorités locales ont ignoré ces inquiétudes. Ce n'est que lorsque des familles ont financé des tests indépendants à Xi'an que la vérité a fait surface : des analyses sanguines ont montré que 70 enfants dépassaient les seuils d'intoxication au plomb, dont six cas dix fois plus graves que la classification « grave » de la Chine. Si l'on compare cela aux vagues rapports initiaux du gouvernement de Tianshui faisant état de niveaux « anormaux », la dissimulation devient évidente.
« Les enfants ne mangeaient [des aliments contaminés] qu'une ou deux fois par semaine ; comment ont-ils pu être intoxiqués à ce point ?» s'est interrogée une mère, prénommée Wu. Son scepticisme met en lumière un point crucial : une exposition chronique suggère que le plomb s'est infiltré dans l'organisme de ces enfants par de multiples sources, peut-être l'eau polluée, le sol, ou même les fournitures scolaires. Pourtant, les autorités incriminent uniquement l'alimentation, un bouc émissaire commode qui étouffe les enquêtes environnementales plus larges.
Soyons clairs : ce n'est pas seulement « le problème de la Chine ». La même collusion entre les entreprises et l'État, qui autorise la distribution de produits chimiques industriels dans les goûters des maternelles, reflète la tolérance laxiste de la FDA à l'égard des pesticides, des métaux lourds et des substances chimiques indéterminées dans les aliments américains. Si les limites de plomb en Chine sont plus strictes qu'aux États-Unis (0,5 mg/kg contre 1 000 ppm pour les bonbons, fixées par la FDA), le problème fondamental est le même : des systèmes irresponsables qui protègent les profits au détriment des enfants.
Les autorités chinoises promettent des mesures répressives, mais l'histoire prouve le contraire. En 2010, le gouvernement central a alloué des fonds spéciaux pour lutter contre la pollution aux métaux lourds après l'empoisonnement de plus de 4 000 citoyens en une seule année. Pourtant, aujourd'hui, les enfants continuent de manger de la peinture. La solution ? Une transparence radicale : mettre fin au clientélisme qui permet aux usines de déverser des toxines près des écoles. En attendant, les parents courageux doivent exiger des tests indépendants, car faire confiance à l'État revient littéralement à empoisonner leur avenir. Aujourd'hui, c'est la peinture au plomb en Chine ; demain, ce pourrait être la boîte à lunch de votre enfant.
RépondreSupprimerSources de cet article :
NTD.com
CNN.com
CNN.com
BBC.com
https://www.naturalnews.com/2025-07-11-toxic-paint-food-coloring-chinese-children.html
L'avenir de l'agriculture se situe à l'intersection de l'innovation et de l'intuition
RépondreSupprimer22 Juillet 2025
Judith de Vor, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Chaque jour, en tant qu'agricultrice, je prends des dizaines de décisions – certaines grandes, d'autres petites. Quand nourrir, quand traiter, quand semer ou récolter. De plus en plus, ces décisions s'appuient sur des technologies puissantes. Les innovations ont changé ma façon de travailler et, honnêtement, je ne voudrais pas revenir en arrière.
Mais voilà : quel que soit le degré d'avancement des outils, ils ne remplacent pas mon intuition. Mon intuition, qui s'est forgée au fil des années en travaillant la terre et en prenant soin des animaux, est tout aussi importante aujourd'hui qu'elle l'était avant l'ère des applications et des robots.
Aujourd'hui, l'agriculture ne consiste pas à choisir entre l'innovation et l'intuition. Il s'agit de savoir utiliser les deux, côte à côte.
Je commencerai par le dire clairement : sans innovation, mon travail serait plus difficile, moins efficace et parfois même impossible. Les outils dont nous disposons aujourd'hui sont incroyables.
Prenons l'exemple des applications météorologiques. Je les utilise quotidiennement pour planifier mon travail. Elles donnent des prévisions détaillées à l'heure près – température, vent, précipitations. Cela m'aide à planifier tout ce que je fais, du travail des champs à la récolte. Mais j'ai aussi appris à ne pas m'y fier aveuglément. Une prévision peut indiquer « sec », mais lorsque le vent tourne et que les nuages semblent lourds, je m'abstiens. Mon intuition m'a permis d'éviter des désastres que les données n'avaient pas vu venir.
Du côté des animaux, toutes mes vaches portent une sorte de Fitbit – un traceur qui surveille l'activité, le comportement alimentaire, la rumination, la quantité de lait donnée et même la température. C'est une mine de données. Je reçois des alertes si une vache mange moins ou ne bouge pas autant. Cela signale souvent une maladie avant qu'il n'y ait de signes visibles. Mais parfois, même lorsque les données semblent normales, je constate que quelque chose ne va pas. Elle se tient peut-être à l'écart ou semble agitée. C'est alors que mon intuition me dit d'aller voir de plus près.
Dans l'agriculture et l'horticulture, les outils sont encore plus perfectionnés. J'ai récemment rendu visite à un producteur de tomates qui utilise des robots dans la serre pour cueillir les tomates mûres. Ces machines reconnaissent le stade exact de maturité, manipulent chaque fruit avec délicatesse et travaillent sans relâche, jour et nuit. Cette méthode est efficace et permet de réduire les coûts de main-d'œuvre, en particulier dans des pays comme les Pays-Bas où la main-d'œuvre est insuffisante. Mais le producteur m'a dit : « Je continue à me promener dans la serre tous les matins. Juste pour sentir comment les choses poussent. »
Et puis il y a la technologie blockchain. Non seulement les agriculteurs veulent savoir ce qu'il advient de leurs produits, mais les consommateurs sont de plus en plus nombreux à vouloir savoir exactement d'où viennent leurs aliments – comment ils ont été produits, quels traitements ils ont reçus, quelle distance ils ont parcourue. La blockchain permet une traçabilité totale, de la ferme à l'assiette. Elle est transparente et renforce la confiance.
RépondreSupprimerDans le domaine des cultures, j'ai commencé à utiliser un pulvérisateur ponctuel pour traiter les mauvaises herbes. Au lieu de traiter tout le champ, il détecte au laser uniquement les zones où poussent les mauvaises herbes et les cible avec précision. Cette technologie permet d'économiser des produits phytosanitaires, elle est meilleure pour la biodiversité et elle permet aussi d'économiser de l'argent. C'est génial. Mais lorsque le pulvérisateur saute un point parce que les mauvaises herbes étaient trop jeunes pour être détectées, je le vois. Je me promène dans le champ. C'est là que mes yeux et mon expérience entrent en jeu.
Et puis il y a l'agriculture de précision avec le GPS. Mon tracteur suit des lignes précises à travers le champ, minimisant les chevauchements et optimisant la consommation de carburant. Je peux mettre des semences, si nécessaire des engrais, et arroser exactement au bon endroit. Ce niveau de précision fait une énorme différence. Mais même avec le GPS, je m'adapte à la volée. Si la terre est trop humide à un endroit ou si le sol est plus meuble que prévu, je passe outre le plan.
Le prochain grand changement a également fait son entrée : l'intelligence artificielle. Celle-ci va aussi prendre de plus en plus d'importance, écrit le magazine Forbes dans un article récent. Dans le même temps, nous devons former et contrôler l'intelligence artificielle de la bonne manière, sinon des erreurs seront commises.
Toutes ces technologies nous fournissent plus de données que jamais. Mais elles ne prennent pas de décisions. C'est à nous de le faire. Et c'est là que l'intuition reste vitale.
Par exemple, lorsque le traceur d'une vache n'envoie aucune alerte, mais que je vois qu'elle se couche différemment, qu'elle rumine moins – quelque chose de subtil – j'y regarde de plus près. Je fais confiance à la technologie, mais aussi à mes yeux.
L'avenir est hybride : innovation et intuition
Je vois beaucoup d'agriculteurs – intelligents, férus de technologie, enthousiastes – qui se plongent dans les capteurs, les plate-formes et les applications. C'est fantastique. Nous avons besoin de cette énergie. Et pourtant, nous devons nous rendre sur le terrain. Écouter nos vaches. Sentir le sol après la pluie. Ces éléments sont tout aussi importants que le tableau de bord de notre tablette.
La véritable agriculture n'est pas seulement une question de données, elle est aussi une question de sens. Et le sens vient de la compréhension de ce que vous voyez, entendez et ressentez.
RépondreSupprimerLe métier d'agriculteur est un métier de haute technologie et de contact.
La pression sur les agriculteurs est de plus en plus forte. Nous devons nourrir davantage de personnes, réduire les émissions, améliorer le bien-être des animaux et rester à flot sur le plan économique. L'innovation nous donne des outils pour y parvenir mieux, plus rapidement et de manière plus durable. Nous devons veiller à ce que ces innovations et ces techniques soient accessibles aux agriculteurs. Nous avons également besoin de données dans nos discussions avec les décideurs politiques. Il est de plus en plus important d'utiliser la technologie et de collecter des données. Grâce à cela, nous pouvons encore améliorer la façon dont nous pratiquons l'agriculture. Pas seulement dans mon pays, mais surtout dans les pays émergents.
Nous avons besoin d'innovations et de technologies qui nous guident. Mais c'est l'intuition qui nous dit quand, comment et pourquoi agir. Je ne choisis pas entre l'innovation et mon intuition. J'ai besoin des deux. Il en va de même pour l'avenir de l'agriculture.
______________
* Judith de Vor
Judith de Vor représente la cinquième génération de la ferme familiale, Elihoeve, qui est connue pour donner la priorité au bien-être des animaux, à la santé des sols et à la gestion de l'environnement, et qui comprend un bâtiment éducatif qui accueille des milliers de visiteurs chaque année. Judith est une défenseuse de l'agriculture, une innovatrice sociale et une organisatrice d'événements nationaux. Judith est une chercheuse agricole internationale Nuffield et une ambassadrice de Team Agro NL. Elle est diplômée en économie, en administration publique, en sciences politiques et en agroalimentaire, et a participé à de nombreux programmes d'agronomie, de sciences animales et de leadership. www.Elihoeve.nl.
https://seppi.over-blog.com/2025/07/l-avenir-de-l-agriculture-se-situe-a-l-intersection-de-l-innovation-et-de-l-intuition.html
HOULALA ! On entre dans l'investissement de pognon qui n'est pas à la portée de tous !
Supprimervoi:
https://forum.communspaysans.org/viewtopic.php?t=4346
MAHA Institute exhorte les législateurs à protéger les Américains contre les expositions chimiques nocives
RépondreSupprimerAdam Garrie
21 juillet 2025
Selon le rapport MAHA
Le mardi 22 juillet, la Commission des crédits de la Chambre examinera un nouveau projet de loi sur les crédits ouverts par l'EPA et le ministère de l'intérieur qui contient un langage profondément défectueux. Si elle est adoptée, elle nuirait aux objectifs du président Trump et du secrétaire Kennedy de rendre l’Amérique saine à nouveau.
L'article 453 du projet de loi, qui traite de la réglementation par les gouvernements des pesticides, en particulier du glyphosate, empêchera effectivement tant les fabricants d'APE que les fabricants de pesticides de prendre les précautions nécessaires pour émettre des étiquettes de mise à jour sur les produits pesticides.
La législation proposée crée un goulet d'étranglement réglementaire insurmontable qui étouffera l'EPA de l'obligation de soins en coopération avec les fabricants de produits chimiques toxiques - sans avertir suffisamment le public des graves risques pour la santé, y compris l'infertilité, qui peuvent provenir de l'exposition aux pesticides et aux herbicides.
Le rapport du président Trump sur MAHA affirme explicitement que « l'APE a une approche solide fondée sur les risques qui considère les dangers et l'exposition pour évaluer les risques des produits chimiques, y compris les pesticides, pour la santé humaine et l'environnement ».
Le rapport présidentiel conclut également que « les pesticides, les microplastiques et les dioxines » sont présents à des niveaux inacceptables dans le lait maternel de millions de mères américaines.
« Les pesticides, les additifs alimentaires, les médicaments et les déchets toxiques imprègnent toutes les cellules de notre corps », a déclaré le secrétaire Kennedy. «Cette agression contre les cellules et les hormones de nos enfants est implacable.»
Alexandra Munoz, PhD, une toxicologue moléculaire indépendante qui a plaidé en faveur des générations futures, en opposition à la législation sur l'immunité des pesticides en Caroline du Nord et dans le Tennessee, a déclaré: «L'impact toxicologique de la section 453 pourrait être catastrophique pour tous les enfants américains et les générations futures. Les produits chimiques réglementés en vertu de cette disposition sont conçus pour être des toxines, et beaucoup d'entre eux peuvent avoir un impact sur le système endocrinien et conduire à l'infertilité chez l'homme. Sans responsabilité – quels futurs produits chimiques cette industrie vendra-t-elle ? Cette disposition ouvre la porte à toute une génération pour devenir stérile."
RépondreSupprimerLa question touche non seulement les agriculteurs, les travailleurs agricoles, les femmes enceintes et les mères, mais aussi les jeunes enfants et les enfants qui sont encore plus sensibles à l'exposition toxique aux pesticides et aux herbicides que les adultes.
Par le rapport MAHA du gouvernement, le président a clairement indiqué que cette tendance inquiétante devait s'inverser au cours de son mandat actuel.
En outre, l'article 453, le rapport de la commission MAHA du président doit être retiré du projet de loi de crédits en cours afin de donner au président et à ses personnes nommées le pouvoir dont ils ont besoin pour éliminer les toxines de l'environnement afin qu'elles n'aient pas d'impact sur la santé des Américains de tous les temps de tous les horizons.
Au-delà du mendiement de l'EPA lorsqu'elle évaluerait et approuverait les mises à jour en temps voulu des étiquettes de mise en garde, l'article 453 empêche également les Américains de demander justice devant les tribunaux. Elle empêche également les Américains d'accéder à des informations vitales qui entrent dans le dossier public au cours d'un procès en dernier ressort - ce qui est le cas parce que l'article 453 crée une « préemption d'impossibilité ». Ce litige obligera les tribunaux à rejeter des prétentions par ailleurs légitimes.
À l’Institut MAHA, nous nous associons à des millions d’Américains qui soutiennent le rapport de la Commission MAHA du président Trump en appelant les membres du Congrès à retirer la section 453 du projet de loi de crédits.
Une fois ce texte défectueux supprimera ce texte imparfait, le commissaire de l'APE, qui sera en mesure de réaliser les promesses du président Trump et du secrétaire Kennedy au peuple américain sans avoir à faire face à la balle et à la chaîne législative qui va à l'encontre de la transparence radicale qui définit la relation honnête du président Trump avec le peuple américain.
https://thekennedybeacon.substack.com/p/maha-institute-urges-lawmakers-to?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=168884954&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le monde imaginaire des « subventions aux combustibles fossiles », où même un accident de voiture ou un embouteillage sont des subventions.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
July 22nd, 2025
Paul Homewood a croisé un autre fervent partisan de ces subventions qui se demandait encore : « Et toutes ces subventions !» Il nous rappelle le titre du Guardian qui se lamentait sur les 7 000 milliards de dollars de subventions en faveur des combustibles fossiles. La principale source de ce mème est le FMI. J'ai donc consulté les données de son rapport, vieux de deux ans, pour créer les graphiques que le FMI ne veut pas.
La mise à jour fantaisiste du FMI sur les combustibles fossiles pour 2023…
Les milliards de dollars de subventions aux combustibles fossiles annoncés ne sont rien d'autre que des chimères du FMI. Littéralement, 80 % des « subventions » correspondent à ce qu'ils aimeraient facturer aux compagnies pétrolières et gazières pour des choses comme les dommages imaginaires causés par le gaz carbonique sur des planètes simulées dans des modèles climatiques défaillants. Le FMI appelle cela des « subventions implicites ». Vous pouvez, je dirais, une imposture éhontée (ou pire).
Le FMI dispose d'un budget de plus d'un milliard de dollars par an et publie 20 super-graphiques impénétrables sur son blog et son rapport. Mais il n'y a pas de graphiques aussi simples que celui-ci, que j'ai présenté ci-dessous, montrant que la plupart des subventions sont imaginaires et implicites, et qu'un seul pays sur Terre est à l'origine de toutes les subventions. Personne ne mentionne la Chine.
Les « subventions » orange sont un pur fantasme. C'est vraiment terrible.
- voir graph sur site -
Les subventions aux combustibles fossiles ont atteint un montant record de 7 000 milliards de dollars
FMI
Les combustibles fossiles sont à l'origine d'accidents de voiture, d'embouteillages et de l'usure des routes, vous ne le saviez pas ?
Incroyable, d'autres éléments du « bloc de subventions implicites de 80 % » incluent même des éléments comme le coût des accidents de la route, des décès, des embouteillages et de l'usure des routes. D'une certaine manière, lorsque les combustibles fossiles provoquent des embouteillages et que nous subissons une perte de productivité, il s'agit d'une subvention implicite, car le prix du carburant n'était pas efficient. (On parle d'embouteillages lorsque votre voiture s'enlise et vous ralentit, et l'« efficience » signifie passer une heure à cheval et deux heures à nettoyer les écuries ?)
L'outrage est tel que même le journal d'extrême gauche Vox est mal à l'aise et se demande si cela n'a pas un peu induit le FMI en erreur :
RépondreSupprimer« … les choses deviennent encore plus étranges. Par exemple, environ 39 % du « coût social » de l'essence dans l'analyse du FMI provient des accidents, des accidents de la route mortels et des embouteillages. Il est vrai que ces facteurs sont des externalités. Mais ils sont causés par l'utilisation de l'automobile, et non par la consommation d'essence en soi. Si nous passions demain aux voitures électriques à énergie solaire, nous aurions encore des accidents de la route et des embouteillages. Il est étrange d'affirmer qu'il s'agit d'une sorte de « subvention » spécifiquement pour l'essence. »
C'est vrai : le gouvernement aurait pu vous imposer davantage de taxes.
Apparemment, dans la dimension climatique profonde, un universitaire peut imaginer que nous aurions moins de congestion si nous taxions davantage le carburant et décourageions la conduite ; par conséquent, une taxe plus faible est une « subvention ». Je suppose qu'une tarification efficace signifie que les gens devraient payer beaucoup plus pour éviter les embouteillages. Je me demande si leur modèle inclut le coût du suicide et du divorce lorsque les impôts sont si élevés que les gens passent une heure de moins à la maison chaque jour parce qu'ils doivent prendre le bus, renoncent à emmener leurs enfants au foot et ne consomment pas de produits frais des marchés de producteurs qu'ils ne peuvent pas se permettre de fréquenter en voiture.
Le FMI résoudra peut-être accidentellement le problème de la congestion parce que tout le monde abandonnera et s'installera à la campagne pour cultiver des choux ?
Les dieux du contrôle du FMI concrétisent leurs fantasmes sur ce que serait, selon eux, une « tarification efficace » pour le charbon, le gaz et l'essence, et ce dans tous les pays du monde.
Et voilà, émerveillez-vous devant le Super Graphique ci-dessous, qui présente la tarification efficace. Soyez reconnaissants, les filles et les garçons, de ne payer que le prix de détail indiqué sur le point rouge. Lorsque le FMI dirigera le monde, le vrai prix sera le prix plein. Ils ne font que s'entraîner en prévision du moment où ils formeront un gouvernement mondial unique et pourront résoudre les problèmes de congestion, de productivité, d'accidents de voiture et d'arrêt des tempêtes grâce aux impôts !
Imaginez le nombre d'heures de travail que cela a nécessitées !
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Page 14, FMI
J'ai eu tellement de mal à croire qu'ils aient inclus la congestion routière et les accidents que je me contenterai d'inclure quelques passages illustrant les détails complexes et vaniteux :
Estimation des retards moyens dus à la congestion routière
Les retards moyens sont ensuite multipliés par : (i) le rapport entre les retards marginaux et moyens, estimé à 400 % (d'après une analyse documentaire) ; (ii) le taux d'occupation des véhicules (moyenne des voitures et des bus) ; (iii) la valeur du temps de trajet pour les personnes (VOT), estimée à 60 % du salaire moyen national du marché en 2022 ;25 (iv) la consommation de carburant (pour exprimer les coûts par litre plutôt que par kilomètre) ; et (v) la part de l'élasticité de la demande de carburant provenant de la réduction de la conduite (et donc impactant la congestion) par rapport à la part provenant de l'amélioration de la consommation de carburant/du passage aux véhicules électriques (sans impact sur la congestion).26
Et l'usure des routes :
Les externalités liées à l'usure du réseau routier due aux véhicules à poids à l'essieu élevé sont basées sur les dépenses d'entretien des routes par pays (d'après IRF 2022 et OCDE 2023) par unité de consommation de gazole routier.
https://joannenova.com.au/2025/07/the-fantasy-land-of-fossil-fuel-subsidies-where-even-a-car-accident-a-traffic-jam-are-a-subsidy/
Coup de chaud pour les panneaux solaires
RépondreSupprimerle 22 juillet 2025 - 10:40
Les panneaux photovoltaïques sont-ils des pyromanes involontaires ? Selon une étude de l’université de Kyushu publiée en 2024, ces installations augmenteraient la température au sol de 2,85 °C en moyenne, avec des pics estivaux allant jusqu’à 3,6 °C. Dans les zones urbaines, la hausse atteint localement +9,44 °C sur dix ans.
Les scientifiques japonais ont analysé l’impact thermique des installations solaires dans un bassin hydrographique entre 2013 et 2023 : les panneaux modifient le microclimat local en fonction de la saison, du terrain, de la végétation et de la proximité des cours d’eau. « La construction d’installations photovoltaïques affecte non seulement l’environnement thermique, mais aussi l’écosystème local », alerte l’étude. Une conclusion partagée par une autre chercheuse, cette fois de l’université de Munich, qui signale un réchauffement diurne des façades solaires jusqu’à +6,72 °C en hiver. L’effet de nuit serait nul, mais cela n’annule en rien l’aggravation de "l’îlot de chaleur urbain", déjà bien connu des climatologues. The Epoch Times rappelle que l’Espagne compte désormais 32 GW de puissance photovoltaïque installée — soit près d’un quart de sa capacité totale.
D’autant que la chaleur, en plus d’échauffer les villes, fait aussi fondre l’efficacité des panneaux. Selon le Journal de l’énergie, une cellule solaire perd environ 0,4 % de sa puissance pour chaque degré au-dessus de 25 °C. À 63 °C, température relativement fréquente dans les régions chaudes espagnoles, la perte dépasse 18 %. Pour contrer cette dérive thermique, les chercheurs étudient diverses solutions de refroidissement : circulation d’eau, revêtements innovants, panneaux hybrides…
En somme les panneaux solaires exposent aujourd’hui leurs zones d’ombre. En matière d’énergie, la question n’est plus seulement de produire propre, mais aussi de penser juste.
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/coup-de-chaud-pour-les-panneaux-solaires
La réflexion de la lumière comme de la chaleur sur une surface miroir jusqu'à blanche est naturelle et physique. D'où l'augmentation de la luminosité et de la chaleur dans l'espace autour d'éléments qui les réfléchissent.
SupprimerTechnologie, santé des sols et objectifs des exploitations agricoles
RépondreSupprimer17 Juillet 2025
Jon Stika, AGDAILY*
En suivant l'actualité agricole, je ne peux m'empêcher de remarquer l'intérêt constant pour l'intégration de plus de technologie dans de nombreux systèmes de production. L'agriculture de précision, l'intelligence artificielle et la robotique agricole sont parmi les sujets les plus discutés et les plus évolutifs. Ce qui me préoccupe, c'est que nous accordons trop d'importance à la technologie et pas assez à notre ressource fondamentale, le sol.
L'agriculture de précision existe depuis un certain temps déjà. Elle utilise des données et des équipements de pointe pour appliquer des produits phytosanitaires et des engrais avec une plus grande précision dans un champ. L'agriculture de précision a évolué, passant de la simple cartographie des données d'échantillonnage du sol au contrôle du matériel d'épandage d'engrais en cours de travail.
La première fois que j'ai entendu quelqu'un parler d'intelligence artificielle, j'ai cru qu'il s'agissait de l'insémination artificielle, qui était l'« IA » dans l'agriculture que je connaissais. L'intelligence artificielle est un outil puissant qui permet de gagner du temps et de l'énergie en traitant des données complexes de manière rapide et logique. Enfin, la robotique a longtemps été appliquée à la fabrication, mais plus récemment à l'agriculture. Les robots capables de traire les vaches, de nettoyer les étables et de détruire les mauvaises herbes sont extraordinaires.
Sachez que je n'ai aucun scrupule à ce que les gens développent et mettent en œuvre de nouvelles technologies, mais seulement si ces nouvelles technologies peuvent aider à atteindre un objectif bien pensé. Nous devons nous rappeler que la technologie est un outil et non un objectif en soi.
Un objectif peut être défini comme un résultat ou une condition souhaitée. Quel est le résultat ou la condition que vous souhaitez pour votre exploitation ? Disposer des technologies les plus récentes ? Obtenir de meilleurs rendements agricoles ou un meilleur poids des veaux ? Maîtriser les mauvaises herbes ? La rentabilité ? La durabilité ? La qualité de vie ?
Je pense que la plupart des producteurs seraient d'accord pour dire qu'atteindre la rentabilité à court et à long terme et laisser la terre dans un meilleur état qu'ils ne l'ont trouvée tout en maintenant une qualité de vie raisonnablement bonne serait une vision respectable d'un objectif. Si tel est le cas, nous devons veiller à sélectionner et à appliquer les outils de manière à nous rapprocher de l'objectif et à ne pas utiliser involontairement ces outils pour dégrader le sol avec plus de précision et d'efficacité.
Je pense que le vrai problème ici pourrait être la difficulté que nous avons à distinguer les problèmes des symptômes lorsque nous décidons des outils à utiliser pour atteindre un objectif. Les problèmes nous empêchent souvent d'atteindre un objectif et doivent être correctement identifiés.
Pour comprendre ce qu'est réellement le problème, il faut avoir la sagesse d'un enfant de trois ans. Nous devons demander « Pourquoi ? » jusqu'à ce que nous arrivions à la racine du problème.
RépondreSupprimerPar exemple : pourquoi mon système de production actuel n'est-il pas rentable ? Parce que je dépense trop d'argent en intrants pour produire ma récolte. Pourquoi ? Parce que le sol n'absorbe pas l'eau ou ne fournit pas d'éléments nutritifs à la culture comme il le devrait. Pourquoi ? Parce que le sol n'est pas sain et ne remplit pas les fonctions qu'il devrait remplir. Pourquoi ? Parce que le sol n'a pas été géré de manière à le rendre sain. Pourquoi ? Par manque de compréhension du fonctionnement du sol en tant que système biologique.
Soja semé dans une culture de couverture de seigle. Implanter des cultures de couverture peut réduire l'érosion du sol, décompacter le sol, fournir un habitat pour les insectes bénéfiques et la faune, et empêcher le lessivage des engrais latents dans les rivières et les cours d'eau. (Image : Jennifer Jones, Illinois Extension)
Vous pouvez commencer ce processus de remise en question par n'importe quel symptôme agricole – mauvaises herbes, insectes, maladies, érosion – mais la réponse sera inévitablement que le sol ne remplit pas les fonctions qu'il doit remplir de manière rentable.
La première étape consiste à reconnaître que le sol ne fonctionne pas correctement. Un sol sain et pleinement fonctionnel nécessite peu d'intrants, à l'exception des semences, ce qui peut réduire considérablement les coûts d'intrants. Pour que le sol fonctionne à nouveau à son plein potentiel, il faut : moins perturber le sol, augmenter la diversité des plantes cultivées sur ce sol, maintenir des racines vivantes dans le sol autant que possible, et garder le sol couvert de plantes et de leurs résidus en permanence. Ces principes de base favorisent les capacités de la microbiologie du sol à capter et à stocker l'eau, ainsi qu'à capter, à recycler et à stocker les éléments nutritifs nécessaires à la croissance des cultures.
Avec l'accès à la technologie dont nous disposons aujourd'hui, il n'a jamais été aussi facile d'appliquer ces principes de restauration de la santé des sols. Si l'objectif est de restaurer la santé des sols, le choix des outils et la manière de les utiliser deviendront clairs.
Le rétablissement de la santé des sols n'est pas seulement une question d'intendance, c'est aussi une question de rentabilité et de viabilité des communautés rurales. Nous en savons désormais suffisamment sur le fonctionnement du sol en tant que système biologique pour que la mise en œuvre réfléchie de technologies visant à restaurer le sol aille de pair avec l'objectif de maintenir les agriculteurs en activité.
https://seppi.over-blog.com/2025/07/technologie-sante-des-sols-et-objectifs-des-exploitations-agricoles.html
LIA est un PROGRAMME et non un cerveau. La différence est énorme. LIA copie des milliards d'informations chaque seconde sur Internet mais n'apporte AUCUNE suggestion ou création/invention.
SupprimerCe programme a été conçu pour les demeurés qui ne connaissent RIEN dans l'agriculture et qui reçoivent de LIA des 'conseils' pour faire... du bio comme il y a 150 ans ou 2000 ans où les paysans occupaient 99 % de la population terrestre et crevaient à 40 ans !
Pourquoi cela ?
Parce qu'anciens temps il n'y avait que du fumier pour faire pousser les plantes alors qu'aujourd'hui le paysan donne des engrais (NPK) appropriés à chaque plante.
De plus, avant il n'y avait pas de produits de traitements contre les maladies des plantes et les insectes ravageurs. Ils perdaient tout ! C'était LA famine malgré le très grand nombre de paysans !
De nos jours et ce depuis quelques décennies le QI s'effondre !! Les étudiants sont des cons ! Oui mais des cons bacheliers !! D'où le remplacement express par LIA dans la fonction publique et chez les chefs d'entreprises en déclin !
Permettez-moi d'expliquer exactement ce qui se passe avec les efforts de Bayer pour mettre en place un vaste bouclier de responsabilité en matière de pesticides aux États-Unis.
RépondreSupprimerEt comment vous pouvez vraiment aider
Meryl Nass
16 juillet 2025
Bayer a acheté Monsanto (glyphosate étant son produit numéro un) en 2018. Bayer et Monsanto étaient tous deux tristement célèbres pour les entreprises particulièrement tortues. Bayer a même possédé son propre camp de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale et avoue y travailler 25 000 personnes. Vous vous souvenez peut-être comment Monsanto espionnait, collectait des échantillons et essayait de faire faillite de nombreux agriculteurs dont les cultures RoundUp Ready des voisins ont explosé dans leurs champs et mélangées avec leurs cultures traditionnelles, parce qu'ils n'avaient pas acheté de licence et de graines à Monsanto. L'affaire Percy Schmeiser est un excellent exemple de la tactique de Monsanto.
Le glyphosate a été breveté il y a plus de 40 ans. C'est devenu l'herbicide le plus utilisé dans le monde. Bien qu'il y ait aujourd'hui une grande résistance aux mauvaises herbes. Pour laquelle l'entreprise encourage les agriculteurs à en utiliser davantage.
Mais lorsque Bayer a acheté Monsanto, il a également acheté les responsabilités de Monsanto, principalement en raison de la preuve que le glyphosate cause le lymphome non hodgkinien, un cancer mortel, qui n'était pas connu lorsque l'EPA a approuvé le produit et son étiquetage. L'avertissement n'a jamais été ajouté à l'étiquette après qu'il a été connu.
Un certain nombre d'affaires judiciaires ont été portées contre Monsanto/Bayer pour « échec d'avertissement » de cet effet secondaire notoire sur l'étiquette.
Ci-dessous un article de Reuters d'avril qui explique que le PDG de Bayer, Bill Anderson, a considéré ce litige comme la plus grande menace pour la société, dont le cours de l'action a fait une plongée de 70% en raison de pertes importantes de ce litige. Il avait l'intention de faire tout ce qui était en son pouvoir pour empêcher l'abus d'argent des tribunaux aux États-Unis, dont plusieurs milliers sont encore en attente. Il a demandé aux actionnaires de le laisser mettre de côté 9 milliards de dollars pour faire face à ce problème.
Et le PDG d'Anderson a construit une stratégie à six volets (6 méthodes distinctes pour se débarrasser de la responsabilité) par crochet ou par escroc. Sa décision la plus audacieuse est d'essayer d'obtenir la promulgation d'une législation par le Congrès qui empêcherait l'ajout d'avertissements aux étiquettes de TOUS les pesticides, et d'interdire les poursuites pour non-avertissement. Il a également introduit des projets de loi similaires dans les tribunaux des États, et la Géorgie et le Dakota du Nord les ont déjà promulgués. Cet homme est extrêmement sérieux.
RépondreSupprimerNaturellement, le succès au niveau fédéral exige un certain nombre de mouvements furtifs et de langage juridique alambiqué. Mais il a 9 milliards de dollars pour jouer.
- voir doc sur site -
La première étape pour obtenir la carte de Bayer «tirer de prison» pour tous les pesticides est d'obtenir le langage inclus dans un projet de loi de crédits, puis dans un autre projet de loi (probablement le projet de loi sur la ferme qui devrait être adopté en septembre), de les faire passer (le langage de l'étiquette de pesticide restant) à la Chambre, puis d'adopter le Sénat. Que le Président le signe ensuite.
Le sous-comité de l'intérieur de la commission des crédits de la Chambre a inclus la langue de Bayer dans sa balisage d'hier du projet de loi. Il n'y a pas eu de marchandage; le projet de loi a été laissé tel quel et a été adopté par un vote strict du parti - jusqu'à présent.
Toutefois, l'étape suivante pour Bayer est de faire adopter le projet de loi, sans être modifié pour supprimer le pilote Bayer (cadeau) par le comité des crédits complet. Le site web de la commission n'inclut pas la date de leur réunion, mais il est prévu que la Chambre part en vacances le 25 juillet, date à laquelle elle reviendront jusqu'au 2 septembre.
Stand For Health Freedom nous a informés que lors de cette réunion de la commission, qui aura lieu au cours des neuf prochains jours, des amendements seront proposés et il y aura donc un vote spécifique sur la carte-cadeau Bayer tant qu'un membre de la commission plénière proposera un amendement pour s'en débarrasser.
Voici les 63 membres de la commission. Nous avons besoin d'un membre pour proposer un amendement visant à retirer le pilote Bayer, et nous avons besoin de quelques républicains pour voter contre avec les démocrates.
Bien qu'il y ait des affirmations mensongères (y compris des bureaux du Congrès) selon lesquelles ce projet de loi n'est pas grave, c'est de fausses nouvelles. C'est au moins aussi une affaire que la facture qui a supprimé la responsabilité des vaccins, et qui vaut plusieurs milliards de pour l'industrie. En fait, ce n'est que l'industrie qui bénéficiera d'un tel projet de loi, qui vise à ne pas connaître les effets secondaires des pesticides du public et de l'EPA. Eh bien, les lobbyistes et peut-être certains législateurs en bénéficieront, grands. Certainement pas le public.
Ne vous y trompez pas, c'est une tentative d'ouvrir la voie à la mise en service de produits de mauvaise qualité et dangereux, souvent en utilisant des scientifiques falsifiés pour justifier une licence, et une fois autorisé, rien ne pouvait les arrêter. Elles pourraient être fabriquées aussi faiblement et dangereusement que possible, mais il n'y aura aucun recours pour les parties lésées, ni pour que l'APE s'y aille.
RépondreSupprimerVoici ce que l'avocat Daniel Hinkle, de l'American Association for Justice, a dit à ce sujet :
J'ai demandé à quelqu'un comment ce projet de loi crée une immunité totale et c'était une grande question. Cela m'a forcé à vraiment faire face à la façon dont le projet de loi fonctionne et a révélé un point supplémentaire qui pourrait valoir la peine d'être souligné.
Premièrement, la législation interdit à l'EPA de prendre toute mesure qui est "inconformes avec ou à quelque égard différente de la conclusion a) d'une évaluation de la santé humaine effectuée (dans le cadre de la FIFRA); ou b) d'une classification de cancérogénicité pour un pesticide".
Cela signifie que l'APE n'a pas été en mesure de mettre à jour un label pour refléter les dernières données scientifiques. L'EPA ne pouvait pas ajouter un avertissement de cancer aux herbicides à base de glyphosate, ni un avertissement de défaut de naissance aux néonicotinoides, ni un avertissement de Parkinson à Paraquat, etc.
Notez que cela interdit à l'EPA de mettre à jour un label pour refléter les dernières découvertes scientifiques QU'EST LA SOCIÉTÉ À L'ÉTABLISSEMENT. L'EPA ne pouvait pas non plus mettre à jour les étiquettes par eux-mêmes. En outre, en empêchant l'APE de prendre une "toute mesure réglementaire", elle enlève la capacité de l'APE à poursuivre une entreprise qui commet une fraude dans l'obtention d'un label - l'EPA serait contrainte de compléter une évaluation entièrement nouvelle des risques pour la santé humaine si elle voulait la mettre à jour, ce qui pourrait prendre des années ou des décennies et être soumise à un litige de la part de la société.
Il rejette la responsabilité des pesticides à mauvais nom du fabricant du produit, vers l'EPA. Et non, vous ne pouvez pas poursuivre l'EPA pour des dommages causés par un produit réglementé.
Deuxièmement, cela équivaut à une prédiction totale des allégations d'État relatives à l'étiquette du pesticide, au moins en ce qui concerne les incidences sur la santé humaine.
À l'heure actuelle, les entreprises doivent fournir des étiquettes précises, ou un pesticide est "marqué" en vertu de la législation fédérale. Les lois des États compatibles avec le compromis erroné - telles que les actions en responsabilité du fait des produits - sont exécutoires. Mais les entreprises ne peuvent pas ajouter unilatéralement des avertissements sur les risques pour la santé à leur label. Pour résoudre ce conflit de surface, la Cour a estimé que la société peut toujours demander à l'APE de mettre à jour le label pour tenir compte des risques. S'ils ne le font pas, les individus qui ont été endommagés par des pesticides à mauvais nom devraient pouvoir les tenir responsables de la cachette de ces informations critiques.
RépondreSupprimerBayer n'a jamais demandé à l'EPA d'ajouter un avertissement de cancer au Roundup, pas plus que ChemChina n'a demandé un avertissement de la maladie de Parkinson pour le Paraquat, et ainsi de suite.
Si l'APE ne peut approuver une étiquette mise à jour, alors les lois des États compatibles avec le mauvais marquage ne peuvent pas être appliquées - le conflit de surface devient un véritable conflit avec la loi fédérale, ce qui les expose à la clause de suprématie de la Constitution. Bayer affirmerait, instantanément, que becausel'EPA ne peut pas approuver un label de produit mis à jour qui reflète la science actuelle, ils sont donc à l'abri de la législation de l'État contre l'absence d'avertissements. L'étiquette - et l'approbation de l'EPA - devient un bouclier contre toute autre réclamation.
La manière dont cela interdit un changement d'étiquette - indépendamment des implications sur les procès - est toutefois une grosse affaire. Nous sommes tous d'accord pour dire que le meilleur résultat possible ici est que personne n'est endommagé par les pesticides.
Expliquer un droit aux individus qui ont subi des dommages catastrophiques pour tenir les entreprises responsables en paralysant l'EPA de mettre à jour les avertissements sur les pesticides à mesure que la science émerge est une approche incroyablement cruelle et dangereuse de la sécurité chimique.
Nouveau paragraphe:
RépondreSupprimerIl se cache dans une science dépassée - même lorsque de nouveaux dangers sont découverts.
Ce projet de loi interdirait à l'EPA de mettre à jour les étiquettes des pesticides ou de prendre des « mesures réglementaires » pour tenir compte des nouveaux risques pour la santé, même si la science est claire et que la société demande le changement. Pas d'avertissements de cancer. Aucune divulgation de défauts de naissance. Pas de mise à jour pour la maladie de Parkinson. Même lorsque la science est claire, l'étiquette resterait gelée à moins que l'EPA ne reprenne un examen complet, qui peut prendre des années ou des décennies.
Cela signifie que des produits dangereux pourraient rester sur le marché avec des étiquettes trompeuses, même si l'entreprise menait sur les risques et dissimulait les données critiques de sécurité. Personne ne peut être tenu responsable. Il ne s'agit pas seulement de l'immunité contre les procès. C'est l'immunité de la vérité.
Vous avez vu ce qu'un bouclier de responsabilité a fait pour Pfizer, Moderna, J et J et Novavax. Ils ont pu déployer des vaccins appelés avec des particules de métal contenant du virus simien 40 qui augmentaient le risque de cancer et de mutations, et qui n'ont pas été divulgués ou ont servi de but médical. Le risque de leurs produits était beaucoup plus grand que le bénéfice. Mais ils ne s'en souciaient pas. Personne ne peut en poursuivre l'un ou l'autre pour décès ou dommages. Alors pourquoi ne pas continuer à gagner de l'argent ? Il n'y a pas d'éthique lorsque les milliards de personnes sont en jeu.
Si vous ne voulez pas ce résultat pour les pesticides, les herbicides, les fongicides et les insecticides maintenant et à l'avenir, envisagez un appel à vos représentants et leur demandez de voter non sur chaque facture qui inclut un bouclier de responsabilité Bayer ou un bouclier d'étiquetage. Si possible, demandez-leur de soumettre un amendement pour se débarrasser du pilote Bayer. Le comité des crédits plénier des 63 membres se réunira probablement ce vendredi ou la semaine prochaine pour voter sur leur projet de loi. Veuillez aider à faire modifier ce projet de loi lors de leur réunion.
https://merylnass.substack.com/p/let-me-explain-exactly-what-is-going?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=168487643&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le désherbant 'Round'Up' de MOnsanto a été prouvé sans danger pour l'être humain a condition qu'IL RESPECTE LES DOSES SPÉCIFIES sur l'emballage.
Supprimer
RépondreSupprimerLa poule la plus chère du monde est noire comme la nuit
14 Juillet 2025
Peter Laufmann, AGRARHEUTE*
La poule Ayam Cemani est une race originaire d'Indonésie. Elle se caractérise par une mutation qui rend noir tout ce qui se trouve sur la poule.
Une race de poules originaires d'Indonésie n'a rien de coloré. Les plumes, les griffes, même la langue et la viande sont de couleur noire.
Une poule Ayam Cemani ressemble un peu à une poule qui a perdu sa couleur à sa création. Ou à l'imagination de son créateur. Seul un noir foncé profond avec des reflets bleus métalliques devait être sur sa palette. Et le plumage n'est pas le seul à être noir. La peau de la tête, les pattes et même la chair sont également noires.
Une race de poules aux pouvoirs magiques
La race est originaire d'Indonésie, plus précisément de l'île de Java. Et là aussi, elle est très rare. Il n'y a qu'un seul village où l'on élève des animaux aux caractéristiques les plus pures et les plus marquées. Il n'est donc pas étonnant que les poules noires soient toujours entourées de mystère, ne serait-ce que par leur couleur. Elles étaient et sont toujours des animaux de sacrifice appréciés. On dit que leur sang est particulièrement efficace. Dans les années 1920, des colons néerlandais ont décrit la race de poules et l'ont ainsi fait connaître dans le monde entier. C'est également le Néerlandais Jan Steverink qui a introduit les premiers spécimens en Europe en 1998.
Un coq de race pure pour 2000 euros
Ce n'était pas si simple. En effet, seuls quelques œufs donnaient naissance à des poussins. Il a donc fallu plusieurs cargaisons d'œufs avant que l'élevage puisse commencer en Europe. Il n'est donc pas étonnant que les animaux se négocient à prix d'or. En Indonésie, une poule vaut déjà l'équivalent de 100 dollars. Aux États-Unis et en Europe, les poussins se vendent déjà pour moins de cent euros. Mais un oiseau adulte de pure race peut coûter plus de 2.000 euros. A titre de comparaison, il faut compter dix à quinze euros pour une simple poule pondeuse locale.
Une mutation a rendu les poules noires
RépondreSupprimerCette coloration intense est due à une mutation. Dans ce phénomène, appelé fibromélanose, l'interrupteur de la coloration est quasiment enclenché dans toutes les cellules. Le gène appelé endothéline-3 ou EDN3 est le principal responsable de la coloration. Chez les poules normales, EDN3 n'est actif que dans certaines cellules. C'est pourquoi elles ont tout au plus des plumes colorées. Une poule Ayam Cemani, en revanche, est uniformément colorée. Les chercheurs supposent que la modification du patrimoine génétique est due à une seule poule ancestrale. Il est possible que cela se soit déjà produit il y a des centaines ou des milliers d'années. Cette hyperpigmentation existe également chez d'autres espèces animales comme la panthère noire et même d'autres races de poules ont tendance à être très foncées. La poule noire Svart Hona de Suède a également un plumage noir. Cependant, sa peau est claire. La race Marans de France se pare également de plumes noires, qui peuvent toutefois présenter des éléments de couleur rouille.
Les poules noires attirent l'attention
Dans tous les cas, les poules noires d'Indonésie attirent le regard. Elles pondent bien 80 œufs par an et leur chair – noire pour rappel – est censée rappeler celle de la perdrix. Toutefois, les poules Ayam Cemani ne sont pas considérées comme faciles à élever. Elles aiment voler, sont peureuses et coûteuses à l'achat.
https://seppi.over-blog.com/2025/07/la-poule-la-plus-chere-du-monde-est-noire-comme-la-nuit.html
Peurs irrationnelles
RépondreSupprimer12 Juillet 2025
Willi l'agriculteur*
Cet article de la Frankfurter allgemeine Zeitung (FAZ) vaut vraiment la peine d'être lu, car il s'appuie sur des faits qui décrivent l'évolution de l'agriculture au cours des dernières décennies.
https://www.faz.net/aktuell/wirtschaft/der-wandel-in-der-landwirtschaft-110453159.html (derrière un péage)
Il décrit comment, depuis Gregor Mendel, l'amélioration des plantes et, depuis la synthèse Haber-Bosch, la fertilisation ont conduit à une augmentation constante des rendements qui se poursuit dans le monde (à l'exception de l'Europe, où les rendements céréaliers n'ont plus augmenté depuis environ 20 ans).
« Ces innovations, parmi d'autres, ont permis d'augmenter la production grâce à des rendements plus élevés sur les surfaces déjà cultivées, rendant ainsi l'expansion dans les espaces naturels de moins en moins nécessaire. À la fin du XIXe siècle, le rendement du blé en Allemagne était d'environ 15 quintaux par hectare, contre 80 quintaux en moyenne aujourd'hui. Cela a considérablement amélioré la disponibilité alimentaire et l'état nutritionnel et sanitaire de la population. »
Malgré la forte croissance démographique mondiale, la proportion de personnes souffrant de la faim dans le monde est passée d'environ 37 % en 1960 à moins de 10 % aujourd'hui. Hier comme aujourd'hui, c'est en Afrique que l'on trouve la plus forte proportion de personnes souffrant de la faim.
La déclaration de l'auteur Matin Qaim sur l'avenir est intéressante :
« Une technologie à fort potentiel pour plus de durabilité est le génie génétique, qui permet de développer plus rapidement et de manière plus ciblée les caractéristiques souhaitées des plantes. Des variétés génétiquement modifiées de maïs, de soja, de cotonnier et de quelques autres espèces sont cultivées dans différents pays depuis le milieu des années 1990. Les variétés résistantes à des insectes, en particulier, permettent d'obtenir des rendements plus élevés et de réduire de moitié l'utilisation d'insecticides chimiques dans des pays comme le Bangladesh, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. En Allemagne et dans la plupart des autres pays européens, la culture de ces variétés est interdite. »
Il poursuit :
RépondreSupprimer« La crainte des risques hypothétiques est grande, même si plus de 30 ans de recherche et d'application soulignent que les plantes génétiquement modifiées sont tout aussi sûres que celles obtenues de manière traditionnelle. »
Il poursuit en évoquant l'agriculture romancée, la nécessité de l'automatisation et de la numérisation, ainsi que les craintes irrationnelles de nos concitoyens à l'égard des nouvelles technologies dans l'agriculture, alors qu'ils les utilisent eux-mêmes comme si elles étaient une évidence.
« Mais il n'est sans doute pas tout à fait insignifiant que nous soyons rassasiés et que nous occultions le rôle historique de la technologie agricole dans notre propre prospérité. Si, chez nous, les récoltes diminuent en raison d'une technologie moins développée, nous importerons tout simplement nos denrées alimentaires d'ailleurs. »
Cela me rappelle le titre d'un livre : « Satt und unzufrieden – Das Dilemma der Essensmacher » – Repus et insatisfaits – Le dilemme des producteurs alimentaires.
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* Source : Irrationale Ängste - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2025/07/peurs-irrationnelles.html
Attirer les pollinisateurs dans votre jardin
RépondreSupprimerÉmilie Gabias
Les pollinisateurs et leur survie font la une depuis quelques années. Voyez comment assurer le maintien des populations.
La pollinisation est généralement assurée par les insectes, plus particulièrement les abeilles, mais aussi par certaines espèces d’oiseaux, des chauves-souris et quelques autres animaux qui aident ainsi les plantes à produire des fruits et des graines. Les pollinisateurs transfèrent le pollen des organes mâles aux organes femelles des fleurs pendant qu’ils récoltent leur nourriture, le pollen et le nectar.
En fait, 35 % de la production agricole mondiale dépend des pollinisateurs. C’est pourquoi il est important de les protéger et de leur faciliter la tâche. Une grande partie de notre épicerie est donc disponible grâce au travail des pollinisateurs. Tomates, concombres, pommes, bleuets, framboises, haricots et plusieurs autres ne seraient pas accessibles s’il n’y avait pas de pollinisation.
Pour protéger les populations de pollinisateurs, il y a quelques actions qui peuvent être mises en place.
Leur fournir une source de nourriture comme une abondance de plantes à fleurs diversifiées, riches en nectar et en pollen. Elles seront idéalement indigènes et les floraisons seront variées et parfois chevauchantes pour assurer un approvisionnement régulier aux pollinisateurs. La diversité des végétaux utilisés est importante puisque différents pollinisateurs visiteront différentes fleurs. Prévoir des formes de fleurs variées et des hauteurs de plant diversifiées.
Réduire l’utilisation de pesticides comme les insecticides, qui peuvent perturber les activités des pollinisateurs. Il est possible d’ajuster le moment d’une application qui est nécessaire (comme sur les pommiers) après que la floraison soit terminée.
Voici une liste de végétaux à privilégier pour attirer les pollinisateurs :
Nom latin Nom français Floraison
Aster Aster Vivace, fin été
Solidago Verge d’or Vivace, fin été
Achillea Achillée Vivace, été
Scabiosa Scabieuse Vivace, été
Asclepias Asclépiade Vivace, été
Monarda Monarde Vivace, été
Nepeta Herbe aux chats Vivace, été
Echinacea Échinacée Vivace, été
Eupatorium Eupatoire Vivace, été
Sedum Sédum Vivace, fin été/automne
Zinnia Zinnia Annuelle, tout l’été
Lantana Lantana Annuelle, tout l’été
Calendula Souci Annuelle, tout l’été
Borago Bourrache Annuelle, tout l’été
Heliotropium Héliotrope Annuelle, tout l’été
Cosmos Cosmos Annuelle, tout l’été
Cephalantus Céphalante Arbuste, fin été
Amelanchier Amélanchier Arbuste, printemps
Ilex verticillata Houx verticillé Arbuste, début été
Diervilla lonicera Dierville chèvrefeuille Arbuste, été
Vaccinium Bleuetier Arbuste, printemps
Tilia Tilleul Arbre, été
Variez la sélection de végétaux dans vos aménagements et observez les insectes et autres animaux utiles se nourrir. Un petit geste pour favoriser le maintien des populations et diversifier leurs sources de nourriture.
Émilie Gabias
https://mjardiner.com/attirer-pollinisateurs-jardin/
Le tocsin de Burkhard, ou la fanfare guerrière d’un macronie aux abois
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 12 juillet 2025 - 17:00
Résumé : le 11 juillet 2025, le général Burkhard, chef d’état-major des armées, sonne une fanfare guerrière sur les médias mainstream, agitant le spectre d’une Russie menaçante et de 120 conflits mondiaux. Ce théâtre alarmiste, qui semble orchestré depuis l’Élysée, recycle les ficelles usées du macronisme : inversion accusatoire et pollution informationnelle, dénoncées pour désorienter les Français.
Comme en 2021, avec les obligations vaccinales imposées sur des bases fragiles, Macron excelle dans la maltraitance institutionnelle, transformant l’armée – rempart de la nation – en outil de ses ambitions. La mutualisation nucléaire, trahison du TNP, livre notre souveraineté à une Europe otanisée, tandis que le devoir de réserve muselle les soldats. Chris Bickerton fustige ce macronisme « indéfini », déconnecté d’un peuple aux prises avec l’inflation et l’insécurité, alors que...
seuls 4 % des Français croient encore que Macron mène le pays dans la bonne direction.
Les manipulations internes – Northwoods, Gladio, Covid – rappellent que la menace vient souvent de l’intérieur. Que prépare Macron pour le 14 juillet ? Un état d’urgence pour museler les oppositions ? La France, riche de talents, peut déjouer cet enfumage. Face à un pouvoir qui creuse le fossé avec la nation, la vigilance citoyenne – débats, dissidence, lucidité – est une arme.
La liberté ne s’épanouit pas sous un rideau de fumée, mais se reconquiert par le courage d’une nation prête à réécrire son histoire.
*** édito ***
Quand le général Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées, monte sur la scène relayée par les médias mainstream, le 11 juillet 2025, ce n’est pas pour informer, mais pour jouer une fanfare guerrière qui semble toute orchestrée depuis l’Élysée. Sa conférence, rare pour un homme de son rang, dépeint un tableau grotesque : la Russie, menace « durable et dimensionnante », une guerre hybride qui rongerait la nation, des sous-marins fantomatiques dans l’Atlantique, et un horizon saturé de 120 conflits mondiaux.
Ce n’est pas un briefing stratégique, mais un théâtre de l’absurde, cousu avec les fils élimés d’une rhétorique macroniste. Derrière ce rideau de fumée, une opération de manipulation se dessine, gorgée d’inversion accusatoire et d’injonctions paradoxales. Cette pollution informationnelle de masse, portée par des porte-voix du pouvoir comme BFMTV, inonde les esprits de mots-clés répétés en boucle – « menace russe », « guerre hybride » – et de pseudo-experts autoproclamés, qui noient la vérité sous un déluge de cadres normatifs. Une campagne récente sur des « cyberattaques russes », amplifiée sans preuves tangibles, illustre ce matraquage destiné à désorienter les Français.
Ce n’est pas un coup d’essai. Le 12 juillet 2021, Emmanuel Macron, en expert scientifique autoproclamé, imposait des obligations vaccinales sur des assertions scientifiques bancales, toutes démontées par le docteur Peter McCullough dans France-Soir. Ces décisions, prises dans l’opacité d’un Conseil de défense, montre une maltraitance institutionnelle qui a brisé la société française en imposant des injonctions schizophréniques : « obéissez pour être libres, sacrifiez vos droits et liberté pour votre santé et celle des autres ».
RépondreSupprimerhttps://www.francesoir.fr/politique-france/allocution-de-macron-entre-autosatisfaction-et-obligations-ladieu-la-raison
Cette logique perverse apparait s’étendre désormais à l’armée : cette institution, rempart de la nation et censée protéger les citoyens, est transformée en outil des ambitions d’un seul homme. Le devoir de réserve, renforcé par une hiérarchie aux ordres, étouffe les voix dissidentes. Un officier, dont la hiérarchie a demandé sa démission après avoir questionné l’utilité d’exercices coûteux face à une menace russe floue me confiait: « On nous demande de préparer la guerre, pas de réfléchir à son sens. » Des décisions arbitraires et autoritaires– de la tapisserie de Bayeux aux vitraux de Notre-Dame – trahissent l’obsession de Macron pour son legs. Pire encore, la mutualisation de la dissuasion nucléaire française, dénoncée par BonSens.org, livrerait notre arsenal à une Europe sous influence otanienne. Cette trahison du Traité de non-prolifération (TNP) prive la France de son autonomie stratégique, la rendant vulnérable en cas de conflit, tout en affaiblissant sa voix sur la scène mondiale. Pourquoi céder ainsi notre ultime rempart, sinon pour flatter l’ego d’un apprenti stratège d’une France vassalisée ?
Chris Bickerton diagnostique le macronisme comme une « forme indéfinie et imprécise de politique », déconnectée des Français. Cette déconnexion est palpable : tandis que les citoyens luttent contre l’inflation, l’insécurité ou l’abandon des territoires ruraux, Macron agite des chimères géopolitiques. La répression brutale des Gilets jaunes, les fermetures d’écoles rurales ou le mépris des « petites gens » illustrent un fossé entre des élites cosmopolites et un peuple enraciné. Seuls 4 % des Français, selon un sondage MIS Groupe pour France-Soir/BonSens.org de juillet 2025, estiment qu’il guide le pays dans la bonne direction. Burkhard, en bon lieutenant fidèle exécutant du chef des Armées, tente une « chistera », cette passe dans le dos du rugby censée déstabiliser l’adversaire. Mais, en 2025, cette feinte est éventée. À l’image d’Ursula von der Leyen, qui fait un usage détourner des fonds européens pour financer des ONG et manipuler les eurodéputés, Burkhard brandit le spectre russe dans les médias subventionnés par l’état, au nom d’un pseudo intérêt des contribuables, pour vendre une menace qui sert d’autres agendas. Depuis quand la Russie est-elle notre ennemie ? François-Bernard Huyghe rappelle son rôle dans la libération de l’Europe face au nazisme. Oublier cette histoire, c’est légitimer un budget de défense pharaonique, une nouvelle ponction sur l’épargne des Français – 100 à 120 milliards d’euros, murmure-t-on – ou une ambition de Macron pour l’OTAN ou prendre les rênes d’une force européenne.
Chris Bickerton
RépondreSupprimerLes manipulations naissent souvent de l’intérieur. L’opération Northwoods (1962), où des officiels américains planifiaient des attentats sous faux drapeau pour justifier une guerre contre Cuba, l’incendie du Reichstag (1933), attribué aux communistes pour asseoir le pouvoir nazi, ou encore l’opération Gladio, réseau clandestin de l’OTAN qui manipulait des attentats en Europe pour discréditer des mouvements politiques, en sont des preuves glaçantes. Le Patriot Act, imposé après le 11 septembre 2001 pour restreindre les libertés sous couvert de sécurité, suit la même logique. En France, la gestion opaque du Covid, dans le secret d’un Conseil de défense, évoque ces dérives.
Que prépare Macron pour son discours du 14 juillet ?
Une reprise des accents de Burkhard, une menace amplifiée – comme le virus en 2020 – pour imposer un état d’urgence, des lois sécuritaires ou une « union sacrée » muselant les oppositions ? Macron, en agitant une Russie fantasmée, ne serait-il pas en train de tisser un piège similaire, où la peur sert à capturer la nation ? Sa gestion autoritaire des Gilets jaunes, marquée par 11 000 interpellations et des violences policières, ou du Covid, avec ses restrictions liberticides, montre sa propension à exploiter les crises. Si cette menace est fomentée de l’intérieur, la France est à un tournant.
Cette fête nationale du 14 juillet risque de célébrer non la prise de la Bastille par le peuple, mais la capture de la nation par un président déconnecté aux abois.
L’armée, pourtant, n’est pas un monolithe. Comme toute société, elle peut être gangrénée par des idéologies ou des pressions, à l’image des techniques de contrôle de masse de MKUltra. Sa structure pyramidale, verrouillée par un devoir de réserve oppressant, reflète la fragilité d’un régime qui craint la vérité, comme me l’a confié un ancien militaire : « Ce pouvoir muselle toute critique, à l’image des dérives d’Aurore Bergé, marionnette d’un système à bout de souffle. »
Dans les cabinets de conseil, l’« obligation to dissent » brise les hiérarchies pyramidales pour libérer la vérité. Pourquoi pas dans l’armée ? L’histoire regorge d’exemples : les officiers qui rejoignirent de Gaulle en 1940, défiant Vichy, incarnèrent cette conscience militaire face à des ordres contraires à l’intérêt national. Un vétéran le rappelait : « Ce ne sont pas les généraux qui renversent les régimes injustes, mais les capitaines et lieutenants avec leurs sous-officiers. » À ce sujet je vous invite à écouter cette prise de parole d’un ancien militaire, salué par de nombreux militaires qui s'interrogent si ce discours n'aurait pas dû être celui du CEMA.
La France, riche de talents et de ressources, peut déjouer cet enfumage. À force de s’éloigner des aspirations des Français, Macron creuse un fossé béant entre le pouvoir et la nation. Avec cette prise de parole, Burkhard révèle-t-il une armée contrainte de plier sous une logique de contrôle centralisé, où la méritocratie et le serment des soldats – dévoués à la défense de la nation – cèdent le pas à des priorités politiques ? La maltraitance institutionnelle, sous l’égide d’un exécutif déconnecté, érode la confiance dans nos institutions et expose la France à des risques stratégiques insensés. L’histoire nous enseigne qu’un pouvoir trop éloigné de son peuple suscite des sursauts citoyens souvent plus sombres que ce qu’un journal peut écrire.
Français, soldats, citoyens : la vigilance est un impératif, l’intelligence collective une arme. Cela passe par réapprendre à dire « non », « non à ce système qui par le vote organise un simulacre de démocratie ». Demandez des débats publics, des comptes à vos élus qui une fois élus votent le contraire de ce qu’ils ont promis, soutenez les voix dissidentes – celles des militaires qui murmurent dans les casernes, celles des citoyens qui s’organisent dans les rues. La résilience des Français, forgée par des siècles de combats contre les abus de pouvoir, est une force vive.
RépondreSupprimerFace à un pouvoir qui manipule les peurs pour asseoir son emprise, la liberté ne se négocie pas sous un rideau de fumée et des injonctions paradoxales.
Elle se reconquiert par la lucidité, le courage, et la plume d’une nation prête à réécrire son histoire.
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/le-tocsin-de-burkhard-ou-la-fanfare-guerriere-d-un-macronie-aux-abois