L’audition historique du sénateur Ron Johnson sur la corruption de la science et des agences de santé américaines
le 24 mai 2025 - 11:10
Le 23 mai 2025, le sénateur américain Ron Johnson, président du sous-comité permanent des investigations du Sénat, a tenu une audition intitulée « La corruption de la science dans les agences fédérales de santé : comment les responsables de la santé ont minimisé et caché la myocardite et d'autres événements indésirables associés aux vaccins COVID-19». Cette audition a marqué un tournant dans le débat sur la transparence des agences de santé américaines, notamment le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et la FDA (Food and Drug Administration), concernant la gestion des effets secondaires des vaccins contre le COVID-19. France-Soir est le seul média français à avoir donné la parole au Sénateur Johnson dès 2020.
L’audition s’est concentrée sur des allégations graves : les responsables de santé auraient sciemment minimisé et dissimulé des données sur les myocardites et autres effets indésirables liés aux vaccins COVID-19. Ron Johnson a présenté un rapport intérimaire établi à partir des documents obtenus via des demandes FOIA (Freedom of Information Act), révélant que dès février 2021, des signaux d’alerte sur les myocardites étaient connus, mais ignorés ou sous-estimés par les autorités sanitaires.
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Les points clés de l’audition Tout d’abord, des témoignages médicaux accablants :
Dr Peter McCullough, cardiologue, a rapporté des cas de myocardites mortelles post-vaccination, citant des études publiées dans des revues prestigieuses comme le New England Journal of Medicine. Il a affirmé que le vaccin produit une protéine spike qui cause des dommages systémiques, notamment au cœur, et a dénoncé l’absence de transparence des autorités. Dr Jordan Vaughn a partagé son expérience clinique, ayant traité plus de 4 000 patients souffrants de « long COVID » ou de blessures vaccinales. Il a souligné les effets délétères de la protéine spike sur le système vasculaire, provoquant des caillots et des inflammations.
Dr James Thorpe a dénoncé les impacts sur les femmes enceintes, affirmant avoir été licencié pour avoir tenté de partager des données critiques sur les effets des vaccins. Dr Kimberly Walshok a révélé que 7,7 % des utilisateurs de l’application V-Safe (soit environ 1 personne sur 13) ont cherché des soins médicaux après la vaccination, un chiffre bien supérieur aux données officielles rapportées. (En France, un sondage MIS Groupe pour France-Soir/BonSens.org d’avril 2025 sur un échantillon représentatif de 1200 personnes observait que 9% des français avaient subi un effet indésirable des vaccins qui avait nécessité la consultation d’un médecin et 1% qui ont nécessité une déclaration en pharmacovigilance).
Le manque de transparence des agences : Ron Johnson a accusé le CDC et la FDA d’avoir retardé la publication d’alertes sur les myocardites, malgré des signaux clairs dès avril 2021. Il a pointé du doigt des échanges entre responsables de la FDA et du CDC, qui ont choisi de publier des « considérations cliniques » vagues plutôt qu’une alerte formelle via le Health Alert Network (HAN). De plus, les données V-Safe, qui montraient un taux élevé de consultations médicales post-vaccination, n’ont été obtenues qu’après deux ans de batailles judiciaires.
La censure et les représailles mises en place : les témoins ont dénoncé une censure systématique. Dr Walshok a révélé que des groupes de soutien aux victimes de vaccins sur Facebook ont été fermés sous la pression de la Maison-Blanche, poussant certains patients au désespoir, voire au suicide. Dr McCullough a été accusé de « désinformation » avant même de témoigner en 2020, et a finalement démissionné de l’American Board of Internal Medicine en 2024 après des pressions.
Le contradictoire a été mené par le sénateur Richard Blumenthal et le gouverneur de Hawaï, Dr Josh Green. Ils ont défendu les vaccins, arguant qu’ils ont sauvé des millions de vies. Blumenthal a reconnu l’importance d’étudier les effets secondaires, mais a estimé que les preuves de dissimulation intentionnelle étaient insuffisantes. Green a insisté sur les bénéfices des vaccins pendant la pandémie, tout en déplorant les coupes budgétaires récentes dans les agences de santé publique sous l’administration actuelle.
L’audition a suscité une vague de réactions sur X, reflétant une polarisation marquée. Avec d’un côté des soutiens très marqués à Ron Johnson, qui n’hésitent pas à déclarer « Enfin la vérité éclate ! » ou « Les victimes méritent justice ». @TheChiefNerd a publié un extrait vidéo de la prise de parole du Dr McCullough, amplifiant ses avertissements sur les myocardites. Les réactions ont été virulentes, avec des utilisateurs accusant le CDC de « crimes contre l’humanité ».
🚨 DR DREW: “Senator Ron Johnson just had a hearing where he revealed the extraordinary evidence of myocarditis in young males and that the [Biden] administration and the FDA and the NIH knew about it and suppressed this information, leading God knows how many kids to serious… pic.twitter.com/jdVT0oMTfN — Chief Nerd (@TheChiefNerd) May 23, 2025
@theblaze a relayé l’audition, qualifiant les révélations de « choquantes » et reprenant les alertes du sénateur Johnson qui « critique le « Big, Beautiful Bill » de Trump : « Je me fiche qu'il soit contrarié. Je m'inquiète pour mes enfants et mes petits-enfants. 37 000 milliards de dollars de dette, et on va encore l'alourdir ? Je ne voterai certainement pas pour ce projet de loi dans sa forme actuelle. »
Cependant, certains sont critiques et sceptiques. Ils accusent Johnson de « propager la peur » et de « saper la science ». Des comptes pro-vaccins ont repris les arguments de Blumenthal, soulignant que les vaccins ont sauvé des millions de vies, et ont critiqué la partialité du panel de témoins, notamment en raison des liens de certains avec des entreprises comme The Wellness Company, qui vend des produits alternatifs.
Enfin, Ron Johnson a publiquement demandé la comparution de Joe Biden devant son comité, accusant son administration d’avoir orchestré une dissimulation des effets secondaires. Cette demande a amplifié le débat politique, certains y voyant une manœuvre pour discréditer Biden, tandis que d’autres ont salué l’initiative comme un pas vers la transparence.
Conséquences aux États-Unis
L’audition a ravivé les tensions autour de la confiance dans les institutions de santé publique.
Elle intervient dans un contexte où l’administration actuelle, sous la présidence de Donald Trump (réélu en 2024), a nommé Robert F. Kennedy Jr., qui demande des chiffres sur la performance des vaccins et des études contre placebo au risque d’être qualifié de « sceptique notoire des vaccins », à la tête du HHS (Department of Health and Human Services).
(...) Dr Peter McCullough, cardiologue, a rapporté des cas de myocardites mortelles post-vaccination, citant des études publiées dans des revues prestigieuses comme le New England Journal of Medicine. Il a affirmé que le vaccin produit une protéine spike qui cause des dommages systémiques, notamment au cœur, et a dénoncé l’absence de transparence des autorités. (...)
1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !! a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano. b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque. Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minuteet 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT ! Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales. Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
La scientifique dont les traitements biologiques des semences ont contribué à faire du Brésil un grenier à blé mondial est nommée lauréate du Prix Mondial de l'Alimentation 2025
24 Mai 2025P World Food Prize Foundation*
Mme Mariangela Hungria recevra le prix de 500.000 dollars pour ses travaux visant à exploiter les processus biologiques afin d'améliorer durablement la nutrition, les rendements et la productivité des cultures.
Une scientifique dont les découvertes ont aidé le Brésil à devenir une puissance agricole mondiale a été nommée lauréate du Prix Mondial de l'Alimentation 2025.
Mme Mariangela Hungria, microbiologiste de São Paulo, a mis au point des dizaines de traitements biologiques des semences et des sols qui aident les cultures à s'approvisionner en nutriments grâce aux bactéries du sol, ce qui augmente considérablement les rendements des principales cultures tout en réduisant les besoins en engrais de synthèse.
On estime que ses produits ont été utilisés sur plus de 40 millions d'hectares au Brésil, ce qui a permis aux agriculteurs d'économiser jusqu'à 40 milliards de dollars par an en coûts d'intrants tout en évitant plus de 180 millions de tonnes métriques d'émissions d'équivalent gaz carbonique par an.
Les travaux de Mme Hungria ont permis d'améliorer les rendements du blé, du maïs, du riz, des haricots communs et d'autres cultures importantes, notamment le soja, qui est aujourd'hui le premier produit d'exportation agricole du Brésil. Au cours de ses 40 années de carrière au sein de la Société Brésilienne de Recherche Agricole (Embrapa), la production nationale de soja est passée de 15 millions de tonnes en 1979 à 173 millions de tonnes prévues pour la prochaine récolte.
L'annonce du Prix Mondial de l'Alimentation de cette année, la principale récompense internationale dans le domaine de l'alimentation et de l'agriculture, a été faite au siège international de l'organisation, le Norman E. Borlaug Hall of Laureates. L'événement était présidé par le gouverneur de l'Iowa, l'honorable Kim Reynolds, et l'annonce a été faite par le président de la Fondation, Mashal Husain. M. Paul Schickler, président du conseil d'administration de la Fondation, et M. Tom Vilsack, directeur général de la Fondation, ont également prononcé des allocutions.
« Le parcours du Dr Hungria montre qu'elle est une scientifique d'une grande persévérance et d'une grande vision – des traits qu'elle partage avec le Dr Norman Borlaug, fondateur du Prix Mondial de l'Alimentation et père de la Révolution Verte », a déclaré le gouverneur Reynolds. « En tant que pionnière industrielle et mère de famille, le Dr Hungria est également un exemple inspirant pour les femmes chercheurs qui cherchent à incarner ces deux rôles. Ses découvertes et ses développements ont permis au Brésil de devenir un grenier à blé mondial. Le Prix Mondial de l'Alimentation récompense les personnes dont le courage et l'innovation transforment notre monde, et je félicite Mme Hungria pour cette reconnaissance. »
Sous le mentorat de Mme Johanna Döbereiner, Mme Hungria a été l'une des premières adeptes de la fixation biologique de l'azote, processus par lequel les cultures forment une association mutuellement bénéfique avec les bactéries du sol qui fournissent de l'azote, un élément nutritif essentiel à la croissance des plantes. Au début de sa carrière, il existait très peu de recherches sur la microbiologie en tant que solution pour la fertilité des sols.
Elle a commencé par étudier les rhizobia, un type de bactérie qui interagit avec les racines des légumineuses pour fournir de l'azote en échange d'énergie. Elle a découvert que l'application annuelle de cette souche au soja par le biais d'un inoculant pouvait augmenter les rendements de 8 % par rapport à l'utilisation d'engrais de synthèse.
Elle a également été la première à isoler des souches de la bactérie Azospirillum brasilense susceptibles d'améliorer l'absorption de l'azote et des phytohormones. Ses recherches ont montré que la combinaison et l'application d'A. brasilense et de rhizobia pouvaient doubler l'augmentation du rendement des haricots communs et du soja. Aujourd'hui, plus de 70 millions de doses d'inoculants combinés sont vendues et appliquées sur environ 15 millions d'hectares au Brésil chaque année.
Mme Hungria, professeure à l'Université d'État de Paraná et à l'Université Fédérale de Technologie de l'État de Paraná, applique désormais ses recherches à la restauration des pâturages dégradés. Elle a mis au point le premier inoculant pour les pâturages, ce qui a permis d'augmenter la biomasse de 22 % et d'offrir au bétail une alimentation plus abondante et de meilleure qualité.
« Lorsque j'ai commencé, personne ne parlait de fixation biologique de l'azote. Mais j'aimais la microbiologie, j'aimais les sciences fondamentales, et j'avais de nombreuses idées que je voulais étudier », a déclaré le Dr Hungria. « Remplacer l'utilisation de produits chimiques par des produits biologiques dans l'agriculture a été le combat de ma vie. Je suis très fière de contribuer à la production de denrées alimentaires tout en réduisant l'impact sur l'environnement. L'objectif était d'augmenter le rendement en utilisant le moins possible de produits chimiques, et nous y sommes parvenus en utilisant davantage de produits biologiques. »
Mme Hungria, qui a surmonté les préjugés à l'égard des femmes et des jeunes mères dans le monde universitaire pour être désignée par Forbes comme l'une des 100 femmes les plus puissantes dans le domaine de l'agriculture au Brésil en 2021, a déclaré avoir été inspirée par Norman Borlaug, le père de la Révolution Verte et fondateur du Prix Mondial de l'Alimentation.
« J'aime à dire qu'il a rendu possible la Révolution Verte et que nous avons eu l'occasion de lancer une "micro révolution verte" – une révolution verte, mais avec des micro-organismes », a-t-elle ajouté. « Je n'arrive pas à croire que je reçois aujourd'hui le Prix Mondial de l'Alimentation. De nombreuses personnes ont mis en doute mes capacités tout au long de ma carrière, mais j'ai cru en ce que je faisais et j'ai persévéré. Le rôle des femmes dans l'agriculture, qu'il s'agisse de l'agriculture en tant que telle ou de la science, mérite d'être davantage reconnu. J'espère que ma réussite incitera d'autres personnes à poursuivre leur passion dans le domaine scientifique. »
Auteure de plus de 500 articles, chapitres et publications, Mme Hungria a produit le premier manuel en portugais sur les méthodes de microbiologie des sols adaptées aux tropiques. Depuis 2020, l'Université de Stanford l'a classée dans le premier pour cent des scientifiques agricoles et elle a reçu la plus haute distinction brésilienne dans le domaine de l'agriculture, le prix Frederico de Menezes Veiga.
« Mme Hungria a été choisie pour ses extraordinaires réalisations scientifiques dans le domaine de la fixation biologique de l'azote, qui ont transformé la durabilité de l'agriculture en Amérique du Sud », a déclaré M. Gebisa Ejeta, président du Comité de sélection des lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation. « Son brillant travail scientifique et sa vision engagée pour faire progresser la production agricole durable afin de nourrir l'humanité grâce à une utilisation judicieuse des engrais chimiques et des amendements biologiques lui ont valu une reconnaissance mondiale à la fois dans son pays et à l'étranger. »
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* Source : Scientist Whose Biological Seed Treatments Helped Make Brazil A Global Breadbasket Named 2025 World Food Prize Laureate
Ma note : En France, l'information a été donnée par Ouest-France (avec un titre pas terrible), reprise par MSN et par Maville. C'est bien peu...
Vidéo : Destruction systémique et « Reproduction de la vie réelle ». Michel Chossudovsky
Chaos social, instabilité économique, guerre mondiale et « privatisation de la politique »
Par le professeur Michel Chossudovsky et James Corbett Recherche mondiale, 24 mai 2025
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[Ceci a été diffusé sur GTRV en mai 2017.]
Du chaos politique et social à l’instabilité économique et aux guerres mondiales, les crises créées par la privatisation de la politique deviennent de plus en plus incontrôlables.
Aujourd’hui, dans l’interview de GRTV, Michel Chossudovsky examine comment toutes ces crises convergent vers un point : la destruction systématique de la reproduction de la vie réelle.
Examen de l’achat prémonitoire d’actions BioNTech par la Fondation en août 2019.
Par John Leake Recherche mondiale, 23 mai 2025
[Première publication le 22 avril 2024]
ARTICLE IMPORTANT :
La pandémie inexistante de Covid a été « annoncée » en septembre 2019.
* * *
En examinant la divulgation des catégories de capital social de BioNTech pour l'exercice clos le 31 décembre 2019, j'ai remarqué ce qui suit :
Le 30 août 2019, BioNTech a conclu des accords avec la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF). BMGF a accepté d'acquérir 3 038 674 actions ordinaires de BioNTech d'un montant nominal de 3 039 k€ pour un montant total de 49 864 k€ (55 000 k$). Ces accords prévoient que BioNTech mène certaines activités de recherche et développement afin de faire progresser le développement de produits pour la prévention et le traitement du VIH et de la tuberculose. En cas de manquement aux conditions sous-jacentes, y compris ces activités de recherche et développement, BMGF a le droit de revendre ses actions à BioNTech au prix initial ou à la juste valeur marchande, le prix le plus élevé étant retenu, sous réserve de certaines conditions. La capacité de BioNTech à verser des dividendes est également limitée par les termes de ces accords.
Moins de deux ans après l'acquisition de l'action par la Fondation Gates (avant son introduction en bourse) à 18 dollars l'action, celle-ci a atteint un pic à 389 dollars le 6 août 2021. À ce prix, l'investissement de 55 millions de dollars de la Fondation valait 1 182 044 186 dollars (1,182 milliard de dollars).
Le 18 septembre 2019, dix-neuf jours seulement après que la Fondation Gates a pris une position importante dans l’action BioNTech, un rapport intitulé « Un monde en danger » a été publié par le Global Preparedness Monitoring Board, fondé en 2018 par le Groupe de la Banque mondiale et l’ Organisation mondiale de la santé .
La page de titre du rapport est illustrée d'une image de coronavirus, et son texte est un appel urgent à l'action pour que le monde investisse davantage dans la préparation à une pandémie virale respiratoire. Comme l'indique le rapport en page 8 :
- voir doc sur site -
Le rapport ne mentionne pas la nécessité d'investir dans le renforcement de la sécurité des laboratoires biologiques. Il met expressément en garde contre la menace d'un agent pathogène respiratoire mortel « accidentellement ou délibérément libéré », mais son appel à l'action se résume à investir des fortunes pour lutter contre un tel agent pathogène plutôt que d'empêcher sa libération.
Ceci malgré les nombreux avertissements urgents de Richard Ebright, professeur de biologie à l'université Rutgers, et d'autres, selon lesquels de nombreux laboratoires biologiques dans le monde présentaient des antécédents de graves failles de sécurité qui n'étaient pas correctement corrigées. En 2017, le professeur Ebright a exprimé une inquiétude particulière concernant le nouveau laboratoire de biosécurité 4 qui s'apprêtait à ouvrir à Wuhan, en Chine .
Nous savons maintenant que le SRAS-CoV-2 a été officiellement détecté en décembre 2019, mais qu’il est probablement apparu et a commencé à se propager en août ou septembre 2019, c’est-à-dire à peu près au même moment où Un monde en danger a été publié.
La date du 18 septembre 2019 du rapport suggère fortement qu’une personne effectuant une biosurveillance pour l’OMS en Chine a obtenu des informations selon lesquelles un coronavirus du SRAS circulait déjà.
Étant donné que la Fondation Gates est le deuxième plus grand donateur de l’OMS (après l’Allemagne, où se trouve le siège de BioNTech), je me demande si ces renseignements ont été transmis à quelqu’un de la Fondation Gates des mois avant le 31 décembre 2019, date à laquelle l’OMS a affirmé avoir reçu son premier rapport de cas de pneumonie d’étiologie inconnue à Wuhan.
L’OMS, avec ses bureaux nationaux qui obtiennent des rapports de biosurveillance sur le terrain , sert-elle d’agence de renseignement non officielle pour la Fondation Gates ?
Si tel était le cas, cela permettrait à la Fondation d’obtenir des informations extrêmement précieuses sur les agents pathogènes de maladies infectieuses émergentes – naturellement émergents ou accidentellement ou délibérément libérés – bien avant que d’autres acteurs du marché n’obtiennent ces informations.
MÉTHODE DE L'OPÉRATION SINISTRE : Vacciner tout le monde contre la Covid AVANT qu'ils ne découvrent la véritable létalité des vaccins à ARNm – tel était le complot.
23/05/2025 S.D. Wells
Oui, les avertissements sur les dangers des vaccins contre la Covid ont été retardés pendant des mois, voire des années, afin que tout le monde se précipite pour se faire injecter la « technologie » à ARNm qui fait exploser les taux de mortalité toutes causes confondues. Tout était question de dépopulation, et l'objectif final de la pandémie était de faire vacciner un maximum d'idiots et de vaccinés endoctrinés avant que les défenseurs de la santé naturelle n'obtiennent suffisamment de preuves scientifiques et ne révèlent les vaccins contre la grippe de Fauci pour ce qu'ils sont précisément : des armes biologiques de destruction massive.
Toute cette arnaque concernait des vaccins mortels. C'était le mode opératoire sinistre derrière toute cette propagande et cette alarmisme. Derrière toutes ces fausses statistiques de décès qui affirmaient que des personnes mouraient de la Covid, avec la Covid, pendant la Covid, etc.
Un rapport allègue que les autorités sanitaires américaines ont tardé à avertir le public des risques de myocardite liés aux vaccins contre la COVID
Un nouveau rapport du Congrès allègue que les autorités sanitaires américaines sous l'administration Biden étaient au courant du risque de myocardite lié aux vaccins contre la COVID-19 des mois avant de lancer des avertissements publics, mettant potentiellement en danger les jeunes Américains. Publié le 21 mai par le bureau du sénateur Ron Johnson (R-WI), le rapport affirme que les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) ont retardé la mise à jour des étiquettes des vaccins malgré des preuves de plus en plus nombreuses. Ces conclusions surviennent alors que les inquiétudes concernant les inflammations cardiaques liées aux vaccins alimentent la baisse du recours aux rappels et suscitent un regain d'attention quant à la transparence du gouvernement fédéral en matière de santé.
Selon le rapport, les agences fédérales étaient au courant de cas de myocardite liés au vaccin à ARNm de Pfizer dès février 2021, mais n'ont mis à jour les étiquettes de sécurité qu'en juin. À cette date, les signalements d'inflammations cardiaques étaient passés de 158 cas en avril à plus de 750 début juin. Le rapport indique : « Même si les responsables des CDC et de la FDA étaient parfaitement conscients du risque de myocardite suite à la vaccination contre la COVID-19, l'administration Biden a choisi de ne pas émettre d'avertissement officiel au public pendant des mois concernant les problèmes de sécurité, mettant ainsi en danger la santé des jeunes Américains. » Les autorités sanitaires israéliennes avaient également alerté les agences américaines en avril 2021 de l'augmentation des cas de myocardite chez les jeunes vaccinés, mais la FDA a qualifié ces données d'« incomplètes ». Parallèlement, l'administration Biden a élargi l'admissibilité au vaccin aux adolescents en mai 2021, minimisant les risques en les qualifiant de « rares ».
Des études récentes suggèrent que la myocardite pourrait être plus fréquente que prévu initialement. Une étude de 2023 a révélé qu'une personne ayant reçu une dose de rappel sur 35 présentait des signes de lésion myocardique. Ces résultats ont contribué à la baisse du recours aux doses de rappel, le scepticisme grandissant à l'égard des messages sanitaires fédéraux. Cette controverse fait écho à d'anciennes controverses de santé publique, telles que la reconnaissance tardive des risques cardiaques liés à certains médicaments, ce qui soulève des questions sur la transparence de la gestion de crise.
Le rapport renforce l'examen minutieux de la manière dont les agences sanitaires américaines ont équilibré urgence et prudence pendant la pandémie. Les critiques des vaccins affirment que le fait de taire les risques potentiels a érodé la confiance du public. Alors que les campagnes de rappel se poursuivent dans le cadre de l'état d'urgence prolongé, les retombées de ces révélations pourraient influencer les futures politiques vaccinales, ainsi que la volonté du public de les suivre.
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La FDA oblige Pfizer et Moderna à admettre que les vaccins contre la COVID-19 provoquent des lésions cardiaques durables chez les jeunes hommes.
23/05/2025 Lance D Johnson
Pendant des années, parents et professionnels de santé ont tiré la sonnette d'alarme concernant le lien dangereux entre les vaccins à ARNm contre la COVID-19 et l'inflammation cardiaque chez les jeunes hommes, avant d'être qualifiés d'« anti-vaccins » ou de conspirationnistes. Aujourd'hui, dans un revirement spectaculaire, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a ordonné à Pfizer et Moderna de renforcer leurs avertissements, admettant enfin que ces vaccins peuvent provoquer des lésions cardiaques durables, en particulier chez les adolescents et les jeunes hommes. Mais cet aveu arrive bien trop tard : des millions de doses ont été administrées sous de faux prétextes, d'innombrables jeunes vies ont été bouleversées par une myocardite et les agences de santé publique ont activement dissimulé la vérité. L'action tardive de la FDA soulève une question cruciale : combien de blessures supplémentaires auraient pu être évitées si le gouvernement avait privilégié la transparence à la promotion aveugle des vaccins ?
Points clés :
La FDA a exigé que Pfizer et Moderna mettent à jour les étiquettes de leurs vaccins contre la COVID-19 afin d'inclure des mises en garde plus strictes concernant la myocardite et la péricardite, en particulier chez les hommes âgés de 16 à 25 ans. De nouvelles données révèlent que les lésions myocardiques sont souvent durables, ce qui contredit les affirmations antérieures des CDC selon lesquelles l'inflammation cardiaque « a tendance à se résorber rapidement ».
L'incidence de myocardite est la plus élevée chez les jeunes hommes, avec 38 cas par million de doses, soit un chiffre bien plus élevé que ce qui avait été admis auparavant. Des courriels internes du gouvernement montrent que les responsables de la santé ont délibérément évité d'avertir le public de ces risques, même après avoir détecté des signaux d'alerte en 2021. La décision de la FDA fait suite à une enquête du Sénat révélant comment les agences fédérales ont minimisé et dissimulé les effets néfastes des vaccins.
Pendant des années, des chercheurs indépendants et des professionnels de la santé ont averti que les vaccins à ARNm présentaient un risque disproportionné pour les jeunes individus en bonne santé, en particulier les hommes. Pourtant, les agences de santé publique ont balayé ces inquiétudes, insistant sur le fait que les avantages l'emportaient sur les risques. La FDA a désormais été contrainte de reconnaître ce que les défenseurs de la liberté de santé ont toujours affirmé : ces vaccins peuvent provoquer des lésions cardiaques graves, parfois permanentes.
Les étiquettes mises à jour doivent désormais indiquer que les lésions myocardiques sont fréquentes chez les personnes développant une myocardite post-vaccinale, les données montrant des lésions persistantes cinq mois après la vaccination. Cela contredit directement les assurances précédentes des CDC selon lesquelles les cas étaient « légers » et « rapidement résolus ».
Pourquoi a-t-il fallu autant de temps ? Des documents internes obtenus grâce à des demandes FOIA révèlent que dès mai 2021, les CDC et la FDA avaient envisagé de lancer un avertissement public, mais ont finalement préféré le silence à la transparence.
La dissimulation de la vérité et le coût de la tromperie
La sous-commission permanente d'enquête du Sénat a récemment publié un rapport accablant révélant comment les agences fédérales de santé ont systématiquement dissimulé le risque de myocardite lié aux vaccins contre la COVID-19. Des courriels internes révèlent que les responsables ont mené une opération de dissimulation coordonnée en refusant de mettre à jour le système de déclaration V-safe pour y inclure les symptômes cardiaques, garantissant ainsi que d'innombrables cas n'ont jamais été documentés. De plus, ils ont bloqué un projet d'alerte du Réseau d'alerte sanitaire (Health Alert Network) qui aurait alerté les médecins et le public des dangers, privilégiant la perception publique à la transparence.
Malgré des preuves évidentes que la myocardite pouvait causer des lésions cardiaques à long terme, les autorités ont délibérément minimisé sa gravité, la qualifiant de « légère » et de « résolue » afin d'éviter de compromettre les campagnes de vaccination. Les CDC et la Maison-Blanche ont même organisé des réunions de crise pour élaborer des messages trompeurs, supprimant des données cruciales tout en promouvant des discours mettant l'accent sur la rareté et la sécurité. Il ne s'agissait pas d'une simple négligence, mais d'une tromperie calculée, sacrifiant le consentement éclairé au maintien de taux de vaccination élevés. Les conclusions de l'avocat Ed Berkovich, soumises à la FOIA, corroborent ces propos, révélant d'importantes suppressions dans les documents des CDC, notamment ceux communiqués à de hauts conseillers de la Maison-Blanche, suggérant une implication de hauts responsables dans la dissimulation de la vérité. L'inaction du comité face aux signaux de sécurité accablants soulève des questions urgentes quant à la responsabilité de ceux qui ont ignoré les dommages irréversibles causés au public.
Le nouvel avertissement de la FDA constitue un petit pas vers la responsabilisation, mais il ne répare pas les dégâts. Des millions de jeunes ont reçu ces vaccins sans être informés de tous les risques. Nombre d'entre eux souffrent aujourd'hui de maladies cardiaques chroniques, tandis que les laboratoires pharmaceutiques et les agences gouvernementales responsables n'en subissent aucune conséquence.
Alors que la vérité continue d'émerger, une chose est claire : le déploiement du vaccin contre la COVID-19 a été l'une des plus grandes expériences médicales de l'histoire, et le public n'a jamais eu connaissance de toute l'histoire. Il incombe désormais à une nouvelle direction du HHS de démanteler cette fraude médicale et de gérer les conséquences des vaccins, une pierre après l'autre.
Le Sénat américain publie le rapport caché par Biden En six mois : 384 270 signalements d’effets indésirables, 4 812 décès, dont 1 736 dans les 48 h suivant l’injection. »
le 23 Mai 2025 par pgibertie
En minimisant et en dissimulant ce qu’ils savaient sur la myocardite induite par l’injection de COVID-19, les responsables fédéraux de la santé ont violé le principe inviolable du consentement éclairé avec leur vaccin expérimental.
By downplaying and covering up what they knew about COVID-19 injection-induced myocarditis, federal health officials violated the inviolable principle of informed consent with their experimental jab. pic.twitter.com/VAEyfOQKYB — Senator Ron Johnson (@SenRonJohnson) May 22, 2025
« Le sénateur Ron Johnson a ouvert l’audience avec une bombe : l’administration Biden était au courant des risques cardiaques mortels liés aux vaccins contre la COVID, et l’a délibérément caché au public.
Johnson a publié des documents récemment cités à comparaître, révélant une chronologie détaillée de ce que les autorités savaient et à quel moment.
Si Pfizer et Moderna ont reçu des informations confidentielles, les médecins et les citoyens qui ont exprimé leurs inquiétudes ont été réduits au silence.
En février 2021, les responsables de la santé israéliens ont averti le CDC de « nombreux cas de myocardite, en particulier chez les jeunes » suite aux injections de Pfizer, seulement deux mois et demi après que le vaccin ait reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence.
En avril, les CDC examinaient déjà les données sur la myocardite provenant d’Israël et du ministère de la Défense. Mais au lieu d’alerter le public, ils sont restés silencieux. À
la fin du mois, le VAERS avait recensé 2 926 décès, dont près de la moitié survenus dans les trois jours suivant l’injection. « Quelqu’un devrait se pencher sur la question », a déclaré Johnson. En mai, les CDC ont envisagé de lancer une alerte sanitaire officielle, mais l’ont abandonnée.
Ils l’ont remplacée par des directives édulcorées supprimant un avertissement clé invitant les médecins à restreindre l’activité physique chez les patients atteints de myocardite. Francis Collins, alors directeur du NIH, balaya tout cela du revers de la main. « Sénateur, des gens meurent », dit-il à Johnson. En seulement six mois, le bilan est stupéfiant : 384 270 signalements d’effets indésirables, 4 812 décès, dont 1 736 survenus dans les 48 heures suivant l’injection. »
Le sénateur Ron Johnson a effectivement publié un rapport intérimaire en mai 2025, basé sur plus de 2 400 pages de documents obtenus par assignation à comparaître auprès du Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) sous l’administration Trump. Ce rapport, émanant du Sous-comité permanent du Sénat sur les enquêtes, met en lumière des allégations selon lesquelles les autorités sanitaires américaines, incluant le CDC, la FDA et le NIH, auraient été informées dès février 2021 par leurs homologues israéliens de cas de myocardite, particulièrement chez les jeunes, après l’administration des vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna.
Selon le rapport, dès février 2021, le ministère de la Santé israélien a signalé 40 cas de myocardite liés au vaccin Pfizer, alors qu’Israël vaccinait une proportion plus importante de sa population, y compris les jeunes, par rapport aux États-Unis. En avril 2021, un consultant de l’Agence de santé de la Défense a averti que le système V-safe, utilisé pour surveiller les effets secondaires, ne détectait pas adéquatement les événements cardiaques, et le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) avait déjà enregistré 158 cas de myocardite, péricardite et myopéricardite. Cependant, le CDC et la FDA n’ont pas mis à jour V-safe pour inclure les symptômes cardiaques et n’ont pas pris de mesures pour corriger la sous-déclaration dans VAERS, qui, historiquement, ne capte qu’environ 1 % des effets indésirables réels.
Le rapport indique qu’en mai 2021, le CDC envisageait une alerte via le Health Alert Network (HAN), mais a opté pour une simple mise à jour sur son site web le 28 mai, qualifiant la myocardite de « rare » sans recommander de restrictions spécifiques, comme éviter l’activité physique intense. Ce n’est qu’en juin 2021 que la FDA a ajouté des avertissements sur les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna concernant les risques de myocardite et de péricardite. Johnson affirme que cette delayance était motivée par la crainte d’alimenter l’hésitation vaccinale, au détriment du principe du consentement éclairé.
Concernant les données VAERS, le rapport mentionne qu’au 25 avril 2021, 38 607 décès et plus de 1,6 million d’effets indésirables avaient été signalés mondialement, bien que VAERS ne prouve pas la causalité. Les chiffres cités (2 926 décès en avril, dont près de la moitié dans les trois jours suivant la vaccination) ne correspondent pas précisément à ceux du rapport, qui mentionne 980 décès signalés au VAERS en février 2021, souvent d’origine cardiovasculaire. Les données de juin 2021 font état de 438 441 effets indésirables et 9 048 décès (dont 1 814 dans les 0-2 jours post-vaccination). Ces chiffres doivent être interprétés avec prudence, car VAERS repose sur des signalements non vérifiés.
Le rapport critique également les lourdes rédactions dans les documents obtenus via la loi sur la liberté d’information (FOIA) sous l’administration Biden, suggérant une volonté de dissimuler des informations. Des points de discussion internes de la Maison Blanche, envoyés en mai 2021 à des responsables comme Anthony Fauci, Rochelle Walensky et Francis Collins, minimisaient les risques de myocardite tout en promouvant l’efficacité des vaccins.
Pour plus de détails, le rapport complet et les documents sont disponibles sur le site du sénateur Johnson. Les allégations de dissimulation intentionnelle restent controversées et nécessitent un examen critique des preuves au-delà des documents fournis.
Senator Ron Johnson opened the hearing with a bombshell: the Biden administration KNEW about deadly heart risks tied to the COVID shots, and deliberately kept it from the public.
Johnson released newly subpoenaed records exposing a detailed timeline of what officials knew and… pic.twitter.com/F2M2LosDDY — The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) May 22, 2025
35 milliards d’euros pour 1,8 milliard de doses de vaccin Covid négociés en secret par SMS entre Ursula et Bourla, de LFI aux macronistes, ils ne veulent pas savoir
le 24 Mai 2025 par pgibertie
@v_joron
Le #Pfizergate : le plus gros scandale de l’histoire de l’UE (35 milliards d’euros pour 1,8 milliard de doses de vaccin Covid négociés en secret par SMS entre Ursula et Bourla) n’intéresse pas les Macronistes, les Écologistes, les socialistes et les Mélenchonistes.
Un siècle de preuves que les vaccins provoquent la mort subite du nourrisson Démasquer l'une des plus grandes tragédies de la médecine
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN 23 MAI 2025
• Depuis au moins 1933, la communauté médicale sait que les vaccins provoquent des décès infantiles. Pour dissimuler cette réalité, ces décès ont été rebaptisés « mort subite du nourrisson », puis « syndrome de mort subite du nourrisson » (MSN), finalement attribués au fait que les nourrissons ne dormaient pas sur le dos.
• Ce révisionnisme n'est étayé ni par les preuves existantes ni par l'évolution historique de la fréquence de la MSN. Plus récemment, les taux de MSN ont connu une baisse sans précédent, parallèlement aux confinements liés à la COVID-19, qui ont réduit les taux de vaccination.
• Le vaccin le plus étroitement associé à la MSN, le DTC, a été protégé pendant des décennies par les gouvernements, malgré le fait que de nombreuses preuves, partout dans le monde, montraient qu'il tuait des nourrissons, notamment lors de la mise sur le marché d'un lot inévitablement prometteur. Finalement, les poursuites pour préjudice corporel ont été si nombreuses qu'en 1986, le gouvernement a dû accorder une immunité totale aux fabricants de vaccins.
Cet article passe en revue de manière concise les nombreuses preuves démontrant que les vaccins provoquent le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) et révèle le mécanisme, maintes fois démontré par la recherche moderne, qui provoque la mort infantile.
On nous dit souvent que les vaccins étaient une merveille médicale qui a mis fin à l'âge sombre des maladies infectieuses. Pourtant, l'examen des dossiers révèle qu'ils ont souvent échoué lamentablement à prévenir ces maladies et, pire encore, ont fréquemment provoqué des épidémies et gravement blessé de nombreux receveurs.
Cela résultait en partie de la toxicité inhérente des vaccins et en partie des difficultés de fabrication qui entraînaient régulièrement la mise sur le marché de lots dangereux. Plutôt que de remédier à ce problème, l'industrie du vaccin a choisi de mettre en place diverses stratégies pour dissimuler ces problèmes, notamment en consacrant le dogme « tous les vaccins sont sûrs » et en accordant une immunité juridique totale à tous les vaccins « sûrs ».
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La courbe de toxicité
Lorsque les humains sont exposés à des toxines, les réactions sont réparties de telle sorte que les blessures graves sont beaucoup plus rares. Par conséquent, de nombreuses réactions plus subtiles et courantes passent généralement inaperçues.
Par conséquent, si un produit cause un nombre important de décès (par exemple, les vaccins à ARNm contre la COVID), ce n'est souvent que la partie émergée de l'iceberg, et un nombre bien plus important de blessures se cachent sous la surface (par exemple, un sondage a montré que 34 % des personnes vaccinées contre la COVID ont signalé des effets secondaires mineurs et 7 % des effets secondaires importants).
Morts subites du nourrisson
Cela est malheureusement également vrai pour les décès de nourrissons, et depuis sa création, le vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos (DTC) a été associé à ces décès.
Par exemple, en 2014, des fosses communes anonymes appartenant à des orphelins irlandais ont été découvertes. Elles appartenaient à un groupe de 2 051 enfants sur lesquels un vaccin antidiphtérique précoce avait été secrètement testé dans les années 1930. Remarque : les premières expériences vaccinales (dont le DTC) ont été menées dans les années 1960 et 1970 dans des maisons de retraite irlandaises, et les sujets testés comprenaient des bébés et des enfants handicapés.
De même, comme l’a détaillé Sir Graham Wilson, au début des années 1900, la littérature médicale a recensé plus d’une douzaine de cas (et probablement bien plus encore, non documentés) où des groupes d’enfants avaient reçu un vaccin antidiphtérique mal préparé, et collectivement, des milliers d’entre eux sont tombés gravement malades, et des centaines ont connu une mort atroce.
Une vague de décès a donc suivi l’adoption du DTC, qui, comme ceux qui ont suivi les vaccins contre la COVID, est devenu un « syndrome mystérieux », initialement appelé « mort subite du nourrisson », puis « syndrome de mort subite du nourrisson » (SMSN). À leur tour, quelques médecins ont constaté cette situation et se sont prononcés contre.
• Le Dr James Howenstine a déclaré en 2003 :
L’incidence du syndrome de mort subite du nourrisson est passée de 0,55 pour 1 000 naissances vivantes en 1953 à 12,8 pour 1 000 en 1992 dans le comté d’Olmstead, au Minnesota. Le pic d’incidence du syndrome de mort subite du nourrisson se situe entre 2 et 4 mois, période à laquelle la plupart des vaccins sont administrés aux enfants. 85 % des cas de SMSN surviennent au cours des 6 premiers mois de la petite enfance. La proportion de SMSN dans le total des décès infantiles est passée de 2,5 pour 1 000 en 1953 à 17,9 pour 1 000 en 1992. Cette hausse des décès par SMSN s’est produite à une époque où presque toutes les maladies infantiles étaient en déclin grâce à l’amélioration des conditions sanitaires et aux progrès médicaux, à l’exception du SMSN. Ces décès dus au syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) ont augmenté à une époque où le nombre de vaccins administrés aux enfants augmentait régulièrement pour atteindre 36 par enfant.
Remarque : j’ai toujours été étonné que le corps médical sache que le syndrome de mort subite du nourrisson atteint son pic à 2, 4 et 6 mois exactement, mais qu’il ne puisse pas établir de lien avec l’administration simultanée de vaccins infantiles.
• Le docteur Robert Mendelsohn a écrit dans son livre de 1987 « Comment élever un enfant en bonne santé malgré l'intervention de votre médecin » :
Mon soupçon, partagé par d'autres membres de ma profession, est que les près de 10 000 décès par SMSN qui surviennent chaque année aux États-Unis sont liés à un ou plusieurs vaccins administrés systématiquement aux enfants. Le vaccin contre la coqueluche est probablement le coupable, mais il pourrait aussi en être un ou plusieurs autres.
Remarque : Bien que je pense que le vaccin contre la coqueluche (DTC) soit le vaccin le plus étroitement lié au syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN), d’autres vaccins ont également un lien (par exemple, une analyse du VAERS de 2007 et un témoignage législatif du Dr Philip Incao en 1999 ont présenté des arguments convaincants reliant également le SMSN au vaccin contre l’hépatite B).
• En 1957, le Dr Archie Kalokerinos, désireux de servir la population, a demandé à être affecté dans les communautés rurales aborigènes délaissées, car leur taux de mortalité infantile était de 10 % (alors qu’il était de 2 % dans les communautés blanches environnantes). De nombreuses maladies y étaient endémiques (pneumonie, otites graves, irritabilité infantile importante et incapacité fréquente à nourrir les enfants malades), mais elles étaient ignorées et imputées aux habitudes inciviles des mères.
Remarque : l’interview complète (et très approfondie) peut être consultée. ici.
Archie a finalement compris que ces décès étaient dus à de graves carences nutritionnelles et a rapidement sauvé de nombreuses vies (par exemple, en injectant de la vitamine C par voie intraveineuse ou en administrant du zinc).
Après que le taux de mortalité infantile ait grimpé à 50 % suite à une campagne de vaccination infantile, il a réalisé que, de la même manière que les infections épuisent la vitamine C, les vaccins en font autant, et il a rapidement mis fin aux décès liés à la vaccination grâce à l'injection de vitamine C. De plus, il a également découvert que vacciner un enfant malade était fréquemment mortel (ce qui, à des degrés divers, a également été rapporté dans la littérature médicale). Remarque : Kalokerinos a également constaté que l'allaitement maternel précoce était essentiel à la santé des nourrissons et à la prévention des décès, mais malheureusement, les forces coloniales les ont orientés vers le lait artificiel, reflétant une tendance pernicieuse observée à l'échelle mondiale. Nombreux sont ceux qui ont depuis constaté que l'allaitement maternel compense bon nombre des effets néfastes de la vaccination (par exemple, il divise par deux le taux de MSN) ; tous ces points sont abordés ici.
Plus tard, il a également utilisé la vitamine C pour traiter de nombreuses autres affections (par exemple, des cas de rougeole, autrement mortels) ; une coïncidence également. Une étude menée par un autre médecin pionnier américain a également démontré que les mères accusées d'avoir secoué leur bébé à mort étaient en réalité mortes du scorbut. De même, comme je le montre ici, le diagnostic de « syndrome du bébé secoué » (inventé dans les années 1970) a souvent été utilisé pour condamner à tort les parents dont les enfants mouraient dans leur sommeil après la vaccination (ce qui concorde avec le fait que les parents qui venaient de perdre leur bébé à cause des vaccins au moment le plus vulnérable sont souvent victimes d'un cauchemar ultérieur de la part des forces de l'ordre).
L'expérience de nombreux médecins (notamment celle de Kalokerinos) a été résumée dans une conférence de Raymond Obomsawin :
Remarque : Obomsawin a également souligné que lorsque le Japon a reporté les injections de DTC de 3 à 5 mois à 24 mois, on a constaté une réduction de 85 à 90 % des lésions cérébrales et des cas de SMSN, ainsi qu'une baisse de 60 % du taux global de mortalité infantile.
Outre ses conséquences mortelles, le vaccin DTC a fréquemment causé des lésions cérébrales Les médias n'ayant pas encore été rachetés par l'industrie pharmaceutique (en raison d'une décision de la FTC de 1997 légalisant les publicités télévisées pharmaceutiques), des programmes critiques à l'égard de la vaccination étaient parfois diffusés, comme celui de 1982 soulignant le profond handicap causé par le vaccin DTC.
De nombreux parents d'enfants ayant subi un vaccin DTC ont suivi cette émission, appelée NBC, et ont ensuite été mis en contact par NBC, formant ainsi « Parents insatisfaits ensemble », l'un des premiers groupes de sécurité vaccinale. En 1985, « DTC, un coup de chance » a été publié.
« DTC, un coup de chance » a souligné que :
• Dès 1933, des rapports ont fait état de décès de nourrissons peu après l'administration du vaccin DTC, dont certains où les autopsies attribuaient les décès à la vaccination.
• Les décès simultanés de jumeaux identiques sont extrêmement rares et sont donc considérés comme une référence absolue pour établir un lien de causalité. En 1946, deux jumeaux sont morts (sur le dos) dans les 24 heures suivant leur deuxième vaccin DTC, un fait également démontré dans les rapports de cas de 1987, 2006, 2007, 2010 et 2013.
Des chercheurs comme le Dr William Torch (qui a analysé 72 cas consécutifs de MSN, puis plus de 200) ont montré que ces décès se sont concentrés peu après la vaccination, ce qui ne pouvait s'expliquer par le hasard.
Charles Manclark, spécialiste des vaccins anticoquelucheux à la FDA, avait déclaré en 1976 :
Le vaccin anticoquelucheux est l'un des produits les plus difficiles à produire et à doser. À titre d'exemple, le vaccin anticoquelucheux présente l'un des taux d'échec les plus élevés de tous les produits soumis au Bureau des produits biologiques pour tests et autorisation de mise sur le marché. Environ 15 à 20 % des lots qui réussissent les tests du fabricant échouent aux tests du Bureau.
En 1978-1979, onze nourrissons du Tennessee sont décédés dans les huit jours suivant l'administration d'un vaccin DTC ; neuf avaient été vaccinés avec le même lot (Wyeth n° 64201) et cinq (dont quatre de ce lot) sont décédés dans les 24 heures. L'analyse statistique a montré qu'un tel regroupement de décès ne se produirait par hasard que dans 3 % des cas ; des estimations ultérieures situent cette probabilité encore plus faible, entre 0,2 % et 0,5 %.
En juin, le Dr William Foege, directeur des CDC, a déclaré au Directeur général de la Santé que, si un lien de causalité avec ces décès ne pouvait être confirmé, il ne pouvait pas non plus être exclu. Trois semaines plus tard, Harry Meyer, responsable de la FDA, a cité la note de Foege pour rejeter la demande de Wyeth d'inclure les facteurs de risque liés au SMSN comme contre-indications au vaccin DTC, affirmant qu'il n'existait aucune base médicale ni aucune preuve qu'un tel étiquetage prévienne le SMSN.
• Suite à cela, en 1979, la haute direction de Wyeth a publié une note stipulant que les futurs lots de DTC devaient être distribués dans tout le pays (plutôt qu'en un seul endroit) afin d'éviter que l'incident de 1978-1979 ne se reproduise.
De plus, un autre groupe de décès par SMSN à Fresno, en Californie, a conduit le journal local à mener une enquête. Cette enquête a révélé des problèmes généralisés liés à des lots de DTC chauds, a demandé aux médecins de la région de fournir des preuves que le DTC était bien à l'origine du SMSN, et a révélé qu'une étude de 1978 sur la sécurité du vaccin DTC avait été enterrée après que les chercheurs ont découvert que les effets indésirables dans les 48 heures suivant la vaccination étaient 5 000 % plus élevés que prévu.
Cette condamnation accablante du vaccin DTC a conduit à l'adoption d'une législation nationale sur la sécurité des vaccins en 1986 (qui a malheureusement été récupérée par la suite et n'est devenue qu'une protection générale contre la responsabilité pour l'industrie) et au remplacement du vaccin DTwP à germes entiers par le vaccin DTaP acellulaire, plus sûr.
Remarque : le vaccin DTaP étant plus coûteux à produire, l'industrie y a longtemps résisté et continue de l'administrer aux régions les plus pauvres comme l'Afrique.
Coqueluche à germes entiers en Afrique
Peter Aaby, scientifique renommé spécialisé dans les vaccins et promoteur de la vaccination, a été chargé par l'OMS d'étudier les effets des vaccins couramment utilisés par la communauté internationale dans le cadre de programmes caritatifs sur la mortalité infantile (études qui, pour des raisons de contexte, ne sont presque jamais réalisées).
À sa grande horreur, Aaby a découvert :
Le DTC était associé à une mortalité cinq fois plus élevée que l’absence de vaccination [le DTCoq augmentait la mortalité de 3,93 fois chez les garçons et de 9,98 fois chez les filles]. Aucune étude prospective n’a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie. Malheureusement, le DTC est le vaccin le plus utilisé, et la proportion de personnes recevant le DTC est utilisée à l’échelle mondiale comme indicateur de la performance du programme de vaccination d’un pays.
Il est préoccupant que l’effet des vaccinations systématiques sur la mortalité toutes causes confondues n’ait pas été testé dans le cadre d’essais randomisés. Toutes les données actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie ciblée, il peut également accroître leur vulnérabilité à des infections non apparentées.
Les résultats d’Aaby pour 2017 ont été, sans surprise, enterrés et, grâce aux « dons » de Bill Gates, la vaccination (y compris avec le DTCoq) est devenue une priorité croissante de l’OMS. Cependant, en 2019, le Dr Peter Gøtzsche, expert reconnu en matière de fraude scientifique (et acteur majeur de la réforme de la médecine factuelle), a mené une revue systématique du programme DTC. Cette revue a conclu :
Les données probantes indiquent qu’il est probable que le vaccin DTC augmente la mortalité totale dans les pays à faible revenu.
Remarque : Aaby a constaté que la principale cause de ces décès était l’immunosuppression induite par le DTC et d’autres infections entraînant ultérieurement la mort des nourrissons (un phénomène également observé avec de nombreux autres vaccins).
Relations dose-effet
Un indicateur clé pour établir une causalité est la démonstration d’une relation dose-effet (par exemple, un plus grand nombre de vaccins entraînant un plus grand nombre de décès).
À l’échelle nationale, cela a été démontré par l’augmentation des taux de MSN avec le nombre de vaccins administrés. De même, une étude de 2011 portant sur les 34 pays affichant le taux de mortalité infantile le plus faible (les États-Unis étant en 34e position) a montré une relation indéniable entre le nombre total de vaccinations et la MSN.
Il a également été démontré à maintes reprises que l'administration simultanée de plusieurs vaccins (par exemple, les vaccins hexavalents DTC + polio + Haemophilus influenzae B + hépatite B) augmentait le risque de MSN. Par exemple :
• Lorsque le vaccin hexavalent de GSK a été commercialisé, des cas de MSN ont été observés, ce qui a conduit à une étude de 2005 sur la base de données allemande des effets indésirables, qui a révélé une augmentation des cas de MSN associée au vaccin.
• Une étude de 2011 sur la base de données italienne des effets indésirables a révélé que les vaccins hexavalents multipliaient par 2,2 le risque de décès infantile dans les 14 jours suivants.
• Un juge a ensuite contraint GSK à divulguer ses données confidentielles de sécurité, qui montraient que 90 % des décès infantiles signalés survenaient immédiatement après la vaccination (ce qui suggère fortement une association).1,2
• Un rapport confidentiel ultérieur de 2015 remis par GSK aux autorités réglementaires européennes indiquait que près de 52,5 % des décès liés à la vaccination survenaient dans les 3 jours suivant la vaccination, 82,2 % dans les sept jours et 97,9 % dans les dix jours.1,2
• Une analyse VAERS de 2012 portant sur tous les décès infantiles signalés a révélé que les nourrissons ayant reçu deux fois plus de vaccins en une seule fois présentaient environ deux fois plus de risques de mourir ou d'être hospitalisés.
De même, comme tous les nourrissons reçoivent la même dose de vaccin, les prématurés (étant plus petits) reçoivent effectivement une dose plus élevée. Cette analyse a également révélé que les nourrissons les plus jeunes étaient les plus susceptibles de mourir après la vaccination.
Remarque : après la publication, j'ai appris que les décès infantiles soudains et inattendus après la vaccination sont désormais masqués dans le VAERS, car ils ne sont plus classés comme SMSN.
Arrêt respiratoire
Les nourrissons peuvent présenter un événement cardiorespiratoire, tel qu'une interruption de la respiration ou un ralentissement important du rythme cardiaque, après la vaccination. Dans de nombreux cas, ces événements nécessitent une réanimation cardio-pulmonaire (RCP), et si le nourrisson n'avait pas été surveillé à l'hôpital au moment de l'événement, il serait probablement décédé.
Ceci a été démontré par des décennies d'études hospitalières (par exemple, j'ai résumé 13 essais1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, dont un essai de 2025, ici) menées auprès de prématurés. Ces études ont toutes montré :
• Environ un tiers des prématurés ont présenté un événement cardiorespiratoire (par exemple, un arrêt respiratoire) après la vaccination (alors que pratiquement aucun n'en avait présenté avant), et environ un tiers d'entre eux ont ensuite nécessité une assistance respiratoire.
• Les personnes de petite taille ou atteintes de maladies chroniques étaient plus susceptibles de présenter ces événements cardiorespiratoires (conformément aux observations de Kalokerinos).
• Ces événements se reproduisaient souvent après les vaccinations suivantes.
Étonnamment, bien que cette complication de la vaccination soit reconnue par le milieu médical, elle n'a jamais été liée au syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) et est toujours considérée comme sans conséquence par rapport aux « immenses bienfaits de la vaccination ».
C'est pourquoi une équipe australienne a mis au point un système de surveillance continue des nourrissons à domicile et, comme beaucoup d'autres, a pu démontrer que des troubles respiratoires non mortels ont atteint un pic après la vaccination DTC et polio (c'est la cause la plus probable du SMSN) et que ces troubles ont persisté pendant plus de six semaines après la vaccination (cohérence qui coïncide donc avec la période typique de décès observée après la vaccination). Plus important encore, la respiration n'était souvent pas complètement rétablie au moment de l'administration du vaccin suivant.1,2,3
Remarque : certaines notices d'emballage56 des vaccins DTCaP mentionnent le SMSN comme un effet secondaire possible.
Quelles sont les causes du SMSN ? Lors des autopsies pour SMSN (détaillées ici), on observe généralement des changements inhabituels tels qu'une congestion aiguë, un œdème et de petites hémorragies dans le tronc cérébral et les organes internes, ainsi qu'une infiltration du tissu cérébral par différentes cellules immunitaires.1,2,3,4
Remarque : ces résultats reflètent ceux observés par Kalokerinos lors des nombreuses autopsies qu'il a réalisées (et attribués aux endotoxines bactériennes LPS). De même, un spécialiste de la coqueluche du gouvernement m'a confié que certains de ces effets (par exemple, les fuites vasculaires) sont également observés en cas d'intoxication à la toxine coquelucheuse (ce qui suggère que la toxine coquelucheuse du vaccin pourrait ne pas être totalement inactivée, ce qui était fréquemment le cas lors des précédents lots chauds mortels de diphtérie).
L'un des plus grands dangers des vaccins est qu'ils provoquent l'agglutination des cellules sanguines, créant des micro-AVC dans les petits vaisseaux sanguins. Certaines zones du cerveau sont plus vulnérables à ce phénomène. Ainsi, certains nerfs crâniens (par exemple, les nerfs crâniens 6 et 7) présentent fréquemment des déficits observables après la vaccination (par exemple, les yeux se tournent vers l'intérieur). Étant donné qu'une zone cérébrale essentielle à la respiration automatique est très proche des noyaux des nerfs crâniens fréquemment touchés, la respiration est probablement également affectée par ces micro-AVC.
Je soupçonne que les interruptions partielles de la respiration surviennent en cas d'interruption partielle de l'apport sanguin d'un côté, tandis que l'arrêt respiratoire complet survient lorsque les deux côtés sont touchés. De même, le neurologue qui a découvert que la vaccination provoquait des micro-AVC pathologiques a également observé des cas où un déficit du nerf crânien 6 des deux côtés (impliquant une perte partielle du flux sanguin des deux côtés du tronc cérébral) précédait directement la MSN.
Remarque : Kalokerinos pensait également que la perte de la respiration automatique provenait de l’attaque du centre respiratoire du tronc cérébral par les LPS, que la vitamine C neutralisait rapidement. Je pense quant à moi que les hémorragies, la coagulation et le gonflement qu’il a observés étaient en partie dus aux modifications du potentiel zêta, et que les améliorations rapides observées après l’administration de vitamine C étaient dues à la restauration du potentiel zêta physiologique.
L’évolution du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN)
La campagne « Dormez sur le dos » (fondée sur l’idée que le SMSN était causé par le fait de dormir sur le ventre et que le nourrisson s’étouffait ensuite) est souvent présentée comme l’un des plus grands succès de l’histoire de la médecine, car les taux de SMSN ont diminué dès son apparition, ce qui a conduit à utiliser ce succès pour démystifier le lien entre SMSN et vaccination.
Cependant, si l'on examine les données réelles, on peut affirmer avec certitude que cette baisse est due au passage du TDwP au TDaP, puis à la reclassification des cas de SMSN.
Remarque : de manière assez analogue, la baisse de la polio était probablement due à l'élimination progressive des pesticides neurotoxiques lors de l'introduction du vaccin, et à la reclassification de la plupart des cas de paralysie comme n'étant plus liés à la polio.
Depuis lors, le taux total de mortalité infantile est resté relativement stable, jusqu'à ce qu'en 2020, un événement extraordinaire se produise : les confinements ont entraîné la première baisse significative de la vaccination aux États-Unis, les visites de santé infantiles étant devenues « non essentielles ». À l'époque, de nombreux acteurs de la sécurité vaccinale prédisaient une baisse sans précédent des taux de SMSN.
Les taux de vaccination ont effectivement diminué, et parallèlement, les décès ont également suivi :
Mais seulement chez les enfants aux âges généralement touchés par le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) :
De plus, en raison du climat politique en Floride en 2021, le taux de vaccination infantile a diminué, passant de 93,4 % à 79,3 % en 2021. Parallèlement, la mortalité infantile toutes causes confondues chez les moins d’un an a également diminué de 8,93 % en Floride (inversement de la tendance de 2020, où la mortalité infantile avait augmenté de 0,67 %). Une baisse de 14 % de la couverture vaccinale a été associée à une baisse de 9 % de la mortalité infantile, ce qui suggère qu’environ la moitié des décès infantiles en Floride pourraient être attribués à la vaccination.
Remarque : en début de semaine, des jumeaux de l’Idaho ont été retrouvés morts dans leur lit, un événement très inhabituel qui a donné lieu à une enquête pour homicide (malgré le fait que les parents, inquiets de la mort de leurs enfants, les avaient déjà amenés aux urgences, mais avaient ensuite été renvoyés chez eux). En discutant avec des médecins directement impliqués dans le dossier, j'ai appris que les nourrissons étaient prématurés de trois mois et qu'après avoir reçu cinq vaccins simultanément, ils étaient devenus cyanosés. On leur a dit qu'ils avaient fait une réaction au vaccin et on leur a administré du Paracétamol. Les nourrissons ont complètement changé et, huit jours plus tard, ils ont eu une terrible diarrhée et un écoulement biliaire inhabituel, avant de mourir plus tard dans la nuit au lit. Ceux qui connaissaient la famille ne soupçonnaient pas d'homicide, et un collègue présent à l'autopsie a confirmé qu'il n'y avait aucune preuve d'acte criminel. Si les facteurs de risque courants de MSN d'origine vaccinale avaient été connus, cette tragédie aurait probablement été évitée.
Conclusion
Quelque chose peut être très évident. En fait, quoi de plus évident que la mort d'un enfant ? Cela peut être extrêmement grave et son existence peut être non seulement ignorée, mais niée, et sans comprendre cela, il est impossible de comprendre mon problème. Je savais que ces autres endroits connaissaient également des décès de nourrissons. Pourtant, lorsque j'ai parlé aux médecins, leur réaction a été presque universellement hostile. J'ai donc dû gérer le problème seul. — Archie Kalokerinos
L'un des aspects les plus désolants des blessures liées aux vaccins est l'incapacité des enfants à expliquer les effets néfastes des vaccins ou à refuser toute nouvelle vaccination. Par ailleurs, l'une des situations les plus déchirantes que j'aie pu observer en médecine est celle des enfants qui, par tous les moyens possibles, tentent de dire à leurs parents, aux médecins et aux infirmières que les vaccins leur font du mal, mais sont ignorés et subissent une catastrophe après une injection sans leur consentement.
Cependant, maintenant que tant d'adultes (capables de communiquer) ont été blessés par les vaccins contre la COVID, le voile est levé et une prise de conscience se fait jour quant aux conséquences potentielles de la vaccination. Le secrétaire Kennedy entame enfin l'évaluation, attendue depuis longtemps, de la sécurité des vaccins administrés à nos enfants, et il est impératif que nous fassions tout notre possible pour que cette enquête puisse se poursuivre.
Note de l'auteur : Ceci est une version abrégée d'un article complet qui examine plus en détail les preuves reliant le syndrome de mort subite du nourrisson à la vaccination, et qui peut être consulté ici. De plus, un article complémentaire sur le siècle de preuves selon lesquelles les vaccins provoquent un large éventail de lésions neurologiques (par exemple, l'autisme) peut être lu ici, ainsi qu'un article complémentaire qui détaille toutes les preuves reliant des maladies chroniques spécifiques et comment reconnaître les effets subtils de la vaccination (qui peut être lu ici).
Depuis 1929 ont été ajouté aux vaccins des nano-particules d'aluminium ! Très vite la communauté médicale s'est rendue compte qu'elles mettaient sur pied la maladie d’Alzheimer ! Mais... l'aluminium n'a JAMAIS été retiré des vaccins ! JAMAIS !
Un gynécologue-obstétricien déclare au Congrès que les vaccins contre la Covid « reflétaient » les effets des médicaments abortifs chimiques
« Les données brutes ont révélé un taux de fausses couches de 82 % chez les femmes vaccinées au cours du premier trimestre », a noté le Dr James Thorp. « Ce chiffre reflète les effets des médicaments abortifs chimiques tels que le RU486. »
Par Doug Mainwaring Lifesite News 24 mai 2025
WASHINGTON, D.C. — Un gynécologue-obstétricien réputé a commencé son témoignage hier devant le Sénat sur les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 en annonçant qu'il serait « difficile d'imaginer une violation plus flagrante de l'éthique médicale de la part du complexe médico-industriel contrôlé par le gouvernement que la promotion des vaccins contre la COVID-19 auprès des femmes enceintes ».
« Cette campagne n'était pas fortuite », a déclaré le Dr James Thorp. « Elle était calculée. Les femmes enceintes ont été délibérément ciblées. » Il a expliqué que cela visait à influencer la perception du public américain quant à l'innocuité du vaccin contre la COVID-19, car si les femmes enceintes « pouvaient être convaincues de l'innocuité et de l'efficacité du vaccin, cela impliquerait qu'il était sûr et efficace pour tous ».
« Dès le début de la pandémie, cette campagne de vaccination n'a jamais été fondée sur la science biologique, mais plutôt sur les sciences comportementales, et plus précisément sur la manipulation de l'opinion publique par l'influence, la peur et la persuasion », a déclaré Thorp.
« Le gouvernement fédéral a confié une grande partie de cette opération psychologique à des ONG qui ont diffusé des messages émotionnels et trompeurs », a noté Thorp. « Ces entités ont faussement assuré aux femmes enceintes que les vaccins étaient sûrs et essentiels à la santé maternelle et fœtale du nouveau-né, alors que les premières données indiquaient tout le contraire. »
L'approche marketing du gouvernement en matière de vaccins consistait à « viser les fruits les plus faciles à cueillir », selon le Dr Jay Winston, directeur de projet à la Faculté de santé publique de Harvard, lors d'une interview accordée à CBS News en 2020.
« Et le “fruit”, tragiquement, ce sont les femmes enceintes », a-t-il déclaré.
Thorp a cité une étude trompeuse publiée en avril 2021 dans le New England Journal of Medicine, qui affirmait que le taux de fausses couches était de 12,6 %, « mais les données brutes ont révélé un taux de fausses couches de 82 % chez les femmes vaccinées au cours du premier trimestre ».
« Ce chiffre reflète les effets des médicaments abortifs chimiques tels que le RU486 », a noté Thorp de manière choquante.
Thorp a affirmé que « les publications étaient entachées de conflits d'intérêts et de fausses déclarations délibérées visant à contraindre les femmes enceintes à se faire vacciner ».
Il a poursuivi :
Ces publications sont fondamentalement compromises par de graves conflits d'intérêts, allant de sources de financement et de mandats institutionnels biaisés, jusqu'à des menaces pesant sur leurs licences médicales et leurs certifications.
Entre 2020 et 2022, les laboratoires pharmaceutiques ont versé 1,06 milliard de dollars aux évaluateurs de revues médicales de premier plan – The New England Journal of Medicine, JAMA, Lancet et BMJ – corrompant ainsi le processus d'évaluation par les pairs. « À l'inverse, d'innombrables chercheurs indépendants, sans conflit d'intérêts, ont publié des résultats contredisant les fausses informations et celles de l'industrie pharmaceutique, pour finalement être récompensés par des persécutions, de la censure et des menaces de perte de leur licence d'exercice et de leur certification », a déclaré Thorp.
« Ce n'est pas une hypothèse. Cela m'est arrivé », a-t-il déclaré.
« Cet échec catastrophique en matière de santé publique a été financé par l'argent des contribuables et acheminé, via des agences fédérales, vers des organismes de tutelle médicale tels que l'American College of Obstetricians and Gynecologists, l'American Board of Obstetrics and Gynecology et la Society for Maternal Fetal Medicine », a déclaré Thorp.
« Ces organisations ont abandonné leur éthique et leurs responsabilités envers les médecins et les patients et doivent rendre des comptes », a-t-il insisté.
« J'exhorte le gouvernement à cesser immédiatement tout financement de ces entités et à mettre un terme à toute campagne promotionnelle qui contraint ou recommande des thérapies expérimentales à base d'ARNm aux femmes enceintes », a déclaré Thorp. « Cela doit cesser immédiatement. »
L'audition sénatoriale de jeudi sur les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19, présidée par le sénateur Ron Johnson (R–WI), a coïncidé avec la publication du rapport intérimaire du sénateur Johnson accusant les responsables de l'administration Biden d'avoir été parfaitement conscients des multiples risques majeurs associés aux vaccins contre la COVID-19, mais d'avoir « choisi de ne pas émettre d'avertissement officiel au public pendant des mois concernant les préoccupations en matière de sécurité, mettant en danger la santé des jeunes Américains ».
« L'ampleur de l'échec de l'administration Biden à avertir immédiatement le public de tous les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 doit être pleinement révélée », a déclaré le rapport de Johnson.
Le Dr James Thorp est un gynécologue-obstétricien certifié et spécialiste en médecine fœto-maternelle, fort de plus de 44 ans d'expérience clinique. Médecin américain chevronné et largement publié, il a témoigné à l'international et a été évaluateur. Il est membre du conseil d'administration de la Society for Maternal Fetal Medicine et examinateur pour l'American Board of Obstetrics and Gynecology.
L'intégralité de l'audience sénatoriale de trois heures sur les effets indésirables du vaccin contre la COVID-19 peut être visionnée ici.
This article was originally published on Lifesite News.
L'école primaire française n'apprend pas ses leçons
France-Soir le 22 mai 2025 - 16:15
La Cour des comptes a épinglé l'enseignement primaire français dans un rapport publié le 20 mai dernier. Malgré 55,1 milliards d'euros investis en 2023, la France termine dernière d'Europe en mathématiques selon l'étude TIMSS, 42e mondiale sur 58 pays. Les inégalités sociales s'aggravent dès les premières années de scolarité, transformant l'école en machine à reproduire les écarts plutôt qu'à les corriger.
Plus on dépense, moins on progresse. Pendant que Singapour caracole en tête avec 15 élèves par enseignant et des salaires attractifs, la France s'enlise avec ses 22 élèves par classe et ses instituteurs payés 26 000 euros annuels. Comme le rapporte The Epoch Times, une gouvernance "trop centralisée" bride l'innovation pédagogique. Les journées scolaires inadaptées fatiguent les enfants, les remplacements d'enseignants absents restent chaotiques, et la profession perd son attractivité face à la charge administrative croissante.
Les dysfonctionnements s'accumulent comme les mauvaises notes. "L'école primaire, censée poser les bases d'une éducation équitable, aggrave les inégalités sociales au lieu de les réduire", déplore la Cour. Les zones d'éducation prioritaire, majoritairement peuplées d'élèves d'origine immigrée, creusent leur retard malgré les moyens renforcés. À l'inverse, la Finlande mise sur l'autonomie des enseignants et des journées courtes, l'Allemagne décentralise avec succès, tandis que Singapour investit massivement dans la formation.
La Cour des comptes prône une décentralisation urgente, des rythmes scolaires repensés et une revalorisation salariale. Mais derrière ces recommandations se cache un aveu d'échec retentissant. Après des décennies de réformes cosmétiques, l'école française reste prisonnière de ses lourdeurs bureaucratiques, transformant l'investissement public en gâchis éducatif monumental.
Élevés cons ? Instituteurs cons, professeurs cons, ministre de la culture con, chef d’État con ! Ce n'est pas une question de pognon, c'est une question d'intelligence.
La population migrante allemande explose : une personne sur quatre est désormais issue de l’immigration, selon les données officielles.
Les Allemands de souche disparaissent, tandis qu’un résident allemand sur trois âgé de 20 à 39 ans est désormais issu de l’immigration.
22 MAI 2025, 15:24 PAR HOMAS BROOKE
La population migrante allemande est en pleine expansion. De nouvelles données de l’Office fédéral de la statistique (Destatis) révèlent que plus d’une personne sur quatre vivant actuellement en Allemagne est issue de l’immigration.
En 2024, le nombre de résidents issus de l’immigration a augmenté de 4 %, soit 873 000 personnes, par rapport à l’année précédente, pour atteindre le chiffre record de 21,2 millions. Cela représente 25,6 % de la population totale, contre 24,7 % en 2023.
Le terme « origine migratoire » désigne à la fois les personnes ayant immigré elles-mêmes (migrants de première génération) et les personnes nées en Allemagne de deux parents immigrés (deuxième génération). Près de 16,1 millions de personnes, soit 19,4 % de la population, étaient elles-mêmes immigrées, tandis que 5,2 millions supplémentaires, soit 6,3 %, étaient nées en Allemagne de deux parents nés à l'étranger.
En revanche, la population autochtone sans antécédents migratoires a diminué de 1 % (734 000 personnes) pour atteindre 57,4 millions, représentant désormais 69,3 % du pays.
La jeunesse de la population migrante allemande se distingue. Parmi les personnes âgées de 20 à 39 ans, plus d'une personne sur trois (34 %) était issue de l'immigration en 2024. Parmi les plus de 65 ans, ce chiffre tombe à 14 %. L'âge moyen des personnes issues de l'immigration est de 38,2 ans, soit près de dix ans de moins que celui des personnes sans origine migratoire, qui atteint en moyenne 47,4 ans. Les personnes dont un seul parent est immigré ont l'âge moyen le plus jeune de tous les groupes, soit 25,1 ans.
Les migrations depuis 2015 ont joué un rôle majeur dans ces évolutions : près de 6,5 millions de personnes vivant en Allemagne en 2024 ont immigré après 2015.
Entre 2015 et 2021, les groupes les plus importants provenaient de Syrie (716 000), de Roumanie (300 000) et de Pologne (230 000). De 2022 à 2024, l'Ukraine a dominé les chiffres, avec 843 000 arrivées, suivie de la Syrie (124 000) et de la Turquie (112 000).
Les principales raisons invoquées pour migrer en Allemagne depuis 2015 étaient la demande d'asile (31 %), l'emploi (23 %) et le regroupement familial (21 %). Chez les femmes, le regroupement familial était particulièrement important, cité par 26 %, contre 30 % pour la fuite. Chez les hommes, 32 % ont cité la fuite et 28 % l'emploi.
Les nouveaux chiffres confirment que la population migrante allemande croît rapidement, ce qui entraîne des pressions démographiques et des inquiétudes quant à l'intégration.
Par ailleurs, l'affirmation courante des responsables politiques de gauche selon laquelle l'immigration alimente la main-d'œuvre allemande ne résiste pas à l'analyse : moins d'un quart des nouveaux arrivants citent l'emploi comme motif de leur départ.
L’IA est-elle un GADGET de riches comme le pense JANCOVICI ?
Nathalie MP Meyer 22 mai 2025
Jean-Marc Jancovici serait-il en train de se forger la future notoriété pompeusement ridicule de ce haut fonctionnaire français, initiateur du Minitel, qui, en 1994, estimait dans un rapport destiné au Premier ministre de l’époque que si Internet ne manquait pas d’atouts, son manque de fiabilité et de sécurité ainsi que ses faiblesses en matière de voix et d’images le rendaient non seulement impropre aux services commerciaux, mais, plus généralement, incapable de “constituer à lui tout seul le réseau d’autoroutes mondial” de l’information ?
Trente ans plus tard, au regard de ce que l’on connaît maintenant d’Internet, qui est devenu l’outil le plus utilisé et le plus partagé de toute l’humanité, on rit devant tant de fallacieuses certitudes si précocement assénées. La prospective n’est certes pas tâche aisée. Par définition, à l’instant où l’on parle, le futur n’est pas connu. Mais par bonheur, notre expérience d’événements antérieurs proches de ce que nous vivons à l’instant t et un peu de jugeote nous aident à naviguer vers l’avenir.
Il est cependant des moments où la modestie s’impose. Quand la révolution qui se fait jour, en l’occurrence l’émergence de ce que l’on regroupe aujourd’hui sous l’appellation “intelligence artificielle” ou IA, nous confronte à des situations technologiques et sociales radicalement nouvelles, dont nous sommes encore incapables de mesurer précisément l’ampleur des applications et des retombées, les bonnes comme les moins souhaitables, peut-être serait-il judicieux de donner sa chance à l’évolution en cours, de la laisser se développer dans toutes ses potentialités, plutôt que de l’étouffer dans l’œuf sans autre forme de procès.
Surtout si les arguments avancés dans ce but comminatoire relèvent plus de l’approximation et de l’amalgame boiteux trempés dans l’idéologie de l’épuisement des ressources et de la décroissance que d’un raisonnement froidement scientifique. Or c’est précisément ce à quoi Jean-Marc Jancovici s’est livré récemment sur France Inter pour condamner irrémédiablement l’IA (vidéo ci-dessous, 50″) :
Jean-Marc Jancovici sur le développement de l’IA : “Dans un monde aux ressources finies, qu’on fasse des gadgets à la place des trucs essentiels, ça m’ennuie” #le710inter pic.twitter.com/5Zq2eYKDg3 — France Inter (@franceinter) May 19, 2025
Résumons : M. Jancovici regrette que, “dans un monde aux ressources finies”, des entreprises et des fonds d’investissement décident de consacrer 109 milliards d’euros pour le développement de l’IA, qui n’est selon lui qu’un “gadget” visant à amuser les 5 % de la population “qui sont encore les gagnants de la mondialisation”, alors que dans le même temps, des “trucs essentiels” sont totalement négligés ; notre forêt française, par exemple, qui serait “en train de crever”, faute des crédits étatiques nécessaires.
De sa part, une telle prise de position n’est guère étonnante. Ingénieur polytechnicien, spécialiste des questions énergétiques et promoteur inlassable d’une énergie décarbonée à travers son cabinet de conseil Carbone 14, son think tank The Shift project et sa qualité de membre du Haut Conseil pour le climat , il a marqué des points dans certaines sphères écologistes “réalistes” en privilégiant le nucléaire et l’hydroélectrique sur les formules renouvelables non pilotables comme le solaire et l’éolien. Il n’en reste pas moins foncièrement malthusien, c’est-à-dire saisi de terreur à l’idée que les ressources de la Terre sont en plein épuisement tandis que la population mondiale explose :
“La nature, la planète, n’acceptera pas d’avoir 10 milliards d’habitants sur Terre ad vitam aeternam, vivant comme aujourd’hui, puisqu’on a déjà dépassé six limites planétaires.” (Jancovici, FranceInfo, mai 2022)
[À noter que des chercheurs en écologie ont identifié neuf limites planétaires à ne pas dépasser (le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, l’acidification des océans, la pollution chimique, etc.) et que, selon un rapport du gouvernement, la France aurait dépassé six de ces neuf limites en 2019.]
Les solutions de Jean-Marc Jancovici ? Les mêmes que celles de Thomas Malthus en 1800, les mêmes que celles des rédacteurs du célèbre rapport intitulé The Limits To Growth (Les limites à la croissance) du Club de Rome en 1972 : réguler la démographie par la limitation autoritaire des naissances à l’échelle de la planète. Bonus spécial Jancovici : “ne pas mettre tout en œuvre pour faire survivre les personnes âgées malades”, âgées signifiant pour lui 65 ou 70 ans. Vous parlez d’un humanisme…
Pas d’étonnement, donc, mais ne nous privons pas pour autant de décortiquer (en cinq points) sa déclaration sur l’IA.
Premier point qui, je l’espère, va vous rassurer : si la forêt française est sans doute ponctuellement sujette à un certain nombre de maladies, comme tous les êtres vivants, elle n’est certainement pas en train de crever. Je dirais même qu’elle a traversé les révolutions industrielle et numérique avec un brio remarquable puisqu’elle occupait 8,9 millions d’hectares en 1840, soit environ 16 % de la France hexagonale et de la Corse, et qu’elle en totalise aujourd’hui (2023) 17,5 millions, soit 32 % (IGN, inventaire forestier).
Second point, la mise en vis-à-vis des 109 milliards d’investissements annoncés pour l’IA en France et du milliard d’euros de budget annuel de l’Office national des forêts est trompeuse, car la première somme relève de financements privés tandis que la seconde est issue du budget de l’État. De plus, dans une économie en croissance harmonieuse, il n’y a aucune raison qu’on ne puisse s’intéresser en même temps à l’IA, aux forêts et à de nombreux autres sujets tout aussi importants pour le développement humain.
Il y a au contraire fort à parier qu’une économie en décroissance, une économie de pénurie pour la nommer plus concrètement, pousserait à faire des choix qui deviendraient rapidement des tris pas forcément très honorables d’un point de vue humaniste. Il suffit de se rappeler la période du Covid, quand on manquait de masques, de lits et de respirateurs par rapport au nombre de malades, pour en prendre conscience.
Le troisième point concerne justement la décroissance que semble appeler la crainte de l’épuisement des ressources soulignée par Jancovici dans sa diatribe. Bien sûr que la Terre est finie. Bien sûr que ses ressources représentent des volumes physiques strictement délimités. Bien sûr qu’elle n’abrite qu’un nombre fini d’atomes.
Mais d’une part, nous sommes très loin d’en apercevoir la fin, et d’autre part, ce qui compte vraiment au regard de l’amélioration des conditions de vie des humains, ce sont moins les atomes en tant que tels que leurs possibilités de combinaisons. Or celles-ci sont infinies, pour peu que l’homme ait la liberté d’inventer de nouvelles façons d’utiliser les ressources existantes. On appelle cela l’innovation.
Mon quatrième point porte sur la distinction entre “trucs essentiels” et non essentiels opérée par Jancovici. Il apparaît que pour lui, l’entretien des forêts est une activité essentielle tandis que la recherche en IA ne serait qu’un gadget – et un gadget pour riches mondialisés, en plus. La formule importante dans cette affaire est “pour lui”. M. Jancovici nous fait part de ses préférences ; très bien, c’est son droit. Mais ses préférences doivent-elles être aussi les préférences de tous les hommes sans exception ?
Encore une fois, la période Covid est riche d’enseignements. À l’époque, le gouvernement obligeait les commerces à rester fermés, sauf pour les produits dits “essentiels”. Ceci donna lieu à des batailles sans fin pour savoir si les livres ou les chaussettes pour enfants de moins de trois ans relevaient ou non de cette définition. On a vite compris que ce qui était essentiel pour l’un ne l’était pas forcément pour l’autre, et vice-versa.
Il s’avère en effet que les humains ne sont pas des clones interchangeables, mais des êtres dotés de besoins, d’aspirations et d’opinions aussi diverses qu’il y a d’individus sur Terre. Autrement dit, tout produit, tout service a des qualités essentielles pour une personne ou pour une autre. Décréter à l’échelle d’un groupe, d’un pays, d’une société que certaines choses sont dorénavant non essentielles pour tout le monde ne peut se faire que de façon autoritaire.
J’en arrive à mon cinquième et dernier point. L’IA est-elle un simple “gadget” de riches comme le prétend Jancovici ? S’il est sans doute un peu tôt pour se prononcer de façon définitive, on peut cependant remarquer qu’elle a déjà profondément transformé certaines activités humaines. En particulier, elle permet d’accroître la productivité des professionnels, elle permet d’obtenir de la croissance économique en plus, ce qui dégage de l’argent pour améliorer l’éducation, la santé, les transports, l’environnement, etc. et du temps pour s’intéresser à d’autres choses. Aux forêts de M. Jancovici, par exemple, lesquelles gagneront sans doute à être surveillées en permanence à distance par une IA reliée à des capteurs dédiés. J’imagine.
De plus, il n’est pas inutile de se rappeler que tous les grands changements technologiques au cours des siècles – le feu, l’écriture, l’imprimerie, la machine à vapeur, les antibiotiques et la révolution numérique – ont soulevé leur lot de questionnements et de craintes. L’impression que “c’était mieux avant”, l’inquiétude vis-à-vis de tout changement annoncé et l’adaptation lente et frileuse à toute nouvelle donne économique – on les a vues et on les voit encore se répliquer à toutes les époques en fonction des révolutions technologiques qui affectent durablement l’activité économique. Il n’y a dès lors aucune raison que l’IA échappe à cette prudence de nature quasiment anthropologique.
Mais il n’y a pas de raison non plus de rejeter toute évolution avant même qu’elle ait commencé, comme le fait Jean-Marc Jancovici dans une redoutable combinaison de mauvaise foi et d’idéologie. Les exemples cités plus haut sont là pour montrer que l’humanité a su accueillir le progrès technique tout en gardant la tête froide, tandis que les ratiocinations de M. Jancovici montrent que toute perspective de progrès humain, parce qu’elle implique une activité économique en croissance, désole les écologistes.
(...) réguler la démographie par la limitation autoritaire des naissances à l’échelle de la planète. Bonus spécial Jancovici : “ne pas mettre tout en œuvre pour faire survivre les personnes âgées malades”, âgées signifiant pour lui 65 ou 70 ans. (...)
L''ingénieur polytechnicien' se prend pour hitler ?
(...) elle [la forêt] occupait 8,9 millions d’hectares en 1840, soit environ 16 % de la France hexagonale et de la Corse, et qu’elle en totalise aujourd’hui (2023) 17,5 millions, soit 32 % (...)
La forêt ON S'EN FOUT ! Sa surface a doublé ce qui veut dire que les terres agricoles ont été réduites ! Donc, plus de 80 % de fruits & légumes en supermarchés sont importés !! La politique misérable mise en œuvre en France vis-à-vis des moyens de chauffage déconseille les feux de bois !! Alors, le bois pour quoi faire ? Pour faire joli ? Notre oxygène est produit par la combustion magmatique (l'eau de mer contient 86 % d'oxygène). Mais on apprend pas çà en polytechnique ! On y apprend pas que lez gaz carbonique est un gaz FROID et non un gaz réchauffiste ! C'est le plus lourd de tous les gaz (1,8 gr./litre), il est au ras du sol et responsable des gelées. C'est un gaz froid qui disparaît, n'existe plus à une température supérieure à 30,9°C !
Après, il parle de LIA. LIA c'est quoi ? Un interrupteur électrique c'est lia ! Clic, clac ! clic, clac ! C'est intelligent çà s'allume ! c'est intelligent çà s'éteint !! Une calculette de poche c'est intelligent ! Çà sait faire des opérations ! Whoâw ! et aujourd'hui, ils lancent le programme à la con appelé LIA ! Intelligence qui n'existe pas ! (artificielle !).
Dominique Muselet Mondialisation.ca ven., 23 mai 2025 12:48 UTC
Nicolas Bonnal note dans un de ses derniers articles, L'occident et le démon des organisations, que les institutions supranationales ont été créées et sont utilisées par des puissants de ce monde pour dominer et exploiter les populations à leur profit. Il cite Marco Della Luna et Paolo Cioni qui écrivent dans Neuro-esclaves — techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse :
« Pour les organisations économiques, mais aussi de nos jours pour les organisations politiques et en règle générale pour les organisations religieuses, le désir de dominer les autres, de conquérir, de commander, de s'emparer, de soumettre, de manipuler, d'exploiter, à l'échelle mondiale, nationale, de l'entreprise ou de la famille, est une tendance objectivement inévitable qui est depuis toujours le principal moteur de l'histoire collective, voire individuelle. »
Deux choses rendent actuellement le pouvoir des élites occidentales bien plus absolu que celui de la monarchie absolue de l'Ancien régime, qui a toujours dû faire front à de puissants adversaires intérieurs et extérieurs, sauf peut-être sous Louis XIV qui, échaudé par l'expérience de la Fronde, a réussi à les contrôler, du moins dans la première partie de son long règne. Il s'agit, comme nous le savons tous, des progrès techniques et de l'affaiblissement physique, psychologique et spirituel des populations occidentales qui préfèrent désormais les pétitions aux barricades.
N'y a-t-il alors aucun espoir de retrouver notre liberté et notre prospérité, ni même d'en préserver les derniers restes ?
Eh bien, comme les populations ont accepté, avec la mondialisation, d'être gérés comme des troupeaux d'animaux par des milliardaires aussi cupides que cyniques, à travers donc l'UE, l'ONU, l'OTAN, l'OMC, l'OMS, le FMI, la Banque mondiale, le Vatican, etc., etc. et leurs relais nationaux, nous ne pouvons plus compter, à mon sens, pour nous débarrasser de nos oppresseurs, que sur deux facteurs, tous les deux hors de notre contrôle : l'émergence de conflits destructeurs entre ces élites qui les affaibliraient pendant que la perte de notre niveau de vie, de notre sécurité et de nos libertés réveillerait des populations appauvries.
Les plus riches du monde en 2025 selon le magazine Forbes
En lisant l'Histoire de France de Jacques Bainville, on se rend compte que la France aurait pu ne jamais exister et/ou disparaître à de nombreuses reprises, mais que, au cours des siècles, les Français se sont presque toujours battus contre l'oppression. Le livre est paru une dizaine années après la boucherie de la Grande Guerre (1914-1918) et il se termine par ce constat qu'on pourrait appliquer à notre époque en changeant simplement le mot guerre pour mondialisation :
« On peut remarquer que partout en Europe, dans les pays éprouvés par la guerre, les gouvernements ont perdu pied. Extrême est la confusion des idées. Pleins pouvoirs, dictature, ce sont des mots qui n'effraient plus ou des choses qui semblent naturelles, tandis que partout sont affichées les noms de République ou de démocratie. » Mais pour Bainville, en 1924, rien n'était perdu, car l'histoire montre que la France s'était toujours relevée. Son livre se termine d'ailleurs sur ces mots : « Après toutes ses convulsions, parfois plus violentes qu'ailleurs, elle ne tarde pas à renaître à l'ordre et à l'autorité dont elle a le goût naturel et l'instinct. Si l'on n'avait pas cette confiance, ce ne serait pas la peine d'avoir des enfants ».
Faut-il en conclure que c'est parce que les Français n'ont désormais plus confiance dans la capacité de redressement de la France, ni dans sa pérennité, qu'ils n'ont plus d'enfants ? Personnellement, je crois qu'il n'y a plus de nationalisme en France aujourd'hui, les gens se moquent d'être Français ou pas, ce qu'ils veulent, c'est une vie agréable et sereine. Peu leur importe sous quel régime ou quelle bannière. Je viens d'entendre sur BFMTV, la voix de son maître, Bruno Retailleau, l'impuissant et médiocre ministre de l'Intérieur et candidat à la présidence de la république, expliquer qu'« être Français, c'est aimer la France », un peu, sans doute, comme on aime le chocolat...
Mais le problème justement, c'est que la vie des populations occidentales est loin d'être agréable et sereine, dans des États où des élites, que les richesses et le pouvoir ont rendu folles, contrôlent les populations par la peur, la propagande, la privation, la dette.
Et donc j'en reviens à ce que je disais précédemment, notre seul espoir, c'est que les tyrans qui nous oppriment se déchirent entre eux. Et cela est justement en train de se produire.
Une partie du système se retourne contre l'autre
Philippe Grasset qui est un fin connaisseur des États-Unis, note, avec satisfaction, dans un article intitulé « Le Système contre le Système à 180° » que les États-Unis de Trump se sont retournés avec force contre le double standard de l'UE qui se débarrasse de ses opposants, le RN en France, Droit et Justice (PiS) en Pologne, ou l'AFD en Allemagne, et s'ingère dans les élections d'autres pays, comme en Roumanie et ailleurs :
« Le Grand Tournant des trumpistes-populistes, ce n'est pas tant le foutoir de l'Ukraine et autres joyeusetés, mais en réalité le développement de cette guerre civilisationnelle dont nous parlons souvent. S'il y a bien un domaine où l'administration Trump marche bien cela depuis le fameux discours de JD Vance à Munich en février, c'est l'attaque nouvelle, complètement renversée à 180° contre cette politique Système [système politique] des néoconservatrices, et cela, à l'aide de la "politique Système des néocons".
Bref, et sans grande originalité, la conversivité selon Sun Tzu : retourner contre lui la force de l'adversaire... » Philippe Grasset, qui s'étonne au passage « de se retrouver pro-américain, en cet instant, applaudissant à la manipulation américaniste de l'espèce-UE de nos dirigeants », n'est pas aussi optimiste que Bainville. Pour lui : « Tout cela doit se terminer en autodestruction et il en sera ainsi ». Il est vrai que dans le cas de Bainville, l'autodestruction était déjà consommée et il ne restait plus qu'à se relever...
Il est difficile de savoir si les États-Unis vont vraiment se libérer de l'idéologie globaliste et son cortège de totems mortifères (wokisme, climatisme, LGBTisme, immigrationnisme, technicisme, transhumanisme, malthusianisme, etc.), comme elle semble le faire en ce moment, mais ce dont on peut être sûr, c'est que pour nous, en Europe, les choses vont empirer, car pour compenser sans doute la « trahison » de l'administration Trump, l'UE et les marionnettes despotiques portées par l'oligarchie à la tête de nos pays se dépêchent d'instaurer une dictature fascisante sur des États européens où tout est déjà largement verrouillé pour empêcher toute contestation.
Tout le monde le voit, sauf la petite bourgeoisie, de tout temps l'instrument inconscient du fascisme, comme le souligne Régis de Castelnau sur Vu du droit. Les lois liberticides et destructrices (15 vaccins pour les bébés, euthanasie pour tous, éoliennes partout) s'accumulent ; la censure est partout, comme vient de le dénoncer Pavel Durov, qui avait déjà été arrêté en France, en septembre 2024, pour le forcer à supprimer les voix dissidentes de Telegram ; un bellicisme dangereux tient lieu d'épine dorsale à des dirigeants téléguidés ; les impôts augmentent sans cesse pour les classes laborieuses et les milliardaires s'enrichissent à toute allure ; il n'y a plus de services publics ; les menaces et les interdictions pleuvent ; on baisse désormais la voix pour critiquer le gouvernement comme dans toutes les dictatures ; le chaos et la misère s'installent.
Que faire ?
Pour toutes les raisons que j'ai dites, il ne semble pas possible, pour le moment, de renverser les maîtres absolus et sans scrupules qui ont décidé de tout détruire, y compris nous, pour instaurer leur totalitarisme réinventé, comme Macron l'a lui-même avoué en avril 2023, à propos de l'hôpital : « C'est plus dur de le réinventer quand tout n'a pas été détruit ».
Il ne reste plus, dans ce contexte délétère et hostile, qu'à protéger, le mieux possible, notre vie, nos moyens de subsistance et notre santé physique et mentale.
Beaucoup de monde y réfléchit et certains ont déjà commencé à le faire depuis longtemps en construisant des bunkers contre les bombes atomiques ou autres catastrophes, en apprenant à survivre dans la nature et à se défendre, comme les survivalistes, en créant des communautés où on réapprend la solidarité, le partage, le respect de soi-même, de la vie et des autres.
Un excellent film étasunien de Jeff Nichols, « Take shelter », est sorti en 2011. Curtis, le héros du film, est certain que les éléments vont bientôt se déchaîner et décide de construire un abri souterrain. On peut penser, au début, avoir affaire à un énième film de propagande sur le climat, mais on comprend vite qu'il n'en est rien. Au contraire, le fait que la peur des changements climatiques, une des nombreuses menaces inventées pour servir des intérêts économiques et faire tenir tranquille les populations, soit extrêmement forte et répandue, accentue le côté dramatique du film. On est en effet surpris que, malgré la puissance de l'idéologie climatique, Curtis se retrouve seul contre tous quand il décide de construire un abri anti-cyclone. Tout le monde le croit fou, obsédé, sa femme y compris. Malgré cela, il s'entête et refuse même de s'éloigner de son abri. Hélas, sa femme finit par le convaincre de partir avec elle et leur fille au bord de la mer, et là, arrive ce qu'il avait prévu : ils sont engloutis par un tsunami.
À mon avis, le film cherche à nous dire plusieurs choses. La première est qu'on a beau se préparer au maximum, le danger vient rarement de là où on pensait. La seconde est que dans les périodes de danger, il faut se resserrer sur un petit groupe de proches et d'amis qui partagent notre vision des choses. La troisième, c'est que sans force intérieure, on ne résistera pas aux pressions exercées par la société, ni à fortiori aux épreuves. La quatrième, c'est que si on ne peut pas compter les uns sur les autres, si on n'est pas solidaires, on n'a aucune chance de survivre.
On peut tirer les mêmes enseignements de l'opération Covid, qui a sans doute été lancée dans le but d'imposer un gouvernement mondial à des populations déstabilisées par la peur d'une soi-disant pandémie soi-disant mortelle, alimentée par tout un ensemble de mesures démentes et contradictoires prises soi-disant pour nous protéger.
Les Gaulois, réfractaires, comme dit Macron, à la dangereuse injection, se sont souvent retrouvés seuls comme Curtis, et ont été traités de fous et de complotistes, le terme à la mode pour discréditer tout opposant à la Caste. Comme Curtis, beaucoup ont cédé aux pressions de l'État et de l'entourage.
Mais ceux qui ont pris l'habitude de penser et de s'informer par eux-mêmes, ceux qui se connaissent eux-mêmes et connaissent leur environnement, ceux qui ont développé une relation assez forte avec eux-mêmes et la nature pour supporter la solitude et l'opprobre sans céder à la haine, ceux qui savent que les autorités occidentales actuelles sont loin de nous vouloir du bien, ceux qui se rendent compte de la corruption incroyable qui touche la soi-disant science et tous les secteurs de la société, ceux qui se sont forgés des convictions et qui ont développé une bonne capacité de résistance et une grande force d'âme, ceux-là ne se sont jamais laissé injecter le poison lucratif, la marque des esclaves.
Eh bien, ce sont ceux-là, et ceux qui suivent leur exemple, qui ont des chances de survivre et d'aider d'autres à survivre au désastre provoqué par des élites autodestructrices, prêtes à tous les crimes pour se maintenir au pouvoir. Elles entraînent le monde occidental dans une nouvelle ère de ténèbres comme dit Chris Hedge, symbolisée, à mes yeux comme aux siens, par le soutien de l'Occident au génocide israélien des Palestiniens, pendant que le reste du monde retrouve la souveraineté, la stabilité et la prospérité sous la houlette des BRICS.
Au monde la dictature a commencé par les armes et l'invention des religions. Les criminels ce sont appelés empereurs, rois ou présidents et ont partagé leur temps entre les guerres, les viols, la pédophilie. Rares sont nos ancêtres qui ont pu survivre à cette ignominie, cette deshumanité et cette absence d'éducation. Les consanguins terrorisaient les Peuples entre l'hier, l'avant-hier et l'aujourd'hui. Car le présent n'est construit que de dictatures (sauf un seul pays au monde où il y a la Démocratie, ce pays c'est la Suisse).
Nul ne peut s'emparer de l'intelligence des autres. 8 milliards de personnes ont un cerveau différent. Chacun a son idée, son devenir, son savoir. Alors, les criminels au pouvoir ont lancé leur programme: LIA ! ou l'intelligence qui n'existe pas car elle est artificielle ! Mais elle ne peut faire mieux qu'un ministre ou chef d’État puisque le programme est conçu par un con ! Un con pour les cons.
Aujourd’hui : interdiction du liquide. Demain : interdiction d’achat d’un billet de train “non essentiel” ?De viande ? D’alcool ? D’un livre “complotiste” ?
le 22 Mai 2025 par pgibertie
🔴 NON, INTERDIRE L’ARGENT LIQUIDE N’ARRÊTERA PAS LA DROGUE.
Gérald Darmanin prétend que supprimer le cash va lutter contre les trafics. Faux. Et dangereux.
📌 1. Le trafic ne repose pas que sur le liquide. Les réseaux criminels s’adaptent vite. Cartes prépayées, cryptomonnaies, blanchiment à l’international : la drogue n’a pas attendu les billets pour circuler. Supprimer le cash ne fera que pousser les trafiquants à des circuits plus opaques encore.
📌 2. Ce sont les citoyens ordinaires qu’on va fliquer. Ce projet vise surtout à mettre chaque euro sous surveillance. Fini les achats privés, les dons entre proches, les économies personnelles : tout deviendra traçable, vérifiable, bloquable.
📌 3. Une société sans cash = une société sans liberté. Plus de billets = vous ne possédez plus vraiment votre argent. Votre banque pourra refuser un paiement. L’État pourra bloquer votre compte. Une erreur administrative, une suspicion, et vous êtes à sec.
📌 4. C’est le rêve humide des technocrates. Avec la fin du liquide et l’identité numérique, chaque transaction sera une donnée exploitée. C’est la fin de l’anonymat. Et le début d’un crédit social à la chinoise.
📌 5. Et ensuite ? Les paiements conditionnés ? Aujourd’hui : interdiction du liquide. Demain : interdiction d’achat d’un billet de train “non essentiel” ? De viande ? D’alcool ? D’un livre “complotiste” ?
🛑 Le cash, ce n’est pas un problème. C’est une bouée de liberté.
✅ C’est ce qui vous permet d’échapper au tout-numérique. ✅ C’est ce qui garantit une autonomie minimale en cas de bug, de panne, de censure.
📢 Supprimer le liquide, c’est supprimer votre dernier espace de vie privée.
Ne vous laissez pas berner par “la drogue” : le vrai client visé, c’est vous
Passer de l'argent à la pelle (cause aux fabrications de tout multipliées par 100) à l'argent électrique - pour quoi ? Parce que avec l'argent électrique... Pchitt ! "Votre compte est vidé ! Votre compte est vidé ! Votre compte est vidé ! Votre..." "Vous n'aurez RIEN et serez heureux !"
Et si c'était vrai ? Si demain l'argent électrique était unique ? "Vous n'aurez RIEN et serez heureux !" Alors, là, que ferez-vous ? Demain c'est... dans 24 heures ! "Vous n'aurez RIEN et serez heureux !" 24 h !
Quels sont les prénoms de bébé les plus populaires aux États-Unis ?
PAR TYLER DURDEN JEUDI 22 MAI 2025 - 5H00
Olivia, Emma et Amelia sont les trois prénoms de bébé les plus populaires pour les filles aux États-Unis, tandis que pour les garçons, Liam, Noah et Oliver sont les préférés des parents.
C'est ce qu'indique la liste annuelle des prénoms de bébé les plus populaires aux États-Unis établie par l'Administration de la Sécurité Sociale des États-Unis.
Selon l'institution, Anna Fleck de Statista indique que cette liste, publiée plus tôt ce mois-ci, est basée sur les demandes de cartes de Sécurité Sociale, déposées au moment de la naissance.
Olivia et Liam occupent les premières places depuis six années consécutives. La troisième place présente une légère variation depuis 2015, avec l'apparition d'Amelia, Charlotte, Ava et Sophia pour les filles, ainsi que de William et Mason pour les garçons.
- voir cadre sur site -
Infographie : Quels sont les prénoms de bébé les plus populaires aux États-Unis ? | Statista Vous trouverez plus d’infographies sur Statista.
L’année dernière, les autres prénoms féminins figurant dans le top 10 étaient Charlotte, Mia, Sophia, Isabella, Evlyn et Ava. Chez les garçons, ce sont James, Genry, Mateo, Elijah, Lucas et William qui ont été les plus populaires.
En 2024, les prénoms ayant connu la plus forte évolution de popularité ont été Truce pour les garçons, qui est passé de la 12 109e place en 2023 à la 991e en 2024, et Ailany pour les filles, qui est passée de la 855e à la 101e place.
Truce est un prénom vieil-anglais signifiant « paix », tandis qu’Ailany serait dérivé du prénom hawaïen Ailani, qui signifie « chef ».
Au total, 3,61 millions de bébés sont nés aux États-Unis en 2024, contre 3,59 millions en 2023.
L'USDA va restaurer les pages supprimées sur le climat suite à une action en justice de groupes de défense de l'environnement
15 Mai 2025 AGDAILY Reporters*
Le département américain de l'Agriculture a fait marche arrière et accepté de restaurer le contenu relatif au climat, à la conservation et aux outils d'aide à l'agriculture qui avait été supprimé de ses sites web publics. De nombreuses personnes ont fait valoir que cette purge d'informations avait porté préjudice aux communautés à travers le pays en privant les agriculteurs et les chercheurs des ressources dont ils ont besoin pour prendre des décisions urgentes et participer à des débats très importants sur le financement et les politiques de l'USDA en matière de changement climatique.
Ce revirement intervient à la suite d'une action en justice intentée par les organisations de défense des droits Earthjustice et Knight First Amendment Institute, dans laquelle elles alléguaient que l'USDA avait illégalement supprimé des documents qui aidaient les agriculteurs à accéder aux programmes de conservation, à se préparer à l'évolution des conditions météorologiques et à s'orienter dans les options de soutien fédéral. De nombreuses ressources étaient liées à des programmes de longue date du Service de Conservation des Ressources Naturelles et du Service Forestier des États-Unis, notamment des outils interactifs et des guides de planification.
L'effort de suppression est intervenu peu après l'entrée en fonction du président Donald Trump en janvier, lorsque des courriels internes obtenus par ABC News ont montré que les gestionnaires de sites web de l'USDA avaient reçu l'ordre de classer et de dépublier les pages faisant référence au changement climatique. Les sites ont été triés en fonction de l'importance qu'ils accordaient au sujet, les pages de « niveau 1 » – celles entièrement axées sur le climat – étant ciblées de la manière la plus agressive par l'administration. Les autres pages ont été classées dans les catégories 2 et 3.
Il n'a pas fallu longtemps pour que des sections entières soient supprimées des sites web du NRCS et de l'USFS, ainsi que des outils tels que le Climate Risk Viewer – un portail interactif comprenant plus de 140 couches de données conçues pour aider les utilisateurs à évaluer les risques et les tendances en matière d'environnement.
L'USDA a pris sa décision lundi soir, quelques jours avant qu'une demande d'injonction ne soit entendue par un tribunal fédéral. Les groupes impliqués dans le litige, notamment la Northeast Organic Farming Association of New York, le Natural Resources Defense Council et l'Environmental Working Group, n'ont pas tardé à crier victoire.
« Le rétablissement de ces pages web et de ces outils marque une victoire importante pour le climat, l'environnement et les agriculteurs », a déclaré Mme Anne Schechinger, directrice pour le Midwest de l'Environmental Working Group. « Le revirement de l'administration Trump en réponse à cette action juridique souligne l'importance cruciale des défenseurs de l'intérêt public qui se lèvent au nom de la transparence et de la responsabilité gouvernementale. »
Bien que l'agriculture représente environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis – ce qui en fait le plus petit contributeur parmi les cinq principaux secteurs de l'Agence de Protection de l'Environnement – les producteurs ruraux se retrouvent de plus en plus au centre des débats sur la politique climatique. Face à la volatilité croissante des conditions météorologiques, qu'il s'agisse d'inondations, d'incendies de forêt ou de sécheresses prolongées, les agriculteurs, quel que soit leur bord politique, réclament un soutien fondé sur la science, et non un théâtre politique.
L'USDA a déposé une notification auprès d'un tribunal fédéral indiquant qu'elle se conformera à l'avenir aux lois fédérales en matière de transparence. L'agence s'attend à ce que le processus de restauration soit en grande partie achevé d'ici deux semaines. ______________
* Source : USDA to restore deleted climate pages after environmental lawsuit
Il est vrai qu'en Démocratie (La Suisse est le sel pays au monde à être en Démocratie) c'est la majorité qui gagne. Or, en 2020/2021 76 % aurait été inoculée du virus 'cocovide19'. Donc, faut-il s'en remettre à la majorité de cons sans savoir scientifiques ? Les scientifiques du monde ne représentent qu'une très faible minorité et est de fait censurée.
Le savoir scientifique n'est pas politique ou journalistique mais, à son Corps défendant est un organisme au-dessus de tous les cerveaux du monde. (Le maître est minoritaire face aux élèves d'une classe).
Le rapport « Make America Healthy Again » dresse un bilan cinglant des pesticides agricoles
24 Mai 2025 Contributeurs d'AGDAILY*
Ma note : Un « rapport » de 68 pages établi en quelque 90 jours sur un vaste sujet de santé publique par une « commission » sans compétences particulières sur le sujet, succombant aux délires de Robert F. Kennedy Jr, susceptible de produire des dégâts considérables sur la société états-unienne, voire mondiale.
Le secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux, Robert F. Kennedy Jr, a publié jeudi le premier rapport de sa commission « Make America Healthy Again » (rendre la santé à l'Amérique), tenant ainsi sa promesse d'adopter une ligne dure à l'égard des produits phytosanitaires. L'industrie agricole a réagi en déclarant que les conséquences d'une limitation de l'accès aux produits phytosanitaires scientifiquement reconnus seraient « graves » pour les agriculteurs.
Le document de 68 pages de M. Kennedy, sous-titré « Rendre la santé à nos enfants », pointe du doigt les produits chimiques présents dans l'environnement, notamment les pesticides largement utilisés dans les exploitations agricoles et dans les habitations, comme facteurs potentiels de maladies chroniques chez les enfants. Alors que la commission insiste sur le fait que le rapport vise à promouvoir la santé publique, ses détracteurs estiment qu'il s'agit plutôt d'un réquisitoire contre l'agriculture moderne, motivé par des considérations politiques.
Le rapport, qui coïncide avec le lancement du MAHA Institute, associe des recommandations générales en matière de nutrition et de santé à des affirmations controversées ciblant des outils tels que le glyphosate et l'atrazine. Ces herbicides, essentiels à la production de maïs et de soja, ont fait l'objet de décennies de tests de sécurité et d'un examen réglementaire par l'Agence de Protection de l'Environnement.
Malgré son ton pressant et ses conclusions radicales, le rapport MAHA s'appuie largement sur de nombreuses études obsolètes ou tangentes pour étayer ses affirmations, en particulier celles relatives à l'agriculture et aux pesticides. Par exemple, à la page 38, il cite une étude de 1982 sur les résidus d'insecticides dans le lait maternel, en dépit du fait que la plupart des produits chimiques mentionnés ont été interdits ou strictement réglementés au cours des quatre dernières décennies.
D'une manière plus générale, le rapport suggère à plusieurs reprises que l'exposition à des traces de produits chimiques agricoles est un facteur déterminant de l'augmentation des taux de maladies chroniques chez les enfants, mais il s'appuie sur des données corrélatives et des conclusions vieilles de plusieurs décennies, tout en ignorant largement les évaluations approfondies et permanentes menées par l'EPA et d'autres autorités de santé publique. Par exemple, la quasi-totalité des organismes scientifiques et des recherches associées ont affirmé l'innocuité du glyphosate.
Sans accès aux pesticides approuvés par l'EPA, on pense que des pertes de récoltes importantes menaceraient les moyens de subsistance des exploitations agricoles familiales et conduiraient à une augmentation des prix des produits alimentaires et à une diminution des options d'alimentation saine pour les familles – tout le contraire de ce que la commission MAHA cherche à réaliser.
La National Corn Growers Association a réagi en critiquant vivement M. Kennedy et le rapport : « Le rapport "Make America Healthy Again" est truffé d'informations erronées sur les pesticides, fondées sur la peur plutôt que sur la science. […] Des décennies de recherches et de tests approfondis montrent que les pesticides, y compris l'atrazine et le glyphosate, peuvent être utilisés en toute sécurité pour les usages prévus. »
Bien que la commission MAHA affirme que son objectif est de donner la priorité à la prévention et au bien-être, elle jette fréquemment le doute sur des données scientifiques établies de longue date et sur la surveillance fédérale existante. L'une des principales tensions réside dans le fait que le rapport semble rejeter les évaluations réalisées par des organismes de réglementation spécialisés tels que l'EPA et le département américain de l'Agriculture, ce qui, selon les associations agricoles, pourrait saper la confiance dans l'approvisionnement alimentaire du pays et menacer les moyens de subsistance dans les zones rurales. (La secrétaire à l'Agriculture, Brooke Rollins, était l'un des 14 membres de la commission).
La commission met en garde contre une « charge cumulative » de produits chimiques de synthèse dans le corps des enfants, citant des préoccupations allant des microplastiques aux résidus de pesticides. Pourtant, plusieurs des études citées datent de plusieurs dizaines d'années ou proviennent de sources connues pour leurs liens avec des litiges – y compris le travail juridique passé de M. Kennedy contre les fabricants de glyphosate, qui a conduit à des règlements de plusieurs milliard de dollars en dépit d'un soutien scientifique incohérent.
« Les agriculteurs américains dépendent de ces produits, et les actions qui réglementent ou restreignent davantage les outils de protection des cultures au-delà des processus scientifiques et fondés sur les risques établis par le Congrès doivent impliquer une réflexion approfondie sur ce qui est nécessaire pour une protection adéquate, sur les alternatives et sur les coûts de production », peut-on lire dans le rapport.
Des membres de l'administration ont reconnu que la manière dont le rapport a été élaboré en un peu plus de 90 jours suscitait des inquiétudes, certains fonctionnaires ayant averti en privé qu'il pourrait aliéner les agriculteurs – un bloc de vote crucial pour le président Trump. Mme Rollins a minimisé le cadrage anti-agriculture et a mis l'accent sur les prochaines mises à jour des directives diététiques comme un débouché plus constructif pour la politique de santé.
« Il ne s'agit en aucun cas d'une attaque contre les agriculteurs ou l'industrie américaine », a déclaré aujourd'hui à Axios M. Jay Bhattacharya, directeur de l'Institut National de la Santé et membre de la commission. « Il s'agit d'un engagement à obtenir d'excellentes réponses, une excellente science, afin que nous puissions permettre aux gens de faire ce qu'il faut. »
Pourtant, une série de déclarations de groupes agricoles contrecarre la naïveté de M. Bhattacharya en la matière.
« Les outils de protection des cultures qui ont été enregistrés par l'EPA sont passés par le processus le plus rigoureux, le plus scientifique et le plus protecteur pour la santé au monde », a déclaré M. Roger Isom, président et directeur général de la California Cotton Ginners & Growers Association (Association californienne des producteurs de coton). « Ils ont été analysés pour s'assurer qu'ils n'ont aucun impact sur les humains, les travailleurs, les plantes, les animaux, la qualité de l'air et les eaux souterraines. Les taux d'application ont été limités et des zones tampons ont été mises en place pour garantir l'application la plus sûre possible, et lorsque les problèmes de sécurité n'ont pas pu être résolus, ces produits chimiques ne sont pas homologués pour être utilisés aux États-Unis. L'agriculture américaine dispose déjà de beaucoup moins d'outils que le reste du monde, et nous ne pouvons pas nous permettre d'en perdre davantage tout en continuant à produire les meilleurs aliments et les meilleures fibres du monde. »
« Nous ne pouvons pas rendre l'Amérique saine à nouveau en mettant les agriculteurs du Montana en faillite », a ajouté l'Association des Entreprises Agricoles du Montana. « Le rapport de la commission MAHA jette le doute sur des outils de protection des cultures essentiels sur lesquels nos producteurs comptent depuis des décennies et qui se sont toujours avérés sûrs. L'Amérique ne peut pas être victime du même genre de science de pacotille que celui qui a perturbé l'agriculture et la sécurité alimentaire dans d'autres pays.
« Si le rapport de la commission MAHA conduit à des décisions politiques futures qui finissent par restreindre l'accès des agriculteurs à ces outils essentiels, les conséquences pour l'agriculture américaine seraient graves », a déclaré la Modern Ag Alliance.
Le rapport contient des affirmations générales et semble manquer de nuance, ce qui alimente les arguments selon lesquels le document relève davantage de la posture politique que de la science. Il établit un lien entre les aliments ultra-transformés et l'exposition aux produits chimiques, d'une part, et l'obésité, les troubles du comportement, les maladies auto-immunes et même le cancer, d'autre part, tout en mettant en doute l'intégrité des recherches scientifiques soutenues par les entreprises agroalimentaires et chimiques.
Toutes les réactions au rapport n'ont pas été critiques. Farm Action, un groupe anti-OGM connu pour défendre l'idée que les programmes agricoles fédéraux devraient être axés sur les cultures spécialisées, a félicité la commission.
« Ce rapport répond à nos espoirs lorsque nous avons soutenu la candidature de Robert F. Kennedy Jr au poste de secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux, car nous pensions qu'il pourrait avoir une grande influence sur la réforme de notre système alimentaire et agricole au profit des agriculteurs et de tous les autres », a écrit Mme Angela Huffman, présidente de l'association Farm Action. « En jetant un regard critique sur les effets dangereux de la consolidation du système alimentaire et en examinant la façon dont les agriculteurs sont pressurés, le rapport souligne à juste titre que les politiques fédérales et nationales ont souvent été guidées davantage par les profits des entreprises que par l'intérêt public. Il met également en évidence la façon dont les programmes gouvernementaux, tels que l'assurance récolte et les subventions, donnent la priorité aux cultures de produits de base et négligent les producteurs d'aliments nutritifs ».
Le rapport s'aligne également sur le scepticisme de M. Kennedy à l'égard des vaccins, en mettant en doute le programme actuel de vaccination des enfants et en appelant à des essais plus rigoureux, malgré les nombreuses preuves de leur innocuité.
Il présente la recherche sur l'exposition aux produits chimiques et les maladies chroniques comme étant plus qu'un problème de santé publique, mais comme un avantage stratégique pour les États-Unis. M. Kennedy affirme que la compréhension des liens potentiels entre l'exposition aux produits chimiques et les maladies chroniques « ne peut se faire par le biais d'un système réglementaire européen qui étouffe la croissance », mais doit au contraire s'appuyer sur des travaux scientifiques menés par le gouvernement fédéral et « en libérant l'innovation dans le secteur privé ».
M. Kennedy, qui critique depuis longtemps les OGM et les pesticides, a défendu le rapport en déclarant : « Nous voulons d'excellentes réponses, une excellente science », mais les dirigeants agricoles affirment que c'est précisément ce que le document ne contient pas. Au contraire, ils craignent qu'il ne sème la méfiance à l'égard d'outils agricoles éprouvés et qu'il ne menace la productivité des cultures à un moment où les agriculteurs américains sont déjà confrontés à l'incertitude économique et à la concurrence mondiale.
La commission MAHA dispose à présent d'environ 80 jours pour élaborer une stratégie de suivi – une démarche que les organisations agricoles et alimentaires suivront de près.
« Nous demandons à l'administration de respecter le corpus scientifique existant sur les pesticides », a déclaré la NCGA, « et d'inclure les agriculteurs américains dans les discussions au fur et à mesure de l'évolution de ce processus ». __________
* Source : MAHA Report gives scathing assessment of farm pesticides | AGDAILY
Ma note : À première vue aucun scientifique ou personne compétente sur les sujets traités.
(...) Sans accès aux pesticides approuvés par l'EPA, on pense que des pertes de récoltes importantes menaceraient les moyens de subsistance des exploitations agricoles familiales et conduiraient à une augmentation des prix des produits alimentaires et à une diminution des options d'alimentation saine pour les familles – tout le contraire de ce que la commission MAHA cherche à réaliser. (...)
Comme pour le bio l'absence de médicaments pour lutter contre les maladies des plantes et les insectes ravageurs se traduit naturellement par une absence d'agriculture c'est-à-dire LA famine dans le monde entier.
L’audition historique du sénateur Ron Johnson sur la corruption de la science et des agences de santé américaines
RépondreSupprimerle 24 mai 2025 - 11:10
Le 23 mai 2025, le sénateur américain Ron Johnson, président du sous-comité permanent des investigations du Sénat, a tenu une audition intitulée « La corruption de la science dans les agences fédérales de santé : comment les responsables de la santé ont minimisé et caché la myocardite et d'autres événements indésirables associés aux vaccins COVID-19». Cette audition a marqué un tournant dans le débat sur la transparence des agences de santé américaines, notamment le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et la FDA (Food and Drug Administration), concernant la gestion des effets secondaires des vaccins contre le COVID-19. France-Soir est le seul média français à avoir donné la parole au Sénateur Johnson dès 2020.
L’audition s’est concentrée sur des allégations graves : les responsables de santé auraient sciemment minimisé et dissimulé des données sur les myocardites et autres effets indésirables liés aux vaccins COVID-19. Ron Johnson a présenté un rapport intérimaire établi à partir des documents obtenus via des demandes FOIA (Freedom of Information Act), révélant que dès février 2021, des signaux d’alerte sur les myocardites étaient connus, mais ignorés ou sous-estimés par les autorités sanitaires.
- voir clip sur site -
Les points clés de l’audition
Tout d’abord, des témoignages médicaux accablants :
Dr Peter McCullough, cardiologue, a rapporté des cas de myocardites mortelles post-vaccination, citant des études publiées dans des revues prestigieuses comme le New England Journal of Medicine. Il a affirmé que le vaccin produit une protéine spike qui cause des dommages systémiques, notamment au cœur, et a dénoncé l’absence de transparence des autorités.
RépondreSupprimerDr Jordan Vaughn a partagé son expérience clinique, ayant traité plus de 4 000 patients souffrants de « long COVID » ou de blessures vaccinales. Il a souligné les effets délétères de la protéine spike sur le système vasculaire, provoquant des caillots et des inflammations.
Dr James Thorpe a dénoncé les impacts sur les femmes enceintes, affirmant avoir été licencié pour avoir tenté de partager des données critiques sur les effets des vaccins.
Dr Kimberly Walshok a révélé que 7,7 % des utilisateurs de l’application V-Safe (soit environ 1 personne sur 13) ont cherché des soins médicaux après la vaccination, un chiffre bien supérieur aux données officielles rapportées. (En France, un sondage MIS Groupe pour France-Soir/BonSens.org d’avril 2025 sur un échantillon représentatif de 1200 personnes observait que 9% des français avaient subi un effet indésirable des vaccins qui avait nécessité la consultation d’un médecin et 1% qui ont nécessité une déclaration en pharmacovigilance).
Le manque de transparence des agences : Ron Johnson a accusé le CDC et la FDA d’avoir retardé la publication d’alertes sur les myocardites, malgré des signaux clairs dès avril 2021. Il a pointé du doigt des échanges entre responsables de la FDA et du CDC, qui ont choisi de publier des « considérations cliniques » vagues plutôt qu’une alerte formelle via le Health Alert Network (HAN). De plus, les données V-Safe, qui montraient un taux élevé de consultations médicales post-vaccination, n’ont été obtenues qu’après deux ans de batailles judiciaires.
La censure et les représailles mises en place : les témoins ont dénoncé une censure systématique. Dr Walshok a révélé que des groupes de soutien aux victimes de vaccins sur Facebook ont été fermés sous la pression de la Maison-Blanche, poussant certains patients au désespoir, voire au suicide. Dr McCullough a été accusé de « désinformation » avant même de témoigner en 2020, et a finalement démissionné de l’American Board of Internal Medicine en 2024 après des pressions.
Le contradictoire a été mené par le sénateur Richard Blumenthal et le gouverneur de Hawaï, Dr Josh Green. Ils ont défendu les vaccins, arguant qu’ils ont sauvé des millions de vies. Blumenthal a reconnu l’importance d’étudier les effets secondaires, mais a estimé que les preuves de dissimulation intentionnelle étaient insuffisantes. Green a insisté sur les bénéfices des vaccins pendant la pandémie, tout en déplorant les coupes budgétaires récentes dans les agences de santé publique sous l’administration actuelle.
Réactions sur X et impact aux États-Unis
RépondreSupprimerL’audition a suscité une vague de réactions sur X, reflétant une polarisation marquée. Avec d’un côté des soutiens très marqués à Ron Johnson, qui n’hésitent pas à déclarer « Enfin la vérité éclate ! » ou « Les victimes méritent justice ». @TheChiefNerd a publié un extrait vidéo de la prise de parole du Dr McCullough, amplifiant ses avertissements sur les myocardites. Les réactions ont été virulentes, avec des utilisateurs accusant le CDC de « crimes contre l’humanité ».
🚨 DR DREW: “Senator Ron Johnson just had a hearing where he revealed the extraordinary evidence of myocarditis in young males and that the [Biden] administration and the FDA and the NIH knew about it and suppressed this information, leading God knows how many kids to serious… pic.twitter.com/jdVT0oMTfN
— Chief Nerd (@TheChiefNerd) May 23, 2025
@theblaze a relayé l’audition, qualifiant les révélations de « choquantes » et reprenant les alertes du sénateur Johnson qui « critique le « Big, Beautiful Bill » de Trump : « Je me fiche qu'il soit contrarié. Je m'inquiète pour mes enfants et mes petits-enfants. 37 000 milliards de dollars de dette, et on va encore l'alourdir ? Je ne voterai certainement pas pour ce projet de loi dans sa forme actuelle. »
Cependant, certains sont critiques et sceptiques. Ils accusent Johnson de « propager la peur » et de « saper la science ». Des comptes pro-vaccins ont repris les arguments de Blumenthal, soulignant que les vaccins ont sauvé des millions de vies, et ont critiqué la partialité du panel de témoins, notamment en raison des liens de certains avec des entreprises comme The Wellness Company, qui vend des produits alternatifs.
Enfin, Ron Johnson a publiquement demandé la comparution de Joe Biden devant son comité, accusant son administration d’avoir orchestré une dissimulation des effets secondaires. Cette demande a amplifié le débat politique, certains y voyant une manœuvre pour discréditer Biden, tandis que d’autres ont salué l’initiative comme un pas vers la transparence.
Conséquences aux États-Unis
L’audition a ravivé les tensions autour de la confiance dans les institutions de santé publique.
Elle intervient dans un contexte où l’administration actuelle, sous la présidence de Donald Trump (réélu en 2024), a nommé Robert F. Kennedy Jr., qui demande des chiffres sur la performance des vaccins et des études contre placebo au risque d’être qualifié de « sceptique notoire des vaccins », à la tête du HHS (Department of Health and Human Services).
(...) Dr Peter McCullough, cardiologue, a rapporté des cas de myocardites mortelles post-vaccination, citant des études publiées dans des revues prestigieuses comme le New England Journal of Medicine. Il a affirmé que le vaccin produit une protéine spike qui cause des dommages systémiques, notamment au cœur, et a dénoncé l’absence de transparence des autorités. (...)
RépondreSupprimer1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minuteet 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
La scientifique dont les traitements biologiques des semences ont contribué à faire du Brésil un grenier à blé mondial est nommée lauréate du Prix Mondial de l'Alimentation 2025
RépondreSupprimer24 Mai 2025P
World Food Prize Foundation*
Mme Mariangela Hungria recevra le prix de 500.000 dollars pour ses travaux visant à exploiter les processus biologiques afin d'améliorer durablement la nutrition, les rendements et la productivité des cultures.
Une scientifique dont les découvertes ont aidé le Brésil à devenir une puissance agricole mondiale a été nommée lauréate du Prix Mondial de l'Alimentation 2025.
Mme Mariangela Hungria, microbiologiste de São Paulo, a mis au point des dizaines de traitements biologiques des semences et des sols qui aident les cultures à s'approvisionner en nutriments grâce aux bactéries du sol, ce qui augmente considérablement les rendements des principales cultures tout en réduisant les besoins en engrais de synthèse.
On estime que ses produits ont été utilisés sur plus de 40 millions d'hectares au Brésil, ce qui a permis aux agriculteurs d'économiser jusqu'à 40 milliards de dollars par an en coûts d'intrants tout en évitant plus de 180 millions de tonnes métriques d'émissions d'équivalent gaz carbonique par an.
Les travaux de Mme Hungria ont permis d'améliorer les rendements du blé, du maïs, du riz, des haricots communs et d'autres cultures importantes, notamment le soja, qui est aujourd'hui le premier produit d'exportation agricole du Brésil. Au cours de ses 40 années de carrière au sein de la Société Brésilienne de Recherche Agricole (Embrapa), la production nationale de soja est passée de 15 millions de tonnes en 1979 à 173 millions de tonnes prévues pour la prochaine récolte.
L'annonce du Prix Mondial de l'Alimentation de cette année, la principale récompense internationale dans le domaine de l'alimentation et de l'agriculture, a été faite au siège international de l'organisation, le Norman E. Borlaug Hall of Laureates. L'événement était présidé par le gouverneur de l'Iowa, l'honorable Kim Reynolds, et l'annonce a été faite par le président de la Fondation, Mashal Husain. M. Paul Schickler, président du conseil d'administration de la Fondation, et M. Tom Vilsack, directeur général de la Fondation, ont également prononcé des allocutions.
« Le parcours du Dr Hungria montre qu'elle est une scientifique d'une grande persévérance et d'une grande vision – des traits qu'elle partage avec le Dr Norman Borlaug, fondateur du Prix Mondial de l'Alimentation et père de la Révolution Verte », a déclaré le gouverneur Reynolds. « En tant que pionnière industrielle et mère de famille, le Dr Hungria est également un exemple inspirant pour les femmes chercheurs qui cherchent à incarner ces deux rôles. Ses découvertes et ses développements ont permis au Brésil de devenir un grenier à blé mondial. Le Prix Mondial de l'Alimentation récompense les personnes dont le courage et l'innovation transforment notre monde, et je félicite Mme Hungria pour cette reconnaissance. »
Sous le mentorat de Mme Johanna Döbereiner, Mme Hungria a été l'une des premières adeptes de la fixation biologique de l'azote, processus par lequel les cultures forment une association mutuellement bénéfique avec les bactéries du sol qui fournissent de l'azote, un élément nutritif essentiel à la croissance des plantes. Au début de sa carrière, il existait très peu de recherches sur la microbiologie en tant que solution pour la fertilité des sols.
RépondreSupprimerElle a commencé par étudier les rhizobia, un type de bactérie qui interagit avec les racines des légumineuses pour fournir de l'azote en échange d'énergie. Elle a découvert que l'application annuelle de cette souche au soja par le biais d'un inoculant pouvait augmenter les rendements de 8 % par rapport à l'utilisation d'engrais de synthèse.
Elle a également été la première à isoler des souches de la bactérie Azospirillum brasilense susceptibles d'améliorer l'absorption de l'azote et des phytohormones. Ses recherches ont montré que la combinaison et l'application d'A. brasilense et de rhizobia pouvaient doubler l'augmentation du rendement des haricots communs et du soja. Aujourd'hui, plus de 70 millions de doses d'inoculants combinés sont vendues et appliquées sur environ 15 millions d'hectares au Brésil chaque année.
Mme Hungria, professeure à l'Université d'État de Paraná et à l'Université Fédérale de Technologie de l'État de Paraná, applique désormais ses recherches à la restauration des pâturages dégradés. Elle a mis au point le premier inoculant pour les pâturages, ce qui a permis d'augmenter la biomasse de 22 % et d'offrir au bétail une alimentation plus abondante et de meilleure qualité.
« Lorsque j'ai commencé, personne ne parlait de fixation biologique de l'azote. Mais j'aimais la microbiologie, j'aimais les sciences fondamentales, et j'avais de nombreuses idées que je voulais étudier », a déclaré le Dr Hungria. « Remplacer l'utilisation de produits chimiques par des produits biologiques dans l'agriculture a été le combat de ma vie. Je suis très fière de contribuer à la production de denrées alimentaires tout en réduisant l'impact sur l'environnement. L'objectif était d'augmenter le rendement en utilisant le moins possible de produits chimiques, et nous y sommes parvenus en utilisant davantage de produits biologiques. »
Mme Hungria, qui a surmonté les préjugés à l'égard des femmes et des jeunes mères dans le monde universitaire pour être désignée par Forbes comme l'une des 100 femmes les plus puissantes dans le domaine de l'agriculture au Brésil en 2021, a déclaré avoir été inspirée par Norman Borlaug, le père de la Révolution Verte et fondateur du Prix Mondial de l'Alimentation.
« J'aime à dire qu'il a rendu possible la Révolution Verte et que nous avons eu l'occasion de lancer une "micro révolution verte" – une révolution verte, mais avec des micro-organismes », a-t-elle ajouté. « Je n'arrive pas à croire que je reçois aujourd'hui le Prix Mondial de l'Alimentation. De nombreuses personnes ont mis en doute mes capacités tout au long de ma carrière, mais j'ai cru en ce que je faisais et j'ai persévéré. Le rôle des femmes dans l'agriculture, qu'il s'agisse de l'agriculture en tant que telle ou de la science, mérite d'être davantage reconnu. J'espère que ma réussite incitera d'autres personnes à poursuivre leur passion dans le domaine scientifique. »
Auteure de plus de 500 articles, chapitres et publications, Mme Hungria a produit le premier manuel en portugais sur les méthodes de microbiologie des sols adaptées aux tropiques. Depuis 2020, l'Université de Stanford l'a classée dans le premier pour cent des scientifiques agricoles et elle a reçu la plus haute distinction brésilienne dans le domaine de l'agriculture, le prix Frederico de Menezes Veiga.
RépondreSupprimer« Mme Hungria a été choisie pour ses extraordinaires réalisations scientifiques dans le domaine de la fixation biologique de l'azote, qui ont transformé la durabilité de l'agriculture en Amérique du Sud », a déclaré M. Gebisa Ejeta, président du Comité de sélection des lauréats du Prix Mondial de l'Alimentation. « Son brillant travail scientifique et sa vision engagée pour faire progresser la production agricole durable afin de nourrir l'humanité grâce à une utilisation judicieuse des engrais chimiques et des amendements biologiques lui ont valu une reconnaissance mondiale à la fois dans son pays et à l'étranger. »
________________
* Source : Scientist Whose Biological Seed Treatments Helped Make Brazil A Global Breadbasket Named 2025 World Food Prize Laureate
Ma note : En France, l'information a été donnée par Ouest-France (avec un titre pas terrible), reprise par MSN et par Maville. C'est bien peu...
https://seppi.over-blog.com/2025/05/la-scientifique-dont-les-traitements-biologiques-des-semences-ont-contribue-a-faire-du-bresil-un-grenier-a-ble-mondial-est-nommee-laureate-du-prix-mondial-de-l-alimentation-2025.html
Vidéo : Destruction systémique et « Reproduction de la vie réelle ». Michel Chossudovsky
RépondreSupprimerChaos social, instabilité économique, guerre mondiale et « privatisation de la politique »
Par le professeur Michel Chossudovsky et James Corbett
Recherche mondiale,
24 mai 2025
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- voir clip sur site -
[Ceci a été diffusé sur GTRV en mai 2017.]
Du chaos politique et social à l’instabilité économique et aux guerres mondiales, les crises créées par la privatisation de la politique deviennent de plus en plus incontrôlables.
Aujourd’hui, dans l’interview de GRTV, Michel Chossudovsky examine comment toutes ces crises convergent vers un point : la destruction systématique de la reproduction de la vie réelle.
https://www.globalresearch.ca/video-reproduction-real-life-privatization-politics-michel-chossudovsky/5833735
RépondreSupprimerQUI : Agence Intel pour la Fondation Gates ?
Examen de l’achat prémonitoire d’actions BioNTech par la Fondation en août 2019.
Par John Leake
Recherche mondiale,
23 mai 2025
[Première publication le 22 avril 2024]
ARTICLE IMPORTANT :
La pandémie inexistante de Covid a été « annoncée » en septembre 2019.
* * *
En examinant la divulgation des catégories de capital social de BioNTech pour l'exercice clos le 31 décembre 2019, j'ai remarqué ce qui suit :
Le 30 août 2019, BioNTech a conclu des accords avec la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF). BMGF a accepté d'acquérir 3 038 674 actions ordinaires de BioNTech d'un montant nominal de 3 039 k€ pour un montant total de 49 864 k€ (55 000 k$). Ces accords prévoient que BioNTech mène certaines activités de recherche et développement afin de faire progresser le développement de produits pour la prévention et le traitement du VIH et de la tuberculose. En cas de manquement aux conditions sous-jacentes, y compris ces activités de recherche et développement, BMGF a le droit de revendre ses actions à BioNTech au prix initial ou à la juste valeur marchande, le prix le plus élevé étant retenu, sous réserve de certaines conditions. La capacité de BioNTech à verser des dividendes est également limitée par les termes de ces accords.
Moins de deux ans après l'acquisition de l'action par la Fondation Gates (avant son introduction en bourse) à 18 dollars l'action, celle-ci a atteint un pic à 389 dollars le 6 août 2021. À ce prix, l'investissement de 55 millions de dollars de la Fondation valait 1 182 044 186 dollars (1,182 milliard de dollars).
Le 18 septembre 2019, dix-neuf jours seulement après que la Fondation Gates a pris une position importante dans l’action BioNTech, un rapport intitulé « Un monde en danger » a été publié par le Global Preparedness Monitoring Board, fondé en 2018 par le Groupe de la Banque mondiale et l’ Organisation mondiale de la santé .
La page de titre du rapport est illustrée d'une image de coronavirus, et son texte est un appel urgent à l'action pour que le monde investisse davantage dans la préparation à une pandémie virale respiratoire. Comme l'indique le rapport en page 8 :
- voir doc sur site -
Le rapport ne mentionne pas la nécessité d'investir dans le renforcement de la sécurité des laboratoires biologiques. Il met expressément en garde contre la menace d'un agent pathogène respiratoire mortel « accidentellement ou délibérément libéré », mais son appel à l'action se résume à investir des fortunes pour lutter contre un tel agent pathogène plutôt que d'empêcher sa libération.
Ceci malgré les nombreux avertissements urgents de Richard Ebright, professeur de biologie à l'université Rutgers, et d'autres, selon lesquels de nombreux laboratoires biologiques dans le monde présentaient des antécédents de graves failles de sécurité qui n'étaient pas correctement corrigées. En 2017, le professeur Ebright a exprimé une inquiétude particulière concernant le nouveau laboratoire de biosécurité 4 qui s'apprêtait à ouvrir à Wuhan, en Chine .
RépondreSupprimerNous savons maintenant que le SRAS-CoV-2 a été officiellement détecté en décembre 2019, mais qu’il est probablement apparu et a commencé à se propager en août ou septembre 2019, c’est-à-dire à peu près au même moment où Un monde en danger a été publié.
La date du 18 septembre 2019 du rapport suggère fortement qu’une personne effectuant une biosurveillance pour l’OMS en Chine a obtenu des informations selon lesquelles un coronavirus du SRAS circulait déjà.
Étant donné que la Fondation Gates est le deuxième plus grand donateur de l’OMS (après l’Allemagne, où se trouve le siège de BioNTech), je me demande si ces renseignements ont été transmis à quelqu’un de la Fondation Gates des mois avant le 31 décembre 2019, date à laquelle l’OMS a affirmé avoir reçu son premier rapport de cas de pneumonie d’étiologie inconnue à Wuhan.
L’OMS, avec ses bureaux nationaux qui obtiennent des rapports de biosurveillance sur le terrain , sert-elle d’agence de renseignement non officielle pour la Fondation Gates ?
Si tel était le cas, cela permettrait à la Fondation d’obtenir des informations extrêmement précieuses sur les agents pathogènes de maladies infectieuses émergentes – naturellement émergents ou accidentellement ou délibérément libérés – bien avant que d’autres acteurs du marché n’obtiennent ces informations.
https://www.globalresearch.ca/who-intel-agency-gates-foundation/5855404
MÉTHODE DE L'OPÉRATION SINISTRE : Vacciner tout le monde contre la Covid AVANT qu'ils ne découvrent la véritable létalité des vaccins à ARNm – tel était le complot.
RépondreSupprimer23/05/2025
S.D. Wells
Oui, les avertissements sur les dangers des vaccins contre la Covid ont été retardés pendant des mois, voire des années, afin que tout le monde se précipite pour se faire injecter la « technologie » à ARNm qui fait exploser les taux de mortalité toutes causes confondues. Tout était question de dépopulation, et l'objectif final de la pandémie était de faire vacciner un maximum d'idiots et de vaccinés endoctrinés avant que les défenseurs de la santé naturelle n'obtiennent suffisamment de preuves scientifiques et ne révèlent les vaccins contre la grippe de Fauci pour ce qu'ils sont précisément : des armes biologiques de destruction massive.
Toute cette arnaque concernait des vaccins mortels. C'était le mode opératoire sinistre derrière toute cette propagande et cette alarmisme. Derrière toutes ces fausses statistiques de décès qui affirmaient que des personnes mouraient de la Covid, avec la Covid, pendant la Covid, etc.
Un rapport allègue que les autorités sanitaires américaines ont tardé à avertir le public des risques de myocardite liés aux vaccins contre la COVID
Un nouveau rapport du Congrès allègue que les autorités sanitaires américaines sous l'administration Biden étaient au courant du risque de myocardite lié aux vaccins contre la COVID-19 des mois avant de lancer des avertissements publics, mettant potentiellement en danger les jeunes Américains. Publié le 21 mai par le bureau du sénateur Ron Johnson (R-WI), le rapport affirme que les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) ont retardé la mise à jour des étiquettes des vaccins malgré des preuves de plus en plus nombreuses. Ces conclusions surviennent alors que les inquiétudes concernant les inflammations cardiaques liées aux vaccins alimentent la baisse du recours aux rappels et suscitent un regain d'attention quant à la transparence du gouvernement fédéral en matière de santé.
Selon le rapport, les agences fédérales étaient au courant de cas de myocardite liés au vaccin à ARNm de Pfizer dès février 2021, mais n'ont mis à jour les étiquettes de sécurité qu'en juin. À cette date, les signalements d'inflammations cardiaques étaient passés de 158 cas en avril à plus de 750 début juin. Le rapport indique : « Même si les responsables des CDC et de la FDA étaient parfaitement conscients du risque de myocardite suite à la vaccination contre la COVID-19, l'administration Biden a choisi de ne pas émettre d'avertissement officiel au public pendant des mois concernant les problèmes de sécurité, mettant ainsi en danger la santé des jeunes Américains. » Les autorités sanitaires israéliennes avaient également alerté les agences américaines en avril 2021 de l'augmentation des cas de myocardite chez les jeunes vaccinés, mais la FDA a qualifié ces données d'« incomplètes ». Parallèlement, l'administration Biden a élargi l'admissibilité au vaccin aux adolescents en mai 2021, minimisant les risques en les qualifiant de « rares ».
Des études récentes suggèrent que la myocardite pourrait être plus fréquente que prévu initialement. Une étude de 2023 a révélé qu'une personne ayant reçu une dose de rappel sur 35 présentait des signes de lésion myocardique. Ces résultats ont contribué à la baisse du recours aux doses de rappel, le scepticisme grandissant à l'égard des messages sanitaires fédéraux. Cette controverse fait écho à d'anciennes controverses de santé publique, telles que la reconnaissance tardive des risques cardiaques liés à certains médicaments, ce qui soulève des questions sur la transparence de la gestion de crise.
Le rapport renforce l'examen minutieux de la manière dont les agences sanitaires américaines ont équilibré urgence et prudence pendant la pandémie. Les critiques des vaccins affirment que le fait de taire les risques potentiels a érodé la confiance du public. Alors que les campagnes de rappel se poursuivent dans le cadre de l'état d'urgence prolongé, les retombées de ces révélations pourraient influencer les futures politiques vaccinales, ainsi que la volonté du public de les suivre.
RépondreSupprimerAjoutez Vaccines.news à vos favoris sur vos sites web indépendants préférés pour obtenir des informations sur les injections expérimentales de thérapie génique responsables du cancer turbo et du syndrome de Long-Vax.
Sources de cet article :
Pandemic.news
NaturalNews.com
TheNationalPulse.com
https://www.naturalnews.com/2025-05-23-operation-sinister-get-everyone-vaccinated-for-covid.html
La FDA oblige Pfizer et Moderna à admettre que les vaccins contre la COVID-19 provoquent des lésions cardiaques durables chez les jeunes hommes.
RépondreSupprimer23/05/2025
Lance D Johnson
Pendant des années, parents et professionnels de santé ont tiré la sonnette d'alarme concernant le lien dangereux entre les vaccins à ARNm contre la COVID-19 et l'inflammation cardiaque chez les jeunes hommes, avant d'être qualifiés d'« anti-vaccins » ou de conspirationnistes. Aujourd'hui, dans un revirement spectaculaire, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a ordonné à Pfizer et Moderna de renforcer leurs avertissements, admettant enfin que ces vaccins peuvent provoquer des lésions cardiaques durables, en particulier chez les adolescents et les jeunes hommes.
Mais cet aveu arrive bien trop tard : des millions de doses ont été administrées sous de faux prétextes, d'innombrables jeunes vies ont été bouleversées par une myocardite et les agences de santé publique ont activement dissimulé la vérité. L'action tardive de la FDA soulève une question cruciale : combien de blessures supplémentaires auraient pu être évitées si le gouvernement avait privilégié la transparence à la promotion aveugle des vaccins ?
Points clés :
La FDA a exigé que Pfizer et Moderna mettent à jour les étiquettes de leurs vaccins contre la COVID-19 afin d'inclure des mises en garde plus strictes concernant la myocardite et la péricardite, en particulier chez les hommes âgés de 16 à 25 ans.
De nouvelles données révèlent que les lésions myocardiques sont souvent durables, ce qui contredit les affirmations antérieures des CDC selon lesquelles l'inflammation cardiaque « a tendance à se résorber rapidement ».
L'incidence de myocardite est la plus élevée chez les jeunes hommes, avec 38 cas par million de doses, soit un chiffre bien plus élevé que ce qui avait été admis auparavant.
Des courriels internes du gouvernement montrent que les responsables de la santé ont délibérément évité d'avertir le public de ces risques, même après avoir détecté des signaux d'alerte en 2021.
La décision de la FDA fait suite à une enquête du Sénat révélant comment les agences fédérales ont minimisé et dissimulé les effets néfastes des vaccins.
Un aveu de préjudice attendu depuis longtemps
RépondreSupprimerPendant des années, des chercheurs indépendants et des professionnels de la santé ont averti que les vaccins à ARNm présentaient un risque disproportionné pour les jeunes individus en bonne santé, en particulier les hommes. Pourtant, les agences de santé publique ont balayé ces inquiétudes, insistant sur le fait que les avantages l'emportaient sur les risques. La FDA a désormais été contrainte de reconnaître ce que les défenseurs de la liberté de santé ont toujours affirmé : ces vaccins peuvent provoquer des lésions cardiaques graves, parfois permanentes.
Les étiquettes mises à jour doivent désormais indiquer que les lésions myocardiques sont fréquentes chez les personnes développant une myocardite post-vaccinale, les données montrant des lésions persistantes cinq mois après la vaccination. Cela contredit directement les assurances précédentes des CDC selon lesquelles les cas étaient « légers » et « rapidement résolus ».
Pourquoi a-t-il fallu autant de temps ? Des documents internes obtenus grâce à des demandes FOIA révèlent que dès mai 2021, les CDC et la FDA avaient envisagé de lancer un avertissement public, mais ont finalement préféré le silence à la transparence.
La dissimulation de la vérité et le coût de la tromperie
La sous-commission permanente d'enquête du Sénat a récemment publié un rapport accablant révélant comment les agences fédérales de santé ont systématiquement dissimulé le risque de myocardite lié aux vaccins contre la COVID-19. Des courriels internes révèlent que les responsables ont mené une opération de dissimulation coordonnée en refusant de mettre à jour le système de déclaration V-safe pour y inclure les symptômes cardiaques, garantissant ainsi que d'innombrables cas n'ont jamais été documentés. De plus, ils ont bloqué un projet d'alerte du Réseau d'alerte sanitaire (Health Alert Network) qui aurait alerté les médecins et le public des dangers, privilégiant la perception publique à la transparence.
Malgré des preuves évidentes que la myocardite pouvait causer des lésions cardiaques à long terme, les autorités ont délibérément minimisé sa gravité, la qualifiant de « légère » et de « résolue » afin d'éviter de compromettre les campagnes de vaccination. Les CDC et la Maison-Blanche ont même organisé des réunions de crise pour élaborer des messages trompeurs, supprimant des données cruciales tout en promouvant des discours mettant l'accent sur la rareté et la sécurité. Il ne s'agissait pas d'une simple négligence, mais d'une tromperie calculée, sacrifiant le consentement éclairé au maintien de taux de vaccination élevés. Les conclusions de l'avocat Ed Berkovich, soumises à la FOIA, corroborent ces propos, révélant d'importantes suppressions dans les documents des CDC, notamment ceux communiqués à de hauts conseillers de la Maison-Blanche, suggérant une implication de hauts responsables dans la dissimulation de la vérité. L'inaction du comité face aux signaux de sécurité accablants soulève des questions urgentes quant à la responsabilité de ceux qui ont ignoré les dommages irréversibles causés au public.
Le nouvel avertissement de la FDA constitue un petit pas vers la responsabilisation, mais il ne répare pas les dégâts. Des millions de jeunes ont reçu ces vaccins sans être informés de tous les risques. Nombre d'entre eux souffrent aujourd'hui de maladies cardiaques chroniques, tandis que les laboratoires pharmaceutiques et les agences gouvernementales responsables n'en subissent aucune conséquence.
RépondreSupprimerAlors que la vérité continue d'émerger, une chose est claire : le déploiement du vaccin contre la COVID-19 a été l'une des plus grandes expériences médicales de l'histoire, et le public n'a jamais eu connaissance de toute l'histoire. Il incombe désormais à une nouvelle direction du HHS de démanteler cette fraude médicale et de gérer les conséquences des vaccins, une pierre après l'autre.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
CBSNews.com
NEJM.org
https://www.naturalnews.com/2025-05-23-fda-forces-pfizer-moderna-to-admit-covid-vaccines-cause-heart-damage.html
Le Sénat américain publie le rapport caché par Biden En six mois : 384 270 signalements d’effets indésirables, 4 812 décès, dont 1 736 dans les 48 h suivant l’injection. »
RépondreSupprimerle 23 Mai 2025
par pgibertie
En minimisant et en dissimulant ce qu’ils savaient sur la myocardite induite par l’injection de COVID-19, les responsables fédéraux de la santé ont violé le principe inviolable du consentement éclairé avec leur vaccin expérimental.
By downplaying and covering up what they knew about COVID-19 injection-induced myocarditis, federal health officials violated the inviolable principle of informed consent with their experimental jab. pic.twitter.com/VAEyfOQKYB
— Senator Ron Johnson (@SenRonJohnson) May 22, 2025
« Le sénateur Ron Johnson a ouvert l’audience avec une bombe : l’administration Biden était au courant des risques cardiaques mortels liés aux vaccins contre la COVID, et l’a délibérément caché au public.
Johnson a publié des documents récemment cités à comparaître, révélant une chronologie détaillée de ce que les autorités savaient et à quel moment.
Si Pfizer et Moderna ont reçu des informations confidentielles, les médecins et les citoyens qui ont exprimé leurs inquiétudes ont été réduits au silence.
En février 2021, les responsables de la santé israéliens ont averti le CDC de « nombreux cas de myocardite, en particulier chez les jeunes » suite aux injections de Pfizer, seulement deux mois et demi après que le vaccin ait reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence.
En avril, les CDC examinaient déjà les données sur la myocardite provenant d’Israël et du ministère de la Défense. Mais au lieu d’alerter le public, ils sont restés silencieux. À
la fin du mois, le VAERS avait recensé 2 926 décès, dont près de la moitié survenus dans les trois jours suivant l’injection. « Quelqu’un devrait se pencher sur la question », a déclaré Johnson. En mai, les CDC ont envisagé de lancer une alerte sanitaire officielle, mais l’ont abandonnée.
Ils l’ont remplacée par des directives édulcorées supprimant un avertissement clé invitant les médecins à restreindre l’activité physique chez les patients atteints de myocardite. Francis Collins, alors directeur du NIH, balaya tout cela du revers de la main. « Sénateur, des gens meurent », dit-il à Johnson. En seulement six mois, le bilan est stupéfiant : 384 270 signalements d’effets indésirables, 4 812 décès, dont 1 736 survenus dans les 48 heures suivant l’injection. »
Le sénateur Ron Johnson a effectivement publié un rapport intérimaire en mai 2025, basé sur plus de 2 400 pages de documents obtenus par assignation à comparaître auprès du Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) sous l’administration Trump. Ce rapport, émanant du Sous-comité permanent du Sénat sur les enquêtes, met en lumière des allégations selon lesquelles les autorités sanitaires américaines, incluant le CDC, la FDA et le NIH, auraient été informées dès février 2021 par leurs homologues israéliens de cas de myocardite, particulièrement chez les jeunes, après l’administration des vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna.
RépondreSupprimerSelon le rapport, dès février 2021, le ministère de la Santé israélien a signalé 40 cas de myocardite liés au vaccin Pfizer, alors qu’Israël vaccinait une proportion plus importante de sa population, y compris les jeunes, par rapport aux États-Unis. En avril 2021, un consultant de l’Agence de santé de la Défense a averti que le système V-safe, utilisé pour surveiller les effets secondaires, ne détectait pas adéquatement les événements cardiaques, et le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) avait déjà enregistré 158 cas de myocardite, péricardite et myopéricardite. Cependant, le CDC et la FDA n’ont pas mis à jour V-safe pour inclure les symptômes cardiaques et n’ont pas pris de mesures pour corriger la sous-déclaration dans VAERS, qui, historiquement, ne capte qu’environ 1 % des effets indésirables réels.
Le rapport indique qu’en mai 2021, le CDC envisageait une alerte via le Health Alert Network (HAN), mais a opté pour une simple mise à jour sur son site web le 28 mai, qualifiant la myocardite de « rare » sans recommander de restrictions spécifiques, comme éviter l’activité physique intense. Ce n’est qu’en juin 2021 que la FDA a ajouté des avertissements sur les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna concernant les risques de myocardite et de péricardite. Johnson affirme que cette delayance était motivée par la crainte d’alimenter l’hésitation vaccinale, au détriment du principe du consentement éclairé.
Concernant les données VAERS, le rapport mentionne qu’au 25 avril 2021, 38 607 décès et plus de 1,6 million d’effets indésirables avaient été signalés mondialement, bien que VAERS ne prouve pas la causalité. Les chiffres cités (2 926 décès en avril, dont près de la moitié dans les trois jours suivant la vaccination) ne correspondent pas précisément à ceux du rapport, qui mentionne 980 décès signalés au VAERS en février 2021, souvent d’origine cardiovasculaire. Les données de juin 2021 font état de 438 441 effets indésirables et 9 048 décès (dont 1 814 dans les 0-2 jours post-vaccination). Ces chiffres doivent être interprétés avec prudence, car VAERS repose sur des signalements non vérifiés.
RépondreSupprimerLe rapport critique également les lourdes rédactions dans les documents obtenus via la loi sur la liberté d’information (FOIA) sous l’administration Biden, suggérant une volonté de dissimuler des informations. Des points de discussion internes de la Maison Blanche, envoyés en mai 2021 à des responsables comme Anthony Fauci, Rochelle Walensky et Francis Collins, minimisaient les risques de myocardite tout en promouvant l’efficacité des vaccins.
Pour plus de détails, le rapport complet et les documents sont disponibles sur le site du sénateur Johnson. Les allégations de dissimulation intentionnelle restent controversées et nécessitent un examen critique des preuves au-delà des documents fournis.
Senator Ron Johnson opened the hearing with a bombshell: the Biden administration KNEW about deadly heart risks tied to the COVID shots, and deliberately kept it from the public.
Johnson released newly subpoenaed records exposing a detailed timeline of what officials knew and… pic.twitter.com/F2M2LosDDY
— The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) May 22, 2025
https://pgibertie.com/2025/05/23/le-senat-americain-publie-le-rapport-cache-par-biden-en-six-mois-384-270-signalements-deffets-indesirables-4-812-deces-dont-1-736-dans-les-48-h-suivant-linjection/
RépondreSupprimer35 milliards d’euros pour 1,8 milliard de doses de vaccin Covid négociés en secret par SMS entre Ursula et Bourla, de LFI aux macronistes, ils ne veulent pas savoir
le 24 Mai 2025
par pgibertie
@v_joron
Le #Pfizergate : le plus gros scandale de l’histoire de l’UE (35 milliards d’euros pour 1,8 milliard de doses de vaccin Covid négociés en secret par SMS entre Ursula et Bourla) n’intéresse pas les Macronistes, les Écologistes, les socialistes et les Mélenchonistes.
- voir cadre sur site :
https://pgibertie.com/2025/05/24/35-milliards-deuros-pour-18-milliard-de-doses-de-vaccin-covid-negocies-en-secret-par-sms-entre-ursula-et-bourla-de-lfi-aux-macronistes-ils-ne-veulent-pas-savoir/
Un siècle de preuves que les vaccins provoquent la mort subite du nourrisson
RépondreSupprimerDémasquer l'une des plus grandes tragédies de la médecine
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
23 MAI 2025
• Depuis au moins 1933, la communauté médicale sait que les vaccins provoquent des décès infantiles. Pour dissimuler cette réalité, ces décès ont été rebaptisés « mort subite du nourrisson », puis « syndrome de mort subite du nourrisson » (MSN), finalement attribués au fait que les nourrissons ne dormaient pas sur le dos.
• Ce révisionnisme n'est étayé ni par les preuves existantes ni par l'évolution historique de la fréquence de la MSN. Plus récemment, les taux de MSN ont connu une baisse sans précédent, parallèlement aux confinements liés à la COVID-19, qui ont réduit les taux de vaccination.
• Le vaccin le plus étroitement associé à la MSN, le DTC, a été protégé pendant des décennies par les gouvernements, malgré le fait que de nombreuses preuves, partout dans le monde, montraient qu'il tuait des nourrissons, notamment lors de la mise sur le marché d'un lot inévitablement prometteur. Finalement, les poursuites pour préjudice corporel ont été si nombreuses qu'en 1986, le gouvernement a dû accorder une immunité totale aux fabricants de vaccins.
Cet article passe en revue de manière concise les nombreuses preuves démontrant que les vaccins provoquent le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) et révèle le mécanisme, maintes fois démontré par la recherche moderne, qui provoque la mort infantile.
On nous dit souvent que les vaccins étaient une merveille médicale qui a mis fin à l'âge sombre des maladies infectieuses. Pourtant, l'examen des dossiers révèle qu'ils ont souvent échoué lamentablement à prévenir ces maladies et, pire encore, ont fréquemment provoqué des épidémies et gravement blessé de nombreux receveurs.
Cela résultait en partie de la toxicité inhérente des vaccins et en partie des difficultés de fabrication qui entraînaient régulièrement la mise sur le marché de lots dangereux. Plutôt que de remédier à ce problème, l'industrie du vaccin a choisi de mettre en place diverses stratégies pour dissimuler ces problèmes, notamment en consacrant le dogme « tous les vaccins sont sûrs » et en accordant une immunité juridique totale à tous les vaccins « sûrs ».
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La courbe de toxicité
Lorsque les humains sont exposés à des toxines, les réactions sont réparties de telle sorte que les blessures graves sont beaucoup plus rares. Par conséquent, de nombreuses réactions plus subtiles et courantes passent généralement inaperçues.
Par conséquent, si un produit cause un nombre important de décès (par exemple, les vaccins à ARNm contre la COVID), ce n'est souvent que la partie émergée de l'iceberg, et un nombre bien plus important de blessures se cachent sous la surface (par exemple, un sondage a montré que 34 % des personnes vaccinées contre la COVID ont signalé des effets secondaires mineurs et 7 % des effets secondaires importants).
Morts subites du nourrisson
Cela est malheureusement également vrai pour les décès de nourrissons, et depuis sa création, le vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos (DTC) a été associé à ces décès.
Par exemple, en 2014, des fosses communes anonymes appartenant à des orphelins irlandais ont été découvertes. Elles appartenaient à un groupe de 2 051 enfants sur lesquels un vaccin antidiphtérique précoce avait été secrètement testé dans les années 1930.
Remarque : les premières expériences vaccinales (dont le DTC) ont été menées dans les années 1960 et 1970 dans des maisons de retraite irlandaises, et les sujets testés comprenaient des bébés et des enfants handicapés.
De même, comme l’a détaillé Sir Graham Wilson, au début des années 1900, la littérature médicale a recensé plus d’une douzaine de cas (et probablement bien plus encore, non documentés) où des groupes d’enfants avaient reçu un vaccin antidiphtérique mal préparé, et collectivement, des milliers d’entre eux sont tombés gravement malades, et des centaines ont connu une mort atroce.
Une vague de décès a donc suivi l’adoption du DTC, qui, comme ceux qui ont suivi les vaccins contre la COVID, est devenu un « syndrome mystérieux », initialement appelé « mort subite du nourrisson », puis « syndrome de mort subite du nourrisson » (SMSN). À leur tour, quelques médecins ont constaté cette situation et se sont prononcés contre.
RépondreSupprimer• Le Dr James Howenstine a déclaré en 2003 :
L’incidence du syndrome de mort subite du nourrisson est passée de 0,55 pour 1 000 naissances vivantes en 1953 à 12,8 pour 1 000 en 1992 dans le comté d’Olmstead, au Minnesota. Le pic d’incidence du syndrome de mort subite du nourrisson se situe entre 2 et 4 mois, période à laquelle la plupart des vaccins sont administrés aux enfants. 85 % des cas de SMSN surviennent au cours des 6 premiers mois de la petite enfance. La proportion de SMSN dans le total des décès infantiles est passée de 2,5 pour 1 000 en 1953 à 17,9 pour 1 000 en 1992. Cette hausse des décès par SMSN s’est produite à une époque où presque toutes les maladies infantiles étaient en déclin grâce à l’amélioration des conditions sanitaires et aux progrès médicaux, à l’exception du SMSN. Ces décès dus au syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) ont augmenté à une époque où le nombre de vaccins administrés aux enfants augmentait régulièrement pour atteindre 36 par enfant.
Remarque : j’ai toujours été étonné que le corps médical sache que le syndrome de mort subite du nourrisson atteint son pic à 2, 4 et 6 mois exactement, mais qu’il ne puisse pas établir de lien avec l’administration simultanée de vaccins infantiles.
• Le docteur Robert Mendelsohn a écrit dans son livre de 1987 « Comment élever un enfant en bonne santé malgré l'intervention de votre médecin » :
Mon soupçon, partagé par d'autres membres de ma profession, est que les près de 10 000 décès par SMSN qui surviennent chaque année aux États-Unis sont liés à un ou plusieurs vaccins administrés systématiquement aux enfants. Le vaccin contre la coqueluche est probablement le coupable, mais il pourrait aussi en être un ou plusieurs autres.
Remarque : Bien que je pense que le vaccin contre la coqueluche (DTC) soit le vaccin le plus étroitement lié au syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN), d’autres vaccins ont également un lien (par exemple, une analyse du VAERS de 2007 et un témoignage législatif du Dr Philip Incao en 1999 ont présenté des arguments convaincants reliant également le SMSN au vaccin contre l’hépatite B).
• En 1957, le Dr Archie Kalokerinos, désireux de servir la population, a demandé à être affecté dans les communautés rurales aborigènes délaissées, car leur taux de mortalité infantile était de 10 % (alors qu’il était de 2 % dans les communautés blanches environnantes). De nombreuses maladies y étaient endémiques (pneumonie, otites graves, irritabilité infantile importante et incapacité fréquente à nourrir les enfants malades), mais elles étaient ignorées et imputées aux habitudes inciviles des mères.
Remarque : l’interview complète (et très approfondie) peut être consultée. ici.
RépondreSupprimerArchie a finalement compris que ces décès étaient dus à de graves carences nutritionnelles et a rapidement sauvé de nombreuses vies (par exemple, en injectant de la vitamine C par voie intraveineuse ou en administrant du zinc).
Après que le taux de mortalité infantile ait grimpé à 50 % suite à une campagne de vaccination infantile, il a réalisé que, de la même manière que les infections épuisent la vitamine C, les vaccins en font autant, et il a rapidement mis fin aux décès liés à la vaccination grâce à l'injection de vitamine C. De plus, il a également découvert que vacciner un enfant malade était fréquemment mortel (ce qui, à des degrés divers, a également été rapporté dans la littérature médicale).
Remarque : Kalokerinos a également constaté que l'allaitement maternel précoce était essentiel à la santé des nourrissons et à la prévention des décès, mais malheureusement, les forces coloniales les ont orientés vers le lait artificiel, reflétant une tendance pernicieuse observée à l'échelle mondiale. Nombreux sont ceux qui ont depuis constaté que l'allaitement maternel compense bon nombre des effets néfastes de la vaccination (par exemple, il divise par deux le taux de MSN) ; tous ces points sont abordés ici.
Plus tard, il a également utilisé la vitamine C pour traiter de nombreuses autres affections (par exemple, des cas de rougeole, autrement mortels) ; une coïncidence également. Une étude menée par un autre médecin pionnier américain a également démontré que les mères accusées d'avoir secoué leur bébé à mort étaient en réalité mortes du scorbut. De même, comme je le montre ici, le diagnostic de « syndrome du bébé secoué » (inventé dans les années 1970) a souvent été utilisé pour condamner à tort les parents dont les enfants mouraient dans leur sommeil après la vaccination (ce qui concorde avec le fait que les parents qui venaient de perdre leur bébé à cause des vaccins au moment le plus vulnérable sont souvent victimes d'un cauchemar ultérieur de la part des forces de l'ordre).
L'expérience de nombreux médecins (notamment celle de Kalokerinos) a été résumée dans une conférence de Raymond Obomsawin :
Remarque : Obomsawin a également souligné que lorsque le Japon a reporté les injections de DTC de 3 à 5 mois à 24 mois, on a constaté une réduction de 85 à 90 % des lésions cérébrales et des cas de SMSN, ainsi qu'une baisse de 60 % du taux global de mortalité infantile.
Un coup dans l'inconnu
RépondreSupprimerOutre ses conséquences mortelles, le vaccin DTC a fréquemment causé des lésions cérébrales Les médias n'ayant pas encore été rachetés par l'industrie pharmaceutique (en raison d'une décision de la FTC de 1997 légalisant les publicités télévisées pharmaceutiques), des programmes critiques à l'égard de la vaccination étaient parfois diffusés, comme celui de 1982 soulignant le profond handicap causé par le vaccin DTC.
De nombreux parents d'enfants ayant subi un vaccin DTC ont suivi cette émission, appelée NBC, et ont ensuite été mis en contact par NBC, formant ainsi « Parents insatisfaits ensemble », l'un des premiers groupes de sécurité vaccinale. En 1985, « DTC, un coup de chance » a été publié.
« DTC, un coup de chance » a souligné que :
• Dès 1933, des rapports ont fait état de décès de nourrissons peu après l'administration du vaccin DTC, dont certains où les autopsies attribuaient les décès à la vaccination.
• Les décès simultanés de jumeaux identiques sont extrêmement rares et sont donc considérés comme une référence absolue pour établir un lien de causalité. En 1946, deux jumeaux sont morts (sur le dos) dans les 24 heures suivant leur deuxième vaccin DTC, un fait également démontré dans les rapports de cas de 1987, 2006, 2007, 2010 et 2013.
Des chercheurs comme le Dr William Torch (qui a analysé 72 cas consécutifs de MSN, puis plus de 200) ont montré que ces décès se sont concentrés peu après la vaccination, ce qui ne pouvait s'expliquer par le hasard.
Charles Manclark, spécialiste des vaccins anticoquelucheux à la FDA, avait déclaré en 1976 :
Le vaccin anticoquelucheux est l'un des produits les plus difficiles à produire et à doser. À titre d'exemple, le vaccin anticoquelucheux présente l'un des taux d'échec les plus élevés de tous les produits soumis au Bureau des produits biologiques pour tests et autorisation de mise sur le marché. Environ 15 à 20 % des lots qui réussissent les tests du fabricant échouent aux tests du Bureau.
En 1978-1979, onze nourrissons du Tennessee sont décédés dans les huit jours suivant l'administration d'un vaccin DTC ; neuf avaient été vaccinés avec le même lot (Wyeth n° 64201) et cinq (dont quatre de ce lot) sont décédés dans les 24 heures. L'analyse statistique a montré qu'un tel regroupement de décès ne se produirait par hasard que dans 3 % des cas ; des estimations ultérieures situent cette probabilité encore plus faible, entre 0,2 % et 0,5 %.
En juin, le Dr William Foege, directeur des CDC, a déclaré au Directeur général de la Santé que, si un lien de causalité avec ces décès ne pouvait être confirmé, il ne pouvait pas non plus être exclu. Trois semaines plus tard, Harry Meyer, responsable de la FDA, a cité la note de Foege pour rejeter la demande de Wyeth d'inclure les facteurs de risque liés au SMSN comme contre-indications au vaccin DTC, affirmant qu'il n'existait aucune base médicale ni aucune preuve qu'un tel étiquetage prévienne le SMSN.
• Suite à cela, en 1979, la haute direction de Wyeth a publié une note stipulant que les futurs lots de DTC devaient être distribués dans tout le pays (plutôt qu'en un seul endroit) afin d'éviter que l'incident de 1978-1979 ne se reproduise.
De plus, un autre groupe de décès par SMSN à Fresno, en Californie, a conduit le journal local à mener une enquête. Cette enquête a révélé des problèmes généralisés liés à des lots de DTC chauds, a demandé aux médecins de la région de fournir des preuves que le DTC était bien à l'origine du SMSN, et a révélé qu'une étude de 1978 sur la sécurité du vaccin DTC avait été enterrée après que les chercheurs ont découvert que les effets indésirables dans les 48 heures suivant la vaccination étaient 5 000 % plus élevés que prévu.
RépondreSupprimerCette condamnation accablante du vaccin DTC a conduit à l'adoption d'une législation nationale sur la sécurité des vaccins en 1986 (qui a malheureusement été récupérée par la suite et n'est devenue qu'une protection générale contre la responsabilité pour l'industrie) et au remplacement du vaccin DTwP à germes entiers par le vaccin DTaP acellulaire, plus sûr.
Remarque : le vaccin DTaP étant plus coûteux à produire, l'industrie y a longtemps résisté et continue de l'administrer aux régions les plus pauvres comme l'Afrique.
Coqueluche à germes entiers en Afrique
Peter Aaby, scientifique renommé spécialisé dans les vaccins et promoteur de la vaccination, a été chargé par l'OMS d'étudier les effets des vaccins couramment utilisés par la communauté internationale dans le cadre de programmes caritatifs sur la mortalité infantile (études qui, pour des raisons de contexte, ne sont presque jamais réalisées).
À sa grande horreur, Aaby a découvert :
Le DTC était associé à une mortalité cinq fois plus élevée que l’absence de vaccination [le DTCoq augmentait la mortalité de 3,93 fois chez les garçons et de 9,98 fois chez les filles]. Aucune étude prospective n’a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie. Malheureusement, le DTC est le vaccin le plus utilisé, et la proportion de personnes recevant le DTC est utilisée à l’échelle mondiale comme indicateur de la performance du programme de vaccination d’un pays.
Il est préoccupant que l’effet des vaccinations systématiques sur la mortalité toutes causes confondues n’ait pas été testé dans le cadre d’essais randomisés. Toutes les données actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie ciblée, il peut également accroître leur vulnérabilité à des infections non apparentées.
Les résultats d’Aaby pour 2017 ont été, sans surprise, enterrés et, grâce aux « dons » de Bill Gates, la vaccination (y compris avec le DTCoq) est devenue une priorité croissante de l’OMS. Cependant, en 2019, le Dr Peter Gøtzsche, expert reconnu en matière de fraude scientifique (et acteur majeur de la réforme de la médecine factuelle), a mené une revue systématique du programme DTC. Cette revue a conclu :
Les données probantes indiquent qu’il est probable que le vaccin DTC augmente la mortalité totale dans les pays à faible revenu.
RépondreSupprimerRemarque : Aaby a constaté que la principale cause de ces décès était l’immunosuppression induite par le DTC et d’autres infections entraînant ultérieurement la mort des nourrissons (un phénomène également observé avec de nombreux autres vaccins).
Relations dose-effet
Un indicateur clé pour établir une causalité est la démonstration d’une relation dose-effet (par exemple, un plus grand nombre de vaccins entraînant un plus grand nombre de décès).
À l’échelle nationale, cela a été démontré par l’augmentation des taux de MSN avec le nombre de vaccins administrés. De même, une étude de 2011 portant sur les 34 pays affichant le taux de mortalité infantile le plus faible (les États-Unis étant en 34e position) a montré une relation indéniable entre le nombre total de vaccinations et la MSN.
Il a également été démontré à maintes reprises que l'administration simultanée de plusieurs vaccins (par exemple, les vaccins hexavalents DTC + polio + Haemophilus influenzae B + hépatite B) augmentait le risque de MSN. Par exemple :
• Lorsque le vaccin hexavalent de GSK a été commercialisé, des cas de MSN ont été observés, ce qui a conduit à une étude de 2005 sur la base de données allemande des effets indésirables, qui a révélé une augmentation des cas de MSN associée au vaccin.
• Une étude de 2011 sur la base de données italienne des effets indésirables a révélé que les vaccins hexavalents multipliaient par 2,2 le risque de décès infantile dans les 14 jours suivants.
• Un juge a ensuite contraint GSK à divulguer ses données confidentielles de sécurité, qui montraient que 90 % des décès infantiles signalés survenaient immédiatement après la vaccination (ce qui suggère fortement une association).1,2
• Un rapport confidentiel ultérieur de 2015 remis par GSK aux autorités réglementaires européennes indiquait que près de 52,5 % des décès liés à la vaccination survenaient dans les 3 jours suivant la vaccination, 82,2 % dans les sept jours et 97,9 % dans les dix jours.1,2
• Une analyse VAERS de 2012 portant sur tous les décès infantiles signalés a révélé que les nourrissons ayant reçu deux fois plus de vaccins en une seule fois présentaient environ deux fois plus de risques de mourir ou d'être hospitalisés.
De même, comme tous les nourrissons reçoivent la même dose de vaccin, les prématurés (étant plus petits) reçoivent effectivement une dose plus élevée. Cette analyse a également révélé que les nourrissons les plus jeunes étaient les plus susceptibles de mourir après la vaccination.
RépondreSupprimerRemarque : après la publication, j'ai appris que les décès infantiles soudains et inattendus après la vaccination sont désormais masqués dans le VAERS, car ils ne sont plus classés comme SMSN.
Arrêt respiratoire
Les nourrissons peuvent présenter un événement cardiorespiratoire, tel qu'une interruption de la respiration ou un ralentissement important du rythme cardiaque, après la vaccination. Dans de nombreux cas, ces événements nécessitent une réanimation cardio-pulmonaire (RCP), et si le nourrisson n'avait pas été surveillé à l'hôpital au moment de l'événement, il serait probablement décédé.
Ceci a été démontré par des décennies d'études hospitalières (par exemple, j'ai résumé 13 essais1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, dont un essai de 2025, ici) menées auprès de prématurés. Ces études ont toutes montré :
• Environ un tiers des prématurés ont présenté un événement cardiorespiratoire (par exemple, un arrêt respiratoire) après la vaccination (alors que pratiquement aucun n'en avait présenté avant), et environ un tiers d'entre eux ont ensuite nécessité une assistance respiratoire.
• Les personnes de petite taille ou atteintes de maladies chroniques étaient plus susceptibles de présenter ces événements cardiorespiratoires (conformément aux observations de Kalokerinos).
• Ces événements se reproduisaient souvent après les vaccinations suivantes.
Étonnamment, bien que cette complication de la vaccination soit reconnue par le milieu médical, elle n'a jamais été liée au syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) et est toujours considérée comme sans conséquence par rapport aux « immenses bienfaits de la vaccination ».
C'est pourquoi une équipe australienne a mis au point un système de surveillance continue des nourrissons à domicile et, comme beaucoup d'autres, a pu démontrer que des troubles respiratoires non mortels ont atteint un pic après la vaccination DTC et polio (c'est la cause la plus probable du SMSN) et que ces troubles ont persisté pendant plus de six semaines après la vaccination (cohérence qui coïncide donc avec la période typique de décès observée après la vaccination). Plus important encore, la respiration n'était souvent pas complètement rétablie au moment de l'administration du vaccin suivant.1,2,3
Remarque : certaines notices d'emballage56 des vaccins DTCaP mentionnent le SMSN comme un effet secondaire possible.
Quelles sont les causes du SMSN ? Lors des autopsies pour SMSN (détaillées ici), on observe généralement des changements inhabituels tels qu'une congestion aiguë, un œdème et de petites hémorragies dans le tronc cérébral et les organes internes, ainsi qu'une infiltration du tissu cérébral par différentes cellules immunitaires.1,2,3,4
RépondreSupprimerRemarque : ces résultats reflètent ceux observés par Kalokerinos lors des nombreuses autopsies qu'il a réalisées (et attribués aux endotoxines bactériennes LPS). De même, un spécialiste de la coqueluche du gouvernement m'a confié que certains de ces effets (par exemple, les fuites vasculaires) sont également observés en cas d'intoxication à la toxine coquelucheuse (ce qui suggère que la toxine coquelucheuse du vaccin pourrait ne pas être totalement inactivée, ce qui était fréquemment le cas lors des précédents lots chauds mortels de diphtérie).
L'un des plus grands dangers des vaccins est qu'ils provoquent l'agglutination des cellules sanguines, créant des micro-AVC dans les petits vaisseaux sanguins. Certaines zones du cerveau sont plus vulnérables à ce phénomène. Ainsi, certains nerfs crâniens (par exemple, les nerfs crâniens 6 et 7) présentent fréquemment des déficits observables après la vaccination (par exemple, les yeux se tournent vers l'intérieur). Étant donné qu'une zone cérébrale essentielle à la respiration automatique est très proche des noyaux des nerfs crâniens fréquemment touchés, la respiration est probablement également affectée par ces micro-AVC.
Je soupçonne que les interruptions partielles de la respiration surviennent en cas d'interruption partielle de l'apport sanguin d'un côté, tandis que l'arrêt respiratoire complet survient lorsque les deux côtés sont touchés. De même, le neurologue qui a découvert que la vaccination provoquait des micro-AVC pathologiques a également observé des cas où un déficit du nerf crânien 6 des deux côtés (impliquant une perte partielle du flux sanguin des deux côtés du tronc cérébral) précédait directement la MSN.
Remarque : Kalokerinos pensait également que la perte de la respiration automatique provenait de l’attaque du centre respiratoire du tronc cérébral par les LPS, que la vitamine C neutralisait rapidement. Je pense quant à moi que les hémorragies, la coagulation et le gonflement qu’il a observés étaient en partie dus aux modifications du potentiel zêta, et que les améliorations rapides observées après l’administration de vitamine C étaient dues à la restauration du potentiel zêta physiologique.
L’évolution du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN)
La campagne « Dormez sur le dos » (fondée sur l’idée que le SMSN était causé par le fait de dormir sur le ventre et que le nourrisson s’étouffait ensuite) est souvent présentée comme l’un des plus grands succès de l’histoire de la médecine, car les taux de SMSN ont diminué dès son apparition, ce qui a conduit à utiliser ce succès pour démystifier le lien entre SMSN et vaccination.
Cependant, si l'on examine les données réelles, on peut affirmer avec certitude que cette baisse est due au passage du TDwP au TDaP, puis à la reclassification des cas de SMSN.
Remarque : de manière assez analogue, la baisse de la polio était probablement due à l'élimination progressive des pesticides neurotoxiques lors de l'introduction du vaccin, et à la reclassification de la plupart des cas de paralysie comme n'étant plus liés à la polio.
Depuis lors, le taux total de mortalité infantile est resté relativement stable, jusqu'à ce qu'en 2020, un événement extraordinaire se produise : les confinements ont entraîné la première baisse significative de la vaccination aux États-Unis, les visites de santé infantiles étant devenues « non essentielles ». À l'époque, de nombreux acteurs de la sécurité vaccinale prédisaient une baisse sans précédent des taux de SMSN.
RépondreSupprimerLes taux de vaccination ont effectivement diminué, et parallèlement, les décès ont également suivi :
Mais seulement chez les enfants aux âges généralement touchés par le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) :
De plus, en raison du climat politique en Floride en 2021, le taux de vaccination infantile a diminué, passant de 93,4 % à 79,3 % en 2021. Parallèlement, la mortalité infantile toutes causes confondues chez les moins d’un an a également diminué de 8,93 % en Floride (inversement de la tendance de 2020, où la mortalité infantile avait augmenté de 0,67 %). Une baisse de 14 % de la couverture vaccinale a été associée à une baisse de 9 % de la mortalité infantile, ce qui suggère qu’environ la moitié des décès infantiles en Floride pourraient être attribués à la vaccination.
Remarque : en début de semaine, des jumeaux de l’Idaho ont été retrouvés morts dans leur lit, un événement très inhabituel qui a donné lieu à une enquête pour homicide (malgré le fait que les parents, inquiets de la mort de leurs enfants, les avaient déjà amenés aux urgences, mais avaient ensuite été renvoyés chez eux). En discutant avec des médecins directement impliqués dans le dossier, j'ai appris que les nourrissons étaient prématurés de trois mois et qu'après avoir reçu cinq vaccins simultanément, ils étaient devenus cyanosés. On leur a dit qu'ils avaient fait une réaction au vaccin et on leur a administré du Paracétamol. Les nourrissons ont complètement changé et, huit jours plus tard, ils ont eu une terrible diarrhée et un écoulement biliaire inhabituel, avant de mourir plus tard dans la nuit au lit. Ceux qui connaissaient la famille ne soupçonnaient pas d'homicide, et un collègue présent à l'autopsie a confirmé qu'il n'y avait aucune preuve d'acte criminel. Si les facteurs de risque courants de MSN d'origine vaccinale avaient été connus, cette tragédie aurait probablement été évitée.
Conclusion
Quelque chose peut être très évident. En fait, quoi de plus évident que la mort d'un enfant ? Cela peut être extrêmement grave et son existence peut être non seulement ignorée, mais niée, et sans comprendre cela, il est impossible de comprendre mon problème. Je savais que ces autres endroits connaissaient également des décès de nourrissons. Pourtant, lorsque j'ai parlé aux médecins, leur réaction a été presque universellement hostile. J'ai donc dû gérer le problème seul. — Archie Kalokerinos
L'un des aspects les plus désolants des blessures liées aux vaccins est l'incapacité des enfants à expliquer les effets néfastes des vaccins ou à refuser toute nouvelle vaccination. Par ailleurs, l'une des situations les plus déchirantes que j'aie pu observer en médecine est celle des enfants qui, par tous les moyens possibles, tentent de dire à leurs parents, aux médecins et aux infirmières que les vaccins leur font du mal, mais sont ignorés et subissent une catastrophe après une injection sans leur consentement.
RépondreSupprimerCependant, maintenant que tant d'adultes (capables de communiquer) ont été blessés par les vaccins contre la COVID, le voile est levé et une prise de conscience se fait jour quant aux conséquences potentielles de la vaccination. Le secrétaire Kennedy entame enfin l'évaluation, attendue depuis longtemps, de la sécurité des vaccins administrés à nos enfants, et il est impératif que nous fassions tout notre possible pour que cette enquête puisse se poursuivre.
Note de l'auteur : Ceci est une version abrégée d'un article complet qui examine plus en détail les preuves reliant le syndrome de mort subite du nourrisson à la vaccination, et qui peut être consulté ici. De plus, un article complémentaire sur le siècle de preuves selon lesquelles les vaccins provoquent un large éventail de lésions neurologiques (par exemple, l'autisme) peut être lu ici, ainsi qu'un article complémentaire qui détaille toutes les preuves reliant des maladies chroniques spécifiques et comment reconnaître les effets subtils de la vaccination (qui peut être lu ici).
https://www.midwesterndoctor.com/p/the-century-of-evidence-vaccines
Depuis 1929 ont été ajouté aux vaccins des nano-particules d'aluminium ! Très vite la communauté médicale s'est rendue compte qu'elles mettaient sur pied la maladie d’Alzheimer ! Mais... l'aluminium n'a JAMAIS été retiré des vaccins ! JAMAIS !
SupprimerUn gynécologue-obstétricien déclare au Congrès que les vaccins contre la Covid « reflétaient » les effets des médicaments abortifs chimiques
RépondreSupprimer« Les données brutes ont révélé un taux de fausses couches de 82 % chez les femmes vaccinées au cours du premier trimestre », a noté le Dr James Thorp. « Ce chiffre reflète les effets des médicaments abortifs chimiques tels que le RU486. »
Par Doug Mainwaring
Lifesite News
24 mai 2025
WASHINGTON, D.C. — Un gynécologue-obstétricien réputé a commencé son témoignage hier devant le Sénat sur les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 en annonçant qu'il serait « difficile d'imaginer une violation plus flagrante de l'éthique médicale de la part du complexe médico-industriel contrôlé par le gouvernement que la promotion des vaccins contre la COVID-19 auprès des femmes enceintes ».
« Cette campagne n'était pas fortuite », a déclaré le Dr James Thorp. « Elle était calculée. Les femmes enceintes ont été délibérément ciblées. » Il a expliqué que cela visait à influencer la perception du public américain quant à l'innocuité du vaccin contre la COVID-19, car si les femmes enceintes « pouvaient être convaincues de l'innocuité et de l'efficacité du vaccin, cela impliquerait qu'il était sûr et efficace pour tous ».
« Dès le début de la pandémie, cette campagne de vaccination n'a jamais été fondée sur la science biologique, mais plutôt sur les sciences comportementales, et plus précisément sur la manipulation de l'opinion publique par l'influence, la peur et la persuasion », a déclaré Thorp.
« Le gouvernement fédéral a confié une grande partie de cette opération psychologique à des ONG qui ont diffusé des messages émotionnels et trompeurs », a noté Thorp. « Ces entités ont faussement assuré aux femmes enceintes que les vaccins étaient sûrs et essentiels à la santé maternelle et fœtale du nouveau-né, alors que les premières données indiquaient tout le contraire. »
L'approche marketing du gouvernement en matière de vaccins consistait à « viser les fruits les plus faciles à cueillir », selon le Dr Jay Winston, directeur de projet à la Faculté de santé publique de Harvard, lors d'une interview accordée à CBS News en 2020.
« Et le “fruit”, tragiquement, ce sont les femmes enceintes », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerThorp a cité une étude trompeuse publiée en avril 2021 dans le New England Journal of Medicine, qui affirmait que le taux de fausses couches était de 12,6 %, « mais les données brutes ont révélé un taux de fausses couches de 82 % chez les femmes vaccinées au cours du premier trimestre ».
« Ce chiffre reflète les effets des médicaments abortifs chimiques tels que le RU486 », a noté Thorp de manière choquante.
Thorp a affirmé que « les publications étaient entachées de conflits d'intérêts et de fausses déclarations délibérées visant à contraindre les femmes enceintes à se faire vacciner ».
Il a poursuivi :
Ces publications sont fondamentalement compromises par de graves conflits d'intérêts, allant de sources de financement et de mandats institutionnels biaisés, jusqu'à des menaces pesant sur leurs licences médicales et leurs certifications.
Entre 2020 et 2022, les laboratoires pharmaceutiques ont versé 1,06 milliard de dollars aux évaluateurs de revues médicales de premier plan – The New England Journal of Medicine, JAMA, Lancet et BMJ – corrompant ainsi le processus d'évaluation par les pairs.
« À l'inverse, d'innombrables chercheurs indépendants, sans conflit d'intérêts, ont publié des résultats contredisant les fausses informations et celles de l'industrie pharmaceutique, pour finalement être récompensés par des persécutions, de la censure et des menaces de perte de leur licence d'exercice et de leur certification », a déclaré Thorp.
« Ce n'est pas une hypothèse. Cela m'est arrivé », a-t-il déclaré.
« Cet échec catastrophique en matière de santé publique a été financé par l'argent des contribuables et acheminé, via des agences fédérales, vers des organismes de tutelle médicale tels que l'American College of Obstetricians and Gynecologists, l'American Board of Obstetrics and Gynecology et la Society for Maternal Fetal Medicine », a déclaré Thorp.
« Ces organisations ont abandonné leur éthique et leurs responsabilités envers les médecins et les patients et doivent rendre des comptes », a-t-il insisté.
« J'exhorte le gouvernement à cesser immédiatement tout financement de ces entités et à mettre un terme à toute campagne promotionnelle qui contraint ou recommande des thérapies expérimentales à base d'ARNm aux femmes enceintes », a déclaré Thorp. « Cela doit cesser immédiatement. »
L'audition sénatoriale de jeudi sur les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19, présidée par le sénateur Ron Johnson (R–WI), a coïncidé avec la publication du rapport intérimaire du sénateur Johnson accusant les responsables de l'administration Biden d'avoir été parfaitement conscients des multiples risques majeurs associés aux vaccins contre la COVID-19, mais d'avoir « choisi de ne pas émettre d'avertissement officiel au public pendant des mois concernant les préoccupations en matière de sécurité, mettant en danger la santé des jeunes Américains ».
« L'ampleur de l'échec de l'administration Biden à avertir immédiatement le public de tous les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 doit être pleinement révélée », a déclaré le rapport de Johnson.
RépondreSupprimerLe Dr James Thorp est un gynécologue-obstétricien certifié et spécialiste en médecine fœto-maternelle, fort de plus de 44 ans d'expérience clinique. Médecin américain chevronné et largement publié, il a témoigné à l'international et a été évaluateur. Il est membre du conseil d'administration de la Society for Maternal Fetal Medicine et examinateur pour l'American Board of Obstetrics and Gynecology.
L'intégralité de l'audience sénatoriale de trois heures sur les effets indésirables du vaccin contre la COVID-19 peut être visionnée ici.
This article was originally published on Lifesite News.
https://www.lewrockwell.com/2025/05/no_author/ob-gyn-expert-tells-congress-that-the-covid-shots-mirrored-effects-of-chemical-abortion-drugs/
L'école primaire française n'apprend pas ses leçons
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 22 mai 2025 - 16:15
La Cour des comptes a épinglé l'enseignement primaire français dans un rapport publié le 20 mai dernier. Malgré 55,1 milliards d'euros investis en 2023, la France termine dernière d'Europe en mathématiques selon l'étude TIMSS, 42e mondiale sur 58 pays. Les inégalités sociales s'aggravent dès les premières années de scolarité, transformant l'école en machine à reproduire les écarts plutôt qu'à les corriger.
Plus on dépense, moins on progresse. Pendant que Singapour caracole en tête avec 15 élèves par enseignant et des salaires attractifs, la France s'enlise avec ses 22 élèves par classe et ses instituteurs payés 26 000 euros annuels. Comme le rapporte The Epoch Times, une gouvernance "trop centralisée" bride l'innovation pédagogique. Les journées scolaires inadaptées fatiguent les enfants, les remplacements d'enseignants absents restent chaotiques, et la profession perd son attractivité face à la charge administrative croissante.
Les dysfonctionnements s'accumulent comme les mauvaises notes. "L'école primaire, censée poser les bases d'une éducation équitable, aggrave les inégalités sociales au lieu de les réduire", déplore la Cour. Les zones d'éducation prioritaire, majoritairement peuplées d'élèves d'origine immigrée, creusent leur retard malgré les moyens renforcés. À l'inverse, la Finlande mise sur l'autonomie des enseignants et des journées courtes, l'Allemagne décentralise avec succès, tandis que Singapour investit massivement dans la formation.
La Cour des comptes prône une décentralisation urgente, des rythmes scolaires repensés et une revalorisation salariale. Mais derrière ces recommandations se cache un aveu d'échec retentissant. Après des décennies de réformes cosmétiques, l'école française reste prisonnière de ses lourdeurs bureaucratiques, transformant l'investissement public en gâchis éducatif monumental.
https://www.francesoir.fr/politique-france/l-ecole-primaire-francaise-n-apprend-pas-ses-lecons
Élevés cons ? Instituteurs cons, professeurs cons, ministre de la culture con, chef d’État con !
SupprimerCe n'est pas une question de pognon, c'est une question d'intelligence.
La population migrante allemande explose : une personne sur quatre est désormais issue de l’immigration, selon les données officielles.
RépondreSupprimerLes Allemands de souche disparaissent, tandis qu’un résident allemand sur trois âgé de 20 à 39 ans est désormais issu de l’immigration.
22 MAI 2025, 15:24
PAR HOMAS BROOKE
La population migrante allemande est en pleine expansion. De nouvelles données de l’Office fédéral de la statistique (Destatis) révèlent que plus d’une personne sur quatre vivant actuellement en Allemagne est issue de l’immigration.
En 2024, le nombre de résidents issus de l’immigration a augmenté de 4 %, soit 873 000 personnes, par rapport à l’année précédente, pour atteindre le chiffre record de 21,2 millions. Cela représente 25,6 % de la population totale, contre 24,7 % en 2023.
Le terme « origine migratoire » désigne à la fois les personnes ayant immigré elles-mêmes (migrants de première génération) et les personnes nées en Allemagne de deux parents immigrés (deuxième génération). Près de 16,1 millions de personnes, soit 19,4 % de la population, étaient elles-mêmes immigrées, tandis que 5,2 millions supplémentaires, soit 6,3 %, étaient nées en Allemagne de deux parents nés à l'étranger.
En revanche, la population autochtone sans antécédents migratoires a diminué de 1 % (734 000 personnes) pour atteindre 57,4 millions, représentant désormais 69,3 % du pays.
La jeunesse de la population migrante allemande se distingue. Parmi les personnes âgées de 20 à 39 ans, plus d'une personne sur trois (34 %) était issue de l'immigration en 2024. Parmi les plus de 65 ans, ce chiffre tombe à 14 %. L'âge moyen des personnes issues de l'immigration est de 38,2 ans, soit près de dix ans de moins que celui des personnes sans origine migratoire, qui atteint en moyenne 47,4 ans. Les personnes dont un seul parent est immigré ont l'âge moyen le plus jeune de tous les groupes, soit 25,1 ans.
Les migrations depuis 2015 ont joué un rôle majeur dans ces évolutions : près de 6,5 millions de personnes vivant en Allemagne en 2024 ont immigré après 2015.
Entre 2015 et 2021, les groupes les plus importants provenaient de Syrie (716 000), de Roumanie (300 000) et de Pologne (230 000). De 2022 à 2024, l'Ukraine a dominé les chiffres, avec 843 000 arrivées, suivie de la Syrie (124 000) et de la Turquie (112 000).
Les principales raisons invoquées pour migrer en Allemagne depuis 2015 étaient la demande d'asile (31 %), l'emploi (23 %) et le regroupement familial (21 %). Chez les femmes, le regroupement familial était particulièrement important, cité par 26 %, contre 30 % pour la fuite. Chez les hommes, 32 % ont cité la fuite et 28 % l'emploi.
Les nouveaux chiffres confirment que la population migrante allemande croît rapidement, ce qui entraîne des pressions démographiques et des inquiétudes quant à l'intégration.
Par ailleurs, l'affirmation courante des responsables politiques de gauche selon laquelle l'immigration alimente la main-d'œuvre allemande ne résiste pas à l'analyse : moins d'un quart des nouveaux arrivants citent l'emploi comme motif de leur départ.
https://rmx.news/article/germanys-migrant-population-explodes-as-1-in-4-now-has-migration-background-official-data-reveals/
L’IA est-elle un GADGET de riches comme le pense JANCOVICI ?
RépondreSupprimerNathalie MP Meyer
22 mai 2025
Jean-Marc Jancovici serait-il en train de se forger la future notoriété pompeusement ridicule de ce haut fonctionnaire français, initiateur du Minitel, qui, en 1994, estimait dans un rapport destiné au Premier ministre de l’époque que si Internet ne manquait pas d’atouts, son manque de fiabilité et de sécurité ainsi que ses faiblesses en matière de voix et d’images le rendaient non seulement impropre aux services commerciaux, mais, plus généralement, incapable de “constituer à lui tout seul le réseau d’autoroutes mondial” de l’information ?
Trente ans plus tard, au regard de ce que l’on connaît maintenant d’Internet, qui est devenu l’outil le plus utilisé et le plus partagé de toute l’humanité, on rit devant tant de fallacieuses certitudes si précocement assénées. La prospective n’est certes pas tâche aisée. Par définition, à l’instant où l’on parle, le futur n’est pas connu. Mais par bonheur, notre expérience d’événements antérieurs proches de ce que nous vivons à l’instant t et un peu de jugeote nous aident à naviguer vers l’avenir.
Il est cependant des moments où la modestie s’impose. Quand la révolution qui se fait jour, en l’occurrence l’émergence de ce que l’on regroupe aujourd’hui sous l’appellation “intelligence artificielle” ou IA, nous confronte à des situations technologiques et sociales radicalement nouvelles, dont nous sommes encore incapables de mesurer précisément l’ampleur des applications et des retombées, les bonnes comme les moins souhaitables, peut-être serait-il judicieux de donner sa chance à l’évolution en cours, de la laisser se développer dans toutes ses potentialités, plutôt que de l’étouffer dans l’œuf sans autre forme de procès.
Surtout si les arguments avancés dans ce but comminatoire relèvent plus de l’approximation et de l’amalgame boiteux trempés dans l’idéologie de l’épuisement des ressources et de la décroissance que d’un raisonnement froidement scientifique. Or c’est précisément ce à quoi Jean-Marc Jancovici s’est livré récemment sur France Inter pour condamner irrémédiablement l’IA (vidéo ci-dessous, 50″) :
Jean-Marc Jancovici sur le développement de l’IA : “Dans un monde aux ressources finies, qu’on fasse des gadgets à la place des trucs essentiels, ça m’ennuie” #le710inter pic.twitter.com/5Zq2eYKDg3
— France Inter (@franceinter) May 19, 2025
Résumons : M. Jancovici regrette que, “dans un monde aux ressources finies”, des entreprises et des fonds d’investissement décident de consacrer 109 milliards d’euros pour le développement de l’IA, qui n’est selon lui qu’un “gadget” visant à amuser les 5 % de la population “qui sont encore les gagnants de la mondialisation”, alors que dans le même temps, des “trucs essentiels” sont totalement négligés ; notre forêt française, par exemple, qui serait “en train de crever”, faute des crédits étatiques nécessaires.
De sa part, une telle prise de position n’est guère étonnante. Ingénieur polytechnicien, spécialiste des questions énergétiques et promoteur inlassable d’une énergie décarbonée à travers son cabinet de conseil Carbone 14, son think tank The Shift project et sa qualité de membre du Haut Conseil pour le climat , il a marqué des points dans certaines sphères écologistes “réalistes” en privilégiant le nucléaire et l’hydroélectrique sur les formules renouvelables non pilotables comme le solaire et l’éolien. Il n’en reste pas moins foncièrement malthusien, c’est-à-dire saisi de terreur à l’idée que les ressources de la Terre sont en plein épuisement tandis que la population mondiale explose :
RépondreSupprimer“La nature, la planète, n’acceptera pas d’avoir 10 milliards d’habitants sur Terre ad vitam aeternam, vivant comme aujourd’hui, puisqu’on a déjà dépassé six limites planétaires.” (Jancovici, FranceInfo, mai 2022)
[À noter que des chercheurs en écologie ont identifié neuf limites planétaires à ne pas dépasser (le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, l’acidification des océans, la pollution chimique, etc.) et que, selon un rapport du gouvernement, la France aurait dépassé six de ces neuf limites en 2019.]
Les solutions de Jean-Marc Jancovici ? Les mêmes que celles de Thomas Malthus en 1800, les mêmes que celles des rédacteurs du célèbre rapport intitulé The Limits To Growth (Les limites à la croissance) du Club de Rome en 1972 : réguler la démographie par la limitation autoritaire des naissances à l’échelle de la planète. Bonus spécial Jancovici : “ne pas mettre tout en œuvre pour faire survivre les personnes âgées malades”, âgées signifiant pour lui 65 ou 70 ans. Vous parlez d’un humanisme…
Pas d’étonnement, donc, mais ne nous privons pas pour autant de décortiquer (en cinq points) sa déclaration sur l’IA.
Premier point qui, je l’espère, va vous rassurer : si la forêt française est sans doute ponctuellement sujette à un certain nombre de maladies, comme tous les êtres vivants, elle n’est certainement pas en train de crever. Je dirais même qu’elle a traversé les révolutions industrielle et numérique avec un brio remarquable puisqu’elle occupait 8,9 millions d’hectares en 1840, soit environ 16 % de la France hexagonale et de la Corse, et qu’elle en totalise aujourd’hui (2023) 17,5 millions, soit 32 % (IGN, inventaire forestier).
Second point, la mise en vis-à-vis des 109 milliards d’investissements annoncés pour l’IA en France et du milliard d’euros de budget annuel de l’Office national des forêts est trompeuse, car la première somme relève de financements privés tandis que la seconde est issue du budget de l’État. De plus, dans une économie en croissance harmonieuse, il n’y a aucune raison qu’on ne puisse s’intéresser en même temps à l’IA, aux forêts et à de nombreux autres sujets tout aussi importants pour le développement humain.
RépondreSupprimerIl y a au contraire fort à parier qu’une économie en décroissance, une économie de pénurie pour la nommer plus concrètement, pousserait à faire des choix qui deviendraient rapidement des tris pas forcément très honorables d’un point de vue humaniste. Il suffit de se rappeler la période du Covid, quand on manquait de masques, de lits et de respirateurs par rapport au nombre de malades, pour en prendre conscience.
Le troisième point concerne justement la décroissance que semble appeler la crainte de l’épuisement des ressources soulignée par Jancovici dans sa diatribe. Bien sûr que la Terre est finie. Bien sûr que ses ressources représentent des volumes physiques strictement délimités. Bien sûr qu’elle n’abrite qu’un nombre fini d’atomes.
Mais d’une part, nous sommes très loin d’en apercevoir la fin, et d’autre part, ce qui compte vraiment au regard de l’amélioration des conditions de vie des humains, ce sont moins les atomes en tant que tels que leurs possibilités de combinaisons. Or celles-ci sont infinies, pour peu que l’homme ait la liberté d’inventer de nouvelles façons d’utiliser les ressources existantes. On appelle cela l’innovation.
Mon quatrième point porte sur la distinction entre “trucs essentiels” et non essentiels opérée par Jancovici. Il apparaît que pour lui, l’entretien des forêts est une activité essentielle tandis que la recherche en IA ne serait qu’un gadget – et un gadget pour riches mondialisés, en plus. La formule importante dans cette affaire est “pour lui”. M. Jancovici nous fait part de ses préférences ; très bien, c’est son droit. Mais ses préférences doivent-elles être aussi les préférences de tous les hommes sans exception ?
Encore une fois, la période Covid est riche d’enseignements. À l’époque, le gouvernement obligeait les commerces à rester fermés, sauf pour les produits dits “essentiels”. Ceci donna lieu à des batailles sans fin pour savoir si les livres ou les chaussettes pour enfants de moins de trois ans relevaient ou non de cette définition. On a vite compris que ce qui était essentiel pour l’un ne l’était pas forcément pour l’autre, et vice-versa.
RépondreSupprimerIl s’avère en effet que les humains ne sont pas des clones interchangeables, mais des êtres dotés de besoins, d’aspirations et d’opinions aussi diverses qu’il y a d’individus sur Terre. Autrement dit, tout produit, tout service a des qualités essentielles pour une personne ou pour une autre. Décréter à l’échelle d’un groupe, d’un pays, d’une société que certaines choses sont dorénavant non essentielles pour tout le monde ne peut se faire que de façon autoritaire.
J’en arrive à mon cinquième et dernier point. L’IA est-elle un simple “gadget” de riches comme le prétend Jancovici ? S’il est sans doute un peu tôt pour se prononcer de façon définitive, on peut cependant remarquer qu’elle a déjà profondément transformé certaines activités humaines. En particulier, elle permet d’accroître la productivité des professionnels, elle permet d’obtenir de la croissance économique en plus, ce qui dégage de l’argent pour améliorer l’éducation, la santé, les transports, l’environnement, etc. et du temps pour s’intéresser à d’autres choses. Aux forêts de M. Jancovici, par exemple, lesquelles gagneront sans doute à être surveillées en permanence à distance par une IA reliée à des capteurs dédiés. J’imagine.
De plus, il n’est pas inutile de se rappeler que tous les grands changements technologiques au cours des siècles – le feu, l’écriture, l’imprimerie, la machine à vapeur, les antibiotiques et la révolution numérique – ont soulevé leur lot de questionnements et de craintes. L’impression que “c’était mieux avant”, l’inquiétude vis-à-vis de tout changement annoncé et l’adaptation lente et frileuse à toute nouvelle donne économique – on les a vues et on les voit encore se répliquer à toutes les époques en fonction des révolutions technologiques qui affectent durablement l’activité économique. Il n’y a dès lors aucune raison que l’IA échappe à cette prudence de nature quasiment anthropologique.
Mais il n’y a pas de raison non plus de rejeter toute évolution avant même qu’elle ait commencé, comme le fait Jean-Marc Jancovici dans une redoutable combinaison de mauvaise foi et d’idéologie. Les exemples cités plus haut sont là pour montrer que l’humanité a su accueillir le progrès technique tout en gardant la tête froide, tandis que les ratiocinations de M. Jancovici montrent que toute perspective de progrès humain, parce qu’elle implique une activité économique en croissance, désole les écologistes.
https://www.contrepoints.org/2025/05/22/480403-lia-est-elle-un-gadget-de-riches-comme-le-pense-jancovici
Jancovici n'est pas un homme, c'est un con.
Supprimer(...) réguler la démographie par la limitation autoritaire des naissances à l’échelle de la planète. Bonus spécial Jancovici : “ne pas mettre tout en œuvre pour faire survivre les personnes âgées malades”, âgées signifiant pour lui 65 ou 70 ans. (...)
L''ingénieur polytechnicien' se prend pour hitler ?
(...) elle [la forêt] occupait 8,9 millions d’hectares en 1840, soit environ 16 % de la France hexagonale et de la Corse, et qu’elle en totalise aujourd’hui (2023) 17,5 millions, soit 32 % (...)
La forêt ON S'EN FOUT ! Sa surface a doublé ce qui veut dire que les terres agricoles ont été réduites !
Donc, plus de 80 % de fruits & légumes en supermarchés sont importés !!
La politique misérable mise en œuvre en France vis-à-vis des moyens de chauffage déconseille les feux de bois !! Alors, le bois pour quoi faire ? Pour faire joli ? Notre oxygène est produit par la combustion magmatique (l'eau de mer contient 86 % d'oxygène). Mais on apprend pas çà en polytechnique ! On y apprend pas que lez gaz carbonique est un gaz FROID et non un gaz réchauffiste ! C'est le plus lourd de tous les gaz (1,8 gr./litre), il est au ras du sol et responsable des gelées. C'est un gaz froid qui disparaît, n'existe plus à une température supérieure à 30,9°C !
Après, il parle de LIA. LIA c'est quoi ? Un interrupteur électrique c'est lia ! Clic, clac ! clic, clac ! C'est intelligent çà s'allume ! c'est intelligent çà s'éteint !! Une calculette de poche c'est intelligent ! Çà sait faire des opérations ! Whoâw ! et aujourd'hui, ils lancent le programme à la con appelé LIA ! Intelligence qui n'existe pas ! (artificielle !).
Tout cela va se terminer dans l'autodestruction
RépondreSupprimerDominique Muselet
Mondialisation.ca
ven., 23 mai 2025 12:48 UTC
Nicolas Bonnal note dans un de ses derniers articles, L'occident et le démon des organisations, que les institutions supranationales ont été créées et sont utilisées par des puissants de ce monde pour dominer et exploiter les populations à leur profit. Il cite Marco Della Luna et Paolo Cioni qui écrivent dans Neuro-esclaves — techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse :
« Pour les organisations économiques, mais aussi de nos jours pour les organisations politiques et en règle générale pour les organisations religieuses, le désir de dominer les autres, de conquérir, de commander, de s'emparer, de soumettre, de manipuler, d'exploiter, à l'échelle mondiale, nationale, de l'entreprise ou de la famille, est une tendance objectivement inévitable qui est depuis toujours le principal moteur de l'histoire collective, voire individuelle. »
Deux choses rendent actuellement le pouvoir des élites occidentales bien plus absolu que celui de la monarchie absolue de l'Ancien régime, qui a toujours dû faire front à de puissants adversaires intérieurs et extérieurs, sauf peut-être sous Louis XIV qui, échaudé par l'expérience de la Fronde, a réussi à les contrôler, du moins dans la première partie de son long règne. Il s'agit, comme nous le savons tous, des progrès techniques et de l'affaiblissement physique, psychologique et spirituel des populations occidentales qui préfèrent désormais les pétitions aux barricades.
N'y a-t-il alors aucun espoir de retrouver notre liberté et notre prospérité, ni même d'en préserver les derniers restes ?
Eh bien, comme les populations ont accepté, avec la mondialisation, d'être gérés comme des troupeaux d'animaux par des milliardaires aussi cupides que cyniques, à travers donc l'UE, l'ONU, l'OTAN, l'OMC, l'OMS, le FMI, la Banque mondiale, le Vatican, etc., etc. et leurs relais nationaux, nous ne pouvons plus compter, à mon sens, pour nous débarrasser de nos oppresseurs, que sur deux facteurs, tous les deux hors de notre contrôle : l'émergence de conflits destructeurs entre ces élites qui les affaibliraient pendant que la perte de notre niveau de vie, de notre sécurité et de nos libertés réveillerait des populations appauvries.
Les plus riches du monde en 2025 selon le magazine Forbes
En lisant l'Histoire de France de Jacques Bainville, on se rend compte que la France aurait pu ne jamais exister et/ou disparaître à de nombreuses reprises, mais que, au cours des siècles, les Français se sont presque toujours battus contre l'oppression. Le livre est paru une dizaine années après la boucherie de la Grande Guerre (1914-1918) et il se termine par ce constat qu'on pourrait appliquer à notre époque en changeant simplement le mot guerre pour mondialisation :
« On peut remarquer que partout en Europe, dans les pays éprouvés par la guerre, les gouvernements ont perdu pied. Extrême est la confusion des idées. Pleins pouvoirs, dictature, ce sont des mots qui n'effraient plus ou des choses qui semblent naturelles, tandis que partout sont affichées les noms de République ou de démocratie. »
RépondreSupprimerMais pour Bainville, en 1924, rien n'était perdu, car l'histoire montre que la France s'était toujours relevée. Son livre se termine d'ailleurs sur ces mots :
« Après toutes ses convulsions, parfois plus violentes qu'ailleurs, elle ne tarde pas à renaître à l'ordre et à l'autorité dont elle a le goût naturel et l'instinct. Si l'on n'avait pas cette confiance, ce ne serait pas la peine d'avoir des enfants ».
Faut-il en conclure que c'est parce que les Français n'ont désormais plus confiance dans la capacité de redressement de la France, ni dans sa pérennité, qu'ils n'ont plus d'enfants ? Personnellement, je crois qu'il n'y a plus de nationalisme en France aujourd'hui, les gens se moquent d'être Français ou pas, ce qu'ils veulent, c'est une vie agréable et sereine. Peu leur importe sous quel régime ou quelle bannière. Je viens d'entendre sur BFMTV, la voix de son maître, Bruno Retailleau, l'impuissant et médiocre ministre de l'Intérieur et candidat à la présidence de la république, expliquer qu'« être Français, c'est aimer la France », un peu, sans doute, comme on aime le chocolat...
Mais le problème justement, c'est que la vie des populations occidentales est loin d'être agréable et sereine, dans des États où des élites, que les richesses et le pouvoir ont rendu folles, contrôlent les populations par la peur, la propagande, la privation, la dette.
Et donc j'en reviens à ce que je disais précédemment, notre seul espoir, c'est que les tyrans qui nous oppriment se déchirent entre eux. Et cela est justement en train de se produire.
Une partie du système se retourne contre l'autre
Philippe Grasset qui est un fin connaisseur des États-Unis, note, avec satisfaction, dans un article intitulé « Le Système contre le Système à 180° » que les États-Unis de Trump se sont retournés avec force contre le double standard de l'UE qui se débarrasse de ses opposants, le RN en France, Droit et Justice (PiS) en Pologne, ou l'AFD en Allemagne, et s'ingère dans les élections d'autres pays, comme en Roumanie et ailleurs :
« Le Grand Tournant des trumpistes-populistes, ce n'est pas tant le foutoir de l'Ukraine et autres joyeusetés, mais en réalité le développement de cette guerre civilisationnelle dont nous parlons souvent. S'il y a bien un domaine où l'administration Trump marche bien cela depuis le fameux discours de JD Vance à Munich en février, c'est l'attaque nouvelle, complètement renversée à 180° contre cette politique Système [système politique] des néoconservatrices, et cela, à l'aide de la "politique Système des néocons".
Bref, et sans grande originalité, la conversivité selon Sun Tzu : retourner contre lui la force de l'adversaire... »
Philippe Grasset, qui s'étonne au passage « de se retrouver pro-américain, en cet instant, applaudissant à la manipulation américaniste de l'espèce-UE de nos dirigeants », n'est pas aussi optimiste que Bainville. Pour lui : « Tout cela doit se terminer en autodestruction et il en sera ainsi ». Il est vrai que dans le cas de Bainville, l'autodestruction était déjà consommée et il ne restait plus qu'à se relever...
Il est difficile de savoir si les États-Unis vont vraiment se libérer de l'idéologie globaliste et son cortège de totems mortifères (wokisme, climatisme, LGBTisme, immigrationnisme, technicisme, transhumanisme, malthusianisme, etc.), comme elle semble le faire en ce moment, mais ce dont on peut être sûr, c'est que pour nous, en Europe, les choses vont empirer, car pour compenser sans doute la « trahison » de l'administration Trump, l'UE et les marionnettes despotiques portées par l'oligarchie à la tête de nos pays se dépêchent d'instaurer une dictature fascisante sur des États européens où tout est déjà largement verrouillé pour empêcher toute contestation.
RépondreSupprimerTout le monde le voit, sauf la petite bourgeoisie, de tout temps l'instrument inconscient du fascisme, comme le souligne Régis de Castelnau sur Vu du droit. Les lois liberticides et destructrices (15 vaccins pour les bébés, euthanasie pour tous, éoliennes partout) s'accumulent ; la censure est partout, comme vient de le dénoncer Pavel Durov, qui avait déjà été arrêté en France, en septembre 2024, pour le forcer à supprimer les voix dissidentes de Telegram ; un bellicisme dangereux tient lieu d'épine dorsale à des dirigeants téléguidés ; les impôts augmentent sans cesse pour les classes laborieuses et les milliardaires s'enrichissent à toute allure ; il n'y a plus de services publics ; les menaces et les interdictions pleuvent ; on baisse désormais la voix pour critiquer le gouvernement comme dans toutes les dictatures ; le chaos et la misère s'installent.
Que faire ?
Pour toutes les raisons que j'ai dites, il ne semble pas possible, pour le moment, de renverser les maîtres absolus et sans scrupules qui ont décidé de tout détruire, y compris nous, pour instaurer leur totalitarisme réinventé, comme Macron l'a lui-même avoué en avril 2023, à propos de l'hôpital : « C'est plus dur de le réinventer quand tout n'a pas été détruit ».
Il ne reste plus, dans ce contexte délétère et hostile, qu'à protéger, le mieux possible, notre vie, nos moyens de subsistance et notre santé physique et mentale.
Beaucoup de monde y réfléchit et certains ont déjà commencé à le faire depuis longtemps en construisant des bunkers contre les bombes atomiques ou autres catastrophes, en apprenant à survivre dans la nature et à se défendre, comme les survivalistes, en créant des communautés où on réapprend la solidarité, le partage, le respect de soi-même, de la vie et des autres.
Attention Spoiler
RépondreSupprimerUn excellent film étasunien de Jeff Nichols, « Take shelter », est sorti en 2011. Curtis, le héros du film, est certain que les éléments vont bientôt se déchaîner et décide de construire un abri souterrain. On peut penser, au début, avoir affaire à un énième film de propagande sur le climat, mais on comprend vite qu'il n'en est rien. Au contraire, le fait que la peur des changements climatiques, une des nombreuses menaces inventées pour servir des intérêts économiques et faire tenir tranquille les populations, soit extrêmement forte et répandue, accentue le côté dramatique du film. On est en effet surpris que, malgré la puissance de l'idéologie climatique, Curtis se retrouve seul contre tous quand il décide de construire un abri anti-cyclone. Tout le monde le croit fou, obsédé, sa femme y compris. Malgré cela, il s'entête et refuse même de s'éloigner de son abri. Hélas, sa femme finit par le convaincre de partir avec elle et leur fille au bord de la mer, et là, arrive ce qu'il avait prévu : ils sont engloutis par un tsunami.
À mon avis, le film cherche à nous dire plusieurs choses. La première est qu'on a beau se préparer au maximum, le danger vient rarement de là où on pensait. La seconde est que dans les périodes de danger, il faut se resserrer sur un petit groupe de proches et d'amis qui partagent notre vision des choses. La troisième, c'est que sans force intérieure, on ne résistera pas aux pressions exercées par la société, ni à fortiori aux épreuves. La quatrième, c'est que si on ne peut pas compter les uns sur les autres, si on n'est pas solidaires, on n'a aucune chance de survivre.
On peut tirer les mêmes enseignements de l'opération Covid, qui a sans doute été lancée dans le but d'imposer un gouvernement mondial à des populations déstabilisées par la peur d'une soi-disant pandémie soi-disant mortelle, alimentée par tout un ensemble de mesures démentes et contradictoires prises soi-disant pour nous protéger.
Les Gaulois, réfractaires, comme dit Macron, à la dangereuse injection, se sont souvent retrouvés seuls comme Curtis, et ont été traités de fous et de complotistes, le terme à la mode pour discréditer tout opposant à la Caste. Comme Curtis, beaucoup ont cédé aux pressions de l'État et de l'entourage.
Mais ceux qui ont pris l'habitude de penser et de s'informer par eux-mêmes, ceux qui se connaissent eux-mêmes et connaissent leur environnement, ceux qui ont développé une relation assez forte avec eux-mêmes et la nature pour supporter la solitude et l'opprobre sans céder à la haine, ceux qui savent que les autorités occidentales actuelles sont loin de nous vouloir du bien, ceux qui se rendent compte de la corruption incroyable qui touche la soi-disant science et tous les secteurs de la société, ceux qui se sont forgés des convictions et qui ont développé une bonne capacité de résistance et une grande force d'âme, ceux-là ne se sont jamais laissé injecter le poison lucratif, la marque des esclaves.
RépondreSupprimerEh bien, ce sont ceux-là, et ceux qui suivent leur exemple, qui ont des chances de survivre et d'aider d'autres à survivre au désastre provoqué par des élites autodestructrices, prêtes à tous les crimes pour se maintenir au pouvoir. Elles entraînent le monde occidental dans une nouvelle ère de ténèbres comme dit Chris Hedge, symbolisée, à mes yeux comme aux siens, par le soutien de l'Occident au génocide israélien des Palestiniens, pendant que le reste du monde retrouve la souveraineté, la stabilité et la prospérité sous la houlette des BRICS.
https://fr.sott.net/article/44342-Tout-cela-va-se-terminer-dans-l-autodestruction
Au monde la dictature a commencé par les armes et l'invention des religions. Les criminels ce sont appelés empereurs, rois ou présidents et ont partagé leur temps entre les guerres, les viols, la pédophilie. Rares sont nos ancêtres qui ont pu survivre à cette ignominie, cette deshumanité et cette absence d'éducation. Les consanguins terrorisaient les Peuples entre l'hier, l'avant-hier et l'aujourd'hui. Car le présent n'est construit que de dictatures (sauf un seul pays au monde où il y a la Démocratie, ce pays c'est la Suisse).
SupprimerNul ne peut s'emparer de l'intelligence des autres. 8 milliards de personnes ont un cerveau différent. Chacun a son idée, son devenir, son savoir. Alors, les criminels au pouvoir ont lancé leur programme: LIA ! ou l'intelligence qui n'existe pas car elle est artificielle ! Mais elle ne peut faire mieux qu'un ministre ou chef d’État puisque le programme est conçu par un con ! Un con pour les cons.
Aujourd’hui : interdiction du liquide. Demain : interdiction d’achat d’un billet de train “non essentiel” ?De viande ? D’alcool ? D’un livre “complotiste” ?
RépondreSupprimerle 22 Mai 2025
par pgibertie
🔴 NON, INTERDIRE L’ARGENT LIQUIDE N’ARRÊTERA PAS LA DROGUE.
Gérald Darmanin prétend que supprimer le cash va lutter contre les trafics. Faux. Et dangereux.
📌 1. Le trafic ne repose pas que sur le liquide.
Les réseaux criminels s’adaptent vite. Cartes prépayées, cryptomonnaies, blanchiment à l’international : la drogue n’a pas attendu les billets pour circuler. Supprimer le cash ne fera que pousser les trafiquants à des circuits plus opaques encore.
📌 2. Ce sont les citoyens ordinaires qu’on va fliquer.
Ce projet vise surtout à mettre chaque euro sous surveillance. Fini les achats privés, les dons entre proches, les économies personnelles : tout deviendra traçable, vérifiable, bloquable.
📌 3. Une société sans cash = une société sans liberté.
Plus de billets = vous ne possédez plus vraiment votre argent.
Votre banque pourra refuser un paiement. L’État pourra bloquer votre compte. Une erreur administrative, une suspicion, et vous êtes à sec.
📌 4. C’est le rêve humide des technocrates.
Avec la fin du liquide et l’identité numérique, chaque transaction sera une donnée exploitée.
C’est la fin de l’anonymat. Et le début d’un crédit social à la chinoise.
📌 5. Et ensuite ? Les paiements conditionnés ?
Aujourd’hui : interdiction du liquide.
Demain : interdiction d’achat d’un billet de train “non essentiel” ?
De viande ? D’alcool ? D’un livre “complotiste” ?
🛑 Le cash, ce n’est pas un problème.
C’est une bouée de liberté.
✅ C’est ce qui vous permet d’échapper au tout-numérique.
✅ C’est ce qui garantit une autonomie minimale en cas de bug, de panne, de censure.
📢 Supprimer le liquide, c’est supprimer votre dernier espace de vie privée.
Ne vous laissez pas berner par “la drogue” : le vrai client visé, c’est vous
https://pgibertie.com/2025/05/22/aujourdhui-interdiction-du-liquide-demain-interdiction-dachat-dun-billet-de-train-non-essentiel-de-viande-dalcool-dun-livre/
Passer de l'argent à la pelle (cause aux fabrications de tout multipliées par 100) à l'argent électrique - pour quoi ? Parce que avec l'argent électrique... Pchitt ! "Votre compte est vidé ! Votre compte est vidé ! Votre compte est vidé ! Votre..."
Supprimer"Vous n'aurez RIEN et serez heureux !"
Et si c'était vrai ? Si demain l'argent électrique était unique ? "Vous n'aurez RIEN et serez heureux !"
Alors, là, que ferez-vous ? Demain c'est... dans 24 heures ! "Vous n'aurez RIEN et serez heureux !" 24 h !
Quels sont les prénoms de bébé les plus populaires aux États-Unis ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 MAI 2025 - 5H00
Olivia, Emma et Amelia sont les trois prénoms de bébé les plus populaires pour les filles aux États-Unis, tandis que pour les garçons, Liam, Noah et Oliver sont les préférés des parents.
C'est ce qu'indique la liste annuelle des prénoms de bébé les plus populaires aux États-Unis établie par l'Administration de la Sécurité Sociale des États-Unis.
Selon l'institution, Anna Fleck de Statista indique que cette liste, publiée plus tôt ce mois-ci, est basée sur les demandes de cartes de Sécurité Sociale, déposées au moment de la naissance.
Olivia et Liam occupent les premières places depuis six années consécutives. La troisième place présente une légère variation depuis 2015, avec l'apparition d'Amelia, Charlotte, Ava et Sophia pour les filles, ainsi que de William et Mason pour les garçons.
- voir cadre sur site -
Infographie : Quels sont les prénoms de bébé les plus populaires aux États-Unis ? | Statista
Vous trouverez plus d’infographies sur Statista.
L’année dernière, les autres prénoms féminins figurant dans le top 10 étaient Charlotte, Mia, Sophia, Isabella, Evlyn et Ava. Chez les garçons, ce sont James, Genry, Mateo, Elijah, Lucas et William qui ont été les plus populaires.
En 2024, les prénoms ayant connu la plus forte évolution de popularité ont été Truce pour les garçons, qui est passé de la 12 109e place en 2023 à la 991e en 2024, et Ailany pour les filles, qui est passée de la 855e à la 101e place.
Truce est un prénom vieil-anglais signifiant « paix », tandis qu’Ailany serait dérivé du prénom hawaïen Ailani, qui signifie « chef ».
Au total, 3,61 millions de bébés sont nés aux États-Unis en 2024, contre 3,59 millions en 2023.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/what-are-most-popular-baby-names-us
L'USDA va restaurer les pages supprimées sur le climat suite à une action en justice de groupes de défense de l'environnement
RépondreSupprimer15 Mai 2025
AGDAILY Reporters*
Le département américain de l'Agriculture a fait marche arrière et accepté de restaurer le contenu relatif au climat, à la conservation et aux outils d'aide à l'agriculture qui avait été supprimé de ses sites web publics. De nombreuses personnes ont fait valoir que cette purge d'informations avait porté préjudice aux communautés à travers le pays en privant les agriculteurs et les chercheurs des ressources dont ils ont besoin pour prendre des décisions urgentes et participer à des débats très importants sur le financement et les politiques de l'USDA en matière de changement climatique.
Ce revirement intervient à la suite d'une action en justice intentée par les organisations de défense des droits Earthjustice et Knight First Amendment Institute, dans laquelle elles alléguaient que l'USDA avait illégalement supprimé des documents qui aidaient les agriculteurs à accéder aux programmes de conservation, à se préparer à l'évolution des conditions météorologiques et à s'orienter dans les options de soutien fédéral. De nombreuses ressources étaient liées à des programmes de longue date du Service de Conservation des Ressources Naturelles et du Service Forestier des États-Unis, notamment des outils interactifs et des guides de planification.
L'effort de suppression est intervenu peu après l'entrée en fonction du président Donald Trump en janvier, lorsque des courriels internes obtenus par ABC News ont montré que les gestionnaires de sites web de l'USDA avaient reçu l'ordre de classer et de dépublier les pages faisant référence au changement climatique. Les sites ont été triés en fonction de l'importance qu'ils accordaient au sujet, les pages de « niveau 1 » – celles entièrement axées sur le climat – étant ciblées de la manière la plus agressive par l'administration. Les autres pages ont été classées dans les catégories 2 et 3.
Il n'a pas fallu longtemps pour que des sections entières soient supprimées des sites web du NRCS et de l'USFS, ainsi que des outils tels que le Climate Risk Viewer – un portail interactif comprenant plus de 140 couches de données conçues pour aider les utilisateurs à évaluer les risques et les tendances en matière d'environnement.
L'USDA a pris sa décision lundi soir, quelques jours avant qu'une demande d'injonction ne soit entendue par un tribunal fédéral. Les groupes impliqués dans le litige, notamment la Northeast Organic Farming Association of New York, le Natural Resources Defense Council et l'Environmental Working Group, n'ont pas tardé à crier victoire.
« Le rétablissement de ces pages web et de ces outils marque une victoire importante pour le climat, l'environnement et les agriculteurs », a déclaré Mme Anne Schechinger, directrice pour le Midwest de l'Environmental Working Group. « Le revirement de l'administration Trump en réponse à cette action juridique souligne l'importance cruciale des défenseurs de l'intérêt public qui se lèvent au nom de la transparence et de la responsabilité gouvernementale. »
Bien que l'agriculture représente environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis – ce qui en fait le plus petit contributeur parmi les cinq principaux secteurs de l'Agence de Protection de l'Environnement – les producteurs ruraux se retrouvent de plus en plus au centre des débats sur la politique climatique. Face à la volatilité croissante des conditions météorologiques, qu'il s'agisse d'inondations, d'incendies de forêt ou de sécheresses prolongées, les agriculteurs, quel que soit leur bord politique, réclament un soutien fondé sur la science, et non un théâtre politique.
RépondreSupprimerL'USDA a déposé une notification auprès d'un tribunal fédéral indiquant qu'elle se conformera à l'avenir aux lois fédérales en matière de transparence. L'agence s'attend à ce que le processus de restauration soit en grande partie achevé d'ici deux semaines.
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* Source : USDA to restore deleted climate pages after environmental lawsuit
https://seppi.over-blog.com/2025/05/l-usda-va-restaurer-les-pages-supprimees-sur-le-climat-suite-a-une-action-en-justice-de-groupes-de-defense-de-l-environnement.html
Il est vrai qu'en Démocratie (La Suisse est le sel pays au monde à être en Démocratie) c'est la majorité qui gagne. Or, en 2020/2021 76 % aurait été inoculée du virus 'cocovide19'. Donc, faut-il s'en remettre à la majorité de cons sans savoir scientifiques ? Les scientifiques du monde ne représentent qu'une très faible minorité et est de fait censurée.
SupprimerLe savoir scientifique n'est pas politique ou journalistique mais, à son Corps défendant est un organisme au-dessus de tous les cerveaux du monde. (Le maître est minoritaire face aux élèves d'une classe).
On ne fait pas la science, on la découvre.
Le rapport « Make America Healthy Again » dresse un bilan cinglant des pesticides agricoles
RépondreSupprimer24 Mai 2025
Contributeurs d'AGDAILY*
Ma note : Un « rapport » de 68 pages établi en quelque 90 jours sur un vaste sujet de santé publique par une « commission » sans compétences particulières sur le sujet, succombant aux délires de Robert F. Kennedy Jr, susceptible de produire des dégâts considérables sur la société états-unienne, voire mondiale.
Le secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux, Robert F. Kennedy Jr, a publié jeudi le premier rapport de sa commission « Make America Healthy Again » (rendre la santé à l'Amérique), tenant ainsi sa promesse d'adopter une ligne dure à l'égard des produits phytosanitaires. L'industrie agricole a réagi en déclarant que les conséquences d'une limitation de l'accès aux produits phytosanitaires scientifiquement reconnus seraient « graves » pour les agriculteurs.
Le document de 68 pages de M. Kennedy, sous-titré « Rendre la santé à nos enfants », pointe du doigt les produits chimiques présents dans l'environnement, notamment les pesticides largement utilisés dans les exploitations agricoles et dans les habitations, comme facteurs potentiels de maladies chroniques chez les enfants. Alors que la commission insiste sur le fait que le rapport vise à promouvoir la santé publique, ses détracteurs estiment qu'il s'agit plutôt d'un réquisitoire contre l'agriculture moderne, motivé par des considérations politiques.
Le rapport, qui coïncide avec le lancement du MAHA Institute, associe des recommandations générales en matière de nutrition et de santé à des affirmations controversées ciblant des outils tels que le glyphosate et l'atrazine. Ces herbicides, essentiels à la production de maïs et de soja, ont fait l'objet de décennies de tests de sécurité et d'un examen réglementaire par l'Agence de Protection de l'Environnement.
Malgré son ton pressant et ses conclusions radicales, le rapport MAHA s'appuie largement sur de nombreuses études obsolètes ou tangentes pour étayer ses affirmations, en particulier celles relatives à l'agriculture et aux pesticides. Par exemple, à la page 38, il cite une étude de 1982 sur les résidus d'insecticides dans le lait maternel, en dépit du fait que la plupart des produits chimiques mentionnés ont été interdits ou strictement réglementés au cours des quatre dernières décennies.
D'une manière plus générale, le rapport suggère à plusieurs reprises que l'exposition à des traces de produits chimiques agricoles est un facteur déterminant de l'augmentation des taux de maladies chroniques chez les enfants, mais il s'appuie sur des données corrélatives et des conclusions vieilles de plusieurs décennies, tout en ignorant largement les évaluations approfondies et permanentes menées par l'EPA et d'autres autorités de santé publique. Par exemple, la quasi-totalité des organismes scientifiques et des recherches associées ont affirmé l'innocuité du glyphosate.
Sans accès aux pesticides approuvés par l'EPA, on pense que des pertes de récoltes importantes menaceraient les moyens de subsistance des exploitations agricoles familiales et conduiraient à une augmentation des prix des produits alimentaires et à une diminution des options d'alimentation saine pour les familles – tout le contraire de ce que la commission MAHA cherche à réaliser.
La National Corn Growers Association a réagi en critiquant vivement M. Kennedy et le rapport : « Le rapport "Make America Healthy Again" est truffé d'informations erronées sur les pesticides, fondées sur la peur plutôt que sur la science. […] Des décennies de recherches et de tests approfondis montrent que les pesticides, y compris l'atrazine et le glyphosate, peuvent être utilisés en toute sécurité pour les usages prévus. »
RépondreSupprimerBien que la commission MAHA affirme que son objectif est de donner la priorité à la prévention et au bien-être, elle jette fréquemment le doute sur des données scientifiques établies de longue date et sur la surveillance fédérale existante. L'une des principales tensions réside dans le fait que le rapport semble rejeter les évaluations réalisées par des organismes de réglementation spécialisés tels que l'EPA et le département américain de l'Agriculture, ce qui, selon les associations agricoles, pourrait saper la confiance dans l'approvisionnement alimentaire du pays et menacer les moyens de subsistance dans les zones rurales. (La secrétaire à l'Agriculture, Brooke Rollins, était l'un des 14 membres de la commission).
La commission met en garde contre une « charge cumulative » de produits chimiques de synthèse dans le corps des enfants, citant des préoccupations allant des microplastiques aux résidus de pesticides. Pourtant, plusieurs des études citées datent de plusieurs dizaines d'années ou proviennent de sources connues pour leurs liens avec des litiges – y compris le travail juridique passé de M. Kennedy contre les fabricants de glyphosate, qui a conduit à des règlements de plusieurs milliard de dollars en dépit d'un soutien scientifique incohérent.
« Les agriculteurs américains dépendent de ces produits, et les actions qui réglementent ou restreignent davantage les outils de protection des cultures au-delà des processus scientifiques et fondés sur les risques établis par le Congrès doivent impliquer une réflexion approfondie sur ce qui est nécessaire pour une protection adéquate, sur les alternatives et sur les coûts de production », peut-on lire dans le rapport.
Des membres de l'administration ont reconnu que la manière dont le rapport a été élaboré en un peu plus de 90 jours suscitait des inquiétudes, certains fonctionnaires ayant averti en privé qu'il pourrait aliéner les agriculteurs – un bloc de vote crucial pour le président Trump. Mme Rollins a minimisé le cadrage anti-agriculture et a mis l'accent sur les prochaines mises à jour des directives diététiques comme un débouché plus constructif pour la politique de santé.
« Il ne s'agit en aucun cas d'une attaque contre les agriculteurs ou l'industrie américaine », a déclaré aujourd'hui à Axios M. Jay Bhattacharya, directeur de l'Institut National de la Santé et membre de la commission. « Il s'agit d'un engagement à obtenir d'excellentes réponses, une excellente science, afin que nous puissions permettre aux gens de faire ce qu'il faut. »
Pourtant, une série de déclarations de groupes agricoles contrecarre la naïveté de M. Bhattacharya en la matière.
« Les outils de protection des cultures qui ont été enregistrés par l'EPA sont passés par le processus le plus rigoureux, le plus scientifique et le plus protecteur pour la santé au monde », a déclaré M. Roger Isom, président et directeur général de la California Cotton Ginners & Growers Association (Association californienne des producteurs de coton). « Ils ont été analysés pour s'assurer qu'ils n'ont aucun impact sur les humains, les travailleurs, les plantes, les animaux, la qualité de l'air et les eaux souterraines. Les taux d'application ont été limités et des zones tampons ont été mises en place pour garantir l'application la plus sûre possible, et lorsque les problèmes de sécurité n'ont pas pu être résolus, ces produits chimiques ne sont pas homologués pour être utilisés aux États-Unis. L'agriculture américaine dispose déjà de beaucoup moins d'outils que le reste du monde, et nous ne pouvons pas nous permettre d'en perdre davantage tout en continuant à produire les meilleurs aliments et les meilleures fibres du monde. »
RépondreSupprimer« Nous ne pouvons pas rendre l'Amérique saine à nouveau en mettant les agriculteurs du Montana en faillite », a ajouté l'Association des Entreprises Agricoles du Montana. « Le rapport de la commission MAHA jette le doute sur des outils de protection des cultures essentiels sur lesquels nos producteurs comptent depuis des décennies et qui se sont toujours avérés sûrs. L'Amérique ne peut pas être victime du même genre de science de pacotille que celui qui a perturbé l'agriculture et la sécurité alimentaire dans d'autres pays.
« Si le rapport de la commission MAHA conduit à des décisions politiques futures qui finissent par restreindre l'accès des agriculteurs à ces outils essentiels, les conséquences pour l'agriculture américaine seraient graves », a déclaré la Modern Ag Alliance.
Le rapport contient des affirmations générales et semble manquer de nuance, ce qui alimente les arguments selon lesquels le document relève davantage de la posture politique que de la science. Il établit un lien entre les aliments ultra-transformés et l'exposition aux produits chimiques, d'une part, et l'obésité, les troubles du comportement, les maladies auto-immunes et même le cancer, d'autre part, tout en mettant en doute l'intégrité des recherches scientifiques soutenues par les entreprises agroalimentaires et chimiques.
Toutes les réactions au rapport n'ont pas été critiques. Farm Action, un groupe anti-OGM connu pour défendre l'idée que les programmes agricoles fédéraux devraient être axés sur les cultures spécialisées, a félicité la commission.
« Ce rapport répond à nos espoirs lorsque nous avons soutenu la candidature de Robert F. Kennedy Jr au poste de secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux, car nous pensions qu'il pourrait avoir une grande influence sur la réforme de notre système alimentaire et agricole au profit des agriculteurs et de tous les autres », a écrit Mme Angela Huffman, présidente de l'association Farm Action. « En jetant un regard critique sur les effets dangereux de la consolidation du système alimentaire et en examinant la façon dont les agriculteurs sont pressurés, le rapport souligne à juste titre que les politiques fédérales et nationales ont souvent été guidées davantage par les profits des entreprises que par l'intérêt public. Il met également en évidence la façon dont les programmes gouvernementaux, tels que l'assurance récolte et les subventions, donnent la priorité aux cultures de produits de base et négligent les producteurs d'aliments nutritifs ».
RépondreSupprimerLe rapport s'aligne également sur le scepticisme de M. Kennedy à l'égard des vaccins, en mettant en doute le programme actuel de vaccination des enfants et en appelant à des essais plus rigoureux, malgré les nombreuses preuves de leur innocuité.
Il présente la recherche sur l'exposition aux produits chimiques et les maladies chroniques comme étant plus qu'un problème de santé publique, mais comme un avantage stratégique pour les États-Unis. M. Kennedy affirme que la compréhension des liens potentiels entre l'exposition aux produits chimiques et les maladies chroniques « ne peut se faire par le biais d'un système réglementaire européen qui étouffe la croissance », mais doit au contraire s'appuyer sur des travaux scientifiques menés par le gouvernement fédéral et « en libérant l'innovation dans le secteur privé ».
M. Kennedy, qui critique depuis longtemps les OGM et les pesticides, a défendu le rapport en déclarant : « Nous voulons d'excellentes réponses, une excellente science », mais les dirigeants agricoles affirment que c'est précisément ce que le document ne contient pas. Au contraire, ils craignent qu'il ne sème la méfiance à l'égard d'outils agricoles éprouvés et qu'il ne menace la productivité des cultures à un moment où les agriculteurs américains sont déjà confrontés à l'incertitude économique et à la concurrence mondiale.
La commission MAHA dispose à présent d'environ 80 jours pour élaborer une stratégie de suivi – une démarche que les organisations agricoles et alimentaires suivront de près.
« Nous demandons à l'administration de respecter le corpus scientifique existant sur les pesticides », a déclaré la NCGA, « et d'inclure les agriculteurs américains dans les discussions au fur et à mesure de l'évolution de ce processus ».
__________
* Source : MAHA Report gives scathing assessment of farm pesticides | AGDAILY
Ma note : À première vue aucun scientifique ou personne compétente sur les sujets traités.
https://seppi.over-blog.com/2025/05/le-rapport-make-america-healthy-again-dresse-un-bilan-cinglant-des-pesticides-agricoles.html
*
(...) Sans accès aux pesticides approuvés par l'EPA, on pense que des pertes de récoltes importantes menaceraient les moyens de subsistance des exploitations agricoles familiales et conduiraient à une augmentation des prix des produits alimentaires et à une diminution des options d'alimentation saine pour les familles – tout le contraire de ce que la commission MAHA cherche à réaliser. (...)
Comme pour le bio l'absence de médicaments pour lutter contre les maladies des plantes et les insectes ravageurs se traduit naturellement par une absence d'agriculture c'est-à-dire LA famine dans le monde entier.
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