L'IA sera-t-elle notre futur gouvernement ?

 


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55 commentaires:

  1. [Patrick Wood :] Oui. Mais ce ne sont que ceux de Starlink. Il y en a d'autres ! Jeff Bezos souhaite également avoir un réseau comme celui d'Elon Musk, mais ce dernier l'a devancé. Sur ce point, Musk a une longueur d'avance sur lui. Musk a maintenant 25 000 satellites, et d'autres sont prévus. Il semble qu'il peut les lancer à volonté grâce au succès de ses fusées. Et il a essentiellement créé un réseau extra-terrestre suffisant pour toutes les connexions sans fil depuis l'espace, pour les communications à grande vitesse vers le haut et vers le bas. De sorte que si le réseau terrestre - toutes les fibres optiques et les lignes de cuivre et quoi que ce soit, WIFI, etc. que nous avons ici-bas - était en quelque sorte effacé et n'avait jamais existé, Elon Musk aurait un réseau prêt à relier le monde entier à ce moment-là avec son Starlink privé. Imaginez un instant le pouvoir qui serait entre les mains d'une seule personne qui aurait la capacité de faire une telle chose ! C'est incroyable, absolument sans précédent ! Et je pense que c'est dangereux. Il est absolument dangereux de penser qu'on puisse confier cette quantité de pouvoir à ce type, à cette personne. Il a déjà dit qu'il voulait au fond créer une technocratie pour le monde entier. Je pense à cette vieille chanson : il tient le monde entier dans sa main, vous savez ! Et Il tient vraiment le monde entre ses mains pour faire ce qu'Il veut ! Mais, c'est juste une chose ! Savez-vous qu'en gros, il a aussi repris la NASA ? La NASA a été privatisée au profit d'Elon Musk.

    [Interviewer :] Vous savez, pour revenir à ce que nous avons dit sur Trump qui supprime la supervision de la nouvelle IA avant qu'elle n'arrive sur le marché et l'idée du marché libre par rapport au contrôle gouvernemental. Je pense à ces gens. Et on les voit sur Twitter, des "anti-futuristes" rebelles qui partent à l'assaut d'un pylône de téléphonie mobile. Vous savez, "pas de wifi dans mon quartier", et c'est très bien. Mais ce que vous venez de dire, c'est qu'il n'y a aucun moyen... Qu'allez-vous faire contre le satellite qui sait tout le temps où vous êtes, n'est-ce pas ? Peu importe le nombre de tours qui tombent en panne.

    [Patrick Wood :] Exactement, exactement.

    [Interviewer :] Ce qui me fait dire que nous ne pouvons pas tous être des habitants du Montana épris de liberté, vivant dehors dans la prairie - et chargeant et déchargeant leurs fusils quand il le faut. Parce que vous ne pourrez pas abattre le satellite ! Nous devons donc prendre les rênes du gouvernement et travailler à nouveau pour le peuple. C'est la seule solution ! Si nous devons un jour abattre ces "choses", il faudra une opération de grande envergure.

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  2. [Patrick Wood :] C'est vraiment le cas. Et je vous dis que le gouvernement - il ne le sait pas encore - mais le gouvernement est dans une lutte acharnée avec le mouvement technocratique ; avec la technocratie, partout dans le monde, pas seulement ici. Nous n'avons donc qu'une seule chance ici. C'est une lutte à mort qui se déroule actuellement. Soit les technocrates gagneront, soit ce sera les politiciens. Si jamais ils avaient vent que leurs emplois sont tous en jeu, ils s'opposeraient à toute cette affaire. Certains le font même ! Il est intéressant de voir que la gauche comprend tout à coup ce qui se passe ici. Mais nous avons besoin de tous ; nous avons besoin de la gauche et de la droite du même côté, au nom de Dieu ! Car ils sacrifieront et licencieront tout le monde dès qu'ils le pourront. Et nous resterons avec cette machine technocratique qui contrôlera toute la société.

    Que faut-il faire pour que nos politiciens se réveillent et adhèrent au programme ? Peut-être si les gens les y poussent ? Mais à l'heure actuelle, il n'y a pas assez de résistance dans notre pays. Celle-ci pourrait effectivement mettre sur pied une telle contre-manifestation afin de poser cette exigence à nos politiciens et de l'imposer : Battez-vous pour votre vie ! Battez-vous aussi pour nos vies ! Vous savez, si vous ne le faites pas, un jour vous vous réveillerez et vous changerez. Voilà où nous en sommes.

    [Interviewer :] Bon, vous nous avez parlé de Sam Altman. Eh bien, les trois hommes - peut-être y en avait-il plus - qui sont venus annoncer le projet Stargate étaient Larry Ellison, Masayoshi Son et Sam Altman, en plus de Trump. Avez-vous quelque chose à nous dire sur Ellison et Masayoshi Son ?

    [Patrick Wood :] Oui. Il y a beaucoup de choses à dire. Sam Altman était là, bien sûr. Je pense que l'homme qui a volé la vedette était avant tout Larry Ellison. Il a passé plus de temps sur le podium que n'importe qui d'autre. Et il a parlé au nom d'Oracle [Oracle Corporation est un fabricant américain de logiciels et de matériel informatique dont le siège se trouve à Austin, Texas. L'entreprise est spécialisée dans le développement et la commercialisation de matériel et de logiciels informatiques pour les clients professionnels - notamment le système de base de données Oracle Database.], la plus grande entreprise de bases de données au monde. Et Ellison est un technocrate absolu, avec une attitude qui consiste à vouloir tout contrôler - même l'atmosphère, l'air qu'on respire. Ce type veut tout contrôler ! Oui, ma foi, au fil des années, il a dit des choses à faire dresser les cheveux sur la tête ! Mais il s'est quand même levé et a plaidé pour l'IA, pour qu'elle puisse non seulement guérir le cancer - tout cela dans le futur, d'ailleurs. Mais que nous serons également en mesure de détecter le cancer dans votre sang. Si vous laissez passer cela, si vous nous donnez vraiment toutes les rênes pour que nous puissions vraiment vendre l'IA - alors nous pouvons regarder votre sang ; l'IA peut regarder votre sang et dire si vous aurez un jour un cancer dans votre vie et quel type de cancer vous aurez.

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  3. [Interviewer :] Oui ! Je ne sais pas ce qu'il en est de vos connaissances techniques. Mais qu'en est-il de l'idée que le vaccin Covid apporte des nanoparticules métalliques dans notre sang. Et que nous recevons aussi toutes sortes de déchets métalliques qui viennent de la pulvérisation depuis le ciel etc. Et qu'il est possible que les antennes 5G activent ces choses en nous et qu'elles puissent être utilisées comme armes. Avez-vous des idées à ce sujet ?

    [Patrick Wood :] Eh bien, en fait, oui. L'automne dernier, j'ai organisé un symposium international intitulé Omniwar - avec un universitaire d'Angleterre, une autre d'Australie et un autre du Japon. Je représentais notre milieu ici en Amérique, et nous avons discuté de tous ces sujets en rapport avec Omniwar. Cela signifie qu'au fond, une guerre est menée contre chaque domaine humain, y compris nos corps. Cela a été abordé dans deux de nos présentations. Nous l'avons traité de manière très détaillée. Et oui, dans certaines parties, il y avait certainement quelque chose qui s'assemblait tout seul - des nanorobots.

    Personnellement, je suis arrivé à la conclusion que les tests - qu'ils voulaient faire - n'étaient que la première étape de tests. Nous en verrons d'autres à l'avenir, mais il s'agissait de la première phase. Nous observons également deux charges utiles distinctes dans le vaccin. L'une est purement liée à la santé et affecte le système immunitaire et le cerveau, les organes du corps, etc.
    Cela a été entièrement documenté à présent. Mais les gens refusent toujours de voir ce qu'il en est de l'autre charge utile : Ces structures auto-organisées qu'on trouve encore aujourd'hui dans le sang. Eh bien, personne n'a vraiment réussi à percer la conception de tout ça, car nous ne pouvons pas parler au concepteur. À un moment donné, quelque chose va filtrer et nous allons découvrir ce qu'ils ont conçu exactement. Mais c'est certain que c'est lié à l'armée. Il est clair que la DARPA et d'autres organisations militaires ont été impliquées d'une manière ou d'une autre. Nous savons que l''opération Warp Speed' était une opération militaire visant à distribuer cela à la population - chez nous et dans d'autres pays du monde. Nous voyons donc l'influence militaire de toute cette affaire.

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  4. Mais il y a eu beaucoup de spéculations, surtout de la part de psychologues. Donc pas de recherche scientifique sérieuse. Il y a eu beaucoup de spéculations qu'il faut un peu rejeter - en tout cas, c'est ce que je fais. Par exemple, l'idée que la 5G va tous nous tuer. Eh bien, cela n'a pas vraiment évolué au cours des cinq ou six dernières années. Et il est probable que cela n'arrivera pas non plus comme ça. Mais il y a d'autres rumeurs qui circulent. Et il est compréhensible que les gens s'inquiètent. Ils ont peur. Vous pensez : Que fait le gouvernement ? Qui sont les gens qui sont derrière tout ça ? Est-ce seulement la grande industrie pharmaceutique ? Est-ce l'armée ? Qui nous fait tout ça ? Eh bien, ils devraient être inquiets ! Ils devraient être inquiets. Mais je pense que nous en savons maintenant assez pour éclairer un peu la situation. Oui, il y avait quelque chose dans les vaccins - pas dans tous, mais dans certains. C'est d'ailleurs typique d'un "test A-B", qui est normalement effectué lors de toute expérience scientifique. Par exemple, on peut voir qu'un lot de vaccins n'a eu aucun effet, mais qu'un autre lot en a eu un. Et un autre lot a eu d'autres effets sur un autre groupe de personnes. Mais ils ont réussi, et c'est le plus important ! Ils ont réussi à vacciner plus de 72 % de la population mondiale. Cela vous dit qu'il y a quelqu'un d'autre au sommet. Il ne s'agissait pas de l'Amérique. Il s'agissait du monde entier ! Et les pays qui n'ont pas atteint ce taux de vaccination ne s'en sont pas mal sortis ! Certains pays africains et sud-américains s'en sont bien sortis. Et les gens qui ont accepté de le faire ? Combien de milliards de personnes il y a sur notre planète ? Plus de sept milliards, c'est ça ? Cela signifie que 72 % d'entre eux ont reçu un ou plusieurs vaccins. C'est tout simplement incroyable ! Rien que cela devrait tirer la sonnette d'alarme partout ! Que s'est-il passé pour qu'on puisse administrer ce vaccin au monde entier ? Ce sont les vaccins qui modifient fondamentalement le fonctionnement de l'organisme. Qui pourrait le faire, si ce n'est peut-être un transhumaniste ou un groupe de personnes qui veulent changer la nature de l'humanité ? Peut-être l'humanité 2.0 dont parle Klaus Schwab au Forum économique mondial ? Et, vous savez, Harari dit que la technologie va maintenant sous la peau et ne fait essentiellement qu'un avec le corps. D'accord, c'est très bien si tu fais des essais sur toi-même. Mais moi, je ne veux pas de ça, je le refuse.

    [Interviewer :] Eh bien, nous pouvons peut-être encore donner une tournure positive à tout cela. Alors, maintenant, la question à 10 millions de dollars. Je sais qu'il y a des gens qui disent : "Hé, ne me dis pas ce qui se passe si tu ne me donnes pas de solution". Et je ne suis pas forcément d'accord avec ça, parce que je pense que certaines solutions nécessitent un minimum de conscience, comme un minimum de personnes qui savent ce qui se passe. Je pense que le fait d'informer et d'éduquer, d'éveiller les gens est une fin en soi, un but en soi. C'est suffisant. Je dois néanmoins poser la question : Au-delà de la simple transmission de ces informations, pouvez-vous nous donner d'autres idées que vous avez en tête ? Comment remettre à leur place ces gens qui veulent nous imposer une technocratie ?

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  5. Vous savez qu'aujourd'hui, tous ces gens reçoivent leur pourboire via des systèmes électroniques, plusieurs jours après le règlement des factures. Vous n'en avez pas la moindre idée. Il n'y a aucune responsabilité pour ces gens ! Ils ne connaissent même pas le montant de leur pourboire. Ils n'ont aucun lien avec les personnes qu'ils ont servies. Alors si tu leur donnes un pourboire en leur disant : "Tu sais que les banquiers sont en train d'essayer de supprimer l'argent liquide de notre système ? Ce n'est pas une bonne chose, parce que si Internet s'arrête, tu n'auras plus de travail, mon ami. Tu ne pourras plus être serveur si ça tombe en panne. "Oh, la plupart d'entre eux diront : "Vous savez quoi ? Internet est tombé en panne la semaine dernière et ils m'ont renvoyé chez moi ! Je n'avais plus d'argent du tout!" Quand tu leur donneras le pourboire, ils te souriront et te remercieront. Ainsi tu leur auras implanté l'idée qu'il y a des gens qui ne pensent pas à leur bien. Tu t'inquiètes pour eux, mais tu veux aussi les encourager : "Réfléchis à ce qui se passe ici, mon ami !" Alors payez en liquide, ayez du liquide dans votre poche. C'est la condition sine qua non pour que vous puissiez parler d'autres choses. Mais c'est la première étape pour la plupart des gens - pour les jeunes. Et vous pouvez ainsi être un catalyseur pour ce type d'interaction.

    [Interviewer :] Très bien. Très bien ! J'aime bien ça. Eh bien, Patrick Wood, vous avez été si généreux de nous accorder cette interview bonus. C'était génial d'être à nouveau avec vous. J'espère qu'un jour nous pourrons faire de même en direct. Merci beaucoup !

    [Patrick Wood :] Ce serait merveilleux.

    [Interviewer :] Formidable.

    https://www.kla.tv/fr

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  6. La guerre désastreuse de la dermatologie contre le soleil

    Le côté oublié de la santé de la peau et la nécessité du soleil


    UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
    1er JUIN 2025


    Aperçu :

    • Les cancers de la peau sont de loin les cancers les plus fréquemment diagnostiqués aux États-Unis. Pour les prévenir, on recommande donc constamment d'éviter le soleil. Cependant, si les cancers de la peau relativement bénins sont causés par l'exposition au soleil, ceux responsables de la plupart des décès par cancer de la peau sont dus au manque de soleil.

    • C'est regrettable, car la lumière du soleil est sans doute le nutriment le plus important pour le corps humain : l'éviter double le taux de mortalité et augmente considérablement le risque de cancer. De même, la lumière du soleil joue de nombreux rôles essentiels pour la santé, mais relativement méconnus.

    • On peut affirmer avec force que cette dynamique est le résultat de la transformation de la profession dermatologique (avec l'aide d'une agence de relations publiques de premier plan) en une profession de lutte contre le cancer de la peau, ce qui lui a permis de devenir l'une des spécialités médicales les mieux rémunérées. Malheureusement, malgré les milliards investis chaque année dans la lutte contre ce cancer, le nombre de décès par cancer de la peau n'a pas connu de changement significatif.

    • Dans cet article, nous aborderons également les dangers des traitements conventionnels contre le cancer de la peau, les moyens les plus efficaces de le traiter et de le prévenir, ainsi que certaines des meilleures stratégies pour une relation saine et enrichissante avec le soleil.

    Remarque : de nombreux lecteurs ont trouvé une version antérieure de cet article parmi les plus utiles de ce Substack. Il s'agit d'une version révisée et améliorée.

    Depuis toute petite, j'avais l'impression que tout le monde s'extasiait sur le fait que je devais éviter le soleil et toujours porter de la crème solaire lors de nos activités de plein air ; alors, malgré tous mes efforts, je n'ai pas obtempéré. En grandissant, j'ai commencé à remarquer qu'au-delà du bien-être que me procurait le soleil, chaque fois que j'étais au soleil, les veines sous ma peau exposées se dilataient, ce que j'interprétais comme un signe que le corps avait besoin de soleil et voulait qu'il pénètre dans la circulation. Plus tard encore, j'ai appris que la lumière du soleil avait de nombreuses fonctions essentielles, remarquables mais presque méconnues, telles que :

    1. De nombreux rythmes primaires du corps (par exemple, le rythme circadien) sont régulés par une exposition régulière au soleil (tant sur la peau que dans les yeux). Nous constatons souvent que le fait de laisser les patients sortir et d'exposer leur visage à la lumière naturelle dès le matin est extrêmement bénéfique pour diverses affections (par exemple, l'insomnie et la dépression).

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  7. 2. La lumière du soleil stimule la circulation sanguine (essentielle pour la santé, car une microcirculation altérée affecte de nombreuses maladies dégénératives chroniques). Plus précisément, lorsque l'eau est exposée à une surface polaire et à une source d'énergie ambiante (notamment la lumière infrarouge), elle se comporte comme un gel cristallin liquide et déplace les protons, passant de H2O à un réseau H3O2 (H1,5O).

    Outre le fait que ce réseau assure une grande partie de la résistance et de la stabilité fondamentales du corps (car il est incompressible, forme une barrière robuste et se reforme continuellement après avoir été cisaillé), il est également capable de transformer la source d'énergie ambiante en un élément utilisable par le corps (fonctionnant ainsi comme un panneau solaire primitif). En effet, les ions hydrogène déplacés de la matrice aqueuse créent un gradient d'énergie électrique (H1,5O- vs. H+) et, comme les ions hydrogène se repoussent mutuellement, ils créent un potentiel d'écoulement spontané.

    Des dispositifs expérimentaux ont montré que ce mécanisme peut facilement être exploité pour créer un écoulement d'eau « spontané » et que de nombreux systèmes biologiques sont structurés pour exploiter la formation de ces ions H+ afin de stimuler la circulation (par exemple, les arbres qui aspirent l'eau du sol). Dans le cas du corps humain, mécaniquement, le cœur ne peut pas fournir suffisamment d'énergie pour faire circuler le sang (et de même, dans de nombreux cas, le flux sanguin se produit malgré le gradient de pression qui ne le favorise pas), alors que le mécanisme H+ permet ce flux circulatoire. On observe fréquemment que l'exposition au soleil ou à la lumière infrarouge (qui est également émise dans une certaine mesure par un humain à un autre lorsqu'ils sont très proches) augmente significativement la circulation des fluides et améliore le bien-être général.
    Remarque : d'autres circulations de fluides critiques (par exemple, le liquide interstitiel ou les vaisseaux lymphatiques) dépendent également de ce mécanisme. De plus, je pense désormais que de nombreux problèmes cutanés résultent d'une stagnation du flux micro-interstitiel sous la peau (par exemple, accumulation de toxines dans la région, ou incapacité de la peau à transférer la lumière solaire dans la circulation et surchauffe).

    3. Un chercheur pionnier a découvert que les systèmes biologiques étaient extrêmement sensibles aux spectres lumineux et qu'un excès ou une carence de longueurs d'onde clés entraînait de nombreux problèmes (par exemple, une croissance ralentie des plantes, une fertilité réduite, des différences de sexe chez la progéniture, une sensibilité accrue aux maladies infectieuses et aux cancers, une agressivité et une hyperactivité significatives, etc.). Comme le verre standard bloque ces longueurs d'onde et que la plupart des lampes ne les émettent pas, outre l'augmentation de la productivité agricole, il a pu améliorer considérablement la santé des personnes (y compris celles atteintes de cancer) en les soumettant à des régimes légers. L'une de ses découvertes les plus intéressantes fut que les yeux sont le principal point d'entrée de la lumière dans la circulation sanguine (car ils sont totalement translucides et contiennent très peu de vaisseaux sanguins). De ce fait, il a fréquemment constaté des améliorations spectaculaires dans les maladies chroniques (par exemple, l'arthrite chronique) après avoir remplacé ses lunettes par des lunettes à spectre complet. Remarque : Fort de mon expérience avec l’irradiation sanguine aux ultraviolets (et de l’étude des propriétés de l’hémoglobine), j’en suis venu à la conclusion que le sang conduit la lumière, ce qui rend la faible exposition oculaire significative.

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  8. 4. L’une des modalités thérapeutiques les plus efficaces que j’aie rencontrées est l’irradiation sanguine aux ultraviolets (UVBI). Elle consiste à créer une ligne directe de sang entre une source de lumière UV et la circulation sanguine. Je pense aujourd’hui que cette méthode est efficace car les personnes ne reçoivent pas suffisamment de lumière solaire pour que la circulation sanguine en soit suffisamment riche. L’UVBI (dont nous parlerons plus en détail ici) était initialement utilisée pour traiter un large éventail de maladies infectieuses potentiellement mortelles (à une époque où seuls les premiers antibiotiques existaient), puis on a rapidement observé qu’elle était également associée à des maladies auto-immunes (comme l’asthme), à ​​des complications chirurgicales et à de nombreuses affections neurologiques et circulatoires complexes, en grande partie dues à une augmentation significative de la circulation et à la réactivation de cellules ou d’organes inactifs.

    Remarque : j’utilise généralement les UVBI soit pour une personne souffrant d’un malaise (par exemple, à cause de la fatigue), soit pour une personne souffrant d’une infection aiguë comme la grippe (car ils guérissent souvent rapidement), soit pour une maladie virale chronique comme le virus d’Epstein-Barr ou le zona (car c’est l’une des options les plus efficaces pour ces types de maladies), soit pour prévenir les complications de la chimiothérapie, soit pour une multitude d’autres maladies (par exemple, diverses maladies auto-immunes) lorsqu’il n’est pas possible d’obtenir un traitement plus ciblé.

    Devenu étudiant en médecine (et connaissant alors les nombreux bienfaits du soleil), j’ai été frappé par la tendance des dermatologues à éviter le soleil. Par exemple, outre les leçons données à chaque patient que j’ai vu là-bas sur l’importance d’éviter le soleil, j’ai appris par mes camarades de classe que les dermatologues des latitudes nordiques (où l’ensoleillement était suffisamment faible pour que les personnes atteintes de troubles affectifs saisonniers) exigeaient de leurs étudiants qu’ils portent de la crème solaire et des vêtements couvrant la majeure partie du corps lorsqu’ils étaient à l’intérieur. À ce stade, mon point de vue sur la question a évolué : « Cette croisade contre le soleil vient clairement des dermatologues » et « Qu'est-ce qui ne va pas chez ces gens ?» Il y a quelques années, j'ai enfin découvert la dernière pièce du puzzle grâce au Dr Robert Yoho, ce qui m'a inspiré à écrire cet article.

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    La monopolisation de la médecine

    Tout au long de ma vie, j'ai observé trois tendances curieuses dans le secteur médical :

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  9. • Ils encouragent des activités saines que les gens sont peu susceptibles de pratiquer (par exemple, faire de l'exercice ou arrêter de fumer).

    • Ils encouragent des activités clairement néfastes pour la santé qui font le profit de l'industrie (par exemple, consommer des aliments transformés ou prendre une multitude de produits pharmaceutiques dangereux et inefficaces).

    • Ils s’attaqueront à des activités clairement bénéfiques et faciles à réaliser (par exemple, l’exposition au soleil, la consommation d’œufs, la consommation de produits laitiers crus ou la consommation de beurre).

    D'après ce que j'ai compris, une grande partie de cette situation trouve son origine dans l'histoire scandaleuse de l'American Medical Association. En 1899, le docteur George H. Simmons prit le contrôle de cette organisation en difficulté (les médecins faisaient faillite car leurs traitements étaient barbares et inefficaces). Il lança alors un programme visant à donner le label de qualité à l'AMA en échange de la divulgation par les fabricants de leurs ingrédients et de la publication de publicités dans de nombreuses publications de l'AMA (ils n'étaient toutefois pas tenus de prouver l'innocuité ou l'efficacité de leur produit). Cette manœuvre fut couronnée de succès et, en seulement dix ans, ses revenus publicitaires furent multipliés par cinq et le nombre de ses adhérents par neuf.

    Au même moment, l'AMA s'efforça de monopoliser le secteur médical en créant notamment un conseil général de formation médicale (qui affirmait que sa méthode d'exercice de la médecine était la seule crédible), ce qui lui permit de devenir l'organisme national d'accréditation des facultés de médecine. Cela leur a permis de mettre fin à l'enseignement de nombreux modèles médicaux concurrents, tels que l'homéopathie, la chiropraxie, la naturopathie et, dans une moindre mesure, l'ostéopathie, car les États refusaient souvent d'accorder des licences aux diplômés d'écoles mal notées par l'AMA.

    De même, Simmons (et son successeur, Fishbein, qui régna de 1924 à 1950) créèrent en 1913 un « Département de la Propagande » pour attaquer tous les traitements médicaux non conventionnels et quiconque (médecin ou non) les pratiquait. Fishbein excellait dans ce domaine et pouvait souvent organiser des campagnes médiatiques massives contre tout ce qu'il considérait comme du « charlatanisme », entendues par des millions d'Américains (à une époque où le pays était beaucoup plus petit).

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  10. Après avoir établi ce monopole, Simmons et Fishbein ne tardèrent pas à l'exploiter. Cela incluait le chantage aux sociétés pharmaceutiques pour qu'elles fassent de la publicité, la revendication des droits de vente de divers traitements thérapeutiques à l'AMA, et la poursuite par la FDA ou la FTC de quiconque refusait de vendre (ce qui, dans au moins un cas, a été prouvé devant les tribunaux, l'un des « compatriotes » de Fishbein estimant que ce qu'il faisait était mal et ayant témoigné contre lui).

    Par exemple, lorsque l'UVBI a été découvert, il s'est rapidement répandu dans les hôpitaux américains, sauvant de nombreux patients qui seraient autrement décédés et faisant l'objet d'une couverture médiatique abondante (par exemple, le New York Times et le Time Magazine). L'AMA a ensuite proposé de « valider » le dispositif de Knott pour 100 000 dollars, plus les droits sur la thérapie, Knott recevant en échange une petite commission sur les ventes. Knott a refusé et l'AMA a mené une étude vouée à l'échec, concluant ensuite que l'UVBI n'apportait aucun bénéfice (malgré l'amélioration de l'état de nombreux patients participant à l'étude). Suite à cela, les hôpitaux ont rapidement abandonné cette pratique « démentie » (alors que l'UVBI est toujours utilisée dans les hôpitaux d'autres pays, comme la Russie, en raison des résultats phénoménaux qu'elle procure pour des maladies « incurables »).

    De même, à la même époque, l'AMA a contacté les inventeurs de nombreuses thérapies alternatives contre le cancer (telles que le Krebiozen, les remèdes de Hoxey et les catalyseurs de Koch) et les a poussés à céder la quasi-totalité des droits sur le traitement à l'AMA, sous peine d'être mis sur liste noire. Dans chaque cas, l'inventeur a refusé, souhaitant que le traitement reste abordable pour le grand public (par exemple, l'AMA avait initialement utilisé le remède de Hoxey, mais en avait considérablement gonflé le prix). Suite à leur refus, l'AMA a lancé une offensive contre cette thérapie, puis, avec l'aide de la FDA, l'a enterrée (ce qui a été ultérieurement corroboré par des affaires judiciaires et une enquête du Congrès en 1953).

    En bref, grâce au pouvoir de l'AMA, une seule étude négative frauduleuse pouvait effacer immédiatement de vastes corpus de recherches indépendantes démontrant le contraire. De ce fait, de nombreuses innovations médicales remarquables ont été effacées de l'histoire. Une partie de mon travail et nombre des méthodes que j'utilise en pratique sont essentiellement les thérapies que Simmons et Fishbein ont largement réussi à éradiquer de la Terre.

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  11. D'après ce que j'ai compris, une grande partie de cette situation trouve son origine dans l'histoire scandaleuse de l'American Medical Association. En 1899, le docteur George H. Simmons prit le contrôle de cette organisation en difficulté (les médecins faisaient faillite car leurs traitements étaient barbares et inefficaces). Il lança alors un programme visant à donner le label de qualité à l'AMA en échange de la divulgation par les fabricants de leurs ingrédients et de la publication de publicités dans de nombreuses publications de l'AMA (ils n'étaient toutefois pas tenus de prouver l'innocuité ou l'efficacité de leur produit). Cette manœuvre fut couronnée de succès et, en seulement dix ans, ses revenus publicitaires furent multipliés par cinq et le nombre de ses adhérents par neuf.

    Au même moment, l'AMA s'efforça de monopoliser le secteur médical en créant notamment un conseil général de formation médicale (qui affirmait que sa méthode d'exercice de la médecine était la seule crédible), ce qui lui permit de devenir l'organisme national d'accréditation des facultés de médecine. Cela leur a permis de mettre fin à l'enseignement de nombreux modèles médicaux concurrents, tels que l'homéopathie, la chiropraxie, la naturopathie et, dans une moindre mesure, l'ostéopathie, car les États refusaient souvent d'accorder des licences aux diplômés d'écoles mal notées par l'AMA.

    De même, Simmons (et son successeur, Fishbein, qui régna de 1924 à 1950) créèrent en 1913 un « Département de la Propagande » pour attaquer tous les traitements médicaux non conventionnels et quiconque (médecin ou non) les pratiquait. Fishbein excellait dans ce domaine et pouvait souvent organiser des campagnes médiatiques massives contre tout ce qu'il considérait comme du « charlatanisme », entendues par des millions d'Américains (à une époque où le pays était beaucoup plus petit).

    Après avoir établi ce monopole, Simmons et Fishbein ne tardèrent pas à l'exploiter. Cela incluait le chantage aux sociétés pharmaceutiques pour qu'elles fassent de la publicité, la revendication des droits de vente de divers traitements thérapeutiques à l'AMA, et la poursuite par la FDA ou la FTC de quiconque refusait de vendre (ce qui, dans au moins un cas, a été prouvé devant les tribunaux, l'un des « compatriotes » de Fishbein estimant que ce qu'il faisait était mal et ayant témoigné contre lui).

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  12. Par exemple, lorsque l'UVBI a été découvert, il s'est rapidement répandu dans les hôpitaux américains, sauvant de nombreux patients qui seraient autrement décédés et faisant l'objet d'une couverture médiatique abondante (par exemple, le New York Times et le Time Magazine). L'AMA a ensuite proposé de « valider » le dispositif de Knott pour 100 000 dollars, plus les droits sur la thérapie, Knott recevant en échange une petite commission sur les ventes. Knott a refusé et l'AMA a mené une étude vouée à l'échec, concluant ensuite que l'UVBI n'apportait aucun bénéfice (malgré l'amélioration de l'état de nombreux patients participant à l'étude). Suite à cela, les hôpitaux ont rapidement abandonné cette pratique « démentie » (alors que l'UVBI est toujours utilisée dans les hôpitaux d'autres pays, comme la Russie, en raison des résultats phénoménaux qu'elle procure pour des maladies « incurables »).

    De même, à la même époque, l'AMA a contacté les inventeurs de nombreuses thérapies alternatives contre le cancer (telles que le Krebiozen, les remèdes de Hoxey et les catalyseurs de Koch) et les a poussés à céder la quasi-totalité des droits sur le traitement à l'AMA, sous peine d'être mis sur liste noire. Dans chaque cas, l'inventeur a refusé, souhaitant que le traitement reste abordable pour le grand public (par exemple, l'AMA avait initialement utilisé le remède de Hoxey, mais en avait considérablement gonflé le prix). Suite à leur refus, l'AMA a lancé une offensive contre cette thérapie, puis, avec l'aide de la FDA, l'a enterrée (ce qui a été corroboré ultérieurement par des affaires judiciaires et une enquête du Congrès en 1953).

    En bref, grâce au pouvoir de l'AMA, une seule étude négative frauduleuse pouvait effacer instantanément de vastes quantités d'informations. Remarque : pour illustrer qu'il ne s'agit pas d'histoire ancienne, il suffit de considérer la violence et le ridicule avec lesquels l'AMA a attaqué l'utilisation de l'ivermectine pour traiter la COVID-19 (car elle était le principal concurrent du cartel de la COVID-19). De même, l'un des moments marquants pour Pierre Kory (dont il discute ici avec Russel Brand) a été son témoignage au Sénat sur l'ivermectine. Il a été mis en état de choc par la vague de campagnes médiatiques et de revues médicales de toutes parts, cherchant à la dénigrer et à détruire sa réputation et celle de ses collègues (par exemple, ils ont été licenciés et leurs articles, déjà soumis à l'évaluation par les pairs, ont été retirés). Deux semaines plus tard, il a reçu un courriel du professeur William B. Grant (expert en vitamine D) qui disait : « Cher Dr Korey, ce qu'ils font à l'ivermectine, ils le font à la vitamine D depuis des décennies. » Il incluait un article de 2017 détaillant les stratégies exactes utilisées par l'industrie pour étouffer des données scientifiques gênantes.

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  13. Plus tristement célèbre encore, l'industrie du tabac est devenue l'un des plus gros clients de l'AMA, ce qui a conduit à la publication d'innombrables publicités comme celle-ci par l'AMA, qui ont persisté jusqu'à ce que Fishbein soit évincé (il est alors devenu un lobbyiste grassement rémunéré pour l'industrie du tabac) :

    - voir affiche sur site -

    Remarque : en raison de leur agressivité, les enquêteurs ont progressivement découvert le manque de scrupules et le caractère sociopathe de Simmons et Fishbein. Malheureusement, bien que je sache par expérience que c’était le cas (par exemple, une amie connaissait la secrétaire de Fishbein et elle a déclaré que Fishbein était une personne vraiment horrible qu’elle voyait régulièrement commettre des actes méprisables, et je connaissais également des personnes qui connaissaient les guérisseurs révolutionnaires ciblés par Fishbein), je n’ai jamais pu confirmer nombre des accusations odieuses portées contre Simmons, car l’ouvrage qu’ils citent tous comme référence ne fournit pas ses sources, tandis que les autres ouvrages qui avancent des allégations différentes mais congruentes sont mal documentés.

    Les bienfaits de la lumière solaire

    L'une des plus anciennes thérapies « éprouvées » (mais non brevetables) en médecine consistait à exposer les patients à la lumière solaire (par exemple, c'était l'une des rares méthodes efficaces pour traiter la grippe de 1918 ; avant l'apparition des antibiotiques, c'était l'un des traitements les plus efficaces contre la tuberculose et elle était également largement utilisée pour diverses autres maladies). Par ailleurs, comme elle est sûre, efficace et disponible gratuitement, il est logique que des individus sans scrupules souhaitant monopoliser la pratique de la médecine aient voulu en interdire l'accès au public.

    Remarque : le succès des bains de soleil a inspiré l'irradiation sanguine aux ultraviolets.

    En raison du succès de la lutte contre la lumière solaire, de nombreuses personnes ignorent ses bienfaits. Par exemple :

    1. La lumière solaire est essentielle à la santé mentale. Ceci est particulièrement apprécié dans le cas de la dépression (par exemple, le trouble affectif saisonnier), mais en réalité, les effets sont beaucoup plus vastes (par exemple, l’exposition à une lumière non naturelle détruit votre rythme circadien).

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  14. Remarque : J’ai vraiment compris ce point lors de mon stage médical. Après une longue période de garde de nuit sous des lampes fluorescentes, j’ai constaté que je commençais à souffrir de dépression clinique (ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant et a conduit un co-résident que j’étais sur le point de me proposer de prescrire des antidépresseurs). J’ai décidé de mener une expérience (je le fais souvent ; par exemple, j’essaie de ne jamais recommander de traitements à des patients que je n’ai pas déjà testés moi-même) et j’ai persévéré pendant quelques jours supplémentaires. Je suis ensuite rentré chez moi et je me suis baigné sous une lampe à spectre complet. Je me suis alors senti presque instantanément mieux. Je pense que mon histoire est particulièrement importante pour les professionnels de santé, car de nombreux professionnels de santé sont contraints de passer de longues périodes sous la lumière artificielle, ce qui nuit gravement à leur santé mentale (notamment à leur empathie). Prenons par exemple cette étude sur les infirmières de bloc opératoire chinoises, qui a révélé que leur santé mentale était nettement moins bonne que celle de la population générale et que ce déclin était corrélé à leur manque d’exposition au soleil.

    2. Une vaste étude épidémiologique a révélé que les femmes fortement exposées aux UVB solaires présentaient une incidence de cancer du sein deux fois inférieure à celle des femmes moins exposées, et que les hommes fortement exposés au soleil dans leur habitat présentaient une incidence de cancer de la prostate mortel deux fois inférieure.
    Remarque : une réduction de 50 % de ces cancers dépasse largement les résultats obtenus par toutes les approches utilisées pour les traiter ou les prévenir.

    3. Une étude prospective sur 20 ans a évalué 29 518 femmes dans le sud de la Suède. Des femmes de chaque tranche d’âge, sans problème de santé majeur, ont été sélectionnées aléatoirement, ce qui en fait l’une des meilleures études épidémiologiques possibles. Elle a révélé que les femmes qui évitaient le soleil, par rapport à celles qui s’exposaient régulièrement au soleil, présentaient :

    • Un risque global de décès de 60 % supérieur, soit environ 50 % de plus que le groupe exposé modérément et environ 130 % de plus que le groupe fortement exposé au soleil.
    Remarque : en toute clarté, rares sont les interventions médicales qui atteignent un tel résultat.

    • Le gain le plus important a été observé concernant le risque de décès par maladie cardiaque, suivi du risque toutes causes de décès confondues, hors maladies cardiaques et cancer (« autres »), et enfin des décès par cancer.
    Remarque : les chercheurs ont conclu que le bénéfice plus faible en termes de réduction des décès par cancer était en partie dû au fait que les sujets vivaient plus longtemps et succombaient donc à un type de cancer qui ne les aurait touchés que plus tard dans leur vie.

    • Le bénéfice le plus important a été observé chez les fumeurs, à tel point que les non-fumeurs qui évitaient le soleil présentaient le même risque de décès que les fumeurs exposés au soleil.
    Remarque : je pense que cela, ainsi que les bénéfices cardiovasculaires, sont en grande partie dus au fait que la lumière du soleil catalyse la synthèse d’oxyde nitrique (essentiel à la santé des vaisseaux sanguins) et de sulfates (qui recouvrent les cellules comme l’endothélium) et, en conjonction avec les infrarouges (ou la lumière du soleil), crée l’eau cristalline liquide, essentielle à la protection et au fonctionnement du système cardiovasculaire.

    Compte tenu de tout cela, je dirais qu’il faut une justification solide pour éviter l’exposition au soleil.

    Cancer de la peau

    Selon l'Académie américaine de dermatologie :

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  15. Le cancer de la peau est le cancer le plus fréquent aux États-Unis. On estime actuellement qu'un Américain sur cinq développera un cancer de la peau au cours de sa vie. On estime qu'environ 9 500 personnes aux États-Unis reçoivent un diagnostic de cancer de la peau chaque jour.

    Les carcinomes basocellulaires et épidermoïdes, les deux formes de cancer de la peau les plus courantes, sont très faciles à traiter s'ils sont détectés tôt et traités correctement.

    L'exposition aux UV étant le facteur de risque le plus évitable pour tous les cancers de la peau, l'Académie américaine de dermatologie encourage chacun à éviter les cabines de bronzage et à protéger sa peau à l'extérieur en recherchant l'ombre, en portant des vêtements protecteurs (chemise à manches longues, pantalon, chapeau à larges bords et lunettes de soleil avec protection UV) et en appliquant une crème solaire à large spectre résistante à l'eau avec un FPS de 30 ou plus sur toute la peau non couverte par les vêtements.

    De même, selon la Skin Cancer Foundation :

    Plus de deux personnes meurent d'un cancer de la peau aux États-Unis chaque heure.

    Cela semble assez effrayant. Voyons maintenant ce que cela signifie précisément.

    Remarque : heureusement, les nombreux bienfaits de la vitamine D (qui provient de l’exposition au soleil) sont aujourd’hui bien plus connus. Cependant, comme de nombreux bienfaits du soleil proviennent d’autres facteurs que la production de vitamine D (par exemple, pensez aux bienfaits de la lumière que j’ai cités au début de l’article), la position actuelle de la dermatologie (selon laquelle on peut remplacer une exposition solaire « dangereuse » par de la vitamine D) n’est pas un conseil que je puisse soutenir.

    Carcinome basocellulaire

    Le carcinome basocellulaire est de loin le cancer de la peau le plus fréquent (il représente 80 % de tous les cancers de la peau). À titre indicatif, il se présente comme suit :

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  16. L’incidence exacte du carcinome basocellulaire varie considérablement, allant de 14 à 10 000 cas par million de personnes. Aux États-Unis, on estime généralement qu’environ 2,64 millions de personnes en développent un par an (avec environ 4,32 millions de cancers au total, car certaines personnes en développent plusieurs). Les trois principaux facteurs de risque du carcinome basocellulaire sont une exposition excessive au soleil, une peau claire (qui augmente le risque de pénétration excessive du soleil) et des antécédents familiaux de cancer de la peau. De ce fait, l'incidence très variable du carcinome basocellulaire est largement due à l'exposition au soleil, et on le retrouve généralement dans les zones fréquemment exposées au soleil (par exemple, le visage).

    Il est important de comprendre que, comme il ne métastase presque jamais, le carcinome basocellulaire n'est pas très dangereux. La plupart des sources indiquent un taux de mortalité de 0 %. On l'évalue généralement en fonction de sa probabilité de récidive après l'ablation (qui varie de 65 % à 95 %, selon la source).

    Remarque : nous pensons que l'un des principaux inconvénients de l'approche par excision du cancer de la peau est qu'elle ne s'attaque pas aux causes sous-jacentes du cancer. Elle peut fréquemment entraîner des récidives et nécessiter l'ablation d'une quantité croissante de peau (ce qui devient problématique à mesure que la peau est retirée). Ceci est particulièrement problématique en cas de récidive d'une tumeur potentiellement mortelle.

    Cependant, même si les carcinomes basocellulaires ne sont jamais mortels, dans certains cas, laissés à l'abandon pendant des années, ils peuvent lentement grossir et devenir très volumineux, ce qui peut entraîner une défiguration (un problème fréquent rencontré par les dermatologues des régions pauvres). Par conséquent, lorsqu'il est évident que vous avez un carcinome basocellulaire, il est important d'agir, même si ce n'est pas urgent. Heureusement, il existe des cas (voir ci-dessous) où les thérapies alternatives contre les carcinomes basocellulaires restent efficaces même lorsque la tumeur a atteint une taille importante et qu'il n'était plus possible de l'extraire chirurgicalement sans causer de défiguration.

    Remarque : bien que les carcinomes basocellulaires soient presque universellement bénins, j’ai maintenant entendu parler de deux cas de métastases chez des patients vaccinés.

    Carcinome épidermoïde

    Deuxième type de cancer de la peau le plus fréquent, le carcinome épidermoïde cutané (CEC) se présente comme suit :

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  17. Également causé par le soleil, son incidence varie considérablement, allant de 260 à 4 970 par million d’années-personnes, avec environ 1,8 million de cas par an aux États-Unis. Auparavant, on estimait que le CBC était environ quatre fois plus fréquent que le CEC, mais cet écart s’est maintenant réduit, sa fréquence étant deux fois plus élevée. Contrairement au CBC, le CEC peut être dangereux, car il métastase. En revanche, s’il est retiré avant métastases, le taux de survie est de 99 %, mais s’il est retiré après métastases, ce taux tombe à 56 %. Comme le carcinome épidermoïde est généralement détecté avant que cela ne se produise (en 1 à 2 ans, 3 à 9 % d'entre eux métastasent), le taux de survie moyen pour ce cancer est d'environ 95 %, et environ 2 000 personnes (bien que certaines estimations atteignent 8 000) en décèdent chaque année aux États-Unis.

    Remarque : le carcinome basocellulaire et le carcinome épidermoïde étant peu susceptibles de tuer, contrairement aux autres cancers de la peau, les médecins ne sont pas tenus de les déclarer et il n'existe donc pas de base de données centralisée recensant leur nombre. Par conséquent, les chiffres concernant le carcinome basocellulaire et le carcinome épidermoïde sont en grande partie des estimations.

    Mélanome

    On estime que le taux de mélanome est de 218 cas par million de personnes aux États-Unis chaque année (le risque variant selon l'origine ethnique). Cependant, bien qu'il ne représente que 1 % de tous les diagnostics de cancer de la peau, le mélanome est responsable de la plupart des décès par cancer de la peau. La survie étant grandement améliorée par un dépistage précoce, de nombreux guides en ligne permettent d'identifier les signes courants d'un mélanome potentiel :

    - voir photos sur site -

    Le taux de survie à cinq ans du mélanome dépend de son extension au moment du diagnostic (de 99 % à 35 %, avec une moyenne de 94 %), ce qui souligne l'importance d'une identification correcte. De même, certains cas sont agressifs et métastasent rapidement (ils ne sont donc souvent pas détectés à temps), et ces variantes ont un taux de survie compris entre 15 et 22,5 %. Au total, cela représente un peu plus de 8 000 décès par an aux États-Unis.
    Remarque : ces variantes du mélanome faussent probablement les statistiques de survie globale de ce cancer.

    Il est essentiel de comprendre que, même si l'on considère généralement qu'il est lié à l'exposition au soleil, ce n'est pas le cas. Par exemple :

    • Une étude portant sur 528 patients atteints de mélanome a révélé que les personnes atteintes d'élastose solaire (une altération cutanée fréquente suite à une exposition excessive au soleil) présentaient 60 % de risque en moins de décéder d'un mélanome.

    • 87 % des cas de carcinome épidermoïde surviennent dans des zones du corps fortement exposées au soleil, comme le visage (qui représente au total 6,2 % de sa surface), tandis que 82,5 % des carcinomes basocellulaires (CBC) y sont localisés. À l'inverse, seuls 22 % des mélanomes y sont localisés. Cela indique que le CBC et le CBC sont liés à l'exposition au soleil, contrairement au mélanome, ce qui concorde avec le fait qu'on les retrouve constamment dans des zones très peu exposées au soleil.

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  18. • Les travailleurs en extérieur reçoivent une dose annuelle d'UV 3 à 10 fois supérieure à celle des travailleurs en intérieur, et pourtant, leur incidence de mélanome cutané malin est plus faible et leur risque relatif (rapport de cotes) est deux fois inférieur à celui de leurs collègues en intérieur.

    • Une méta-analyse de la littérature disponible, réalisée en 1997, a révélé que les travailleurs fortement exposés au soleil dans le cadre de leur travail présentaient un risque réduit de 14 % de développer un mélanome.

    • Des recherches existantes ont montré que l'utilisation de crème solaire n'a aucun effet sur les taux de mélanome malin, voire les augmente. Il est donc très frustrant que les gouvernements du monde entier répètent sans cesse les conseils d'en appliquer davantage, surtout lorsque les taux de mélanome augmentent (c'est-à-dire exactement ce que nous constatons avec les campagnes de vaccination contre la COVID-19).

    Remarque : il est possible d'affirmer que les substances chimiques contenues dans les crèmes solaires provoquent le cancer de la peau, et certaines données le confirment également pour certains produits cosmétiques commercialisés.

    • Une étude (aujourd'hui oubliée) de 1982 portant sur 274 femmes a révélé que l'exposition à la lumière fluorescente au travail multipliait par 2,1 le risque de développer un mélanome malin. Ce risque augmentait avec l'exposition, soit en raison de l'exposition professionnelle (1,8 fois plus pour les emplois à exposition modérée, 2,6 fois pour les emplois à forte exposition), soit en raison du temps passé à travailler (soit 2,4 fois plus de risque pour une durée de travail de 1 à 9 ans, 2,8 fois plus pour une durée de 10 à 19 ans et 4,1 fois plus pour une durée de plus de 20 ans).
    Remarque : certaines données indiquent que ces lumières affectent également les animaux (par exemple, cette étude a montré une baisse spectaculaire de la production laitière).

    • On a constaté une augmentation significative des cas de mélanome dans de nombreuses régions, ce qui plaide contre le fait que la lumière du soleil soit le principal problème, car elle n'a pas significativement évolué au cours des dernières décennies. Prenons par exemple ces données du registre norvégien du cancer sur le mélanome malin :

    - voir graph sur site -

    Remarque : certaines données liant l’exposition au soleil à un risque accru de développer un mélanome sont plus contradictoires. Certaines données montrent une légère réduction, tandis que d’autres une légère augmentation (par exemple, cette étude a révélé que l’exposition au soleil augmentait le risque de mélanome d’environ 20 %). Cependant, si une légère augmentation du mélanome est observée, l’inverse se produit concernant la taille des mélanomes (par exemple, une étude a révélé que ceux du tronc étaient plus de deux fois plus gros que ceux des bras) ou leur risque de décès (ce qui est l’essentiel).

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  19. Cancers cutanés rares

    Cette section n’est pas importante à lire ; je l’inclus principalement à titre de référence pour étayer le point principal et être complet.

    Carcinome à cellules de Merkel : 7 cas par million d’années-personnes aux États-Unis, taux de survie de 52 à 78 %. Lien possible avec l’exposition au soleil.

    Sarcome de Kaposi : 3 à 6 par million d’habitants aux États-Unis, taux de survie de 41 à 81 %, principalement dû à une immunosuppression (par exemple, sida, transplantation d’organes, possiblement vaccins contre la COVID-19). Un lien possible, mais limité, avec le soleil.

    Lymphome cutané à cellules T : 6,4 à 8,55 par million d’habitants aux États-Unis, 39,4 à 67,4 %, principalement dû à une immunosuppression et à des infections spécifiques (il existe également de nombreux cas notables de ce type survenant après une vaccination contre la COVID-19, dont un participant à l’essai clinique de Moderna).

    Dermatofibrosarcome protubérant : 0,8 à 4,5 cas par million d’habitants par an, taux de survie de 99,1 %, facteurs de risque inconnus.

    Carcinome microkystique des annexes : 0,52 cas par million de personnes par an, taux de survie de 88,1 à 98,1 %, lié à une radiothérapie antérieure, à des traitements immunosuppresseurs et à l’exposition au soleil.

    Mélanome lentigineux acral : 1,8 cas par million de personnes-années, taux de survie de 67,5 % à 80,3 %, facteurs de risque inconnus, mais généralement non liés à l’exposition au soleil.

    Carcinome sébacé : 2,43 cas par million de personnes-années, taux de survie de 50 à 78 %, lié aux traitements immunosuppresseurs, à la radiothérapie et à une anomalie génétique existante.

    Maladie de Paget extramammaire : 0,4 à 0,7 cas par million de personnes, taux de survie de 81,6 % à 91,8 %, non liée à l’exposition au soleil.

    Remarque : le dernier cancer rare de la peau, le sarcome pléomorphe indifférencié, survient à un taux de 30 cas par million de personnes chaque année. Cependant, dans de nombreux cas, il n’apparaît pas sur la peau, ce qui rend plus difficile d’obtenir des statistiques précises.

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  20. La grande arnaque dermatologique
    En bref :

    • Le « cancer de la peau » le plus courant n’est pas dangereux.

    • Les « cancers de la peau » dont vous devez réellement vous inquiéter ne représentent qu’une part relativement faible des cancers de la peau existants.

    • L’exposition au soleil ne provoque pas de cancers dangereux (à l’exception du carcinome épidermoïde, qui est loin d’être aussi dangereux que les autres).

    Par conséquent, il est impossible de justifier « l’interdiction de la lumière du soleil » pour « prévenir le cancer de la peau », car les « bénéfices » de cette prescription sont largement dépassés par ses effets néfastes. Cependant, une astuce linguistique très astucieuse contourne cette contradiction : une seule étiquette, « cancer de la peau », est utilisée pour tout, ce qui adapte ensuite sélectivement la létalité du mélanome, la fréquence du carcinome basocellulaire et la sensibilité au soleil du carcinome basocellulaire et du carcinome spinocellulaire.

    Cela m'a toujours vraiment exaspéré, alors j'ai longuement réfléchi aux raisons de cette pratique.

    Remarque : Le Dr Malcom Kendrick nous aide à comprendre comment ce jeu se joue dans le secteur médical en partageant l'histoire du Dr Michael Baum :

    Chaque année, je joue à un jeu avec les étudiants de troisième cycle d'une formation destinée aux spécialistes du cancer, organisée par le Royal College of Surgeons of England. Je leur explique qu'il existe deux outils de dépistage potentiellement efficaces pour le cancer de la prostate : l'un réduira leurs risques de décès de 20 à 30 %, tandis que l'autre sauvera une vie après 10 000 personnes-années de dépistage. En tant que consommateur ou responsable de la santé publique, lequel choisiriez-vous ? Ils votent tous pour le premier ; Pourtant, les deux programmes sont identiques, ils ont juste été présentés différemment. Continuer à promouvoir le dépistage en termes de réduction du risque relatif de mortalité par cancer du sein est extrêmement malhonnête.

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  21. La spécialité la plus convoitée

    Une grande partie du processus de formation médicale consiste à offrir aux étudiants des « carottes » (récompenses incitatives) qu'ils peuvent obtenir s'ils travaillent très dur, sont très disciplinés et démontrent des aptitudes supérieures à la moyenne. Cela motive ensuite les futurs médecins à travailler dur à l'université (par exemple, en renonçant à leur vie sociale), puis les étudiants à poursuivre leurs efforts (même s'ils ont réussi et sont déjà admis à la faculté de médecine), et souvent aussi les internes à poursuivre dans cette voie (afin d'obtenir un fellowship prestigieux). L'un des principaux incitatifs est de pouvoir accéder à une spécialité prestigieuse, car celles-ci sont généralement plus respectées et mieux rémunérées.

    La dermatologie est souvent considérée comme la spécialité la plus convoitée car elle :

    • Elle offre une formation post-médicale relativement courte (quatre ans seulement) ;

    • Elle offre un équilibre vie professionnelle-vie privée relativement souple (par exemple, vous travaillez uniquement en semaine et pouvez prendre des jours de congé).

    • Il est assez rare d'avoir affaire à des patients présentant des problèmes aigus ou complexes, ce qui rend le stress dans ce domaine très faible.

    • La dermatologie est l'une des spécialités les mieux rémunérées. Le salaire annuel moyen d'un dermatologue débutant est de 400 000 $, bien que certains, comme les chirurgiens de Mohs, gagnent souvent au moins 600 000 $ (et souvent bien plus). À titre de comparaison, les médecins généralistes gagnent généralement environ 220 000 $ par an.

    Remarque : avec un salaire de base moyen d'environ 700 000 $ par an, la chirurgie neurologique est généralement la spécialité la mieux rémunérée. Bien que ce soit beaucoup, je pense que c'est « juste », car au-delà du fait que cette spécialité soit extrêmement difficile et éprouvante (par exemple, de nombreuses opérations du cerveau durent de 3 à 8 heures, et il en existe de nombreuses autres encore plus longues – le chirurgien devant toujours être extrêmement précis sous peine de catastrophe et de lourdes poursuites judiciaires – il faut passer 7 ans après la faculté de médecine pour devenir neurochirurgien, et même plus longtemps (1 à 2 ans) pour se spécialiser dans certains aspects de la chirurgie neurologique.

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  22. Il est donc remarquable que la dermatologie ait réussi à exploiter ce créneau économique, et que, par conséquent, son domaine attire les étudiants les plus compétitifs, qui recherchent réellement le style de vie et le salaire exceptionnels qu'offre un cabinet privé de dermatologie (même si, lors du processus de candidature, tout le monde prétend généralement vouloir faire de la recherche universitaire, car c'est ce qui permet d'y accéder). De même, l'un des médecins les plus brillants que je connaisse (qui avait bon cœur et la capacité d'améliorer la médecine) s'est finalement tourné vers la dermatologie pour ces raisons, gaspillant ainsi un potentiel incroyable. De même, je pense que l'une des principales raisons de la lenteur de la recherche innovante en dermatologie est que son modèle de rémunération attire des médecins talentueux qui ne s'intéressent pas à la recherche.

    Remarque : l'un des plus grands défis en dermatologie est que diagnostiquer avec précision toutes les différentes lésions cutanées existantes requiert une intelligence et une formation considérables (ce qui est impossible pour la plupart des médecins hors de cette spécialité). Étant donné l'existence de nombreuses lésions cutanées complexes, il est important que les médecins soient là pour les traiter (même s'il est tout à fait possible que, dans les années à venir, les technologies de diagnostic par IA résolvent certains de ces problèmes). La transformation de la dermatologie
    Il n'y a pas si longtemps, la dermatologie était l'une des professions les moins recherchées, car elle se limitait essentiellement au traitement de l'acné et des boutons, avant l'arrivée de l'Accutane (qui, contrairement à la plupart des médicaments, est efficace, mais malheureusement extrêmement toxique et a handicapé définitivement quelques personnes que je connaissais bien).

    Un blog relativement méconnu du dermatologue David J. Elpern (découvert par Robert Yoho) explique enfin ce qui s'est passé :

    Au cours des 40 dernières années, j'ai été témoin de ces changements dans ma spécialité et je suis consterné par la réticence de mes collègues à les aborder. Cette tendance a débuté au début des années 1980, lorsque l'Académie de dermatologie (AAD) a demandé à ses membres plus de 2 millions de dollars pour engager une importante agence de publicité new-yorkaise afin de mieux faire connaître notre spécialité. Ces experts ont recommandé de sensibiliser le public au fait que les dermatologues sont des experts du cancer de la peau, et pas seulement des spécialistes de l'acné ; c'est ainsi qu'a été instaurée la Journée nationale gratuite de dépistage du cancer de la peau.

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  23. Ces dépistages contribuent à accroître l'anxiété du public face au cancer de la peau et ont conduit à la réalisation d'un grand nombre d'interventions coûteuses et peu coûteuses pour le cancer de la peau et la kératose actinique (KA). Parallèlement, les pathologistes ont élargi leurs définitions du mélanome, ce qui a entraîné une « dérive diagnostique » qui a faussement augmenté l'incidence du mélanome, alors que la mortalité est restée aux niveaux de 1980. Parallèlement, les cancers cutanés autres que le mélanome sont surtraités par des armées de chirurgiens micrographes qui traitent souvent des cancers cutanés inoffensifs par des interventions chirurgicales inutilement agressives et lucratives.

    Un article de revue de 2021 apporte un contexte supplémentaire aux propos du Dr Elpern :

    Le dépistage du cancer de la peau a débuté au niveau communautaire dans les années 1970. Le premier programme public national de dépistage du cancer de la peau a été lancé par l’Académie américaine de dermatologie en 1985, après que l’augmentation de l’incidence et de la mortalité du mélanome malin a suscité une attention croissante au début des années 1980. Dès les premières années du programme, le président Ronald Reagan a signé des proclamations instaurant la « Semaine nationale de prévention et de détection du cancer de la peau » et la « Semaine de détection et de prévention du mélanome/cancer de la peau chez les Américains âgés », et l’examen cutané corporel complet est devenu la référence en matière de dépistage du cancer de la peau.

    Remarque : cet article souligne également que le gouvernement américain doute depuis longtemps de l’utilité de ces dépistages et que le secteur de la dermatologie a constamment dû faire pression pour trouver des solutions.

    En bref, comme cela s’est produit à maintes reprises aux États-Unis, une campagne de relations publiques remarquablement sophistiquée a été lancée pour transformer la société au profit d’une industrie.

    Remarque : dans un article récent sur les profonds changements psychologiques provoqués par la vaccination dans la société américaine (que la majorité des lecteurs ont également constatés, comme le montrent les sondages), j’ai évoqué la volonté généralisée d’imposer la « diversité de genre » à nos enfants. Comme l’ont souligné de nombreux commentateurs, ce changement soudain ne pouvait s’expliquer que par une vaste opération de relations publiques, financée, en réalité, par un groupe de milliardaires activistes désireux de transformer la société.

    Je suis quasiment certain que quelques-uns des éléments clés de cette campagne étaient :

    • La reconnaissance du fait que les cancers de la peau sont de loin les cancers les plus faciles à diagnostiquer (puisqu’il suffit de les voir).

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  24. Remarque : le cancer de la peau est le cancer le plus fréquent aux États-Unis. Cependant, s'il existait un moyen simple (ce qui n'est pas le cas) de détecter les lésions précancéreuses dans le corps ou les tumeurs mineures (contenues), le cancer de la peau cesserait rapidement d'être le cancer le plus fréquent, car nous avons tous de nombreuses petites tumeurs que notre corps est capable de traiter.

    • Diaboliser le soleil, car cela permettait aux dermatologues de se présenter comme des héros et de susciter un maximum d'anxiété face au soleil, d'autant plus que l'investissement psychologique qu'ils devaient consentir en appliquant constamment de la crème solaire les incitait davantage à consulter leur dermatologue.

    • Leur permettre de créer un entonnoir de vente massif en leur permettant de réaliser un nombre considérable d'examens cutanés complets de routine (sur des personnes par ailleurs en bonne santé) et donc de disposer d'un vaste vivier de cancers potentiels à biopsier ou à exciser (retrait).
    Remarque : outre le fait qu'il s'agit d'un entonnoir de vente, les dermatologues sont rémunérés pour utiliser de l'azote liquide afin de geler chaque lésion « précancéreuse » détectée sur le patient lors d'un rendez-vous (ce qui ne prend que quelques secondes et ajoute environ 100 dollars au remboursement de la consultation). Malheureusement, même si cette procédure est souvent présentée comme l’élimination d’un précancer, les recherches montrent que la plupart disparaissent d’elles-mêmes (55 % en un an, 70 % en 5 ans) et que très peu d’entre elles deviendront un carcinome épidermoïde (0,6 % en un an et 2,57 % en 4 ans), ce qui rend difficile de justifier le coût de cette procédure, d’autant plus qu’elle n’est pas sans effets secondaires.

    Pour la plupart des tumeurs cutanées bénignes, « la décision de recourir à la chirurgie micrographique de Mohs est probablement motivée par un avantage économique pour le praticien plutôt que par un avantage clinique substantiel pour le patient », a écrit le Dr Robert Stern, dermatologue à Harvard. Il a souligné qu'en 2012, les États-Unis ont dépensé plus de 2 milliards de dollars, selon les estimations, pour la chirurgie de Mohs, avec de grandes variations dans son utilisation : même pour les zones sensibles comme le visage et les mains, elle a été utilisée dans 53 % des cas au Minnesota, contre seulement 12 % au Nouveau-Mexique. Le Dr Stern a estimé que près de 2 % des bénéficiaires de Medicare souffraient de la maladie de Mohs cette année-là.

    Remarque : Le Dr Stern a indiqué à Elisabeth Rosenthal qu'il faisait partie d'un panel réuni en 2012 par les sociétés professionnelles de dermatologie pour évaluer le moment opportun pour recourir à la chirurgie de Mohs (en raison des inquiétudes de Medicare concernant sa surutilisation). En raison de la structure procédurale de la réunion, le panel a finalement approuvé 83 % des indications possibles pour une chirurgie de Mohs, ce qui a conduit, selon Stern, à ce que « beaucoup d'entre nous ont été surpris de constater que de nombreux points initialement controversés semblaient désormais positifs et unanimes. Comment cela a-t-il pu se produire ? Cela nous a mis très mal à l'aise… Il ne s'agissait pas d'un problème médical, mais d'un problème commercial.»

    - voir clip sur site -

    Pour illustrer les conséquences de ce changement de directives :

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  25. Au total, 10 726 dermatologues ont été identifiés dans la base de données, représentant 1,2 % de l'ensemble des professionnels de santé et 3 % du total des paiements Medicare (3,04 milliards de dollars sur environ 100 milliards de dollars) [alors que les dermatologues représentent un peu moins de 1 % des médecins du pays]. Le paiement médian par dermatologue était de 171 397 $. Le remboursement moyen pour l'E/M était de 77,59 $ par unité, tandis que pour la chirurgie de Mohs, le remboursement moyen par procédure était de 457,33 $ par unité. Parmi les dermatologues, 98,9 % ont perçu une rémunération pour une consultation générale et 19,9 % ont perçu des paiements pour une chirurgie de Mohs. Le paiement total aux dermatologues était le plus élevé pour la chirurgie de Mohs (756 millions de dollars), suivi de la chirurgie de Mohs (550 millions de dollars) et de la destruction de lésions précancéreuses [cryochirurgie] (516 millions de dollars) [puis de 289 millions de dollars pour les biopsies]. Comparés aux dermatologues à faible facturation, les dermatologues à forte facturation ont perçu une proportion plus élevée de paiements pour la chirurgie de Mohs et les lambeaux/greffes, et une proportion plus faible pour la consultation générale. Les 15,9 % des dermatologues les mieux rémunérés ont perçu plus de la moitié du total des paiements.

    Remarque : ce chiffre concernait 2013 et a probablement augmenté depuis (je n’ai pas trouvé d’étude plus récente, hormis un article indiquant qu’en 2015, 5,9 millions de biopsies cutanées ont été réalisées sur des bénéficiaires de la partie B de Medicare, soit une augmentation de 55 % par rapport à la décennie précédente). De plus, il faut garder à l'esprit que Medicare représente généralement environ 40 % du volume total de patients des dermatologues et environ 30 % de leur chiffre d'affaires (même si j'ai vu des estimations de chiffre d'affaires osciller entre 30 et 60 %), ce qui ne représente qu'une fraction de leurs revenus réels.

    Comme vous pouvez l'imaginer, cette opportunité a rapidement attiré l'attention de parties moins scrupuleuses cherchant à profiter de l'aubaine. Le New York Times a alors enquêté sur le secteur et a découvert :

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  26. • Des fonds d'investissement de Wall Street étaient entrés sur le marché et rachetaient des cabinets de dermatologie pour les doter d'infirmières et d'assistants médicaux (beaucoup moins chers à recruter que des médecins), malgré les annonces annonçant au public qu'ils consulteraient un médecin. C'était regrettable, car ces pseudo-dermatologues pratiquaient deux fois plus de biopsies de cancers cutanés suspects que les dermatologues (qui, en dix ans, étaient passés de la quasi-absence de biopsies facturées à Medicare à plus de 15 % d'entre elles). De même, ils ont souvent manqué des cancers réels ou diagnostiqué des lésions erronées dont tous les dermatologues pouvaient dire qu'il ne s'agissait pas d'un cancer (ce qui est également arrivé à des personnes que je connais qui ont fréquenté ce type de cliniques), à tel point que l'article du NYT de 2017 a pu en citer un exemple.
    Remarque : de nombreux dermatologues en exercice se sont plaints de cette pratique dans leurs revues universitaires (estimant qu'elle ruine la profession), mais cela ne l'a pas arrêtée (vu les sommes en jeu). Aujourd'hui, nombre d'entre eux se retrouvent confrontés à la situation suivante : s'ils tentent d'ouvrir leur propre cabinet dans une grande ville, ils se retrouvent confrontés à la concurrence d'une société de capital-investissement qui emploie de nombreux praticiens de niveau intermédiaire (bien connus). Ce n'est pas forcément une mauvaise chose, car cela les oblige à s'installer dans des régions où les médecins sont moins nombreux (ce qui constitue l'un des plus grands défis du système médical américain dans presque toutes les spécialités).

    •Des efforts importants (notamment de la part de médecins cupides) ont été déployés pour étendre cette franchise aux maisons de retraite. Par exemple, ils ont couvert un cabinet mobile du Michigan qui envoie des cliniciens dans 72 maisons de retraite où ils ont pratiqué des milliers de cryochirurgie, ainsi que de nombreuses injections de stéroïdes et interventions chirurgicales mineures. L'enquête a révélé que 75 % de ces patients étaient atteints de la maladie d'Alzheimer et que la plupart de leurs lésions cutanées étaient sans conséquence. De plus, ils ont cité une société d'analyse des soins de santé qui a examiné 17 820 examens réalisés sur des patients de plus de 65 ans au cours de leur dernière année de vie et a constaté que les biopsies cutanées et la congélation de lésions précancéreuses étaient fréquemment pratiquées, souvent des semaines avant le décès.

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  27. •C'est regrettable car :

    Le Dr Linos a ajouté que les médecins sous-estiment les effets secondaires des interventions contre le cancer de la peau. Des complications telles qu'une mauvaise cicatrisation, des saignements et des infections sont fréquentes dans les mois suivant le traitement, en particulier chez les patients âgés présentant de multiples autres problèmes. Environ 27 % signalent des problèmes, selon ses recherches. Remarque : si, d’un point de vue esthétique, les chirurgies dermatologiques sont généralement très efficaces lorsqu’elles sont pratiquées par un dermatologue compétent sur un patient relativement âgé, on constate souvent que les cicatrices peuvent entraîner des problèmes chroniques (par exemple, des douleurs) nécessitant une prolothérapie ou une thérapie neurale pour les corriger. Ce phénomène est généralement le plus fréquent pour les chirurgies du visage, ce qui peut être dû à la sensibilité inhérente de cette région nerveuse supérieure, ou à une peau qui ne supporte pas d’être étirée puis suturée (ce qui est généralement le cas pour la chirurgie de Mohs). Après la publication de cet article, de nombreux lecteurs m’ont fait part de complications permanentes suite à une chirurgie cutanée (par exemple, une chirurgie de Mohs) qui n’a pas bien cicatrisé. Un chirurgien plasticien m’a également contacté pour me dire qu’il traite fréquemment ce type de cas (ce que d’autres chirurgiens plasticiens m’ont également confié).

    De ce fait, un énorme tunnel de vente existe : les patients sont d’abord terrorisés par le soleil, puis intégrés à un tunnel de vente massif pour vendre ces chirurgies lucratives. Heureusement, beaucoup commencent à s'en rendre compte. Par exemple, après avoir été contraint de suivre ce processus dans une clinique de dermatologie, l'humoriste Jimmy Dore a reçu cet article, expliquant qu'il considérait cette opération comme une vaste arnaque.

    - voir clip sur site -

    En conclusion, je dirai que l'un des aspects qui m'ont toujours dérangé dans certains cabinets de dermatologie que j'ai suivis était leur côté « commercial ». Les mêmes scénarios étaient répétés à l'envi pour faire progresser les patients dans le processus de vente des produits contre le cancer de la peau, tandis que les dermatologues étaient très attentifs à ce que tout et tout le monde soit aussi beau que possible (tout en diffusant de nombreuses publicités destinées à flatter les insécurités physiques de leurs patientes).

    Je tiens toutefois à souligner que certains cancers de la peau (par exemple, de nombreux mélanomes) nécessitent une ablation immédiate. Mon objectif est de vous encourager à ne pas éviter complètement les dermatologues, mais plutôt à envisager de demander un deuxième avis à un autre dermatologue si vous avez un doute sur ce qui vous a été suggéré, car il existe également de nombreux dermatologues excellents et éthiques dans ce domaine.

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  28. Évolution du cancer de la peau

    Compte tenu des sommes considérables investies pour éradiquer le cancer de la peau, on pourrait s'attendre à des résultats. Malheureusement, comme pour de nombreux autres aspects du secteur du cancer, ce n'est pas le cas. Au contraire, on observe régulièrement une augmentation du nombre de cancers (auparavant bénins) diagnostiqués, mais, dans la plupart des cas, aucun changement significatif du taux de mortalité n'est observé.

    - voir graph sur site -

    La meilleure preuve en est fournie par cette étude, qui a examiné le type de mélanome malin réellement biopsié et a constaté que la quasi-totalité de l'augmentation des « cancers de la peau » concernait les mélanomes de stade 1, qui posaient rarement problème :

    - voir graph sur site -

    Cette étude illustre parfaitement les résultats de notre lutte contre le cancer de la peau :

    - voir graph sur site -

    Enfin, comme beaucoup soupçonnaient que les vaccins contre la COVID pourraient entraîner une augmentation des mélanomes (ou d’autres cancers de la peau), et que je ne trouvais pas de statistiques à ce sujet en ligne, j’ai décidé de les créer en compilant tous les rapports annuels disponibles de l’American Cancer Society sous forme de graphiques :

    - voir graph sur site -

    Gérer le cancer de la peau et le soleil

    L’objectif principal de cet article était de vous donner les moyens d’agir et de surmonter la peur du cancer que la dermatologie a utilisée pour promouvoir ce modèle économique lucratif.

    N’hésitez pas à partager cet article !

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    Néanmoins, je reconnais que cet article soulève également quelques questions évidentes, telles que :

    • Existe-t-il des alternatives moins invasives aux chirurgies du cancer de la peau ?

    • Quelle est la meilleure façon d'interagir en toute sécurité avec le soleil (par exemple, quelles sont les approches les plus sûres en matière de protection solaire) ?

    • Quelles sont les causes réelles du cancer de la peau et comment le prévenir ?

    Dans la dernière partie de cet article, je partagerai nos réflexions actuelles sur chacune de ces questions.

    https://www.midwesterndoctor.com/p/dermatologys-disastrous-war-against-f81?utm_source=post-email-title&publication_id=748806&post_id=164897873&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  29. Un enfant de trois ans ayant été exposé in utero à un vaccin maternel contre le SARS-CoV-2 à base d’ARNm. MALADE 3 ANS APRÈS


    le 2 juin 2025
    par pgibertie


    Présence de fibres AMYLOIDES chez un enfant dont la mère a été injectée avec un produit anti-covid à ARNm modifié au cours de la grossesse.

    « Nous rapportons la présence de fibrilles amyloïdogènes (morgelons) dans le sang périphérique d’un enfant de trois ans ayant été exposé in utero à un vaccin maternel contre le SARS-CoV-2 à base d’ARNm. Grâce à la microscopie à fluorescence et à la microscopie électronique à balayage (MEB), des structures fibrillaires persistantes ont été identifiées, présentant une morphologie de type amyloïde et des caractéristiques autofluorescentes.

    Cet article examine la plausibilité physiopathologique de ces résultats, évalue les contre-arguments concernant la persistance des composants du vaccin et le transfert placentaire, et compare les structures observées aux amyloïdes canoniques et aux plaques athéroscléreuses.

    Nous concluons par une analyse contextuelle reliant ces observations aux origines du SARS-CoV-2 et à ses contre-mesures, issues de recherches liées à la guerre biologique menées au sein d’institutions universitaires civiles sous la rubrique Dual Use Research of Concern (DURC). »

    Non seulement les nanoparticules lipidiques à ARNm modifié peuvent traverser la barrière placentaire, mais la persistance de la Spike fait craindre le pire pour les futures générations. (Les références sont sur les screens shots du Substack rédigé par le Dr. Kevin McCairn,

    @KevinMcCairnPhD

    … que je vous recommande de lire ! Le Substack est en lien dans le post que je RT en le citant). Vous n’avez pas idée du désastre que cela représente, ni pour vous, ni pour les enfants. Le virus, par sa Spike, est une arme biologique prion (dégénérative)… et ils nous ont injectés des particules lipidiques capable de délivrer le code ARN pour que nos cellules produisent cette arme prionogène. Et ces nanoparticules se distribuent partout dans le corps… jusqu’aux fœtus. Et ils ont injecté cette arme aux femmes enceintes..

    . La persistance de la Spike provient des mécanismes moléculaires de tolérance immunitaire. Il est plus que temps de s’atteler à cette problématique… si on veut trouver des solutions thérapeutiques, il va falloir regarder les phénomènes dans leur ensemble. Ce n’est pas que la possible intégration au génome ou les plasmides… la latence du virus (et sa réactivation potentielle), la persistance de la Spike, ou encore l’intégration au génome, ces trois événements sont initiés grâce aux mécanismes moléculaires de tolérance immunitaire… car la tolérance immunitaire donne le temps nécessaire pour qu’ils puissent se mettre en place. Est-ce que vous comprenez ?

    Ensuite la Spike peut développer ses capacités de destruction dans le temps. La tolérance immunitaire va tuer plus que la tempête cytokinique. Je ne sais plus comment le dire ou comment alerter. https://x.com/AnneliseBocquet/status/1925988211114860587?t=-h4r8a6zEUnqsdoIFvneBg&s=19…

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  30. @AnneliseBocquet

    Allez, je donne de plus amples détails concernant le cas de cet enfant… « Contexte du cas : L’enfant est né prématurément à 35 semaines de gestation, une semaine après la deuxième dose du vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) administrée à sa mère. L’enfant est né sans signes vitaux et a nécessité une réanimation d’urgence. La forte corrélation temporelle suggère une réaction indésirable materno-fœtale significative. Au cours des trois années suivantes, l’enfant a présenté des dysfonctionnements immunitaires récurrents, notamment une amygdalectomie et de multiples interventions chirurgicales pour des otites moyennes persistantes. La fréquence inhabituelle des maladies infectieuses courantes et l’altération des réponses immunitaires ont incité à approfondir les recherches sur les pathologies systémiques.

    Des échantillons de sang total ont été analysés par microscopie à fluorescence avec coloration à la thioflavine T (ThT) et MEB. Dans les deux modalités d’imagerie, des structures fibrillaires présentant des caractéristiques amyloïdes ont été identifiées. » On en est où niveau des naissances et mortinaissances après injection anti-covid ? En France ? Dans le monde ? Combien d’enfants contaminés et subissant une Spikeopathie ?

    - voir doc sur site :

    https://pgibertie.com/2025/06/02/un-enfant-de-trois-ans-ayant-ete-expose-in-utero-a-un-vaccin-maternel-contre-le-sars-cov-2-a-base-darnm-malade-3-ans-apres/

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    1. Grâce au nano particules d'oxyde de graphène* injectées le corps est dévoyé, ce ne sont plus votre cerveau qui commande mais les messages envoyés vers VOS nano particules qui circulent dans VOTRE sang via VOTRE téléphone portable qui se charge de la transition. VOTRE corps ne vous appartient plus ! VOUS recevez des ordres: VOUS les exécutez ! "Roulez à gauche ! Roulez à gauche ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Sautez par la fenêtre ! Sautez par la fenêtre !"

      ET VOUS LE FEREZ !

      * Ces nano particules d'oxyde de graphène ont été découvertes dès leurs sorties de laboratoires nazis par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables.

      1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
      a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
      b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !

      2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
      Par contre existe une expérimentation génique d'essais.

      3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:

      Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!

      + des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).

      + des spikes !!

      + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!

      4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!

      5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !

      6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.

      7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
      Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.

      8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
      Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!

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  31. Soins oculaires holistiques et pratiques ancestrales remettent en cause la domination de la chirurgie dans le traitement de la cataracte


    31/05/2025
    Willow Tohi


    Les techniques de médecine traditionnelle chinoise (MTC), notamment les exercices oculaires et les ajustements cervicaux, semblent prometteuses pour inverser les cataractes à un stade précoce dans certains cas.

    L'apport d'antioxydants alimentaires et la réduction du temps passé devant les écrans atténuent les risques, tandis que les technologies émergentes comme les écrans numériques protègent la santé oculaire.

    Les approches holistiques privilégient les changements de mode de vie, mais ne peuvent remplacer la chirurgie dans les cas avancés.
    Les preuves scientifiques concernant les compléments alimentaires et les remèdes à base de plantes sont mitigées ; des recherches supplémentaires sont nécessaires.
    Les patients sont encouragés à associer les méthodes ancestrales à la médecine moderne pour des résultats optimaux en matière de soins oculaires.
    Dans un contexte de sensibilisation croissante à la santé mondiale, les thérapies naturelles telles que les exercices oculaires de la MTC et les interventions diététiques gagnent en popularité comme alternatives à la chirurgie de la cataracte, longtemps considérée comme le remède définitif. Des études de cas récentes rapportent des cas où des patients ont inversé des cataractes à un stade précoce grâce à des pratiques holistiques cohérentes, remettant en question les paradigmes médicaux conventionnels. Alors que la cataracte touche plus de 20 millions d'adultes dans le monde et qu'elle est exacerbée par la fatigue oculaire liée aux écrans, le débat sur les solutions non invasives s'intensifie.

    La révolution de la MTC : des études de cas bouleversent les idées reçues

    La médecine traditionnelle chinoise, ancrée dans des pratiques remontant à la dynastie Ming, postule que les maladies oculaires résultent de déséquilibres énergétiques, et non seulement de défauts anatomiques. Un texte vieux de plusieurs siècles, Yang Sheng Lei Yao, détaille des exercices oculaires, tels que la rotation des globes oculaires et la méditation palmaire, pour restaurer la clarté oculaire. Des témoignages récents de réussite le confirment :

    Une femme de 50 ans, atteinte d'une perte quasi totale de la vision de l'œil droit, a recouvré la vue en six mois grâce à des massages et des toniques oculaires quotidiens, à la surprise de son ophtalmologue.

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  32. Une autre patiente a annulé son opération après deux semaines d'exercices rigoureux, mais une rechute est survenue à l'arrêt des exercices, ce qui témoigne du rôle de la constance. La MTC cible également les principaux points de pression autour des yeux, les reliant aux systèmes organiques via le système Bagua (Huit Trigrammes). Cette approche holistique, peu courante en médecine occidentale, met en évidence le lien entre les yeux et la santé cervicale : les patients combinant exercices oculaires et ajustements cervicaux ont signalé un ralentissement de la progression du glaucome ou une stabilisation de la pression intraoculaire.

    Cependant, le consensus médical conventionnel classe ces inversions comme des cas aberrants. L’Organisation mondiale de la Santé affirme qu’une fois formée, la cataracte est irréversible sans intervention chirurgicale, ce qui contraste fortement avec les défenseurs de la MTC qui privilégient une intervention précoce.

    Perspectives scientifiques : Efficacité et preuves à l’honneur

    Si les études de cas incitent à l’optimisme, les arguments scientifiques rigoureux en faveur de la MTC concernant la cataracte restent rares. Une étude de 2021 sur les écrans numériques – une alternative recommandée par la MTC aux écrans nocifs – a validé leur rôle dans la réduction de la fatigue oculaire, mais les preuves d’une inversion par l’exercice ne sont pas concluantes.

    La science diététique offre des perspectives plus claires. Les antioxydants comme les vitamines C et E, la lutéine et les acides gras oméga-3 ont démontré leur efficacité pour ralentir la progression de la cataracte. Une étude australienne menée sur 10 ans a montré qu'une alimentation riche en ces nutriments réduisait le risque de cataracte, corroborant l'importance accordée par la médecine traditionnelle chinoise aux aliments riches en nutriments comme les légumes-feuilles et les céréales complètes. Cependant, les compléments alimentaires à eux seuls ne suffisent pas à guérir. Des chercheurs de Harvard mettent en garde contre l'absence d'études cliniques solides sur les allégations excessives concernant les vitamines E et B6.

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  33. Les remèdes à base de plantes, notamment le curcuma et le Triphala, font l'objet d'une surveillance similaire. Si les études en laboratoire suggèrent des propriétés anti-inflammatoires, la plupart des essais sur l'homme restent préliminaires. Le Dr Sushrut Appajigowda, ophtalmologue à Bangalore, souligne : « Les traitements naturels peuvent retarder les symptômes, mais il n'existe aucune preuve scientifique de leur efficacité pour inverser les cataractes existantes. » Le mode de vie comme thérapie : Nutrition, technologie et habitudes préventives
    Au-delà des pratiques ancestrales, les changements de mode de vie modernes s’intègrent parfaitement aux soins holistiques :

    Yeux et écrans : L’Américain moyen passe neuf heures par jour devant un écran, exposant ses yeux à une lumière bleue nocive. Adopter des lecteurs à encre électronique, sans scintillement ni éblouissement, peut limiter les dommages. Une étude de 2021 a révélé qu’ils réduisaient la fatigue oculaire de 30 % par rapport aux écrans LCD classiques.

    Alimentation : La consommation de jus de carotte, de myrtilles et de poissons d’eau froide complète l’action des antioxydants. Les patients diabétiques peuvent ralentir l’opacification du cristallin en contrôlant leur glycémie.

    Mouvement et repos : Toutes les 50 minutes de temps passé devant un écran devraient inclure une pause de 10 minutes ; le yoga et les ajustements cervicaux selon la médecine traditionnelle chinoise (MTC) améliorent le flux sanguin vers le nerf optique et réduisent les tensions cervicales.
    Le contexte historique renforce ces tendances : l’accent mis par la MTC sur la prévention reflète les mouvements actuels de « bien-être », tandis que les innovations comme les lentilles intraoculaires (LIO) reflètent les avancées médicales. Pourtant, ces deux approches convergent dans la reconnaissance des systèmes interconnectés du corps, un principe qui gagne du terrain en médecine intégrative.

    La voie à suivre : intégrer les méthodes holistiques aux soins médicaux
    Pour des millions de personnes, la perspective alléchante d’éviter la chirurgie incite à explorer des thérapies alternatives. Ananthramam Reddy, praticien en médecine traditionnelle chinoise basé à Delhi, déclare : « Tout est une question de synergie. Même les personnes opérées peuvent bénéficier de soins holistiques avant et après le traitement.»

    Cependant, les experts mettent en garde contre toute complaisance. Les lésions irréversibles du nerf optique et les cataractes avancées liées au glaucome nécessitent une intervention chirurgicale. Katie Lee (auteure d’une étude de 2024), épidémiologiste spécialisée en vision à l’Université Johns Hopkins, souligne : « Si les méthodes naturelles peuvent retarder l’apparition de la cataracte, retarder une intervention chirurgicale nécessaire risque d’aggraver la perte de vision.»

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  34. Un mélange d’ancien et de nouveau pour la santé visuelle

    La crise mondiale de la cataracte exige une approche pragmatique : les techniques anciennes offrent des outils efficaces pour les cas précoces et les soins préventifs, mais doivent coexister avec la rigueur de la médecine moderne. Comme l’a souligné un patient : « Ces méthodes m’ont apporté des mois de clarté, je n’étais pas encore prête à abandonner. » Les nouveaux modèles hybrides, comme l'acupuncture associée aux médicaments, sont prometteurs, mais la transparence quant à leur efficacité est essentielle.

    Dans un paysage sanitaire de plus en plus méfiant à l'égard des soins pharmaceutiques, le retour en force de la MTC souligne une vérité universelle : la vue, comme la santé globale, repose sur un équilibre entre tradition et science, autonomie et conseils spécialisés.

    Sources for this article include:

    TheEpochTimes.com
    VijayaNethralaya.com
    EyeClinicLondon.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-31-ancient-practices-challenge-surgerys-reign-in-cataract-treatment.html

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  35. Décrypter le code de l'autisme : Comment les hormones et le placenta influencent le développement cérébral


    31/05/2025
    Olivia Cook


    Les TSA touchent environ 1 enfant sur 36, les garçons étant diagnostiqués quatre fois plus souvent que les filles. La génétique à elle seule n'explique pas entièrement ce trouble, ce qui incite les chercheurs à explorer les facteurs hormonaux et environnementaux pendant la grossesse.

    Trois hormones clés – la testostérone, les hormones thyroïdiennes et les glucocorticoïdes (hormones du stress) – contribuent au développement du cerveau du fœtus. Des déséquilibres de ces hormones pendant la grossesse pourraient contribuer au risque d'autisme.

    Le placenta régule les taux d'hormones, les réponses immunitaires et le flux de nutriments entre la mère et l'enfant. Les perturbations dues au stress, à l'inflammation ou aux toxines environnementales peuvent altérer le développement du fœtus, augmentant potentiellement le risque de TSA.
    Le cerveau des hommes pourrait être plus sensible aux perturbations hormonales et les femmes auraient un chromosome X supplémentaire qui pourrait leur offrir une protection génétique. Le placenta pourrait également fonctionner différemment selon le sexe de la femme pendant la grossesse, entraînant des vulnérabilités spécifiques à chaque sexe. Les scientifiques étudient les marqueurs placentaires et les déséquilibres hormonaux comme indicateurs précoces potentiels des TSA. Comprendre ces influences prénatales pourrait permettre un diagnostic plus précoce et de nouvelles stratégies pour favoriser un développement cérébral sain.

    Le trouble du spectre autistique (TSA) est l'un des troubles neurodéveloppementaux les plus complexes et les moins bien compris, touchant aujourd'hui environ un enfant sur 36. Les garçons sont diagnostiqués TSA environ quatre fois plus souvent que les filles, un écart frappant entre les sexes qui intrigue les chercheurs depuis des années. Si la génétique joue un rôle important, elle ne dit pas tout. De plus en plus de données suggèrent que les influences hormonales in utero – ainsi que le placenta, lien vital entre la mère et l'enfant – pourraient détenir des indices essentiels pour comprendre pourquoi certains enfants développent des TSA.

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  36. Depuis des décennies, les scientifiques étudient l'interaction de divers facteurs pour façonner le développement du cerveau. Bien que des mutations génétiques liées à l'autisme aient été identifiées, de nombreux enfants diagnostiqués TSA ne présentent aucune anomalie génétique connue. Cela suggère que d'autres influences, notamment les expositions environnementales, les déséquilibres hormonaux et les perturbations du système immunitaire, pourraient contribuer au risque de TSA.

    Une étude publiée dans The Neuroscientist en septembre 2020 met en lumière un acteur clé de ce processus : le placenta. Cet organe temporaire, souvent négligé dans les discussions sur le développement cérébral, régule le flux d'hormones, de signaux immunitaires et d'hormones de la mère à l'enfant. Toute perturbation de ce système délicat, qu'elle soit causée par des toxines environnementales, des problèmes de santé maternelle ou un stress prénatal, pourrait favoriser des différences neurodéveloppementales qui se manifesteront plus tard par des TSA.

    Pendant la grossesse, trois types d'hormones jouent un rôle crucial dans la formation du cerveau du fœtus : les hormones gonadiques (comme la testostérone), les hormones thyroïdiennes et les glucocorticoïdes (hormones du stress). Ces messagers chimiques agissent comme des « architectes », influençant la structure et le fonctionnement du cerveau avant la naissance. Des taux trop élevés ou trop faibles peuvent augmenter le risque de TSA.

    L'hypothèse du « cerveau masculin extrême »

    L'une des théories les plus connues reliant les hormones à l'autisme est l'hypothèse du « cerveau masculin extrême ». Des chercheurs ont découvert que les personnes atteintes de TSA présentent souvent des traits cognitifs qui privilégient la systématisation (une concentration intense sur les schémas, les règles et les structures) plutôt que l'empathie, la capacité à interpréter les émotions et les signaux sociaux. Ce schéma est plus fréquent chez les hommes et pourrait être influencé par l'exposition prénatale à la testostérone.

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  37. Des études mesurant les taux d'hormones dans le liquide amniotique ont montré que les enfants qui développent un TSA ont tendance à être exposés à des taux de testostérone supérieurs à la moyenne dans l'utérus. Le rapport entre le majeur et l'annulaire (rapport 2D:4D), un marqueur connu de l'exposition prénatale aux androgènes, est souvent plus faible chez les personnes atteintes de TSA. De plus, les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), une affection liée à des taux de testostérone élevés, sont plus susceptibles d'avoir des enfants autistes. Ces résultats suggèrent qu'un taux élevé de testostérone prénatal pourrait contribuer à la prédominance masculine observée dans les TSA.

    Hormones thyroïdiennes et développement cérébral

    Les hormones thyroïdiennes sont essentielles à la croissance cérébrale du fœtus, guidant tout, de la formation des neurones au développement des synapses. Un excès ou un manque d'hormones thyroïdiennes pendant la grossesse ont été associés à un risque accru de TSA. Les troubles thyroïdiens maternels, notamment l'hypothyroïdie, peuvent modifier la quantité d'hormones thyroïdiennes traversant le placenta, ce qui peut affecter le développement neurologique du bébé.

    Le placenta joue un rôle de gardien dans ce processus. Il contrôle la quantité d'hormones thyroïdiennes qui parvient au fœtus, assurant ainsi un équilibre fragile. Si la fonction placentaire est altérée – en raison de toxines environnementales, d'une inflammation ou du stress – cela pourrait perturber la régulation des hormones thyroïdiennes et contribuer au risque de troubles du développement neurologique.

    Glucocorticoïdes : le facteur de stress

    Les glucocorticoïdes, communément appelés hormones du stress, sont un autre facteur essentiel au développement cérébral du fœtus. Bien que nécessaires à la survie, une exposition excessive aux hormones du stress in utero peut altérer la connectivité neuronale et augmenter le risque de troubles du développement neurologique, notamment les TSA.

    Le placenta limite normalement l'exposition du fœtus aux hormones du stress maternelles, évitant ainsi que le cerveau en développement ne soit surchargé. Cependant, cette barrière protectrice peut s'affaiblir en raison d'un stress chronique, d'une maladie ou d'une inflammation. Certaines études suggèrent que le stress prénatal pourrait déclencher des réactions inflammatoires dans le placenta, perturbant davantage les taux hormonaux et augmentant la susceptibilité à l'autisme.

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  38. Pourquoi les garçons sont-ils plus touchés ? L'un des plus grands mystères de la recherche sur l'autisme réside dans la fréquence accrue de diagnostics chez les hommes. Si l'exposition aux hormones in utero explique en partie ce phénomène, d'autres facteurs pourraient également être en jeu.

    Les femmes possèdent deux chromosomes X, ce qui pourrait constituer une protection génétique contre les mutations liées aux TSA. De plus, certains chercheurs pensent que le cerveau féminin est plus résistant aux perturbations du développement, peut-être en raison de différences de sensibilité hormonale ou de fonction immunitaire. Le placenta lui-même pourrait également réagir différemment lors des grossesses masculines et féminines, entraînant des vulnérabilités spécifiques à chaque sexe.

    De multiples facteurs de risque

    Au lieu de se concentrer sur une seule cause de l'autisme, les chercheurs commencent à reconnaître que de multiples facteurs de risque – génétique, expositions environnementales, hormones et stress – convergent au niveau du placenta. Cet organe temporaire agit comme un centre névralgique, régulant les taux d'hormones, les réponses immunitaires et le transfert de nutriments entre la mère et l'enfant.

    Une perturbation de la fonction placentaire peut altérer profondément le développement cérébral du fœtus. Des études ont montré que les anomalies microscopiques de la structure placentaire sont plus fréquentes lors des grossesses où l'enfant reçoit ultérieurement un diagnostic de TSA. Cela suggère que la santé placentaire pourrait être un indicateur clé du risque d'autisme bien avant l'apparition des symptômes.

    Regardez cette vidéo sur les hormones, la santé et l'harmonie.

    This video is from the Jeybee Enterprise channel on Brighteon.com.

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    Sources include:

    AutismSpeaks.org
    Journals.SagePub.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-31-how-hormones-and-placenta-shape-brain-development.html

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  39. RFK Jr. abandonne le vaccin contre la COVID-19 pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes, alors que la menace OMS-Biolab s'intensifie


    Par Nicolas Hulscher et Brannon Howse
    Recherche mondiale,
    31 mai 2025


    J'ai rejoint Brannon Howse Live pour déballer l'une des semaines les plus cruciales dans les retombées du vaccin COVID-19.

    Quelques jours seulement après que le témoignage viral du Dr Peter McCullough au Sénat a révélé les risques mortels des vaccins à ARNm contre la COVID-19 – soutenus par la littérature évaluée par des pairs – RFK Jr. a annoncé la suppression immédiate des recommandations de vaccination contre la COVID-19 pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes.

    Ces événements signalent que la vérité éclate enfin au grand jour. Mais si cela marque un tournant majeur, c'est loin d'être suffisant. Les vaccins resteront recommandés pour les groupes « à haut risque » , qui constituent la majorité de la population.

    L' Accord sur la pandémie récemment ratifié par l'OMS favorise des injections expérimentales accélérées, une surveillance mondiale et une coordination renforcée avec les laboratoires à haut risque grâce à des systèmes mondiaux de partage d'agents pathogènes. Des agents pathogènes modifiés à potentiel pandémique – H5N1, Marburg et autres – sont encore dans les congélateurs, attendant d'être déployés lors de la prochaine urgence mondiale artificielle.

    RFK Jr. retire le vaccin contre la COVID-19 du calendrier des CDC pour les enfants et les femmes enceintes en bonne santé

    - voir clip sur site -

    RFK Jr. a officiellement annoncé le retrait des injections d'ARNm contre la COVID-19 du calendrier vaccinal des CDC pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes. Cette annonce avait été officieuse il y a quelques semaines. Il est réjouissant de constater que cela s'est avéré vrai.
    Cette décision fait suite à des preuves croissantes de préjudice et intervient quelques jours seulement après que l’attention nationale s’est portée sur les décès dus aux vaccins, discutés au Sénat américain .
    Mais cette mesure s'arrête là. Les vaccins resteront recommandés pour les groupes dits « à haut risque », qui comprennent la majorité des Américains et les nourrissons atteints de maladies chroniques, malgré les pertes humaines comparables à celles d'une guerre mondiale .

    *

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    Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough

    La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
    par Michel Chossudovsky

    Michel Chossudovsky analyse en détail comment ce projet insidieux « détruit la vie des gens ». Il propose une analyse complète de tout ce qu'il faut savoir sur la « pandémie » : des dimensions médicales aux répercussions économiques et sociales, en passant par les fondements politiques et les impacts mentaux et psychologiques.

    Mon objectif en tant qu'auteur est d'informer le monde entier et de réfuter le discours officiel qui a servi de prétexte à la déstabilisation du tissu économique et social de pays entiers, suivie de l'imposition du vaccin « mortel » contre la COVID-19. Cette crise touche l'humanité tout entière : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.

    Avis

    Il s'agit d'une ressource approfondie d'un grand intérêt si c'est la perspective plus large que vous souhaitez comprendre un peu mieux, l'auteur est très compétent en géopolitique et cela se reflète dans la manière dont Covid est contextualisé. — Dr. Mike Yeadon

    Dans cette guerre contre l'humanité dans laquelle nous nous trouvons, dans cet assaut singulier, irrégulier et massif contre la liberté et la bonté des gens, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. – Dr. Emanuel Garcia

    En quinze chapitres concis et scientifiques, Michel retrace la fausse pandémie de Covid-19, expliquant comment un test PCR, produisant jusqu'à 97 % de faux positifs avérés, combiné à une campagne de peur incessante 24h/24 et 7j/7, a pu créer une « plandémie » mondiale semant la panique. Cette pandémie n'aurait jamais été possible sans le tristement célèbre test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) modifiant l'ADN, qui, à ce jour, est imposé à une majorité de personnes innocentes qui n'en ont aucune idée. Ses conclusions sont corroborées par des scientifiques de renom. — Peter Koenig

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  41. Le professeur Chossudovsky révèle la vérité : « Il n’existe aucun lien de cause à effet entre le virus et les variables économiques. » Autrement dit, ce n’est pas la COVID-19, mais la mise en œuvre délibérée de confinements illogiques et scientifiquement infondés qui a provoqué l’arrêt de l’économie mondiale. – David Skripac

    La lecture du livre de Chossudovsky offre un enseignement complet sur la manière dont un coup d'État mondial, appelé « La Grande Réinitialisation », est en cours et qui, s'il n'est pas combattu et déjoué par les peuples épris de liberté du monde entier, engendrera un avenir dystopique encore inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu'il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d'informations et d'analyses précieuses réunies en un seul endroit. – Edward Curtin

    ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, Livre numérique PDF, Pages : 164, 15 chapitres

    Prix ​​: 11,50 $ EXEMPLAIRE GRATUIT ! Cliquez ici (docsend) et téléchargez-le .

    Vous pouvez également accéder à la version en ligne du livre électronique en cliquant ici .

    https://www.globalresearch.ca/rfk-jr-drops-covid-shot-healthy-kids-pregnant-women/588872

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    1. (...) Mon objectif en tant qu'auteur est d'informer le monde entier et de réfuter le discours officiel qui a servi de prétexte à la déstabilisation du tissu économique et social de pays entiers, suivie de l'imposition du vaccin « mortel » contre la COVID-19. Cette crise touche l'humanité tout entière : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant. (...)

      Très bon exemple !

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  42. Ça alors ! La FR a “perdu le contrôle sur ses finances publiques” !


    Nathalie MP Meyer
    1 juin 2025


    Encore une alerte sur la dette et les déficits publics de la France ! La Cour des comptes vient en effet de rendre un rapport sur les finances de notre sécurité sociale (maladie, accidents du travail, autonomie, retraite, famille) d’où il ressort que l’année 2024 s’est conclue sur un déficit de 15,3 milliards d’euros, soit 4,8 milliards de plus que prévu. Ledit déficit passerait à 22,1 milliards en 2025 et à 24,1 milliards en 2028 – toutes ces sommes venant bien évidemment accroître d’autant la dette publique française déjà fort élevée.

    Oh, bien sûr, on a l’habitude de ces mises en garde qui animent, voire échauffent la presse et les plateaux télé pendant quelques jours à intervalles réguliers. Quand elles ne viennent pas de la Cour des comptes, ce sont le FMI ou la Commission européenne ou l’OCDE ou les agences de notation qui tirent poliment la sonnette d’alarme avec plus ou moins d’insistance pour inciter la France à réduire ses dépenses et à engager des réformes de structure.

    À regarder le profil de nos comptes publics depuis plusieurs décennies, on a toutefois l’impression qu’ils restent essentiellement tributaires de la conjoncture mondiale : lorsque celle-ci est orientée au beau, les constantes du patient France (croissance, emploi, déficits) s’améliorent, mais moins qu’ailleurs, tandis que lorsqu’elle fait grise mine (comme actuellement), les constantes se dégradent. Et comme on part à chaque fois d’une situation plus préoccupante que celle de nos grands voisins comparables, elles se dégradent encore plus qu’ailleurs.

    Quant aux réformes fondamentales, n’en cherchez pas, il n’y en a pas eu, ou si peu. Depuis 2017, on peut citer la fin du recrutement au statut de cheminot de la SNCF et le report de l’âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans. Encore faut-il être conscient qu’il s’agit là uniquement de modestes mouvements de curseur visant surtout à faire durer encore quelques années le modèle social que le monde entier nous envie, comme en atteste la trajectoire résolument dynamique de notre dette publique :

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  43. Cependant, une fois n’est pas coutume, le coup de semonce de cette semaine nous est donné dans des termes plus sombres, plus inquiétants que d’habitude. Soulignant que la dégradation des comptes sociaux s’est produite en l’absence de crise économique ou de situation pandémique appelant des moyens exceptionnels, les magistrats financiers évoquent clairement l’éventualité d’une “crise de liquidité” qui pourrait faire courir un “risque sur le financement des prestations”. En clair, un risque de cessation de paiement d’une partie des prestations (remboursements médicaux, pensions de retraite…) alors que les prêteurs habituels renâcleraient à s’engager plus avant dans une dette française en roue libre.

    Les auteurs du rapport qualifient du reste la trajectoire des comptes sociaux de “hors de contrôle”. Dans ses commentaires destinés aux médias, le Premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici va encore plus loin. Pour lui, c’est l’ensemble des comptes publics qui est devenu hors de contrôle. Et d’égrener lundi 26 mai dernier sur RTL les grandeurs bien connues des lecteurs de ce blog (vidéo ci-dessous, 11′ 18) :

    - voir clip sur site -

    “Nous avons un déficit qui est à 5,8 % du PIB, alors qu’il devrait être à 3 %. Nous avons une dette publique qui est de 3 300 milliards d’euros, 113 % du PIB, nous sommes les troisièmes en Europe. Nous avons une charge de la dette qui est de 67 milliards d’euros, plus que le budget de la Défense (…) Nous avons perdu le contrôle sur nos finances publiques. Systématiquement (…) nous avons surévalué les recettes, et pas contrôlé les dépenses.”

    À ce propos, on sait déjà que le Projet de loi de finances pour 2025 adopté en décembre 2024 a été conçu selon une hypothèse de croissance qui était déjà obsolète à ce moment-là. Estimée à 0,9 %, elle devait permettre de ramener le déficit public à 5,4 % du PIB en 2025 après le dérapage à 5,8 % de 2024. Or les prévisions récentes les plus optimistes ne la voient guère plus haut que 0,6 % cette année.

    Bref, la charge de la Cour des comptes a le mérite d’être claire. La solution aussi : “Il faut faire des économies, réduire nos dépenses”. Ce n’est pas de “l’austérité”, précise M. Moscovici en réponse à une question du journaliste qui l’interroge, rappelant que nos dépenses publiques représentent tout de même 57 % du PIB !

    Mais réduire nos dépenses est-il possible sans rien changer au cadre de notre modèle économique et social qui parie sur la redistribution pour le social et sur le dirigisme de l’État stratège pour l’économique ?

    Si la Cour des comptes n’a pas son pareil pour pointer les déficiences et les gabegies qui entourent l’utilisation des fonds publics, elle est en revanche beaucoup plus timorée dès lors qu’il s’agit de faire des recommandations. Au mieux conseille-t-elle d’améliorer la gouvernance de ceci ou cela, de faire acte de concertation avec les acteurs de tel ou tel projet étatique, de mettre en place des suivis et des bilans de projets et de pratiquer autant que faire se peut la chasse au gaspi dans les administrations. Des recommandations au fond bien anodines, qui n’envisagent jamais que l’on puisse procéder autrement et qui, de toute façon, restent la plupart du temps lettre morte.

    Il se trouve cependant que nous en sommes arrivés à un point de quadrature du cercle que l’on ne pourra plus résoudre par accroissement des impôts et de la dette, compte tenu des niveaux colossaux déjà atteints par ces deux grandeurs. Le rapport sur les comptes sociaux de la Cour des comptes nous donne justement un exemple particulièrement évocateur de l’impasse dans laquelle nous, les Français, sommes désespérément engagés :

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  44. Il s’avère que les réductions de cotisations sociales patronales sur les bas salaires (jusqu’à 1,6, 2,5 ou 3,5 SMIC selon les prestations – maladie, retraite ou allocations familiales) sont théoriquement compensées par l’État, mais restent dans les faits en partie à la charge de la Sécurité sociale. La Cour recommande donc “une meilleure maîtrise de la dynamique des allègements généraux de cotisations sociales”, autrement dit une limitation voire une baisse de ces allègements, c’est-à-dire concrètement une hausse des cotisations sociales patronales.

    Le problème, c’est que les allègements en question ont été introduits dans l’objectif très précis de baisser le coût du travail, notoirement très élevé en France, et de favoriser l’emploi des salariés les moins qualifiés ou de qualification intermédiaire.

    Cela signifie très précisément que notre système de protection sociale est trop coûteux, qu’il faut l’alléger pour que les entreprises françaises gagnent en compétitivité, mais qu’en l’allégeant, on se met en situation de ne plus pouvoir financer les prestations.

    Cela signifie en outre que l’État français n’a plus aucune marge de manœuvre budgétaire et qu’il en est à pratiquer la technique des vases communicants pour donner encore quelque temps l’illusion de sa maîtrise des comptes publics. La Cour des comptes suggère notamment de compenser la baisse des allègements de charge auprès des entreprises par “une modulation des impôts de production”. Comprendre baisse. Mais dans ce cas-là, c’est le budget de l’État qui sera affecté par de moindres recettes, ce qui donnera de toute façon lieu à de la dette publique en plus.

    Voilà l’impasse. Voilà la quadrature du cercle. Les impôts sont trop élevés, les cotisations sociales aussi, mais on ne peut les baisser car les dépenses continuent d’augmenter, même au-delà du “quoi qu’il en coûte”, comme si personne ne maîtrisait plus rien dans nos administrations. On tourne en rond, mais rien ne change, rien ne s’améliore. À croire que l’on attend la cessation de paiement effective, et les turbulences qui l’accompagneront inévitablement, pour sortir de notre torpeur collective – et collectiviste.

    Sauf à envisager de commencer à penser hors du cadre étatique figé en 1945. Au bout de quatre-vingts ans, on peut se permettre de reconstruire la maison qui s’effondre en raison de ses calamiteuses fondations. Et là, un geste architectural « novateur », je dirais même « libéral », du champ lexical et politique de la liberté, s’impose.

    https://www.contrepoints.org/2025/06/01/480417-ca-alors-la-fr-a-perdu-le-controle-sur-ses-finances-publiques

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    1. Non seulement les fonctionnaires sont des bons à rien dans leurs ministères qui ne fonctionnent pas et qui n'ont JAMAIS fonctionné depuis des décennies (parce que ses employés sortent d'écoles de cons) mais en plus ne savent plus où ils ont jeté leurs devoirs, leurs rédactions et leurs cours de morale !!
      Ils ne savent même pas être comptables !! ni faire des opérations, des graph, des schémas !!

      La France (comme la grande majorité des pays du monde) est sur-productrice de tout ! Tous ses habitants devraient être multi-millionnaires, mais, il y a l''État'. L’État invente des dettes et les banques inventent de l'argent. C'est la honte d'un bout à l'autre !

      😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain

      jeudi 23 octobre 2014

      http://www.zerohedge.com/news/2014-10-22/it-will-take-398879561-years-pay-us-governments-debt

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html

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  45. Bientôt, la vérité sera trop chère à dire


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    2 juin 2025


    Mes efforts pour dire la vérité sont coûteux, et pas seulement financiers. Ils portent un lourd tribut à ma réputation et à ma liberté. Par exemple, il y a quelques années, un site web appelé PropOrNot, financé par on ne sait qui, peut-être le Département d'État américain, l'Agence américaine pour le développement international (USAID), George Soros ou Israël, m'a qualifié d'« agent/dupe de Poutine ». J'ai été qualifié d'« agent russe » parce que j'ai posé une question simple : est-il vraiment dans notre intérêt de risquer une guerre avec la Russie, qui finira très probablement par être nucléaire, au nom de l'hégémonie de Washington ?

    Si l'on se plaint de l'annihilation des Palestiniens et de la Palestine par les Israéliens, on est taxé d'« antisémite » et de « négationniste de l'Holocauste ».

    Si l'on se plaint de l'invasion de l'Amérique blanche par des immigrants-envahisseurs, on est taxé de raciste.

    Et ainsi de suite. J'espère que mes lecteurs connaissent la chanson.

    Il ne s'agit pas seulement de ma réputation. Puis-je prendre le risque de me présenter à l'aéroport et de passer par la TSA ? Quelle est la probabilité que je sois sur une liste ? Si Tulsi Gabbard peut être harcelée par la TSA et contrainte de rater son vol pendant qu'elle est fouillée pour la troisième fois consécutive, que puis-je attendre des agents de la DEI qui découvrent mon nom sur une liste ? Aux États-Unis aujourd'hui, je peux me voir refuser un vol par un employé musulman de la TSA ou par un immigrant-envahisseur qui vient de traverser la frontière et s'est intégré aux États-Unis grâce à un emploi de la TSA.

    Pensez-y un instant. Un ancien secrétaire adjoint au Trésor américain nommé par le président et confirmé dans ses fonctions par le Sénat américain n'a aucune garantie de pouvoir embarquer à bord d'un avion de ligne américain dans un aéroport américain.

    Si je voyage à l'étranger, serai-je harcelé à mon retour ?

    Voilà le prix à payer pour dire la vérité.

    Je me demande parfois quelle est la valeur de la vérité pour la plupart des Américains, ou plutôt, devrais-je dire, une meilleure approximation de la vérité que celle que proposent les discours officiels. La plupart des Américains veulent entendre ce qu'ils croient déjà. Lorsqu'ils entendent quelque chose de différent, cela les contrarie, car cela ne correspond pas au cadre dans lequel ils comprennent ce qu'ils prennent à tort pour la réalité. J'ai constaté au cours de ma vie que dire la vérité est le meilleur moyen de se faire des ennemis. C'est pourquoi si peu de gens disent la vérité.

    Celui qui prend le risque de dire la vérité aime voir que des gens l'apprécient. Ce site ne reçoit aucun soutien de la Fondation Ford, de la Fondation Gates, de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Pew, de la Fondation MacArthur, de George Soros, d'USAID, du lobby pro-israélien, d'entreprises ou de gouvernements étrangers. Ce site est financé par les dons mensuels de ceux qui, je crois, sont les 5 000 Américains qui m'ont encouragé il y a une quinzaine d'années à continuer d'écrire. Ils représentent moins de 1 % du lectorat.

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  46. Chaque trimestre, je contacte donc les 99 % de la population pour leur demander de soutenir le site web s'il leur est utile, ce qui, je suppose, est le cas, puisqu'il compte 2 millions de lecteurs et 5 millions de visites par an. J'ai vérifié, mais Word Press a indiqué que mon site est lu dans tous les pays de la planète. Dans certains pays, des dizaines de milliers de personnes le consultent ; dans d'autres, trois ou quatre personnes, probablement des chefs de station de la CIA.

    Dans un monde où les armes nucléaires et les laboratoires biologiques s'affairent à fabriquer des virus ou quoi que ce soit d'autre, la vie est précaire. La gauche s'inquiète énormément du « réchauffement climatique », mais peu de l'hiver nucléaire et des laboratoires biologiques américains disséminés dans le monde. Récemment, l'administration Trump a dû stopper le financement américain de la militarisation de la grippe aviaire dans le laboratoire de Wuhan, en Chine. Comment un tel financement a-t-il pu exister ? Quelle folie règne en nous ?

    À y regarder de plus près, on constate que dans le monde occidental, la vie n'est plus perçue comme positive, comme quelque chose à protéger. Je ne parle pas seulement de l'avortement. Le Forum économique mondial, un rassemblement d'élites anti-humaines et de Bill Gates, semble déterminé à réduire la vie humaine sur Terre de 7 ou 8 milliards à 500 millions. C'est peut-être pourquoi personne en Occident ne s'inquiète du génocide israélien de la Palestine – seulement 2 millions – et pas seulement du génocide des Palestiniens, mais aussi de leur pays.

    Demandez-vous pourquoi votre vie est-elle précaire ? Comparez-vous à ceux qui vivaient à la frontière américaine au XIXe siècle. Ils sont menacés par des guerriers compétents et engagés – Apaches, Comanches, Sioux – une menace réelle, mais infime comparée à la guerre nucléaire, aux armes biologiques et aux pandémies préparées et libérées en laboratoire. Les Américains d'aujourd'hui sont bien moins en sécurité que ceux qui vivaient à la frontière au XIXe siècle.

    Cela devrait perturber les Américains, mais ils ne semblent pas en avoir conscience.

    Si vous appréciez mes efforts pour approfondir votre compréhension de notre époque, montrez-le par une contribution. C'est la seule façon pour moi de savoir que mes efforts sont appréciés.

    https://www.lewrockwell.com/2025/06/paul-craig-roberts/soon-truth-will-be-too-costly-to-tell/

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  47. Nouveau record mondial : la vache Marília produit 127,57 kg de lait en 24 heures


    2 Juin 2025
    Jana Dahlke, AGRARHEUTE*


    Le Brésil établit un nouveau record mondial de traite avec 127,57 kg de lait en 24 heures.

    La vache brésilienne Marília établit un nouveau record mondial au Torneio-Leiteiro de São Paulo avec 127,57 kg de lait en 24 heures.

    Ma note : J'ai un jour de retard pour la Journée Mondiale du Lait.

    Une vache brésilienne nommée Marília FIV Teatro de Naylo a établi un nouveau record mondial de traite lors du 34e Torneio-Leiteiro à São Paulo, selon Dairy Global. En l'espace de 24 heures, elle a produit un total de 127,57 kilos de lait en trois traites. Ce record a dépassé le record mondial Guinness établi il y a 39 ans par la vache cubaine Ubre Blanca et a été officiellement reconnu.
    Race Girolando : le mélange parfait pour un rendement laitier élevé et une grande robustesse

    Marília appartient à la race Girolando, un croisement de 5/8 de Holstein-Friesian et de 3/8 de Gir, une race de zébu indienne. Cette combinaison allie le rendement laitier élevé de la Holstein à la robustesse et à la longévité du zébu Gir, ce qui est particulièrement bien adapté aux conditions climatiques du Brésil. La vache est née en 2014 dans une ferme de l'État de São Paulo.

    Les éleveurs André et Gustavo Souza soulignent la bonne fécondité de Marília : elle a donné naissance à huit descendants femelles et à un veau. De plus, elle a montré des résultats prometteurs lors des fécondations in vitro, 16 embryons ont été obtenus lors d'une dernière collecte d'embryons.

    Selon Dairy Global, ce record souligne les progrès réalisés dans l'élevage laitier moderne, grâce à des programmes de sélection ciblés, une alimentation optimale et des conditions d'élevage adaptées.
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    * Jana Dahlke (ex Semenow) travaille chez Agrarheute comme rédactrice crossmedia dans la rubrique élevage.

    Source : Neuer Weltrekord: Kuh Marília gibt 127,57 kg Milch in 24 Stunden | agrarheute.com
    https://www.agrarheute.com/tier/rind/neuer-weltrekord-marilia-gibt-12757-kg-milch-24-stunden-634498

    Ma note : La vache Ubre Blanca a sa statue en marbre à Cuba, sur la Isla de la Juventud. C'était déjà un croisement de Holstein et de zébu.

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/nouveau-record-mondial-la-vache-marilia-produit-127-57-kg-de-lait-en-24-heures.html

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    1. A l'inverse des plantes ou des arbres dont les noyaux, les pépins ou les graines reproduisent fidèlement et naturellement le pied-mère, les animaux, les êtres humains et les insectes sont issus de croisements. Ces croisements mâles & femelles ou hommes & femmes font que les progénitures viennent de deux corps différents. Ces résultances sont donc uniques de par leur organisme où peu de remèdes soulagent les maladies car ces acceptations diffèrent selon les modèles.
      Aucun remède d'aujourd'hui n'est approprié à 100 % à l'être vivant.

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  48. Avec un tracteur de 350 ch : Un agriculteur traverse le désert à 80 km/h

    Hoekman : Un tracteur comme un rallye : Le Massey Ferguson 8S.205 excelle dans le désert et domine les parcours difficiles du Morocco Desert Challenge.
    Un agriculteur suisse a conduit un tracteur à travers le désert lors de l'un des rallyes les plus extrêmes.

    Notre galerie photo présente les images les plus spectaculaires du rallye.


    Evelyn Schmailzl
    2 mai 2025 - 14 h 13


    Hoekman : Un tracteur comme un rallye : Le Massey Ferguson 8S.205 excelle dans le désert et domine les parcours difficiles du Morocco Desert Challenge.

    Corradini : Un treuil à câble sur le toit du tracteur permet de changer les roues même dans les conditions les plus difficiles. Les pneus de secours sont inclus. Pendant le rallye, l'équipe a décidé de s'en passer afin d'économiser environ 900 kg.
    Cédric Goumez et son copilote français Frédéric Drault ont pris le départ sous le numéro 508, seul équipage de tracteur parmi les huit participants de la catégorie camion.

    Paternò : Cédric Goumez et son copilote français Frédéric Drault ont pris le départ sous le numéro 508, seul équipage de tracteur parmi les huit participants de la catégorie camion.
    Le Massey Ferguson 8S.205 maîtrise les sections désertiques du Morocco Desert Challenge à des vitesses allant jusqu'à 80 km/h.

    Hoekman : Initialement, les pneus de secours étaient également inclus. Le système de contrôle de la pression des pneus est de PTG. Le tracteur était équipé de pneus Michelin EvoBib VF à l'avant et à l'arrière.
    Cédric Goumez devant son tracteur désertique transformé. Pour Goumez, le Massey Ferguson est aussi une histoire personnelle : il a appris à conduire un tracteur avec un MF dans la ferme de son père.

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  49. Corradini Cédric Goumez devant son tracteur du désert transformé. Pour Goumez, le Massey Ferguson est aussi une histoire personnelle : il a appris à conduire un tracteur avec un MF dans la ferme de son père.
    Le concessionnaire suisse de machines agricoles Kufferagri est à l'origine de l'aventure. L'équipe du rallye est soutenue par un véhicule d'assistance : un atelier mobile équipé par Granit Parts.

    Gelder Le concessionnaire suisse de machines agricoles Kufferagri est à l'origine de l'aventure. L'équipe du rallye est soutenue par un véhicule d'assistance : un atelier mobile équipé par Granit Parts.

    Production Le Morocco Desert Challenge est considéré comme l'un des rallyes les plus exigeants au monde. Le parcours traverse des terrains variés, notamment des dunes de sable, des pistes rocailleuses et des lits de rivières asséchés.
    Le rallye est divisé en catégories : motos et quads, véhicules côte à côte, voitures et buggys, et camions, dans lesquels le tracteur MF a également concouru.

    Production : Le rallye est divisé en catégories : motos/quads, véhicules côte à côte, voitures/buggys et camions, où le tracteur MF a également concouru.

    Achaoui : L’équipe a équipé la cabine d’un arceau de sécurité, a créé un espace pour un passager et a appliqué un film noir sur le pare-brise. Des systèmes de navigation et de caméra, des extincteurs et une boîte noire pour les urgences sont également installés.
    Le tracteur se fraye un chemin à travers les dunes infinies du désert marocain – une aventure unique pour l’agriculteur et son équipe.

    Corradini : Le tracteur se fraye un chemin à travers les dunes infinies du désert marocain – une aventure unique pour l’agriculteur et son équipe.
    Trakor dans le désert participe à un rallye.

    Gelder : Le concessionnaire suisse de machines agricoles Kufferagri est à l’origine de l’aventure. L’équipe du rallye est soutenue par un véhicule d’assistance : un atelier mobile équipé par Granit Parts.
    Les spectateurs le long de la piste filment avec enthousiasme l’aventure unique du tracteur dans le désert marocain.

    Les spectateurs le long de la piste filment avec enthousiasme l'aventure unique du tracteur dans le désert marocain.

    Le tracteur d'origine a subi de nombreuses modifications techniques : le moteur AGCO 6 cylindres développe désormais 350 ch, contre 205 ch auparavant. Les mécaniciens ont remplacé la transmission Power Shift par une nouvelle.
    Un agriculteur suisse a participé à un rallye dans le désert marocain avec un Massey

    L'agriculteur suisse Cédric Goumez, son copilote français Frédéric Drault et leur équipe ont terminé quatrième sur huit participants dans la catégorie Camions. Avec leur tracteur transformé, ils ont terminé 75e sur 144 participants. L'équipe prévoit de participer au Rallye Dakar 2026.

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  50. Cédric Goumez, agriculteur suisse, a participé au Morocco Desert Challenge 2025, l'un des rallyes tout-terrain les plus extrêmes au monde (un agriculteur participe à un rallye dans le désert avec un tracteur). Son véhicule était exceptionnel : il a conduit un tracteur transformé et parcouru environ 3 200 km à travers le désert marocain en huit jours.

    Pour cela, le concessionnaire suisse de machines agricoles Kufferagri a équipé un Massey Ferguson 8S de tout ce dont un tracteur a besoin pour un rallye dans le désert : une cabine plus grande, 145 ch supplémentaires et une transmission à 80 km/h.

    Le succès de l'équipe lui a donné raison : ce qui n'était au départ qu'une expérience extraordinaire est entré dans l'histoire du rallye (un agriculteur conduit un tracteur lors d'un rallye dans le désert – des surprises au classement).

    https://www.agrarheute.com/technik/traktoren/350-ps-traktor-landwirt-faehrt-80-kmh-schnell-wueste-634061

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    1. Non ce ne sont pas tous les paysans qui demain pourront se payer un tel engin !

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LORD OF DRUG (Crossing Point) - Shawn Lock, Maria Gabriela de Faria, Luke Goss

  https://www.youtube.com/watch?v=xjQDpJvjp0