ChatGPT prévoit de lancer son propre navigateur pour concurrencer Google Chrome

M.A.

le 14 juillet 2025 - 12:43


Google a de quoi trembler pour Chrome. Déjà menacé par un procès antitrust qui pourrait l’obliger à céder son navigateur, la firme de Menlo Park voit émerger un concurrent de taille. Après le lancement de Comet par Perplexity, OpenAI, la société qui édite ChatGPT, est sur le point de lancer son propre navigateur, performant à l’intelligence artificielle (IA).

Google Chrome reste le navigateur web le plus utilisé au monde en 2025. Il compte environ 3,45 milliards d’utilisateurs à l’échelle mondiale, ce qui représente entre 65% et 68% de parts de marché selon les sources. La croissance du nombre d’utilisateurs ralentit, mais reste positive, avec une augmentation de 4,5% par rapport à 2024.

ChatGPT menace Chrome

De son côté, ChatGPT connaît une croissance spectaculaire. En juillet 2025, il compte environ 485 millions d’utilisateurs mensuels actifs, et 542 millions si l’on compte toutes les plateformes utilisant la technologie d’OpenAI. ChatGPT enregistre également plus de 400 millions d’utilisateurs hebdomadaires et vise le cap du milliard d’utilisateurs d’ici la fin de l’année. On estime à plus d’un milliard le nombre de requêtes quotidiennes adressées à ChatGPT, avec une répartition presque égale entre usage mobile et ordinateur.

Mais depuis l’apparition de ChatGPT, une tendance à délaisser Google, particulièrement son produit Search, a émergé et s’est accentuée en 2025. 27 % des Américains affirment utiliser désormais des chatbots IA comme ChatGPT à la place des moteurs de recherche traditionnels, principalement pour obtenir des réponses plus personnalisées, rapides et contextuelles.

Au Royaume-Uni, cette proportion est de 13 %. Une étude de Gartner prévoit qu’en 2026, 30 % des requêtes en ligne seront traitées par des assistants IA, contre moins de 10 % en 2022.

Ce phénomène s’explique par la capacité de ChatGPT à fournir des réponses synthétiques, conversationnelles et adaptées au contexte, là où Google Search se contente d’une liste de liens. Et nous pourrions retrouver cette approche dans le navigateur d’OpenAI.

Au début du mois en cours, Perplexity a lancé Comet, son premier navigateur web entièrement propulsé par l’intelligence artificielle, développé sur Chromium, noyau de Google Chrome. Ce navigateur intègre alors le moteur de recherche IA de Perplexity et d’un assistant baptisé Comet Assistant. Un assistant qui peut peut résumer des contenus, gérer des emails, organiser des événements de calendrier, et même naviguer ou remplir des formulaires à la place de l’utilisateur. Ce dernier peut aussi poser des questions contextuelles, comparer des produits ou automatiser des tâches complexes sans changer d’onglet, le tout, évidemment, en accédant aux données personnelles des utilisateurs.

OpenAI s’apprête à son tour à lancer son propre navigateur web. Et celui-ci est conçu pour concurrencer directement Google Chrome. Ce navigateur, également basé sur Chromium, proposera une interface conversationnelle inspirée de ChatGPT, avec l’intégration de l’agent IA Operator. L’ambition d’OpenAI est de garder l’utilisateur dans une interface chat, où il pourra dialoguer avec l’IA pour obtenir des réponses, remplir des formulaires, réserver des services ou automatiser des tâches sur les sites web, sans avoir à naviguer manuellement entre différentes pages.

Google toujours sous la menace de son procès antitrust

Si Google semble avoir une large marge de manœuvre avec ses 3 milliards d’utilisateurs sur Chrome ainsi qu’un budget conséquent, la firme doit sans doute accélérer l’intégration de fonctionnalités IA avancées pour préserver sa domination. OpenAI, qui dispose des financements de Microsoft, mise sur sa base d’utilisateurs, à savoir 500 millions d'utilisateurs, pour réussir le lancement de son navigateur.

Doit-on s’attendre à un changement radical de comportement avec les plus jeunes utilisateurs qui optent de plus en plus quotidiennement pour ChatGPT, menaçant de ce fait le leadership de Chrome ?

Pour rappel, le navigateur fait actuellement l’objet d’un procès antitrust. Après avoir été reconnu coupable d’abus de position dominante, notamment via des accords d’exclusivité avec des fabricants d’appareils pour imposer Google comme moteur de recherche par défaut, Google risque des sanctions historiques, dont la plus radicale serait l’obligation de vendre Chrome.

Le ministère américain de la Justice et plusieurs procureurs généraux estiment que la séparation de Chrome permettrait de briser l’intégration qui a permis à Google de verrouiller le marché, et réclament également la fin des accords exclusifs et le partage de certaines données avec les concurrents. Google conteste vigoureusement ces mesures, arguant que ses pratiques sont légales et bénéfiques pour les consommateurs, mais la décision finale du tribunal, attendue à l’été 2025, pourrait profondément bouleverser le marché, avec ChatGPT qui attend au tournant.

https://www.francesoir.fr/societe-economie/chatgpt-prevoit-de-lancer-son-propre-navigateur-pour-concurrencer-google-chrome

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BLOG n°126

60 commentaires:

  1. Au début de 2025, 5,56 milliards de personnes utilisent Internet, ce qui correspond à un taux de pénétration de 67,9 %. Le nombre d'utilisateurs d'Internet a augmenté de 136 millions (+2,5 %) au cours de 2024, mais 2,63 milliards de personnes restent toujours non connectées en ce début d'année.

    En 2020, 92,4 % des Français sont des internautes. En 2023, 93% des foyers français ont accès à Internet, ce qui correspond à la moyenne européenne qui varie de 87% en Grèce à 99% au Luxembourg.

    La Chine détient le plus grand nombre d'utilisateurs d'Internet, avec 1,1 milliard, suivie de l'Inde (881,3 millions) et des États-Unis (311,3 millions) .

    Internet est officiellement né le 12 mars 1989. Son inventeur : Tim Berners-Lee. Il met en place le World Wide Web dans le but de faciliter le partage d'informations, de fichiers et de courriers électroniques.

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  2. Élever des enfants en bonne santé

    Sujet de discussion ouvert de juillet


    UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
    13 JUILLET 2025


    Cette newsletter a été créée dans le but d'aider les autres. Au fil du temps, j'ai reçu de nombreux messages de personnes ayant des questions importantes auxquelles j'aimerais répondre. Cependant, la rédaction de chaque article prend beaucoup de temps. À titre d'exemple, j'ai passé le mois dernier à travailler sur le dernier volet de la série DMSO, qui n'est pas encore tout à fait terminé. De ce fait, je ne suis pas toujours en mesure de répondre individuellement à chaque demande.

    Bien que j'aimerais vraiment pouvoir le faire, la solution la plus pratique que j'ai trouvée est d'organiser des sujets de discussion ouverts mensuels. Ils offrent aux lecteurs un espace pour poser leurs questions en suspens, notamment celles qui restent des articles précédents, et je mets un point d'honneur à y répondre. Le fait de regrouper toutes les questions au même endroit permet également aux autres d'en bénéficier plus facilement.

    Pour chacun de ces fils de discussion, j'aime aborder un sujet que je voulais aborder – généralement un sujet auquel je réfléchissais mais qui ne me semblait pas justifier un article complet. Cette fois, je souhaite me concentrer sur un sujet qui me tient à cœur : la santé des enfants.

    L'épidémie de maladies chroniques

    L'un des cris de ralliement de RFK est que nos enfants sont frappés par une vague de maladies chroniques, ce qui compromet notre avenir. Son organisation, Children's Health Defense, fait fréquemment référence à ce graphique :

    Remarque : ces données proviennent de cette étude et de cette étude.

    Comme les tendances à l'œuvre ont tendance à persister à moins que des mesures significatives ne soient prises pour les inverser, comme l'a confirmé une étude récemment publiée, ce problème n'a cessé de s'aggraver.

    Près de la moitié des enfants pris en charge dans le réseau multicentrique PEDSnet souffraient d'une maladie chronique, tandis qu'un tiers des enfants de la population générale souffrent de 1 à 15 maladies chroniques déclarées par leurs parents. De plus, l'obésité touche désormais 20 % des enfants, et la puberté précoce est de plus en plus fréquente chez les filles, une sur sept ayant ses règles avant l'âge de 12 ans. Les tendances temporelles ont également montré une détérioration de la qualité du sommeil et une augmentation des limitations d'activité, ainsi qu'une aggravation de nombreux symptômes physiques et émotionnels.

    Les données de l'étude montrent que les taux de ces pathologies ont quasiment doublé au cours des 12 dernières années.

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  3. De même, de nombreux autres problèmes ont rapidement dérapé.

    Remarque : cette étude a également mis en lumière une multitude d'autres problèmes, comme le risque de décès plus élevé chez nos enfants que dans les autres pays développés, en grande partie à cause du syndrome de mort subite du nourrisson (une maladie fortement liée à la vaccination).

    The Forgotten Side of Medicine est une publication financée par ses lecteurs. Pour recevoir les nouveaux articles et soutenir mon travail, vous pouvez vous abonner gratuitement ou payant. Pour découvrir comment d'autres personnes ont bénéficié de cette newsletter et de sa communauté, cliquez ici !

    L'autre moitié du tableau

    Bien que je reconnaisse la gravité de ces conclusions et l'urgence de réévaluer notre programme de vaccination, j'estime qu'elles ne révèlent qu'une partie de la réalité. En effet, :
    • De nombreux autres facteurs, outre les vaccins, ont également un impact négatif sur la santé des enfants.
    • Toutes les maladies (en particulier celles résultant d'une intoxication) ont tendance à se répartir selon une courbe en cloche, de sorte que les réactions graves et faciles à détecter ne sont qu'une minorité, tandis que les réactions moins graves (et plus difficiles à détecter) sont beaucoup plus fréquentes.

    Ce constat est en partie admis, car les maladies auto-immunes (une complication fréquente de la vaccination) sont beaucoup plus fréquentes que les morts subites dues aux vaccins, mais dans la plupart des cas, elles passent inaperçues.

    D'une part, cela est dû au problème de « mesure » en science : les études scientifiques ne peuvent généralement être menées que si elles disposent d'un système de mesure clair, produisant ainsi des données claires et reproductibles. Cela devient problématique lorsqu'un agent peut provoquer une multitude de symptômes différents (dont beaucoup sont assez subtils) ; ils sont généralement considérés comme anecdotiques, à moins d'être délibérément identifiés. Par conséquent, de nombreux effets secondaires courants des vaccins ne leur sont jamais formellement associés.
    Remarque : l'exemple le plus récent et flagrant de ce phénomène s'est produit avec les vaccins contre la COVID-19, où les participants aux essais n'ont reçu qu'une courte liste de symptômes (relativement bénins) qu'ils pouvaient cocher (par exemple, fièvre ou fatigue). Ces effets secondaires sont donc apparus dans les rapports d'essais publiés. De même, V-Safe, le programme des CDC conçu pour surveiller les effets secondaires des vaccins, a fait de même ; heureusement, il incluait également un champ de texte libre où les participants pouvaient saisir d'autres symptômes, dont la plupart n'ont jamais été analysés publiquement (et que le gouvernement a défendus devant les tribunaux pour éviter de divulguer). De ce fait, la majorité du corps médical a supposé que la plupart des effets secondaires signalés par les patients suite aux vaccins (malgré le fait que de nombreuses autres personnes ressentaient les mêmes symptômes) étaient anecdotiques et n'avaient aucun lien avec les vaccins.

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  4. D'un autre côté, c'est parce que beaucoup de ces changements pathologiques sont plus subtils et plus complexes à repérer. Ainsi, comme les gens ne sont pas formés à les remarquer et se sont progressivement habitués à ce que tout cela soit « normal », ils ne réalisent pas à quel point les choses ont changé.

    Remarque : les médecins ne sont pratiquement jamais formés à reconnaître les lésions neurologiques subtiles qui suivent la vaccination (qui indiquent que des lésions cérébrales ont également été observées).

    L'épidémie cachée de maladies chroniques

    D'aussi loin que je me souvienne, de nombreux naturopathes m'ont dit qu'ils pouvaient généralement repérer les enfants non vaccinés, car ils étaient beaucoup plus sains et dynamiques que leurs pairs. Par exemple, après avoir expliqué certaines méthodes d'identification, deux lecteurs ont partagé :

    Grâce à ce sous-ensemble, je suis désormais le parrain médical officieux de quatre bébés non vaccinés issus de plusieurs familles. Tous sont en excellente santé et ne présentent aucun des problèmes typiques associés aux micro-AVC. Tous ont été décrits par des inconnus et des membres de leur famille comme « Waouh, votre bébé est vraiment conscient et attentif. On dirait qu'il est doué de sensibilité, je ne sais pas comment le dire autrement !» Et je suis triste de voir les bébés de ces autres personnes, car je sais qu'ils étaient censés être plus, souffrir moins, quand j'entends leurs cris aigus et aléatoires.

    L'année dernière, j'ai assisté à une vente aux enchères caritative pour les écoles mennonites locales. De nombreuses familles, de nombreux enfants. J'ai été frappée par la lueur, la luminosité, dans les yeux de ces enfants que je n'avais pas vue depuis des décennies chez d'autres enfants. Les mennonites d'ici ne vaccinent pas. Maintenant, je comprends. Ça me fait mal au cœur.

    De même, j'ai reçu ce courriel il y a quelques semaines d'une mère qui a suivi toutes mes recommandations pour un enfant en bonne santé :

    Hormis une légère éruption cutanée, ma fille n'a jamais eu de problème de santé. Elle a progressé à tous les stades de son développement et, dès le début, elle a été incroyablement alerte et en phase avec son environnement. Elle explore constamment et ne pleure que pour une raison évidente : si elle a faim, est fatiguée, a mal ou ne reçoit pas l’attention qu’elle mérite.

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  5. Quand nous sommes en public, elle sourit à tout le monde et essaie de se faire des amis. On nous arrête sans cesse pour nous dire à quel point elle est belle et pleine de vie ; certains nous demandent même s’ils peuvent la prendre dans leurs bras. Ce n’est qu’après l’avoir eue que j’ai réalisé à quel point ce genre d’énergie est inhabituel chez un bébé. Tant de nourrissons que je vois semblent renfermés, comme s’ils étaient dans un état second, évitant le contact visuel et ayant souvent l’air vraiment maladif.

    Je suis incroyablement reconnaissante que cela nous ait été épargné, mais en même temps, je commence à me sentir de plus en plus perturbée par ce que je vois autour de moi. Je pense beaucoup à ce que doivent vivre les autres parents, en particulier les mères célibataires qui élèvent leurs enfants avec des revenus limités, et je ne sais vraiment pas comment ils font.

    L’une des choses les plus difficiles lorsque vous « sortez de la matrice » est de devenir capable de voir des choses (assez dérangeantes) tout autour de vous, et l’une des principales raisons pour lesquelles j’apprécie des histoires comme celles-ci est qu’elles illustrent que ce qui était caché juste devant nous devient enfin de plus en plus visible.

    Écrans et enfants

    Avec la généralisation des téléphones portables et des tablettes, je voyais de plus en plus de parents (accompagnés de leurs enfants) utiliser des appareils lors de leurs visites médicales pour les distraire. Souvent, si un appareil leur était retiré, les enfants faisaient une crise (et l'appareil leur était alors rendu).

    Cela m'inquiétait beaucoup, car je constatais que la façon dont les écrans les captivaient n'avait pas d'effet bénéfique sur le développement du système nerveux de l'enfant (c'est pourquoi je conseille aux parents d'utiliser des supports exclusivement audio, comme des petits appareils diffusant des chansons pour enfants).

    Note : de nombreux responsables des réseaux sociaux ont exprimé leurs profonds regrets quant aux effets neurologiques de leurs produits (intentionnellement conçus pour créer une dépendance) sur nos enfants. De même, de nombreux articles ont été publiés sur la façon dont les dirigeants de la Silicon Valley envoient leurs enfants dans une école alternative où téléphones et écrans sont interdits.

    Dans cette publication, j'ai rédigé de nombreux articles sur les dommages neurologiques massifs causés par la vaccination.

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  6. Dans l'un de ces articles, j'ai montré que les lésions neurologiques dues à la vaccination sont un problème bien connu depuis plus d'un siècle (et qu'elles étaient auparavant largement rapportées dans la littérature médicale) et que des troubles comme l'autisme étaient autrefois communément qualifiés de « retard mental », un changement que je soupçonne fortement avoir été opéré pour occulter le problème (l'autisme étant un trouble à large spectre, entendre qu'une personne est « devenue autiste » est beaucoup plus facile à refouler que de voir un enfant rapidement « devenir retardé » après un vaccin).

    Dans l'autre article, j'ai souligné que le vaccin anticoquelucheux original (DPwT) était particulièrement problématique, car il provoquait souvent une encéphalite (souvent accompagnée de cris perçants) et laissait ensuite l'enfant avec des lésions cérébrales durables. Un auteur ayant étudié ce sujet en profondeur a fait l'observation fascinante qu'après la mise sur le marché du vaccin DPwT dans les années 1940, divers changements sociétaux ont suivi, correspondant à l'âge auquel la cohorte initiale ayant reçu le vaccin DPwT a atteint chaque tranche d'âge.

    Par exemple, dans les années 1950, une affection appelée « lésion cérébrale minimale » (LCM) a été inventée (dont la caractéristique principale est l'hyperactivité), qui est rapidement devenue « peut-être le problème le plus courant, et certainement l'un des plus chronophages, dans la pratique pédiatrique actuelle ». Les symptômes de la LCM (tels que définis par le Service de santé publique américain et l'Association américaine de psychiatrie) présentaient un chevauchement important avec ceux observés après une encéphalite, des lésions du DPT et ceux associés à l'autisme.

    Dans les années 1960, la Ritaline a été utilisée pour traiter le trouble du déficit de l'attention et l'hyperactivité, et les LCM ont été progressivement abandonnées au profit du TDAH (une affection dont l'incidence, selon des études indépendantes, est multipliée par 3 à 20 après la vaccination).

    Je mentionne tout cela car j'ai le pressentiment persistant que le même phénomène se produit avec les écrans, car ils attirent et apaisent à la fois les enfants souffrant de lésions neurologiques. De plus, les schémas établis dans l’enfance sont très difficiles à abandonner toute la vie, et comme nous commençons maintenant à voir une variété de signes, la première génération élevée avec la technologie présente une variété de problèmes de santé mentale liés à son exposition à la technologie, ce qui plaide en faveur d’éviter les écrans dès le plus jeune âge.

    Remarque : la mère mentionnée plus haut a déclaré que l’un de leurs principaux défis avec sa fille était de la tenir éloignée des écrans (car elle est attirée par eux dès qu’ils sont ouverts), et qu’en conséquence, ils les utilisent moins maintenant.

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  7. Élever un enfant en bonne santé

    Comme je l’ai montré tout au long de cette publication, il existe des preuves significatives que les vaccins nuisent au développement neurologique de l’enfant, d’autant plus que de plus en plus de vaccins sont administrés à intervalles rapprochés. Cependant, si je pense que les vaccins constituent le problème principal, de nombreux points méritent d’être sérieusement pris en compte (par exemple, éviter les écrans) pour les parents qui souhaitent avoir des enfants en bonne santé. La plupart de ces mesures reviennent essentiellement à « faire comme on faisait il y a 100 ans ». Chez les mères que j’ai accompagnées tout au long de la grossesse, j’ai constaté que les meilleurs résultats étaient obtenus en les appliquant toutes. C’est pourquoi, au cours de l’année écoulée, j’ai travaillé à la compilation d’une série d’articles sur les aspects les plus importants qui, selon moi, méritent d’être pris en compte avant, pendant et après la grossesse.

    Dans la dernière partie de cet article (qui existe sous la forme d’un forum ouvert pour que vous puissiez poser toutes les questions que vous pourriez avoir), je couvrirai les points clés de chacun d’entre eux que vous pouvez directement intégrer pour élever un enfant en bonne santé.

    https://www.midwesterndoctor.com/p/raising-healthy-children?utm_source=post-email-title&publication_id=748806&post_id=168180448&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  8. Le Ministère de la justice a abandonné l'affaire de corruption de Pfizer et poursuit le docteur en justice pour protéger les enfants des armes biologiques de destruction massive

    Épidémiologiste Nicolas Hulscher sur Brannon Howse Live


    Nicolas Hulscher, MPH
    12 juillet 2025


    DOJ: Protéger Pfizer, Prosecute Heroic Doctors

    Après avoir été installé au Ministère de la justice, le procureur général Pam Bondi a semblé avoir fermé une enquête fédérale sur Pfizer à propos d'allégations de corruption au Mexique et en Chine. Elle avait déjà consulté Pfizer à titre juridique.

    En même temps, son DOJ poursuit les poursuites engagées contre le Dr. Kirk Moore - un médecin qui a refusé d'injecter des enfants avec les injections mortelles d'ARNm et a plutôt essayé de les protéger.
    D'après- poursuites pour mineurs du DOJ. Kirk Moore
    John Leake
    -
    8 juil.
    DOJ's Creepy Prosecution of Dr. Kirk Moore

    Les producteurs de Died Suddaly viennent de publier un rapport détaillé sur les poursuites engagées par le gouvernement américain contre le Dr. Kirk Moore.
    Lire l'histoire complète

    Il est poursuivi comme s'il était un criminel violent. Mais le véritable crime aurait été l'injection de ces enfants.

    À cause du Dr. Les actions de Moore, certains enfants vivront. Certaines familles auront des petits-enfants. Des lignes de génération entière ont été préservées.

    Il mérite une médaille d'honneur du Congrès - pas une peine de prison.
    121 Hiroshima valent la mort

    En 2024, j'ai publié un article estimant que les injections d'ARNm du COVID-19 ont causé plus de morts que 121 bombardements nucléaires d'Hiroshima – sur la base de l'analyse mondiale de Dennis Rancourt qui a révélé 17 millions de morts en septembre 2023.
    COVID-19 "Vaccines" estimée à avoir tué plus de personnes que 121 bombes nucléaires d'Hiroshima
    Nicolas Hulscher, MPH
    -
    3 novembre 2024
    COVID-19 'Vaccines' Estimated to Have Killed More People Than 121 Hiroshima Nuclear Bombings

    Par Nicolas Hulscher, MPH
    Lire l'histoire complète

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  9. Cette catastrophe est la raison pour laquelle les législateurs du Minnesota ont déposé le projet de loi HF3219 pour désigner les injections d'ARNm comme des armes biologiques de destruction massive :
    L'Office des forêts approuve pleinement l'ARNm moderne pour INFANTS - en 2025

    Le 10 juillet 2025, la FDA a accordé l'approbation complète de l'ARNm COVID-19 de Moderna (« Spopkevax ») pour les nourrissons et les enfants âgés de 6 mois à 11 ans, étiqueté comme « haut risque ».
    BREAKING: Le coup de choc de l'ADN de l'ADN de Moderna obtient l'approbation complète de la FDA pour les nourrissons «à risque»
    Nicolas Hulscher, MPH
    -
    10 juil.
    BREAKING: Moderna’s mRNA COVID Shot Gets Full FDA Approval for “At-Risk” Infants

    Par Nicolas Hulscher, MPH
    Lire l'histoire complète

    Ce n'est pas « Rendre l'Amérique en bonne santé ». Cela insuffle la thérapie génique cancérigène, neurotoxique et cardiotoxique dans les membres les plus vulnérables de notre population. L'approbation complète signifie que l'ARNm est maintenant davantage enraciné dans les soins pédiatriques.

    RFK Jr. a été complètement silencieux sur cette approbation. Il sait que ces coups de feu sont mortels. Il sait que la FDA est compromise. Mais il choisit la politique par rapport aux principes.

    Qu'il ait ou non le pouvoir direct d'y mettre un terme, le public attendait de lui qu'il dirige - de parler au nom des enfants.

    Le complexe biopharmaceutique est toujours pleinement opérationnel. Protégé de Pfizer. Les médecins sont punis. Et les agences de régulation restent capturées.

    Nous devons soutenir le Dr. Moore - et exiger que des dirigeants comme RFK Jr. prennent position.

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et Administrateur de la Fondation McCullough

    www.mcculloughfnd.org

    Veuillez envisager de suivre à la fois la Fondation McCullough et mon compte personnel sur X (anciennement Twitter) pour d'autres contenus.

    DOJ: Protéger Pfizer, Prosecute Heroic Doctors

    Après avoir été installé au Ministère de la justice, le procureur général Pam Bondi a semblé avoir fermé une enquête fédérale sur Pfizer à propos d'allégations de corruption au Mexique et en Chine. Elle avait déjà consulté Pfizer à titre juridique.

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  10. En même temps, son DOJ poursuit les poursuites engagées contre le Dr. Kirk Moore - un médecin qui a refusé d'injecter des enfants avec les injections mortelles d'ARNm et a plutôt essayé de les protéger.
    D'après- poursuites pour mineurs du DOJ. Kirk Moore
    John Leake
    -
    8 juil.
    DOJ's Creepy Prosecution of Dr. Kirk Moore

    Les producteurs de Died Suddaly viennent de publier un rapport détaillé sur les poursuites engagées par le gouvernement américain contre le Dr. Kirk Moore.
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    Il est poursuivi comme s'il était un criminel violent. Mais le véritable crime aurait été l'injection de ces enfants.

    À cause du Dr. Les actions de Moore, certains enfants vivront. Certaines familles auront des petits-enfants. Des lignes de génération entière ont été préservées.

    Il mérite une médaille d'honneur du Congrès - pas une peine de prison.
    121 Hiroshima valent la mort

    En 2024, j'ai publié un article estimant que les injections d'ARNm du COVID-19 ont causé plus de morts que 121 bombardements nucléaires d'Hiroshima – sur la base de l'analyse mondiale de Dennis Rancourt qui a révélé 17 millions de morts en septembre 2023.
    COVID-19 "Vaccines" estimée à avoir tué plus de personnes que 121 bombes nucléaires d'Hiroshima
    Nicolas Hulscher, MPH
    -
    3 novembre 2024
    COVID-19 'Vaccines' Estimated to Have Killed More People Than 121 Hiroshima Nuclear Bombings

    Par Nicolas Hulscher, MPH
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    Cette catastrophe est la raison pour laquelle les législateurs du Minnesota ont déposé le projet de loi HF3219 pour désigner les injections d'ARNm comme des armes biologiques de destruction massive :
    L'Office des forêts approuve pleinement l'ARNm moderne pour INFANTS - en 2025

    Le 10 juillet 2025, la FDA a accordé l'approbation complète de l'ARNm COVID-19 de Moderna (« Spopkevax ») pour les nourrissons et les enfants âgés de 6 mois à 11 ans, étiqueté comme « haut risque ».
    BREAKING: Le coup de choc de l'ADN de l'ADN de Moderna obtient l'approbation complète de la FDA pour les nourrissons «à risque»
    Nicolas Hulscher, MPH
    -
    10 juil.
    BREAKING: Moderna’s mRNA COVID Shot Gets Full FDA Approval for “At-Risk” Infants

    Par Nicolas Hulscher, MPH
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  11. Ce n'est pas « Rendre l'Amérique en bonne santé ». Cela insuffle la thérapie génique cancérigène, neurotoxique et cardiotoxique dans les membres les plus vulnérables de notre population. L'approbation complète signifie que l'ARNm est maintenant davantage enraciné dans les soins pédiatriques.

    RFK Jr. a été complètement silencieux sur cette approbation. Il sait que ces coups de feu sont mortels. Il sait que la FDA est compromise. Mais il choisit la politique par rapport aux principes.

    Qu'il ait ou non le pouvoir direct d'y mettre un terme, le public attendait de lui qu'il dirige - de parler au nom des enfants.

    Le complexe biopharmaceutique est toujours pleinement opérationnel. Protégé de Pfizer. Les médecins sont punis. Et les agences de régulation restent capturées.

    Nous devons soutenir le Dr. Moore - et exiger que des dirigeants comme RFK Jr. prennent position.

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et Administrateur de la Fondation McCullough

    www.mcculloughfnd.org

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    1. L'objectif ' cité comme exemple 'Fukushima' est questionnable voire interrogatif. Le 11 Mars 2011 s'est déroulé au large Est du Japon un tremblement de terre de magnitude 9. Ce n'est pas le premier observé en Atlantique ou Pacifique mais celui-ci était proche des côtes nippones.

      Ce tremblement de terre (appelé 'tsunami' en japonnais) a balayé la côte Est au Nord de Tokyo où se situe la centrale électrique nucléaire de Fukushima-Daiichi. sans que la centrale (forteresse) n'en soit touchée. Mais, la particularité de cette catastrophe n'en revient pas au 'tsunami' commun au Japon mais à ces résultats déplorables pour les 'ingénieurs de la TEPCO'.
      Les tuyaux d'approvisionnement en eaux des réacteurs (en PVC ou en fer) étaient... posés par terre !

      D'où leurs fracturations humoristiques ne laissant plus d'eau aller aux réacteurs !
      Ces tuyaux n'étaient pas... montés sur vérins !!
      HAHAHA !

      Et donc, les réacteurs privés d'eaux commencèrent à chauffer quant à la descente de leur niveau d'eau !
      La température intérieure passa très vite de 300°C à 3000°C !! D'où la fonte des crayons (tubes verticaux de 4 m en zirconium contenant les pastilles d'Uranium), ce qui donna lieu à cette confiture ultra-chaude appelée 'corium' en cuvier de réacteurs ! Confiture qui coula donc au sol de la centrale sous réacteurs et gagna lr terrain de dessous truffée de couloirs d'eaux descendues des montagnes environnantes.
      Plus encore la libération de l'hydrogène des crayons qui explosa et déchapeauta les réacteurs.

      D'où la question de similitude/rapport avec le cocovide19.

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  12. Mères gèles par FDA Homologement en caoutchouc des boostateurs d'ARNm pédiatrie
    Promet pour les grands procès aléatoires brisés, la FDA approuve Spikevax pour les enfants


    Peter A. McCullough, MD, MPH
    14 juillet 2025


    La communauté de la liberté médicale appelle à la démission du chirurgien podcasteur Marty Makary, le nouveau commissaire de l'Office des forêts. Makary qui n'a pas de développement de médicaments ou d'expérience réglementaire a déclaré à l'Amérique que la nouvelle FDA exigerait des essais cliniques importants et des preuves solides avant que de nouveaux médicaments ou vaccins ne soient approuvés. Il n'a fallu que quelques mois pour que cette promesse soit rompue car la FDA a renoncé au dernier booster Moderna Spikevax pour les enfants malgré l'absence d'essais approfondis, l'insuffisance des informations sur la sécurité à long terme des populations vulnérables, et sans indications cliniques convaincantes ou nécessité médicale.

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    Dr. Peter McCullough est apparu sur l'Absolue Truth et a souligné à Emerald Robinson, elle-même mère MAHA, que même avant les nouvelles recommandations plus restrictives de la FDA sur la vaccination contre le COVID-19 pour les femmes enceintes et les enfants, seulement 2 % des bébés de moins de 2 ans avaient été complètement vaccinés selon USA Facts.

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    Restreindre la vaccination aux enfants ayant des problèmes médicaux de base tels qu'une maladie cardiaque congénitale ou pulmonaire pourrait rendre les injections encore plus risquées car un effet indésirable tel que la myocardite ou la formation de caillots sanguins pourrait être fatal chez les enfants déjà compromis.

    McCullough croit que la décision imprudente et irresponsable de la FDA est révélatrice de la nouvelle administration du HHS sous le contrôle de l'idéologie du vaccin. Dans le nouveau livre de l'historien de l'auteur John Leake et Dr. McCullough, la fausse religion de l'idéologie du vaccin est exposée avec ses racines il y a des centaines d'années avec les premières tentatives de variolation ou de vaccination impérieuse de la variole. Beaucoup de médecins ont une illusion religieuse que les vaccins sont existentiels et que nous devons pousser avec plus de coups de feu, aussi dommageables pour la société. Prenez votre copie de Vaccines : Mythologie, Idéologie et Réalité.

    https://www.thefocalpoints.com/p/mothers-angered-by-fda-rubber-stamp?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=168180987&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  13. Comment Big Pharma a capturé les États-Unis. Système de santé


    James Lyons-Weiler, doctorat
    14 juillet 2025
    Par James Lyons-Weiler, PhD, écrivain contributeur, le rapport MAHA


    [C'est ci-après le premier d'une série d'articles de James Lyons-Weiler, chacun sur la capture de la réglementation gouvernementale – comment cela fonctionne et comment le réformer.

    «Tout système est parfaitement conçu pour obtenir les résultats qu’il obtient.» – W. Edwards Deming (États-Unis d'Amérique)

    Que se passe-t-il lorsque l'organisme de surveillance devient le chien de garde de l'industrie ? Et si le système même construit pour protéger la santé publique avait été discrètement repensé pour protéger le pouvoir des entreprises à la place?

    Il y a une raison pour laquelle les Américains perdent confiance dans nos institutions de santé publique. Il ne s’agit pas seulement de la mauvaise communication ou de la politisation. Il s’agit de quelque chose de plus ancien, plus profond et structurel : la capture réglementaire.
    George Stigler, père de la théorie de la capture réglementaire.

    Ce n'est pas une théorie. C'est un phénomène bien documenté dans l'économie politique, pour la première fois exprimé par l'économiste lauréat du prix Nobel George Stigler en 1971, dont la théorie de la réglementation économique a fait valoir que les industries cherchaient naturellement à « acquérir » leurs régulateurs pour l'avantage privé. Le chien de garde devient un chien de garde. L'arbitre rejoint l'une des équipes. Et ce qui a commencé comme service public devient une protection privée.

    La capture réglementaire se produit lorsqu'un organisme gouvernemental, chargé d'agir dans l'intérêt public, devient dominé - que ce soit par le financement, le personnel, l'idéologie ou l'influence - par les entités commerciales mêmes qu'il est censé réglementer. Ce n'est pas de la corruption au sens classique du terme. C'est systémique. C'est calme. C'est légal. Et ça change tout.

    Cette transformation n'est nulle part plus conséquente qu'à l'intérieur des États-Unis. Le HHS, dont les branches - la FDA, les CDC, le NIH et le CMS - contrôlent les règles d'approbation des médicaments, les calendriers de vaccins, le financement de la recherche, la tarification de Medicare et l'orientation nationale en matière de santé.

    Avec un budget combiné, l'année dernière, de plus de 1,7 billion de dollars de dépenses, et le pouvoir de fixer une politique médicale pour des centaines de millions de personnes, le HHS est sans doute la force réglementaire la plus importante de l'économie américaine. Quand il est capturé, les conséquences se sont ondulées dans tous les domaines de la santé et de la science.

    Et il a été capturé - capturé par les grandes sociétés pharmaceutiques qu'il est censé réglementer

    Et l'Amérique est l'une des nations les plus malades avec les soins de santé les plus chers au monde.

    C'est un principe central de l'apprentissage automatique que si vous utilisez la mauvaise fonction d'optimisation, vous finirez avec des modèles inexacts. C'est essentiellement ce qui s'est passé dans les soins de santé américains : en optimisant la rentabilité plutôt que la santé, nous obtenons ce que nous avons payé.

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  14. En 2015, quand j'ai écrit le livre Cures vs. Profit, je croyais que nous pouvions changer le système en applaudissant les succès de la recherche translationnelle - passant du banc au chevet et du retour. Voyant ce qui se passait avec les administrateurs, les comptables et les assureurs qui décidaient des soins médicaux basés sur ce qui était couvert, pas ce qui était efficace, mon objectif était : Comment voyons-nous des progrès en médecine qui arrivent par rapport aux incitations perverses au profit ?

    J'ai trouvé seize exemples de percées qui ont réussi malgré les mesures dissuasives financières - des avancées qui ont profité aux patients mais n'ont pas maximisé les revenus. Cela m'a donné de l'espoir.

    Dix ans plus tard, je ne pouvais pas écrire ce livre.

    Le défaut fatal est dans la fonction d'optimisation: nous subventionnons ce dont nous voulons plus. Et dans l'industrie médicale, le profit est ce qui est le plus subventionné - pas la prévention, pas les résultats, pas la santé publique. En fait, « économies de coûts » est un anathème pour l’agenda des administrateurs qui veulent voir une croissance continue. Et la croissance des soins de santé, de manière perverse, nécessite plus, pas moins, de personnes malades.

    Les plans et systèmes de santé ne récompensent pas les patients guéris. Ils récompensent la dépendance chronique. Et les euphémismes sont bien connus. L'entretien de la santé semble proactif, voire noble, comme le système est conçu pour bien garder les gens.

    Mais ce qui est maintenu n'est pas la santé ; c'est la continuité de facturation. Le patient devient un actif géré - programmé pour les examens de contrôle, les laboratoires et les recharges, non pas pour optimiser le bien-être, mais pour maintenir son rôle d'unité génératrice de revenus.

    Managed Care est une autre phrase qui masque son véritable but. Il évoque l'ordre et la coordination, mais ce que cela signifie vraiment, c'est le rationnement - retards, nids, et algorithmes dictant quel type de soins peut être accédé et quand. Il transmet des décisions cliniques aux actuaires et aux administrateurs, avec un confinement des coûts déguisé en prudence clinique.

    Et puis il y a le paiement basé sur la valeur, la dernière mise à niveau dans le double langage de santé euphémisme. En théorie, il lie le remboursement aux résultats. En pratique, il récompense ceux qui jouent les métriques - qui cochent les cases, frappent les cibles de codage, et conduisent à l'utilisation, même si les résultats stagnent. La valeur, dans cette équation, est mesurée non pas par la façon dont un patient guérit, mais par l'efficacité avec laquelle un système évite les dépenses.

    Tous ces termes suggèrent un système de santé qui vise l'excellence. Mais ce qu'ils décrivent réellement, c'est une machine optimisée pour perpétuer la maladie de la manière la plus élégante possible.

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  15. Les incitations ne sont pas alignées sur la guérison - elles sont alignées sur le volume, les codes de facturation et les résultats de la procédure. Dans un tel système, même les meilleures intentions sont déformées par la gravité systémique.

    Cette série d'articles montrera comment.

    Mais d'abord, comprenons comment cela se produit. Imaginez les premiers organismes de réglementation, comme la Commission du commerce inter-États au XIXe siècle, construits pour contenir les monopoles des chemins de fer. Dans les années 1890, il prenait déjà « la vue ferroviaire des choses », comme l'a écrit l'ancien procureur général Richard Olney dans une lettre privée. "La partie de la sagesse n'est pas de détruire la Commission", a-t-il conseillé à ses clients de chemin de fer, "mais de l'utiliser." Cette même logique anime les partenariats public-privé d'aujourd'hui, des conseils consultatifs empilés d'initiés de l'industrie et des agences financées par les sociétés mêmes qu'elles sont censées réglementer.

    Ce n’est pas seulement un effet secondaire malheureux de la gouvernance moderne. C'est le résultat prévisible de la structure des systèmes de réglementation par leurs participants. Lorsque les entreprises ont découvert qu'en se positionnant elles-mêmes - et non en tant que « parties prenantes », elles pouvaient aider à écrire les règles, elles ont appris qu'elles pouvaient « aider » les agences à écrire les règles.

    Lorsque les sociétés pharmaceutiques peuvent financer des examens de la FDA sur leurs propres médicaments, lorsque les développeurs de vaccins siègent dans des panels qui décident des calendriers nationaux de vaccination, et lorsque les scientifiques qui détiennent des brevets votent sur les recommandations de produits, ils ne travaillent pas pour le public. Ils servent leurs intérêts financiers sous la bannière de la confiance du public.

    Dans la politique de santé, le coût de la capture n'est pas seulement mesuré en dollars. Il est mesuré en cas de décès évitable, de douleur chronique et de trahison systémique - de Vioxx à OxyContin à des approbations accélérées basées sur l'espoir, et non sur des preuves.

    Vous rencontrerez les responsables de l'Office des forêts qui ont rejoint les conseils d'administration des médicaments pharmaceutiques quelques semaines après avoir approuvé leurs médicaments. Les dénonciateurs dont les avertissements ont été enterrés. Et les politiques qui ont été tuées.

    Ce n'est pas seulement la FDA, ce n'est pas seulement du médicament, et ce n'est pas seulement fédéral. C'est l'EPA, où les anciens lobbyistes chimiques écrivent des règles de sécurité de l'air et de l'eau qui minimisent la responsabilité de l'industrie.

    C'est le NIEHS, où la recherche critique sur les perturbateurs endocriniens stagne sous pression politique, même si les taux de maladies chroniques augmentent.

    C'est la SEC, où les régulateurs financiers reviennent régulièrement aux mêmes entreprises qu'ils étaient autrefois chargés de surveillance - des entreprises qui ingénieurs s'effondrent sur l'économie et sont renflouées avec des fonds publics.

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  16. C'est l'USDA, où les géants de l'agro-industrie influencent les directives nutritionnelles qui façonnent les repas scolaires et les campagnes de santé publique.

    C'est la FAA, où les règles de sécurité des compagnies aériennes se courbent pour tenir compte des raccourcis de maintenance des économies.

    C'est la FCC, où les entreprises de télécommunications aident à rédiger les règles qui régissent leur propre portée de surveillance, réprimant l'innovation pour maintenir le statu quo.

    Ce sont des entrepreneurs de la défense et des élus agissant sur des plans de guerre à des fins lucratives. Dans l'ensemble des organismes après l'agence, le modèle est le même: la réglementation est devenue un service de police pour les intérêts des entreprises. Le public paie le projet de loi, mais l'industrie appelle les plans.

    Cette série vise à nommer le problème et à montrer son architecture. Nous marcherons à travers ses origines, ses mécaniciens, ses conséquences, ses catalyseurs, et - de manière critique - comment le démonter.

    Étant donné que j'ai vécu et que j'ai fait l'expérience de la recherche translationnelle, et que j'ai contribué à construire une infrastructure universitaire pour la soutenir, j'apporterai mes comptes oculaires personnels de l'impact corrosif d'un système conçu pour optimiser uniquement les revenus et l'influence.

    Et je partagerai une vision de la recherche transformationnelle, qui la dénature pour poser les questions que l'industrie et les grands médicaments ont une incitation insuffisante à financer. Des questions comme : Qu'est-ce qui guérit vraiment ? Qu'est-ce qui empêche la maladie à la racine, et pas seulement à la gérer en aval? Quels modèles de soins réduisent les souffrances sans maximiser la facturation ?

    Un système digne de l'humanité commencerait par ces questions et s'ouvrirait à l'extérieur, optimisant non pas pour le profit ou l'alignement politique, mais pour des vies restaurées, des communautés résilientes et l'indépendance scientifique.

    C'est l'avenir pour lequel cette série se bat.

    https://thekennedybeacon.substack.com/p/how-big-pharma-captured-the-us-health?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=168260859&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  17. UCLA Hospital pour enfants Los Angeles Clos

    Les parents vulgnables, autistes, les enfants peuvent se sentir plus sûrs à partir du 22 juillet 2025


    Peter A. McCullough, MD, MPH
    13 juillet 2025


    Les décrets de Trump ont un impact réel sur l’agenda des transgenres radicaux en Amérique. Il a publié des décrets sur la définition du sexe ainsi que des directives visant à définancer des programmes transgenres pour les jeunes, dont la plupart s'attaquent aux enfants vulnérables autistes.

    La décision de la Cour suprême confirmant l'interdiction du Tennessee sur les programmes transgenres pour les jeunes a encore renforcé la main de la prudence, malheureusement parce que l'orthodoxie médicale et l'WOKE sont partis ne peuvent pas se surveiller eux-mêmes.

    https://www.thefocalpoints.com/p/ucla-childrens-hospital-los-angeles?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=168117067&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  18. Une hausse choquante de 20 % des décès en Afrique du Sud est directement liée au déploiement du vaccin contre la Covid, révèlent des données ignorées.


    13/07/2025
    Lance D Johnson


    La triste réalité est désormais indéniable : les taux de mortalité en Afrique du Sud ont explosé en 2021, grimpant de près de 20 % au moment même où les vaccins contre la COVID-19 étaient massivement administrés à la population. Loin d’instaurer la sécurité, cette hausse sans précédent des décès a coïncidé de manière inquiétante avec les campagnes de vaccination de masse – une tendance trop alarmante pour être considérée comme une simple coïncidence. Alors que les médias grand public reprennent les assurances creuses de l’establishment sur la sécurité des vaccins, les données des statistiques de l’état civil sud-africaines dressent un tableau effrayant de trahison. La vérité ? Une « crise » qui n’a jamais concerné le virus lui-même, mais une expérience médicale mortelle déguisée en salut.

    Alors que les médias grand public se font l’écho des assurances de l’establishment, les données du gouvernement sud-africain – ignorées mais accessibles – révèlent une trahison effrayante. La crise n'était pas due au virus ; les courbes de mortalité suivaient plutôt le calendrier de déploiement des vaccins, suggérant une expérience médicale mortelle présentée comme une solution miracle.

    Points clés :

    L'Afrique du Sud a enregistré une augmentation dévastatrice de 19,6 % des décès en 2021, coïncidant avec les campagnes massives de vaccination contre la Covid-19.

    Le timing est accablant : les décès ont fortement augmenté avec la vaccination à grande échelle, notamment mi-2021, après les pics de la campagne Pfizer/J&J.
    Les enfants de moins de 19 ans non vaccinés n'ont pas enregistré de pic similaire, une anomalie flagrante qui réfute les affirmations d'effets naturels de la pandémie.
    Les décès ont augmenté dans toutes les tranches d'âge vaccinées, à l'exception des enfants de moins de 19 ans, qui ont été largement épargnés par les injections.

    Les Philippines, les États-Unis et le Royaume-Uni ont observé des tendances similaires : une surmortalité synchronisée avec les vaccinations de masse. Aux États-Unis, la surmortalité a dépassé de 674 954 le pic de 2020 en 2021, ce qui réfute le discours sur la « pandémie des non-vaccinés ».
    Les données montrent que les programmes de vaccination se sont intensifiés parallèlement aux décès, infirmant les allégations de coïncidence ; pourtant, les organismes de surveillance restent silencieux. Des tendances similaires en matière de décès catastrophiques ont coïncidé avec les déploiements de vaccins dans le monde entier, suscitant d'urgentes suspicions de toxicité systémique.

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  19. Omissions délibérées :

    L'Afrique du Sud a dissimulé les données postérieures à 2021, tandis que le SAMRC a évité tout lien entre injection et décès, malgré des données criantes de causalité.
    Où sont les pics d'autopsies ? Les rapports de toxicologie ? Les autorités rejettent les questions, qualifiant les preuves d'« anecdotiques ».
    Les preuves indéniables : la catastrophe mortelle en Afrique du Sud
    Les dossiers du Conseil sud-africain de la recherche médicale (SAMRC) révèlent une chronologie effroyable. Les rapports de décès, classés par causes naturelles et non naturelles, montrent que le nombre de décès en 2021 était sans précédent, éclipsant même la hausse de 2020. Malgré les tentatives désespérées des autorités d'imputer la responsabilité des retards d'enregistrement ou des « séquelles de la pandémie », aucune explication logique ne tient face à ce calendrier. Les vaccins ont été déployés en février 2021, mais le nombre de décès n'a explosé qu'en milieu d'année, précisément au moment où la couverture vaccinale progressait.

    Pfizer et Johnson & Johnson ont dominé les efforts de vaccination en Afrique du Sud. En septembre 2023, 33,7 % des Sud-Africains avaient reçu au moins une dose. Pourtant, le nombre de décès a grimpé en flèche, en particulier parmi les personnes vaccinées. Des augmentations de décès ont été observées dans toutes les cohortes vaccinées, tandis que les enfants non vaccinés sont restés sensiblement épargnés – une disparité accablante.

    Voix réduites au silence : la tendance mondiale à la surmortalité
    L'Afrique du Sud est loin d'être la seule dans ce cas. Les Philippines ont connu une surmortalité parfaitement synchronisée avec le déploiement du vaccin Janssen (J&J). Les États-Unis ont enregistré 674 954 décès supplémentaires en 2021, dépassant même le pic pandémique de 2020. S'agissait-il d'un carnage lié aux « soins de santé » ou à l'État ?

    Historiquement, les malversations médicales n'ont atteint une telle ampleur qu'en temps de guerre, ou lors de campagnes pharmaceutiques forcées. Des malformations cachées de la thalidomide aux mensonges de l'industrie du tabac, la cupidité des entreprises sacrifie régulièrement des vies. Pourtant, les pharmaciens d'aujourd'hui esquivent leurs responsabilités en racontant des histoires inventées de toutes pièces.

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  20. La dissimulation continue

    Pourquoi Statistics South Africa a-t-il caché les données de décès après 2021 ? Pourquoi le SAMRC évite-t-il de relier les injections à la mortalité ? La réponse est simple : une confirmation détruirait le récit. Les autorités ignorent intentionnellement la causalité, rejetant les preuves de plus en plus nombreuses comme étant « une coïncidence ». Où est la vague d'autopsies ? Les enquêtes toxicologiques ?

    Pendant ce temps, les citoyens victimes de la vaccination sont abandonnés, privés de justice et moqués par les médias. Des chercheurs indépendants (comme Super Sally) rassemblent les données occultées, luttant contre la censure à chaque étape. Mais le silence est une complicité.

    Le monde n'a jamais connu une « pandémie de non-vaccinés ». Il a plutôt souffert d'une pandémie de fraude médicale. Les preuves – occultées mais non effacées – prouvent que les décès liés aux vaccins étaient inévitables. Les gouvernements le savaient. Les entreprises en ont profité. Et nous, le peuple, étions pris dans un combat pour la vérité, tandis que certains sacrifiaient leur corps sur l'autel de ce programme de dépopulation. La question n'est plus de savoir si ces injections ont tué des millions de personnes – les statistiques le crient haut et fort. La question est : qui paie pour le génocide ?

    Sources include:

    Expose-News.com
    SHTFPlan.com
    SAMRC.za
    MZAnsiMirror.com

    https://www.naturalnews.com/2025-07-13-death-surge-south-africa-correlates-covid-vaccine-rollout.html

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  21. La FDA met à jour les avertissements concernant les vaccins à ARNm et confirme un risque de myocardite « extrêmement élevé » chez les jeunes hommes.


    07/12/2025
    Ava Grace


    La FDA a imposé de nouvelles étiquettes de sécurité pour les vaccins à ARNm contre la COVID-19 de Pfizer et Moderna, mettant explicitement en garde contre un risque « extrêmement élevé » de myocardite (inflammation cardiaque) chez les jeunes hommes âgés de 12 à 24 ans, infirmant ainsi les précédentes affirmations selon lesquelles les cas étaient « rares et bénins ».
    Des études d'IRM cardiaque ont révélé que 60 % des jeunes hommes atteints de myocardite post-vaccinale présentaient une cicatrisation ou une inflammation cardiaque persistante (rehaussement tardif au gadolinium) des mois après le diagnostic, ce qui suscite des inquiétudes quant à des séquelles permanentes.

    La FDA reconnaît 27 cas de myocardite par million de jeunes hommes, mais ses détracteurs affirment que ce chiffre est probablement sous-estimé en raison d'une surveillance insuffisante et d'une réticence historique à lier les effets indésirables aux vaccins.

    Après avoir minimisé les risques pendant des années, la FDA exige désormais des fabricants qu'ils divulguent des données non ajustées sur la myocardite, y compris les risques pour les enfants dès l'âge de six mois. Cette mesure témoigne d'une transparence accrue face aux accusations de dissimulation passées.
    Les partisans du vaccin affirment que la COVID-19 présente des risques de myocardite plus élevés que la vaccination, mais ses détracteurs soulignent les disparités démographiques (les jeunes hommes en bonne santé étant touchés de manière disproportionnée) et la méfiance persistante envers les institutions accusées de dissimuler les effets néfastes des vaccins.

    La Food and Drug Administration (FDA) a pris une mesure sans précédent en mettant à jour les étiquettes de sécurité des vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Ces étiquettes actualisées mettent désormais explicitement en garde contre un risque « extrêmement élevé » de myocardite – une maladie cardiaque potentiellement mortelle – chez les jeunes hommes.

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  22. La décision annoncée le 1er juillet fait suite à l'accumulation de preuves de lésions cardiaques persistantes chez les hommes âgés de 12 à 24 ans, contredisant les assurances fédérales antérieures selon lesquelles ces cas étaient « rares et bénins ». Cette décision marque un tournant dans le débat national sur la transparence des vaccins et les conséquences à long terme des politiques précipitées face à la pandémie.

    La mise à jour des étiquettes de la FDA est la dernière mesure prise par les responsables du secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr. pour restreindre ou limiter l'utilisation des vaccins. Sous la direction du commissaire Marty Makary, l'organisme de réglementation a limité les injections annuelles contre la COVID-19 aux personnes âgées et aux autres Américains présentant un risque accru de contracter le virus. (À lire également : Étude japonaise : Même une myocardite légère due aux vaccins contre la COVID-19 peut provoquer des ARYTHMIES MORTELLES.)

    Ces mises en garde font suite à des résultats alarmants d'IRM cardiaque chez des hommes jeunes ayant développé une myocardite après la vaccination. Des études financées par l'agence révèlent que 60 % des patients atteints présentaient encore des signes de lésion myocardique, notamment un rehaussement tardif au gadolinium (LGE), cinq mois après leur diagnostic initial. Un LGE indique une cicatrisation ou une inflammation pouvant entraîner des lésions cardiaques permanentes, ce qui suscite des inquiétudes quant à la santé cardiovasculaire à long terme de ce groupe démographique.

    Le taux d'incidence révisé de 27 cas de myocardite par million de jeunes hommes est désormais officiellement reconnu, bien que les critiques affirment que ce chiffre est probablement sous-estimé en raison de la passivité des systèmes de surveillance et de la réticence historique à lier les événements indésirables à la vaccination.

    La myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et la péricardite (inflammation des tissus entourant le cœur) sont provoquées par un système immunitaire en état d'alerte maximale, déclenché par des protéines inflammatoires, selon une étude de 2023. La myocardite provoque fatigue et essoufflement, tandis que la péricardite entraîne des douleurs thoraciques.

    Kennedy plaide pour des restrictions plus strictes concernant les recommandations de rappel
    La mise à jour de l'étiquette par la FDA ne devrait pas apaiser la controverse. Les sceptiques face aux vaccins, dont Kennedy lui-même, plaident pour des restrictions plus strictes concernant les recommandations de rappel. Parallèlement, les principaux acteurs de la santé publique avertissent qu'une insistance excessive sur les effets secondaires rares pourrait dissuader complètement la vaccination.

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  23. Pendant des années, les agences fédérales de santé ont minimisé les risques de myocardite, soulignant que les avantages des vaccins à ARNm l'emportaient sur leurs risques potentiels. Mais la dernière décision de la FDA contredit directement ces affirmations antérieures.

    L'organisme de réglementation exige désormais que les fabricants divulguent les taux d'incidence non ajustés et les lésions confirmées par IRM dans leurs notices d'information. Les fiches d'information mises à jour s'étendent désormais aux vaccins d'urgence destinés aux enfants dès l'âge de six mois, témoignant d'une plus large reconnaissance du risque.

    Ce revirement intervient dans un contexte de surveillance accrue visant à déterminer si les autorités ont dissimulé les préoccupations en matière de sécurité afin de garantir l'adhésion du public aux campagnes de vaccination. La présentation de la FDA, accessible en ligne, souligne un changement radical par rapport aux messages passés, qui privilégient enfin les données aux dogmes.

    Les mises en garde révisées de la FDA marquent un tournant dans l'histoire de la pandémie. Pour les jeunes hommes et leurs familles, ces mises à jour constituent une mise en garde tardive, mais nécessaire.

    Consultez VaccineDamage.news pour d'autres articles similaires.

    Regardez Jefferey Jaxen et Del Bigtree rapporter dans cette vidéo que l'inflammation cardiaque induite par les vaccins est 3 000 fois plus fréquente que la normale.

    This video is from the SecureLife channel on Brighteon.com.

    More related stories:

    Cardiologist says no case of COVID-19 vaccine-induced myocarditis is mild.

    Study finds possible link between Pfizer’s COVID-19 vaccine and myocarditis in children.

    CDC study: COVID-19 mRNA shots increase risk of myocarditis by 13,200%.

    Sources include:

    YourNews.com
    KBTX.com
    STATNews.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2025-07-12-fda-updates-covid-19-mrna-vaccine-warnings.html

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  24. Message du Dr Reiner Fuellmich. « Ensemble, pour chacun ensemble ». « Juste pour dire non à la guerre », « Révéler la vérité sur la pandémie »


    Par Reiner Fuellmich et Peter Koenig
    Recherche mondiale,
    11 juillet 2025


    C’est le message anti-guerre le plus positif — et le plus encourageant pour les gens — que l’on puisse imaginer, venant du Dr Reiner Fuellmich, avocat international, détenu depuis 20 mois comme prisonnier politique en Allemagne.

    Selon la définition des droits de l'homme de l'ONU, Reiner a été maintenu la plupart du temps dans des conditions de torture, psychologique et physique.

    Oui, et cela en Allemagne. Ce pays, autrefois phare d'une Europe en pleine croissance, est tombé aux mains des bellicistes, évoluant rapidement vers le nazisme, sans que la plupart des Allemands ne s'en rendent compte.

    Merci Reiner d’être vous-même un esprit positif, d’avoir ignoré vos circonstances difficiles et de nous avoir donné, à nous le peuple, de l’espoir – afin que nous ne désespérions pas ;

    tandis que le mal, ceux de l'autre côté de la barrière comme vous l'appelez, essaient toujours de nous dominer, de nous dicter et de nous asservir, nous l'humanité.

    En vain, dit Reiner. Justice sera faite.

    Et avec lui nous crions : Justice sera faite !

    LIBÉREZ REINER !

    LIBÉREZ REINER !

    LIBÉREZ REINER !

    https://www.globalresearch.ca/an-message-from-dr-reiner-fuellmich-together-for-each-together-just-to-say-no-to-war-expose-the-truth-about-the-pandemic/5894792

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  25. Et après ? Événement – Arrêter le programme et réformer le système. « Que contenaient réellement les vaccins ? »


    Par le Dr Mark Trozzi
    Recherche mondiale,
    11 juillet 2025


    En septembre 2024, Canadiens pour la vérité a invité le Dr Peter McCullough, le Dr Regina Watteel et moi-même à l'auditorium du Canadian Christian College à Whitby, en Ontario, pour présenter ce sujet :

    « Et ensuite ? Où allons-nous et à quoi nous attendre ? »

    Cet événement a été excellent et a attiré un public nombreux. Je suis ravi de partager pour la première fois l'enregistrement vidéo de ma présentation de ce jour-là. J'espère que vous le trouverez à la fois captivant et instructif.

    Dans la troisième partie , j'explique la crise complexe qui touche les systèmes de santé, de gouvernance et les sociétés. Derrière les messages publics sur la sécurité et la science se cache un schéma de fraude, de contamination et de contrôle croissant. Des « vaccins » contenant du matériel génétique non approuvé aux opérations psychologiques visant à semer la peur et la division, un programme plus profond s'est révélé.

    - voir clip sur site -

    La charge génétique : que contenaient réellement les « vaccins » ?

    Des analyses indépendantes des « vaccins » contre la COVID-19 ont révélé bien plus que de l'ARNm. Des chercheurs comme le Dr David Speicher ont découvert des atomes étrangers, des fragments d'ADN et le promoteur SV40, une séquence virale connue pour permettre une modification génétique permanente en s'intégrant aux chromosomes humains.

    Ce matériel n'a pas été divulgué aux autorités réglementaires. Sa présence constitue une fraude, contournant le consentement éclairé et soulevant des inquiétudes quant à la sécurité génétique à long terme. Il est alarmant de constater que les lots fabriqués avec le plus grand soin se sont révélés les plus mortels, ce qui suggère que le « contrôle qualité » a accru le risque biologique au lieu de le réduire.

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  26. Fraude de fabrication et négligence réglementaire

    Une approche de leurre a été utilisée dans la fabrication. Pour obtenir l'approbation réglementaire, les entreprises ont soumis un petit lot de matériel génétique produit par PCR – une méthode de laboratoire propre et précise qui minimise la contamination. Mais une fois approuvée, elles ont opté pour une méthode de production de masse moins coûteuse : la culture de plasmides dans des bactéries E. coli pour répliquer les séquences génétiques à grande échelle. Ce procédé est beaucoup moins contrôlé et peut laisser de l'ADN bactérien et d'autres impuretés. Malgré ce changement de méthode de fabrication, Santé Canada n'a pas exigé de nouveaux tests de sécurité. La FDA et l'AMA non plus.

    En conséquence, des millions de personnes ont reçu une injection d'un produit qui n'a jamais été correctement évalué dans sa forme finale. Malgré cela, les gouvernements continuent de construire de nouvelles usines d'ARNm, notamment des versions autoréplicatives approuvées au Japon. Ces futures injections pourraient se répliquer en continu dans l'organisme, sans interruption ni données de sécurité à long terme.

    Guerre de cinquième génération et opérations psychologiques

    L'attaque n'est pas seulement biologique, elle est psychologique. La guerre de cinquième génération repose sur le contrôle de l'information, des émotions et des perceptions. Les médias, la médecine et le gouvernement ont été instrumentalisés pour manipuler le comportement public, instiller la peur et réprimer la dissidence.

    Par la censure, la coercition et l'humiliation publique, les citoyens ont été contraints à la conformité, tandis que les experts indépendants étaient réduits au silence. La désinformation a été institutionnalisée, non par des voix marginales, mais par les détenteurs du pouvoir. Ce type de guerre sape le discours rationnel et remplace la science par une obéissance motivée par la peur.

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  27. Action et responsabilité

    Cette crise ne peut être normalisée. Nous devons rejeter les injections expérimentales, reprendre le contrôle de nos décisions personnelles en matière de santé et nous opposer aux politiques tyranniques comme le projet de loi C-293 du Canada. Des organisations comme le Conseil mondial de la santé, ainsi que des médecins et des scientifiques courageux du monde entier, ont établi des protocoles de désintoxication et des cadres éthiques clairs pour guider cette résistance. Ce travail renforce un mouvement international croissant en faveur de la transparence, de l'intégrité biologique et du consentement éclairé. La justice n'est pas facultative : elle est le fondement de la guérison et du renouveau. Lorsque les institutions étatiques favorisent le mal, nous devons résister. Il est temps de restaurer l'intégrité de notre société de fond en comble.

    Tournée Souveraineté d'été 2025

    Au cours des prochaines semaines et des prochains mois, je visiterai vingt communautés en Ontario, en Alberta, en Saskatchewan et en Colombie-Britannique . Ces rencontres en personne comprendront des présentations complètes, des séances de questions-réponses interactives et l'occasion d'échanger avec d'autres chercheurs de vérité, défenseurs de la santé et combattants de la liberté.

    L’entrée est gratuite – les dons sont appréciés mais pas obligatoires.

    Pour plus d'informations , veuillez visiter cet article : cliquez ici .

    https://www.globalresearch.ca/whats-next-event-stopping-agenda-reforming-system/5894724

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    1. LA honte !! AUCUN des 3 cons invités n'a parlé des contenants mortels des seringues !!

      Les effets secondaires des vaccins à ARN : La vérité éclate !
      https://www.youtube.com/watch?v=nrV26GWFJak


      1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
      a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
      b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !

      2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
      Par contre existe une expérimentation génique d'essais.

      3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:

      Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!

      + des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).

      + des spikes !!

      + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!

      4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!

      5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !

      6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.

      7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
      Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.

      8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
      Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!

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  28. Les lentilles de contact infrarouges offrent une vision nocturne surhumaine, même les yeux fermés.


    07/12/2025
    Lance D Johnson


    Imaginez fermer les yeux tout en voyant aussi clair que le jour, non pas grâce à un implant cérébral orwellien, mais grâce à des lentilles de contact inoffensives imprégnées de nanoparticules. Grâce à des recherches révolutionnaires menées par des neuroscientifiques et des spécialistes des matériaux, les lentilles de contact infrarouges permettent désormais à leurs porteurs de percevoir l'obscurité comme de la lumière, révolutionnant ainsi la vision nocturne sans lunettes encombrantes ni procédures invasives. Publiée dans Cell, cette innovation exploite des nanomatériaux convertisseurs de lumière pour dépasser les limites naturelles de la vision humaine, non sans susciter des inquiétudes quant à la confidentialité, la militarisation et les abus de surveillance.
    Points clés :

    Des chercheurs ont développé des lentilles de contact transparentes utilisant des nanoparticules qui convertissent la lumière infrarouge en longueurs d'onde visibles, permettant ainsi de voir dans l'obscurité totale, même les paupières fermées.
    Contrairement aux lunettes de vision nocturne classiques, ces lentilles ne nécessitent aucune alimentation externe et permettent une perception simultanée de la lumière infrarouge et visible.
    Les premiers tests se sont avérés concluants chez la souris et l'homme, avec une détection infrarouge améliorée lorsque les yeux sont fermés grâce à une interférence réduite avec la lumière visible.

    Les applications potentielles vont des opérations militaires et des diagnostics médicaux à l'aide aux daltoniens, mais des dilemmes éthiques planent sur la surveillance et les atteintes à la vie privée.
    Les prototypes actuels ne détectent que l'infrarouge projeté par les LED, mais les chercheurs souhaitent affiner la sensibilité pour les environnements naturels à faible luminosité, leur disponibilité étant encore loin d'être assurée pour le grand public.

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  29. La science derrière les lentilles de vision nocturne

    Le secret réside dans des nanoparticules de conversion intégrées dans des polymères biocompatibles, le même matériau que celui utilisé dans les lentilles souples standard. Ces nanoparticules absorbent la lumière proche infrarouge (800-1600 nm) et la transforment en lumière visible (400-700 nm), rendant ainsi l'obscurité perceptible. L'auteur principal, Tian Xue, neuroscientifique à l'Université des sciences et technologies de Chine, explique : « C'est clair et net : sans les lentilles, les sujets ne voient rien, mais avec elles, ils détectent instantanément le scintillement infrarouge. » Étonnamment, fermer les paupières améliore la clarté, car l'infrarouge pénètre la peau plus efficacement que la lumière visible.

    Lors d'essais sur des souris, les sujets équipés de lentilles évitaient les zones éclairées par l'infrarouge, tandis que les scanners cérébraux confirmaient l'activation des centres visuels. Les porteurs humains ont décodé des signaux de type morse et localisé la direction de la lumière infrarouge, les nanoparticules trichromatiques différenciant même les longueurs d'onde par couleur : 808 nm pour le vert, 980 nm pour le bleu et 1 532 nm pour le rouge. Cela ouvre des perspectives pour aider les daltoniens en transposant des teintes invisibles en nuances discernables.

    Rêves militaires et cauchemars civils
    Les applications sont stupéfiantes : des soldats naviguant sur des champs de bataille plongés dans l'obscurité totale, des chirurgiens identifiant des tumeurs marquées par infrarouge ou des équipes de secours localisant des signatures thermiques dans des décombres. Xue vante « des utilisations immédiates dans la sécurité, la lutte contre la contrefaçon et les communications cryptées ». Pourtant, l'histoire met en garde contre les technologies à double usage : l'imagerie thermique, autrefois réservée à l'armée, alimente aujourd'hui une surveillance dystopique. Ces lentilles pourraient-elles devenir des outils d'espionnage industriel ou d'abus de pouvoir de la part des gouvernements ?

    Contrairement aux lunettes de vision nocturne, qui émettent des lueurs révélatrices et limitent la perception périphérique, la transparence des lentilles rend la surveillance discrète extrêmement plausible. Contrairement aux implants rétiniens, elles sont non invasives, mais tout aussi puissantes. Bruce Schneier, spécialiste de la protection de la vie privée à Harvard, met en garde : « Toute technologie améliorant la vision dans l'obscurité comporte intrinsèquement un risque d'abus. La question n'est pas de savoir si, mais comment les autorités l'exploiteront.»

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  30. Limites et perspectives d'avenir

    Si les versions actuelles de ces lentilles de réalité augmentée (RA) sont révolutionnaires, elles présentent néanmoins des limites notables. Actuellement, elles ne peuvent détecter que les sources infrarouges actives, telles que les LED, ce qui signifie que les signatures thermiques ambiantes ou les signaux environnementaux de faible luminosité restent invisibles. Cependant, l'équipe de recherche de Xue travaille activement à l'amélioration de la sensibilité des capteurs, afin de permettre la détection passive des signaux thermiques faibles tout en affinant la résolution des images pour des projections plus claires et plus détaillées.

    Les premiers prototypes de dispositifs portables démontrent déjà des synergies prometteuses entre les lunettes AR et les lentilles de contact intelligentes, offrant une netteté d'image améliorée grâce à des configurations hybrides. Néanmoins, l'adoption généralisée par les consommateurs est encore loin d'être assurée, freinée par des validations de sécurité rigoureuses, l'évolutivité de la fabrication et des structures de coûts non résolues. Bien que les prix exacts n'aient pas été divulgués, les premiers utilisateurs doivent s'attendre à des coûts élevés, similaires aux prix de lancement élevés des lunettes intelligentes de première génération.

    Au-delà des obstacles techniques se pose un débat de société plus large : les lentilles AR serviront-elles d'outils d'assistance aux malvoyants ou pourraient-elles permettre une surveillance intrusive ? La technologie elle-même est impartiale ; ses implications éthiques dépendront entièrement de son application. La transparence du développement, les politiques d'accès équitable et la surveillance réglementaire joueront un rôle essentiel pour garantir que ces innovations respectent la vie privée plutôt que de la compromettre. Le chemin à parcourir est à la fois exaltant et prudent, exigeant à la fois ingéniosité scientifique et gestion responsable.

    Sources include:

    Phys.org
    Cell.com
    Pnas.org

    https://www.naturalnews.com/2025-07-12-infrared-contact-lenses-grant-superhuman-night-vision.html

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  31. COVID-19 : comment la science et les statistiques ont été détournées au détriment des citoyens


    Le Collectif Citoyen, France-Soir
    le 11 juillet 2025 - 12:30


    Cinq ans après le début de la crise du COVID-19, des chercheurs renommés comme Simon N. Wood et John Ioannidis dressent un constat accablant : les modèles statistiques biaisés, les narratifs alarmistes et les politiques publiques mal calibrées, comme les confinements, ont causé des dommages souvent plus graves que le virus lui-même. En s’appuyant sur leurs analyses publiées dans le Journal of the Royal Statistical Society (2025) et sur les critiques incisives de France-Soir et du Collectif Citoyen, cet article explore les dérives scientifiques de la pandémie, leurs conséquences humaines et économiques, et les leçons à tirer pour restaurer une science digne de confiance.

    Une surestimation massive des risques du COVID-19

    Des modèles statistiques trompeurs au service d’un narratif alarmiste : dès le printemps 2020, les projections épidémiologiques ont façonné la réponse mondiale à la pandémie. Des modèles comme celui de Ferguson et al. (2020), prédisant jusqu’à 500 000 décès au Royaume-Uni en l’absence de mesures drastiques, ont justifié des politiques extrêmes comme les confinements. Pourtant, comme le souligne John Ioannidis, professeur à l’Université de Stanford, dans son commentaire (2025), ces estimations reposaient sur des "biais cumulatifs de grande ampleur" qui ont créé un « narratif pandémique trompeur» .

    Ces biais, amplifiés par des hypothèses irréalistes et des données incomplètes, ont exagéré la létalité du virus, semant une peur disproportionnée. Les données rétrospectives confirment cette analyse. Selon l’Office for National Statistics (ONS), les décès liés au COVID-19 au Royaume-Uni entre mars 2020 et août 2021 étaient majoritairement concentrés chez les personnes âgées ou celles présentant des comorbidités (Wood et al., 2025, p. 3).

    Décès concentrés chez les personnes agées

    Dès mars 2020, l’épidémie sur le paquebot Diamond Princess avait fourni des données cruciales : le risque de décès était fortement corrélé à l’âge, avec un taux de létalité inférieur à 1 % pour les moins de 70 ans. Pourtant, ces informations, disponibles dès le début, ont été largement ignorées par les autorités britanniques, qui ont préféré maintenir un discours alarmiste.

    France-Soir, dans son article « Les chiffres finiront par parler » (2020), dénonçait déjà cette manipulation des statistiques pour justifier des mesures disproportionnées. Les autorités, en se focalisant sur des scénarios catastrophes, ont négligé des analyses plus nuancées, comme celles issues des données chinoises (Huang et al., 2020) ou de l’épidémie sur le Diamond Princess, qui montraient que le virus posait un risque limité pour les populations jeunes et en bonne santé.

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  32. Les ravages des confinements et des mesures sanitaires

    Un coût humain et économique occulté : les confinements, présentés comme une solution incontournable pour « aplatir la courbe», ont eu des conséquences dévastatrices. Simon N. Wood et al. (2025) décrivent un choc économique d’une ampleur inédite au Royaume-Uni, le plus important depuis 300 ans, marqué par une interruption délibérée de l’activité économique, une inflation galopante et des perturbations des chaînes d’approvisionnement.

    Ces impacts ont entraîné une baisse significative de l’espérance de vie, non pas à cause du virus, mais en raison des privations économiques et sociales. John Ioannidis va plus loin dans son commentaire : « À l’échelle mondiale, les mesures adoptées ont probablement causé plus de tort et de décès que le SARS-CoV-2 lui-même ». Il s’appuie sur des études comme celle de Bendavid et Patel (2024), qui montrent que les confinements n’ont pas significativement réduit les infections à long terme une fois le virus installé dans une communauté. En revanche, ils ont engendré des dommages collatéraux majeurs : retards de soins pour des maladies graves, augmentation des troubles psychologiques, et creusement des inégalités sociales.

    L’article de France Soir « Le confinement : tout ce qu’on ne vous a pas dit » de juin 2020 détaille ces impacts avec une clarté brutale. Les confinements ont perturbé l’accès aux soins pour des pathologies comme le cancer ou les maladies cardiovasculaires, entraînant une surmortalité non liée au COVID-19 (Et pourtant cet article vaudra à France-Soir les honneurs de Newsguard, un site qui pratique la pollution informationnelle en tentant de décrédibiliser les voix alternatives).

    Confinement necessaire

    Les enfants et les adolescents ont souffert de fermetures d’écoles prolongées, avec des conséquences durables sur leur santé mentale et leur éducation. En France, par exemple, les hospitalisations pour troubles psychiatriques chez les jeunes ont bondi de 80 % en 2020-2021. À l’échelle mondiale, l’ONU a estimé que les perturbations économiques ont poussé 100 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté.

    Ioannidis souligne que ces mesures, souvent adoptées sans évaluation rigoureuse, ont conduit à une « spirale mortifère de décisions erronées » (Schippers et al., 2024). Cette spirale a non seulement aggravé les dommages socio-économiques, mais aussi érodé la confiance du public dans la science, alimentant des théories conspirationnistes. Comme le note France-Soir, les autorités ignorèrent souvent les voix dissidentes, préférant s’appuyer sur des narratifs simplistes opposant « zélotes de la pandémie » et « conspirationnistes du déni » (Ioannidis, 2025, page 3).

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  33. Une science instrumentalisée par l’activisme et les conflits d’intérêts

    Des revues prestigieuses complices d’un narratif biaisé : Ioannidis dénonce une science « détournée par l’activisme, l’agenda politique et les conflits d’intérêts » (p. 2). Pendant la pandémie, des revues scientifiques prestigieuses ont publié des centaines d’articles biaisés, souvent soutenus par des décideurs politiques, des rédacteurs de journaux et des scientifiques réticents à reconnaître leurs erreurs. Il affirme que « même la rétraction de ces articles ne suffirait pas à corriger le tort causé », tant leur impact sur les politiques publiques a été profond (p. 2). Xavier Azalbert va plus loin en évoquant le concept de « Pollution informationnelle » avec les effets toxiques de l’information biaisée et propose l’application de la loi pollueur payeur pour s’assurer que les pollueurs informationnels se retrouve à payer pour la désinformation propagée.

    La pollution informationnelle

    Un exemple frappant est la campagne du Department of Health and Social Care (2021) sur le « COVID long ». Wood et al. (2025) critiquent cette initiative pour avoir exagéré les risques pour les jeunes en bonne santé, en s’appuyant sur des définitions floues et des données peu fiables (p. 3). Par exemple, la campagne citait un cas de « COVID long » chez un jeune de 32 ans, sans préciser si les symptômes étaient spécifiques au virus ou liés à d’autres facteurs, comme le stress post-confinement.

    France-Soir (Comment les statistiques trompent la médecine plongée dans les critiques du Pr Greenland, 2024) souligne que des définitions vagues du « Covid long » ont servi à maintenir un climhttps://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-justice-sante/le-ministere-de-la-justice-americain-enquete-sur-les-revuesat de peur, détournant l’attention des véritables priorités sanitaires. Cette instrumentalisation de la science n’est pas nouvelle, mais la pandémie l’a amplifiée. Ioannidis pointe du doigt des « journaux prestigieux jonchés d’articles défaillants », soutenus par des acteurs influents qui ont résisté à toute remise en question. Cette résistance a étouffé les débats scientifiques, marginalisant les chercheurs prônant une approche plus mesurée. Aujourd’hui certaines de ces revues sont visés par des audits du NIH suite à la promulgation du decret « restaurer la science de référence » et font l’objet des enquêtes judiciaires du Département de justice américain sur les manquements et perte de chance occasionnés par ces publications,

    Des modèles statistiques défaillants aux conséquences dramatiques

    Quand les chiffres dictent des politiques erronées : les modèles épidémiologiques, qui ont guidé les décisions politiques, étaient souvent "non robustes" et dépendants d’hypothèses fragiles, selon Ioannidis (Chin et al., 2021 ; Mueller et al., 2025). Wood et al. (2025) critiquent les projections initiales, comme celles de Ferguson et al. (2020), qui ont surestimé les décès potentiels, entraînant des politiques coûteuses et peu efficaces.

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  34. Par exemple, ces modèles supposaient des taux de létalité uniformes, ignorant les variations selon l’âge ou l’état de santé, ce qui a conduit à des mesures inadaptées. L’affaire du « LyonBordeauxGate », relatée par France-Soir illustre parfaitement ces dérives.

    Les leçons du LyonBordeauxGate - L’étude Pradelle-Lega, dénoncée par France-Soir (2024), a faussement attribué 17 000 décès aux traitements hospitaliers en France, en raison d’erreurs statistiques flagrantes, comme une mauvaise interprétation des données d’hospitalisation. Ce scandale, révélateur des dérives pointées par Ioannidis et Wood, montre comment des analyses biaisées peuvent induire en erreur les décideurs et le public. Il souligne l’urgence d’une science plus rigoureuse, basée sur des données vérifiables et des méthodes robustes.

    Une étude d’une équipe de l’université de Lyon autour du Pr Jean-Christophe Lega et d’Alexiane Pradelle publiée dans une revue à comité de lecture, attribuait faussement 17 000 décès aux traitements hospitaliers en France, en raison d’erreurs statistiques grossières, comme une mauvaise interprétation des données hospitalières en Belgique ou l’absence d’application des données au marché britannique alors que le facteur utilisé pour calculer les 17000 décès provenait à 74 % du marché anglais. Cette étude a fait l’objet d’une lettre de préoccupation dans Fortune Journals (2024) qui détaillé une liste quasi exhaustive des biais, y compris l’absence de calibration au réel de l’étude : « c’est bien beau de calculer des morts, mais encore faut il montrer qu’ils existent ». Beaudard et al identifieront aussi de nombreuses failles méthodologiques dans cette étude et déplorent « le manque de transparence, ne parvenant pas à décrire en détail les raisons des failles de l’étude au public. » Sans oublier que Pradelle-Lega et al ont omis de prendre en compte l’effet fondamental du dosage en hydroxychloroquine : ils ont réussi à mélanger des études à faible dose, tel que préconisé et utilisé à l’IHU Méditerranée avec des études à doses toxiques comme ReCoVery, que Grok déclarera comme un « scandale mortel ».

    Recovery

    Cette affaire montre comment des analyses biaisées peuvent non seulement tromper le public, mais aussi influencer des décisions politiques, avec des conséquences graves. Retractée en aout 2024, le mal est cependant fait car la plupart des médias ayant assuré la promotion de cette étude qui a contribué à diaboliser l’hydroxychloroquine n’ont pas réellement réinformé le public. La pollution informationnelle subsiste. Le tweet de Fred Stadler résume la position dogmatique du Pr Lega qui ne semble vraiment pas comprendre ce qu’il fait, à moins qu’il n’ait d’autres intérêts tels qu’une enquête de France-Soir a pu le décrire.

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  35. Ioannidis appelle à une réévaluation des modèles statistiques, en intégrant les incertitudes et en évitant les extrapolations hasardeuses. Il souligne que les prévisions défaillantes ont non seulement justifié des politiques inefficaces, mais aussi alimenté une méfiance croissante envers les institutions scientifiques, un thème récurrent dans les analyses de France-Soir.

    Vers une science plus rigoureuse et transparente

    Restaurer la confiance du public : pour éviter que l’histoire ne se répète, Ioannidis propose une "méta-recherche forensique" combinant statistiques, psychologie et sociologie pour analyser les dérives de la pandémie (p. 2). Cette approche viserait à comprendre comment la science a été instrumentalisée et à identifier les mécanismes qui ont permis à des narratifs biaisés de dominer le débat public. Wood et al. insistent sur la nécessité de mieux communiquer les risques réels, en s’appuyant sur des données fiables comme celles de l’ONS, et d’évaluer rigoureusement les coûts des mesures sanitaires.

    Relavité Partie II

    France-Soir (« La confiscation de la vérité », 2024) va dans le même sens, plaidant pour une science libérée des agendas politiques. Cela implique un accès ouvert aux données brutes, une transparence sur les conflits d’intérêts et une reconnaissance des erreurs passées. Par exemple, les données chinoises sur le COVID-19 (Huang et al., 2020) étaient plus accessibles en 2020 que celles des autorités britanniques, une opacité qui a entravé une analyse objective des risques. Les auteurs appellent également à une meilleure prise en compte des trade-offs. Wood et al. estiment que le coût par année de vie sauvée par les mesures non pharmaceutiques dépasse largement les seuils acceptables définis par le NICE au Royaume-Uni.

    Une science rigoureuse aurait dû peser ces coûts face aux bénéfices réels, plutôt que de s’enfermer dans un narratif unilatéral.

    Conclusion

    La crise du COVID-19 a mis en lumière des failles profondes dans l’utilisation des statistiques et la mise en œuvre des politiques publiques. Les travaux de Wood et Ioannidis révèlent comment des modèles biaisés, des narratifs exagérés et des mesures comme les confinements ont causé des dommages souvent plus graves que le virus lui-même. Comme l’a écrit France Soir, « les chiffres finiront par parler », mais seulement si nous les analysons avec rigueur et transparence. Pour restaurer la confiance du public, la science doit redevenir un outil de vérité, libéré des agendas politiques et des conflits d’intérêts.

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  36. Comme l’avait écrit Xavier Azalbert le 23 mars 2020 dans Confinement total ou confusion générale « Une chose est sûre: au sortir de cette crise sanitaire sans précédent, il faudra en tirer les leçons. Car le coût pour l'économie sera sans pareil et chacun retiendra sa leçon personnelle ».

    L’heure est venue de tirer les leçons de cette crise pour mieux affronter les défis de demain.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-comment-la-science-et-les-statistiques-ont-ete-detournees-au-detriment-des

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    1. huemaurice114 juillet 2025 à 08:56
      Tous les soirs 'à l'heure du confinement' il se fait enculer par son 'mari' et donne même des ordres à ses pédérastes ministres qui le sucent pour gagner de l'argent.

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  37. Motion de censure : von der Leyen en sursis. Corruption, lobbies et silence des députés consentants ou sous pression


    Xavier Azalbert France-Soir
    le 10 juillet 2025 - 19:30


    Résultat de la motion de censure

    Le 10 juillet 2025, une motion de censure, initiée par l'eurodéputé roumain Gheorghe Piperea, visant Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a été mise aux voix au Parlement européen. Le résultat a révélé une division marquée, avec 175 votes en faveur, 360 votes contre et 18 abstentions, sur un total de 553 députés présents.

    Cette motion, bien que rejetée, met en lumière une fragilité croissante de von der Leyen, notamment parce que les 360 votes contre la motion sont inférieurs aux 401 voix qu’elle avait obtenues lors de sa réélection en juillet 2024, signe d’un soutien en baisse parmi les députés européens.

    Contexte et implications

    Selon un sondage MIS Groupe pour France-Soir/BonSens.org réalisé le 7 juillet 2025 auprès d’un échantillon représentatif de 1 200 Français, 41 % des répondants souhaitaient que leurs députés soutiennent cette motion, reflétant un mécontentement croissant envers la gestion de von der Leyen, notamment en raison de soupçons d’abus de pouvoir et de corruption.

    Le résultat du vote montre que 40 % des députés européens français ont voté en faveur de la motion, un chiffre proche des attentes exprimées dans le sondage. Cependant, un nombre important de députés a choisi de voter contre plutôt que de s’abstenir, ce qui soulève des questions sur le respect de la volonté populaire. Ce décalage met en lumière un fossé entre les citoyens et leurs représentants, un fossé déjà observé à de nombreuses reprises dans le cadre de la perte de confiance des citoyens envers les politiques, ici aggravé par le fait que 47 % des Français estiment que von der Leyen a abusé de son pouvoir, et 70 % jugent la corruption trop importante dans le fonctionnement de l’UE.

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  38. Le rôle du Rassemblement National et les limites des autres groupes

    Avec 70 % des Français n’ayant plus confiance en leurs représentants, majoritairement en raison d’un manque de respect de la volonté électorale une fois élus, le vote sur la motion de censure offre un éclairage révélateur. Une analyse détaillée montre que les députés français ayant voté en faveur de la motion sont ultra-majoritairement issus du Rassemblement National (RN), rattaché au groupe Patriots for Europe, ou de Reconquête.

    Cela soulève la question : le RN serait-il le seul à respecter la volonté de ses électeurs ? Bien que cette tendance suggère une cohérence entre la position du RN et les attentes d’une partie de l’électorat français, notamment ceux sensibles aux critiques envers l’UE et von der Leyen, elle ne permet pas d’affirmer de manière absolue que seul ce parti reflète la volonté populaire. Par exemple, en tant que parti, le RN n’a jamais défendu la transparence des contrats Pfizer ni s’est opposé à la gestion de la crise sanitaire, ce qui nuance son positionnement. D’autres facteurs entrent en jeu, tels que les lignes politiques des autres groupes (socialistes, centristes) qui ont pu voter contre ou s’abstenir pour des raisons stratégiques ou idéologiques.

    Cependant, le véritable problème réside dans le respect du mandat de représentation, posant la question des jeux d’appareils ou des consignes de vote imposées.

    Influence des étiquettes politiques et rôle des lobbies

    Une des principales raisons invoquées par certains députés pour ne pas soutenir la motion de censure est l’association de cette initiative avec l’étiquette « extrême droite », utilisée trop facilement pour discréditer, notamment via le RN et le groupe Patriots for Europe. Lors de ma visite au Parlement ce jour, j’ai entendu cette excuse pas moins d’une dizaine de fois ! À la cafétéria, un groupe d’eurodéputés français discutait de projets sur l’énergie, notamment nucléaire, et évoquait, sans aucune précaution oratoire, l’excuse de l’« extrême droite » qui viendrait s’accaparer certaines prérogatives énergétiques, utilisant ce motif comme un facteur disqualifiant pour ne pas voter la motion de censure. Cette excuse semble servir de prétexte pour masquer les manquements de leurs propres formations pendant des années.

    Cette étiquette a visiblement influencé les votes, poussant de nombreux élus à rejeter la motion par crainte d’être perçus comme alignés sur des positions radicales, même si cela contredit les aspirations d’une partie de leurs électeurs. Ce phénomène illustre l’efficacité du travail des lobbies et des ONG, qui, grâce à leurs financements, souvent issus de fonds publics, et à leur capacité à apposer des étiquettes politiques, parviennent à orienter les décisions des députés, à l’encontre de la volonté et de l’intérêt des citoyens.

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  39. Cette stratégie transforme un débat sur la gouvernance et la corruption en une question d’image politique, au détriment de la prise en compte de la volonté citoyenne exprimée dans le sondage. Cela soulève une question sur l’usage des fonds publics à des fins de politique politicienne, détournant potentiellement ces ressources de leur objectif initial au profit d’intérêts partisans, et donnerait plus encore raison à la plainte déposée par Frédéric Baldan contre la présidente et les commissaires européens.

    Plaintes pénales et responsabilité des députés

    Il convient également de souligner que von der Leyen fait l’objet de plaintes pénales inédites et historiques. Comme révélé par France-Soir le 17 mars 2024, une procédure est en cours de cassation en Belgique contre elle, Albert Bourla (PDG de Pfizer), Pfizer et d’autres, accusés par des milliers de plaignants, dont deux États membres, la Hongrie et la Pologne, d’immixtion dans des fonctions publiques, de destruction de documents publics, de corruption et de prise illégale d’intérêt. Une autre plainte vise la cheffe roumaine du Parquet Européen (EPPO), Laura Kovesi, pour obstruction à la justice dans le but présumé de protéger von der Leyen. On peut s’interroger si ces éléments, absents de la motion de censure portée par Pipera, n’auraient pas pu enrichir le débat au Parlement européen et surtout démontrer aux citoyens que les députés ne se limitent pas à de la politique politicienne.

    Plus grave encore, les trois contrats conclus par l’UE avec Pfizer demeurent inconnus des eurodéputés et du public, seuls les plaignants de l’affaire belge y ayant accès. Cela interroge sur l’absence de mesures judiciaires de la part des députés pour exiger la transparence, à l’image de l’initiative de Frédéric Baldan, qui a porté plainte contre von der Leyen pour usurpation de pouvoir et corruption.

    On peut ainsi se demander si les députés ayant voté en faveur de la motion feront usage de la loi pour faire valoir les droits des citoyens, notamment en réclamant l’accès à ces documents, un droit fondamental à la transparence, ou s’ils saisiront la justice d’une demande de suspension de von der Leyen en raison de ces graves accusations pénales. S’ils ne le font pas, ils risquent de conforter la défiance de leurs électeurs, prouvant qu’ils privilégient les jeux d’appareils et la politique politicienne, amusant la galerie et les médias sans impact réel, laissant von der Leyen poursuivre ses arrangements au mépris de la déontologie, des traités et des règlements.

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  40. Crise de confiance et perspective

    Cette dynamique renforce les critiques sur l’influence des ONG, financées pour faire du lobbying auprès des députés, suggérant que ces pressions détournent les élus de la voix de leurs électeurs. Cette situation souligne un véritable problème de représentation démocratique, les citoyens exprimant un manque de confiance envers leurs élus, comme en témoigne le sondage du 7 juillet. La perte de légitimité de von der Leyen, illustrée par un soutien moindre par rapport à son élection, renforce la crise de confiance au sein de l’UE, où les institutions peinent à refléter les aspirations de la population.

    Il ne semble donc rester que la volonté des citoyens et le séisme qui existe avec les représentants qu’ils ont élus. Face à ce vide, on peut se demander si le vote sert encore à quelque chose, ou si les citoyens devront prendre des initiatives pour exiger une transparence accrue, seule voie pour restaurer la démocratie.

    Auquel cas il faudrait s’assurer de la véritable indépendance des juges, ce qui donnerait une raison supplémentaire pour que les députés demandant la suspension de Madame von der Leyen tel que Frédéric Baldan et Me Protat l’ont fait.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/motion-de-censure-von-der-leyen-en-sursis-corruption-lobbies-et-silence-des-deputes

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    1. Pas plus que les autres pédérastes le 'RN' (Route Nationale ?) n'a exprimé la vérité incontournable de l'analyse faite par des scientifiques (Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej) sur les flacons injectables mortels tout juste sortis de laboratoires nazis et applaudis par les 'pouvoirs publics' !

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  41. Charles Dereeper VIVRE


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    2 resto sur 3 ferment avant 5 ans d existence
    Même constat aux USA
    En France, 9 cafés sur 10 ont disparu en un siècle
    Pareil pour les bistrots ou débits de boisson

    Se lancer dans ce genre de business est juste du suicide
    La tendance est trop lourde

    📅 Publié le 12/07/2025
    https://t.me/dereeper

    https://www.facebook.com/charlesdereepervivre

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  42. La Légion d’Honneur, un symbole déchu, une breloque pour les imposteurs ?


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 13 juillet 2025 - 17:00


    La Légion d'honneur, instituée en 1802 par Napoléon Bonaparte pour célébrer les mérites éminents au service de la France, devait être le couronnement de la méritocratie républicaine. Aujourd’hui, elle ressemble à un baccalauréat avec mention distribué aux copains, même à ceux qui trahissent, mentent ou échouent avec une arrogance sidérante. Cette médaille, jadis symbole de bravoure, d’intégrité et d’excellence, est devenue une farce, un ruban rouge jeté sur les épaules d’imposteurs, au mépris des principes cardinaux de la République. À travers huit titres cinglants, nous explorons cette dérive, en nous appuyant sur des exemples de récipiendaires qui incarnent l’effondrement de la méritocratie, l’un des piliers cardinaux de la République.

    Légion d'honneur ou légion de malheur

    Ce titre, cruel, mais juste, traduit le désespoir d’une nation face à une distinction galvaudée. Marlène Schiappa, décorée en juin 2025, est l’illustration parfaite de ce malheur. Impliquée dans le scandale du Fonds Marianne, où 2,5 millions d’euros destinés à lutter contre le séparatisme ont été dilapidés dans des opérations douteuses, et pour lequel, Marlène Schiappa s’est défaussée avec une arrogance sidérante, niant toute responsabilité. Une médaille pour une ministre qui a transformé une cause noble en fiasco politique ? C’est un crachat sur la méritocratie, un malheur pour l’honneur républicain.

    De l’honneur aux traîtres : la Légion dévoyée

    Ce titre souligne la perversion de l’idéal initial de la Légion, désormais attribuée à des figures perçues comme ayant trahi la confiance publique. Nicolas Sarkozy, ancien président français, illustre ce cas. Décoré en 2004 pour son courage lors d’une prise d’otages, il a vu sa Légion d'honneur retirée en 2025 par suite d'une condamnation pour corruption. Cette chute d’un ancien chef d’État montre comment la distinction peut être dévoyée lorsqu’elle couronne des figures entachées par des scandales.

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  43. La Légion d'honneur : une médaille pour la trahison ?

    Ce titre provocateur interroge la légitimité de certaines nominations. Agnès Buzyn, décorée en 2022 pour son rôle de ministre de la Santé, incarne cette question. Accusée d’avoir minimisé la gravité du Covid-19 et d’avoir quitté son poste en pleine crise pour se présenter aux municipales, elle a laissé un système de santé désarmé. Récompenser une telle gestion, perçue comme une trahison par beaucoup, illustre le fossé entre les critères officiels et les attentes du public.

    Et, que dire d’Olivier Véran, qui sera promu Chevalier ce 14 juillet 2025. Médecin devenu ministre de la Santé, il a trahi la confiance des Français par sa gestion de la crise Covid-19, imposant des restrictions jugées incohérentes et défendant des politiques vaccinales controversées au risque de passer outre son serment d’Hippocrate : primun non nocere aux oubliettes. Sa Légion d'honneur est une forme de cynisme rare et d’atteinte au respect des victimes d’effets secondaires de la vaccination covid-19. Récompense-t-elle vraiment un service à la nation, ou une fidélité aveugle à un système ? La méritocratie, piétinée, pleure ce dévoiement comme les proches des victimes des effets secondaires pleurent leurs enfants ou proches disparus « mort pour la France » dans « une guerre contre un virus ».

    Éric Dupond-Moretti, aussi décoré en juillet 2025, incarne lui aussi cette question. Avocat pénaliste surnommé « l’Acquitator » pour ses nombreux acquittements, il a marqué son passage au ministère de la Justice par des polémiques, notamment un bras d’honneur à l’Assemblée nationale et une mise en examen pour prise illégale d’intérêts, bien qu’il ait été relaxé. Récompenser un ministre aussi clivant, c’est comme donner une médaille à un torero dans une arène vide : une trahison des valeurs républicaines.

    Honneur en toc : la légion des Faux-Héros

    Avec une ironie mordante, ce titre raille une distinction vidée de son sens. Bruno Le Maire, élevé au grade d’officier en 2025, est un cas d’école. Ministre de l’Économie, il a promis de « mettre l’économie russe à genoux » tout en laissant la dette française exploser plus de 1000 milliards d’euros supplémentaires. Une telle incompétence, couronnée par une médaille, transforme la Légion d'honneur en un hochet en toc, décerné à des faux-héros qui brillent par leur échec plutôt que par leur mérite. La République, qui devrait primer la compétence, se ridiculise.

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  44. Légion d'honneur : quand la gloire couronne la trahison

    Opposons la gloire supposée de la médaille à la trahison qu’elle semble parfois célébrer avec ce titre. Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique pendant la crise du Covid-19, décoré en 2023, illustre ce paradoxe. Ses recommandations, jugées par certains, avec une visibilité de plus en plus importante avec les dernières études scientifiques, comme autoritaires et scientifiquement discutables, ont alimenté la méfiance envers les institutions. Couronner un homme accusé d’avoir contribué à des politiques clivantes et dangereuses pour les enfants et les jeunes, c’est trahir l’esprit de la Légion et l’idéal républicain de l’intégrité scientifique.

    Des héros aux zéros : la chute de la Légion d'honneur

    Teinté d’un humour acide, ce titre illustre la dégringolade d’une institution jadis réservée aux héros. Frédéric Mitterrand, ou Sophia Aram en sont des illustrations cocasses et dramatiques. Des écrits controversés et des prises de position ambiguës ont terni leur image. L’un, passant pour un « zéro » aux yeux de ceux qui attendent de la Légion d'honneur des figures irréprochables, l’autre, connue pour ses critiques acerbes contre une partie de la population, suscite l’indignation. Décorer des figures aussi polarisantes, c’est transformer la Légion d'honneur en une médaille en chocolat, piétinant la méritocratie.

    Légion d'honneur : la récompense des renégats

    Ce titre s’adresse sans détour ceux qui trahissent les idéaux de la France. Jean-François Cirelli, ancien patron de BlackRock France, décoré en 2020, incarne ce reniement.

    Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, décoré en 2024, incarne aussi ce reniement en ne se présentant pas devant une commission d’enquête. Soupçonné de conflits d’intérêts dans l’affaire MSC (lié à sa famille et à des contrats portuaires), il représente l’entre-soi d’une élite déconnectée. Sa médaille, perçue comme une faveur du pouvoir, illustre une Légion qui récompense les renégats plutôt que les serviteurs de la nation, au mépris de la République.

    Cirelli, accusé par certains de privilégier les intérêts financiers mondiaux au détriment de la souveraineté française, sa médaille est vue comme une récompense pour des renégats qui tournent le dos à la nation au mépris de la République, au même titre que celle de Kohler.

    Dans une République où l’intérêt supérieur de la nation devrait primer à tout instant, cette attribution est une gifle au peuple.

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  45. Médaille d’Honneur, étoile de la honte

    L’éclat de la médaille se retrouve confronté à la honte qu’elle représente parfois. Chantal Brunel, ex-DRH de LVMH, décorée en 2002, illustre cette dérive. « Elle aurait bénéficié, en 2000, de fonds « collectés » par son mari, Denys Brunel, à l'époque où il dirigeait le groupe Monoprix, par l'intermédiaire d'un jeu de fausse facturation qui rappelle les affaires politico-judiciaires des années 1980 et 90 » explique Médiapart. Mais, elle est également soupçonnée d’avoir contribué à des financements occultes à l’UMP et soutenue par un réseau d’influence autour de Bernard Arnault, son attribution, validée par Emmanuel Macron, sent le favoritisme.

    Quant à Karine Lacombe, infectiologue décorée en 2021 pour son rôle pendant la pandémie, est aussi un cas emblématique. Accusée par certains d’avoir promu des traitements controversés et d’avoir soutenu des politiques restrictives sans nuances, son attribution a été vue comme un blanc-seing à une science sous influence.

    Deux “étoiles de la honte” pour une République qui, en oubliant l’exemplarité que l’on attendrait des élites galvaudées transforme ses médailles en symboles d’un entre-soi éhonté.

    Une Légion à sauver : restaurer la noblesse de la Légion

    De Schiappa à Lacombe, en passant par Le Maire, Véran, Dupond-Moretti, Sarkozy, Buzyn, Delfraissy, Aram et Kohler, ces exemples révèlent une Légion d'honneur gangrenée par le favoritisme, l’incompétence et la trahison. Comme le baccalauréat, distribué à tous sans rigueur, elle est devenue un hochet ou une breloque pour une élite qui se congratule dans un spectacle en même temps cocasse et tragique. Les tensions entre les critères officiels (mérites éminents), les attentes du public (intégrité) et les décisions politiques ou diplomatiques ont transformé ce symbole en caricature. Pour sauver la Légion d'honneur, il faut réformer son attribution, imposer la transparence et récompenser les véritables héros.

    Sans cela, elle ne sera plus qu’un ruban rouge sur le costume des imposteurs, une insulte à l’honneur et à la France, loin de son idéal napoléonien de récompense pour mérites éminents.

    D'ailleurs quoi de plus normal que d'illustrer cette mascarade avec une tirade à la San Antonio :

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  46. « Par la barbe d’Béru, l’Manu, il nous joue du pipeau avec ses tirades ! Entre « les non-vaccinés, j’veux les emmerder », qui claque comme une porte de bistrot, « traverse la rue » pour choper du taf, comme si c’était l’bazar à job, et « ma femme et moi, on joue d’la gifle », franchement, c’est d’la médiocrité en confettis ! Sans parler d’la fois où il s’est retrouvé au bout d’une table longue comme un jour sans pinard face à Poutine, à gesticuler dans l’vide. C'est pas Poutine qu'il a mis à genoux, mais bien la France. Et pendant c’temps, il distribue la Légion d’honneur comme des sucettes à la kermesse, même à des gonzes qui font jaser en dilatant la dette. »

    Avant de vous laisser, voilà ce qu’un contributeur de France-Soir m’a écrit à propos de la Légion d'honneur :

    « La Légion d’honneur, dans ce qu’elle a de plus noble, ne saurait être une simple décoration distribuée à la légère. Elle est, ou devrait être, une distinction rare, une reconnaissance solennelle réservée à ceux qui ont rendu à la nation des services éminents, relevant du domaine régalien — défense, justice, diplomatie, service public d’exception. Elle doit demeurer un signe de gravité et de mérite, non une flatterie mondaine.

    Il convient que son attribution s’accompagne de silence, de retenue, de solennité. L’honneur ne se crie pas, il se porte. Cette médaille n’est pas un ornement, c’est un poids. Elle engage celui qui la reçoit à être à la hauteur de la nation qui l’accorde. Elle suppose une forme d’effacement, de sacrifice, de fidélité à la chose publique.

    Le cérémonial doit être à la mesure de cette gravité. La République se doit à elle-même de préserver la dignité de ses symboles. On ne doit pas remettre la Légion d’honneur comme on distribue des récompenses dans un gala. Elle n’est pas faite pour les carrières du divertissement, ni pour les produits littéraires destinés aux rayons de gare, si talentueux soient-ils. Elle n’est pas non plus destinée à flatter des réputations éphémères ou des notoriétés médiatiques.

    La Légion d’honneur est un héritage. Elle ne doit pas être banalisée, car dans sa banalisation, c’est l’idée même de mérite, de service, de bien commun qui se dilue. Elle est un appel au dépassement, une marque de reconnaissance adressée à ceux qui, par leur engagement, leur droiture et leur fidélité à la nation, incarnent quelque chose de plus grand qu’eux-mêmes.

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  47. Il ne s’agit pas de juger les carrières, mais de garder à l’honneur son sens. Et à la République, sa verticalité. »

    Et pour les adeptes de chanson, voilà la version en musique (merci l'artiste).

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/la-legion-d-honneur-un-symbole-dechu-une-breloque-pour-les-imposteurs

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    1. Les merdailles, rubans rouge et autres 'césars' remis à celles et ceux qui couchent, qui se couchent appartiennent à la dictature impériale, puis républicaine. ici et là sont remises des rations-déco comme des diplômes à celles et ceux qui ne savent rien. Il suffit de voir les ministères !.... AUCUN ne marche !! AUCUN !! Tous en faillite, tous en déficit d’intelligence et d'instruits sortis de 'grandes écoles' à coups de pompes dans le cul ! HAHAHAHA !
      NON ! Le Peuple NE DOIT PAS entretenir le luxe des voleurs qui eux demeurent en bonne santé.

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  48. Pourquoi l'impôt sur le revenu est un mal


    Par Llewellyn H. Rockwell, Jr.
    14 juillet 2025


    Toute intervention gouvernementale est mauvaise, mais l'impôt sur le revenu est une forme particulièrement insidieuse de mal. Comme l'écrivait le grand théoricien libertarien Frank Chodorov en 1954 : « Avec cette définition du “mal” à l'esprit, l'objectif de ce livre [L'impôt sur le revenu : la racine de tous les maux] est de montrer que de nombreuses lois et pratiques gouvernementales en sont imprégnées, et de relier cette atteinte généralisée à nos droits au pouvoir acquis par le gouvernement fédéral en 1913 d'imposer nos revenus – le Seizième Amendement. C'est la “racine”. » De plus, des preuves seront présentées pour étayer l'hypothèse selon laquelle le “mal” a atteint un point où la doctrine des droits naturels a été quasiment abrogée en fait, sinon en théorie. Par conséquent, le type de gouvernement que nous acquérons est nettement différent de celui envisagé par les Pères fondateurs ; il devient rapidement un gouvernement qui se considère comme la source des droits, qu'il accorde et peut retirer à sa guise. La transformation n'est pas encore achevée, mais nous verrons au fur et à mesure que nous progressons que son aboutissement est proche – si rien n'est fait pour l'empêcher. » Pourquoi Chodorov a-t-il soutenu que l’impôt sur le revenu était si mauvais ? Il explique dans un argumentaire dévastateur : « L'impôt sur le revenu et l'impôt sur les successions impliquent le déni de la propriété privée et, en cela, diffèrent en principe de tous les autres impôts.

    Le gouvernement dit au citoyen : “Vos revenus ne vous appartiennent pas exclusivement ; nous avons un droit sur eux, et notre droit précède le vôtre ; nous vous en autorisons à en conserver une partie, car nous reconnaissons votre besoin, et non votre droit ; mais ce que nous vous accordons pour vous-même, c'est à nous de décider.” Ce n'est pas une exagération. Jetez un œil à la déclaration d'impôt sur le revenu que vous êtes légalement tenu de remplir, et vous constaterez que le gouvernement fixe arbitrairement le montant de vos revenus dont vous pouvez disposer pour votre subsistance, vos besoins professionnels, l'entretien de votre famille, vos frais médicaux, etc. Après avoir accordé ces exonérations, avec une grande générosité, le gouvernement décide du pourcentage du reste qu'il affectera. Le reste vous appartient. Le pourcentage de l'affectation peut être (et a été) augmenté d'année en année, et les exonérations peuvent être (et ont été) diminuées d'année en année. « Le montant de vos revenus que vous pouvez conserver est déterminé par les besoins du gouvernement, et vous n'avez rien à dire à ce sujet. Le droit de décision quant à la disposition de vos biens appartient au gouvernement en vertu du Seizième Amendement de la Constitution.»

    Le grand économiste autrichien Ludwig von Mises a souligné que l'impôt sur le revenu repose sur un postulat erroné : l'argent peut être prélevé sans que cela ait d'effet négatif sur la production. L'interventionnisme est guidé par l'idée que l'ingérence dans les droits de propriété n'affecte pas la production. La manifestation la plus naïve de ce sophisme est l'interventionnisme confiscatoire. Le rendement des activités de production est considéré comme une grandeur donnée, indépendante des arrangements purement accidentels de l'ordre social. La mission de l'État est de répartir « équitablement » ce revenu national entre les différents membres de la société.

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  49. Les interventionnistes et les socialistes soutiennent que toutes les marchandises sont produites par un processus social de production. Lorsque ce processus prend fin et que ses fruits mûrissent, un second processus social, celui de la distribution du rendement, suit et attribue une part à chacun. La caractéristique de l'ordre capitaliste est que les parts attribuées sont inégales. Certains – les entrepreneurs, les capitalistes et les propriétaires fonciers – s'approprient plus qu'ils ne le devraient. En conséquence, les parts des autres sont réduites. L'État devrait de plein droit exproprier le surplus des privilégiés et le distribuer aux défavorisés.

    Or, dans l'économie de marché, ce prétendu dualisme des deux Il n'existe pas de processus indépendants, celui de la production et celui de la distribution. Un seul processus est en cours. Les biens ne sont pas d'abord produits puis distribués. Il n'existe pas d'appropriation de portions d'un stock de biens sans propriétaire. Les produits naissent comme la propriété de quelqu'un. Si l'on veut les distribuer, il faut d'abord les confisquer. Il est certes très facile pour l'appareil gouvernemental de contrainte et de coercition de se lancer dans la confiscation et l'expropriation. Mais cela ne prouve pas qu'un système économique durable puisse être construit sur de telles confiscations et expropriations.

    Lorsque les Vikings tournèrent le dos à une communauté de paysans autarciques qu'ils avaient pillée, les victimes survivantes se remirent au travail, à labourer la terre et à reconstruire. Lorsque les pirates revinrent après quelques années, ils trouvèrent à nouveau des objets à saisir. Mais le capitalisme ne supporte pas de telles attaques répétées. Son accumulation de capital et ses investissements reposent sur l'hypothèse qu'aucune expropriation de ce type n'aura lieu. En l'absence de cette hypothèse, les individus préféreront consommer leur capital plutôt que de le conserver pour les expropriateurs. C'est l'erreur inhérente à tout projet visant à combiner propriété privée et expropriation répétée.

    Mises qualifiait l'impôt progressif de déraisonnable : « L'impôt progressif sur les revenus et les bénéfices signifie que précisément les parts de revenus que les gens auraient épargnées et investies sont taxées. Prenons l'exemple des États-Unis. Il y a quelques années, il existait un impôt sur les « profits excédentaires », ce qui signifiait que sur un dollar gagné, une entreprise ne conservait que dix-huit cents. Lorsque ces dix-huit cents étaient versés aux actionnaires, ceux qui détenaient un grand nombre d'actions devaient payer soixante, quatre-vingts pour cent, voire davantage, d'impôts. Sur le dollar de bénéfice, ils conservaient environ sept cents, et quatre-vingt-treize cents revenaient à l'État. De ces quatre-vingt-treize pour cent, la majeure partie aurait dû être épargnée et investie. Au lieu de cela, l'État l'a utilisée pour les dépenses courantes. Telle est la politique des États-Unis. Je pense avoir clairement indiqué que la politique des États-Unis n'est pas un exemple à suivre. Cette politique des États-Unis est pire que mauvaise – elle est insensée.

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  50. De plus, comme le grand Murray Rothbard l'a noté avec son brillant habituel, l'impôt est un vol : « Car il existe un pouvoir crucial, inhérent à la nature de l'appareil d'État. Français Toutes les autres personnes et groupes de la société (à l'exception des criminels reconnus et sporadiques tels que les voleurs et les braqueurs de banque) obtiennent leurs revenus volontairement : soit en vendant des biens et des services au public consommateur, soit par un don volontaire (par exemple, l'adhésion à un club ou une association, un legs ou un héritage). Seul l'État obtient ses revenus par la coercition, en menaçant de lourdes sanctions en cas de non-versement des revenus. Cette coercition est connue sous le nom de « taxation », bien qu'à des époques moins régularisées, elle était souvent appelée tribut. L'impôt est un vol, purement et simplement, même s'il s'agit d'un vol à une échelle grande et colossale qu'aucun criminel reconnu ne pourrait espérer égaler. Il s'agit d'une saisie obligatoire des biens des habitants de l'État, ou des sujets. Ce serait un exercice instructif pour le lecteur sceptique d'essayer de formuler une définition de l'impôt qui n'inclut pas également le vol. Comme le voleur, l'État exige de l'argent sous la menace d'une arme ; Si le contribuable refuse de payer, ses biens sont saisis de force, et s'il résiste à une telle déprédation, il sera arrêté ou fusillé s'il persiste. Il est vrai que les apologistes de l'État soutiennent que l'impôt est « réellement » volontaire ; une réfutation simple mais instructive de cette affirmation consiste à s'interroger sur ce qui se passerait si le gouvernement supprimait l'impôt et se limitait à de simples demandes de contributions volontaires. Croit-on vraiment que des recettes comparables aux vastes revenus actuels de l'État continueraient d'affluer dans ses caisses ? Il est probable que même les théoriciens qui affirment que la punition ne dissuade jamais d'agir rechigneraient à une telle affirmation. Le grand économiste Joseph Schumpeter avait raison lorsqu'il écrivait avec amertume : « La théorie qui interprète les impôts par analogie avec les cotisations à un club ou l'achat des services d'un médecin, par exemple, ne fait que prouver à quel point cette partie des sciences sociales est éloignée des habitudes d'esprit scientifiques. »

    Faisons tout ce que nous pouvons pour nous débarrasser de cet impôt sur le revenu monstrueusement maléfique.

    https://www.lewrockwell.com/2025/07/lew-rockwell/why-the-income-tax-is-evil/

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    1. TOUT ce que l'humain ramasse, cueille, pêche ou fabrique est à lui. Son rang supérieur d'être humain lui laisse à manger une pomme toute entière. Toute. S'il veut la partager il la partage. Mais s'il veut la manger toute il la mange toute. C'est la règle de tout être de se conserver en bonne santé et plein de force. L'être humain doit se défendre. Non, l'argent déposé en banque n'appartient pas au banquier mais à la personne qui la déposé.

      C'est ainsi que les revenus d'une personne appartiennent totalement à cette personne. La dépossession est un crime, un vol légalisé par la dictature meurtrière au pouvoir.

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  51. Lettre ouverte au Conseil de Déontologie Journalistique et de Médiation (CDJM)


    13 Juillet 2025
    Cyril Gambari*


    Le Conseil de Déontologie Journalistique et de Médiation (CDJM) est une association loi 1901. Selon sa présentation, c'est « une instance de médiation entre les journalistes, les médias, les agences de presse et les publics sur toutes les questions relatives à la déontologie journalistique ». Malgré les apparences, il n'a pas de pouvoirs judiciaires ou quasi-judiciaires.

    Il peut être « saisi » par n'importe quel particulier. Certains ne s'en privent pas. Ainsi, les « objets médiatiques » qui ne présentent pas l'anthroposophie et la biodynamie sous le meilleur jour font systématiquement l'objet d'un signalement afin d'obtenir de cette « Kangaroo Court » une critique, voire une mise en cause.

    Nous ne présenterons pas M. Cyril Gambari ici : cela a été largement fait – par le CDJM ! – dans l'avis sur la saisine 23-130, évoquée ci-dessous, qui a provoqué notre « Le Conseil de Déontologie Journalistique et de Médiation (CDJM) s'est fait le défenseur de la biodynamie ».

    - voir doc sur site -

    (Source)

    8 juillet 2025

    Madame, Monsieur,

    Je vous adresse cette lettre ouverte en réaction à deux avis récemment adoptés par votre Conseil (saisines 23-130 et 25-020), dans lesquels je suis explicitement cité.

    Ces deux saisines portent respectivement sur le reportage « La culture en biodynamie donne-t-elle vraiment de meilleurs vins ? », diffusé dans l’émission Vrai ou Faux sur France Info, et sur une séquence du journal de 9h de France Culture.

    Concernant la saisine 23-130

    Vous indiquez, conformément à vos statuts, ne pas vouloir entrer dans le débat scientifique. Mais comment, dans ce cas, pouvez-vous conclure à un non-respect de l’exactitude de l’information et à l’absence d’éléments essentiels ? Les éléments que vous semblez considérer comme manquants, notamment les pratiques spécifiques encadrées par les cahiers des charges, font pourtant partie intégrante de la biodynamie. Celles-ci incluent, entre autres, l’usage d’organes d’animaux morts fourrés de fleurs, en accord avec les principes anthroposophiques de l’agriculture. L'ensemble de ces pratiques est décrit dans le cahier des charges de Demeter, principal label en biodynamie, ainsi que dans le Cours aux agriculteurs de Rudolf Steiner. https://www.demeter.fr/wp-content/uploads/2024/03/Cahier-des-charges-Demeter-France-2024.pdf#page=128.

    De plus, en affirmant que mon engagement critique et argumenté à l’égard de la biodynamie entacherait mon impartialité, vous portez un jugement de valeur sur mes intentions, et non sur la rigueur de mes arguments ni sur la qualité des données scientifiques sur lesquelles je me fonde. Or, ma démarche vise précisément à interroger et informer sur des pratiques agricoles qui, à l’instar d'autres enjeux de santé publique (tels que le tabac ou les pesticides), méritent un examen exigeant. Une vigilance accrue sur ces sujets ne relève pas d’un parti pris idéologique, mais bien d’une responsabilité et d'une exigence scientifique. Une exigence d’autant plus nécessaire qu’il s’agit ici de pratiques reconnues comme relevant d’une pseudoscience.

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  52. Vous remettez également en cause Mme Chalker-Scott, une maîtresse de conférence au département d’horticulture et d’architecture des paysages de l’Université de Washington, dont les travaux, publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture, sont reconnus pour leur rigueur. Mettre en doute sa légitimité participe à écarter un point de vue solidement argumenté, mais aussi à délégitimer la parole de spécialistes dès lors qu’ils expriment une critique au regard des connaissances scientifiques, ce qui interroge sur la pertinence des critères de votre évaluation.

    Concernant la saisine 25-020

    Vous indiquez, à juste titre, que l’anthroposophie ne peut juridiquement être qualifiée de « secte ». En effet, il n'existe pas de définition légale de ce terme. Toutefois, vous reconnaissez également que cette doctrine spirituelle figure depuis plus d’une décennie dans les rapports successifs de la MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). Des victimes de dérives liées à l’anthroposophie sont régulièrement prises en charge par des associations spécialisées telles que l’Unadfi-Union nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu victimes de sectes, le CENTRE CONTRE LES MANIPULATIONS MENTALES CCMM CENTRE NATIONAL ROGER IKOR , le Caffes, le GEMPPI, Cavesa, entre autres.

    Concernant le requérant,

    Les deux saisines ont été introduites par M. Alexandre Walnier, défenseur assumé de l’anthroposophie. Sans remettre en cause sa liberté d’expression ni la légitimité de son engagement, il me semble cependant important de souligner que ses contributions sont marquées par une adhésion personnelle particulièrement forte, comme en témoigne son blog marcherparlerpenser.wordpress.com, vitrine de promotion et de défense de cette doctrine. Ce contexte mériterait, à mon sens, d’être pris en compte, car il soulève également la question d’une partialité manifeste des informations transmises. Une vigilance renforcée de votre part sur ce point me semblerait non seulement justifiée, mais indispensable, afin de garantir que vos analyses restent fondées sur des critères objectifs et équilibrés, et ne puissent être orientées à des fins partisanes, idéologiques ou religieuses.

    Je vous invite respectueusement à reconsidérer ces saisines à la lumière des éléments fournis et des références publiques disponibles. Les décisions prises sur des sujets aussi sensibles méritent une analyse rigoureuse, équilibrée, éclairée et indépendante, dégagée de toute influence liée à des opinions personnelles ou à des engagements militants ou idéologiques, qu’ils soient favorables ou critiques à l’égard de l’anthroposophie ou de la biodynamie.

    Votre rôle de garant de la déontologie médiatique engage la confiance du public. Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cette démarche Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM).

    Bien cordialement,

    Cyril Gambari.
    _______

    * Enseignant Biologie-écologie au LPA Claude Simon (AgriCampus 66), référent facilitateur du dispositif Sentinelles et Référents, docteur en microbiologie.

    Source : https://www.linkedin.com/pulse/lettre-ouvert-au-conseil-de-d%C3%A9ontologie-et-m%C3%A9diation-cdjm-gambari-ovwnf/

    https://www.demeter.fr/wp-content/uploads/2024/03/Cahier-des-charges-Demeter-France-2024.pdf#page=128

    https://seppi.over-blog.com/2025/07/lettre-ouverte-au-conseil-de-deontologie-journalistique-et-de-mediation-cdjm.html

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  53. Les carottes de glace du Groenland démontre la similitude entre le réchauffement naturel intervenu entre 850 et l’an 1000 et le réchauffement actuel depuis 1850


    le 13 juillet 2025
    par pgibertie


    Le gaz carbonique n’a provoqué aucune des multiples périodes chaudes et froides qui ont permis l’essor et le déclin de tous les empires de l’histoire moderne. Il n’a pas non plus provoqué l’ère glaciaire quaternaire il y a 2,58 millions d’années, ni les cycles glaciaires et interglaciaires de la planète glaciaire (au moins 40). Il n’a pas non plus déclenché le refroidissement brutal il y a 50 millions d’années. En bref, le gaz carbonique ne contrôle pas le climat.

    - voir graph sur site -

    La donnée provient des carottes de glace du Groenland (GISP2), analysées par le programme NOAA/NGDC Paléoclimatologie, utilisant les mesures de δ¹⁸O pour estimer les températures passées. Cette méthode repose sur des principes scientifiques établis, où les ratios d’isotopes d’oxygène reflètent les conditions climatiques.

    https://pgibertie.com/2025/07/13/les-carottes-de-glace-du-groenland-demontre-la-similitude-entre-le-rechauffement-naturel-intervenu-entre-850-et-lan-1000-et-le-rechauffement-actuel-depuis-1850/

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    1. La combustion de notre magma à 30 km sous nos pieds n'a RIEN A VOIR avec la nature de ses échappements.

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