Eugénisme 2.0

 

60 commentaires:

  1. Eugénisme 2.0


    10.07.2025
    www.kla.tv/38197


    Il existe des livres qui dépeignent la réalité avec une exactitude troublante, souvent des décennies à l'avance. L'un d'eux est le roman « The Giver » (en français « Le Passeur »), de Lois Lowry, publié en 1993 et également connu dans sa version adaptée au cinéma sous le même titre. Il esquisse une vision dystopique de l'avenir, une société d'égalité et de contrôle complets. Pour une cohabitation harmonieuse, le quotidien est entièrement régi par des lois et des règles fixées par le Conseil des Anciens. Ainsi, par exemple, les professions et les conjoints sont attribués et les enfants peuvent être commandés sur demande après avoir été portés par des mères porteuses. Toutes les émotions et les sentiments sont supprimés par une injection quotidienne. Les personnes qui enfreignent la loi, les nourrissons qui ne correspondent pas à la norme ou les personnes âgées sont « libérés », autrement dit, tués par une injection. Mais quasiment personne parmi ceux qui vivent là et appliquent ces décisions ne le sait. Ils ne savent rien du mal absolu qui, sous couvert de philanthropie, pratique une forme extrême d'eugénisme. Tout n'est que fiction ? Malheureusement non.

    Cet eugénisme 2.0 est la forme numérisée faussement humaniste de l'eugénisme du siècle dernier. Elle est déjà mise en pratique. En 1920, le psychiatre Alfred Hoche et le juriste Karl Binding ont forgé le concept alors nouveau de « vie indigne d'être vécue ». Aujourd'hui on parle des « useless people », les « gens inutiles ». Markus Gärtner de l'émission « Politik Spezial » [Politik Spezial - Stimme der Vernunft" (Voix de la raison) est un programme vidéo qui vise à corriger et à compléter les informations fausses ou incomplètes diffusées par les médias dominants en Allemagne] explique dans une vidéo ce nouveau terme introduit il y a peu de temps par Yuval Harari, penseur du FEM ; il est aujourd'hui déjà largement utilisé. Il désigne toutes les personnes qui sont sans valeur, inutiles ou insignifiantes dans le cadre du Great Reset ou de la 4e révolution industrielle et dont on n’a donc plus besoin.

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  2. Le reste, en tout cas selon le commentateur Rüdiger Lenz, doit être façonné pour devenir un “homo cyberneticus numéraliensis”, un être soumis au système et dépourvu de sentiments. Il souligne que de plus en plus d'hommes et de femmes deviennent déjà stériles. Cela donne aux maîtres d'œuvre de la 4e révolution industrielle un atout incroyable : ils peuvent désormais déterminer qui peut vivre avec quels caractères héréditaires et donc quels talents et qui doit être éliminé. Car si la progéniture est de plus en plus souvent conçue en éprouvette, c'est le laboratoire qui décide quelle combinaison de gènes peut vivre et quels embryons « seront écartés ». En outre, ils veulent gagner beaucoup d'argent en livrant des enfants sur commande aux personnes « obéissantes », c’est-à-dire dont le comportement et le score de crédit social sont jugés satisfaisants. En d'autres termes, les gens ne deviennent pas simplement une force de travail, mais une marchandise biologique, selon Lenz. L'exploitation des mères porteuses ukrainiennes n'était qu'un avant-goût. Lenz commente : « Ils veulent recomposer le patrimoine génétique et te vendre une progéniture, à toi, l'être humain rendu stérile par leurs actions, si tu t'es comporté conformément à leurs attentes ».

    Mais ils ne peuvent mettre en œuvre ce plan diabolique que si, comme dans le livre « Le Passeur », les masses continuent à faire aveuglément confiance au « Conseil des Anciens ». Selon Lenz, cela n'est possible que parce que les masses ne peuvent pas s'imaginer quelque chose d'aussi malfaisant et ne croient pas qu'il existe réellement des personnes aussi profondément cruelles et puissantes. Mais si cet énorme plan est mis à la lumière, ces personnes ne pourront plus le mettre en œuvre. Mais pour cela, il faut que chacun d'entre nous se lève et se batte pour l’humanité véritable !

    de s/s
    Sources/Liens :
    La division atteint un paroxysme inhumain [POLITIK SPEZIAL]
    Spaltung erreicht menschenfeindlichen Höhepunkt [POLITIK SPEZIAL]
    https://www.youtube.com/watch?v=vVb_jcKIr0g

    Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Vernichtung_lebensunwerten_Lebens

    Des gens inutiles - Un commentaire de Rüdiger Lenz
    Nutzlose Menschen – Ein Kommentar von Rüdiger Lenz
    https://apolut.net/nutzlose-menschen-von-ruediger-lenz/

    Les bébés sur mesure, un « œuf de coucou » dans le nid de la pauvreté
    Designerbaby, Kuckucksei im Nest der Armut www.kla.tv/23200

    Gestation pour autrui : Quand les enfants deviennent une marchandise
    Leihmutterschaft – wenn Kinder zur Ware werden
    www.kla.tv/22458

    https://www.kla.tv/fr

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  3. Une nouvelle étude évaluée par des pairs confirme à nouveau que les vaccins infantiles sont probablement responsables de près de 80 % des cas d'autisme aux États-Unis.


    Par Steve Kirsch
    Recherche mondiale,
    11 juillet 2025


    [Cet article a été publié pour la première fois par GR en janvier 2025.]

    De nouvelles découvertes surprenantes sur l'autisme, issues de la base de données Medicaid de Floride, examinent les enfants de la naissance à 9 ans. Un risque relatif de 4,4 implique un risque relatif de près de 80 %, ce qui signifie que la plupart des cas d'autisme aux États-Unis sont causés par les vaccins.

    *

    Résumé exécutif

    Une nouvelle étude étonnante sur l’autisme vient d’être publiée dans la littérature scientifique évaluée par des pairs : « Vaccination and Neurodevelopmental Disorders: A Study of Nine-Year-Old Children Enrolled in Medicaid » par Mawson et Jacob.

    L'étude a examiné les données de Medicaid de Floride obtenues auprès du DEVEXI, aujourd'hui disparu.

    Remarque : Il est crucial pour le gouvernement américain que les bases de données telles que DEVEXI soient fermées au plus vite afin que les recherches révélant les méfaits de la vaccination ne puissent plus avoir lieu. Mawson a eu la chance d'accéder à ces données avant la fermeture de DEVEXI. Il mentionne dans l'article une conversation avec Mitch Praver, cofondateur de DEVEXI, le 19/07/2018.

    Les principales conclusions sont résumées dans cette figure étonnante où les TND sont des troubles neurodéveloppementaux :

    - voir graph sur site -

    En termes simples, du point de vue de la santé mentale d’un enfant, la vaccination est un DÉSASTRE.

    85 % des troubles d’apprentissage chez les enfants sont causés par le calendrier de vaccination infantile du CDC.

    Laissez cela pénétrer. PAR = 5,8/6,8, soit 85,3 %

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  4. Le risque relatif (RR) d'autisme pour les enfants ayant reçu seulement 11 vaccinations était stupéfiant : 4,4. Étant donné que la plupart des enfants américains reçoivent le calendrier vaccinal complet des CDC, près de 80 % des cas d'autisme aux États-Unis sont causés par les vaccins.
    Voilà. C'est ce qu'on appelle la « dose-réponse » et c'est un marqueur clé de causalité. Il ne s'agit pas simplement d'une « corrélation ». Il s'agit d'une corrélation DOSE-DÉPENDANTE , autre nom de « causalité ». Elle est associée aux consultations pour la vaccination , et non aux consultations médicales.

    Voici les détails du tableau 10 :

    - voir graph et docs sur site -

    Faisons le calcul… près de 80 % des cas d’autisme aux États-Unis sont probablement causés par les vaccins.

    Si la quasi-totalité de la population est exposée à un risque particulier (la plupart des Américains ont bénéficié d'au moins 11 vaccinations au cours des 20 dernières années pour obtenir les 70 vaccins requis), l'équation du risque attribuable à la population (PAR) se simplifie par (RR - 1) / RR. En ajoutant 4,4 à la formule, on constate que près de 80 % des cas d'autisme aux États-Unis sont dus au calendrier de vaccination infantile des CDC .

    C’est ce que nous pouvons retenir de cette étude.

    Si nous voulons réduire l’autisme, nous devons arrêter les vaccins.

    Toutes les études publiées dans la littérature évaluée par des pairs ont montré que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé à tous égards que leurs pairs vaccinés.

    Le NIH refuse de réaliser une étude comparant les enfants vaccinés et non vaccinés.

    En 2009, le seul projet de loi jamais présenté à la Chambre des représentants exigeant que le NIH réalise une telle étude a été rejeté en commission (voir HR 3069) . Pourquoi ? Parce que cela serait préjudiciable au peuple américain s'il apprenait la vérité sur les vaccins.

    Le projet de loi comptait 9 co-parrains, dont Rand Paul.

    De mon vivant, le Congrès ne demandera jamais au NIH de réaliser une telle étude. Même Trump n'y parviendra pas.

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  5. Écoutez, si les vaccins assuraient la santé des enfants, les laboratoires pharmaceutiques supplieraient les membres du Congrès de faire réaliser l'étude. Et ils se plaindraient bruyamment à la presse que le NIH ne réalise pas d'étude démontrant la sécurité de leurs produits. Au lieu de cela, on entend le silence des laboratoires pharmaceutiques. Pas besoin d'esprit critique sur ce point.

    Ils ne veulent pas que tu le saches.

    Ils ont peur de la vérité.

    Des attaques contre l'étude Mawson ? Aucune ! Juste les « Sons du silence »
    Je ne connais aucun moyen d’attaquer de manière crédible cette étude.

    Mawson a pris soin de prendre en compte les vecteurs d’attaque précédents lors de la conception de son étude.

    C'est pourquoi des personnes comme le professeur danois Anders Hviid, qui a publié des articles démontrant que les vaccins ne provoquent pas l'autisme (et qui a choisi de me bloquer plutôt que de répondre aux questions concernant les failles critiques de ses études), sont restées totalement silencieuses après la publication de cet article . Il aurait dû reconnaître ses torts ou souligner les erreurs de l'étude. Au lieu de cela, il reste silencieux. Est-ce ainsi que fonctionne la science ?

    Les études erronées du professeur Hviid sont indirectement responsables d’avoir induit en erreur des millions de parents, leur faisant croire que les vaccins sont sûrs et ne provoquent pas d’autisme.

    Le message de Nic Hulscher a obtenu 200 000 vues (et une proposition de note communautaire).

    - voir doc sur site -

    La note communautaire proposée stipulait :

    « Le consensus scientifique est que les vaccins ne provoquent pas l'autisme. L'autisme est une anomalie du développement du cerveau humain pendant la vie fœtale. »

    En bref, « les données scientifiques antérieures qui n’ont PAS trouvé de lien (mais n’ont jamais utilisé la même méthodologie) doivent avoir raison, donc cela DOIT être faux même si nous ne pouvons trouver aucune erreur dans la méthodologie. »

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  6. La seule autre critique que j'ai pu trouver vient de Xeno Rasusson, qui a posté : « Je viens de parcourir le document et, une fois que Mawson a choisi la méthodologie et les mesures les plus inadéquates pour examiner l'association entre le vaccin VX et le NDD. » Je lui ai proposé de lui fournir les données afin qu'il puisse les analyser et qu'il me tienne au courant. La méthodologie était limitée par la source de données (comme Medicare ne donne pas accès aux données à Tony, il s'est contenté des données disponibles), et Xeno l'a reconnu. Il n'a pas été en mesure d'expliquer pourquoi le diagnostic d'autisme était associé à un plus grand nombre de visites pour la vaccination et non à un plus grand nombre de visites au total.

    Résumé

    Il s'agit de la meilleure étude à ce jour confirmant que les vaccins sont à l'origine de la plupart des cas d'autisme aux États-Unis, en raison de la relation dose-réponse entre le nombre de consultations en cabinet de vaccination et l'autisme. J'ai facilement pu reproduire les rapports de cotes lors d'une enquête menée auprès de 10 000 parents . La collecte des données a pris environ 24 heures. Mes données étaient exclusivement basées sur le nombre total de vaccins reçus par enfant, et non sur le nombre de consultations en cabinet. Mon rapport de cotes (RC) était de 4,5. Mawson a trouvé un RR de 4,4 (le RR étant généralement légèrement inférieur au RC, ces chiffres sont donc très similaires).

    Il est révélateur que le Congrès n'exige pas du NIH qu'il réalise une étude comparant les personnes vaccinées et non vaccinées, et que le NIH ne le fasse pas seul. Personne ne réclame une telle étude (pour une raison inconnue).

    Malheureusement, il faudra probablement attendre 50 ans avant qu'une telle étude soit réalisée. En attendant, ne vous attendez pas à ce qu'un seul médecin ou universitaire reconnu lise cet article (ou demande à consulter les données) d'ici là.

    https://www.globalresearch.ca/childhood-vaccines-responsible-80-autism-cases-us/5878382

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  7. Les données sur le rythme cardiaque révèlent des mutations physiologiques alarmantes chez les personnes vaccinées contre la Covid-19


    Par Frank Bergman
    Recherche mondiale,
    10 juillet 2025


    La communauté scientifique a été stupéfaite après qu’un groupe de scientifiques de premier plan a présenté des preuves montrant des mutations physiologiques alarmantes chez les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre la Covid.

    Les résultats explosifs de la nouvelle étude ont été présentés aux scientifiques lors du Sommet américain de physiologie 2025 .

    Cette recherche révolutionnaire a été menée par le Dr Sarwat Amin et ses collègues de Purdue en collaboration avec physIQ Inc.

    Le Dr Amin et son équipe ont découvert des preuves préliminaires selon lesquelles les « vaccins » à ARNm contre la Covid produisent des schémas distincts de réponse du système nerveux et inflammatoire.

    Les mutations effrayantes ont été révélées dans les données provenant de capteurs portables qui suivent la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC).

    La recherche a révélé des changements mesurables dans l’activité du système nerveux autonome, qui régule le rythme cardiaque, la digestion et l’inflammation.

    Les scientifiques pensent que ces changements pourraient être responsables de lésions physiologiques conduisant à des arrêts cardiaques soudains et à d’autres événements indésirables graves.

    Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue de l’American Physiological Society.

    À l’aide d’appareils sans fil portés sur la poitrine ( VitalPatch RTM ), les chercheurs ont suivi la variabilité de la fréquence cardiaque (VRC), la température de la peau et les niveaux d’activité dans deux petits sous-ensembles de participants (10 et 20 personnes chacun).

    Les participants ont été suivis après leur deuxième dose d’un « vaccin » à ARNm contre la Covid.

    Ils ont regroupé les participants en fonction de leur réponse à la température cutanée et de la présence ou non d’effets secondaires systémiques tels que fièvre, frissons ou fatigue.

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  8. En cartographiant les changements tridimensionnels de la VRC (y compris les composantes de fréquence élevée, basse et très basse) sur 72 heures, ils ont généré un outil qu'ils appellent cartographie 3D de la VRC.

    L’outil crée une empreinte physiologique dynamique de la réponse « vaccinale » post-Covid.

    Les personnes ayant subi des effets secondaires du « vaccin » ont montré des schémas de VRC distincts par rapport à celles qui n’en ont pas subi.

    Les résultats suggèrent que les réactions immunitaires peuvent être suivies objectivement via le système nerveux autonome.

    L’algorithme a atteint jusqu’à 80 % de précision dans la distinction entre les répondeurs au « vaccin » et les non-répondeurs grâce à l’apprentissage automatique non supervisé.

    Il est crucial de noter que les changements de VRC étaient associés négativement à l’inflammation.

    Ces données renforcent l’idée que le déséquilibre sympathique-parasympathique peut faire partie de la cascade inflammatoire post-vaccination.

    Les chercheurs avertissent que ces changements autonomes liés au vaccin sont probablement responsables de blessures potentiellement mortelles, telles que des maladies auto-immunes, des cancers et des lésions cardiaques, qui ont tous augmenté en flèche parmi les personnes vaccinées contre le Covid.

    Cette nouvelle survient après qu'un groupe de médecins et de scientifiques américains de renommée mondiale a émis un avertissement après l'apparition de nouvelles données alarmantes révélant un « chaos moléculaire » chez les personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid.

    L'avertissement a été émis plus tôt cette semaine lors d'une nouvelle interview avec le bioscientifique Dr John Catanzaro , le cardiologue Dr Peter McCullough et l'épidémiologiste Nicolas Hulscher , MPH.

    Au cours de cette discussion révolutionnaire , les principaux experts présentent de nouvelles données moléculaires sur les patients touchés par la « vaccination » à ARNm contre la Covid.

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  9. Les données ont été découvertes lors d'une enquête conjointe menée par Neo7Bioscience de Catanzaro et l'Institut de génomique et de biodécouverte de l'Université du nord du Texas.

    Les résultats alarmants de l’étude ont révélé un modèle préoccupant de perturbation biologique.

    Les résultats soutiennent les preuves croissantes de la transcription inverse, de la déstabilisation immunitaire et de la dysrégulation des gènes favorisant les tumeurs chez les individus ayant reçu une injection d’ARNm.

    Au cours de l'entretien, les experts avertissent que les résultats prouvent que les « vaccins » à ARNm contre le Covid sont à l'origine de l'augmentation des cas de cancers agressifs et de l'effondrement dévastateur du système immunitaire.

    Pendant ce temps, un toxicologue de renommée mondiale a averti que des millions de personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid ont été touchées par une blessure dévastatrice, y compris lui-même.

    L'avertissement effrayant a été émis par le professeur associé de pharmacologie et de toxicologie de l' Université d'Australie occidentale , le Dr Phil Burcham .

    Dans une critique cinglante publiée dans l'édition de mai 2025 de la revue Quadrant, Burcham soulève des questions urgentes sur la conception chimique et les tests de sécurité des « vaccins » à ARNm contre la Covid.

    Le professeur principal note que sa propre lésion débilitante du nerf trijumeau a été causée par un « vaccin » à ARNm contre la Covid.

    https://www.globalresearch.ca/alarming-physiological-mutations-covid-vaxxed/5894698

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  10. Le vaccin à ARNm contre la COVID-19 de Moderna obtient l'approbation complète de la FDA pour les nourrissons « à risque ». « Les preuves confirment des effets catastrophiques »


    Par Nicolas Hulscher
    Recherche mondiale,
    10 juillet 2025


    Le 10 juillet 2025, la FDA a accordé l'approbation complète du vaccin à ARNm contre la COVID-19 de Moderna (Spikevax) chez les enfants « à risque » âgés de 6 mois à 11 ans . Ce vaccin n'était auparavant disponible que dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA).

    10 juillet (Reuters) – La Food and Drug Administration américaine a accordé son approbation complète au vaccin contre le COVID-19 de Moderna (MRNA.O), opens new tab , Spikevax, chez les enfants âgés de 6 mois à 11 ans qui présentent un risque accru de la maladie, a annoncé jeudi la société.
    Le vaccin était auparavant disponible pour les populations pédiatriques dans le cadre d’une autorisation d’utilisation d’urgence.
    Moderna prévoit de rendre son vaccin mis à jour disponible pour la population américaine éligible pour la saison 2025-26 des virus respiratoires.

    Cette approbation intervient malgré une montagne de preuves reliant les injections à des dommages catastrophiques, dont certains incluent des lésions cardiaques , des lésions cérébrales , des cancers et des décès en masse .

    Cette décision est extrêmement inquiétante. Elle démontre, une fois de plus, que nos agences de réglementation restent sous l'emprise du complexe biopharmaceutique.

    Combien d’enfants doivent encore être sacrifiés avant que la responsabilité ne commence à être établie ?

    https://www.globalresearch.ca/moderna-mrna-covid-shot-gets-full-fda-approval-risk-infants/5894674

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  11. Un essai clinique d'un vaccin pulvérisable contre la COVID-19 soulève des « préoccupations importantes en matière de sécurité »


    Par Michael Nevradakis
    Recherche mondiale,
    10 juillet 2025


    Un vaccin intranasal à ARNm pulvérisable contre la COVID-19 a démontré son efficacité lors de son essai clinique de phase 1, selon une étude publiée la semaine dernière dans la revue Science Advances.

    Cependant, des critiques ont remis en question la conception de l'essai et la taille limitée de l'échantillon. Certains ont même suggéré que le vaccin pulvérisable – CVXGA1 , produit par CyanVac LLC – pourrait présenter un risque pour la santé publique.

    La journaliste d’investigation Sonia Elijah a noté que le CVXGA1, qui pénètre dans les muqueuses et les poumons par le nez, a le « potentiel de libérer des particules virales par le biais de sécrétions intranasales, ce qui pourrait exposer les individus non vaccinés ».

    Elijah a déclaré que l'étude n'avait pas examiné si les matériaux perdus pouvaient être transmis à d'autres.

    « Cela soulève d’importantes inquiétudes en matière de sécurité concernant les risques de réplication et d’excrétion », a-t-elle déclaré.

    Karl Jablonowski, Ph.D., chercheur principal chez Children's Health Defense , a déclaré que la plateforme utilisée par CVXGA1 comme vecteur est le virus parainfluenza de type 5 , un « virus respiratoire transmissible entre les humains et les animaux non humains qui échappe à notre système immunitaire ».

    Jablonowski a déclaré que cette plateforme exacerbe le risque de perte.

    « Étant donné qu'il se propage spontanément, il n'y a pas de consentement éclairé ni de précautions médicales, car le « vaccin » peut infecter les nourrissons, les enfants, les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées ou médicalement fragiles. »

    Karina Acevedo Whitehouse, Ph. D. , professeure de microbiologie à l'Université autonome de Querétaro, au Mexique, partage cet avis. Citant des études portant sur des vaccins similaires, Whitehouse a déclaré qu'il y avait de « fortes chances » que ce vaccin entraîne une « excrétion persistante ».

    Whitehouse a cité une étude de 2023 sur un vaccin intranasal contre le VRS (virus respiratoire syncytial), qui a détecté une excrétion du virus chez 17 % des participants.

    CVXGA1 produit la protéine de pointe du virus SARS-CoV-2 , qui était également contenue dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 produits par Pfizer et Moderna.

    Des experts médicaux et des études évaluées par des pairs ont suggéré que la protéine de pointe présente des risques potentiellement graves pour la santé humaine .

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  12. « Modifier génétiquement un virus respiratoire infectieux pour qu'il exprime une protéine Spike est une idée courante, mais très mauvaise », a déclaré Jablonowski. « La présence de cette protéine perturbe le système immunitaire. »

    Un essai clinique erroné, selon les experts
    Selon l’étude de phase 1 CVXGA1, CVXGA1 « est un vaccin intranasal potentiellement efficace contre la COVID-19 » qui produit une réponse immunitaire avec des réactions indésirables minimes.

    L' essai clinique a porté sur seulement 72 participants, âgés de 12 à 53 ans, répartis en deux groupes. L'un a reçu une dose élevée du vaccin, l'autre une dose plus faible.

    Les résultats ont montré que le groupe à forte dose présentait des « taux significativement plus faibles d’infection symptomatique à la COVID-19 » et que le vaccin était « bien toléré sans événements indésirables graves (EI) ni fièvre signalés ».

    Cependant, plusieurs scientifiques et chercheurs ont noté que l’essai ne comportait pas de groupe témoin non vacciné.

    « Cet article ne peut absolument pas être considéré comme une preuve de l'innocuité ou de l'efficacité de ce produit de thérapie génique intranasale », a déclaré Whitehouse. « Aucun groupe n'a été utilisé comme témoin pour comparer les résultats… ni les effets indésirables. Cela invalide en soi toute interprétation de l'innocuité et de l'efficacité de ce produit. »

    Selon Elijah, l’absence de groupe témoin et la petite taille de l’échantillon « affaiblissent la capacité de l’essai à évaluer avec précision la sécurité et l’immunogénicité », mais ce ne sont pas les seuls défauts.

    Élie dit :

    « L’étude manque de données sur les niveaux de détection d’ARN et n’a pas effectué de tests d’infectiosité pour confirmer si les matériaux excrétés peuvent être transmis à d’autres.

    « L’absence de données spécifiques sur la sécurité et l’immunogénicité pour le groupe des adolescents soulève des inquiétudes quant aux effets du vaccin chez les individus plus jeunes.

    « La conception ouverte , où les participants et les chercheurs savaient qui avait reçu le vaccin, introduit un biais potentiel dans la déclaration et l’évaluation des résultats, tels que les événements indésirables. »

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  13. Whitehouse a souligné que les chercheurs de l'étude ont affirmé n'avoir identifié aucun événement indésirable grave. Cependant, ils n'ont suivi les événements indésirables que « pendant une période limitée », ce qui « réduit les chances de détecter des événements graves susceptibles de survenir après cette période ».

    Les chercheurs prévoient d’inscrire 10 000 participants pour la prochaine phase de l’ essai clinique .

    Selon l'immunologiste et biochimiste Jessica Rose, Ph.D. , si les essais cliniques sur CVXGA1 sont jugés comme un succès, « cela pourrait être utilisé pour nous introduire des produits à base de gènes (ARNm, ARN et ADN) par voie intranasale (respiration) ».

    Site d'essais cliniques ayant déjà hébergé les essais du vaccin Pfizer contre la Covid-19 pour les adolescents
    Les experts ont également noté que les essais cliniques n’ont pas été réalisés de manière indépendante mais ont été entièrement financés par CyanVac.

    Selon la déclaration de divulgation de l'étude , plusieurs des chercheurs sont des employés ou des actionnaires de CyanVac, sont sous contrat avec la société ou ont reçu des subventions de recherche d'autres sociétés pharmaceutiques, notamment les fabricants de vaccins COVID-19 AstraZeneca, Moderna et Pfizer.

    Des investisseurs tels que Bill Gates ont déjà manifesté leur intérêt pour les vaccins inhalables et pulvérisables , bien qu'il ne soit pas clair si Gates est impliqué dans le développement du CVXGA1.

    Elijah a souligné que l'hôpital pour enfants de Cincinnati a mené l'essai et que le Dr Paul Spearman , vice-président de la recherche clinique et translationnelle et de l'éducation de l'hôpital, l'a dirigé. L'hôpital a été l'un des sites d'essais cliniques du vaccin Pfizer contre la COVID-19 chez les adolescents.

    En 2021, Maddie de Garay , 12 ans , participant à l'un de ces essais, a été grièvement blessée après avoir reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer. Elle a subi plusieurs effets indésirables graves et s'est retrouvée en fauteuil roulant .

    Selon Elijah, les médecins de l'hôpital ont écarté tout lien entre les blessures de de Garay et le vaccin Pfizer, et ont plutôt classé ses blessures comme « névralgie et douleur abdominale fonctionnelle ».

    https://www.globalresearch.ca/sprayable-covid-vaccine-trial-safety-concerns/5894544

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  14. Whitehouse a souligné que les chercheurs de l'étude ont affirmé n'avoir identifié aucun événement indésirable grave. Cependant, ils n'ont suivi les événements indésirables que « pendant une période limitée », ce qui « réduit les chances de détecter des événements graves susceptibles de survenir après cette période ».

    Les chercheurs prévoient d’inscrire 10 000 participants pour la prochaine phase de l’ essai clinique .

    Selon l'immunologiste et biochimiste Jessica Rose, Ph.D. , si les essais cliniques sur CVXGA1 sont jugés comme un succès, « cela pourrait être utilisé pour nous introduire des produits à base de gènes (ARNm, ARN et ADN) par voie intranasale (respiration) ».

    Site d'essais cliniques ayant déjà hébergé les essais du vaccin Pfizer contre la Covid-19 pour les adolescents
    Les experts ont également noté que les essais cliniques n’ont pas été réalisés de manière indépendante mais ont été entièrement financés par CyanVac.

    Selon la déclaration de divulgation de l'étude , plusieurs des chercheurs sont des employés ou des actionnaires de CyanVac, sont sous contrat avec la société ou ont reçu des subventions de recherche d'autres sociétés pharmaceutiques, notamment les fabricants de vaccins COVID-19 AstraZeneca, Moderna et Pfizer.

    Des investisseurs tels que Bill Gates ont déjà manifesté leur intérêt pour les vaccins inhalables et pulvérisables , bien qu'il ne soit pas clair si Gates est impliqué dans le développement du CVXGA1.

    Elijah a souligné que l'hôpital pour enfants de Cincinnati a mené l'essai et que le Dr Paul Spearman , vice-président de la recherche clinique et translationnelle et de l'éducation de l'hôpital, l'a dirigé. L'hôpital a été l'un des sites d'essais cliniques du vaccin Pfizer contre la COVID-19 chez les adolescents.

    En 2021, Maddie de Garay , 12 ans , participant à l'un de ces essais, a été grièvement blessée après avoir reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer. Elle a subi plusieurs effets indésirables graves et s'est retrouvée en fauteuil roulant .

    Selon Elijah, les médecins de l'hôpital ont écarté tout lien entre les blessures de de Garay et le vaccin Pfizer, et ont plutôt classé ses blessures comme « névralgie et douleur abdominale fonctionnelle ».

    https://www.globalresearch.ca/sprayable-covid-vaccine-trial-safety-concerns/5894544

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  15. Les médicaments contre la perte de poids valent-ils les coûts et les risques ?


    10 juillet 2025
    Par John Klar, Contributeur, The MAHA Report



    Aider les personnes souffrant de troubles de l'alimentation est un objectif louable, mais il reste des risques pour la santé inconnus associés à une prise de nouveau médicaments de perte de poids – et des coûts significatifs.

    Ozempic a été développé initialement (et approuvé par la FDA en 2005) pour le traitement du diabète mettant en jeu le pronostic vital. Wegovy a été approuvé par la FDA le 8 mars 2024 pour traiter les patients obèses ou « en surpoids ». Les deux utilisent le même médicament, les agonistes du peptide glucagon (GLP-1), mais diffèrent en fonction de la posologie. Medicaid et Medicare sont plus susceptibles de couvrir l'utilisation d'Ozempic pour le diabète que Wegovy pour l'obésité, en fonction des normes de l'État administrées dans le cadre de ces programmes fédéraux. La controverse est centrée sur leur utilisation pour la perte de poids car elle est moins urgente que le diabète.

    Le GLP-1 a été initialement créé à l'aide du Monstre Gila après que les chercheurs ont identifié une hormone dans le venin toxique du lézard qui ressemblait étroitement au GLP-1 trouvé dans l'intestin humain. Le GLP-1 humain régule l'appétit et le taux de sucre dans le sang; la forme reptilienne est plus durable. Des recherches ultérieures ont conduit au développement de la version synthétique utilisée dans Ozempic et Wephery, qui est fabriquée par la technologie de l'ADN recombinant par génie génétique de bactéries ou de cellules de levure pour produire des protéines qui imitent le GLP-1 humain. Les médicaments contre le GLP-1 stimulent les pancréas des patients à sécréter plus d'insuline et signalent à leur cerveau de se sentir plus rassasié avec moins de nourriture.

    Ironiquement, cet effet résout essentiellement les additifs alimentaires conçus pour stimuler l'appétit des gens - peut-être Robert F. Kennedy Jr. et la FDA finiront par interdire ces substances. Dans l'intervalle, les préoccupations concernant le coût, l'éthique et la sécurité ont abondamment.

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  16. Ozempic et Wegovy sont pris par injection hebdomadaire, et coûtent plus de 1 000 dollars par mois. Leur sécurité à long terme n'est pas connue, et la plupart des patients qui interrompent l'utilisation reprennent rapidement la perte de poids. Ces médicaments produisent des centaines de milliards de dollars en bénéfices de Big Pharma en créant une dépendance chez les patients pour les « guérir » des dommages des aliments ultra-transformés et d'un mode de vie sédentaire, comme le montre le rapport de la Commission MAHA.

    Le fabricant de Wegovy reconnaît sur sa page web que l'approbation réglementaire de Wegovy impliquait «une durée de suivi relativement courte, limitant l'évaluation des résultats à long terme...». Le gène synthétique du GLP-1 provoque fréquemment des vomissements et des nausées et peut induire des complications plus graves, y compris un blocage intestinal et une pancréatite. Une étude a montré que les patients ayant reçu une gélule1 avaient un risque de pancréatite 9,09 fois plus élevé, un risque de inhibition intestinale 4,2 fois plus élevé et un risque de gastroparésie (parathétisation de l'estomac) de 2,2 fois plus élevé. Les responsables britanniques ont récemment annoncé des plans pour étudier les liens entre l'utilisation du GLP-1 et la pancréatite aigue après des centaines d'incidents enregistrés, dont plus de 100 en 2025 seulement.

    Il n'est peut-être pas choquant qu'une hormone d'ADN recombinante synthétisée à partir du venin de Gila Monster présente des risques pour la santé des patients cherchant à perdre du poids. Les alarmes ont sonné pendant des années aux États-Unis que les médicaments de perte de poids menacent les effets secondaires graves qui changent la vie. Un procès de premier plan est en cours par une femme de Louisiane qui affirme qu'« elle a eu des vomissements si graves qu'elle lui a fait perdre des dents ». Ses avocats enquêteraient sur plus de 10 000 plaintes liées à ces drogues. La société allègue sur son site Web d'autres dommages possibles, y compris les problèmes de vésicule biliaire, la perte de la vision, l'encéphalopathie et le décès.

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  17. Kennedy était un critique franc de la perte de poids avant sa nomination en tant que secrétaire à la Santé et aux Services sociaux. L'administration Biden a ouvert la porte à Medicare et Medicaid pour couvrir ces médicaments coûteux; RFK Jr. les a critiqués ainsi que les entreprises qui les fabriquent. Les inconvénients des médicaments populaires comme Wegovy et Ozempic soulignent pourquoi Mr. Kennedy est à juste titre sceptique.

    Les économies potentielles de soins d'une intervention efficace en matière de perte de poids sont astronomiques, mais les bénéfices de ces médicaments disparaissent lorsqu'ils sont interrompus.

    Le potentiel de risques pour la santé à long terme, associés à des coûts extraordinairement élevés pour les contribuables, suggèrent qu'il s'agit d'un marché du diable qui conduit à une dépendance à vie. Quelle est la différence entre le financement public d'un techno-teat pharmaceutique pour contrebalancer la gourmandise et la parapluie et la méthadone tout au long de la vie pour sauver les gens des mauvaises décisions relatives à l'usage illégal de drogues? Les analystes financiers prévoient que les bénéfices de cette catégorie de médicaments pourraient facilement dépasser de 100 à 150 milliards de dollars par an très prochainement.

    Le consommateur moderne en constante attente souhaite une solution rapide (dans ce cas, littéralement un coup dans le ventre) pour les défis de santé complexes, renvoie à la prescription préférée de Kennedy pour l'obésité : améliorer les régimes alimentaires et l'exercice physique.

    Kennedy a souligné que les États-Unis autorisent l'utilisation généralisée de ces médicaments insuffisamment testés, tandis que le Danemark limite leur approbation. Le corps humain peut perdre du poids avec de l'exercice et des aliments sains sans l'aide douteuse de Big Pharma sur le centime du contribuable.

    Ces médicaments créent également une sorte de division de la personnalité pour le mouvement de justice sociale – l’obésité est-elle « affirmée » comme beau, alors que ceux qui prennent des médicaments pour perte de poids sont dérisoires comme autostigmatisants ? Qu’est-ce qui est plus malsain – être graisse, ou prendre des produits pharmaceutiques potentiellement nocifs pour lutter contre l’obésité ? Dans quelle mesure le gouvernement devrait-il être impliqué dans la perte de poids personnelle et ses coûts économiques ?

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  18. Le jury scientifique est toujours en situation de sécurité pour la santé à long terme de ces médicaments. Les fabricants, quant à eux, se cachent derrière l'approbation de la FDA pour faire la publicité de leurs produits de la graisse comme « sûrs et efficaces ». Robert F Kennedy, Jr. a raison d'encourager les gens vers la route intermédiaire de l'exercice et un régime consciencieux - la voie la plus sûre, bien que moins parcourue.

    https://thekennedybeacon.substack.com/p/are-weight-loss-drugs-worth-the-costs?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=167957346&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  19. BREAKING: Le coup de choc de l'ADN de l'ADN de Moderna obtient l'approbation complète de la FDA pour les nourrissons «à risque»

    Malgré les liens avec les lésions cardiaques, les lésions cérébrales, le cancer et la mort massive.


    Nicolas Hulscher, MPH
    10 juillet 2025


    Le 10 juillet 2025, la FDA a autorisé l'intégralité du vaccin contre la COVID-19 à l'ARNm de Moderna (Spikevax) chez les enfants « à risque » âgés de 6 mois à 11 ans. Lapiqûre létale n'était auparavant disponible que sous autorisation d'utilisation d'urgence (EUA).

    Cette approbation vient en dépit d'une montagne de preuves reliant les coups de feu à des dommages catastrophiques, dont certains incluent les dommages cardiaques, les lésions cérébrales, le cancer et la mort massive.

    Cette décision est extrêmement préoccupante. Cela montre, une fois de plus, que nos agences de régulation restent pleinement saisies par le Complexe Bio-Pharmaceutical.

    Combien d'enfants encore doivent être sacrifiés avant le début de la responsabilisation?

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et Administrateur de la Fondation McCullough

    www.mcculloughfnd.org

    https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-modernas-mrna-covid-shot?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=167992859&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  20. PREMIERE: À l'intérieur des essais de vaccins – Expériences vécues

    Un nouveau documentaire puissant réalisé par Erki Tangsoo partageant les histoires profondément personnelles des participants à l'essai de vaccins dans le monde entier.



    Nicolas Hulscher, MPH
    10 juillet 2025


    Ce film documentaire puissant réalisé par Erki Tangsoo révèle les histoires inédites de participants à l'essai de vaccins contre le COVID-19 du monde entier.

    Ces courageux volontaires se sont engagés avec espoir et confiance dans la science - pour n'expérimenter des complications de santé dévastatrices et qui changent la vie. Maintenant piégés dans un vide médical, leurs voix ont été écartées, leurs souffrances ignorées et leurs histoires censurées.

    Les agences de régulation ont initialement déclaré les vaccins contre la COVID-19 « très sûrs » sur la base des données d’essais. Mais un nombre croissant de scientifiques indépendants ont depuis lors réexaminé ces mêmes données, ce qui suscite de graves inquiétudes au sujet d'événements indésirables qui ont été négligés ou minimisés par les régulateurs.

    Par le biais de comptes-notes personnels et d'analyses d'experts, ce film étudie ces préoccupations et exige une conversation attendue depuis longtemps sur la sécurité des vaccins, la transparence réglementaire et le coût réel du tir au silence.

    Soyez le premier à regarder le film complet réalisé par Erki Tangsoo ici. Partagez leurs histoires, et aidez ce film à devenir viral. www.vaccinetrialstories.com

    Liste complète des sources scientifiques citées dans le film, avec des horodatages: https://docs.google.com/spreadsheets/d/11lsJOMCaFfakKXlx4KrqMqqqvubW2-eg8JILJny0dmE

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et Administrateur de la Fondation McCullough

    www.mcculloughfnd.org

    https://www.thefocalpoints.com/p/premiere-inside-the-vaccine-trials?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=168012516&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  21. Précédent avec le Dr Naomi Wolf


    Dr Naomi Wolf
    10 juillet 2025


    J'ai laissé mon idylle californienne, et j'ai grimpé en ciel laiteux et brumeux aux États-Unis.

    J'ai touché le changement d'avions à Minneapolis, dont je me suis souvenu qu'il s'agissait du Midwest, ami et nourri.

    J'ai vu que maintenant, presque tout le monde employé par les compagnies aériennes, ainsi que tous ceux qui travaillaient en tant qu'équipage au sol, étaient d'origine somalienne, ou étaient de nouveaux arrivants de Somalie.

    Ils ont parlé arabe ou somalien l'un à l'autre, ne prenant même pas la peine avec l'anglais; les passagers et les collègues ont été accueillis avec une main au cœur. Les hôtesses de l'air pour Delta, hors de Minneapolis, portaient des petits hijabs gris atténués, épinglés à leurs cheveux. (Ils se sont également produits d'humeur furieuse.)

    Lisez l'intégralité de l'essai ici ou profitez de la vidéo en lire ci-dessous :

    NativePath: "7 raisons pour lesquelles les hommes et les femmes de plus de 50 ans ont ajouté ce seul ingrédient à leur routine du matin. Visitez https://getnativepath.com/DailyClout pour en savoir plus..."

    The Wellness Company :

    https://dailyclouthealth.com

    UpWellness: «Si vous en avez assez de vivre avec des douleurs et une raideur constantes, découvrez le « pailler » de curcuma développé par le médecin qui est 200x plus puissant que le curcuma ordinaire – et pourrait enfin éteindre votre douleur comme un interrupteur de lumière. » En savoir plus sur https://www.goldenrevive.com/dailyclout

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    https://naomiwolf.substack.com/p/a-stopover-in-the-heartland-videoaudio?utm_source=post-email-title&publication_id=676930&post_id=168015169&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  22. Pourquoi sont-ils appelés « influenceurs » ? Où sont-ils frappés et par qui ?Comment notre approvisionnement alimentaire a-t-il été si corrompu ?


    11 juillet 2025
    Par Sina McCullough, PhD, spécial du rapport MAHA


    Une lacune législative a permis à des milliers de produits chimiques d'entrer dans notre approvisionnement alimentaire sans les tests de sécurité ou la surveillance de la Food and Drug Administration (FDA). Cette faille, connue sous le nom de GRAS, ou « Généralement reconnu comme sûr », a transformé notre alimentation en une expérience chimique nationale où les consommateurs sont les cobayes.

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    Comment cela s'est-il produit ?

    Les statistiques racontent une partie de l'histoire. Environ 57 % de l'apport calorique américain moyen provient désormais d'aliments ultra-transformés. Beaucoup de ces produits contiennent des produits chimiques synthétiques qui n'ont jamais été soumis à des tests de sécurité rigoureux de la part de la FDA.

    Selon une analyse du Groupe de travail sur l'environnement, près de 99 % des produits chimiques introduits depuis 2000 ont été approuvés par les industries alimentaire et chimique elles-mêmes.

    Ces produits chimiques ne se cachent pas dans des produits obscurs ; ils apparaissent dans les favoris de tous les jours.

    Le Head Pepperoni de Boar, par exemple, contient de l’hydroxyanisole butylé (BHA), qualifiant par les instituts nationaux de santé « raisonnablement prévisible être cancérogène pour l’homme ». Le mélange de pain de pilage contient du propylène glycol, un allergène de la peau connu. Les doritos contiennent du glutamate monosodique, associé dans les études chez l'animal à une diminution du nombre de testostérone et de sperme. Les donuts de coco d’Entenmann contiennent du propylparaben, dont les études chez l’animal associent à la baisse de fertilité.

    Une loi bien intentionnée est en passe de faire face

    En 1958, le Congrès a adopté l'amendement sur les additifs alimentaires pour s'assurer que les produits chimiques ont été testés pour leur sécurité avant d'être ajoutés à la nourriture. Toutefois, il contenait une exemption: les substances qui étaient « généralement reconnues comme sûres » n'exigeraient pas l'examen de la FDA.

    Le GRAS était à l'origine destiné à exempter les aliments de base communs comme le vinaigre et le sel. Au fil du temps, cependant, les entreprises ont utilisé la même voie pour contourner l'examen avant la mise sur le marché de milliers de nouvelles substances, conçues en laboratoire.

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  23. Aujourd'hui, notre approvisionnement alimentaire contient environ 10 000 additifs chimiques, dont beaucoup ont glissé dans la faille GRAS. Ces substances ne sont pas soumises à des essais ou ne sont pas contrôlées par la FDA, mais elles apparaissent dans des aliments couramment consommés.

    Comment l'industrie est devenue son propre régulateur

    Ce n'est pas un hasard si les favoris des ménages - des chips aux beignets - contiennent des produits chimiques même si la FDA peut les classer comme GRAS.

    Un rapport de 2010 du Government Accountability Office (GAO) a révélé que le Congrès n'avait jamais désigné d'organisme de réglementation pour vérifier les décisions du GRAS. Dans ce vide de direction, les entreprises ont commencé à contrôler leurs propres ingrédients.

    L'Office des forêts a officialisé l'autocertification de l'industrie lorsqu'elle a proposé un programme de notification GRAS en 1997 et l'a finalisé en 20162016, en plaçant officiellement la responsabilité de déterminer le statut GRAS sur les entreprises pendant que l'agence offrait des « recommandations non contraignantes ».

    Juridiquement, les entreprises ont besoin d'un « expert » pour déclarer un GRAS chimique. Qui sont les "experts"?

    Une étude réalisée en 2014 dans la JAMA Internal Medicine a conclu que ces experts avaient souvent des liens financiers avec les entreprises qu'ils conseillaient, ce qui a donné lieu à des conflits d'intérêts. Selon un article 2023 portant sur 403 avis GRAS déposés entre 2015 et 2020, sept personnes ont occupé près de la moitié de tous les postes de comité d'experts disponibles.

    Une fois que ces « experts » donnent le feu vert, le produit chimique peut aller directement dans votre alimentation sans période d'attente ni examen indépendant. Les entreprises ne sont pas tenues d'informer l'Office des forêts lorsqu'elles ajoutent un nouveau produit chimique à nos aliments, le processus de notification étant volontaire.

    Devinez qui a rendu le processus de notification volontaire ?

    L'Office des forêts.

    Parce que le processus est volontaire, on estime que 1 000 produits chimiques ont été ajoutés à nos aliments sans les connaissances de l'Office des FDA. Si la FDA ne sait pas quels produits chimiques sont dans nos aliments, comment peut-elle s'assurer que nos aliments sont sûrs ? Comment peuvent-ils délivrer des rappels en temps voulu ou des alertes de sécurité en cas de problème?

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  24. La FDA connaît la faille de GRAS. L'industrie le sait. Le GAO le sait. Tout le monde semble savoir, sauf nous, le peuple américain.
    La question du produit chimique et du cocktail

    Il est peu probable qu'un beignet ou un sac de chips occasionnel cause un dommage immédiat. La véritable préoccupation est l'exposition cumulative à long terme à des mélanges complexes de produits chimiques.

    Les régulateurs et les chercheurs analysent généralement les effets à court terme des produits chimiques un par un, mais nous les ingérons de type buffet, parfois pendant des décennies.

    La première étude de cohorte basée sur la population de grande taille pour combler cet écart a été publiée en 2024. Plus de 100 000 adultes français ont été suivis pendant plus de sept ans.

    Deux mélanges réels d'additifs communs - principalement des émulsifiants, des conservateurs et un colorant en un mélange, des édulcorants artificiels, des émulsifiants et des régulateurs d'acide dans un autre - étaient liés à un risque de diabète de type 2 de 8 à 12% pour chaque saut de déviation standard de l'exposition.

    Les auteurs ont mis en garde contre une possible toxicité synergique et ont exhorté les régulateurs à tester les additifs de la manière dont les humains les consomment: ensemble.

    Tant que la science et la politique n'atteindront pas la façon dont nous mangeons réellement, les effets à long terme et combinés des produits chimiques GRAS resteront largement inconnus.

    Cette incertitude, mise en évidence par les nouvelles recherches et la pression constante exercée par les chiens de garde et les consommateurs, a fait un nouvel examen du cadre GRAS à Washington.

    Qu'est-ce qui change au niveau fédéral ?

    Sous la direction du Secrétaire à la santé et aux services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., la FDA a annoncé en mars 2025 qu'il explorait la possibilité d'élaborer des règles pour mettre fin aux déterminations du GRAS auto-affirmées et exiger des entreprises qu'elles soumettent tous les dossiers de sécurité à l'agence avant qu'un ingrédient ne se mette sur le marché.

    Dans le cadre de la même initiative, l'Office des forêts prévoit de lancer un programme d'examen après commercialisation afin de réexaminer les additifs hérités du passé, d'évaluer l'exposition alimentaire cumulée et de publier tous les documents d'examen dans un dossier public consultable.

    Kennedy a examiné plusieurs produits chimiques GRAS, y compris le sirop de mais à haute teneur en fructose, les huiles de graines hautement raffinées, la BHA et la BHT. Beaucoup sont optimistes quant à l'idée qu'il prendra une position audacieuse contre cette lacune. Toutefois, étant donné que l'autocertification est inscrite dans la loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques, le Congrès doit modifier la loi pour combler complètement la lacune.

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  25. États d'état en cours

    Certains États ont commencé à cibler directement les conservateurs inscrits sur la liste des GRAS.

    La loi californienne sur la sécurité alimentaire interdit le propylparaben à l'échelle de l'État à effet 2027.

    Le projet de loi A6424A/S6055B en attente de New York empêcherait à la fois le paraben propyle et le BHA dans l'ensemble de l'État.

    Des mesures similaires se déplaçant actuellement à travers la maison du Michigan (H.B. 4369) interdiraient également le propylparaben et le BHA dans les repas scolaires.

    Pourtant, la législation n'est qu'un seul levier. Les choix quotidiens que les acheteurs font peut également pousser les entreprises vers des ingrédients plus sûrs.

    Le pouvoir d'un

    L'huile végétale broyée (BVO) a été placée sur la liste originale du GRAS dans les années 1950. Après que l'adolescente du Mississippi Sarah Kavanagh a lancé une pétition en 2012, Gatorade et Powerade ont retiré le BVO de leurs boissons sportives, prouvant qu'une personne peut déclencher le changement.

    La FDA a emboîté le pas en 2024, interdisant la BVO, après plus de 100 ans d'utilisation dans notre approvisionnement alimentaire, sur la base d'études concluantes qu'il pourrait nuire à la glande thyréostatique. Les entreprises ont jusqu'au 2 août pour reformuler, alors vérifiez vos étiquettes alimentaires. Selon le Département de l'agriculture des États-Unis, l'OBB peut encore être trouvé dans plus de 600 produits.

    L'OBC souligne à la fois le pouvoir de la pression des consommateurs et le rythme glaciaire de la réforme de la réglementation. S'appuyer sur des études scientifiques rigoureuses pour contrôler les effets à long terme de chaque produit chimique GRAS - et toutes les combinaisons possibles - signifie jouer le jeu à long terme. L'étude française 2024, par exemple, a suivi les adultes pendant sept ans et n'a évalué que cinq mélanges d'additifs communs; des milliers d'autres cocktails chimiques n'ont pas encore été examinés.

    Pendant ce temps, les consommateurs sont continuellement exposés à un mélange évolutif d'ingrédients: même si une substance peut être interdite ou retirée de la liste GRAS, de nouvelles formulations entrent sur le marché.

    Ce que vous pouvez faire maintenant
    Sarah Kavanagh tient Gatorade après avoir pressé la société d'enlever un produit chimique ignifuge de ses boissons.

    Sarah Kavanagh s'est dressée avec un géant de l'alimentation et a gagné. Nous pouvons également faire bouger le marché.

    Pour éviter de manger des produits chimiques GRAS, ne comptez pas uniquement sur la base de données GRAS de la FDA pour déterminer si un ingrédient de votre nourriture entre dans cette catégorie.

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  26. La base de données en ligne ne répertonne que les produits chimiques que les entreprises ont volontairement signalés à l'Office des forêts depuis 1998. Parce que la loi fédérale permet toujours aux entreprises de certifier un ingrédient comme GRAS sans le dire à l'agence, l'inventaire n'est pas un catalogue complet de chaque produit chimique GRAS sur le marché.

    Utilisez la base de données comme point de départ, puis appliquez une règle empirique simple : si un nom d'ingrédient n'est pas familier, impronoçable, ou quelque chose avec lequel vous ne cuisineriez pas à la maison, ne le mangez pas.

    Bien que cette méthode n'élimine pas tous les produits chimiques GRAS et puisse exclure certains qui ne sont pas des GRAS, c'est une règle empirique facile.

    Le changement vient peut-être de Washington et des capitales de l'État, mais l'effet de levier le plus immédiat réside toujours dans vos mains - un ingrédient à la fois, à la caisse.

    Sina McCullough a obtenu un doctorat en nutrition et un B.S. en neurobiologie, physiologie et comportement de l'Université de Californie à Davis, où elle a également enseigné la biochimie et la bioénergétique. Elle est certifiée Master Herbalist, Natural HealerTM et Gluten Free Society Practitioner, auteure de Hands Off My Food and Beyond Labels, et co-ancêtre du podcast Beyond Labels aux côtés de Joel Salatin.

    https://thekennedybeacon.substack.com/

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  27. Où étaient-ils quand il a compté ? Je considère que quiconque n'a pas mis en garde haut et sans équivoque contre l'ARNm en 2020 n'est pas malsain et suspect, au mieux.


    La vidéo virale Enjeti-Carlson incarne la prochaine grande vague, la mort apparente du jour au lendemain de MAGA et le populisme, caractérisée par une nouvelle perte hémorragique de « confiance dans le gouvernement » qui n'est pas morte mystérieusement en 1964, avec la publication du rapport de la Commission Warren. Il a eu d’innombrables collines du PSY OP sur lesquelles il devait mourr depuis 1964, d’innombrables assassinats, et de « changements de régime », du Viet Nam au contra iranien au SIDA, au 9/11, à Covid, à l’interminable « guerres » du Moyen-Orient, et au « soutien » américain à l’égard d’Israel, même par le biais de sacrifices massifs d’enfants à Gaza, mais il a apparemment fallu pour finalement briser le sort. Ce qui signifie généralement qu'un nouvel ensemble de sorts a été écrit et est entré.

    L'anti-spèneisme et l'anti-Trump ism (à cause de son démonnikisme d'Epstein) sont maintenant des planches agréables des nouveaux alignements de la structure du pouvoir des médias. Lorsqu'ils changent de vitesse, ils utilisent des courants puissants pour tirer des poissons de toutes les rayures et de toutes les tailles.

    L'une des plus grandes révélations de cette interview est Tucker disant que le frère de Jeffrey Epstein l'a contacté pour lui assurer que son frère ne s'est pas suicidé.

    Même Roseanne Barr ne défend pas Trump en ce moment.

    Il y a à peine deux semaines, les gens étaient encore fouettés pour déloyauté envers Trump et contre l’antisémitisme.

    Maintenant, la nouvelle chose semble être les gens qui lèvent leurs mains en tout et décident de passer plus de temps avec leurs familles.

    Ce qui reste du camp loyaliste Trump/MAGA, comme « Catturd », tente de décrocher la catastrophe à Pam Bondi, qui peut facilement être jeté sous l’autobus. Et quand cela arrivera, ils vont essayer de maquiller tout le monde pour oublier ce que Trump lui-même a dit, et comment il l'a dit.

    Ehud Barak est un personnage clé de la matière d'Epstein, dont le nom apparaît rarement.

    J'ai vu que Benjamin Nétanyahou et sa femme étaient une fois de plus à la Maison Blanche, et ont demandé à Grok quels étaient les détails, et si nous savons de quoi ils ont parlé. Les résultats ont été CREEPY ET BI-ARRE:

    Regarde ce que Grok répondit.

    Qu'est-ce earth qui se passe ?

    Profondément troublée, j'ai demandé à Grow pourquoi il avait dit que Trump n'était pas les États-Unis. Président.

    Il s'est corrigé lui-même:

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  28. Mais Netanyahou était à la Maison Blanche, cette semaine.

    Les informations ont inclus des images, à partir du 9 juillet, de Netanyahou qui a remis au président Trump sa lettre le présentant au comité Nobel pour un prix de la paix.

    Clip ici.

    Daily Mail article et vidéo ici.

    Une autre chose étrange que j'ai trouvée était ceci :

    Peut-être pro-forma, je ne sais pas, mais ça m'a frappé comme bizarre. Quelque chose d'incompréhensible semble se passer. Comme tous les deux jours.

    De Newser.com:

    Et voilà :

    - voir clip sur site de: -

    Catherine Austin Fitts relie les 20 000 milliards de dollars manquants du Pentagone, à la vitesse de Warp, aux fichiers Epstein, ici.

    Couverture précédente d'Epstein-Trump d'hier.

    (Apologie à nouveau pour l'erreur dans le titre original, qui a été écrit tard dans la nuit, et a posté la mauvaise année pour le podcast Wolff/Truman. Nous étions en 2024.)

    https://celiafarber.substack.com/p/trumps-attempt-to-shame-media-on?utm_source=post-email-title&publication_id=257742&post_id=168052804&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  29. Pure Political Pomp: Cabal of Vaccin Stakeholders File Lawsuit contre Kennedy, HHS


    08 juillet 2025
    Par John Klar, Contributeur, The MAHA Report


    Un procès intenté le 7 juillet par une poignée de groupes d'adulations de vaccins vise à évacuer la décision de Robert F Kennedy Jr. de retirer le vaccin contre la COVID-19 des programmes de vaccination recommandés par les CDC pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes en bonne santé.

    Merci d'avoir lu le rapport MAHA Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir de nouveaux postes et soutenir mon travail.

    Plutôt que d'impuser la décision du secrétaire Kennedy, le costume spécieux offre l'occasion d'exposer la résistance extrêmement toxique de l'industrie des vaccins et ses laquais pseudo-professionnels à toute surveillance des produits expérimentaux très rentables et durement évalués qu'il colporte aux enfants et aux femmes enceintes des États-Unis.

    Fidu par une cabale sans scrupules d'entités de poussée de vaccins dirigée par l'American Academy of Pediatrics (AAP), le costume cherche à renverser l'action de Kennedy en tant que secrétaire du HHS, alléguant histrioniquement que le ciel tombe en déclarant dans son paragraphe d'ouverture :

    « À moins que la décision politique sans fondement et non informée du Secrétaire ne soit laissée en suspens, les femmes enceintes, leurs enfants à naître et, en fait, tous les enfants restent exposés à un risque grave et immédiat de contracter une maladie évitable. Cette décision expose immédiatement ces populations vulnérables à une maladie grave dont les effets à long terme potentiellement irréversibles et, dans certains cas, le décès. »

    Il pense que ces plaignants protestent trop.

    La plainte ressemble davantage à une chape politique qu'à une action en justice. Il semble motivé par la « menace grave et immédiate » à ses bénéfices et à son examen accru de la sécurité, de l'efficacité et de la nécessité de ses expériences de vaccination subventionnées par les contribuables.

    Depuis le début de la pandémie de COVID-19, il s’agit de débattre des raisons pour lesquelles des enfants en bonne santé devraient être vaccinés. Les premières allégations selon lesquelles les écoliers seraient des vecteurs d'infecter les enseignants âgés ou les proches étaient absurdes. Les propres études du CDC ont montré que les enfants en bonne santé étaient extrêmement peu à risque de mourir de la COVID-19, et les nouveaux vaccins à ADNm porteurs de risques ignorés par le PAA et d'autres pousseurs de jab.

    En 2025, les risques pour les femmes enceintes et les jeunes enfants en bonne santé dus à la COVID ont considérablement diminué, mais les menaces de blessures causées par la vaccination persistent et sont encore en cours d'évaluation.

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  30. Une étude du CDC de novembre 2021 intitulée « Morées chez les enfants et les adolescents associés à la COVID-19 et au MIS-C aux États-Unis » a conclu que les moins de 21 ans « ont entraîné moins de 2 % des cas de COVID-19 signalés » et que « la proportion de personnes décédées dans cette étude avec au moins une maladie sous-jacente est beaucoup plus élevée que dans la population pédiatrique générale ». L'étude a également noté qu'il n'était pas clair dans tous les cas que les enfants sont morts de la COVID plutôt que de la COVID-19: «L'inférence causale est difficile dans les études descriptives et il n'est pas toujours possible de déterminer si les descendants sont morts de la COVID-19 ou sont morts d'autres causes avec une infection active du SRAS-CoV-2», peut-on lire dans l'étude CDC.

    Cependant, les événements indésirables liés à la vaccination (que les CDC déclarent être significativement sous-estimés) sont numérotés par milliers. Un rapport du CDC intitulé «Advers events among children ages 5-11 ans after COVID-19 vaccination: update from v-safe and the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) Dec 13, 2021» a conclu que «les parents d'environ 1 323 5,7 % et 803 (6,5 %) des enfants âgés de 6 mois à 5 ans ont déclaré que leur enfant n'était pas en mesure d'effectuer des activités quotidiennes normales dans la semaine après la dose 1 et la dose 2, respectivement.

    Pourquoi donner aux jeunes enfants en bonne santé qui sont à très faible risque de vaccins à ADN recombinant expérimentaux en COVID-19 qui comportent des risques significatifs d'effets indésirables ? C'était la question en 2021, et c'est la question qui reste maintenant. Les agences de santé fédérales sont chargées de protéger les enfants américains non seulement contre la maladie, mais aussi contre les fabricants de produits pharmaceutiques potentiellement peu scrupuleux ou trop confiants et leurs laquais de l'industrie médicale.

    Les mortalités liées à la COVID-19 ont considérablement diminué en 2025. Le CDC a signalé des taux de décès en janvier 2021 chez les enfants de 0 à 4 ans, de 0,08 pour 100 000, 0,04 pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, de 0,10 pour les enfants âgés de 12 à 17 ans, mais de 275,91 pour les enfants de plus de 75 ans. Pour mai 2025, le CDC fait état d'un taux de décès de 0,01 pour 100 000 pour les enfants de 0 à 4 ans, de 0,000 pour les enfants âgés de 5 à 11 ans et de 12 à 17 ans et de 2,98 pour les personnes âgées de plus de 75 ans.

    La plainte juridique hyperbolique et mélodramatique crie que les enfants vont mourir sans ces vaccins. Pourtant, les risques d'effets indésirables des vaccins n'ont pas diminué – si quoi que ce soit, d'autres données sont apparues selon lesquelles ces produits précipités n'étaient pas aussi sûrs ou efficaces que la publicité.

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  31. Cela est particulièrement vrai pour les femmes enceintes. Bien que rejetées par l'AAP et son cadre de plaignants anti-Kennedy, certaines études suggèrent un lien entre les vaccins contre la COVID-19 et les fausses couches. Children’s Health Defense a récemment rapporté une étude montrant que les femmes enceintes qui ont reçu un vaccin contre la COVID-19 « étaient nettement plus susceptibles de faire desentraides que les femmes qui n’ont pas reçu de vaccin contre la COVID-19 ». Karl Jablonowski, Ph.D., chercheur principal pour la défense de la santé des enfants, a déclaré: «Si les auteurs sont prêts à se tenir à leurs travaux, ils auraient dû déclarer qu'une infection à la COVID-19 au cours des deux premiers trimestres est 15 fois plus susceptible d'entraîner une fausse couche si la mère était vaccinée - la plus forte importance statistique dans l'ensemble de l'étude.»

    Les preuves scientifiques soutiennent fortement la décision de la secrétaire Kennedy du HHS de suspendre les recommandations de vaccins contre la COVID-19 pour les jeunes enfants en bonne santé et les femmes enceintes. Les vaccins peuvent toujours être recommandés par les médecins, en particulier chez les patients souffrant de facteurs de risque sous-jacents. Le procès de l'AAP néglige toutes ces preuves scientifiques parce qu'il s'agit d'une chasse politique aux sorcières plutôt qu'un procès viable.

    La plainte est essentiellement une litanie de griefs contre Kennedy pour ses déclarations antérieures, retraçant un passé de scepticisme aux vaccins et contestant ses actions en nommant de nouveaux membres au Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP). La plainte allègue en outre que Kennedy n'a pas « expliqué» les raisons pour lesquelles il a suspendu les recommandations du CDC sur les vaccins Covid et demande aux tribunaux fédéraux d'annuler sa décision et de la remplacer par la position de l'AAP et consorts.

    En dommages-intérêts, les plaignants sommaires se contentent de dire que « la directive a nui à la relation médecin-patient parce que, entre autres, elle a insufflé à cette relation de méfiance, de désinformation, d'incertitude et de confusion ». De telles allégations de dommages seront difficiles à prouver, en particulier compte tenu de l'incertitude quant à l'efficacité du vaccin dans un contexte de baisse des taux de mortalité liée à la COVID-19.

    Le conseil juridique de l’AAP expose scandaleusement les absurdités politiques de son cas en affirmant : « Cette administration est une menace existentielle à la vaccination en Amérique, et les responsables ne font que commencer. S'il n'est pas maîtrisé, le Secrétaire Kennedy réalisera son objectif de débarrasser les États-Unis des vaccins... »

    Ce n’est guère une revendication légale – qu’est-ce qui va suivre, un alarum que Kennedy nourrit des enfants à des alligators ? Au contraire, l'affaire rappelle les paroles d'une chanson de Steppenwolf de 1968 : « Eh bien, maintenant, si j'étais le président de ce pays, vous savez, je déclarerais une guerre totale à l'homme pousseur. »

    L'AAP continue de préconiser des bloqueurs controversés de la puberté pour les jeunes enfants et a été accusée de ofpolitiser cette question plutôt que de donner la priorité à la santé des enfants. Ses poursuites contre Kennedy sont également ternies par un blâme politique flagrant. L'organisation ne tolère aucun défi scientifique à sa foi incontestée dans les vaccins insuffisamment évalués. Il déclare qu'il publiera ses propres recommandations de vaccins à la place de l'ACIP, «parce que nous considérons qu'il est illégitime».

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  32. L'AAP de lutte contre le vaccin vise à supplanter la surveillance réglementaire du gouvernement et à le remplacer par ses propres contrôles favorables à l'industrie.
    Robert F Kennedy’s decision to suspend mRNA shots for healthy young children and expectant moms is vindicated by this lousy lawsuit. This frivolous litigation should put AAP and its co-plaintiffs on trial instead. They must justify their extremist rhetoric and questionable ethics with scientific evidence, rather than resorting to schoolyard slanders.

    https://thekennedybeacon.substack.com/p/pure-political-pomp-cabal-of-vaccine?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=167828699&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  33. Pourquoi les futurs essais randomisés de vaccins contre les ARNm doivent être limités à non vaccinés
    L'ARNm persistante et la protéine spike vont biaiser


    11 juillet 2025
    Par Peter A. McCullough, MD, MPH


    Les agences de régulation et les sociétés médiales se sont trompées sur deux affirmations clés: 1) l'ARNm était de courte durée dans le corps humain, 2) la protéine Spike était inoffensive. Dans une affirmation manifestement fausse, l'Infectious Disease Society of America (IDSA) a affirmé que l'ARNm dans les vaccins contre la COVID-19 est rapidement dégradé et ne reste pas longtemps dans l'organisme. «Il est généralement dégradé quelques jours après la vaccination.» L'ARNm demande aux cellules de produire des protéines de pics, qui déclenchent alors une réponse immunitaire. L'IDSA a également menti sur les protéines de Spike affirmant qu'elles ne sont pas non plus permanenteses et sont éliminées par l'organisme en quelques semaines, selon Nebraska Medicine.

    https://www.thefocalpoints.com/p/why-future-randomized-trials-of-mrna?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=168063694&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  34. Ces horreurs qu’ils disaient scientifiques. La science a-t-elle toujours raison ? Non. Parce qu’elle est censée être un outil de recherche, pas un dogme religieux.


    le 11 juillet 2025
    par pgibertie


    Dès 1908, on utilise le radium pour soigner de nombreuses affections, notamment les affections cutanées.

    - voir doc sur site -

    Tout au long des années vingt, les médecins rédigeront à la chaîne des ordonnances de radium pour l’arthrite, la goutte, l’hypertension, la sciatique, le lumbago et le diabète. Une société new-yorkaise productrice d’eau minérale au radium prétend même qu’elle compte cent cinquante mille clients…

    Pierre et Marie Curie venaient juste de découvrir la radioactivité et ses pouvoirs miraculeux, la génération d’avant la 2ème guerre mondiale, nourrie au petit lait du progrès moderne, s’enthousiasmait pour ces mystérieux produits dont le pouvoir rayonnant éclairait un avenir qui ne pourrait être que radieux.

    En 1916 la revue médicale Radium affirme que « le Radium n’a absolument aucun effet toxique, étant accepté harmonieusement par le corps humain, comme la lumière solaire pour les plantes. » Les médecins ont appris sur le radium de la même manière qu’ils ont fait pour les rayons X: par tâtonnements et par erreurs.

    CES HORREURS QU’ON CROYAIT « SCIENTIFIQUES »

    Pendant des siècles, on a vidé des gens de leur sang (la fameuse saignée ultra populaire) persuadé que ça les guérirait d’une pneumonie, de migraines ou des rhumatismes, alors que ça les tuait bien souvent.

    Des personnes atteintes de troubles psychiatriques étaient battues, exorcisées, parfois jusqu’à la mort, sous prétexte qu’elles étaient possédées. Au XIXe siècle, des femmes jugées trop émotives ou “nerveuses” étaient étiquetées “hystériques” et soumises à des masturbations forcées, prescrites comme traitement médical.

    Des médecins passaient des autopsies de cadavres aux accouchements sans se laver les mains, déclenchant des épidémies meurtrières chez les femmes en couches et chez leurs nourrissons.

    Début XXe siècle, on buvait du radium (une substance radioactive) censé donner énergie et vitalité, qui a finalement rongé les os et provoqué des cancers atroces.

    Dans les années 40-50, le tabac était prescrit contre l’asthme et vanté dans les publicités de célèbres revues médicales, jusqu’à ce qu’on réalise qu’il semait des cancers par millions.

    Jusqu’aux années 80, on accusait le stress d’être responsable des ulcères, avant de découvrir qu’une bactérie (Helicobacter pylori) en était souvent la cause.

    Le DDT, présenté comme un insecticide miracle et soi-disant sans danger, a été répandu partout, contaminant sols, animaux et êtres humains, provoquant cancers, troubles hormonaux et effondrement de la faune, avant d’être interdit.

    La lobotomie (pratiquée notamment pour “soigner” la dépression, l’anxiété ou la schizophrénie) a laissé des milliers de personnes mutilées mentalement, réduites à l’état de zombies ou incapables de vivre seules.

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  35. Le mercure, l’arsenic, la cocaïne et même l’héroïne figuraient dans des médicaments vendus comme remèdes miracles. La cocaïne était prescrite pour la fatigue ou la douleur, tout comme aujourd’hui on vend le fentanyl, autre “solution médicale” devenue poison mortel pour des milliers de vies.

    Pendant des décennies, le gras était diabolisé, tandis que le sucre était quasiment sanctifié, contribuant à une épidémie de diabète et d’obésité. Et jusqu’aux années 90, des médecins osaient encore recommander les cigarettes “light” comme un choix “santé”. Tout cela était estampillé scientifique, validé, “prouvé”, et pourtant, ça a tué, rendu malade ou brisé des vies.

    Et aujourd’hui, certains continuent de brandir la « Science » comme une vérité absolue, une arme pour clouer au pilori quiconque ose douter ou poser des questions. Comme si remettre en cause une théorie, c’était commettre un crime de pensée.

    La science a-t-elle toujours raison ? Non. Parce qu’elle est censée être un outil de recherche, pas un dogme religieux. Ce qu’on érige aujourd’hui en certitude scientifique sera peut-être, demain, jugé criminel ou absurde. Et la grandeur de la science, la vraie, c’est qu’elle accepte de se tromper. Ceux qui refusent le doute ne défendent pas la science. Ils la trahissent.

    signé:

    - voir clip sur site :

    https://pgibertie.com/2025/07/11/ces-horreurs-quils-disaient-scientifiques-la-science-a-t-elle-toujours-raison-non-parce-quelle-est-censee-etre-un-outil-de-recherche-pas-un-dogme-religieux/

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  36. Un taux de mortalité deux fois plus élevé pour les vaccinés que pour les non vaccs souffrant d’insuffisance respiratoire et de covid


    le 11 juillet 2025
    par pgibertie


    Ouille: Chez les patients atteints de la COVID-19, les taux de mortalité étaient de 37 % (NoVax, n = 89) et de 70 % (Vax, n = 23). Parmi les patients atteints de la COVID-19, le taux de mortalité était significativement plus élevé chez les patients Vax que chez les patients NVax

    - voir graph sur site -

    les taux de mortalité des patients COVID-19 étaient de 37 % (NVax, n = 89) et de 70 % (Vax, n = 23).

    Parmi les patients COVID-19, le taux de mortalité était significativement plus élevé chez les patients Vax que chez les patients NVax (p = 0,002). Le score de l’indice de comorbidité de Charlson (CCI) était également significativement plus élevé chez les patients COVID-19 Vax que NVax. Cependant, le risque de mortalité est resté significativement plus élevé (p = 0,02) lorsque nous avons comparé les patients COVID-19 Vax et NVax avec un score CCI similaire, ce qui suggère que des facteurs supplémentaires peuvent augmenter le risque de mortalité. Des niveaux plus élevés d’anticorps anti-SARS-CoV-2 ont été observés chez les survivants, suggérant leur rôle protecteur. Nous avons observé une tendance à l’augmentation de l’IgG4 Ab total, qui favorise la tolérance immunitaire, chez les patients Vax par rapport aux patients NVax au cours de la semaine 3.

    Cette étude indique que parmi les patients COVID-19, le taux de mortalité était significativement plus élevé chez les patients vaccinés (Vax) comparés aux non-vaccinés (NVax) (p = 0,002). Bien que l’indice de comorbidité de Charlson (CCI) soit plus élevé chez les patients Vax, le risque de mortalité restait significativement plus élevé (p = 0,02) même en comparant des patients avec un CCI similaire, suggérant l’influence de facteurs supplémentaires. Les survivants présentaient des niveaux plus élevés d’anticorps anti-SARS-CoV-2, indiquant un rôle protecteur. Une tendance à l’augmentation des IgG4, favorisant la tolérance immunitaire, a été observée chez les patients Vax à la troisième semaine.Si vous souhaitez une analyse plus approfondie ou des clarifications sur des points spécifiques (par exemple, les facteurs supplémentaires ou le rôle des IgG4), merci de préciser !

    IG4 INDIQUE UN ADE

    L’augmentation des IgG4 observée chez les patients vaccinés (Vax) dans l’étude pourrait suggérer un phénomène d’ADE (Antibody-Dependent Enhancement, ou amplification dépendante des anticorps), mais cela nécessite une analyse prudente. Les IgG4, en favorisant la tolérance immunitaire, peuvent réduire l’efficacité de la réponse immunitaire contre le SARS-CoV-2, potentiellement en atténuant l’inflammation ou en interférant avec d’autres sous-classes d’anticorps (comme les IgG1/IgG3) plus efficaces pour neutraliser le virus. Dans certains contextes, un déséquilibre vers les IgG4 peut être associé à l’ADE, où les anticorps facilitent paradoxalement l’infection ou aggravent la maladie, comme observé dans d’autres infections virales (ex. : dengue).Cependant, l’étude ne conclut pas directement à un ADE. Elle note une tendance à l’augmentation des IgG4 à la semaine 3 chez les patients Vax, sans établir de lien causal clair avec une aggravation des résultats cliniques. Le risque de mortalité plus élevé chez les patients Vax, même avec un CCI similaire, suggère des facteurs supplémentaires, mais l’ADE n’est pas explicitement confirmé. D’autres facteurs, comme la réponse immunitaire altérée, des différences dans les variants viraux, ou des biais dans la population étudiée, pourraient aussi expliquer ces résultats.Points à considérer :

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  37. L’ADE est complexe et nécessite des preuves spécifiques (ex. : facilitation de l’entrée virale via des récepteurs Fc).
    Les niveaux élevés d’anticorps anti-SARS-CoV-2 chez les survivants suggèrent un effet protecteur global, ce qui pourrait contrebalancer l’hypothèse d’ADE.
    Une analyse plus détaillée des sous-types d’anticorps, des variants viraux, et des mécanismes immunologiques serait nécessaire pour confirmer un ADE.

    https://www.frontiersin.org/journals/immunology/articles/10.3389/fimmu.2024.1325243/full

    https://pgibertie.com/2025/07/11/un-taux-de-mortalite-deux-fois-plus-eleve-pour-les-vaccines-que-pour-les-non-vaccs-souffrant-dinsuffisance-respiratoire-et-de-covid/

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  38. Les toxines invisibles : une menace silencieuse pour la santé des enfants et des écosystèmes


    Dr Gérard Guillaume et Xavier Azalbert, France-Soir
    le 11 juillet 2025 - 13:45


    Dans un monde où chaque bouchée, chaque gorgée et chaque geste du quotidien façonne notre santé, une vérité dérangeante se fait jour : les toxines, qu’il s’agisse de pesticides, de microplastiques, de métaux lourds ou de polluants éternels, infiltrent nos aliments, nos boissons, nos produits d’hygiène et même les chewing-gums que nous mâchons distraitement.

    Ces substances, souvent invisibles, contribuent à une explosion alarmante des maladies chroniques, en particulier chez les enfants. En France, 15 millions de personnes, soit 20 % de la population, souffrent de maladies chroniques, dont 1,5 à 4 millions de jeunes de 0 à 20 ans, selon Santé publique France. Aux États-Unis, l’obésité infantile a bondi de 270 % depuis les années 1970, l’autisme touche 1 enfant sur 31 à l’âge de 8 ans, et les cancers pédiatriques ont grimpé de 40 % depuis 1975, d’après le CDC. Ces chiffres ne sont pas de simples statistiques : ils reflètent une crise de santé publique qui menace les générations futures et appelle une action urgente.

    Ce fléau ne se limite pas aux assiettes. Les toxines s’insinuent dans des produits du quotidien, comme les dentifrices, les fils dentaires et les boissons en bouteille, même celles en verre – et l’eau du robinet, qui devrait être une source de vie mais devient un vecteur de contamination. Cette omniprésence soulève une question cruciale : comment protéger nos enfants et nous-mêmes face à une menace aussi diffuse ?

    Cette omniprésence soulève une question cruciale : comment protéger nos enfants et nous-mêmes face à une contamination aussi diffuse ?

    Cet article explore les principales toxines en cause, leurs impacts sur la santé et l’environnement, et propose des solutions concrètes, tant individuelles que systémiques, pour reprendre le contrôle de notre bien-être.

    Le glyphosate : un poison silencieux dans nos assiettes

    Le glyphosate, ingrédient actif du Roundup, est l’herbicide le plus utilisé au monde. Présent dans 53 % des produits alimentaires courants, comme les céréales, les pâtes et les lentilles, il garnit nos assiettes dès le petit-déjeuner, selon un rapport de Générations Futures de 2017. Plus inquiétant encore, 87 % des enfants américains ont des traces de glyphosate dans leur urine, signe d’une exposition quotidienne via des aliments de base comme le blé, l’avoine ou le maïs, selon le CDC.

    Classé « probablement cancérogène » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) en 2015, le glyphosate est lié à des lymphomes non hodgkiniens, à des troubles neurodéveloppementaux comme le TDAH et l’autisme, ainsi qu’à des cancers de la prostate et du myélome multiple, selon une expertise de l’Inserm de 2021.Son mécanisme d’action est sournois : le glyphosate perturbe la voie shikimate, essentielle à la synthèse des acides aminés dans les bactéries intestinales, entraînant des déséquilibres du microbiote qui affectent le métabolisme et favorisent l’inflammation chronique. (Xavier Coumoul- Pesticides, quels effets sur notre santé ?)

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  39. Liens sur la santé

    Malgré ces preuves, l’Union européenne a renouvelé son autorisation en novembre 2023 pour dix ans, suscitant l’indignation d’experts qui dénoncent l’évaluation incomplète des co-formulants du Roundup, souvent plus toxiques que le glyphosate lui-même. Cette décision reflète une inertie réglementaire qui met en péril la santé publique et la biodiversité, le glyphosate étant également impliqué dans le déclin de 70 à 80 % des insectes en Europe et dans l’effondrement des colonies d’abeilles tel que le montre une étude récente d’une ampleur inédite parue en octobre 2024.

    Les microplastiques : une invasion silencieuse, même dans le verre
    Les microplastiques, ces fragments de moins de 5 mm, et leurs cousins encore plus petits, les nanoplastiques, sont devenus omniprésents, des profondeurs océaniques aux glaciers himalayens, en passant par les nuages.

    Les plastiques biodégradables à base d’amidon présentés comme une alternative sûre aux plastiques pétrosourcés sont loin d’être sûrs. Une étude récente publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry dirigée par Yongfeng Deng, cette recherche montre que des souris exposées durant trois mois à des microplastiques d’origine amidonnée ont présenté des dommages organiques, atteintes hépatiques et ovariennes, des perturbations métaboliques, anomalies des triglycérides, perturbations du métabolisme du glucose et des lipides; des altérations des voies génétiques liées au rythme circadien et un déséquilibre du microbiote intestinal.

    Une étude de l’Anses, publiée en juillet 2025, a révélé leur présence dans toutes les boissons testées en France, y compris celles conditionnées dans des bouteilles en verre. Les concentrations varient : 2,9 microplastiques par litre dans l’eau embouteillée, 31,4 dans les sodas, 101,5 dans les limonades, 84 dans la bière et 12 dans le vin. Contre toute attente, les bouteilles en verre affichent des niveaux plus élevés que les contenants plastiques, en raison de l’abrasion des bouchons plastiques lors du stockage. Les vins, avec leurs bouchons en liège, se distinguent par une contamination moindre, suggérant une piste pour réduire l’exposition.

    Les aliments ne sont pas épargnés : 69 % des poissons, 55 % des mollusques, 39 % des œufs et 23 % du lait contiennent des microplastiques, selon Générations Futures. Plus surprenant encore, une étude de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA), présentée en mars 2025 à l’American Chemical Society, a révélé qu’un seul gramme de chewing-gum libère en moyenne 100 microplastiques dans la salive, certains atteignant 600 particules. Une gomme de 2 à 6 grammes peut ainsi relâcher jusqu’à 3 000 particules, et une personne mâchant 180 gommes par an pourrait ingérer 30 000 microplastiques.

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  40. Bien que cela paraisse dérisoire face aux 240 000 microplastiques par litre d’eau embouteillée, l’accumulation est alarmante.

    Ces particules s’infiltrent dans le corps humain, atteignant le cerveau (0,5 % de sa masse, selon l’Office parlementaire français), les poumons, le placenta et les reins. Une étude de l’American College of Cardiology de 2025 lie leur présence à des risques accrus d’AVC, de diabète et de cancers, notamment de l’estomac, en raison de l’inflammation chronique qu’ils provoquent et de leur capacité à absorber des polluants environnementaux. Les microplastiques agissent comme des perturbateurs endocriniens, imitant les hormones et perturbant le métabolisme, selon une étude de The Lancet Planetary Health.

    les plastiques

    Nous vous recommandons, de vous reporter à l’article : la pollution plastique : une crise systémique exigeant des solutions fondées sur la science (France-Soir 9 juin 2025).

    Les métaux lourds : des dentifrices aux poissons

    Les métaux lourds, comme le plomb, le cadmium, le mercure et l’arsenic, représentent une menace insidieuse, non seulement dans l’alimentation, mais aussi dans des produits inattendus comme les dentifrices. Lorsque l’exposition dépasse les seuils de sécurité, les conséquences de santé peuvent être multiples avec des atteintes possibles sur les fonctions :

    Neurologiques (manganèse, arsenic, cadmium, cuivre, zinc, fer, mercure)
    Néphrologiques (cadmium, plomb, mercure, thallium)
    Cancérigènes (arsenic, plomb, mercure, nickel)
    Hépatiques (plomb, cadmium, cuivre, chrome)
    Immunologiques (plomb, cadmium, chrome)
    Cardiovasculaires (plomb, cadmium, cobalt)
    Dermatologiques (arsenic, mercure)
    Reproductives (arsenic, plomb, cadmium, mercure)
    Génomiques (arsenic)
    Les sources d’exposition à ces métaux lourds sont variées : l’atmosphère, le tabac, les implants médicaux, les plombages… mais aussi et surtout l’alimentation.

    Les poissons prédateurs comme le requin, l'espadon et le marlin, le siki, les lamproies et, à un moindre degré, le thon, le brochet ou le barracuda, sont les poissons qui contiennent les concentrations les plus élevées de métaux lourds

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  41. La laitue et les oignons sont plus susceptibles d'absorber le plomb. Les carottes et les épinards absorbent plus facilement le cadmium. Les patates douces et les légumes-racines présentent également un risque plus élevé de contamination par les métaux lourds. De nombreuses herbes séchées et épices peuvent également être riches en métaux lourds

    90 % des 51 marques de dentifrice populaires contiennent du plomb, 65 % de l’arsenic, 47 % du mercure et 35 % du cadmium (photo pixabay)

    Une enquête de Lead Safe Mama (LSM) en 2025 a révélé que 90 % des 51 marques de dentifrice populaires contiennent du plomb, 65 % de l’arsenic, 47 % du mercure et 35 % du cadmium, souvent introduits par des ingrédients comme l’hydroxyapatite, le carbonate de calcium ou l’argile bentonite. Certains échantillons dépassent les seuils de sécurité de l’État de Washington, bien que conformes aux normes fédérales américaines, qui tolèrent jusqu’à 20 ppm de plomb. Ces métaux provoquent des lésions rénales, de l’ostéoporose, de l’anémie et des troubles cognitifs en inhibant des enzymes clés (comme l’ALAD pour le plomb) ou en induisant un stress oxydatif mitochondrial (cadmium).

    Dans l’alimentation, après l’eau potable, le riz est une source majeure d’arsenic, exacerbée par le changement climatique, qui augmente sa concentration, selon une étude de The Lancet Planetary Health. Les légumes-racines (carottes, pommes de terre) absorbent le cadmium et le plomb, tandis que les poissons prédateurs (thon, espadon) concentrent le mercure.

    En France, 47 % de la population, dont 36 % des enfants de moins de 3 ans, dépasse les valeurs toxicologiques de référence pour le cadmium, notamment à cause des engrais phosphatés importés du Maroc, riches en ce métal.

    Ces engrais contaminent les sols, les céréales et les légumes, avec des effets tératogènes sur les embryons et des risques accrus de cancers rénaux et hépatiques.

    Les PFAS : les polluants éternels qui ne disparaissent jamais

    Les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS), surnommées « polluants éternels » pour leur persistance dans l’environnement et le corps humain forment une famille de plus de 4000 composés chimiques. Antiadhésives, imperméabilisantes, résistantes aux fortes chaleurs, les PFAS sont largement utilisés depuis les années 1950 dans divers domaines industriels et produits de consommation courante :

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  42. Exemple
    Exemple d'usage de PFAS

    Quatre effets potentiels sur la santé disposent d’un niveau de preuve jugé suffisant : la diminution de la réponse immunitaire à la vaccination, la dyslipidémie (anomalie lipidique due à du cholestérol et/ou des triglycérides élevés), la baisse du poids de naissance et l’augmentation du risque de cancer du rein.

    Les PFAS sont détectées dans 69 % des poissons, 55 % des abats, 39 % des œufs et 23 % du lait, selon Générations Futures. Elles se retrouvent également dans certains fils dentaires contenant du PTFE (téflon), augmentant l’exposition hormonale, selon une étude de 2019.

    Perfluorés et polyfluoroalkylés (ou PFAS) • Cancer Environnement

    Le PFOA, un type de PFAS, est classé comme « cancérogène pour les humains » par le CIRC en 2023, avec des liens établis avec les cancers du rein, la dyslipidémie et une diminution de la réponse immunitaire. Ces substances submergent le foie, perturbant sa capacité à détoxifier, et imitent les hormones, affectant le métabolisme et la reproduction selon une étude des NIH.

    D’autres types d’effets sur la santé sont suspectés comme par exemple : maladies thyroïdiennes, troubles de la reproduction, de la fertilité, mais avec un niveau de preuve scientifique moins élevé, sur la base des connaissances acquises à ce jour.

    Nous recommandons à tous de visionner le film « Dark Waters » qui s’inspire du combat de l’avocat de Cincinnati, Robert Bilott contre les « polluants éternels »

    Les bisphénols, la chlordécone et les résidus pharmaceutiques : une menace multiforme
    Les bisphénols (bisphénol A : BPA et bisphénol S : BPS), présents dans les conserves, les bonbonnes d’eau en polycarbonate et les tickets thermiques, agissent comme perturbateurs endocriniens, entraînant des troubles reproductifs, métaboliques et cardiovasculaires, selon l’Anses. L’alimentation contribue à plus de 80% de l’exposition de la population au bisphénol A. Les principales sources d’exposition alimentaire aux bisphénols, identifiées par l’Anses, sont les produits en boîtes de conserve ou encore les bonbonnes d’eau en polycarbonate. L’agence a également estimé que la manipulation de tickets thermiques (tickets de caisse, reçus de cartes bancaires…) conduisait à des situations d’exposition à risque, notamment dans un cadre professionnel.

    Bisphenol A

    La chlordécone, utilisée jusqu’en 1993 dans les bananeraies antillaises, persiste dans les sols et les eaux de Guadeloupe et Martinique, augmentant les risques de cancer de la prostate et d’anomalies de la grossesse. Les résidus pharmaceutiques, issus des déjections humaines et animales ou des rejets industriels, contaminent l’eau du robinet, favorisant la résistance bactérienne et des effets sur la faune aquatique, selon l’Anses.

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  43. En 2011, sur la base d’un rapport relatif aux effets sanitaires du BPA, l’Anses a conclu à l’existence d’effets avérés chez l’animal (effets sur la reproduction, sur la glande mammaire, sur le métabolisme, le cerveau et le comportement) et d’effets suspectés chez l’Homme (effets sur la reproduction, sur le métabolisme et les pathologies cardiovasculaires).

    Le ministère de la Santé recommande des gestes simples à adopter pour limiter les expositions aux bisphénols via l’alimentation :

    Privilégier la cuisine faite maison : pour cuisiner, privilégier les matériaux aptes au contact alimentaire comme le verre, l’inox, la fonte, le bois non traité (éviter les poêles antiadhésives, les bouilloires et les contenants en plastique) ; Eviter de réchauffer, par ex. au micro-ondes, les aliments dans des récipients ou des emballages en plastique.

    L’eau : une source de vie contaminée

    L’eau, essentielle à la vie, est devenue un vecteur de toxines. Malgré une surveillance constante des autorités sanitaires, environ un tiers de l’eau distribuée en France est non conforme aux normes réglementaires, selon l’Anses20. Les pesticides, leurs métabolites, les PFAS et les résidus pharmaceutiques s’infiltrent dans les nappes phréatiques et les eaux de surface, contaminant l’eau du robinet.

    Un rapport de l’Anses d’avril 2023 a détecté des traces de chlorothalonil, un fongicide interdit depuis 2020 et suspecté d’être cancérogène, dans 57 % des échantillons d’eau analysés dans une centaine de départements. La somme des concentrations de pesticides dans l’eau dépasse souvent le seuil réglementaire de 0,5 µg/L dans 20 % des prélèvements.

    L’eau : une source de vie contaminée - photo pixabay

    Les résidus pharmaceutiques, issus des déjections humaines et animales ou des rejets industriels, sont particulièrement préoccupants. La France, quatrième consommateur mondial de médicaments, rejette des traces de ces substances dans l’eau, favorisant la résistance bactérienne et des effets sur la faune aquatique. Les bactéries comme les légionelles, les Pseudomonas ou E. coli peuvent également contaminer l’eau, souvent à cause de canalisations défectueuses plutôt que de la qualité initiale de l’eau.

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  44. 10% des produits pharmaceutiques présentent potentiellement un risque pour l'environnement, avance l'OCDE dans son rapport.
    Résidus pharmaceutiques dans l'eau - photo radiofrance
    Ces contaminants, bien que présents à faible dose, posent des risques à long terme, difficiles à évaluer en raison des effets cocktails avec d’autres polluants. Les stations d’épuration actuelles, inadaptées pour filtrer ces molécules, laissent passer PFAS et résidus pharmaceutiques, soulignant la nécessité de technologies avancées comme la photocatalyse.

    Un cocktail toxique aux conséquences imprévisibles

    L’exposition simultanée à ces toxines crée des effets cocktails, où les interactions amplifient les dommages. Le cadmium et les microplastiques induisent un stress oxydatif, augmentant la production de radicaux libres qui endommagent les cellules. Les PFAS et les bisphénols, quant à eux, perturbent l’équilibre hormonal, exacerbant les risques de diabète et de troubles reproductifs. Une étude de 2025 montre que cette combinaison augmente les risques de dyslipidémie chez les enfants.

    Ces interactions complexes, encore peu étudiées, soulignent l’urgence de revoir les approches réglementaires, qui se concentrent souvent sur une seule toxine à la fois.

    Tableau Récapitulatif : Toxines, Sources et Solutions

    Toxine Sources principales Effets sur la santé Recommandations
    Glyphosate Céréales, pâtes, lentilles Lymphomes, TDAH, autisme, cancers Acheter bio, laver soigneusement les légumes
    Microplastiques Boissons, poissons, chewing-gums Inflammation, AVC, cancers, perturbations hormonales Utiliser verre/inox, mâcher moins de chewing-gums
    Métaux lourds Dentifrices, riz, poissons prédateurs Lésions rénales, ostéoporose, anémie, cancers Dentifrice maison, poissons faibles en mercure
    PFAS Fil dentaire, poissons, œufs Cancers, dyslipidémie, baisse immunitaire Éviter PTFE, privilégier fil non fluoré
    Bisphénols Conserves, tickets thermiques Troubles reproductifs, métaboliques Cuisine maison, éviter plastiques
    Chlordécone Sols/eaux (Antilles) Cancer prostate, anomalies grossesse Contrôler la contamination locale
    Toxines botuliques Conserves artisanales Paralysie, troubles neurologiques Vérifier les conserves
    Résidus pharmaceutiques Eau du robinet Résistance bactérienne, effets aquatiques Filtrer l’eau (osmose inverse)

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  45. Des solutions à portée de main pour les familles
    Face à cette crise, les consommateurs peuvent agir immédiatement.

    Dans l’alimentation, privilégiez les produits biologiques, notamment pour les légumes-racines (carottes, pommes de terre) et les céréales, afin de réduire l’exposition au glyphosate et au cadmium. Choisissez des poissons à faible teneur en mercure, comme les sardines ou les maquereaux, et évitez les prédateurs comme le thon ou l’espadon. Pour les boissons, optez pour des bouteilles en verre avec bouchons en liège ou en métal, et utilisez des filtres à osmose inverse ou à charbon actif pour l’eau du robinet, qui peut contenir des PFAS et des résidus pharmaceutiques.

    Dans les soins bucco-dentaires, la situation est tout aussi préoccupante. Seuls six dentifrices sur 51 testés par LSM sont exempts de métaux lourds, comme certaines marques bio à base de bicarbonate de soude (non précisées dans le rapport, mais disponibles sur le site de LSM). Une alternative sûre consiste à fabriquer son propre dentifrice avec de l’huile de coco, du bicarbonate de soude, de la poudre de coquille d’œuf (pour le calcium) et de l’huile essentielle de menthe poivrée, comme le recommande le Dr Joseph Mercola. Utilisez un fil dentaire non fluoré sans PTFE, et intégrez l’extraction d’huile (10-15 minutes par jour avec de l’huile de coco) pour éliminer les toxines buccales. Pour les chewing-gums, réduisez leur consommation ou optez pour des gommes à base de chicle naturel, sans polymères pétroliers, et mâchez un seul morceau plus longtemps pour limiter la libération de microplastiques.

    Enfin, l’exercice physique régulier, comme 75 minutes par semaine à haute intensité, favorise l’élimination des métaux lourds via la transpiration, selon Mercola. Ces gestes simples, accessibles à tous, permettent de réduire l’exposition tout en attendant des réformes plus larges.

    Des solutions systémiques pour un avenir plus sain

    Les solutions individuelles, bien qu’essentielles, ne suffisent pas à endiguer cette crise. Des réformes systémiques sont nécessaires pour s’attaquer aux racines du problème. L’Union européenne pourrait s’inspirer du Danemark, qui a interdit certains PFAS dans les emballages alimentaires dès 2020, et adopter des seuils stricts pour les métaux lourds dans les dentifrices, comme le 1 ppm pour le plomb déjà en vigueur pour les cosmétiques. Les fabricants de boissons doivent généraliser le lavage des bouchons plastiques avant scellement, une pratique qui réduit significativement les microplastiques, selon l’Anses.

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  46. Dans l’agriculture, promouvoir les pratiques biologiques et limiter l’usage des engrais phosphatés riches en cadmium, notamment ceux importés du Maroc, est crucial. La bioremediation, utilisant des bactéries comme Pseudomonas fluorescens pour dégrader le glyphosate dans les sols, offre une solution prometteuse, selon une étude de 2024 dans Environmental Science & Technology. Les stations d’épuration doivent être équipées de technologies avancées, comme la photocatalyse, pour éliminer les PFAS et les résidus pharmaceutiques, qui échappent actuellement aux filtres conventionnels. Enfin, des programmes de recyclage des chewing-gums, comme l’initiative Gumdrop en Europe, pourraient limiter la pollution plastique.

    Le rôle clé des professionnels de santé

    Les professionnels de santé ont un rôle pivot à jouer. Depuis l’automne 2025, les tests de dosage du cadmium sont remboursés en médecine de ville en France, et déjà disponibles en milieu hospitalier, permettant un dépistage ciblé des enfants dans les zones agricoles. Les pédiatres peuvent conseiller les familles sur les aliments et produits à faible risque, comme les dentifrices sans métaux lourds ou les boissons en verre avec bouchons en liège.

    Des protocoles de suivi, comme des échographies rénales pour le cadmium ou des tests immunitaires pour les PFAS, devraient être systématisés pour les populations vulnérables, notamment les femmes enceintes et les jeunes enfants.

    Sensibiliser pour transformer les mentalités

    La sensibilisation est un levier puissant. Des campagnes scolaires peuvent enseigner aux enfants les bases d’une alimentation saine et les dangers des toxines, tandis que des applications comme Yuka permettent aux consommateurs de scanner les produits pour éviter ceux contenant des additifs à risque.

    Les guides de l’Anses et de l’OMS offrent des ressources précieuses pour comprendre et limiter l’exposition. Les coûts économiques des maladies chroniques, estimés à 15-20 % du budget de santé publique français, et le déclin dramatique de 70-80 % des insectes en Europe, menaçant la sécurité alimentaire, soulignent l’urgence d’une mobilisation collective.

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  47. Conclusion

    Au moment où nous bouclons cet article, nous apprenons qu’une jeune fille de 11 ans a perdu la vie lundi 16 juin à Saint Quentin, après une sévère intoxication alimentaire suite à une consommation de viande. Sept autres enfants ont été contaminés dans la zone. Une trentaine d'élèves du collège de Peyrehorade dans les Landes, ont été pris de maux de ventre et pour certains de vomissements après le repas de ce lundi midi dans l'établissement. Des analyses sont en cours pour savoir s'il s'agit d'une intoxication alimentaire

    L’actualité est là pour nous confirmer, au besoin, que les intoxications, alimentaires ou non, sont une réalité sont une réalité présente dans la vie quotidienne et qu’il s’agit d’un véritable enjeu de santé publique.

    Jeudi 19 juin, l’ONG Générations Futures, dans un rapport choc, révèle la présence d’au moins un des quatre “polluants éternels” réglementés dans des aliments du quotidien.

    Ces polluants sont bien plus répandus que prévus.

    Les abats sont parmi les plus contaminés : 55 % des échantillons contiennent des PFAS, les poissons : 69 % des poissons testés contiennent des PFAS, les mollusques : 55 % des mollusques sont contaminés. Les œufs : 39 % des œufs analysés contiennent des PFAS, le lait 23 %, la viande 14%, les crustacés 27 % contaminés.

    Générations Futures appelle à plus de vigilance :

    « Il est nécessaire d’élargir la liste des PFAS à contrôler dans l’alimentation sachant que plus de 20 autres substances PFAS ont été recommandées par la commission européenne en 2022. [...] Par ailleurs, les limites réglementaires ne portent que sur un nombre limité de type de denrées alimentaires (viande, poisson, crustacés, mollusques et œufs). il n’y a pas de limites réglementaires concernant le taux de PFAS dans les fruits et légumes, les céréales et les produits laitiers alors que ceux-ci représentent une part majeure de notre alimentation. De manière surprenante, il n’y a pas non plus de limites réglementaires définies concernant les aliments pour nourrissons et enfants en bas âge »

    Un appel à l’action collective

    Les toxines, du glyphosate dans nos céréales aux microplastiques dans nos chewing-gums, nos dentifrices et nos boissons, constituent une menace silencieuse mais omniprésente. Elles alimentent une crise de santé publique qui touche particulièrement les enfants, tout en dégradant nos écosystèmes.

    En adoptant des choix éclairés – aliments biologiques, contenants en verre, dentifrices maison, réduction des chewing-gums – et en soutenant des politiques ambitieuses, comme l’interdiction des PFAS ou la bioremediation des sols, nous pouvons protéger notre santé et celle des générations futures.

    Cette lutte exige une mobilisation collective, des consommateurs aux décideurs, pour construire un avenir où la nourriture et les produits du quotidien cessent d’être des vecteurs de poison.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante-science-tech/les-toxines-invisibles-une-menace-silencieuse-pour-la-sante-des-enfants

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    1. Nous respirons toutes & tous - avec ou sans masque - 200 000 nano-poussières (appelées 'virus' !) ET microbes PAR MINUTE soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance.
      Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !!! Çà alors !!

      Depuis TOUJOURS notre organisme élimine (sous forme d'urines et d'excréments) toutes ces nano particules toxiques comme le font aussi les plantes sous formes de feuilles mortes ou de branches mortes.

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  48. Le plan de la commission MAHA pour améliorer la santé des enfants aux États-Unis d'Amérique


    11 Juillet 2025
    Chuck Dinerstein, ACSH*


    La commission MAHA de la Maison Blanche a enfin dévoilé son analyse de la crise des maladies infantiles en Amérique. Le rapport est à la fois une révélation, une contradiction et une rhétorique ultra-transformée et hautement calorique – ironiquement, les additifs rhétoriques que la commission nous recommande de supprimer de notre alimentation.

    « La mission initiale de la Commission sera de conseiller et d'assister le Président sur la meilleure façon d'exercer son autorité pour faire face à la crise des maladies chroniques infantiles. »

    Décret 14212

    La première phase de cette directive a été publiée il y a plusieurs jours et a fait l'objet d'une couverture médiatique plus ou moins importante. Pour ceux qui souhaitent lire le rapport dans son intégralité, il est disponible ici. Pour le reste d'entre nous, la foule tl:dr [« Too Long; Didn’t Read » – trop long, pas lu], voici les réflexions d'un médecin-citoyen informé, espérant le meilleur mais avec un œil sceptique.

    Le rapport, qui doit fournir dix résultats, est mitigé. Ses principaux atouts résident dans l'identification des médicaments que prennent les enfants américains, dans les tendances à la hausse des effets secondaires et des coûts, et dans la manière dont l'argent fédéral consacré à l'alimentation est dépensé. Tout en faisant écho à leur mission en discutant de l'impact des aliments ultra-transformés, des produits chimiques environnementaux et de la surconsommation de médicaments, le calcul des causes est léger et les preuves, lorsqu'elles sont fournies, sont principalement anecdotiques. Il n'y a pas de critique systématique des meilleures pratiques ou de l'efficacité des programmes éducatifs. Dix pour cent du rapport, soit 7 pages, traitent de la mainmise des entreprises, ce qui soulève des questions importantes sur l'intégrité scientifique, mais s'arrête à la rhétorique ; les réformes pratiques restent hypothétiques. Bien que l'administration prétende être « la plus transparente de l'histoire », c'est au lecteur qu'il incombe d'enquêter sur les nombreuses citations contenues dans le rapport, une tâche que peu d'entre eux, voire aucun, n'entreprendront.

    Plusieurs incohérences dans l'étude devraient susciter des inquiétudes :

    « Le système alimentaire américain est sûr mais pourrait être plus sain », peut-on lire. Ensuite, la section décrit ce système comme fournissant des aliments qui « affectent négativement la santé globale » et sont impliqués dans pratiquement toutes les maladies chroniques répertoriées. Peut-être ai-je mal compris le terme « sûr », mais nos aliments peuvent-ils être à la fois sûrs et nocifs ?

    La logique oscille entre : « l'augmentation des prescriptions montre que l'épidémie s'aggrave », et : « l'augmentation des prescriptions montre qu'il y a sur-traitement d'une maladie qui n'en est pas une ». La même statistique peut-elle valider et invalider un problème, ou n'est-ce qu'un tour de passe-passe ?

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  49. En parlant de la mainmise des entreprises, les auteurs notent que « l'examen par les pairs, l'attribut de contrôle qui définit les revues médicales, est inefficace et partial », mais les preuves qu'ils citent ici et tout au long du rapport proviennent de ce même système d'examen par les pairs qui, selon eux, n'est pas fiable.

    La commission MAHA est composée de personnes nommées par le pouvoir politique, qui ont souvent des positions préexistantes bien connues et fortes sur les vaccins, la réglementation et la mainmise des entreprises. En effet, ces perspectives – le mandat initial de la Commission d'enquêter sur « l'évaluation de la menace que représente pour les enfants la sur-utilisation potentielle de médicaments, de certains ingrédients alimentaires, de certains produits chimiques et de certaines autres expositions » et de « restaurer l'intégrité de la science, notamment en éliminant l'influence indue de l'industrie » – sont omniprésentes dans la narration.

    Après avoir dénoncé les « résultats entachés » de l'industrie, les études des groupes de pression semblent être prises pour argent comptant, un péché de « bonnes » intentions que nous avons commis pendant de nombreuses années et que nous continuons à commettre. Alors que le rapport appelle à une prise en compte plus holistique de notre alimentation, il n'a d'autre choix que d'utiliser – comme preuves du rôle des aliments ultra-transformés (AUT) dans notre déclin – les données réductionnistes fournissant, au mieux, des associations plutôt que des causalités qu'ils tournent en dérision. Avec le départ de M. Kevin Hall, le seul chercheur des NIH à étudier les AUT de manière holistique, ainsi que les coupes proposées dans le budget de recherche des NIH et le délai nécessaire pour obtenir de vraies données sur l'alimentation et la santé, toute politique élaborée par la commission MAHA sera fondée sur des données qu'elle considère comme gravement erronées.

    Le rapport soulève des préoccupations importantes et il y a beaucoup à dire sur la compréhension des effets additifs des aliments et des vaccins. Toutefois, se concentrer uniquement sur les AUT ou les calendriers de vaccination est tout aussi myope et réducteur. Se concentrer sur les colorants alimentaires ou les émulsifiants, la limitation des choix alimentaires des bénéficiaires du programme SNAP (Supplemental Nutrition Assistance Program), revient simplement à réarranger les chaises longues sur le Titanic. Aucun mot n'a été dit sur les subventions gouvernementales accordées au sucre, même si, en toute justice, le rapport a mentionné la disparité dans la manière dont le gouvernement soutient le maïs et d'autres cultures en rangs par rapport à la production des fruits et légumes.

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  50. Je m'en voudrais de ne pas mentionner une dernière divergence entre les paroles et les actes. Dans une section décrivant la distorsion de la littérature scientifique, les auteurs soulignent à juste titre deux hypothèses injustifiées :

    « Que les articles de revues comprennent les résultats les plus pertinents sur les avantages et les inconvénients. Que la publication d'articles dans des revues réputées équivaut à une attestation et à une confirmation que les rapports sont des représentations fidèlement distillées des données originales de l'étude ».

    Il est donc tout à fait remarquable que les docteurs Makary et Prasad aient choisi le New England Journal of Medicine pour annoncer la nouvelle politique de la FDA concernant les vaccins contre la Covid. La commission MAHA, dont fait partie le Dr Makary, devrait peut-être faire part de ses préoccupations à un plus grand nombre de personnes.

    Malgré l'angoisse dont fait état la commission MAHA chez ceux qui pensent être victimes d'un coup de massue réglementaire, le rapport n'innove pas. Aucun nouveau problème n'est identifié ; ils sont regroupés en un seul paquet. Les faiblesses de l'analyse, l'amalgame entre association et causalité, la non-reconnaissance de l'imbrication des acteurs autant que des ingrédients et le scepticisme à l'égard de ceux qui sont marqués par la « lettre écarlate » d'aujourd'hui subsistent.

    Après avoir promis une « transparence radicale » et un renouveau de l'intégrité scientifique, les débuts de la Commission ressemblent davantage à une série de préoccupations bien connues qu'à un plan de changement. La liste complète des recommandations, qui ne sera pas présentée avant six mois, se heurtera à des intérêts bien établis : les avocats de l'industrie prêts à réfuter les accusations de mainmise par les entreprises, les groupes de pression qui protègent leurs discours, une administration qui entend réduire les budgets de recherche et un Congrès qui a déjà resserré les cordons de la bourse sur les programmes agricoles et alimentaires. À moins que la prochaine phase ne remplace la rhétorique par des données reproductibles et ne résolve ses contradictions internes, la commission MAHA ne parviendra pas à remplir la mission du décret exécutif, à savoir :

    « mettre fin aux pratiques fédérales qui exacerbent la crise sanitaire ou tentent en vain d'y remédier, et ajouter de nouvelles solutions puissantes qui mettront fin aux maladies chroniques de l'enfance ».

    https://seppi.over-blog.com/2025/07/le-plan-de-la-commission-maha-pour-ameliorer-la-sante-des-enfants-aux-etats-unis-d-amerique.html

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  51. La science vaudou frappe encore : le changement climatique réveille les volcans


    Par Jo Nova
    July 9th, 2025


    Pas de panique, mais les esprits fossiles déchaînés de la Ford 150 sont sur le point de nous infester de volcans.
    Si seulement vous achetiez vos oranges localement, au lieu de les faire venir de Californie par avion, la lave se serait comportée.

    Si jamais vous doutez que nous ne soyons qu'à trois gènes* de devenir des tribus de prophètes chasseurs de mammouths et de chamans pointant des os, ne cherchez pas plus loin que la science captive moderne. Ces sympathiques géochimistes n'ont même pas encore publié d'article, mais cinq minutes après leur intervention lors d'une conférence, ils font déjà les gros titres et la publicité pour The Blob. Non pas que les chercheurs captifs semblent s'en offusquer (et c'est bien dommage).

    Nous sommes sur le point d'entrer dans une spirale infernale où le changement climatique fait fondre les glaciers, ce qui déclenche les volcans, et donc la fonte d'autres glaciers. Le communiqué de presse parle même de « bombes à retardement explosives ».

    Sauf que, bien sûr, il s'agit en réalité de la fonte des grandes calottes glaciaires datant de la dernière période glaciaire, et non d'une augmentation des températures mondiales d'un millième de degré due à l'activité humaine. Or, nous le savons depuis 1992, lorsque Sivaldason et ses collègues ont rapporté qu'un bloc de glace d'un kilomètre d'épaisseur ralentissait les éruptions volcaniques en Islande, au plus profond de ce climat glacial. La nouvelle équipe vient de démontrer que cela s'est également produit au Chili.

    La fonte des glaciers réveille les volcans les plus dangereux de la Terre
    Association européenne de géochimie

    Des scientifiques ont découvert que la fonte des glaciers pourrait déclencher de puissantes éruptions volcaniques en libérant le poids qui retient le magma emprisonné profondément sous terre. L'Antarctique pourrait receler des centaines de ces bombes à retardement explosives. La fonte des glaciers pourrait silencieusement préparer le terrain à des éruptions volcaniques plus explosives et plus fréquentes à l'avenir, selon des recherches menées sur six volcans des Andes chiliennes.

    Le Guardian s'enflamme : « Une avalanche d'explosions »
    Après la fonte des calottes glaciaires de Patagonie il y a 12 000 ans, la prolifération des volcans aurait été multipliée par deux à six… comme si une augmentation de 0,01 % du gaz carbonique atmosphérique équivalait à la fonte d'un bloc de glace de 1,5 à 2 km d'épaisseur et pesant 540 000 milliards de tonnes.

    La fonte des glaciers et des calottes glaciaires pourrait déclencher une vague d'éruptions volcaniques, selon une étude.
    La fonte des glaciers et des calottes glaciaires due à la crise climatique pourrait déclencher une avalanche d'éruptions volcaniques explosives, selon une étude.

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  52. Des recherches antérieures ont montré que l'activité volcanique a été multipliée par deux à six à l'échelle mondiale après la dernière période glaciaire…

    Une étude récente menée par des scientifiques a révélé que relativement peu d'études avaient été menées sur l'impact de la crise climatique sur l'activité volcanique. Ils ont déclaré que des recherches supplémentaires étaient « essentielles » afin de mieux se préparer aux dommages causés par les éruptions volcaniques aux populations et à leurs moyens de subsistance, ainsi qu'aux possibles boucles de rétroaction climat-volcan qui pourraient amplifier la crise climatique. Par exemple, des précipitations plus extrêmes devraient également augmenter les éruptions explosives violentes.

    Faut-il lancer des fléchettes sur des poupées vaudou ?
    Les sorciers de la science moderne sont des penseurs à variable unique, et chaque réponse est « changement climatique ».

    Nous ne savons même pas combien il y a de volcans sur Terre. La plupart sont sous-marins et, il y a quelques années, nous en avons découvert 19 000 supplémentaires dont les experts ignoraient l'existence. Parfois, nous ne découvrons de nouveaux monts sous-marins que lorsque nous les croisons à bord d'un sous-marin nucléaire, comme ce fut le cas de l'USS San Francisco en 2005.

    Nous ignorons également quand les volcans sous-marins entrent en éruption aujourd'hui, et encore moins s'ils étaient plus ou moins actifs en 21 000 av. J.-C. C'est difficile à croire, mais on peut voir un volcan exploser sur Io, plus facilement que dans une fosse sous-marine profonde. Les éruptions sous deux kilomètres de profondeur peuvent être quelque peu atténuées.

    Les boucles de rétroaction apocalyptiques suggérées ici ne sont que des suppositions indirectes. Qui sait ? Lorsque les grandes calottes glaciaires ont écrasé les volcans terrestres, le magma a peut-être simplement été expulsé des fosses sous-marines. Et les éruptions sous-marines bouleversent toutes les règles. Un réchauffement soudain de l'eau pourrait détourner les courants océaniques et libérer des nutriments qui alimentent de vastes proliférations de phytoplancton, lesquelles, à leur tour, émettent des aérosols de benzène et de toluène qui s'élèvent et augmentent la couverture nuageuse, refroidissant ainsi la planète.

    *Sans vouloir manquer de respect. Il n’y avait probablement pas beaucoup de chasseurs de mammouths stupides dans la toundra du nord à l’époque glaciaire.

    https://joannenova.com.au/2025/07/voodoo-science-strikes-again-climate-change-is-awakening-volcanoes/

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    1. Notre magma est une 'cocotte-minute'. La masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds fait ce qu'elle veut quand elle veut. Elle explose. Il faut que çà sorte par quelque part ! 99,99 % des explosions dues à la combustion interne s'évacuent par les planchers maritimes et océaniques. Rares sont les sorties terrestres (Stromboii, Etna, etc) et, plus rares encore sous les calottes glaciaires.
      Mais parfois çà arrive. Et alors ?
      Si les glaces aux pôles venaient à fondre le niveaux de la mer serait obligé de baisser. Oui mais... de 1 mm ou même moins ! HOULALLA !

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  53. « Désemparés et privilégiés » : les diplômés universitaires sont mal vus par les recruteurs, selon une enquête


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 9 JUILLET 2025 - 13H20
    Rédigé par Seth Rosevear via The College Fix,


    Une enquête récente d'Intelligent révèle qu'« un recruteur sur quatre déclare que les jeunes diplômés ne sont pas préparés au marché du travail » et qu'« un recruteur sur huit envisage de ne pas les recruter en 2025 ».

    Selon l'enquête, les principales raisons sont le manque de préparation, une éthique de travail moyenne et un sentiment d'appartenance chez les diplômés.

    « 24 % des recruteurs estiment que les jeunes diplômés ne sont pas préparés au marché du travail, tandis que 33 % évoquent un manque d'éthique de travail et 29 % les considèrent comme des personnes privilégiées », révèle l'enquête.

    « De plus, 27 % estiment que les jeunes diplômés se sentent facilement offensés et 25 % affirment qu'ils ne réagissent pas bien aux commentaires. »

    Les résultats de l'enquête semblent refléter une tendance observée dans les manchettes récentes. Une recherche sur le marché de l'emploi des diplômés de l'enseignement supérieur en 2025, menée par The College Fix, a donné les titres suivants :

    « Les diplômés de la promotion 2025 font face à un marché de l'emploi incertain »

    « Le marché de l'emploi devient plus difficile pour les diplômés de l'enseignement supérieur »

    « Les nouveaux diplômés peinent à trouver un emploi »

    « Pas d'embauche, pas de licenciement : le pire marché pour les diplômés depuis des années »

    Jake Gomez, responsable de la stratégie verticale chez ManpowerGroup, a déclaré à The College Fix que les jeunes diplômés sont confrontés à une certaine incertitude et à des difficultés.

    Les principaux obstacles auxquels sont confrontés les diplômés de la promotion 2025 sont l'incertitude liée à l'embauche, liée à la guerre des tarifs, à l'intelligence artificielle, à l'automatisation qui envahit les postes de débutants, et à « des diplômes qui n'ont pas suivi l'évolution du marché », a-t-il déclaré lors d'un entretien par courriel.

    « Cela crée une inadéquation, aggravée par l'augmentation du nombre d'anciens diplômés de l'enseignement supérieur toujours à la recherche d'un emploi », a-t-il ajouté.

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  54. Gomez a également souligné que les jeunes diplômés ne peuvent pas s'attendre à être immédiatement embauchés. Il a souligné qu'ils devaient être prêts à chercher « en moyenne 4 à 6 mois pour trouver un emploi », et a souligné que certains diplômes devraient prévoir une période de recherche plus longue.

    Cela ne devrait pas décourager les diplômés, a-t-il ajouté : « Le marché du travail évolue, il ne se ferme pas, et les demandeurs d'emploi doivent s'adapter en conséquence.»

    Il a suggéré aux diplômés de mettre en avant leurs « compétences et leur talent, et pas seulement leur moyenne générale » afin de « partager leurs actions pour s'améliorer continuellement ».

    Il a également recommandé aux diplômés d'obtenir des certifications, notamment en IA, car « même des connaissances de base dans ce domaine sont attractives pour les employeurs ». Les jeunes diplômés devraient également adapter leurs réponses à chaque candidature, a-t-il ajouté. La structure générale peut être la même, mais les détails de la lettre de motivation et du CV doivent varier selon l'offre d'emploi.

    Gomez a également mis en avant une présence forte et active sur LinkedIn et des entretiens d'information avec des professionnels du domaine souhaité.

    « Réseautez comme si c'était votre travail, car tant que vous n'en avez pas trouvé un, c'est le cas », a déclaré Gomez à The Fix.

    Même si vous ne trouvez pas immédiatement un emploi à temps plein, Gomez a conseillé de « travailler en freelance, à temps partiel ou sur des projets » afin de « développer l'expérience souhaitée et de faire preuve d'initiative ».

    Même si l'IA a supprimé certains postes de débutants, les diplômés peuvent l'utiliser pour améliorer leur recherche d'emploi. Gomez a présenté quelques exemples d'aide à la rédaction de lettres de motivation et de CV, ainsi que des questions d'entretien à s'entraîner avec de vraies personnes.

    Cependant, Gomez a averti qu'il faut être prudent avec l'IA, car elle « peut donner une impression de manque d'authenticité aux candidatures » et « devenir une béquille et freiner le développement de compétences essentielles ».

    L'utilisation de l'IA devrait également inclure une révision rigoureuse afin de « s'assurer qu'elle reflète votre voix » et de « rester fidèle à vous-même, en valorisant vos forces, vos valeurs et vos centres d'intérêt », a-t-il ajouté.

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  55. En fin de compte, Gomez a déclaré : « Maîtrisez ce que vous pouvez contrôler : vos efforts et votre attitude. N'abandonnez pas, demandez de l'aide et soyez bienveillant envers vous-même et les autres. Vous réussirez. »

    The College Fix a contacté six universités pour savoir si leurs services d'orientation professionnelle prévoyaient des changements pour favoriser la réussite des étudiants.

    L'Université d'État de Pennsylvanie a été la seule à répondre, et Bob Orndorff, directeur principal des services d'orientation professionnelle, nous a indiqué qu'elle « subissait d'importantes coupes budgétaires ».

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/unprepared-and-entitled-college-grads-unpopular-hiring-managers-survey-finds

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  56. Allemagne : Un rapport gouvernemental révèle des taux de criminalité astronomiques chez les jeunes étrangers par rapport aux jeunes Allemands

    Les jeunes Algériens en Allemagne commettent 56 fois plus de crimes que les jeunes Allemands
    Police, Allemagne


    8 juillet 2025, 14h13
    Via Remix news,


    De nouvelles statistiques du gouvernement fédéral allemand indiquent que les jeunes étrangers sont surreprésentés parmi les suspects dans de nombreux délits, avec des différences particulièrement significatives pour la délinquance de rue et le vol à l’étalage.

    Le taux de criminalité des jeunes étrangers (TVBZ) a été établi par la Police criminelle fédérale (BKA) et publié dans les Statistiques policières de la criminalité (PKS) à partir de cette année. Ce ratio indique le nombre total de suspects identifiés âgés de plus de huit ans, calculé pour 100 000 habitants par groupe de population. Il couvre tous les délits, à l’exception des infractions à la législation sur l’immigration, et les données révèlent une tendance inquiétante.

    Pour les suspects allemands, toutes tranches d’âge confondues, le TVBZ s’élève à 1 878.

    En revanche, les suspects syriens ont un taux de TVBZ de 8 236, et les suspects afghans de 8 753, soit plus de quatre fois plus.

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  57. Cependant, lorsque les données sont comparées chez les jeunes, la disparité est encore plus prononcée. Les Syriens âgés de 14 à 18 ans ont cinq fois plus de risques de commettre un crime que les Allemands de la même tranche d'âge.

    Cependant, en ce qui concerne d'autres groupes de jeunes d'Afrique du Nord, la différence est encore plus astronomique. Les jeunes Algériens présentent un taux de TVBZ 56 fois supérieur à celui des Allemands.

    Pour les Marocains, il est 19 fois supérieur.

    Des différences sont également notables selon les catégories d'infractions. En matière de criminalité de rue, qui comprend des infractions telles que les coups et blessures, les vols, le harcèlement sexuel et les vols à la tire, la TVBZ pour les suspects allemands est de 168. Pour les Syriens, ce chiffre grimpe à 1 291 et pour les Afghans à 1 218, soit près de huit fois plus.

    Ces données ont été publiées à la suite d'une enquête parlementaire menée par Martin Hess, porte-parole de l'AfD pour la politique intérieure. Ce dernier a critiqué ces conclusions : « C'est le résultat prévisible d'une politique migratoire qui a échoué pendant des décennies et qui a perdu tout contrôle depuis 2015 au plus tard.»

    Hess avait précédemment demandé des données détaillées sur les taux de criminalité parmi les étrangers, ventilées par nationalité et par tranche d'âge, lors d'une petite enquête en juin.

    Ces données doivent également être considérées sous un autre angle. Nombre de ces suspects de nationalité allemande sont d'origine étrangère ; cependant, il est souvent impossible de savoir combien d'entre eux sont d'origine étrangère, car l'Allemagne ne consigne pas ces informations.

    Il existe des solutions. Comme l'ont montré les données de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, l'analyse des prénoms des suspects de viols collectifs révèle qu'au moins la moitié des citoyens allemands portaient clairement des noms d'origine étrangère, comme Mohammad.

    Lors des émeutes du Nouvel An à Berlin, une liste de suspects a fuité dans la presse, révélant qu'un grand nombre de suspects « allemands » portaient en réalité des noms étrangers.

    Un procureur de haut rang de Berlin a indiqué que jusqu'à trois membres de clan sur quatre possèdent la nationalité allemande.

    Chaque fois qu'un de ces suspects commet un crime, il est enregistré comme suspect allemand. Si l'Allemagne conservait des données sur le taux de criminalité des citoyens allemands d'origine étrangère, comme le fait le Danemark, elle révélerait probablement un taux de criminalité incroyablement élevé au sein de ce groupe de citoyens allemands. Cette politique a été promue par l'AfD, notamment pour aider à mesurer les taux d'intégration des étrangers, même après plusieurs générations de résidence en Allemagne.

    Les nouvelles données de TVBZ vont également faire éclater un mythe de gauche : les étrangers commettent des taux de violence aussi élevés parce qu'ils sont majoritairement des hommes jeunes. Cependant, comme le montrent les données, les suspects allemands, comparés aux suspects étrangers du même groupe d'âge, affichent souvent des taux de criminalité nettement inférieurs. L'Allemagne dispose également d'un État-providence extrêmement solide, ce qui signifie que ces jeunes étrangers ont accès à la nourriture, au logement et aux biens de consommation.

    Ces données font suite à des données sur la criminalité montrant que les hommes allemands présentent en réalité des taux de violence inférieurs à ceux des femmes de différents groupes étrangers.

    https://rmx.news/article/germany-government-report-reveals-astronomical-crime-rates-for-young-foreigners-compared-to-german-youth/

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  58. EDF modifie son organigramme pour aider "la relance du nucléaire"


    France-Soir avec AFP
    le 09 juillet 2025 - 09:15


    Le groupe EDF a annoncé mardi des changements pour certains de ses postes clés, avec l'espoir "d'accélérer les prises de décision" liées à "la relance du nucléaire et de l'hydroélectricité."

    Devrait notamment être mise en place une "organisation regroupant la sûreté nucléaire, la sûreté hydraulique, la sécurité et la santé", a indiqué EDF dans un communiqué.

    Le groupe a également intégré à son comité exécutif le directeur des programmes nucléaires, Xavier Gruz, qui aura un rôle en lien avec la "maîtrise d'ouvrage du nouveau nucléaire", la directrice d'EDF Hydro Emmanuelle Verger et d'autres directeurs et directrices liés au nucléaire.

    Pour le PDG d'EDF Bernard Fontana, cité dans le communiqué, "cette évolution (...) au service de la relance du nucléaire et de l'hydroélectricité" va notamment permettre de "clarifier les responsabilités" et "d'accélérer les prises de décision".

    Cette annonce intervient quelques semaines après la signature par le gouvernement français du contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028, qui a acté le programme EPR2 de construction de six nouveaux réacteurs de grande puissance, annoncé par Emmanuel Macron en 2022. La mise en service du premier de ces réacteurs, initialement prévu en 2035, a déjà été repoussée, en mars, à 2038.

    La relance du nucléaire, qui devra être inscrite dans la prochaine Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), consacre la rupture avec la précédente adoptée en 2020, qui actait notamment la fermeture de 14 réacteurs, dont les deux de Fessenheim.

    Elle intervient dans un contexte de débat tendu autour du futur énergétique de la France, avec une opposition frontale des partisans du tout nucléaire aux énergies solaire et éolienne au motif qu'elles coûteraient trop cher à la collectivité.

    Un retournement de situation à peine croyable qui marque peut-être la fin d'une grande hypocrisie quant à l'éolien et au solaire, à leur rentabilité, et à leur fiabilité.

    https://www.francesoir.fr/societe-economie/edf-modifie-son-organigramme-pour-aider-la-relance-du-nucleaire

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Eugénisme 2.0

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