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07/09/2025
S.D. Wells
Les vaccins ne sont plus sûrs pour l'homme. Ils l'ont peut-être été à un moment donné, mais aujourd'hui, les neurotoxines et les prions Spike sont tout simplement trop puissants pour le système nerveux central, et les personnes subissent les conséquences désastreuses des injections mortelles, notamment les injections anti-caillots de Pfizer, et notamment du vaccin contre le VRS.
L'Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a émis une alerte après que de rares complications neurologiques ont été liées à deux vaccins contre le virus respiratoire syncytial (VRS) : Abrysvo, développé par Pfizer, et Arexvy, développé par GSK. Bien que les vaccins restent approuvés et largement recommandés, les professionnels de santé sont désormais tenus d'avertir les patients du risque faible mais sérieux de développer le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une affection neurologique rare nécessitant une hospitalisation urgente.
L'autorité sanitaire britannique (MHRA) a émis un avertissement concernant deux vaccins contre le VRS : Abrysvo de Pfizer et Arexvy de GSK, après que 21 cas de syndrome de Guillain-Barré (SGB), une affection neurologique rare mais grave, ont été signalés chez des personnes âgées ayant reçu Abrysvo.
Le personnel soignant est désormais tenu d'informer directement les patients du risque potentiel de SGB, bien que les vaccins restent recommandés en raison du risque élevé que représente le VRS, en particulier chez les personnes âgées et les femmes enceintes.
Le syndrome de Guillain-Barré affecte le système nerveux, provoquant des symptômes tels que des picotements, une faiblesse musculaire et, dans les cas graves, des difficultés à respirer ou à avaler ; si la plupart des personnes guérissent, certaines peuvent souffrir de lésions nerveuses durables. Sur près de 2 millions de doses d'Abrysvo administrées, seuls 21 cas de SGB ont été signalés, dont aucun avec Arexvy jusqu'à présent au Royaume-Uni. Les experts soulignent que ce lien n'est pas prouvé et que ces réactions rares peuvent survenir de manière fortuite ou suite à un dysfonctionnement du système immunitaire.
L'autorité de régulation sanitaire émet un avertissement : le vaccin administré à des millions de personnes est lié à une maladie invalidante.
Cet avertissement fait suite à 21 signalements de suspicion de SGB chez des patients de plus de 60 ans ayant reçu Abrysvo. Tous les cas signalés concernaient des personnes âgées de 75 à 79 ans. L'alerte souligne que ces incidents sont survenus sur près de 2 millions de doses administrées au Royaume-Uni, ce qui indique que la réaction reste très rare, estimée à environ 1 sur 1 000. À ce jour, aucun cas de SGB n'a été signalé avec Arexvy, bien que son utilisation soit beaucoup plus limitée au Royaume-Uni.
Le syndrome de Guillain-Barré est une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque par erreur les cellules nerveuses. Elle débute généralement par des picotements et une faiblesse des membres, et peut évoluer vers des troubles respiratoires, de la déglutition et même de la fonction cardiaque. Si la plupart des personnes guérissent en un an, certaines souffrent de lésions nerveuses permanentes.
L'alerte de la MHRA exige que le personnel du NHS avertisse directement les patients, en particulier les personnes âgées et les femmes enceintes, à qui l'un ou l'autre vaccin est proposé. Auparavant, ces risques n'étaient détaillés que dans les notices d'information destinées aux patients. La MHRA a également recommandé à toute personne présentant des symptômes de SGB après la vaccination, tels qu'engourdissements, faiblesse musculaire ou difficultés à se déplacer ou à respirer, de consulter immédiatement un médecin.
Malgré ce nouvel avertissement, la MHRA, à l'instar de son homologue américaine, la FDA, maintient que les avantages de la vaccination contre le VRS l'emportent sur les risques. Le VRS est un virus hautement contagieux qui se propage par gouttelettes, contact étroit ou surfaces contaminées. Il provoque de graves maladies respiratoires, en particulier chez les nourrissons et les personnes âgées, entraînant environ 8 000 décès d'adultes et 100 décès de nourrissons chaque année au Royaume-Uni, ainsi que de nombreuses hospitalisations.
Les vaccins contre le VRS sont un ajout récent aux outils de santé publique au Royaume-Uni, approuvés seulement l'année dernière. Abrysvo est administré par le NHS, tandis qu'Arexvy est disponible dans le secteur privé. Le vaccin contre le VRS est proposé aux femmes enceintes pour transmettre l'immunité à leur enfant à naître. Des études montrent une réduction de 70 % du risque d'infection grave chez les nouveau-nés. Les données actuelles du NHS indiquent que 62 % des personnes âgées éligibles et 50 % des femmes enceintes en Angleterre ont reçu le vaccin.
Le dispositif de carte jaune, utilisé pour surveiller les effets indésirables des médicaments au Royaume-Uni, a signalé les cas potentiels de SGB. Si ce système permet d'identifier d'éventuels problèmes de sécurité, il ne prouve pas la causalité. De nombreux cas de SGB peuvent être fortuits ou déclenchés par des infections plutôt que par le vaccin lui-même.
Néanmoins, cette alerte souligne l'importance de la surveillance, de la transparence et du consentement éclairé à mesure que de nouveaux vaccins continuent d'être déployés, en particulier pour les populations vulnérables. Ajoutez Plague.info à vos favoris sur vos sites web indépendants préférés pour obtenir des informations actualisées sur les vaccins mortels et les deux cents nouveaux virus à gain de fonction que les NIH, les CDC et l'OMS prévoient de disséminer dans la nature, tout en accusant les mangeurs de soupe de chauve-souris infectés du marché de Wuhan.
Sources for this article include:
Pandemic.news
GatewayPundit.com
NaturalNews.com
DailyMail.co.uk
https://www.naturalnews.com/2025-07-09-neurological-warning-must-accompany-new-rsv-toxic-jab.html
Plus de 700 études revues par les pairs : la bibliothèque des risques des vaccins à ARNm contre la COVID-19 est en ligne
RépondreSupprimerLe Collectif Citoyen, France-Soir
jeu., 03 juil. 2025 18:45 UTC
Le 1 juillet 2025 une librairie d'études scientifiques revues par les pairs intitulée « effets néfastes du vaccin à ARNm contre la COVID-19 », compilée par une équipe d'experts incluant le Dr Martin Wucher, le Dr Byram Bridle, le Dr Steven Hatfill, Erik Sass, et d'autres chercheurs a été publiée.
Plus de 700 études revues par les pairs : la bibliothèque des risques des vaccins à ARNm contre la COVID-19
Cette compilation, accessible via Zenodo (DOI: 10.5281/zenodo.15787612), regroupe plus de 700 études évaluées par des pairs, suggérant des dangers biologiques fondamentaux liés à la technologie des vaccins à ARNm.
Cet article explore le contenu de ce post et de la librairie, en mettant en lumière les implications potentielles pour la santé publique.
Zenodo COVID-19 mRNA
Exploration de la Librairie sur Zenodo
La librairie, mise à jour le 1er juillet 2025 (version 2), est une ressource exhaustive hébergée sur Zenodo que les autorités scientifiques et sanitaires peuvent donc consulter. Voici un aperçu des sections clés :
Pathogénicité de la protéine spike (375 études) : cette section compile des preuves que la protéine spike, initialement conçue comme un antigène de surface du SARS-CoV-2, devient pathogène lorsqu'elle est produite en grande quantité par les vaccins. Les dommages incluent des atteintes cardiovasculaires (comme la myocardite) et neurologiques, un point illustré par les images de cœurs et de cerveaux dans le post.
Biodistribution (61 études) : ces recherches montrent que l'ARNm et la protéine spike ne restent pas localisés au site d'injection, mais se propagent dans des organes comme le cœur, le foie et les ovaires, soulevant des questions sur la sécurité à long terme.
Persistance de l'ARNm et de la protéine spike (41 études) : des études animales et humaines confirment que l'ARNm et la protéine spike persistent bien au-delà des quelques jours initialement estimés, parfois plus d'un an, comme suggéré par les articles ouverts dans l'image.
Toxicité des nanoparticules lipidiques (LNP) (80 études) : Les LNP, essentielles pour encapsuler l'ARNm, sont associées à des réactions inflammatoires et allergiques, notamment via le PEG, un allergène connu.
Imprinting immunitaire (140 études) : ce phénomène, connu sous le nom de "péché antigénique original", indique que les vaccins pourraient limiter l'adaptabilité du système immunitaire face à de nouveaux variants.
Variants viraux ou émergence de variants (70 études) : les données suggèrent que les vaccins ont pu accélérer l'évolution de variants échappant à l'immunité induite.
RépondreSupprimerImplications et Réactions
Le post de Nicolas Hulscher, accompagné d'une image frappante d'un livre intitulé COVID-19 mRNA Vaccine Harms, détaille ces six catégories avec des commentaires percutants : « Ces études indiquent que la protéine spike cause des dommages vasculaires, neurologiques, cardiaques et immunologiques », « les ingrédients des vaccins se dispersent dans tout le corps, s'accumulant dans des organes vitaux », et « ces éléments persistent dans l'organisme pendant des années, contrairement aux affirmations initiales ».
Cette publication a suscité un éventail de réactions sur X, allant de demandes urgentes de retrait des vaccins à des appels pour intégrer ces données dans des systèmes d'IA comme Grok 3, ou ChatGPT, souvent critiqués pour leur alignement sur un « consensus scientifique » établi. Certains utilisateurs expriment une frustration face à l'absence de responsabilité, tandis que d'autres insistent sur l'urgente nécessité de réévaluer les politiques de santé publique.
Bien que la librairie n'établisse pas une causalité définitive, elle répond aux critères d'observation prolongée et de transparence, remettant en question les protections légales actuelles contre la responsabilité.
Perspective Critique
Cette compilation représente un effort remarquable pour centraliser des données critiques, répondant directement aux objections des autorités sanitaires qui invoquaient souvent un manque d'études de référence, préférant s'appuyer sur les données des fabricants. Les thérapies géniques à ARNm, développées rapidement sous des autorisations d'utilisation d'urgence (EUA), ont fait l'objet d'études post-autorisation, mais les décisions initiales ont parfois ignoré les principes de prudence habituels.
Par exemple, la vaccination des femmes enceintes a été recommandée malgré un manque initial de données, imposant des contraintes significatives à ce groupe vulnérable lors de visites médicales. Des études récentes (Manniche et al., Guetzkov et al) suggèrent une toxicité et un impact sur le fœtus, renforçant les inquiétudes.
Cependant, cette librairie met en lumière des lacunes dans les premières évaluations de sécurité, ce qui en soit pose un réel problème dans la prise de décision des autorités sanitaires. Certains appellent d'ores et déjà à une validation indépendante et une analyse contextuelle par des organismes de santé comme l'OMS ou la FDA, alors que ces mêmes entités, ayant approuvé ces vaccins en urgence et parfois en contournant des règles élémentaires de précaution, pourraient se trouver en conflit d'intérêts pour réévaluer ces données ex post ! Un point sur lesquels les chercheurs indépendants seront sans nul doute particulièrement attentifs laissant la question en suspens :
RépondreSupprimer« Comment des organismes ayant approuvé ces produits en urgence, parfois en enfreignant certaines règles élémentaires de précaution vont-ils pouvoir prendre en cause des études ex post qui viendraient contredire certaines de leurs décisions ou recommandations ? »
La boucle est-elle sur le point de se refermer avec les enjeux de la perte de chance
Cette publication marque un tournant dans le débat sur la sécurité des vaccins à ARNm. Avec plus de 700 études peer-reviewed, cette librairie offre une ressource précieuse pour les chercheurs, les décideurs et le public. Elle appelle à un dialogue immédiat et équilibré, afin d'intégrer ces nouvelles données aux preuves d'efficacité contre les formes graves de COVID-19 et ainsi avoir une balance bénéfice risque réelle et indépendante. Si la toxicité venait à dépasser les bénéfices, une suspension des autorisations pourrait être envisagée. Mais comment en est-on arrivé là ?
La boucle pourrait bien se boucler en revenant à la question des traitements précoces, délibérément écartés ou discrédités lors de la pandémie. Comme le souligne un article de France-Soir d'aout 2020, (Guerre du vaccin : États-Unis, Russie, Chine, UE - Il faut éliminer le soldat hydroxychloroquine), l'élimination systématique des thérapies précoces (comme l'hydroxychloroquine ou l'ivermectine) par les autorités et l'industrie pharmaceutique aurait servi à imposer les vaccins comme seule solution viable, maximisant les profits et consolidant un contrôle narratif. Cette stratégie aurait pu être motivée par des intérêts économiques et géopolitiques, où la rapidité de développement des vaccins à ARNm a primé sur une évaluation rigoureuse des alternatives.
Le professeur Christian Perronne déclare : « Cette marginalisation a entraîné une perte de chance significative pour les patients. Des milliers d'individus, privés d'options thérapeutiques précoces potentiellement efficaces, ont vu leur état se dégrader, augmentant les hospitalisations et les décès. Si les données de la librairie confirment des risques majeurs, cette perte de chance pourrait être considérée comme une tragédie évitable, exacerbée par une focalisation unilatérale sur les vaccins.
Les autorités sanitaires ont le devoir de prendre en considération cette compilations d'études. Ne pas le faire serait accentuer plus encore la perte de chance éventuelle des patients. »
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/44376-Plus-de-700-etudes-revues-par-les-pairs-la-bibliotheque-des-risques-des-vaccins-a-ARNm-contre-la-COVID-19-est-en-ligne
Un chirurgien de l'Utah risque une peine de prison pour avoir prétendument saboté des vaccins contre la COVID-19 et délivré de fausses cartes de vaccination
RépondreSupprimer07/09/2025
Ramon Tomey
Le Dr Michael Kirk Moore Jr., chirurgien plasticien de l'Utah, risque jusqu'à 35 ans de prison pour avoir prétendument détruit des vaccins contre la COVID-19, distribué près de 2 000 fausses cartes de vaccination et administré des injections de solution saline à des enfants afin de contourner les exigences vaccinales.
L'affaire a suscité la controverse : les procureurs ont présenté les actions de Moore comme une menace pour la santé publique, tandis que ses partisans ont soutenu qu'il s'agissait d'une prise de position de principe en faveur de la liberté médicale et du libre choix des patients.
Des personnalités comme Robert F. Kennedy Jr. et des médecins comme Mary Talley Bowden ont félicité Moore, le qualifiant de courageux pour avoir proposé des alternatives dans un contexte de pandémie stricte.
Le juge a interdit toute discussion sur la sécurité ou les politiques des vaccins contre la COVID-19 au tribunal, une décision qui, selon ses détracteurs, empêche Moore de justifier pleinement ses motivations. Le manque de transparence du procès (absence de diffusion en direct) a accentué les tensions. Les associations de défense des droits humains considèrent cette affaire comme un tournant pour la liberté médicale, la comparant aux précédentes répressions contre la dissidence (par exemple, celle du Dr Andrew Wakefield). Certaines prévoient des manifestations, présentant le procès comme un test entre les droits individuels et les excès de pouvoir du gouvernement.
Un chirurgien plasticien de l'Utah risque plus de trente ans de prison pour avoir prétendument saboté des injections contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et délivré de fausses cartes de vaccination.
Le Dr Michael Kirk Moore Jr., 58 ans, a comparu devant le tribunal fédéral Orrin G. Hatch de Salt Lake City le lundi 7 juillet. Son procès faisait suite à une mise en examen du ministère de la Justice (DOJ) de 2023. S'il est reconnu coupable, Moore risque jusqu'à 35 ans de prison.
L'acte d'accusation l'accuse, ainsi que ses coaccusés, d'avoir conspiré en vue de frauder le gouvernement américain en détruisant des flacons de vaccins d'une valeur de 28 028,50 dollars et en distribuant 1 937 fausses cartes de vaccination des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Les accusés sont également accusés d'avoir administré des injections de solution saline à des enfants dont les parents cherchaient à éviter les risques liés aux véritables vaccins contre la COVID-19.
RépondreSupprimerCette affaire a relancé les débats sur l'autonomie médicale, les excès de pouvoir du gouvernement et l'éthique des obligations en période de pandémie. Les procureurs allèguent que le stratagème a exploité les populations vulnérables, mais les partisans de Moore soutiennent que ses actions étaient fondées sur des principes.
Les défenseurs de la liberté médicale, dont le secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr., ont publiquement salué le chirurgien de l'Utah. En avril dernier, le chef du Département de la Santé et des Services sociaux a déclaré sur X que les actions de Moore « méritaient une médaille pour son courage et son engagement en faveur de la guérison ».
Le Dr Mary Talley Bowden a félicité Moore pour avoir offert aux patients « un choix là où d'autres ne le voulaient pas », soulignant qu'il en avait payé le prix fort. De son côté, le Dr Margaret Aranda a également salué le chirurgien plasticien pour avoir offert aux Américains exerçant leur droit à la liberté de santé « la possibilité de défendre leurs convictions personnelles profondes tout en préservant leur avenir ».
L'affaire Moore met à l'épreuve la liberté médicale
Par ailleurs, les procureurs ont soutenu que les actions de Moore mettaient en danger la santé publique et violaient les lois fédérales sur la propriété. L'équipe de poursuite est dirigée par le procureur par intérim du district de l'Utah, Felice John Viti, qui a enquêté sur des terroristes tout au long de son mandat au ministère de la Justice. (À lire également : L'administration Biden a qualifié de « terroristes » les opposants au port du masque et aux vaccins, révèlent de nouveaux documents.)
Il est important de noter que le juge a interdit toute discussion sur la sécurité des vaccins ou les politiques liées à la COVID-19 au tribunal, estimant que de tels sujets pourraient biaiser le jury. Cette restriction a suscité l'indignation des défenseurs de Moore, qui affirment qu'elle empêche un examen complet de ses motivations. De plus, l'opacité du procès – aucune retransmission en direct ni transcription en temps opportun ne seront disponibles – a exacerbé les tensions.
RépondreSupprimerLes échos historiques sont importants. Les poursuites contre Moore reflètent les répressions passées contre la dissidence médicale, de la persécution du Dr Andrew Wakefield pour ses recherches controversées sur un vaccin contre l'autisme à la marginalisation des premiers défenseurs des traitements contre la COVID-19.
Des groupes de défense, dont les producteurs du film controversé « Died Suddenly », prévoient de se rassembler devant le palais de justice, présentant cette affaire comme un indicateur de la liberté médicale. Certains membres de l'équipe du film envisagent également d'assister au procès en personne en tant que sténographes judiciaires.
Alors que la sélection du jury commence, une question demeure : Moore était-il un renégat protégeant des patients d'une intervention médicale non prouvée, ou un criminel portant atteinte à la santé publique ?
Consultez MedicalTyranny.com pour d'autres histoires similaires.
Regardez cette vidéo du chirurgien Dr Francis Christian, suspendu pour avoir exprimé ses inquiétudes concernant le vaccin contre la COVID-19 destiné aux enfants.
This video is from the crosseyedone channel on Brighteon.com.
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Sources include:
InfoWars.com
DailyMail.co.uk
ABC4.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-07-09-surgeon-faces-jail-time-sabotaging-covid-vaccines.html
Toutes nos félicitations vont au chirurgien qui a empêché des centaines de personnes de perdre la vie grâce aux non-piqûres ou aux piqûres de sérum phy !
SupprimerQuand l'APOCALYPSE surviendra, vos voisins se comporteront-ils comme des fous furieux de Sa Majesté des Mouches et deviendront-ils vos pires ennemis ?
RépondreSupprimer07/09/2025
S.D. Wells
Nous pensons souvent que nos voisins sont des alliés sûrs par nature, simplement parce que nous vivons près d'eux. Nous leur saluons de la main, échangeons des outils et tissons des liens autour de nos routines communes. Cette familiarité engendre un faux sentiment de confiance, fondé non pas sur une véritable loyauté, mais sur la stabilité des systèmes en place. Lorsque ces systèmes s'effondrent – sans électricité, sans eau, sans intervention d'urgence –, le masque de la civilité tombe et nos voisins peuvent rapidement passer d'une attitude amicale à une attitude menaçante. Voici comment cela se passera en chiffres :
Lorsque les systèmes échouent, la confiance aussi : L’effondrement des infrastructures publiques – électricité, eau, communications – brise rapidement l’illusion de la loyauté entre voisins. Les relations informelles fondées sur la civilité routinière se dissolvent, révélant comment la proximité peut se transformer en menace lorsque les ressources s’épuisent et que l’instinct de survie prend le dessus.
La préparation peut faire de vous une cible : En situation de crise, être bien approvisionné ou autonome n’est pas perçu comme sage, mais plutôt comme de l’égoïsme ou de l’accumulation. Des voisins qui partageaient autrefois des bières peuvent justifier leur vol en se sentant en droit de s’approprier vos provisions, surtout lorsqu’ils savent ce que vous avez.
La trahison commence discrètement : Passer d’ami à ennemi n’est pas instantané ; cela commence par des questions étranges, des regards persistants et des questions subtiles. La familiarité devient dangereuse, car vos proches connaissent vos habitudes, vos faiblesses et où vous cachez vos ressources. La sécurité opérationnelle, c'est la survie : Faire connaître votre état de préparation, en ligne ou en personne, peut vous transformer en un aimant à désespoir. Une véritable préparation implique une discipline émotionnelle, une préparation psychologique et la sagesse de rester discret, sélectif et indéchiffrable au moment le plus important.
Quand les voisins se transforment en ennemis, mieux vaut être préparé au maximum.
Une transformation effrayante se produit lorsque la pénurie s'installe. Ce voisin avec qui vous faisiez autrefois un barbecue est désormais un père qui voit sa famille mourir de faim. Votre préparation, autrefois un motif de fierté, devient une cible visible. L'odeur de la nourriture, le bourdonnement du courant, et même la présence de votre chien encore en bonne santé peuvent susciter envie et suspicion. Les gens commencent à chuchoter, à observer et à justifier le franchissement des limites. « Ils ont plus que nécessaire » passe d'une pensée à une motivation.
L'histoire offre des signes avant-coureurs. Les émeutes de Los Angeles de 1992 ont montré à quelle vitesse les communautés peuvent se désintégrer. Les voisins ont pillé leurs maisons les uns les autres. Des vitrines qui soutenaient autrefois des causes locales ont été défoncées par ceux-là mêmes qu'elles servaient. Ce n'était pas un incident isolé, c'était une mise à l'épreuve de la nature humaine sous la contrainte. Et cela a prouvé que la géographie n'est pas synonyme de sécurité.
RépondreSupprimerLe passage de l'amitié à la menace ne se fait pas sans crier gare. C'est subtil et psychologique. Les conversations deviennent gênantes. Des questions innocentes se muent en menaces voilées. On commence à évaluer ce que vous avez et à quel point il serait difficile de l'accepter. Votre passé commun perd toute pertinence face à la faim et à la peur.
La sécurité opérationnelle, ou « OPSEC », devient vitale. Trop partager votre état de préparation peut faire de vous un phare dans l'obscurité. Publications sur les réseaux sociaux, commentaires anodins ou stocks visibles peuvent tous vous identifier comme une ressource plutôt que comme une personne. Et lorsque le désespoir atteint son paroxysme, les ressources sont accaparées, souvent sans autorisation.
Mais cela ne signifie pas que l'isolement soit la solution. La communauté a toujours son importance, mais elle doit se construire sur des valeurs et une discipline communes, et non sur la proximité. Les groupes les plus forts sont ceux qui partagent un état d'esprit commun et sont préparés à la crise avant qu'elle ne survienne. Les liens superficiels, en revanche, se brisent sous la pression.
En temps de crise, la trahison frappe plus fort que la douleur physique. C'est une réaction biologique à la confiance brisée, et elle est plus fréquente qu'on ne le croit. La familiarité peut être instrumentalisée. Vos voisins connaissent vos habitudes, vos faiblesses. Et lorsque la peur prend le pas sur la morale, ils peuvent justifier de vous voler ce qui vous appartient.
Être préparé n'est pas une question de paranoïa, mais de lucidité. Il n'est pas nécessaire de craindre tout le monde, mais il faut comprendre à quelle vitesse les gens peuvent changer lorsqu'ils sont poussés à bout. La véritable survie exige de se préparer non seulement à la catastrophe, mais aussi à ceux qui l'affronteront à vos côtés, de gré ou de force.
En fin de compte, être préparé est un acte d'amour sans illusion. De l'amour pour sa famille, pour son avenir et, oui, même pour ses voisins. Mais ne confondez pas gentillesse et sécurité. Lorsque le système se tait, le véritable test commence, et ce ne sont pas les inconnus qui constituent la plus grande menace. Ce sont ceux qui connaissent déjà votre nom.
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Sources de cet article :
Censored.news
NaturalNews.com
PreppersWill.com
https://www.naturalnews.com/2025-07-09-apocalypse-will-neighbors-act-like-crazed-maniacs.html
Tout vient de l'immigration. Tout. Ils ne se sentent pas chez eux, ne se sont jamais senti chez eux, ils ne pensent qu'à détruire, à voler, à tuer. On le voit tous les jours.
SupprimerAnciens temps c'était la courtoisie, la politesse, l'aide à la communauté.
UNE ÉTUDE DE YALE RÉVÈLE UNE VÉRITÉ CHOQUANTE : LA PROTÉINE SPIKE PERSISTE ET SE DÉVELOPPE
RépondreSupprimerPAR THE WELLNESS COMPANY
07/09/2025
Dans un bouleversement politique et médical stupéfiant, 12 États américains ont déclenché une tempête de feu en faisant pression pour interdire les vaccins contre la COVID-19, les déclarant dangereux, inefficaces et symbole d'une confiance mal placée. Le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., a récemment déclenché un changement politique majeur en retirant ces vaccins des recommandations des CDC pour les enfants et les femmes enceintes, invoquant de nouvelles découvertes.
Pendant des années, des questions cruciales ont été étouffées. La promesse que les vaccins contre la COVID-19 étaient « sûrs et efficaces » est désormais sérieusement remise en question, et les conséquences pourraient être bien pires qu'on ne l'imaginait.
Les vaccins eux-mêmes pourraient-ils constituer une menace à long terme ? Le Dr Peter McCullough met en garde le public depuis le début du déploiement du vaccin contre les dangers de la protéine Spike – un avertissement qu'il a réitéré récemment devant le Sénat américain le 21 mai. Le temps presse. La vérité exige une attention urgente, et ce, dès maintenant.
Une étude récente de l'Université Yale confirme que non seulement la protéine Spike toxique persiste dans l'organisme après un vaccin, mais qu'elle AUGMENTE avec le temps.
Oui, l'organisme produit davantage de protéines Spike après une vaccination à ARNm contre la COVID-19. La technologie sous-jacente de l'ARNm a été initialement développée pour des applications thérapeutiques dans des maladies génétiques telles que la drépanocytose et la mucoviscidose.
L'étude de Yale a cessé de collecter des données 709 jours après la vaccination, et les protéines Spike étaient toujours présentes en concentrations élevées – un scénario très différent de celui d'un vaccin traditionnel contenant un virus inactivé.
Le Dr Peter McCullough, expert mondial de premier plan sur la pandémie de COVID-19 et les mesures sanitaires appropriées, explique que la question la plus fréquente de ses patients ces derniers temps est : « Comment éliminer cette protéine Spike de mon organisme ?»
La détox ultime Spike du Dr McCullough
RépondreSupprimerDepuis trois ans, le Dr McCullough recherche sans relâche la molécule, le composé ou le produit botanique capable d'éliminer les protéines Spike dangereuses.
Bien qu'aucune solution miracle n'ait été trouvée, les patients du Dr McCullough ont obtenu des résultats remarquables avec une combinaison de nattokinase, de bromélaïne et de curcumine. Ces résultats sont si prometteurs qu'il a publié le premier article sur la détoxification des protéines Spike, intitulé Protocole McCullough : Détoxification des protéines Spike, dans des revues scientifiques prestigieuses.
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https://www.zerohedge.com/sponsored-post/yale-study-reveals-shocking-truth-spike-protein-lingers-and-grows
Les sci-fluenceurs, communicateurs de science
RépondreSupprimer10 Juillet 2025
Katie Suleta, ACSH*
Il fut un temps où la communication scientifique était un hobby de niche, réservé aux rares personnes capables de traduire le jargon des laboratoires en quelque chose de compréhensible pour le public. Carl Sagan donnait l'impression que c'était facile, mais la plupart des scientifiques considéraient l'engagement public comme un suicide professionnel ou comme une activité qu'il valait mieux laisser aux journalistes. Avance rapide : en 2025, les communicateurs scientifiques, désormais appelés « sci-fluenceurs », sont omniprésents.
Jusqu'à récemment, une carrière dans la communication scientifique n'inspirait pas grand monde. Carl Sagan l'a popularisée, mais la plupart des gens l'ont attribuée à l'esprit et à la personnalité de Sagan, une combinaison qui n'arrive qu'une fois par génération. En 2025, cependant, la communication scientifique est en plein essor.
Nous ne pensons plus que les scientifiques doivent être enfermés dans un laboratoire, que leurs activités quotidiennes ne doivent jamais être vues ni évoquées, sauf dans des revues ésotériques cachées derrière des péages. Depuis des années, les chercheurs, les scientifiques et les universitaires discutent de la manière de communiquer plus ouvertement avec le public au sujet de leurs travaux. Mais c'est difficile. Les gens s'entraînent pendant longtemps à travailler dans un domaine très spécifique qu'il est difficile d'expliquer à ceux qui ne le connaissent pas. Mais ce n'est pas une excuse, surtout aujourd'hui.
Un changement sismique s'est produit, attribuable à de nombreux facteurs sociaux. Carl Sagan a peut-être popularisé l'idée que l'on peut être un scientifique célèbre ; cependant, on peut affirmer que l'internet, les réseaux sociaux en particulier, et la pandémie de Covid-19 ont eu un impact considérable sur nos attentes à l'égard des scientifiques et de la communication scientifique. Il n'est plus nécessaire d'avoir une émission de télévision à l'échelle nationale pour faire passer son message à un grand nombre de personnes.
Communiquer la science
La pente à gravir a été rude. Les scientifiques ont eu besoin d'être persuadés. Selon une étude Pew de 2014,
« Une majorité de scientifiques de l'AAAS disent qu'il n'est pas trop ou pas du tout important pour l'avancement de leur carrière que leurs recherches soient couvertes par les informations (56 %), et 77 % disent qu'il n'est pas trop ou pas du tout important pour l'avancement de leur carrière de promouvoir leurs résultats sur les réseaux sociaux. »
De toute évidence, les scientifiques n'étaient pas tous de cet avis ; 44 % et 23 % d'entre eux ont déclaré que l'aspect communication était au moins quelque peu important. Un éditorial de 2015 dans mBio, le journal de l'American Society for Microbiology, souligne spécifiquement l'importance de la communication scientifique.
RépondreSupprimer« Les scientifiques doivent communiquer sur la science avec le public afin de promouvoir la compréhension des questions complexes auxquelles nous sommes confrontés dans notre société technologiquement avancée. Certains scientifiques peuvent s'inquiéter de la stigmatisation sociale ou de "l'effet Sagan" associé à la participation à la communication publique. Des recherches récentes en sciences sociales indiquent que la communication publique par les scientifiques n'est pas une activité de niche, mais qu'elle est largement répandue et peut être bénéfique pour la carrière d'un scientifique. »
Je dirais que la communication scientifique a toujours été essentielle, mais que nous avons dû traîner les scientifiques dans la salle, en leur donnant des coups de pied et en les faisant hurler.
La naissance des influenceurs scientifiques
Alors que les internautes parlaient de science avant la Covid-19, la pandémie a donné un coup de fouet à cet espace. Soudain, des personnes qui étudiaient les pandémies, les maladies infectieuses et la santé publique ont pris la parole sur les réseaux sociaux pour expliquer leur parcours, ce qu'elles faisaient et pourquoi c'était important. J'étais l'une d'entre eux.
Les réseaux sociaux n'étaient plus réservés aux dernières tendances en matière de danse et aux argumentaires de vente. Au contraire, c'était le nouveau débouché de la communication scientifique, et avec lui venaient des personnes prêtes à répondre au défi du moment et à partager l'importance de leur travail. Cependant, comme pour toute technologie, il y a des inconvénients.
Les inconvénients
Deux problèmes en particulier : la concurrence dans l'économie de l'attention et les escrocs qui jouent dans l'espace de la communication scientifique.
Le passage à l'économie de l'attention signifie que les communicateurs scientifiques sont en concurrence avec n'importe qui, n'importe quelle personne et n'importe quoi d'autre en ligne. Les réseaux sociaux ont uniformisé les règles du jeu, pour le meilleur et pour le pire. Dans ce monde où il est facile d'entrer rapidement en contact avec un grand nombre de personnes, tout le monde se met à réclamer de l'attention. Lorsque tout le monde crie, il est difficile de se frayer un chemin dans le bruit.
Sortir de la cacophonie est une compétence ; certaines personnes sont mieux préparées que d'autres. Les scientifiques ne sont généralement pas formés aux relations publiques ou à la communication. Nous n'avons pas beaucoup de célébrités pour attirer l'attention sur nous. C'est un autre ensemble de compétences qui doit être affiné au fil du temps. Prendre un sujet complexe et le distiller en éléments digestes est une compétence. Attirer l'attention sur ces informations est une compétence totalement différente. La connaissance des réseaux sociaux, le savoir-faire technologique et le charme sont des compétences qui ne sont pas associées de manière stéréotypée aux scientifiques.
RépondreSupprimerIl y a ensuite les escrocs, c'est-à-dire les personnes qui se font passer pour des communicateurs scientifiques et qui, en fait, vous vendent quelque chose. Il peut s'agir de quelque chose de concret (livres, suppléments, huiles essentielles, régimes, etc.) ou d'informations erronées destinées à propager un discours plus large. Ces faux communicateurs scientifiques peuvent être très difficiles à repérer ; ils ont l'air légitimes et possèdent souvent le savoir-faire en matière de réseaux sociaux et de technologie, ainsi que le charme qui fait largement défaut dans ce domaine.
Comment savoir si les informations que vous recevez sont bonnes ? Comment savoir s'il ne s'agit pas de désinformation ? Il est essentiel d'évaluer les communicateurs scientifiques.
Ce qu'il faut rechercher
Il n'existe pas de méthode infaillible pour s'assurer que l'on suit quelqu'un qui fournit de bonnes informations. Sans être exhaustif, voici quelques étapes à suivre et quelques questions à poser. Voici un moyen rapide de vérifier votre intuition avant de cliquer sur « Suivre » ou « Partager ».
S'agit-il d'un expert ? – Vérifier les références est une bonne première étape. La personne est-elle titulaire d'un diplôme approprié ? Si son nom est suivi d'initiales inconnues, faites une recherche sur ces initiales pour savoir ce qu'elles signifient et comment elles ont été obtenues. Connaître un peu la formation d'une personne peut vous aider à déterminer si elle parle à tort et à travers. Après tout, vous ne voudriez pas qu'un informaticien vous donne des conseils sur la nutrition. Ce serait tout simplement stupide.
Preuves. – La personne fournit-elle un ensemble de preuves à l'appui de ses recommandations ? Cela signifie qu'il ne faut pas se contenter d'études choisies à la va-vite. Cite-t-elle systématiquement des études de grande qualité, telles que des méta-analyses et des essais contrôlés randomisés portant sur des personnes et non sur des rats de laboratoire ? Si la réponse est non, ou si la personne est une adepte des études sur les souris pour effrayer les gens, je recommande de passer à autre chose.
Emploi pertinent. – La personne occupe-t-elle un poste en rapport avec les informations qu'elle partage ? Si ce n'est pas le cas, l'a-t-elle déjà fait ?
RépondreSupprimerSi vous avez répondu « non » à l'une de ces questions, cette personne n'est peut-être pas une source d'information crédible. Faites preuve de scepticisme à l'égard de vos interlocuteurs et, plus important encore, des informations que vous partagez.
L'essor des sci-fluenceurs a révolutionné notre façon de consommer la science, mais une grande influence s'accompagne d'une grande responsabilité. Tous les acteurs de cet espace ne sont pas là pour éduquer – certains sont là pour vous vendre de la pseudoscience enveloppée dans une blouse de laboratoire. C'est à nous, le public, qu'il incombe de vérifier nos sources, de poser les bonnes questions et de récompenser ceux qui donnent la priorité à la vérité plutôt qu'aux clics.
Je m'en voudrais de ne pas mentionner certaines des personnes qui font ce travail et mènent le bon combat. Tout d'abord, je vous propose une publicité éhontée : vous pouvez me trouver ici à l'ACSH et @dr.katiesuleta. Il s'agit de quelques-uns des communicateurs scientifiques que je suis. Ils constituent un bon point de départ pour les personnes à la recherche d'informations fiables.
Sciences biomédicales
Jen Gunter – Dr. Jen Gunter
Andrea Love – Dr. Andrea Love
Yvette d-Entremont – SciBabe
Dan Wilson – Debunk the Funk
Katelyn Jat - Your Local Epidemiologist
McGill Office of Science and Society
Sottises alimentaires
Erin – Food Science Babe
Abby Langer – langernutrition
Danielle Shine - danielleshine.dietitian
Build Up Dietitians et leur Facebook Group
Connaisseurs de la pensée critique
The Skeptics Guide to the Universe
Melanie Tracek King – thinkingpowers
Briser les mythes de la beauté
Dr. Michelle Wong – lab muffin beauty
Sottises du bien-être
Tim Caulfield – caulfieldtim
Conspirituality
Jonathan Stea – Dr_Jonathan_Stea
____________
* Katie Suleta est directrice régionale de la recherche dans le domaine de la formation médicale supérieure pour HCA Healthcare. Elle a une formation en santé publique, en informatique de santé et en maladies infectieuses. Elle est titulaire d'un MPH de l'Université DePaul, d'un MS en informatique de santé de l'Université de Boston et d'un doctorat en sciences de la santé de l'Université George Washington.
Source : Sci-fluencers | American Council on Science and Health
https://seppi.over-blog.com/2025/07/les-sci-fluenceurs-communicateurs-de-science.html
La spécificité des escroqueries telles que les 'soucoupes volantes', 'Global Warming', '11 Septembre' ou dernièrement celle du 'virus corona' ont portées à questions dans un très large public. La compréhension est enfin abordée. L'explication scientifique est comprise depuis les premières holographies d'extraterrestres aux piqûres mortelles elles suscitent la découverte non expliquée dans les merdias.
SupprimerMessage à Géraldine : « We shall never surrender ! » (« Nous ne nous rendrons jamais ! »)
RépondreSupprimer10 Juillet 2025
(Source)
Ce 8 juillet 2025, l'Assemblée Nationale a adopté par 316 voix contre 223 la proposition de loi, dite « Duplomb » ou « Duplomb-Menonville », visant à lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur. Ce n'est pas la fin d'un processus. La lutte contre la désinformation est plus que jamais nécessaire. Et oui, nous avons un énorme problème de déontologie médiatique.
Ce 8 juillet 2025, Mme Géraldine Woessner a eu un coup de blues.
« Il y a des jours où la lutte déontologique pour une information juste et sourcée vous semble totalement perdue.
Des jours où l’on comprend que, la plupart des médias ayant cédé face à la violence, la democratie n’est plus assurée.
Ce 8 juillet 2025… »
Cela se poursuit par une sorte de litanie, dont voici le premier élément :
« Est un de ces jours.
Il y en a eu beaucoup, depuis 2 ans.
Mais là…
Ce 8 juillet, des médias publics ont affirmé que le gouvernement "empoisonnait" le peuple.
Ce 8 juillet, des médias publics ont soutenu que les élus de la République étaient corrompus. »
Avec un lien vers France 3 Bourgogne-Franche-Comté, un article d'une belle indigence, « "Un empoisonnement généralisé des populations" : contre la loi Duplomb, il souhaite une "industrie qui ne détruit pas le vivant" ».
Ce n'est pas le pire de ce que les médias ont pu produire ! À l'heure où j'écris, ce 9 juillet, le musée des horreurs déborde, tant dans les médias que sur les réseaux sociaux.
(Source)
Le ressentiment face à une décision somme toute attendue ne justifie pas les débordements auxquels on assiste.
Et le métier de journaliste ne se limite pas à diffuser toutes les outrances issues d'un monde politique et socio-politique qui a perdu sa boussole, et dont une partie est jetée dans l'arène grâce aux réseaux dits sociaux. Quand le journaliste ne les suscite pas...
Il y aura un reflux temporaire, mais il sera suivi d'une nouvelle marée montante à la prochaine échéance décisionnelle ; le Conseil Constitutionnel va être saisi, l'échéance est donc proche. Et ensuite la désinformation – même et surtout la plus crasse et la plus abjecte – reviendra par vagues.
Pour la manipulation médiatique vicieuse, certes du 29 juin 2025, voici, du Monde de M. Stéphane Foucart, « La loi Duplomb illustre cette tendance à céder au court terme au risque de fabriquer les cancers et les maladies chroniques qui se révéleront dans trente ans », avec en chapô :
« A la veille de l’examen en commission mixte paritaire de la proposition de loi Duplomb qui pourrait réautoriser un pesticide néonicotinoïde en France, Maxime Molina, le président du directoire de la Fondation pour la recherche médicale, dénonce, dans un entretien au "Monde", le choix politique d’ignorer les liens entre santé et environnement. »
Où est le loup ? Parler des pesticides en termes généraux alors qu'il s'agit de la seule acétamipride, qui sera (serait) utilisée sur des cultures spécifiques selon des modalités réduisant au minimum les risques (le mot « élimininant », proche de la réalité, ne serait pas déontologiquement acceptable).
En voici une autre, appelée à un grand avenir, qui ne fait pas honneur à son auteur ni à l'institution que celui-ci servait à l'époque (source primaire) :
RépondreSupprimer« L'acétamipride, que la France n'a heureusement jamais utilisé, est pire que l'imidaclopride. Il s'agit d'un produit stable qui est donc en quelque sorte le "chlordécone de l'hexagone". »
(Source)
Comment ne pas citer aussi la Ligue contre le Cancer, « Pesticides : la Ligue contre le cancer fustige la loi Duplomb » :
« La Ligue dénonce un camouflet pour le principe de précaution – qui devrait exiger une alternative – alors que l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a établi, depuis 2013, un lien entre l’exposition aux pesticides et certains cancers, lien reconfirmé en 2021 [...] »
La « régression environnementale », c'est dans le fond de commerce de la Ligue contre le Cancer... (Source)
Ce n'est certes pas aussi outrancier que les accusations selon lesquelles les députés adoptants auraient voté « pour le cancer » (pédiatrique pour susciter encore plus d'indignation), mais l'argumentation se limite à des généralités. Et détourne les expertises de l'INSERM de leur vraie portée.
Et c'est largement repris par des médias insensibles à l'obligation déontologique de, au moins, mettre ce genre de déclaration dans son vrai contexte.
(Source)
Il est plus que jamais nécessaire de lutter contre cette désinformation – contre la désinformation en général, tant c'est devenu, comme l'écrit fort justement Géraldine, un problème pour la démocratie.
Alors, je ne peux que renvoyer à ce fameux discours du 4 juin 1940 de Winston Churchill :
« ...we shall fight in France, we shall fight on the seas and oceans, we shall fight with growing confidence and growing strength in the air, we shall defend our Island, whatever the cost may be, we shall fight on the beaches, we shall fight on the landing grounds, we shall fight in the fields and in the streets, we shall fight in the hills; we shall never surrender... »
« ...nous nous battrons en France, nous nous battrons sur les mers et les océans, nous nous battrons avec une confiance et une force croissantes dans les airs, nous défendrons notre île, quel qu'en soit le prix, nous nous battrons sur les plages, nous nous battrons sur les terrains d'atterrissage, nous nous battrons dans les champs et dans les rues, nous nous battrons dans les collines ; nous ne nous rendrons jamais... »
Sur un plan plus personnel, il y a aussi un remontant sous la forme d'une chanson de Willy Schneider, « Schütt die Sorgen in ein Gläschen Wein » (verse les soucis dans un petit verre de vin) :
RépondreSupprimer...
Schütt' die Sorgen in ein Gläschen Wein.
Deinen Kummer tu' auch mit hinein.
Und mit Köpfchen hoch und Mut genug,
Leer das volle Glas in einem Zug!
Das ist klug!
Schließ die Augen einen Augenblick,
Denk an gar nichts mehr als nur an Glück.
Und auf eins- zwei- drei wirst du gleich seh'n
Wird das Leben wieder wunderschön!
…
Verse tes soucis dans un petit verre de vin.
Ajoute-y aussi ton chagrin.
Et avec un peu de jugeote et assez de courage,
vide le verre plein d'un trait !
C'est malin !
Ferme les yeux un instant,
Ne pense à rien d'autre qu'au bonheur.
Et à un, deux, trois, tu verras
Que la vie redevient merveilleuse !
…
Bon, ya du boulot...
L'hystérisation du « débat » est loin d'être terminée... (Source)
https://seppi.over-blog.com/2025/07/message-a-geraldine-we-shall-never-surrender.html
'Changement climatique' : le problème numéro un des nations ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 10 JUILLET 2025 - 10 H15
Malgré les craintes constantes concernant de nouveaux 'records' de températures mondiales atteints régulièrement, le 'changement climatique' n'est toujours pas une priorité pour beaucoup, comme le montrent les données de Statista Consumer Insights.
Comme le montre Katharina Buchholz de Statista dans le graphique suivant, les personnes interrogées dans les 21 pays couverts par l'enquête n'ont collectivement classé le 'changement climatique' comme le problème le plus important pour leur pays lorsqu'on leur a demandé de nommer les enjeux les plus importants pour elles.
- voir graph sur site -
Infographie : Changement climatique : le problème numéro un des nations ? | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista.
La Suisse arrive en tête du classement en matière de 'changement climatique', avec le cinquième plus grand nombre de répondants, suivie par la Chine, au sixième rang.
Généralement, cela reflète plutôt le peu de problèmes rencontrés par les Suisses et les Chinois : seulement 29 % et 24 %, respectivement, jugent le 'changement climatique' grave.
Malgré une septième place seulement en Italie, le changement climatique y est reconnu comme un problème majeur par un plus grand nombre de personnes, respectivement 39 % et 35 %. Le pourcentage de l'Italie est le plus élevé, tandis que ceux de la Chine et du Japon sont les plus faibles.
De même, des pays en développement comme le Mexique et l'Afrique du Sud pourraient présenter une liste d'autres problèmes sur lesquels davantage de personnes s'accordent.
Pourtant, la reconnaissance du 'changement climatique' comme un problème majeur n'est que légèrement moins répandue au sein de la population que dans les pays développés, avec environ 29 à 30 %.
Les États-Unis font également figure d’exception, avec seulement 28 % des personnes interrogées citant le 'changement climatique' comme un problème majeur (rang 10), un taux faible parmi les pays développés.
https://www.zerohedge.com/political/climate-change-no-1-problem-no-nation
Très très très bizarrement les pays tropicaux et équatoriaux africains... ne sont pas concernés !! Çà alors !! HAHAHAHA !
SupprimerLa crise de l'offre de cacao illustrée par un graphique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 10 JUILLET 2025 - 08H45
L'industrie du chocolat est confrontée à une nouvelle ère de pénuries chroniques et de prix records pour les fèves, le beurre, la poudre et la pâte de cacao, provoquant des perturbations structurelles de l'approvisionnement en Amérique du Nord et en Europe. Au cœur de la crise se trouve l'Afrique de l'Ouest, où des pays comme la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigéria et le Cameroun – responsables de 75 % de la production mondiale de cacao – ont été gravement touchés par des années de conditions météorologiques défavorables et de maladies des cultures.
Les prix des fèves de cacao à New York restent proches de leurs records – autour de 8 000 dollars la tonne mardi – après avoir grimpé de plus de 450 % entre fin 2022 et décembre 2024, année où ils ont brièvement dépassé les 12 000 dollars. Cette flambée a entraîné une augmentation de 16 % du coût des principaux intrants pour les chocolatiers depuis le début de l'année, exerçant une pression supplémentaire à la hausse sur les prix des bonbons en supermarché.
L'une des visualisations les plus frappantes de la pénurie de cacao qui dure depuis plusieurs années, selon Bloomberg, est la baisse des importations américaines de cacao, dont l'offre a chuté en quelques années seulement.
En réaction, les grandes entreprises agroalimentaires, comme Mars et Hershey, ont réduit la taille des barres chocolatées, ajouté des ingrédients moins chers (noix, blé, etc.) ou se sont entièrement tournées vers des offres autres que le chocolat. Des producteurs artisanaux comme Raaka ont déclaré payer le prix de la poudre de cacao jusqu'à trois fois plus cher.
Cela n'a fait qu'accélérer l'essor des substituts pour les entreprises agroalimentaires, avec l'introduction d'alternatives à la poudre de cacao, telles que :
Mélanges de caroube (Groupe Doehler, Allemagne) ;
Poudre de blé (Ardent Mills, États-Unis), remplaçant jusqu'à 50 % de la poudre de cacao dans certains produits.
Les substituts d'arômes et de colorants comme la vanille, le caramel, le café et les colorants alimentaires gagnent également en popularité.
« Nous sommes à une époque où le plaisir du chocolat ne reposera plus uniquement sur le cacao », a déclaré à Bloomberg Ina Dawer, responsable mondiale des analyses des ingrédients chez Euromonitor International.
RépondreSupprimerLa pénurie mondiale de cacao devrait persister : la transformation du cacao en Europe, premier marché international, a reculé de 3,7 % au premier trimestre 2025, atteignant son plus bas niveau depuis 2017, tandis qu'une tendance similaire a été observée en Amérique du Nord. Les prix des fèves de coca devraient rester élevés au second semestre.
https://www.zerohedge.com/commodities/cocoa-supply-crunch-shown-one-chart
Faux rabais en ligne : la grande illusion des prix barrés
RépondreSupprimerle 10 juillet 2025 - 10:00
Selon l’UFC-Que Choisir, 85% des réductions affichées par les géants du e-commerce seraient de pures inventions. Mercredi, l’association a saisi la Commission européenne pour dénoncer des pratiques commerciales trompeuses chez Amazon, Shein, Cdiscount, ASOS, Temu et Zalando, analysées entre février et avril 2025. Sur près de 1 000 offres, seules 15% reposaient sur une réelle baisse de prix.
Tout le reste, c'est un jeu d'étiquette ; derrière les chiffres barrés et les remises XXL se cache en fait le "prix de référence". Ce montant affiché en comparaison du prix final peut être arbitrairement gonflé par le vendeur, créant une impression de bonne affaire sans fondement réel. L’UFC-Que Choisir s’agace : « Certains vendeurs ne fournissent tout simplement aucune explication quant à la nature du prix barré affiché. » Et pourtant, depuis 2022, la législation européenne impose que toute réduction s’appuie sur le prix le plus bas pratiqué dans les 30 jours précédents. Autrement dit, ces faux rabais sont non seulement mensongers, mais aussi illégaux.
Comme le rapporte The Epoch Times, le site Shein, déjà dans le viseur des autorités françaises, illustre à lui seul ces dérives : il vient d’écoper de 40 millions d’euros d’amende pour avoir majoré artificiellement des prix avant d’y apposer des réductions alléchantes. Une sanction saluée par la DGCCRF et largement relayée par UFC-Que Choisir, qui estime que « plus le prix barré est opaque, plus la réduction affichée est fictive ».
https://www.francesoir.fr/societe-economie/faux-rabais-en-ligne-la-grande-illusion-des-prix-barres
Un sabotage hydraulique made in France : les technocrates élitistes noient-ils notre énergie ?
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 10 juillet 2025 - 10:23
Résumé : « Un sabotage hydraulique made in France »
La France, avec un potentiel hydroélectrique de 100 TWh, ne produit que 75,1 TWh en 2024 (EDF), un écart révélateur d’une sous-exploitation criante. Je dénonce un système où des écluses, instaurées dès 1793 et institutionnalisées par Antoine Poirée en 1844, limitent les débits fluviaux de 20 à 50 % (VNF) sous prétexte de sécuriser la navigation – un argument discutable, les Vikings ayant navigué sur la Seine sans encombre. Ces écluses réduisent la pression à 0,6 bar (estimations hydrauliques), loin des 2-5 bars requis pour un rendement optimal de 85 % avec des turbines Kaplan (EDF).
Le barrage de Poses, produisant à peine 1 GWh/an contre un potentiel de 10, illustre ce gâchis, avec des travaux coûteux jusqu’en 2025. L’effet Venturi, proposé comme solution, est inapplicable sans infrastructures massives. Pendant ce temps, des choix politiques privilégient des éoliennes (8,7 % de l’électricité, RTE) et la fermeture de 30 % du parc nucléaire, négligeant 11,7 TWh hydroélectriques exploitables (UFE/DREAL 2013).
Contrastant avec l’ingéniosité de Pierre-Paul Riquet, qui a conçu le Canal du Midi et le réservoir de Saint-Ferréol au XVIIe siècle, les gestionnaires actuels imposent des taxes représentant 30 % de la facture d’électricité (CRE). Je propose des micro-turbines dans les écluses (1 TWh/an, ADEME), la nationalisation des barrages, et une transparence totale pour maximiser cette ressource propre et abordable.
*** édito ***
Françaises, Français, ouvrez grand les yeux ! Nos fleuves, ces artères de notre pays, pourraient transformer la France en championne de l’électricité propre et pas chère. Mais non, les "génies" d’en haut – technocrates en costume, PDG d’EDF, bureaucrates de Bruxelles – brident nos barrages pour mieux nous presser comme des citrons. Résultat ? Une facture énergétique qui explose pour nous, les 68 millions de "citoyens lambda", pendant que nos rivières sont muselées par des écluses inutiles. Et pourtant, il y a trois siècles, un homme, Pierre-Paul Riquet, a prouvé que la France pouvait dompter ses fleuves avec une ingéniosité que nos élites modernes semblent avoir oubliée. Voici le scandale, décortiqué avec des faits, des schémas, et une colère légitime.
Comment l’eau devient électricité (et pourquoi elle ne le fait pas assez)
RépondreSupprimerUne turbine hydraulique, c’est une turbine "inversée". Là où une turbine classique bouffe du courant pour bouger, la turbine hydraulique reçoit la claque de l’eau – sa pression – et crache de l’électricité. Plus la pente du fleuve est raide, plus l’eau dévale, plus la pression est forte. Imaginez un torrent de montagne : c’est une centrale électrique naturelle, prête à alimenter des villes entières !
Pour que ça soit clair, prenons trois schémas simples :
Schéma 1 : Une rivière plate, pente à 0 %. L’eau stagne, comme un lac paresseux. Pas de mouvement, pas de pression, pas d’électricité. Zéro bar, zéro watt. C’est le néant énergétique, un point mort.
Schéma 1
Schéma 2 : Une rivière avec une pente de 3°. L’eau coule doucement, générant une pression d’environ un bar. Cela commence à devenir intéressant, mais sans canalisation, cette force s’éparpille comme un feu de paille.
- voir schéma sur site -
Schéma 2
Schéma 3 : Un barrage entre en scène. Il capture l’eau dans un réservoir ou une conduite forcée, concentrant la pression pour faire rugir une turbine. Résultat : des mégawatts à foison, à condition qu’on ne sabote pas le système.
- voir schéma sur site -
Schéma 3
En 2024, nos barrages ont produit 75,1 TWh, soit 13,9 % de l’électricité française, un record grâce à des pluies généreuses (source : EDF). Mais le Conseil mondial de l’Énergie estime que le potentiel techniquement exploitable de la France pourrait atteindre 100 TWh avec des barrages optimisés. Ce qui est confirmé par une source de l’ADEME :
« on peut faire bien mieux mais la démultiplication des normes rend ce développement complexe, bien plus complexe que pour d’autres énergies, comme l’éolien ou le solaire, plus dans l’air du temps et des volontés politiques. Regardez les politiques aucun ne parle de l’énergie hydraulique et en interne au ministère on ne gagne aucun point à en parler ! »
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Schéma 4
Pourquoi ce gâchis de 25 TWh ? Parce que des écluses, construites sous prétexte de « sécurité », freinent nos fleuves, vident nos portefeuilles, mais aussi sous-exploitent le potentiel par complexité des normes. Et dire qu’au XVIIe siècle, Riquet avait déjà résolu des problèmes bien plus complexes !
Les écluses : un racket déguisé en progrès
Retour en 1793. Les ingénieurs des « Lumières » républicaines bardent nos fleuves d’écluses, prétendant sécuriser la navigation. Sécurité ? Balivernes ! Les Vikings, il y a 1 000 ans, remontaient la Seine jusqu’à Paris dans des coques en bois, sans moteur ni GPS, bravant un courant que nos « experts » de 1844, menés par Antoine Poirée, trouvaient « infernal ».
Équivalent du « professeur » Delfraissy durant la crise covid, c'est lui qui mena alors la campagne médiatique faussement scientifique, qui a consisté à affirmer fallacieusement que la vitesse de l'eau était « un très grand danger » pour le transport du fret sur nos fleuves. Aussi, bien que les bateliers ne s'étaient jamais plaints de ce « danger », les premières écluses furent construites, et les éminents serviteurs de la République qui s'y sont fourvoyés, politiciens, polytechniciens et « experts » journaleux, furent décorés de la Légion d'honneur, en récompense du « progrès » auquel ils ont ainsi contribué, un progrès à toutes épreuves, exceptée une : la logique.
Poirée a institutionnalisé ce racket, transformant nos fleuves en péages fluviaux. Résultat : les petits bateliers, écrasés par les taxes, ont fait faillite, laissant le monopole aux gros armateurs. Ça vous rappelle les artisans d’aujourd’hui, ruinés par les charges ?
Pire, « ces écluses auraient contribué au ralentissement du courant de 20 à 50 % » selon l’expert de l’Ademe en hydraulique. Prenez le barrage de Poses, dans l’Eure. Ce géant de béton, vendu comme une merveille, produit à peine 1 GWh par an, alors qu’il pourrait en cracher 10 fois plus avec un débit libre. Ses remous, causés par l’écluse, ont creusé une cavité si dangereuse que des travaux, payés jusqu’en 2025 par vos impôts et cofinancé par l’Union européenne, tentent de la réparer. Et pendant ce temps, les turbines roupillent. N’est-ce pas du sabotage, ça ?
RépondreSupprimerLe double verrouillage : une arnaque technique
Les écluses ne se contentent pas de taxer : elles sabotent nos turbines. Entre Bonnières-sur-Seine et Poses, la pression de l’eau chute à 0,6 bar (estimations hydrauliques), loin des 2 à 5 bars nécessaires pour un rendement de 85 % avec une turbine Kaplan, adaptée aux faibles hauteurs. Avec si peu de jus, impossible d’installer de nouveaux barrages efficaces. Nos « ingénieurs lumineux » proposent l’effet Venturi : faire passer l’eau dans un conduit rétréci pour booster la vitesse et la pression. En théorie, si vous doublez la vitesse, la pression quadruple. Magique, non ? Sauf qu’en pratique, il faudrait des conduits géants, bloquant la navigation, ou détruire les écluses – un chantier à des milliards d’euros, payés par qui ? Vous savez déjà.
Même avec l’effet Venturi, le rendement resterait misérable : 20 % maximum, contre 85 % sans écluses. C’est mathématique, niveau collège. Pourtant, les technocrates persistent, alléchés par les subventions européennes « énormes ». Pourquoi ? Parce que chaque projet bidon – écluses, éoliennes, travaux inutiles – est une excuse pour alourdir votre facture d’électricité, dont près de 30 % sont des taxes (Ecologie.gouv.fr).
- voir graph sur site -
Les leçons oubliées de Riquet : l’exemple du Canal du Midi
Si nos élites modernes pataugent, regardons un instant en arrière. Au XVIIe siècle, Pierre-Paul Riquet, un ingénieur visionnaire, a réalisé l’impossible avec le Canal du Midi, un chef-d’œuvre inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le canal du midi
- voir carte sur site -
Son défi ? Alimenter en eau un canal de 240 km reliant l’Atlantique à la Méditerranée, en franchissant le Seuil de Naurouze, point culminant à 189 mètres d’altitude. Là où des générations d’ingénieurs avaient échoué, Riquet a triomphé grâce à une connaissance inégalée de l’hydrographie de la Montagne Noire. Il a conçu un système d’alimentation révolutionnaire : des rigoles (la Rigole de la Montagne, 24 km, et la Rigole de la Plaine, 38 km) captent les eaux des rivières (Sor, Laudot, Alzeau) et les acheminent via le réservoir de Saint-Ferréol, un barrage colossal de 786 mètres de long et 30 mètres de haut, construit entre 1667 et 1680.
RépondreSupprimerLac de Saint Ferréol
Ce lac de 6,3 millions de m³, le plus grand d’Europe à l’époque, garantissait un débit constant, même en été.
Riquet n’a pas hésité à innover : il a testé son idée en 1665 avec une rigole expérimentale, prouvant qu’il pouvait amener l’eau au Seuil de Naurouze. Il a mobilisé 12 000 ouvriers, construit 79 écluses, un tunnel à Malpas (le premier du genre), et des ponts-canaux, le tout en 15 ans. Et nos ingénieurs modernes ? Ils pleurnichent sur des « contraintes environnementales » et des budgets, laissant nos barrages à l’abandon. Riquet, lui, a financé son projet en partie sur ses propres deniers, mourant ruiné, mais couvert de gloire. Où est cet esprit aujourd’hui ? Enterré sous des couches de bureaucratie et de copinages.
Les coupables : une technocratie élitiste au service du fric
Ce scandale n’est pas nouveau. Depuis 1793, l’État républicain excelle à presser le citoyen. Aujourd’hui, la « France d’en haut » – politiciens, PDG d’EDF, bureaucrates de Bruxelles – continue le boulot. Exemple ? La fermeture d’une partie du parc nucléaire, décidée par des écolos en jet privé, pour construire des éoliennes qui coûtent une fortune et produisent 8,7 % de notre électricité. François Goulard, du PNC-France, l’a dit : c’est une aberration économique. Pendant ce temps, nos barrages, énergie propre et pas chère, sont laissés à l’abandon. Et que dire des concessions hydroélectriques ? L’UE, depuis 2015, somme la France de les ouvrir à la concurrence, menaçant le quasi-monopole d’EDF (70 % de la production hydroélectrique).
Les pieds nickelés prennent des décisions
Mais, au lieu d’optimiser nos barrages, les technocrates élitistes et consorts se prennent pour des lumières et inventent de nouveaux concepts forts coûteux pour le contribuable. Ils les justifient par des analyses de données faites par des conseils de cabinet chèrement payés pour tordre les données, habiller l'analyse d'une pseudo-objectivité au nom de la transparence. De ce fait, ils régurgitent ce qu'on leur a suggéré dans une nouvelle forme de blanchiment d'informations erronées. En conséquence, leur lobbying aide le gouvernement à traîner des pieds, laissant 61 concessions sur 340 expirer d’ici fin 2025. Pourquoi ? Parce que le statu quo profite aux copains d’EDF et d’Engie, qui se partagent le gâteau avec la Compagnie nationale du Rhône.
Les solutions : secouons le cocotier et ouvrir les vannes !
RépondreSupprimerAssez de ce hold-up énergétique ! Voici comment remettre nos barrages au boulot, en s’inspirant de l’audace de Riquet :
Enlever les taxes sur les écluses : libérez les fleuves et les bateliers, et laissez l’eau faire tourner les turbines. Arrêtons de taxer les citoyens ! Taxons les armateurs !
Des micro-turbines partout où c'est réalisable : chaque écluse peut produire 1 MW, soit 1 TWh/an au total (source : ADEME). Pas besoin de démolir, juste du bon sens.
Nationaliser les barrages dans une coopérative : stop aux copinages avec EDF et Engie. L’énergie doit servir le peuple, pas les actionnaires.
Dire non aux éoliennes ruineuses : investissez dans l’hydroélectricité, 10 fois plus fiable. Les 12 TWh potentiels qu’on laisse dormir valent 10 champs d’éoliennes.
Lutter pour la transparence totale : publiez les données sur la production des barrages et les taxes. Le peuple a le droit de savoir où passe son argent !
Ressusciter l’esprit de Riquet : modernisez les barrages avec des turbines Kaplan, optimisez les débits comme le faisait Saint-Ferréol, et osez des projets ambitieux sans plier devant Bruxelles.
Le peuple contre les profiteurs
Nos fleuves pourraient faire de la France un champion de l’hydroélectricité, comme Riquet l’a fait avec le Canal du Midi, reliant deux mers par un système hydraulique d’une ingéniosité inégalée. Nos fleuves sont une richesse nationale pouvant fournir une énergie propre, abordable et durable, réduisant notre facture énergétique et renforçant notre indépendance.
Mais il est plus simple pour les élites modernes de saigner la population à coups de taxe et de projets inutiles que de construire des grands projets. Les écluses, hier comme aujourd’hui, sont la preuve de ce racket institutionnel.
Les écluses ne doivent pas freiner notre potentiel hydroélectrique.
Ensemble, citoyens et ingénieurs, exigeons des barrages qui turbinent à fond, une énergie propre à prix cassé, en modernisant nos barrages, et un État qui optimise nos ressources et bâtit un avenir énergétique plus juste. À savoir « unÉtat qui sert le peuple, pas les copains des ministères ».
Inspirons-nous du passé pour construire un futur où l’énergie sert le bien commun. Sinon, c’est nous, citoyens de « La France d’en haut », qui resterons noyés sous les factures, pendant que ceux de la « France d’en haut » sabrent le champagne.
RépondreSupprimerhttps://www.francesoir.fr/opinions-editos/un-sabotage-hydraulique-made-france-les-elites-noient-elles-notre-energie
Tout cela était décrit dans 'L’ÉNERGIE GRATUITE - Blog de presque 3 500 000 visites par jour et supprimé (par Google) en Mars 2025.
SupprimerCe blog (de Recherches scientifiques et d'économies) figurait comme étant une 'référence' mondiale dans l'information scientifique. Aujourd'hui, nous reprenons 'les devants' avec la transposition des éléments conjoncturels: La force motrice des fleuves.
(...) Françaises, Français, ouvrez grand les yeux ! Nos fleuves, ces artères de notre pays, pourraient transformer la France en championne de l’électricité propre et pas chère. (...)
Disons plutôt GRATUITE !
Car la France (comme tout autre pays du monde) dispose de sources, des rivières et de fleuves dont l'eau gratuite parvenue de la combustion magmatique instaure une possibilité énergétique a profusion ! Les 'roues à aubes' ! Elle tournent (GRATUITEMENT) 24/24 h en silence et ne coûtent rien ! Elles alimentent (comme le font des roues de bicyclettes) des dynamos qui produisent de l'électricité pour les éclairages !
HOURRA !
L'escrologie pour les nuls. Mesdames, Messieurs les dirigeants, quand allez-vous enfin écouter et représenter le peuple ?
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 16 février 2025 - 11:11
Je vous avais déjà parlé de « l’escrologie » dans un édito précédent : « l’escrologie bat son plein ». Et comme répéter un message n’altère en rien son contenu, j’ai jugé opportun d’y revenir !
« Escrologie » est la contraction des mots « écologie » et « escroquerie. » Elle intervient à juste titre.
En effet, sous le faux prétexte de « protéger la planète » (à savoir plus exactement protéger l'environnement et les équilibres naturels), l'écologie politique qui nous est imposée aujourd'hui, consiste, d'un côté à faire payer aux citoyens, artisans, commerçants et aux petites et moyennes entreprises, des impôts et taxes très élevés dans tous les domaines, et, de l'autre côté, à exonérer de ces impôts et taxes ceux qui sont les véritables responsables de la destruction de l'environnement à l'échelle de la planète (pollution de l'eau, de l'air, du sol et du sous-sol), à savoir les très grandes entreprises. L'industrie pétrolière et l'industrie chimique en tête, évidemment, sans oublier le transport maritime mondial de marchandises (d'un continent à l'autre).
Au terme d'un lobbying acharné et d'une corruption politique active opérée par Rockefeller & Cie au début du siècle dernier, l'utilisation du chanvre (qui jusqu'alors servait à quasiment tout ce qui aujourd'hui est fait à partir du pétrole) a été déclarée soi-disant « dangereuse », et donc illégale, précisément pour conférer par cette entremise à l'industrie pétrolière, la toute puissance économique et politique qu'elle a depuis lors, l'utilisation systématique du pétrole s'est imposée dans absolument tous les domaines.
Et cent ans plus tard, voici ce qu'il en est.
L'énergie, c'est le pétrole. Le chauffage, c'est le pétrole. La chimie, c'est le pétrole Les transports, c'est le pétrole. Le textile, c'est le pétrole. Et le plastique, c'est le pétrole. Les plastiques de toutes sortes, notamment les sacs plastiques, et autres plastiques d'emballage, qui partout dans le monde nuisent au possible à l'environnement de manière catastrophique, tout particulièrement au préjudice des espèces animales des mers et océans.
Or, outre les dégâts considérables que son extraction cause à l'environnement, tout ce pétrole, il faut le transporter. Le transporter des endroits où il est extrait, jusqu'aux endroits où il est utilisé.
RépondreSupprimerEt, malgré l'utilisation de plus en plus importante des pipelines, le transport du pétrole se fait encore essentiellement par voie maritime. Par supertankers. Ces navires pétroliers gigantesques mesurent 285 mètres de long et 45 mètres de large, et peuvent transporter 180.000 tonnes de pétrole à chaque voyage. Et à l'instar des très gros porte-conteneurs (les super cargos), un seul de ces supertankers pollue à lui seul, autant que 50 millions de voitures de particuliers.
Et donc vingt de ces supertankers ou de ces super cargos, polluent autant que le milliard de voitures de particuliers qu'il y a dans le monde. Or, 60.000 de ces supertankers et de ces super cargos circulent en permanence sur la planète.
Ainsi, le transport maritime mondial de pétrole et de marchandises pollue 3.000 fois plus que toutes les voitures des particuliers du monde réunies.
Pourtant, ce ne sont pas les compagnies de transport maritime mondial de pétrole et de marchandises qui sont taxées par les Gouvernements, ce sont les voitures des particuliers. Les voitures du citoyen de base. En France, le Français moyen. C'est à lui que le Gouvernement et le Parlement français imposent des taxes et des restrictions de déplacements, au faux prétexte de lutter contre la pollution.
Eh oui !
Supertankers et très gros porte-conteneurs brûlent chacun, en moyenne, entre 140 et 300 tonnes de pétrole par jour, dans des moteurs hauts comme des immeubles. Un bateau de commerce plus petit, entre 25 et 65 tonnes. C'est ainsi qu'au total le transport maritime de marchandises et du pétrole consomme 250 millions de tonnes de pétrole par an, à savoir un peu plus de 10% de la production pétrolière mondiale, alors que c'est nettement moins d'un pour cent de la production pétrolière mondiale qui est consommée par les voitures des particuliers. Le milliard de voitures de particuliers environ, qui sont en circulation actuellement sur la planète.
Les autres 90% de la production pétrolière mondiale sont utilisés au principal, pour la production d'électricité, pour la fabrication des plastiques et pour le chauffage.
RépondreSupprimerMais, c'est le raffinage du pétrole qui pollue le plus.
Pardi ! Exceptée l'utilisation du pétrole brut comme source énergétique, qui est l'utilisation polluante la plus visible ; quelle que soit l'utilisation finale faite du pétrole, il faut le raffiner.
Et, c'est justement lors du raffinage du pétrole que sont libérées dans l'atmosphère, en quantité astronomique, les composantes les plus polluantes du pétrole. Celles dont les apôtres de l'escrologie accusent les voitures, qu'ils ont classées « Crit' Air 3, « Crit' Air 4 » et « Crit' Air 5 », de répandre dans l'atmosphère. Les fameuses particules fines.
L'industrie du raffinage du pétrole est responsable de près des 2/3 de la pollution atmosphérique, émission des particules fines comprises. Mais pour ce qui est de la pollution, l'industrie du raffinage du pétrole n'est nullement taxée. Et, à l'inverse, c'est au faux prétexte de lutter contre la pollution, que les voitures des particuliers, elles, sont lourdement taxées, et qu'en outre, depuis janvier 2025, elles sont interdites de circulation dans les tristement célèbres Z.F.E. Ces zones urbaines appelées officiellement « zones à faibles émissions », 100% foutage de gueule, et qu'il convient dès lors plutôt d'appeler « zones à fortes exclusions. »
Je m'explique.
Alors que les critères de ces « Crit' Air », ce sont les émissions de CO2, les voitures des pauvres (que sont les citoyens qui ne peuvent pas se payer une voiture neuve basique, classée « Crit' Air 1 » ou « Crit' Air 2 »), à savoir les voitures qui sont classées « Crit' Air 3 », « Crit' Air 4 » et « Crit' Air 5 » ; les voitures des pauvres sont interdites d'accès dans les ZFE, mais les voitures des riches, elles, peuvent y circuler. À savoir les voitures de luxe qui sont classées « Crit' Air 1 », émettent jusqu'à trois fois plus de CO2 que les voitures classées « Crit' Air 3. »
Voici un exemple avec une Ferrarri année 2011 et une Twingo classe 1 :
Ferrari Twingo
RépondreSupprimerEt s'ajoute à ce manque de respect manifeste, le fait patent qu'il n'y a pas de ZFE pour les jets privés, ni pour les bateaux de croisière, ni pour les yachts. Ces géants des mers polluent pourtant autant qu'un porte-conteneurs, et « l'impact carbone » d'un jet privé est pourtant 300 fois plus important que celui d'une voiture classée « Crit' Air 3. » Et l'impact carbone dit « par personne » d'un jet privé, est lui carrément mille fois plus important que celui des personnes qui, contraintes et forcées, empruntent les transports en commun, c'est-à-dire les Français les plus pauvres. « Les personnes qui ne sont rien », comme l'a dit Emmanuel Macron. Les Français que les escrocs de l'écologie politique veulent empêcher de circuler en voiture. Réduire leurs déplacements le plus possible.
Et, absolument tous les politiciens sont dans la combine, tous capturés ou potentiellemen achetés qu'ils sont par les compagnies de transport maritime mondial ; Alexis Kohler en tête, secrétaire général inamovible de l’Élysée sous l'ère Macron et déjà présent sous Nicolas Sarkozy ; et achetés aussi bien sûr par les compagnies pétrolières et par l'industrie chimique, notamment l'industrie pharmaceutique.
Ah ça ! On ne le répétera jamais assez. Avec les politiciens qu'on a aujourd'hui, et le système politique verrouillé qui nous est imposé, qui réserve l'accès au pouvoir à ces seuls politiciens-là, voter, c'est se faire hara-kiri.
Et, c'est pareil au niveau européen. La Commission Européenne, organe politique qui décide de tout dans l'Union européenne, elle aussi est totalement vendue aux compagnies pétrolières, à l'industrie chimique et aux compagnies de transport maritime mondial. Ces compagnies qui sont responsables à elles seules de la quasi-totalité de la pollution de masse, tous types de pollution compris, mais qui bénéficient des bonnes grâces de la Commission Européenne pour ce qui est d'échapper au principe du pollueur-payeur, principe que la Commission Européenne applique aux citoyens. Un principe que l'on ferrait bien d'appliquer aux pollueurs informationnels que sont les journalistes aux ordres des médias subventionnés ! Et tant qu'on y est, il est possible d'étendre ce principe aux politiques qui ayant le mensonge dans la peau l'ont porté au rang institutionnel !
La mystification dans toute sa démesure !
Au lieu de privilégier les transports en commun (comme ils le demandent aux gens du peuple), voilà comment dirigeants mondialistes et industriels se sont rendus à Davos, en Suisse, au sommet du Forum économique mondial, fin janvier : chacun d'eux dans son jet privé, un moyen de transport qui génère 50 fois plus d’émissions carbone que les trains à grande vitesse.
Et qu'ont-ils fait durant ce sommet ?
Ils ont décidé quelles nouvelles restrictions supplémentaires des libertés publiques et privées (interdictions, obligations, impôts, taxes et amendes) vont encore être imposées aux peuples, toujours pareil : soi-disant pour lutter contre le réchauffement climatique.
Donc voilà ce que je propose.
Plutôt que d'exiger des peuples européens toujours plus d'efforts et de sacrifices, créons une ZFE « aérienne » : l'interdiction, pour les dirigeants politiques et les industriels, de circuler en jet privé dans l'Union européenne. Et, aussi une ZFE marine tant que l’on y est afin que tous ces propriétaires de yacht privés ne puissent plus les faire naviguer dans les eaux territoriales !
Certes, cette mesure ne résoudra pas tous les problèmes à elle seule. Néanmoins, l'impact carbone global s'en trouvera très nettement réduit. Et en bonus, une fois n'est pas coutume, dans la lutte contre la pollution en tous genres, c'est l'équité, la logique et le bon sens qui seront privilégiés.
RépondreSupprimerNOTA : dans la même veine hautement nocive pour l'environnement dont procèdent l'extraction et l'acheminement des minerais et des matériaux nécessaires à la construction des véhicules électriques ; à savoir les véhicules faussement appelés « propres » (ainsi que les panneaux solaires) ; la construction des structures de production de l'électricité elle aussi faussement appelée « propre », que sont les éoliennes, leur construction est également catastrophique pour l'environnement..
Chaque éolienne est constituée de 260 tonnes d'acier. Les fabriquer nécessite 300 tonnes de minerai de fer et 170 tonnes de charbon à coke. Ce minerai de fer et ce charbon à coke doivent être extraits et transportés. Comment ? À l'aide d'hydrocarbures. Et ces 260 tonnes d'acier qui, elles aussi, sont fabriquées à l'aide d'hydrocarbures, il faut ensuite les amener à l'endroit où l'éolienne est construite. Cela se fait pareillement à 100% en consommant une quantité d'hydrocarbures très importante.
Mais ce n'est pas tout. Il faut ajouter à cela les 2.000 tonnes de béton des fondations de l'éolienne classique, à savoir la « Nordex N149 » de 5MW. C'est autant de ciment et de sable qu'il faut extraire et transporter sur place, puis couler. Or, cela se fait similairement en consommant des hydrocarbures en très grande quantité.
Fondation eolienne
Et tout ceci qui plus est, à un coût qui lui aussi est « hénaurme », comparé à la quantité d'électricité produite par une éolienne. Coût de fabrication, d'entretien et de fonctionnement, l'électricité produite par une éolienne est 10 fois plus chère que l'électricité produite par le pétrole, et 30 fois plus chère que l'électricité nucléaire.
Enfin, n'oublions pas les nuisances que l'utilisation des éoliennes causent à l'environnement, s'agissant tant des animaux et des êtres humains. Ces nuisances sont tellement graves et manifestes, qu'elles sont dorénavant admises et reconnues par les autorités françaises. Néanmoins, les autorités françaises maintiennent leur politique d'implantation d'éoliennes, au nom de l'écologie.
En fait, comme pour chacune des escroqueries étatiques opérées en bandes parfaitement organisées, les seules personnes à qui l'implantation des éoliennes profite, ce sont les personnes morales de droit privé qui concourent à l'implantation des éoliennes : aciéries, fabricants de béton, et constructeurs d'éoliennes. Les grandes entreprises, toujours les mêmes, qui héritent des marchés publics nationaux. Ici ceux de l'implantation des éoliennes : Bouygues, Vestas Vestas, Siemens, etc.
RépondreSupprimerEt à qui appartiennent ces grandes entreprises ? Aux grands patrons du CAC40.
Et nos politiciens étant les marionnettes des grands patrons du CAC 40, ils pondent des lois qui servent les intérêts de leurs marionnettistes.
Au détriment de qui ? Du peuple.
Mais fort heureusement, le peuple n’est plus dupe. En témoigne ce sondage récent France-Soir/BonSens.org : la confiance coule : pour 77 %, le gouvernement français doit complétement revoir la politique sur le réchauffement climatique et prendre en compte les avis divergents et pour 56 %, la loi sur les ZFE est discriminatoire contre les plus pauvres et doit être annulée.
Il y a donc un réel problème de fracture entre les Français et les politiques. Ce qui expliquerait les mots durs, mais réalistes du Vice-Président américain JD Vance à l’égard de la capacité des dirigeants à écouter et à représenter leur peuple : « La démocratie repose sur le principe sacré que la voix du peuple compte. » « Si nous refusons d'écouter cette voix, même nos combats les plus fructueux n'aboutiront qu'à très peu de choses », a-t-il conclu.
Alors mesdames, messieurs les dirigeants, quand allez-vous enfin écouter et représenter le peuple ?
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/l-escrologie-pour-les-nuls-mesdames-messieurs-les-dirigeants-quand-allez-vous-enfin
Les 16 plus gros porte-conteneurs du monde polluent autant que l’ensemble du parc automobile mondial
RépondreSupprimermardi 1 décembre 2015
Savez vous combien de fuel (mazout peu raffiné, riche en rejets toxiques type soufre) un porte-container consomme pour faire le trajet Chine-Europe ramenant des importations de piétre qualité ? À 14 nœuds, le porte-conteneurs consomme 150 tonnes de fuel par jour et, à 24 nœuds, la consommation quotidienne passe à 300 tonnes. En clair, il faut plus de 10.000 tonnes de carburant pour faire un aller-retour entre l’Asie et l’Europe (Le plein est réalisé en une dizaine d’heures à Rotterdam), soit, suivant le prix du pétrole, une facture d’environ 2.5 millions de dollars par voyage !
On notera que le navire embarque deux types de carburant, l’un dit « High sulfur », utilisé sur la majeure partie de la rotation, et l’autre appelé « Low sulfur », contenant moins de 1.5% de soufre. Ce carburant faiblement sulfuré est imposé par la réglementation dans les eaux d’Europe du nord, à partir d’Ouessant. Plus respectueux de l’environnement, il devrait prochainement être utilisé en Méditerranée.
Exigeons l’interdiction mondiale du fuel hautement soufré par une réglementation à Copenhague !
Du 7 au 19 décembre 2009, les États du monde entier se réuniront à Copenhague, au Danemark, pour discuter des politiques à mener afin d’enrayer le 'réchauffement climatique'. À l’occasion de cet événement, une mobilisation internationale visant à faire pression sur les négociateurs est programmée. Des délégations du monde entier iront à Copenhague et organiseront sur place des actions.
Le transport maritime est responsable de 18 à 30 % de la pollution mondiale par oxyde d’azote et de 9 % de la pollution par oxyde de soufre. Les gouvernements ont sous-estimé les risques sanitaires liés à la pollution du transport maritime. Les moyens de réduire cette pollution existent : une législation renforcée permettrait de sauver des dizaines de milliers de vies chaque année.
Le journal britannique The Guardian vient de faire état de données confidentielles provenant de l’industrie du transport maritime et basées sur la taille des moteurs et le type de carburant utilisé.
Selon ces données, les 16 plus gros porte-conteneurs du monde polluent à eux seuls autant que la totalité du parc automobile mondial (estimé à 760 millions de véhicules). Les bateaux de transport utilisent un carburant de basse qualité qui contient environ 2000 fois plus de soufre que le diesel utilisé dans les voitures européenne et américaines. La semaine dernière, le Canada et les États-Unis ont décidé d’instaurer une zone tampon d’émissions réduites le long de la côte américaine. La mise en place d’une telle zone fait suite à une recherche conjointe de l’agence NOAA et de l’Université Boulder du Colorado, selon laquelle la pollution des 90 000 bateaux de commerce à travers le monde (cargos, pétroliers et bateaux de croisière) est responsable de 60 000 morts chaque année, et entraîne des coûts de santé de 330 milliards de dollars.
RépondreSupprimerEn exigeant une diminution du soufre dans le carburant ainsi qu’une diminution des émissions de particules fines et d’oxyde d’azote, l’agence américaine de protection de l’environnement, estime que l’instauration de la zone d’émissions réduites sauvera plus de 8000 vies chaque année. Des conclusions semblables ont été atteintes au Danemark : chaque année, les émissions du transport maritime coûteraient près de 50 millions de couronnes (env. 11 millions de francs suisses) aux services de santé danois et causeraient la mort prématurée de 1 000 Danois.
L’Europe a consenti à de nombreux efforts pour réduire les émissions de soufre et d’azote de ses transports terrestres. En revanche, la législation en matière de transport maritime est nettement insuffisante. « La pollution du transport maritime affecte la santé des communautés littorales comme celles de l’intérieur des terres, mais cette pollution reste l’une des parties les moins régulées de notre système de transport » dit James Corbett, professeur à l’Université du Delaware et co-auteur de l’étude qui a convaincu le gouvernement américain de passer à l’acte.
La technologie existe pour diminuer ces émissions polluantes. Bien que certains pays ont décidé de régler le problème de façon indépendante, peu d’actions ont été entreprises au niveau international. À terme, les bénéfices, notamment au niveau de la santé, devraient pourtant largement surpasser les coûts.
La pollution maritime en chiffres (cités par le Guardian) les porte-conteneurs géants ont des moteurs de 109 000 chevaux, gros comme un immeuble de 5 étages et qui pèsent 2 300 tonnes. Chaque bateau est censé fonctionner 24 heures par jour, 280 jours par an. Il y a 90 000 bateaux de commerce sur l’océan. Un seul gros bateau peut générer 50 000 tonnes d’oxyde de soufre par année.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article11796
https://huemaurice5.blogspot.com/2015/12/les-16-plus-gros-porte-conteneurs-du.html
Quand les cyberattaques frappent plus fort que les bombes, et les bits tuent plus que les balles. Analyse.
RépondreSupprimerAntoine Bachelin et Xavier Azalbert
le 10 juillet 2025 - 08:30
Résumé : les conflits modernes ne se limitent plus aux champs de bataille physiques. Les cyberattaques, combinées à des campagnes d’influence et à des technologies comme les drones, redéfinissent la souveraineté et la sécurité nationale. Ces stratégies, souvent invisibles, exploitent les vulnérabilités des sociétés hyperconnectées, avec des impacts économiques, sociaux, et humains majeurs.
Alors quand les bits redéfinissent la guerre, les stratégies numériques militaires doivent être explorées avec des cas documentés de guerres hybrides, leurs mécanismes techniques explorés, leurs conséquences évalués, et les contours d’une doctrine numérique adéquate évoquée.
Contexte Historique
Les cyberconflits émergent dès les années 1980 avec des virus comme Brain (1986), mais c’est Stuxnet (2010), une cyberarme américano-israélienne ciblant les centrifugeuses iraniennes, qui marque un tournant. Ce malware, découvert par Kaspersky Lab, a démontré la capacité des cyberattaques à causer des dommages physiques (destruction de 1 000 centrifugeuses) sans recours à la force conventionnelle (Kaspersky Lab, 2010). Depuis, les guerres hybrides, combinant cyberattaques, désinformation, et opérations physiques, se sont multipliées, impliquant des acteurs étatiques (Russie, Chine), non étatiques (Wagner, hacktivistes), et émergents (Turquie, Corée du Nord).
Cet article examine cinq cas emblématiques pour illustrer ces dynamiques.
Cas d’étude1. Estonie 2007 : le premier cyber-Choc
En avril 2007, l’Estonie subit une série d’attaques par déni de service distribué (DDoS) après avoir déplacé une statue soviétique à Tallinn. Les banques, médias, et sites gouvernementaux sont paralysés pendant trois semaines, avec des pertes économiques estimées à 1,2 milliard d’euros (Rapport OTAN, 2019). Une campagne de désinformation, orchestrée via des forums locaux, exacerbe les tensions ethniques, tandis que des manifestations pro-russes dégénèrent en émeutes. Un rapport déclassifié de l’OTAN attribue l’opération au GRU russe, mobilisant des botnets pour un coût estimé à 100 000 dollars (NATO CCDCOE, 2019).
Impact humain : la population estonienne, dépendante des services numériques (e-gouvernance), subit une perte de confiance dans l’État.
RépondreSupprimerContre-mesures : l’Estonie crée le NATO Cooperative Cyber Defence Centre of Excellence (CCDCOE) en 2008, devenant un modèle de résilience cybernétique (NATO, 2020).
Ukraine 2015 : une attaque sur les infrastructures critiques, le cyber Pearl Harbour
En décembre 2015, le groupe Sandworm, lié au FSB russe, orchestre une cyberattaque contre le réseau énergétique ukrainien. Le malware BlackEnergy coupe l’électricité à 230 000 foyers pendant six heures en plein hiver. Les attaquants, ayant infiltré les systèmes SCADA via des courriels de phishing, désactivent les disjoncteurs et effacent les données pour retarder la récupération (Dragos, 2017). Les pertes s’élèvent à 700 millions de dollars (ENISA, 2020).
Impact humain : les coupures d’électricité aggravent les conditions de vie, provoquant des hospitalisations liées au froid.
Contre-mesures : l’Ukraine renforce ses défenses avec l’aide de l’OTAN, formant 5 000 cyberdéfenseurs d’ici 2020 (Cybersecurity Capacity Portal, 2021).
NotPetya 2017 : une cyberarme aux effets mondiaux
En juin 2017, le malware NotPetya, attribué à la Russie, infecte un logiciel comptable ukrainien, se propageant à des entreprises mondiales (Maersk, Merck, FedEx). Ce wiper, conçu pour détruire les données, paralyse 45 000 ordinateurs chez Maersk en sept minutes, causant 10 milliards de dollars de dégâts globaux (Wikipedia). Une vulnérabilité zero-day Windows, acquise pour 2 millions de dollars, est exploitée (NSA, 2020).
Impact humain : les perturbations logistiques (ex. : ports de Rotterdam) affectent les chaînes d’approvisionnement, retardant des livraisons médicales critiques.
Contre-mesures : Microsoft neutralise la vulnérabilité via un patch urgent, et Five Eyes partage des renseignements pour identifier les serveurs russes (Microsoft, 2017).
Aramco 2019 : Une opération hybride et leçon d’asymétrie
En septembre 2019, les installations pétrolières saoudiennes d’Aramco sont frappées par une attaque combinant drones low-cost (15 000 dollars pièce), missiles de croisière, et une tentative de cyberattaque par le groupe APT33, lié à l’Iran. Les systèmes de défense antiaérienne sont ciblés via une faille dans le réseau informatique non sécurisé (CrowdStrike, 2020). Les pertes s’élèvent à 2 milliards de dollars, avec une hausse de 15 % du prix du baril (IEA, 2019).
Impact humain : la panique sur les marchés aggrave l’insécurité énergétique dans les pays dépendants du pétrole.
RépondreSupprimerContre-mesures : Aramco investit 1 milliard de dollars en cybersécurité post-attaque, adoptant les normes ISO 27001 (Aramco Annual Report, 2020).
Mali 2022 : Wagner et la guerre hybride avec l’ombre russe
En 2022, le groupe Wagner, affilié à la Russie, orchestre une campagne hybride au Mali. Des cyberattaques DDoS désactivent le site du ministère de la Défense pendant 48 heures, tandis que des pages Facebook financées par des proxys russes diffusent des vidéos accusant les forces françaises de Barkhane d’atrocités (ISS, 2023). Ces actions contribuent au retrait français.
Impact humain : les campagnes de désinformation exacerbent les tensions communautaires, alimentant la violence interethnique.
Contre-mesures : le Mali collabore avec l’Union africaine pour former 200 cyberdéfenseurs en 2023 (AU Cybersecurity Report, 2024).
Mécanismes Techniques
Les cyberattaques reposent sur :
Des vulnérabilités « zero-day » : vulnérabilité informatique n’ayant fait l’objet d’aucune publication et n’ayant aucun correctif connu, des failles inconnues, comme dans NotPetya, vendues jusqu’à 5 millions de dollars sur le dark web (Zerodium, 2021).
Des attaques de la supply-chain : compromission de logiciels tiers, comme SolarWinds (2020), affectant 18 000 organisations (EGE, 2021).
Botnets : des réseaux d’appareils infectés, comme Mirai (2016), générant 1,2 Tbps de trafic DDoS (Cloudflare, 2016).
Guerre psychologique : amplification de narratifs via les réseaux sociaux, comme les 2 millions de tweets russes lors de l’élection française de 2017 (EUvsDisinfo, 2018).
Impacts : des milliards en pertes, des vies en péril
Dans un monde hyperconnecté, les cyberattaques ne se contentent plus de pirater des données : elles paralysent des économies, plongent des populations dans le noir et sèment la méfiance. De l’Ukraine à l’Arabie saoudite, les « bits » redéfinissent la guerre, avec des conséquences bien réelles. Voici comment ces conflits invisibles bouleversent nos sociétés – et ce que nous pouvons faire pour y répondre.
Les cyberattaques coûtent cher, très cher. Selon Cybersecurity Ventures, elles drainent 6 trillions de dollars par an à l’économie mondiale, soit plus que le PIB de la France. L’attaque NotPetya de 2017, partie d’Ukraine, a paralysé des géants comme Maersk et Merck, causant 10 milliards de dollars de dégâts en quelques heures. Ports bloqués, livraisons médicales retardées : les dommages ne sont pas que financiers.
RépondreSupprimerEn Ukraine, en 2015, 230 000 foyers ont perdu l’électricité en plein hiver, victimes du malware BlackEnergy. « On n’avait ni chauffage ni lumière, et les hôpitaux étaient débordés », témoigne un habitant de Kiev cité dans un rapport de l’ENISA. Au Mali, en 2022, des vidéos truquées diffusées par le groupe Wagner sur Facebook ont attisé les tensions ethniques, contribuant à des violences communautaires. Ces attaques ne tuent pas directement, mais elles fragilisent les sociétés, exacerbant la pauvreté et l’insécurité.
La confiance, première victime
Quand les services numériques s’effondrent, la foi dans les institutions vacille. En Estonie, en 2007, une vague de cyberattaques a paralysé banques et sites gouvernementaux pendant trois semaines, coûtant 1,2 milliard d’euros. Dans ce pays pionnier de l’e-gouvernance, les citoyens ont vu leur quotidien bouleversé, remettant en question la fiabilité de l’État. « On s’est sentis vulnérables, comme si tout pouvait s’arrêter du jour au lendemain », confie un fonctionnaire estonien au NATO CCDCOE.
Cette érosion de la confiance alimente les divisions. Au Mali, les campagnes de désinformation de Wagner ont exacerbé les tensions postcoloniales, précipitant le retrait des forces françaises. Ces manipulations, souvent amplifiées sur les réseaux sociaux, transforment l’information en arme.
RépondreSupprimerDes rivalités géopolitiques amplifiées
Les cyberattaques ne se contentent pas de frapper localement : elles attisent les conflits mondiaux. L’attaque contre les installations pétrolières d’Aramco en 2019, attribuée à l’Iran, a fait grimper le prix du pétrole de 15 % en quelques jours, touchant les consommateurs du monde entier. Cette opération hybride, mêlant drones et piratage informatique, a révélé la capacité de puissances comme l’Iran à déstabiliser des adversaires sans engager de troupes.
Ces tensions s’inscrivent dans des rivalités plus larges. La Russie, avec son attaque NotPetya, visait initialement l’Ukraine mais a perturbé des chaînes d’approvisionnement mondiales. Ces « dommages collatéraux » montrent que personne n’est à l’abri dans un monde interconnecté.
Les obstacles : pourquoi sommes-nous vulnérables ?
Des armées mal préparées : les armées occidentales peinent à suivre. La France consacre seulement 10 % de son budget défense à la cybersécurité, contre 20 % pour la Chine, selon l’IFRI. Pendant ce temps, la Corée du Nord, avec ses 6 000 hackers du Bureau 121, rivalise avec des puissances bien plus riches. « Nous sommes en retard, et nos doctrines privilégient encore les chars aux algorithmes », alerte un expert de l’ANSSI.
Une chaîne d’approvisionnement fragile : les semi-conducteurs, cœur des technologies modernes, viennent à 80 % de Taïwan, une vulnérabilité stratégique majeure (CSIS, 2025). En 2011, l’Iran a piraté un drone américain MQ-9 Reaper via une attaque de GPS spoofing, prouvant que même les équipements les plus avancés restent fragiles.
Une pénurie de talents : les cyber combattants français gagnent 40 000 euros par an, trois fois moins que dans le privé, selon l’ANSSI. Recruter des hackers est un défi : un programme britannique de 2023 a vu 80 % des candidats refuser les contraintes militaires. « Les armées rebutent les génies du code », déplore un recruteur.
Un vide juridique : le droit international est dépassé. L’attaque NotPetya n’a entraîné aucune sanction, faute de cadre légal clair. Le Paris Call de 2018, soutenu par la France, reste ignoré par la Russie et la Chine, rendant la « paix numérique » illusoire.
Vers une défense numérique : cinq solutions concrètes
Pour contrer ces menaces, il faut agir vite et intelligemment. Voici cinq pistes pour un avenir plus sûr :
Fusionner les champs de bataille : intégrer cyber, espace et terrain, comme le fait le Commandement de l’Espace français. Des satellites offensifs pourraient neutraliser les réseaux ennemis avant qu’ils ne frappent.
RépondreSupprimerInvestir dans l’avenir : l’intelligence artificielle, comme le programme GARD de DARPA (détection des attaques en 0,3 seconde), et la cryptographie quantique, testée par la Chine, sont des priorités. La France doit suivre.
Attirer les talents : inspirons-nous d’Israël, où l’unité 8200 forme 1 000 cyber combattants par an. Des primes et des formations dans des écoles comme l’EPITA pourraient séduire les hackers.
Renforcer la résilience : la Finlande protège 90 % de ses réseaux grâce aux normes ISO 27001. La France pourrait former ses citoyens, comme la Suède, où 70 % des écoliers apprennent à repérer la désinformation.
Négocier une trêve numérique : renforcer le Paris Call et les coalitions comme Five Eyes peut limiter les cyberattaques. Le partage de renseignements a déjà neutralisé des serveurs russes en 2017.
Un défi éthique et humain
Les cyberattaques soulèvent des questions morales. Couper l’électricité à des civils, comme en Ukraine, ou perturber des hôpitaux, comme avec NotPetya, viole-t-il le droit humanitaire ? « Nous devons fixer des limites, sinon la guerre numérique deviendra incontrôlable », avertit le Comité international de la Croix-Rouge. Les citoyens, eux, ont un rôle à jouer : en s’éduquant contre la désinformation, ils deviennent les premiers défenseurs de la vérité.
L’émergence de nouveaux acteurs
Les cyberattaques ne sont plus l’apanage des grandes puissances. La Turquie, avec son Cyber Command créé en 2021, investit massivement dans des capacités offensives, tandis que la Corée du Nord, via son Bureau 121 et ses 6 000 hackers, rivalise avec des nations bien plus riches. Même des groupes non étatiques entrent dans la danse : en 2022, le collectif hacktiviste Anonymous a fuité 800 Go de données russes pour protester contre l’invasion de l’Ukraine.
« Tout le monde peut devenir un acteur dans ce champ de bataille numérique », explique un analyste de Recorded Future. Ces nouveaux joueurs compliquent la donne, rendant la cybersécurité plus imprévisible que jamais.
À quoi ressemblera la guerre de demain ?
RépondreSupprimerD’ici 2035, l’intelligence artificielle (IA) pourrait transformer les conflits. Des deepfakes ultra-réalistes, capables de manipuler l’opinion publique en quelques clics, inquiètent déjà les experts. Les objets connectés (IoT), comme les thermostats ou les caméras domestiques, pourraient être détournés pour créer des botnets massifs, amplifiant les attaques comme celle de Mirai en 2016, qui a généré 1,2 Tbps de trafic. « Imaginez une ville entière paralysée par ses propres appareils », avertit un expert de CCDCOE. Les armes autonomes, drones ou robots, soulèvent aussi des questions : qui sera responsable si une IA déclenche une attaque incontrôlée ?
Pour rester en tête, les nations doivent investir dès maintenant. L’IA défensive, comme le programme GARD de DARPA, détecte les menaces en 0,3 seconde. La cryptographie quantique, testée par la Chine avec le satellite Micius, promet des communications inviolables. Mais ces technologies coûtent cher, et des pays comme la France, avec seulement 200 opérateurs hybrides, risquent de se laisser distancer.
Un combat collectif
Face à ces menaces, la réponse ne peut pas reposer uniquement sur les armées. Les citoyens ont un rôle clé. En Suède, 70 % des écoliers apprennent à repérer les fake news, une initiative que la France pourrait imiter. « Si on ne forme pas les gens, la désinformation gagne », insiste un expert de l’ANSSI. Pour garantir une approche neutre, des ateliers indépendants, libres de toute influence étatique ou idéologique, devraient être privilégiés afin d’éviter que l’État ne façonne l’enseignement selon ses propres intérêts.
Les entreprises privées, comme Microsoft, qui a neutralisé des botnets russes en 2022, sont aussi des alliés précieux. Mais cela exige une coopération inédite entre gouvernements, entreprises, et citoyens.
Sur le plan international, des coalitions comme Five Eyes (États-Unis, Royaume-Uni, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande) partagent déjà des renseignements pour contrer les cyberattaques. Le Paris Call, lancé par la France en 2018, cherche à établir des règles pour le cyberespace, mais sans la Russie ni la Chine, son impact reste limité. « C’est comme une table de négociation à moitié vide », ironise un diplomate.
Un conflit récent : la cyber-guerre Israël-Iran de juin 2025
RépondreSupprimerLe conflit de 12 jours entre Israël et l’Iran, déclenché le 13 juin 2025 par des frappes israéliennes sur des sites nucléaires iraniens, a illustré la montée en puissance des cyberarmes. Alors qu’Israël déployait des drones et des missiles dans l’opération « Rising Lion », des groupes pro-israéliens comme Predatory Sparrow revendiquaient des cyberattaques dévastatrices, paralysant la banque Sepah et dérobant potentiellement 90 millions de dollars à l’échange crypto iranien Nobitex.
De son côté, l’Iran a riposté avec des salves de missiles et des tentatives de piratage contre des entreprises américaines et israéliennes, notamment via des campagnes de désinformation visant la campagne électorale de Donald Trump. Malgré un cessez-le-feu fragile, plus de 600 revendications d’attaques ont inondé Telegram en 15 jours, montrant que la guerre numérique ne s’arrête pas aux trêves. « Ces cyberopérations sont un prolongement du conflit, avec l’avantage de l’anonymat », explique un expert militaire en cyber opérations. Ce nouvel épisode souligne l’urgence d’une défense numérique robuste face à des menaces toujours plus sophistiquées, « la guerre entre Israël et l’Iran était un test de la domination technologique » écrit le Times of Israël.
La vérité comme rempart
Des pannes d’électricité en Ukraine aux ports bloqués par NotPetya, les cyberattaques redessinent la guerre. Le récent conflit de juin 2025 entre Israël et l’Iran en est la preuve : alors qu’Israël frappait des sites nucléaires, des hackers pro-israéliens paralysaient des banques iraniennes, tandis que Téhéran ripostait par des cyberattaques et des campagnes de désinformation visant la campagne de Trump. Malgré un cessez-le-feu, la guerre numérique se poursuit, avec 600 revendications d’attaques sur Telegram en 15 jours.
Ces conflits fracturent les sociétés, attisent les rivalités et menacent nos libertés. Pourtant, ils sont aussi une opportunité. En formant des cyberdéfenseurs, en sécurisant nos réseaux, et en éduquant les citoyens, nous pouvons bâtir un monde plus résilient.
La France, avec ses 200 opérateurs hybrides, doit accélérer la cadence pour ne pas se laisser dépasser. Dans cette guerre invisible, la vérité et la vigilance sont nos meilleures armes.
Pour plus d’information lire le rapport d’information de la Commission de la Défense Nationale et des Forces Armées.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/quand-les-cyberattaques-frappent-plus-fort-que-les-bombes-analyse
Les 'attaques de drones' peuvent être anéanties grâce aux radars d''approche' car ils évoluent sous radars. Donc, comme il y a des pylônes pour la 5 ou 6G il peut y avoir des radars qui captent les drones et facilités de s'en défendre.
SupprimerPour ce qui sont les attaques hertziennes compatibles à pénétrer les systèmes informatiques la solution est de présenter des modèles dirigés par les êtres humains (comme anciens temps les feux rouge) afin que nul au monde n'en puisse modifier leurs états.
Mais le mal est là, comme celui de l'invasion des immigrés il est voulu par les pouvoirs publics qui n'en veulent répondre.
Suffit de regarder les véhicules d'aujourd'hui dotés de mécanismes sophistiqués qui sont la proie des satellites et qui peuvent être mis en panne à distance.
Ancien temps il n'y avait pas çà.
C'est aussi pourquoi il y a fragilité des conceptions actuelles face à l'EMP (Impulsion Electro Magnétique). L'intelligence est toute simple: s'en défendre et non en retarder les dégâts.
La Bulgarie, pays plus pauvre de l’UE, adhère à la zone euro
RépondreSupprimerM.A.
le 10 juillet 2025 - 14:12
Pays le plus pauvre du bloc européen, la Bulgarie, membre de l’UE depuis 2007, fait son entrée dans la zone euro. Les ministres des Finances de l’union ont donné mardi 08 juillet leur feu vert à l’adoption de cette monnaie par Sofia. Ce pays, historiquement proche de la Russie, abandonnera sa monnaie nationale, le lev, dès le 1er janvier 2026. Le Premier ministre, Rossen Jeliazkov, s’est félicité du moment “historique”, qui intervient après des semaines de manifestations contre cette adhésion à la zone euro.
La Bulgarie a officiellement manifesté son intention d’adhérer à la zone euro dès son entrée dans l’Union européenne en 2007, mais le processus concret a véritablement débuté en 2018. Le pays a rejoint le mécanisme de change européen (MCE II), considéré comme la “salle d’attente” de l’euro, en juillet 2020.
Un moment “historique” mais surtout tendu pour les Bulgares
Sofia a toutefois été freiné, principalement par une inflation trop élevée et une instabilité politique persistante, avec une succession de gouvernements éphémères et des élections anticipées à répétition. Une volatilité politique qui a empêché l’adoption de réformes économiques, freinant la Bulgarie dans ses efforts de satisfaire les critères de convergence exigés par l’Union européenne et la Banque centrale européenne (BCE).
Ces deux institutions ont fini par donner leur feu vert à l’adhésion de la Bulgarie à la zone euro début juin 2025, donnant par la même occasion le coup d’envoi de plusieurs semaines de manifestations. Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées pour exprimer leur opposition, brandissant des slogans comme “Non à l’euro” et installant des tentes devant la Banque nationale bulgare.
Les manifestants disaient craindre une possible flambée des prix et une perte de souveraineté économique. De récents sondages révélaient que près de la moitié des Bulgares se disent opposés à l’entrée dans la zone euro, alimentés par la méfiance envers les institutions et la peur de l’inflation. Les pros-euro y voit, au contraire, une réussite et accusent les manifestants d’être influencés par Moscou.
Pas de quoi refroidir les ministres des Finances de l’UE qui ont approuvé la candidature de la Bulgarie mardi. L’entrée officielle de ce pays dans la zone euro est prévue pour le 1er janvier 2026.
“Nous l'avons fait !”, s’est rapidement félicité le Premier ministre bulgare Rossen Jeliazkov, qui a qualifié ce moment, sur un post X, “d'historique”. “Rejoindre la zone euro, c'est bien plus que remplacer le lev par l'euro. Cela vise à construire un avenir meilleur et plus prospère pour la Bulgarie et ses citoyens au cœur de l'Europe”, a-t-il déclaré à la fin du vote.
RépondreSupprimerDans son post X, il a aussi appelé à une adoption “harmonieuse” et “efficace”. “Si nous admettons que l'objectif principal du gouvernement est la prospérité de la nation, notre mission principale est de faire en sorte que les Bulgares de la zone euro bénéficient de revenus et d'un pouvoir d'achat plus élevés, afin que leurs revenus dépassent l'inflation”, a-t-il ajouté en conférence de presse.
Maintenir la pression sur Moscou
Malgré quelques progrès économiques, la Bulgarie reste le pays le plus pauvre de l’Union européenne, avec un niveau de vie et des indicateurs sociaux inférieurs à la moyenne du bloc. L’opinion publique reste par ailleurs divisée, beaucoup de Bulgares redoutant une hausse des prix et doutant que l’intégration monétaire améliore rapidement leur situation sociale.
Mais au-delà des considérations économiques, l’adhésion de la Bulgarie à la zone euro semble surtout s’inscrire dans une stratégie géopolitique de l’Union européenne visant à renforcer sa cohésion et à maintenir la pression sur la Russie, même si cela implique de prendre le risque d’intégrer un pays dont le niveau de développement reste fragile.
Pour Bruxelles, il s’agit d’un signal fort adressé à Moscou, montrant que l’attractivité du projet européen demeure intacte dans les Balkans, région historiquement proche de la Russie. Dans cette même logique, la volonté de Kiev d’adhérer à l’Union européenne s’est affirmée dès le début de la guerre en 2022, l’Ukraine considérant l’intégration européenne comme un gage de sécurité.
Malgré le soutien affiché de la plupart des dirigeants européens et l’ouverture officielle des négociations d’adhésion en juin 2024, le processus reste entravé par le veto ou l’abstention de certains États membres, notamment la Hongrie. Cette situation illustre en même temps les divisions persistantes au sein de l’UE sur la question de l’élargissement et la difficulté de concilier ambitions géopolitiques et exigences d’unanimité, comme la suspension définitive de l’approvisionnement en gaz et pétrole russes.
https://www.francesoir.fr/monde/la-bulgarie-pays-plus-pauvre-de-l-ue-adhere-la-zone-euro
Le tableau ci-dessous est issu de la Lettre d'Informations Économiques Stratégiques Internationales.
SupprimerÉvolution de quelques prix due au passage du Franc à l'euro. (1 Franc = 15 cts d'€) 1,50 € = 10 Francs
2000 (en Francs), puis, en l'an 2000 (en €), 2006 (€), et pourcentage
Baguette de pain 3 Frs --------0,46€ ------------0,85€ +86 %
Laitue 4 Frs ------------------------0,69€--------------1,50€ +118 %
Café 6 Frs ---------------------------0,91€--------------1,50€ +64 %
Gaz butane 130 Frs ------------19,82€ ---------------26€ +31 %
Fuel (500 litres) 1200 Frs ---182,93€ -------------315€ +72 %
Litre de lait 1,30 Frs ------------0,20€ --------------0,56€ +183 %
Brie 2,60 Frs -----------------------0,40€----------------0,94€ +137 %
Coulommiers 5,20 Frs ---------0,79€ --------------2,07€ +161 %
5 kg p. de terre 1,50 Frs-------0,23€ ---------------4,30€+1781 %
Confiture 9,90 Frs ---------------1,51€ --------------3,20€ +112 %
Chou vert 5 Frs -------------------0,76€----------------1,50€ +97 %
Beurre 250 grs 3,75 Frs -------0,57€ ---------------0,95€ +66 %
Voir prix en 2011 pour comparer.
http huemaurice7.blogspot.fr201107le-prix-du-kilometre.html
Pesticides, mégabassines, élevage intensif : La loi Duplomb est passée
RépondreSupprimerle 09 juillet 2025 - 15:05
Portée par deux sénateurs de droite et adoubée par la FNSEA, la très controversée loi Duplomb a été votée mardi 8 juillet. Elle prétend « libérer » l’agriculture française, en facilitant l’usage de pesticides dangereux, en légalisant les mégabassines comme d’intérêt public, et en étendant l’élevage industriel et la place la police de l’environnement sous contrôle préfectoral.
Adopté par 316 voix contre 223, le texte va clairement à l'encontre des deux dernières décennies de protections environnementales. L’interdiction de certains néonicotinoïdes est contournée au nom d’une compétitivité fantasmée, sans garde-fous clairs. « Nous sommes le seul pays en Europe à être tombé dans le piège », se félicite cyniquement Laurent Duplomb. Pour Yoann Coulmont, de Générations Futures, « la dérogation est très large, sans limite temporelle. » Le retour des pesticides s’ajoute à la sanctuarisation des mégabassines, désormais jugées d’intérêt public majeur, malgré leur impact désastreux sur les écosystèmes.
Reporterre rappelle que seuls 1 % des agriculteurs irrigants profiteront de ces réservoirs colossaux, construits au détriment d’espèces protégées. Dans le même mouvement, les seuils de contrôle des élevages intensifs sont relevés, autorisant jusqu’à 85 000 volailles sans étude d’impact systématique. « On favorise les fermes-usines au détriment des petits éleveurs », alerte Thomas Uthayakumar (FNH). Pire encore, l’Office français de la biodiversité perd son indépendance : ses missions seront désormais placées sous tutelle préfectorale. « Un préfet pourra orienter, voire bloquer nos contrôles », s’indigne Sylvain Michel, syndicaliste CGT.
Si l’indépendance de l’Anses a été miraculeusement sauvée en dernière minute, le maintien d’un comité opaque capable d’influencer les autorisations laisse présager de nouveaux assauts.
https://www.francesoir.fr/politique-france/pesticides-megabassines-elevage-intensif-la-loi-duplomb-est-passee
Enfin la France renaît ! L'agriculture s'embellit ! Les mauvaises herbes n'empêcheront plus les moissons ! Le Retour du Round'Up ! Et de plus, il peut y avoir des réserves d'eau !! face aux gros cons escrologistes qui bétonnent de partout, font d'immenses parkings et goudronnent même des pistes cyclables !!
SupprimerLe Léviathan climatique de l'UE : le système d'échange de quotas d'émission de gaz carbonique va pénaliser les automobilistes allemands d'ici 2027
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 10 JUILLET 2025 - 12h30
Soumis par Thomas Kolbe
À partir de 2027, un choc des prix à la station-service menace les automobilistes. Le système d'échange de quotas d'émission de l'UE (SEQE II) sera étendu aux secteurs des transports et du bâtiment.
Une nouvelle vague de hausses de prix est en cours. Et oui, une fois de plus, le moteur de l'inflation sera la politique climatique de l'Union européenne, comme c'est souvent le cas ces derniers temps. Fin janvier, le Bundestag a déjà approuvé la mise en œuvre de la réforme du système européen d'échange de quotas d'émission, qui prévoit le libre-échange de certificats de gaz carbonique (0,041 % de notre atmosphère) à partir de 2027 dans les secteurs des transports et du bâtiment.
Qu'a-t-on décidé ?
Jusqu'à fin 2026, l'Allemagne appliquera un prix fixe sur la consommation de gaz carbonique émis par l'utilisation de combustibles fossiles. Ce prix est actuellement fixé à 55 € par tonne et devrait passer à 65 € l'année prochaine. Après cette date, la redevance, définie politiquement, prendra fin. À partir de 2027, le prix sera déterminé par le marché européen d'échange de quotas d'émission – un marché libre où les entreprises doivent enchérir pour obtenir des droits d'émission de gaz carbonique avant de consommer, et où l'Union européenne peut fixer le nombre maximal de certificats disponibles – un puissant outil réglementaire susceptible de générer d'importants conflits. Il s'agit de l'instrument le plus puissant jamais utilisé par la Commission européenne pour influencer directement le comportement des citoyens.
Qu'est-ce que cela signifie pour la vie quotidienne ?
Selon les calculs de l'ADAC, à partir de 2027, une hausse des prix pouvant atteindre 38 centimes par litre de diesel ou d'essence est attendue – et pourrait même être plus importante selon les conditions du marché. Pour 2026, une augmentation d'environ 3 centimes est déjà prévue. Pour une famille de quatre personnes possédant deux véhicules et parcourant 30 000 kilomètres par an, les coûts supplémentaires liés à la rareté artificielle des certificats s'élèvent rapidement à entre 500 et 800 € par an. Pour de nombreuses personnes vivant dans des régions rurales ou structurellement fragiles, la mobilité devient alors une question de prix. Des millions de navetteurs, dont la survie dépend de leur voiture, sont laissés pour compte. Politiquement, ils ne jouent qu'un rôle secondaire, celui de financeurs de ce spectacle. Il est scandaleux que l'État perçoive déjà 54 % des taxes à la pompe et reste insatisfait.
Les associations sociales réclament des compensations
RépondreSupprimerCe n'est que tardivement que les organisations sociales ont réagi aux hausses de prix imminentes. Dans un plan en cinq points, elles réclament une augmentation substantielle du Fonds social européen pour le climat, actuellement doté de 65 milliards d'euros. Cet argent est destiné à alléger le fardeau des ménages à faibles revenus et des petites entreprises touchées pendant la transition vers le système d'échange de quotas d'émission.
C'est le schéma de réaction typique d'une spirale interventionniste : Bruxelles déclenche des coûts exorbitants pour l'économie réelle avec sa politique climatique. Immédiatement, un flot d'appels à l'aide et de demandes de subventions s'ensuit. Naturellement, cela entraîne des charges budgétaires supplémentaires – des fonds que ni les États membres de l'UE ni la Commission elle-même ne peuvent mobiliser.
On sait clairement qui en paiera la facture. Le contribuable, qui paie finalement deux fois : une fois pour le système d'échange de quotas d'émission et une fois pour les politiques sociales compensatoires, dont les coûts explosent.
Un regard outre-Atlantique
De l'autre côté de l'Atlantique, la situation est différente. Alors que l'Allemagne augmente drastiquement les prix du gaz carbonique à partir de 2027 et que les prix des carburants pourraient augmenter jusqu'à 38 cents par litre, le prix moyen de l'essence aux États-Unis s'élève actuellement à environ 0,83 € par litre. Parallèlement, sous la présidence de Donald Trump, les États-Unis ont adopté une nouvelle orientation en matière de politique énergétique : le gouvernement déréglemente le secteur de l’énergie et accélère les projets d’infrastructures, comme la construction de nouveaux pipelines, pour accroître la production de combustibles fossiles comme le pétrole et le gaz. Les subventions aux énergies renouvelables sont réduites ; le marché doit décider où et combien investir dans des sources d’énergie spécifiques.
Ce revirement vise à garantir la sécurité de l’approvisionnement et à maintenir la stabilité des prix de l’énergie. Plutôt que de recourir à l’intervention de l’État et à la fiscalité, on s’appuie sur les forces du marché et l’innovation. Une approche pragmatique qui minimise les contraintes économiques pour les consommateurs et les entreprises, tout en renforçant la souveraineté énergétique des États-Unis, premier producteur mondial de pétrole.
Une politique sans mesure ni modération
En appliquant strictement la demande de Bruxelles concernant la libre tarification des certificats de gaz carbonique, l’Allemagne dessert une fois de plus la partie productive de la société qui dépend de la mobilité. Et ce, précisément à un moment où l'économie allemande stagne déjà sous le poids d'une réglementation climatique excessive, d'une bureaucratie étouffante et de taxes exorbitantes, piégée dans une récession dont elle ne peut échapper. La tarification du gaz carbonique prévue à partir de 2027 constitue non seulement un risque social, mais aussi une fuite en avant économique qui ignore délibérément la réalité économique du pays.
https://www.zerohedge.com/economics/eus-climate-leviathan-co2-trading-scheme-cripple-german-drivers-2027
Le monde progresse, chaque machine soulage l'être humain dans son travail; donc: chaque être humain devrait être riche d'avoir des esclaves qu'il ne paie pas. Mais voilà il y a l’État !
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