L'OMS et le nouveau laboratoire de haute sécurité en Suisse pour les agents pathogènes pandémiques
par Meryl Nass mai 12, 2025
L'OMS a créé son propre système d'accès aux agents pathogènes - avec un laboratoire de haute sécurité et « un système rapide et fiable pour le transfert d'agents pathogènes susceptibles de déclencher des épidémies ou des pandémies » - et elle se moque de nous.
Dans un communiqué de presse de juin dernier que je viens de retrouver, on s'en vante même ouvertement.
Qu'est-ce que cela signifie concrètement ?
L'OMS a constitué sa propre collection d'agents pathogènes pandémiques potentiels (PPP) - en contournant ses États membres. Au lieu de cela, elle a conclu de manière autonome des accords avec la Suisse et un laboratoire suisse à Spiez. Selon le communiqué de presse du 13 juin 2024 lié ci-dessus, cette décision a été prise immédiatement après la fin de l'Assemblée mondiale de la santé, qui avait auparavant refusé d'adopter le traité sur les pandémies ainsi que le système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages (PABS) qu'il contient avant le 1er juin 2024. En réaction directe, l'OMS a contourné ses membres et a signé à la place son propre accord, étendant un accord antérieur avec la Suisse et le laboratoire de Spiez.
En outre, on pouvait lire sur le site Internet de l'OMS, dont le lien figure ci-dessus, que cette bibliothèque de prêt contient déjà de nombreux exemplaires du SRAS-CoV-2 et de la variole du singe (mpox) - et qu'elle accueillera bientôt d'autres agents pathogènes mortels dans son installation de haute sécurité. Il s'agit très probablement d'un laboratoire de niveau de biosécurité 4 (BSL-4).
Persistance de la protéine S1 post-vaccination : une étude relance le débat sur la sécurité des vaccins COVID-19
Le Collectif Citoyen, France-Soir le 14 mai 2025 - 21:00
Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.
Principaux résultats de l’étude
L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.
Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :
La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis. La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée. Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :
Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections). Chez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires. En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.
L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.
En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas.
Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.
Réactions publiques et minimisation des risques en 2021
En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.
Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.
Les commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.
Réactions sur les réseaux sociaux
L’épidémiologiste Nicolas Hulscherrelaie l’étude, suscitant des réactions mitigées. Nic Hulscher
Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.
Implications et limites de l’étude L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.
Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.
Persistance de la protéine S1 post-vaccination : une étude relance le débat sur la sécurité des vaccins COVID-19
Le Collectif Citoyen, France-Soir le 14 mai 2025 - 21:00
Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.
Principaux résultats de l’étude
L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.
Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :
La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis. La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée. Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :
Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections). Chez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires. En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.
L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.
En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas.
Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.
Réactions publiques et minimisation des risques en 2021
En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.
Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.
Les commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.
Réactions sur les réseaux sociaux L’épidémiologiste Nicolas Hulscherrelaie l’étude, suscitant des réactions mitigées.
Nic Hulscher
Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.
Implications et limites de l’étude
L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.
Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.
Conséquences pour la santé publique
Ces résultats remettent en question le narratif initial de sécurité absolue des vaccins COVID-19. Avec plus de 13 milliards de doses administrées mondialement, même une faible proportion de cas de PCVS pourrait représenter des millions de personnes affectées. Cela appelle à une pharmacovigilance renforcée et à des études indépendantes sur les effets à long terme des vaccins.
La minimisation des risques en 2021, couplée à l’absence d’études clés, a alimenté la méfiance envers les institutions. Cette étude pourrait exacerber cette fracture, rendant cruciale une communication transparente pour restaurer la confiance. Elle souligne également l’urgence de développer des vaccins avec des profils de sécurité mieux caractérisés.
Lien avec les alertes de BonSens.org
Dès juillet 2021, l’association BonSens.org avertissait les parlementaires français des risques liés aux vaccins COVID-19, soulignant l’absence d’études sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité, ainsi que les signalements élevés d’effets indésirables graves rapportés par l’ANSM (près de 200 000 déclarations dont 25% de graves). Dans ses courriers, BonSens.org dénonçait une communication officielle biaisée, violant le principe du consentement libre et éclairé, et mettait en garde contre les conséquences juridiques et sanitaires d’une obligation vaccinale. Ces alertes, largement ignorées à l’époque et qualifiées de « désinformation » par certains, trouvent un écho dans l’étude de Patterson et al., qui confirme la persistance de protéines vaccinales et leurs effets inflammatoires potentiels. BonSens.org avait également appelé à un moratoire sur la vaccination de masse, une position qui, rétrospectivement, semble prémonitoire face aux incertitudes scientifiques révélées par cette étude.
L'histoire de la candidate au poste de médecin généraliste est-elle vraiment vraie ?
DR NAOMI WOLF 11 MAI 2025
Oui, une vive polémique fait rage actuellement parmi les militants de la MAHA. Oui, elle est liée à l'annonce, le 7 mai 2025, de la nomination de Casey Means, « influenceuse bien-être » et auteure à succès, comme remplaçante du Dr Janette Nesheiwat, comme candidate du président Trump au poste de médecin généraliste. Il s'est avéré que le Dr Nesheiwat avait falsifié ses qualifications médicales.
Un message de Nicole Shanahan, ancienne candidate à la vice-présidence, sans le soutien financier et stratégique de laquelle RFK Jr. a soutenu la candidature de ce dernier, ni lui ni le président Trump ne seraient au pouvoir aujourd'hui, a été largement diffusé. Mme Shanahan a trouvé « étrange » que l'assurance directe de RFK Jr., en échange de son soutien à sa confirmation, que ni Casey ni son frère Calley Means ne seraient recrutés pour servir au HHS, ait été ignorée.
On a observé une forte condescendance – malheureusement, en grande partie masculine – suite aux expressions d'indignation de personnalités clés du MAHA, dont beaucoup de femmes. Le compte @SecKennedy sur X a qualifié d'« absurdes » les critiques de Casey Means formulées par des personnalités du MAHA. C'est un ton terriblement déplacé pour répondre aux vives inquiétudes d'une base qui a combattu pour ce leader et l'a soutenu.
Calley Means, pour sa part, le frère de Casey Means, s'est montré insultant. Il a usé de sarcasme pour m'attribuer, comme exemple de réaction regrettable à l'indignation du MAHA, des opinions que je ne partage pas :
Je n'ai jamais dit, contrairement à ce malheureux message, que Casey Means « doit » faire partie d'un « complot de la CIA ». Je n'ai jamais dit que « l'État profond » avait quoi que ce soit à voir avec son ascension fulgurante vers la notoriété nationale.
J'ai dit – et je maintiens ma position – qu'il me semble que Casey Means et Calley Means nous ont été envoyés par des intérêts plus inquiétants que la CIA.
La Silicon Valley est plus effrayante que n'importe quelle agence gouvernementale, et bien plus puissante. Les frères Means, je le maintiens, représentent les intérêts de la Silicon Valley, et non les nôtres.
J'ai dit – et je maintiens ma position – qu'ils semblent tous deux chargés de défendre les intérêts des géants de la tech dans leur course effrénée à l'exploitation de la mine d'or que constituent les données précieuses et intactes – notamment nos données médicales privées – actuellement conservées sous clé par le gouvernement américain.
J'ai soulevé ce point dans mon essai du 12 février 2025 sur ce que je considérais comme le ciblage de nos données par Elon Musk à l'époque. Cet essai était intitulé « Le sac de Rome ». J'avais alors averti que Musk et d'autres oligarques de la Silicon Valley recherchaient ces données, et que l'équipe du président Trump ne semblait pas comprendre les risques graves et irrévocables que cette mission représentait.
Je savais alors, de par ma propre expérience de PDG d'entreprise technologique, qu'Elon Musk utiliserait certainement sa propre IA ou son propre code (et pas seulement notre IA souveraine) sur nos ensembles de données. Il l'a fait un mois plus tard. Je savais alors que l'équipe de Musk chercherait à fusionner les ensembles de données de plusieurs agences (comme elle a cherché à le faire plus tard).
Quiconque travaille avec des spécialistes des technologies sait que ces actions dangereuses et destructrices seraient inévitables, en raison de la valeur que représente pour l'IA de Musk son entraînement sur nos ensembles de données, et de la valeur que représenterait la capacité de Musk à créer une « application universelle » que représenterait la fusion d'ensembles de données de plusieurs agences.
J'avais averti dans cet essai, ainsi que dans le podcast War Room de Bannon, que l'administration Trump était confrontée à un risque catastrophique pour sa sécurité, car Musk recherchait des courriels d'agences de sécurité nationale et de renseignement concernant « cinq choses que j'ai faites cette semaine ». Je savais que l'objectif de Musk était de créer une base de données de ces courriels. Ces communications, ai-je prévenu, pourraient être lues par une machine et transformées en une base de données non sécurisée et non interne contenant les projets de renseignement les plus importants de notre nation. J'avais peut-être raison : « Trois sources connaissant le système ont signalé à NBC que les réponses sont intégrées à un modèle de langage étendu afin de déterminer si le travail d'une personne est critique ou non. »
Dans au moins deux cas, DOGE a soit réécrit son propre code en IA gouvernementale, soit hébergé des activités de financement gouvernementales sensibles sur une plateforme tierce – Microsoft.
J'ai alerté sur WarRoom du terrible risque pour la sécurité nationale que représentait l'utilisation par l'administration de toute plateforme tierce. Je m'inquiétais alors de l'IA d'Elon Musk et du licenciement par celui-ci des technologues du gouvernement américain dont la mission serait d'alerter sur les dangers que ses activités représentent pour la sécurité nationale et la sécurité de l'information.
Un mois plus tard, le scandale Signal éclatait – et nos secrets vitaux en matière de sécurité nationale, notamment les détails communiqués par le secrétaire à la Défense Pete Hegseth sur le calendrier d'une frappe militaire au Yémen, étaient partout… sur une plateforme numérique tierce.
Comment l'administration aurait-elle pu être protégée de ces effroyables failles de sécurité ? Un tiers des experts techniques du Service numérique des États-Unis, ceux qui auraient compris les failles de cybersécurité, ont été licenciés par courriel anonyme ; 21 autres ont démissionné, dans une lettre adressée à la Maison-Blanche le 25 février 2025, qui avertissait avec force que les données du gouvernement des États-Unis ne pouvaient plus être sécurisées :
« Les actions du DOGE – licenciement d'experts techniques, mauvaise gestion de données sensibles et piratage de systèmes critiques – sont en contradiction avec sa mission déclarée de « modernisation des technologies et logiciels fédéraux afin de maximiser l'efficacité et la productivité du gouvernement », indique la lettre. « Ces actions sont incompatibles avec la mission pour laquelle nous avons rejoint le Service numérique des États-Unis : offrir de meilleurs services au peuple américain grâce à la technologie et au design. » […]
« Nous n'utiliserons pas nos compétences de technologues pour compromettre les systèmes gouvernementaux essentiels, compromettre les données sensibles des Américains ou démanteler des services publics essentiels », indiquait la lettre. « Nous ne prêterons pas notre expertise pour mener à bien ou légitimer les actions de DOGE. »
Les technologues du gouvernement américain licenciés ou démissionnaires auraient dû avertir l'administration que Signal n'était pas sécurisé. Une fois les technologues partis, c'est DOGE qui aurait dû avertir les collègues non techniques de Musk que Signal n'était pas sécurisé.
Mais DOGE ne l'a pas fait.
Hum.
Ce qui nous amène à Casey Means.
Casey Means est en réalité une création de la Silicon Valley, destinée également, selon moi, à piller nos données gouvernementales et à réorienter la politique de santé américaine pour l'aligner sur les intérêts des géants de la technologie, notamment dans le domaine en plein essor de la biométrie.
Permettez-moi maintenant de rappeler les passages de « Le Saccage de Rome », qui expliquent pourquoi les données, notamment biométriques, sont si précieuses pour la Silicon Valley :
Le président Trump et l'équipe MAGA, dont les dirigeants sont presque tous issus de la génération pré-Internet, ne mesurent peut-être pas l'importance financière pour la Silicon Valley d'une possible violation de ces données par Elon Musk.
Mais les Broligarques en comprennent assurément la valeur, une valeur si vaste qu'elle est presque indescriptible.
Ce à quoi Musk et ses ingénieurs ont eu accès au cours de leur week-end en tête-à-tête avec nos données, c'est bien sûr un gouvernement détenant les archives des affaires civiques des Américains ; mais à l'ère du numérique, évaluée au sein d'une économie numérique, c'est aussi une mine d'or d'une valeur inimaginable.
Imaginez une mine d'or remplie de doublons inestimables et entièrement frappés. Ce n'est pas une mine d'or pour les citoyens, dont beaucoup expriment leur haine et leur mépris pour le gouvernement, y compris pour ses bureaucraties. Mais du point de vue des Broligarchs, il s'agit d'un trésor inestimable, constitué des données les plus pures, les plus précises, les plus pures, les moins ambiguës et de la plus haute qualité. En raison des restrictions de confidentialité et des pare-feu gouvernementaux, les Broligarchs n'ont pas pu accéder à ce trésor. Ils le veulent. Ils en rêvent.
Pourquoi le désirent-ils tant ? Pourquoi font-ils sauter le champagne, alors que l'un des leurs a obtenu les clés de cette mine d'or et s'y est introduit sans broncher, et a peut-être déversé, en quelque sorte, tous ces doublons inestimables, intacts, alors que les gardes de la mine étaient (en vertu d'un contrat gouvernemental) absents ou ont été démis de leurs fonctions ?
Voici pourquoi.
La Silicon Valley a construit et monétisé presque tout ce qui peut se trouver dans votre ordinateur ou votre téléphone. Les technologues de la Silicon Valley connaissent les modèles économiques existants ; et il existe une quantité limitée de jeux vidéo, de logiciels de traitement de texte ou de comptabilité, de réseaux de téléachat et d'applications minceur que chacun souhaite.
La technologie de tout ce qui se trouve dans votre ordinateur, ainsi que les modèles économiques, sont désormais bien compris. Les Broligarques voient les limites de la croissance : les limites de la croissance des produits qui se trouvent dans votre ordinateur ou votre téléphone, ou qui peuvent être compilés à partir d'ensembles de données accessibles au public.
Cette saturation explique leur soif de nouveaux sites, supports et matrices de numérisation.
Cette saturation explique leur désir ardent de développer l'Internet des objets et d'exploiter ces données ; c'est pourquoi ils souhaitent installer des capteurs partout, dans l'environnement bâti ou physique.
C'est pourquoi l'Université Columbia propose une bourse de journalisme de données à l'École de journalisme, qui comprend notamment la formation des journalistes en herbe à l'utilisation des capteurs.
La Silicon Valley aspire également à créer des technologies qui se manifestent dans l'environnement réel ; c'est pourquoi des projets tels que le Keith Group de l'Université Harvard, qui abrite les expériences de géo-ingénierie diaboliques du professeur David Keith visant à bloquer le soleil, sont financés par Intellectual Ventures, l'une des principales sociétés de capital-risque de la Silicon Valley. Comme le souligne un ouvrage sur les investissements de la Silicon Valley dans la gestion du rayonnement solaire : « Intellectual Ventures a développé un important portefeuille de brevets dans ce domaine : plusieurs autres entités privées et publiques ont également déposé des brevets dans le domaine de la géo-ingénierie. »
Les avantages financiers de la numérisation, de la collecte de données issues de nouveaux champs inexplorés, et donc de la monétisation de votre ciel et de votre météo, de votre corps et de ses processus, de votre cerveau et de votre humeur, de votre environnement bâti et, bien sûr, de vos sources de données gouvernementales protégées, ainsi que de la privatisation de leurs vastes fonctionnalités technologiques, expliquent l'enthousiasme des investisseurs à coloniser ces espaces encore peu numérisés et peu monétisés.
Ce Far West explique pourquoi les Broligarques souhaitent numériser votre corps ; pourquoi ils introduisent si massivement les « wearables » et les technologies numériques à l'intérieur du corps humain. C'est pourquoi l'engouement pour la technologie de l'ARNm et les vaccins, dans lesquels des entrepreneurs de la Silicon Valley comme Mark Zuckerberg ont investi, et certains fonds de capital-risque ont même déposé des brevets, a été plus grand dans les revues biotechnologiques que dans les revues médicales. Les investissements colossaux déjà réalisés par les investisseurs de la Silicon Valley poussent les politiques à exiger que l'ARNm soit acheté et utilisé partout, alors même que la science autour de l'ARNm s'effondre.
La loi HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act) de 1996, qui protège vos données médicales, est un ange armé d'une épée flamboyante qui empêche désormais les technophiles d'accéder à ces données les plus précieuses et les plus constamment actualisées : les dossiers médicaux personnels des Américains, en constante évolution.
Si les implants corporels, comme Neuralink d'Elon Musk, ou les processus numériques à l'intérieur ou autour de votre corps, comme les objets connectés, peuvent être normalisés, cette application ou cet appareil pour lequel vous donnez votre consentement dans les « conditions d'utilisation » ennuyeuses et indéchiffrables concernant l'utilisation de vos données médicales, permet aux entrepreneurs de contourner les protections actuelles de la confidentialité HIPAA concernant vos données médicales.
Cette violation représente donc une nouvelle colonie dans le Far West invaincu des données.
Fraîchement élues personnalités nationales de la « Liberté Santé », Calley et Casey Means possèdent toutes deux des entreprises de santé numérique basées sur des modèles économiques d'accumulation de données. L'entreprise de Calley Means, Truemed, vend des applications de suivi de la santé mentale et du sommeil, ainsi que des technologies d'analyse numérique du microbiome intestinal (bien que, depuis mes critiques publiques, il semble avoir retiré de son site web l'appareil qu'il proposait pour suivre l'activité cérébrale réelle).
Lorsque j'ai tenté de souligner sur X l'aspect gestion des données de ses modèles économiques et de ceux de sa sœur, Calley Means a qualifié mes mises en garde de « délirantes ».
Casey Means, la sœur de ce duo, est cofondatrice de Levels.com. Le modèle économique de cette entreprise consiste à sécuriser vos données de glycémie et de suivi alimentaire. Casey Means a connu un parcours étonnant tout au long du processus de financement par capital-risque, surtout pour une fondatrice, et même pour une fondatrice sans expérience dans la création et la sortie d'entreprises numériques prospères mentionnées dans sa biographie. (Les fondatrices reçoivent moins de 3 % du financement en capital-risque). » […]
Comme je comprenais la proposition de valeur des modèles économiques des frères et sœurs Means, basée sur la collecte de données, j'ai rapidement compris que leur soudaine auto-représentation en tant que militants de la liberté médicale était absurde. Et lorsque, quelques semaines plus tard, le président Trump a annoncé, aux côtés de Larry Ellison, cofondateur d'Oracle, une coentreprise de 500 milliards de dollars dans l'IA, « Stargate », qui combinerait les forces des entités habituellement concurrentes Microsoft, OpenAI, Nvidia, Oracle et Softbank, j'ai perçu un autre signe avant-coureur.
En observant tout cela, j'ai réalisé que si le président Trump croit avoir maîtrisé la Silicon Valley, le véritable risque est que la Silicon Valley l'ait maîtrisé.
L'objectif des Broligarchs, en adoptant soudainement et sans raison la MAGA, était très clair. Il ne s'agissait pas simplement d'une courbette prévisible devant le nouveau dirigeant ; même si cela en faisait certainement partie. Cette adhésion me semblait surtout, avant même que je J'ai appris l'histoire de Musk avec nos données les plus précieuses, ce qu'on appelle dans le monde du capital-risque un « jeu de données ».
Les Broligarchs convoitaient la tranche de données non monétisées la plus précieuse au monde : celles du gouvernement fédéral américain.
Bon, maintenant que vous avez rafraîchi votre compréhension de la valeur de nos données gouvernementales, examinons de plus près Casey Means.
Casey Means a pour principales qualités d'entrepreneure dans le secteur de la santé, à la tête d'une startup très valorisée, et d'auteure, avec son frère, du best-seller Good Energy.
Commençons par sa startup technologique, Levels.com. Je soutiendrai que son entreprise est une vitrine vide, un vide trompeur dans lequel certains des intérêts les plus enracinés et corrompus de la Silicon Valley ont injecté artificiellement de la valeur.
Andreessen Horowitz — celui-ci : « Quand aurons-nous un vaccin contre la COVID-19, et comment allons-nous passer de (ce qui a toujours été le cas) 12 ans de développement de vaccins compressés en 12 mois environ ? Qu'est-ce qui sera ou ne sera pas compromis ici, et quel est le rôle des nouvelles technologies, comme les vaccins à ARNm ou à ARN messager ?» — est intervenu, en effet, avec force.
La valorisation de l'entreprise de Casey Means a grimpé à 313 millions de dollars.
Était-ce parce que Casey Means adoptait une « nouvelle approche » des soins de santé, évitant la médecine allopathique Rockefeller, comme elle le prétend ? Et comme le prétend une vaste campagne de relations publiques de plusieurs millions de dollars, menée depuis plusieurs mois, cherche à faire passer le message ?
Ou était-ce pour obtenir une toute nouvelle gamme de produits de collecte de données biométriques, promue par la Maison-Blanche et le HHS – avec l'aide d'un investisseur fiable pour promouvoir les intérêts existants des capital-risqueurs biotechnologiques et rassembler les données médicales –, le tout reconditionné avec une image bienveillante de « MAHA » ?
Examinons de plus près la valeur de Levels.com. L'entreprise compte 60 000 abonnés et existe depuis six ans.
Comment une startup avec 10 000 abonnés par an, et aucune nouvelle technologie, peut-elle obtenir une valorisation de 313 millions de dollars ? N'est-il pas révélateur que les deux seuls fondateurs d'entreprises technologiques connus du mouvement MAHA, Nicole Shanahan et moi-même, soyons tout aussi surpris par la nomination de Casey Means ?
Les PDG de la tech comprennent le signal d'alarme que représente une valorisation de 313 millions de dollars pour une entreprise fondée par quelqu'un sans expérience technologique, sans sorties réussies, avec peu d'abonnés et sans nouvelle technologie, et dont les investisseurs et fondateurs incluent Google, Twitter, SpaceX et Andreessen Horowitz.
Le graphique ci-dessous, tiré de Crunchbase.com, illustre la croissance de Levels.com sur cinq ans. L'entreprise n'a connu aucune croissance organique depuis son lancement en 2020. En effet, la croissance était non seulement stagnante, mais en déclin, jusqu'à ce que les frères et sœurs Means fassent la une des journaux.
Comment cela va-t-il générer une valorisation de 313 millions de dollars ? Pourquoi cela générerait-il de nouveaux investissements ?
À moins que… la cofondatrice, qui parle aux arbres et dont la bio X indique encore aujourd'hui : « Engagée pour l'émerveillement », ait été mise en place par les géants de la tech, qui financent également une coûteuse campagne de relations publiques autour d'elle, afin d'assurer sa nomination au poste de prochain médecin généraliste.
Une technologie sophistiquée peut permettre une valorisation solide. Levels.com n'en dispose pas. Levels utilise HTML et Wordpress dans sa pile technologique — rien de spécial. Aucune technologie propriétaire n'est divulguée sur Crunchbase. Le dernier tour de table majeur de Levels.com s'est clôturé en août 2024, juste après le lancement des frères et sœurs Means, héros de « MAHA ».
C'est là que les choses deviennent vraiment intéressantes. Bien que Levels soit une entreprise basée aux États-Unis, près de 8 utilisateurs sur 10 se trouvent au Mexique. Levels est cher : « Lorsque vous vous inscrivez pour la première fois à Levels, le coût total sera soit de 383 USD, ce qui comprend le premier mois de surveillance continue du glucose (avec deux CGM de 14 jours ou trois de 10 jours) à 184 USD + les frais d'adhésion annuels de 199 USD ou 224 USD, qui comprennent également le premier mois de CGM + 40 USD pour l'option d'adhésion mensuelle. » Le salaire mensuel moyen au Mexique est de 1695 USD, et les soins de santé au Mexique sont gratuits.
Alors, qui sont ces dizaines de milliers d'abonnés mexicains à Levels.com ? Le Mexique, comme Singapour, troisième pays d'utilisation de Levels.com, est un foyer bien connu de « bot farms ».
L'utilisation de Levels aux États-Unis a chuté de 65,72 % cette année, malgré (à cause ?) de la présence médiatique du cofondateur.
Qu'apporte concrètement Levels.com ? Laissons Casey Means parler de :
« 12:52 – Le petit laboratoire sur votre bras
Les glucomètres en continu (CGM) sont comme un Fitbit pour votre régime : ils mesurent en permanence la glycémie grâce à un processus chimique, puis envoient ces données directement à votre smartphone.
« Pour ceux qui ne les connaissent pas, imaginez que ce capteur a la taille de deux pièces de 25 cm empilées, collé à l'arrière de votre bras avec un adhésif. Une sonde de quatre millimètres sort de ce capteur. C'est comme un filament semblable à un cheveu qui passe sous la peau. Le filament est inséré sans douleur à l'aide d'un applicateur et reste juste sous la peau. Il n'est donc pas réellement dans le sang. Il mesure le glucose dans le liquide interstitiel. Le sucre est présent dans le sang, mais il s'échappe de la circulation sanguine et peut également se loger dans le liquide interstitiel. Cette évacuation prend environ 15 minutes. Votre glycémie dans le liquide interstitiel est donc généralement inférieure d'environ 15 minutes à votre glycémie, parfois plus rapidement, mais c'est la moyenne. Ensuite, une réaction chimique se produit sur le capteur : la concentration de glucose, une enzyme appelée glucose oxydase, est fixée au filament du capteur et convertit le glucose en un sous-produit qui libère du peroxyde d'hydrogène. Ce dernier peut ensuite être mesuré par un signal électrique qui enregistre votre glycémie et la transmet au smartphone sous forme de données.
Je ne suis pas contrarié que Casey Means n'ait pas terminé son internat en médecine, même si ce n'est pas une bonne image pour quelqu'un qui a été désigné pour endurer les rigueurs du service du peuple américain en tant que médecin général.
Je ne suis même pas inquiet, même si je suis perplexe, qu'elle ait réussi à faire publier son livre, coécrit avec son frère, chez un grand éditeur, Penguin, et à bénéficier d'une campagne de communication massive, alors qu'aucun des deux frères n'avait jamais écrit de livre auparavant (du jamais vu).
Mais je suis contrarié que les questions soulevées par la valorisation de son entreprise et par la démographie de son utilisation soient évidentes pour quiconque y regarde cinq minutes, et qu'une fois de plus, personne ne Elle semble examiner attentivement les choix du président Trump. Si tout ne se passe pas comme prévu dans son entreprise, cela constitue une préoccupation si grave pour ses actionnaires, et donc pour le peuple américain, que j'hésite à préciser ce que cela impliquerait.
Et je suis vraiment contrarié que MAHA, qui représente un réalignement historique susceptible de redessiner le destin du Parti républicain – et des États-Unis – pour un siècle à venir ; un mouvement, mené principalement par des mères désespérées et furieuses, qui ont accédé au pouvoir par le sang, les larmes et un courage sans faille, se fasse maintenant dire – maintenant que la Silicon Valley a mis en place son code secret, soigneusement conçu pour maximiser les profits des géants de la tech et probablement aussi pour nous débarrasser de nos précieuses données biométriques – de s'asseoir
Et de se taire,
Et d'accepter une candidate dont le discours ne résiste pas à l'examen le plus élémentaire.
Une étude révolutionnaire établit un lien entre les vaccins à ARNm et une perte irréversible de fertilité féminine
15/05/2025 Willow Tohi
Une étude turque évaluée par des pairs a révélé que les vaccins à ARNm entraînaient une réduction de 60 % des follicules primordiaux (ovules essentiels à la fertilité) chez le rat, tandis que les vaccins inactivés affichaient une diminution de 34 %. Ces cellules ne sont pas renouvelables, ce qui suggère une perte potentielle de fertilité permanente en cas de réplication chez l'homme. Une étude préliminaire portant sur 1,3 million de femmes tchèques a révélé une baisse de 33 % du nombre de grossesses réussies chez les femmes vaccinées, ainsi qu'une baisse de 21 % du taux de fertilité national. Les cliniciens signalent une augmentation des fausses couches, des décès fœtaux et des troubles menstruels après la vaccination.
Les LNP contenus dans les vaccins à ARNm s'accumulent dans les ovaires, stimulant la production de protéines Spike, associées à l'inflammation, à la mort cellulaire (caspase-3) et à la fibrose. Des études indépendantes confirment que les LNP pénètrent dans les tissus fœtaux et sont corrélés à des taux de fausses couches plus élevés. Des experts (par exemple, le Dr Angus Dalgleish et l'épidémiologiste Nic Hulscher) exigent l'arrêt des vaccins à ARNm, invoquant des risques connus depuis 2017 et la dissimulation institutionnelle des préoccupations en matière de sécurité. Des lanceurs d'alerte affirment que les agences de santé publique ont privilégié le profit à la santé reproductive. Les taux de natalité ont chuté dans plusieurs pays après le déploiement des vaccins (par exemple, en Europe et à Taïwan), alimentant les protestations contre les obligations vaccinales. Les critiques mettent en garde contre une « crise générationnelle » et appellent à des alternatives de santé naturelles, au consentement éclairé et à la recherche indépendante pour protéger les droits reproductifs.
Une étude révolutionnaire publiée dans la revue Vaccines a suscité des inquiétudes urgentes dans le monde entier, suggérant que les vaccins à ARNm et les vaccins inactivés contre la COVID-19 pourraient causer des dommages irréversibles aux réserves ovariennes des rates. Des chercheurs turcs ont observé une réduction stupéfiante de 60 % des follicules primordiaux – les cellules fondamentales nécessaires à la fertilité – chez les rates ayant reçu des vaccins à ARNm. Ces résultats, qui, selon les experts, justifient une analyse immédiate chez l'homme, concordent avec les données de plus en plus nombreuses issues de la vie réelle, montrant une chute des taux de natalité dans le monde et une augmentation des fausses couches parmi les populations vaccinées. Cette étude, ainsi que des recherches complémentaires et des témoignages médicaux, a galvanisé les appels à l'arrêt des obligations vaccinales à ARNm, exposant ainsi les risques systémiques potentiels pour la santé reproductive et la liberté humaine.
Des preuves émergent : les vaccins sont liés à une baisse de 60 % des ovules irremplaçables L'étude turque, évaluée par des pairs et menée par huit chercheurs, a analysé les effets des vaccins à ARNm de type Pfizer et des vaccins inactivés de Sinovac sur 30 rats femelles. Après deux doses équivalentes à celles administrées à l'humain, les rats vaccinés à l'ARNm ont présenté une diminution spectaculaire de 60 % des follicules primordiaux (en moyenne 42,4 par ovaire, contre 106,7 chez les rats non vaccinés). Les vaccins non à ARNm ont également entraîné des dommages importants, avec une réduction de 34 %.
Les follicules primordiaux, décrits comme « le fondement de la fertilité » par les auteurs, sont limités et non renouvelables : les femmes naissent avec tous les ovules qu’elles posséderont jamais. Les dommages « biologiquement irréversibles » causés à ce pool, comme le montre l’étude, entraînent une perte permanente de fertilité si ils se reproduisent chez l’humain. « Cette perte ne se régénère pas », a souligné l’épidémiologiste Nic Hulscher dans son analyse Substack, notant qu’un tel dommage pourrait accélérer la ménopause précoce et faire baisser les taux de natalité mondiaux.
Le Dr Margaret Christensen, gynécologue au Carpathia Collaborative, a corroboré ces résultats par des observations cliniques : « L’impact sur la fertilité et les cycles menstruels est alarmant. Nous constatons une augmentation des fausses couches et des décès fœtaux, et pas seulement une baisse de la conception.»
Déclins du laboratoire à la réalité : les données humaines reflètent les dommages ovariens Les implications de l’étude turque vont au-delà des modèles rongeurs. Une prépublication simultanée portant sur plus de 1,3 million de femmes tchèques (âgées de 18 à 39 ans) a révélé que les femmes vaccinées avaient 33 % de grossesses réussies en moins que leurs homologues non vaccinées, malgré la forte augmentation des traitements de fertilité. Le taux de fécondité total en République tchèque a chuté de 21 % pendant la période d'étude.
« Ce n'est pas théorique », a déclaré le Dr Angus Dalgleish, professeur d'oncologie à St. George's, Université de Londres, qui a qualifié les études sur les rats de « modèle standard et fiable pour évaluer la fertilité ». Il a pointé du doigt les nanoparticules lipidiques (LNP) – les vecteurs des vaccins à ARNm – comme un facteur clé. Les LNP, a-t-il noté, présentent une « préférence particulière pour les ovaires », où elles déclenchent la production de protéines de spicule induite par l'ARNm. La protéine Spike a été associée à des lésions placentaires, à la mort fœtale et à l'inflammation – des mécanismes concordant avec les augmentations observées dans l'étude turque de la caspase-3 (une enzyme responsable de la mort cellulaire) et des marqueurs inflammatoires (TGF-α1, VEGF), responsables de la mort folliculaire et de la fibrose.
Des recherches indépendantes ont corroboré ces voies biologiques. Une étude du BMC sur la grossesse et l'accouchement a révélé des taux de fausses couches plus élevés chez les femmes vaccinées, tandis qu'un article de Molecular Therapy de 2023 a révélé que l'ARNm-LNP se croise dans les tissus fœtaux en une heure. Naomi Wolf, lanceuse d'alerte des « Pfizer Papers », a souligné que les effets néfastes des LNP sur la reproduction étaient connus depuis 2017, avant la pandémie.
Mouvement croissant pour la transparence : les appels à la suspension de l'utilisation de l'ARNm s'intensifient La publication de l'étude coïncide avec l'escalade des protestations mondiales contre les obligations vaccinales et ce que les critiques qualifient de secret institutionnel. « Ces données montrent que nos agences publiques ont compromis la capacité de créer la vie », a écrit Hulscher, citant le « complexe biopharmaceutique » comme une force répressive.
Les professionnels de la santé et les groupes de défense des droits s'unissent pour agir. Dalgleish, faisant écho à des défenseurs comme Karl Jablonowski de Children’s Health Defense, a appelé à une pause immédiate : « Les détails concernant les anticorps anti-AMH et les lésions folliculaires sont criants : arrêtez ces vaccins immédiatement.» Jablonowski a souligné que les préjudices ne sont pas hypothétiques ; de nombreuses victimes des vaccins « ont subi des préjudices avant le début des études [d’innocuité] », la recherche étant désormais une « évaluation des dommages ».
Le Dr Robert Chandler, médecin, dont les travaux antérieurs ont révélé la baisse de la fertilité liée aux vaccins, a souligné des enjeux sociétaux plus larges : « Dix-neuf mois après le déploiement massif de l’ARNm, des baisses de la natalité ont été observées de l’Europe à Taïwan. Ce n’est pas un hasard.»
Un carrefour crucial pour les droits reproductifs et les politiques de santé mondiales La convergence des données animales et humaines dresse un tableau alarmant : les vaccins à ARNm pourraient éroder la fertilité avec des conséquences irréversibles. « Si cela s’applique aux humains, il s’agit d’une crise générationnelle », a déclaré Christensen. Les critiques affirment que les institutions ont privilégié le profit et la conformité aux droits des mères, invoquant des défaillances systémiques dans le financement de la recherche indépendante sur l’innocuité.
Alors que les appels au scepticisme vaccinal se multiplient, l'urgence d'alternatives – pratiques de santé naturelles, consentement éclairé rigoureux et journalisme indépendant – se révèle également cruciale pour défendre la vérité et l'autonomie. La protection du corps des femmes doit primer sur les priorités des entreprises.
À une époque où la confiance s'est érodée, cette étude soulève une question cruciale : les sociétés peuvent-elles préserver la véritable liberté humaine lorsque les mécanismes de perpétuation de la vie sont instrumentalisés ?
Quatre études portant sur 184 millions de personnes démontrent que les vaccins covid étaient tout sauf surs et efficaces
le 15 Mai 2025 par pgibertie
184 millions de personnes, 4 études marquantes : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ne sont pas sûrs pour l’homme 🚫
🩸 Autopsies. Crises cardiaques. AVC. Défaillance multiviscérale — Les données sont là 👇
FAKSOVA ET AL (n=99 million):
Cette analyse multi-pays a confirmé les signaux de sécurité préétablis concernant la myocardite , la péricardite , le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose du sinus veineux cérébral . D’autres signaux de sécurité potentiels nécessitant une investigation plus approfondie ont été identifiés.
➊ Myocardite (+510% après injection d’ARNm) ➋ Encéphalomyélite aiguë disséminée (+278 % après injection d’ARNm) ➌ Thrombose du sinus veineux cérébral (+223 % après injection du vecteur viral) ➍ Syndrome de Guillain-Barré (+149% après injection du vecteur viral)
📍 RAHELEH ET AL (n= 85 millions) :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40191438/
➊ Crise cardiaque (+286 % après la deuxième dose) ➋ AVC (+240 % après la première dose) ➌ Maladie coronarienne (+244 % après la deuxième dose) ➍ Arythmie cardiaque (+199 % après la première dose)
Des arrêts cardiaques non signalés chez des jeunes gens auparavant en bonne santé et sans antécédents médicaux, des mois ou des années après la vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), soulignent l’urgence d’une stratification du risque. La physiopathologie sous-jacente la plus probable est une myopéricardite infraclinique et une tachycardie ventriculaire réentrante, ou une fibrillation ventriculaire spontanée, généralement déclenchée par une augmentation des catécholamines pendant l’effort ou les heures d’éveil du sommeil terminal. De petites zones d’inflammation et/ou d’œdème peuvent passer inaperçues à l’imagerie cardiaque et à l’autopsie, tandis que le cœur peut paraître globalement normal. Cet article examine les données probantes reliant les vaccins contre la COVID-19 à l’arrêt cardiaque, alors que la majorité des victimes n’ont malheureusement bénéficié d’aucun examen clinique préalable. Nous proposons une stratégie globale d’évaluation du risque cardiovasculaire post-vaccinal, intégrant une anamnèse détaillée du patient, des tests d’anticorps et des diagnostics cardiaques afin de détecter au mieux les anomalies avant la mort cardiaque subite. Cette approche vise à identifier les personnes présentant un risque accru d’événements cardiaques après la vaccination contre la COVID-19 et à orienter la prise en charge clinique appropriée. Il est prudent pour chaque médecin de soins primaires d’avoir un plan préétabli lorsqu’il aborde ce problème dans sa pratique
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40061285/
◾️ A prouvé un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et la mort via plusieurs systèmes organiques.
📍 ALLESSANDRIA ET coll. (n = 290 727) :
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC8851028/
◾️ Les sujets vaccinés avec 2 doses ont perdu 37 % de leur espérance de vie par rapport à la population non vaccinée au cours du suivi.
Le retrait immédiat du marché des injections d’ARNm contre la COVID-19 est essentiel pour éviter de nouvelles pertes en vies humaines parmi les 9 millions d’enfants américains qui les reçoivent encore.
À la lumière des signaux de sécurité accablants confirmés par les plus grandes études jamais menées, l’administration continue de ces produits constitue désormais un homicide par négligence de masse
Les scientifiques découvrent de nouvelles maladies auto immunes provoquées par les vaccxxx covid
le 15 Mai 2025 par pgibertie
Un autre nouveau cas de maladie auto-immune déclenché par les vaccinations à ARNm vient d’être signalé le 7 mai 2025… Il n’est pas surprenant que le corps puisse cibler agressivement ses propres cellules, potentiellement dans le cadre d’une tentative désespérée d’éliminer les substances étrangères génétiquement modifiées pour copier des composés pharmaceutiques dans chaque cellule du corps. Ensuite, après avoir découvert qu’il pourrait y avoir un lien, il suffit d’injecter davantage de ces mêmes substances génétiques pathogènes nocives pour voir ce qui se passe. Incroyable!
Les engelures sont apparues comme une manifestation cutanée suite à la vaccination contre le coronavirus 2019. Bien que de nombreux cas de lésions ressemblant à des engelures soient rapportés, la documentation provenant des pays tropicaux reste limitée. Dans ce contexte, nous rapportons un cas détaillant des lésions ressemblant à des engelures associées à la vaccination contre le coronavirus 2019 en Thaïlande.
Présentation de cas
Une patiente thaïlandaise de 35 ans a présenté plusieurs papules rouges et douloureuses sur les doigts et les orteils neuf jours après avoir reçu le vaccin ARNm-1273. Une biopsie cutanée a été réalisée et les résultats étaient compatibles avec des engelures. Les analyses de laboratoire ont révélé un résultat positif à l’anticoagulant lupique. L’éruption cutanée a complètement disparu sans traitement, mais est réapparue après la deuxième dose de vaccin.
Conclusion
Des lésions ressemblant à des engelures après la vaccination contre le coronavirus 2019 sont fréquemment observées dans les pays tempérés, avec peu de cas signalés dans les zones tropicales. La présence d’anticoagulants lupiques pourrait contribuer au développement d’engelures après la vaccination contre le coronavirus 2019.
ARTICLE IMPORTANT : Comment les probiotiques contenus dans les produits laitiers fermentés aident à gérer l'ostéoporose
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 14 mai 2025
Les produits laitiers fermentés comme le kéfir aident à reconstruire les os en augmentant l'ostéocalcine et en diminuant les marqueurs de dégradation osseuse, ce qui se traduit par des os plus solides.
Les probiotiques contenus dans les produits laitiers fermentés équilibrent activement les cellules qui construisent et résorbent les os, aidant ainsi à prévenir et même à inverser la progression de l'ostéoporose.
Des recherches montrent que la consommation régulière de kéfir a augmenté la densité osseuse de la hanche de 5,5 % en seulement six mois, offrant de réels gains dans les zones les plus vulnérables aux fractures qui changent la vie.
Les bactéries bénéfiques présentes dans les produits laitiers fermentés réduisent l’inflammation et le stress oxydatif, qui sont deux facteurs cachés de la perte osseuse que la plupart des traitements conventionnels négligent.
Les produits laitiers contiennent du C15:0, une graisse saturée à chaîne impaire qui aide à stimuler la santé métabolique, protège les cellules et favorise un poids santé, tout en renforçant vos os.
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L'ostéoporose est l'une des maladies liées à l'âge les plus dévastatrices, et elle passe souvent inaperçue jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Rien qu'aux États-Unis, on estime que 10 millions de personnes sont touchées par cette maladie.
Caractérisée par des os poreux et cassants, l'ostéoporose vous rend vulnérable aux fractures dues à de simples chutes. Les symptômes courants incluent des maux de dos, une posture voûtée et un risque accru de fractures des hanches, de la colonne vertébrale ou des poignets. Sans intervention, elle entraîne une invalidité permanente, une perte d'autonomie et une espérance de vie considérablement réduite.
Bien que les conseils médicaux courants préconisent une augmentation de l'apport en calcium, ce n'est qu'une partie du problème. Le calcium seul, sans autres nutriments et composés bioactifs, ne contribue que très peu à améliorer la solidité osseuse. Des recherches ont désormais démontré qu'il existe une solution pratique : les produits laitiers fermentés.
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Les produits laitiers fermentés régulent activement le remodelage des cellules osseuses Une étude publiée dans Food Science of Animal Resources a examiné l'influence des produits laitiers fermentés et de leur teneur en probiotiques sur la santé du squelette. Plus précisément, les chercheurs ont étudié le processus de remodelage osseux qui maintient le squelette solide et adaptable tout au long de la vie .
• Les probiotiques modifient activement la régulation de la formation osseuse par l'organisme. L'étude montre que les probiotiques agissent sur les deux principaux types de cellules osseuses : les ostéoblastes (qui forment le nouvel os) et les ostéoclastes (qui détruisent les os anciens). Un déséquilibre entre les deux augmente le risque de maladies osseuses comme l'ostéoporose. Un équilibre sain est maintenu en apportant à l'organisme les nutriments et les molécules de signalisation appropriés pour favoriser la formation osseuse plutôt que la perte osseuse.
Les résultats montrent qu'une consommation régulière de produits laitiers fermentés entraîne une augmentation de la densité minérale osseuse (DMO), du contenu minéral osseux (CMO) et de la solidité osseuse globale. Ces effets sont particulièrement notables chez les enfants en période de poussées de croissance et chez les adultes vieillissants, qui présentent un risque élevé de fractures.
• Les produits laitiers fermentés soutiennent la fonction des marqueurs métaboliques liés à la santé osseuse. Selon l'étude, les produits laitiers fermentés stimulent l'ostéocalcine et le facteur de croissance analogue à l'insuline I (IGF-I), une hormone qui favorise l'activité des ostéoblastes, les cellules responsables de la formation osseuse. En effet, lorsque les produits laitiers fermentés augmentent le taux d'IGF-I, ils indiquent à l'organisme de commencer à construire de nouveaux os.
Parallèlement, les produits laitiers fermentés réduisent l'activité des ostéoclastes en diminuant l'activité de composés inflammatoires comme l'interleukine-17 (IL-17) et le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), connus pour accélérer la dégradation osseuse. Cette double action – plus de construction, moins de dégradation – est ce qui rend les produits laitiers fermentés bénéfiques pour les os.
• Les probiotiques contenus dans les produits laitiers fermentés communiquent avec votre système immunitaire. Des souches spécifiques comme Lactobacillus et Bifidobacterium contribuent à rééquilibrer votre système immunitaire, passant d'un système axé sur l'inflammation à un système axé sur la réparation. En augmentant la présence de cellules immunitaires qui réduisent l'inflammation et favorisent la résorption osseuse, les probiotiques aident votre corps à favoriser la guérison et la régénération osseuse.
• Les probiotiques produisent également des acides gras à chaîne courte (AGCC) — L'étude a mis en évidence la capacité des probiotiques à produire du butyrate, qui contribue à renforcer la barrière intestinale, réduisant ainsi la pénétration de toxines et de composés inflammatoires dans la circulation sanguine. Une inflammation systémique réduite se traduit par une meilleure protection osseuse.
Le butyrate inhibe également directement la formation des ostéoclastes et stimule une voie favorisant l'activité des ostéoblastes et la formation osseuse. En résumé, les AGCC agissent comme un système de défense naturel produit directement dans l'intestin et qui soutient également les os.
• Les produits laitiers fermentés réduisent le taux d'hormone parathyroïdienne (PTH) — Il s'agit d'une découverte remarquable, car la PTH est responsable de l'extraction du calcium de vos os lorsque le taux de calcium sanguin baisse. 3 Lorsque vous consommez des produits laitiers fermentés riches en calcium, votre corps n'a pas besoin de priver vos os de ce dont il a besoin. Par conséquent, les marqueurs de résorption osseuse comme le CTX diminuent, signe que moins d'os est dégradé.
• L'étude a mis en évidence l'impact des produits laitiers fermentés sur l'expression génétique. Des gènes spécifiques impliqués dans la croissance osseuse, comme Runx2 et Bmp2, ont été régulés positivement en réponse à la prise de probiotiques. Runx2 est un commutateur principal qui transforme les cellules souches en ostéoblastes responsables de la formation osseuse. Parallèlement, Bmp2 contribue à déclencher la croissance osseuse dans les tissus osseux en développement et matures. Ensemble, ces gènes contribuent à initier et à maintenir un remodelage osseux sain.
Le kéfir déclenche de réels gains osseux en 6 mois
Dans une étude similaire publiée dans PLoS One, des chercheurs ont testé les effets à court terme du kéfir sur la santé osseuse chez 40 adultes déjà diagnostiqués avec une ostéoporose. Leur méthodologie a consisté à comparer le kéfir associé à une supplémentation en bicarbonate de calcium à la prise de suppléments seuls, en mesurant l'évolution de la densité minérale osseuse (DMO) et des principaux marqueurs du métabolisme osseux sur une période de six mois .
• Les probiotiques ont contribué à inverser l'ostéoporose — Dans le groupe kéfir, l'ostéocalcine, marqueur de la formation osseuse, a radicalement changé. À la fin de l'essai de six mois, les personnes dont le taux d'ostéocalcine avait diminué au départ avaient inversé cette tendance. Leurs taux ont atteint des niveaux associés à une ostéogenèse active.
De plus, un biomarqueur de la dégradation osseuse, le β-CTX (télopeptide bêta-C-terminal du collagène de type I), a diminué de manière significative. Cela signifie que la dégradation active du tissu osseux a diminué. Ces deux changements combinés reflètent l'influence des probiotiques sur la capacité de l'organisme à reconstruire et à renforcer les os.
• Les bienfaits se font sentir en quelques mois — Dès le premier mois, le taux de β-CTX a commencé à chuter chez les personnes prenant du kéfir. Au troisième mois, la baisse était plus prononcée, surtout chez les personnes qui n'étaient pas aux stades les plus sévères de la perte osseuse. Cela signifie que le kéfir n'a pas seulement été efficace aux stades avancés, mais aussi aux premiers stades, lorsqu'il est encore temps d'inverser les dommages.
• Le kéfir cible les os sujets à l'ostéoporose — La DMO de la colonne vertébrale n'a pas beaucoup changé, mais celle de la hanche et du col du fémur, qui sont parmi les os les plus sujets aux fractures chez les personnes âgées, a changé. 5 , 6 Après six mois de traitement au kéfir, les participants ont vu leur DMO de la hanche augmenter de 5,5 %. Ce chiffre peut sembler faible au premier abord, mais il montre à quel point le kéfir a contribué à stopper, voire à inverser, la perte de DMO.
• Amélioration de la fonction thyroïdienne — Le groupe kéfir a montré une augmentation du taux de PTH après six mois. À titre d'information, la PTH contribue à réguler le taux de calcium dans le sang et, dans le cas présent de cette étude, des taux plus élevés de PTH reflètent une signalisation accrue de l'organisme pour le remodelage osseux.
En revanche, le groupe témoin présentait des niveaux de PTH plus faibles, ce que les chercheurs ont lié à une activité globale de remodelage osseux plus faible.
• Le kéfir est riche en peptides bénéfiques pour la santé. Selon l'étude, les peptides du kéfir résultent de la dégradation des protéines du lait pendant la fermentation. Ils interagissent avec votre intestin, votre système immunitaire et même vos os, améliorant l'absorption du calcium et garantissant qu'une plus grande quantité de celui-ci se retrouve dans vos os.
• Le stress oxydatif est supprimé par les probiotiques — Les personnes atteintes d'ostéoporose présentent souvent des niveaux élevés d'inflammation et de dommages oxydatifs, ce qui accélère la résorption osseuse. Les bactéries bénéfiques du kéfir, grâce à leur activité antioxydante directe et à leur modulation immunitaire, ont contribué à réduire les cytokines inflammatoires.
Cela signifie moins d’usure de vos os due à une inflammation chronique de faible intensité, un facteur que la plupart des traitements conventionnels de l’ostéoporose ignorent.
En fin de compte, les recherches montrent que le kéfir est plus qu'un aliment passif que l'on consomme pour se remplir l'estomac : il améliore aussi activement le fonctionnement interne du métabolisme osseux, en modifiant les signaux envoyés par le corps pour déterminer s'il faut renforcer ou détruire le squelette selon les besoins. Plus ces signaux restent en mode « renforcement », plus vous gagnez de temps pour retrouver force, stabilité et résilience.
C15:0 — Une graisse bénéfique présente dans les produits laitiers Le C15:0, également connu sous le nom d'acide pentadécanoïque, est un acide gras saturé à chaîne impaire (AGCO) largement présent dans les produits laitiers. On le trouve également dans certains poissons et végétaux. Pourquoi en parler ? Il est intéressant de noter que ce gras joue un rôle important dans le maintien de la santé cellulaire .
Vous connaissez sans doute les graisses bien connues qui contribuent à une santé optimale, comme les oméga-3 , mais je pense que le C15:0 mérite lui aussi d'être mis en avant. Outre les bienfaits évoqués précédemment, le C15:0 offre d'autres bienfaits pour la santé qui font des produits laitiers fermentés un superaliment.
• Prévention du diabète — Une méta-analyse de 7 études de cohorte prospectives sur 33 a révélé que les personnes ayant des niveaux de C15:0 plus élevés avaient un risque plus faible de développer un diabète de type 2.
• Santé mitochondriale — La recherche a révélé que le C15:0 aidait à réparer la fonction mitochondriale et à réduire la production d’espèces réactives de l’oxygène selon une courbe en U dose-dépendante. 8
• Gestion du poids — Une supplémentation quotidienne de C15:0 à une dose de 5 mg par kilo de poids corporel a réduit l’inflammation, les niveaux de glucose et de cholestérol chez les souris obèses. 9
Ce qu'il faut retenir, c'est qu'outre les probiotiques, les produits laitiers fermentés contiennent d'autres nutriments qui contribuent à votre santé de différentes manières. C'est pourquoi je vous encourage à les intégrer plus souvent à votre alimentation.
5 stratégies efficaces pour soutenir votre santé osseuse
Comme le montrent les recherches, il est possible de gérer l'ostéoporose grâce aux probiotiques présents dans les produits laitiers fermentés. Ces derniers contiennent une série de souches bactériennes bénéfiques qui favorisent l'expression génétique favorisant la solidité osseuse, ainsi que des nutriments favorisant ce processus. Pour profiter pleinement de ces bienfaits, je recommande les ajustements d'hygiène de vie suivants :
1. Ajoutez des produits laitiers fermentés issus de pâturages à votre alimentation. Si votre intestin tolère les produits laitiers, je vous recommande vivement d'ajouter du kéfir ou du yaourt nature entier à votre alimentation, idéalement à base de lait 100 % de pâturages . Outre leur richesse en calcium, ces aliments contiennent d'autres nutriments qui orientent le métabolisme osseux. Comme le montrent les recherches, le kéfir augmente significativement la densité osseuse de la hanche en seulement six mois et favorise l'ostéocalcine .
2. Envisagez de prendre un complément alimentaire de qualité. Si vous êtes sensible aux produits laitiers ou que vous ne supportez pas le goût du kéfir ou du yaourt, ce n'est pas grave. Dans ce cas, il serait judicieux de prendre un complément probiotique de qualité contenant des souches comme Lactobacillus reuteri, L. casei ou Bifidobacterium longum, toutes connues pour réduire les marqueurs de perte osseuse et améliorer la densité osseuse.
3. Consommez des aliments qui nourrissent votre flore intestinale. Les probiotiques sont importants, mais ils ne prospèrent que si vous les nourrissez correctement. Si votre intestin est déjà fragilisé, commencez progressivement avec des fruits mûrs, des légumes-racines et des aliments fermentés contenant des prébiotiques . Cela crée un environnement où les bactéries bénéfiques recommencent à proliférer et à s'éloigner des processus inflammatoires responsables de la perte osseuse.
4. Profitez pleinement du soleil — Le soleil permet à votre corps de produire de la vitamine D, un nutriment essentiel à l'absorption du calcium et au bon fonctionnement du système immunitaire . Prévoyez 15 à 30 minutes d'exposition au soleil non filtrée chaque jour à midi, lorsque le soleil est à son zénith. Si vous avez suivi un régime riche en acide linoléique (AL) , exposez-vous plutôt tôt le matin ou en fin d'après-midi pour éviter les dommages cutanés.
Dans la plupart des régions d'Amérique, cela signifie éviter la lumière du soleil de 10 h à 16 h. La raison en est que lorsque la lumière du soleil frappe votre peau, l'acide linoléique de votre peau est métabolisé, provoquant des dommages à l'ADN et une inflammation.
Pour des instructions détaillées sur la façon d'optimiser votre taux de vitamine D en toute sécurité, lisez mon article « Le Forum virtuel international sur la vitamine D 2024 dévoile le pouvoir de la vitamine D ». J'y propose des stratégies supplémentaires pour réduire votre risque de cancer de la peau tout en vous efforçant d'éliminer la vitamine D de votre corps.
5. Pratiquez une activité physique régulière — Si une alimentation saine contribue sans aucun doute à améliorer la santé osseuse, d'autres méthodes, comme l'exercice physique, permettent de l'optimiser davantage. Comme le souligne l'étude Food Science of Animal Resources, l'activité physique stimule les ostéocytes , augmentant ainsi la densité minérale osseuse ( DMO ).
Pour bouger, le plus simple est de marcher. Je recommande généralement de faire 10 000 pas par jour pour une santé optimale. En matière de musculation, les bénéfices sont maximum après 40 à 60 minutes par semaine. Pour une explication plus approfondie, lisez mon article « Les bienfaits de la marche : comment faire plus de pas cet été ».
Foire aux questions (FAQ) sur les bienfaits des probiotiques pour la santé squelettique
Q : Qu’est-ce que l’ostéoporose et pourquoi est-elle dangereuse ?
R : L'ostéoporose est une maladie qui rend les os poreux et cassants, les rendant plus sujets aux fractures. Elle passe souvent inaperçue jusqu'à ce qu'une fracture survienne. Elle entraîne des douleurs chroniques, une perte de mobilité et peut même réduire l'espérance de vie si elle n'est pas traitée.
Q : Comment les produits laitiers fermentés contribuent-ils à améliorer la santé des os ?
R : Les produits laitiers fermentés comme le kéfir et le yaourt contiennent des probiotiques qui régulent l'activité des cellules osseuses, augmentent le nombre de cellules responsables de la formation osseuse (ostéoblastes), réduisent le nombre de cellules responsables de la résorption osseuse (ostéoclastes) et favorisent la densité et la solidité osseuses. Ils réduisent également l'inflammation et stimulent des marqueurs métaboliques utiles, tels que l'ostéocalcine et l'IGF-1.
Q : Quelles preuves scientifiques soutiennent les bienfaits des produits laitiers fermentés sur la santé du squelette ?
R : Une étude de six mois publiée dans PLOS One a montré que le kéfir augmentait la densité osseuse de la hanche de 5,5 % et inversait les marqueurs de dégradation osseuse. Les participants ont constaté des bénéfices notables en un mois seulement, notamment aux premiers stades de l'ostéoporose.
Q : Les produits laitiers fermentés présentent-ils d’autres avantages pour la santé, outre la solidité des os ?
R : Oui. Les produits laitiers fermentés contiennent du C15:0 (acide pentadécanoïque), un acide gras rare qui favorise la santé métabolique, la fonction mitochondriale, la prévention du diabète et réduit l'inflammation, ce qui en fait un « superaliment » complet.
Q : Quelles sont les meilleures stratégies pour soutenir la santé osseuse de manière naturelle ?
R : Les stratégies clés que je recommande incluent :
• Manger des produits laitiers fermentés comme le kéfir ou le yaourt.
• Prendre des suppléments probiotiques de haute qualité si les produits laitiers ne sont pas tolérés.
• Nourrir votre intestin avec des aliments riches en prébiotiques.
• Une exposition adéquate au soleil pour des niveaux optimaux de vitamine D.
• Faire de l’exercice régulièrement, en particulier la marche et la musculation.
Brossage avec du poison : une étude révèle la présence de métaux lourds toxiques dans 90 % des marques de dentifrice, y compris celles destinées aux enfants
14/05/2025 Cassie B.
Une nouvelle enquête révèle que 90 % des marques de dentifrice les plus populaires contiennent des niveaux dangereux de métaux lourds comme le plomb, l’arsenic, le mercure et le cadmium, ce qui présente de graves risques pour la santé.
Des tests indépendants menés par Lead Safe Mama ont révélé que de grandes marques comme Crest, Colgate et Tom’s of Maine étaient contaminées, certains produits dépassant les limites de sécurité de l’EPA pour le plomb et l’arsenic.
Les métaux lourds contenus dans le dentifrice pénètrent dans l’organisme par les gencives, l’inhalation ou l’ingestion, ce qui expose les enfants aux risques les plus élevés de troubles du développement, de déclin cognitif et d’autisme.
Malgré ces résultats alarmants, aucun rappel n’a été émis et les entreprises défendent leurs produits, tandis que les normes de la FDA restent bien plus souples que les seuils de sécurité pour les autres produits de consommation. Les défenseurs des consommateurs exhortent les consommateurs à privilégier les marques propres et certifiées et réclament des réglementations plus strictes, car la négligence des entreprises et le manque de surveillance continuent de mettre en danger la santé publique.
Une nouvelle enquête révèle que 90 % des marques de dentifrice les plus populaires contiennent des niveaux dangereux de métaux lourds, notamment du plomb, de l'arsenic, du mercure et du cadmium.
L'étude, menée par Lead Safe Mama, un organisme de test indépendant, a analysé 51 dentifrices, dont de nombreuses marques connues comme Crest, Colgate, Sensodyne et Tom's of Maine. Ces résultats soulèvent des inquiétudes urgentes quant aux risques à long terme que ces neurotoxines représentent pour la santé, en particulier pour les enfants, dont le cerveau en développement est le plus vulnérable aux dommages irréversibles.
Les résultats sont stupéfiants : 90 % des dentifrices testés contenaient du plomb, 65 % de l'arsenic, 47 % du mercure et 35 % étaient contaminés par du cadmium. De nombreux produits contenaient plusieurs métaux, aggravant ainsi les risques potentiels. Ces substances sont des neurotoxines connues, liées au déclin cognitif, aux retards de développement et même à l'autisme chez les enfants. Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) affirment qu'il n'existe pas de niveau d'exposition au plomb sans danger, et pourtant des millions d'Américains en ingèrent sans le savoir des traces chaque jour via un produit qu'ils utilisent deux fois ou plus par jour.
Les produits les plus contaminés comprenaient le dentifrice Primal Life Dirty Mouth Kids, qui dépassait les limites de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) pour le plomb et l'arsenic, et le dentifrice VanMan's Miracle Tooth Powder, qui dépassait les seuils d'arsenic. Même des marques réputées pour enfants comme Hello, Orajel et Tom's of Maine contenaient ces toxines. Seuls cinq produits, dont le dentifrice d'entraînement Orajel et le dentifrice pour bébé Dr. Brown's, ont été testés totalement propres.
Comment ces métaux pénètrent dans l'organisme
Contrairement aux aliments, où l'ingestion est la principale préoccupation, le dentifrice introduit des métaux lourds par de multiples voies. Les particules peuvent être absorbées par les gencives, inhalées sous forme d'aérosols lors du brossage ou avalées accidentellement, notamment par les enfants. Tamara Rubin, fondatrice de Lead Safe Mama, a qualifié ces résultats d'« inadmissibles, surtout en 2025 », soulignant que les autorités de réglementation et les fabricants ont longtemps ignoré les risques.
La contamination semble provenir d'ingrédients courants des dentifrices, comme l'hydroxyapatite (souvent dérivée d'os d'animaux), le carbonate de calcium (utilisé pour éliminer les taches) et l'argile bentonite (un nettoyant naturel). Les tests de Rubin ont révélé que ces ingrédients bruts étaient eux-mêmes contaminés, suggérant des problèmes d'approvisionnement systémiques. L'argile bentonite, en particulier, était un responsable récurrent des produits les plus toxiques.
Défaillances réglementaires et silence des entreprises
Malgré ces données alarmantes, aucune des marques impliquées n'a annoncé de rappels ou de reformulations. La société mère de Crest, Procter & Gamble, a défendu ses produits en les qualifiant de « sûrs » et conformes aux normes de la Food and Drug Administration (FDA). Cependant, les critiques affirment que ces limites sont dangereusement laxistes : la FDA autorise jusqu’à 20 000 parties par milliard (ppb) de plomb dans les dentifrices au fluor, ce qui est bien plus élevé que la limite de 5 000 ppb fixée par l’EPA pour les eaux usées. En revanche, la limite californienne de plomb pour les aliments pour bébés n’est que de 6 ppb, et la loi fédérale sur la sécurité des aliments pour bébés, actuellement bloquée, propose 10 ppb. La plupart des dentifrices dépassaient ces seuils plus stricts.
Plusieurs entreprises ont envoyé des mises en demeure à Rubin pour étouffer ses conclusions, qu’elle a rendues publiques. D’autres ont rejeté les résultats, arguant que les métaux traces sont inévitables dans la nature, une affirmation que Rubin qualifie de « dérobade » compte tenu des effets nocifs avérés.
Pourquoi les enfants sont les plus à risque
La petite taille des enfants et leur système nerveux en développement les rendent beaucoup plus sensibles à la toxicité des métaux lourds. Même une faible exposition peut altérer le QI, la motricité et la régulation émotionnelle, avec des effets à vie. Le mercure et le cadmium sont également des cancérogènes liés aux maladies rénales et aux maladies cardiovasculaires. Pourtant, des marques comme Hello et Tom’s of Maine, commercialisées comme des alternatives « naturelles », figuraient parmi les contrevenants, trahissant la confiance des parents.
En attendant que les autorités de réglementation durcissent les normes, les consommateurs doivent agir. La liste « propre » de Rubin comprend des options sans fluor comme le dentifrice à la menthe Miessence et le dentifrice pour bébé Dr. Brown’s. Les défenseurs des droits des enfants appellent également à soutenir la loi sur la sécurité des aliments pour bébés, qui pourrait contraindre la FDA à réévaluer les limites d’utilisation des dentifrices.
Ce scandale met en lumière une crise plus vaste : les entreprises privilégient les profits à la sécurité, tandis que les agences ne parviennent pas à protéger le public. Pour l’instant, il incombe aux parents et aux consommateurs d’examiner attentivement les étiquettes, car la confiance, comme le plomb, s’est avérée toxique.
Le fluor sur ordonnance pour les enfants, retiré du marché américain
France-Soir avec AFP le 14 mai 2025 - 15:30
L'administration américaine a annoncé mardi qu'elle entamait le retrait du marché des suppléments fluorés ingérables prescrits sur ordonnance aux enfants, une décision allant dans le sens de la volonté de réduire l'exposition des populations au fluor.
"La Food and Drug Administration (FDA) américaine a annoncé aujourd'hui le retrait du marché des médicaments sur ordonnance à base de fluor concentré ingérable destinés aux enfants. Contrairement aux dentifrices et bains de bouche au fluor, ces produits sont ingérés par les nourrissons et les jeunes enfants. De plus, ils n'ont jamais été approuvés par la FDA" d'après un communiqué du ministère de la Santé.
"Il a été démontré que le fluor ingéré altère le microbiote intestinal (...). D'autres études suggèrent un lien entre le fluor et les troubles thyroïdiens, la prise de poids et une possible baisse du QI" (quotient intellectuel), ajoute le communiqué.
"Il est grand temps de mettre fin à l'utilisation du fluorure ingérable", a déclaré le ministre de la Santé Robert Kennedy Jr., cité dans le texte.
S'ouvre désormais une période de consultation jusqu'au 31 octobre.
Une décision qui intervient dans un contexte d'hostilité de M. Kennedy à la fluoration de l'eau potable, une pratique largement controversée, mais néanmoins répandue, qui concerne 200 millions d'Américains, soit environ deux tiers de la population.
Des études, comme celle du National Toxicology Program (NTP) de 2023, ont montré que le fluorure peut être neurotoxique, notamment en abaissant le QI des enfants à des expositions prénatales ou précoces, même à des niveaux faibles (0,2 à 1,5 mg/L). The Lancet a également classé le fluorure comme neurotoxine développementale en 2014, aux côtés du plomb et du mercure, en raison de liens avec des troubles comme le TDAH ou la dyslexie.
Il est à rappeler que le fluor, sous forme de fluorure, est aussi présent dans certains médicaments anxiolytiques et antidépresseurs, souvent des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), en raison de sa capacité à rendre les molécules lipophiles pour traverser la barrière hémato-encéphalique. Parmi les anxiolytiques et médicaments apparentés, on trouve :
Fluvoxamine (Floxyfral), un ISRS parfois utilisé pour les troubles anxieux. Escitalopram (Seroplex) et Citalopram (Seropram), qui sont prescrits pour l’anxiété généralisée ou les troubles paniques. Paroxétine (Deroxat), indiquée pour le trouble panique et l’anxiété sociale. Fluoxétine (Prozac), également utilisée dans certains cas d’anxiété. En janvier, dans la prestigieuse revue scientifique JAMA Pediatrics, des chercheurs du gouvernement évoquaient dans une étude une "association statistiquement significative" entre l'exposition aux fluorides et des QI moins élevés.
"Plusieurs États ont pris des mesures pour mettre fin à la fluoration de l'eau potable", a remarqué mardi le ministère de la Santé, "et le fluor n'est plus ajouté à l'eau potable dans la plupart des pays d'Europe et du monde".
En mars, l'Utah (ouest) est devenu le premier État américain à interdire la fluoration de l'eau potable.
Activisme des ONG : la fin ne justifie pas tous les moyens
14 Mai 2025 Sabine Leopold, AGRARHEUTE*
Ceux qui considèrent leurs objectifs comme les seuls importants justifient souvent des actes criminels – comme ici à Vienne en 2024.
Les militants des droits des animaux, de l'environnement et du climat considèrent souvent leur agenda politique comme une carte blanche pour enfreindre les lois. Pourtant, les menaces et le chantage sont punissables. L'État doit mettre fin à de telles pratiques.
Est bon celui qui fait le bien, dit Forrest Gump dans le film du même nom. Et le dicton populaire dit que la fin justifie les moyens. Mais ces deux expressions ne sont que partiellement valables, car trop souvent, le dépassement des limites civiles et juridiques est excusé par un objectif prétendument noble.
Ce sont justement les organisations non gouvernementales (ONG) qui se permettent régulièrement de violer les lois et de faire des dégâts « dans l'intérêt général ». Qu'il s'agisse de routes bloquées, d'avions endommagés, d'œuvres d'art recouvertes de peinture ou – comme dernièrement – d'exploitations agricoles prises d'assaut –, ceux qui considèrent leur agenda politique comme le seul véritable objectif oublient vite les droits des autres.
Les ONG sont aussi des « lobbyistes »
Mais les ONG ne sont elles aussi que des groupes d'intérêts. Et c'est le rôle de la politique de garder un œil sur ces intérêts. Les défenseurs des droits des animaux et les opposants à l'agriculture ne doivent pas décider qui occupera à l'avenir le poste de ministre de l'Agriculture.
Car l'action menée fin mars contre M. Günther Felßner ne concernait pas seulement sa personne, comme l'a clairement montré le jour même un post de l'ONG « Wir haben es satt » (nous en avons assez) sur les réseaux sociaux : « Candidatures recherchées : Felßner ne voulant plus du poste de ministre de l'Agriculture, nous nous demandons : quels lobbyistes sont encore dans les starting-blocks pour ce poste ? » Cela signifie probablement que tout agriculteur professionnel (dans le jargon des ONG : « lobbyiste ») qui montre à l'avenir des ambitions pour ce poste peut déjà se rhabiller. On ne devient ministre de l'Agriculture que par la grâce des ONG.
L'État ne doit pas céder au chantage
Il s'agit de stopper une telle évolution, le plus tôt sera le mieux. La récente « petite question au gouvernement fédéral », avec ses 551 questions sur le financement public et l'indépendance politique des ONG, aurait été un bon début. Mais elles ont été plus ou moins balayées par l'ancien gouvernement. Et en vue des négociations de coalition, la CDU/CSU ne montre plus d'intérêt à répondre aux questions.
Il ne semble pas souhaitable de regarder de plus près les ONG et leurs modèles de financement – même lorsqu'elles utilisent clairement les fonds pour exercer une influence politique et agissent donc comme des OG (c'est-à-dire des organisations gouvernementales).
Note de transparence : AGRARHEUTE est une marque de média du Deutscher Landwirtschaftsverlag. Le président du conseil de surveillance de l'entreprise est le président de l'Union Bavaroise des Agriculteurs, Günther Felßner.
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* Sabine Leopold travaille pour AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média senior pour les questions de société. Elle est rédactrice au Deutscher Landwirtschaftsverlag depuis environ 25 ans. Elle s'est d'abord intéressée à la production animale, mais depuis plusieurs années, elle se consacre intensivement à la communication et aux relations publiques dans l'agriculture, et plus particulièrement dans l'élevage.
Source : NGO-Aktivismus: Der Zweck heiligt nicht alle Mittel | agrarheute.com
(...) Ce sont justement les organisations non gouvernementales (ONG) qui se permettent régulièrement de violer les lois et de faire des dégâts « dans l'intérêt général ». (...)
Ce sont justement les organisations gouvernementales (ONG) qui se permettent régulièrement de violer les lois et de faire des dégâts « dans l'intérêt général ».
Percer le code génétique du pistachier – Une nouvelle carte d'ADN pourrait conduire à des fruits à coque plus nutritifs et plus durables
14 Mai 2025 Amy Quinton, UC Davis*
Des chercheurs ont obtenu la séquence la plus complète du génome du pistachier, ce qui permettra aux sélectionneurs de créer de meilleures variétés. (Bárbara Blanco-Ulate / UC Davis)
La Californie produit 99 % des pistaches du pays, générant une valeur économique de près de 3 milliards de dollars dans l'État. Mais les pistachiers ont été légèrement sous-étudiés, en partie à cause de l'absence d'une carte de haute qualité de leur ADN. Les chercheurs de l'Université de Californie à Davis ont maintenant produit la séquence la plus complète du génome du pistachier, ce qui permettra aux sélectionneurs de créer de meilleures variétés, peut-être plus nutritives. Ils ont également expliqué en détail comment les pistaches se développent, ce qui aidera les agriculteurs à gérer leur culture de manière plus durable.
L'étude a été publiée le 20 mars 2025 dans New Phytologist.
Les scientifiques ont déjà séquencé l'ADN des pistachiers, mais l'auteur correspondant J. Grey Monroe, professeur adjoint au Département des Sciences Végétales, a déclaré que cette nouvelle carte génétique est beaucoup plus détaillée et précise.
« L'amélioration de la précision du nouveau génome de référence est comparable au passage d'une carte dessinée à la main d'un paysage à une image satellite de Google Earth », a-t-il déclaré.
M. Monroe et son équipe de recherche ont séquencé le génome du cultivar Kerman, la variété de pistachier la plus répandue en Californie.
Le changement climatique remet en question les rendements des pistachiers
Les pistachiers résistent à la sécheresse et à la salinité, mais ils ont besoin d'hivers froids pour fleurir correctement. Le 'changement climatique' entraînant des hivers plus chauds, les producteurs ont besoin de nouvelles variétés de pistachiers capables de prospérer à des températures plus élevées. Les hivers chauds, combinés à la dissipation des brouillards qui rafraîchissent la vallée centrale de la Californie, ont entraîné des pertes importantes pour les producteurs de pistaches.
Étant donné que l'établissement d'un verger de pistachiers nécessite un engagement pouvant aller jusqu'à 50 ans, les chercheurs ont déclaré que les producteurs californiens sont à juste titre préoccupés par les effets du 'changement climatique' sur leurs cultures.
Un développement qui a du goût
L'étude identifie également quatre étapes clés de la croissance de la pistache, de la fleur à la récolte, ce qui permet une évaluation physiologique complète, y compris le durcissement de la coque et la croissance de l'amandon.
« Connaître l'évolution de l'amandon au cours de son développement aidera les producteurs à prendre de meilleures décisions, comme celle d'arroser leurs arbres, ce qui permettra une production de pistaches plus durable », explique Mme Bárbara Blanco-Ulate, professeure associée au Département des Sciences Végétales, co-auteure de la correspondance.
Les chercheurs ont détaillé les quatre étapes du développement de la pistache, ce qui pourrait permettre aux producteurs de gérer leurs cultures de manière plus durable. (Bárbara Blanco-Ulate / UC Davis)
Une évaluation plus précise du développement de la pistache pourrait également aider les producteurs à élaborer de meilleures stratégies de récolte et à éviter des problèmes tels que les dégâts causés par les insectes et les infections fongiques.
Mme Blanco-Ulate a déclaré qu'il était important de détailler non seulement les changements physiques des pistaches, mais aussi les facteurs génétiques et moléculaires de ces caractéristiques. La séquence génomique comprend des informations inédites sur le comportement des différents gènes dans les fruits au cours de la saison de végétation.
Un fruit à coque nutritif
Les pistaches ont toujours été un aliment nutritif, mais les chercheurs ont maintenant découvert les gènes et les voies qui influencent leur valeur nutritionnelle. Ils ont notamment découvert comment les protéines et les acides gras insaturés s'accumulent, ce qui est crucial pour la durée de conservation et les avantages diététiques de la pistache.
« Nous obtenons des informations sur la manière dont toutes ces caractéristiques nutritionnelles sont acquises dans les pistaches et sur la manière dont nous pouvons les améliorer du point de vue de la gestion de la culture », a déclaré Mme Blanco-Ulate.
Cette compréhension pourrait aider les scientifiques à sélectionner des variétés produisant des pistaches plus nutritives à l'avenir.
Les premiers auteurs de l'article sont Jaclyn Adaskaveg et Chaehee Lee de l'UC Davis. Les autres auteurs de l'UC Davis sont Yiduo Wei, Fangyi Wang, Saskia D. Mesquida-Pesci, Matthew Davis, Louise Ferguson, Giulia Marino, Patrick J. Brown, Georgia Drakakaki, Selina Wang et Filipa S. Grilo.
La recherche a été financée par le California Pistachio Research Board, le National Institute of Food and Agriculture du département américain de l'Agriculture et la Foundation for Food and Agricultural Research.
L'arachide est la plante, et la cacahuète est le fruit comestible qu'on mange. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'arachide fait partie de la famille des légumineuses (petits pois, soja, fèves, lupin, pois chiche …) et non des oléagineux (noisettes, noix, pistaches …). L'huile d'arachide, également connue sous le nom d'huile de cacahuète la cacahuète correspond au fruit – ou la graine – de l'arachide.
Écologie : pour France Inter, manger du comté est criminel
le 10 Mai 2025 par pgibertie
« Si le comté est mauvais écologiquement, si c’est mauvais pour les animaux, terrible même pour les animaux […], il faut donc arrêter d’en manger. » Voici la conclusion que tire l’activiste Pierre Rigaux. Le 24 avril dernier, le militant animaliste, qui s’autoproclame « naturaliste » et « écologue », a pris la parole dans l’émission « La Lutte enchantée » sur France Inter. Il n’a pas hésité à pointer les conséquences écologiques de la production de… comté.7
Produire ce fromage, joyau du terroir français, polluerait en effet les sols et les cours d’eau à cause des déjections des vaches. Selon les « Khmers verts », consommer du comté pourrait même rendre complice de maltraitances animales puisque les vaches et les veaux finissent tôt ou tard à l’abattoir.
Le député de La France insoumise (LFI), Aymeric Caron, est également très mobilisé en ce sens. L’élu avait d’ailleurs estimé qu’il fallait « refuser de tuer un moustique, tout comme on refuse de tuer des animaux domestiques tels que les chiens ou les chats »,
En effet, en l’espace de quelques années l’homme de la Drôme s’est positionné sur un marché de niche, celui du lobby anti-chasse. Lui qui n’a de cesse de dénoncer la chasse comme un lobby bien trop puissant, Pierre Rigaux surfe littéralement sur la vague anti-chasse pour assouvir sa passion…. et remplir son porte-monnaie.
Proximité assumée avec L214, avec qui il réalise des vidéos, Pierre Rigaux veut devenir un symbole de la propagande anti-chasse, malgré une soit-disant ouverture d’esprit qu’il essaie de vendre aux journalistes, comme au journal Marianne qui vient de lui consacrer un article et à qui il explique avoir discuté pas plus tard que cette semaine « 3/4 d’heures avec un chasseur » et estimer que seulement quelques « idiots » pratiquent la chasse. L’homme définit son métier comme ceci : « je m’évertue à informer les citoyens sur tout ce qui concerne les animaux, la nature, et qu’on n’apprend pas dans les médias. »
Tel un chef d’entreprise, le drômois pioche ainsi dans l’éventail des pratiques cynégétiques (chasse au gibier d’eau, élevage de gibier, vénerie….) dans un but ultime qu’il révèle là encore à Marianne : « l’abolition de la chasse de loisir ».
Mais créer des vidéos et se déplacer pour les tourner cela prend du temps, on en sait quelque chose, alors comment l’homme fait-il pour vivre ? Et bien il compte sur les autres, mon bon Monsieur ! Aujourd’hui, grâce à une cagnotte en ligne tipeee, Pierre Rigaux récolte pas moins de 2798 € par mois de la part de 424 donateurs. Impossible de savoir qui se cache derrière la plupart de ses contributeurs, mais il est possible de penser qu’il y a parmi eux des entreprises ou associations, les mêmes qui financent par exemple One Voice ou L214.
En parallèle il semble que Pierre Rigaux effectue des missions de prestataire pour différents organismes comme il l’explique sur sa page Tipeee. Il faut ajouter à cela également la vente de ses livres tel que « Pas du fusil dans la nature » dont il fait la promotion à chaque poste sur Facebook, mais dont il dit reverser les droits d’auteur à sa nouvelle association Nos Viventia. Association créée dit-il pour « développer plus fortement l’information, l’expertise et la production d’arguments pour peser dans le débat public sur l’écologie et à la protection des animaux». Rien ne dit que l’argent ne sert pas à payer des déplacements ou du matériel pour produire encore plus de vidéos anti-chasse !
Une grande leçon d'agronomie de Mme Agnès Pannier-Runacher
12 Mai 2025
C'est sûr, c'est un post de Mme Agnès Pannier-Runacher, Ministre de la Transition Écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche... rien que ça. En revanche, les moteurs de recherche ne trouvent pas la citation dans un contexte médiatique, en particulier dans la Provence. C'est sûr, en revanche, qu'elle a essuyé une bordée.
« Les populistes nous abreuvent de visions caricaturales » ? « Les populistes fuient les faits et attisent les colères » ?
Dans les cours de récréation on dit : « C'est celui qui dit, qui est ! »
Cela s'applique sans réserve à Mme Agnès Pannier-Runacher, le démonstratif étant évidemment mis au féminin.
Nous avons là un double jeu de citations parfaitement attribuables à Mme Agnès Pannier-Runacher, puisqu'il s'agit d'un de ses posts sur X.
Mais la référence à la Provence pose problème : les moteurs de recherche d'Internet ne trouvent pas de source primaire. Interrogé spécifiquement, Grok répond : « ...le post sur X est la source primaire. »
Intéressant ! « Les populistes nous abreuvent de visions caricaturales »... et Mme Agnès Pannier-Runacher nous abreuverait d'un faux en citation ?
On ne trouve que deux posts de la Provence pour ce vendredi, 25 avril 2025.
Mais Mme Agnès Pannier-Runacher a accordé un entretien à la Provence (article réservé aux abonnés).
Il faut dès lors admettre que le problème se pose au niveau de la seule vignette. La citation est sauf preuve du contraire réelle et reflète en tout cas sa pensée : « La première cause de la baisse des rendements agricoles, c’est le dérèglement climatique, et l’appauvrissement des sols lié aux activités humaines », elle en est convaincue... mais il n'est pas exclu qu'elle pérore à l'intention de son fief.
Voilà donc trois propositions. La première est assez facilement vérifiable.
(Source : Académie d'Agriculture de France)
Cela pourrait nous dispenser d'examiner les deux autres propositions.
L'influence du « dérèglement climatique » est trop complexe pour l'analyser ici, le mot « dérèglement » posant déjà problème. Quant à « l’appauvrissement des sols », c'est une lubie des milieux foncièrement hostiles à l'agriculture qui nous nourrit.
Mme Agnès Pannier-Runacher se fait aussi préceptrice. Sa bien-pensance est en définitive grotesque.
« On ne sauvera pas notre agriculture en niant l’urgence écologique » ? On ne sauvera pas non plus notre agriculture en nous prosternant dans un acte de contrition et en proclamant l'« urgence climatique », avec de belles et vaines paroles.
Tenez, que veux dire aussi : « en préservant l'eau » ? Il faut la valoriser, l'utiliser à bon escient.
En fait, « celles et ceux qui, chaque jour, ne comptent pas leurs heures pour nous nourrir » sauraient sans doute gré à Mme Agnès Pannier-Runacher de se taire, et de faire taire son fan-club.
Une autre « pensée » de haut-vol – après les « populistes », voici les « prophètes de malheur » :
Une nouvelle technologie du MIT permet aux pesticides de coller aux feuilles des plantes
12 Mai 2025 AGDAILY Reporters*
Ma note : Je ne sais pas ce que cela vaut. En France, on préfère des plans Écophyto censés apporter la solution miracle...
La réduction de la quantité de produits de traitement agricoles utilisés par les agriculteurs – y compris les engrais, les pesticides et les herbicides – pourrait réduire la quantité qui se retrouve dans l'environnement, tout en réduisant les coûts pour les agriculteurs et peut-être même en améliorant leur productivité. Un classique gagnant-gagnant-gagnant.
Une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology et une entreprise dérivée qu'ils ont créée ont mis au point un système qui permet d'atteindre cet objectif. Leur technologie ajoute une fine couche autour des gouttelettes lorsqu'elles sont pulvérisées sur un champ, ce qui réduit considérablement leur tendance à rebondir sur les feuilles et à se perdre sur le sol. Au lieu de cela, les gouttelettes enrobées adhèrent aux feuilles comme c'est l'intention.
Cette recherche est décrite aujourd'hui dans la revue Soft Matter, dans un article rédigé par Vishnu Jayaprakash et Sreedath Panat, récemment diplômés du MIT, Simon Rufer, étudiant de troisième cycle, et Kripa Varanasi, professeur de génie mécanique au MIT.
Une étude récente a montré que si les agriculteurs n'utilisaient pas de pesticides, ils perdraient 78 % de leur production de fruits, 54 % de leur production de légumes et 32 % de leur production de céréales. Malgré l'importance des technologies permettant de contrôler et d'optimiser les pulvérisations, leur absence a contraint les agriculteurs à se fier à leur expérience personnelle et à des règles empiriques pour décider de la manière d'appliquer ces produits chimiques. En conséquence, ces produits ont tendance à être pulvérisés de manière excessive, ce qui entraîne un ruissellement et des produits qui se retrouvent dans les cours d'eau ou s'accumulent dans le sol.
Les pesticides ont un impact considérable sur la santé mondiale et l'environnement, soulignent les chercheurs. Des recherches ont montré que 31 % des sols agricoles dans le monde présentaient un risque élevé de pollution par les pesticides. De plus, les produits chimiques agricoles représentent une dépense importante pour les agriculteurs : aux États-Unis, ils dépensent 16 milliards de dollars par an en pesticides conventionnels et biologiques.
Rendre la pulvérisation plus efficace est l'un des meilleurs moyens de rendre la production alimentaire plus durable et plus économique. La pulvérisation agricole se résume essentiellement à mélanger des produits chimiques à de l'eau et à pulvériser des gouttelettes de cette eau sur les feuilles des plantes, qui sont souvent hydrophobes par nature.
« Au cours de plus d'une décennie de recherche dans mon laboratoire au MIT, nous avons acquis une compréhension fondamentale de la pulvérisation et de l'interaction entre les gouttelettes et les plantes, en étudiant le moment où elles rebondissent et tous les moyens dont nous disposons pour qu'elles adhèrent mieux et améliorent la couverture », explique M. Varanasi.
L'équipe avait déjà trouvé un moyen de réduire la quantité de liquide pulvérisé qui rebondit loin des feuilles, en utilisant deux buses de pulvérisation au lieu d'une et en pulvérisant des mélanges avec des charges électriques opposées. Mais ils ont constaté que les agriculteurs étaient réticents à assumer les dépenses et les efforts liés à la conversion de leur équipement de pulvérisation à un système à deux buses. L'équipe a donc cherché une solution plus simple.
Ils ont découvert qu'ils pouvaient obtenir la même amélioration de la rétention des gouttelettes en utilisant un système à buse unique qui peut être facilement adapté aux pulvérisateurs existants. Au lieu de charger électriquement les gouttelettes de pesticide, ils les recouvrent d'une couche extrêmement fine d'un matériau huileux.
Dans leur étude, les chercheurs du MIT ont mené des expériences en laboratoire avec des caméras à grande vitesse. Lorsqu'ils ont pulvérisé des gouttelettes sans traitement spécial sur une surface hydrophobe semblable à celle de nombreuses feuilles de plantes, les gouttelettes se sont d'abord étalées en un disque ressemblant à une crêpe, puis ont rebondi en boule et se sont éloignées. Mais lorsque les chercheurs ont recouvert la surface des gouttelettes d'une minuscule quantité d'huile – représentant moins de 1 % du liquide de la gouttelette – les gouttelettes se sont étalées et sont restées en place. Ce traitement a permis de multiplier par cent l'adhérence des gouttelettes.
« Lorsque ces gouttelettes touchent la surface et qu'elles se dilatent, elles forment un anneau d'huile qui les fixe essentiellement à la surface », explique M. Rufer. Les chercheurs ont essayé une grande variété de conditions, expliquant qu'ils ont mené des centaines d'expériences, « avec différentes vitesses d'impact, différentes tailles de gouttelettes, différents angles d'inclinaison, tous les éléments qui caractérisent pleinement ce phénomène ». Bien que l'efficacité des différentes huiles varie, elles sont toutes efficaces. « Indépendamment de la vitesse d'impact et des huiles, nous avons constaté que la hauteur de rebond était significativement plus faible », ajoute-t-il.
La technologie ajoute une fine couche autour des gouttelettes lorsqu'elles sont pulvérisées sur un champ, ce qui réduit considérablement leur tendance à rebondir sur les feuilles et à se perdre sur le sol. (Photos : Varanasi Lab).
L'effet fonctionne avec des quantités d'huile remarquablement faibles. Lors de leurs premiers essais, ils ont utilisé 1 % d'huile par rapport à l'eau, puis ils ont essayé 0,1 % et même 0,01 %. L'amélioration de l'adhérence des gouttelettes à la surface s'est maintenue à 0,1 %, mais a commencé à s'estomper au-delà. « Fondamentalement, ce film d'huile agit comme un moyen de piéger la gouttelette à la surface, car l'huile est très attirée par la surface et retient en quelque sorte l'eau en place », explique M. Rufer.
Lors de leurs premiers essais, les chercheurs ont utilisé de l'huile de soja pour le revêtement, pensant qu'il s'agissait d'un matériau familier pour les agriculteurs avec lesquels ils travaillaient, dont beaucoup cultivaient du soja. Mais il s'est avéré que même s'ils produisaient des graines, l'huile ne faisait pas partie de leur chaîne d'approvisionnement habituelle pour être utilisée à la ferme. Lors de tests supplémentaires, les chercheurs ont découvert que plusieurs produits chimiques que les agriculteurs utilisaient déjà régulièrement dans leurs pulvérisations, appelés surfactants et adjuvants, pouvaient être utilisés à la place, et que certains d'entre eux offraient les mêmes avantages en maintenant les gouttelettes collées aux feuilles.
« De cette manière, nous n'introduisons pas un nouveau produit chimique ou des produits chimiques modifiés dans leur champ, mais ils utilisent des produits qu'ils connaissent depuis longtemps », a déclaré M. Varanasi.
MM. Varanasi et Jayaprakash ont créé une société appelée AgZen pour commercialiser le système. Pour prouver à quel point leur système d'enrobage améliore la quantité de produit pulvérisé qui reste sur la plante, ils ont d'abord dû mettre au point un système de contrôle de la pulvérisation en temps réel. Ce système, qu'ils appellent RealCoverage, a été déployé dans des exploitations de quelques dizaines d'hectares à des centaines de milliers d'hectares, et dans de nombreux types de cultures. Il a permis aux agriculteurs d'économiser de 30 à 50 % sur leurs dépenses en pesticides, simplement en améliorant les contrôles sur les pulvérisations existantes. Selon l'entreprise, ce système sera déployé sur 372.000 hectares de cultures en 2025, notamment en Californie, au Texas, dans le Midwest, en France et en Italie. Selon les chercheurs, l'ajout d'un système d'occultation à l'aide de nouvelles buses devrait permettre de doubler encore l'efficacité.
« On pourrait rendre un milliard de dollars aux agriculteurs américains en économisant 6 % de leur budget pesticides », a déclaré M. Jayaprakash, auteur principal de l'article de recherche et PDG d'AgZen. « En laboratoire, nous avons obtenu 300 % de produit supplémentaire sur la plante. Cela signifie que nous pourrions obtenir des réductions de plusieurs ordres de grandeur de la quantité de pesticides que les agriculteurs pulvérisent. »
Soja dans un système agricole sans labour (Image : Sanya Kushak, Shutterstock)
Les agriculteurs utilisaient déjà ces produits chimiques tensioactifs et adjuvants pour améliorer l'efficacité de la pulvérisation, mais ils les mélangeaient à une solution aqueuse. Pour obtenir un effet, ils devaient utiliser une quantité beaucoup plus importante de ces produits, au risque de provoquer des brûlures sur les plantes. Le nouveau système de revêtement réduit la quantité de ces produits nécessaires, tout en améliorant leur efficacité.
Lors d'essais sur le terrain menés par AgZen, « nous avons doublé la quantité de produit sur le chou frisé et le soja simplement en changeant l'emplacement de l'adjuvant », qui n'est plus mélangé mais enrobé, a déclaré M. Jayaprakash. C'est pratique pour les agriculteurs car « ils n'ont qu'à changer de buse. Ils améliorent l'efficacité de tous leurs produits chimiques existants et obtiennent plus de produit sur la plante. »
« Ce qui est vraiment génial, c'est que ce système est utile pour tous les produits chimiques utilisés sur les feuilles, qu'il s'agisse d'insecticides, d'herbicides, de fongicides ou de produits de nutrition foliaire », ajoute M. Varanasi. Cette année, ils prévoient d'introduire le nouveau système de pulvérisation sur environ 12.000 hectares de terres cultivées.
M. Varanasi explique qu'avec la croissance prévue de la population mondiale, « la production alimentaire doit doubler, et nous sommes limités par de nombreuses ressources, par exemple nous ne pouvons pas doubler les terres arables. [...] Cela signifie que chaque hectare que nous cultivons actuellement doit devenir plus efficace et capable de faire plus avec moins. » Selon M. Varanasi, ces technologies de pulvérisation améliorées, qui permettent à la fois de contrôler la pulvérisation et d'enrober les gouttelettes, « changent fondamentalement l'agriculture ».
AgZen a récemment levé 10 millions de dollars en capital-risque pour soutenir le déploiement commercial rapide de ces technologies qui peuvent améliorer le contrôle des intrants chimiques dans l'agriculture. « Les connaissances que nous recueillons sur chaque feuille, combinées à notre expertise en matière de science interfaciale et de mécanique des fluides, nous donnent un aperçu inégalé de la manière dont les produits chimiques sont utilisés et développés – et il est clair que nous pouvons apporter de la valeur à l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement agrochimique », a déclaré M. Varanasi. « Notre mission est d'utiliser ces technologies pour améliorer les résultats et réduire les coûts pour l'industrie agroalimentaire. ________________
* Source : New technology out of MIT makes pesticides stick to plant leaves
(...) La réduction de la quantité de produits de traitement agricoles utilisés par les agriculteurs – y compris les engrais, les pesticides et les herbicides – pourrait réduire la quantité qui se retrouve dans l'environnement, tout en réduisant les coûts pour les agriculteurs et peut-être même en améliorant leur productivité. Un classique gagnant-gagnant-gagnant. (...)
'pourrait réduire la quantité qui ' !!! HAHAHAHAHAHA !
Sans nourriture LA PLANTE CRÈVE ! (Çà alors !:!), sans médicaments contre les maladies et insectes destructeurs: LA PLANTE CRÈVE !! (Çà alors !!).
Depuis DES milliers d'années les paysans ont subi les ravages agricoles. Puis, arrivèrent l'époque des scientifiques qui examinaient le pourquoi d'une maladie et le pourquoi du ravage des insectes. Des laboratoires oint mis au point des remèdes à ces attaques qui entraînaient la famine dans le monde malgré la présence de 95 % de paysans !
Chaque plante a ses défenses comme a chaque animal de notre monde.
*
99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes
2 Décembre 2018 par Seppi Alex Berezow*
Le mot « pesticide » est mal compris, presque autant que le mot « chimique ». Les gens ont été amenés à croire, en grande partie par l'industrie des produits biologiques et les activistes environnementaux, que les pesticides ne sont pas naturels, sont dangereux et n'appartiennent pas à l'approvisionnement alimentaire. Mais cela défie une compréhension de base de la biologie.
Un pesticide est un produit chimique, naturel ou produit par l'homme, conçu pour tuer un autre organisme.
En utilisant cette définition large, il y a probablement des centaines de milliers de pesticides dans l'environnement naturel. La guerre biologique a été inventée et perfectionnée par Mère Nature.
Par exemple, certaines bactéries et certains champignons produisent des antibiotiques pour tuer d'autres microbes. Nous n’appelons pas ces antibiotiques « pesticides », mais c’est exactement ce qu’ils sont. Pour une cellule bactérienne, un microbe d'une espèce différente n'est souvent rien de plus qu'un organisme nuisible avec lequel il est en compétition et qui devrait mourir. Donc, elle produit des substances chimiques avec l'intention de le tuer. C’est un pesticide.
Les plantes font la même chose. Du point de vue de la plante, de nombreux insectes ne sont rien de plus que des parasites dangereux qui mangent les feuilles et qui devraient mourir. Donc, les plantes produisent des insecticides, comme la caféine et la nicotine, pour éloigner ces végétariens odieux à six pattes. (Elles produisent également des pesticides pour éloigner les végétariens à quatre pattes, à poils).
Et devinez quoi ? Lorsque nous mangeons des plantes, nous mangeons aussi ces pesticides. Un document coécrit en 1990 par le vénérable Bruce Ames a constaté que 99,99 % des pesticides que nous ingérons dans notre alimentation sont produits par les plantes elles-mêmes. Compte tenu de la popularité des produits biologiques et de la mythologie non scientifique qui la sous-tend, ses résultats sont plus pertinents que jamais.
Les pesticides naturels dans vos aliments
Selon l’équipe du Dr Ames, chaque plante produit quelques douzaines de toxines, dont certaines (à une dose suffisamment élevée) seraient toxiques pour l’homme. Le chou produit au moins 49 pesticides connus. Compte tenu de l'omniprésence des pesticides naturels, le Dr Ames estime que « les Américains ingèrent environ 1,5 g de pesticides naturels par personne et par jour, soit environ 10.000 fois plus que les résidus de pesticides de synthèse ».
De plus, le Dr Ames estime que nous consommons chaque jour entre 5.000 et 10.000 pesticides naturels différents, dont beaucoup provoquent des cancers lors d'essais sur des animaux de laboratoire. Le Dr Ames rédige alors probablement le meilleur paragraphe jamais écrit dans la littérature scientifique:
"Il y a des substances qui sont cancérogènes pour les rongeurs dans les aliments suivants : abricot, ananas, aneth, anis, aubergine, banane, basilic, brocoli, cacao, café, cannelle, carotte, carvi, champignons, chou, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou vert, céleri, cerise, endive, estragon, fenouil, framboises, girofle, goyave, graines de sésame, groseilles, jus de pamplemousse, jus d'orange, laitue, lentilles, mangue, melon, miel, moutarde, muscade, navet, panais, pêche, persil, poire, pois, poivre noir, pomme, pomme de terre, prune, radis, raifort, raisin, romarin, thé, tisane de consoude, tomate. Il est donc probable que presque tous les fruits et légumes du supermarché contiennent des pesticides naturels de plantes qui sont cancérogènes pour les rongeurs. Les niveaux de ces substances cancérogènes chez les rongeurs dans les plantes susmentionnées sont généralement des milliers de fois plus élevés que les concentrations de pesticides de synthèse. »
Faites-vous la cuisine ? Cela produit aussi des toxines cancérogènes. Aimez-vous le café ? C’est une tasse bouillante de cancérogènes pour les rongeurs. Il faut garder à l'esprit que pour chaque pesticide de synthèse effrayant que l'homme a créé, Mère Nature a créé quelque chose de pire. Et vous le mangez probablement régulièrement.
Mais si vous tenez toujours à éliminer tous les pesticides de votre alimentation, vous pouvez faire une chose : cesser de manger.
Source: Bruce Ames, Margie Profet, Lois Gold. « Dietary pesticides (99.99% all natural) » (pesticides alimentaires (99,99 % entièrement naturels). PNAS 87:7777-81. Publié en octobre 1990. _____________
* Le Dr Alex Berezow a rejoint l'American Council on Science and Health (conseil américain des sciences et de la santé) en tant que Senior Fellow pour les sciences biomédicales en mai 2016. Il est un auteur prolifique dont les articles ont paru dans de nombreuses publications. Il est l'auteur ou le co-auteur de trois ouvrages : The Next Plague and How Science Will Stop It (la prochaine épidémie et comment la science l'arrêtera, 2018), Little Black Book of Junk Science (le petit livre noir de la science poubelle, 2017), et Science Left Behind (la science laissée pour compte, 2012).
Le maïs : une culture bénéfique pour les sols et la biodiversité
11 Mai 2025 Romain G.*
🌽 Le maïs : une culture bénéfique pour les sols et la biodiversité 🌽
Le maïs n'est pas seulement une culture clé pour l'alimentation humaine🍿 et animale🐄, c’est aussi une culture bénéfique à nos sols🌱 et à la biodiversité/environnement🌈. En effet 1 ha de maïs peut produire de 16 à 32 tonnes d'oxygène💨, et absorber 20 à 30 tonnes de gaz carbonique durant son cycle de développement, soit entre 2 et 3 fois plus qu'un hectare de forêt.🌴🌲🌳Et c'est un véritable réservoir à biodiversité (comme la luzerne) durant l'été, période de l'année où la couverture des sols est plus réduite.
✅ Amélioration de la structure du sol ✨:
Le maïs possède un système racinaire profond de type fasciculé, qui permet de bien s'ancrer dans les différents horizons du sols et d'aller chercher nutriments et eau dans les profondeurs. Les galeries de vers de terre facilitent également le passage des racines. La structure ainsi laissée sera très favorable à l'implantation de la culture prochainement implanté type blé, ou un couvert végétal, à conditions de ne pas trop retravailler le sol.
✅ Rôles agronomiques :
En tant que culture de printemps🌞, le maïs joue un rôle crucial dans la rotation des cultures🎨, c'est une deuxième ou troisième culture de printemps à pouvoir implanter lorsque l'on ne peut pas faire des pomme de terre ou des betteraves, pour diversifier des cultures d'hiver❄. Il aide aussi à lutter contre l'érosion, briser les cycles de certaines adventices/ravageurs et réduit les charges phytosanitaires💲. Il y a également beaucoup de restitutions organiques notemment en maïs grain, et les parties souterraines en maïs fourrage. Mais bien souvent il peut y avoir eu un fumier pailleux d'apporté et/ou un couvert végétal avant le maïs. Même si cela ne compensera jamais à 100 % certes.
✅ Gestion des nutriments :
De par son système racinaire profond et sa période d'implantation idéale car peu favorable au lessivage NPK, l'azote peut-être mis avant le semis, le maïs ira de toute façon rechercher plus tard les nutriments avec son système fasciculé profond, qui permet donc aussi de protéger les nappes phréatiques et les cours d'eau.
En résumé, le maïs🌽 n'est pas qu'une poacée/graminée avec des points de vigilance entre dégâts de gibiers, ravageurs, carence et conditions de récolte en grain, c’est aussi une alimentation locale, de qualité et autonome pour nos élevages.
👉 Et vous, que pensez-vous du maïs? Peut-il remplacer un tournesol ?🌻 ________
* Sa présentation sur LinkedIn : « Passionné par l'agronomie, j'adore échanger et apprendre sur LinkedIn ! 🤝 Curieux et engagé, je souhaite développer un réseau. [...] »
(...) Le maïs n'est pas seulement une culture clé pour l'alimentation humaine🍿 et animale🐄, c’est aussi une culture bénéfique à nos sols🌱 et à la biodiversité/environnement🌈. En effet 1 ha de maïs peut produire de 16 à 32 tonnes d'oxygène💨, et absorber 20 à 30 tonnes de gaz carbonique durant son cycle de développement, soit entre 2 et 3 fois plus qu'un hectare de forêt.🌴🌲🌳Et c'est un véritable réservoir à biodiversité (comme la luzerne) durant l'été, période de l'année où la couverture des sols est plus réduite. (...)
L'oxygène, comme le gaz carbonique et tous autres gaz, est produit par la combustion magmatique (à 30 km sous nos pieds), il n'y a donc besoin d'une plante pour en 'produire'.
Chaque pante sur notre planète, comme chaque animal, se nourrit différemment. Chaque portion de terre contient l'aliment favori à des plantes et des animaux. Donc, nul besoin de chercher le pourquoi alimentaire de chaque être vivant.
L'OMS et le nouveau laboratoire de haute sécurité en Suisse pour les agents pathogènes pandémiques
RépondreSupprimerpar Meryl Nass
mai 12, 2025
L'OMS a créé son propre système d'accès aux agents pathogènes - avec un laboratoire de haute sécurité et « un système rapide et fiable pour le transfert d'agents pathogènes susceptibles de déclencher des épidémies ou des pandémies » - et elle se moque de nous.
Dans un communiqué de presse de juin dernier que je viens de retrouver, on s'en vante même ouvertement.
Qu'est-ce que cela signifie concrètement ?
L'OMS a constitué sa propre collection d'agents pathogènes pandémiques potentiels (PPP) - en contournant ses États membres. Au lieu de cela, elle a conclu de manière autonome des accords avec la Suisse et un laboratoire suisse à Spiez. Selon le communiqué de presse du 13 juin 2024 lié ci-dessus, cette décision a été prise immédiatement après la fin de l'Assemblée mondiale de la santé, qui avait auparavant refusé d'adopter le traité sur les pandémies ainsi que le système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages (PABS) qu'il contient avant le 1er juin 2024. En réaction directe, l'OMS a contourné ses membres et a signé à la place son propre accord, étendant un accord antérieur avec la Suisse et le laboratoire de Spiez.
En outre, on pouvait lire sur le site Internet de l'OMS, dont le lien figure ci-dessus, que cette bibliothèque de prêt contient déjà de nombreux exemplaires du SRAS-CoV-2 et de la variole du singe (mpox) - et qu'elle accueillera bientôt d'autres agents pathogènes mortels dans son installation de haute sécurité. Il s'agit très probablement d'un laboratoire de niveau de biosécurité 4 (BSL-4).
Source: https://merylnass*substack*com/p/who-has-created-its-own-pathogen
Persistance de la protéine S1 post-vaccination : une étude relance le débat sur la sécurité des vaccins COVID-19
RépondreSupprimerLe Collectif Citoyen, France-Soir
le 14 mai 2025 - 21:00
Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.
Principaux résultats de l’étude
L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.
Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :
La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis.
La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée.
Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :
Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections).
RépondreSupprimerChez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires.
En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.
L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.
En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas.
Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.
Réactions publiques et minimisation des risques en 2021
En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.
Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.
RépondreSupprimerLes commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.
Réactions sur les réseaux sociaux
L’épidémiologiste Nicolas Hulscherrelaie l’étude, suscitant des réactions mitigées.
Nic Hulscher
Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.
Implications et limites de l’étude
L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.
Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.
Persistance de la protéine S1 post-vaccination : une étude relance le débat sur la sécurité des vaccins COVID-19
RépondreSupprimerLe Collectif Citoyen, France-Soir
le 14 mai 2025 - 21:00
Une étude publiée le 13 mai 2025 dans Human Vaccines & Immunotherapeutics par Patterson et al. soulève des questions troublantes sur la persistance de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours après la vaccination contre le COVID-19. Ces résultats, observés chez des individus souffrant de syndrome post-vaccinal COVID-19 (PCVS), ravivent les préoccupations sur la sécurité des vaccins, particulièrement en l’absence d’études préalables sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité des vaccins à ARNm et à vecteurs viraux. Alors que les agences de santé publique ont minimisé les risques en 2021, cette étude fait écho aux alertes précoces d’associations comme BonSens.org, qui avait averti les parlementaires français des dangers potentiels des vaccins expérimentaux.
Principaux résultats de l’étude
L’étude a examiné 50 personnes (âgées en moyenne de 42 ans, dont 72 % de femmes) qui ressentaient des symptômes persistants après avoir reçu un vaccin contre le COVID-19, comme une grande fatigue, des douleurs nerveuses, une sensation de brouillard dans la tête ou des maux de tête. Ces personnes ont été comparées à 26 autres (les « témoins ») qui n’avaient aucun symptôme après leur vaccin.
Pour comprendre ce qui se passait, les chercheurs ont utilisé deux outils scientifiques :
La cytométrie en flux : une technique qui permet de regarder à l’intérieur des cellules du sang, un peu comme un microscope très précis.
La chromatographie liquide-spectrométrie de masse (LC-MS) : une méthode qui identifie les molécules présentes dans les cellules, comme si on faisait une analyse chimique ultra-détaillée.
Ils ont découvert qu’une partie de la protéine du virus utilisée dans les vaccins (appelée S1) était encore présente dans certaines cellules du système immunitaire (les monocytes non classiques et intermédiaires) chez presque tous les patients avec symptômes, même 245 jours après la vaccination ! Plus précisément :
Chez 92 % des patients testés, la protéine S1 était dans les monocytes non classiques (des cellules qui aident à combattre les infections).
RépondreSupprimerChez 67 %, elle était dans les monocytes intermédiaires.
En comparaison, seulement 10 % des témoins (ceux sans symptômes) avaient cette protéine dans leurs cellules.
L’analyse a aussi montré d’autres morceaux de protéines vaccinales (S1 muté et S2), ce qui suggère que ces protéines restent dans le corps beaucoup plus longtemps qu’on ne le pensait. De plus, les chercheurs ont trouvé des signes d’inflammation dans le sang des patients symptomatiques, avec des niveaux élevés de certaines substances (comme IL-4, CCL3, CCL5, sCD40L, IL-8, VEGF) qui peuvent causer des symptômes comme des douleurs ou des problèmes neurologiques. Ces résultats indiquent que la présence prolongée de la protéine S1 pourrait être liée aux symptômes ressentis par ces personnes.
En d’autres termes, pour des néophytes, imaginez que le vaccin contient une petite partie du virus (la protéine S1) pour apprendre à votre corps à se défendre. Normalement, cette partie devrait disparaître rapidement. Mais chez certaines personnes, elle reste dans des cellules du système immunitaire pendant des mois, comme un invité qui ne part pas.
Cela semble déclencher une sorte d’irritation dans le corps, qui pourrait expliquer pourquoi ces personnes se sentent fatiguées, ont mal ou ne pensent pas clairement.
Réactions publiques et minimisation des risques en 2021
En 2021, les agences de santé publique, telles que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, ont largement affirmé que les vaccins COVID-19 étaient « sûrs et efficaces ». Par exemple, l’ANSM déclarait en juillet 2021 que les effets indésirables graves étaient « rares », voire inexistants et que les bénéfices l’emportaient largement sur les risques, sans mentionner l’absence d’études approfondies sur la biodistribution ou la génotoxicité. De même, l’EMA, dans ses rapports de pharmacovigilance, minimisait les signalements d’effets secondaires, les attribuant souvent à des causes non liées au vaccin.
Ces affirmations contrastaient avec l’absence de données critiques. Comme souligné par BonSens.org dans ses courriers aux parlementaires français (juillet et octobre 2021), les vaccins à ARNm et à vecteurs viraux ont été autorisés sous des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) sans études complètes sur la biodistribution (où les composants vaccinaux se répartissent dans l’organisme), la génotoxicité (risque de dommages à l’ADN) ou l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire). Un document de Pfizer, révélé plus tard via une fuite, confirmait que ces études n’avaient pas été réalisées avant la mise sur le marché, un point soulevé par BonSens.org dès 2021.
RépondreSupprimerLes commentaires publics des autorités sanitaires, souvent relayés par les médias, rejetaient les préoccupations sur les effets à long terme comme non fondées. Par exemple, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, affirmait en 2021 que « les vaccins protègent à 95 % contre les formes graves », omettant de mentionner l’incertitude sur les effets à moyen et long terme. Ces déclarations ont contribué à marginaliser les voix critiques, y compris celles des scientifiques indépendants et des associations comme BonSens.org.
Réactions sur les réseaux sociaux
L’épidémiologiste Nicolas Hulscherrelaie l’étude, suscitant des réactions mitigées.
Nic Hulscher
Certains utilisateurs expriment leur inquiétude : « Cela confirme ce que beaucoup soupçonnaient : les vaccins peuvent causer des dommages à long terme. Pourquoi les autorités ont-elles ignoré ces risques ? » D’autres restent sceptiques, comme @ScienceFirst : « Étude intéressante, mais la taille de l’échantillon est faible. Il faut plus de données pour conclure. » Ces échanges reflètent une polarisation persistante, amplifiée par la méfiance envers les institutions suite aux affirmations initiales de sécurité absolue.
Implications et limites de l’étude
L’étude suggère que la persistance de S1 pourrait déclencher une inflammation chronique via des interactions entre les monocytes CD16+ et les cellules endothéliales, entraînant des symptômes comme la fatigue ou les troubles neurologiques. Elle propose des pistes thérapeutiques, comme les antagonistes de CCR5 ou les statines, mais souligne la nécessité d’essais cliniques.
Cependant, l’étude présente des limites : une petite taille d’échantillon (50 patients, 12 analysés pour S1), une variabilité temporelle (38-245 jours), et l’impossibilité d’exclure définitivement une infection antérieure au SARS-CoV-2, malgré des tests négatifs (anti-nucléocapside, T-Detect). La détection de S1 chez un témoin asymptomatique et son absence chez certains patients symptomatiques compliquent l’établissement d’un lien causal.
RépondreSupprimerConséquences pour la santé publique
Ces résultats remettent en question le narratif initial de sécurité absolue des vaccins COVID-19. Avec plus de 13 milliards de doses administrées mondialement, même une faible proportion de cas de PCVS pourrait représenter des millions de personnes affectées. Cela appelle à une pharmacovigilance renforcée et à des études indépendantes sur les effets à long terme des vaccins.
La minimisation des risques en 2021, couplée à l’absence d’études clés, a alimenté la méfiance envers les institutions. Cette étude pourrait exacerber cette fracture, rendant cruciale une communication transparente pour restaurer la confiance. Elle souligne également l’urgence de développer des vaccins avec des profils de sécurité mieux caractérisés.
Lien avec les alertes de BonSens.org
Dès juillet 2021, l’association BonSens.org avertissait les parlementaires français des risques liés aux vaccins COVID-19, soulignant l’absence d’études sur la biodistribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité, ainsi que les signalements élevés d’effets indésirables graves rapportés par l’ANSM (près de 200 000 déclarations dont 25% de graves). Dans ses courriers, BonSens.org dénonçait une communication officielle biaisée, violant le principe du consentement libre et éclairé, et mettait en garde contre les conséquences juridiques et sanitaires d’une obligation vaccinale. Ces alertes, largement ignorées à l’époque et qualifiées de « désinformation » par certains, trouvent un écho dans l’étude de Patterson et al., qui confirme la persistance de protéines vaccinales et leurs effets inflammatoires potentiels. BonSens.org avait également appelé à un moratoire sur la vaccination de masse, une position qui, rétrospectivement, semble prémonitoire face aux incertitudes scientifiques révélées par cette étude.
L'imaginaire Casey Means
RépondreSupprimerL'histoire de la candidate au poste de médecin généraliste est-elle vraiment vraie ?
DR NAOMI WOLF
11 MAI 2025
Oui, une vive polémique fait rage actuellement parmi les militants de la MAHA. Oui, elle est liée à l'annonce, le 7 mai 2025, de la nomination de Casey Means, « influenceuse bien-être » et auteure à succès, comme remplaçante du Dr Janette Nesheiwat, comme candidate du président Trump au poste de médecin généraliste. Il s'est avéré que le Dr Nesheiwat avait falsifié ses qualifications médicales.
Un message de Nicole Shanahan, ancienne candidate à la vice-présidence, sans le soutien financier et stratégique de laquelle RFK Jr. a soutenu la candidature de ce dernier, ni lui ni le président Trump ne seraient au pouvoir aujourd'hui, a été largement diffusé. Mme Shanahan a trouvé « étrange » que l'assurance directe de RFK Jr., en échange de son soutien à sa confirmation, que ni Casey ni son frère Calley Means ne seraient recrutés pour servir au HHS, ait été ignorée.
On a observé une forte condescendance – malheureusement, en grande partie masculine – suite aux expressions d'indignation de personnalités clés du MAHA, dont beaucoup de femmes. Le compte @SecKennedy sur X a qualifié d'« absurdes » les critiques de Casey Means formulées par des personnalités du MAHA. C'est un ton terriblement déplacé pour répondre aux vives inquiétudes d'une base qui a combattu pour ce leader et l'a soutenu.
Calley Means, pour sa part, le frère de Casey Means, s'est montré insultant. Il a usé de sarcasme pour m'attribuer, comme exemple de réaction regrettable à l'indignation du MAHA, des opinions que je ne partage pas :
Je n'ai jamais dit, contrairement à ce malheureux message, que Casey Means « doit » faire partie d'un « complot de la CIA ». Je n'ai jamais dit que « l'État profond » avait quoi que ce soit à voir avec son ascension fulgurante vers la notoriété nationale.
J'ai dit – et je maintiens ma position – qu'il me semble que Casey Means et Calley Means nous ont été envoyés par des intérêts plus inquiétants que la CIA.
La Silicon Valley est plus effrayante que n'importe quelle agence gouvernementale, et bien plus puissante. Les frères Means, je le maintiens, représentent les intérêts de la Silicon Valley, et non les nôtres.
J'ai dit – et je maintiens ma position – qu'ils semblent tous deux chargés de défendre les intérêts des géants de la tech dans leur course effrénée à l'exploitation de la mine d'or que constituent les données précieuses et intactes – notamment nos données médicales privées – actuellement conservées sous clé par le gouvernement américain.
J'ai soulevé ce point dans mon essai du 12 février 2025 sur ce que je considérais comme le ciblage de nos données par Elon Musk à l'époque. Cet essai était intitulé « Le sac de Rome ». J'avais alors averti que Musk et d'autres oligarques de la Silicon Valley recherchaient ces données, et que l'équipe du président Trump ne semblait pas comprendre les risques graves et irrévocables que cette mission représentait.
RépondreSupprimerJe savais alors, de par ma propre expérience de PDG d'entreprise technologique, qu'Elon Musk utiliserait certainement sa propre IA ou son propre code (et pas seulement notre IA souveraine) sur nos ensembles de données. Il l'a fait un mois plus tard. Je savais alors que l'équipe de Musk chercherait à fusionner les ensembles de données de plusieurs agences (comme elle a cherché à le faire plus tard).
Quiconque travaille avec des spécialistes des technologies sait que ces actions dangereuses et destructrices seraient inévitables, en raison de la valeur que représente pour l'IA de Musk son entraînement sur nos ensembles de données, et de la valeur que représenterait la capacité de Musk à créer une « application universelle » que représenterait la fusion d'ensembles de données de plusieurs agences.
J'avais averti dans cet essai, ainsi que dans le podcast War Room de Bannon, que l'administration Trump était confrontée à un risque catastrophique pour sa sécurité, car Musk recherchait des courriels d'agences de sécurité nationale et de renseignement concernant « cinq choses que j'ai faites cette semaine ». Je savais que l'objectif de Musk était de créer une base de données de ces courriels. Ces communications, ai-je prévenu, pourraient être lues par une machine et transformées en une base de données non sécurisée et non interne contenant les projets de renseignement les plus importants de notre nation. J'avais peut-être raison : « Trois sources connaissant le système ont signalé à NBC que les réponses sont intégrées à un modèle de langage étendu afin de déterminer si le travail d'une personne est critique ou non. »
Dans au moins deux cas, DOGE a soit réécrit son propre code en IA gouvernementale, soit hébergé des activités de financement gouvernementales sensibles sur une plateforme tierce – Microsoft.
J'ai alerté sur WarRoom du terrible risque pour la sécurité nationale que représentait l'utilisation par l'administration de toute plateforme tierce. Je m'inquiétais alors de l'IA d'Elon Musk et du licenciement par celui-ci des technologues du gouvernement américain dont la mission serait d'alerter sur les dangers que ses activités représentent pour la sécurité nationale et la sécurité de l'information.
Un mois plus tard, le scandale Signal éclatait – et nos secrets vitaux en matière de sécurité nationale, notamment les détails communiqués par le secrétaire à la Défense Pete Hegseth sur le calendrier d'une frappe militaire au Yémen, étaient partout… sur une plateforme numérique tierce.
Comment l'administration aurait-elle pu être protégée de ces effroyables failles de sécurité ? Un tiers des experts techniques du Service numérique des États-Unis, ceux qui auraient compris les failles de cybersécurité, ont été licenciés par courriel anonyme ; 21 autres ont démissionné, dans une lettre adressée à la Maison-Blanche le 25 février 2025, qui avertissait avec force que les données du gouvernement des États-Unis ne pouvaient plus être sécurisées :
RépondreSupprimer« Les actions du DOGE – licenciement d'experts techniques, mauvaise gestion de données sensibles et piratage de systèmes critiques – sont en contradiction avec sa mission déclarée de « modernisation des technologies et logiciels fédéraux afin de maximiser l'efficacité et la productivité du gouvernement », indique la lettre. « Ces actions sont incompatibles avec la mission pour laquelle nous avons rejoint le Service numérique des États-Unis : offrir de meilleurs services au peuple américain grâce à la technologie et au design. » […]
« Nous n'utiliserons pas nos compétences de technologues pour compromettre les systèmes gouvernementaux essentiels, compromettre les données sensibles des Américains ou démanteler des services publics essentiels », indiquait la lettre. « Nous ne prêterons pas notre expertise pour mener à bien ou légitimer les actions de DOGE. »
Les technologues du gouvernement américain licenciés ou démissionnaires auraient dû avertir l'administration que Signal n'était pas sécurisé. Une fois les technologues partis, c'est DOGE qui aurait dû avertir les collègues non techniques de Musk que Signal n'était pas sécurisé.
Mais DOGE ne l'a pas fait.
Hum.
Ce qui nous amène à Casey Means.
Casey Means est en réalité une création de la Silicon Valley, destinée également, selon moi, à piller nos données gouvernementales et à réorienter la politique de santé américaine pour l'aligner sur les intérêts des géants de la technologie, notamment dans le domaine en plein essor de la biométrie.
Permettez-moi maintenant de rappeler les passages de « Le Saccage de Rome », qui expliquent pourquoi les données, notamment biométriques, sont si précieuses pour la Silicon Valley :
« La valeur des données gouvernementales »
RépondreSupprimerLe président Trump et l'équipe MAGA, dont les dirigeants sont presque tous issus de la génération pré-Internet, ne mesurent peut-être pas l'importance financière pour la Silicon Valley d'une possible violation de ces données par Elon Musk.
Mais les Broligarques en comprennent assurément la valeur, une valeur si vaste qu'elle est presque indescriptible.
Ce à quoi Musk et ses ingénieurs ont eu accès au cours de leur week-end en tête-à-tête avec nos données, c'est bien sûr un gouvernement détenant les archives des affaires civiques des Américains ; mais à l'ère du numérique, évaluée au sein d'une économie numérique, c'est aussi une mine d'or d'une valeur inimaginable.
Imaginez une mine d'or remplie de doublons inestimables et entièrement frappés. Ce n'est pas une mine d'or pour les citoyens, dont beaucoup expriment leur haine et leur mépris pour le gouvernement, y compris pour ses bureaucraties. Mais du point de vue des Broligarchs, il s'agit d'un trésor inestimable, constitué des données les plus pures, les plus précises, les plus pures, les moins ambiguës et de la plus haute qualité. En raison des restrictions de confidentialité et des pare-feu gouvernementaux, les Broligarchs n'ont pas pu accéder à ce trésor. Ils le veulent. Ils en rêvent.
Pourquoi le désirent-ils tant ? Pourquoi font-ils sauter le champagne, alors que l'un des leurs a obtenu les clés de cette mine d'or et s'y est introduit sans broncher, et a peut-être déversé, en quelque sorte, tous ces doublons inestimables, intacts, alors que les gardes de la mine étaient (en vertu d'un contrat gouvernemental) absents ou ont été démis de leurs fonctions ?
Voici pourquoi.
La Silicon Valley a construit et monétisé presque tout ce qui peut se trouver dans votre ordinateur ou votre téléphone. Les technologues de la Silicon Valley connaissent les modèles économiques existants ; et il existe une quantité limitée de jeux vidéo, de logiciels de traitement de texte ou de comptabilité, de réseaux de téléachat et d'applications minceur que chacun souhaite.
La technologie de tout ce qui se trouve dans votre ordinateur, ainsi que les modèles économiques, sont désormais bien compris. Les Broligarques voient les limites de la croissance : les limites de la croissance des produits qui se trouvent dans votre ordinateur ou votre téléphone, ou qui peuvent être compilés à partir d'ensembles de données accessibles au public.
Cette saturation explique leur soif de nouveaux sites, supports et matrices de numérisation.
RépondreSupprimerCette saturation explique leur désir ardent de développer l'Internet des objets et d'exploiter ces données ; c'est pourquoi ils souhaitent installer des capteurs partout, dans l'environnement bâti ou physique.
C'est pourquoi l'Université Columbia propose une bourse de journalisme de données à l'École de journalisme, qui comprend notamment la formation des journalistes en herbe à l'utilisation des capteurs.
La Silicon Valley aspire également à créer des technologies qui se manifestent dans l'environnement réel ; c'est pourquoi des projets tels que le Keith Group de l'Université Harvard, qui abrite les expériences de géo-ingénierie diaboliques du professeur David Keith visant à bloquer le soleil, sont financés par Intellectual Ventures, l'une des principales sociétés de capital-risque de la Silicon Valley. Comme le souligne un ouvrage sur les investissements de la Silicon Valley dans la gestion du rayonnement solaire : « Intellectual Ventures a développé un important portefeuille de brevets dans ce domaine : plusieurs autres entités privées et publiques ont également déposé des brevets dans le domaine de la géo-ingénierie. »
Les avantages financiers de la numérisation, de la collecte de données issues de nouveaux champs inexplorés, et donc de la monétisation de votre ciel et de votre météo, de votre corps et de ses processus, de votre cerveau et de votre humeur, de votre environnement bâti et, bien sûr, de vos sources de données gouvernementales protégées, ainsi que de la privatisation de leurs vastes fonctionnalités technologiques, expliquent l'enthousiasme des investisseurs à coloniser ces espaces encore peu numérisés et peu monétisés.
Ce Far West explique pourquoi les Broligarques souhaitent numériser votre corps ; pourquoi ils introduisent si massivement les « wearables » et les technologies numériques à l'intérieur du corps humain. C'est pourquoi l'engouement pour la technologie de l'ARNm et les vaccins, dans lesquels des entrepreneurs de la Silicon Valley comme Mark Zuckerberg ont investi, et certains fonds de capital-risque ont même déposé des brevets, a été plus grand dans les revues biotechnologiques que dans les revues médicales. Les investissements colossaux déjà réalisés par les investisseurs de la Silicon Valley poussent les politiques à exiger que l'ARNm soit acheté et utilisé partout, alors même que la science autour de l'ARNm s'effondre.
La loi HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act) de 1996, qui protège vos données médicales, est un ange armé d'une épée flamboyante qui empêche désormais les technophiles d'accéder à ces données les plus précieuses et les plus constamment actualisées : les dossiers médicaux personnels des Américains, en constante évolution.
Si les implants corporels, comme Neuralink d'Elon Musk, ou les processus numériques à l'intérieur ou autour de votre corps, comme les objets connectés, peuvent être normalisés, cette application ou cet appareil pour lequel vous donnez votre consentement dans les « conditions d'utilisation » ennuyeuses et indéchiffrables concernant l'utilisation de vos données médicales, permet aux entrepreneurs de contourner les protections actuelles de la confidentialité HIPAA concernant vos données médicales.
Cette violation représente donc une nouvelle colonie dans le Far West invaincu des données.
RépondreSupprimerFraîchement élues personnalités nationales de la « Liberté Santé », Calley et Casey Means possèdent toutes deux des entreprises de santé numérique basées sur des modèles économiques d'accumulation de données. L'entreprise de Calley Means, Truemed, vend des applications de suivi de la santé mentale et du sommeil, ainsi que des technologies d'analyse numérique du microbiome intestinal (bien que, depuis mes critiques publiques, il semble avoir retiré de son site web l'appareil qu'il proposait pour suivre l'activité cérébrale réelle).
Lorsque j'ai tenté de souligner sur X l'aspect gestion des données de ses modèles économiques et de ceux de sa sœur, Calley Means a qualifié mes mises en garde de « délirantes ».
Casey Means, la sœur de ce duo, est cofondatrice de Levels.com. Le modèle économique de cette entreprise consiste à sécuriser vos données de glycémie et de suivi alimentaire. Casey Means a connu un parcours étonnant tout au long du processus de financement par capital-risque, surtout pour une fondatrice, et même pour une fondatrice sans expérience dans la création et la sortie d'entreprises numériques prospères mentionnées dans sa biographie. (Les fondatrices reçoivent moins de 3 % du financement en capital-risque). » […]
Comme je comprenais la proposition de valeur des modèles économiques des frères et sœurs Means, basée sur la collecte de données, j'ai rapidement compris que leur soudaine auto-représentation en tant que militants de la liberté médicale était absurde. Et lorsque, quelques semaines plus tard, le président Trump a annoncé, aux côtés de Larry Ellison, cofondateur d'Oracle, une coentreprise de 500 milliards de dollars dans l'IA, « Stargate », qui combinerait les forces des entités habituellement concurrentes Microsoft, OpenAI, Nvidia, Oracle et Softbank, j'ai perçu un autre signe avant-coureur.
En observant tout cela, j'ai réalisé que si le président Trump croit avoir maîtrisé la Silicon Valley, le véritable risque est que la Silicon Valley l'ait maîtrisé.
L'objectif des Broligarchs, en adoptant soudainement et sans raison la MAGA, était très clair. Il ne s'agissait pas simplement d'une courbette prévisible devant le nouveau dirigeant ; même si cela en faisait certainement partie. Cette adhésion me semblait surtout, avant même que je J'ai appris l'histoire de Musk avec nos données les plus précieuses, ce qu'on appelle dans le monde du capital-risque un « jeu de données ».
Les Broligarchs convoitaient la tranche de données non monétisées la plus précieuse au monde : celles du gouvernement fédéral américain.
Bon, maintenant que vous avez rafraîchi votre compréhension de la valeur de nos données gouvernementales, examinons de plus près Casey Means.
Casey Means a pour principales qualités d'entrepreneure dans le secteur de la santé, à la tête d'une startup très valorisée, et d'auteure, avec son frère, du best-seller Good Energy.
Commençons par sa startup technologique, Levels.com. Je soutiendrai que son entreprise est une vitrine vide, un vide trompeur dans lequel certains des intérêts les plus enracinés et corrompus de la Silicon Valley ont injecté artificiellement de la valeur.
Andreessen Horowitz — celui-ci : « Quand aurons-nous un vaccin contre la COVID-19, et comment allons-nous passer de (ce qui a toujours été le cas) 12 ans de développement de vaccins compressés en 12 mois environ ? Qu'est-ce qui sera ou ne sera pas compromis ici, et quel est le rôle des nouvelles technologies, comme les vaccins à ARNm ou à ARN messager ?» — est intervenu, en effet, avec force.
RépondreSupprimerLa valorisation de l'entreprise de Casey Means a grimpé à 313 millions de dollars.
Était-ce parce que Casey Means adoptait une « nouvelle approche » des soins de santé, évitant la médecine allopathique Rockefeller, comme elle le prétend ? Et comme le prétend une vaste campagne de relations publiques de plusieurs millions de dollars, menée depuis plusieurs mois, cherche à faire passer le message ?
Ou était-ce pour obtenir une toute nouvelle gamme de produits de collecte de données biométriques, promue par la Maison-Blanche et le HHS – avec l'aide d'un investisseur fiable pour promouvoir les intérêts existants des capital-risqueurs biotechnologiques et rassembler les données médicales –, le tout reconditionné avec une image bienveillante de « MAHA » ?
Examinons de plus près la valeur de Levels.com. L'entreprise compte 60 000 abonnés et existe depuis six ans.
Comment une startup avec 10 000 abonnés par an, et aucune nouvelle technologie, peut-elle obtenir une valorisation de 313 millions de dollars ? N'est-il pas révélateur que les deux seuls fondateurs d'entreprises technologiques connus du mouvement MAHA, Nicole Shanahan et moi-même, soyons tout aussi surpris par la nomination de Casey Means ?
Les PDG de la tech comprennent le signal d'alarme que représente une valorisation de 313 millions de dollars pour une entreprise fondée par quelqu'un sans expérience technologique, sans sorties réussies, avec peu d'abonnés et sans nouvelle technologie, et dont les investisseurs et fondateurs incluent Google, Twitter, SpaceX et Andreessen Horowitz.
Le graphique ci-dessous, tiré de Crunchbase.com, illustre la croissance de Levels.com sur cinq ans. L'entreprise n'a connu aucune croissance organique depuis son lancement en 2020. En effet, la croissance était non seulement stagnante, mais en déclin, jusqu'à ce que les frères et sœurs Means fassent la une des journaux.
Comment cela va-t-il générer une valorisation de 313 millions de dollars ? Pourquoi cela générerait-il de nouveaux investissements ?
À moins que… la cofondatrice, qui parle aux arbres et dont la bio X indique encore aujourd'hui : « Engagée pour l'émerveillement », ait été mise en place par les géants de la tech, qui financent également une coûteuse campagne de relations publiques autour d'elle, afin d'assurer sa nomination au poste de prochain médecin généraliste.
RépondreSupprimerUne technologie sophistiquée peut permettre une valorisation solide. Levels.com n'en dispose pas. Levels utilise HTML et Wordpress dans sa pile technologique — rien de spécial. Aucune technologie propriétaire n'est divulguée sur Crunchbase. Le dernier tour de table majeur de Levels.com s'est clôturé en août 2024, juste après le lancement des frères et sœurs Means, héros de « MAHA ».
C'est là que les choses deviennent vraiment intéressantes. Bien que Levels soit une entreprise basée aux États-Unis, près de 8 utilisateurs sur 10 se trouvent au Mexique. Levels est cher : « Lorsque vous vous inscrivez pour la première fois à Levels, le coût total sera soit de 383 USD, ce qui comprend le premier mois de surveillance continue du glucose (avec deux CGM de 14 jours ou trois de 10 jours) à 184 USD + les frais d'adhésion annuels de 199 USD ou 224 USD, qui comprennent également le premier mois de CGM + 40 USD pour l'option d'adhésion mensuelle. » Le salaire mensuel moyen au Mexique est de 1695 USD, et les soins de santé au Mexique sont gratuits.
Alors, qui sont ces dizaines de milliers d'abonnés mexicains à Levels.com ? Le Mexique, comme Singapour, troisième pays d'utilisation de Levels.com, est un foyer bien connu de « bot farms ».
L'utilisation de Levels aux États-Unis a chuté de 65,72 % cette année, malgré (à cause ?) de la présence médiatique du cofondateur.
Qu'apporte concrètement Levels.com ? Laissons Casey Means parler de :
« 12:52 – Le petit laboratoire sur votre bras
Les glucomètres en continu (CGM) sont comme un Fitbit pour votre régime : ils mesurent en permanence la glycémie grâce à un processus chimique, puis envoient ces données directement à votre smartphone.
« Pour ceux qui ne les connaissent pas, imaginez que ce capteur a la taille de deux pièces de 25 cm empilées, collé à l'arrière de votre bras avec un adhésif. Une sonde de quatre millimètres sort de ce capteur. C'est comme un filament semblable à un cheveu qui passe sous la peau. Le filament est inséré sans douleur à l'aide d'un applicateur et reste juste sous la peau. Il n'est donc pas réellement dans le sang. Il mesure le glucose dans le liquide interstitiel. Le sucre est présent dans le sang, mais il s'échappe de la circulation sanguine et peut également se loger dans le liquide interstitiel. Cette évacuation prend environ 15 minutes. Votre glycémie dans le liquide interstitiel est donc généralement inférieure d'environ 15 minutes à votre glycémie, parfois plus rapidement, mais c'est la moyenne. Ensuite, une réaction chimique se produit sur le capteur : la concentration de glucose, une enzyme appelée glucose oxydase, est fixée au filament du capteur et convertit le glucose en un sous-produit qui libère du peroxyde d'hydrogène. Ce dernier peut ensuite être mesuré par un signal électrique qui enregistre votre glycémie et la transmet au smartphone sous forme de données.
Je ne suis pas contrarié que Casey Means n'ait pas terminé son internat en médecine, même si ce n'est pas une bonne image pour quelqu'un qui a été désigné pour endurer les rigueurs du service du peuple américain en tant que médecin général.
RépondreSupprimerJe ne suis même pas inquiet, même si je suis perplexe, qu'elle ait réussi à faire publier son livre, coécrit avec son frère, chez un grand éditeur, Penguin, et à bénéficier d'une campagne de communication massive, alors qu'aucun des deux frères n'avait jamais écrit de livre auparavant (du jamais vu).
Mais je suis contrarié que les questions soulevées par la valorisation de son entreprise et par la démographie de son utilisation soient évidentes pour quiconque y regarde cinq minutes, et qu'une fois de plus, personne ne Elle semble examiner attentivement les choix du président Trump. Si tout ne se passe pas comme prévu dans son entreprise, cela constitue une préoccupation si grave pour ses actionnaires, et donc pour le peuple américain, que j'hésite à préciser ce que cela impliquerait.
Et je suis vraiment contrarié que MAHA, qui représente un réalignement historique susceptible de redessiner le destin du Parti républicain – et des États-Unis – pour un siècle à venir ; un mouvement, mené principalement par des mères désespérées et furieuses, qui ont accédé au pouvoir par le sang, les larmes et un courage sans faille, se fasse maintenant dire – maintenant que la Silicon Valley a mis en place son code secret, soigneusement conçu pour maximiser les profits des géants de la tech et probablement aussi pour nous débarrasser de nos précieuses données biométriques – de s'asseoir
Et de se taire,
Et d'accepter une candidate dont le discours ne résiste pas à l'examen le plus élémentaire.
https://naomiwolf.substack.com/p/the-imaginary-casey-means
Une étude révolutionnaire établit un lien entre les vaccins à ARNm et une perte irréversible de fertilité féminine
RépondreSupprimer15/05/2025
Willow Tohi
Une étude turque évaluée par des pairs a révélé que les vaccins à ARNm entraînaient une réduction de 60 % des follicules primordiaux (ovules essentiels à la fertilité) chez le rat, tandis que les vaccins inactivés affichaient une diminution de 34 %. Ces cellules ne sont pas renouvelables, ce qui suggère une perte potentielle de fertilité permanente en cas de réplication chez l'homme.
Une étude préliminaire portant sur 1,3 million de femmes tchèques a révélé une baisse de 33 % du nombre de grossesses réussies chez les femmes vaccinées, ainsi qu'une baisse de 21 % du taux de fertilité national. Les cliniciens signalent une augmentation des fausses couches, des décès fœtaux et des troubles menstruels après la vaccination.
Les LNP contenus dans les vaccins à ARNm s'accumulent dans les ovaires, stimulant la production de protéines Spike, associées à l'inflammation, à la mort cellulaire (caspase-3) et à la fibrose. Des études indépendantes confirment que les LNP pénètrent dans les tissus fœtaux et sont corrélés à des taux de fausses couches plus élevés. Des experts (par exemple, le Dr Angus Dalgleish et l'épidémiologiste Nic Hulscher) exigent l'arrêt des vaccins à ARNm, invoquant des risques connus depuis 2017 et la dissimulation institutionnelle des préoccupations en matière de sécurité. Des lanceurs d'alerte affirment que les agences de santé publique ont privilégié le profit à la santé reproductive.
Les taux de natalité ont chuté dans plusieurs pays après le déploiement des vaccins (par exemple, en Europe et à Taïwan), alimentant les protestations contre les obligations vaccinales. Les critiques mettent en garde contre une « crise générationnelle » et appellent à des alternatives de santé naturelles, au consentement éclairé et à la recherche indépendante pour protéger les droits reproductifs.
Une étude révolutionnaire publiée dans la revue Vaccines a suscité des inquiétudes urgentes dans le monde entier, suggérant que les vaccins à ARNm et les vaccins inactivés contre la COVID-19 pourraient causer des dommages irréversibles aux réserves ovariennes des rates. Des chercheurs turcs ont observé une réduction stupéfiante de 60 % des follicules primordiaux – les cellules fondamentales nécessaires à la fertilité – chez les rates ayant reçu des vaccins à ARNm. Ces résultats, qui, selon les experts, justifient une analyse immédiate chez l'homme, concordent avec les données de plus en plus nombreuses issues de la vie réelle, montrant une chute des taux de natalité dans le monde et une augmentation des fausses couches parmi les populations vaccinées. Cette étude, ainsi que des recherches complémentaires et des témoignages médicaux, a galvanisé les appels à l'arrêt des obligations vaccinales à ARNm, exposant ainsi les risques systémiques potentiels pour la santé reproductive et la liberté humaine.
Des preuves émergent : les vaccins sont liés à une baisse de 60 % des ovules irremplaçables
RépondreSupprimerL'étude turque, évaluée par des pairs et menée par huit chercheurs, a analysé les effets des vaccins à ARNm de type Pfizer et des vaccins inactivés de Sinovac sur 30 rats femelles. Après deux doses équivalentes à celles administrées à l'humain, les rats vaccinés à l'ARNm ont présenté une diminution spectaculaire de 60 % des follicules primordiaux (en moyenne 42,4 par ovaire, contre 106,7 chez les rats non vaccinés). Les vaccins non à ARNm ont également entraîné des dommages importants, avec une réduction de 34 %.
Les follicules primordiaux, décrits comme « le fondement de la fertilité » par les auteurs, sont limités et non renouvelables : les femmes naissent avec tous les ovules qu’elles posséderont jamais. Les dommages « biologiquement irréversibles » causés à ce pool, comme le montre l’étude, entraînent une perte permanente de fertilité si ils se reproduisent chez l’humain. « Cette perte ne se régénère pas », a souligné l’épidémiologiste Nic Hulscher dans son analyse Substack, notant qu’un tel dommage pourrait accélérer la ménopause précoce et faire baisser les taux de natalité mondiaux.
Le Dr Margaret Christensen, gynécologue au Carpathia Collaborative, a corroboré ces résultats par des observations cliniques : « L’impact sur la fertilité et les cycles menstruels est alarmant. Nous constatons une augmentation des fausses couches et des décès fœtaux, et pas seulement une baisse de la conception.»
Déclins du laboratoire à la réalité : les données humaines reflètent les dommages ovariens
Les implications de l’étude turque vont au-delà des modèles rongeurs. Une prépublication simultanée portant sur plus de 1,3 million de femmes tchèques (âgées de 18 à 39 ans) a révélé que les femmes vaccinées avaient 33 % de grossesses réussies en moins que leurs homologues non vaccinées, malgré la forte augmentation des traitements de fertilité. Le taux de fécondité total en République tchèque a chuté de 21 % pendant la période d'étude.
« Ce n'est pas théorique », a déclaré le Dr Angus Dalgleish, professeur d'oncologie à St. George's, Université de Londres, qui a qualifié les études sur les rats de « modèle standard et fiable pour évaluer la fertilité ». Il a pointé du doigt les nanoparticules lipidiques (LNP) – les vecteurs des vaccins à ARNm – comme un facteur clé. Les LNP, a-t-il noté, présentent une « préférence particulière pour les ovaires », où elles déclenchent la production de protéines de spicule induite par l'ARNm. La protéine Spike a été associée à des lésions placentaires, à la mort fœtale et à l'inflammation – des mécanismes concordant avec les augmentations observées dans l'étude turque de la caspase-3 (une enzyme responsable de la mort cellulaire) et des marqueurs inflammatoires (TGF-α1, VEGF), responsables de la mort folliculaire et de la fibrose.
Des recherches indépendantes ont corroboré ces voies biologiques. Une étude du BMC sur la grossesse et l'accouchement a révélé des taux de fausses couches plus élevés chez les femmes vaccinées, tandis qu'un article de Molecular Therapy de 2023 a révélé que l'ARNm-LNP se croise dans les tissus fœtaux en une heure. Naomi Wolf, lanceuse d'alerte des « Pfizer Papers », a souligné que les effets néfastes des LNP sur la reproduction étaient connus depuis 2017, avant la pandémie.
RépondreSupprimerMouvement croissant pour la transparence : les appels à la suspension de l'utilisation de l'ARNm s'intensifient
La publication de l'étude coïncide avec l'escalade des protestations mondiales contre les obligations vaccinales et ce que les critiques qualifient de secret institutionnel. « Ces données montrent que nos agences publiques ont compromis la capacité de créer la vie », a écrit Hulscher, citant le « complexe biopharmaceutique » comme une force répressive.
Les professionnels de la santé et les groupes de défense des droits s'unissent pour agir. Dalgleish, faisant écho à des défenseurs comme Karl Jablonowski de Children’s Health Defense, a appelé à une pause immédiate : « Les détails concernant les anticorps anti-AMH et les lésions folliculaires sont criants : arrêtez ces vaccins immédiatement.» Jablonowski a souligné que les préjudices ne sont pas hypothétiques ; de nombreuses victimes des vaccins « ont subi des préjudices avant le début des études [d’innocuité] », la recherche étant désormais une « évaluation des dommages ».
Le Dr Robert Chandler, médecin, dont les travaux antérieurs ont révélé la baisse de la fertilité liée aux vaccins, a souligné des enjeux sociétaux plus larges : « Dix-neuf mois après le déploiement massif de l’ARNm, des baisses de la natalité ont été observées de l’Europe à Taïwan. Ce n’est pas un hasard.»
Un carrefour crucial pour les droits reproductifs et les politiques de santé mondiales
La convergence des données animales et humaines dresse un tableau alarmant : les vaccins à ARNm pourraient éroder la fertilité avec des conséquences irréversibles. « Si cela s’applique aux humains, il s’agit d’une crise générationnelle », a déclaré Christensen. Les critiques affirment que les institutions ont privilégié le profit et la conformité aux droits des mères, invoquant des défaillances systémiques dans le financement de la recherche indépendante sur l’innocuité.
Alors que les appels au scepticisme vaccinal se multiplient, l'urgence d'alternatives – pratiques de santé naturelles, consentement éclairé rigoureux et journalisme indépendant – se révèle également cruciale pour défendre la vérité et l'autonomie. La protection du corps des femmes doit primer sur les priorités des entreprises.
À une époque où la confiance s'est érodée, cette étude soulève une question cruciale : les sociétés peuvent-elles préserver la véritable liberté humaine lorsque les mécanismes de perpétuation de la vie sont instrumentalisés ?
RépondreSupprimerSources for this article include:
ChildrensHealthDefense.org
TheFocalPoints.com
MDPI.com
https://www.naturalnews.com/2025-05-15-mrna-vaccines-linked-to-irreversible-female-fertility-loss.html
Quatre études portant sur 184 millions de personnes démontrent que les vaccins covid étaient tout sauf surs et efficaces
RépondreSupprimerle 15 Mai 2025
par pgibertie
184 millions de personnes, 4 études marquantes : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ne sont pas sûrs pour l’homme 🚫
🩸 Autopsies. Crises cardiaques. AVC. Défaillance multiviscérale — Les données sont là 👇
FAKSOVA ET AL (n=99 million):
Cette analyse multi-pays a confirmé les signaux de sécurité préétablis concernant
la myocardite , la péricardite , le syndrome de Guillain-Barré
et la thrombose du sinus veineux cérébral . D’autres signaux de sécurité potentiels nécessitant une investigation plus approfondie ont été identifiés.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X2400127
➊ Myocardite (+510% après injection d’ARNm)
➋ Encéphalomyélite aiguë disséminée (+278 % après injection d’ARNm)
➌ Thrombose du sinus veineux cérébral (+223 % après injection du vecteur viral)
➍ Syndrome de Guillain-Barré (+149% après injection du vecteur viral)
📍 RAHELEH ET AL (n= 85 millions) :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40191438/
➊ Crise cardiaque (+286 % après la deuxième dose)
➋ AVC (+240 % après la première dose)
➌ Maladie coronarienne (+244 % après la deuxième dose)
➍ Arythmie cardiaque (+199 % après la première dose)
📍 HULSCHER ET AL (n= 325 autopsies) :
Des arrêts cardiaques non signalés chez des jeunes gens auparavant en bonne santé et sans antécédents médicaux, des mois ou des années après la vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), soulignent l’urgence d’une stratification du risque. La physiopathologie sous-jacente la plus probable est une myopéricardite infraclinique et une tachycardie ventriculaire réentrante, ou une fibrillation ventriculaire spontanée, généralement déclenchée par une augmentation des catécholamines pendant l’effort ou les heures d’éveil du sommeil terminal. De petites zones d’inflammation et/ou d’œdème peuvent passer inaperçues à l’imagerie cardiaque et à l’autopsie, tandis que le cœur peut paraître globalement normal. Cet article examine les données probantes reliant les vaccins contre la COVID-19 à l’arrêt cardiaque, alors que la majorité des victimes n’ont malheureusement bénéficié d’aucun examen clinique préalable. Nous proposons une stratégie globale d’évaluation du risque cardiovasculaire post-vaccinal, intégrant une anamnèse détaillée du patient, des tests d’anticorps et des diagnostics cardiaques afin de détecter au mieux les anomalies avant la mort cardiaque subite. Cette approche vise à identifier les personnes présentant un risque accru d’événements cardiaques après la vaccination contre la COVID-19 et à orienter la prise en charge clinique appropriée. Il est prudent pour chaque médecin de soins primaires d’avoir un plan préétabli lorsqu’il aborde ce problème dans sa pratique
RépondreSupprimerhttps://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40061285/
◾️ A prouvé un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et la mort via plusieurs systèmes organiques.
📍 ALLESSANDRIA ET coll. (n = 290 727) :
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC8851028/
◾️ Les sujets vaccinés avec 2 doses ont perdu 37 % de leur espérance de vie par rapport à la population non vaccinée au cours du suivi.
Le retrait immédiat du marché des injections d’ARNm contre la COVID-19 est essentiel pour éviter de nouvelles pertes en vies humaines parmi les 9 millions d’enfants américains qui les reçoivent encore.
À la lumière des signaux de sécurité accablants confirmés par les plus grandes études jamais menées, l’administration continue de ces produits constitue désormais un homicide par négligence de masse
https://pgibertie.com/2025/05/15/quatre-etudes-portant-sur-184-millions-de-personnes-demontrent-que-les-vaccins-covid-etaient-tout-sauf-surs-et-efficaces/
Les scientifiques découvrent de nouvelles maladies auto immunes provoquées par les vaccxxx covid
RépondreSupprimerle 15 Mai 2025
par pgibertie
Un autre nouveau cas de maladie auto-immune déclenché par les vaccinations à ARNm vient d’être signalé le 7 mai 2025… Il n’est pas surprenant que le corps puisse cibler agressivement ses propres cellules, potentiellement dans le cadre d’une tentative désespérée d’éliminer les substances étrangères génétiquement modifiées pour copier des composés pharmaceutiques dans chaque cellule du corps. Ensuite, après avoir découvert qu’il pourrait y avoir un lien, il suffit d’injecter davantage de ces mêmes substances génétiques pathogènes nocives pour voir ce qui se passe. Incroyable!
- voir cadre sur site -
https://jmedicalcasereports.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13256-025-05254-7
Les engelures sont apparues comme une manifestation cutanée suite à la vaccination contre le coronavirus 2019. Bien que de nombreux cas de lésions ressemblant à des engelures soient rapportés, la documentation provenant des pays tropicaux reste limitée. Dans ce contexte, nous rapportons un cas détaillant des lésions ressemblant à des engelures associées à la vaccination contre le coronavirus 2019 en Thaïlande.
Présentation de cas
Une patiente thaïlandaise de 35 ans a présenté plusieurs papules rouges et douloureuses sur les doigts et les orteils neuf jours après avoir reçu le vaccin ARNm-1273. Une biopsie cutanée a été réalisée et les résultats étaient compatibles avec des engelures. Les analyses de laboratoire ont révélé un résultat positif à l’anticoagulant lupique. L’éruption cutanée a complètement disparu sans traitement, mais est réapparue après la deuxième dose de vaccin.
Conclusion
Des lésions ressemblant à des engelures après la vaccination contre le coronavirus 2019 sont fréquemment observées dans les pays tempérés, avec peu de cas signalés dans les zones tropicales. La présence d’anticoagulants lupiques pourrait contribuer au développement d’engelures après la vaccination contre le coronavirus 2019.
https://pgibertie.com/2025/05/15/les-scientifiques-decouvrent-de-nouvelles-maladies-auto-immunes-provoquees-par-les-vaccxxx-covid/
ARTICLE IMPORTANT : Comment les probiotiques contenus dans les produits laitiers fermentés aident à gérer l'ostéoporose
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
14 mai 2025
Les produits laitiers fermentés comme le kéfir aident à reconstruire les os en augmentant l'ostéocalcine et en diminuant les marqueurs de dégradation osseuse, ce qui se traduit par des os plus solides.
Les probiotiques contenus dans les produits laitiers fermentés équilibrent activement les cellules qui construisent et résorbent les os, aidant ainsi à prévenir et même à inverser la progression de l'ostéoporose.
Des recherches montrent que la consommation régulière de kéfir a augmenté la densité osseuse de la hanche de 5,5 % en seulement six mois, offrant de réels gains dans les zones les plus vulnérables aux fractures qui changent la vie.
Les bactéries bénéfiques présentes dans les produits laitiers fermentés réduisent l’inflammation et le stress oxydatif, qui sont deux facteurs cachés de la perte osseuse que la plupart des traitements conventionnels négligent.
Les produits laitiers contiennent du C15:0, une graisse saturée à chaîne impaire qui aide à stimuler la santé métabolique, protège les cellules et favorise un poids santé, tout en renforçant vos os.
*
L'ostéoporose est l'une des maladies liées à l'âge les plus dévastatrices, et elle passe souvent inaperçue jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Rien qu'aux États-Unis, on estime que 10 millions de personnes sont touchées par cette maladie.
Caractérisée par des os poreux et cassants, l'ostéoporose vous rend vulnérable aux fractures dues à de simples chutes. Les symptômes courants incluent des maux de dos, une posture voûtée et un risque accru de fractures des hanches, de la colonne vertébrale ou des poignets. Sans intervention, elle entraîne une invalidité permanente, une perte d'autonomie et une espérance de vie considérablement réduite.
Bien que les conseils médicaux courants préconisent une augmentation de l'apport en calcium, ce n'est qu'une partie du problème. Le calcium seul, sans autres nutriments et composés bioactifs, ne contribue que très peu à améliorer la solidité osseuse. Des recherches ont désormais démontré qu'il existe une solution pratique : les produits laitiers fermentés.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Les produits laitiers fermentés régulent activement le remodelage des cellules osseuses
Une étude publiée dans Food Science of Animal Resources a examiné l'influence des produits laitiers fermentés et de leur teneur en probiotiques sur la santé du squelette. Plus précisément, les chercheurs ont étudié le processus de remodelage osseux qui maintient le squelette solide et adaptable tout au long de la vie .
• Les probiotiques modifient activement la régulation de la formation osseuse par l'organisme. L'étude montre que les probiotiques agissent sur les deux principaux types de cellules osseuses : les ostéoblastes (qui forment le nouvel os) et les ostéoclastes (qui détruisent les os anciens). Un déséquilibre entre les deux augmente le risque de maladies osseuses comme l'ostéoporose. Un équilibre sain est maintenu en apportant à l'organisme les nutriments et les molécules de signalisation appropriés pour favoriser la formation osseuse plutôt que la perte osseuse.
Les résultats montrent qu'une consommation régulière de produits laitiers fermentés entraîne une augmentation de la densité minérale osseuse (DMO), du contenu minéral osseux (CMO) et de la solidité osseuse globale. Ces effets sont particulièrement notables chez les enfants en période de poussées de croissance et chez les adultes vieillissants, qui présentent un risque élevé de fractures.
• Les produits laitiers fermentés soutiennent la fonction des marqueurs métaboliques liés à la santé osseuse. Selon l'étude, les produits laitiers fermentés stimulent l'ostéocalcine et le facteur de croissance analogue à l'insuline I (IGF-I), une hormone qui favorise l'activité des ostéoblastes, les cellules responsables de la formation osseuse. En effet, lorsque les produits laitiers fermentés augmentent le taux d'IGF-I, ils indiquent à l'organisme de commencer à construire de nouveaux os.
Parallèlement, les produits laitiers fermentés réduisent l'activité des ostéoclastes en diminuant l'activité de composés inflammatoires comme l'interleukine-17 (IL-17) et le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), connus pour accélérer la dégradation osseuse. Cette double action – plus de construction, moins de dégradation – est ce qui rend les produits laitiers fermentés bénéfiques pour les os.
• Les probiotiques contenus dans les produits laitiers fermentés communiquent avec votre système immunitaire. Des souches spécifiques comme Lactobacillus et Bifidobacterium contribuent à rééquilibrer votre système immunitaire, passant d'un système axé sur l'inflammation à un système axé sur la réparation. En augmentant la présence de cellules immunitaires qui réduisent l'inflammation et favorisent la résorption osseuse, les probiotiques aident votre corps à favoriser la guérison et la régénération osseuse.
RépondreSupprimer• Les probiotiques produisent également des acides gras à chaîne courte (AGCC) — L'étude a mis en évidence la capacité des probiotiques à produire du butyrate, qui contribue à renforcer la barrière intestinale, réduisant ainsi la pénétration de toxines et de composés inflammatoires dans la circulation sanguine. Une inflammation systémique réduite se traduit par une meilleure protection osseuse.
Le butyrate inhibe également directement la formation des ostéoclastes et stimule une voie favorisant l'activité des ostéoblastes et la formation osseuse. En résumé, les AGCC agissent comme un système de défense naturel produit directement dans l'intestin et qui soutient également les os.
• Les produits laitiers fermentés réduisent le taux d'hormone parathyroïdienne (PTH) — Il s'agit d'une découverte remarquable, car la PTH est responsable de l'extraction du calcium de vos os lorsque le taux de calcium sanguin baisse. 3 Lorsque vous consommez des produits laitiers fermentés riches en calcium, votre corps n'a pas besoin de priver vos os de ce dont il a besoin. Par conséquent, les marqueurs de résorption osseuse comme le CTX diminuent, signe que moins d'os est dégradé.
• L'étude a mis en évidence l'impact des produits laitiers fermentés sur l'expression génétique. Des gènes spécifiques impliqués dans la croissance osseuse, comme Runx2 et Bmp2, ont été régulés positivement en réponse à la prise de probiotiques. Runx2 est un commutateur principal qui transforme les cellules souches en ostéoblastes responsables de la formation osseuse. Parallèlement, Bmp2 contribue à déclencher la croissance osseuse dans les tissus osseux en développement et matures. Ensemble, ces gènes contribuent à initier et à maintenir un remodelage osseux sain.
Le kéfir déclenche de réels gains osseux en 6 mois
Dans une étude similaire publiée dans PLoS One, des chercheurs ont testé les effets à court terme du kéfir sur la santé osseuse chez 40 adultes déjà diagnostiqués avec une ostéoporose. Leur méthodologie a consisté à comparer le kéfir associé à une supplémentation en bicarbonate de calcium à la prise de suppléments seuls, en mesurant l'évolution de la densité minérale osseuse (DMO) et des principaux marqueurs du métabolisme osseux sur une période de six mois .
RépondreSupprimer• Les probiotiques ont contribué à inverser l'ostéoporose — Dans le groupe kéfir, l'ostéocalcine, marqueur de la formation osseuse, a radicalement changé. À la fin de l'essai de six mois, les personnes dont le taux d'ostéocalcine avait diminué au départ avaient inversé cette tendance. Leurs taux ont atteint des niveaux associés à une ostéogenèse active.
De plus, un biomarqueur de la dégradation osseuse, le β-CTX (télopeptide bêta-C-terminal du collagène de type I), a diminué de manière significative. Cela signifie que la dégradation active du tissu osseux a diminué. Ces deux changements combinés reflètent l'influence des probiotiques sur la capacité de l'organisme à reconstruire et à renforcer les os.
• Les bienfaits se font sentir en quelques mois — Dès le premier mois, le taux de β-CTX a commencé à chuter chez les personnes prenant du kéfir. Au troisième mois, la baisse était plus prononcée, surtout chez les personnes qui n'étaient pas aux stades les plus sévères de la perte osseuse. Cela signifie que le kéfir n'a pas seulement été efficace aux stades avancés, mais aussi aux premiers stades, lorsqu'il est encore temps d'inverser les dommages.
• Le kéfir cible les os sujets à l'ostéoporose — La DMO de la colonne vertébrale n'a pas beaucoup changé, mais celle de la hanche et du col du fémur, qui sont parmi les os les plus sujets aux fractures chez les personnes âgées, a changé. 5 , 6 Après six mois de traitement au kéfir, les participants ont vu leur DMO de la hanche augmenter de 5,5 %. Ce chiffre peut sembler faible au premier abord, mais il montre à quel point le kéfir a contribué à stopper, voire à inverser, la perte de DMO.
• Amélioration de la fonction thyroïdienne — Le groupe kéfir a montré une augmentation du taux de PTH après six mois. À titre d'information, la PTH contribue à réguler le taux de calcium dans le sang et, dans le cas présent de cette étude, des taux plus élevés de PTH reflètent une signalisation accrue de l'organisme pour le remodelage osseux.
En revanche, le groupe témoin présentait des niveaux de PTH plus faibles, ce que les chercheurs ont lié à une activité globale de remodelage osseux plus faible.
• Le kéfir est riche en peptides bénéfiques pour la santé. Selon l'étude, les peptides du kéfir résultent de la dégradation des protéines du lait pendant la fermentation. Ils interagissent avec votre intestin, votre système immunitaire et même vos os, améliorant l'absorption du calcium et garantissant qu'une plus grande quantité de celui-ci se retrouve dans vos os.
• Le stress oxydatif est supprimé par les probiotiques — Les personnes atteintes d'ostéoporose présentent souvent des niveaux élevés d'inflammation et de dommages oxydatifs, ce qui accélère la résorption osseuse. Les bactéries bénéfiques du kéfir, grâce à leur activité antioxydante directe et à leur modulation immunitaire, ont contribué à réduire les cytokines inflammatoires.
Cela signifie moins d’usure de vos os due à une inflammation chronique de faible intensité, un facteur que la plupart des traitements conventionnels de l’ostéoporose ignorent.
RépondreSupprimerEn fin de compte, les recherches montrent que le kéfir est plus qu'un aliment passif que l'on consomme pour se remplir l'estomac : il améliore aussi activement le fonctionnement interne du métabolisme osseux, en modifiant les signaux envoyés par le corps pour déterminer s'il faut renforcer ou détruire le squelette selon les besoins. Plus ces signaux restent en mode « renforcement », plus vous gagnez de temps pour retrouver force, stabilité et résilience.
C15:0 — Une graisse bénéfique présente dans les produits laitiers
Le C15:0, également connu sous le nom d'acide pentadécanoïque, est un acide gras saturé à chaîne impaire (AGCO) largement présent dans les produits laitiers. On le trouve également dans certains poissons et végétaux. Pourquoi en parler ? Il est intéressant de noter que ce gras joue un rôle important dans le maintien de la santé cellulaire .
Vous connaissez sans doute les graisses bien connues qui contribuent à une santé optimale, comme les oméga-3 , mais je pense que le C15:0 mérite lui aussi d'être mis en avant. Outre les bienfaits évoqués précédemment, le C15:0 offre d'autres bienfaits pour la santé qui font des produits laitiers fermentés un superaliment.
• Prévention du diabète — Une méta-analyse de 7 études de cohorte prospectives sur 33 a révélé que les personnes ayant des niveaux de C15:0 plus élevés avaient un risque plus faible de développer un diabète de type 2.
• Santé mitochondriale — La recherche a révélé que le C15:0 aidait à réparer la fonction mitochondriale et à réduire la production d’espèces réactives de l’oxygène selon une courbe en U dose-dépendante. 8
• Gestion du poids — Une supplémentation quotidienne de C15:0 à une dose de 5 mg par kilo de poids corporel a réduit l’inflammation, les niveaux de glucose et de cholestérol chez les souris obèses. 9
Ce qu'il faut retenir, c'est qu'outre les probiotiques, les produits laitiers fermentés contiennent d'autres nutriments qui contribuent à votre santé de différentes manières. C'est pourquoi je vous encourage à les intégrer plus souvent à votre alimentation.
5 stratégies efficaces pour soutenir votre santé osseuse
RépondreSupprimerComme le montrent les recherches, il est possible de gérer l'ostéoporose grâce aux probiotiques présents dans les produits laitiers fermentés. Ces derniers contiennent une série de souches bactériennes bénéfiques qui favorisent l'expression génétique favorisant la solidité osseuse, ainsi que des nutriments favorisant ce processus. Pour profiter pleinement de ces bienfaits, je recommande les ajustements d'hygiène de vie suivants :
1. Ajoutez des produits laitiers fermentés issus de pâturages à votre alimentation. Si votre intestin tolère les produits laitiers, je vous recommande vivement d'ajouter du kéfir ou du yaourt nature entier à votre alimentation, idéalement à base de lait 100 % de pâturages . Outre leur richesse en calcium, ces aliments contiennent d'autres nutriments qui orientent le métabolisme osseux. Comme le montrent les recherches, le kéfir augmente significativement la densité osseuse de la hanche en seulement six mois et favorise l'ostéocalcine .
2. Envisagez de prendre un complément alimentaire de qualité. Si vous êtes sensible aux produits laitiers ou que vous ne supportez pas le goût du kéfir ou du yaourt, ce n'est pas grave. Dans ce cas, il serait judicieux de prendre un complément probiotique de qualité contenant des souches comme Lactobacillus reuteri, L. casei ou Bifidobacterium longum, toutes connues pour réduire les marqueurs de perte osseuse et améliorer la densité osseuse.
3. Consommez des aliments qui nourrissent votre flore intestinale. Les probiotiques sont importants, mais ils ne prospèrent que si vous les nourrissez correctement. Si votre intestin est déjà fragilisé, commencez progressivement avec des fruits mûrs, des légumes-racines et des aliments fermentés contenant des prébiotiques . Cela crée un environnement où les bactéries bénéfiques recommencent à proliférer et à s'éloigner des processus inflammatoires responsables de la perte osseuse.
4. Profitez pleinement du soleil — Le soleil permet à votre corps de produire de la vitamine D, un nutriment essentiel à l'absorption du calcium et au bon fonctionnement du système immunitaire . Prévoyez 15 à 30 minutes d'exposition au soleil non filtrée chaque jour à midi, lorsque le soleil est à son zénith. Si vous avez suivi un régime riche en acide linoléique (AL) , exposez-vous plutôt tôt le matin ou en fin d'après-midi pour éviter les dommages cutanés.
Dans la plupart des régions d'Amérique, cela signifie éviter la lumière du soleil de 10 h à 16 h. La raison en est que lorsque la lumière du soleil frappe votre peau, l'acide linoléique de votre peau est métabolisé, provoquant des dommages à l'ADN et une inflammation.
Pour des instructions détaillées sur la façon d'optimiser votre taux de vitamine D en toute sécurité, lisez mon article « Le Forum virtuel international sur la vitamine D 2024 dévoile le pouvoir de la vitamine D ». J'y propose des stratégies supplémentaires pour réduire votre risque de cancer de la peau tout en vous efforçant d'éliminer la vitamine D de votre corps.
RépondreSupprimer5. Pratiquez une activité physique régulière — Si une alimentation saine contribue sans aucun doute à améliorer la santé osseuse, d'autres méthodes, comme l'exercice physique, permettent de l'optimiser davantage. Comme le souligne l'étude Food Science of Animal Resources, l'activité physique stimule les ostéocytes , augmentant ainsi la densité minérale osseuse ( DMO ).
Pour bouger, le plus simple est de marcher. Je recommande généralement de faire 10 000 pas par jour pour une santé optimale. En matière de musculation, les bénéfices sont maximum après 40 à 60 minutes par semaine. Pour une explication plus approfondie, lisez mon article « Les bienfaits de la marche : comment faire plus de pas cet été ».
Foire aux questions (FAQ) sur les bienfaits des probiotiques pour la santé squelettique
Q : Qu’est-ce que l’ostéoporose et pourquoi est-elle dangereuse ?
R : L'ostéoporose est une maladie qui rend les os poreux et cassants, les rendant plus sujets aux fractures. Elle passe souvent inaperçue jusqu'à ce qu'une fracture survienne. Elle entraîne des douleurs chroniques, une perte de mobilité et peut même réduire l'espérance de vie si elle n'est pas traitée.
Q : Comment les produits laitiers fermentés contribuent-ils à améliorer la santé des os ?
R : Les produits laitiers fermentés comme le kéfir et le yaourt contiennent des probiotiques qui régulent l'activité des cellules osseuses, augmentent le nombre de cellules responsables de la formation osseuse (ostéoblastes), réduisent le nombre de cellules responsables de la résorption osseuse (ostéoclastes) et favorisent la densité et la solidité osseuses. Ils réduisent également l'inflammation et stimulent des marqueurs métaboliques utiles, tels que l'ostéocalcine et l'IGF-1.
Q : Quelles preuves scientifiques soutiennent les bienfaits des produits laitiers fermentés sur la santé du squelette ?
R : Une étude de six mois publiée dans PLOS One a montré que le kéfir augmentait la densité osseuse de la hanche de 5,5 % et inversait les marqueurs de dégradation osseuse. Les participants ont constaté des bénéfices notables en un mois seulement, notamment aux premiers stades de l'ostéoporose.
Q : Les produits laitiers fermentés présentent-ils d’autres avantages pour la santé, outre la solidité des os ?
RépondreSupprimerR : Oui. Les produits laitiers fermentés contiennent du C15:0 (acide pentadécanoïque), un acide gras rare qui favorise la santé métabolique, la fonction mitochondriale, la prévention du diabète et réduit l'inflammation, ce qui en fait un « superaliment » complet.
Q : Quelles sont les meilleures stratégies pour soutenir la santé osseuse de manière naturelle ?
R : Les stratégies clés que je recommande incluent :
• Manger des produits laitiers fermentés comme le kéfir ou le yaourt.
• Prendre des suppléments probiotiques de haute qualité si les produits laitiers ne sont pas tolérés.
• Nourrir votre intestin avec des aliments riches en prébiotiques.
• Une exposition adéquate au soleil pour des niveaux optimaux de vitamine D.
• Faire de l’exercice régulièrement, en particulier la marche et la musculation.
*
Remarques
1 FDA, Ostéoporose
2, 11 Food Sci Anim Resour 2025; 45(2):449-467
3 Better Health Channel, glandes parathyroïdes
4, 10 PLoS One. 10 déc. 2015 ; 10(12) : e0144231
5 StatPearls, Aperçu des fractures de la hanche
6 StatPearls, Fractures du col du fémur
7 Crit Rev Food Sci Nutr. 2021;61(16):2705-2718
8, 9 Sci Rep. 18 mai 2020 ;10:8161
https://www.globalresearch.ca/probiotics-fermented-dairy-help-manage-osteoporosis/5887002
Brossage avec du poison : une étude révèle la présence de métaux lourds toxiques dans 90 % des marques de dentifrice, y compris celles destinées aux enfants
RépondreSupprimer14/05/2025
Cassie B.
Une nouvelle enquête révèle que 90 % des marques de dentifrice les plus populaires contiennent des niveaux dangereux de métaux lourds comme le plomb, l’arsenic, le mercure et le cadmium, ce qui présente de graves risques pour la santé.
Des tests indépendants menés par Lead Safe Mama ont révélé que de grandes marques comme Crest, Colgate et Tom’s of Maine étaient contaminées, certains produits dépassant les limites de sécurité de l’EPA pour le plomb et l’arsenic.
Les métaux lourds contenus dans le dentifrice pénètrent dans l’organisme par les gencives, l’inhalation ou l’ingestion, ce qui expose les enfants aux risques les plus élevés de troubles du développement, de déclin cognitif et d’autisme.
Malgré ces résultats alarmants, aucun rappel n’a été émis et les entreprises défendent leurs produits, tandis que les normes de la FDA restent bien plus souples que les seuils de sécurité pour les autres produits de consommation. Les défenseurs des consommateurs exhortent les consommateurs à privilégier les marques propres et certifiées et réclament des réglementations plus strictes, car la négligence des entreprises et le manque de surveillance continuent de mettre en danger la santé publique.
Une nouvelle enquête révèle que 90 % des marques de dentifrice les plus populaires contiennent des niveaux dangereux de métaux lourds, notamment du plomb, de l'arsenic, du mercure et du cadmium.
L'étude, menée par Lead Safe Mama, un organisme de test indépendant, a analysé 51 dentifrices, dont de nombreuses marques connues comme Crest, Colgate, Sensodyne et Tom's of Maine. Ces résultats soulèvent des inquiétudes urgentes quant aux risques à long terme que ces neurotoxines représentent pour la santé, en particulier pour les enfants, dont le cerveau en développement est le plus vulnérable aux dommages irréversibles.
Un cocktail toxique dans votre salle de bain
RépondreSupprimerLes résultats sont stupéfiants : 90 % des dentifrices testés contenaient du plomb, 65 % de l'arsenic, 47 % du mercure et 35 % étaient contaminés par du cadmium. De nombreux produits contenaient plusieurs métaux, aggravant ainsi les risques potentiels. Ces substances sont des neurotoxines connues, liées au déclin cognitif, aux retards de développement et même à l'autisme chez les enfants. Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) affirment qu'il n'existe pas de niveau d'exposition au plomb sans danger, et pourtant des millions d'Américains en ingèrent sans le savoir des traces chaque jour via un produit qu'ils utilisent deux fois ou plus par jour.
Les produits les plus contaminés comprenaient le dentifrice Primal Life Dirty Mouth Kids, qui dépassait les limites de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) pour le plomb et l'arsenic, et le dentifrice VanMan's Miracle Tooth Powder, qui dépassait les seuils d'arsenic. Même des marques réputées pour enfants comme Hello, Orajel et Tom's of Maine contenaient ces toxines. Seuls cinq produits, dont le dentifrice d'entraînement Orajel et le dentifrice pour bébé Dr. Brown's, ont été testés totalement propres.
Comment ces métaux pénètrent dans l'organisme
Contrairement aux aliments, où l'ingestion est la principale préoccupation, le dentifrice introduit des métaux lourds par de multiples voies. Les particules peuvent être absorbées par les gencives, inhalées sous forme d'aérosols lors du brossage ou avalées accidentellement, notamment par les enfants. Tamara Rubin, fondatrice de Lead Safe Mama, a qualifié ces résultats d'« inadmissibles, surtout en 2025 », soulignant que les autorités de réglementation et les fabricants ont longtemps ignoré les risques.
La contamination semble provenir d'ingrédients courants des dentifrices, comme l'hydroxyapatite (souvent dérivée d'os d'animaux), le carbonate de calcium (utilisé pour éliminer les taches) et l'argile bentonite (un nettoyant naturel). Les tests de Rubin ont révélé que ces ingrédients bruts étaient eux-mêmes contaminés, suggérant des problèmes d'approvisionnement systémiques. L'argile bentonite, en particulier, était un responsable récurrent des produits les plus toxiques.
Défaillances réglementaires et silence des entreprises
RépondreSupprimerMalgré ces données alarmantes, aucune des marques impliquées n'a annoncé de rappels ou de reformulations. La société mère de Crest, Procter & Gamble, a défendu ses produits en les qualifiant de « sûrs » et conformes aux normes de la Food and Drug Administration (FDA). Cependant, les critiques affirment que ces limites sont dangereusement laxistes : la FDA autorise jusqu’à 20 000 parties par milliard (ppb) de plomb dans les dentifrices au fluor, ce qui est bien plus élevé que la limite de 5 000 ppb fixée par l’EPA pour les eaux usées. En revanche, la limite californienne de plomb pour les aliments pour bébés n’est que de 6 ppb, et la loi fédérale sur la sécurité des aliments pour bébés, actuellement bloquée, propose 10 ppb. La plupart des dentifrices dépassaient ces seuils plus stricts.
Plusieurs entreprises ont envoyé des mises en demeure à Rubin pour étouffer ses conclusions, qu’elle a rendues publiques. D’autres ont rejeté les résultats, arguant que les métaux traces sont inévitables dans la nature, une affirmation que Rubin qualifie de « dérobade » compte tenu des effets nocifs avérés.
Pourquoi les enfants sont les plus à risque
La petite taille des enfants et leur système nerveux en développement les rendent beaucoup plus sensibles à la toxicité des métaux lourds. Même une faible exposition peut altérer le QI, la motricité et la régulation émotionnelle, avec des effets à vie. Le mercure et le cadmium sont également des cancérogènes liés aux maladies rénales et aux maladies cardiovasculaires. Pourtant, des marques comme Hello et Tom’s of Maine, commercialisées comme des alternatives « naturelles », figuraient parmi les contrevenants, trahissant la confiance des parents.
En attendant que les autorités de réglementation durcissent les normes, les consommateurs doivent agir. La liste « propre » de Rubin comprend des options sans fluor comme le dentifrice à la menthe Miessence et le dentifrice pour bébé Dr. Brown’s. Les défenseurs des droits des enfants appellent également à soutenir la loi sur la sécurité des aliments pour bébés, qui pourrait contraindre la FDA à réévaluer les limites d’utilisation des dentifrices.
Ce scandale met en lumière une crise plus vaste : les entreprises privilégient les profits à la sécurité, tandis que les agences ne parviennent pas à protéger le public. Pour l’instant, il incombe aux parents et aux consommateurs d’examiner attentivement les étiquettes, car la confiance, comme le plomb, s’est avérée toxique.
Sources for this article include:
DailyMail.co.uk
TheGuardian.com
Fortune.com
https://www.naturalnews.com/2025-05-14-toxic-heavy-metals-toothpaste-brands-children.html
Le fluor sur ordonnance pour les enfants, retiré du marché américain
RépondreSupprimerFrance-Soir avec AFP
le 14 mai 2025 - 15:30
L'administration américaine a annoncé mardi qu'elle entamait le retrait du marché des suppléments fluorés ingérables prescrits sur ordonnance aux enfants, une décision allant dans le sens de la volonté de réduire l'exposition des populations au fluor.
"La Food and Drug Administration (FDA) américaine a annoncé aujourd'hui le retrait du marché des médicaments sur ordonnance à base de fluor concentré ingérable destinés aux enfants. Contrairement aux dentifrices et bains de bouche au fluor, ces produits sont ingérés par les nourrissons et les jeunes enfants. De plus, ils n'ont jamais été approuvés par la FDA" d'après un communiqué du ministère de la Santé.
"Il a été démontré que le fluor ingéré altère le microbiote intestinal (...). D'autres études suggèrent un lien entre le fluor et les troubles thyroïdiens, la prise de poids et une possible baisse du QI" (quotient intellectuel), ajoute le communiqué.
"Il est grand temps de mettre fin à l'utilisation du fluorure ingérable", a déclaré le ministre de la Santé Robert Kennedy Jr., cité dans le texte.
S'ouvre désormais une période de consultation jusqu'au 31 octobre.
Une décision qui intervient dans un contexte d'hostilité de M. Kennedy à la fluoration de l'eau potable, une pratique largement controversée, mais néanmoins répandue, qui concerne 200 millions d'Américains, soit environ deux tiers de la population.
Des études, comme celle du National Toxicology Program (NTP) de 2023, ont montré que le fluorure peut être neurotoxique, notamment en abaissant le QI des enfants à des expositions prénatales ou précoces, même à des niveaux faibles (0,2 à 1,5 mg/L). The Lancet a également classé le fluorure comme neurotoxine développementale en 2014, aux côtés du plomb et du mercure, en raison de liens avec des troubles comme le TDAH ou la dyslexie.
Il est à rappeler que le fluor, sous forme de fluorure, est aussi présent dans certains médicaments anxiolytiques et antidépresseurs, souvent des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), en raison de sa capacité à rendre les molécules lipophiles pour traverser la barrière hémato-encéphalique. Parmi les anxiolytiques et médicaments apparentés, on trouve :
Fluvoxamine (Floxyfral), un ISRS parfois utilisé pour les troubles anxieux.
Escitalopram (Seroplex) et Citalopram (Seropram), qui sont prescrits pour l’anxiété généralisée ou les troubles paniques.
Paroxétine (Deroxat), indiquée pour le trouble panique et l’anxiété sociale.
Fluoxétine (Prozac), également utilisée dans certains cas d’anxiété.
En janvier, dans la prestigieuse revue scientifique JAMA Pediatrics, des chercheurs du gouvernement évoquaient dans une étude une "association statistiquement significative" entre l'exposition aux fluorides et des QI moins élevés.
"Plusieurs États ont pris des mesures pour mettre fin à la fluoration de l'eau potable", a remarqué mardi le ministère de la Santé, "et le fluor n'est plus ajouté à l'eau potable dans la plupart des pays d'Europe et du monde".
RépondreSupprimerEn mars, l'Utah (ouest) est devenu le premier État américain à interdire la fluoration de l'eau potable.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-fluor-sur-ordonnance-pour-les-enfants-retire-du-marche-americain
Activisme des ONG : la fin ne justifie pas tous les moyens
RépondreSupprimer14 Mai 2025
Sabine Leopold, AGRARHEUTE*
Ceux qui considèrent leurs objectifs comme les seuls importants justifient souvent des actes criminels – comme ici à Vienne en 2024.
Les militants des droits des animaux, de l'environnement et du climat considèrent souvent leur agenda politique comme une carte blanche pour enfreindre les lois. Pourtant, les menaces et le chantage sont punissables. L'État doit mettre fin à de telles pratiques.
Est bon celui qui fait le bien, dit Forrest Gump dans le film du même nom. Et le dicton populaire dit que la fin justifie les moyens. Mais ces deux expressions ne sont que partiellement valables, car trop souvent, le dépassement des limites civiles et juridiques est excusé par un objectif prétendument noble.
Ce sont justement les organisations non gouvernementales (ONG) qui se permettent régulièrement de violer les lois et de faire des dégâts « dans l'intérêt général ». Qu'il s'agisse de routes bloquées, d'avions endommagés, d'œuvres d'art recouvertes de peinture ou – comme dernièrement – d'exploitations agricoles prises d'assaut –, ceux qui considèrent leur agenda politique comme le seul véritable objectif oublient vite les droits des autres.
Les ONG sont aussi des « lobbyistes »
Mais les ONG ne sont elles aussi que des groupes d'intérêts. Et c'est le rôle de la politique de garder un œil sur ces intérêts. Les défenseurs des droits des animaux et les opposants à l'agriculture ne doivent pas décider qui occupera à l'avenir le poste de ministre de l'Agriculture.
Car l'action menée fin mars contre M. Günther Felßner ne concernait pas seulement sa personne, comme l'a clairement montré le jour même un post de l'ONG « Wir haben es satt » (nous en avons assez) sur les réseaux sociaux : « Candidatures recherchées : Felßner ne voulant plus du poste de ministre de l'Agriculture, nous nous demandons : quels lobbyistes sont encore dans les starting-blocks pour ce poste ? » Cela signifie probablement que tout agriculteur professionnel (dans le jargon des ONG : « lobbyiste ») qui montre à l'avenir des ambitions pour ce poste peut déjà se rhabiller. On ne devient ministre de l'Agriculture que par la grâce des ONG.
L'État ne doit pas céder au chantage
Il s'agit de stopper une telle évolution, le plus tôt sera le mieux. La récente « petite question au gouvernement fédéral », avec ses 551 questions sur le financement public et l'indépendance politique des ONG, aurait été un bon début. Mais elles ont été plus ou moins balayées par l'ancien gouvernement. Et en vue des négociations de coalition, la CDU/CSU ne montre plus d'intérêt à répondre aux questions.
Il ne semble pas souhaitable de regarder de plus près les ONG et leurs modèles de financement – même lorsqu'elles utilisent clairement les fonds pour exercer une influence politique et agissent donc comme des OG (c'est-à-dire des organisations gouvernementales).
Note de transparence : AGRARHEUTE est une marque de média du Deutscher Landwirtschaftsverlag. Le président du conseil de surveillance de l'entreprise est le président de l'Union Bavaroise des Agriculteurs, Günther Felßner.
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* Sabine Leopold travaille pour AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média senior pour les questions de société. Elle est rédactrice au Deutscher Landwirtschaftsverlag depuis environ 25 ans. Elle s'est d'abord intéressée à la production animale, mais depuis plusieurs années, elle se consacre intensivement à la communication et aux relations publiques dans l'agriculture, et plus particulièrement dans l'élevage.
Source : NGO-Aktivismus: Der Zweck heiligt nicht alle Mittel | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2025/05/activisme-des-ong-la-fin-ne-justifie-pas-tous-les-moyens.html
(...) Ce sont justement les organisations non gouvernementales (ONG) qui se permettent régulièrement de violer les lois et de faire des dégâts « dans l'intérêt général ». (...)
SupprimerCe sont justement les organisations gouvernementales (ONG) qui se permettent régulièrement de violer les lois et de faire des dégâts « dans l'intérêt général ».
Percer le code génétique du pistachier – Une nouvelle carte d'ADN pourrait conduire à des fruits à coque plus nutritifs et plus durables
RépondreSupprimer14 Mai 2025
Amy Quinton, UC Davis*
Des chercheurs ont obtenu la séquence la plus complète du génome du pistachier, ce qui permettra aux sélectionneurs de créer de meilleures variétés. (Bárbara Blanco-Ulate / UC Davis)
La Californie produit 99 % des pistaches du pays, générant une valeur économique de près de 3 milliards de dollars dans l'État. Mais les pistachiers ont été légèrement sous-étudiés, en partie à cause de l'absence d'une carte de haute qualité de leur ADN. Les chercheurs de l'Université de Californie à Davis ont maintenant produit la séquence la plus complète du génome du pistachier, ce qui permettra aux sélectionneurs de créer de meilleures variétés, peut-être plus nutritives. Ils ont également expliqué en détail comment les pistaches se développent, ce qui aidera les agriculteurs à gérer leur culture de manière plus durable.
L'étude a été publiée le 20 mars 2025 dans New Phytologist.
Les scientifiques ont déjà séquencé l'ADN des pistachiers, mais l'auteur correspondant J. Grey Monroe, professeur adjoint au Département des Sciences Végétales, a déclaré que cette nouvelle carte génétique est beaucoup plus détaillée et précise.
« L'amélioration de la précision du nouveau génome de référence est comparable au passage d'une carte dessinée à la main d'un paysage à une image satellite de Google Earth », a-t-il déclaré.
M. Monroe et son équipe de recherche ont séquencé le génome du cultivar Kerman, la variété de pistachier la plus répandue en Californie.
Le changement climatique remet en question les rendements des pistachiers
Les pistachiers résistent à la sécheresse et à la salinité, mais ils ont besoin d'hivers froids pour fleurir correctement. Le 'changement climatique' entraînant des hivers plus chauds, les producteurs ont besoin de nouvelles variétés de pistachiers capables de prospérer à des températures plus élevées. Les hivers chauds, combinés à la dissipation des brouillards qui rafraîchissent la vallée centrale de la Californie, ont entraîné des pertes importantes pour les producteurs de pistaches.
Étant donné que l'établissement d'un verger de pistachiers nécessite un engagement pouvant aller jusqu'à 50 ans, les chercheurs ont déclaré que les producteurs californiens sont à juste titre préoccupés par les effets du 'changement climatique' sur leurs cultures.
Un développement qui a du goût
L'étude identifie également quatre étapes clés de la croissance de la pistache, de la fleur à la récolte, ce qui permet une évaluation physiologique complète, y compris le durcissement de la coque et la croissance de l'amandon.
« Connaître l'évolution de l'amandon au cours de son développement aidera les producteurs à prendre de meilleures décisions, comme celle d'arroser leurs arbres, ce qui permettra une production de pistaches plus durable », explique Mme Bárbara Blanco-Ulate, professeure associée au Département des Sciences Végétales, co-auteure de la correspondance.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont détaillé les quatre étapes du développement de la pistache, ce qui pourrait permettre aux producteurs de gérer leurs cultures de manière plus durable. (Bárbara Blanco-Ulate / UC Davis)
Une évaluation plus précise du développement de la pistache pourrait également aider les producteurs à élaborer de meilleures stratégies de récolte et à éviter des problèmes tels que les dégâts causés par les insectes et les infections fongiques.
Mme Blanco-Ulate a déclaré qu'il était important de détailler non seulement les changements physiques des pistaches, mais aussi les facteurs génétiques et moléculaires de ces caractéristiques. La séquence génomique comprend des informations inédites sur le comportement des différents gènes dans les fruits au cours de la saison de végétation.
Un fruit à coque nutritif
Les pistaches ont toujours été un aliment nutritif, mais les chercheurs ont maintenant découvert les gènes et les voies qui influencent leur valeur nutritionnelle. Ils ont notamment découvert comment les protéines et les acides gras insaturés s'accumulent, ce qui est crucial pour la durée de conservation et les avantages diététiques de la pistache.
« Nous obtenons des informations sur la manière dont toutes ces caractéristiques nutritionnelles sont acquises dans les pistaches et sur la manière dont nous pouvons les améliorer du point de vue de la gestion de la culture », a déclaré Mme Blanco-Ulate.
Cette compréhension pourrait aider les scientifiques à sélectionner des variétés produisant des pistaches plus nutritives à l'avenir.
Les premiers auteurs de l'article sont Jaclyn Adaskaveg et Chaehee Lee de l'UC Davis. Les autres auteurs de l'UC Davis sont Yiduo Wei, Fangyi Wang, Saskia D. Mesquida-Pesci, Matthew Davis, Louise Ferguson, Giulia Marino, Patrick J. Brown, Georgia Drakakaki, Selina Wang et Filipa S. Grilo.
La recherche a été financée par le California Pistachio Research Board, le National Institute of Food and Agriculture du département américain de l'Agriculture et la Foundation for Food and Agricultural Research.
Ressources pour les médias
RépondreSupprimerContacts avec les médias :
J. Grey Monroe, Département des Sciences Végétales, gmonroe@ucdavis.edu
Bárbara Blanco-Ulate, Département des Sciences Végétales, bblanco@ucdavis.edu
Amy Quinton, Informations et Relations avec les Médias, 530-601-8077, amquinton@ucdavis.edu
__________
* Source : New DNA Map of the Pistachio Could Create Better Varieties | UC Davis
https://seppi.over-blog.com/2025/05/percer-le-code-genetique-du-pistachier-une-nouvelle-carte-d-adn-pourrait-conduire-a-des-fruits-a-coque-plus-nutritifs-et-plus-durables.html
L'arachide est la plante, et la cacahuète est le fruit comestible qu'on mange.
SupprimerContrairement à ce que l'on pourrait croire, l'arachide fait partie de la famille des légumineuses (petits pois, soja, fèves, lupin, pois chiche …) et non des oléagineux (noisettes, noix, pistaches …).
L'huile d'arachide, également connue sous le nom d'huile de cacahuète
la cacahuète correspond au fruit – ou la graine – de l'arachide.
Écologie : pour France Inter, manger du comté est criminel
RépondreSupprimerle 10 Mai 2025
par pgibertie
« Si le comté est mauvais écologiquement, si c’est mauvais pour les animaux, terrible même pour les animaux […], il faut donc arrêter d’en manger. » Voici la conclusion que tire l’activiste Pierre Rigaux. Le 24 avril dernier, le militant animaliste, qui s’autoproclame « naturaliste » et « écologue », a pris la parole dans l’émission « La Lutte enchantée » sur France Inter. Il n’a pas hésité à pointer les conséquences écologiques de la production de… comté.7
Produire ce fromage, joyau du terroir français, polluerait en effet les sols et les cours d’eau à cause des déjections des vaches. Selon les « Khmers verts », consommer du comté pourrait même rendre complice de maltraitances animales puisque les vaches et les veaux finissent tôt ou tard à l’abattoir.
Le député de La France insoumise (LFI), Aymeric Caron, est également très mobilisé en ce sens. L’élu avait d’ailleurs estimé qu’il fallait « refuser de tuer un moustique, tout comme on refuse de tuer des animaux domestiques tels que les chiens ou les chats »,
En effet, en l’espace de quelques années l’homme de la Drôme s’est positionné sur un marché de niche, celui du lobby anti-chasse. Lui qui n’a de cesse de dénoncer la chasse comme un lobby bien trop puissant, Pierre Rigaux surfe littéralement sur la vague anti-chasse pour assouvir sa passion…. et remplir son porte-monnaie.
Proximité assumée avec L214, avec qui il réalise des vidéos, Pierre Rigaux veut devenir un symbole de la propagande anti-chasse, malgré une soit-disant ouverture d’esprit qu’il essaie de vendre aux journalistes, comme au journal Marianne qui vient de lui consacrer un article et à qui il explique avoir discuté pas plus tard que cette semaine « 3/4 d’heures avec un chasseur » et estimer que seulement quelques « idiots » pratiquent la chasse. L’homme définit son métier comme ceci : « je m’évertue à informer les citoyens sur tout ce qui concerne les animaux, la nature, et qu’on n’apprend pas dans les médias. »
Tel un chef d’entreprise, le drômois pioche ainsi dans l’éventail des pratiques cynégétiques (chasse au gibier d’eau, élevage de gibier, vénerie….) dans un but ultime qu’il révèle là encore à Marianne : « l’abolition de la chasse de loisir ».
Mais créer des vidéos et se déplacer pour les tourner cela prend du temps, on en sait quelque chose, alors comment l’homme fait-il pour vivre ? Et bien il compte sur les autres, mon bon Monsieur ! Aujourd’hui, grâce à une cagnotte en ligne tipeee, Pierre Rigaux récolte pas moins de 2798 € par mois de la part de 424 donateurs. Impossible de savoir qui se cache derrière la plupart de ses contributeurs, mais il est possible de penser qu’il y a parmi eux des entreprises ou associations, les mêmes qui financent par exemple One Voice ou L214.
En parallèle il semble que Pierre Rigaux effectue des missions de prestataire pour différents organismes comme il l’explique sur sa page Tipeee. Il faut ajouter à cela également la vente de ses livres tel que « Pas du fusil dans la nature » dont il fait la promotion à chaque poste sur Facebook, mais dont il dit reverser les droits d’auteur à sa nouvelle association Nos Viventia. Association créée dit-il pour « développer plus fortement l’information, l’expertise et la production d’arguments pour peser dans le débat public sur l’écologie et à la protection des animaux». Rien ne dit que l’argent ne sert pas à payer des déplacements ou du matériel pour produire encore plus de vidéos anti-chasse !
RépondreSupprimerhttps://pgibertie.com/2025/05/10/ecologie-pour-france-inter-manger-du-comte-est-criminel/
Une grande leçon d'agronomie de Mme Agnès Pannier-Runacher
RépondreSupprimer12 Mai 2025
C'est sûr, c'est un post de Mme Agnès Pannier-Runacher, Ministre de la Transition Écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche... rien que ça. En revanche, les moteurs de recherche ne trouvent pas la citation dans un contexte médiatique, en particulier dans la Provence. C'est sûr, en revanche, qu'elle a essuyé une bordée.
« Les populistes nous abreuvent de visions caricaturales » ? « Les populistes fuient les faits et attisent les colères » ?
Dans les cours de récréation on dit : « C'est celui qui dit, qui est ! »
Cela s'applique sans réserve à Mme Agnès Pannier-Runacher, le démonstratif étant évidemment mis au féminin.
Nous avons là un double jeu de citations parfaitement attribuables à Mme Agnès Pannier-Runacher, puisqu'il s'agit d'un de ses posts sur X.
Mais la référence à la Provence pose problème : les moteurs de recherche d'Internet ne trouvent pas de source primaire. Interrogé spécifiquement, Grok répond : « ...le post sur X est la source primaire. »
Intéressant ! « Les populistes nous abreuvent de visions caricaturales »... et Mme Agnès Pannier-Runacher nous abreuverait d'un faux en citation ?
On ne trouve que deux posts de la Provence pour ce vendredi, 25 avril 2025.
Mais Mme Agnès Pannier-Runacher a accordé un entretien à la Provence (article réservé aux abonnés).
Il faut dès lors admettre que le problème se pose au niveau de la seule vignette. La citation est sauf preuve du contraire réelle et reflète en tout cas sa pensée : « La première cause de la baisse des rendements agricoles, c’est le dérèglement climatique, et l’appauvrissement des sols lié aux activités humaines », elle en est convaincue... mais il n'est pas exclu qu'elle pérore à l'intention de son fief.
Voilà donc trois propositions. La première est assez facilement vérifiable.
(Source : Académie d'Agriculture de France)
Cela pourrait nous dispenser d'examiner les deux autres propositions.
L'influence du « dérèglement climatique » est trop complexe pour l'analyser ici, le mot « dérèglement » posant déjà problème. Quant à « l’appauvrissement des sols », c'est une lubie des milieux foncièrement hostiles à l'agriculture qui nous nourrit.
Mme Agnès Pannier-Runacher se fait aussi préceptrice. Sa bien-pensance est en définitive grotesque.
« On ne sauvera pas notre agriculture en niant l’urgence écologique » ? On ne sauvera pas non plus notre agriculture en nous prosternant dans un acte de contrition et en proclamant l'« urgence climatique », avec de belles et vaines paroles.
Tenez, que veux dire aussi : « en préservant l'eau » ? Il faut la valoriser, l'utiliser à bon escient.
En fait, « celles et ceux qui, chaque jour, ne comptent pas leurs heures pour nous nourrir » sauraient sans doute gré à Mme Agnès Pannier-Runacher de se taire, et de faire taire son fan-club.
RépondreSupprimerUne autre « pensée » de haut-vol – après les « populistes », voici les « prophètes de malheur » :
https://seppi.over-blog.com/2025/05/une-grande-lecon-d-agronomie-de-mme-agnes-pannier-runacher.html
Une nouvelle technologie du MIT permet aux pesticides de coller aux feuilles des plantes
RépondreSupprimer12 Mai 2025
AGDAILY Reporters*
Ma note : Je ne sais pas ce que cela vaut. En France, on préfère des plans Écophyto censés apporter la solution miracle...
La réduction de la quantité de produits de traitement agricoles utilisés par les agriculteurs – y compris les engrais, les pesticides et les herbicides – pourrait réduire la quantité qui se retrouve dans l'environnement, tout en réduisant les coûts pour les agriculteurs et peut-être même en améliorant leur productivité. Un classique gagnant-gagnant-gagnant.
Une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology et une entreprise dérivée qu'ils ont créée ont mis au point un système qui permet d'atteindre cet objectif. Leur technologie ajoute une fine couche autour des gouttelettes lorsqu'elles sont pulvérisées sur un champ, ce qui réduit considérablement leur tendance à rebondir sur les feuilles et à se perdre sur le sol. Au lieu de cela, les gouttelettes enrobées adhèrent aux feuilles comme c'est l'intention.
Cette recherche est décrite aujourd'hui dans la revue Soft Matter, dans un article rédigé par Vishnu Jayaprakash et Sreedath Panat, récemment diplômés du MIT, Simon Rufer, étudiant de troisième cycle, et Kripa Varanasi, professeur de génie mécanique au MIT.
Une étude récente a montré que si les agriculteurs n'utilisaient pas de pesticides, ils perdraient 78 % de leur production de fruits, 54 % de leur production de légumes et 32 % de leur production de céréales. Malgré l'importance des technologies permettant de contrôler et d'optimiser les pulvérisations, leur absence a contraint les agriculteurs à se fier à leur expérience personnelle et à des règles empiriques pour décider de la manière d'appliquer ces produits chimiques. En conséquence, ces produits ont tendance à être pulvérisés de manière excessive, ce qui entraîne un ruissellement et des produits qui se retrouvent dans les cours d'eau ou s'accumulent dans le sol.
Les pesticides ont un impact considérable sur la santé mondiale et l'environnement, soulignent les chercheurs. Des recherches ont montré que 31 % des sols agricoles dans le monde présentaient un risque élevé de pollution par les pesticides. De plus, les produits chimiques agricoles représentent une dépense importante pour les agriculteurs : aux États-Unis, ils dépensent 16 milliards de dollars par an en pesticides conventionnels et biologiques.
Rendre la pulvérisation plus efficace est l'un des meilleurs moyens de rendre la production alimentaire plus durable et plus économique. La pulvérisation agricole se résume essentiellement à mélanger des produits chimiques à de l'eau et à pulvériser des gouttelettes de cette eau sur les feuilles des plantes, qui sont souvent hydrophobes par nature.
« Au cours de plus d'une décennie de recherche dans mon laboratoire au MIT, nous avons acquis une compréhension fondamentale de la pulvérisation et de l'interaction entre les gouttelettes et les plantes, en étudiant le moment où elles rebondissent et tous les moyens dont nous disposons pour qu'elles adhèrent mieux et améliorent la couverture », explique M. Varanasi.
L'équipe avait déjà trouvé un moyen de réduire la quantité de liquide pulvérisé qui rebondit loin des feuilles, en utilisant deux buses de pulvérisation au lieu d'une et en pulvérisant des mélanges avec des charges électriques opposées. Mais ils ont constaté que les agriculteurs étaient réticents à assumer les dépenses et les efforts liés à la conversion de leur équipement de pulvérisation à un système à deux buses. L'équipe a donc cherché une solution plus simple.
RépondreSupprimerIls ont découvert qu'ils pouvaient obtenir la même amélioration de la rétention des gouttelettes en utilisant un système à buse unique qui peut être facilement adapté aux pulvérisateurs existants. Au lieu de charger électriquement les gouttelettes de pesticide, ils les recouvrent d'une couche extrêmement fine d'un matériau huileux.
Dans leur étude, les chercheurs du MIT ont mené des expériences en laboratoire avec des caméras à grande vitesse. Lorsqu'ils ont pulvérisé des gouttelettes sans traitement spécial sur une surface hydrophobe semblable à celle de nombreuses feuilles de plantes, les gouttelettes se sont d'abord étalées en un disque ressemblant à une crêpe, puis ont rebondi en boule et se sont éloignées. Mais lorsque les chercheurs ont recouvert la surface des gouttelettes d'une minuscule quantité d'huile – représentant moins de 1 % du liquide de la gouttelette – les gouttelettes se sont étalées et sont restées en place. Ce traitement a permis de multiplier par cent l'adhérence des gouttelettes.
« Lorsque ces gouttelettes touchent la surface et qu'elles se dilatent, elles forment un anneau d'huile qui les fixe essentiellement à la surface », explique M. Rufer. Les chercheurs ont essayé une grande variété de conditions, expliquant qu'ils ont mené des centaines d'expériences, « avec différentes vitesses d'impact, différentes tailles de gouttelettes, différents angles d'inclinaison, tous les éléments qui caractérisent pleinement ce phénomène ». Bien que l'efficacité des différentes huiles varie, elles sont toutes efficaces. « Indépendamment de la vitesse d'impact et des huiles, nous avons constaté que la hauteur de rebond était significativement plus faible », ajoute-t-il.
La technologie ajoute une fine couche autour des gouttelettes lorsqu'elles sont pulvérisées sur un champ, ce qui réduit considérablement leur tendance à rebondir sur les feuilles et à se perdre sur le sol. (Photos : Varanasi Lab).
L'effet fonctionne avec des quantités d'huile remarquablement faibles. Lors de leurs premiers essais, ils ont utilisé 1 % d'huile par rapport à l'eau, puis ils ont essayé 0,1 % et même 0,01 %. L'amélioration de l'adhérence des gouttelettes à la surface s'est maintenue à 0,1 %, mais a commencé à s'estomper au-delà. « Fondamentalement, ce film d'huile agit comme un moyen de piéger la gouttelette à la surface, car l'huile est très attirée par la surface et retient en quelque sorte l'eau en place », explique M. Rufer.
RépondreSupprimerLors de leurs premiers essais, les chercheurs ont utilisé de l'huile de soja pour le revêtement, pensant qu'il s'agissait d'un matériau familier pour les agriculteurs avec lesquels ils travaillaient, dont beaucoup cultivaient du soja. Mais il s'est avéré que même s'ils produisaient des graines, l'huile ne faisait pas partie de leur chaîne d'approvisionnement habituelle pour être utilisée à la ferme. Lors de tests supplémentaires, les chercheurs ont découvert que plusieurs produits chimiques que les agriculteurs utilisaient déjà régulièrement dans leurs pulvérisations, appelés surfactants et adjuvants, pouvaient être utilisés à la place, et que certains d'entre eux offraient les mêmes avantages en maintenant les gouttelettes collées aux feuilles.
« De cette manière, nous n'introduisons pas un nouveau produit chimique ou des produits chimiques modifiés dans leur champ, mais ils utilisent des produits qu'ils connaissent depuis longtemps », a déclaré M. Varanasi.
MM. Varanasi et Jayaprakash ont créé une société appelée AgZen pour commercialiser le système. Pour prouver à quel point leur système d'enrobage améliore la quantité de produit pulvérisé qui reste sur la plante, ils ont d'abord dû mettre au point un système de contrôle de la pulvérisation en temps réel. Ce système, qu'ils appellent RealCoverage, a été déployé dans des exploitations de quelques dizaines d'hectares à des centaines de milliers d'hectares, et dans de nombreux types de cultures. Il a permis aux agriculteurs d'économiser de 30 à 50 % sur leurs dépenses en pesticides, simplement en améliorant les contrôles sur les pulvérisations existantes. Selon l'entreprise, ce système sera déployé sur 372.000 hectares de cultures en 2025, notamment en Californie, au Texas, dans le Midwest, en France et en Italie. Selon les chercheurs, l'ajout d'un système d'occultation à l'aide de nouvelles buses devrait permettre de doubler encore l'efficacité.
« On pourrait rendre un milliard de dollars aux agriculteurs américains en économisant 6 % de leur budget pesticides », a déclaré M. Jayaprakash, auteur principal de l'article de recherche et PDG d'AgZen. « En laboratoire, nous avons obtenu 300 % de produit supplémentaire sur la plante. Cela signifie que nous pourrions obtenir des réductions de plusieurs ordres de grandeur de la quantité de pesticides que les agriculteurs pulvérisent. »
Soja dans un système agricole sans labour (Image : Sanya Kushak, Shutterstock)
Les agriculteurs utilisaient déjà ces produits chimiques tensioactifs et adjuvants pour améliorer l'efficacité de la pulvérisation, mais ils les mélangeaient à une solution aqueuse. Pour obtenir un effet, ils devaient utiliser une quantité beaucoup plus importante de ces produits, au risque de provoquer des brûlures sur les plantes. Le nouveau système de revêtement réduit la quantité de ces produits nécessaires, tout en améliorant leur efficacité.
RépondreSupprimerLors d'essais sur le terrain menés par AgZen, « nous avons doublé la quantité de produit sur le chou frisé et le soja simplement en changeant l'emplacement de l'adjuvant », qui n'est plus mélangé mais enrobé, a déclaré M. Jayaprakash. C'est pratique pour les agriculteurs car « ils n'ont qu'à changer de buse. Ils améliorent l'efficacité de tous leurs produits chimiques existants et obtiennent plus de produit sur la plante. »
« Ce qui est vraiment génial, c'est que ce système est utile pour tous les produits chimiques utilisés sur les feuilles, qu'il s'agisse d'insecticides, d'herbicides, de fongicides ou de produits de nutrition foliaire », ajoute M. Varanasi. Cette année, ils prévoient d'introduire le nouveau système de pulvérisation sur environ 12.000 hectares de terres cultivées.
M. Varanasi explique qu'avec la croissance prévue de la population mondiale, « la production alimentaire doit doubler, et nous sommes limités par de nombreuses ressources, par exemple nous ne pouvons pas doubler les terres arables. [...] Cela signifie que chaque hectare que nous cultivons actuellement doit devenir plus efficace et capable de faire plus avec moins. » Selon M. Varanasi, ces technologies de pulvérisation améliorées, qui permettent à la fois de contrôler la pulvérisation et d'enrober les gouttelettes, « changent fondamentalement l'agriculture ».
AgZen a récemment levé 10 millions de dollars en capital-risque pour soutenir le déploiement commercial rapide de ces technologies qui peuvent améliorer le contrôle des intrants chimiques dans l'agriculture. « Les connaissances que nous recueillons sur chaque feuille, combinées à notre expertise en matière de science interfaciale et de mécanique des fluides, nous donnent un aperçu inégalé de la manière dont les produits chimiques sont utilisés et développés – et il est clair que nous pouvons apporter de la valeur à l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement agrochimique », a déclaré M. Varanasi. « Notre mission est d'utiliser ces technologies pour améliorer les résultats et réduire les coûts pour l'industrie agroalimentaire.
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* Source : New technology out of MIT makes pesticides stick to plant leaves
https://seppi.over-blog.com/2025/05/une-nouvelle-technologie-du-mit-permet-aux-pesticides-de-coller-aux-feuilles-des-plantes.html
(...) La réduction de la quantité de produits de traitement agricoles utilisés par les agriculteurs – y compris les engrais, les pesticides et les herbicides – pourrait réduire la quantité qui se retrouve dans l'environnement, tout en réduisant les coûts pour les agriculteurs et peut-être même en améliorant leur productivité. Un classique gagnant-gagnant-gagnant. (...)
Supprimer'pourrait réduire la quantité qui ' !!! HAHAHAHAHAHA !
Sans nourriture LA PLANTE CRÈVE ! (Çà alors !:!), sans médicaments contre les maladies et insectes destructeurs: LA PLANTE CRÈVE !! (Çà alors !!).
Depuis DES milliers d'années les paysans ont subi les ravages agricoles. Puis, arrivèrent l'époque des scientifiques qui examinaient le pourquoi d'une maladie et le pourquoi du ravage des insectes. Des laboratoires oint mis au point des remèdes à ces attaques qui entraînaient la famine dans le monde malgré la présence de 95 % de paysans !
Chaque plante a ses défenses comme a chaque animal de notre monde.
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99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes
2 Décembre 2018
par Seppi
Alex Berezow*
Le mot « pesticide » est mal compris, presque autant que le mot « chimique ». Les gens ont été amenés à croire, en grande partie par l'industrie des produits biologiques et les activistes environnementaux, que les pesticides ne sont pas naturels, sont dangereux et n'appartiennent pas à l'approvisionnement alimentaire. Mais cela défie une compréhension de base de la biologie.
Un pesticide est un produit chimique, naturel ou produit par l'homme, conçu pour tuer un autre organisme.
En utilisant cette définition large, il y a probablement des centaines de milliers de pesticides dans l'environnement naturel. La guerre biologique a été inventée et perfectionnée par Mère Nature.
Par exemple, certaines bactéries et certains champignons produisent des antibiotiques pour tuer d'autres microbes. Nous n’appelons pas ces antibiotiques « pesticides », mais c’est exactement ce qu’ils sont. Pour une cellule bactérienne, un microbe d'une espèce différente n'est souvent rien de plus qu'un organisme nuisible avec lequel il est en compétition et qui devrait mourir. Donc, elle produit des substances chimiques avec l'intention de le tuer. C’est un pesticide.
Les plantes font la même chose. Du point de vue de la plante, de nombreux insectes ne sont rien de plus que des parasites dangereux qui mangent les feuilles et qui devraient mourir. Donc, les plantes produisent des insecticides, comme la caféine et la nicotine, pour éloigner ces végétariens odieux à six pattes. (Elles produisent également des pesticides pour éloigner les végétariens à quatre pattes, à poils).
Et devinez quoi ? Lorsque nous mangeons des plantes, nous mangeons aussi ces pesticides. Un document coécrit en 1990 par le vénérable Bruce Ames a constaté que 99,99 % des pesticides que nous ingérons dans notre alimentation sont produits par les plantes elles-mêmes. Compte tenu de la popularité des produits biologiques et de la mythologie non scientifique qui la sous-tend, ses résultats sont plus pertinents que jamais.
Les pesticides naturels dans vos aliments
Selon l’équipe du Dr Ames, chaque plante produit quelques douzaines de toxines, dont certaines (à une dose suffisamment élevée) seraient toxiques pour l’homme. Le chou produit au moins 49 pesticides connus. Compte tenu de l'omniprésence des pesticides naturels, le Dr Ames estime que « les Américains ingèrent environ 1,5 g de pesticides naturels par personne et par jour, soit environ 10.000 fois plus que les résidus de pesticides de synthèse ».
De plus, le Dr Ames estime que nous consommons chaque jour entre 5.000 et 10.000 pesticides naturels différents, dont beaucoup provoquent des cancers lors d'essais sur des animaux de laboratoire. Le Dr Ames rédige alors probablement le meilleur paragraphe jamais écrit dans la littérature scientifique:
Supprimer"Il y a des substances qui sont cancérogènes pour les rongeurs dans les aliments suivants : abricot, ananas, aneth, anis, aubergine, banane, basilic, brocoli, cacao, café, cannelle, carotte, carvi, champignons, chou, chou de Bruxelles, chou-fleur, chou frisé, chou vert, céleri, cerise, endive, estragon, fenouil, framboises, girofle, goyave, graines de sésame, groseilles, jus de pamplemousse, jus d'orange, laitue, lentilles, mangue, melon, miel, moutarde, muscade, navet, panais, pêche, persil, poire, pois, poivre noir, pomme, pomme de terre, prune, radis, raifort, raisin, romarin, thé, tisane de consoude, tomate. Il est donc probable que presque tous les fruits et légumes du supermarché contiennent des pesticides naturels de plantes qui sont cancérogènes pour les rongeurs. Les niveaux de ces substances cancérogènes chez les rongeurs dans les plantes susmentionnées sont généralement des milliers de fois plus élevés que les concentrations de pesticides de synthèse. »
Faites-vous la cuisine ? Cela produit aussi des toxines cancérogènes. Aimez-vous le café ? C’est une tasse bouillante de cancérogènes pour les rongeurs. Il faut garder à l'esprit que pour chaque pesticide de synthèse effrayant que l'homme a créé, Mère Nature a créé quelque chose de pire. Et vous le mangez probablement régulièrement.
Mais si vous tenez toujours à éliminer tous les pesticides de votre alimentation, vous pouvez faire une chose : cesser de manger.
Source: Bruce Ames, Margie Profet, Lois Gold. « Dietary pesticides (99.99% all natural) » (pesticides alimentaires (99,99 % entièrement naturels). PNAS 87:7777-81. Publié en octobre 1990.
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* Le Dr Alex Berezow a rejoint l'American Council on Science and Health (conseil américain des sciences et de la santé) en tant que Senior Fellow pour les sciences biomédicales en mai 2016. Il est un auteur prolifique dont les articles ont paru dans de nombreuses publications. Il est l'auteur ou le co-auteur de trois ouvrages : The Next Plague and How Science Will Stop It (la prochaine épidémie et comment la science l'arrêtera, 2018), Little Black Book of Junk Science (le petit livre noir de la science poubelle, 2017), et Science Left Behind (la science laissée pour compte, 2012).
Source : https://www.acsh.org/news/2017/06/13/9999-pesticides-we-eat-are-produced-plants-themselves-11415
http://seppi.over-blog.com/2018/12/99-99-des-pesticides-que-nous-ingerons-sont-produits-par-les-plantes-elles-memes.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html
Le maïs : une culture bénéfique pour les sols et la biodiversité
RépondreSupprimer11 Mai 2025
Romain G.*
🌽 Le maïs : une culture bénéfique pour les sols et la biodiversité 🌽
Le maïs n'est pas seulement une culture clé pour l'alimentation humaine🍿 et animale🐄, c’est aussi une culture bénéfique à nos sols🌱 et à la biodiversité/environnement🌈. En effet 1 ha de maïs peut produire de 16 à 32 tonnes d'oxygène💨, et absorber 20 à 30 tonnes de gaz carbonique durant son cycle de développement, soit entre 2 et 3 fois plus qu'un hectare de forêt.🌴🌲🌳Et c'est un véritable réservoir à biodiversité (comme la luzerne) durant l'été, période de l'année où la couverture des sols est plus réduite.
✅ Amélioration de la structure du sol ✨:
Le maïs possède un système racinaire profond de type fasciculé, qui permet de bien s'ancrer dans les différents horizons du sols et d'aller chercher nutriments et eau dans les profondeurs. Les galeries de vers de terre facilitent également le passage des racines. La structure ainsi laissée sera très favorable à l'implantation de la culture prochainement implanté type blé, ou un couvert végétal, à conditions de ne pas trop retravailler le sol.
✅ Rôles agronomiques :
En tant que culture de printemps🌞, le maïs joue un rôle crucial dans la rotation des cultures🎨, c'est une deuxième ou troisième culture de printemps à pouvoir implanter lorsque l'on ne peut pas faire des pomme de terre ou des betteraves, pour diversifier des cultures d'hiver❄. Il aide aussi à lutter contre l'érosion, briser les cycles de certaines adventices/ravageurs et réduit les charges phytosanitaires💲. Il y a également beaucoup de restitutions organiques notemment en maïs grain, et les parties souterraines en maïs fourrage. Mais bien souvent il peut y avoir eu un fumier pailleux d'apporté et/ou un couvert végétal avant le maïs. Même si cela ne compensera jamais à 100 % certes.
✅ Gestion des nutriments :
De par son système racinaire profond et sa période d'implantation idéale car peu favorable au lessivage NPK, l'azote peut-être mis avant le semis, le maïs ira de toute façon rechercher plus tard les nutriments avec son système fasciculé profond, qui permet donc aussi de protéger les nappes phréatiques et les cours d'eau.
En résumé, le maïs🌽 n'est pas qu'une poacée/graminée avec des points de vigilance entre dégâts de gibiers, ravageurs, carence et conditions de récolte en grain, c’est aussi une alimentation locale, de qualité et autonome pour nos élevages.
RépondreSupprimer👉 Et vous, que pensez-vous du maïs? Peut-il remplacer un tournesol ?🌻
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* Sa présentation sur LinkedIn : « Passionné par l'agronomie, j'adore échanger et apprendre sur LinkedIn ! 🤝 Curieux et engagé, je souhaite développer un réseau. [...] »
Source : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7312156661178064896/
Ma note : J'apprécie vraiment cet état d'esprit. Et je souhaite à l'auteur beaucoup de satisfactions pour la suite de son parcours.
https://seppi.over-blog.com/2025/05/le-mais-une-culture-benefique-pour-les-sols-et-la-biodiversite.html
(...) Le maïs n'est pas seulement une culture clé pour l'alimentation humaine🍿 et animale🐄, c’est aussi une culture bénéfique à nos sols🌱 et à la biodiversité/environnement🌈. En effet 1 ha de maïs peut produire de 16 à 32 tonnes d'oxygène💨, et absorber 20 à 30 tonnes de gaz carbonique durant son cycle de développement, soit entre 2 et 3 fois plus qu'un hectare de forêt.🌴🌲🌳Et c'est un véritable réservoir à biodiversité (comme la luzerne) durant l'été, période de l'année où la couverture des sols est plus réduite. (...)
SupprimerL'oxygène, comme le gaz carbonique et tous autres gaz, est produit par la combustion magmatique (à 30 km sous nos pieds), il n'y a donc besoin d'une plante pour en 'produire'.
Chaque pante sur notre planète, comme chaque animal, se nourrit différemment. Chaque portion de terre contient l'aliment favori à des plantes et des animaux. Donc, nul besoin de chercher le pourquoi alimentaire de chaque être vivant.
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BLOG N°59
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