300 milliards de dépenses pour l’éolien inutile qui fera doubler les factures d’électricité de tous les Français

 le 16 juin 2025

  par pgibertie


L’État français s’est engagé à acheter 200 € le megawatt (MW) produit à l’éolien. Pour le nucléaire, on était à 42 €. […] Ces tarifs prohibitifs garantissent l’impossibilité de réindustrialiser la France

@NicolasMeilhan

Pour ceux qui se demandent pourquoi le coût de d’électricité augmente, voici le prix auquel EDF rachète l’électricité renouvelable – éolien terrestre : 102€/MWh – éolien en mer : 195€/MWh – photovoltaïque : 226€/MWh C’est pas donné pour de l’électricité dont on n’a pas besoin.

Si une journée de manque à produire d’un réacteur de 900 MW équivaut à 1 million d’euros, quel est le manque à gagner pour EDF avec la modulation de son parc nucléaire pour « laisser passer » les énergies renouvelables intermittentes françaises et allemandes ? Vous avez 2 heures.

NicolasMeilhan Si 56 réacteurs de 900 MW sont modulés 10 jours/an, ça fait ~560M€ de manque à gagner (1M€/jour) . Sans prendre en compte l’usure sinon on arriverait bien au dessus du (1M€/jour)

Cette audition en commission d’enquête au Sénat pourrait intéresser ceux qui aimeraient comprendre comment les prix de l’électricité ont été multipliés par 2 en 10 ans grâce aux énergies renouvelables intermittentes dont nous n’avons pas besoin.

https://pgibertie.com/2025/06/16/300-milliards-de-depenses-pour-leolien-inutile-qui-fera-doubler-les-factures-delectricite-de-tous-les-francais/

*

BLOG n°96

60 articles

60 commentaires:

  1. le vaccin contre la varicelle efficace contre la maladie infantile mais il entraînerait une augmentation des cas de zona jusqu’à 75 ans après la vaccination


    le 17 juin 2025
    par pgibertie


    Le vaccin contre la varicelle pourrait avoir des effets secondaires et provoquer davantage de zona chez les adultes jusqu’à 75 ans après l’injection. Le taux de varicelle légère a diminué grâce à la vaccination, mais les enfants pourraient en payer le prix à l’âge adulte

    - voir cadre sur site -

    Les interactions biologiques entre la varicelle et le zona, deux maladies causées par le virus varicelle-zona (VVZ), continuent de faire l’objet de débats, notamment quant à leur effet potentiel sur les cas de zona suite à l’introduction de programmes universels de vaccination infantile contre la varicelle. Nous avons étudié l’impact de la vaccination contre la varicelle en Alberta sur l’incidence et la répartition par âge du zona sur une période de plus de 75 ans après la vaccination, en tenant compte de diverses théories plausibles de déclin et de renforcement de l’immunité.

    La vaccination contre la varicelle a entraîné une diminution des cas de varicelle. L’incidence cumulée de la varicelle est passée de 1 254 cas pour 100 000 personnes-années avant la vaccination contre la varicelle à 193 cas pour 100 000 personnes-années 10 ans après la mise en place du vaccin. Nous avons observé une augmentation de l’incidence cumulée du zona tous âges confondus 10 et 25 ans après la vaccination contre la varicelle, ainsi qu’une variation mixte de l’incidence cumulée à 50 et 75 ans après la vaccination. L’ampleur de la variation était sensible à la date de naissance et variait de 22 à 100 cas pour 100 000 personnes-années 10 ans après la vaccination pour deux et sept ans de rappel respectivement (
    p < 0,001). À 75 ans après la vaccination, l’incidence cumulée variait entre une baisse de 70 et une augmentation de 71 pour 100 000 personnes-années pour deux et sept ans de rappel respectivement (
    p < 0,001). Les analyses de sensibilité ont eu un impact minimal sur nos conclusions, à l’exception de la suppression de l’effet du rappel.

    https://pgibertie.com/2025/06/17/le-vaccin-contre-la-varicelle-efficace-contre-la-maladie-infantile-mais-il-entrainerait-une-augmentation-des-cas-de-zona-jusqua-75-ans-apres-la-vaccination/

    RépondreSupprimer
  2. Quel a été l'impact de la vaccination de masse sur la société ?
    Les données qui révèlent les conséquences méconnues et oubliées de la vaccination.


    UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
    15 JUIN 2025


    • L'introduction de nouveaux vaccins sur le marché a été marquée par une longue histoire de blessures graves. Dans la plupart des cas, ces blessures ont été étouffées pour protéger l'entreprise.

    • Dans de nombreux cas, les blessures graves et « mystérieuses » que nous observons aujourd'hui sont remarquablement similaires à celles observées il y a plus d'un siècle. Malheureusement, un embargo généralisé empêche la divulgation de ces données (car cela détruirait instantanément le programme de vaccination).

    • De nombreuses études indépendantes (résumées ci-dessous) ont montré que les vaccins provoquent un large éventail de maladies chroniques.

    • Un livre de 1990 a démontré avec force que la vaccination généralisée était également à l'origine d'une épidémie de lésions cérébrales généralisées, qui diminuait le QI des Américains et provoquait une augmentation massive des crimes violents.

    • Dans cet article, nous passerons également en revue le contenu exact de ce livre de 1990 et les signes classiques permettant de déterminer si une personne souffre d'une blessure vaccinale (ainsi que les signes plus subtils et plus spirituels).

    Remarque : suite aux récents changements au sein de l'ACIP (le comité qui décide des vaccins à administrer) et à l'intérêt que j'ai porté à cet article, je l'ai révisé et mis à jour.

    Mon esprit superpose souvent le passé, le présent et le futur. De ce fait, je me souviens fréquemment d'événements passés qui reflètent parfaitement ce qui se déroule sous nos yeux. De ce fait, j'ai perdu le compte du nombre de fois où j'ai vu l'humanité répéter les mêmes erreurs ou entrevoir un désastre au ralenti à l'horizon. Pendant la COVID, j'ai réalisé que nous étions en train de revivre la même tragédie que l'humanité avait connue depuis la mise sur le marché du vaccin contre la variole, et une pensée m'est venue. Si les gens prenaient conscience de ce qui s'était passé et mettaient fin à notre amnésie collective, peut-être que tout cela pourrait enfin cesser.

    Le destin a voulu que mon souhait se réalise et, sans me connaître, Steve Kirsch m'a donné l'opportunité de commencer à faire connaître cette histoire oubliée au monde. Cela s'est produit après qu'il a choisi de publier un article que j'avais écrit, illustrant la similitude des manifestations des camionneurs avec les manifestations contre la variole survenues plus d'un siècle auparavant. Puis, pour des raisons que j'ignore encore, il a encouragé ses lecteurs à s'abonner à mon compte pour que je puisse commencer à écrire ici.

    RépondreSupprimer
  3. Remarque : Lorsque j'ai choisi le nom d'utilisateur « A Midwestern Doctor » (pour l'article sur la variole), je n'y ai pas beaucoup réfléchi, car je ne pensais plus jamais l'utiliser.

    Au fil des ans, j'ai constaté à maintes reprises qu'une catastrophe vaccinale se produit, blessant de nombreuses personnes de manière très similaire, qu'elle est étouffée (souvent par des responsables très partagés dans leur décision), puis que la même chose se reproduit quelques décennies plus tard.

    Sachant que nous administrons des dizaines de vaccins à chaque membre de la société, une question évidente se pose : quel est l'impact sur la société ?

    La Face Oubliée de la Médecine est une publication financée par ses lecteurs. Pour recevoir les nouveaux articles et soutenir mon travail, vous pouvez vous abonner gratuitement ou payant. Pour découvrir comment d'autres ont bénéficié de cette newsletter, cliquez ici !

    Brève histoire des catastrophes vaccinales

    En 1798, le vaccin antivariolique est arrivé sur le marché. Dès sa commercialisation, on a constaté qu'il provoquait fréquemment des épidémies de variole (au lieu de les prévenir) et qu'il causait un large éventail de lésions invalidantes et complexes que beaucoup de médecins n'avaient jamais observées auparavant (et dont beaucoup, je crois, étaient des exemples de « stase sanguine »). Curieusement, plutôt que de reconnaître qu'il s'agissait d'une erreur, la plupart des professionnels de la santé ont approuvé le vaccin antivariolique, et les gouvernements du monde entier l'ont rendu obligatoire face à l'augmentation constante des cas, ce qui a entraîné une spirale descendante qui a finalement été interrompue par des manifestations publiques massives contre ces obligations. Après une étude approfondie, je suis d'avis que le vaccin contre la variole a remodelé l'évolution de la santé humaine et a marqué un tournant dans l'ère des maladies chroniques.

    Dans les années 1800 et au début des années 1900, divers vaccins précoces (par exemple, contre la rage, la typhoïde, la diphtérie, la tuberculose) et des antisérums produits par des chevaux (contre la plupart des infections courantes de l'époque) ont été mis sur le marché. Comme nombre de ces vaccins étaient produits dans de petits laboratoires indépendants, ils présentaient divers problèmes de contrôle qualité, ce qui entraînait fréquemment la mise sur le marché de lots chauds, causant de graves blessures, voire la mort, de nombreuses personnes. De plus, nombre de ces vaccins présentaient un degré de toxicité élevé. De ce fait, diverses pathologies nouvelles et graves sont apparues, dont beaucoup étaient considérées comme dues à une inflammation cérébrale (encéphalite) ou à des lésions cérébrales (encéphalopathie) et observées comme associées à des lésions des nerfs crâniens. La plupart de ces affections (que j'ai abordées en détail ici) reflètent à leur tour la myriade de blessures que nous constatons aujourd'hui également à cause des vaccinations modernes.

    RépondreSupprimer
  4. Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, divers vaccins (par exemple, contre la rage, la typhoïde, la diphtérie et la tuberculose) et des antisérums produits par des chevaux (contre la plupart des infections courantes de l'époque) ont fait leur apparition sur le marché. Comme nombre de ces vaccins étaient produits dans de petits laboratoires indépendants, ils présentaient divers problèmes de contrôle qualité, ce qui entraînait fréquemment la mise sur le marché de lots chauds, causant des blessures graves, voire mortelles, chez des personnes. De plus, nombre de ces vaccins présentaient une forte toxicité. De ce fait, de nouvelles pathologies graves sont apparues, dont beaucoup étaient considérées comme dues à une inflammation cérébrale (encéphalite) ou à des lésions cérébrales (encéphalopathie) et observées en association avec des lésions des nerfs crâniens. La plupart de ces pathologies (que j'ai détaillées ici) reflétaient à leur tour la multitude de lésions que nous observons aujourd'hui avec les vaccins modernes. Outre les blessures, deux problèmes majeurs ont marqué cette période :

    • Premièrement, outre la contamination directe par l’organisme responsable de la maladie (par exemple, la fièvre jaune ou la tuberculose) et la transmission de la maladie, les vaccins provoquaient souvent une immunosuppression temporaire, entraînant des épidémies chez les personnes vaccinées (voir ici). Cependant, chaque fois, ce phénomène n’a pas été perçu comme un signe de réduction de la vaccination, mais comme un manque de vaccination et la mise en place d’obligations vaccinales de plus en plus strictes pour appliquer cette politique, ou la création de nouveaux vaccins pour remédier aux effets néfastes de la vaccination (par exemple, le vaccin DTC a fréquemment provoqué des épidémies de polio).

    • Deuxièmement, les responsables de la santé publique et les concepteurs de vaccins étaient parfaitement conscients des effets néfastes des vaccins, mais, en l’absence d’autres traitements contre la maladie, ils ont malheureusement considéré ce sacrifice comme nécessaire pour le bien commun et ont donc dissimulé les effets néfastes afin que la population continue de se faire vacciner. Cependant, même si je comprends leur point de vue, celui-ci reposait sur un postulat erroné : il existait bel et bien des traitements efficaces contre ces maladies (par exemple, en 1920, on savait que le peroxyde d’hydrogène intraveineux pouvait traiter les infections graves et, en 1928, que l’irradiation sanguine aux ultraviolets pouvait traiter de nombreuses infections autrement incurables).
    Remarque : comme vous l’avez peut-être remarqué, tout ce que je viens de décrire s’applique également aux vaccins contre la COVID-19, illustrant ainsi la perpétuation fréquente et indéfinie de ces cycles dysfonctionnels.

    RépondreSupprimer
  5. Dans les années 1940-1950, le premier vaccin contre la coqueluche (DTC) est arrivé sur le marché. Ce vaccin s’est révélé efficace pour provoquer une inflammation cérébrale et diverses différences inquiétantes ont été observées chez les générations nées après son adoption massive aux États-Unis.
    Remarque : Le vaccin contre la rage s’est également révélé efficace pour provoquer des encéphalites (environ une injection sur 750, dont 20 % ont été mortelles), mais son impact sur la société a été moindre, car beaucoup moins de personnes l’ont reçu.

    Entre les années 1950 et 1970, de nombreux cas se sont produits où un vaccin expérimental bâclé et mal produit (par exemple contre la polio ou la grippe porcine) a été mis sur le marché pour répondre à une « urgence » inexistante. Le gouvernement a alors choisi d'ignorer les avertissements de ses scientifiques selon lesquels il était dangereux de l'administrer aux États-Unis. La presse, honnête à l'époque, a rapporté la catastrophe, qui a fait scandale à l'échelle nationale et le gouvernement a indemnisé les victimes.
    Remarque : J'ai compilé ici ces reportages, le dernier en date remontant à 2002, concernant le vaccin antivariolique de Bush.

    En 1986, le public était suffisamment conscient des dangers du vaccin DTC pour que des poursuites judiciaires soient régulièrement engagées pour les lésions cérébrales et les morts subites du nourrisson qu'il provoquait (voir ici). Cela a conduit à l'adoption de la loi de 1986 sur les dommages causés par les vaccins (voir plus loin ici), une loi qui protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité liée aux produits et visait à aider les parents d'enfants ayant subi des dommages causés par les vaccins (même si elle n'a pas atteint cet objectif en raison d'une application sélective de ses dispositions et de l'exemption accordée par la Cour suprême aux fabricants de dommages causés par des vaccins défectueux). L'adoption de cette loi a déclenché une ruée vers l'or de l'industrie pour commercialiser des vaccins expérimentaux et exempts de responsabilité, et rapidement, le calendrier vaccinal infantile a explosé, parallèlement à la progression des maladies chroniques.

    - voir graph sur site -

    Remarque : depuis cette époque, d'autres vaccins (par exemple, le VRS et la vaccination annuelle contre la COVID) ont également été ajoutés au calendrier vaccinal infantile (mais heureusement, la MAHA a récemment réussi l'impossible et en a retiré la COVID).

    RépondreSupprimer
  6. En 1990, un vaccin expérimental contre l'anthrax a été déployé sur l'armée pour la préparer à l'invasion de l'Irak. Bien que la guerre se soit déroulée sans incident (Saddam n'a pas utilisé l'anthrax et ce fut probablement le conflit le plus unilatéral de l'histoire), le vaccin contre l'anthrax a gravement blessé plus de 100 000 militaires (entraînant ce que l'on a appelé le syndrome de la guerre du Golfe). Malgré ces problèmes, des membres du ministère de la Défense déterminés à financer leur programme de défense contre les armes biologiques l'ont imposé, ce qui a entraîné de graves blessures au sein de l'armée et une rébellion généralisée contre ce décret.

    Par la suite, de nouvelles biotechnologies ont fait leur apparition, permettant de créer génétiquement une multitude de nouveaux vaccins qui ont ensuite inondé le marché, l'ACIP approuvant pratiquement tous les vaccins qui lui étaient administrés, quels que soient leurs mérites (en fait, parmi leurs dizaines d'approbations, je n'ai pu identifier qu'un seul cas où l'ACIP ne l'a pas fait [rappels pour les enseignants et le personnel de santé], et dans ce cas, les CDC ont tout simplement outrepassé l'ACIP). Parallèlement, la publicité pharmaceutique directe auprès des consommateurs a été légalisée par une décision de la FDA en 1997, permettant à l'industrie pharmaceutique d'acheter le silence des médias et, par conséquent, de mettre fin à toute couverture médiatique des effets secondaires des vaccins.

    En 2010, Merck a convaincu les Américaines qu'elles couraient un risque élevé de mourir d'un cancer du col de l'utérus (qui, en réalité, ne tue qu'environ 1 femme sur 38 000 chaque année) afin que tout le monde achète son vaccin très lucratif (dont l'efficacité n'a jamais été prouvée pour réduire la mortalité par cancer du col de l'utérus). Ce vaccin présentait un taux exceptionnellement élevé d'effets secondaires (par exemple, des maladies auto-immunes graves), mais malgré un déluge de plaintes, les CDC et la FDA ont tout mis en œuvre pour le protéger, et son administration est toujours obligatoire pour les enfants.

    En 2021, le vaccin contre la COVID-19 est arrivé sur le marché et a causé un nombre sans précédent de dommages (par exemple, de nombreuses personnes ont constaté le décès soudain d'adultes en bonne santé, et de vastes sondages ont montré que 34 % des personnes vaccinées ont signalé des effets secondaires mineurs, tandis que 7 % ont signalé des effets secondaires majeurs affectant gravement leur qualité de vie). Heureusement ou malheureusement, le taux de dommages était si élevé que, contrairement aux catastrophes précédentes, les médias ne pouvaient plus le passer sous silence, ce qui a finalement conduit à l'ascension de la MAHA comme force politique et à la nomination de RFK Jr. à la tête de l'agence qui a orchestré la catastrophe vaccinale pendant des décennies.

    RépondreSupprimer
  7. À mes yeux, l'un des points les plus importants à retenir de cette histoire est qu'au moment de chacune de ces catastrophes, la profession médicale et le public ont été frappés par l'explosion de ces nouvelles maladies (et leur immense coût social), mais ils se sont rapidement habitués à elles et ont oublié leur apparition.

    Les méfaits de la vaccination

    De nombreuses preuves suggèrent que les vaccins sont les seuls responsables, voire l'un des principaux responsables, du tsunami de maladies chroniques qui a suivi leur adoption croissante.

    Malheureusement, bien que de nombreuses preuves suggèrent l'existence d'un problème, les effets du calendrier vaccinal n'ont jamais été formellement étudiés et les inquiétudes sont simplement balayées par un refrain qui se répète : « Les vaccins sont sûrs et efficaces ».

    Cela a naturellement conduit à des appels à des tests officiels des vaccins, mais ces appels sont systématiquement rejetés sous prétexte que les vaccins sont « tellement sûrs et efficaces » qu'il serait « contraire à l'éthique » de les refuser aux participants aux essais cliniques qui doivent recevoir un placebo et de les exposer aux graves dommages que pourraient causer les maladies évitables par la vaccination (malgré le fait que très peu de vaccins sur le marché sont destinés aux maladies potentiellement mortelles qui existent encore aux États-Unis).

    Ainsi, pour contourner cet embargo, diverses études indépendantes (qui ont toutes rencontré une vive opposition) ont été réalisées pour comparer des populations non vaccinées à des populations vaccinées. Toutes démontrent les effets néfastes considérables de la vaccination. Cependant, au lieu d'être écoutées, ces études sont toutes rejetées car elles « n'ont pas de placebo » (malgré l'impossibilité de mener des essais placebo).
    Remarque : cela illustre pourquoi l'industrie du vaccin a été si bouleversée par la révélation de cette escroquerie par RFK, exigeant désormais des tests placebo appropriés pour les nouveaux vaccins.

    Au lieu d'essais placebo, on nous dit que de vastes bases de données peuvent être utilisées pour surveiller les effets secondaires des vaccins. Cependant, à l'exception du VAERS (qui est constamment discrédité par les médias, le gouvernement et le corps médical), toutes ces bases de données sont secrètes, à tel point que le gouvernement s'est battu pendant des années devant les tribunaux pour en protéger la publication (par exemple, « pour protéger la vie privée des patients ») et nous a conseillé de nous fier à ses évaluations.

    RépondreSupprimer
  8. Remarque : grâce à une série de poursuites judiciaires, nous avons pu accéder à certaines données V-Safe des CDC sur les vaccins contre la COVID-19. Outre les dommages considérables causés par les vaccins contre la COVID-19, l'accès aux données brutes a également montré que le résumé des données de V-Safe paru dans le Lancet les avait déformées pour donner une illusion d'innocuité non démontrée par les données.

    L'accès à la base de données des CDC sur les effets secondaires des vaccins (la VSD) est donc un objectif de longue date de la communauté de la sécurité vaccinale et l'une des choses que RFK s'était engagé à faire s'il prenait un jour ses fonctions. Il est toutefois remarquable que, juste avant d'y avoir accès, des employés du H.H.S. (HHS) aient décidé de les supprimer pour éviter que cela ne se produise.

    Tout cela suggère donc que :

    • Il n'existe aucune preuve des effets néfastes de la vaccination, et la publication officielle de ces données n'a tout simplement pas été une priorité (ce qui est étrange compte tenu des efforts déployés pour bloquer tous les procès et pétitions en ce sens).

    • Il existe des preuves de la nocivité des vaccins, et certains craignent que ces données soient mal interprétées et suggèrent qu'ils sont bien plus nocifs qu'ils ne le sont en réalité.

    • Les preuves existantes montrent que les vaccins sont incroyablement dangereux, au point de constituer une menace existentielle pour le programme de vaccination. Par conséquent, toutes les mesures possibles ont été prises pour empêcher leur divulgation.

    Comme vous pouvez l'imaginer, je pense que la seconde hypothèse est la plus probable, d'autant plus que :

    1. Il existe des cas documentés où les CDC ont modifié des études pour dissimuler des preuves de la nocivité des vaccins (par exemple, l'autisme).

    2. De nombreux essais cliniques portant sur des vaccins individuels montrent que ces derniers provoquent bon nombre des troubles qui ont augmenté parallèlement à l'augmentation de la vaccination (par exemple, le vaccin contre le VPH a entraîné le développement d'une maladie auto-immune chez au moins 2,3 % des participants à l'essai).
    Remarque : de nombreux cas d'enfants devenus handicapés de façon permanente après avoir reçu simultanément un nombre de vaccins supérieur à la normale (par exemple, lors d'une consultation où ils ont également rattrapé les doses manquantes) ont été rapportés. À l'inverse, de nombreux cas ont été observés : espacer les vaccins plutôt que les administrer tous ensemble réduit le risque de réactions graves (par exemple, l'autisme) liées à la vaccination.

    RépondreSupprimer
  9. 3. Malgré des efforts incessants pour les empêcher d'apparaître, de nombreuses études rétrospectives portant sur de vastes bases de données médicales montrent que la vaccination entraîne une augmentation significative de l'incidence des maladies chroniques. Par exemple, une étude récente portant sur 99 millions de personnes a montré que les vaccins contre la COVID-19 étaient 2 à 7 fois plus susceptibles de provoquer diverses maladies potentiellement mortelles qu'un vaccin classique. Nous disposons désormais de vastes bases de données reliant les vaccins contre la COVID-19 à de nombreuses affections telles que la myocardite, les troubles cognitifs, ainsi que de nombreux troubles auto-immuns, musculo-squelettiques et psychiatriques.

    4. Il existe des mécanismes établis pour expliquer comment de nombreux vaccins différents peuvent tous causer des dommages similaires à leurs destinataires (chacun étant abordé ici).

    5. Je découvre régulièrement des pratiques médicales qui affichent de faibles taux de vaccination et des taux de maladies chroniques bien inférieurs chez leurs patients.

    6. De nombreux collègues et moi-même observons fréquemment ce que nous pensons être les effets néfastes de la vaccination chez nos patients. Remarque : Je connais personnellement de nombreux observateurs expérimentés capables d'identifier avec une grande précision les enfants non vaccinés. Les approches qu'ils utilisent sont présentées à la fin de cet article.

    Ensembles de données sur les effets nocifs des vaccins

    Malgré l'embargo sur la réalisation ou la publication d'études démontrant les effets nocifs des vaccins, quelques-unes ont néanmoins été réalisées. Voici les suivantes :

    Le Dr Paul Thomas, pédiatre en Oregon, avait un cabinet avec un grand nombre d'enfants non vaccinés ou sous-vaccinés et (comme beaucoup d'autres cabinets avec des populations de patients similaires) a constaté que les enfants non vaccinés étaient en bien meilleure santé. Il a donc décidé de comparer leurs dossiers médicaux à ceux d'enfants à vaccination variable et a publié les données dans une étude (ce qui, comme il est interdit de violer cet embargo, lui a coûté son droit d'exercer et a entraîné la rétractation de l'étude pour des raisons fallacieuses).

    RépondreSupprimer
  10. Remarque : Paul Thomas (aujourd’hui retraité et proposant des services de coaching aux parents) est également l’auteur du « Plan favorable à la vaccination », une approche de la vaccination qui encourageait l’espacement des vaccinations et a entraîné une baisse spectaculaire du taux de blessures liées aux vaccins. Comme son plan impliquait que le calendrier vaccinal actuel promu par les CDC n’était pas sûr, il n’a pas été accueilli favorablement par les autorités médicales (ce qui illustre une fois de plus les méfaits du dogme « sûr et efficace », car si les dangers étaient reconnus, beaucoup moins de personnes seraient blessées).

    Dans son étude, afin de comparer la santé de 2 763 enfants vaccinés et de 561 enfants non vaccinés nés dans son cabinet, il a représenté graphiquement le nombre total de consultations de chaque groupe pour divers problèmes à mesure que leur âge augmentait (par exemple, le nombre total de consultations pour asthme chez les enfants vaccinés âgés de 1 000 jours ou moins), puis a comparé les deux (les consultations du groupe non vacciné étant égalisées en les multipliant par 4,9 [2 763/561]). Ces données suggèrent à leur tour que les vaccinations étaient le principal agent responsable de l’épidémie de maladies chroniques dans notre société.

    - voir graph sur site -

    De même, lorsque Thomas a comparé la probabilité qu'un enfant consulte pour divers problèmes de santé, il a constaté que plus le nombre total de vaccins reçus par un enfant était élevé (ce qui variait considérablement dans son cabinet), plus il était susceptible de nécessiter une consultation pour diverses pathologies.

    - voir graph sur site -

    Remarque : la version complète de ce graphique est disponible ici. Il convient de noter que ces graphiques incluent le TDAH (qui n'a été observé chez aucun des patients non vaccinés), les troubles du comportement, les troubles de la parole, les troubles sociaux, les retards d'apprentissage et l'autisme développemental.

    Brian Hooker et Neil Miller

    Hooker et Miller ont mené une étude similaire à celle de Paul Thomas. Cependant, dans leur étude, ils ont évalué les données de trois cabinets pédiatriques différents et analysé les 2 047 enfants nés au sein du cabinet entre novembre 2005 et juin 2015 et n'ayant reçu aucun des diagnostics sélectionnés avant leur premier anniversaire. Ils ont constaté :

    - voir cadre sur site -

    Remarque : le graphique ci-dessus ne compare que les enfants de l’échantillon âgés d’au moins 5 ans. Lorsque les enfants plus jeunes ont été comparés entre eux, des augmentations plus faibles ont été observées dans les taux de chacune de ces maladies chroniques, car les effets chroniques des vaccinations répétées ont eu moins de temps pour se manifester (ce qui explique pourquoi les études sur les vaccins cessent de surveiller les effets secondaires peu après la vaccination).

    RépondreSupprimer
  11. Les différences marquées dans les taux d’effets indésirables (et l’absence de maladies chroniques dans des groupes comme les Amish, qui ne se font pas vacciner) ont également inspiré la commande de plusieurs enquêtes indépendantes visant à évaluer l’existence réelle de ce lien. Il convient également de noter qu’il existe un mécanisme viable reliant la quasi-totalité des affections mentionnées dans cette section à la vaccination.
    Remarque : j’ai reformaté la plupart des enquêtes qui suivent afin d’en faciliter la lecture.

    Enquête Génération Sauvetage de 2007

    En 2007, Génération Sauvetage (GR), une organisation qui tente d'alerter les Américains sur le risque d'autisme lié aux vaccins, a mandaté un institut de sondage indépendant (SurveyUSA) et lui a versé 200 000 dollars pour mener une enquête auprès de 17 674 enfants (dont 991 n'étaient absolument pas vaccinés). L'enquête a révélé :

    - voir cadre sur site -

    Enquête sur l'enseignement à domicile

    En 2017, une enquête a été menée auprès de mères d'enfants scolarisés à domicile en Floride, en Louisiane, au Mississippi et en Oregon, puis publiée. Étant donné le nombre important d'enfants non vaccinés scolarisés à domicile, il a été possible de comparer 261 enfants non vaccinés à 405 enfants totalement ou partiellement vaccinés. Les résultats sont les suivants :

    Remarque : les trois maladies que la vaccination était censée prévenir ayant diminué (tandis que les autres ont augmenté), ces données confirment la validité de cette enquête.

    Enquête auprès du groupe témoin

    Entre avril 2019 et juin 2020, le groupe témoin a tenté de localiser le plus grand nombre possible de personnes non vaccinées afin d'évaluer leur état de santé. Au final, 1 544 questionnaires ont été remplis (dont 1 482 provenaient des États-Unis et représentaient 48 États). Une fois ces données obtenues, elles ont été publiées dans un ensemble de graphiques de 21 pages, faciles à lire, comparant les taux de ces événements à leur fréquence générale dans la population, ainsi que dans un rapport plus détaillé de 85 pages. Comme les groupes précédents, ils ont constaté une augmentation massive des maladies chroniques après la vaccination et ont également démontré que la vaccination pendant la grossesse ou chez un nouveau-né recevant une injection de vitamine K (dont environ la moitié contient de l'aluminium) n'est pas totalement sûre.

    - voir cadre sur site -

    RépondreSupprimer
  12. De nombreux acteurs du secteur technologique pensent que la solution à tous les problèmes de l'humanité réside dans la collecte de données. Cela fait écho à la conviction du fondateur de la médecine factuelle (devenue le dogme actuel de la médecine moderne), qui affirmait qu'une pratique médicale guidée par les meilleures preuves scientifiques disponibles était essentielle, car elle éliminerait les mauvaises pratiques médicales, devenues des dogmes médicaux bien ancrés, et les remplacerait par des approches fondées sur des preuves permettant de sauver des vies.

    S'il avait raison, comme ceux de la Silicon Valley, cette approche était aussi incroyablement naïve, car elle ne tenait pas compte d'une faille évidente : l'enfouissement de toute donnée fournissant des conclusions gênantes. Ainsi, « les meilleures preuves disponibles » finissent généralement par être les preuves les mieux financées, et non les meilleures, et à ce stade, des milliers de milliards sont dépensés chaque année pour monopoliser ces preuves.

    Par exemple, nos dossiers médicaux électroniques, dans lesquels les médecins sont obligés de passer une partie importante de leur temps chaque jour à saisir des données, collectent une quantité absolument colossale de données médicales. Pourtant, malgré d'innombrables appels, nous n'exploitons presque jamais ces données pour déterminer ce qui constitue la meilleure pratique médicale (par exemple, quel médicament produit un meilleur résultat pour une maladie ou quels produits pharmaceutiques sont plus susceptibles de nuire au patient que de l'aider).

    Ce serait très facile à faire : de nombreuses personnes (dont une connaissance) ont tenté de le faire, mais ont été repoussées (par exemple, le gouvernement a abandonné en 2010 un système qui montrait que 2,6 % des personnes vaccinées avaient subi une blessure dans les 30 jours suivant la vaccination). Pour ma part, je soutiens que cela suggère que les données contenues dans ces dossiers menacent gravement l'industrie pharmaceutique et ne peuvent donc pas être divulguées.

    Ces dernières années, j'ai fait la connaissance de Steve Kirsch et je soutiens que les traits suivants le caractérisent :

    • Il a un profond désir d'aider les gens (il a par exemple fait de nombreux dons à des œuvres caritatives) et est convaincu que des données et des données scientifiques de meilleure qualité sont essentielles pour y parvenir.

    Il estime que tout doit être juste et cela le dérange vraiment que des personnes ne respectent pas les responsabilités qui leur sont confiées (par exemple, la surveillance de la sécurité des vaccins par les CDC).

    RépondreSupprimer
  13. Quand quelque chose le perturbe, il ne lâche souvent rien et s'acharne à essayer d'y remédier (comme le prouve le temps qu'il a consacré à obtenir les moindres détails des données sur les blessures liées à la COVID-19).

    Il n'hésite pas à faire des choses qu'on n'est pas censé faire ou à créer une situation inconfortable pour obtenir une chose qu'il estime importante. Cela inclut d'affronter directement des personnes qu'il juge malhonnêtes, incompétentes et prétentieuses.

    Note : Je suis sûr que beaucoup d'entre vous connaissent quelqu'un comme lui. Steve, en revanche, est unique, car je ne connais personne d'autre dans ce mouvement qui ait connu autant de succès professionnel que lui. Je lui suis donc extrêmement reconnaissant d'avoir décidé de s'attaquer à la question des vaccins, car nous attendions depuis des décennies que quelqu'un comme lui le fasse (c'est essentiellement la raison pour laquelle j'ai travaillé si dur pour le soutenir, de la même manière que nous avons aidé Ron Johnson, le premier sénateur américain de l'histoire à se battre pour la sécurité des vaccins).

    En raison de sa personnalité, Steve a eu une révélation : si personne ne nous fournit les données dont nous avons besoin sur les vaccins, je devrais les obtenir moi-même. Ainsi, au-delà de la collecte de toutes les données existantes démontrant les effets nocifs des vaccins (dont j'ai réutilisé beaucoup ici), il a également financé de nombreuses enquêtes professionnelles menées sur les vaccins contre la COVID (qui ont toutes révélé qu'entre 8,6 % et 16,4 % des personnes vaccinées contre la COVID ont subi des effets nocifs importants, un taux similaire à celui d'autres enquêtes indépendantes également menées).

    De plus, il a mis à profit son large public pour mener de nombreuses enquêtes sur les effets secondaires des vaccins. Si les premières portaient sur les vaccins contre la COVID-19, lorsqu'il a pris conscience de l'ampleur du problème, il a également choisi de faire de même pour les vaccins infantiles.

    Il a ainsi obtenu des résultats similaires à ceux des parties mentionnées précédemment. Par exemple, lors de sa première enquête auprès d'environ 10 000 personnes, il a de nouveau démontré la relation dose-réponse entre la vaccination et les maladies chroniques :

    - voir graph sur site -

    Récemment, Kirsch a mené une enquête plus vaste auprès d'environ 13 000 personnes, dont les résultats étaient similaires à ceux de sa précédente enquête et de celles mentionnées ci-dessus.

    - voir cadre sur site -

    RépondreSupprimer
  14. Remarque : Steve Kirsch m'a laissé examiner en détail ses données brutes et a récemment fait appel à un statisticien externe pour évaluer et confirmer la validité des données de l'enquête susmentionnée.

    Nous espérons que ces données choquantes éclaireront le contexte de l'opposition farouche de nombreuses personnes à la vaccination et expliqueront pourquoi il existe un embargo aussi strict sur la divulgation de ces données. Au lieu de cela, nous avons laissé entrer sur le marché un nombre toujours croissant de vaccins, ce qui nous a obligés à dépenser des milliards de dollars chaque année pour « traiter » les complications de ces vaccins.

    Ce qu'il est le plus important de comprendre à propos de ces statistiques, c'est qu'elles ne représentent que la partie émergée de l'iceberg, car les enquêteurs ne recherchaient que les affections faciles à observer et les plus manifestement liées à la vaccination (les « réactions significatives »), de la même manière que les études vaccinales conventionnelles n'évaluent que quelques affections « rares » liées à la vaccination. Ceci, à son tour, reflète un principe fondamental de la toxicologie : les réactions extrêmes à une toxine (mort subite) sont beaucoup plus rares que les réactions mineures.

    - voir graph sur site -

    Dans la section suivante, nous examinerons le milieu de cette courbe en cloche : les réactions modérées, rarement liées à la vaccination.

    Une caractéristique remarquable de l'encéphalite, qu'elle soit d'origine épidémique ou due à une maladie infectieuse, un traumatisme ou une vaccination, réside dans la grande diversité de ses symptômes physiques, neurologiques, mentaux et émotionnels, puisque n'importe quelle partie du système nerveux peut être affectée.

    Si l'autisme est une manifestation d'une encéphalite induite par un vaccin, les implications sont très inquiétantes. Les symptômes, qui se manifestent avec une intensité pathologique dans un petit groupe, apparaîtront nécessairement sous une forme plus légère dans une proportion beaucoup plus importante de la population.

    Remarque : dans cet article, j'ai examiné les preuves démontrant que l'autisme est une forme d'encéphalite associée à de nombreuses lésions neurologiques. Il est remarquable de constater que, si les vaccins « ne provoquent pas l'autisme », l'une des seules lésions reconnues par la loi de 1986 sur les vaccins était le ROR (le vaccin lié à l'autisme), responsable de l'encéphalite.

    RépondreSupprimer
  15. Lésions cérébrales minimales

    Le livre de 1985, DTC : Un coup de chance, est sans doute l’ouvrage le plus influent jamais écrit pour le mouvement pour la sécurité vaccinale (il a notamment mobilisé le Congrès pour qu’il prenne des mesures contre l’épidémie de morts subites et de lésions cérébrales provoquée par le vaccin DTC original). Ce que l’on sait moins, c’est qu’en 1990, l’un de ses auteurs, Harris Coulter, a publié un livre accusant les vaccins d’être responsables de l’augmentation généralisée de la criminalité qui a balayé le pays.

    Remarque : Je considère ce livre comme l’un des plus révélateurs et des plus dérangeants que j’aie jamais lus (par exemple, enfant, j’ai vu ce qu’il décrit se produire chez des personnes que je connaissais bien). Son contenu étant parfois très cru (et difficile à trouver), j’en joins un exemplaire à la fin de cet article pour ceux qui souhaiteraient le lire (ce que je vous encourage vivement à faire). Les références étant trop nombreuses pour être listées ici, veuillez consulter la bibliographie pour les trouver.

    L'auteur (qui, comme le montre sa nécrologie, était un être humain charmant et un chercheur talentueux) a soutenu dans cet ouvrage que :

    1. Nombre des complications observées après une encéphalite (par exemple, troubles des nerfs crâniens, convulsions, paralysie ou déficience intellectuelle permanente) sont également survenues après la vaccination. Il l'a démontré en compilant de nombreuses publications sur chacune d'elles, qui ont montré des chevauchements et, dans de nombreux cas, ont montré que les lésions vaccinales étaient considérées comme une « encéphalite » (ce que j'ai également fait ici).

    Ces recherches comprenaient plus de 400 références issues de la littérature scientifique (antérieures à l'existence d'Internet), 400 à 500 autres qu'il a examinées sans les citer (et qui sont parvenues à des conclusions similaires), et des entretiens avec environ 150 familles, où, dans de nombreux cas, il a pu démontrer que ces lésions cérébrales infantiles ont évolué vers une vie criminelle. Remarque : Je pense que l’« encéphalite » (ou encéphalopathie) est une combinaison d’inflammation cérébrale (l’auto-immunité est une complication fréquente de la vaccination), d’œdème cérébral, de micro-AVC dans tout le cerveau (abordés plus en détail ici) et d’une réaction cellulaire dangereuse non résolue (abordée plus en détail ici). De plus, si l’on lit la littérature médicale d’il y a environ un siècle (résumée ici), il est clair que de nombreux médecins pensaient que les vaccins provoquaient l’encéphalite, d’après les symptômes observés (et, dans de nombreux cas, les autopsies pratiquées ultérieurement).

    RépondreSupprimer
  16. 2. Si le vaccin DTC peut provoquer une « encéphalopathie aiguë » dans un petit nombre de cas (ce qui a été reconnu par l’Institute of Medicine en 1991), il doit provoquer une affection plus légère dans un plus grand nombre de cas, car les réactions d’un groupe d’individus à un stress biologique donné ne sont jamais « tout ou rien », mais s’inscrivent dans une continuité.

    Remarque : Coulter a cité de nombreux auteurs qui ont observé une courbe en cloche dans les complications post-encéphaliques.

    3. Qu’il était très facile de passer à côté de ce phénomène. Par exemple, Coulter a cité deux autorités différentes sur le sujet, qui ont déclaré :

    En réalité, il n’existe aucune corrélation entre la gravité de la maladie infectieuse et l’atteinte cérébrale. Dans de nombreux cas, même avec une maladie bénigne, de graves complications post-encéphalitiques peuvent survenir des mois, voire des années plus tard.

    Même des crises apparemment sans complications de maladies infectieuses infantiles (par exemple, la coqueluche) peuvent entraîner des lésions cérébrales, qui peuvent alors être la cause principale de troubles du comportement ultérieurs.

    Les chercheurs en épidémiologie des dommages causés par les vaccins partent invariablement du principe qu’il n’y aura pas de séquelles à long terme en l’absence de réaction aiguë grave. Nous avons accepté cette hypothèse lors de la rédaction de DTC : Une piqûre dans l’obscurité. Il était donc surprenant de constater qu’environ la moitié des nouvelles familles interrogées dans le cadre de la présente étude ne se souvenaient d’aucune réaction vaccinale marquée, même si l’enfant avait commencé à développer des symptômes d’autisme ou d’autres troubles neurologiques graves peu après l’une des injections.

    4. De nombreuses complications de l'encéphalite (par exemple, une multitude de troubles de l'apprentissage ou de maladies psychiatriques et neurologiques comme l'autisme) ont connu une augmentation spectaculaire de la fréquence de ces complications dans notre société à partir des années 1940 et 1950. Cette augmentation a coïncidé avec l'augmentation de la vaccination et des lésions vaccinales (principalement dues au DTC, le vaccin le plus souvent associé aux lésions cérébrales) et a pu être directement observée à mesure que ces enfants grandissaient. Par exemple :

    RépondreSupprimer
  17. Rimland et Larson ont attiré l'attention sur « la corrélation frappante, presque symétrique, à partir de 1963 environ, entre les courbes montrant la baisse des scores au SAT et la recrudescence des crimes violents [souvent de nature psychotique] », suggérant « l'existence d'un ou plusieurs facteurs de causalité communs ».

    Le contraste entre cette époque et aujourd'hui a été souligné dans un rapport de 1987 sur la discipline scolaire du Commissaire aux droits de l'homme du New Jersey. Dans les années 1940, les problèmes scolaires les plus fréquents étaient : parler, mâcher du chewing-gum, faire du bruit, courir dans les couloirs, sortir de la file d'attente, porter des vêtements inappropriés et ne pas jeter de papier dans les corbeilles à papier. Dans les années 1980, il s'agissait de : toxicomanie et alcoolisme, viol, vol, agression, cambriolage, incendie criminel, attentats à la bombe, meurtre, absentéisme, vandalisme, extorsion, guerre des gangs, avortement et maladies vénériennes.

    Le taux d'homicides a doublé entre 1960 et 1980, passant de quatre à huit pour 100 000 habitants, pour un total de plus de 20 000 en 1987, ce qui place les États-Unis au premier rang des pays industrialisés pour le taux d'homicides. La plus forte augmentation a eu lieu entre 1960 et 1970.

    Un sondage Washington Post-ABC News de 1987 a fait une découverte curieuse : 16 % des Américains de moins de trente ans sont gauchers ou ambidextres [une conséquence fréquente de l'encéphalite], contre seulement 12 % des plus de soixante ans. Une autre enquête récente a révélé une disparité encore plus grande : 13 % des vingtenaires étaient gauchers, contre 5 % des quinquagénaires.

    5. L'autisme (une affection qui survient après la vaccination et qui est apparue après la mise sur le marché du vaccin DTC) est étroitement associé à de nombreuses conséquences de l'encéphalite (par exemple, déficience cognitive et paralysie des nerfs crâniens).

    6. Le fait que les comportements sociopathiques observés se concentrent au sein des familles reflète la sensibilité observée aux blessures vaccinales. De même, Coulter a suggéré que la sensibilité accrue des Afro-Américains aux blessures vaccinales (la meilleure illustration étant la décision tristement célèbre des CDC d'enterrer les données montrant que les vaccins provoquaient l'autisme chez les garçons noirs) pourrait expliquer les schémas sociaux observés au sein de cette population.
    Remarque : dans un article récent, j'ai expliqué que certains patients (par exemple, ceux souffrant d'hypermobilité) sont également beaucoup plus sensibles aux blessures vaccinales.

    RépondreSupprimer
  18. 7. L'Association américaine de psychiatrie a créé une variété de pathologies, couvrant des lésions cérébrales allant de légères à graves, se manifestant par des troubles du comportement (par exemple, lésions cérébrales minimes, trouble oppositionnel avec provocation, trouble des conduites, sociopathie). Coulter a souligné qu'avec l'explosion de l'encéphalite DPT aux États-Unis, la profession psychiatrique a tenté à maintes reprises de manipuler la population en imputant la responsabilité à des conflits psychologiques non résolus ou à une mauvaise éducation, plutôt que de proposer des traitements dont les médecins holistiques avaient toujours démontré l'efficacité. À ma connaissance, cette manipulation psychologique a perduré jusqu'à l'arrivée sur le marché de nouveaux médicaments psychiatriques (par exemple, les antidépresseurs, pourtant désastreux), date à laquelle la psychiatrie s'est tournée vers la prescription massive de ces produits lucratifs aux patients post-encéphalitiques. Remarque : il s’agit d’une tendance persistante depuis les premiers cas de Freud, il y a plus d’un siècle, qui attribuaient à tort les symptômes d’une intoxication au mercure à des problèmes sexuels non résolus.

    8. Dans les années 1950, une affection appelée « lésion cérébrale minimale » (LCM) a été inventée (se caractérisant par l’hyperactivité), qui est rapidement devenue « peut-être le problème le plus courant et certainement l’un des plus chronophages de la pratique pédiatrique actuelle ». Les symptômes de la LCM (tels que définis par le Service de santé publique américain et l’Association américaine de psychiatrie) présentent un chevauchement important avec ceux observés après une encéphalite, des lésions du DPT et ceux associés à l’autisme.

    En 1928, un médecin britannique a noté que « les changements de moralité et de caractère » chez les patients ayant souffert d’une encéphalite révèlent une « étrange uniformité ». Cette même « étrange uniformité » caractérise les autistes, les personnes présentant des lésions cérébrales minimales et les sociopathes.

    Cette encéphalite peut transformer une fille ou un garçon doux en un monstre intellectuel, tourmenté et cruel. Un enfant auparavant responsable peut être transformé au point de paraître une personne différente… cruelle, destructrice, abusive, indécente.

    Remarque : à titre de précision, les enfants autistes ne présentent généralement pas de comportements cruels ou sadiques (car ce n’est qu’une des conséquences possibles d’une lésion cérébrale). Cependant, ils partagent de nombreux autres traits observés chez les personnes post-encéphalitiques.

    9. L’encéphalite a eu de nombreuses conséquences. Nombre d’entre elles étaient subtiles et ont insidieusement altéré la personnalité de l’enfant, le rendant généralement hyperactif, hypersexuel, moins empathique et généralement mal à l’aise dans son environnement. Nombre de ces traits ont également été observés chez les criminels violents et les enfants perturbateurs (qui sont souvent devenus des criminels violents).

    RépondreSupprimer
  19. 10. Coulter a ensuite recueilli de nombreux cas de criminels violents et sociopathes, démontrant qu'ils présentaient bon nombre des mêmes symptômes (par exemple, des troubles des nerfs crâniens) observés chez les victimes d'encéphalite (qu'elle soit due à une vaccination ou à une infection naturelle). Il a notamment analysé en détail des criminels notoires correspondant parfaitement au profil post-encéphalitique, comme Ted Bundy.

    11. Coulter a également fourni de nombreuses statistiques et études montrant que les criminels violents présentaient des taux nettement plus élevés de lésions cérébrales et de dysfonctionnements neurologiques. Nombre des études citées (par exemple, l'une des 321 personnes extrêmement violentes a montré que 90 à 100 % d'entre elles présentaient un dysfonctionnement cérébral démontrable) ont constaté que ces anomalies étaient 5 à 10 fois plus fréquentes que dans la population générale.
    Remarque : les associations présentées dans les articles compilés par Coulter sont également corroborées par la recherche moderne et sont donc généralement acceptées. De plus, des recherches plus récentes, rendues possibles par l'IRM fonctionnelle, montrent que les criminels violents ou sociopathes présentent souvent des lésions cérébrales importantes et sont dépourvus des fonctions normales (par exemple, l'empathie) dont disposent les autres humains. Ce livre audio et les articles de recherche publiés par son auteur illustrent en grande partie ce phénomène.

    12. Coulter a cité de nombreuses statistiques montrant qu'une petite minorité de la population était à l'origine de la majorité des crimes violents, et des preuves montrant que les crimes commis après le DPT étaient souvent beaucoup plus brutaux et sociopathes.

    Les traits communément associés aux troubles musculo-squelettiques (TMS) étaient les suivants :
    Remarque : ces traits étaient également fréquemment observés comme des conséquences de l'encéphalite et souvent regroupés. De plus, on sait maintenant que bon nombre d'entre eux sont plus fréquents chez les criminels violents.

    Hyperactivité (de loin le trait le plus fréquemment associé aux TMS).

    Remarque : il existe une association bien connue entre l'hyperactivité et la consommation de stimulants ou les crimes violents. De nombreux auteurs (par exemple, le psychiatre Gabor Maté) ont à leur tour soutenu que de nombreuses personnes deviennent toxicomanes parce qu’elles souffrent d’un TDAH non traité (que nous traitons généralement avec des amphétamines pharmaceutiques – qui malheureusement, comme les antidépresseurs ISRS, peuvent provoquer une psychose violente).

    RépondreSupprimer
  20. • Consommation fréquente de drogues et d'alcool.

    • Hypersexualité. Cette sexualité était souvent détachée de tout lien avec l'autre et donnait parfois lieu à divers fétiches ou préférences sexuelles inhabituels.
    Remarque : cela va de pair avec l'émoussement émotionnel fréquemment observé après une encéphalite. De plus, l'un des types de démence les plus courants (résultant d'une mauvaise circulation sanguine cérébrale) se caractérise par un comportement hypersexuel.

    • Sentiment d'être dépassé par son environnement et de ne pas le contrôler.

    • Difficultés à organiser ses pensées ou à se souvenir de ses expériences passées.
    Remarque : cela inclut un affaiblissement de l'affect au souvenir de comportements passés douteux, une incapacité à ressentir de l'empathie pour les personnes affectées et, dans de nombreux cas recensés par Coulter, une amnésie complète.

    • Une capacité d'attention très limitée (et paradoxalement, dans quelques cas, une capacité d'attention obsessionnelle et très excessive).

    • Impulsivité et accès de violence (tant dus à des facteurs de stress externes qu'internes, comme un violent mal de tête).

    • Maux de tête (pouvant parfois nécessiter de se cogner la tête contre un mur).

    • Forte incidence de troubles convulsifs : épilepsie, tics, tremblements, mouvements choréiformes (torsions), grimaces, spasmes infantiles, etc. On a également observé fréquemment des signes évidents (par exemple, anomalies de l'EEG) et des signes subtils (par exemple, manque de coordination) de ces troubles.

    • Bien que certains enfants atteints de MBD aient une intelligence supérieure à la moyenne, leur QI était en moyenne inférieur à la moyenne.

    • Énurésie nocturne pendant l'enfance, généralement associée à un trouble du sommeil (se manifestant souvent par des grincements de dents, des sueurs nocturnes, des cauchemars et des terreurs nocturnes). Parfois, elle s'accompagne également d'une perte du contrôle intestinal (par exemple, ectoprésie).

    • Mauvaise coordination visuo-motrice, maladresse et manque de grâce dans les mouvements (par exemple, « diminution de la capacité à sauter et tendance à marcher sur la pointe des pieds »).

    • Diminution de la sensibilité aux stimuli externes douloureux.

    • Gaucher ou ambidextrie.
    Remarque : Je connais de nombreuses personnes atteintes de lésions du DPT qui ont connu ce problème.

    RépondreSupprimer
  21. • Divers troubles du traitement de l'information. Parmi ceux-ci figurent la dyslexie (difficulté à lire), la dysgraphie (difficulté à écrire), la dyscalculie (difficulté à compter), les troubles de la parole (par exemple, bégaiement), la difficulté à parler ou le mutisme, les troubles auditifs (par exemple, incoordination audiomotrice, imperceptions ou déficits auditifs, trouble du développement du langage réceptif, perte auditive des hautes fréquences ou hypersensibilité aux sons).
    Remarque : les troubles perceptifs s'accompagnaient souvent d'une difficulté à distinguer la gauche de la droite ou le haut du bas.

    • Somnolence excessive et un large éventail de troubles du sommeil (y compris de nouveaux troubles du sommeil que la communauté médicale n’avait pas observés auparavant, tels que le « syndrome de retard de phase du sommeil », une condition dans laquelle on ne peut s’endormir avant 3 ou 4 heures du matin).

    • Allergies alimentaires fréquentes (accompagnées d'une aggravation du comportement suite à la consommation de ces aliments).
    Remarque : d'autres maladies neurologiques (par exemple, la schizophrénie et l'autisme) ont également été observées avec l'élimination complète d'allergènes comme le gluten de l'alimentation.

    • Troubles de l'appétit (par exemple, anorexie ou boulimie). Il a été constaté que cette complication de l'encéphalite touchait beaucoup plus fréquemment les femmes, tandis que l'hyperactivité touchait plus fréquemment les hommes.

    • Un fort désir d'écouter de la musique en raison de la rythmicité et de la stabilité qu'elle procure.

    • Être très perturbateur et violent dès le plus jeune âge.

    Remarque : dans la seconde partie de cette série (à lire ici), j'aborde les changements de personnalité qui affectent spécifiquement les relations humaines (par exemple, la capacité à se connecter émotionnellement à son partenaire ou à son identité de genre), car il semble y avoir un effet assez profond, corroboré par des données réelles.

    Une société vaccinée

    Si l'on suppose que la thèse de Coulter est correcte, les implications sont inquiétantes, et de nombreux lecteurs ici présents (qui ont reconnu avoir été témoins de ce que j'ai décrit dans leur propre vie) ont ressenti la même chose.

    Comme il y aurait tant à dire sur ce sujet, je ne partagerai que quelques-unes de mes réflexions les plus pertinentes.

    RépondreSupprimer
  22. • Comme beaucoup d'entre vous, je rencontre souvent des personnes qui se demandent : « Pourquoi faut-il que vous soyez si difficiles ?» Comprendre les manifestations de l'encéphalite vaccinale m'a permis de passer d'une frustration face à leur comportement à une grande compassion pour elles. De même, cela m'a permis de comprendre plus facilement comment interagir efficacement avec elles, car je peux identifier leurs ratés cérébraux et les contourner.

    • Nombre des changements cognitifs décrits chez les patients post-encéphalitiques reflètent parfaitement les frustrations courantes des femmes face aux hommes qui ne parviennent pas à établir de lien émotionnel avec elles. Cela m'a fait prendre conscience que le programme de vaccination a probablement profondément modifié la dynamique amoureuse aux États-Unis. D'après les questions que j'ai posées jusqu'à présent, mes lecteurs plus âgés, témoins de ce changement, s'accordent à dire que c'est probablement un problème. Par exemple :

    J'ai ensuite mené un sondage (auprès d'un lectorat beaucoup plus restreint à l'époque) qui a révélé :

    • Je pense que la violation la plus grave de l'éthique médicale est que le médicament nuise à des personnes qui n'ont jamais consenti à le prendre. C'est pourquoi j'ai accordé une attention particulière à la fois à la dissémination du vaccin contre la COVID-19 et à la tendance fréquente des antidépresseurs ISRS à provoquer des épisodes de violence de masse (par exemple, des fusillades dans les écoles).

    • Ce concept bouleverse profondément les conceptions libérales et conservatrices de la justice pénale.

    • On observe depuis longtemps que la qualité de l'éducation américaine a fortement décliné (par exemple, les matières enseignées en 4e année étaient plus difficiles que celles enseignées aujourd'hui à l'université). J'ai longtemps pensé que cela était dû à une gestion déplorable de l'éducation, évoluant vers un modèle axé sur le profit (la rétention des élèves), mais après avoir pris connaissance de l'hypothèse de Coulter, j'ai réalisé qu'il pourrait aussi s'agir d'un symptôme du déclin généralisé des fonctions cognitives, engendré par la vaccination de masse et la nécessité pour les écoles de s'y adapter. Cela pourrait également être intentionnel, car trop de personnes intelligentes et mentalement saines menaceraient toute structure de pouvoir oppressive, ce qui reflète ce qu'un médecin, formé par le Dr Robert S. Mendelsohn (pédiatre renommé et l'un des dissidents les plus influents contre le cartel médical), m'a confié :

    RépondreSupprimer
  23. Mendelsohn m'a confié que, lors de sa nomination comme directeur médical du service de consultation médicale du Projet Head Start en 1968, il avait été horrifié par les discussions privées tenues à la Maison-Blanche avec ses collègues médecins. Ils discutaient ouvertement de la manière dont ils pourraient contrôler les populations pauvres en promouvant les laits infantiles, les vaccinations, les pratiques sadiques d'accouchement à l'hôpital, les écoles publiques défaillantes et les cliniques d'avortement de quartier. C'était une atteinte flagrante à sa foi juive profonde et à son serment d'Hippocrate.

    • Il n'y a actuellement aucune raison de mettre un terme à cette pratique, car la vente de traitements contre ces maladies (souvent très nocives) peut rapporter beaucoup d'argent, alors que si l'erreur est un jour reconnue, beaucoup trop de personnes ont trop à perdre. C'est pourquoi nous continuons à subir des tragédies vaccinales de plus en plus graves dans le monde.

    • Toutes les données présentées ici montrent pourquoi l'ACIP a non seulement l'obligation morale, mais aussi l'obligation sociétale de déterminer si les vaccins qu'elle approuve sont suffisamment bénéfiques et nécessaires pour compenser les dommages réels que chacun peut causer, d'autant plus qu'ils sont administrés de plus en plus souvent successivement. Autrement dit, je suis convaincu que si tous les vaccins étaient interdits, l'état de santé général et le taux de morbidité dans le pays diminueraient considérablement, même si certaines maladies évitables par la vaccination augmentaient. C'est pourquoi, si la vaccination de masse se poursuit, elle doit être limitée aux maladies pour lesquelles les arguments en faveur existent (que j'ai examinées ici), plutôt qu'à celles pour lesquelles les inconvénients d'un vaccin (lucratif) dépassent largement ses bénéfices potentiels.

    Remarque : bien que cette position soit controversée, je suis favorable à une forme d’amnistie pour le cartel des vaccins. Je pense que c’est la seule solution, à moins d’une révolution, qui les inciterait à cesser de financer le trafic de vaccins. Sans cela, prouver que les vaccins sont « sûrs et efficaces » est une véritable bataille à mort.

    Signes subtils de dommages causés par les vaccins

    Lorsque j’ai débuté dans le domaine médical, divers médecins holistiques (et autres guérisseurs) m’ont dit qu’ils pouvaient généralement déterminer si un enfant avait été vacciné. Bien que je pense que cela soit souvent possible, cela nécessite l’utilisation de divers signes plus subtils avec lesquels la plupart des gens ne seraient pas d’accord (à l’exception, par exemple, des parents qui ont remarqué un changement chez leur enfant après la vaccination).

    Remarque : dès que l’on commence à percevoir les lésions vaccinales et l’apparence choquée ou traumatisée de nombreux nourrissons, la situation devient vraiment déprimante (alors que les gens sont souvent attirés par les bébés non vaccinés et soulignent leur dynamisme).

    De nombreuses personnes m’ont demandé quels étaient les signes de lésions vaccinales. La difficulté réside dans le fait que les lésions subtiles sont nettement plus fréquentes que les lésions graves (les réactions aux toxines ayant tendance à suivre une courbe en cloche, les réactions les plus graves étant les plus rares). Ainsi, les signes les plus subtils sont plus difficiles à reconnaître (ou à prouver qu’ils résultent de la vaccination), mais sont de loin les plus fréquents.

    RépondreSupprimer

  24. Parmi les signes les plus courants que nous utilisons, on trouve :

    • Une nouvelle affection apparaissant peu après la vaccination et connue pour être liée à la vaccination (par exemple, celles mentionnées dans les enquêtes ci-dessus, comme les convulsions ou l’autisme). Souvent, ces lésions se forment de manière assez constante (par exemple, elles sont précédées de fortes fièvres et de pleurs immédiatement après la vaccination).

    • Modifications manifestes des nerfs crâniens (par exemple, perte de fluidité des yeux ou asymétrie des muscles faciaux).
    Remarque : j’explique ici comment les micro-AVC induits par les vaccins peuvent fréquemment provoquer ce phénomène.

    • Modification subtile du fonctionnement de l’un des nerfs crâniens (dont beaucoup sont détaillés dans l’ouvrage de Coulter ci-dessous et dans la compilation antérieure de Wilson sur les catastrophes vaccinales oubliées du premier siècle).
    Remarque : si vous vous entraînez à les repérer, ils deviennent de plus en plus évidents à mesure que vous êtes capable de remarquer un dysfonctionnement ou un raté provoqué par un processus neurologique (par exemple, les yeux perdent leur fluidité et sursautent lorsqu’ils se déplacent latéralement).

    • Modifications cognitives et neurologiques manifestes (plus rares) ou subtiles (plus fréquentes) pouvant indiquer une inflammation ou une lésion cérébrale. Tout comme les modifications des nerfs crâniens, elles sont également abordées dans l’ouvrage de Wilson et Coulter (ci-dessous).

    Outre ces changements, il existe des changements « spirituels » plus subtils, parmi les plus fréquemment observés (et que nombre de mes collègues utilisent par défaut pour identifier les blessures liées aux vaccins). Étant donné que ces signes, bien que très apparents, sont de nature « spirituelle », j'ai hésité à en discuter, et j'ai finalement estimé qu'il était nécessaire de le faire devant un public restreint.

    https://www.midwesterndoctor.com/p/how-much-damage-has-mass-vaccination

    RépondreSupprimer
  25. Au Royaume-Uni, les institutions qui s'opposent à l'euthanasie risquent leur survie


    le 16 juin 2025 - 15:20


    Alors que les modalités du Terminally Ill Adults Bill – la loi sur l'aide active à mourir au Royaume-Uni – sont encore débattue à la Chambre des communes, 347 médecins, dont 124 spécialistes en soins de fin de vie, ont interpellé le ministre de la Santé. Ils demandent que les établissements refusant de pratiquer l’aide médicale à mourir ne soient pas privés de leur financement public.

    Le projet de loi autorise les patients en fin de vie à demander une aide au suicide, sous certaines conditions strictes. Si le texte prévoit une clause de conscience pour les professionnels de santé, il n’offre aucun filet de sécurité aux hospices ou aux EHPADs. En d'autres termes, les individus peuvent s'opposer, mais pas les institutions auxquelles ils appartiennent.

    Un angle mort législatif qui inquiète le secteur. « Nous ne voulons pas tuer nos patients, ni qu’ils vivent dans la peur que nous le fassions », écrivent les signataires dans une lettre à Wes Streeting. Dans The Telegraph, l’exemple canadien est cité en guise d’avertissement : un hospice de Colombie-Britannique a dû fermer ses portes après le retrait de 1,1 million de livres de subventions pour avoir refusé l’euthanasie.

    Déjà fragilisé par un sous-financement chronique — un tiers de leurs ressources seulement provient de l’État —, le secteur des soins palliatifs craint un exode de ses professionnels. « Cette loi va contraindre des soignants à choisir entre leur conscience et leur poste », alerte Dr Gillian Wright, porte-parole du collectif Our Duty of Care. La Commission des enfants, elle, s’inquiète d’un effet domino : « Les adolescents craignent que la loi n’évolue vers une extension aux mineurs, comme cela se discute au Canada », a déclaré Dame Rachel De Souza.

    En fin de compte, si le projet vise à offrir un choix aux mourants, il semble par là même en refuser un aux vivants chargés de les accompagner.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/au-royaume-uni-les-institutions-qui-s-opposent-l-euthanasie-risquent-leur-survie

    RépondreSupprimer
  26. Une étude en prépublication alerte sur les effets neuropsychiatriques des vaccins à ARNm contre le COVID-19


    Le Collectif Citoyen, France-Soir
    le 15 juin 2025 - 12:00


    Une étude scientifique récente, publiée sur Preprints.org le 14 avril 2025, met en lumière des signaux de sécurité préoccupants concernant les vaccins à ARNm contre le COVID-19. Intitulée « Association entre la vaccination contre la COVID-19 et les affections neuropsychiatriques » (Thorp & al.), cette recherche explore les liens potentiels entre ces vaccins et une série de troubles neuropsychiatriques graves, incluant des troubles cognitifs, psychiatriques, ainsi que des comportements suicidaires et homicides. Ces résultats, basés sur une analyse des données du Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) des institutions américaines FDA/CDC, soulèvent des questions cruciales sur les impacts à long terme de ces vaccins sur la santé mentale et cognitive. Une autre étude de l’Université de Yale, publiée en février 2025 sur MedRxiv évoquait ces préoccupations en démontrant que la protéine spike persiste jusqu’à 709 jours après l’injection chez certains vaccinés, remettant en question les assurances initiales sur la rapidité de son élimination.

    Contexte et méthodologie

    L'étude de Thorp et al. se concentre sur la capacité des vaccins à ARNm, notamment ceux de Pfizer-BioNTech et Moderna, à traverser la barrière hémato-encéphalique grâce à leur technologie de nanoparticules lipidiques (LNP). Cette propriété, conçue pour optimiser la distribution des vaccins, pourrait entraîner des effets secondaires neurologiques imprévus, une hypothèse corroborée par l’étude de Yale qui identifie une production prolongée de la protéine Spike dans les tissus. Les auteurs ont interrogé la base de données VAERS sur une période s'étendant de janvier 1990 à décembre 2024, en se concentrant sur les effets indésirables (EI) neuropsychiatriques signalés après la vaccination contre le COVID-19, comparés à ceux des vaccins contre la grippe et à l'ensemble d'autres vaccins.

    - voir cadre sur site -

    Les effets indésirables ont été classés en trois catégories principales, définies par les termes de bas niveau (LLT) du Dictionnaire médical pour les activités de réglementation (MedDRA) :

    47 troubles neuropsychiatriques liés à la cognition (ex. : brouillard cérébral, démence, hémorragie cérébrale).
    28 troubles neuropsychiatriques généraux (ex. : psychose, anxiété, schizophrénie).
    11 troubles liés aux comportements suicidaires et homicides (ex. : idéation suicidaire, agression).
    Les ratios de signalement proportionnels (PRR) ont été calculés pour comparer les EI des vaccins COVID-19 à ceux des vaccins contre la grippe et d'autres vaccins. Selon les normes des CDC/FDA, un PRR ≥ 2 indique un signal de sécurité préoccupant.

    RépondreSupprimer
  27. Résultats alarmants

    Les résultats de l'étude de Thorp et al. révèlent des signaux de sécurité significatifs pour les trois catégories étudiées, avec des PRR largement supérieurs au seuil de 2. Voici un aperçu des conclusions clés :

    Troubles cognitifs : ces troubles ont une occurrence de signalement 115 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. Par rapport à tous les autres vaccins, l'occurrence de signalement est 26,8 fois plus élevée. Parmi les troubles spécifiques, les PRR les plus élevés incluent :

    Troubles 1

    - voir cadre sur site -

    Troubles psychiatriques généraux : ces troubles ont une occurrence de signalement 118 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. En comparaison à tous les autres vaccins, l'occurrence de signalement est 28,6 fois plus élevée. Voilà les rations pour les troubles spécifiques rapportés :

    - voir cadre sur site -

    Troubles 3

    Troubles suicidaires et homicides: ces troubles ont une occurrence de signalement 80 fois plus élevée par comparaison avec le vaccin contre la grippe. En comparaison à tous les autres vaccins, l'occurrence de signalement est 14 fois plus élevée. Parmi les troubles spécifiques :

    Troubles 2

    Ces chiffres indiquent une augmentation significative des risques neuropsychiatriques associés aux vaccins COVID-19 par rapport aux autres vaccins, avec des Z-scores élevés suggérant une improbabilité statistique que ces associations soient dues au hasard. L’étude de Yale, en montrant une persistance de la protéine SPIKE jusqu’à 709 jours, suggère que ces effets pourraient être liés à une exposition chronique à cette protéine neurotoxique, renforçant les inquiétudes soulevées par Thorp et al.

    Mécanismes biologiques potentiels

    L'étude de Thorp et al. avance plusieurs hypothèses pour expliquer ces effets dont les effets ont été décrits dans l’étude publiée en 2023 par Lesgards, Cerdan, McCullough et al. « Toxicité de la protéine SPIKE du SARS-CoV-2 issue du virus et produite par les vaccins à ARNm ou à ADN adénoviral contre la COVID-19 ». Lesgards et al. écrivait :

    RépondreSupprimer
  28. « Les maladies neurodégénératives dans la population mondiale doivent être surveillées de près en ce qui concerne les patients atteints de COVID long ainsi que les effets secondaires à long terme de la vaccination contre la COVID-19…. De plus, la protéine SPIKE du SARS-CoV-2 et du vaccin induit une diminution de la sérotonine en mobilisant l'ACE2, ce qui aggrave ou peut provoquer des états dépressifs ou même suicidaires… Cela montre que des symptômes identiques à ceux de la COVID-19 peuvent apparaître et n'ont été déclenchés que par la protéine spike. Il est probable que la maladie chronique caractérisée par la fatigue et les symptômes neuropsychiatriques, appelée COVID longue et lésions graves du SNC, pourrait être induite par l'activité microgliale et l'inflammation des astrocytes induites par la protéine spike du SARS-CoV-2 ainsi que par la protéine spike produite par le vaccin. »

    Thorp et al décrivent que les vaccins à ARNm codent pour la protéine spike, connue pour traverser la barrière hémato-encéphalique et provoquer des dommages vasculaires. Cette protéine, hautement inflammatoire, pourrait induire une production chronique de cytokines, contribuant à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Creutzfeldt-Jakob (CJD). Lesgards et al. l’avaient décrit, l’étude de Yale corrobore cette idée en identifiant une présence prolongée de la protéine spike dans les tissus, ce qui pourrait expliquer les effets neuropsychiatriques persistants. Des études antérieures, comme celle de Perez et al. (2023), ont rapporté 26 cas de CJD diagnostiqués en 2021, avec des symptômes apparaissant en moyenne 11,38 jours après une injection de vaccin COVID-19. De plus, la présence de régions prionogènes dans la protéine spike, comme décrit par Tetz et Tetz (2022), pourrait favoriser des maladies à prions.

    Un autre mécanisme concerne l'épuisement énergétique cellulaire induit par la production prolongée de la protéine spike, pouvant perturber le repliement des protéines et favoriser des maladies comme le CJD. Des études récentes, telles que celle d'Ota et al. (2025), ont également documenté la persistance de l'ARNm et de la protéine spike dans les artères cérébrales jusqu'à 17 mois après la vaccination, augmentant le risque de troubles thrombotiques cérébraux.

    RépondreSupprimer
  29. Réactions et contexte plus large

    Les résultats de ces études ont suscité des réactions vives sur les réseaux sociaux, notamment sur X. Un post de Nic Hulscher souligne que plus de 70 % de la population mondiale a reçu au moins une dose de vaccin COVID-19, suggérant que ces vaccins neurotoxiques pourraient expliquer en partie une montée des troubles civils et psychiatriques depuis 2020. Il évoque aussi un « effondrement du bon sens » et des comportements irrationnels, liant ces phénomènes aux effets neuropsychiatriques des vaccins tels qu'ils ont été décrits par Lesgards et al.

    L'article de The Focal Points qualifie ces résultats de « catastrophiques », mettant en avant des PRR extrêmes, comme cette probabilité 3000 fois plus élevée de thrombose du sinus veineux cérébral. Il souligne également les implications sociétales, suggérant que les troubles neuropsychiatriques induits pourraient avoir contribué à des comportements sociaux erratiques observés ces dernières années.

    En France, un sondage réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens (vague mars 2025, échantillon de 1200 personnes représentatif) corrobore ces préoccupations. Parmi les résultats marquants, 71 % des Français estiment que le confinement et l'incertitude ont entraîné de nombreuses personnes dans la dépression, tandis que 49 % rapportent que leurs proches ont souffert d'effets secondaires de la vaccination contre le COVID-19. De plus, 8 % des personnes interrogées ont consulté pour des troubles dépressifs post-vaccination, un phénomène qui pourrait expliquer la hausse récente de l'usage des neuroleptiques. Ces données soulignent une perception croissante des risques vaccinaux et des conséquences psychologiques et physiques dans la population française.

    En 2025, la santé mentale a été déclarée grande cause nationale en France, face à une crise marquée par 25 % des salariés souffrants d’une mauvaise santé mentale (CRAMIF, 2025) et 15 % des Français confrontés à des troubles psychiques (OMS, 2021). Pourtant, l’absence de prise en compte de l’étude Thorp et al., qui alerte sur les liens entre vaccination et troubles neuropsychiatriques, soulève des questions. Cette omission pourrait refléter une réticence à remettre en cause les politiques vaccinales passées, malgré les signaux d’alarme et les données du sondage France-Soir/BonSens.org indiquant potentiellement 4,51 millions d’effets indésirables, dont des troubles dépressifs affectant environ 4 millions de personnes.

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  30. Cette dissonance entre la reconnaissance de la crise de santé mentale et l’ignorance d’études critiques pourrait miner la confiance publique et retarder des mesures adaptées.

    Limites et controverses

    L'étude de Thorp et al. reconnaît plusieurs limites, notamment celles inhérentes au système VAERS. Ce dernier ne permet pas de comparer les EI à une population non vaccinée, et il est estimé que seulement 1 % des effets indésirables sont rapportés. De plus, comparer les vaccins COVID-19 à d'autres vaccins, eux-mêmes non dénués de risques, peut introduire un biais. Enfin, l'absence d'analyses prospectives limite la capacité à établir une causalité définitive. Ces études, bien que prometteuses, restent des prépublications non revues par des pairs, ce qui nécessite une prudence dans son interprétation.

    Les auteurs critiquent également les efforts de certaines institutions, comme le Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, pour discréditer VAERS, notant des conflits d’intérêts financiers avec des agences gouvernementales comme le NIH et le CDC. Ils soulignent que des données accablantes, telles que le rapport post-commercialisation de Pfizer (2021) documentant 42 086 EI, dont 1 223 décès, ont été dissimulées pendant des années.

    Conclusion et implications

    Cette étude met en évidence des signaux de sécurité alarmants concernant les vaccins à ARNm contre la COVID-19, avec des risques significativement accrus de troubles neuropsychiatriques, incluant la démence, la psychose, et les comportements suicidaires ou homicides. Ces résultats, corroborés par l’étude de Yale sur la persistance de la protéine spike et par des données françaises, appellent à une réévaluation urgente de l’innocuité de ces vaccins. La hausse des troubles dépressifs (8 % des consultations) et l’augmentation potentielle de l’usage des neuroleptiques, combinées à l’accord massif (71 %) sur l’impact dépressif du confinement et de l’incertitude, suggèrent un effet cumulatif des politiques de santé publique sur la santé mentale.

    En France, alors que la santé mentale est une grande cause nationale en 2025, l’absence de considération pour l’étude Thorp et al. est troublante. Cette omission pourrait indiquer une priorité donnée à la cohérence politique plutôt qu’à une analyse indépendante des risques, surtout face à des données suggérant 4,51 millions d’effets secondaires. Les auteurs concluent en demandant un moratoire mondial immédiat sur leur utilisation, plaidant pour des études approfondies sur les impacts à long terme, notamment sur la santé maternelle, fœtale, cognitive et sexuelle des populations vaccinées.

    RépondreSupprimer
  31. Alors que la controverse autour des vaccins COVID-19 continue de croître, ces études renforcent les appels à une transparence accrue et à une surveillance rigoureuse des effets secondaires, tout en mettant en lumière les défis systémiques dans la gestion des données de pharmacovigilance par les autorités sanitaires.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/une-etude-alarmante-sur-les-effets-neuropsychiatriques-des-vaccins-arnm-contre-le

    RépondreSupprimer
  32. En Espagne, les débats sur le nucléaire relancés depuis la panne électrique


    le 16 juin 2025 - 15:00


    Les géants de l’électricité espagnole Iberdrola et Endesa rêvent d’un sursis nucléaire. Vendredi, ils ont adressé une lettre au ministère de la Transition écologique pour suggérer un décalage de la fermeture de plusieurs centrales, dont Almaraz, la plus puissante du pays, prévue pour 2028.

    Présenté comme une "intention" et non une demande officielle, ce geste relance le débat sur l’avenir de l’atome en Espagne. Il faut dire que la panne électrique majeure du 28 avril, qui a plongé une large partie de la péninsule ibérique dans le noir, a offert un argument en or aux partisans du nucléaire. Ceux-ci alertent depuis des mois sur les risques d’un retrait trop rapide du parc atomique. Et voilà qu’Iberdrola et Endesa, initialement signataires du plan de sortie adopté en 2019, reviennent sur leurs engagements. Selon l'AFP, le gouvernement n’a pas encore tranché : "La sécurité, l’approvisionnement et le coût pour les citoyens" restent les trois conditions non négociables pour réévaluer ce calendrier.

    Naturgy, autre copropriétaire d’Almaraz, n’a pas signé la lettre. Sans consensus entre les exploitants, aucune révision n’est envisageable. Le gouvernement Sánchez, grand promoteur des énergies renouvelables, accepte d’écouter, mais refuse d’ouvrir les vannes du nucléaire à ses frais : si prolongation il y a, ce sera à condition que les groupes concernés assument la facture.

    À l’heure où le mix énergétique espagnol dépend encore à 20 % du nucléaire, et où les énergies renouvelables ne couvrent pas toujours les besoins, ce débat illustre un dilemme bien européen : comment se passer du nucléaire sans risquer la bougie ?

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/en-espagne-les-debats-sur-le-nucleaire-relances-depuis-la-panne-electrique

    RépondreSupprimer
  33. Superproduction : Mark Carney, le banquier zéro émission en personne, utilise désormais le pétrole et le gaz pour faire du Canada une superpuissance énergétique


    Par Jo Nova
    June 17th, 2025


    Revirement sismique : la neutralité carbone se défait en temps réel

    Mark Carney, récemment élu premier ministre du Canada, était lui-même le banquier zéro émission. Autrefois gouverneur de la Banque d’Angleterre, il était si passionné par la sauvegarde de la planète qu’il a créé un cartel de banquiers appelé la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ). Depuis 2021, c’est le trou noir qui a aspiré les politiques énergétiques nationales. À un moment donné, tous les banquiers de la GFANZ géraient au total 130 000 milliards de dollars d’actifs – un billion avec un T –, ce qui signifie que le montant était cinq fois supérieur à celui de l’économie américaine. Comme si cela ne suffisait pas, ils étaient de mèche avec l'ONU et agissaient comme un quasi-gouvernement mondial, fixant des objectifs et des règles et donnant des ordres aux démocraties en boycottant les prêts aux compagnies pétrolières et gazières légales. Les GFANZ ont finalement été neutralisés par 19 États républicains américains, qui ont lancé des salves de lois antitrust et de devoirs fiduciaires.

    Le nouveau Mark Carney semble trouver Donald Trump plus effrayant que le changement climatique.
    Oubliez la sixième extinction massive, Mark Carney veut maintenant que le Canada extraie davantage de pétrole et de gaz pour ne pas avoir à les acheter aux États-Unis. L'important n'est pas de savoir si ses arrière-petits-enfants seront victimes d'une catastrophe, mais de savoir s'il pourra gagner une guerre commerciale avec Donald Trump et l'empêcher de voler l'Alberta :

    Merci à @NetZeroWatch

    Mark Carney, de guerrier écologiste à champion du pétrole et du gaz
    Par Johnathon Leake, The Telegraph (Royaume-Uni)

    Autrefois considéré comme le gouverneur le plus vert de l'histoire de la Banque d'Angleterre, Mark Carney semble avoir connu une conversion radicale.

    Lors de son mandat à Threadneedle Street, il a appelé le monde à laisser 80 % du pétrole et du gaz dans le sol.

    RépondreSupprimer
  34. Mais maintenant, en tant que nouveau premier ministre du Canada, il veut injecter le plus d'énergie possible pour protéger l'économie du pays de la guerre commerciale de Donald Trump.

    Le Canada va devenir une puissance énergétique, a déclaré M. Carney aux journalistes la semaine dernière…

    Mark Carney a été nommé premier ministre à la mi-mars, mais face aux élections, le premier projet de loi qu'il a signé visait à supprimer la taxe sur le carbone, un sujet sur lequel le chef de l'opposition, Pierre Poilievre, avait fait campagne avec acharnement. Pendant ce temps, l'Alberta, la « locomotive » énergétique du Canada, parlait de faire sécession en cas de victoire, excédée par toutes les règles sur le carbone et la « négligence libérale ». Mais soudain, Carney a promis de construire des oléoducs et des gazoducs, d'aménager des terminaux d'exportation de GNL et de lever les restrictions sur les émissions de dioxyde de carbone. Tous les discours de Trump sur le fait que le Canada devienne le 51e État et l'imposition de tarifs douaniers ont peut-être fait disparaître la taxe carbone et permis la construction de nouveaux gazoducs et ports pour le Canada.

    MISE À JOUR : Il ne s'agit pas d'un cas de syndrome de dérangement de Trump. Trump représente une réelle menace (pour l'illusion écologiste prétentieuse du Canada). Carney est un homme intelligent (il est égoïste, au service de la pléiade de banquiers de l'ONU, mais il n'est pas stupide). Trump a lâché la bombe tarifaire sur l'économie canadienne ; il a perçu la faiblesse de la position canadienne et a haussé la barre. Trump a les cartes en main. Carney sait qu'il doit rendre le Canada plus autonome. Paradoxalement, Carney doit se comporter comme Trump, et non comme un banquier écologiste, sinon Trump pourrait faire exploser l'économie canadienne et même diviser le pays en deux. Si l'Alberta quitte le Canada, d'importantes ressources s'envoleront, et peut-être aussi la Colombie-Britannique, la Saskatchewan et le Manitoba.

    Anthony Albanese n'est pas si futé. Mais s'il l'était, il suivrait de près la situation canadienne. Trump s'apprête à souligner la dépendance totale de l'Australie envers les États-Unis.

    Étonnant ce que Donald Trump peut accomplir :

    Le Canada va accélérer les projets de construction nationale pour contrer Trump
    Par Nadine Yousif, BBC News

    Le Premier ministre canadien Mark Carney a déclaré que son gouvernement allait commencer à faire adopter des lois visant à accélérer le lancement de projets nationaux ambitieux afin de stimuler l'économie canadienne, désormais confrontée aux tarifs douaniers de Donald Trump.

    Carney a déclaré que son plan consistait à réduire la liste des projets dits de « construction nationale » – comme les pipelines, les réacteurs nucléaires et les corridors commerciaux – et à créer un cadre permettant leur approbation en moins de deux ans.

    Apparemment, les grands gazoducs sont désormais acceptables, il suffit de prononcer le mot magique : « captage du carbone ».

    MISE À JOUR : De toute évidence, le terme futile et inutile de « captage du carbone » n’est qu’une couverture marketing pour masquer le changement radical de cap de Mark Carney. Carney ne se soucie plus du gaz carbonique, et ne s’en est probablement jamais soucié (il aurait fait la promotion de l’énergie nucléaire s’il s’en souciait). Pour l’instant, il joue au poker contre Trump, mais il a besoin de faux-semblants pour faire croire qu’il ne s’agit pas d’une capitulation totale et de la fin du fantasme vert. Carney ne fait que distribuer des miettes de pain aux serfs écologistes, afin qu’ils ne se révoltent pas.

    RépondreSupprimer
  35. MISE À JOUR : De toute évidence, la « capture du carbone », futile et inutile, n’est qu’un prétexte marketing pour masquer le changement radical de cap de Mark Carney. Carney se fiche complètement du gaz carbonique, et ne s’en est probablement jamais soucié (il aurait fait la promotion de l’énergie nucléaire s’il s’en était soucié). Pour l’instant, il joue au poker contre Trump, mais il a besoin de faux-semblants pour faire croire qu’il ne s’agit pas d’une capitulation totale et de la fin du fantasme vert. Carney ne fait que distribuer des miettes de pain aux serfs écologistes, afin qu’ils ne se révoltent pas.

    Carney ouvert à un nouvel oléoduc canadien lié à la capture du carbone
    Bloomberg, 3 juin 2025

    Mark Carney a déclaré qu’il voyait une opportunité pour le Canada de construire un nouvel oléoduc afin d’acheminer davantage de pétrole vers les marchés étrangers, si cela était associé à des milliards d’investissements verts visant à réduire l’empreinte environnementale de l’industrie.

    Carney a déclaré que le Canada cherchait toujours à apaiser les tensions commerciales avec le président américain Donald Trump, mais qu'en attendant, il devait supprimer les barrières commerciales internes et construire des projets d'envergure nationale afin de prendre les choses en main.

    « Nous serons une superpuissance en matière d'énergie sous toutes ses formes », a déclaré le premier ministre de l'Ontario, Doug Ford, dans son allocution. « C'est notre objectif aujourd'hui : nous assurer de mettre en place de grands projets d'infrastructures nationaux qui profiteront à tous les Canadiens, d'un océan à l'autre. »

    L'équipe de Bloomberg, qui a mis en avant le captage du carbone dans le titre, n'en a pas parlé dans l'article. Chut ! Les médias sociaux aident Mark Carney à prétendre que les oléoducs et les gazoducs peuvent être écologiques.

    Les États-Unis sont actuellement le premier producteur mondial de pétrole, avec 44 milliards de barils de réserves. Étonnamment, le Canada en possède quatre fois plus, soit 171 milliards de barils de réserves récupérables, selon le Telegraph. C'est incroyable à quel point les pays riches peuvent être stupides – de laisser, comme le dit le premier ministre de l'Alberta, « 9 000 milliards de dollars de richesse pétrolière dans le sol » ?

    RépondreSupprimer
  36. En parlant de stupidité, l'ironie la plus grande et la plus triste est peut-être que Mark Carney était autrefois le gouverneur écologiste extrémiste de la Banque d'Angleterre. Et pendant son mandat, il a contribué à enfermer le Royaume-Uni dans les marchés du carbone et les transitions énergétiques qui paralysent encore son économie. Trump peut-il aussi sauver le Royaume-Uni ?

    https://joannenova.com.au/2025/06/blockbuster-mark-carney-mr-net-zero-banker-himself-now-uses-oil-gas-to-make-canada-an-energy-superpower/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. En terme de jeu de cartes le 'montre-moi tes cartes' serait 'un peu désapproprié' ! Pourtant, sur la table 'des négociations' ! les concurrents/adversaires/ennemis, bref, le Peuple veut savoir. Savoir quelles cartes sont en votre main à ce jeu de hasard. Et là, le faux partenaires qui a misé gros sur sa possibilité de remporter la manche (parce qu'il aurait des sous dans les tiroirs de ses poches intérieures), fait valoir le 'Maastricht de Barcelone' que le troupeau l'aurait dans le cul !

      Or, si l'on s'en réfère à la réalité scientifique de la vérité absolue, le gaz carbonique (comme tous autres gaz) sort à la surface des mers & océans par la remontée de la combustion de la masse ferrique aux planchers maritimes & océaniques, le mensonges des 'dirigeants' ne peut qu'être une escroquerie !

      Supprimer
  37. Les prix de l'électricité s'effondrent en Allemagne – Prix négatifs de l'électricité : désormais cinq heures par jour


    17 Juin 2025
    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*


    Les prix de l'électricité chutent violemment. Aussi bien à la bourse de l'électricité que pour les nouveaux clients. La raison en est l'augmentation massive des jours où les prix de l'électricité sont négatifs. Rien qu'au cours des 6 derniers jours, les prix de l'électricité à la bourse de l'électricité ont été négatifs pendant 36 heures.

    Les prix de l'électricité baissent violemment. Pas seulement à la bourse de l'électricité, mais aussi pour les nouveaux clients. La raison en est l'accumulation massive de prix négatifs de l'électricité. Rien qu'au cours des six derniers jours [l'article d'origine est du 14 mai 2025], les prix de l'électricité à la bourse ont été négatifs pendant 36 heures.

    Actuellement, l'électricité coûte 26 centimes/kWh pour un nouveau contrat, soit presque 3 centimes de moins qu'en avril, où 29 centimes étaient demandés.

    Les prix de l'électricité chutent violemment. Aussi bien à la bourse de l'électricité que pour les nouveaux clients. La raison en est l'augmentation massive des jours où les prix de l'électricité sont négatifs. Rien qu'au cours des six derniers jours, les prix de l'électricité à la bourse de l'électricité ont été négatifs pendant 36 heures. Aujourd'hui encore (14 mai), des prix négatifs sont attendus à la bourse de l'électricité de 11h00 à 16h00. Le point le plus bas se situe aujourd'hui à moins 3,2 centimes/kWh.

    Dimanche dernier (11 mai), les prix de l'électricité sur le marché day-ahead ont même chuté jusqu'à moins 250 euros/MWh ou moins 25 centimes/kWh. Parallèlement, les prix de l'électricité sont restés négatifs pendant 9 heures dimanche.

    Si on se penche sur la production d'électricité, on comprend pourquoi les prix de l'électricité baissent actuellement si fortement. La production d'électricité solaire a récemment augmenté de manière spectaculaire avec les journées ensoleillées et de plus en plus longues, et a été la plupart du temps supérieure à l'ensemble de la production d'électricité conventionnelle.

    En conséquence, la production d'électricité à midi est toujours supérieure à la consommation. Les producteurs d'électricité déboursent alors de l'argent à la bourse de l'électricité pour l'électricité qu'ils fournissent et les acheteurs d'électricité reçoivent de l'argent pour l'électricité qu'ils achètent. C'est le cas tous les jours depuis le 9 mai. Aujourd'hui, c'est également le cas de 11h00 à 16h00 (prix négatifs de l'électricité). Cette évolution se reflète désormais également dans les prix de l'électricité pour les nouveaux clients.

    RépondreSupprimer
  38. Le marché à terme indique des prix de l'électricité très bas pour l'avenir

    Aujourd'hui encore (14 mai), des prix négatifs de l'électricité sont attendus à la bourse de l'électricité de 11h00 à 16h00. Le point le plus bas se situe aujourd'hui à moins 3,2 centimes/kWh.

    Les prix négatifs de l'électricité exercent également une forte pression sur les prix de l'électricité pour les nouveaux clients. Rien qu'au cours des derniers jours, les prix de l'électricité pour les nouveaux clients ont baissé de 1 centime. Depuis avril, les prix de l'électricité pour les nouveaux clients ont même baissé de 3 centimes. Actuellement, l'électricité coûte 26 centimes/KWh pour un nouveau contrat, soit presque 3 centimes de moins qu'en avril, où le prix était de 29 centimes.

    Et l'accumulation des prix négatifs de l'électricité continue de faire pression sur les prix pour les nouveaux clients. La perspective d'une nouvelle baisse des prix de l'électricité est donc très bonne. Sur le marché à terme de l'électricité, les prévisions de prix pour les semaines et mois à venir restent en effet également très basses. C'est qu'une grande partie du commerce de l'électricité ne se déroule pas sur le marché spot, mais sur le marché à terme EEX.

    Sur le marché à terme EEX, les entreprises productrices d'électricité et les négociants en électricité ont pu s'assurer pour le mois de mai des prix de l'électricité autour de 70 euros/MWh. Cela représente 7,0 centimes/KWh, hors taxes et redevances. Pour les deux mois à venir, juin et juillet, les prix se situent actuellement entre 76 et 81 euros/MWh, soit près de 8 centimes/kWh.

    Il s'agit de prix nettement inférieurs à ceux des premiers mois de l'année, lorsque les prix du marché spot pour les acheteurs d'électricité se situaient entre 10 et 14 centimes/kWh. Les prix de l'électricité à court terme continueront de fluctuer fortement en raison des conditions météorologiques, mais les nombreuses heures où les prix du marché spot sont négatifs devraient également entraîner une baisse des tarifs pour les nouveaux clients.

    La bourse de l'électricité indique également des prix en baisse à court terme. Par exemple, les prix du marché à terme pour le 18 mai à la bourse de l'électricité tombent en dessous de 5 centimes/kwh – jusqu'à 4,5 centimes (donc un jour avec beaucoup d'heures négatives). De bonnes perspectives donc pour les entreprises de distribution d'électricité, qui peuvent s'approvisionner à bas prix, et pour les clients, qui peuvent compter sur une nouvelle baisse des prix pour les nouveaux clients.

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/les-prix-de-l-electricite-s-effondrent-en-allemagne-prix-negatifs-de-l-electricite-desormais-cinq-heures-par-jour.html

    RépondreSupprimer
  39. L’Italie reconnaît avoir perdu près de 200 milliards d’euros à cause des sanctions contre la Russie. Et la France ???


    le 16 juin 2025
    par pgibertie


    Plus de trois ans après le début du conflit, le bilan des sanctions imposées par l’Occident à la Russie est mitigé : l’Italie et l’Europe sont contraintes de faire face à des factures énergétiques explosées, des chaînes d’approvisionnement rompues et un commerce international en difficulté. Mais la guerre continue.

    Si en 2021 le Fonds monétaire international prévoyait une croissance annuelle de 3,8 % pour l’économie mondiale, ce chiffre est aujourd’hui tombé à 3,3 %, l’UE étant la plus durement touchée : +1,6 % contre +2,6 % attendus. Ce ralentissement n’est pas dû au hasard. Derrière ces chiffres se cachent la crise énergétique qui a fait tripler les prix de l’électricité à l’automne 2022, le resserrement monétaire le plus agressif de l’histoire de l’euro, la BCE ayant relevé ses taux de 400 points de base en un an (même s’ils ont été abaissés à 2 % l’année dernière), et l’effondrement des exportations vers la Russie et l’Allemagne, cette dernière étant entrée en récession précisément en raison de sa dépendance au gaz de Moscou. Néanmoins, le commissaire européen à l’Économie, Valdis Dombrovskis, a récemment déclaré qu’en matière de sanctions, « on aurait pu faire davantage ».

    Pour l’Italie, la facture s’élève à 171,4 milliards d’euros entre 2022 et 2024, soit 2,9 % du PIB annuel. Un chiffre qui inclut les 16,6 milliards d’euros de pertes d’exportations vers la Russie et l’Ukraine, les 22,9 milliards de pertes commerciales avec l’Allemagne et les 76,3 milliards de hausses de coûts des importations énergétiques. Pourtant, malgré ce tsunami, notre pays a fait preuve d’une meilleure résilience que des partenaires comme la France et l’Allemagne, avec une croissance de 3,2 % entre 2021 et 2024. Grâce à un système de production diversifié, capable de mieux absorber les chocs, mais aussi à une douloureuse prise de conscience : la mondialisation n’est plus un jeu à somme positive.

    Les sanctions ont créé un embargo asymétrique, avec un blocus plus sévère sur les importations en provenance de Russie (91,2 milliards d’euros, dont 68 % de pétrole, de charbon et de gaz) que sur les exportations vers Moscou (48 % de pétrole, de charbon et de gaz).

    ( L’UE entend en effet frapper les secteurs qui financent la guerre. L’effet ? Le prix du pétrole brut russe (Oural) a chuté, mais les exportations totales de Moscou n’ont diminué que de 12 % grâce au pivot vers la Chine et l’Inde.

    RépondreSupprimer
  40. Récession et flambée des prix de l’énergie — les conséquences des sanctions anti-russes pour l’Italie, — Il Giornale

    ◾️ 171,4 milliards d’euros , soit 2,9 % du PIB annuel, représentent les pertes de l’Italie dues aux sanctions anti-russes au cours de la période 2022-2024 , indique le journal italien Il Giornale

    ◾️Le montant des pertes indiqué comprend :
    —76,3 milliards d’euros payés en trop pour des ressources énergétiques plus chères
    —22,9 milliards d’euros de pertes commerciales avec l’Allemagne, qui a également souffert des sanctions contre la Russie
    —16,6 milliards d’euros de pertes dues à la baisse des exportations vers la Russie et l’Ukraine

    ◾️« Les résultats des sanctions occidentales contre la Russie sont mitigés . L’Italie et l’Europe souffrent de la flambée des prix de l’énergie, de la perturbation des chaînes d’approvisionnement et du déclin du commerce international… La Russie a réorienté ses flux énergétiques vers la Chine et l’Inde », souligne Il Giornale.

    - voir docs sur site -

    https://ilgiornale.it/news/bilancio-tre-anni-embargo-verso-mosca-economia-recessione-e-2494090.html

    https://pgibertie.com/2025/06/16/litalie-reconnait-avoir-perdu-pres-de-200-milliards-deuros-a-cause-des-sanctions-contre-la-russie-et-la-france/

    RépondreSupprimer
  41. Les escrologistes en révaient , Bayrou nomme secrétaire à la planification écologique un admirateur de Piolle, de Tondelier et fils de sa défunte copine. Bruno tu deviens vert


    le 17 juin 2025
    par pgibertie


    Augustin Augier succèdera à Antoine Pellion à la tête du secrétariat général à la planification écologique (SGPE), ont confirmé deux sources gouvernementales.

    Ce proche de François Bayrou — il est le fils de Marielle de Sarnez, cofondatrice du MoDem disparue en 2021 — est engagé à gauche : il fut notamment le bras droit de Marine Tondelier en tant que délégué général des Ecologistes jusqu’à l’été dernier. Il a également dirigé la campagne d’Eric Piolle lors de la primaire du parti pour l’élection présidentielle de 2022.

    Emmanuel Macron était réticent à l’idée de le nommer, Augustin Augier a depuis le départ les faveurs de François Bayrou, qui avait proposé qu’un jury départage les différents candidats. Celui-ci s’est tenu il y a un mois.

    Le secrétariat général à la planification écologique participe sous l’autorité du Premier ministre à la mise en œuvre la planification définie en 2023

    Il aura pour mission de dessiner des stratégies de transition pour la France (en termes de climat, de biodiversité…), et de veiller à leur mise en œuvre par les différents ministères.

    https://pgibertie.com/2025/06/17/les-escrologistes-en-revaient-bayrou-nomme-secretaire-a-la-planification-ecologique-un-admirateur-de-piolle-de-tondelier-et-fils-de-sa-defunte-copine-bruno-tu-deviens-vert/

    RépondreSupprimer
  42. Une recherche révèle que Cry1Ab tue les ravageurs par deux voies ; accroître la durabilité des protéines antiparasitaires dans les cultures génétiquement modifiées


    17 Juin 2025
    Université de l'Arizona*


    Dans des dizaines de pays, les agriculteurs ont adopté des cultures modifiées génétiquement pour produire des protéines issues de la bactérie Bacillus thuringiensis (Bt) qui tuent certains ravageurs importants tout en étant sans danger pour l'homme et la faune. Bien que cette approche biotechnologique réduise la dépendance à l'égard des pulvérisations d'insecticides, offrant ainsi des avantages économiques et environnementaux, la résistance aux cultures Bt s'est développée chez au moins 11 espèces de ravageurs. Il est donc urgent de trouver des moyens efficaces pour lutter contre cette résistance des ravageurs.

    Une étude publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences identifie une stratégie naturelle pour contrecarrer la résistance des ravageurs aux protéines Bt. Des chercheurs de l'Université de l'Arizona et de l'Université Agricole de Nanjing ont découvert qu'une protéine Bt tue l'un des ravageurs des cultures les plus nuisibles au monde par deux voies différentes.

    « L'efficacité de la protéine est donc plus durable, car même si le ravageur bloque une voie, l'autre voie reste mortelle et le ravageur n'est pas résistant tant que les deux voies ne sont pas désarmées », explique M. Bruce Tabashnik, l'un des auteurs de l'étude et directeur du Département d'Entomologie de l'Université de l'Arizona.

    Les enseignements tirés de la désactivation des récepteurs Bt chez la pyrale asiatique du maïs

    Pour tuer les insectes nuisibles, les protéines Bt doivent être ingérées et se lier à des récepteurs spécifiques dans la paroi de l'intestin. L'homme et les autres animaux n'ayant pas de tels récepteurs, ils ne sont pas affectés par les protéines Bt. Mais comme pour les germes pathogènes et les antibiotiques, les parasites peuvent développer une résistance aux protéines Bt.

    Le mécanisme le plus courant et le plus puissant de la résistance au Bt implique des changements dans les récepteurs qui réduisent ou éliminent leur liaison aux protéines Bt. Trois des récepteurs impliqués dans de nombreux cas de résistance au Bt sont des protéines intestinales appelées ABCC2, ABCC3 et cadhérine.

    RépondreSupprimer
  43. L'équipe de scientifiques a utilisé l'édition de gènes pour désactiver ABCC2, ABCC3 et cadhérine chez les chenilles de la pyrale asiatique du maïs (Ostrinia furnacalis), le principal ravageur du maïs en Chine et dans d'autres pays d'Asie.

    Ils ont déterminé comment la désactivation des trois récepteurs, seuls ou par paires, affecte les réponses du ravageur aux protéines Bt Cry1Ab et Cry1Fa, largement utilisées dans le maïs Bt qui cible la pyrale du maïs et d'autres lépidoptères ravageurs.

    Les chercheurs ont découvert que Cry1Ab tue les chenilles par deux voies toxiques différentes. L'une d'elles nécessite l'ABCC2, tandis que l'autre requiert la cadhérine et l'ABCC3. Cela signifie que si une mutation chez le parasite bloque une voie, l'autre voie peut encore porter un coup mortel. Ce n'est que lorsque les deux voies sont bloquées que le parasite devient résistant.

    Ce « système de secours » pour Cry1Ab rend l'évolution de la résistance beaucoup plus difficile, car le parasite a besoin de mutations inactivant simultanément deux voies distinctes pour survivre.

    Cry1Fa, en revanche, n'utilise qu'une seule voie, celle de l'ABCC2. Si cette voie est bloquée, le parasite survit à l'exposition à Cry1Fa. Ainsi, une seule mutation du parasite perturbant ABCC2 peut le rendre très résistant à Cry1Fa.

    Pour vérifier les prédictions des résultats résumés ci-dessus, les scientifiques ont fait l'expérience inverse en modifiant une lignée cellulaire d'un autre lépidoptère ravageur (la chenille légionnaire d'automne) pour produire les récepteurs de la pyrale asiatique du maïs.

    Les résultats obtenus avec les cellules modifiées confirment les conclusions tirées des chenilles dont les récepteurs sont désactivés. Par exemple, alors que les cellules non modifiées n'ont pas été tuées par Cry1Ab ou Cry1Fa, les cellules modifiées pour produire ABCC2 ont été tuées par les deux protéines Bt, ce qui confirme la conclusion selon laquelle ABCC2 offre une voie toxique pour ces deux protéines.

    De même, les cellules modifiées pour produire la cadhérine et l'ABCC3 étaient sensibles à Cry1Ab mais pas à Cry1Fa. Comme on pouvait s'y attendre, cette modification a fourni la deuxième voie pour Cry1Ab, qui n'existe pas pour Cry1Fa.

    Solution potentielle à un mystère concernant un ravageur important en Amérique du Nord et en Europe

    Les nouveaux résultats obtenus avec la pyrale asiatique du maïs pourraient permettre d'élucider une tendance jusqu'ici inexpliquée observée chez son proche parent qui est un ravageur important en Amérique du Nord et en Europe, la pyrale du maïs (Ostrinia nubilalis).

    RépondreSupprimer
  44. En laboratoire et sur le terrain, la pyrale du maïs a développé une résistance plus lente à Cry1Ab qu'à Cry1Fa. Par exemple, au Canada, la résistance pratique réduisant l'efficacité du maïs Bt contre ce ravageur dans les champs n'était pas visible après 21 ans d'exposition au maïs Bt produisant Cry1Ab, alors que la résistance pratique a été documentée pour la première fois après seulement 12 ans d'exposition au maïs Bt produisant Cry1Fa.

    Une explication plausible est que, comme la pyrale asiatique du maïs, la pyrale du maïs européenne présente deux voies toxiques pour Cry1Ab mais une seule pour Cry1Fa. Cette idée pourrait être testée directement en menant le même type d'expériences avec la pyrale européenne du maïs que celles utilisées pour analyser la pyrale asiatique du maïs.

    Implications pour l'amélioration de la durabilité

    « La redondance fonctionnelle, c'est-à-dire l'utilisation de plusieurs voies toxiques par une seule protéine Bt, ne se limite pas à Cry1Ab et à la pyrale asiatique du maïs : elle se produit également avec d'autres protéines Bt et d'autres grands lépidoptères ravageurs », a relevé M. Tabashnik.

    « Cette stratégie naturelle visant à retarder la résistance des ravageurs pourrait être exploitée pour améliorer la durabilité en recherchant des protéines Bt naturelles ou en concevant de nouvelles protéines Bt qui s'attaquent aux ravageurs par des voies multiples. »

    Plus d'informations : Wu, Yidong et al., Functional redundancy in the toxic pathway of Bt protein Cry1Ab, but not Cry1Fa, against the Asian corn borer, Proceedings of the National Academy of Sciences (2025). DOI : 10.1073/pnas.2503674122

    Informations sur la revue : Proceedings of the National Academy of Sciences

    _______________

    * Source : Study cracks code for increasing sustainability of pest-killing proteins in genetically engineered crops

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/une-recherche-revele-que-cry1ab-tue-les-ravageurs-par-deux-voies-accroitre-la-durabilite-des-proteines-antiparasitaires-dans-les-cultures-genetiquement-modifiees.html

    RépondreSupprimer
  45. Le gouvernement entend faire passer son PPE débile et rétablir les ZFE Sardine Rousseau en a rêvé, Bayrou et Retailleau le font ! Bruno réveille toi, tu es devenu tout vert


    le 15 juin 2025
    par pgibertie


    ALERTE AUX #GUEUX

    @FerracciMarc +gouvernement veulent faire passer en force la

    @PPE3 dont l’examen débute DEMAIN à l’

    @AssembleeNat . Nous appelons TOUS LES #deputes à VOUS protéger en votant l’amendement de

    @jeromenury .

    Le député macroniste Roland Lescure l’avoue à l’instant sur France 3, les ZFE ne seront pas supprimés, et ils seront revotés. Cela passera quoi qu’il en coûte. Elle est belle la démocratie en république.

    Et le #28juin le mouvement social démarre avec les #gueux de la mer et de la terre : #paysans & #pêcheursartisans … et les #maires !

    L’amendement « #PPEdesGueux » pour sauver votre #factureselectricite piloté par le député

    @jeromenury est le suivant : « I. – À compter de la promulgation de la présente loi, il est instauré un moratoire sur l’instruction, l’autorisation et la mise en service de tout nouveau projet d’installation de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent éolien, terrestre ou maritime, ainsi que l’énergie solaire photovoltaïque, à l’exception des projets ayant déjà reçu une autorisation administrative préalable à cette date. Ce moratoire restera en vigueur pendant toute la durée nécessaire à la réalisation d’une étude objective » C’est une cause nationale qui dépasse nos divisions légitimes. C’est la cause des #gueux ! Les députés qui le refuseront seront comptables devant le peuple de l’avoir rançonné, appauvri, au profit de grands groupes

    https://pgibertie.com/2025/06/15/le-gouvernement-entend-faire-passer-son-ppe-debile-et-retablir-les-zfe-sardine-rousseau-en-a-reve-bayrou-et-retailleau-le-font-bruno-reveille-toi-tu-es-devenu-tout-ver

    RépondreSupprimer
  46. « Pas de leçon d'écologie à recevoir » ?


    15 Juin 2025


    Philippe Charlez* Capture Macron Voici un rappel des faits, certes partiel, qui serait salutaire s'il suscitait une réflexion chez le destinataire. Vous avez déclaré, Monsieur le Président Emmanuel Macron, « n’avoir pas de leçon d'écologie à recevoir de qui que ce soit ». Je pense que votre politique depuis 2017 démontre le contraire. Vous n’avez s

    Voici un rappel des faits, certes partiel, qui serait salutaire s'il suscitait une réflexion chez le destinataire.

    Vous avez déclaré, Monsieur le Président Emmanuel Macron, « n’avoir pas de leçon d'écologie à recevoir de qui que ce soit ». Je pense que votre politique depuis 2017 démontre le contraire.

    Vous n’avez semble-t-il pas compris que la politique environnementale en général, énergétique en particulier, est celle du temps long. Un temps long totalement incompatible avec la politique « girouette » qui est devenue votre marque de fabrique.

    👉 Oserais-je vous rappeler qu’en 2017 votre programme reposait sur la fermeture de 14 réacteurs nucléaires à l’horizon 2025, cela pour plaire au ministre Hulot que vous aviez nommé pour des raisons purement politiques : faire passer une politique économique libérale (que j’approuvais) nécessitait des concessions à votre aile gauche ? Vous avez donc fermé Fessenheim, mais aussi arrêté Astrid un projet porteur qui, compte tenu de sa technologie, pouvait à moyen terme procurer à la France une quasi-souveraineté énergétique.

    👉 Dois-je vous rappeler que c'est sous la pression de M. Hulot que vous avez fait voter une loi interdisant d'explorer les possibles ressources d'hydrocarbures se trouvant dans le sous-sol de Guyane alors que ses deux voisins sont en train d'exploiter les leurs avec gourmandise ?

    👉 Dois-je vous remémorer qu’en 2022, tout en clamant que vous n’aviez pas changé d’avis, vous avez fait un virage à 180 degrés : de la fermeture de 14 réacteurs, nous sommes passés au grand carénage des réacteurs existants et à la construction de 14 nouveaux réacteurs ? Mais, dans ce même discours vous nous avez proposé un programme totalement délirant de mise en œuvre des renouvelables, à savoir d’ici 2050 multiplier par dix la puissance solaire et mettre en œuvre 45 GW d’éolien marin, soit l’équivalent... de 90 parcs équivalents à celui de Saint Nazaire.

    👉 Dois-je vous rappeler que depuis 2015, la consommation d’électricité en France s’est effondrée de près de 10 % ? Pour stupidement satisfaire le diktat de Bruxelles (42,5 % d’ENR en 2030), vous êtes en train de faire payer au contribuable français des surcapacités renouvelables inutiles et très probablement à l’origine du blackout espagnol

    👉 Dois-je vous rappeler que contrairement à ce que clame votre ministre Agnès Pannier-Runacher, la baisse des émissions territoriales françaises n’est que l’image de notre désindustrialisation ? Nous ne baissons pas nos émissions, nous les exportons en désindustrialisant puis nous les réimportons sous forme de produits importés.

    RépondreSupprimer
  47. 👉 Dois-je vous rappeler que la plupart des projets verts que les contribuables français ont subventionnés (Mittal, Mac Phy, Solarwatt, Airbus des batteries...) sont en totale déconfiture, que l'industrie automobile française et ses centaines de milliers d'emplois sont en danger de mort clinique ?

    Je pense donc que dans cette matière comme dans beaucoup d'autres, vous devriez faire preuve de davantage d'humilité et ouvrir votre réflexion à ceux qui pensent différemment de votre entourage immédiat.

    Respectueusement.
    _______________

    * Philippe Charlez est Ingénieur des Mines de l'Ecole Polytechnique de Mons (Belgique) et PhD de l'Institut de Physique du Globe de Paris. Il a travaillé 43 ans dans une major pétrolière occupant des postes opérationnels et de haut management en Écosse, Angola et Kazakhstan. Philippe Charlez est reconnu comme un expert international de la transition énergétique. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur l'Energie dont « Croissance, énergie, climat. Dépasser la quadrature du cercle », « L'Utopie de la Croissance Verte » et « Les dix commandements de la transition énergétique ». Philippe Charlez enseigne à Sc Po, l'ISSEP, le CIFE, Mines Paris Tech et l'IFP. Il intervient régulièrement dans de nombreux média français comme le Figaro, le JDD et Valeurs Actuelles.

    Source : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7337739701681819648/

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/pas-de-lecon-d-ecologie-a-recevoir-philippe-charlez-capture-macron-voici-un-rappel-des-faits-certes-partiel-qui-serait-salutaire-s-il-suscitait-une-reflexion-chez-le-destinataire.vous-avez-declare-monsieur-le-president-emmanuel-macron-n-avoir-pas

    RépondreSupprimer
  48. Alpine Renault fête ses 70 ans. Retour sur l'histoire de la plus sportive des françaises


    Claude Corse pour France-Soir
    le 14 juin 2025 - 16:42


    De mémoire de marin dieppois, jamais la paisible cité du pays de Caux n’avait connu pareille agitation. On se serait crus sur la Croisette au Festival de Cannes pour les 70 ans d’Alpine Renault, célébrés au début du mois sur les pelouses du front de mer, devant la presse internationale. Les stars ? 700 Alpines rutilantes venues de toute l’Europe qui ont défilé sous les flashes devant 150 000 fans de la célèbre berlinette bien de chez nous et 100 % française, championne du monde des rallyes devant Fiat et BMW, excusez du peu, et avec J.-Y. Thérier au volant en 1973 ! La bonne année n’était pas que sur les écrans avec le film de Claude Lelouch cette année-là.

    Devant le pavillon d’honneur, caméras et micros se bousculent pour être aux premières loges. “Regarde, c’est Zizou !” “Et le jeune avec lui c’est qui ? Sais pas…” “Pierre Gasly, pilote officiel de F1 Alpine F1 team”, tonne un journaliste automobile. “Renault a mis les petits plats dans les grands cette année avec le lancement mondial de la A 390 électrique à Dieppe, berceau de la marque, qui a vu naitre la première Alpine en 1955”, ajoute-t-il. Joli symbole, mais personne n’est dupe : entre concurrence chinoise, taxes sur les importations aux USA, normes environnementales sur les énergies fossiles et scandale du tout électrique, l’avenir des bleues n’est pas tout rose…

    L’incroyable aventure solitaire de Jean Rédelé a commencé quand il était encore qu’un petit concessionnaire Renault. Pilote passionné de rallye, ce dieppois visionnaire a propulsé ses voitures poids plume au firmament de la compétition. “C’est le Bill Gates de son temps”, s’exclame sans nuance le propriétaire à peine chauvin d’une A110 GTS qu’il a choisie “bleu alpine”en souvenir des heures de gloire de la marque. “Les Ferrari sont rouges. Les Alpines sont bleues, c’est la France !”

    Notre commendatore gaulois ne pilotait pas que ses affaires en virtuose. Mordu de compétition, il adorait bidouiller ses Renault 4 CV dans son garage pour battre les Renault d’usine sur l’asphalte et la neige. Aux réglages moteur, il préférait traquer les kilos superflus sur le châssis. Une approche improbable à une époque où la puissance faisait la loi sous le capot. Héritiers du Père Jean, les ingénieurs de Renault F1 ne font pas autre chose aujourd’hui. Et quand ils l’oublient, Renault plonge au classement comme en 2024 avec une voiture bien trop lourde face à la concurrence.

    RépondreSupprimer
  49. Formule gagnante à ses débuts, même si le moteur de sa 4CV spéciale montre vite ses limites. C’est décidé : Alpine rugira français. Avec des amis carrossiers, il lance la production de la A106 en polyester et finit par convaincre le président de Renault de distribuer ses voitures dans le réseau de la régie. Il lui présentera même trois exemplaires : une bleue, une blanche, une rouge.

    Cocorico ! La saga Alpine démarre pied au plancher dès 1966. L’histoire retiendra qu’elle doit officiellement son nom aux rallyes de montagne qu’elle a remportés dans les Alpes, avec un A stylisé pour aller au sommet. Un peu de marketing ne nuit pas pour rester dans la course…

    Les ventes montent dans les tours. La folie Alpine pousse la marque au losange à ouvrir un site de production complémentaire à Thiron-Gardais en 1968. Trois ans plus tard, la petite bleue remporte le premier titre de champion international des marques en rallye. Elle entre encore un peu plus dans la légende avec le titre de champion du monde des rallyes en 1973. Le géant italien Fiat et l’Américain Ford ironisent sur l’avenir de ces frenchies inventifs qui ne sauront pas transformer l’essai en passant d’une fabrication artisanale à une production industrielle.

    Ils avaient vu juste. La même année, Renault devient l’actionnaire majoritaire. Le fondateur entre en conflit avec son désormais patron et finit par passer la main ; l’arrêt de la A610 sonne le glas de l’étoile bleue. Renault Sport veut sauver le site historique de Dieppe qui fabrique un temps le Renault Spider. Le carnet de commandes s’effondre. Le rêve Alpine tourne au cauchemar.

    La direction aurait alors pensé à fermer l’usine historique d’Alpine. “Avec 350 emplois à la clef, nous étions dos au mur”, explique un syndicaliste du site de Dieppe. “Il n’était pas question de brader le savoir faire de nos ouvriers pour réparer les erreurs de stratégie industrielle du groupe”.

    Le salut viendra d’un Pdg aux dents longues qui veut relancer le segment des véhicules haut de gamme. En 2006, Carlos Ghosn n’est pas ici l’escroc que le Japon finira par jeter en prison. Il passe pour un prophète charismatique qui croit au retour d’Alpine pour occuper ce marché stratégique des sportives haut de gamme face à la concurrence impitoyable de Porsche, BMW ou Audi. De concept cars en partenariat avec l’anglais Caterham, il donne son feu vert à la renaissance de la marque légendaire en 2016 et présente l’Alpine Vision, qui annonce l’Alpine A110, appelée à prendre le relai de la mythique Berlinette.

    RépondreSupprimer
  50. Contre toute attente, les passionnés sont au rendez-vous du lancement commercial de ce modèle au châssis ultra-léger en aluminium dans l’esprit de la marque. “Quand nous avons ouvert les réservations à la vente, se souvient un concessionnaire, les 1955 exemplaires [en référence à l’année de lancement - ndlr] ont trouvé preneurs en 48 H. Nous avons doublé les ventes en un an !”

    Pourtant, en plein Covid, le ciel se couvre devant les roues de la belle Alpine et l’orage gronde sur les falaises de Dieppe, qui ne sort plus que quatre véhicules par jour. Une rumeur tenace promet même l’arrêt des lignes de production au profit de la fabrication de batteries ou de pièces détachées pour les modèles de la nouvelle gamme électrique. Au nouveau malus écologique qui pénalise la catégorie, s’ajoute un rejet des énergies fossiles sur fond de réchauffement climatique qui impacte directement les modèles thermiques.

    Mais une Alpine en dérapage ne fait pas peur aux initiés qui font confiance à sa tenue de route légendaire. L’arrivée de l’Alpine A290 relance le marché et le Crossover A390 dévoilé en première mondiale à Dieppe à l’occasion des 70 ans d’Alpine, espère réinventer le véhicule sportif électrique avec une série de sept nouveaux modèles d’ici 2030 dont une supercar étendard de la marque.

    Quoi qu’en disent les aficionados du bleu Alpine, la marque normande reste loin derrière ses concurrents en termes de volumes de vente. La participation d’Alpine en Formule 1 suffira-t-elle à convaincre les adeptes de sportives à moteur thermique des qualités d’un modèle français électrique face à Porsche et Lotus en pariant sur une identité forte ? Rien n’est moins sûr.

    Quant à l’ouverture du marché promise par Philippe Krief, CEO Alpine, notamment sur les marchés asiatique et américain dès 2027, c’était sans compter avec les mesures protectionnistes de Trump qui rebattent les cartes de notre compétitivité à l’export. Enfin et surtout, une concurrence chinoise de plus en plus agressive soutenue par un État omniprésent, permet à BYD, Zeekr ou Nio de proposer des modèles hyper équipés à des prix défiant toute concurrence.

    RépondreSupprimer
  51. Sans doute portée par la victoire en Formule 1 des Français Esteban Ocon au Grand Prix de Hongrie 2021 et Pierre Gasly, la firme voit grand et prévoit d’augmenter ses revenus de 40 % en moyenne par an entre 2023 et 2030. L’objectif ? Atteindre la rentabilité dans trois ans et une marge d’exploitation de plus de 10 % en 2030. Le compte à rebours a commencé. De son côté, Luca de Meo annonce 150 000 unités vendus par an d'ici 2030 (moins de 4 000 véhicules actuellement) et a déclaré qu’Alpine pourrait être « potentiellement » cotée en bourse à l’avenir.

    Alpine marque mondiale ? D’ici là, après la déroute de 2024 au championnat du monde de Formule 1, l’écurie française de F1 cessera dès l’année prochaine de confier à Renault la fabrication de son moteur, qui sera désormais fourni par Mercedes, ainsi que la boite de vitesses. Loin des sommets promis par le A d’Alpine en forme de montagne, la manufacture Alpine de Dieppe Jean Rédelé aura besoin d’autres atouts que sa fabuleuse histoire pour rester en piste…

    https://www.francesoir.fr/societe-transport/alpine-renault-70-ans-et-mise-sur-le-tout-electrique-pour-survivre-alpine-enfin

    RépondreSupprimer
  52. Projections démographiques : Les pays les plus peuplés du monde d’ici 2100


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 17 JUIN 2025 - 4H10


    D’ici la fin du siècle, la démographie mondiale pourrait être radicalement différente de ce qu’elle est aujourd’hui. Si certains pays connaîtront une croissance démographique, d’autres connaîtront un déclin durable.

    S’appuyant sur les dernières données des Perspectives démographiques mondiales 2024 de l’ONU, cette infographie, réalisée par Marcus Lu de Visual Capitalist, illustre l’évolution prévue de la population des pays les plus peuplés du monde d’ici 2100.

    - voir graph sur site -

    Graphique animé : Projections démographiques jusqu’en 2100

    Ce graphique est également animé ! Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir l’évolution de ces évolutions démographiques.

    - voir clip sur site -

    Données et discussion

    Les données utilisées pour créer ce graphique sont présentées dans le tableau ci-dessous. Selon ces projections, l’Inde sera le pays le plus peuplé en 2100, suivie de la Chine, du Pakistan et du Nigéria.

    Données en millions

    Année - Inde 🇮🇳 - Chine - 🇨🇳 Pakistan - 🇵🇰 Nigéria - 🇳🇬 RDC - 🇺🇸 États-Unis - 🇨🇩 Éthiopie - 🇪🇹 Indonésie

    RépondreSupprimer
  53. 1950 342,6 539,2 35,5 36,9 12,2 153,1 17,5 68,1
    1951 350,0 548,9 36,2 37,6 12,4 155,3 17,8 69,5
    1952 357,8 558,6 37,0 38,4 12,7 157,6 18,2 71,1
    1953 366,0 571,6 37,8 39,1 12,9 160,0 18,5 72,7
    1954 374,2 583,5 38,7 39,8 13,2 162,4 18,9 74,4
    1955 383,1 596,8 39,6 40,6 13,5 164,9 19,2 76,3
    1956 392,3 610,3 40,6 41,3 13,8 167,5 19,6 78,3
    1957 401,7 622,8 41,6 42,1 14,1 170,1 20,0 80,3
    1958 410,8 637,9 42,7 42,9 14,4 172,8 20,3 82,5
    1959 420,8 650,5 43,9 43,7 14,7 175,6 20,6 84,7
    1960 430,8 654,9 45,1 44,6 15,1 178,7 21,1 87,1
    1961 441,2 654,7 46,3 45,5 15,5 181,8 21,6 89,5
    1962 451,9 656,9 47,5 46,5 15,9 185,1 22,2 92,1
    1963 462,6 673,3 48,8 47,5 16,3 188,3 22,8 94,7
    1964 473,7 695,8 50,1 48,5 16,7 191,3 23,4 97,4
    1965 484,8 713,8 51,5 49,5 17,2 194,3 24,0 100,3
    1966 495,5 733,0 52,9 50,6 17,7 197,0 24,6 102,5
    1967 506,0 751,8 54,4 51,7 18,2 199,5 25,3 105,1
    1968 517,2 770,3 56,0 52,8 18,7 201,9 26,0 107,9
    1969 528,2 791,7 57,6 54,0 19,3 204,1 26,7 111,0
    1970 539,5 812,6 59,3 55,2 19,9 206,5 27,4 114,1
    1971 552,2 834,1 61,0 56,5 20,4 209,1 28,2 117,2
    1972 564,0 854,1 62,7 57,9 21,0 211,7 29,0 120,4
    1973 577,0 873,3 64,5 59,3 21,5 214,0 29,8 123,7
    1974 590,0 891,9 66,4 60,8 22,1 216,0 30,6 126,9
    1975 604,1 908,7 68,4 62,5 22,7 218,1 31,3 130,2
    1976 618,5 923,5 70,5 64,3 23,3 220,2 32,1 133,5
    1977 633,2 937,3 72,7 66,2 23,9 222,2 33,0 136,8
    1978 648,4 949,8 75,1 68,3 24,5 224,3 33,4 140,2
    1979 663,1 962,5 77,5 70,4 25,5 226,5 34,1 143,7
    1980 679,2 976,1 80,5 72,6 26,3 228,7 34,4 147,2
    1981 695,5 990,2 84,1 74,9 27,1 231,0 34,5 150,7
    1982 711,9 1005,2 87,5 77,2 27,9 233,4 36,1 154,3
    1983 728,7 1022,0 90,7 79,5 28,8 235,8 37,3 157,8
    1984 746,0 1036,2 93,8 81,3 29,7 238,2 38,2 161,5
    1985 763,7 1051,5 96,6 83,7 30,8 240,5 39,3 165,0
    1986 781,6 1068,1 99,9 86,1 31,8 242,9 40,4 168,5
    1987 799,8 1086,4 103,3 88,4 32,8 245,1 41,7 171,8
    1988 818,1 1106,0 106,9 90,8 33,8 247,3 43,3 175,2
    1989 836,6 1124,4 110,5 93,3 34,9 249,5 45,0 178,5
    1990 855,5 1143,5 114,2 95,8 36,0 251,8 46,7 181,9
    1991 874,5 1163,6 118,2 98,4 37,3 254,9 48,5 185,1
    1992 893,4 1177,9 122,0 101,0 38,5 258,0 50,9 188,4
    1993 912,5 1191,2 125,1 103,7 39,9 261,2 52,8 191,7
    1994 931,7 1203,4 128,9 106,5 41,4 264,1 54,6 194,9
    1995 950,6 1214,6 132,6 109,4 43,9 266,9 56,6 198,2
    1996 970,0 1225,7 136,6 112,3 45,0 269,5 58,5 201,5
    1997 989,4 1236,2 140,5 115,2 45,6 272,2 60,4 204,9
    1998 1008,9 1246,1 144,5 118,3 46,5 274,8 62,4 208,2
    1999 1028,4 1255,6 148,5 121,4 48,1 277,5 64,4 211,5
    2000 1048,0 1264,7 152,6 124,7 49,7 280,1 66,4 214,6
    2001 1067,8 1274,4 157,1 128,1 51,3 282,9 68,4 217,6
    2002 1088,0 1283,0 161,4 131,6 52,9 285,7 70,5 220,6
    2003 1107,2 1290,7 165,0 135,3 54,6 288,5 72,7 223,6
    2004 1126,4 1298,3 169,2 139,1 56,1 291,3 74,9 226,5
    2005 1145,6 1305,9 173,4 143,0 57,9 294,2 77,2 229,3
    2006 1163,7 1314,2 177,5 147,0 59,7 297,2 79,5 232,4
    2007 1182,0 1321,9 181,9 151,1 61,5 300,3 81,9 235,5
    2008 1199,3 1329,7 187,1 155,4 63,4 303,4 84,3 238,6
    2009 1216,5 1338,0 191,9 159,8 65,4 306,5 86,8 241,7
    2010 1234,5 1347,1 196,9 164,3 67,5 309,5 89,2 244,8
    2011 1252,5 1356,0 201,6 169,0 69,7 312,6 91,8 247,9
    2012 1270,0 1364,5 205,9 173,8 72,0 315,6 94,5 251,1
    2013 1287,4 1374,6 209,4 178,6 74,5 318,6 97,1 254,3
    2014 1304,3 1383,4 212,7 183,5 77,1 321,6 99,8 257,4
    2015 1320,2 1392,5 215,8 188,3 79,7 324,6 102,5 260,4
    2016 1335,8 1399,8 218,8 193,0 82,4 327,6 105,3 263,2
    2017 1352,1 1408,3 221,5 197,9 85,6 330,7 108,2 266,0
    2018 1367,2 1416,4 225,0 202,6 88,6 333,7 111,2 268,7
    2019 1382,1 1421,6 228,8 207,2 91,5 336,4 114,2 271,2
    2020 1396,0 1425,4 232,8 211,7 94,4 339,1 117,3 273,7
    2021 1409,3 1426,8 237,2 216,3 97,6 339,7 120,5 275,9
    2022 1419,1 1426,1 241,7 220,8 100,7 340,6 123,7 277,6
    2023 1431,7 1424,3 245,7 225,5 104,1 342,5 127,0 280,0
    2024 1444,4 1420,9 249,3 230,3 107,5 344,5 130,4 282,4

    RépondreSupprimer
  54. 2025 1457,4 1417,7 253,2 235,1 111,0 346,4 133,8 284,6
    2026 1470,3 1414,5 257,2 240,0 114,6 348,2 137,2 286,8
    2027 1483.0 1411.4 261.4 244.9 118.3 349.9 140.6 289.0
    2028 1495.4 1408.0 265.7 249.9 122.0 351.6 144.1 291.0
    2029 1507.5 1404.3 270.1 254.8 125.8 353.2 147.6 293.0
    2030 1519.4 1400.3 274.6 259.9 129.6 354.9 151.1 294.9
    2031 1530.9 1396.0 279.2 264.9 133.5 356.4 154.6 296.8
    2032 1542.2 1391.5 283.9 269.9 137.4 358.0 158.1 298.6
    2033 1553.1 1386.6 288.6 275.0 141.4 359.5 161.7 300.4
    2034 1563.6 1381.5 293.4 280.1 145.4 361.0 165.2 302.1
    2035 1573.8 1376.2 298.2 285.2 149.5 362.6 168.8 303.8
    2036 1583.6 1370.6 303.1 290.2 153.6 364.0 172.3 305.4
    2037 1593.0 1364.8 307.9 295.3 157.8 365.4 175.9 306.9
    2038 1602.0 1358.8 312.8 300.3 161.9 366.9 179.4 308.4
    2039 1610.6 1352.6 317.7 305.3 166.2 368.2 183.0 309.8
    2040 1618.7 1346.2 322.5 310.2 170.4 369.6 186.6 311.2
    2041 1626.5 1339.5 327.3 315.2 174.8 370.9 190.3 312.4
    2042 1633.8 1332.5 332.2 320.0 179.1 372.1 193.9 313.6
    2043 1640.7 1325.3 336.9 324.9 183.6 373.3 197.5 314.8
    2044 1647.1 1317.9 341.7 329.6 188.0 374.5 201.2 315.8
    2045 1653.2 1310.2 346.5 334.3 192.6 375.6 204.8 316.8
    2046 1658.9 1302.1 351.2 339.0 197.2 376.6 208.5 317.7
    2047 1664.2 1293.6 355.9 343.6 201.8 377.6 212.2 318.5
    2048 1669.1 1284.7 360.5 348.1 206.4 378.6 215.9 319.2
    2049 1673.6 1275.3 365.1 352.6 211.1 379.5 219.5 319.9
    2050 1677.7 1265.5 369.6 357.0 215.9 380.4 223.2 320.5
    2051 1681.5 1255.1 374.1 361.4 220.6 381.3 226.8 321.0
    2052 1685.0 1244.3 378.6 365.7 225.4 382.1 230.5 321.4
    2053 1688.1 1232.9 383.0 369.9 230.2 383.0 234.2 321.7
    2054 1690.9 1221.0 387.3 374.1 235.1 383.8 237.8 322.0
    2055 1693.3 1208.7 391.6 378.2 239.9 384.5 241.3 322.3
    2056 1695.4 1196.0 395.9 382.3 244.8 385.3 244.9 322.4
    2057 1697.2 1182.9 400.1 386.3 249.6 386.0 248.5 322.5
    2058 1698.7 1169.5 404.3 390.2 254.5 386.8 252.0 322.6
    2059 1699.8 1155.9 408.4 394.1 259.4 387.7 255.4 322.6
    2060 1700.7 1142.1 412.4 397.9 264.2 388.5 259.0 322.6
    2061 1701.2 1128.2 416.4 401.7 269.1 389.3 262.5 322.5
    2062 1701.4 1114.2 420.4 405.3 274.0 390.2 265.9 322.4
    2063 1701.2 1100.2 424.3 409.0 278.8 391.1 269.3 322.2
    2064 1700.7 1086.3 428.1 412.5 283.6 392.0 272.7 322.0
    2065 1699.9 1072.5 431.8 416.0 288.4 392.9 276.1 321.8
    2066 1698.7 1058.8 435.5 419.4 293.2 393.8 279.3 321.6
    2067 1697.2 1045.2 439.1 422.6 297.9 394.8 282.6 321.3
    2068 1695.4 1031.7 442.7 425.9 302.7 395.8 285.9 321.0
    2069 1693.2 1018.5 446.2 429.0 307.4 396.7 289.1 320.6
    2070 1690.6 1005.3 449.6 432.0 312.1 397.7 292.2 320.2
    2071 1687.8 992.3 452.9 434.9 316.7 398.7 295.3 319.9
    2072 1684.6 979.3 456.1 437.8 321.3 399.7 298.4 319.4
    2073 1681.0 966.5 459.2 440.5 325.9 400.6 301.5 319.0
    2074 1677.2 953.6 462.3 443.2 330.4 401.5 304.5 318.5
    2075 1673.1 940.9 465.2 445.7 334.9 402.4 307.6 318.0
    2076 1668.6 928.1 468.1 448.2 339.4 403.4 310.6 317.4
    2077 1664.0 915.3 470.9 450.5 343.8 404.3 313.5 316.8
    2078 1659.0 902.5 473.6 452.8 348.2 405.1 316.4 316.2
    2079 1653.8 889.6 476.1 454.9 352.5 405.9 319.2 315.6
    2080 1648.4 876.7 478.5 457.0 356.8 406.7 321.9 314.9
    2081 1642.7 863.8 480.9 458.9 361.0 407.5 324.6 314.2
    2082 1636.8 850.9 483.2 460.7 365.2 408.3 327.2 313.5
    2083 1630.8 838.0 485.5 462.4 369.4 409.0 329.9 312.7
    2084 1624.5 825.2 487.6 464.0 373.5 409.8 332.4 311.9
    2085 1618.1 812.4 489.6 465.5 377.5 410.5 334.9 311.1
    2086 1611.5 799.8 491.5 466.9 381.5 411.2 337.4 310.2
    2087 1604.8 787.3 493.4 468.2 385.4 411.9 339.8 309.4
    2088 1598.0 775.0 495.1 469.4 389.2 412.6 342.1 308.5
    2089 1591.0 762.8 496.8 470.4 393.0 413.4 344.4 307.5

    RépondreSupprimer
  55. 2090 1583.9 750.8 498.4 471.4 396.7 414.1 346.5 306.6
    2091 1576.7 739.0 499.9 472.3 400.3 414.8 348.8 305.6
    2092 1569.4 727.4 501.4 473.1 403.8 415.6 350.9 304.6
    2093 1562.1 715.9 502.9 473.9 407.3 416.3 353.0 303.6
    2094 1554.6 704.5 504.2 474.5 410.7 417.0 355.0 302.6
    2095 1547.1 693.3 505.5 475.0 414.0 417.8 357.0 301.5
    2096 1539.6 682.2 506.7 475.5 417.2 418.5 359.0 300.5
    2097 1532.0 671.2 507.8 475.9 420.3 419.1 361.0 299.4
    2098 1524.4 660.2 508.8 476.2 423.4 419.8 362.9 298.3
    2099 1516.8 649.4 509.7 476.5 426.4 420.4 364.7 297.2
    2100 1509.1 638.7 510.6 476.7 429.3 421.0 366.4 296.1

    🇮🇳 Projections démographiques de l'Inde

    L'Inde a récemment dépassé la Chine pour devenir le pays le plus peuplé du monde. Sa population devrait continuer à croître jusqu'en 2062, atteignant un pic de 1,7 milliard d'habitants.

    Le taux de natalité du pays est en baisse depuis les années 1960, mais se situe actuellement à un niveau relativement élevé de 2 naissances par femme.

    🇨🇳 Projections démographiques de la Chine

    La Chine a détenu le titre de pays le plus peuplé du monde pendant de nombreuses décennies, mais sa population diminue actuellement en raison du vieillissement rapide de sa population et de la baisse de son taux de fécondité.

    Selon ces projections, la population chinoise atteindra 639 millions d'habitants en 2100, soit 788 millions de moins que son pic de 2021.

    🇺🇸 Projections démographiques des États-Unis

    Les États-Unis sont actuellement le troisième plus grand pays du monde, mais devraient tomber à la sixième place d'ici 2100. Contrairement à de nombreux autres pays développés, les États-Unis devraient poursuivre leur croissance tout au long de ce siècle.

    L'essentiel de cette croissance sera dû à l'immigration, plutôt qu'aux nouvelles naissances, car les taux de fécondité aux États-Unis sont déjà inférieurs au seuil de renouvellement des générations.

    Si vous avez apprécié l'article d'aujourd'hui, découvrez « Le vieillissement de la population mondiale » sur Voronoi, la nouvelle application de Visual Capitalist.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/population-projections-worlds-top-countries-2100

    RépondreSupprimer
  56. Le monde a basculé – et les banques centrales le reconnaissent


    Henri Lepage
    17 juin 2025


    La BCE vient d’abaisser son taux directeur pour la deuxième fois cette année, rejoignant ainsi un cortège croissant de banques centrales engagées sur la même pente : Nouvelle-Zélande et Mexique (janvier), Australie (février et mai), Suisse et Tchéquie (mars), BCE et Suède (avril), Corée, Canada et Norvège (mai), de nouveau la BCE en juin, et tout récemment l’Inde, qui a frappé fort avec une baisse de 50 points de base. Seule la Fed reste figée, embourbée dans ses hésitations et ses discours contradictoires.

    Traditionnellement, une baisse de taux vise à rassurer et soutenir l’économie. Elle est censée dire au public : « Nous maîtrisons la situation ». Après l’épisode inflationniste post-Covid, elle devait conforter l’idée d’un atterrissage en douceur. Mais l’enchaînement rapide de ces décisions, parfois à quelques semaines d’intervalle, révèle tout autre chose : une prise de conscience brutale d’un glissement mondial dans la récession. Non pas une menace hypothétique, mais une dynamique déjà à l’œuvre. C’est une inflexion historique, un aveu implicite d’impuissance.

    Pendant des mois, on a préféré croire à la résilience américaine et au mythe d’une grande reprise en préparation. Toute alerte sur un refroidissement synchronisé des grandes économies restait marginalisée. Ce que traduisent aujourd’hui les baisses de taux en série, c’est une reconnaissance forcée : le ralentissement est généralisé, profond, et impossible à contenir avec les outils classiques. Ce n’est plus une hypothèse. C’est arrivé.

    J’écrivais ici même le 3 février dernier, sous le titre « Récession, l’urgence méconnue » : « L’économie mondiale a basculé dans une phase de non-croissance depuis mi-2022, et se dirige vers une récession généralisée. » Un lecteur s’était insurgé : « Ni les États-Unis, ni de nombreux pays européens ne sont en récession. Les faits ne sont pas subjectifs. » Eh bien, parlons-en.

    La Suède vient d’enregistrer un deuxième trimestre consécutif de PIB négatif. La Corée prévoit déjà de nouvelles baisses de taux plus marquées. Le Japon est en train de reconnaître une récession technique. En Allemagne, le gouvernement abandonne toute perspective de croissance pour 2025, après deux années de stagnation, tandis que le chômage atteint des niveaux inédits depuis 2010. En France, l’emploi recule depuis deux trimestres.

    RépondreSupprimer
  57. En Amérique du Nord, le Mexique nie l’évidence tandis que son économie décroche. Le Canada montre des signes de détresse sur l’emploi (taux de chômage à 7%, son plus haut niveau depuis dix ans). Ce qui commence également à être le cas des Anglais. Le Royaume-Uni vient de perdre 228 000 emplois en moins de quatre mois ; depuis octobre, cela fait sept mois consécutifs de baisse. Aux Etats-Unis le PIB a reculé au premier trimestre, malgré une tentative de le justifier par une baisse exceptionnelle des importations — imputée à l’anticipation des nouvelles barrières commerciales. Les prix à la consommation y déjouent toutes les attentes d’une reprise de l’inflation : en enlevant l’effet artificiel des loyers, le reste du panier de l’indice CPI est négatif sur les trois derniers mois.

    Le cas de l’Australie est emblématique : jusque-là épargnée par les grands cycles mondiaux, elle est désormais touchée de plein fouet, ce que reconnaît ouvertement sa banque centrale. Quant à la Chine, ses indicateurs industriels sont retombés à leurs niveaux les plus bas depuis l’échec de la relance de 2022. Tant les prix à la production (ce qui n’a rien de totalement exceptionnel) que les prix à la consommation (ce qui l’est bien davantage) reculent. Malgré les plans de soutien à répétition, la machine ne redémarre pas.

    Résultat : la Banque mondiale vient d’abaisser sa projection annuelle de croissance pour 2025 à 2,3% – soit le même niveau qu’elle avait annoncé en 2008, et comparable uniquement aux récessions mondiales de 2009 et 2010. Ce chiffre de 2,3% est trompeusement bénin. C’est en réalité un niveau de croissance qui, historiquement, se situe à la limite du territoire récessionniste et s’accompagne presque toujours d’une récession. La Banque mondiale décrit, sans le dire, une économie qui perd sa capacité à croître.

    Pendant quelques mois, les marchés ont voulu croire que la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump allait tout désorganiser, mais que les délais et compromis finiraient par apaiser les choses. Aujourd’hui, les chiffres racontent une tout autre histoire : le retournement était déjà amorcé bien avant Trump. La mise en place des nouvelles grilles tarifaires ne va certes rien arranger. Mais ce ne seront que des effets « à la marge ». L’essentiel est ailleurs.

    Le vrai basculement date de mi-2022. C’est à ce moment-là que l’élan post-Covid s’est brutalement interrompu, déclenchant le jeu d’une force de gravité économique que plus rien ne semble en mesure d’arrêter (à la manière d’un « trou noir »).

    RépondreSupprimer
  58. Les entreprises n’ont pas les marges pour ajuster leurs prix et finissent par couper dans l’emploi.
    Les ménages privilégient les dépenses contraintes, au détriment des consommations superflues.
    Les États découvrent que la croissance nominale ne suffit plus à masquer la réalité des contraintes budgétaires.
    Et pourtant, tout cela était prévisible. Des indicateurs comme les swap spreads – ces écarts de taux qui condensent les anticipations monétaires profondes – en portaient déjà la trace dès 2023. Il fallait, pour les comprendre, disposer d’un bon logiciel d’analyse. Or, les banques centrales s’en tiennent à un vieux manuel : celui qui voit dans les taux d’intérêt un levier d’action et de contrôle, alors qu’ils ne sont en réalité que le reflet de ce qui se passe dans l’économie réelle. Ce que les marchés monétaires ont compris depuis longtemps — et que les banques centrales commencent à peine à admettre.

    Comme en février, je m’étonne que la plupart des débats économiques restent enfermés dans une lecture budgétaire ou mercantiliste des événements. Et je m’inquiète de l’absence de commentaires à des décisions monétaires dont le vrai message est limpide : la récession mondiale n’est plus une éventualité; elle est là ; et les banques centrales ne peuvent plus rien y faire. La course mondiale vers les taux les plus bas n’a plus rien d’une fiction, elle est une reconnaissance des faits.

    https://www.contrepoints.org/2025/06/17/480457-le-monde-a-bascule-et-les-banques-centrales-le-reconnaissent

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un jour la production stagne. Parce que le client a tout. Pourquoi achèterait-il une seconde machine à laver ? Une seconde voiture, une seconde machine à café, une seconde... etc ? Car, pendant que l'habitant dort les machines travaillent ! Travaillent 7/7 j et 24/24 h... gratuitement ! Des voitures a ne plus savoir qu'en faire ! Elles s'entassent en divers immenses parkings, l'herbe pousse autour et même dans le moteur. Depuis quand? Booooh ! DES années ! DES années.

      Pourtant, des clients attendent une voiture, une voiture moins chère, et la voiture espérée est entrain de pourrir aux immenses parkings. "On ne fait pas de 'cadeau' monsieur ! Non, on ne fait pas de rabais !"

      La croissance c'est finie, et personne ne profite des stocks !
      Çà stagne ? Et alors ? les consommateurs sont toujours là. Où est le problème ?

      Supprimer

La population trompée : Le scandale des contrats secrets du lobby de l'énergie éolienne

    https://www.kla.tv/f r BLOG n°98