Savez-vous ce qu'est un crédit social ou un système de crédit social ? Il s'agit d'un système de surveillance totale dans lequel un gouvernement espionne le comportement des citoyens de manière globale, attribue ou retire des points pour cela et - en fonction du "solde" du crédit social - les citoyens sont soit traités de manière préférentielle soit pénalisés. C'est surtout connu en Chine. Par exemple, en 2018 encore, SRF a parlé avec un regard critique des conséquences du système de crédit social chinois sur les citoyens.
La même année, un membre du Parlement s'est exprimé lors du congrès du parti chinois :
[Voix :] "Je demande un large éventail de sanctions pour les personnes ayant un mauvais crédit social. Ceux qui ont ce mauvais crédit doivent être limités dans leur liberté de mouvement, et ce par différents moyens."
[Présenteur:] L'exemple du journaliste d'investigation Liu Hu, qui a été mis sur une liste noire pour un article sur les fonctionnaires corrompus, montre comment on peut imaginer cela de manière très pratique. Il est surveillé en permanence, peut à peine exercer son métier, ne peut plus prendre le train ni l'avion.
[Voix :] Liu Hu : "Je ne peux plus réserver d'hôtels, je ne peux plus acheter d'appartement, je ne peux pas enregistrer de société ou être le représentant légal d'une organisation."
[Présentateur :] Depuis, le calme est revenu dans le mainstream. Après plusieurs publications il n'y a pas eu de tollé général. La Chine est loin. Dans l'Occident démocratique, une telle chose serait impensable. Vraiment ? Presque personne ne se doute qu'on élabore déjà des plans concrets pour installer un système de points de crédit sociaux dans le monde entier. Car SRF et d'autres médias de droit public le cachent totalement, faisant ainsi miroiter à la population occidentale une sécurité factice. De quels plans s'agit-il ?
[Voix :] En 2019, un groupe de membres de think tank, de politiciens, d'anciens chefs de gouvernement, d'universitaires et de représentants de l'industrie technologique s'est réuni et a fixé des objectifs concrets pour la transformation du monde entier, à l'ombre de la planification du Covid. Un livre intitulé "Remaking the world - The Age of Global Enlightenment" (Reconstruire le monde - L'ère de l'éveil mondial) a été rédigé sous la forme d'un document de travail. Parmi les contributeurs, on trouve des personnes haut placées comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, Vint Cerf, vice-président de Google et qu'on appelle "le père d'Internet", ou Ramu Damodaran, chef de l'initiative "Impact académique des Nations unies". Le livre a été publié sous le label "UN100", une initiative des Nations unies à l'occasion du centenaire de l'organisation en 2045. Mais c'est un influent think tank américain, le Boston Global Forum, qui tirait les ficelles.
[Présentateur :] De quoi parle le livre en question ? Les auteurs écrivent que l'intelligence artificielle possède un grand potentiel pour changer nos vies, et en même temps, que l'utilisation indisciplinée de l'IA recèle un grand potentiel d'abus. C'est pourquoi il faut un "contrat social pour l'ère de l'IA" [explication du mot : contrat social : accord entre les membres d'une société de travailler ensemble pour le bien de la société], qui doit s'appliquer au monde entier - indépendamment de la diversité de tous les pays, ethnies et cultures. Ce contrat social a été analysé de plus près par Kla.TV.
[Voix Off :] Le contrat social pour l'ère de l'IA - Application globale de l'IA
De l'égalité promise avec l'IA au dieu numérique ?
[Présentateur :] Dès le premier chapitre on voit déjà où le voyage conduit : Le contrat social pour l'ère de l'IA crée une plateforme pour une société de démocratie intelligente. De plus, il repose sur un équilibre des pouvoirs entre les gouvernements, les entreprises, la société civile, les individus et les assistants IA.
Établir un tel équilibre des pouvoirs est un objectif très élevé et nécessiterait rien de moins qu'un changement de système global. En effet, la situation politique mondiale actuelle devrait plutôt être décrite comme un déséquilibre du pouvoir, dans lequel des clubs secrets et des groupes de réflexion sans contrôle démocratique définissent l'agenda. Regardez à ce sujet les documentaires de Kla.TV, sous le hashtag #CFR. Or, l'initiative UN100 poursuit précisément cette politique. La preuve en est que le contrat social pour l'ère de l'IA a également été créé sans contrôle démocratique et encore moins avec un mandat des peuples.
De plus, vous avez bien entendu : l'UN100 inclut les assistants IA dans le prétendu "équilibre des pouvoirs" ! Concrètement, cela pourrait signifier, par exemple, que les intelligences artificielles aient leur mot à dire dans les processus politiques. On peut vraiment douter que l'équilibre des pouvoirs évoqué ci-dessus soit maintenu. Il semble beaucoup plus probable que cette égalité soit un premier pas vers le "dieu numérique" tant évoqué, à la direction duquel l'humanité devra un jour se soumettre.
[Présentateur :] La "Smart Democracy" ou démocratie intelligente mentionnée n'est pas définie plus avant dans le document de l'UN100. Faut-il entendre par là une forme de domination dans laquelle une intelligence artificielle sait toujours ce qui est le mieux pour la société ? [Voix :] On n'en est pas si loin. En 2017, le fondateur du FEM, Klaus Schwab, parlait avec admiration du fait que les technologies numériques prédictives pourraient bientôt rendre les élections démocratiques inutiles.
[Klaus Schwab :] "But then the next step could be to go into a prescriptive mode, which means you do not even have to have elections anymore because you can already predict [...] and afterwards you can say "Why do we need elections?" because we know what the result will be." [fr. Sous-titre :" Mais ensuite, l'étape suivante pourrait consister à passer à un mode prescriptif, ce qui signifie qu'on n'a même plus besoin de faire des élections parce qu'on peut déjà prévoir [...] et qu'on peut ensuite dire "Pourquoi a-t-on besoin d'élections ?" parce qu'on sait ce que sera le résultat."] [Voix :] Et en effet, le contrat social parle d'encourager la société civile à planifier son avenir à l'aide d'outils d'intelligence artificielle prédictifs.
[Voix :] Obligation de fournir des données complètes
[Présenteur:] Une application complète de l'IA implique également une collecte et une analyse approfondies des données. Sous le titre "Modèle de gouvernement de l'IA", on peut lire ce qui suit :
[Voix :] "Le cœur de la gestion de l'IA est le National Decision Making and Data Center (NDMD) [Centre national de décision et de données]. Le NDMD collecte, stocke, analyse et utilise d'énormes quantités de données pertinentes pour la fourniture de services publics et l'évaluation des programmes et des fonctionnaires publics."
[Présentateur :] Ces "énormes quantités de données" doivent bien sûr être mises à disposition, et le contrat social s'exprime également à ce sujet :
[Voix :] "Les individus doivent contribuer au bien commun en [...] fournissant des informations personnelles importantes [...], comme par exemple lors de la collecte de données de recensement et de l'élection de responsables publics."
[Présentateur :] Il est donc prévu une obligation de remettre des "informations personnelles importantes" à une administration de l'IA. Le fait que chaque citoyen de la Terre doive en outre recevoir une identité numérique n'étonne plus guère à ce stade. Par ailleurs, il convient également de mentionner que la contrainte est une caractéristique qui traverse le contrat social. En effet, au cas où des acteurs ne respecteraient pas le contrat social, l'Alliance démocratique pour la gouvernance numérique en serait responsable. Cette autorité supranationale doit être constituée en tant que - je cite - "autorité mondiale chargée d'appliquer le contrat social pour l'ère de l'IA".
[Voix :] Les objectifs de durabilité et les objectifs du FEM comme base d'analyse des données
[Voix :] Pour la collecte et l'exploitation de ces données, le contrat social propose deux modèles : Premièrement, le processus de mesure des données de l'Agenda 2030, qui est lié à 17 objectifs dits de durabilité. Kla.TV a documenté de plusieurs manières, sous le hashtag #Agenda2030, comment ces objectifs servent en réalité à plonger le monde dans une nouvelle forme d'esclavage.
Deuxièmement, les critères ESG du Forum économique mondial - en abrégé FEM - doivent servir de base à l'analyse des données. ESG est l'abréviation de "Environnementaux, Sociaux et Gouvernance". Le FEM est un groupe de réflexion avec une incroyable concentration de pouvoir, qui exerce une influence sur la politique internationale en contournant les structures parlementaires. Vous en saurez plus en regardant l'émission de Kla.TV "Le FEM et ceux qui tirent les ficelles - Une conspiration mondiale ?" Le militant suisse des droits civiques du mouvement de protestation face aux mesures Covid "MASS-VOLL", Nicolas Rimoldi, analyse comme suit l'intégration de ces objectifs :
[Voix :] "L'utilisation des métriques de données des Objectifs de développement durable des Nations unies [...] et des critères ESG du Forum économique mondial comme base pour les décisions politiques suggère toutefois que l'IA et les politiques qui en découlent sont fortement axées sur ces objectifs mondiaux spécifiques. [...] En entraînant l'IA sur les métriques des ODD et des ESG, il est implicitement établi que seules ces données et ces objectifs seront reconnus comme vrais et pertinents. D'autres perspectives ou sources de données alternatives sont alors considérées comme moins fiables ou fausses."
[Présenteur:] Conclusion : L'application globale prévue de l'IA comporte un énorme potentiel d'abus de données et transforme les gens en citoyens transparents. De plus, c'est une gigantesque prétention de la part de l'UN100 de vouloir imposer de tels plans à toute l'humanité sans aucune légitimité démocratique. Mais il y a plus grave encore. Tournons maintenant notre regard vers le cœur du contrat social.
[Présentateur :] Le contrat social pour l'ère de l'IA révèle son véritable visage dans le chapitre "Social Value Reward System", en abrégé SVR et en français "Système de récompense pour la valeur sociale". Il s'agit de "créer un système de suivi et d'évaluation des gouvernements, des entreprises et des individus basé sur leur contribution au respect des normes, des standards, des valeurs communes et du droit international en matière d'honnêteté, de transparence, de responsabilité et d'obligation de rendre des comptes." Pour beaucoup, le terme de système de crédit social est plus familier ; un tel système est déjà utilisé en Chine et fortement critiqué. Il s'agit d'un système de surveillance totale qui espionne et évalue le comportement des citoyens de manière globale, qui attribue ou retire des points de crédit social pour cela et qui privilégie ou pénalise les citoyens en fonction du "solde de leur compte". Celui qui a un crédit social bas parce qu'il ne se comporte pas de manière conforme, a un Internet ralenti, paie des impôts plus élevés, perd son emploi ou son logement ou ne peut plus voyager. C'est ainsi que le Parti communiste chinois "éduque" les citoyens chinois à plus d'"honnêteté".
Il est vrai que le modèle UN100 interdit les sanctions et que, selon sa propre définition, il contraste fortement avec le modèle chinois. De plus, pour des raisons techniques, le système SVR n'est pas accessible aux gouvernements. Fausse alerte donc ?
Non !
[Voix :] La démarcation avec le modèle chinois n'est absolument pas crédible. Ainsi, le cofondateur du Boston Global Forum, John Quelch, a occupé pendant des années différentes fonctions à la CEIBS [explication du mot : CEIBS = China Europe International Business School]. La CEIBS est une école supérieure de Shanghai qui, étonnamment, a été créée comme projet commun du gouvernement chinois, c'est-à-dire du Parti communiste chinois, et de l'UE. Un contraste fort aurait l'air différent. Notons au passage que John Quelch et Joseph S. Nye, acteur de l'UN100, sont tous deux membres des réseaux maçonniques du gouvernement de l'ombre que sont la Commission trilatérale et le Council on Foreign Relations. Ceux-ci travaillent à leur tour activement à l'uniformisation et à l'asservissement des peuples selon le modèle chinois.
[Présenteur:] Pour d'autres raisons également, il serait naïf de croire que le système de récompenses SVR ne pourrait pas évoluer vers le système de crédit social chinois. Comme l'a documenté Kla.TV dans "La Chine – ce système de domination nous menace tous !", l'État de surveillance qu'est la Chine a été financé et mis en place par les familles Rothschild et Rockefeller en tant qu'expérience sociale, afin d'étendre ensuite ce modèle de domination au monde entier. Et c'est ainsi que la dictature chinoise récolte, de manière effrayante, la reconnaissance de politiciens puissants, même sous nos latitudes. En 2013, par exemple, l'ancien Premier ministre canadien Justin Trudeau s'est exprimé ainsi :
[Voix :] "Dans une certaine mesure, j'admire la Chine parce que, en raison de sa dictature fondamentale, elle est capable de transformer son économie en un clin d'œil [...]".
[Présenteur:] Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, a lui aussi fait l'éloge des "réalisations" du Parti communiste chinois. Et si nous nous souvenons que la métrique des données du FEM doit servir de base à l'application de l'IA dans le contrat social, la boucle est bouclée.
Même sans mesures punitives, le système de récompenses SVR est une aberration. La surveillance totale et l'évaluation du comportement de chacun, c'est la fin de la vie privée et donc la fin de la liberté. En combinaison avec les monnaies numériques des banques centrales - en abrégé CBDC - il est facile de couper les vivres à quiconque ne se conforme pas. L'UN100 est très favorable à la monnaie numérique de banque centrale. Enfin, il faut préciser qu'un système qui récompense la conformité dégrade l'homme en tant qu'être libre. Le militant des droits civiques Nicolas Rimoldi dit à ce sujet :
[Voix :] "Nous, les hommes, devons être éduqués pour devenir des citoyens obéissants. Pas par la contrainte, mais par la non-récompense en cas de désobéissance, ce qui revient au même. Ce système rappelle celui des chiens pavloviens, qui sont entraînés à adopter certains comportements pour obtenir des récompenses. Il déresponsabilise les citoyens et les réduit à des participants conformes au système, qui agissent selon des règles prédéfinies au lieu d'agir librement et de manière autonome."
[Voix :] Le contrat social pour l'ère de l'IA promet de faire du monde une meilleure planète et de renforcer la liberté, les droits et la reconnaissance des individus. Mais un examen plus approfondi montre clairement qu'il s'agit de mettre en place un système dans lequel le citoyen est habitué à une domination de l'IA et est réduit à un fournisseur de données. L'Alliance démocratique pour la gouvernance numérique doit assurer l'alignement des États-nations, tandis que le système de crédit social surveille les gouvernements, les entreprises et les individus et les aligne sur l'Agenda 2030 ennemi de l'homme, en les récompensant. De facto, un système qui veut nous priver de notre liberté et de notre dignité.
[Présenteur:] Chers téléspectateurs, le temps de mettre un terme au contrat social pour l'ère de l'IA, c'est MAINTENANT, et vous pouvez y contribuer activement. Diffusez cette émission autant que possible afin de faire prendre conscience au public de ces sombres projets dès maintenant. Échappez à la prison numérique en utilisant de l'argent liquide chaque fois que c'est possible ou en remplaçant les communications numériques par de vraies conversations. Soyez conscient que les solutions dites intelligentes comme le smartphone, la maison intelligente ou la conduite autonome préparent le chemin de la démocratie intelligente. Mettez un terme à la domination planifiée de l'IA en renonçant à l'utilisation de l'IA dans votre vie quotidienne et en privant ces systèmes de leur base : vos données personnelles.
Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a récemment mis en lumière un autre aspect très fondamental de ces technologies. Découvrez ci-dessous un extrait de son discours lors de la Journée des Amis de cette année.
[Ivo Sasek :] "Nous sommes de plus en plus orientés et dépendants de machines, de clouds externes ou finalement d'implants dans notre corps. Mais nous sommes ainsi dépossédés de nous-mêmes. C'est là que le bât blesse. Nous perdons nos privilèges divins, nos privilèges intérieurs à cause de cela. [...] C'est comme toujours, une offre de salut qui n'apporte pas le salut. Donc pas de progrès, c'est toujours et partout la même chose. Bien sûr, pour l'instant, c'est un progrès considérable. Mais ce que nous écrasons et ruinons littéralement, c'est notre connexion à l'ère du développement divin en nous, qui est en train d'apparaître. Où toutes ces magnifiques capacités naîtraient directement de nous, sans aucune machine ou intelligence artificielle. C'est de cela que nous parlons aujourd'hui. Car ces capacités sont dans le programme. C'est le temps que Dieu a fixé maintenant pour cela, le printemps pour cela. Parce que tu as toutes ces compétences directement en toi. Et il y a ce kaïros [explication du mot : kaïros = moment approprié] qui veut se lever en toi pour que tu puisses appliquer tout cela de manière acceptable."
de jb. Sources/Liens : Documentaire de la SRF sur le système chinois de crédit social : https://www.srf.ch/news/international/wenn-der-staat-alles-sieht-der-perfekte-chinese
Livre « Remaking the World - The Age of Global Enlightenment » de:https://un100.net/books-un/official-launch-of-the-e-book-of-the-united-nations-centennial-remaking-the-world-the-age-of-global-enlightenment/
United Nations Academic Impact: https://www.un.org/en/academicimpact
https://un100.net/academic-impact/1508/
Boston Global Forum: https://bostonglobalforum.org
Klaus Schwab, fondateur du FEM, parle des technologies numériques prédictives et du caractère superflu des élections démocratiques : https://www.youtube.com/watch?v=Pjpmh_iG9PE
ESG - Environmental, Social & Governance: https://de.wikipedia.org/wiki/Environmental,_Social_and_Governance
Contribution de Nicolas Rimoldi sur le contrat social à l'ère de l'IA : https://www.tell-news.ch/p/die-uno-plant-den-globalen-gesellschaftsvertrag
Système de crédit social : https://de.wikipedia.org/wiki/Sozialkredit-System
John Quelch, cofondateur et membre du conseil d'administration du Boston Global Forum : https://bostonglobalforum.org/board-of-directors/john-quelch/
https://en.wikipedia.org/wiki/John_Quelch
École internationale de commerce Chine-Europe (CEIBS) : https://en.wikipedia.org/wiki/China_Europe_International_Business_School
Joseph Samuel Nye Jr.: https://en.wikipedia.org/wiki/Joseph_Nye
L'admiration de Justin Trudeau pour la dictature chinoise : https://www.ctvnews.ca/politics/article/trudeau-under-fire-for-expressing-admiration-for-chinas-basic-dictatorship/
Klaus Schwab fait l'éloge des réalisations du PCC : https://youtu.be/NI6_8_zrsGs
(...) [Présentateur :] De quoi parle le livre en question ? Les auteurs écrivent que l'intelligence artificielle possède un grand potentiel pour changer nos vies, et en même temps, que l'utilisation indisciplinée de l'IA recèle un grand potentiel d'abus. (...)
Premièrement L''IA' EST un programme comme l'est celui d'une calculatrice de poche. Elle permet d'atteindre un résultat plus rapide à l'affichage.
Deuxièmement, cette 'intelligence' qui n'en est pas une puisque elle est artificielle (qui n'existe pas) ne peu être un complément de quoi que ce soit puisque ses recherches vienne de l'intelligence humaine publiée sur Internet et non d'elle-même.
(...) Il s'agit de "créer un système de suivi et d'évaluation des gouvernements, des entreprises et des individus basé sur leur contribution au respect des normes, des standards, des valeurs communes et du droit international en matière d'honnêteté, de transparence, de responsabilité et d'obligation de rendre des comptes." (...)
ÂÂâah bêh pitain ! Si 'elle' s'en prend aux gouvernements... !!! Mais... OUF ! LIA n'est pas honnête ! OUF ! Car la super-censure est là pour éliminer tous les propos scientifiques publiés sur l'Internet ! Ouf !
La répétition générale de la pandémie de grippe H1N1 de 2009 : mensonges politiques et désinformation médiatique concernant l'épidémie de grippe porcine
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 7 juin 2025
Première publication en mai 2009
Note de l'auteur :
Il y a plus de 15 ans : la pandémie de grippe porcine H1N1.
Désinformation médiatique, mensonges politiques, fabrications, 4,9 milliards de doses de vaccins étaient envisagées par l’OMS…
Les données ont été manipulées.
Les gouvernements occidentaux et l'OMS ont été complices d'une fraude de plusieurs milliards de dollars. Une répétition générale de la crise de la Covid et de ses conséquences.
Sur la base des évaluations des experts, les critères scientifiques d'une pandémie de grippe sont remplis. J'ai donc décidé de relever le niveau d'alerte à la pandémie de grippe de la phase 5 à la phase 6. Le monde est désormais au début de la pandémie de grippe de 2009. … Margaret Chan, Directrice générale de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Point de presse du 11 juin 2009
« Jusqu'à deux milliards de personnes pourraient être infectées au cours des deux prochaines années, soit près d'un tiers de la population mondiale. » (Organisation mondiale de la santé, tel que rapporté par les médias occidentaux, juillet 2009)
« La grippe porcine pourrait toucher jusqu'à 40 pour cent des Américains au cours des deux prochaines années et jusqu'à plusieurs centaines de milliers de personnes pourraient mourir si une campagne de vaccination et d'autres mesures ne sont pas efficaces. » (Déclaration officielle de l'administration américaine, Associated Press, 24 juillet 2009).
« Les États-Unis espèrent disposer de 160 millions de doses de vaccin contre la grippe porcine en octobre », ( Associated Press, 23 juillet 2009)
« Dans le meilleur des cas, les fabricants de vaccins pourraient produire 4,9 milliards de vaccins contre la grippe pandémique par an », a déclaré Margaret Chan, directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) , citée par Reuters, le 21 juillet 2009.
Les pays riches comme les États-Unis et la Grande-Bretagne paieront un peu moins de 10 dollars par dose [du vaccin contre la grippe H1N1]. … Les pays en développement paieront un prix inférieur. » [environ 400 milliards de dollars pour les grandes entreprises pharmaceutiques] ( Business Week, juillet 2009)
L’OMS a reconnu avec désinvolture avoir commis une erreur.
Il n’y a pas eu de pandémie touchant 2 milliards de personnes…
Des millions de doses de vaccin contre la grippe porcine avaient été commandées par les gouvernements nationaux auprès des grandes sociétés pharmaceutiques. La plupart d'entre elles ont été détruites : une véritable aubaine pour les grandes sociétés pharmaceutiques.
Il s’agissait de mon premier rapport sur le sujet, publié en mai 2009. Les rapports ultérieurs ont confirmé sans équivoque qu’il s’agissait d’une fraude.
Les médias occidentaux, qui ont couvert quotidiennement la pandémie, sont restés muets sur la question de la fraude et de la désinformation.
Michel Chossudovsky, 16 avril 2016, 25 avril 2021
* * *
Qu'est-ce que la grippe ? La grippe est une maladie respiratoire contagieuse grave causée par des microbes grippaux. Chaque année, des millions de personnes aux États-Unis contractent la grippe. La plupart des personnes sont malades pendant environ une semaine. Certaines personnes (notamment les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé chroniques) peuvent être gravement malades et en mourir. ( Centres pour le contrôle et la prévention des maladies )
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a élevé son niveau d’alerte pandémique à la phase 5 sur une échelle de 6 points.
L'alerte de phase 5 de l'OMS signifie
« On observe une propagation interhumaine soutenue dans au moins deux pays et une épidémie mondiale imminente … Cela témoigne également d'un effort accru pour produire un vaccin… Des cas humains ont été confirmés au Mexique, aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne, en Israël, en Nouvelle-Zélande et en Espagne. » (soulignement ajouté)
Selon certaines informations, l’OMS a pris cette décision après qu’un « enfant de 23 mois soit décédé [de la grippe porcine] au Texas après avoir voyagé depuis le Mexique pour y recevoir des soins médicaux ».
Selon les rapports, la grippe porcine a été confirmée dans 11 États américains. Les responsables de la santé de l'OMS à Genève et à Washington auraient déclaré que « la propagation du virus ne devrait pas s'arrêter ».
Les médias se sont déchaînés, sans guère analyser ni examiner les preuves, concentrant leur attention sur les plus de 2 400 cas de grippe non spécifique au Mexique.
« Tous les pays devraient activer leurs plans de préparation »,
La pire crise sanitaire à laquelle le monde est confronté depuis 90 ans… »
Au lendemain de l'alerte pandémique de phase 5 de l'OMS, un scientifique rattaché au Centre de contrôle et de prévention des maladies de l'Union européenne a laissé entendre, sans preuve, que l'épidémie pourrait potentiellement affecter 40 à 50 % de la population de l'UE « de manière bénigne ». (Voir europeanvoice.com , 30 avril 2009).
Le professeur Neil Ferguson, membre du groupe de travail de l'Organisation mondiale de la santé sur la grippe porcine, a déclaré que
« 40 % des Britanniques pourraient être infectés dans les six prochains mois si le pays était frappé par une pandémie. »
« Nous ne savons pas vraiment quelle ampleur l'épidémie nous réserve dans les prochains mois… Il est presque certain que, même si elle s'atténue dans les prochaines semaines – ce qui est possible – nous aurons une épidémie saisonnière à l'automne. »
On pourrait s'attendre à ce que 30 à 40 % de la population tombe malade au cours des six prochains mois si la situation se transforme véritablement en pandémie. « Un nombre important de personnes pourraient être infectées dans les prochaines semaines, mais, à parier, je dirais que ce sera un peu plus long, car nous entrons dans l'été. » Le professeur Ferguson a déclaré que les 152 décès au Mexique ne représentaient probablement qu'une proportion relativement faible du nombre total de personnes infectées, qui pourrait atteindre des dizaines, voire des centaines de milliers . » (Daily Express, 1er mai 2009)
Les reportages des médias sont déformés. La réalité est bouleversée. Les déclarations politiques ne sont étayées par aucune preuve médicale et scientifique. Les déclarations du professeur Ferguson sont infondées. Il n'a pas pris la peine de vérifier le nombre de cas de grippe porcine « confirmés en laboratoire » au Mexique.
30 à 40 % de la population britannique ?
Jusqu'à 50 % de la population des 500 millions d'habitants de l'Union européenne ?
Sur quelle base ces déclarations sont-elles faites ?
Le 27 avril 2009, il n'y avait, selon les rapports, qu'un seul cas de grippe porcine dans toute l'Union européenne :
Le premier cas confirmé de grippe porcine en Europe a été diagnostiqué en Espagne. Le ministère de la Santé espagnol a confirmé la nouvelle lundi matin, après des tests effectués sur un homme récemment rentré d'un voyage au Mexique. ( BBC, 27 avril 2009 )
Allemagne
Affaiblir le mouvement de protestation sociale
Des déclarations de cette nature sur la « propagation inévitable » de la maladie créent, tout à fait délibérément, un climat de peur, d'insécurité et de panique. Elles servent également à détourner l'attention d'une crise économique mondiale dévastatrice qui plonge le monde dans la pauvreté et le chômage de masse, sans parler de la guerre au Moyen-Orient et de la question plus large des crimes de guerre perpétrés par les États-Unis et l'OTAN.
La véritable crise mondiale est marquée par la pauvreté, l'effondrement économique, les conflits ethniques, la mort et la destruction, la dérogation aux droits civiques et la disparition des programmes sociaux publics. L'annonce par l'UE de la pandémie de grippe porcine contribue inévitablement à affaiblir le mouvement de protestation sociale qui s'est propagé à travers l'Europe.
Au Mexique, les mesures d’urgence contre la grippe porcine, qui ont « fermé » des zones urbaines entières, sont largement perçues comme un prétexte du gouvernement de Felipe Calderon pour freiner la contestation sociale croissante contre l’une des administrations les plus corrompues de l’histoire du Mexique.
Au Mexique, le défilé du 1er mai, qui était dirigé contre le gouvernement Calderon, a été annulé.
Le bilan de l'OMS
L'avis de l'OMS fait état de 148 cas confirmés en laboratoire de grippe porcine dans le monde, dont 8 décès, ce qui n'est guère une pandémie :
29 avril 2009 — La situation continue d'évoluer rapidement. À 18h00 GMT, le 29 avril 2009, neuf pays ont officiellement signalé 148 cas d'infection par le virus de la grippe porcine A/H1N1. Le gouvernement des États-Unis a signalé 91 cas humains confirmés en laboratoire, dont un décès. Le Mexique a signalé 26 cas humains confirmés d'infection, dont sept décès.
Les pays suivants ont signalé des cas confirmés en laboratoire sans décès : Autriche (1), Canada (13), Allemagne (3), Israël (2), Nouvelle-Zélande (3), Espagne (4) et Royaume-Uni (5).
De plus amples informations sur la situation seront régulièrement disponibles sur le site Web de l'OMS. ( WHO.org )
Dans une déclaration du 29 avril, la directrice générale de l'OMS, le Dr Margaret Chan, a confirmé que
« Sur la base de l’évaluation de toutes les informations disponibles et à la suite de plusieurs consultations d’experts, j’ai décidé de relever le niveau actuel d’alerte pandémique de la phase 4 à la phase 5.
Les pandémies de grippe doivent être prises au sérieux précisément en raison de leur capacité à se propager rapidement dans tous les pays du monde.
… L’OMS suivra la pandémie aux niveaux épidémiologique, clinique et virologique.
… J’ai contacté les pays donateurs, UNITAID, l’Alliance GAVI, la Banque mondiale et d’autres pour mobiliser des ressources.
Aubaine pour les conglomérats pharmaceutiques
L’OMS a identifié Big Pharma comme la solution à la crise :
« J'ai [le Directeur général de l'OMS] contacté des entreprises fabriquant des médicaments antiviraux afin d'évaluer leurs capacités et toutes les options possibles pour accélérer la production. J'ai également contacté des fabricants de vaccins antigrippaux susceptibles de contribuer à la production d'un vaccin contre la grippe pandémique. »
La pandémie de grippe porcine constitue une manne financière pour une poignée de conglomérats biotechnologiques. L'Union européenne a déjà donné son feu vert à une collaboration avec les grandes entreprises pharmaceutiques pour développer un vaccin contre la grippe porcine.
Examen des preuves
Les données utilisées pour justifier une alerte mondiale de niveau 5 sont extrêmement insuffisantes. L'OMS affirme non seulement qu'une « épidémie mondiale est imminente », mais elle déforme également les données de mortalité du Mexique relatives à la pandémie de grippe porcine. Selon la directrice générale de l'OMS, le Dr Margaret Chan, dans sa déclaration officielle du 29 avril : « À ce jour, 176 personnes ont été tuées au Mexique. » D'où vient-elle ? D'où tire-t-elle ces chiffres ? 159 personnes sont mortes de la grippe, dont seulement sept, corroborées par des analyses de laboratoire, étaient dues à la souche H1N1 de la grippe porcine, selon le ministère mexicain de la Santé. (Pour plus de détails, voir ci-dessous).
Comme l’a documenté William Engdahl, les symptômes de la grippe porcine ne sont pas spécifiques, similaires à ceux de la grippe en général. (Voir William Engdahl, Global Research, 29 avril 2009 ).
L’avis scientifique contredit la déclaration officielle de l’OMS :
« Les scientifiques qui étudient le virus parviennent à un consensus selon lequel cette souche hybride de grippe – du moins dans sa forme actuelle – ne s’annonce pas aussi mortelle que les souches qui ont causé certaines pandémies précédentes.
En fait, l’épidémie actuelle du virus H1N1, qui a émergé à San Diego et dans le sud du Mexique à la fin du mois dernier, pourrait même ne pas faire autant de dégâts que les épidémies de grippe ordinaires qui surviennent chaque hiver sans grande fanfare.
« Des preuves préliminaires de plus en plus nombreuses provenant de laboratoires de génétique, de modèles épidémiologiques et de mathématiques simples suggèrent que les pires scénarios seront probablement évités dans l'épidémie actuelle. » ( Los Angeles Times, 30 avril 2009 )
La grippe mexicaine
est une maladie courante. On compte des millions de cas de grippe chaque année aux États-Unis.
Selon le Journal de l'Association médicale canadienne , la grippe tue jusqu'à 2 500 Canadiens et environ 36 000 Américains chaque année. À l'échelle mondiale, le nombre de décès attribués à la grippe se situe entre 250 000 et 500 000 chaque année. ( Thomas Walkom, The Toronto Star, 1er mai 2009 )
La plupart des cas de grippe signalés au Mexique ne présentent pas la souche A/H1N1.
D'après les informations de presse, la plupart des cas mexicains de grippe porcine étaient « suspects » : ils n'ont pas été confirmés par un examen approfondi en laboratoire. Le ministre mexicain de la Santé, José Ángel Córdova, a confirmé l'existence de cas suspects.
« 2498 cas graves de pneumonie atypique associés à une grippe »… [qui] pourraient être liés au virus A/H1N1 ».
Sur ces 2.498 cas de grippe, 159 sont décédés, de la grippe ou de maladies apparentées, mais seulement sept de ces décès étaient liés à la grippe porcine, selon le communiqué officiel du ministre de la Santé.
Les chiffres ci-dessus concordent avec la tendance générale de la grippe observée au Mexique au cours des années précédentes. « En temps normal, entre 6 500 et 7 500 Mexicains meurent de maladies de type pneumonie. » (Ibid.)
159 décès signalés « ont été imputés à l’épidémie », mais les rapports de laboratoire suggèrent que la grippe porcine n’a été la cause du décès que dans sept cas sur 159.
Par exemple, dans la ville de La Gloria, à Veracruz, où une épidémie d'infections respiratoires aiguës a été déclarée, sur 450 cas, 35 ont été testés pour le virus de la grippe porcine, et un seul s'est révélé positif. (Soit un ratio de 1/450)
Les articles de presse sont invariablement biaisés. Ils évoquent 152 ou 159 décès dus au virus H1N1, alors qu'en réalité, seuls sept de ces décès sont liés à la souche A/H1N1 de la grippe porcine, selon le ministre de la Santé. Les autres décès peuvent être liés à des cas de grippe ordinaire et/ou à des affections apparentées, mais il semble que les articles fassent rarement la distinction. De plus, aucun détail n'a été fourni quant aux résultats d'analyses biologiques concernant ces sept cas.
Aux États-Unis, un seul laboratoire dans tout le pays est en mesure de confirmer l'identité du virus : les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) d'Atlanta. Combien de laboratoires au Mexique sont en mesure de confirmer l'identité du virus ?
Selon certaines informations, des échantillons sont envoyés à l'Institut national de diagnostic et de référence épidémiologique du Mexique, qui les transmet ensuite à des laboratoires publics aux États-Unis et au Canada. Cela suggère qu'aucune analyse en laboratoire ne documente le nombre relativement important de cas suspects. Selon les déclarations du ministre, les analyses relatives aux 159 décès sont menées dans des laboratoires mexicains avec le soutien du CDCP d'Atlanta et les résultats sont attendus prochainement.
Les États-Unis
Aux États-Unis, 109 cas d'infection par le virus ont été signalés (au 30 avril 2009), dont seulement cinq ont nécessité une hospitalisation. Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont confirmé le décès d'un enfant de 23 mois au Texas, suite à son hospitalisation et à un examen clinique.
Cas humains d'infection par la grippe porcine aux États-Unis (au 30 avril 2009, 10 h 30 HE)
Arizona 1 Californie 14 Indiana 1 Kansas 2 Massachusetts 2 Michigan 1 Nevada 1 New York 50 Ohio 1 Caroline du Sud 10 Texas 26 Mort 1
NOMBRE TOTAL S
109 cas 1 décès
Cas humains internationaux d'infection par la grippe porcine Voir : Organisation mondiale de la santé
Désinformation médiatique
Des reportages font état de centaines d'écoliers new-yorkais suspectés d'être atteints de la grippe porcine . Cependant, les analyses de laboratoire n'ont fourni aucune preuve corroborant l'incidence de la souche H1N1 de la grippe porcine. Il est fort probable que les enfants souffraient de la grippe, une maladie fréquente au mois d'avril. « Tous les cas étaient bénins, aucun enfant n'a été hospitalisé, aucun enfant n'était gravement malade », a déclaré le Dr Frieden. Les autorités sanitaires sont parvenues à leurs conclusions préliminaires après avoir effectué des tests virologiques sur des prélèvements nasaux ou pharyngés effectués sur les huit élèves, ce qui a permis d'éliminer d'autres souches de grippe. »
Des tests ont été effectués sur des écoliers de Queen's, mais ils n'ont pas été concluants : parmi ces « centaines d'écoliers », aucune analyse de laboratoire n'a permis d'identifier le virus de la grippe. En réalité, les rapports sont contradictoires : selon eux, le CDCP, basé à Atlanta, est « le seul laboratoire du pays à pouvoir confirmer la nouvelle souche de grippe porcine, identifiée comme H1N1 ». (NYT, 25 avril 2009)
La grippe est une maladie courante. Sans un examen approfondi en laboratoire, l'identité du microbe ne peut être établie.
Il est révélateur que le CDCP, basé à Atlanta, joue un rôle clé dans l'identification du virus pour le compte de plusieurs pays d'Amérique latine, dont le Mexique, le Guatemala, le Salvador et le Costa Rica. Le 30 avril, le gouvernement américain a établi un laboratoire du CDCP au Mexique. Autrement dit, une agence gouvernementale américaine monopolise la réalisation des tests, des données et des analyses en laboratoire.
Médecine intégrative : une frontière sans fin. Dr James Lyons-Weiler
Tout le monde le sait — alors pourquoi n’avons-nous pas changé les règles ?
Par le Dr James Lyons-Weiler Recherche mondiale, 8 juin 2025
En science, les changements de paradigme commencent souvent par un discret « c'est bizarre ». Mais dans l'économie politique de l'innovation biomédicale, les vérités les plus accablantes commencent par : « Tout le monde le sait. »
Chacun sait que les universités américaines, financées par les contribuables, mènent la recherche fondamentale qui mène à la plupart des nouveaux médicaments. Chacun sait que les laboratoires pharmaceutiques interviennent une fois le risque écarté, concèdent des licences sur les découvertes et les monétisent grâce à des monopoles. Chacun sait que les prix des médicaments sont exorbitants, que l'accès est limité et que les composés naturels et les approches intégratives sont structurellement exclus – non pas parce qu'ils sont inefficaces, mais parce qu'ils ne peuvent être détenus.
La question n'est donc pas de savoir ce que nous savons, mais pourquoi, sachant tout cela, nous n'avons pas changé les règles.
De récents articles de célébration, comme celui publié dans STAT par Kinch et Gardner , vantent la statistique « stupéfiante » selon laquelle 50 % des nouveaux médicaments approuvés par la FDA entre 2020 et 2024 étaient basés sur des brevets universitaires, dont 87 % provenaient d'institutions américaines. Stupéfiant ? Seulement si vous dormez depuis l'adoption de la loi Bayh-Dole en 1980. L'article vante le jeu des publics et des privés sans se poser la question : où est le retour sur investissement public ? Où est le contrat moral entre financement public, profits colossaux et accès public ? Où est le plan pour réparer ce que nous savons tous être brisé ?
Voyons pourquoi la plupart d’entre nous à la fête restent sobres et voyons ce qui reste inchangé.
La loi Bayh-Dole visait à garantir la commercialisation des découvertes financées par le gouvernement fédéral au bénéfice du public. Mais elle a au contraire créé une nouvelle forme de recherche de rente universitaire. Les universités mesurent désormais leur succès non pas à l'aune de la guérison ou de l'accès, mais à l'aune de leurs portefeuilles de brevets et de leurs revenus de licences. Les enseignants sont contraints d'obtenir des droits de propriété intellectuelle et de créer des entreprises dérivées. Les droits d'accès qui étaient censés garantir l'accès public n'ont jamais été utilisés.
Au début des années 2000, alors que j'étais conférencier plénier lors d'une conférence pharmaceutique dans le New Jersey, j'ai directement conseillé les entreprises pharmaceutiques : si vous souhaitez commercialiser des composés naturels, faites pression sur le Congrès pour qu'il crée une fenêtre de profit de 20 ans liée à la recherche clinique. Mettez en place une structure qui récompense la validation des acquis de la nature. Elles ont décliné. J'ai décliné leurs nombreuses offres d'emploi.
L'industrie pharmaceutique a plutôt opté pour une stratégie différente : alléger les contraintes réglementaires, supprimer la responsabilité et accélérer le traitement des produits à risque. Elle a exploité des mécanismes juridiques comme la loi PREP pour se soustraire à ses responsabilités. Elle a manipulé le système pour maximiser son rendement, et non pour élargir l'accès. Parallèlement, des composés naturels prometteurs restent négligés, faute d'incitation à investir sans exclusivité.
Prenons l'exemple de la curcumine, l'ingrédient bioactif du curcuma. Malgré des preuves substantielles, évaluées par des pairs, de ses effets anti-inflammatoires et anticancéreux, elle reste encore peu développée commercialement. Pourquoi ? Parce qu'aucune entreprise ne peut la breveter sous sa forme naturelle. Qu'en est-il de son efficacité accrue en l'associant au poivre noir ? Pas de publicités alléchantes à la télévision pendant le Superbowl pour ce petit bijou de savoir-faire. Car s'ils l'étudient, ils risquent de perdre leur droit de commercialisation. S'ils la modifient, ils compromettent son intégrité. Et selon les règles actuelles de la FDA, tout médicament étudié ne peut plus être commercialisé comme complément alimentaire.
Ainsi, nous restons collectivement ignorants alors que nous et nos proches tombons de plus en plus malades.
Nous avons également échoué à reconnaître et à encourager l'innovation en matière de processus. La médecine intégrative repose sur des soins basés sur des protocoles : des combinaisons soigneusement séquencées de régime alimentaire, de thérapie comportementale, de micronutriments, d'extraits de plantes et, oui, parfois, de produits pharmaceutiques. Ce ne sont pas des pilules, ce sont des systèmes. Mais le système ne récompense que des objets distincts et accessibles. Le NIH refuse de financer les protocoles intégratifs. La FDA refuse de les réglementer. Le capital-risque n'y touchera pas. Par conséquent, les patients en bénéficient rarement à grande échelle.
Et pourtant, sur un marché de consommateurs confrontés à des maladies chroniques, ils sont devenus le bien le plus précieux.
La culture médicale est désormais structurée autour de cette économie d'exclusivité forcée. Les chaires universitaires sont financées par des donateurs en phase avec l'industrie. Les priorités académiques reflètent ce qui est brevetable et transférable technologiquement, et non ce qui est efficace. Les modalités intégratives, qui résistent à la réduction à des molécules uniques ou à des cibles génétiques, sont écartées comme non scientifiques, non pas par manque de preuves, mais par manque de financement.
Tout le monde le sait.
Alors pourquoi n’avons-nous pas changé les règles ?
Parce qu'il n'existe aucun mécanisme. Aucun cadre ne permet une exclusivité partielle sans monopole total. Il n'existe pas de modèle de valeur partagée pour la R&D en médecine naturelle. Il n'existe pas de cadre réglementaire pour les protocoles thérapeutiques multi-agents ou non linéaires. Et rien n'incite les institutions bien établies à agir en premier.
Mais quelqu'un doit le faire.
Nous avons besoin d’une nouvelle structure, non pas pour détruire l’innovation pharmaceutique, mais pour la libérer de ses instincts les plus étroits.
Réforme de Bayh-Dole pour rendre obligatoires les droits de manifestation et le retour du public. Créer une nouvelle catégorie réglementaire pour l’innovation naturelle à valeur partagée. Financer les essais du NIH pour les protocoles basés sur les systèmes et intégratifs, avec des licences en libre accès. Reconnaître et récompenser légalement les brevets de procédé sans exiger de monopoles sur les produits. Construisons une économie de la guérison qui privilégie les résultats à la propriété. Investissons dans des modèles médicaux efficaces, même si personne ne peut les posséder. Redéfinissons le succès en médecine, non pas par les revenus, mais par la résilience, la régénération et la portée.
La médecine intégrative n'est pas marginale. C'est l'avenir que nous étions trop occupés à construire. Mais la frontière est toujours là. Elle a juste été clôturée. Et c'est nous qui avons construit cette clôture.
Nous pouvons démolir la maison ou ajouter une extension.
La question n’est plus de savoir ce que nous savons.
Le Paracétamol/Acétaminophène est-il un candidat sérieux parmi les causes de l‘autisme ?
Dr. Jean-François Lesgards, France-Soir le 08 juin 2025 - 18:00
Robert F. Kennedy Jr, le secrétaire américain à la Santé (U.S. Department of Health and Human Services (HHS)), s'est engagé à ce que la principale agence de santé des États-Unis, détermine la cause de l'autisme d'ici au mois de septembre.
Aux USA, en effet, selon les estimations du Réseau de surveillance de l'autisme et des troubles du développement des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), environ un enfant sur 44 reçoit un diagnostic de trouble du spectre autistique (TSA) (Malwane MI et al., 2022). Ces chiffres sont en augmentation constante et préoccupante depuis des décennies.
La prévalence de l'autisme est plus de quatre fois plus élevée chez les garçons que chez les filles. L’autisme ou le TSA s'accompagne fréquemment de troubles concomitants, notamment l'épilepsie, la dépression, l'anxiété et le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles du sommeil et d'automutilation (Yang T. et al., 2022). Les personnes autistes présentent des déficits cognitifs atypiques, tels que des troubles de la cognition et de la perception sociales, des dysfonctionnements exécutifs, ainsi que des anomalies de perception et de traitement de l'information.
Causes probables généralement évoquées pour la genèse de l’autisme En fait, depuis des années déjà, des travaux de recherche ont commencé à tenter d’identifier différents facteurs potentiels clés dans le déclenchement de cette pathologie depuis le début de la vie dans l’utérus (phase in utero), comme des complications durant la grossesse ou à la naissance, des infections in utero et infantiles, des médicaments pris par la mère pendant la grossesse, mais aussi avant (Good P et al., 2018) (Fallon J., 2018). L’exposition de la mère comme de l’enfant à des facteurs environnementaux, telle que des substances chimiques une exposition à certains polluants ou métaux lourds (phtalates, mercure (Hg), plomb (Pb), dioxines) ou encore même la qualité de l’air, sont des facteurs à prendre en compte (Nevison CD, 2014).
Sur les médicaments, des méta-analyses ont montré, par exemple, que les enfants exposés in utero au valproate, présentent un risque huit fois plus élevé de développer un trouble du spectre de l'autisme (TSA) (Gardener H et al., 2009) (Chaste P and Leboyer M, 2012) (Rasalam AD et al., 2005).
En général, les facteurs génétiques (transcription des gènes, la traduction de l'ARN, les modifications épigénétiques post-traductionnelles) et environnementaux jouent un rôle essentiel dans l’étiologie de l’autisme (Höfer J, et al., 2019) (Wang L. et al., 2023).
Robert F. Kennedy Jr s’intéressent aussi comme beaucoup de chercheurs et médecins, au rôle potentiel des composants des vaccins conventionnels pour les nourrissons et enfants en bas âge, en particulier les conservateurs mais aussi les adjuvants ajoutés pour booster l’efficacité de la réponse aux vaccins, qui est en pratique, une façon de faire plus d’argent avec moins de quantités de vaccin. En effet, pour réduire la dose d’antigène (qui va provoquer la création d’anticorps par l’organisme), des adjuvants sont incorporés dans la solution injectée. Le but d'un adjuvant immunitaire est de renforcer votre réponse immunitaire en faisant surréagir le système immunitaire face à l'introduction du virus contre lequel vous êtes vacciné. On peut ainsi obtenir davantage de doses individuelles pour les campagnes de vaccination de masse, ce qui est un des objectifs du gouvernement et des compagnies pharmaceutiques.
Concernant les adjuvants et autres produits ajoutés, ils sont nombreux à être possiblement impliqués, bien qu’à ce jour, un lien de causalité clair n’a pas été établi :
Hydroxyde d’aluminium : bien que le corps élimine l’aluminium, cette élimination ne semble pas totale (Exley C et al., 1996) (Moore PB et al., 2000) (Greger JL et al., 1997) (Iyengar GV et al., 1998). La présence d’aluminium dans le tissu cérébral constitue une intoxication et pourrait être une des causes de l’autisme ainsi que de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer (Bryliński Łet al., 2023) (Sulaiman R et al., 2020) (Mold M et al., 2018). Mais ces questions sont toujours largement sujettes à débat et le travail commandé sur le sujet par RFK Jr permettra surement d’être mieux fixé sur ce point (Willhite CC et al., 2014) (Goullé JP, Grangeot-Keros L, 2020).
Thiomersal contenant du Mercure (conservateur) : le mercure et une substance connue pour sa toxicité, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l’intestin, la mœlle osseuse et les reins. D’infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau).
Formaldéhyde (formol) : constituant principal des substances employées dans l’embaumement ; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques ; suspecté d’occasionner des problèmes gastro-intestinaux ; poison violent pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.
Glutaraldéhyde : poison s’il est ingéré ; responsable de malformations néonatales chez les animaux d’expérimentation. https://santegagnac.canalblog.com/archives/2012/01/23/24328096.html L'objectif de cet article est de faire connaitre mieux au public les risques potentiels de l’utilisation du Paracétamol/Acétaminophène dans la genèse de l’autisme, en particulier après la période COVID que nous venons de traverser où la consommation de ce produit a été massive !
En effet, la consommation de Paracétamol/Acétaminophène chez la femme enceinte et l’enfant en bas âge est une piste sérieuse et documentée pour l’autisme.
Etudes cliniques montrant un lien entre Paracétamol/Acétaminophène et autisme Le lien entre consommation de paracétamol et le développement de l’autisme a été observé dans de nombreuses études, aussi bien avec une exposition prénatale que périnatale (Bittker SS, Bell KR and 2020) (Ji Y et al., 2020). Les auteurs Ji Y et al., 2020 précisent : « Nos résultats appuient des études antérieures concernant l'association entre l'exposition prénatale et périnatale à l'acétaminophène et le risque de neuro-développement chez l'enfant et justifient des investigations supplémentaires du trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité et trouble du spectre autistique (TSA) (Ji Y et al., 2020) ».
Cette étude de cohorte prospective venant de la prestigieuse université Johns Hopkins et publiée dans le JAMA, a analysé 996 dyades mère-enfant, suivies au Boston Medical Center du 1ᵉʳ octobre 1998 au 30 juin 2018. Elle a aussi été publiée par le site du NIH, l’agence principale responsable de la recherche et de son financement aux États-Unis. Une augmentation d’un facteur 2,26 (Intervalle de Confiance à 95 %, 1,40-3,69) à 3,62 (IC à 95 %, 1,62-8,60) pour le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) et de 1,6 à 4,1 pour l’augmentation de l’autisme ont été observés.
D’autres grandes études de cohortes (Alemany S et al., 2021), dont une sur plus de 48 631 enfants et un suivi de 12,7 ans ont révélé que l'exposition gestationnelle à l'acétaminophène était associée à un risque accru de trouble du spectre autistique lorsqu'un trouble hyperkinétique (« syndrome d'hyperactivité ») était également présent (Andrade C et al., 2016).
Des scientifiques notent que le développement de l’autisme est parallèle à son utilisation pour remplacer l’aspirine :
« Des preuves considérables appuient cette affirmation, notamment l'augmentation exponentielle de l'incidence de l'autisme depuis 1980, lorsque l'acétaminophène a commencé à remplacer l'aspirine chez les nourrissons et les jeunes enfants. » (Good P, 2009). L'impulsion de ce changement a été faite par le CDC, prétendant que l'aspirine était associée au syndrome de Reye a depuis été démystifiée de manière convaincante.
L’auteur conclut : « Si l'aspirine n'est pas à craindre comme cause du syndrome de Reye et que l'acétaminophène est à craindre comme cause de l'autisme, l'épidémie d'autisme peut-elle être inversée en remplaçant l'acétaminophène par de l'aspirine ou d'autres remèdes ? »
Un mécanisme de sa toxicité a été proposé à travers le système endocannabinoïde (un système biologique composé de récepteurs qui réagissent à la présence d'endocannabinoïdes qui sont des neurotransmetteurs) (Schultz S et al., 2021).
Une étude norvégienne a trouvé des différences dans la méthylation de l'ADN dans le sang du cordon ombilical (modifications épigénétiques, c'est-à-dire dans l’environnement et l’expression des gènes), entre les enfants atteints du trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) exposés in utero durant plus de 20 jours au paracétamol, et les enfants atteints du même trouble qui n'avaient pas été exposés (Nilsen K et al., 2023). Les différences de méthylation portaient sur des gènes impliqués dans le stress oxydant (oxydation des cellules), les voies de la transmission neuronale et les voies de la transmission olfactive.
Par ailleurs, plus de 100 parents qui ont consommé ce médicament pendant leur grossesse affirment qu’il a causé l’autisme ou le trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité de leur enfant, bien que les données scientifiques derrière ces allégations soient obscures et des plaintes ont été déposées notamment par une femme du Nevada, Cherise Chapman, contre Johnson & Johnson, citant une déclaration de consensus de 2021 d'un groupe de 91 scientifiques, cliniciens et professionnels de la santé publique qui a conclu qu'il existe suffisamment de preuves pour que les professionnels de la santé et les étiquettes d'emballage mettent en garde les femmes enceintes contre le médicament (Bauer et al., 2021).
Depuis, une autre grande étude publiée aussi dans le JAMA (sur près de 2,5 millions d'enfants nés entre 1995 et 2019 en Suède dont 185 909 enfants soit 7,49 %, ont été exposés pendant la grossesse) prétend au contraire que l’utilisation d’acétaminophène pendant la grossesse n’était pas associée au risque d’autisme chez les enfants (Ahlqvist VH et al., 2024) mais après la désinformation scientifique que nous avons pu observer pendant la COVID, en particulier dans les grands journaux, la question reste entière.
Et, d'autres études récentes continuent de montrer une toxicité. Une étude récente a évalué les associations entre les biomarqueurs plasmatiques maternels de l'exposition au paracétamol (ou acétaminophène) et du trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) chez l'enfant et l'expression génétique placentaire chez 307 couples mère-enfant afro-américains. Dans l'ensemble, la détection du paracétamol dans le plasma au second trimestre était associée à une probabilité plus élevée de diagnostic de TDAH chez l'enfant (x 3,15, intervalle de confiance à 95 % : 1,20 à 8,29), associés à une régulation positive placentaire des voies du système immunitaire chez les femmes et à une régulation négative de la phosphorylation oxydative (fabrication d’énergie dans la cellule) chez les deux sexes (Baker BH et al., 2025). Chez les filles uniquement, le paracétamol prénatal était statistiquement associé à une probabilité accrue d’un facteur 5,22 (0,0456–13,1) de TDAH. Les modifications de l'expression génique, notamment la régulation positive du gène IGHG1 (immunité adaptative), ainsi que la régulation négative de la phosphorylation oxydative dans les mitochondries, pourraient être des liens mécanistiques avec le TDAH. Encore une fois, l’activité des mitochondries est clé dans le bon fonctionnement et développement du système nerveux et des fonctions cognitives (Khacho M et al., 2019).
Utilisation abusive chez la femme enceinte pendant la période COVID malgré ces études et l’alerte forte
On estime que 41 à 70 % des femmes enceintes déclarent prendre du paracétamol (Baker BH et al., 2025). Est-ce que les femmes enceintes ont été prévenues de cela en France, dans le cadre de la COVID ou en général par les agences de santé, les sociétés savantes et nos politiques qui sont si prompts à réagir à ce que dit la Science ? Au contraire, on lit au journal du 13 avril 2020 relativement à l’article L. 551 du Code de la santé publique sur Légifrance :
« Le paracétamol est utilisable à tous les stades de la grossesse et compatible avec l'allaitement, contrairement à l'aspirine et à l'ibuprofène, contre-indiqué dans ces deux circonstances ».
Code de la santé publique
- voir doc sur site -
De plus, pour ce qui concerne l’utilisation massive du paracétamol dans le COVID, la réalité est qu’aucune étude observationnelle ni randomisée (les fameuses RCT) n’a été réalisée sur ce médicament pour la population générale. D’autres chercheurs alertent sur ce sujet, dont l’auteur d’un travail sur la base de 2 356 articles scientifiques, et de déclarations individuelles d'effets indésirables du paracétamol dans la pharmacovigilance internationale, base de données VigiBase (Romanov BK, 2021). L’auteur note également qu’aucune revue systématique n'existe des articles et des essais cliniques sur la question de la sécurité du paracétamol utilisé dans le cadre du COVID-19. En comparant les années 2018/2019 et 2021/2021, Romanov BK observe que des effets indésirables graves pour le paracétamol ont été plus fréquents dans la période COVID (35,4 %) que dans la période pré-COVID (28,2 %), du 1er janvier 2020 au 31 juillet 2021 (Romanov BK, 2021). La fréquence relative de tous les décès, dans les cas des événements indésirables graves, ont également augmenté dans la période COVID (de 8,9 à 14,3 %).
L’utilisation excessive du paracétamol dans la COVID n’a donc pas été évaluée sérieusement et semble avoir en plus un effet néfaste sur la santé globale et sur les patients COVID, en particulier chez les personnes ayant des comorbidités, et semble même augmenter la gravité des symptômes et la mortalité, comme nous l’avions anticipé (L’utilisation du paracétamol dans la COVID: une erreur/obstination préjudiciable pour la santé ?, auteur(s) : Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard; Publié le 30 mars 2022).
Concernant l’utilisation chez la femme enceinte et les conséquences possibles pour l’autisme, l’utilisation massive de paracétamol, sans rappel de ces études préoccupantes, a été et demeure une gestion qui paraît clairement irresponsable ! En particulier en France où son utilisation exclusive, fait unique au monde, a été décidée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans un simple tweet, contre l’avis de toutes les agences de santé : OMS, CDC, EMA, FDA.
Alors que l’utilisation de l’ibuprofène, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), était beaucoup plus indiqué et recommandé aussi par toutes ces agences internationales.
Lire notre article à ce sujet : l'utilisation du paracétamol dans la COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé ?
Véran
Une simple phrase sans référence scientifique dans ce tweet, mais issue d’une interprétation personnelle erronée d’un passage d’un article (« ACE2 peut également être augmenté par les thiazolidinediones et l'ibuprofène »), dans le Lancet du 11 mars, qui traite du COVID et des diabétiques (Fang L et al., 2020), a été utilisée par Olivier Véran pour justifier des recommandations en faveur exclusivement du Paracétamol/Acétaminophène (Doliprane). Un autre Lancet gate ?
Le 16 mars, l’auteur principal de l’article du Lancet, le Dr Michael Roth, directeur d'un groupe de recherche au Département de biomédecine de l'Université et de l'Hôpital universitaire de Bâle, commente alors l’article et sa phrase relative à l’ibuprofene, probablement en réaction au tweet du ministre, puisque c’est avant les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA : « Ce soupçon, qui a été expressément formulé comme une hypothèse, s'adresse aux scientifiques en vue d'une enquête plus approfondie fondée sur des données supplémentaires sur les patients. Cela ne constitue pas une recommandation d'utiliser ou non certains médicaments. Les patients doivent toujours suivre les instructions données par leur médecin », déclare-t-il.
Le site de l’Université de Bâle poursuit : « En soi, l'enzyme ACE2 est une protéine très précieuse qui favorise la régénération des tissus. Des études antérieures ont montré que les inhibiteurs de l'ACE et les bloqueurs des récepteurs de l'angiotensine entraînent une formation accrue d'ACE2. Malheureusement, le coronavirus SARS-CoV-2 se lie à cette protéine et l'utilise pour pénétrer dans les cellules, où il se multiplie. » Et, selon le professeur Michael Roth, des relations similaires ont été décrites suite à la pandémie de SARS de 2002-2003.
Le site continue : « Certains patients souffrant de maladies cardiaques, d'hypertension ou de diabète sont, en effet, traités avec des médicaments qui augmentent la quantité d'ACE2. » Et, le Dr Roth conclut : « Pour cette raison, nous suggérons de poursuivre les recherches sur l'utilisation de ces médicaments chez les patients atteints de COVID-19 ».
En effet, comme on le sait déjà, la protéine ACE2, tout en étant le récepteur du virus SARS-CoV-2 joue un rôle très bénéfique dans la santé sur l’équilibre de la tension artérielle (système rénine-angiotensine), de l’inflammation et dans beaucoup d'aspects positifs dans la COVID, qui est une pathologie inflammatoire. Ainsi, se fonder sur une hypothèse ne privilégiant qu’un aspect simpliste de la question complexe de la maladie COVID et en faire une recommandation générale à ce moment de la pandémie, est un raccourci scientifique hasardeux aux conséquences potentiellement importantes. Depuis, des études ont montré que le paracétamol, comme l’ibuprofène, n’augmentait pas les niveaux d’ACE2 et que l’ibuprofène avait même une activité antivirale in vitro (de Bruin N et al., 2022).
D’ailleurs la préconisation d’utilisation de l’ibuprofène des grandes agences de santé comme le CDC et l’OMS sonnent comme un démenti du tweet d’Olivier Véran et le 27 mars 2020, seulement quelques jours plus tard, le Dr FitzGerald GA réagit dans le journal Science (FitzGerald GA, 2020) en accusant Olivier Véran de semer la confusion en ce début de pandémie :
« Alors que la pandémie de maladie à coronavirus 2019 COVID-19 continue de s'accélérer, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a semé la confusion en affirmant sur Twitter que des anti-inflammatoires comme l'ibuprofène ou la cortisone pourraient aggraver l'infection.
Cependant, les preuves scientifiques n'indiquent pas que la consommation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) met les patients à risque d'une maladie plus grave, alors qu'ils pourraient autrement avoir une infection légère ou asymptomatique par le syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus (SARS-CoV-2). Les personnes qui prennent des AINS pour d'autres raisons ne doivent pas arrêter de le faire de peur d'augmenter leur risque de COVID-19. »
Ceci a été repris dans le journal le Guardian (Willsher K, 2020).
Parmi les différentes voies de toxicité du paracétamol décrites dans notre article, la voie oxydative qui intervient à une moyenne de 10 % pourrait être impliquée. Associée au cytochrome P450, principalement les enzymes CYP2E1 et CYP2D6 (enzymes qui dégradent les médicaments et autres composés), elle aboutit à la formation de N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI (Gimenez F et al., 2012) (Lee SS et al., 1996) (Dong H et al., 2000). C’est ce dérivé du paracétamol qui est hautement toxique, du fait de sa capacité à se lier aux cellules du foie (hépatocytes), il peut en provoquer l’apoptose (mort cellulaire) jusqu’à la nécrose hépatocytaire ou hépatite cytolytique. Il est responsable de la néphrotoxicité du paracétamol. Il est ainsi responsable de près de 500 décès par an aux États-Unis, ainsi que de 100 000 appels aux centres antipoison américains, de 50 000 visites aux urgences et de 10 000 hospitalisations par an (Lee WM, 2017).
En conditions dites « thérapeutiques », le paracétamol (ou acétaminophène) est rapidement détoxifié par le glutathion (GSH), un petit tripeptide (3 acides aminés) composé d’acide glutamique, de cystéine et de glycine (Steventon GB et al., 1996). Le GSH est essentiel dans la lutte contre la toxicité du paracétamol. Gros consommateur de cet antioxydant, la prise de paracétamol peut effondrer les stocks de cet antioxydant majeur du corps humain. C’est par ce mécanisme, inhérent au fonctionnement du paracétamol, que le paracétamol est devenu, en quelques années, la cause numéro 1 de greffes hépatiques et une molécule régulièrement utilisé dans les tentatives de suicide.
L'aspirine, le Doliprane ou l'Advil, médicaments vendus sans ordonnance, ne seront plus en accès libre dans les rayons des pharmacies mais obligatoirement rangés derrière le comptoir à partir du 15 ja
Le glutathion est carrément le maître antioxydant dans l’organisme, qui permet de lutter contre le stress oxydant dans de nombreuses pathologies (Franco R. et al., 2007). Il est établi que le paracétamol génère du stress oxydant et notamment des radicaux libres (molécules oxydantes très réactives dont peroxynitrites en particulier) à l’intérieur des mitochondries (Knight TR et al., 2001) (Knight TR et al., 2002) (Bajt ML et al., 2003) (Ishitsuka Y et al., 2020) (Prasun P, 2021) (Ramachandran A and Jaeschke H, 2019).
Ainsi, le paracétamol diminue fortement les réserves de Glutathion (GSH) ce qui a pour conséquence d’augmenter le stress oxydant et l’inflammation.
Or les preuves s’accumulent selon lesquelles l’autisme et les TSA sont caractérisés par du stress oxydant et un dysfonctionnement du fonctionnement des mitochondries (la centrale énergétique de nos cellules) et une dérégulation de l’immunité et de l’inflammation (Gevezova M et al., 2020) (Rossignol DA and Frye RE., 2014) (Manivasagam T et al., 2020) (Yorbik O et al., 2002) (Chauhan, A et al., 2011) chez ces enfants, mais aussi chez leurs parents (Garrido N et al., 2021) (James et al., 2008).
Les enfants autistes ont de faibles niveaux d'activité des enzymes qui contrôlent l’oxydation de nos cellules comme le glutathion peroxydase (GSH-Px) et le superoxyde dismutase (SOD) (Yorbik O et al., 2002) ainsi que du glutathione (GSH), cet antioxydant majeur de l’organisme (Chauhan A et al., 2012) (Rossignol DA and Frye RE., 2014).
Ainsi, l’induction de l’autisme, pourrait être induite/médiée par la baisse du glutathion (GSH) et l’augmentation du stress oxydant et de l’inflammation dans le cerveau, notamment au niveau des neurones.
Il est donc à souhaiter que l’utilisation de ce produit et ses conséquences sur l’autisme soit analysées de très près par des équipes scientifiques indépendantes, sous la supervision de Robert F. Kennedy Jr et du directeur du NIH (National Institutes of Health (NIH, litt. « Instituts nationaux de la santé), le Dr Jay Bhattacharya.
Jean-François Lesgards est docteur en biochimie. Télécharger cet article au format PDF.
Les références scientifiques utilisées dans cet article sont dans la version PDF.
ndlr : les points de vue présentés dans cette tribune n'engagent que leur auteur et ne représentent pas la position officielle de la rédaction.
La réforme du vaccin contre la COVID-19 progresse plus lentement que beaucoup l'espéraient
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 6 JUIN 2025 - 20H05 Rédigé par Maryanne Demasi via The Brownstone Institute,
Trois semaines seulement après la prise de fonction du Dr Vinay Prasad à la tête de la FDA, le dernier vaccin de Moderna contre la Covid-19, mNEXSPIKE®, a reçu son approbation définitive.
Pour ceux qui espéraient que la plateforme à ARNm serait abandonnée, cette décision a été un coup dur.
Approuvé le 31 mai 2025, ce vaccin de nouvelle génération est destiné aux adultes de plus de 65 ans, ainsi qu'aux personnes âgées de 12 à 64 ans présentant au moins un facteur de risque de maladie grave.
Et ce, sous la direction d'un homme qui, depuis des années, exige une plus grande rigueur scientifique de la part de l'agence.
Prasad a été l'un des critiques les plus virulents de la FDA pendant la pandémie, condamnant à plusieurs reprises son recours à des critères d'évaluation de substitution, tels que les taux d'anticorps, plutôt qu'à des résultats cliniques concrets comme la réduction des hospitalisations ou des décès.
Et il ne l'a pas dit une seule fois. Il a enfoncé le clou, à maintes reprises.
« Montrer que les rappels améliorent les anticorps neutralisants ou d'autres mesures de laboratoire n'est pas ce dont nous avons besoin », a-t-il publié sur X en juillet 2022.
« Nous avons besoin d'essais contrôlés randomisés axés sur des critères d'évaluation cliniques montrant que les rappels améliorent les résultats importants pour les patients.»
En janvier 2023, il a cosigné une pétition citoyenne officielle adressée à la FDA, déclarant : « Ce critère d'évaluation de substitution immuno-pont n'a pas été validé pour prédire l'efficacité clinique.»
Puis, en mars 2023, il a clarifié sa position sur Substack. « Je me fiche des niveaux transitoires de titres d'anticorps », a-t-il écrit.
Or, mNEXSPIKE® semble avoir été approuvé principalement sur la base de ce type de données : des mesures de la réponse immunitaire, et non des mesures de résultats significatifs.
Alors, comment concilier tout cela ?
Techniquement, cette approbation est conforme à la politique décrite par Prasad dans un article récent du New England Journal of Medicine.
Il y proposait un système à deux vitesses : aucune nouvelle approbation de vaccin pour les adultes en bonne santé sans ECR démontrant un bénéfice clinique ; cependant, pour les personnes âgées et les personnes à risque, les données d'immuno-relais pourraient rester acceptables.
Donc, oui, selon ce critère, mNEXSPIKE® répond aux critères.
Mais cela ne dissipe pas le malaise. Car pendant des années, Prasad a insisté sur le fait que ces mêmes raccourcis – approuver les vaccins contre la Covid sur la base des taux d'anticorps plutôt que des résultats cliniques – étaient scientifiquement fragiles.
Aujourd'hui, sous sa direction, ces mêmes raccourcis sont de retour.
Lorsque Robert F. Kennedy, Jr. a été nommé secrétaire au HHS, la réforme ne semblait pas seulement probable, elle semblait imminente.
Beaucoup s'attendaient à ce que les vaccins à ARNm soient retirés du marché, ou, à tout le moins, à ce que les nouvelles autorisations soient gelées jusqu'à l'apparition de preuves plus solides.
Au lieu de cela, nous avons assisté à une avalanche de vidéos de haute volée et de slogans polis sur le thème de « restaurer la confiance du public ».
Pour de nombreux observateurs, cela ressemble à de la transparence en surface, mais au fond, à une routine.
Bien sûr, personne n'a dit que ce serait facile.
Ayant travaillé comme conseiller politique au sein du gouvernement, je sais combien il est difficile de faire évoluer des systèmes non seulement lents et bureaucratiques, mais aussi profondément liés à des intérêts commerciaux. Et aucun secteur n'est plus investi dans l'ARNm que celui des biotechnologies.
Il ne s'agit plus seulement de la Covid. L'industrie pharmaceutique a investi des milliards dans des vaccins à ARNm contre le VRS, la grippe, le VIH, le cancer, etc. Des filières de produits entières reposent désormais sur l'hypothèse que cette technologie est là pour durer.
Débrancher le vaccin ne modifierait pas seulement la politique de santé publique : cela ruinerait les portefeuilles, saperait les budgets de R&D et déclencherait une tempête politique et financière provoquée par certains des intérêts corporatifs les plus puissants de la planète.
C’est le genre de pression que Prasad subit actuellement. C’est la réalité à laquelle l’équipe de Kennedy est confrontée.
Il ne s’agit plus d’un affrontement entre la science et l’idéologie, mais entre la science et le pouvoir industriel bien établi.
Et nombreux sont ceux qui commencent à craindre que nous assistions à la même évolution, avec juste une meilleure image de marque.
Ce n’est pas ce qu’espéraient les partisans de MAHA ou les familles victimes de la vaccination. Ils ne demandent pas de modifications. Ils veulent la disparition des vaccins. Pas une révision. Pas une mise à jour, juste leur disparition.
Mais la réalité politique suit rarement la demande publique. Même les réformateurs les plus déterminés ne peuvent pas aller plus vite que la machine qu’ils tentent de démanteler.
Alors, où cela nous mène-t-il ?
Face à la tâche la plus difficile : rester dans le combat.
Les progrès peuvent sembler lents, mais ils sont en cours.
Les CDC ont supprimé les recommandations de vaccination systématique contre la Covid-19 pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes.
Le nouveau cadre de Prasad a suspendu les autorisations de mise sur le marché de vaccins à faible risque, sauf si elles sont étayées par des ECR.
Oui, la plateforme d'ARNm est toujours vivante – et toujours farouchement protégée – mais la réforme n'allait pas être facile. Et elle n'allait pas se faire d'un seul coup.
L'attaque en trompe-l'œil de Peter Daszak contre le Dr Bhattacharya
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 6 JUIN 2025 - 4H35 Rédigé par Randall Bock via le Brownstone Institute,
Les récents messages de Peter Daszak (2 juin 2025) qualifiant le Dr Jay Bhattacharya, nouveau directeur du NIH, de « luddite anti-science » qui « détruit la santé publique » sont un véritable exemple de projection.
Daszak, ancien directeur de l'EcoHealth Alliance (facilitateur et complice de cette récente pandémie, comment l'appelait-on ? Ah oui, SARS-CoV-2 Covid-19), accuse Bhattacharya de mener une « vendetta contre le NIH » et affirme que ses politiques coûteront des vies, tout en pointant du doigt des organisations comme le Brownstone Institute, accusées de participer à un complot d'extrême droite (quelle originalité !) visant à démanteler la science. Mettons fin au bruit.
Qualifier Bhattacharya d'anti-science est absurde. Ancien professeur à Stanford et co-auteur de la Déclaration de Great Barrington, Bhattacharya a toujours défendu une santé publique fondée sur des preuves, plaidant pour un débat scientifique ouvert plutôt que pour des politiques dogmatiques. Son intérêt pour les approches fondées sur les données – comme la prise en compte de l'immunité naturelle et des méfaits du confinement – lui a valu la censure sous l'administration précédente. Sa direction au NIH promet transparence et rigueur, deux qualités qui semblent terrifier Daszak, opérant sans le parachute doré du Dr Fauci (son précédent sponsor), la grâce Biden/autopen.
Parlons maintenant de la vision de Daszak de la « science ». Sous sa direction, EcoHealth Alliance a versé l'argent des contribuables américains à l'Institut de virologie de Wuhan (IVW) pour des recherches sur le gain de fonction des coronavirus de chauve-souris, recherches qui pourraient avoir contribué à la propagation du nouveau coronavirus à Wuhan.
Comme je l'ai détaillé dans mes articles pour Brownstone, la collaboration de Daszak avec Zhengli-Li Shi, la « femme chauve-souris » du IVW, impliquait de modifier des coronavirus pour les rendre plus infectieux pour l'homme, ce qui correspondait à la définition même du gain de fonction du NIH, malgré ses dénégations. Ce deuxième article n'a été publié qu'après les intimidations d'EcoHealth Alliance. Lorsque j'ai souligné la complicité d'EcoHealth dans mon article initial sur le gain de fonction du Dr Anthony Fauci, les sbires de Daszak ont tenté de contraindre Brownstone à retirer cette référence.
En vain, il m'a bloqué sur X pour échapper à toute responsabilité.
N'est-ce pas « scientifique » ? Bloquer quelqu'un parce qu'il soulève des questions légitimes sur son rôle dans une pandémie mondiale n'est pas la marque d'un scientifique, mais celle de quelqu'un qui a quelque chose à cacher.
Les attaques de Daszak contre Bhattacharya détournent l'attention de ses propres échecs. Pourquoi des fonds américains ont-ils été envoyés à un laboratoire contrôlé par le PCC et mal supervisé, au lieu d'être dirigés vers des alliés de confiance ? Pourquoi ce manque de transparence ? Ces questions restent sans réponse, et ses tentatives de faire taire les critiques – comme moi – ne font qu'accroître les soupçons sur les actions d'EcoHealth.
La science se nourrit du débat ouvert, et non de la censure. Bhattacharya représente un retour à ce principe au NIH, tandis que le comportement de Daszak – bloquer les dissidents et éluder les questions difficiles – illustre bien la réalité de l'antiscience. Le public mérite mieux, et avec Bhattacharya à la tête du NIH, nous pourrions enfin l'obtenir.
N'OUBLIEZ JAMAIS : L'EcoHealth Alliance de Peter Daszak a tenté d'étouffer et de faire rétracter par Brownstone mon propre « gain de fonction » du Dr Anthony Fauci – 9 octobre 2023.
Au lieu de cela, j'ai approfondi mes recherches, redoublé d'efforts et publié ceci : « Les aventures de l'EcoHealth Alliance sur le virus de Wuhan » – 22 octobre 2023.
Après quoi, zut ! Peter Daszak m'a bloqué sur X.com. L'essence même des tyrans est la lâcheté.
Voir également « L'ADN de la bienveillance » de Fauci, par Randall Bock, 9 août 2024, Brownstone.org.
Kash Patel annonce une nouvelle découverte qui pourrait enfin faire tomber Fauci
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 8 JUIN 2025 - 00H40 Via VigilantFox.com
Le directeur du FBI, Kash Patel, s'est entretenu avec Joe Rogan à Austin, au Texas, où il a fait une série de révélations sur l'enquête en cours du FBI sur Jeffrey Epstein, notamment la promesse de diffuser les images de surveillance des cellules de prison et de nouvelles preuves susceptibles d'impliquer Anthony Fauci.
Kash Patel n'a pas perdu de temps. Il a commencé par une statistique que la plupart des Américains n'ont probablement jamais entendue – et c'était une statistique importante.
Pendant le premier mandat de Trump, Patel était responsable de la lutte contre le terrorisme à la Maison Blanche et au Conseil de sécurité nationale. À ce titre, il a contribué à l'une des réalisations les plus méconnues de l'administration.
« Les otages, on peut en parler indéfiniment », a déclaré Patel. « La lutte contre le terrorisme était un portefeuille important, je l'ai géré pour la Maison-Blanche et le Conseil de sécurité nationale sous la première administration Trump. »
Puis il a lâché le chiffre : « Nous avons ramené – les gens ne le savent pas – le président Trump lors de son premier mandat, ramené et secouru plus de 50 otages et détenus du monde entier.» Il a ajouté : « C'est plus que tous les présidents avant lui réunis.»
Patel expliqua que presque personne n'était au courant de ces sauvetages. Ces missions ne faisaient pas la une des journaux, et les histoires de familles réunies après des opérations dangereuses dans des régions comme l'Afrique et le Moyen-Orient étaient généralement ignorées.
« Avez-vous entendu parler des succès rencontrés par les familles réunies avec des proches disparus en Afrique ou au Moyen-Orient ?» demanda-t-il.
Il raconta ensuite comment Trump avait personnellement approuvé des missions à haut risque, envoyant des forces d'élite en territoire hostile pour rapatrier des personnes. « Ces opérations, le président a eu le courage de les autoriser à se rendre dans des endroits comme l'Afghanistan pour mener des opérations de libération d'otages, et à utiliser les forces spéciales Seal Team Six et Delta », a-t-il déclaré.
S'entretenant avec Joe Rogan, il a commencé par une statistique stupéfiante, que peu d'Américains ont entendue.
Pendant le premier mandat de Trump, Patel a dirigé les opérations antiterroristes pour la Maison Blanche et le Conseil de sécurité nationale.
À ce titre, il a supervisé… pic.twitter.com/RJY3WtbORj — The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
De là, la conversation a porté sur une crise d'un tout autre genre, qui se déroulait ici même aux États-Unis et avait coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes : le fentanyl.
Patel n'a pas mâché ses mots quant à ses auteurs. « Alors, où est la racine du problème ? Le PCC », a-t-il dit, désignant directement le Parti communiste chinois.
Ce point de la discussion a pris une tournure plus sombre.
Patel a expliqué que si la Chine ne produit pas elle-même le fentanyl, elle joue un rôle central en fournissant les ingrédients chimiques bruts utilisés pour sa fabrication. « Les précurseurs du fentanyl, la substance nécessaire à sa fabrication, viennent de Chine continentale. C'est tout.»
Il a précisé que des centaines d'entreprises chinoises sont impliquées dans la production en masse et l'exportation de ces précurseurs dans le monde entier. La plupart d'entre elles atterrissent au Mexique, où les cartels transforment les produits chimiques en fentanyl et le font passer en contrebande à travers la frontière.
« Ils disent : "Nous ne fabriquons pas de fentanyl". Ils ont raison, ils n'en fabriquent pas », a déclaré Patel. « Ils vous fournissent simplement tous les ingrédients et expédient le tout au Mexique.»
Pour redorer son blason à l'international, Patel a déclaré que le PCC avait annoncé l'interdiction d'un précurseur spécifique. Mais c'était un tour de passe-passe.
« Pour tromper le monde, ils ont déclaré : "Hé, on ne vendra pas de précurseur X." Le problème, c'est qu'il existe 14 autres précurseurs utilisables pour fabriquer du fentanyl, et ils continuent de les expédier. »
Alors que les décès par overdose continuent de grimper aux États-Unis, la Chine parvient à rester discrète dans la crise, du moins sur le papier.
De là, la conversation s'est orientée vers une crise d'un tout autre genre, celle qui a fait des dizaines de milliers de morts sur le sol américain : le fentanyl.
Patel n'a pas hésité à désigner le coupable : le Parti communiste chinois.
« Alors, où est la racine du problème ? Le PCC. »
Voici… pic.twitter.com/saL30clFJl
— The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025 La révélation suivante semblait tout droit sortie d'un thriller d'espionnage.
À son arrivée au FBI, Patel a découvert une salle de données secrète dissimulée dans le bâtiment Hoover – une pièce qu'il prétendait avoir été délibérément dissimulée à l'époque où James Comey travaillait au FBI.
« En tant que directeur du FBI, à mon arrivée au FBI, j'ai découvert une pièce que Comey et ses collègues avaient cachée au monde dans le bâtiment Hoover, remplie de documents et de disques durs d'ordinateurs que personne n'avait jamais vus ni entendus.»
Rogan, visiblement choqué, s'est exclamé : « Quoi ?… »
Patel a décrit une pièce sécurisée, verrouillée et enfouie profondément, dont l'accès était si étroitement contrôlé que son existence même était inconnue de la plupart.
« J'ai verrouillé la clé et caché l'accès, et j'ai juste dit que personne ne trouverait jamais cet endroit. »
Rogan, encore : « Quoi ?! » ( “Whaaaaaaat?!”)
Patel poursuivit : « Oui, donc mes gars sont en train de fouiller là-dedans. »
Rogan demanda : « Qu'est-ce qu'il y a là-dedans ? »
Patel répondit : « Beaucoup de choses. »
La révélation suivante ressemblait à un roman d'espionnage.
Lorsque Patel arriva au FBI, il découvrit une salle de données cachée dans le bâtiment Hoover – une salle, dit-il, qui avait été dissimulée à l'époque de James Comey.
Moi, en tant que directeur du FBI, quand j'ai été… pic.twitter.com/HwkUrAjL19 — The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
S'en est suivi ce que Patel a décrit comme le bain de sang de Biden à la frontière.
C'est une crise que beaucoup ont balayée d'un revers de main, la qualifiant de résultat d'une mauvaise gestion, mais Patel a affirmé qu'elle était bien plus délibérée.
Rogan a posé la question sans détour : « S'agit-il [de l'ouverture des frontières] de pure incompétence ? Ou de malveillance ?»
Patel n'a pas hésité. « Non, c'est intentionnel.»
Il a expliqué que l'administration Biden avait pris une décision politique claire et consciente, ouvrant la voie à des millions d'entrées illégales, en pleine conscience des conséquences.
« Quand on va laisser entrer, qu'est-ce que c'est ? 9 millions de personnes ? Beaucoup d'entre elles seront des criminels. »
Pour Patel, les résultats n'étaient pas seulement prévisibles, ils étaient inévitables.
L'affaire suivante était le massacre à la frontière de Biden.
Patel a confirmé ce que de nombreux médias ont qualifié de théorie du complot.
La crise à la frontière sud était-elle due à de l'incompétence ou à un calcul plus précis ?
Rogan a posé la question directement.
« Est-ce [une frontière ouverte]… pic.twitter.com/849w1rUzac — The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
Finalement, la conversation a porté sur l'un des sujets les plus controversés de la dernière décennie : Jeffrey Epstein.
Patel et le directeur adjoint Dan Bongino avaient récemment fait sensation en déclarant sans équivoque qu'Epstein s'était suicidé, une explication que de nombreux Américains n'acceptent toujours pas.
Le public exige des réponses depuis des années. Où sont les dossiers ? Y a-t-il des images ? Les puissants étaient-ils protégés ?
Rogan a insisté auprès de Patel pour plus de clarté.
Patel a promis la transparence, mais avec des limites claires. « Nous allons vous donner tout ce que nous pouvons, et il faut que les gens se souviennent que nous n'allons pas victimiser à nouveau les femmes », a-t-il déclaré. « Nous ne remettrons pas ces conneries sur la table. »
Puis est venue la question que tout le monde attendait : « Y a-t-il une vidéo de l'île ?» a demandé Rogan.
Patel a été direct. « Pas de ce que vous voulez… Si je l'avais, je serais le premier à porter cette affaire devant les tribunaux.»
Il a souligné que lui et son équipe avaient passé au peigne fin tous les dossiers auxquels ils étaient légalement autorisés à accéder, et que ce qu'ils avaient trouvé ne corroborait pas le récit populaire. « Je suis arrivé il y a 100 jours. Je ne peux pas être tenu responsable de 20 ans d'échecs », a-t-il déclaré.
Et si des preuves accablantes ont existé, Patel a admis qu'il est tout à fait possible qu'elles aient été effacées depuis longtemps.
Finalement, le cas d'Epstein a été évoqué.
Patel et le directeur adjoint Dan Bongino avaient récemment fait la une des journaux en affirmant catégoriquement que Jeffrey Epstein s'était suicidé, un point que de nombreux Américains remettent encore en question.
Le public exige des réponses depuis longtemps : où sont les dossiers ? Existe-t-il une vidéo ?… pic.twitter.com/MRkpl2GxZW — The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
Mais le moment le plus explosif de l'interview a eu lieu lorsque Patel a porté son attention sur le Dr Anthony Fauci.
Ce fut l'effet d'une bombe.
Après des années d'obstruction, de disparition de dossiers et de questions sans réponse, une avancée majeure était enfin arrivée : les téléphones et les disques durs de Fauci datant de l'époque de la COVID, que l'on croyait disparus, avaient été retrouvés.
« Nous venons de faire une avancée majeure cette semaine concernant Fauci », a révélé Patel.
Le FBI enquêtait sur les origines de la COVID, mais un problème majeur subsistait : les communications de Fauci pendant les mois les plus cruciaux de la pandémie étaient introuvables.
« Et personne ne les avait trouvées… jusqu’à il y a deux jours.»
Les disques durs originaux sont désormais en main. Patel a clairement défini sa mission : « Ce type a-t-il menti ? A-t-il intentionnellement trompé le monde et causé d’innombrables morts ?»
Il a souligné qu’il ne s’agissait pas d’une question de politique, mais d’une question de responsabilité. « La meilleure preuve est toujours celle du peuple », a-t-il déclaré.
« Nous allons exploiter ces disques durs… Nous n’avons pas terminé. Nous sommes sur l’affaire.»
S’il existe des preuves que Fauci a manipulé des données, dissimulé des dissidents ou façonné le récit pour servir un agenda politique, Patel pense qu’elles pourraient se trouver sur ces appareils.
Et cette fois, dit-il, la vérité ne sera pas enterrée.
Mais le moment le plus explosif de l’entretien a eu lieu lorsque Patel s’est tourné vers Fauci.
Ce fut une véritable bombe.
Après des années de retards, d'excuses et de documents manquants, ses téléphones et appareils datant de l'époque de la COVID ont enfin été retrouvés.
« Nous venons de faire une grande avancée cette semaine concernant Fauci », a déclaré Patel… pic.twitter.com/uF7r46Wjjg — The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
Avant de conclure, Patel a partagé une dernière surprise, et cette fois, une bonne nouvelle.
Selon les dernières données, les États-Unis sont en passe d'atteindre leur taux d'homicides le plus bas depuis des décennies.
Rogan, visiblement surpris, a demandé comment cela avait pu être possible.
Patel a attribué cela à un changement de direction simple mais efficace : donner aux forces de l'ordre la marge de manœuvre et les ressources nécessaires pour faire leur travail sans ingérence politique.
« Laissons les bons policiers être policiers », a-t-il déclaré. « Je vais vous laisser, agents, policiers, shérifs, aller sur le terrain et faire le travail que vous désirez tant. Et je vais vous donner les ressources nécessaires pour y parvenir. Et je vais mettre fin à la politisation et à la militarisation… et c'est ce que nous avons fait. »
Parfois, le véritable changement ne vient pas de la réinvention du système, mais de la suppression des obstacles et de la possibilité pour les professionnels de faire ce pour quoi ils ont été formés.
Avant de conclure, Patel a réservé une autre surprise, mais cette fois, une bonne nouvelle.
Selon les données actuelles, l'Amérique est en passe d'atteindre son taux d'homicides le plus bas depuis des décennies.
Rogan, surpris, a demandé comment cela était possible.
Objectif final de la géo-ingénierie : le contrôle de la Terre et de toute l'humanité
Entretien avec Elana Freeland. Transcription incluse. Par Michael Welch et Elana Freeland Recherche mondiale, 31 mai 2025
Les chemtrails et la géo-ingénierie ne sont ni une théorie du complot ni une gestion du rayonnement solaire exigeant l'élimination du gaz carbonique. En réalité, la géo-ingénierie est un système d'arme dont l'atmosphère ionisée et sans fil est maintenue pour servir à la création et au contrôle d'une planète pilotée par l'IA et de sa source d'énergie transhumaine, l'Humain 2.0. – Elena Freeland [1]
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Bien que la « désinformation médiatique » reste un thème récurrent de Global Research et du Global Research News Hour, de nombreuses personnes instruites supposent qu’elles sont au courant de la plupart des grandes découvertes scientifiques des 120 dernières années.
On peut penser au projet Manhattan – la quête américaine d’armes atomiques par des scientifiques atomiques surdoués, qui a été gardée secrète du public jusqu’à ce que la puissante explosion fasse tomber leurs chaussettes précoces. [2]
Le projet Manhattan a finalement été révélé au public . Mais peut-on supposer que toutes ces prouesses technologiques secrètes seront dévoilées tôt ou tard ?
Considérez, par exemple, qu’après la Seconde Guerre mondiale, lorsque les « méchants » nazis ont été vaincus, il y a eu un programme secret américain appelé Operation Paperclip qui a transféré des médecins, des scientifiques et des techniciens – dont beaucoup étaient accusés de crimes de guerre, de meurtres de masse et d’esclavage – aux États-Unis pour poursuivre leurs travaux de recherche ! [3]
De plus, nous découvrons le travail d'un génie scientifique brillant du nom de Nikola Tesla, dont les découvertes révolutionnaires étaient si extraordinaires qu'il serait préférable de les garder, tout comme la bombe atomique elle-même, hors de la vue et de la connaissance des ennemis.[4]
Aujourd'hui, des concepts comme la géo-ingénierie, la 5G/6G, les armes à énergie directe et les nanotechnologies sont largement contenus et contrôlés par les médias grand public, derrière des barrières intellectuelles appelées « vérifications des faits » , et réduits à des « théories du complot » propagées par des esprits malins. Il convient toutefois de noter que nombre de ces technologies (si ce n'est toutes) ont des applications brevetées et pourraient être découvertes par n'importe qui à sa guise. [5]
Une écrivaine et chercheuse a consacré une grande partie de son temps à explorer les intrigues que la plupart des intellectuels et des journalistes craignent de s'aventurer. Elle révèle qu'elles ne servent pas seulement à modifier le climat et à déclencher des incendies. Elle a déterminé que l'objectif final de ces activités est de transformer non seulement la planète, mais l'humanité elle-même en une espèce « transhumaine » qu'elle appelle l'Humain 2.0.
L'exploratrice intellectuelle s'appelle Elana Freeland . Ancienne invitée du Global Research News Hour, elle nous rejoint pendant la majeure partie de l'émission pour explorer la nouvelle direction technocratique vers laquelle nous nous dirigeons tous et ce que nous pouvons faire pour y mettre un terme avant qu'il ne soit trop tard.
Elana Freeland est écrivaine, nègre littéraire, conférencière, conteuse et enseignante. Elle effectue des recherches et écrit sur les questions liées à l'État profond, notamment les récits des survivants de MK-ULTRA, des abus rituels et des armes électromagnétiques invasives (Nexus, octobre 2014). Elle est l'auteure d'une trilogie en trois volumes sur la géo-ingénierie. Le quatrième tome de cette trilogie, « The Geoengineered Transhuman: The Hidden Technologies of HAARP, Chemtrails, 5G/6G, Nanotechnology, Synthetic Biology, and the Scientific Effort to Transform Humanity », a été publié en février dernier.
(Épisode 475 de Global Research News Hour)
ÉCOUTEZ L'ÉMISSION
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Transcription de la conversation avec Elana Freeland, le 16 mai 2025.
Global Research : Lors de votre dernier entretien, vous avez évoqué les armes à énergie directe et la géo-ingénierie, qui ont un impact sur les incendies de forêt. Nous aborderons le transhumanisme un peu plus tard, ainsi que les objectifs de ces technologies et d'autres que vous évoquez dans un instant. Mais avant cela, j'aimerais que vous nous parliez un peu plus des autres technologies utilisées pour influencer la planète, bien sûr, mais il y a aussi d'autres sujets en cours.
Parlez-en au-delà de la question des armes à énergie directe et de la façon dont ces technologies ont réellement vu le jour.
Elana Freeland : Si vous parlez de géo-ingénierie elle-même, et c'est un sujet très vaste, comme l'indiquent les titres de mes livres, il faut remonter aux années 90, lorsqu'un projet de construction à Gakona, en Alaska, a été rendu public dans un livre de 1995 intitulé « Angels Don't Play This Harp ». Le nom de la harpe s'appelait HAARP, pour « High Frequency Active Aurora Research Project » (projet de recherche sur les aurores boréales actives à haute fréquence) en Alaska. Ce livre a été écrit par le Dr Nick Begich et Gene Manning.
J'ai lu ce livre juste après sa sortie et, bizarrement, le lendemain, je le lisais lors d'un remplacement à la cafétéria de la faculté, et plusieurs personnes étaient assises à la table. Et pourtant, le lendemain, un hélicoptère militaire a survolé ma maison pendant une dizaine de minutes, pendant qu'il relevait mes coordonnées xy, je suppose. Je devais me baser sur une sorte de liste, et j'ai tout de suite compris que le livre de Nick Begich que je lisais était en réalité un projet de sécurité nationale à grand succès, et que… je ne sais pas, ça pouvait être dangereux.
Je l'ignorais. À l'époque, on n'entendait pas parler de géo-ingénierie, on n'en entendait même pas parler dans la presse. On parlait de chemtrails, et on se moquait beaucoup des gens, surtout aux débuts d'Internet, on les qualifiait de « chapeaux en papier aluminium », et il n'y a pas de chemtrails, ce qui est ridicule, sans parler de toute cette histoire de CIA que ma génération, celle des années 60, avait vécue après l'assassinat de John F. Kennedy à Dallas.
La CIA avait lancé à tout va le terme « théoricien du complot », et c'est devenu une façon d'écarter quiconque remettait en question ou critiquait le récit diffusé par les médias grand public. C'est ainsi que j'ai commencé. J'avais un dossier sur les chemtrails à ce moment-là, et j'en ai créé un pour HAARP, le Projet de recherche aurorale active à haute fréquence, sans même savoir ce que c'était. J'ignorais ce qu'était un réchauffeur ionosphérique. J'ignorais comment cette technologie était utilisée.
J'étais aussi ignorant que beaucoup de gens aujourd'hui, car le sujet n'a pas été présenté au public. Il n'y a eu aucun débat. Il n'y a eu aucune discussion sur ce projet très militarisé.
C'était hautement confidentiel. J'ai commencé à faire des recherches pour découvrir, par exemple, la composition du carburant des avions qui laissaient ce que je pensais être des traînées de condensation à l'époque, mais elles étaient longues et interminables, avant de se transformer en une couverture nuageuse blanche semblable à des cirrus. Plus j'en apprenais, plus je doutais du secret requis, et j'ai réalisé que, comme pour tous les projets de la DARPA, et il s'agissait bien d'un projet de la DARPA, il s'agissait d'armes. Mon inquiétude était que si ces chemtrails étaient largués au-dessus de nous, ils laisseraient une longue traînée, contrairement aux traînées de condensation, qui laissent généralement une traînée très courte se dissipant ensuite en 30 secondes maximum, ces longues traînées se transformeraient en une couverture nuageuse de cirrus.
GR : Puis-je vous interrompre une seconde ? Je voulais juste mentionner qu’un article paru récemment dans les médias révélait que Robert F. Kennedy Jr., le nouveau secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, avait déclaré que les chemtrails étaient bien réels et que la DARPA était très probablement impliquée. Cependant, la couverture médiatique de l’époque était influencée, et continue d’être influencée, par les messages selon lesquels ces soi-disant vérifications des faits prétendaient que les chemtrails étaient une théorie du complot, démentie par les autorités scientifiques. Ils ont assisté à une démonstration de quatre minutes expliquant qu’il s’agissait en réalité de traînées de condensation. Pourriez-vous nous parler de l’ampleur de l’annonce de Kennedy et de la réaction de la presse grand public ?
EF : Oui, eh bien, la presse grand public, comme vous et moi le savons, est désormais totalement contrôlée, pas nécessairement par le Parti démocrate ou le Comité national démocrate (DNC), mais par une certaine opinion qui a été décidée comme secrète, mais exposée publiquement sous divers récits structurés. C'est très similaire à l'assassinat de Kennedy, n'est-ce pas ? Je veux dire, nous savions, dès le premier jour, nous savions, du moins les gens de ma génération le savaient, que Lee Harvey Oswald n'était pas le seul coupable, s'il en était un. Et pourtant, cette idée est maintenue depuis six décennies, et c'est un mensonge total, une invention.
Donc, le fait qu'ils utilisaient une invention pour cela, pour s'éloigner des chemtrails, qui était le seul terme utilisé dans les années 90 pour désigner ce qui se passait dans le ciel, nous n'en avions aucune idée. Bon, il y a beaucoup d'avions de ligne, beaucoup d'avions volent, des gens se déplacent, c'est tout, ça vient juste des avions de ligne. Et puis, on savait de temps en temps que c'était militaire, et on en parlait beaucoup, mais rarement dans les médias grand public, mais plutôt dans les médias alternatifs.
Et bien sûr, on s'en est complètement moqué, comme une théorie du complot, un chapeau en papier d'aluminium. Alors, quand Robert Kennedy, le nouveau secrétaire du HHS, a annoncé qu'il allait se pencher sérieusement sur le problème des chemtrails, maintenant que près de 30 États ont déposé une pétition, chacun d'eux a déposé un projet de loi auprès de son assemblée législative pour mettre fin aux chemtrails sur son territoire. Et voilà, la prise de conscience a fait un bond en avant, vous savez, parce que je suis ce dossier depuis 20 ans, donc je ne parle pas ici à un novice qui a une opinion émotionnelle sur le sujet, absolument pas.
Mais lorsque la Caroline du Nord, lorsque la tempête qui a frappé la Caroline du Nord et son comportement ont commencé à se trouver en position de faiblesse, il y a eu trop d'anomalies dans les détails de son déplacement en Caroline du Nord et dans une partie du Tennessee. Depuis lors, les États… attendez une minute, attendez une minute… ce qui s'est passé à Maui n'a jamais vraiment été expliqué. L'incendie qui s'est déclaré à Maui, qui a suivi dans une certaine mesure les incendies en Californie, est… mais ce sont des incendies géo-induits, des micro-incendies, ou plutôt des incendies à micro-ondes, et ils proviennent de ce qui semble provenir de l'espace, comme s'ils provenaient de la surface de la Terre. Eh bien, c'est le cas, ils proviennent de la haute atmosphère et sont principalement déclenchés par laser.
Et quand il a frappé la terre, l'analyse a ensuite attiré l'attention sur la destruction des bâtiments, et pas de tous, mais de certains bâtiments, et pas d'autres. Puis, il y a eu la rumeur du toit bleu et de sa capacité à protéger. Et, vous savez, ils ont commencé à alimenter l'affaire, semant la confusion dans l'opinion publique.
Et, en recueillant l'opinion de telle personne, et celle-ci, et celle-là, et celle-là, et puis le New York Times se lance dans la désinformation, et le Washington Post fait son petit numéro. Et c'est comme ça que ça se passait, tout était géré de cette façon. Je suis sûr que c'était avant l'assassinat de John F. Kennedy.
GR : Vous parlez des autres technologies, par exemple, de l'utilisation de la nanotechnologie et de l'utilisation des micro-ondes, et de la façon dont elles sont utilisées, vous savez, comme un service aux élites, en quelque sorte.
EF : Si vous voulez vraiment comprendre comment cela fonctionne, il vous faut lire mon deuxième livre, « Under an Ionized Sky, From Chemtrails to Space Fence Lockdown ». « Space fence » est un terme utilisé par Lockheed Martin.
Lockheed Martin est le numéro un mondial de la production et de la vente d'armes. Il contrôle tous les brevets liés à ce qu'il appelle la « barrière spatiale ». Cette barrière spatiale, en quelque sorte, englobe tout l'électronique présente dans l'atmosphère, que ce soit dans notre troposphère ou dans la stratosphère, car l'ionosphère, qui commence à environ 40 km au-dessus de nous et s'étend sur quelques centaines de kilomètres avant de fusionner avec la magnétosphère.
Tout cela est électromagnétique, d'accord ? Imaginez un peu que nous vivions sous l'influence de l'électromagnétisme. Et puis, sur Terre, nous avons toutes ces infrastructures différentes, des radars militaires aux télécommunications, en passant par les lignes électriques. Nous avons tout ce qui est enfoui sous terre, comme les câbles, et nous avons les antennes-relais et les téléphones portables.
Partout où l'on regarde, on vit dans un environnement sans fil. Et notre santé se dégrade à cause de cela. Et c'est là l'essentiel : il faut comprendre qu'il y a les militaires et les civils.
Ces deux choses ont été distinctes pendant des millénaires. Mais aujourd'hui, la frontière entre elles s'estompe, notamment en matière de technologie, et de ce que l'armée appelle le double usage de la technologie.
Parmi les choses dont nous pensons avoir besoin pour notre confort, je pense notamment aux conduites de gaz. Elles passent sous les rues. Il y en a partout.
EF : Oui. J'appelle ça un rêve humide. Désolé si c'est offensant.
Ce rêve irréaliste de l'élite de contrôler totalement le monde terrestre et ses créatures, y compris les êtres humains, est un rêve très ancien des sociétés secrètes. Il faut remonter assez loin dans le temps. Je peux remonter jusqu'en 1600, sous le règne d'Élisabeth Ire en Angleterre, par exemple.
Et vous voyez ces alchimistes qui travaillaient sans relâche… On entend toujours dire qu'ils voulaient transformer le plomb en or, mais ils travaillaient sur beaucoup de choses. Et l'être humain en faisait partie. Qu'est-ce qu'un être humain ? D'une certaine manière, à l'époque, ils avaient… Je ne sais pas si tu le sais, Michael, mais j'ai été un élève de Rudolf Steiner, aujourd'hui décédé.
Il est décédé en 1925. C'était un scientifique et une sorte de mystique autrichien. Il a publié de nombreuses informations qui nous donnent une idée de l'être humain. Il appelle cela la religion des dieux.
Et ce qu'il veut dire par là, c'est que nous sommes, à ma connaissance, la seule créature sur Terre, même pas les baleines et les merveilleux dauphins, qui sont des créatures étonnantes dotées de très grands cerveaux, comme vous le savez. C'est que l'être humain est voué à l'évolution, qui est en cours, et nous avons été effacés pendant des millions d'années, en fait, pour établir leur contrôle sur leur libre arbitre. Et le libre arbitre est une chose que même les anges ne font pas.
Si vous lisez certains auteurs médiévaux, ils parlent des pouvoirs des anges et de ce qu'ils peuvent faire ou non. La plupart des Américains ne croient pas aux anges. Je comprends cela.
Nous sommes des matérialistes. Mais je pense que nous nous heurtons maintenant à un obstacle dont nous ignorions l'existence : beaucoup de nos scientifiques ne sont pas seulement matérialistes, mais aussi satanistes, des satanistes pratiquants. Nombre d'entre vous pensent peut-être que le satanisme n'est qu'une sorte de farce d'Halloween.
Non, c'est une véritable religion. Et je n'ai pas besoin d'aller bien loin pour le prouver. Mais le fait est que nos scientifiques nous traitent, nous les êtres humains, sans le soin et sans l'intérêt spirituel profond qu'ils portaient au XVIIe siècle, lorsque les alchimistes étudiaient l'être humain.
Non, ils nous considèrent comme des paquets de viande. En fait, le terme le plus récent à la CIA pour désigner les humains est « wetware », comme « logiciel, matériel, wetware ». Les gens ont des enfants, des familles qu'ils aiment, des personnes qu'ils aiment.
C'étaient des artistes. Il n'en reste plus beaucoup. Et maintenant, la science, c'est juste une question de subventions, de financement des grandes entreprises, et de persévérance.
Il n'y a aucun doute quant à savoir si c'est bon pour l'humanité ? Est-ce bon pour la nature ? Est-ce quelque chose qui va construire plutôt que détruire ? Non, nous n'y avons pas vraiment prêté attention depuis des décennies, du moins pendant ma vie, et je suis ici depuis plus de sept décennies. Voilà donc le problème. Si je me penche vraiment sur la géo-ingénierie, par exemple, et sur l'électromagnétisme dont elle dépend absolument, c'est un problème de taille.
La chimie dont cela dépend, toutes les parties qui finissent par devenir du contrôle mental, qui finissent par devenir de la vie privée, c'est comme un mirage maintenant.
GR : Pourriez-vous m'expliquer, juste pour revenir un peu en arrière ? Vous affirmez que beaucoup de scientifiques pratiquent le satanisme, parce que ce n'est pas vraiment une évidence. Et je connais beaucoup de gens qui ont suivi une formation à ce sujet.
Y a-t-il quelque chose dans les sciences qui vous amène à croire cela ? Ou qu'est-ce qui, dans le satanisme lui-même, trouve, je suppose, ses marques dans la science moderne, ce qui le distingue, vous savez, du type de science dont vous parlez.
EF : Oui, oui. Je parle de ce qu’on appelle désormais le scientisme, et ce terme est bien connu.
C'est de la fausse science. C'est là que nous découvrons aujourd'hui que toute la polémique autour du Covid-19 était enlisée : cette vaste expérience, sans aucune connaissance préalable. Et, vous savez, grâce à mes études approfondies sur la biologie synthétique, je peux maintenant lire des livres et voir où se cachent les mensonges.
Je veux dire, pas tous, bien sûr, c'est un processus continu. Mais il y a beaucoup de mensonges qui sont maintenant considérés, je cite, comme scientifiques, mais qui ne le sont pas vraiment : ils relèvent du scientisme. Et ils sont inventés pour promouvoir un programme.
On peut dire que c'est un programme politique. Mais je peux vous dire que, si on y regarde de plus près, on découvre souvent une composante spirituelle. On le sait, dans une certaine mesure, mais on continue à compartimenter.
C'est ainsi que notre système éducatif contrôle notre capacité à penser, ce que Rudolf Steiner a qualifié d'activité spirituelle. On ne pense pas, on peut penser avec le cerveau, mais les pensées qu'on aura ne seront pas forcément vraies ou ne mèneront pas là où on le souhaiterait, c'est-à-dire dans une direction créative et merveilleuse, celle que l'on prend pour que davantage de personnes puissent s'épanouir et que les enfants reçoivent une éducation de qualité qui les aidera grandement à devenir des individus qui réfléchissent longuement aux technologies dans lesquelles investir pour aider la planète et les êtres humains, et à celles qu'il faut éviter. Car tout cela ne mène qu'à la guerre et à la destruction. Ce genre de questionnement, on ne le pose même pas aux États-Unis.
C'est comme si, si vous pouvez trouver l'argent pour le faire, foncez. On verra bien. Et puis, on pourra toujours arranger les choses plus tard, avec plein de mensonges et de subterfuges, et enrichir l'industrie de la santé et l'industrie pharmaceutique.
Ce genre de raisonnement doit disparaître. Nous ne pouvons plus nous le permettre. Et c'est ce que je veux dire quand je dis que les scientifiques pratiquent le satanisme.
Je connais des gens qui, certes, c'est du ouï-dire, mais qui viennent de personnes très crédibles, qui ont accompli beaucoup de choses dans la vie en fréquentant des fêtes avec des élites. Et soudain, il y a comme un espace rituel. Ils assistent à des choses horribles avec des enfants.
C'est bien connu maintenant. Beaucoup de gens ne veulent pas y aller. Je comprends.
C'est moche. C'est sombre. Nous voulons avoir une bonne opinion de notre nation, de ceux qui la dirigent, des scientifiques qui créent la science à laquelle nous sommes tous, d'une manière ou d'une autre, soumis.
Mais c'est vrai. C'est absolument vrai. Et maintenant, nous devons vraiment… et je pense que ce triumvirat Trump, Kennedy, Musk est arrivé et travaille sur différents fronts pour assainir le marais, se débarrasser de l'État profond qui, vous savez, me ronge depuis le terrible assassinat de John Kennedy, pour faire le ménage.
Et maintenant, nous en avons l'occasion. Et je pense que Robert Kennedy en profite pleinement. Peut-être pas autant que certains le souhaiteraient, certes, mais il est sur la bonne voie pour nous ouvrir davantage la voie à la vérité, à la justice véritable, à la beauté, à la bonté, à toutes ces qualités, ces vertus dont on entendait parler dans l'enseignement des arts libéraux et qui sont aujourd'hui complètement ternies et anéanties.
Nous entendrions au moins parler de personnes cherchant à apporter le bien, le vrai et le beau à l'humanité. C'est ce que j'entendais par mal. Et je peux utiliser le mot « mal » si certains n'aiment pas le mot satanisme, mais le satanisme est simplement une forme de religion organisée et profondément vouée à la mort.
L'émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h 00 CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg.
Le programme est également diffusé chaque semaine (le lundi, de 13h à 14h HE) par le Progressive Radio Network aux États-Unis.
Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca
Elana Freeland (2025), p. 3, « Le transhumain géo-conçu : les technologies cachées de HAARP, des chemtrails, de la 5G/6G, de la nanotechnologie, de la biologie synthétique et de l'effort scientifique pour transformer l'humanité », Sacred Planet Books Tom Metcalfe (21 juillet 2023), « Qu'était le projet Manhattan », Scientific American ; https://www.scientificamerican.com/article/what-was-the-manhattan-project/ Elana Freeland Op Cit. p.. 2 ibid; Elana Freeland Op cit. p. 35, 39, 124, 172, 292, 294-295, 338-339, 365-366 La source originale de cet article est Global Research
Oubliez les « énergies renouvelables » : de nouveaux centres de données d'IA construisent leurs propres centrales à gaz au Texas.
Par Jo Nova June 7th, 2025
Les nouveaux centres de données d'IA ont besoin d'une telle quantité d'énergie, si vite, qu'ils se déconnectent du réseau électrique.
La course effrénée pour prendre de l'avance dans la bataille mondiale de l'IA est telle que l'industrie n'attend plus que les bureaucrates construisent de nouvelles centrales électriques, elle les construit elle-même. Et les ingénieurs en données de pointe ne choisissent pas l'énergie propre, verte, éolienne ou solaire du futur : ils construisent des centrales à gaz. Le soleil et le vent sont gratuits, mais les batteries de secours, les lignes à haute tension, les longues procédures d'approbation et l'approvisionnement aléatoire coûtent cher à la planète.
Quel solaire ? Quel éolien ? Les centres de données du Texas construisent leurs propres centrales à gaz. Dylan Baddour, Arcelia Martin, Ars Technica
La centrale serait suffisamment grande pour alimenter une grande ville, avec une capacité de production prévue de 1 200 mégawatts alimentée par le gaz de schiste de l'ouest du Texas. Il n'alimentera que le nouveau centre de données, et peut-être d'autres grands centres de données récemment proposés, à terme.
Ce projet s'inscrit dans la lignée de nombreux autres projets similaires au Texas, où la course effrénée au démarrage de centres de données énergivores a conduit de nombreux promoteurs à planifier leurs propres centrales au gaz plutôt que d'attendre le raccordement au réseau public de l'État.
Il s'agissait du tout premier contrat d'Energy Transfer pour la fourniture de gaz à un centre de données, mais il est peu probable que ce soit le dernier. Dans un communiqué de presse, l'entreprise a déclaré être « en discussion avec plusieurs promoteurs de centres de données et s'attend à ce que ce soit le premier d'une longue série ».
Voilà la ruée vers l'or moderne : observez le nombre de demandes de production d'électricité (de toutes sortes) et de raccordement au réseau au Texas :
Au 30 avril, plus de 2 000 demandes d'interconnexion de production actives étaient recensées, pour une capacité totale de 411 600 MW, selon l'opérateur de réseau ERCOT. Un projet de loi en attente de signature sur le bureau du gouverneur Greg Abbott, le projet de loi S.B. 6, vise à filtrer les projets de grande envergure peu sérieux qui gonflent la file d'attente en imposant des frais de 100 000 dollars pour les études d'interconnexion.
Larry Fink, directeur de BlackRock, affirme que les gens ne se soucient plus des énergies renouvelables aujourd'hui, ils veulent juste de l'électricité :
Le recours au gaz pour les centres de données est une rupture avec les idées reçues, a déclaré Larry Fink, fondateur de la société d'investissement internationale BlackRock, lors d'une conférence sur le pétrole et le gaz à Houston en mars dernier.
Il y a environ quatre ans, si quelqu'un disait construire un centre de données, il disait qu'il devait être alimenté par des énergies renouvelables, a-t-il raconté. Il y a deux ans, c'était une préférence.
« Aujourd'hui ?» a demandé Fink. « L'électricité est importante pour eux. »
Pour se faire une idée de la transition radicale en cours, imaginez qu'une jeune start-up souhaite 5 000 MW d'énergie pour un nouveau centre de données de 1 040 hectares, implanté dans une petite ville du Texas de moins de mille habitants. Cela représente une puissance colossale de 5 GW pour une ville de 940 habitants.
Il existe encore quelques projets ambitieux en matière d'énergies renouvelables. Une équipe de projet, qui n'a besoin que de 120 MW, a déclaré qu'elle utiliserait uniquement l'énergie éolienne, et une grande centrale affirme espérer exploiter un centre de données de 5 GW avec « l'éolien, le solaire et l'hydrogène privés », mais commencera par le gaz.
En Australie, nous ne sommes même pas dans la course.
Combien de personnes un agriculteur allemand nourrit-il ?
8 Juin 2025 Dagmar Deutsch, AGRARHEUTE*
Grâce à son travail dans les champs et les étables, un agriculteur nourrit aujourd'hui un nombre de personnes jamais atteint auparavant.
L'agriculture allemande a encore augmenté sa productivité, comme le montre le rapport de situation 2024/2025. Un agriculteur nourrit plus de personnes que jamais auparavant.
En 1800, il fallait trois agriculteurs pour nourrir un citadin. Cent ans plus tard, en 1900, un agriculteur produisait des aliments pour nourrir environ quatre personnes. Au tournant du millénaire, ce chiffre était déjà supérieur à 100 : en 2000, un agriculteur nourrissait 127 personnes. Et ces dernières années également, les agriculteurs sont devenus de plus en plus productifs, comme le montre le dernier rapport de situation.
Un agriculteur nourrit plus de personnes que jamais
1980 : un agriculteur nourrit 47 personnes
1991 : un agriculteur nourrit 85 personnes
2000 : un agriculteur nourrit 127 personnes
2010 : un agriculteur nourrit 124 personnes
2023 : Un agriculteur nourrit 147 personnes ______________
* Dagmar Deutsch travaille chez AGRARHEUTE comme rédactrice cross-média dans l'équipe du magazine et est l'interlocutrice quand il s'agit de sujets concernant les jeunes agriculteurs et la jeunesse agricole.
Source : So viele Menschen ernährt ein Landwirt | agrarheute.com
Un paysan qui vend 1000 salades va nourrir 2000 à 3000 personnes ou même 4000. Un paysan qui vend 1000 carottes va nourrir 300 à 500 personnes. Un paysan qui vend 1000 pommes va nourrir 1000 personnes. Etc, etc.
La série Presse Payola : introduction - La stratégie consistant à financer des journalistes pour fabriquer des informations au service d'intérêts particuliers
9 Juin 2025 David Zaruk, The Firebreak*
Il y a 25 ans, les campagnes alarmistes étaient multiples et de courte durée. Les médias accordaient peu d'attention aux campagnes éphémères annonçant la fin du monde, et nous passions donc rapidement d'une menace à l'autre, comme le trou dans la couche d'ozone, le bug de l'an 2000, les dioxines, la maladie de la vache folle, l'acrylamide, le sang contaminé français, les grenouilles transgenres... À cette époque, le réchauffement climatique émergeait comme le prochain grand sujet destiné à effrayer les gens (remplaçant habilement la peur de la prochaine période glaciaire). À l'époque, j'avais donné à cette campagne militante un maximum de cinq ans avant qu'elle ne s'essouffle (pour être bientôt oubliée, comme certains courriels de l'Université d'East Anglia).
C'était il y a 25 ans.
Qu'est-ce qui a permis au changement climatique de rester au centre de l'attention des médias pendant plus de deux décennies ? Comment cette question a-t-elle pu définir le discours, encadrer chaque événement météorologique et laisser toute une génération désillusionnée et anticapitaliste ? Les chercheurs en climatologie sont les premiers à admettre que les campagnes sur le réchauffement exagèrent excessivement les données scientifiques et s'inquiètent du verrouillage du débat.
The Firebreak a montré comment des médias ont reçu des apports de capitaux importants et réguliers de la part de groupes d'intérêts spéciaux sur le climat afin de traiter chaque sujet comme une question climatique. Les militants se présentent comme des journalistes d'investigation indépendants et n'ont aucune difficulté à obtenir des financements et des sources de publication pour leur travail grâce au soutien de fondations bien coordonnées (qui travaillent souvent ensemble par le biais de sponsors fiscaux**). On peut appeler cela de la « presse payola »*** (une presse alimentée par des pots-de-vin) et, comme les militants ont constaté son efficacité, ce phénomène s'étend au-delà de la question climatique. C'est le sujet d'une nouvelle série de The Firebreak.
Les fondations de la vertu ou la vertu des fondations ?
Au cours des deux dernières décennies, l'activité des fondations a considérablement changé. Une quantité importante de nouveaux fonds et d'organisations philanthropiques ont fait leur apparition dans le monde des fondations à la suite de quatre cycles de création massive de richesses. Parmi eux, on trouve les nouveaux milliardaires issus des révolutions dot-com, Web 2.0, crypto et IA, qui sont censés redistribuer leur argent facile.
Cette accumulation massive de richesses a donné naissance à une nouvelle génération de « conseillers philanthropiques », des opportunistes qui ont développé de nouvelles tactiques pour organiser des campagnes à caractère politique, ainsi qu'à une nouvelle classe de consultants chargés de gérer les milliards de dollars de la gestion passive des fondations. Et alors que le processus philanthropique devenait du philo-narcissisme, avec des groupes comme Effective Altruism transformant la philanthropie en une secte pour recruter de jeunes entrepreneurs, une certaine classe de zélotes privilégiés se prévalant de leur haute moralité s'est vu conférer le pouvoir de changer (et de contrôler) le monde.
La question climatique a été soutenue par le financement des fondations – en grande partie – et pas seulement pour permettre aux ONG, aux avocats spécialisés dans la responsabilité civile et aux influenceurs militants d'attaquer sans relâche l'industrie et tous les politiciens pragmatiques. Les fondations ont également injecté des fonds destinés au climat soit directement dans de grands groupes médiatiques traditionnels comme The Guardian ou The AP, soit en créant de nouvelles organisations qui payaient littéralement des journalistes pour qu'ils publient des articles sur le climat. The Firebreak s'est penché sur des cas où des millions provenant de fondations ont été injectés dans des groupes nouvellement créés comme Covering Climate Now afin de rémunérer des journalistes qui maintenaient le changement climatique au centre de l'actualité.
Les fondations qui financent Covering Climate Now
Si un groupe de fanatiques passionnés et bien financés peut contrôler le discours grâce à une offensive médiatique, un vide dans le dialogue se crée. Au niveau universitaire, les personnes qui osent remettre en question leurs affirmations ne sont, au mieux, pas publiées et sont généralement ostracisées par certains organismes « consensuels », privées d'opportunités de carrière et de financement pour leurs recherches. Même des revues telles que Nature et Science sont aspirées dans ce tourbillon de partialité. Sans voix dissidentes, les arguments complexes deviennent des faits simplifiés et la recherche scientifique est étouffée. Et si des experts de premier plan sont contestés ou méprisés, les tribunaux interviennent pour étouffer davantage le dialogue.
Les fourches sortent rapidement et les chasses aux sorcières ne tardent pas à suivre lorsque les sociopathes disposent de fonds suffisants, de partisans et de médias passifs qui ne posent que les questions pour lesquelles ils sont payés. C'est encore plus facile lorsque les militants se qualifient eux-mêmes de journalistes, renforçant ainsi le cycle des préjugés et des biais.
Personne ne pose de questions fondamentales telles que :
Qui finance ce groupe ?
Quels sont ses intérêts ?
Dans quelle mesure ses arguments sont-ils raisonnables ?
Ces questions ne sont posées que lorsque quelqu'un remet en cause le consensus, et la pression narrative étouffe souvent ce type de réflexion ouverte. Dans un tel environnement, personne ne remet même en question l'éthique des pots-de-vin versés à la presse. Les médias grand public devraient-ils recevoir des paiements pour écrire des articles sur certains sujets ?
Mais combien de temps les fondations continueront-elles à être associées à une philanthropie généreuse ? Combien de temps leur opacité et leurs organisations parallèles corrompues seront-elles tolérées ? Tant qu'elles continueront à payer les médias, nous pouvons supposer que la réponse sera : « Encore longtemps ! »
Beaucoup d'eau coulera sous les ponts avant que quelqu'un ne pense que les médias ont été naïfs et simplement trompés par certains opportunistes manipulateurs. Les médias tirent profit du jeu, acceptant de l'argent et rendant des faveurs. Les pots-de-vin à la presse sont si courants que personne ne les remet en question (tant que la plupart des fondations conservent une image flatteuse).
Le modèle économique des médias traditionnels a changé au cours de ces deux dernières décennies, qui ont vu l'expansion de la richesse des fondations. Alors que les services en ligne grignotaient leurs sources de revenus traditionnelles (abonnés, petites annonces et publicité), ils avaient besoin de nouveaux modèles de financement pour continuer à informer. Les fondations et le parrainage de campagnes constituent désormais une part importante de la stratégie de survie financière de nombreux organes de presse.
La manne financière des fondations pour les journalistes indépendants
À l'instar des scientifiques, les journalistes indépendants rédigent désormais autant de demandes de subventions que d'articles. Cela dépasse largement le salaire d'un journaliste et les fonds secrets des fondations médiatiques sont suffisamment abondants pour leur fournir un flux de trésorerie suffisant pour faire avancer leur dogme idéologique. Prenons l'exemple d'une chercheuse militante comme Carey Gillam (qui a été rémunérée par des ONG au cours de la dernière décennie, mais s'autoproclame journaliste). Grâce au système de financement des médias par les fondations, elle peut être rémunérée au moins cinq fois pour le même article.
Pour son article sur l'attaque de Bonus Eventus, par exemple :
Elle a d'abord été rémunérée par Lighthouse Reports (qui a reçu 800.000 dollars de la Oak Foundation pour passer au moins un an à enquêter et à promouvoir cette histoire).
L'article et la fuite des documents que ses associés avocats spécialisés en responsabilité civile ont « laissés sur le pas de sa porte » ont été publiés sur le site web de l'Environmental Working Group (où elle est employée en tant que militante).
Ce même article a été reproduit dans The Guardian dans le cadre d'un programme où des fondations paient The Guardian pour des articles consacrés à certaines questions. Il faut cliquer sur un lien discret et trompeur intitulé « Soutenu par theguardian.org » pour découvrir qui paie Carey pour reproduire son matériel de campagne pour l'Environmental Working Group (voir l'image ci-dessous).
Comme la plupart des fondations qui financent des groupes tels que The Guardian utilisent des fonds anonymes affectés par des donateurs, il est fort probable que les cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile qui bénéficieront largement de l'activisme de Carey (et qui l'ont déjà fait par le passé avec ses Monsanto Papers lorsqu'elle était militante rémunérée par US Right to Know) injectent presque certainement des capitaux de démarrage dans ce projet.
À cela s'ajoutent les droits d'auteur sur les livres ainsi que les honoraires de consultation et de conférence...
Cela ne tient toutefois pas compte des honoraires que les cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile qui bénéficient du travail de Carey lui versent pour ses recherches, ses consultations ou ses conseils. Mais cela ne pourrait être rendu public que si Carey était appelée à témoigner dans le cadre d'un procès et si une personne sans intégrité enfreignait les codes de conduite journalistiques (comme Carey le fait souvent) et divulguait ses témoignages faits lors de dépositions sous scellés.
Ce n'est pas mal pour avoir écrit un seul article sur un sujet inexistant. Carey s'enrichit considérablement, ce qui explique peut-être son exubérance à compromettre son intégrité.
Plusieurs de ces fondations proposent des « fonds affectés par les donateurs », qui permettent à des groupes tels que des cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile de faire des dons anonymes à la fondation, les montants versés étant réservés à une campagne à laquelle Mme Carey Gillam participe.
La tactique du « Climate Cash » va de l'avant
Si les fondations peuvent fournir les moyens nécessaires pour que chaque histoire, chaque événement météorologique, chaque produit vendu sur le marché soit rapporté comme un événement climatique, alors notre discours peut facilement être défini par les histoires climatiques que les médias rapportent sans relâche (et qui leur rapportent beaucoup).
Imaginez que vous puissiez reproduire cette stratégie de manipulation médiatique et que vous disposiez de milliards de dollars provenant de fondations pour inciter un grand nombre de journalistes à faire des reportages et des enquêtes sur des produits chimiques industriels comme les PFAS. Ce journalisme à la demande, cette corruption de la presse, pourrait-il façonner votre discours alarmiste en vue d'une campagne de plusieurs décennies visant à éliminer un groupe important de produits chimiques utilisés dans de nombreux processus chimiques essentiels ? La peur du public suscitée par une telle stratégie médiatique entraînerait des milliards de dollars de règlements judiciaires, de mauvaises réglementations et une ignorance scientifique encore plus grande.
Soit dit en passant, nous devons remettre en question la stratégie de corruption de la presse qui consiste à inciter les fondations à créer des organisations pour payer des journalistes afin qu'ils couvrent d'autres sujets (vapotage, plastiques, additifs alimentaires, aquaculture, produits chimiques, pesticides...). Des groupes comme la Oak Foundation prétendent soutenir des fonds d'investigation, mais il s'agit simplement d'une extension des campagnes militantes des ONG qui se font passer pour des « reportages » des médias grand public. Nous devons nous demander si le fait que des groupes d'intérêts, par l'intermédiaire de fondations, rémunèrent un grand nombre de journalistes pour amplifier leur activisme à l'échelle mondiale doit être toléré d'un point de vue éthique.
Il existe un groupe d'activistes expérimentés qui s'autoproclament journalistes indépendants et qui se sont récemment lancés, avec une valise remplie de billets provenant de fondations, dans la couverture médiatique d'une famille de produits chimiques largement utilisés, connus sous le nom de PFAS, afin d'effrayer le public et de diffuser les objectifs de leur campagne militante qui répondront aux ambitions de leurs bailleurs de fonds particuliers. Ils ont un plan d'action, ils ont la passion et ils sont certainement prêts à mentir. Dans la deuxième partie de cette série, The Firebreak examinera qui paie quels journalistes, combien et pourquoi. La troisième partie se penchera sur la manière dont une douzaine de fondations américaines influencent les médias qui couvrent le débat sur l'aquaculture au Chili.
Tyler Durden et le triomphe de la Bête mondialiste
Par Nicolas Bonnal Mondialisation.ca, 08 juin 2025
Le film 13 Hours du cinéaste néo-con Michael Bay nous avait fait comprendre, après les évènements (ou non-événements) de Benghazi les modifications structurelles de l’appareil de domination mondialiste-américaine ;
ce film expliquait plutôt mal pourquoi on avait laissé lyncher et assassiner le pauvre ambassadeur américain en Libye (gare au Donald…)
- voir clip sur site -
On armerait les alliés (Israël, l’Ukraine), mais on ne se battrait plus. On n’avait plus assez d’hommes pour cela, compétents et entraînés et désireux surtout de mourir pour le pays. On quittait donc le monde solide de Guénon et on allait entrer dans un monde liquide où tout reposerait sur la monstrueuses force des marchés financiers et des fonds de pension US qui sèment sur fond d’idéologie néo-communiste la famine et le Reset partout où ils passent. Larry Fink est devenu notre nouvel Attila, notre nouveau Curtis LeMay. Il n’y a qu’à voir ce que Fink et ses sbires obéissants (LVMH, Hidalgo, Leyen) ont fait en quelques années de l’Europe ou de Paris pour comprendre. Et pas de sainte Geneviève à l’horizon… Marc Carney (banquier central et Goldman Sachs) au Canada, Macron (décidément indéboulonnable) ou Mertz, simple agent de Black Rock, vont mettre tout le monde d’accord. Avachie et sous hypnose comme prévu par Philip K. Dick la population ne réagit plus.
Tyler Durden nous rappelle l’essentiel : la domination financière US est totale, elle est énorme. La cotisation US (les actions montent jusqu’au ciel, contrairement aux prédictions de tous nos pessimistes qui attendaient un effondrement) représente 50 % de la valorisation mondiale. 50 % pour les USA, 12 % pour la Chine, idem pour l’Europe, le reste se répartissant le peu qui reste. Cent milliardaires contrôlent sans effort toute cette masse financière et autoritaire. Rathenau…
Cette toute-puissance ne peut être politiquement contrebalancée puisque 40 % des actions appartiennent aux bourgeoisies des pays dits des Brics dont l’idéologie est de toute manière la même que celle des occidentaux. Le 9 mars, on a donc droit à une piqure de rappel :
Les États-Unis dominent toujours le marché boursier mondial de 124 000 milliards de dollars La domination américaine sur le marché boursier mondial est sans égal, et sa part n’a fait que croître au cours des deux dernières années. La surperformance du S&P 500 a contribué à la position de leader des États-Unis, avec un rendement moyen composé de 14,8 % au cours de la dernière décennie. Les actions mondiales, représentées par l’indice MSCI ACWI (hors États-Unis), ont enregistré un rendement de 7 % en comparaison.
La valeur du marché boursier américain est à peu près égale à celle de toutes les autres régions réunies, englobant 6 062 entreprises évaluées collectivement à 60 100 milliards de dollars. Fin décembre 2024, la capitalisation boursière des Sept Magnifiques – Apple, Microsoft, Alphabet-Google, Nvidia, Amazon et Meta Platforms – s’élevait à plus de 18 400 milliards de dollars, soit près de 30 % de l’ensemble du marché boursier américain. L’année dernière, ces entreprises ont alimenté plus de la moitié des rendements du S&P 500. Cette année, c’est l’inverse, alimentant le ralentissement économique puisqu’elles ont perdu plus de 2 500 milliards de dollars…
La Chine est le deuxième marché boursier du monde, avec une valeur de 15 600 milliards de dollars répartie sur 7 061 sociétés cotées en bourse. Si Tencent et Alibaba sont les plus grandes entreprises en termes de capitalisation boursière, plusieurs sociétés financières jouent un rôle dominant sur le marché boursier chinois.
Tyler rajoute :
Avec une capitalisation boursière de 5 200 milliards de dollars, le marché boursier indien est désormais plus important que celui du Royaume-Uni et de l’Amérique latine réunis. En 2024, environ 20 % des ménages détenaient des actions, contre seulement 7 % en cinq ans seulement. Il convient de noter que la croissance économique rapide du pays et sa transformation numérique ont fait grimper les actions de 80 % au cours de la période. En revanche, les marchés émergents ont augmenté de 6 %.
J’ai souvent évoqué Tulsa Doom dans Conan. Il croyait au fer, et il n’y croit plus. Il croit au maniement de l’esprit et c’est pourquoi il pousse une de ses belles à se suicider devant Conan (voyez la France ou l’Allemagne, toujours plus caricaturales).
Tulsa Doom peut même tolérer un monde multipolaire, dominant l’esprit et non plus la chair ou le fer. Les mêmes principes sur fond de fausse guéguerre fonctionnent partout : voyez les textes formidables et courageux de Slavsquat sur la Russie et sur les Brics. Laurence Guillon vient aussi d’expliquer la décision russe de liquider le patrimoine culturel. Les mêmes recettes sont appliquées partout (euro numérique en octobre), alors pourquoi user des armes et d’un commandement pyramidal ?
L’informatique permet de le décentraliser en étant plus ubiquitaire chaque fois. C’est du Tocqueville : délaisser le corps, et aller doit à l’âme ; et gouverner par le détail…
J’affirme qu’il n’y a pas de pays en Europe où l’administration publique ne soit devenue non seulement plus centralisée, mais plus inquisitive et plus détaillée ; partout elle pénètre plus avant que jadis dans les affaires privées ; elle règle à sa manière plus d’actions, et des actions plus petites, et elle s’établit davantage tous les jours à côté, autour et au-dessus de chaque individu, pour l’assister, le conseiller et le contraindre.
L’on oublie que c’est surtout dans le détail qu’il est dangereux d’asservir les hommes…
O zones à faible émission…
Restons dans le cinéma puisque Tyler ( https://www.zerohedge.com) nous y invite avec ses sept magnifiques, pas très perturbés par l’intelligence artificielle chinoise : dans Roller ball l’effrayant John Houseman (associé d’Orson Welles, communiste et surtout grand spéculateur devant l’Eternel) nous disait que les nations étaient « bankrupt, gone ». C’est parfaitement vrai. Trump fait semblant d’y croire comme d’autres avant lui. Mais en 1989 Guy Debord nous prévenait déjà :
Non seulement on fait croire aux assujettis qu’ils sont encore, pour l’essentiel, dans un monde que l’on a fait disparaître, mais les gouvernants eux-mêmes souffrent parfois de l’inconséquence de s’y croire encore par quelques côtés. Il leur arrive de penser à une part de ce qu’ils ont supprimé, comme si c’était demeuré une réalité, et qui devrait rester présente dans leurs calculs. Ce retard ne se prolongera pas beaucoup.
La bourse ou la vie, disait-on. En effet la bourse (l’informatique donc) et le marché (Attali-Attila va être content) vont abolir la liberté puis la vie et les humains d’un seul coup, en prétextant sans rire le racisme, le carbone ou la pollution. La magie opérative de l’informatique (cf. nos textes sur Reich et les «manipulateurs de symboles») fait effet, hypnotise les peuples ou ce qu’il en restait (rien en Europe, on est d’accord) et les anesthésie fabuleusement. Ce troupeau endormi évoque les marionnettes de bois de Guénon, manipulées par un Esprit supérieur. On le cite :
Il y est question d’une cité entièrement peuplée d’automates en bois, qui se comportent en tout comme des êtres vivants, sauf qu’il leur manque la parole ; au centre est un palais où réside un homme qui est l’« unique conscience » (êkakam chêtanam) de la cité et la cause de tous les mouvements de ces automates qu’il a fabriqués lui-même ; et il y a lieu de remarquer que cet homme est dit être un charpentier, ce qui l’assimile à Vishwakarma, c’est-à-dire au Principe divin en tant qu’il construit et ordonne l’Univers.
Il va de soi que nous sommes dans la grande parodie, dans le cadre d’une déstructuration totale des religions et que tout cela va nous mener beaucoup moins loin que prévu.
Par Philippe Rosenthal Mondialisation.ca, 08 juin 2025
Sur ordre du président américain, Donald Trump, les droits de douane sur l’aluminium et l’acier, instaurés en mars, seront doublés à compter du 4 juin pour des raisons de «sécurité nationale», rapporte le site Toute l’Europe, précisant: «Le président américain a signé, mardi 3 juin, un décret portant de 25 % à 50 % les droits de douane sur les importations d’acier et d’aluminium. Ces deux matériaux, considérés comme stratégiques, sont au cœur de la politique protectionniste que Donald Trump entend renforcer».
Le site de référence sur les questions européennes souligne: «Des règles non conformes avec les obligations liées à l’OMC». «La Commission européenne a exprimé son profond regret, déplorant des mesures qui sapent les efforts en cours pour parvenir à une solution négociée avec les États-Unis», poursuit le site de pédagogique et de décryptage de l’actualité européenne.
Cette décision touchera particulièrement durement l’UE qui envisage déjà des mesures de rétorsion. L’administration de la Maison Blanche exige que des dizaines de pays contre lesquels des droits de douane ont été instaurés soumettent leurs propositions de quotas et de tarifs d’importation de produits américains. Si la situation ne peut être résolue, il sera temps d’envisager une véritable guerre commerciale mondiale, déclenchée par les actions des États-Unis.
Toute l’Europe souligne: «La hausse à 50% des droits de douane sur l’acier et l’aluminium s’applique dès le 4 juin à tous les partenaires commerciaux, sauf exceptions précisées dans le décret ou dans le cadre de négociations spécifiques. L’UE n’étant pas explicitement exemptée dans le texte du décret, ses exportations de ces métaux vers les États-Unis sont donc potentiellement concernées dès maintenant, indépendamment du report général des surtaxes sur d’autres produits européens. Toutefois, la décision du 25 mai de reporter au 9 juillet l’application des surtaxes de 50% sur l’ensemble des produits européens reste en vigueur pour les autres secteurs, ce qui signifie que la plupart des produits européens ne sont pas encore soumis à ces nouvelles taxes punitives».
«En résumé, la hausse immédiate des droits de douane sur l’acier et l’aluminium ne remet pas en cause le report des surtaxes générales à l’UE, mais elle fragilise la position européenne en touchant dès à présent deux secteurs clés, ce qui pourrait servir de levier dans les négociations en cours», conclut le site de référence sur les questions européennes.
Trump n’est pas un homme politique dont les paroles sont souvent en adéquation avec les actes. Pourtant, sur un point, il est extrêmement cohérent. Depuis les années 1980, lorsque Trump, alors promoteur immobilier, a commencé à s’exprimer sur la politique et l’économie mondiales, il a défendu l’idée que les États-Unis souffraient d’un déficit commercial avec d’autres pays et que celui-ci ne pouvait être corrigé que par des droits de douane.
Lors de son premier mandat présidentiel, il n’a pas réussi à faire une percée dans ce domaine. Mais, Trump a pris sa revanche lors de son second mandat.
Le 2 avril dernier, le président américain a «dévoilé les nouveaux droits de douane qu’il entend imposer aux importations en provenance de 185 pays et territoires étrangers. Des mesures qui risquent de lancer une guerre commerciale entre les Etats-Unis et le reste du monde», rapportait déjà le site Toute l’Europe. Trump qualifiait solennellement cet événement de «jour de la libération en Amérique».
Seule la Russie n’était pas dans cette liste: la Maison-Blanche a déclaré que cela pourrait entraver les efforts de paix du président américain qui tentait de réconcilier Kiev et Moscou. Puis, face à la chute des marchés boursiers et à l’explosion d’indignation qui a suivi, principalement aux États-Unis, Trump a fait marche arrière.
Après un entretien avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui lui a rappelé que les Européens étaient prêts à des mesures de rétorsion, le président américain a accepté de reporter l’introduction de droits de douane de 50% sur les marchandises en provenance de l’UE au 9 juillet. D’ici là, comme la Maison-Blanche le prévoyait, des négociations difficiles avec des dizaines de pays devraient être conclues. Cependant, Trump a décidé, contre toute attente, de forcer la situation.
Reuters a obtenu un projet de lettre du bureau du représentant américain au commerce. Ce document appelle les partenaires commerciaux des États-Unis à soumettre leurs meilleures offres d’ici le 4 juin concernant les taux de droits de douane et les quotas sur les importations américaines, tant industrielles qu’agricoles. Le document propose, également, la suppression de toutes les barrières non tarifaires aux importations américaines. Selon la lettre, les États-Unis prévoient d’évaluer les réponses d’ici quelques jours, puis de proposer leurs propres conditions, qui pourraient inclure un taux réciproque.
La liste des pays destinataires de cette lettre est inconnue. Cependant, il s’agit probablement principalement de pays européens, et plus particulièrement de l’UE. Outre la Chine, c’est à eux que Trump adresse la plupart de ses revendications économiques. C’est en Europe que le président américain a remporté sa seule et relative victoire dans la guerre tarifaire à ce jour.
Le 8 mai, Trump a annoncé être parvenu à un accord sur les termes de l’accord avec la Grande-Bretagne. Le taux de droit de base de 10% reste en vigueur pour les produits britanniques. Une exception a été faite pour les constructeurs automobiles. Les produits de l’industrie automobile britannique, soumis au droit de douane de 10%, sont limités à 100.000 véhicules par an. En cas de dépassement, un droit de douane de 25% sera appliqué. De son côté, la Grande-Bretagne supprime les obstacles aux exportations américaines de nombreux produits sur son marché: fruits et légumes, aliments pour animaux, tabac, bœuf, etc. Il n’existe généralement pas d’accord de ce type avec d’autres pays, et surtout avec l’UE.
Pendant ce temps, les organisations internationales tirent déjà la sonnette d’alarme. Le secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Mathias Cormann, a déclaré que la croissance économique mondiale ralentissait plus que prévu, passant de 3,3% en 2024 à 2,9% cette année. En mars, avant le «jour de la libération en Amérique» de Trump, l’OCDE avait annoncé une croissance de 3,1% en 2025. Cormann a cité comme raison les actions de l’administration Trump et sa politique tarifaire déraisonnable. Il a aussi averti qu’en réalité, la croissance pourrait être encore plus faible.
Alors que la cote de popularité du président US est déjà en baisse, il se lance dans une expérience risquée. Après tout, il joue, pour ainsi dire, contre son électorat. Parmi les fervents partisans de la hausse des droits de douane figurent des trumpistes convaincus. C’est cette partie de l’électorat républicain que l’UE va frapper avec ses mesures de rétorsion dont l’application est suspendue pour l’instant.
Zone de guerre à Los Angeles : Des « foules insurrectionnelles » attaquent des policiers, incendient et bloquent l’autoroute 101
PAR TYLER DURDEN LUNDI 9 JUIN 2025 - 12h45
Regardez les émeutes en direct
- voire clip sur site - (11 h 52mn 26)
Mise à jour (21h05 HE) :
Ce qui a commencé comme une manifestation contre l’Immigration and Customs Enforcement (ICE), coordonnée par des associations marxistes rebelles, a rapidement dégénéré vendredi soir dans le centre-ville de Los Angeles en émeutes et en chaos, pour finalement dégénérer dimanche en ce qui ressemble fort à un « comportement insurrectionnel » contre le gouvernement fédéral.
« Des foules insurrectionnelles violentes envahissent et attaquent nos agents fédéraux pour tenter de stopper nos opérations d’expulsion. Mais ces émeutes illégales ne font que renforcer notre détermination », a écrit le président Trump sur Truth Social.
Trump a poursuivi : « Je donne instruction à la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, au secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, et à la procureure générale, Pam Bondi, en coordination avec tous les autres départements et agences concernés, de prendre toutes les mesures nécessaires pour libérer Los Angeles de l'invasion des migrants et mettre fin à ces émeutes. »
« L'ordre sera rétabli, les clandestins seront expulsés et Los Angeles sera libérée », a conclu le président.
Kyle Bass, fondateur et PDG de Hayman Capital Management, a écrit sur X : « S'organiser pour empêcher l'exécution légale de mandats d'arrêt par des agents fédéraux ressemble à une affaire RICO de grande envergure. Pensez-vous que @actblue et CHIRLA y ont bien réfléchi ? Si un groupe annonce publiquement son intention de commettre un meurtre… cela ne rend pas le meurtre plus légal. »
Il apparaît évident que des éléments au sein du Parti démocrate – des dirigeants locaux de Los Angeles aux élites de Washington, en passant par les cabinets d'avocats à l'origine de leur vaste réseau d'ONG de gauche financées par des fonds occultes – orchestrent une révolution colorée coordonnée. L'objectif semble être de placer Trump dans des situations politiquement difficiles afin de détourner l'opinion publique de son administration. Cela fait écho à la stratégie déployée par les démocrates en 2020, lorsque des organisations à but non lucratif marxistes, telles que Black Lives Matter, se sont mobilisées pour susciter des troubles généralisés.
En réponse aux troubles qui persistent dans le centre-ville de Los Angeles, où il semble que des comportements insurrectionnels soient le fait de ressortissants étrangers, y compris de personnes en situation irrégulière aux États-Unis, nous avons sollicité le point de vue du Dr David Asher, chercheur principal à l'Hudson Institute et expert reconnu des menaces hybrides et des réseaux transnationaux.
La réponse d'Asher a été très directe : « Ils devraient être expulsés.»
Sa déclaration souligne les menaces croissantes pour la sécurité nationale que représentent les troubles civils provoqués par des immigrants illégaux et fomentés par des ONG proches du marxisme.
Les inquiétudes d'Asher ont été partagées par le conseiller de la Maison Blanche, Stephen Miller, dans un message sur X : « Regardez tous ces drapeaux étrangers. Los Angeles est un territoire occupé. »
Regardez tous ces drapeaux étrangers. Los Angeles est un territoire occupé. https://t.co/phoWbLx7iT — Stephen Miller (@StephenM) 8 juin 2025
Un chaos parfaitement coordonné par des groupes marxistes.
🚨 Les émeutiers anti-ICE à Los Angeles sont organisés par la Coalition pour les droits humains des immigrants de Los Angeles (CHIRLA).
La CHIRLA est financée par ActBlue. pic.twitter.com/2ztHNVwbRJ — Natalie Winters (@nataliegwinters) 8 juin 2025
Et largement financé par le contribuable !
LIRE CE POST EN ENTIER.
Le clou du spectacle : CHIRLA, le groupe à l'origine des émeutes actuelles à Los Angeles, a perçu près de 34 millions de dollars de revenus provenant de contrats gouvernementaux au cours de l'exercice clos le 30 juin 2023, dont 96 % provenaient de l'État de Californie.
Insurrection financée par les contribuables. https://t.co/66Q4HxKfrF — Jennifer Van Laar (@jenvanlaar) 8 juin 2025
Le groupe militant de gauche Antifa est entré en scène.
Antifa International a annoncé une action directe le 8 juin pour attaquer les locaux de l'ICEgov à San Francisco. L'émeute prévue est organisée en soutien à l'insurrection de Los Angeles. pic.twitter.com/j3IJ88Aqmh — Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
Le chaos s'installe dans la soirée.
🚨Les rues de Los Angeles appartiennent officiellement aux émeutiers pic.twitter.com/de8eGGAH4p — Cam Higby | America First 🇺🇸 (@camhigby) 9 juin 2025
ACTUALITÉS 🚨 : Un manifestant brandit un drapeau mexicain devant un véhicule WayMo en feu. Plusieurs véhicules ont été détruits, et aucune présence policière n'est constatée dans la zone touchée.
Los Angeles, Californie pic.twitter.com/OmnUxY0dQS — Anthony (@AnthonyCabassa_) 9 juin 2025
Il semble que des agitateurs aient appelé plusieurs voitures autonomes Waymo sur le lieu d'une manifestation à Los Angeles, avant de les vandaliser et de les incendier sans aucune raison. pic.twitter.com/fnTG9kkuyz — OSINTdefender (@sentdefender) 9 juin 2025
🚨 #INFO : Des émeutiers anti-ICE incendient actuellement plusieurs véhicules dans les rues de Los Angeles.
AUCUN POLICE N'EST EN VUE.
Il ne reste que quelques heures avant la tombée de la nuit, et la situation continue de s'aggraver.
INVOQUEZ LA LOI SUR L'INSURRECTION !
🎥 @camhigby pic.twitter.com/32vt2SEByS — Nick Sortor (@nicksortor) 9 juin 2025
Deux hommes à moto ont foncé sur le cordon de police à Los Angeles et ont été arrêtés.
Vidéo : @BGOnTheScene pic.twitter.com/yVe0SGSjIB — Andy Ngo (@MrAndyNgo) 9 juin 2025
Plusieurs voitures autonomes Waymo ont été incendiées par les émeutiers dans le centre-ville de Los Angeles. La police tente d'évacuer la zone. pic.twitter.com/tfEWHlx9Gg — Andy Ngo (@MrAndyNgo) 9 juin 2025
En quoi le blocage de la circulation sur l'autoroute 101 favorise-t-il une politique anti-ICE ? En bref, non. Tout comme les émeutes de Black Lives Matter qui ont incendié des quartiers entiers en 2020, il ne s'agit pas d'aider les opprimés. Il est de plus en plus évident que ces groupes marxistes visaient à déstabiliser le pays.
Los Angeles, Californie - Des manifestants ont réussi à bloquer une partie de l'autoroute 101, tandis que des milliers de personnes défilaient dans les rues pour protester contre l'ICE et l'ordre donné par le président Trump de déployer 2 000 gardes nationaux.
Une importante intervention policière est visible pour tenter de disperser la foule. pic.twitter.com/2VOxY0FxOh — Anthony (@AnthonyCabassa_) 8 juin 2025
🚨 #INFO : Des milliers d'émeutiers anti-ICE ont désormais pris d'assaut l'autoroute 101 à Los Angeles.
Des centaines d'automobilistes sont désormais bloqués sur l'autoroute par des émeutiers violents.
IL EST TEMPS : DÉPLOYEZ LES MARINES ! pic.twitter.com/2f9A9PcnLW — Nick Sortor (@nicksortor) 8 juin 2025
500 Marines américains ont été mobilisés.
🚨#INFO : Le ministère de la Défense vient d'annoncer que près de 500 Marines en service actif se préparent à être déployés à Los Angeles, alors que les émeutes s'intensifient. pic.twitter.com/qqWPa6j6dF — R A W S A L E R T S (@rawsalerts) 9 juin 2025
Des mises à jour supplémentaires sont attendues dans la nuit.
* * *
Los Angeles se prépare à une nouvelle journée d'émeutes apparemment coordonnées, déclenchées par des arrestations massives de clandestins par l'Immigration and Customs Enforcement (ICE). Ces troubles ont impliqué des éléments organisés affiliés à des cellules militantes d'extrême gauche, notamment des associations à but non lucratif marxistes (voir ci-dessous).
Ces deux derniers jours, la situation s'est rapidement détériorée : pillages, incendies criminels, y compris des véhicules incendiés, et agressions directes contre les forces de l'ordre. Les indicateurs suggèrent un degré élevé de préméditation et de mobilisation en ligne dans ce qui semble être une tentative des acteurs proches du Parti démocrate de déclencher une version mexicaine des émeutes de Black Lives Matter, faisant écho au chaos observé lors de la révolution de couleur « Summer of Love » de 2020.
Images de New York et de Los Angeles, des villes typiquement démocrates !
Ce ne sont pas des « manifestants », ce sont des terroristes nationaux ! pic.twitter.com/MGNB1dnqo4 — Mike Engleman🇺🇲 (@RealHickory) 8 juin 2025
Samedi, l'administration Trump a annoncé la fédéralisation de 2 000 soldats de la Garde nationale californienne. La secrétaire du DHS, Kristi Noem, a également réagi en publiant sur X que les manifestants qui recourent à la violence contre les agents seront poursuivis, écrivant : « Vous ne nous arrêterez pas et ne nous ralentirez pas. »
Le président Trump a également blâmé le gouverneur de Californie Gavin « Newscum » et la maire de Los Angeles Karen Bass Bass, déclarant samedi soir dans un article intitulé « Truth » que s'ils ne peuvent pas faire leur travail, « le gouvernement fédéral interviendra et résoudra le problème ».
Dimanche, Trump a publié :
Excellent travail de la Garde nationale à Los Angeles après deux jours de violences, d'affrontements et de troubles. Nous avons un gouverneur (Newscum) et une maire (Bass) incompétents qui, comme d'habitude (il suffit de voir comment ils ont géré les incendies, et maintenant leur désastre d'autorisations TRÈS LENTES ! Les autorisations fédérales sont terminées !), ont été incapables de mener à bien leur tâche.
Ces manifestations de la gauche radicale, menées par des instigateurs et souvent des fauteurs de troubles rémunérés, NE SERONT PAS TOLÉRÉES. De plus, désormais, le port du masque NE SERA PLUS AUTORISÉ lors des manifestations. Que cachent ces personnes, et pourquoi ? Encore une fois, merci à la Garde nationale pour son excellent travail !
La porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a fait écho aux propos de Trump. Dans un commentaire publié sur X, il a déclaré : « Le président Trump maintiendra l'ordre public et continuera d'expulser de notre pays tous les dangereux immigrants illégaux », ajoutant : « Les violences collectives seront réprimées, les criminels responsables seront traduits en justice et les opérations d'arrestation des immigrants illégaux se poursuivront sans relâche. »
Newsom, Bass et le LAPD minimisent les manifestations, les qualifiant d'abus de pouvoir de la part des autorités fédérales, au milieu de manifestations « pacifiques » entre l'Immigration and Customs Enforcement (ICE) et les manifestants, après que les agents de l'ICE ont mené plusieurs opérations d'immigration dans tout le comté.
Le gouvernement fédéral s'apprête à prendre le contrôle de la Garde nationale de Californie et à déployer 2 000 soldats. Cette décision est délibérément incendiaire et ne fera qu'exacerber les tensions.
Les autorités de Los Angeles peuvent obtenir l'aide des forces de l'ordre à tout moment. Nous sommes en contact étroit… — Gouverneur Gavin Newsom (@CAgovernor) 8 juin 2025
Le procureur général de Californie, Rob Bonta, a déclaré : « Il n’y a pas d’urgence et l’ordre présidentiel de faire appel à la Garde nationale est inutile et contre-productif.»
Nous avons contacté les forces de l’ordre locales de Los Angeles. Elles disposent des ressources nécessaires pour intervenir dans l’urgence, et nous sommes prêts à intervenir en cas de besoin.
Il n’y a pas d’urgence et l’ordre présidentiel de faire appel à la Garde nationale est inutile et contre-productif. — Rob Bonta (@AGRobBonta) 8 juin 2025
Bonta se range désormais du côté d’une armée étrangère qui attaque les Américains. pic.twitter.com/98ZbUchWOQ — Sawyer (@flippersrevenge) 8 juin 2025
Samedi soir, un hélicoptère Black Hawk de la police des frontières a été aperçu en train de décharger des dizaines de caisses d’armes et de munitions.
Un Black Hawk de la patrouille frontalière décharge des dizaines de caisses d'armes et de munitions dans une rue de Los Angeles.
« Préparatifs pour une bataille majeure » pic.twitter.com/B2zqQ3trVA — RT (@RT_com) 8 juin 2025
Pendant ce temps, le Département de la Sécurité intérieure a accusé les dirigeants démocrates de Californie, dont le gouverneur Gavin Newsom (démocrate) et la maire Karen Bass (démocrate), d'avoir contribué aux violences.
« Le ciblage violent des forces de l'ordre à Los Angeles par des émeutiers sans foi ni loi est ignoble et le maire Bass et le gouverneur Newsom doivent exiger qu'il cesse », a déclaré Tricia McLaughlin, porte-parole du Département de la Sécurité intérieure, dans un communiqué.
L'administratrice de la SBA, Kelly Loeffler, a interpellé Newsom et le maire Bass, affirmant que la SBA allait « immédiatement » déménager son bureau régional hors de Los Angeles.
Los Angeles refuse ouvertement de coopérer avec l'ICE, se rangeant du côté des sans-papiers au détriment des citoyens américains et des petites entreprises.
Par conséquent, à compter d'aujourd'hui, @SBAgov délocalisera son bureau régional hors de Los Angeles.
Si une ville ne protège pas sa population, nous ne resterons pas. https://t.co/lal7Z8gOfs — Kelly Loeffler (@SBA_Kelly) 7 juin 2025
Et qu'avons-nous ici ? Les palettes de briques sont réapparues, reprenant les mêmes tactiques que lors des émeutes de 2020.
🚨 DERNIÈRE MINUTE : Des palettes de parpaings ont été découvertes à proximité immédiate des émeutes à Los Angeles.
Elles sont désormais utilisées comme des ARMES contre les agents fédéraux.
Qui a mis ça ici, et qui a payé ?! Il faut absolument enquêter.
🎥 @AnthonyCabassa_ pic.twitter.com/fEzUSZsvvw — Nick Sortor (@nicksortor) 7 juin 2025
Samedi matin, nous avons dressé le portrait de l'une des organisations à but non lucratif à l'origine du chaos – Unión del Barrio – dont le manifeste, rempli de rhétorique marxiste et communiste explicite, semble être devenu le prochain groupe que les démocrates utilisent comme des idiots utiles.
Des émeutes éclatent dans les locaux de l'ICE de Los Angeles alors qu'un clone mexicain de BLM déclenche une opération de révolution de couleur DataRepublican a noté que plusieurs ONG coordonnent le chaos.
Plusieurs ONG sont impliquées dans cette affaire. La plus importante est la Coalition pour les droits humains des immigrants (CHIRLA), et les photos des pancartes montrent qu'elles ont été imprimées par PSLWEB / Parti pour le socialisme et la libération. pic.twitter.com/yS7jXkHGJ8 — DataRepublican (petit r) (@DataRepublican) 8 juin 2025
EXCLUSIF : Une association financée par les contribuables est à l’origine des émeutes anti-ICE à Los Angeles.
Ces deux derniers jours, les agents de l’ICE ont mené des opérations ciblées dans la région de Los Angeles, arrêtant plus de 40 personnes soupçonnées d’être en situation irrégulière. Ces mesures ont déclenché des opérations de grande ampleur… pic.twitter.com/bDTn0oB6nD — Laura Powell (@LauraPowellEsq) 8 juin 2025
Une évaluation plus approfondie est en cours afin de déterminer la structure opérationnelle derrière ces violences et toute influence ou coordination externe exercée par des adversaires étrangers.
« Pour rappel, alors que les émeutes font rage à Los Angeles, la maire de Los Angeles, Karen Bass, était une partisane de Fidel Castro. Elle était membre de la Brigade Venceremos et s'est rendue à Cuba à sept reprises dans les années 1970, à une époque où il était illégal pour les Américains de s'y rendre. Plus tard, elle s'y est rendue avec Obama en 2016 », a écrit Shaun Maguire, associé de Sequoia, sur X.
Pour rappel, alors que les émeutes font rage à Los Angeles
La maire de Los Angeles, Karen Bass, était une partisane de Fidel Castro.
Elle était membre de la Brigade Venceremos et s'est rendue à Cuba à sept reprises dans les années 1970, à une époque où il était illégal pour les Américains de s'y rendre.
Plus tard, elle s'y est rendue avec Obama en 2016. pic.twitter.com/uIrhIb6tX3 — Shaun Maguire (@shaunmmaguire) 8 juin 2025
Et ceci.
L'un des principaux organisateurs des violentes émeutes de Los Angeles ICE est la Coalition pour les droits humains des immigrants.
Elle reçoit actuellement des subventions à six chiffres du @DHSgov pour des « services d'instruction à la citoyenneté et de naturalisation ».
Il faut y mettre fin immédiatement ! @Sec_Noem… pic.twitter.com/96w7ZjmmVg — Natalie Winters (@nataliegwinters) 8 juin 2025
Le militant extrémiste violent d'Antifa Craig Toennies @ctizzie ordonne à ses camarades violents d'attaquer les vidéastes @AnthonyCabassa_ et @camhigby pour avoir documenté l'insurrection d'extrême gauche à Los Angeles. Il est furieux que les deux hommes aient filmé les violences en cru, ce qui… pic.twitter.com/sc12pTXSt5 — Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
Cc administrateur Trump ? Il est peut-être temps de codifier les coupes budgétaires dans le DOGE.
Exactement. — Elon Musk (@elonmusk) 8 juin 2025
Nicole Shanahan, ancienne colistière de Robert F. Kennedy Jr., a souligné :
Je sens la CIA et l'État profond partout. Les villes sanctuaires comme Los Angeles ont stratégiquement encouragé les migrants imprévisibles et violents à chercher refuge et les utilisent maintenant pour attaquer violemment les forces de l'ordre fédérales.
Elles ne respectent pas nos lois, elles abusent de nos droits et détruisent nos villes. Tel sera le sort de toutes les villes sanctuaires si nous laissons cette folie perdurer.
« Les étrangers qui habitent votre pays gagneront en puissance, tandis que vous perdrez progressivement la vôtre. Ils auront de l'argent à vous prêter, mais vous n'en aurez pas. À la fin, ils seront vos dirigeants. » (Deutéronome 28:43-45) Ces paroles ont été écrites il y a des milliers d'années et sont toujours d'actualité.
Newsom et Bass souhaitent cette altercation avec Trump. Ils sont prêts à mettre le feu à une ville si cela leur permet de marquer des points politiques. Pendant ce temps, la Californie souffre. Allons-nous un jour nous réveiller de ce cauchemar ?
Je sens l'influence de la CIA et de l'État profond partout. Les villes sanctuaires comme Los Angeles ont stratégiquement encouragé les migrants imprévisibles et violents à chercher refuge et les utilisent maintenant pour attaquer violemment les forces de l'ordre fédérales.
Ils ne respectent pas nos lois, ils abusent de nos prétentions, et ils… pic.twitter.com/u1zSxciFQb — Nicole Shanahan (@NicoleShanahan) 8 juin 2025
Los Angeles était une zone de guerre pendant la nuit.
Des insurgés d'extrême gauche et nationalistes mexicains à Los Angeles ont apporté du matériel pour fabriquer des cocktails Molotov à lancer sur des agents fédéraux américains. L'émeute contre les services d'immigration continue de s'intensifier. Vidéo de : @AnthonyCabassa_pic.twitter.com/7JWDFyQYti — Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
Des émeutiers antifa et nationalistes mexicains à Los Angeles utilisent un réfrigérateur volé comme bouclier improvisé contre les forces de l'ordre fédérales à Compton. Les émeutiers participent à une insurrection contre le gouvernement. pic.twitter.com/J0aRBwwJBl — Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
🚨INFO : La situation à Los Angeles dégénère rapidement. De plus en plus d’incendies sont allumés, un semi-remorque est cambriolé et la police progresse vers le cordon de sécurité. pic.twitter.com/HLDJQcUCjq — Cam Higby | America First 🇺🇸 (@camhigby) 8 juin 2025
🚨 DERNIÈRE MINUTE : Des émeutiers pillent actuellement des magasins à Los Angeles, tandis que la police est totalement introuvable.
Et le gérant du magasin ne peut rien y faire, sous peine d'être inculpé.
ANALGÉSIE TOTALE grâce à Gavin Newsom et aux Démocrates. pic.twitter.com/YyaVNUQdeh — Nick Sortor (@nicksortor) 8 juin 2025
DERNIÈRE MINUTE : Le directeur adjoint du FBI, Dan Bongino, appelle le public à aider à identifier un homme jetant des pierres sur des véhicules à Los Angeles, où des agents fédéraux effectuent des perquisitions.
Nous recherchons actuellement des informations concernant l'identité de la ou des personnes qui jettent des pierres sur les véhicules… pic.twitter.com/wZFgHMe792 — Collin Rugg (@CollinRugg) 7 juin 2025
Eunisses Hernandez (D), conseillère municipale de Los Angeles, appelle à intensifier les combats contre les agents de l'ICE.
Eunisses Hernandez (D), conseillère municipale de Los Angeles, appelle à intensifier les émeutes contre les agents de l'ICE.
Arrêtez-la. pic.twitter.com/e4euGZ5os5 — Libs of TikTok (@libsoftiktok) 8 juin 2025
Une question clé émergeant de ces troubles est de savoir dans quelle mesure les étrangers en situation irrégulière participent aux émeutes, et si des individus ou des groupes pourraient agir sous l'influence d'agences de renseignement étrangères cherchant à fomenter des troubles sociaux aux États-Unis.
Compte tenu des indicateurs observés jusqu'à présent, l'action coordonnée, le message idéologique et la ressemblance tactique suggèrent que les organisations à but non lucratif malhonnêtes, alliées au Parti démocrate, utilisent le modèle de la « révolution de couleur » pour tenter de déclencher des émeutes à l'échelle nationale. Cet incident devrait être considéré comme une menace potentielle pour la sécurité nationale, compte tenu de la participation probable de ressortissants étrangers.
Contrat social UN100 : la fin de notre liberté
RépondreSupprimer07.06.2025
www.kla.tv/37881
[Présentateur :]
Savez-vous ce qu'est un crédit social ou un système de crédit social ? Il s'agit d'un système de surveillance totale dans lequel un gouvernement espionne le comportement des citoyens de manière globale, attribue ou retire des points pour cela et - en fonction du "solde" du crédit social - les citoyens sont soit traités de manière préférentielle soit pénalisés. C'est surtout connu en Chine. Par exemple, en 2018 encore, SRF a parlé avec un regard critique des conséquences du système de crédit social chinois sur les citoyens.
La même année, un membre du Parlement s'est exprimé lors du congrès du parti chinois :
[Voix :] "Je demande un large éventail de sanctions pour les personnes ayant un mauvais crédit social. Ceux qui ont ce mauvais crédit doivent être limités dans leur liberté de mouvement, et ce par différents moyens."
[Présenteur:] L'exemple du journaliste d'investigation Liu Hu, qui a été mis sur une liste noire pour un article sur les fonctionnaires corrompus, montre comment on peut imaginer cela de manière très pratique. Il est surveillé en permanence, peut à peine exercer son métier, ne peut plus prendre le train ni l'avion.
[Voix :] Liu Hu : "Je ne peux plus réserver d'hôtels, je ne peux plus acheter d'appartement, je ne peux pas enregistrer de société ou être le représentant légal d'une organisation."
[Présentateur :] Depuis, le calme est revenu dans le mainstream. Après plusieurs publications il n'y a pas eu de tollé général. La Chine est loin. Dans l'Occident démocratique, une telle chose serait impensable. Vraiment ?
Presque personne ne se doute qu'on élabore déjà des plans concrets pour installer un système de points de crédit sociaux dans le monde entier. Car SRF et d'autres médias de droit public le cachent totalement, faisant ainsi miroiter à la population occidentale une sécurité factice. De quels plans s'agit-il ?
[Voix :] En 2019, un groupe de membres de think tank, de politiciens, d'anciens chefs de gouvernement, d'universitaires et de représentants de l'industrie technologique s'est réuni et a fixé des objectifs concrets pour la transformation du monde entier, à l'ombre de la planification du Covid. Un livre intitulé "Remaking the world - The Age of Global Enlightenment" (Reconstruire le monde - L'ère de l'éveil mondial) a été rédigé sous la forme d'un document de travail. Parmi les contributeurs, on trouve des personnes haut placées comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, Vint Cerf, vice-président de Google et qu'on appelle "le père d'Internet", ou Ramu Damodaran, chef de l'initiative "Impact académique des Nations unies". Le livre a été publié sous le label "UN100", une initiative des Nations unies à l'occasion du centenaire de l'organisation en 2045. Mais c'est un influent think tank américain, le Boston Global Forum, qui tirait les ficelles.
RépondreSupprimer[Présentateur :] De quoi parle le livre en question ? Les auteurs écrivent que l'intelligence artificielle possède un grand potentiel pour changer nos vies, et en même temps, que l'utilisation indisciplinée de l'IA recèle un grand potentiel d'abus. C'est pourquoi il faut un "contrat social pour l'ère de l'IA" [explication du mot : contrat social : accord entre les membres d'une société de travailler ensemble pour le bien de la société], qui doit s'appliquer au monde entier - indépendamment de la diversité de tous les pays, ethnies et cultures. Ce contrat social a été analysé de plus près par Kla.TV.
[Voix Off :] Le contrat social pour l'ère de l'IA - Application globale de l'IA
De l'égalité promise avec l'IA au dieu numérique ?
[Présentateur :] Dès le premier chapitre on voit déjà où le voyage conduit :
Le contrat social pour l'ère de l'IA crée une plateforme pour une société de démocratie intelligente. De plus, il repose sur un équilibre des pouvoirs entre les gouvernements, les entreprises, la société civile, les individus et les assistants IA.
Établir un tel équilibre des pouvoirs est un objectif très élevé et nécessiterait rien de moins qu'un changement de système global. En effet, la situation politique mondiale actuelle devrait plutôt être décrite comme un déséquilibre du pouvoir, dans lequel des clubs secrets et des groupes de réflexion sans contrôle démocratique définissent l'agenda. Regardez à ce sujet les documentaires de Kla.TV, sous le hashtag #CFR. Or, l'initiative UN100 poursuit précisément cette politique. La preuve en est que le contrat social pour l'ère de l'IA a également été créé sans contrôle démocratique et encore moins avec un mandat des peuples.
De plus, vous avez bien entendu : l'UN100 inclut les assistants IA dans le prétendu "équilibre des pouvoirs" ! Concrètement, cela pourrait signifier, par exemple, que les intelligences artificielles aient leur mot à dire dans les processus politiques. On peut vraiment douter que l'équilibre des pouvoirs évoqué ci-dessus soit maintenu. Il semble beaucoup plus probable que cette égalité soit un premier pas vers le "dieu numérique" tant évoqué, à la direction duquel l'humanité devra un jour se soumettre.
[Voix :] Démocratie intelligente
RépondreSupprimer[Présentateur :] La "Smart Democracy" ou démocratie intelligente mentionnée n'est pas définie plus avant dans le document de l'UN100. Faut-il entendre par là une forme de domination dans laquelle une intelligence artificielle sait toujours ce qui est le mieux pour la société ? [Voix :] On n'en est pas si loin. En 2017, le fondateur du FEM, Klaus Schwab, parlait avec admiration du fait que les technologies numériques prédictives pourraient bientôt rendre les élections démocratiques inutiles.
[Klaus Schwab :] "But then the next step could be to go into a prescriptive mode, which means you do not even have to have elections anymore because you can already predict [...] and afterwards you can say "Why do we need elections?" because we know what the result will be."
[fr. Sous-titre :" Mais ensuite, l'étape suivante pourrait consister à passer à un mode prescriptif, ce qui signifie qu'on n'a même plus besoin de faire des élections parce qu'on peut déjà prévoir [...] et qu'on peut ensuite dire "Pourquoi a-t-on besoin d'élections ?" parce qu'on sait ce que sera le résultat."] [Voix :] Et en effet, le contrat social parle d'encourager la société civile à planifier son avenir à l'aide d'outils d'intelligence artificielle prédictifs.
[Voix :] Obligation de fournir des données complètes
[Présenteur:] Une application complète de l'IA implique également une collecte et une analyse approfondies des données. Sous le titre "Modèle de gouvernement de l'IA", on peut lire ce qui suit :
[Voix :] "Le cœur de la gestion de l'IA est le National Decision Making and Data Center (NDMD) [Centre national de décision et de données]. Le NDMD collecte, stocke, analyse et utilise d'énormes quantités de données pertinentes pour la fourniture de services publics et l'évaluation des programmes et des fonctionnaires publics."
[Présentateur :] Ces "énormes quantités de données" doivent bien sûr être mises à disposition, et le contrat social s'exprime également à ce sujet :
[Voix :] "Les individus doivent contribuer au bien commun en [...] fournissant des informations personnelles importantes [...], comme par exemple lors de la collecte de données de recensement et de l'élection de responsables publics."
[Présentateur :] Il est donc prévu une obligation de remettre des "informations personnelles importantes" à une administration de l'IA. Le fait que chaque citoyen de la Terre doive en outre recevoir une identité numérique n'étonne plus guère à ce stade. Par ailleurs, il convient également de mentionner que la contrainte est une caractéristique qui traverse le contrat social. En effet, au cas où des acteurs ne respecteraient pas le contrat social, l'Alliance démocratique pour la gouvernance numérique en serait responsable. Cette autorité supranationale doit être constituée en tant que - je cite - "autorité mondiale chargée d'appliquer le contrat social pour l'ère de l'IA".
RépondreSupprimer[Voix :] Les objectifs de durabilité et les objectifs du FEM comme base d'analyse des données
[Voix :] Pour la collecte et l'exploitation de ces données, le contrat social propose deux modèles : Premièrement, le processus de mesure des données de l'Agenda 2030, qui est lié à 17 objectifs dits de durabilité. Kla.TV a documenté de plusieurs manières, sous le hashtag #Agenda2030, comment ces objectifs servent en réalité à plonger le monde dans une nouvelle forme d'esclavage.
Deuxièmement, les critères ESG du Forum économique mondial - en abrégé FEM - doivent servir de base à l'analyse des données. ESG est l'abréviation de "Environnementaux, Sociaux et Gouvernance". Le FEM est un groupe de réflexion avec une incroyable concentration de pouvoir, qui exerce une influence sur la politique internationale en contournant les structures parlementaires. Vous en saurez plus en regardant l'émission de Kla.TV "Le FEM et ceux qui tirent les ficelles - Une conspiration mondiale ?" Le militant suisse des droits civiques du mouvement de protestation face aux mesures Covid "MASS-VOLL", Nicolas Rimoldi, analyse comme suit l'intégration de ces objectifs :
[Voix :] "L'utilisation des métriques de données des Objectifs de développement durable des Nations unies [...] et des critères ESG du Forum économique mondial comme base pour les décisions politiques suggère toutefois que l'IA et les politiques qui en découlent sont fortement axées sur ces objectifs mondiaux spécifiques. [...] En entraînant l'IA sur les métriques des ODD et des ESG, il est implicitement établi que seules ces données et ces objectifs seront reconnus comme vrais et pertinents. D'autres perspectives ou sources de données alternatives sont alors considérées comme moins fiables ou fausses."
[Présenteur:] Conclusion : L'application globale prévue de l'IA comporte un énorme potentiel d'abus de données et transforme les gens en citoyens transparents. De plus, c'est une gigantesque prétention de la part de l'UN100 de vouloir imposer de tels plans à toute l'humanité sans aucune légitimité démocratique. Mais il y a plus grave encore. Tournons maintenant notre regard vers le cœur du contrat social.
[Voix :] Le système de récompense SVR
RépondreSupprimer[Présentateur :] Le contrat social pour l'ère de l'IA révèle son véritable visage dans le chapitre "Social Value Reward System", en abrégé SVR et en français "Système de récompense pour la valeur sociale". Il s'agit de "créer un système de suivi et d'évaluation des gouvernements, des entreprises et des individus basé sur leur contribution au respect des normes, des standards, des valeurs communes et du droit international en matière d'honnêteté, de transparence, de responsabilité et d'obligation de rendre des comptes." Pour beaucoup, le terme de système de crédit social est plus familier ; un tel système est déjà utilisé en Chine et fortement critiqué. Il s'agit d'un système de surveillance totale qui espionne et évalue le comportement des citoyens de manière globale, qui attribue ou retire des points de crédit social pour cela et qui privilégie ou pénalise les citoyens en fonction du "solde de leur compte". Celui qui a un crédit social bas parce qu'il ne se comporte pas de manière conforme, a un Internet ralenti, paie des impôts plus élevés, perd son emploi ou son logement ou ne peut plus voyager. C'est ainsi que le Parti communiste chinois "éduque" les citoyens chinois à plus d'"honnêteté".
Il est vrai que le modèle UN100 interdit les sanctions et que, selon sa propre définition, il contraste fortement avec le modèle chinois. De plus, pour des raisons techniques, le système SVR n'est pas accessible aux gouvernements. Fausse alerte donc ?
Non !
[Voix :] La démarcation avec le modèle chinois n'est absolument pas crédible. Ainsi, le cofondateur du Boston Global Forum, John Quelch, a occupé pendant des années différentes fonctions à la CEIBS [explication du mot : CEIBS = China Europe International Business School]. La CEIBS est une école supérieure de Shanghai qui, étonnamment, a été créée comme projet commun du gouvernement chinois, c'est-à-dire du Parti communiste chinois, et de l'UE. Un contraste fort aurait l'air différent. Notons au passage que John Quelch et Joseph S. Nye, acteur de l'UN100, sont tous deux membres des réseaux maçonniques du gouvernement de l'ombre que sont la Commission trilatérale et le Council on Foreign Relations. Ceux-ci travaillent à leur tour activement à l'uniformisation et à l'asservissement des peuples selon le modèle chinois.
[Présenteur:] Pour d'autres raisons également, il serait naïf de croire que le système de récompenses SVR ne pourrait pas évoluer vers le système de crédit social chinois. Comme l'a documenté Kla.TV dans "La Chine – ce système de domination nous menace tous !", l'État de surveillance qu'est la Chine a été financé et mis en place par les familles Rothschild et Rockefeller en tant qu'expérience sociale, afin d'étendre ensuite ce modèle de domination au monde entier. Et c'est ainsi que la dictature chinoise récolte, de manière effrayante, la reconnaissance de politiciens puissants, même sous nos latitudes. En 2013, par exemple, l'ancien Premier ministre canadien Justin Trudeau s'est exprimé ainsi :
RépondreSupprimer[Voix :] "Dans une certaine mesure, j'admire la Chine parce que, en raison de sa dictature fondamentale, elle est capable de transformer son économie en un clin d'œil [...]".
[Présenteur:] Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, a lui aussi fait l'éloge des "réalisations" du Parti communiste chinois. Et si nous nous souvenons que la métrique des données du FEM doit servir de base à l'application de l'IA dans le contrat social, la boucle est bouclée.
Même sans mesures punitives, le système de récompenses SVR est une aberration. La surveillance totale et l'évaluation du comportement de chacun, c'est la fin de la vie privée et donc la fin de la liberté. En combinaison avec les monnaies numériques des banques centrales - en abrégé CBDC - il est facile de couper les vivres à quiconque ne se conforme pas. L'UN100 est très favorable à la monnaie numérique de banque centrale.
Enfin, il faut préciser qu'un système qui récompense la conformité dégrade l'homme en tant qu'être libre. Le militant des droits civiques Nicolas Rimoldi dit à ce sujet :
[Voix :] "Nous, les hommes, devons être éduqués pour devenir des citoyens obéissants. Pas par la contrainte, mais par la non-récompense en cas de désobéissance, ce qui revient au même. Ce système rappelle celui des chiens pavloviens, qui sont entraînés à adopter certains comportements pour obtenir des récompenses. Il déresponsabilise les citoyens et les réduit à des participants conformes au système, qui agissent selon des règles prédéfinies au lieu d'agir librement et de manière autonome."
[Voix :] Résumé
RépondreSupprimer[Voix :] Le contrat social pour l'ère de l'IA promet de faire du monde une meilleure planète et de renforcer la liberté, les droits et la reconnaissance des individus. Mais un examen plus approfondi montre clairement qu'il s'agit de mettre en place un système dans lequel le citoyen est habitué à une domination de l'IA et est réduit à un fournisseur de données. L'Alliance démocratique pour la gouvernance numérique doit assurer l'alignement des États-nations, tandis que le système de crédit social surveille les gouvernements, les entreprises et les individus et les aligne sur l'Agenda 2030 ennemi de l'homme, en les récompensant. De facto, un système qui veut nous priver de notre liberté et de notre dignité.
[Présenteur:] Chers téléspectateurs, le temps de mettre un terme au contrat social pour l'ère de l'IA, c'est MAINTENANT, et vous pouvez y contribuer activement. Diffusez cette émission autant que possible afin de faire prendre conscience au public de ces sombres projets dès maintenant. Échappez à la prison numérique en utilisant de l'argent liquide chaque fois que c'est possible ou en remplaçant les communications numériques par de vraies conversations. Soyez conscient que les solutions dites intelligentes comme le smartphone, la maison intelligente ou la conduite autonome préparent le chemin de la démocratie intelligente. Mettez un terme à la domination planifiée de l'IA en renonçant à l'utilisation de l'IA dans votre vie quotidienne et en privant ces systèmes de leur base : vos données personnelles.
Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a récemment mis en lumière un autre aspect très fondamental de ces technologies. Découvrez ci-dessous un extrait de son discours lors de la Journée des Amis de cette année.
[Ivo Sasek :] "Nous sommes de plus en plus orientés et dépendants de machines, de clouds externes ou finalement d'implants dans notre corps. Mais nous sommes ainsi dépossédés de nous-mêmes. C'est là que le bât blesse. Nous perdons nos privilèges divins, nos privilèges intérieurs à cause de cela. [...] C'est comme toujours, une offre de salut qui n'apporte pas le salut. Donc pas de progrès, c'est toujours et partout la même chose. Bien sûr, pour l'instant, c'est un progrès considérable. Mais ce que nous écrasons et ruinons littéralement, c'est notre connexion à l'ère du développement divin en nous, qui est en train d'apparaître. Où toutes ces magnifiques capacités naîtraient directement de nous, sans aucune machine ou intelligence artificielle. C'est de cela que nous parlons aujourd'hui. Car ces capacités sont dans le programme. C'est le temps que Dieu a fixé maintenant pour cela, le printemps pour cela. Parce que tu as toutes ces compétences directement en toi. Et il y a ce kaïros [explication du mot : kaïros = moment approprié] qui veut se lever en toi pour que tu puisses appliquer tout cela de manière acceptable."
de jb.
RépondreSupprimerSources/Liens :
Documentaire de la SRF sur le système chinois de crédit social :
https://www.srf.ch/news/international/wenn-der-staat-alles-sieht-der-perfekte-chinese
Initiative UN100 :
https://un100.net/introduction/
Livre « Remaking the World - The Age of Global Enlightenment » de:https://un100.net/books-un/official-launch-of-the-e-book-of-the-united-nations-centennial-remaking-the-world-the-age-of-global-enlightenment/
https://archive.org/details/un-100-age-of-global-enlightenment
United Nations Academic Impact:
https://www.un.org/en/academicimpact
https://un100.net/academic-impact/1508/
Boston Global Forum:
https://bostonglobalforum.org
Klaus Schwab, fondateur du FEM, parle des technologies numériques prédictives et du caractère superflu des élections démocratiques :
https://www.youtube.com/watch?v=Pjpmh_iG9PE
ESG - Environmental, Social & Governance:
https://de.wikipedia.org/wiki/Environmental,_Social_and_Governance
Contribution de Nicolas Rimoldi sur le contrat social à l'ère de l'IA :
https://www.tell-news.ch/p/die-uno-plant-den-globalen-gesellschaftsvertrag
Système de crédit social :
https://de.wikipedia.org/wiki/Sozialkredit-System
John Quelch, cofondateur et membre du conseil d'administration du Boston Global Forum :
https://bostonglobalforum.org/board-of-directors/john-quelch/
https://en.wikipedia.org/wiki/John_Quelch
École internationale de commerce Chine-Europe (CEIBS) :
https://en.wikipedia.org/wiki/China_Europe_International_Business_School
Joseph Samuel Nye Jr.:
RépondreSupprimerhttps://en.wikipedia.org/wiki/Joseph_Nye
L'admiration de Justin Trudeau pour la dictature chinoise :
https://www.ctvnews.ca/politics/article/trudeau-under-fire-for-expressing-admiration-for-chinas-basic-dictatorship/
Klaus Schwab fait l'éloge des réalisations du PCC :
https://youtu.be/NI6_8_zrsGs
https://www.lifesitenews.com/news/klaus-schwamb-praises-ccp-politicans/?utm_source=digest-freedom-2023-06-29&utm_medium=email
Licences Creative Commons
https://www.creativecommons.org/licenses/
https://www.kla.tv/fr
(...) [Présentateur :] De quoi parle le livre en question ? Les auteurs écrivent que l'intelligence artificielle possède un grand potentiel pour changer nos vies, et en même temps, que l'utilisation indisciplinée de l'IA recèle un grand potentiel d'abus. (...)
SupprimerPremièrement L''IA' EST un programme comme l'est celui d'une calculatrice de poche. Elle permet d'atteindre un résultat plus rapide à l'affichage.
Deuxièmement, cette 'intelligence' qui n'en est pas une puisque elle est artificielle (qui n'existe pas) ne peu être un complément de quoi que ce soit puisque ses recherches vienne de l'intelligence humaine publiée sur Internet et non d'elle-même.
(...) Il s'agit de "créer un système de suivi et d'évaluation des gouvernements, des entreprises et des individus basé sur leur contribution au respect des normes, des standards, des valeurs communes et du droit international en matière d'honnêteté, de transparence, de responsabilité et d'obligation de rendre des comptes." (...)
ÂÂâah bêh pitain ! Si 'elle' s'en prend aux gouvernements... !!!
Mais... OUF ! LIA n'est pas honnête ! OUF ! Car la super-censure est là pour éliminer tous les propos scientifiques publiés sur l'Internet ! Ouf !
La répétition générale de la pandémie de grippe H1N1 de 2009 : mensonges politiques et désinformation médiatique concernant l'épidémie de grippe porcine
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
7 juin 2025
Première publication en mai 2009
Note de l'auteur :
Il y a plus de 15 ans : la pandémie de grippe porcine H1N1.
Désinformation médiatique, mensonges politiques, fabrications, 4,9 milliards de doses de vaccins étaient envisagées par l’OMS…
Les données ont été manipulées.
Les gouvernements occidentaux et l'OMS ont été complices d'une fraude de plusieurs milliards de dollars. Une répétition générale de la crise de la Covid et de ses conséquences.
Sur la base des évaluations des experts, les critères scientifiques d'une pandémie de grippe sont remplis. J'ai donc décidé de relever le niveau d'alerte à la pandémie de grippe de la phase 5 à la phase 6. Le monde est désormais au début de la pandémie de grippe de 2009. … Margaret Chan, Directrice générale de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Point de presse du 11 juin 2009
« Jusqu'à deux milliards de personnes pourraient être infectées au cours des deux prochaines années, soit près d'un tiers de la population mondiale. » (Organisation mondiale de la santé, tel que rapporté par les médias occidentaux, juillet 2009)
« La grippe porcine pourrait toucher jusqu'à 40 pour cent des Américains au cours des deux prochaines années et jusqu'à plusieurs centaines de milliers de personnes pourraient mourir si une campagne de vaccination et d'autres mesures ne sont pas efficaces. » (Déclaration officielle de l'administration américaine, Associated Press, 24 juillet 2009).
« Les États-Unis espèrent disposer de 160 millions de doses de vaccin contre la grippe porcine en octobre », ( Associated Press, 23 juillet 2009)
« Dans le meilleur des cas, les fabricants de vaccins pourraient produire 4,9 milliards de vaccins contre la grippe pandémique par an », a déclaré Margaret Chan, directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) , citée par Reuters, le 21 juillet 2009.
Les pays riches comme les États-Unis et la Grande-Bretagne paieront un peu moins de 10 dollars par dose [du vaccin contre la grippe H1N1]. … Les pays en développement paieront un prix inférieur. » [environ 400 milliards de dollars pour les grandes entreprises pharmaceutiques] ( Business Week, juillet 2009)
L’OMS a reconnu avec désinvolture avoir commis une erreur.
Il n’y a pas eu de pandémie touchant 2 milliards de personnes…
Des millions de doses de vaccin contre la grippe porcine avaient été commandées par les gouvernements nationaux auprès des grandes sociétés pharmaceutiques. La plupart d'entre elles ont été détruites : une véritable aubaine pour les grandes sociétés pharmaceutiques.
RépondreSupprimerIl s’agissait de mon premier rapport sur le sujet, publié en mai 2009. Les rapports ultérieurs ont confirmé sans équivoque qu’il s’agissait d’une fraude.
Les médias occidentaux, qui ont couvert quotidiennement la pandémie, sont restés muets sur la question de la fraude et de la désinformation.
Michel Chossudovsky, 16 avril 2016, 25 avril 2021
* * *
Qu'est-ce que la grippe ? La grippe est une maladie respiratoire contagieuse grave causée par des microbes grippaux. Chaque année, des millions de personnes aux États-Unis contractent la grippe. La plupart des personnes sont malades pendant environ une semaine. Certaines personnes (notamment les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé chroniques) peuvent être gravement malades et en mourir. ( Centres pour le contrôle et la prévention des maladies )
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a élevé son niveau d’alerte pandémique à la phase 5 sur une échelle de 6 points.
L'alerte de phase 5 de l'OMS signifie
« On observe une propagation interhumaine soutenue dans au moins deux pays et une épidémie mondiale imminente … Cela témoigne également d'un effort accru pour produire un vaccin… Des cas humains ont été confirmés au Mexique, aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne, en Israël, en Nouvelle-Zélande et en Espagne. » (soulignement ajouté)
Selon certaines informations, l’OMS a pris cette décision après qu’un « enfant de 23 mois soit décédé [de la grippe porcine] au Texas après avoir voyagé depuis le Mexique pour y recevoir des soins médicaux ».
Selon les rapports, la grippe porcine a été confirmée dans 11 États américains. Les responsables de la santé de l'OMS à Genève et à Washington auraient déclaré que « la propagation du virus ne devrait pas s'arrêter ».
Les médias se sont déchaînés, sans guère analyser ni examiner les preuves, concentrant leur attention sur les plus de 2 400 cas de grippe non spécifique au Mexique.
« L’épidémie mondiale est imminente…
RépondreSupprimer« Tous les pays devraient activer leurs plans de préparation »,
La pire crise sanitaire à laquelle le monde est confronté depuis 90 ans… »
Au lendemain de l'alerte pandémique de phase 5 de l'OMS, un scientifique rattaché au Centre de contrôle et de prévention des maladies de l'Union européenne a laissé entendre, sans preuve, que l'épidémie pourrait potentiellement affecter 40 à 50 % de la population de l'UE « de manière bénigne ». (Voir europeanvoice.com , 30 avril 2009).
Le professeur Neil Ferguson, membre du groupe de travail de l'Organisation mondiale de la santé sur la grippe porcine, a déclaré que
« 40 % des Britanniques pourraient être infectés dans les six prochains mois si le pays était frappé par une pandémie. »
« Nous ne savons pas vraiment quelle ampleur l'épidémie nous réserve dans les prochains mois… Il est presque certain que, même si elle s'atténue dans les prochaines semaines – ce qui est possible – nous aurons une épidémie saisonnière à l'automne. »
On pourrait s'attendre à ce que 30 à 40 % de la population tombe malade au cours des six prochains mois si la situation se transforme véritablement en pandémie. « Un nombre important de personnes pourraient être infectées dans les prochaines semaines, mais, à parier, je dirais que ce sera un peu plus long, car nous entrons dans l'été. » Le professeur Ferguson a déclaré que les 152 décès au Mexique ne représentaient probablement qu'une proportion relativement faible du nombre total de personnes infectées, qui pourrait atteindre des dizaines, voire des centaines de milliers . » (Daily Express, 1er mai 2009)
Les reportages des médias sont déformés. La réalité est bouleversée. Les déclarations politiques ne sont étayées par aucune preuve médicale et scientifique. Les déclarations du professeur Ferguson sont infondées. Il n'a pas pris la peine de vérifier le nombre de cas de grippe porcine « confirmés en laboratoire » au Mexique.
30 à 40 % de la population britannique ?
Jusqu'à 50 % de la population des 500 millions d'habitants de l'Union européenne ?
Sur quelle base ces déclarations sont-elles faites ?
Le 27 avril 2009, il n'y avait, selon les rapports, qu'un seul cas de grippe porcine dans toute l'Union européenne :
Le premier cas confirmé de grippe porcine en Europe a été diagnostiqué en Espagne. Le ministère de la Santé espagnol a confirmé la nouvelle lundi matin, après des tests effectués sur un homme récemment rentré d'un voyage au Mexique. ( BBC, 27 avril 2009 )
RépondreSupprimerAllemagne
Affaiblir le mouvement de protestation sociale
Des déclarations de cette nature sur la « propagation inévitable » de la maladie créent, tout à fait délibérément, un climat de peur, d'insécurité et de panique. Elles servent également à détourner l'attention d'une crise économique mondiale dévastatrice qui plonge le monde dans la pauvreté et le chômage de masse, sans parler de la guerre au Moyen-Orient et de la question plus large des crimes de guerre perpétrés par les États-Unis et l'OTAN.
La véritable crise mondiale est marquée par la pauvreté, l'effondrement économique, les conflits ethniques, la mort et la destruction, la dérogation aux droits civiques et la disparition des programmes sociaux publics. L'annonce par l'UE de la pandémie de grippe porcine contribue inévitablement à affaiblir le mouvement de protestation sociale qui s'est propagé à travers l'Europe.
Au Mexique, les mesures d’urgence contre la grippe porcine, qui ont « fermé » des zones urbaines entières, sont largement perçues comme un prétexte du gouvernement de Felipe Calderon pour freiner la contestation sociale croissante contre l’une des administrations les plus corrompues de l’histoire du Mexique.
Au Mexique, le défilé du 1er mai, qui était dirigé contre le gouvernement Calderon, a été annulé.
Le bilan de l'OMS
L'avis de l'OMS fait état de 148 cas confirmés en laboratoire de grippe porcine dans le monde, dont 8 décès, ce qui n'est guère une pandémie :
29 avril 2009 — La situation continue d'évoluer rapidement. À 18h00 GMT, le 29 avril 2009, neuf pays ont officiellement signalé 148 cas d'infection par le virus de la grippe porcine A/H1N1. Le gouvernement des États-Unis a signalé 91 cas humains confirmés en laboratoire, dont un décès. Le Mexique a signalé 26 cas humains confirmés d'infection, dont sept décès.
Les pays suivants ont signalé des cas confirmés en laboratoire sans décès : Autriche (1), Canada (13), Allemagne (3), Israël (2), Nouvelle-Zélande (3), Espagne (4) et Royaume-Uni (5).
De plus amples informations sur la situation seront régulièrement disponibles sur le site Web de l'OMS. ( WHO.org )
Dans une déclaration du 29 avril, la directrice générale de l'OMS, le Dr Margaret Chan, a confirmé que
RépondreSupprimer« Sur la base de l’évaluation de toutes les informations disponibles et à la suite de plusieurs consultations d’experts, j’ai décidé de relever le niveau actuel d’alerte pandémique de la phase 4 à la phase 5.
Les pandémies de grippe doivent être prises au sérieux précisément en raison de leur capacité à se propager rapidement dans tous les pays du monde.
… L’OMS suivra la pandémie aux niveaux épidémiologique, clinique et virologique.
… J’ai contacté les pays donateurs, UNITAID, l’Alliance GAVI, la Banque mondiale et d’autres pour mobiliser des ressources.
Aubaine pour les conglomérats pharmaceutiques
L’OMS a identifié Big Pharma comme la solution à la crise :
« J'ai [le Directeur général de l'OMS] contacté des entreprises fabriquant des médicaments antiviraux afin d'évaluer leurs capacités et toutes les options possibles pour accélérer la production. J'ai également contacté des fabricants de vaccins antigrippaux susceptibles de contribuer à la production d'un vaccin contre la grippe pandémique. »
La pandémie de grippe porcine constitue une manne financière pour une poignée de conglomérats biotechnologiques. L'Union européenne a déjà donné son feu vert à une collaboration avec les grandes entreprises pharmaceutiques pour développer un vaccin contre la grippe porcine.
Examen des preuves
Les données utilisées pour justifier une alerte mondiale de niveau 5 sont extrêmement insuffisantes. L'OMS affirme non seulement qu'une « épidémie mondiale est imminente », mais elle déforme également les données de mortalité du Mexique relatives à la pandémie de grippe porcine. Selon la directrice générale de l'OMS, le Dr Margaret Chan, dans sa déclaration officielle du 29 avril : « À ce jour, 176 personnes ont été tuées au Mexique. » D'où vient-elle ? D'où tire-t-elle ces chiffres ? 159 personnes sont mortes de la grippe, dont seulement sept, corroborées par des analyses de laboratoire, étaient dues à la souche H1N1 de la grippe porcine, selon le ministère mexicain de la Santé. (Pour plus de détails, voir ci-dessous).
Comme l’a documenté William Engdahl, les symptômes de la grippe porcine ne sont pas spécifiques, similaires à ceux de la grippe en général. (Voir William Engdahl, Global Research, 29 avril 2009 ).
L’avis scientifique contredit la déclaration officielle de l’OMS :
RépondreSupprimer« Les scientifiques qui étudient le virus parviennent à un consensus selon lequel cette souche hybride de grippe – du moins dans sa forme actuelle – ne s’annonce pas aussi mortelle que les souches qui ont causé certaines pandémies précédentes.
En fait, l’épidémie actuelle du virus H1N1, qui a émergé à San Diego et dans le sud du Mexique à la fin du mois dernier, pourrait même ne pas faire autant de dégâts que les épidémies de grippe ordinaires qui surviennent chaque hiver sans grande fanfare.
« Des preuves préliminaires de plus en plus nombreuses provenant de laboratoires de génétique, de modèles épidémiologiques et de mathématiques simples suggèrent que les pires scénarios seront probablement évités dans l'épidémie actuelle. » ( Los Angeles Times, 30 avril 2009 )
La grippe mexicaine
est une maladie courante. On compte des millions de cas de grippe chaque année aux États-Unis.
Selon le Journal de l'Association médicale canadienne , la grippe tue jusqu'à 2 500 Canadiens et environ 36 000 Américains chaque année. À l'échelle mondiale, le nombre de décès attribués à la grippe se situe entre 250 000 et 500 000 chaque année. ( Thomas Walkom, The Toronto Star, 1er mai 2009 )
La plupart des cas de grippe signalés au Mexique ne présentent pas la souche A/H1N1.
D'après les informations de presse, la plupart des cas mexicains de grippe porcine étaient « suspects » : ils n'ont pas été confirmés par un examen approfondi en laboratoire. Le ministre mexicain de la Santé, José Ángel Córdova, a confirmé l'existence de cas suspects.
« 2498 cas graves de pneumonie atypique associés à une grippe »… [qui] pourraient être liés au virus A/H1N1 ».
Sur ces 2.498 cas de grippe, 159 sont décédés, de la grippe ou de maladies apparentées, mais seulement sept de ces décès étaient liés à la grippe porcine, selon le communiqué officiel du ministre de la Santé.
Les chiffres ci-dessus concordent avec la tendance générale de la grippe observée au Mexique au cours des années précédentes. « En temps normal, entre 6 500 et 7 500 Mexicains meurent de maladies de type pneumonie. » (Ibid.)
159 décès signalés « ont été imputés à l’épidémie », mais les rapports de laboratoire suggèrent que la grippe porcine n’a été la cause du décès que dans sept cas sur 159.
RépondreSupprimerPar exemple, dans la ville de La Gloria, à Veracruz, où une épidémie d'infections respiratoires aiguës a été déclarée, sur 450 cas, 35 ont été testés pour le virus de la grippe porcine, et un seul s'est révélé positif. (Soit un ratio de 1/450)
Les articles de presse sont invariablement biaisés. Ils évoquent 152 ou 159 décès dus au virus H1N1, alors qu'en réalité, seuls sept de ces décès sont liés à la souche A/H1N1 de la grippe porcine, selon le ministre de la Santé. Les autres décès peuvent être liés à des cas de grippe ordinaire et/ou à des affections apparentées, mais il semble que les articles fassent rarement la distinction. De plus, aucun détail n'a été fourni quant aux résultats d'analyses biologiques concernant ces sept cas.
Aux États-Unis, un seul laboratoire dans tout le pays est en mesure de confirmer l'identité du virus : les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) d'Atlanta. Combien de laboratoires au Mexique sont en mesure de confirmer l'identité du virus ?
Selon certaines informations, des échantillons sont envoyés à l'Institut national de diagnostic et de référence épidémiologique du Mexique, qui les transmet ensuite à des laboratoires publics aux États-Unis et au Canada. Cela suggère qu'aucune analyse en laboratoire ne documente le nombre relativement important de cas suspects. Selon les déclarations du ministre, les analyses relatives aux 159 décès sont menées dans des laboratoires mexicains avec le soutien du CDCP d'Atlanta et les résultats sont attendus prochainement.
Les États-Unis
Aux États-Unis, 109 cas d'infection par le virus ont été signalés (au 30 avril 2009), dont seulement cinq ont nécessité une hospitalisation. Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont confirmé le décès d'un enfant de 23 mois au Texas, suite à son hospitalisation et à un examen clinique.
Cas humains d'infection par la grippe porcine aux États-Unis
(au 30 avril 2009, 10 h 30 HE)
États
RépondreSupprimernombre de cas confirmés en laboratoire
Arizona 1
Californie 14
Indiana 1
Kansas 2
Massachusetts 2
Michigan 1
Nevada 1
New York 50
Ohio 1
Caroline du Sud 10
Texas 26
Mort 1
NOMBRE TOTAL S
109 cas 1 décès
Cas humains internationaux d'infection par la grippe porcine
Voir : Organisation mondiale de la santé
Désinformation médiatique
Des reportages font état de centaines d'écoliers new-yorkais suspectés d'être atteints de la grippe porcine . Cependant, les analyses de laboratoire n'ont fourni aucune preuve corroborant l'incidence de la souche H1N1 de la grippe porcine. Il est fort probable que les enfants souffraient de la grippe, une maladie fréquente au mois d'avril. « Tous les cas étaient bénins, aucun enfant n'a été hospitalisé, aucun enfant n'était gravement malade », a déclaré le Dr Frieden. Les autorités sanitaires sont parvenues à leurs conclusions préliminaires après avoir effectué des tests virologiques sur des prélèvements nasaux ou pharyngés effectués sur les huit élèves, ce qui a permis d'éliminer d'autres souches de grippe. »
Des tests ont été effectués sur des écoliers de Queen's, mais ils n'ont pas été concluants : parmi ces « centaines d'écoliers », aucune analyse de laboratoire n'a permis d'identifier le virus de la grippe. En réalité, les rapports sont contradictoires : selon eux, le CDCP, basé à Atlanta, est « le seul laboratoire du pays à pouvoir confirmer la nouvelle souche de grippe porcine, identifiée comme H1N1 ». (NYT, 25 avril 2009)
La grippe est une maladie courante. Sans un examen approfondi en laboratoire, l'identité du microbe ne peut être établie.
Il est révélateur que le CDCP, basé à Atlanta, joue un rôle clé dans l'identification du virus pour le compte de plusieurs pays d'Amérique latine, dont le Mexique, le Guatemala, le Salvador et le Costa Rica. Le 30 avril, le gouvernement américain a établi un laboratoire du CDCP au Mexique. Autrement dit, une agence gouvernementale américaine monopolise la réalisation des tests, des données et des analyses en laboratoire.
https://www.globalresearch.ca/political-lies-and-media-disinformation-regarding-the-swine-flu-pandemic/13433
Médecine intégrative : une frontière sans fin. Dr James Lyons-Weiler
RépondreSupprimerTout le monde le sait — alors pourquoi n’avons-nous pas changé les règles ?
Par le Dr James Lyons-Weiler
Recherche mondiale,
8 juin 2025
En science, les changements de paradigme commencent souvent par un discret « c'est bizarre ». Mais dans l'économie politique de l'innovation biomédicale, les vérités les plus accablantes commencent par : « Tout le monde le sait. »
Chacun sait que les universités américaines, financées par les contribuables, mènent la recherche fondamentale qui mène à la plupart des nouveaux médicaments. Chacun sait que les laboratoires pharmaceutiques interviennent une fois le risque écarté, concèdent des licences sur les découvertes et les monétisent grâce à des monopoles. Chacun sait que les prix des médicaments sont exorbitants, que l'accès est limité et que les composés naturels et les approches intégratives sont structurellement exclus – non pas parce qu'ils sont inefficaces, mais parce qu'ils ne peuvent être détenus.
La question n'est donc pas de savoir ce que nous savons, mais pourquoi, sachant tout cela, nous n'avons pas changé les règles.
De récents articles de célébration, comme celui publié dans STAT par Kinch et Gardner , vantent la statistique « stupéfiante » selon laquelle 50 % des nouveaux médicaments approuvés par la FDA entre 2020 et 2024 étaient basés sur des brevets universitaires, dont 87 % provenaient d'institutions américaines. Stupéfiant ? Seulement si vous dormez depuis l'adoption de la loi Bayh-Dole en 1980. L'article vante le jeu des publics et des privés sans se poser la question : où est le retour sur investissement public ? Où est le contrat moral entre financement public, profits colossaux et accès public ? Où est le plan pour réparer ce que nous savons tous être brisé ?
Voyons pourquoi la plupart d’entre nous à la fête restent sobres et voyons ce qui reste inchangé.
La loi Bayh-Dole visait à garantir la commercialisation des découvertes financées par le gouvernement fédéral au bénéfice du public. Mais elle a au contraire créé une nouvelle forme de recherche de rente universitaire. Les universités mesurent désormais leur succès non pas à l'aune de la guérison ou de l'accès, mais à l'aune de leurs portefeuilles de brevets et de leurs revenus de licences. Les enseignants sont contraints d'obtenir des droits de propriété intellectuelle et de créer des entreprises dérivées. Les droits d'accès qui étaient censés garantir l'accès public n'ont jamais été utilisés.
Au début des années 2000, alors que j'étais conférencier plénier lors d'une conférence pharmaceutique dans le New Jersey, j'ai directement conseillé les entreprises pharmaceutiques : si vous souhaitez commercialiser des composés naturels, faites pression sur le Congrès pour qu'il crée une fenêtre de profit de 20 ans liée à la recherche clinique. Mettez en place une structure qui récompense la validation des acquis de la nature. Elles ont décliné. J'ai décliné leurs nombreuses offres d'emploi.
RépondreSupprimerL'industrie pharmaceutique a plutôt opté pour une stratégie différente : alléger les contraintes réglementaires, supprimer la responsabilité et accélérer le traitement des produits à risque. Elle a exploité des mécanismes juridiques comme la loi PREP pour se soustraire à ses responsabilités. Elle a manipulé le système pour maximiser son rendement, et non pour élargir l'accès. Parallèlement, des composés naturels prometteurs restent négligés, faute d'incitation à investir sans exclusivité.
Prenons l'exemple de la curcumine, l'ingrédient bioactif du curcuma. Malgré des preuves substantielles, évaluées par des pairs, de ses effets anti-inflammatoires et anticancéreux, elle reste encore peu développée commercialement. Pourquoi ? Parce qu'aucune entreprise ne peut la breveter sous sa forme naturelle. Qu'en est-il de son efficacité accrue en l'associant au poivre noir ? Pas de publicités alléchantes à la télévision pendant le Superbowl pour ce petit bijou de savoir-faire. Car s'ils l'étudient, ils risquent de perdre leur droit de commercialisation. S'ils la modifient, ils compromettent son intégrité. Et selon les règles actuelles de la FDA, tout médicament étudié ne peut plus être commercialisé comme complément alimentaire.
Ainsi, nous restons collectivement ignorants alors que nous et nos proches tombons de plus en plus malades.
Nous avons également échoué à reconnaître et à encourager l'innovation en matière de processus. La médecine intégrative repose sur des soins basés sur des protocoles : des combinaisons soigneusement séquencées de régime alimentaire, de thérapie comportementale, de micronutriments, d'extraits de plantes et, oui, parfois, de produits pharmaceutiques. Ce ne sont pas des pilules, ce sont des systèmes. Mais le système ne récompense que des objets distincts et accessibles. Le NIH refuse de financer les protocoles intégratifs. La FDA refuse de les réglementer. Le capital-risque n'y touchera pas. Par conséquent, les patients en bénéficient rarement à grande échelle.
Et pourtant, sur un marché de consommateurs confrontés à des maladies chroniques, ils sont devenus le bien le plus précieux.
La culture médicale est désormais structurée autour de cette économie d'exclusivité forcée. Les chaires universitaires sont financées par des donateurs en phase avec l'industrie. Les priorités académiques reflètent ce qui est brevetable et transférable technologiquement, et non ce qui est efficace. Les modalités intégratives, qui résistent à la réduction à des molécules uniques ou à des cibles génétiques, sont écartées comme non scientifiques, non pas par manque de preuves, mais par manque de financement.
RépondreSupprimerTout le monde le sait.
Alors pourquoi n’avons-nous pas changé les règles ?
Parce qu'il n'existe aucun mécanisme. Aucun cadre ne permet une exclusivité partielle sans monopole total. Il n'existe pas de modèle de valeur partagée pour la R&D en médecine naturelle. Il n'existe pas de cadre réglementaire pour les protocoles thérapeutiques multi-agents ou non linéaires. Et rien n'incite les institutions bien établies à agir en premier.
Mais quelqu'un doit le faire.
Nous avons besoin d’une nouvelle structure, non pas pour détruire l’innovation pharmaceutique, mais pour la libérer de ses instincts les plus étroits.
Réforme de Bayh-Dole pour rendre obligatoires les droits de manifestation et le retour du public.
Créer une nouvelle catégorie réglementaire pour l’innovation naturelle à valeur partagée.
Financer les essais du NIH pour les protocoles basés sur les systèmes et intégratifs, avec des licences en libre accès.
Reconnaître et récompenser légalement les brevets de procédé sans exiger de monopoles sur les produits.
Construisons une économie de la guérison qui privilégie les résultats à la propriété. Investissons dans des modèles médicaux efficaces, même si personne ne peut les posséder. Redéfinissons le succès en médecine, non pas par les revenus, mais par la résilience, la régénération et la portée.
La médecine intégrative n'est pas marginale. C'est l'avenir que nous étions trop occupés à construire. Mais la frontière est toujours là. Elle a juste été clôturée. Et c'est nous qui avons construit cette clôture.
Nous pouvons démolir la maison ou ajouter une extension.
La question n’est plus de savoir ce que nous savons.
La question est : qu’attendons-nous ?
https://www.globalresearch.ca/integrative-medicine-endless-frontier/5890085
RépondreSupprimerLe Paracétamol/Acétaminophène est-il un candidat sérieux parmi les causes de l‘autisme ?
Dr. Jean-François Lesgards, France-Soir
le 08 juin 2025 - 18:00
Robert F. Kennedy Jr, le secrétaire américain à la Santé (U.S. Department of Health and Human Services (HHS)), s'est engagé à ce que la principale agence de santé des États-Unis, détermine la cause de l'autisme d'ici au mois de septembre.
Aux USA, en effet, selon les estimations du Réseau de surveillance de l'autisme et des troubles du développement des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), environ un enfant sur 44 reçoit un diagnostic de trouble du spectre autistique (TSA) (Malwane MI et al., 2022). Ces chiffres sont en augmentation constante et préoccupante depuis des décennies.
La prévalence de l'autisme est plus de quatre fois plus élevée chez les garçons que chez les filles. L’autisme ou le TSA s'accompagne fréquemment de troubles concomitants, notamment l'épilepsie, la dépression, l'anxiété et le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles du sommeil et d'automutilation (Yang T. et al., 2022). Les personnes autistes présentent des déficits cognitifs atypiques, tels que des troubles de la cognition et de la perception sociales, des dysfonctionnements exécutifs, ainsi que des anomalies de perception et de traitement de l'information.
Causes probables généralement évoquées pour la genèse de l’autisme
En fait, depuis des années déjà, des travaux de recherche ont commencé à tenter d’identifier différents facteurs potentiels clés dans le déclenchement de cette pathologie depuis le début de la vie dans l’utérus (phase in utero), comme des complications durant la grossesse ou à la naissance, des infections in utero et infantiles, des médicaments pris par la mère pendant la grossesse, mais aussi avant (Good P et al., 2018) (Fallon J., 2018). L’exposition de la mère comme de l’enfant à des facteurs environnementaux, telle que des substances chimiques une exposition à certains polluants ou métaux lourds (phtalates, mercure (Hg), plomb (Pb), dioxines) ou encore même la qualité de l’air, sont des facteurs à prendre en compte (Nevison CD, 2014).
Sur les médicaments, des méta-analyses ont montré, par exemple, que les enfants exposés in utero au valproate, présentent un risque huit fois plus élevé de développer un trouble du spectre de l'autisme (TSA) (Gardener H et al., 2009) (Chaste P and Leboyer M, 2012) (Rasalam AD et al., 2005).
En général, les facteurs génétiques (transcription des gènes, la traduction de l'ARN, les modifications épigénétiques post-traductionnelles) et environnementaux jouent un rôle essentiel dans l’étiologie de l’autisme (Höfer J, et al., 2019) (Wang L. et al., 2023).
Robert F. Kennedy Jr s’intéressent aussi comme beaucoup de chercheurs et médecins, au rôle potentiel des composants des vaccins conventionnels pour les nourrissons et enfants en bas âge, en particulier les conservateurs mais aussi les adjuvants ajoutés pour booster l’efficacité de la réponse aux vaccins, qui est en pratique, une façon de faire plus d’argent avec moins de quantités de vaccin. En effet, pour réduire la dose d’antigène (qui va provoquer la création d’anticorps par l’organisme), des adjuvants sont incorporés dans la solution injectée. Le but d'un adjuvant immunitaire est de renforcer votre réponse immunitaire en faisant surréagir le système immunitaire face à l'introduction du virus contre lequel vous êtes vacciné. On peut ainsi obtenir davantage de doses individuelles pour les campagnes de vaccination de masse, ce qui est un des objectifs du gouvernement et des compagnies pharmaceutiques.
RépondreSupprimerConcernant les adjuvants et autres produits ajoutés, ils sont nombreux à être possiblement impliqués, bien qu’à ce jour, un lien de causalité clair n’a pas été établi :
Hydroxyde d’aluminium : bien que le corps élimine l’aluminium, cette élimination ne semble pas totale (Exley C et al., 1996) (Moore PB et al., 2000) (Greger JL et al., 1997) (Iyengar GV et al., 1998). La présence d’aluminium dans le tissu cérébral constitue une intoxication et pourrait être une des causes de l’autisme ainsi que de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer (Bryliński Łet al., 2023) (Sulaiman R et al., 2020) (Mold M et al., 2018). Mais ces questions sont toujours largement sujettes à débat et le travail commandé sur le sujet par RFK Jr permettra surement d’être mieux fixé sur ce point (Willhite CC et al., 2014) (Goullé JP, Grangeot-Keros L, 2020).
Thiomersal contenant du Mercure (conservateur) : le mercure et une substance connue pour sa toxicité, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l’intestin, la mœlle osseuse et les reins. D’infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau).
Formaldéhyde (formol) : constituant principal des substances employées dans l’embaumement ; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques ; suspecté d’occasionner des problèmes gastro-intestinaux ; poison violent pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.
Glutaraldéhyde : poison s’il est ingéré ; responsable de malformations néonatales chez les animaux d’expérimentation. https://santegagnac.canalblog.com/archives/2012/01/23/24328096.html
L'objectif de cet article est de faire connaitre mieux au public les risques potentiels de l’utilisation du Paracétamol/Acétaminophène dans la genèse de l’autisme, en particulier après la période COVID que nous venons de traverser où la consommation de ce produit a été massive !
En effet, la consommation de Paracétamol/Acétaminophène chez la femme enceinte et l’enfant en bas âge est une piste sérieuse et documentée pour l’autisme.
Paracetamol
RépondreSupprimerEtudes cliniques montrant un lien entre Paracétamol/Acétaminophène et autisme
Le lien entre consommation de paracétamol et le développement de l’autisme a été observé dans de nombreuses études, aussi bien avec une exposition prénatale que périnatale (Bittker SS, Bell KR and 2020) (Ji Y et al., 2020). Les auteurs Ji Y et al., 2020 précisent : « Nos résultats appuient des études antérieures concernant l'association entre l'exposition prénatale et périnatale à l'acétaminophène et le risque de neuro-développement chez l'enfant et justifient des investigations supplémentaires du trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité et trouble du spectre autistique (TSA) (Ji Y et al., 2020) ».
Cette étude de cohorte prospective venant de la prestigieuse université Johns Hopkins et publiée dans le JAMA, a analysé 996 dyades mère-enfant, suivies au Boston Medical Center du 1ᵉʳ octobre 1998 au 30 juin 2018. Elle a aussi été publiée par le site du NIH, l’agence principale responsable de la recherche et de son financement aux États-Unis. Une augmentation d’un facteur 2,26 (Intervalle de Confiance à 95 %, 1,40-3,69) à 3,62 (IC à 95 %, 1,62-8,60) pour le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) et de 1,6 à 4,1 pour l’augmentation de l’autisme ont été observés.
D’autres grandes études de cohortes (Alemany S et al., 2021), dont une sur plus de 48 631 enfants et un suivi de 12,7 ans ont révélé que l'exposition gestationnelle à l'acétaminophène était associée à un risque accru de trouble du spectre autistique lorsqu'un trouble hyperkinétique (« syndrome d'hyperactivité ») était également présent (Andrade C et al., 2016).
Des scientifiques notent que le développement de l’autisme est parallèle à son utilisation pour remplacer l’aspirine :
« Des preuves considérables appuient cette affirmation, notamment l'augmentation exponentielle de l'incidence de l'autisme depuis 1980, lorsque l'acétaminophène a commencé à remplacer l'aspirine chez les nourrissons et les jeunes enfants. » (Good P, 2009). L'impulsion de ce changement a été faite par le CDC, prétendant que l'aspirine était associée au syndrome de Reye a depuis été démystifiée de manière convaincante.
L’auteur conclut : « Si l'aspirine n'est pas à craindre comme cause du syndrome de Reye et que l'acétaminophène est à craindre comme cause de l'autisme, l'épidémie d'autisme peut-elle être inversée en remplaçant l'acétaminophène par de l'aspirine ou d'autres remèdes ? »
Un mécanisme de sa toxicité a été proposé à travers le système endocannabinoïde (un système biologique composé de récepteurs qui réagissent à la présence d'endocannabinoïdes qui sont des neurotransmetteurs) (Schultz S et al., 2021).
Une étude norvégienne a trouvé des différences dans la méthylation de l'ADN dans le sang du cordon ombilical (modifications épigénétiques, c'est-à-dire dans l’environnement et l’expression des gènes), entre les enfants atteints du trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) exposés in utero durant plus de 20 jours au paracétamol, et les enfants atteints du même trouble qui n'avaient pas été exposés (Nilsen K et al., 2023). Les différences de méthylation portaient sur des gènes impliqués dans le stress oxydant (oxydation des cellules), les voies de la transmission neuronale et les voies de la transmission olfactive.
RépondreSupprimerPar ailleurs, plus de 100 parents qui ont consommé ce médicament pendant leur grossesse affirment qu’il a causé l’autisme ou le trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité de leur enfant, bien que les données scientifiques derrière ces allégations soient obscures et des plaintes ont été déposées notamment par une femme du Nevada, Cherise Chapman, contre Johnson & Johnson, citant une déclaration de consensus de 2021 d'un groupe de 91 scientifiques, cliniciens et professionnels de la santé publique qui a conclu qu'il existe suffisamment de preuves pour que les professionnels de la santé et les étiquettes d'emballage mettent en garde les femmes enceintes contre le médicament (Bauer et al., 2021).
Depuis, une autre grande étude publiée aussi dans le JAMA (sur près de 2,5 millions d'enfants nés entre 1995 et 2019 en Suède dont 185 909 enfants soit 7,49 %, ont été exposés pendant la grossesse) prétend au contraire que l’utilisation d’acétaminophène pendant la grossesse n’était pas associée au risque d’autisme chez les enfants (Ahlqvist VH et al., 2024) mais après la désinformation scientifique que nous avons pu observer pendant la COVID, en particulier dans les grands journaux, la question reste entière.
Et, d'autres études récentes continuent de montrer une toxicité. Une étude récente a évalué les associations entre les biomarqueurs plasmatiques maternels de l'exposition au paracétamol (ou acétaminophène) et du trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) chez l'enfant et l'expression génétique placentaire chez 307 couples mère-enfant afro-américains. Dans l'ensemble, la détection du paracétamol dans le plasma au second trimestre était associée à une probabilité plus élevée de diagnostic de TDAH chez l'enfant (x 3,15, intervalle de confiance à 95 % : 1,20 à 8,29), associés à une régulation positive placentaire des voies du système immunitaire chez les femmes et à une régulation négative de la phosphorylation oxydative (fabrication d’énergie dans la cellule) chez les deux sexes (Baker BH et al., 2025). Chez les filles uniquement, le paracétamol prénatal était statistiquement associé à une probabilité accrue d’un facteur 5,22 (0,0456–13,1) de TDAH. Les modifications de l'expression génique, notamment la régulation positive du gène IGHG1 (immunité adaptative), ainsi que la régulation négative de la phosphorylation oxydative dans les mitochondries, pourraient être des liens mécanistiques avec le TDAH. Encore une fois, l’activité des mitochondries est clé dans le bon fonctionnement et développement du système nerveux et des fonctions cognitives (Khacho M et al., 2019).
Utilisation abusive chez la femme enceinte pendant la période COVID malgré ces études et l’alerte forte
RépondreSupprimerOn estime que 41 à 70 % des femmes enceintes déclarent prendre du paracétamol (Baker BH et al., 2025). Est-ce que les femmes enceintes ont été prévenues de cela en France, dans le cadre de la COVID ou en général par les agences de santé, les sociétés savantes et nos politiques qui sont si prompts à réagir à ce que dit la Science ? Au contraire, on lit au journal du 13 avril 2020 relativement à l’article L. 551 du Code de la santé publique sur Légifrance :
« Le paracétamol est utilisable à tous les stades de la grossesse et compatible avec l'allaitement, contrairement à l'aspirine et à l'ibuprofène, contre-indiqué dans ces deux circonstances ».
Code de la santé publique
- voir doc sur site -
De plus, pour ce qui concerne l’utilisation massive du paracétamol dans le COVID, la réalité est qu’aucune étude observationnelle ni randomisée (les fameuses RCT) n’a été réalisée sur ce médicament pour la population générale. D’autres chercheurs alertent sur ce sujet, dont l’auteur d’un travail sur la base de 2 356 articles scientifiques, et de déclarations individuelles d'effets indésirables du paracétamol dans la pharmacovigilance internationale, base de données VigiBase (Romanov BK, 2021). L’auteur note également qu’aucune revue systématique n'existe des articles et des essais cliniques sur la question de la sécurité du paracétamol utilisé dans le cadre du COVID-19. En comparant les années 2018/2019 et 2021/2021, Romanov BK observe que des effets indésirables graves pour le paracétamol ont été plus fréquents dans la période COVID (35,4 %) que dans la période pré-COVID (28,2 %), du 1er janvier 2020 au 31 juillet 2021 (Romanov BK, 2021). La fréquence relative de tous les décès, dans les cas des événements indésirables graves, ont également augmenté dans la période COVID (de 8,9 à 14,3 %).
L’utilisation excessive du paracétamol dans la COVID n’a donc pas été évaluée sérieusement et semble avoir en plus un effet néfaste sur la santé globale et sur les patients COVID, en particulier chez les personnes ayant des comorbidités, et semble même augmenter la gravité des symptômes et la mortalité, comme nous l’avions anticipé (L’utilisation du paracétamol dans la COVID: une erreur/obstination préjudiciable pour la santé ?, auteur(s) : Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard; Publié le 30 mars 2022).
Concernant l’utilisation chez la femme enceinte et les conséquences possibles pour l’autisme, l’utilisation massive de paracétamol, sans rappel de ces études préoccupantes, a été et demeure une gestion qui paraît clairement irresponsable !
En particulier en France où son utilisation exclusive, fait unique au monde, a été décidée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans un simple tweet, contre l’avis de toutes les agences de santé : OMS, CDC, EMA, FDA.
Alors que l’utilisation de l’ibuprofène, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), était beaucoup plus indiqué et recommandé aussi par toutes ces agences internationales.
RépondreSupprimerLire notre article à ce sujet :
l'utilisation du paracétamol dans la COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé ?
Véran
Une simple phrase sans référence scientifique dans ce tweet, mais issue d’une interprétation personnelle erronée d’un passage d’un article (« ACE2 peut également être augmenté par les thiazolidinediones et l'ibuprofène »), dans le Lancet du 11 mars, qui traite du COVID et des diabétiques (Fang L et al., 2020), a été utilisée par Olivier Véran pour justifier des recommandations en faveur exclusivement du Paracétamol/Acétaminophène (Doliprane). Un autre Lancet gate ?
Le 16 mars, l’auteur principal de l’article du Lancet, le Dr Michael Roth, directeur d'un groupe de recherche au Département de biomédecine de l'Université et de l'Hôpital universitaire de Bâle, commente alors l’article et sa phrase relative à l’ibuprofene, probablement en réaction au tweet du ministre, puisque c’est avant les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA : « Ce soupçon, qui a été expressément formulé comme une hypothèse, s'adresse aux scientifiques en vue d'une enquête plus approfondie fondée sur des données supplémentaires sur les patients. Cela ne constitue pas une recommandation d'utiliser ou non certains médicaments. Les patients doivent toujours suivre les instructions données par leur médecin », déclare-t-il.
Le site de l’Université de Bâle poursuit : « En soi, l'enzyme ACE2 est une protéine très précieuse qui favorise la régénération des tissus. Des études antérieures ont montré que les inhibiteurs de l'ACE et les bloqueurs des récepteurs de l'angiotensine entraînent une formation accrue d'ACE2. Malheureusement, le coronavirus SARS-CoV-2 se lie à cette protéine et l'utilise pour pénétrer dans les cellules, où il se multiplie. » Et, selon le professeur Michael Roth, des relations similaires ont été décrites suite à la pandémie de SARS de 2002-2003.
Le site continue : « Certains patients souffrant de maladies cardiaques, d'hypertension ou de diabète sont, en effet, traités avec des médicaments qui augmentent la quantité d'ACE2. » Et, le Dr Roth conclut : « Pour cette raison, nous suggérons de poursuivre les recherches sur l'utilisation de ces médicaments chez les patients atteints de COVID-19 ».
En effet, comme on le sait déjà, la protéine ACE2, tout en étant le récepteur du virus SARS-CoV-2 joue un rôle très bénéfique dans la santé sur l’équilibre de la tension artérielle (système rénine-angiotensine), de l’inflammation et dans beaucoup d'aspects positifs dans la COVID, qui est une pathologie inflammatoire. Ainsi, se fonder sur une hypothèse ne privilégiant qu’un aspect simpliste de la question complexe de la maladie COVID et en faire une recommandation générale à ce moment de la pandémie, est un raccourci scientifique hasardeux aux conséquences potentiellement importantes. Depuis, des études ont montré que le paracétamol, comme l’ibuprofène, n’augmentait pas les niveaux d’ACE2 et que l’ibuprofène avait même une activité antivirale in vitro (de Bruin N et al., 2022).
RépondreSupprimerD’ailleurs la préconisation d’utilisation de l’ibuprofène des grandes agences de santé comme le CDC et l’OMS sonnent comme un démenti du tweet d’Olivier Véran et le 27 mars 2020, seulement quelques jours plus tard, le Dr FitzGerald GA réagit dans le journal Science (FitzGerald GA, 2020) en accusant Olivier Véran de semer la confusion en ce début de pandémie :
« Alors que la pandémie de maladie à coronavirus 2019 COVID-19 continue de s'accélérer, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a semé la confusion en affirmant sur Twitter que des anti-inflammatoires comme l'ibuprofène ou la cortisone pourraient aggraver l'infection.
Cependant, les preuves scientifiques n'indiquent pas que la consommation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) met les patients à risque d'une maladie plus grave, alors qu'ils pourraient autrement avoir une infection légère ou asymptomatique par le syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus (SARS-CoV-2). Les personnes qui prennent des AINS pour d'autres raisons ne doivent pas arrêter de le faire de peur d'augmenter leur risque de COVID-19. »
Ceci a été repris dans le journal le Guardian (Willsher K, 2020).
- voir doc sur site -
Mécanismes de Toxicité du Paracétamol
Parmi les différentes voies de toxicité du paracétamol décrites dans notre article, la voie oxydative qui intervient à une moyenne de 10 % pourrait être impliquée. Associée au cytochrome P450, principalement les enzymes CYP2E1 et CYP2D6 (enzymes qui dégradent les médicaments et autres composés), elle aboutit à la formation de N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI (Gimenez F et al., 2012) (Lee SS et al., 1996) (Dong H et al., 2000). C’est ce dérivé du paracétamol qui est hautement toxique, du fait de sa capacité à se lier aux cellules du foie (hépatocytes), il peut en provoquer l’apoptose (mort cellulaire) jusqu’à la nécrose hépatocytaire ou hépatite cytolytique. Il est responsable de la néphrotoxicité du paracétamol. Il est ainsi responsable de près de 500 décès par an aux États-Unis, ainsi que de 100 000 appels aux centres antipoison américains, de 50 000 visites aux urgences et de 10 000 hospitalisations par an (Lee WM, 2017).
RépondreSupprimerEn conditions dites « thérapeutiques », le paracétamol (ou acétaminophène) est rapidement détoxifié par le glutathion (GSH), un petit tripeptide (3 acides aminés) composé d’acide glutamique, de cystéine et de glycine (Steventon GB et al., 1996). Le GSH est essentiel dans la lutte contre la toxicité du paracétamol. Gros consommateur de cet antioxydant, la prise de paracétamol peut effondrer les stocks de cet antioxydant majeur du corps humain. C’est par ce mécanisme, inhérent au fonctionnement du paracétamol, que le paracétamol est devenu, en quelques années, la cause numéro 1 de greffes hépatiques et une molécule régulièrement utilisé dans les tentatives de suicide.
L'aspirine, le Doliprane ou l'Advil, médicaments vendus sans ordonnance, ne seront plus en accès libre dans les rayons des pharmacies mais obligatoirement rangés derrière le comptoir à partir du 15 ja
Le glutathion est carrément le maître antioxydant dans l’organisme, qui permet de lutter contre le stress oxydant dans de nombreuses pathologies (Franco R. et al., 2007). Il est établi que le paracétamol génère du stress oxydant et notamment des radicaux libres (molécules oxydantes très réactives dont peroxynitrites en particulier) à l’intérieur des mitochondries (Knight TR et al., 2001) (Knight TR et al., 2002) (Bajt ML et al., 2003) (Ishitsuka Y et al., 2020) (Prasun P, 2021) (Ramachandran A and Jaeschke H, 2019).
Ainsi, le paracétamol diminue fortement les réserves de Glutathion (GSH) ce qui a pour conséquence d’augmenter le stress oxydant et l’inflammation.
Or les preuves s’accumulent selon lesquelles l’autisme et les TSA sont caractérisés par du stress oxydant et un dysfonctionnement du fonctionnement des mitochondries (la centrale énergétique de nos cellules) et une dérégulation de l’immunité et de l’inflammation (Gevezova M et al., 2020) (Rossignol DA and Frye RE., 2014) (Manivasagam T et al., 2020) (Yorbik O et al., 2002) (Chauhan, A et al., 2011) chez ces enfants, mais aussi chez leurs parents (Garrido N et al., 2021) (James et al., 2008).
Les enfants autistes ont de faibles niveaux d'activité des enzymes qui contrôlent l’oxydation de nos cellules comme le glutathion peroxydase (GSH-Px) et le superoxyde dismutase (SOD) (Yorbik O et al., 2002) ainsi que du glutathione (GSH), cet antioxydant majeur de l’organisme (Chauhan A et al., 2012) (Rossignol DA and Frye RE., 2014).
RépondreSupprimerAinsi, l’induction de l’autisme, pourrait être induite/médiée par la baisse du glutathion (GSH) et l’augmentation du stress oxydant et de l’inflammation dans le cerveau, notamment au niveau des neurones.
Il est donc à souhaiter que l’utilisation de ce produit et ses conséquences sur l’autisme soit analysées de très près par des équipes scientifiques indépendantes, sous la supervision de Robert F. Kennedy Jr et du directeur du NIH (National Institutes of Health (NIH, litt. « Instituts nationaux de la santé), le Dr Jay Bhattacharya.
Jean-François Lesgards est docteur en biochimie. Télécharger cet article au format PDF.
Les références scientifiques utilisées dans cet article sont dans la version PDF.
ndlr : les points de vue présentés dans cette tribune n'engagent que leur auteur et ne représentent pas la position officielle de la rédaction.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-paracetamolacetaminophene-est-il-un-candidat-serieux-parmi-les-causes-de-l
La réforme du vaccin contre la COVID-19 progresse plus lentement que beaucoup l'espéraient
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 6 JUIN 2025 - 20H05
Rédigé par Maryanne Demasi via The Brownstone Institute,
Trois semaines seulement après la prise de fonction du Dr Vinay Prasad à la tête de la FDA, le dernier vaccin de Moderna contre la Covid-19, mNEXSPIKE®, a reçu son approbation définitive.
Pour ceux qui espéraient que la plateforme à ARNm serait abandonnée, cette décision a été un coup dur.
Approuvé le 31 mai 2025, ce vaccin de nouvelle génération est destiné aux adultes de plus de 65 ans, ainsi qu'aux personnes âgées de 12 à 64 ans présentant au moins un facteur de risque de maladie grave.
Et ce, sous la direction d'un homme qui, depuis des années, exige une plus grande rigueur scientifique de la part de l'agence.
Prasad a été l'un des critiques les plus virulents de la FDA pendant la pandémie, condamnant à plusieurs reprises son recours à des critères d'évaluation de substitution, tels que les taux d'anticorps, plutôt qu'à des résultats cliniques concrets comme la réduction des hospitalisations ou des décès.
Et il ne l'a pas dit une seule fois. Il a enfoncé le clou, à maintes reprises.
« Montrer que les rappels améliorent les anticorps neutralisants ou d'autres mesures de laboratoire n'est pas ce dont nous avons besoin », a-t-il publié sur X en juillet 2022.
« Nous avons besoin d'essais contrôlés randomisés axés sur des critères d'évaluation cliniques montrant que les rappels améliorent les résultats importants pour les patients.»
En janvier 2023, il a cosigné une pétition citoyenne officielle adressée à la FDA, déclarant : « Ce critère d'évaluation de substitution immuno-pont n'a pas été validé pour prédire l'efficacité clinique.»
Puis, en mars 2023, il a clarifié sa position sur Substack. « Je me fiche des niveaux transitoires de titres d'anticorps », a-t-il écrit.
Or, mNEXSPIKE® semble avoir été approuvé principalement sur la base de ce type de données : des mesures de la réponse immunitaire, et non des mesures de résultats significatifs.
Alors, comment concilier tout cela ?
Techniquement, cette approbation est conforme à la politique décrite par Prasad dans un article récent du New England Journal of Medicine.
Il y proposait un système à deux vitesses : aucune nouvelle approbation de vaccin pour les adultes en bonne santé sans ECR démontrant un bénéfice clinique ; cependant, pour les personnes âgées et les personnes à risque, les données d'immuno-relais pourraient rester acceptables.
Donc, oui, selon ce critère, mNEXSPIKE® répond aux critères.
RépondreSupprimerMais cela ne dissipe pas le malaise. Car pendant des années, Prasad a insisté sur le fait que ces mêmes raccourcis – approuver les vaccins contre la Covid sur la base des taux d'anticorps plutôt que des résultats cliniques – étaient scientifiquement fragiles.
Aujourd'hui, sous sa direction, ces mêmes raccourcis sont de retour.
Lorsque Robert F. Kennedy, Jr. a été nommé secrétaire au HHS, la réforme ne semblait pas seulement probable, elle semblait imminente.
Beaucoup s'attendaient à ce que les vaccins à ARNm soient retirés du marché, ou, à tout le moins, à ce que les nouvelles autorisations soient gelées jusqu'à l'apparition de preuves plus solides.
Au lieu de cela, nous avons assisté à une avalanche de vidéos de haute volée et de slogans polis sur le thème de « restaurer la confiance du public ».
Pour de nombreux observateurs, cela ressemble à de la transparence en surface, mais au fond, à une routine.
Bien sûr, personne n'a dit que ce serait facile.
Ayant travaillé comme conseiller politique au sein du gouvernement, je sais combien il est difficile de faire évoluer des systèmes non seulement lents et bureaucratiques, mais aussi profondément liés à des intérêts commerciaux. Et aucun secteur n'est plus investi dans l'ARNm que celui des biotechnologies.
Il ne s'agit plus seulement de la Covid. L'industrie pharmaceutique a investi des milliards dans des vaccins à ARNm contre le VRS, la grippe, le VIH, le cancer, etc. Des filières de produits entières reposent désormais sur l'hypothèse que cette technologie est là pour durer.
Débrancher le vaccin ne modifierait pas seulement la politique de santé publique : cela ruinerait les portefeuilles, saperait les budgets de R&D et déclencherait une tempête politique et financière provoquée par certains des intérêts corporatifs les plus puissants de la planète.
C’est le genre de pression que Prasad subit actuellement. C’est la réalité à laquelle l’équipe de Kennedy est confrontée.
Il ne s’agit plus d’un affrontement entre la science et l’idéologie, mais entre la science et le pouvoir industriel bien établi.
Et nombreux sont ceux qui commencent à craindre que nous assistions à la même évolution, avec juste une meilleure image de marque.
Ce n’est pas ce qu’espéraient les partisans de MAHA ou les familles victimes de la vaccination. Ils ne demandent pas de modifications. Ils veulent la disparition des vaccins. Pas une révision. Pas une mise à jour, juste leur disparition.
Mais la réalité politique suit rarement la demande publique. Même les réformateurs les plus déterminés ne peuvent pas aller plus vite que la machine qu’ils tentent de démanteler.
RépondreSupprimerAlors, où cela nous mène-t-il ?
Face à la tâche la plus difficile : rester dans le combat.
Les progrès peuvent sembler lents, mais ils sont en cours.
Les CDC ont supprimé les recommandations de vaccination systématique contre la Covid-19 pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes.
Le nouveau cadre de Prasad a suspendu les autorisations de mise sur le marché de vaccins à faible risque, sauf si elles sont étayées par des ECR.
Oui, la plateforme d'ARNm est toujours vivante – et toujours farouchement protégée – mais la réforme n'allait pas être facile. Et elle n'allait pas se faire d'un seul coup.
Republié à partir du Substack de l'auteur
https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-19-vaccine-reform-moving-slower-many-had-hoped
L'attaque en trompe-l'œil de Peter Daszak contre le Dr Bhattacharya
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 6 JUIN 2025 - 4H35
Rédigé par Randall Bock via le Brownstone Institute,
Les récents messages de Peter Daszak (2 juin 2025) qualifiant le Dr Jay Bhattacharya, nouveau directeur du NIH, de « luddite anti-science » qui « détruit la santé publique » sont un véritable exemple de projection.
Daszak, ancien directeur de l'EcoHealth Alliance (facilitateur et complice de cette récente pandémie, comment l'appelait-on ? Ah oui, SARS-CoV-2 Covid-19), accuse Bhattacharya de mener une « vendetta contre le NIH » et affirme que ses politiques coûteront des vies, tout en pointant du doigt des organisations comme le Brownstone Institute, accusées de participer à un complot d'extrême droite (quelle originalité !) visant à démanteler la science. Mettons fin au bruit.
Qualifier Bhattacharya d'anti-science est absurde. Ancien professeur à Stanford et co-auteur de la Déclaration de Great Barrington, Bhattacharya a toujours défendu une santé publique fondée sur des preuves, plaidant pour un débat scientifique ouvert plutôt que pour des politiques dogmatiques. Son intérêt pour les approches fondées sur les données – comme la prise en compte de l'immunité naturelle et des méfaits du confinement – lui a valu la censure sous l'administration précédente. Sa direction au NIH promet transparence et rigueur, deux qualités qui semblent terrifier Daszak, opérant sans le parachute doré du Dr Fauci (son précédent sponsor), la grâce Biden/autopen.
Parlons maintenant de la vision de Daszak de la « science ». Sous sa direction, EcoHealth Alliance a versé l'argent des contribuables américains à l'Institut de virologie de Wuhan (IVW) pour des recherches sur le gain de fonction des coronavirus de chauve-souris, recherches qui pourraient avoir contribué à la propagation du nouveau coronavirus à Wuhan.
Comme je l'ai détaillé dans mes articles pour Brownstone, la collaboration de Daszak avec Zhengli-Li Shi, la « femme chauve-souris » du IVW, impliquait de modifier des coronavirus pour les rendre plus infectieux pour l'homme, ce qui correspondait à la définition même du gain de fonction du NIH, malgré ses dénégations. Ce deuxième article n'a été publié qu'après les intimidations d'EcoHealth Alliance. Lorsque j'ai souligné la complicité d'EcoHealth dans mon article initial sur le gain de fonction du Dr Anthony Fauci, les sbires de Daszak ont tenté de contraindre Brownstone à retirer cette référence.
En vain, il m'a bloqué sur X pour échapper à toute responsabilité.
N'est-ce pas « scientifique » ? Bloquer quelqu'un parce qu'il soulève des questions légitimes sur son rôle dans une pandémie mondiale n'est pas la marque d'un scientifique, mais celle de quelqu'un qui a quelque chose à cacher.
Les attaques de Daszak contre Bhattacharya détournent l'attention de ses propres échecs. Pourquoi des fonds américains ont-ils été envoyés à un laboratoire contrôlé par le PCC et mal supervisé, au lieu d'être dirigés vers des alliés de confiance ? Pourquoi ce manque de transparence ? Ces questions restent sans réponse, et ses tentatives de faire taire les critiques – comme moi – ne font qu'accroître les soupçons sur les actions d'EcoHealth.
RépondreSupprimerLa science se nourrit du débat ouvert, et non de la censure. Bhattacharya représente un retour à ce principe au NIH, tandis que le comportement de Daszak – bloquer les dissidents et éluder les questions difficiles – illustre bien la réalité de l'antiscience. Le public mérite mieux, et avec Bhattacharya à la tête du NIH, nous pourrions enfin l'obtenir.
N'OUBLIEZ JAMAIS : L'EcoHealth Alliance de Peter Daszak a tenté d'étouffer et de faire rétracter par Brownstone mon propre « gain de fonction » du Dr Anthony Fauci – 9 octobre 2023.
Au lieu de cela, j'ai approfondi mes recherches, redoublé d'efforts et publié ceci : « Les aventures de l'EcoHealth Alliance sur le virus de Wuhan » – 22 octobre 2023.
Après quoi, zut ! Peter Daszak m'a bloqué sur X.com. L'essence même des tyrans est la lâcheté.
Voir également « L'ADN de la bienveillance » de Fauci, par Randall Bock, 9 août 2024, Brownstone.org.
Republié à partir du Substack de l'auteur.
https://www.zerohedge.com/political/peter-daszaks-smokescreen-attack-dr-bhattacharya
RépondreSupprimerKash Patel annonce une nouvelle découverte qui pourrait enfin faire tomber Fauci
PAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 8 JUIN 2025 - 00H40
Via VigilantFox.com
Le directeur du FBI, Kash Patel, s'est entretenu avec Joe Rogan à Austin, au Texas, où il a fait une série de révélations sur l'enquête en cours du FBI sur Jeffrey Epstein, notamment la promesse de diffuser les images de surveillance des cellules de prison et de nouvelles preuves susceptibles d'impliquer Anthony Fauci.
Kash Patel n'a pas perdu de temps. Il a commencé par une statistique que la plupart des Américains n'ont probablement jamais entendue – et c'était une statistique importante.
Pendant le premier mandat de Trump, Patel était responsable de la lutte contre le terrorisme à la Maison Blanche et au Conseil de sécurité nationale. À ce titre, il a contribué à l'une des réalisations les plus méconnues de l'administration.
« Les otages, on peut en parler indéfiniment », a déclaré Patel. « La lutte contre le terrorisme était un portefeuille important, je l'ai géré pour la Maison-Blanche et le Conseil de sécurité nationale sous la première administration Trump. »
Puis il a lâché le chiffre : « Nous avons ramené – les gens ne le savent pas – le président Trump lors de son premier mandat, ramené et secouru plus de 50 otages et détenus du monde entier.» Il a ajouté : « C'est plus que tous les présidents avant lui réunis.»
Rogan parut stupéfait. « Waouh ! » s'exclama-t-il.
Patel expliqua que presque personne n'était au courant de ces sauvetages. Ces missions ne faisaient pas la une des journaux, et les histoires de familles réunies après des opérations dangereuses dans des régions comme l'Afrique et le Moyen-Orient étaient généralement ignorées.
« Avez-vous entendu parler des succès rencontrés par les familles réunies avec des proches disparus en Afrique ou au Moyen-Orient ?» demanda-t-il.
Il raconta ensuite comment Trump avait personnellement approuvé des missions à haut risque, envoyant des forces d'élite en territoire hostile pour rapatrier des personnes. « Ces opérations, le président a eu le courage de les autoriser à se rendre dans des endroits comme l'Afghanistan pour mener des opérations de libération d'otages, et à utiliser les forces spéciales Seal Team Six et Delta », a-t-il déclaré.
Kash Patel n'a pas perdu de temps.
RépondreSupprimerS'entretenant avec Joe Rogan, il a commencé par une statistique stupéfiante, que peu d'Américains ont entendue.
Pendant le premier mandat de Trump, Patel a dirigé les opérations antiterroristes pour la Maison Blanche et le Conseil de sécurité nationale.
À ce titre, il a supervisé… pic.twitter.com/RJY3WtbORj
— The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
De là, la conversation a porté sur une crise d'un tout autre genre, qui se déroulait ici même aux États-Unis et avait coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes : le fentanyl.
Patel n'a pas mâché ses mots quant à ses auteurs. « Alors, où est la racine du problème ? Le PCC », a-t-il dit, désignant directement le Parti communiste chinois.
Ce point de la discussion a pris une tournure plus sombre.
Patel a expliqué que si la Chine ne produit pas elle-même le fentanyl, elle joue un rôle central en fournissant les ingrédients chimiques bruts utilisés pour sa fabrication. « Les précurseurs du fentanyl, la substance nécessaire à sa fabrication, viennent de Chine continentale. C'est tout.»
Il a précisé que des centaines d'entreprises chinoises sont impliquées dans la production en masse et l'exportation de ces précurseurs dans le monde entier. La plupart d'entre elles atterrissent au Mexique, où les cartels transforment les produits chimiques en fentanyl et le font passer en contrebande à travers la frontière.
« Ils disent : "Nous ne fabriquons pas de fentanyl". Ils ont raison, ils n'en fabriquent pas », a déclaré Patel. « Ils vous fournissent simplement tous les ingrédients et expédient le tout au Mexique.»
Pour redorer son blason à l'international, Patel a déclaré que le PCC avait annoncé l'interdiction d'un précurseur spécifique. Mais c'était un tour de passe-passe.
« Pour tromper le monde, ils ont déclaré : "Hé, on ne vendra pas de précurseur X." Le problème, c'est qu'il existe 14 autres précurseurs utilisables pour fabriquer du fentanyl, et ils continuent de les expédier. »
Alors que les décès par overdose continuent de grimper aux États-Unis, la Chine parvient à rester discrète dans la crise, du moins sur le papier.
RépondreSupprimerDe là, la conversation s'est orientée vers une crise d'un tout autre genre, celle qui a fait des dizaines de milliers de morts sur le sol américain : le fentanyl.
Patel n'a pas hésité à désigner le coupable : le Parti communiste chinois.
« Alors, où est la racine du problème ? Le PCC. »
Voici… pic.twitter.com/saL30clFJl
— The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) 6 juin 2025
La révélation suivante semblait tout droit sortie d'un thriller d'espionnage.
À son arrivée au FBI, Patel a découvert une salle de données secrète dissimulée dans le bâtiment Hoover – une pièce qu'il prétendait avoir été délibérément dissimulée à l'époque où James Comey travaillait au FBI.
« En tant que directeur du FBI, à mon arrivée au FBI, j'ai découvert une pièce que Comey et ses collègues avaient cachée au monde dans le bâtiment Hoover, remplie de documents et de disques durs d'ordinateurs que personne n'avait jamais vus ni entendus.»
Rogan, visiblement choqué, s'est exclamé : « Quoi ?… »
Patel a décrit une pièce sécurisée, verrouillée et enfouie profondément, dont l'accès était si étroitement contrôlé que son existence même était inconnue de la plupart.
« J'ai verrouillé la clé et caché l'accès, et j'ai juste dit que personne ne trouverait jamais cet endroit. »
Rogan, encore : « Quoi ?! » ( “Whaaaaaaat?!”)
Patel poursuivit : « Oui, donc mes gars sont en train de fouiller là-dedans. »
Rogan demanda : « Qu'est-ce qu'il y a là-dedans ? »
Patel répondit : « Beaucoup de choses. »
La révélation suivante ressemblait à un roman d'espionnage.
Lorsque Patel arriva au FBI, il découvrit une salle de données cachée dans le bâtiment Hoover – une salle, dit-il, qui avait été dissimulée à l'époque de James Comey.
Moi, en tant que directeur du FBI, quand j'ai été… pic.twitter.com/HwkUrAjL19
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S'en est suivi ce que Patel a décrit comme le bain de sang de Biden à la frontière.
C'est une crise que beaucoup ont balayée d'un revers de main, la qualifiant de résultat d'une mauvaise gestion, mais Patel a affirmé qu'elle était bien plus délibérée.
Rogan a posé la question sans détour : « S'agit-il [de l'ouverture des frontières] de pure incompétence ? Ou de malveillance ?»
RépondreSupprimerPatel n'a pas hésité. « Non, c'est intentionnel.»
Il a expliqué que l'administration Biden avait pris une décision politique claire et consciente, ouvrant la voie à des millions d'entrées illégales, en pleine conscience des conséquences.
« Quand on va laisser entrer, qu'est-ce que c'est ? 9 millions de personnes ? Beaucoup d'entre elles seront des criminels. »
Pour Patel, les résultats n'étaient pas seulement prévisibles, ils étaient inévitables.
L'affaire suivante était le massacre à la frontière de Biden.
Patel a confirmé ce que de nombreux médias ont qualifié de théorie du complot.
La crise à la frontière sud était-elle due à de l'incompétence ou à un calcul plus précis ?
Rogan a posé la question directement.
« Est-ce [une frontière ouverte]… pic.twitter.com/849w1rUzac
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Finalement, la conversation a porté sur l'un des sujets les plus controversés de la dernière décennie : Jeffrey Epstein.
Patel et le directeur adjoint Dan Bongino avaient récemment fait sensation en déclarant sans équivoque qu'Epstein s'était suicidé, une explication que de nombreux Américains n'acceptent toujours pas.
Le public exige des réponses depuis des années. Où sont les dossiers ? Y a-t-il des images ? Les puissants étaient-ils protégés ?
Rogan a insisté auprès de Patel pour plus de clarté.
Patel a promis la transparence, mais avec des limites claires. « Nous allons vous donner tout ce que nous pouvons, et il faut que les gens se souviennent que nous n'allons pas victimiser à nouveau les femmes », a-t-il déclaré. « Nous ne remettrons pas ces conneries sur la table. »
Puis est venue la question que tout le monde attendait : « Y a-t-il une vidéo de l'île ?» a demandé Rogan.
Patel a été direct. « Pas de ce que vous voulez… Si je l'avais, je serais le premier à porter cette affaire devant les tribunaux.»
Il a souligné que lui et son équipe avaient passé au peigne fin tous les dossiers auxquels ils étaient légalement autorisés à accéder, et que ce qu'ils avaient trouvé ne corroborait pas le récit populaire. « Je suis arrivé il y a 100 jours. Je ne peux pas être tenu responsable de 20 ans d'échecs », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerEt si des preuves accablantes ont existé, Patel a admis qu'il est tout à fait possible qu'elles aient été effacées depuis longtemps.
Finalement, le cas d'Epstein a été évoqué.
Patel et le directeur adjoint Dan Bongino avaient récemment fait la une des journaux en affirmant catégoriquement que Jeffrey Epstein s'était suicidé, un point que de nombreux Américains remettent encore en question.
Le public exige des réponses depuis longtemps : où sont les dossiers ? Existe-t-il une vidéo ?… pic.twitter.com/MRkpl2GxZW
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Mais le moment le plus explosif de l'interview a eu lieu lorsque Patel a porté son attention sur le Dr Anthony Fauci.
Ce fut l'effet d'une bombe.
Après des années d'obstruction, de disparition de dossiers et de questions sans réponse, une avancée majeure était enfin arrivée : les téléphones et les disques durs de Fauci datant de l'époque de la COVID, que l'on croyait disparus, avaient été retrouvés.
« Nous venons de faire une avancée majeure cette semaine concernant Fauci », a révélé Patel.
Le FBI enquêtait sur les origines de la COVID, mais un problème majeur subsistait : les communications de Fauci pendant les mois les plus cruciaux de la pandémie étaient introuvables.
« Et personne ne les avait trouvées… jusqu’à il y a deux jours.»
Les disques durs originaux sont désormais en main. Patel a clairement défini sa mission : « Ce type a-t-il menti ? A-t-il intentionnellement trompé le monde et causé d’innombrables morts ?»
Il a souligné qu’il ne s’agissait pas d’une question de politique, mais d’une question de responsabilité. « La meilleure preuve est toujours celle du peuple », a-t-il déclaré.
« Nous allons exploiter ces disques durs… Nous n’avons pas terminé. Nous sommes sur l’affaire.»
RépondreSupprimerS’il existe des preuves que Fauci a manipulé des données, dissimulé des dissidents ou façonné le récit pour servir un agenda politique, Patel pense qu’elles pourraient se trouver sur ces appareils.
Et cette fois, dit-il, la vérité ne sera pas enterrée.
Mais le moment le plus explosif de l’entretien a eu lieu lorsque Patel s’est tourné vers Fauci.
Ce fut une véritable bombe.
Après des années de retards, d'excuses et de documents manquants, ses téléphones et appareils datant de l'époque de la COVID ont enfin été retrouvés.
« Nous venons de faire une grande avancée cette semaine concernant Fauci », a déclaré Patel… pic.twitter.com/uF7r46Wjjg
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Avant de conclure, Patel a partagé une dernière surprise, et cette fois, une bonne nouvelle.
Selon les dernières données, les États-Unis sont en passe d'atteindre leur taux d'homicides le plus bas depuis des décennies.
Rogan, visiblement surpris, a demandé comment cela avait pu être possible.
Patel a attribué cela à un changement de direction simple mais efficace : donner aux forces de l'ordre la marge de manœuvre et les ressources nécessaires pour faire leur travail sans ingérence politique.
« Laissons les bons policiers être policiers », a-t-il déclaré. « Je vais vous laisser, agents, policiers, shérifs, aller sur le terrain et faire le travail que vous désirez tant. Et je vais vous donner les ressources nécessaires pour y parvenir. Et je vais mettre fin à la politisation et à la militarisation… et c'est ce que nous avons fait. »
Parfois, le véritable changement ne vient pas de la réinvention du système, mais de la suppression des obstacles et de la possibilité pour les professionnels de faire ce pour quoi ils ont été formés.
Avant de conclure, Patel a réservé une autre surprise, mais cette fois, une bonne nouvelle.
Selon les données actuelles, l'Amérique est en passe d'atteindre son taux d'homicides le plus bas depuis des décennies.
Rogan, surpris, a demandé comment cela était possible.
Patel a évoqué un changement de direction simple mais puissant… pic.twitter.com/jztoaoyk3U
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Regardez la conversation complète ci-dessous :
https://www.zerohedge.com/political/kash-patel-announces-new-discovery-could-finally-take-fauci-down
RépondreSupprimerObjectif final de la géo-ingénierie : le contrôle de la Terre et de toute l'humanité
Entretien avec Elana Freeland. Transcription incluse.
Par Michael Welch et Elana Freeland
Recherche mondiale,
31 mai 2025
Les chemtrails et la géo-ingénierie ne sont ni une théorie du complot ni une gestion du rayonnement solaire exigeant l'élimination du gaz carbonique. En réalité, la géo-ingénierie est un système d'arme dont l'atmosphère ionisée et sans fil est maintenue pour servir à la création et au contrôle d'une planète pilotée par l'IA et de sa source d'énergie transhumaine, l'Humain 2.0.
– Elena Freeland [1]
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Bien que la « désinformation médiatique » reste un thème récurrent de Global Research et du Global Research News Hour, de nombreuses personnes instruites supposent qu’elles sont au courant de la plupart des grandes découvertes scientifiques des 120 dernières années.
On peut penser au projet Manhattan – la quête américaine d’armes atomiques par des scientifiques atomiques surdoués, qui a été gardée secrète du public jusqu’à ce que la puissante explosion fasse tomber leurs chaussettes précoces. [2]
Le projet Manhattan a finalement été révélé au public . Mais peut-on supposer que toutes ces prouesses technologiques secrètes seront dévoilées tôt ou tard ?
Considérez, par exemple, qu’après la Seconde Guerre mondiale, lorsque les « méchants » nazis ont été vaincus, il y a eu un programme secret américain appelé Operation Paperclip qui a transféré des médecins, des scientifiques et des techniciens – dont beaucoup étaient accusés de crimes de guerre, de meurtres de masse et d’esclavage – aux États-Unis pour poursuivre leurs travaux de recherche ! [3]
De plus, nous découvrons le travail d'un génie scientifique brillant du nom de Nikola Tesla, dont les découvertes révolutionnaires étaient si extraordinaires qu'il serait préférable de les garder, tout comme la bombe atomique elle-même, hors de la vue et de la connaissance des ennemis.[4]
Aujourd'hui, des concepts comme la géo-ingénierie, la 5G/6G, les armes à énergie directe et les nanotechnologies sont largement contenus et contrôlés par les médias grand public, derrière des barrières intellectuelles appelées « vérifications des faits » , et réduits à des « théories du complot » propagées par des esprits malins. Il convient toutefois de noter que nombre de ces technologies (si ce n'est toutes) ont des applications brevetées et pourraient être découvertes par n'importe qui à sa guise. [5]
RépondreSupprimerUne écrivaine et chercheuse a consacré une grande partie de son temps à explorer les intrigues que la plupart des intellectuels et des journalistes craignent de s'aventurer. Elle révèle qu'elles ne servent pas seulement à modifier le climat et à déclencher des incendies. Elle a déterminé que l'objectif final de ces activités est de transformer non seulement la planète, mais l'humanité elle-même en une espèce « transhumaine » qu'elle appelle l'Humain 2.0.
L'exploratrice intellectuelle s'appelle Elana Freeland . Ancienne invitée du Global Research News Hour, elle nous rejoint pendant la majeure partie de l'émission pour explorer la nouvelle direction technocratique vers laquelle nous nous dirigeons tous et ce que nous pouvons faire pour y mettre un terme avant qu'il ne soit trop tard.
Elana Freeland est écrivaine, nègre littéraire, conférencière, conteuse et enseignante. Elle effectue des recherches et écrit sur les questions liées à l'État profond, notamment les récits des survivants de MK-ULTRA, des abus rituels et des armes électromagnétiques invasives (Nexus, octobre 2014). Elle est l'auteure d'une trilogie en trois volumes sur la géo-ingénierie. Le quatrième tome de cette trilogie, « The Geoengineered Transhuman: The Hidden Technologies of HAARP, Chemtrails, 5G/6G, Nanotechnology, Synthetic Biology, and the Scientific Effort to Transform Humanity », a été publié en février dernier.
(Épisode 475 de Global Research News Hour)
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Transcription de la conversation avec Elana Freeland, le 16 mai 2025.
Global Research : Lors de votre dernier entretien, vous avez évoqué les armes à énergie directe et la géo-ingénierie, qui ont un impact sur les incendies de forêt. Nous aborderons le transhumanisme un peu plus tard, ainsi que les objectifs de ces technologies et d'autres que vous évoquez dans un instant. Mais avant cela, j'aimerais que vous nous parliez un peu plus des autres technologies utilisées pour influencer la planète, bien sûr, mais il y a aussi d'autres sujets en cours.
Parlez-en au-delà de la question des armes à énergie directe et de la façon dont ces technologies ont réellement vu le jour.
RépondreSupprimerElana Freeland : Si vous parlez de géo-ingénierie elle-même, et c'est un sujet très vaste, comme l'indiquent les titres de mes livres, il faut remonter aux années 90, lorsqu'un projet de construction à Gakona, en Alaska, a été rendu public dans un livre de 1995 intitulé « Angels Don't Play This Harp ». Le nom de la harpe s'appelait HAARP, pour « High Frequency Active Aurora Research Project » (projet de recherche sur les aurores boréales actives à haute fréquence) en Alaska. Ce livre a été écrit par le Dr Nick Begich et Gene Manning.
J'ai lu ce livre juste après sa sortie et, bizarrement, le lendemain, je le lisais lors d'un remplacement à la cafétéria de la faculté, et plusieurs personnes étaient assises à la table. Et pourtant, le lendemain, un hélicoptère militaire a survolé ma maison pendant une dizaine de minutes, pendant qu'il relevait mes coordonnées xy, je suppose. Je devais me baser sur une sorte de liste, et j'ai tout de suite compris que le livre de Nick Begich que je lisais était en réalité un projet de sécurité nationale à grand succès, et que… je ne sais pas, ça pouvait être dangereux.
Je l'ignorais. À l'époque, on n'entendait pas parler de géo-ingénierie, on n'en entendait même pas parler dans la presse. On parlait de chemtrails, et on se moquait beaucoup des gens, surtout aux débuts d'Internet, on les qualifiait de « chapeaux en papier aluminium », et il n'y a pas de chemtrails, ce qui est ridicule, sans parler de toute cette histoire de CIA que ma génération, celle des années 60, avait vécue après l'assassinat de John F. Kennedy à Dallas.
La CIA avait lancé à tout va le terme « théoricien du complot », et c'est devenu une façon d'écarter quiconque remettait en question ou critiquait le récit diffusé par les médias grand public. C'est ainsi que j'ai commencé. J'avais un dossier sur les chemtrails à ce moment-là, et j'en ai créé un pour HAARP, le Projet de recherche aurorale active à haute fréquence, sans même savoir ce que c'était. J'ignorais ce qu'était un réchauffeur ionosphérique. J'ignorais comment cette technologie était utilisée.
J'étais aussi ignorant que beaucoup de gens aujourd'hui, car le sujet n'a pas été présenté au public. Il n'y a eu aucun débat. Il n'y a eu aucune discussion sur ce projet très militarisé.
C'était hautement confidentiel. J'ai commencé à faire des recherches pour découvrir, par exemple, la composition du carburant des avions qui laissaient ce que je pensais être des traînées de condensation à l'époque, mais elles étaient longues et interminables, avant de se transformer en une couverture nuageuse blanche semblable à des cirrus. Plus j'en apprenais, plus je doutais du secret requis, et j'ai réalisé que, comme pour tous les projets de la DARPA, et il s'agissait bien d'un projet de la DARPA, il s'agissait d'armes. Mon inquiétude était que si ces chemtrails étaient largués au-dessus de nous, ils laisseraient une longue traînée, contrairement aux traînées de condensation, qui laissent généralement une traînée très courte se dissipant ensuite en 30 secondes maximum, ces longues traînées se transformeraient en une couverture nuageuse de cirrus.
GR : Puis-je vous interrompre une seconde ? Je voulais juste mentionner qu’un article paru récemment dans les médias révélait que Robert F. Kennedy Jr., le nouveau secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, avait déclaré que les chemtrails étaient bien réels et que la DARPA était très probablement impliquée. Cependant, la couverture médiatique de l’époque était influencée, et continue d’être influencée, par les messages selon lesquels ces soi-disant vérifications des faits prétendaient que les chemtrails étaient une théorie du complot, démentie par les autorités scientifiques. Ils ont assisté à une démonstration de quatre minutes expliquant qu’il s’agissait en réalité de traînées de condensation. Pourriez-vous nous parler de l’ampleur de l’annonce de Kennedy et de la réaction de la presse grand public ?
RépondreSupprimerEF : Oui, eh bien, la presse grand public, comme vous et moi le savons, est désormais totalement contrôlée, pas nécessairement par le Parti démocrate ou le Comité national démocrate (DNC), mais par une certaine opinion qui a été décidée comme secrète, mais exposée publiquement sous divers récits structurés. C'est très similaire à l'assassinat de Kennedy, n'est-ce pas ? Je veux dire, nous savions, dès le premier jour, nous savions, du moins les gens de ma génération le savaient, que Lee Harvey Oswald n'était pas le seul coupable, s'il en était un. Et pourtant, cette idée est maintenue depuis six décennies, et c'est un mensonge total, une invention.
Donc, le fait qu'ils utilisaient une invention pour cela, pour s'éloigner des chemtrails, qui était le seul terme utilisé dans les années 90 pour désigner ce qui se passait dans le ciel, nous n'en avions aucune idée. Bon, il y a beaucoup d'avions de ligne, beaucoup d'avions volent, des gens se déplacent, c'est tout, ça vient juste des avions de ligne. Et puis, on savait de temps en temps que c'était militaire, et on en parlait beaucoup, mais rarement dans les médias grand public, mais plutôt dans les médias alternatifs.
Et bien sûr, on s'en est complètement moqué, comme une théorie du complot, un chapeau en papier d'aluminium. Alors, quand Robert Kennedy, le nouveau secrétaire du HHS, a annoncé qu'il allait se pencher sérieusement sur le problème des chemtrails, maintenant que près de 30 États ont déposé une pétition, chacun d'eux a déposé un projet de loi auprès de son assemblée législative pour mettre fin aux chemtrails sur son territoire. Et voilà, la prise de conscience a fait un bond en avant, vous savez, parce que je suis ce dossier depuis 20 ans, donc je ne parle pas ici à un novice qui a une opinion émotionnelle sur le sujet, absolument pas.
Mais lorsque la Caroline du Nord, lorsque la tempête qui a frappé la Caroline du Nord et son comportement ont commencé à se trouver en position de faiblesse, il y a eu trop d'anomalies dans les détails de son déplacement en Caroline du Nord et dans une partie du Tennessee. Depuis lors, les États… attendez une minute, attendez une minute… ce qui s'est passé à Maui n'a jamais vraiment été expliqué. L'incendie qui s'est déclaré à Maui, qui a suivi dans une certaine mesure les incendies en Californie, est… mais ce sont des incendies géo-induits, des micro-incendies, ou plutôt des incendies à micro-ondes, et ils proviennent de ce qui semble provenir de l'espace, comme s'ils provenaient de la surface de la Terre. Eh bien, c'est le cas, ils proviennent de la haute atmosphère et sont principalement déclenchés par laser.
Et quand il a frappé la terre, l'analyse a ensuite attiré l'attention sur la destruction des bâtiments, et pas de tous, mais de certains bâtiments, et pas d'autres. Puis, il y a eu la rumeur du toit bleu et de sa capacité à protéger. Et, vous savez, ils ont commencé à alimenter l'affaire, semant la confusion dans l'opinion publique.
RépondreSupprimerEt, en recueillant l'opinion de telle personne, et celle-ci, et celle-là, et celle-là, et puis le New York Times se lance dans la désinformation, et le Washington Post fait son petit numéro. Et c'est comme ça que ça se passait, tout était géré de cette façon. Je suis sûr que c'était avant l'assassinat de John F. Kennedy.
GR : Vous parlez des autres technologies, par exemple, de l'utilisation de la nanotechnologie et de l'utilisation des micro-ondes, et de la façon dont elles sont utilisées, vous savez, comme un service aux élites, en quelque sorte.
EF : Si vous voulez vraiment comprendre comment cela fonctionne, il vous faut lire mon deuxième livre, « Under an Ionized Sky, From Chemtrails to Space Fence Lockdown ». « Space fence » est un terme utilisé par Lockheed Martin.
Lockheed Martin est le numéro un mondial de la production et de la vente d'armes. Il contrôle tous les brevets liés à ce qu'il appelle la « barrière spatiale ». Cette barrière spatiale, en quelque sorte, englobe tout l'électronique présente dans l'atmosphère, que ce soit dans notre troposphère ou dans la stratosphère, car l'ionosphère, qui commence à environ 40 km au-dessus de nous et s'étend sur quelques centaines de kilomètres avant de fusionner avec la magnétosphère.
Tout cela est électromagnétique, d'accord ? Imaginez un peu que nous vivions sous l'influence de l'électromagnétisme. Et puis, sur Terre, nous avons toutes ces infrastructures différentes, des radars militaires aux télécommunications, en passant par les lignes électriques. Nous avons tout ce qui est enfoui sous terre, comme les câbles, et nous avons les antennes-relais et les téléphones portables.
Partout où l'on regarde, on vit dans un environnement sans fil. Et notre santé se dégrade à cause de cela. Et c'est là l'essentiel : il faut comprendre qu'il y a les militaires et les civils.
Ces deux choses ont été distinctes pendant des millénaires. Mais aujourd'hui, la frontière entre elles s'estompe, notamment en matière de technologie, et de ce que l'armée appelle le double usage de la technologie.
Parmi les choses dont nous pensons avoir besoin pour notre confort, je pense notamment aux conduites de gaz. Elles passent sous les rues. Il y en a partout.
EF : Oui. J'appelle ça un rêve humide. Désolé si c'est offensant.
RépondreSupprimerCe rêve irréaliste de l'élite de contrôler totalement le monde terrestre et ses créatures, y compris les êtres humains, est un rêve très ancien des sociétés secrètes. Il faut remonter assez loin dans le temps. Je peux remonter jusqu'en 1600, sous le règne d'Élisabeth Ire en Angleterre, par exemple.
Et vous voyez ces alchimistes qui travaillaient sans relâche… On entend toujours dire qu'ils voulaient transformer le plomb en or, mais ils travaillaient sur beaucoup de choses. Et l'être humain en faisait partie. Qu'est-ce qu'un être humain ? D'une certaine manière, à l'époque, ils avaient… Je ne sais pas si tu le sais, Michael, mais j'ai été un élève de Rudolf Steiner, aujourd'hui décédé.
Il est décédé en 1925. C'était un scientifique et une sorte de mystique autrichien. Il a publié de nombreuses informations qui nous donnent une idée de l'être humain. Il appelle cela la religion des dieux.
Et ce qu'il veut dire par là, c'est que nous sommes, à ma connaissance, la seule créature sur Terre, même pas les baleines et les merveilleux dauphins, qui sont des créatures étonnantes dotées de très grands cerveaux, comme vous le savez. C'est que l'être humain est voué à l'évolution, qui est en cours, et nous avons été effacés pendant des millions d'années, en fait, pour établir leur contrôle sur leur libre arbitre. Et le libre arbitre est une chose que même les anges ne font pas.
Si vous lisez certains auteurs médiévaux, ils parlent des pouvoirs des anges et de ce qu'ils peuvent faire ou non. La plupart des Américains ne croient pas aux anges. Je comprends cela.
Nous sommes des matérialistes. Mais je pense que nous nous heurtons maintenant à un obstacle dont nous ignorions l'existence : beaucoup de nos scientifiques ne sont pas seulement matérialistes, mais aussi satanistes, des satanistes pratiquants. Nombre d'entre vous pensent peut-être que le satanisme n'est qu'une sorte de farce d'Halloween.
Non, c'est une véritable religion. Et je n'ai pas besoin d'aller bien loin pour le prouver. Mais le fait est que nos scientifiques nous traitent, nous les êtres humains, sans le soin et sans l'intérêt spirituel profond qu'ils portaient au XVIIe siècle, lorsque les alchimistes étudiaient l'être humain.
Non, ils nous considèrent comme des paquets de viande. En fait, le terme le plus récent à la CIA pour désigner les humains est « wetware », comme « logiciel, matériel, wetware ». Les gens ont des enfants, des familles qu'ils aiment, des personnes qu'ils aiment.
C'étaient des artistes. Il n'en reste plus beaucoup. Et maintenant, la science, c'est juste une question de subventions, de financement des grandes entreprises, et de persévérance.
Il n'y a aucun doute quant à savoir si c'est bon pour l'humanité ? Est-ce bon pour la nature ? Est-ce quelque chose qui va construire plutôt que détruire ? Non, nous n'y avons pas vraiment prêté attention depuis des décennies, du moins pendant ma vie, et je suis ici depuis plus de sept décennies. Voilà donc le problème. Si je me penche vraiment sur la géo-ingénierie, par exemple, et sur l'électromagnétisme dont elle dépend absolument, c'est un problème de taille.
RépondreSupprimerLa chimie dont cela dépend, toutes les parties qui finissent par devenir du contrôle mental, qui finissent par devenir de la vie privée, c'est comme un mirage maintenant.
GR : Pourriez-vous m'expliquer, juste pour revenir un peu en arrière ? Vous affirmez que beaucoup de scientifiques pratiquent le satanisme, parce que ce n'est pas vraiment une évidence. Et je connais beaucoup de gens qui ont suivi une formation à ce sujet.
Y a-t-il quelque chose dans les sciences qui vous amène à croire cela ? Ou qu'est-ce qui, dans le satanisme lui-même, trouve, je suppose, ses marques dans la science moderne, ce qui le distingue, vous savez, du type de science dont vous parlez.
EF : Oui, oui. Je parle de ce qu’on appelle désormais le scientisme, et ce terme est bien connu.
C'est de la fausse science. C'est là que nous découvrons aujourd'hui que toute la polémique autour du Covid-19 était enlisée : cette vaste expérience, sans aucune connaissance préalable. Et, vous savez, grâce à mes études approfondies sur la biologie synthétique, je peux maintenant lire des livres et voir où se cachent les mensonges.
Je veux dire, pas tous, bien sûr, c'est un processus continu. Mais il y a beaucoup de mensonges qui sont maintenant considérés, je cite, comme scientifiques, mais qui ne le sont pas vraiment : ils relèvent du scientisme. Et ils sont inventés pour promouvoir un programme.
On peut dire que c'est un programme politique. Mais je peux vous dire que, si on y regarde de plus près, on découvre souvent une composante spirituelle. On le sait, dans une certaine mesure, mais on continue à compartimenter.
C'est ainsi que notre système éducatif contrôle notre capacité à penser, ce que Rudolf Steiner a qualifié d'activité spirituelle. On ne pense pas, on peut penser avec le cerveau, mais les pensées qu'on aura ne seront pas forcément vraies ou ne mèneront pas là où on le souhaiterait, c'est-à-dire dans une direction créative et merveilleuse, celle que l'on prend pour que davantage de personnes puissent s'épanouir et que les enfants reçoivent une éducation de qualité qui les aidera grandement à devenir des individus qui réfléchissent longuement aux technologies dans lesquelles investir pour aider la planète et les êtres humains, et à celles qu'il faut éviter. Car tout cela ne mène qu'à la guerre et à la destruction. Ce genre de questionnement, on ne le pose même pas aux États-Unis.
C'est comme si, si vous pouvez trouver l'argent pour le faire, foncez. On verra bien. Et puis, on pourra toujours arranger les choses plus tard, avec plein de mensonges et de subterfuges, et enrichir l'industrie de la santé et l'industrie pharmaceutique.
RépondreSupprimerCe genre de raisonnement doit disparaître. Nous ne pouvons plus nous le permettre. Et c'est ce que je veux dire quand je dis que les scientifiques pratiquent le satanisme.
Je connais des gens qui, certes, c'est du ouï-dire, mais qui viennent de personnes très crédibles, qui ont accompli beaucoup de choses dans la vie en fréquentant des fêtes avec des élites. Et soudain, il y a comme un espace rituel. Ils assistent à des choses horribles avec des enfants.
C'est bien connu maintenant. Beaucoup de gens ne veulent pas y aller. Je comprends.
C'est moche. C'est sombre. Nous voulons avoir une bonne opinion de notre nation, de ceux qui la dirigent, des scientifiques qui créent la science à laquelle nous sommes tous, d'une manière ou d'une autre, soumis.
Mais c'est vrai. C'est absolument vrai. Et maintenant, nous devons vraiment… et je pense que ce triumvirat Trump, Kennedy, Musk est arrivé et travaille sur différents fronts pour assainir le marais, se débarrasser de l'État profond qui, vous savez, me ronge depuis le terrible assassinat de John Kennedy, pour faire le ménage.
Et maintenant, nous en avons l'occasion. Et je pense que Robert Kennedy en profite pleinement. Peut-être pas autant que certains le souhaiteraient, certes, mais il est sur la bonne voie pour nous ouvrir davantage la voie à la vérité, à la justice véritable, à la beauté, à la bonté, à toutes ces qualités, ces vertus dont on entendait parler dans l'enseignement des arts libéraux et qui sont aujourd'hui complètement ternies et anéanties.
Nous entendrions au moins parler de personnes cherchant à apporter le bien, le vrai et le beau à l'humanité. C'est ce que j'entendais par mal. Et je peux utiliser le mot « mal » si certains n'aiment pas le mot satanisme, mais le satanisme est simplement une forme de religion organisée et profondément vouée à la mort.
L'émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h 00 CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg.
Le programme est également diffusé chaque semaine (le lundi, de 13h à 14h HE) par le Progressive Radio Network aux États-Unis.
Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca
Remarques :
RépondreSupprimerElana Freeland (2025), p. 3, « Le transhumain géo-conçu : les technologies cachées de HAARP, des chemtrails, de la 5G/6G, de la nanotechnologie, de la biologie synthétique et de l'effort scientifique pour transformer l'humanité », Sacred Planet Books
Tom Metcalfe (21 juillet 2023), « Qu'était le projet Manhattan », Scientific American ; https://www.scientificamerican.com/article/what-was-the-manhattan-project/
Elana Freeland Op Cit. p.. 2
ibid;
Elana Freeland Op cit. p. 35, 39, 124, 172, 292, 294-295, 338-339, 365-366
La source originale de cet article est Global Research
https://www.globalresearch.ca/end-goal-of-geoengineering-control-of-the-earth-and-all-of-humanity/5888558
Oubliez les « énergies renouvelables » : de nouveaux centres de données d'IA construisent leurs propres centrales à gaz au Texas.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
June 7th, 2025
Les nouveaux centres de données d'IA ont besoin d'une telle quantité d'énergie, si vite, qu'ils se déconnectent du réseau électrique.
La course effrénée pour prendre de l'avance dans la bataille mondiale de l'IA est telle que l'industrie n'attend plus que les bureaucrates construisent de nouvelles centrales électriques, elle les construit elle-même. Et les ingénieurs en données de pointe ne choisissent pas l'énergie propre, verte, éolienne ou solaire du futur : ils construisent des centrales à gaz. Le soleil et le vent sont gratuits, mais les batteries de secours, les lignes à haute tension, les longues procédures d'approbation et l'approvisionnement aléatoire coûtent cher à la planète.
Quel solaire ? Quel éolien ? Les centres de données du Texas construisent leurs propres centrales à gaz.
Dylan Baddour, Arcelia Martin, Ars Technica
La centrale serait suffisamment grande pour alimenter une grande ville, avec une capacité de production prévue de 1 200 mégawatts alimentée par le gaz de schiste de l'ouest du Texas. Il n'alimentera que le nouveau centre de données, et peut-être d'autres grands centres de données récemment proposés, à terme.
Ce projet s'inscrit dans la lignée de nombreux autres projets similaires au Texas, où la course effrénée au démarrage de centres de données énergivores a conduit de nombreux promoteurs à planifier leurs propres centrales au gaz plutôt que d'attendre le raccordement au réseau public de l'État.
Il s'agissait du tout premier contrat d'Energy Transfer pour la fourniture de gaz à un centre de données, mais il est peu probable que ce soit le dernier. Dans un communiqué de presse, l'entreprise a déclaré être « en discussion avec plusieurs promoteurs de centres de données et s'attend à ce que ce soit le premier d'une longue série ».
Voilà la ruée vers l'or moderne : observez le nombre de demandes de production d'électricité (de toutes sortes) et de raccordement au réseau au Texas :
Au 30 avril, plus de 2 000 demandes d'interconnexion de production actives étaient recensées, pour une capacité totale de 411 600 MW, selon l'opérateur de réseau ERCOT. Un projet de loi en attente de signature sur le bureau du gouverneur Greg Abbott, le projet de loi S.B. 6, vise à filtrer les projets de grande envergure peu sérieux qui gonflent la file d'attente en imposant des frais de 100 000 dollars pour les études d'interconnexion.
Larry Fink, directeur de BlackRock, affirme que les gens ne se soucient plus des énergies renouvelables aujourd'hui, ils veulent juste de l'électricité :
RépondreSupprimerLe recours au gaz pour les centres de données est une rupture avec les idées reçues, a déclaré Larry Fink, fondateur de la société d'investissement internationale BlackRock, lors d'une conférence sur le pétrole et le gaz à Houston en mars dernier.
Il y a environ quatre ans, si quelqu'un disait construire un centre de données, il disait qu'il devait être alimenté par des énergies renouvelables, a-t-il raconté. Il y a deux ans, c'était une préférence.
« Aujourd'hui ?» a demandé Fink. « L'électricité est importante pour eux. »
Pour se faire une idée de la transition radicale en cours, imaginez qu'une jeune start-up souhaite 5 000 MW d'énergie pour un nouveau centre de données de 1 040 hectares, implanté dans une petite ville du Texas de moins de mille habitants. Cela représente une puissance colossale de 5 GW pour une ville de 940 habitants.
Il existe encore quelques projets ambitieux en matière d'énergies renouvelables. Une équipe de projet, qui n'a besoin que de 120 MW, a déclaré qu'elle utiliserait uniquement l'énergie éolienne, et une grande centrale affirme espérer exploiter un centre de données de 5 GW avec « l'éolien, le solaire et l'hydrogène privés », mais commencera par le gaz.
En Australie, nous ne sommes même pas dans la course.
https://joannenova.com.au/2025/06/forget-renewable-energy-new-ai-data-centers-are-building-their-own-gas-plants-in-texas/
Combien de personnes un agriculteur allemand nourrit-il ?
RépondreSupprimer8 Juin 2025
Dagmar Deutsch, AGRARHEUTE*
Grâce à son travail dans les champs et les étables, un agriculteur nourrit aujourd'hui un nombre de personnes jamais atteint auparavant.
L'agriculture allemande a encore augmenté sa productivité, comme le montre le rapport de situation 2024/2025. Un agriculteur nourrit plus de personnes que jamais auparavant.
En 1800, il fallait trois agriculteurs pour nourrir un citadin. Cent ans plus tard, en 1900, un agriculteur produisait des aliments pour nourrir environ quatre personnes. Au tournant du millénaire, ce chiffre était déjà supérieur à 100 : en 2000, un agriculteur nourrissait 127 personnes. Et ces dernières années également, les agriculteurs sont devenus de plus en plus productifs, comme le montre le dernier rapport de situation.
Un agriculteur nourrit plus de personnes que jamais
1980 : un agriculteur nourrit 47 personnes
1991 : un agriculteur nourrit 85 personnes
2000 : un agriculteur nourrit 127 personnes
2010 : un agriculteur nourrit 124 personnes
2023 : Un agriculteur nourrit 147 personnes
______________
* Dagmar Deutsch travaille chez AGRARHEUTE comme rédactrice cross-média dans l'équipe du magazine et est l'interlocutrice quand il s'agit de sujets concernant les jeunes agriculteurs et la jeunesse agricole.
Source : So viele Menschen ernährt ein Landwirt | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2025/06/combien-de-personnes-un-agriculteur-allemand-nourrit-il.html
Un paysan qui vend 1000 salades va nourrir 2000 à 3000 personnes ou même 4000.
SupprimerUn paysan qui vend 1000 carottes va nourrir 300 à 500 personnes.
Un paysan qui vend 1000 pommes va nourrir 1000 personnes.
Etc, etc.
La série Presse Payola : introduction - La stratégie consistant à financer des journalistes pour fabriquer des informations au service d'intérêts particuliers
RépondreSupprimer9 Juin 2025
David Zaruk, The Firebreak*
Il y a 25 ans, les campagnes alarmistes étaient multiples et de courte durée. Les médias accordaient peu d'attention aux campagnes éphémères annonçant la fin du monde, et nous passions donc rapidement d'une menace à l'autre, comme le trou dans la couche d'ozone, le bug de l'an 2000, les dioxines, la maladie de la vache folle, l'acrylamide, le sang contaminé français, les grenouilles transgenres... À cette époque, le réchauffement climatique émergeait comme le prochain grand sujet destiné à effrayer les gens (remplaçant habilement la peur de la prochaine période glaciaire). À l'époque, j'avais donné à cette campagne militante un maximum de cinq ans avant qu'elle ne s'essouffle (pour être bientôt oubliée, comme certains courriels de l'Université d'East Anglia).
C'était il y a 25 ans.
Qu'est-ce qui a permis au changement climatique de rester au centre de l'attention des médias pendant plus de deux décennies ? Comment cette question a-t-elle pu définir le discours, encadrer chaque événement météorologique et laisser toute une génération désillusionnée et anticapitaliste ? Les chercheurs en climatologie sont les premiers à admettre que les campagnes sur le réchauffement exagèrent excessivement les données scientifiques et s'inquiètent du verrouillage du débat.
The Firebreak a montré comment des médias ont reçu des apports de capitaux importants et réguliers de la part de groupes d'intérêts spéciaux sur le climat afin de traiter chaque sujet comme une question climatique. Les militants se présentent comme des journalistes d'investigation indépendants et n'ont aucune difficulté à obtenir des financements et des sources de publication pour leur travail grâce au soutien de fondations bien coordonnées (qui travaillent souvent ensemble par le biais de sponsors fiscaux**). On peut appeler cela de la « presse payola »*** (une presse alimentée par des pots-de-vin) et, comme les militants ont constaté son efficacité, ce phénomène s'étend au-delà de la question climatique. C'est le sujet d'une nouvelle série de The Firebreak.
Les fondations de la vertu ou la vertu des fondations ?
RépondreSupprimerAu cours des deux dernières décennies, l'activité des fondations a considérablement changé. Une quantité importante de nouveaux fonds et d'organisations philanthropiques ont fait leur apparition dans le monde des fondations à la suite de quatre cycles de création massive de richesses. Parmi eux, on trouve les nouveaux milliardaires issus des révolutions dot-com, Web 2.0, crypto et IA, qui sont censés redistribuer leur argent facile.
Cette accumulation massive de richesses a donné naissance à une nouvelle génération de « conseillers philanthropiques », des opportunistes qui ont développé de nouvelles tactiques pour organiser des campagnes à caractère politique, ainsi qu'à une nouvelle classe de consultants chargés de gérer les milliards de dollars de la gestion passive des fondations. Et alors que le processus philanthropique devenait du philo-narcissisme, avec des groupes comme Effective Altruism transformant la philanthropie en une secte pour recruter de jeunes entrepreneurs, une certaine classe de zélotes privilégiés se prévalant de leur haute moralité s'est vu conférer le pouvoir de changer (et de contrôler) le monde.
La question climatique a été soutenue par le financement des fondations – en grande partie – et pas seulement pour permettre aux ONG, aux avocats spécialisés dans la responsabilité civile et aux influenceurs militants d'attaquer sans relâche l'industrie et tous les politiciens pragmatiques. Les fondations ont également injecté des fonds destinés au climat soit directement dans de grands groupes médiatiques traditionnels comme The Guardian ou The AP, soit en créant de nouvelles organisations qui payaient littéralement des journalistes pour qu'ils publient des articles sur le climat. The Firebreak s'est penché sur des cas où des millions provenant de fondations ont été injectés dans des groupes nouvellement créés comme Covering Climate Now afin de rémunérer des journalistes qui maintenaient le changement climatique au centre de l'actualité.
Les fondations qui financent Covering Climate Now
Si un groupe de fanatiques passionnés et bien financés peut contrôler le discours grâce à une offensive médiatique, un vide dans le dialogue se crée. Au niveau universitaire, les personnes qui osent remettre en question leurs affirmations ne sont, au mieux, pas publiées et sont généralement ostracisées par certains organismes « consensuels », privées d'opportunités de carrière et de financement pour leurs recherches. Même des revues telles que Nature et Science sont aspirées dans ce tourbillon de partialité. Sans voix dissidentes, les arguments complexes deviennent des faits simplifiés et la recherche scientifique est étouffée. Et si des experts de premier plan sont contestés ou méprisés, les tribunaux interviennent pour étouffer davantage le dialogue.
Les fourches sortent rapidement et les chasses aux sorcières ne tardent pas à suivre lorsque les sociopathes disposent de fonds suffisants, de partisans et de médias passifs qui ne posent que les questions pour lesquelles ils sont payés. C'est encore plus facile lorsque les militants se qualifient eux-mêmes de journalistes, renforçant ainsi le cycle des préjugés et des biais.
RépondreSupprimerPersonne ne pose de questions fondamentales telles que :
Qui finance ce groupe ?
Quels sont ses intérêts ?
Dans quelle mesure ses arguments sont-ils raisonnables ?
Ces questions ne sont posées que lorsque quelqu'un remet en cause le consensus, et la pression narrative étouffe souvent ce type de réflexion ouverte. Dans un tel environnement, personne ne remet même en question l'éthique des pots-de-vin versés à la presse. Les médias grand public devraient-ils recevoir des paiements pour écrire des articles sur certains sujets ?
Mais combien de temps les fondations continueront-elles à être associées à une philanthropie généreuse ? Combien de temps leur opacité et leurs organisations parallèles corrompues seront-elles tolérées ? Tant qu'elles continueront à payer les médias, nous pouvons supposer que la réponse sera : « Encore longtemps ! »
Beaucoup d'eau coulera sous les ponts avant que quelqu'un ne pense que les médias ont été naïfs et simplement trompés par certains opportunistes manipulateurs. Les médias tirent profit du jeu, acceptant de l'argent et rendant des faveurs. Les pots-de-vin à la presse sont si courants que personne ne les remet en question (tant que la plupart des fondations conservent une image flatteuse).
Le modèle économique des médias traditionnels a changé au cours de ces deux dernières décennies, qui ont vu l'expansion de la richesse des fondations. Alors que les services en ligne grignotaient leurs sources de revenus traditionnelles (abonnés, petites annonces et publicité), ils avaient besoin de nouveaux modèles de financement pour continuer à informer. Les fondations et le parrainage de campagnes constituent désormais une part importante de la stratégie de survie financière de nombreux organes de presse.
La manne financière des fondations pour les journalistes indépendants
À l'instar des scientifiques, les journalistes indépendants rédigent désormais autant de demandes de subventions que d'articles. Cela dépasse largement le salaire d'un journaliste et les fonds secrets des fondations médiatiques sont suffisamment abondants pour leur fournir un flux de trésorerie suffisant pour faire avancer leur dogme idéologique. Prenons l'exemple d'une chercheuse militante comme Carey Gillam (qui a été rémunérée par des ONG au cours de la dernière décennie, mais s'autoproclame journaliste). Grâce au système de financement des médias par les fondations, elle peut être rémunérée au moins cinq fois pour le même article.
Pour son article sur l'attaque de Bonus Eventus, par exemple :
RépondreSupprimerElle a d'abord été rémunérée par Lighthouse Reports (qui a reçu 800.000 dollars de la Oak Foundation pour passer au moins un an à enquêter et à promouvoir cette histoire).
L'article et la fuite des documents que ses associés avocats spécialisés en responsabilité civile ont « laissés sur le pas de sa porte » ont été publiés sur le site web de l'Environmental Working Group (où elle est employée en tant que militante).
Ce même article a été reproduit dans The Guardian dans le cadre d'un programme où des fondations paient The Guardian pour des articles consacrés à certaines questions. Il faut cliquer sur un lien discret et trompeur intitulé « Soutenu par theguardian.org » pour découvrir qui paie Carey pour reproduire son matériel de campagne pour l'Environmental Working Group (voir l'image ci-dessous).
Comme la plupart des fondations qui financent des groupes tels que The Guardian utilisent des fonds anonymes affectés par des donateurs, il est fort probable que les cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile qui bénéficieront largement de l'activisme de Carey (et qui l'ont déjà fait par le passé avec ses Monsanto Papers lorsqu'elle était militante rémunérée par US Right to Know) injectent presque certainement des capitaux de démarrage dans ce projet.
À cela s'ajoutent les droits d'auteur sur les livres ainsi que les honoraires de consultation et de conférence...
Cela ne tient toutefois pas compte des honoraires que les cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile qui bénéficient du travail de Carey lui versent pour ses recherches, ses consultations ou ses conseils. Mais cela ne pourrait être rendu public que si Carey était appelée à témoigner dans le cadre d'un procès et si une personne sans intégrité enfreignait les codes de conduite journalistiques (comme Carey le fait souvent) et divulguait ses témoignages faits lors de dépositions sous scellés.
Ce n'est pas mal pour avoir écrit un seul article sur un sujet inexistant. Carey s'enrichit considérablement, ce qui explique peut-être son exubérance à compromettre son intégrité.
Plusieurs de ces fondations proposent des « fonds affectés par les donateurs », qui permettent à des groupes tels que des cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile de faire des dons anonymes à la fondation, les montants versés étant réservés à une campagne à laquelle Mme Carey Gillam participe.
La tactique du « Climate Cash » va de l'avant
Si les fondations peuvent fournir les moyens nécessaires pour que chaque histoire, chaque événement météorologique, chaque produit vendu sur le marché soit rapporté comme un événement climatique, alors notre discours peut facilement être défini par les histoires climatiques que les médias rapportent sans relâche (et qui leur rapportent beaucoup).
Imaginez que vous puissiez reproduire cette stratégie de manipulation médiatique et que vous disposiez de milliards de dollars provenant de fondations pour inciter un grand nombre de journalistes à faire des reportages et des enquêtes sur des produits chimiques industriels comme les PFAS. Ce journalisme à la demande, cette corruption de la presse, pourrait-il façonner votre discours alarmiste en vue d'une campagne de plusieurs décennies visant à éliminer un groupe important de produits chimiques utilisés dans de nombreux processus chimiques essentiels ? La peur du public suscitée par une telle stratégie médiatique entraînerait des milliards de dollars de règlements judiciaires, de mauvaises réglementations et une ignorance scientifique encore plus grande.
RépondreSupprimerSoit dit en passant, nous devons remettre en question la stratégie de corruption de la presse qui consiste à inciter les fondations à créer des organisations pour payer des journalistes afin qu'ils couvrent d'autres sujets (vapotage, plastiques, additifs alimentaires, aquaculture, produits chimiques, pesticides...). Des groupes comme la Oak Foundation prétendent soutenir des fonds d'investigation, mais il s'agit simplement d'une extension des campagnes militantes des ONG qui se font passer pour des « reportages » des médias grand public. Nous devons nous demander si le fait que des groupes d'intérêts, par l'intermédiaire de fondations, rémunèrent un grand nombre de journalistes pour amplifier leur activisme à l'échelle mondiale doit être toléré d'un point de vue éthique.
Il existe un groupe d'activistes expérimentés qui s'autoproclament journalistes indépendants et qui se sont récemment lancés, avec une valise remplie de billets provenant de fondations, dans la couverture médiatique d'une famille de produits chimiques largement utilisés, connus sous le nom de PFAS, afin d'effrayer le public et de diffuser les objectifs de leur campagne militante qui répondront aux ambitions de leurs bailleurs de fonds particuliers. Ils ont un plan d'action, ils ont la passion et ils sont certainement prêts à mentir. Dans la deuxième partie de cette série, The Firebreak examinera qui paie quels journalistes, combien et pourquoi. La troisième partie se penchera sur la manière dont une douzaine de fondations américaines influencent les médias qui couvrent le débat sur l'aquaculture au Chili.
https://seppi.over-blog.com/2025/06/la-serie-presse-payola-introduction-la-strategie-consistant-a-financer-des-journalistes-pour-fabriquer-des-informations-au-service-d-interets-particuliers.html
Tyler Durden et le triomphe de la Bête mondialiste
RépondreSupprimerPar Nicolas Bonnal
Mondialisation.ca,
08 juin 2025
Le film 13 Hours du cinéaste néo-con Michael Bay nous avait fait comprendre, après les évènements (ou non-événements) de Benghazi les modifications structurelles de l’appareil de domination mondialiste-américaine ;
ce film expliquait plutôt mal pourquoi on avait laissé lyncher et assassiner le pauvre ambassadeur américain en Libye (gare au Donald…)
- voir clip sur site -
On armerait les alliés (Israël, l’Ukraine), mais on ne se battrait plus. On n’avait plus assez d’hommes pour cela, compétents et entraînés et désireux surtout de mourir pour le pays. On quittait donc le monde solide de Guénon et on allait entrer dans un monde liquide où tout reposerait sur la monstrueuses force des marchés financiers et des fonds de pension US qui sèment sur fond d’idéologie néo-communiste la famine et le Reset partout où ils passent. Larry Fink est devenu notre nouvel Attila, notre nouveau Curtis LeMay. Il n’y a qu’à voir ce que Fink et ses sbires obéissants (LVMH, Hidalgo, Leyen) ont fait en quelques années de l’Europe ou de Paris pour comprendre. Et pas de sainte Geneviève à l’horizon… Marc Carney (banquier central et Goldman Sachs) au Canada, Macron (décidément indéboulonnable) ou Mertz, simple agent de Black Rock, vont mettre tout le monde d’accord. Avachie et sous hypnose comme prévu par Philip K. Dick la population ne réagit plus.
Tyler Durden nous rappelle l’essentiel : la domination financière US est totale, elle est énorme. La cotisation US (les actions montent jusqu’au ciel, contrairement aux prédictions de tous nos pessimistes qui attendaient un effondrement) représente 50 % de la valorisation mondiale. 50 % pour les USA, 12 % pour la Chine, idem pour l’Europe, le reste se répartissant le peu qui reste. Cent milliardaires contrôlent sans effort toute cette masse financière et autoritaire. Rathenau…
Cette toute-puissance ne peut être politiquement contrebalancée puisque 40 % des actions appartiennent aux bourgeoisies des pays dits des Brics dont l’idéologie est de toute manière la même que celle des occidentaux. Le 9 mars, on a donc droit à une piqure de rappel :
Les États-Unis dominent toujours le marché boursier mondial de 124 000 milliards de dollars
La domination américaine sur le marché boursier mondial est sans égal, et sa part n’a fait que croître au cours des deux dernières années.
La surperformance du S&P 500 a contribué à la position de leader des États-Unis, avec un rendement moyen composé de 14,8 % au cours de la dernière décennie. Les actions mondiales, représentées par l’indice MSCI ACWI (hors États-Unis), ont enregistré un rendement de 7 % en comparaison.
RépondreSupprimerL’article poursuit :
La valeur du marché boursier américain est à peu près égale à celle de toutes les autres régions réunies, englobant 6 062 entreprises évaluées collectivement à 60 100 milliards de dollars.
Fin décembre 2024, la capitalisation boursière des Sept Magnifiques – Apple, Microsoft, Alphabet-Google, Nvidia, Amazon et Meta Platforms – s’élevait à plus de 18 400 milliards de dollars, soit près de 30 % de l’ensemble du marché boursier américain. L’année dernière, ces entreprises ont alimenté plus de la moitié des rendements du S&P 500. Cette année, c’est l’inverse, alimentant le ralentissement économique puisqu’elles ont perdu plus de 2 500 milliards de dollars…
La Chine est le deuxième marché boursier du monde, avec une valeur de 15 600 milliards de dollars répartie sur 7 061 sociétés cotées en bourse. Si Tencent et Alibaba sont les plus grandes entreprises en termes de capitalisation boursière, plusieurs sociétés financières jouent un rôle dominant sur le marché boursier chinois.
Tyler rajoute :
Avec une capitalisation boursière de 5 200 milliards de dollars, le marché boursier indien est désormais plus important que celui du Royaume-Uni et de l’Amérique latine réunis. En 2024, environ 20 % des ménages détenaient des actions, contre seulement 7 % en cinq ans seulement. Il convient de noter que la croissance économique rapide du pays et sa transformation numérique ont fait grimper les actions de 80 % au cours de la période. En revanche, les marchés émergents ont augmenté de 6 %.
J’ai souvent évoqué Tulsa Doom dans Conan. Il croyait au fer, et il n’y croit plus. Il croit au maniement de l’esprit et c’est pourquoi il pousse une de ses belles à se suicider devant Conan (voyez la France ou l’Allemagne, toujours plus caricaturales).
Tulsa Doom peut même tolérer un monde multipolaire, dominant l’esprit et non plus la chair ou le fer. Les mêmes principes sur fond de fausse guéguerre fonctionnent partout : voyez les textes formidables et courageux de Slavsquat sur la Russie et sur les Brics. Laurence Guillon vient aussi d’expliquer la décision russe de liquider le patrimoine culturel. Les mêmes recettes sont appliquées partout (euro numérique en octobre), alors pourquoi user des armes et d’un commandement pyramidal ?
L’informatique permet de le décentraliser en étant plus ubiquitaire chaque fois. C’est du Tocqueville : délaisser le corps, et aller doit à l’âme ; et gouverner par le détail…
J’affirme qu’il n’y a pas de pays en Europe où l’administration publique ne soit devenue non seulement plus centralisée, mais plus inquisitive et plus détaillée ; partout elle pénètre plus avant que jadis dans les affaires privées ; elle règle à sa manière plus d’actions, et des actions plus petites, et elle s’établit davantage tous les jours à côté, autour et au-dessus de chaque individu, pour l’assister, le conseiller et le contraindre.
Tocqueville ajoute cette phrase ignorée :
RépondreSupprimerL’on oublie que c’est surtout dans le détail qu’il est dangereux d’asservir les hommes…
O zones à faible émission…
Restons dans le cinéma puisque Tyler ( https://www.zerohedge.com) nous y invite avec ses sept magnifiques, pas très perturbés par l’intelligence artificielle chinoise : dans Roller ball l’effrayant John Houseman (associé d’Orson Welles, communiste et surtout grand spéculateur devant l’Eternel) nous disait que les nations étaient « bankrupt, gone ». C’est parfaitement vrai. Trump fait semblant d’y croire comme d’autres avant lui. Mais en 1989 Guy Debord nous prévenait déjà :
Non seulement on fait croire aux assujettis qu’ils sont encore, pour l’essentiel, dans un monde que l’on a fait disparaître, mais les gouvernants eux-mêmes souffrent parfois de l’inconséquence de s’y croire encore par quelques côtés. Il leur arrive de penser à une part de ce qu’ils ont supprimé, comme si c’était demeuré une réalité, et qui devrait rester présente dans leurs calculs. Ce retard ne se prolongera pas beaucoup.
La bourse ou la vie, disait-on. En effet la bourse (l’informatique donc) et le marché (Attali-Attila va être content) vont abolir la liberté puis la vie et les humains d’un seul coup, en prétextant sans rire le racisme, le carbone ou la pollution. La magie opérative de l’informatique (cf. nos textes sur Reich et les «manipulateurs de symboles») fait effet, hypnotise les peuples ou ce qu’il en restait (rien en Europe, on est d’accord) et les anesthésie fabuleusement. Ce troupeau endormi évoque les marionnettes de bois de Guénon, manipulées par un Esprit supérieur. On le cite :
Il y est question d’une cité entièrement peuplée d’automates en bois, qui se comportent en tout comme des êtres vivants, sauf qu’il leur manque la parole ; au centre est un palais où réside un homme qui est l’« unique conscience » (êkakam chêtanam) de la cité et la cause de tous les mouvements de ces automates qu’il a fabriqués lui-même ; et il y a lieu de remarquer que cet homme est dit être un charpentier, ce qui l’assimile à Vishwakarma, c’est-à-dire au Principe divin en tant qu’il construit et ordonne l’Univers.
Il va de soi que nous sommes dans la grande parodie, dans le cadre d’une déstructuration totale des religions et que tout cela va nous mener beaucoup moins loin que prévu.
Nicolas Bonnal
https://www.mondialisation.ca/tyler-durden-et-le-triomphe-de-la-bete-mondialiste/5699200?doing_wp_cron=1749468818.8133380413055419921875
La guerre commerciale mondiale devient réalité
RépondreSupprimerPar Philippe Rosenthal
Mondialisation.ca,
08 juin 2025
Sur ordre du président américain, Donald Trump, les droits de douane sur l’aluminium et l’acier, instaurés en mars, seront doublés à compter du 4 juin pour des raisons de «sécurité nationale», rapporte le site Toute l’Europe, précisant: «Le président américain a signé, mardi 3 juin, un décret portant de 25 % à 50 % les droits de douane sur les importations d’acier et d’aluminium. Ces deux matériaux, considérés comme stratégiques, sont au cœur de la politique protectionniste que Donald Trump entend renforcer».
Le site de référence sur les questions européennes souligne: «Des règles non conformes avec les obligations liées à l’OMC». «La Commission européenne a exprimé son profond regret, déplorant des mesures qui sapent les efforts en cours pour parvenir à une solution négociée avec les États-Unis», poursuit le site de pédagogique et de décryptage de l’actualité européenne.
Cette décision touchera particulièrement durement l’UE qui envisage déjà des mesures de rétorsion. L’administration de la Maison Blanche exige que des dizaines de pays contre lesquels des droits de douane ont été instaurés soumettent leurs propositions de quotas et de tarifs d’importation de produits américains. Si la situation ne peut être résolue, il sera temps d’envisager une véritable guerre commerciale mondiale, déclenchée par les actions des États-Unis.
Toute l’Europe souligne: «La hausse à 50% des droits de douane sur l’acier et l’aluminium s’applique dès le 4 juin à tous les partenaires commerciaux, sauf exceptions précisées dans le décret ou dans le cadre de négociations spécifiques. L’UE n’étant pas explicitement exemptée dans le texte du décret, ses exportations de ces métaux vers les États-Unis sont donc potentiellement concernées dès maintenant, indépendamment du report général des surtaxes sur d’autres produits européens. Toutefois, la décision du 25 mai de reporter au 9 juillet l’application des surtaxes de 50% sur l’ensemble des produits européens reste en vigueur pour les autres secteurs, ce qui signifie que la plupart des produits européens ne sont pas encore soumis à ces nouvelles taxes punitives».
«En résumé, la hausse immédiate des droits de douane sur l’acier et l’aluminium ne remet pas en cause le report des surtaxes générales à l’UE, mais elle fragilise la position européenne en touchant dès à présent deux secteurs clés, ce qui pourrait servir de levier dans les négociations en cours», conclut le site de référence sur les questions européennes.
Trump n’est pas un homme politique dont les paroles sont souvent en adéquation avec les actes. Pourtant, sur un point, il est extrêmement cohérent. Depuis les années 1980, lorsque Trump, alors promoteur immobilier, a commencé à s’exprimer sur la politique et l’économie mondiales, il a défendu l’idée que les États-Unis souffraient d’un déficit commercial avec d’autres pays et que celui-ci ne pouvait être corrigé que par des droits de douane.
Lors de son premier mandat présidentiel, il n’a pas réussi à faire une percée dans ce domaine. Mais, Trump a pris sa revanche lors de son second mandat.
Le 2 avril dernier, le président américain a «dévoilé les nouveaux droits de douane qu’il entend imposer aux importations en provenance de 185 pays et territoires étrangers. Des mesures qui risquent de lancer une guerre commerciale entre les Etats-Unis et le reste du monde», rapportait déjà le site Toute l’Europe. Trump qualifiait solennellement cet événement de «jour de la libération en Amérique».
Seule la Russie n’était pas dans cette liste: la Maison-Blanche a déclaré que cela pourrait entraver les efforts de paix du président américain qui tentait de réconcilier Kiev et Moscou. Puis, face à la chute des marchés boursiers et à l’explosion d’indignation qui a suivi, principalement aux États-Unis, Trump a fait marche arrière.
Après un entretien avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui lui a rappelé que les Européens étaient prêts à des mesures de rétorsion, le président américain a accepté de reporter l’introduction de droits de douane de 50% sur les marchandises en provenance de l’UE au 9 juillet. D’ici là, comme la Maison-Blanche le prévoyait, des négociations difficiles avec des dizaines de pays devraient être conclues. Cependant, Trump a décidé, contre toute attente, de forcer la situation.
RépondreSupprimerReuters a obtenu un projet de lettre du bureau du représentant américain au commerce. Ce document appelle les partenaires commerciaux des États-Unis à soumettre leurs meilleures offres d’ici le 4 juin concernant les taux de droits de douane et les quotas sur les importations américaines, tant industrielles qu’agricoles. Le document propose, également, la suppression de toutes les barrières non tarifaires aux importations américaines. Selon la lettre, les États-Unis prévoient d’évaluer les réponses d’ici quelques jours, puis de proposer leurs propres conditions, qui pourraient inclure un taux réciproque.
La liste des pays destinataires de cette lettre est inconnue. Cependant, il s’agit probablement principalement de pays européens, et plus particulièrement de l’UE. Outre la Chine, c’est à eux que Trump adresse la plupart de ses revendications économiques. C’est en Europe que le président américain a remporté sa seule et relative victoire dans la guerre tarifaire à ce jour.
Le 8 mai, Trump a annoncé être parvenu à un accord sur les termes de l’accord avec la Grande-Bretagne. Le taux de droit de base de 10% reste en vigueur pour les produits britanniques. Une exception a été faite pour les constructeurs automobiles. Les produits de l’industrie automobile britannique, soumis au droit de douane de 10%, sont limités à 100.000 véhicules par an. En cas de dépassement, un droit de douane de 25% sera appliqué. De son côté, la Grande-Bretagne supprime les obstacles aux exportations américaines de nombreux produits sur son marché: fruits et légumes, aliments pour animaux, tabac, bœuf, etc. Il n’existe généralement pas d’accord de ce type avec d’autres pays, et surtout avec l’UE.
Pendant ce temps, les organisations internationales tirent déjà la sonnette d’alarme. Le secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Mathias Cormann, a déclaré que la croissance économique mondiale ralentissait plus que prévu, passant de 3,3% en 2024 à 2,9% cette année. En mars, avant le «jour de la libération en Amérique» de Trump, l’OCDE avait annoncé une croissance de 3,1% en 2025. Cormann a cité comme raison les actions de l’administration Trump et sa politique tarifaire déraisonnable. Il a aussi averti qu’en réalité, la croissance pourrait être encore plus faible.
Alors que la cote de popularité du président US est déjà en baisse, il se lance dans une expérience risquée. Après tout, il joue, pour ainsi dire, contre son électorat. Parmi les fervents partisans de la hausse des droits de douane figurent des trumpistes convaincus. C’est cette partie de l’électorat républicain que l’UE va frapper avec ses mesures de rétorsion dont l’application est suspendue pour l’instant.
https://www.mondialisation.ca/la-guerre-commerciale-mondiale-devient-realite/5699196?doing_wp_cron=1749469421.3007280826568603515625
Zone de guerre à Los Angeles : Des « foules insurrectionnelles » attaquent des policiers, incendient et bloquent l’autoroute 101
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 9 JUIN 2025 - 12h45
Regardez les émeutes en direct
- voire clip sur site - (11 h 52mn 26)
Mise à jour (21h05 HE) :
Ce qui a commencé comme une manifestation contre l’Immigration and Customs Enforcement (ICE), coordonnée par des associations marxistes rebelles, a rapidement dégénéré vendredi soir dans le centre-ville de Los Angeles en émeutes et en chaos, pour finalement dégénérer dimanche en ce qui ressemble fort à un « comportement insurrectionnel » contre le gouvernement fédéral.
« Des foules insurrectionnelles violentes envahissent et attaquent nos agents fédéraux pour tenter de stopper nos opérations d’expulsion. Mais ces émeutes illégales ne font que renforcer notre détermination », a écrit le président Trump sur Truth Social.
Trump a poursuivi : « Je donne instruction à la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, au secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, et à la procureure générale, Pam Bondi, en coordination avec tous les autres départements et agences concernés, de prendre toutes les mesures nécessaires pour libérer Los Angeles de l'invasion des migrants et mettre fin à ces émeutes. »
« L'ordre sera rétabli, les clandestins seront expulsés et Los Angeles sera libérée », a conclu le président.
Kyle Bass, fondateur et PDG de Hayman Capital Management, a écrit sur X : « S'organiser pour empêcher l'exécution légale de mandats d'arrêt par des agents fédéraux ressemble à une affaire RICO de grande envergure. Pensez-vous que @actblue et CHIRLA y ont bien réfléchi ? Si un groupe annonce publiquement son intention de commettre un meurtre… cela ne rend pas le meurtre plus légal. »
Il apparaît évident que des éléments au sein du Parti démocrate – des dirigeants locaux de Los Angeles aux élites de Washington, en passant par les cabinets d'avocats à l'origine de leur vaste réseau d'ONG de gauche financées par des fonds occultes – orchestrent une révolution colorée coordonnée. L'objectif semble être de placer Trump dans des situations politiquement difficiles afin de détourner l'opinion publique de son administration. Cela fait écho à la stratégie déployée par les démocrates en 2020, lorsque des organisations à but non lucratif marxistes, telles que Black Lives Matter, se sont mobilisées pour susciter des troubles généralisés.
En réponse aux troubles qui persistent dans le centre-ville de Los Angeles, où il semble que des comportements insurrectionnels soient le fait de ressortissants étrangers, y compris de personnes en situation irrégulière aux États-Unis, nous avons sollicité le point de vue du Dr David Asher, chercheur principal à l'Hudson Institute et expert reconnu des menaces hybrides et des réseaux transnationaux.
La réponse d'Asher a été très directe : « Ils devraient être expulsés.»
Sa déclaration souligne les menaces croissantes pour la sécurité nationale que représentent les troubles civils provoqués par des immigrants illégaux et fomentés par des ONG proches du marxisme.
Les inquiétudes d'Asher ont été partagées par le conseiller de la Maison Blanche, Stephen Miller, dans un message sur X : « Regardez tous ces drapeaux étrangers. Los Angeles est un territoire occupé. »
Regardez tous ces drapeaux étrangers. Los Angeles est un territoire occupé. https://t.co/phoWbLx7iT
— Stephen Miller (@StephenM) 8 juin 2025
Un chaos parfaitement coordonné par des groupes marxistes.
RépondreSupprimer🚨 Les émeutiers anti-ICE à Los Angeles sont organisés par la Coalition pour les droits humains des immigrants de Los Angeles (CHIRLA).
La CHIRLA est financée par ActBlue. pic.twitter.com/2ztHNVwbRJ
— Natalie Winters (@nataliegwinters) 8 juin 2025
Et largement financé par le contribuable !
LIRE CE POST EN ENTIER.
Le clou du spectacle : CHIRLA, le groupe à l'origine des émeutes actuelles à Los Angeles, a perçu près de 34 millions de dollars de revenus provenant de contrats gouvernementaux au cours de l'exercice clos le 30 juin 2023, dont 96 % provenaient de l'État de Californie.
Insurrection financée par les contribuables. https://t.co/66Q4HxKfrF
— Jennifer Van Laar (@jenvanlaar) 8 juin 2025
Le groupe militant de gauche Antifa est entré en scène.
Antifa International a annoncé une action directe le 8 juin pour attaquer les locaux de l'ICEgov à San Francisco. L'émeute prévue est organisée en soutien à l'insurrection de Los Angeles. pic.twitter.com/j3IJ88Aqmh
— Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
Le chaos s'installe dans la soirée.
🚨Les rues de Los Angeles appartiennent officiellement aux émeutiers pic.twitter.com/de8eGGAH4p
— Cam Higby | America First 🇺🇸 (@camhigby) 9 juin 2025
ACTUALITÉS 🚨 : Un manifestant brandit un drapeau mexicain devant un véhicule WayMo en feu. Plusieurs véhicules ont été détruits, et aucune présence policière n'est constatée dans la zone touchée.
Los Angeles, Californie pic.twitter.com/OmnUxY0dQS
— Anthony (@AnthonyCabassa_) 9 juin 2025
Il semble que des agitateurs aient appelé plusieurs voitures autonomes Waymo sur le lieu d'une manifestation à Los Angeles, avant de les vandaliser et de les incendier sans aucune raison. pic.twitter.com/fnTG9kkuyz
— OSINTdefender (@sentdefender) 9 juin 2025
🚨 #INFO : Des émeutiers anti-ICE incendient actuellement plusieurs véhicules dans les rues de Los Angeles.
AUCUN POLICE N'EST EN VUE.
Il ne reste que quelques heures avant la tombée de la nuit, et la situation continue de s'aggraver.
INVOQUEZ LA LOI SUR L'INSURRECTION !
🎥 @camhigby pic.twitter.com/32vt2SEByS
— Nick Sortor (@nicksortor) 9 juin 2025
Deux hommes à moto ont foncé sur le cordon de police à Los Angeles et ont été arrêtés.
RépondreSupprimerVidéo : @BGOnTheScene pic.twitter.com/yVe0SGSjIB
— Andy Ngo (@MrAndyNgo) 9 juin 2025
Plusieurs voitures autonomes Waymo ont été incendiées par les émeutiers dans le centre-ville de Los Angeles. La police tente d'évacuer la zone. pic.twitter.com/tfEWHlx9Gg
— Andy Ngo (@MrAndyNgo) 9 juin 2025
En quoi le blocage de la circulation sur l'autoroute 101 favorise-t-il une politique anti-ICE ? En bref, non. Tout comme les émeutes de Black Lives Matter qui ont incendié des quartiers entiers en 2020, il ne s'agit pas d'aider les opprimés. Il est de plus en plus évident que ces groupes marxistes visaient à déstabiliser le pays.
Los Angeles, Californie - Des manifestants ont réussi à bloquer une partie de l'autoroute 101, tandis que des milliers de personnes défilaient dans les rues pour protester contre l'ICE et l'ordre donné par le président Trump de déployer 2 000 gardes nationaux.
Une importante intervention policière est visible pour tenter de disperser la foule. pic.twitter.com/2VOxY0FxOh
— Anthony (@AnthonyCabassa_) 8 juin 2025
🚨 #INFO : Des milliers d'émeutiers anti-ICE ont désormais pris d'assaut l'autoroute 101 à Los Angeles.
Des centaines d'automobilistes sont désormais bloqués sur l'autoroute par des émeutiers violents.
IL EST TEMPS : DÉPLOYEZ LES MARINES ! pic.twitter.com/2f9A9PcnLW
— Nick Sortor (@nicksortor) 8 juin 2025
500 Marines américains ont été mobilisés.
🚨#INFO : Le ministère de la Défense vient d'annoncer que près de 500 Marines en service actif se préparent à être déployés à Los Angeles, alors que les émeutes s'intensifient. pic.twitter.com/qqWPa6j6dF
— R A W S A L E R T S (@rawsalerts) 9 juin 2025
Des mises à jour supplémentaires sont attendues dans la nuit.
* * *
Los Angeles se prépare à une nouvelle journée d'émeutes apparemment coordonnées, déclenchées par des arrestations massives de clandestins par l'Immigration and Customs Enforcement (ICE). Ces troubles ont impliqué des éléments organisés affiliés à des cellules militantes d'extrême gauche, notamment des associations à but non lucratif marxistes (voir ci-dessous).
Ces deux derniers jours, la situation s'est rapidement détériorée : pillages, incendies criminels, y compris des véhicules incendiés, et agressions directes contre les forces de l'ordre. Les indicateurs suggèrent un degré élevé de préméditation et de mobilisation en ligne dans ce qui semble être une tentative des acteurs proches du Parti démocrate de déclencher une version mexicaine des émeutes de Black Lives Matter, faisant écho au chaos observé lors de la révolution de couleur « Summer of Love » de 2020.
Images de New York et de Los Angeles, des villes typiquement démocrates !
RépondreSupprimerCe ne sont pas des « manifestants », ce sont des terroristes nationaux ! pic.twitter.com/MGNB1dnqo4
— Mike Engleman🇺🇲 (@RealHickory) 8 juin 2025
Samedi, l'administration Trump a annoncé la fédéralisation de 2 000 soldats de la Garde nationale californienne. La secrétaire du DHS, Kristi Noem, a également réagi en publiant sur X que les manifestants qui recourent à la violence contre les agents seront poursuivis, écrivant : « Vous ne nous arrêterez pas et ne nous ralentirez pas. »
Le président Trump a également blâmé le gouverneur de Californie Gavin « Newscum » et la maire de Los Angeles Karen Bass Bass, déclarant samedi soir dans un article intitulé « Truth » que s'ils ne peuvent pas faire leur travail, « le gouvernement fédéral interviendra et résoudra le problème ».
Dimanche, Trump a publié :
Excellent travail de la Garde nationale à Los Angeles après deux jours de violences, d'affrontements et de troubles. Nous avons un gouverneur (Newscum) et une maire (Bass) incompétents qui, comme d'habitude (il suffit de voir comment ils ont géré les incendies, et maintenant leur désastre d'autorisations TRÈS LENTES ! Les autorisations fédérales sont terminées !), ont été incapables de mener à bien leur tâche.
Ces manifestations de la gauche radicale, menées par des instigateurs et souvent des fauteurs de troubles rémunérés, NE SERONT PAS TOLÉRÉES. De plus, désormais, le port du masque NE SERA PLUS AUTORISÉ lors des manifestations. Que cachent ces personnes, et pourquoi ? Encore une fois, merci à la Garde nationale pour son excellent travail !
La porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a fait écho aux propos de Trump. Dans un commentaire publié sur X, il a déclaré : « Le président Trump maintiendra l'ordre public et continuera d'expulser de notre pays tous les dangereux immigrants illégaux », ajoutant : « Les violences collectives seront réprimées, les criminels responsables seront traduits en justice et les opérations d'arrestation des immigrants illégaux se poursuivront sans relâche. »
Newsom, Bass et le LAPD minimisent les manifestations, les qualifiant d'abus de pouvoir de la part des autorités fédérales, au milieu de manifestations « pacifiques » entre l'Immigration and Customs Enforcement (ICE) et les manifestants, après que les agents de l'ICE ont mené plusieurs opérations d'immigration dans tout le comté.
Le gouvernement fédéral s'apprête à prendre le contrôle de la Garde nationale de Californie et à déployer 2 000 soldats. Cette décision est délibérément incendiaire et ne fera qu'exacerber les tensions.
Les autorités de Los Angeles peuvent obtenir l'aide des forces de l'ordre à tout moment. Nous sommes en contact étroit…
RépondreSupprimer— Gouverneur Gavin Newsom (@CAgovernor) 8 juin 2025
Le procureur général de Californie, Rob Bonta, a déclaré : « Il n’y a pas d’urgence et l’ordre présidentiel de faire appel à la Garde nationale est inutile et contre-productif.»
Nous avons contacté les forces de l’ordre locales de Los Angeles. Elles disposent des ressources nécessaires pour intervenir dans l’urgence, et nous sommes prêts à intervenir en cas de besoin.
Il n’y a pas d’urgence et l’ordre présidentiel de faire appel à la Garde nationale est inutile et contre-productif.
— Rob Bonta (@AGRobBonta) 8 juin 2025
Bonta se range désormais du côté d’une armée étrangère qui attaque les Américains. pic.twitter.com/98ZbUchWOQ
— Sawyer (@flippersrevenge) 8 juin 2025
Samedi soir, un hélicoptère Black Hawk de la police des frontières a été aperçu en train de décharger des dizaines de caisses d’armes et de munitions.
Un Black Hawk de la patrouille frontalière décharge des dizaines de caisses d'armes et de munitions dans une rue de Los Angeles.
« Préparatifs pour une bataille majeure » pic.twitter.com/B2zqQ3trVA
— RT (@RT_com) 8 juin 2025
Pendant ce temps, le Département de la Sécurité intérieure a accusé les dirigeants démocrates de Californie, dont le gouverneur Gavin Newsom (démocrate) et la maire Karen Bass (démocrate), d'avoir contribué aux violences.
« Le ciblage violent des forces de l'ordre à Los Angeles par des émeutiers sans foi ni loi est ignoble et le maire Bass et le gouverneur Newsom doivent exiger qu'il cesse », a déclaré Tricia McLaughlin, porte-parole du Département de la Sécurité intérieure, dans un communiqué.
L'administratrice de la SBA, Kelly Loeffler, a interpellé Newsom et le maire Bass, affirmant que la SBA allait « immédiatement » déménager son bureau régional hors de Los Angeles.
Los Angeles refuse ouvertement de coopérer avec l'ICE, se rangeant du côté des sans-papiers au détriment des citoyens américains et des petites entreprises.
Par conséquent, à compter d'aujourd'hui, @SBAgov délocalisera son bureau régional hors de Los Angeles.
Si une ville ne protège pas sa population, nous ne resterons pas. https://t.co/lal7Z8gOfs
— Kelly Loeffler (@SBA_Kelly) 7 juin 2025
Et qu'avons-nous ici ?
RépondreSupprimerLes palettes de briques sont réapparues, reprenant les mêmes tactiques que lors des émeutes de 2020.
🚨 DERNIÈRE MINUTE : Des palettes de parpaings ont été découvertes à proximité immédiate des émeutes à Los Angeles.
Elles sont désormais utilisées comme des ARMES contre les agents fédéraux.
Qui a mis ça ici, et qui a payé ?! Il faut absolument enquêter.
🎥 @AnthonyCabassa_ pic.twitter.com/fEzUSZsvvw
— Nick Sortor (@nicksortor) 7 juin 2025
Samedi matin, nous avons dressé le portrait de l'une des organisations à but non lucratif à l'origine du chaos – Unión del Barrio – dont le manifeste, rempli de rhétorique marxiste et communiste explicite, semble être devenu le prochain groupe que les démocrates utilisent comme des idiots utiles.
Des émeutes éclatent dans les locaux de l'ICE de Los Angeles alors qu'un clone mexicain de BLM déclenche une opération de révolution de couleur
DataRepublican a noté que plusieurs ONG coordonnent le chaos.
Plusieurs ONG sont impliquées dans cette affaire. La plus importante est la Coalition pour les droits humains des immigrants (CHIRLA), et les photos des pancartes montrent qu'elles ont été imprimées par PSLWEB / Parti pour le socialisme et la libération. pic.twitter.com/yS7jXkHGJ8
— DataRepublican (petit r) (@DataRepublican) 8 juin 2025
EXCLUSIF : Une association financée par les contribuables est à l’origine des émeutes anti-ICE à Los Angeles.
Ces deux derniers jours, les agents de l’ICE ont mené des opérations ciblées dans la région de Los Angeles, arrêtant plus de 40 personnes soupçonnées d’être en situation irrégulière. Ces mesures ont déclenché des opérations de grande ampleur… pic.twitter.com/bDTn0oB6nD
— Laura Powell (@LauraPowellEsq) 8 juin 2025
Une évaluation plus approfondie est en cours afin de déterminer la structure opérationnelle derrière ces violences et toute influence ou coordination externe exercée par des adversaires étrangers.
« Pour rappel, alors que les émeutes font rage à Los Angeles, la maire de Los Angeles, Karen Bass, était une partisane de Fidel Castro. Elle était membre de la Brigade Venceremos et s'est rendue à Cuba à sept reprises dans les années 1970, à une époque où il était illégal pour les Américains de s'y rendre. Plus tard, elle s'y est rendue avec Obama en 2016 », a écrit Shaun Maguire, associé de Sequoia, sur X.
Pour rappel, alors que les émeutes font rage à Los Angeles
La maire de Los Angeles, Karen Bass, était une partisane de Fidel Castro.
Elle était membre de la Brigade Venceremos et s'est rendue à Cuba à sept reprises dans les années 1970, à une époque où il était illégal pour les Américains de s'y rendre.
RépondreSupprimerPlus tard, elle s'y est rendue avec Obama en 2016. pic.twitter.com/uIrhIb6tX3
— Shaun Maguire (@shaunmmaguire) 8 juin 2025
Et ceci.
L'un des principaux organisateurs des violentes émeutes de Los Angeles ICE est la Coalition pour les droits humains des immigrants.
Elle reçoit actuellement des subventions à six chiffres du @DHSgov pour des « services d'instruction à la citoyenneté et de naturalisation ».
Il faut y mettre fin immédiatement ! @Sec_Noem… pic.twitter.com/96w7ZjmmVg
— Natalie Winters (@nataliegwinters) 8 juin 2025
Le militant extrémiste violent d'Antifa Craig Toennies @ctizzie ordonne à ses camarades violents d'attaquer les vidéastes @AnthonyCabassa_ et @camhigby pour avoir documenté l'insurrection d'extrême gauche à Los Angeles. Il est furieux que les deux hommes aient filmé les violences en cru, ce qui… pic.twitter.com/sc12pTXSt5
— Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
Cc administrateur Trump ? Il est peut-être temps de codifier les coupes budgétaires dans le DOGE.
Exactement.
— Elon Musk (@elonmusk) 8 juin 2025
Nicole Shanahan, ancienne colistière de Robert F. Kennedy Jr., a souligné :
Je sens la CIA et l'État profond partout. Les villes sanctuaires comme Los Angeles ont stratégiquement encouragé les migrants imprévisibles et violents à chercher refuge et les utilisent maintenant pour attaquer violemment les forces de l'ordre fédérales.
Elles ne respectent pas nos lois, elles abusent de nos droits et détruisent nos villes. Tel sera le sort de toutes les villes sanctuaires si nous laissons cette folie perdurer.
« Les étrangers qui habitent votre pays gagneront en puissance, tandis que vous perdrez progressivement la vôtre. Ils auront de l'argent à vous prêter, mais vous n'en aurez pas. À la fin, ils seront vos dirigeants. » (Deutéronome 28:43-45) Ces paroles ont été écrites il y a des milliers d'années et sont toujours d'actualité.
Newsom et Bass souhaitent cette altercation avec Trump. Ils sont prêts à mettre le feu à une ville si cela leur permet de marquer des points politiques. Pendant ce temps, la Californie souffre. Allons-nous un jour nous réveiller de ce cauchemar ?
Je sens l'influence de la CIA et de l'État profond partout. Les villes sanctuaires comme Los Angeles ont stratégiquement encouragé les migrants imprévisibles et violents à chercher refuge et les utilisent maintenant pour attaquer violemment les forces de l'ordre fédérales.
Ils ne respectent pas nos lois, ils abusent de nos prétentions, et ils… pic.twitter.com/u1zSxciFQb
RépondreSupprimer— Nicole Shanahan (@NicoleShanahan) 8 juin 2025
Los Angeles était une zone de guerre pendant la nuit.
Des insurgés d'extrême gauche et nationalistes mexicains à Los Angeles ont apporté du matériel pour fabriquer des cocktails Molotov à lancer sur des agents fédéraux américains. L'émeute contre les services d'immigration continue de s'intensifier.
Vidéo de : @AnthonyCabassa_pic.twitter.com/7JWDFyQYti
— Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
Des émeutiers antifa et nationalistes mexicains à Los Angeles utilisent un réfrigérateur volé comme bouclier improvisé contre les forces de l'ordre fédérales à Compton. Les émeutiers participent à une insurrection contre le gouvernement. pic.twitter.com/J0aRBwwJBl
— Andy Ngo (@MrAndyNgo) 8 juin 2025
🚨INFO : La situation à Los Angeles dégénère rapidement. De plus en plus d’incendies sont allumés, un semi-remorque est cambriolé et la police progresse vers le cordon de sécurité. pic.twitter.com/HLDJQcUCjq
— Cam Higby | America First 🇺🇸 (@camhigby) 8 juin 2025
🚨 DERNIÈRE MINUTE : Des émeutiers pillent actuellement des magasins à Los Angeles, tandis que la police est totalement introuvable.
Et le gérant du magasin ne peut rien y faire, sous peine d'être inculpé.
ANALGÉSIE TOTALE grâce à Gavin Newsom et aux Démocrates. pic.twitter.com/YyaVNUQdeh
— Nick Sortor (@nicksortor) 8 juin 2025
DERNIÈRE MINUTE : Le directeur adjoint du FBI, Dan Bongino, appelle le public à aider à identifier un homme jetant des pierres sur des véhicules à Los Angeles, où des agents fédéraux effectuent des perquisitions.
Nous recherchons actuellement des informations concernant l'identité de la ou des personnes qui jettent des pierres sur les véhicules… pic.twitter.com/wZFgHMe792
— Collin Rugg (@CollinRugg) 7 juin 2025
Eunisses Hernandez (D), conseillère municipale de Los Angeles, appelle à intensifier les combats contre les agents de l'ICE.
Eunisses Hernandez (D), conseillère municipale de Los Angeles, appelle à intensifier les émeutes contre les agents de l'ICE.
Arrêtez-la. pic.twitter.com/e4euGZ5os5
— Libs of TikTok (@libsoftiktok) 8 juin 2025
Une question clé émergeant de ces troubles est de savoir dans quelle mesure les étrangers en situation irrégulière participent aux émeutes, et si des individus ou des groupes pourraient agir sous l'influence d'agences de renseignement étrangères cherchant à fomenter des troubles sociaux aux États-Unis.
Compte tenu des indicateurs observés jusqu'à présent, l'action coordonnée, le message idéologique et la ressemblance tactique suggèrent que les organisations à but non lucratif malhonnêtes, alliées au Parti démocrate, utilisent le modèle de la « révolution de couleur » pour tenter de déclencher des émeutes à l'échelle nationale. Cet incident devrait être considéré comme une menace potentielle pour la sécurité nationale, compte tenu de la participation probable de ressortissants étrangers.
RépondreSupprimerStay tuned for updates...
https://www.zerohedge.com/political/marxist-linked-unrest-worsens-los-angeles-amid-coordinated-color-revolution