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COVID-19 : Le crime invisible
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https://www.kla.tv/fr BLOG N°70 3 ARTICLES CENSURÉS CI-DESSOUS ! (60 - 3 = 57)
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https://www.kla.tv/fr * BLOG n°95 60 ARTICLES PUBLIÉS CI-DESSOUS: (56 ! ENCORE 4 ARTICLES CENSURÉS !)
Le secrétaire du HHS, John Kennedy, conteste l'efficacité des vaccins infantiles
RépondreSupprimerPar Adam Dick
Institut Ron Paul
2 octobre 2025
« Sûr et efficace.» C'était l'expression souvent répétée par ceux qui cherchaient à maximiser les injections de « vaccins » contre le coronavirus pendant la crise sanitaire. Cette affirmation était fausse. Les vaccins se sont révélés dangereux et inefficaces.
Malheureusement, de nombreuses personnes ont cédé à la puissante propagande et se sont fait vacciner. Pourtant, avec le temps, la fausse représentation de ces vaccins a été de plus en plus reconnue, ce qui a contribué à ouvrir les yeux de nombreuses personnes sur la possibilité que les affirmations concernant les avantages d'autres produits pharmaceutiques, et des vaccins en particulier, puissent également être dangereusement trompeuses.
Pendant la crise sanitaire, Robert F. Kennedy, Jr. a joué un rôle majeur dans la remise en question des affirmations favorables concernant les vaccins contre le coronavirus. Aujourd'hui, en tant que secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), il dirige le ministère afin d'examiner de près les bénéfices allégués des nombreuses doses du calendrier vaccinal infantile des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), que les écoles et les garderies américaines exigent comme condition de présence.
Une présentation vidéo publiée cette semaine par Kennedy marque une étape importante dans la révélation de la nature de l'examen des vaccins au HHS. Dans cette vidéo, Kennedy remet notamment en question la conclusion largement diffusée selon laquelle l'utilisation massive des différents vaccins du calendrier vaccinal infantile a entraîné l'élimination ou une réduction significative des décès dus aux maladies ciblées par ces vaccins, ce qui témoigne de l'efficacité particulièrement grande de ces vaccins pour atteindre leurs objectifs déclarés.
En présentant des graphiques illustrant l'évolution des décès dus aux différentes maladies ciblées par les vaccins, Kenndey a démontré dans sa présentation vidéo que l'utilisation massive de chacun des vaccins est intervenue après une forte baisse des décès liés à la maladie ciblée. Kennedy a cité les vaccins contre la rougeole, la coqueluche et la grippe comme exemples. De plus, a noté Kennedy, des baisses similaires et considérables des décès dus à la tuberculose, au scorbut et à la scarlatine ont été observées au cours d'une période similaire, bien qu'il n'y ait pas eu de vaccination de masse contre ces maladies aux États-Unis.
RépondreSupprimerDes facteurs indépendants des vaccins ou d'autres interventions médicales, a expliqué Kennedy, ont été les principales causes de la baisse des décès dus aux maladies infectieuses. Les vaccins ont été présentés comme la solution, mais les héros de l'amélioration de la santé étaient en réalité d'autres facteurs, notamment le développement de la réfrigération des aliments, l'accélération du transport des aliments et l'amélioration de l'hygiène, a conclu Kennedy.
Les modifications logiques du calendrier vaccinal infantile à apporter en réponse aux observations présentées par Kennedy dans sa présentation vidéo sont importantes. Si certains vaccins du calendrier sont inefficaces, ils devraient être retirés du calendrier. La raison invoquée pour les administrer est une fraude ou une erreur. Si d'autres vaccins sont bien moins efficaces qu'on ne le prétend, mais qu'ils sont néanmoins efficaces contre les maladies ciblées, une réévaluation devrait être effectuée en comparant les bénéfices et les risques de ces vaccins, c'est-à-dire en comparant leur efficacité et leur dangerosité. Avec une efficacité bien moindre, ces vaccins ne devraient être jugés acceptables que s'ils présentent un risque de nocivité encore plus faible.
Le résultat final de cette analyse devrait entraîner une réduction substantielle du calendrier vaccinal infantile, dont la variété et le nombre de vaccins ont été multipliés par plusieurs au cours des dernières décennies. En effet, la conclusion ultime pourrait même être l'abrogation de ce calendrier.
La nouvelle analyse présentée par Kennedy dans sa présentation vidéo devrait également donner un nouvel élan à la suppression des efforts gouvernementaux visant à imposer ou à faire pression sur les personnes pour qu'elles prennent des médicaments. L'État s'est montré cavalier et dangereux dans l'exercice de cette autorité. Mettons fin définitivement à cette pratique autoritaire.
RépondreSupprimerCet article a été initialement publié sur le site du Ron Paul Institute.
https://www.lewrockwell.com/2025/10/no_author/hhs-secretary-kennedy-challenges-the-efficacy-of-childhood-vaccine-schedule-shots/
Aujourd'hui, le 1er octobre à 4 heures EDT: le pôle de médias libres de MAHA Action, avec quelques-unes des étoiles les plus brillantes du mouvement
RépondreSupprimerLe rapport MAHA
Octobre 01, 2025
Par le rapport MAHA
Rejoignez-nous, s'il vous plaît, le mercredi 1er octobre, de 16h00 à 17h30, pour un autre centre médiatique hebdomadaire MAHA Action.
Cette sous-tape est supportée par le lecteur. Recevoir de nouveaux postes et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
Le programme d'aujourd'hui met en vedette le président de MAHA Action, Tony Lyons (hôte); l'administrateur de la CMS, Dr. Mehmet Oz; "Food Babe" Vani Hari; directeur des National Institutes of Health, Dr. Jay Bhattacharya ; biologiste, Gary Brecka ; fondateur de React19, Brianne Dressen; employé spécial du gouvernement du HHS et partisan de longue date de la MAHA, Calley Means; éducateur de santé et auteur de best-sentre, Dr. Eric Berg, comédien et activiste de MAHA, Russell Brand; membre de l'ACIP et co-inventeur de l'ARNm, Dr. Robert Malone; Fondateur de Ways2Well, Brigham Buhler; Conseiller médical en chef de MAHA, Dr. Aseem Malhotra ; et expert en médecine fonctionnelle, Dr. Josh Axe.
L'hôte et les invités spéciaux discuteront, entre autres, des récents «wins» de MAHAs et de la manière dont le mouvement peut naviguer au mieux vers un activisme réussi.
Pour participer au centre des médias, cliquez simplement sur le lien d'inscription gratuit ici. Toutes nos manifestations de Media Hub sont ouvertes au public.
Nous espérons vous voir à 16 heures.
https://www.themahareport.com/p/happening-today-october-1-4pm-edt?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=175021766&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Mise à jour sur les épidémies actuelles de maladies infectieuses
RépondreSupprimerEbola, rougeole, grippe aviaire et escroquerie à une seule santé
Meryl Nass
Octobre 01, 2025
Petite épidémie d'Ebola dans l'est de la RDC, identifiée il y a 4 semaines, dans une zone reculée près de la frontière ougandaise. Environ 65 cas ont été diagnostiqués avec un taux de létalité de 61 %.
OMS : rapport sur la situation Ebola RDC/25/03 - 28 septembre, 2025
L'épidémie d'Ebola en République démocratique du Congo se poursuit, avec des signes d'une baisse notable de la transmission. Depuis notre dernière mise à jour (rapport de situation no 2), un total de sept nouveaux cas ont été signalés, comprenant six cas confirmés et un cas probables (rétrospectivement validés).
Environ 2 000 personnes ont été vaccinées. J'espère que nous saurons cette fois si le vaccin Merck fonctionne, il ne semble pas avoir aidé dans une épidémie antérieure. Le vaccin est désigné contre l'Ebola (pour les souches de la RDC; le zaire était le nom de l'ancien dictateur Mobutu Sese Seko (1971-1997).
Rougeole
Il y a eu 40 épidémies de rougeole séparées aux États-Unis jusqu'à présent cette année. Habituellement, il y a 10-20/an. Tous sont dus à des personnes qui entrent aux États-Unis tout en incubant inconscience la rougeole. La rougeole a une longue période d'incubation et s'étend facilement, par voie aérienne.
Le CDC aime blâmer ces cas sur les individus non vaccinés, mais la plupart des adultes ne peuvent pas prouver qu'ils ont été vaccinés comme enfants, de sorte que les CDC les intègrent dans une catégorie qui inclut les non vaccinés.
Par exemple :
Quatre-vingt-six pour cent des cas ont fait partie des 40 épidémies signalées aux CDC. Il est à noter que 92 % des patients ne sont pas vaccinés ou ont un statut vaccinal inconnu, 4 % n'ont qu'une dose de rougeole, d'orecres et de rubéole, et 4 % ont été complètement vaccinés.
Grippe d'oiseau
RépondreSupprimer3 millions d'oiseaux sont atroces dans le Wisconsin, tandis que le propriétaire des oiseaux collecte environ 17 dollars pièce pour eux (plus de 50 millions de dollars) - les oiseaux valent plus morts que vivants. Pourquoi l'USDA incite-t-il encore les éleveurs de volailles à trouver des cas de grippe aviaire? Payez les propriétaires d'oiseaux (qui ne sont presque jamais les agriculteurs eux-mêmes) un montant plus raisonnable et voir ensuite combien de cas sont découverts.
La grippe aviaire reste endémique dans la population d'oiseaux sauvages. Il ne s'en va pas. Nous devons y faire face intelligemment et humainement.
Je vous ai prévenus que le concept One Health était au centre du plan mondialisateur de placer tout dans le panier intitulé « Santé » et ensuite faire en sorte que le système OMS/ONU le gère tout. Ils ne le laisseront pas partir. Et il est toujours ancré dans les agences gouvernementales américaines.
Je pense que les antibiotiques sont encore utilisés dans l'alimentation animale afin de maintenir en vie le boogeyman de la résistance antimicrobienne.
https://www.cidrap.umn.edu/ebola/ebola-outbreak-dr-congo-adds-11-new-cases-pas-week
https://merylnass.substack.com/p/update-on-current-infectious-disease?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=175016708&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Dr. Sherri Tenpenny: Secrets pour une meilleure santé et une augmentation des enfants résilients
RépondreSupprimerDemandez à un document no 1
Le renard glorieux
Octobre 01, 2025
Chers lecteurs,
Je suis ravi de lancer le tout premier épisode de Ask a Doc, une nouvelle série où je m'assoie avec des médecins de confiance (sans allégeance à Big Pharma) pour poser des questions honnêtes sur la santé et les titres qui la façonnent.
L'invité d'aujourd'hui est celui que vous allez adorer : Dr. Sherri Tenpenny, l'une des toutes premières voix de premier plan à défier l'entreprise de vaccins.
Assurez-vous de lire jusqu'à la fin, car il y a un aperçu exclusif du bonus pour les abonnés payants. Sans plus tarder, rencontrons notre invité.
Dr. Tenpenny a commencé sa carrière en tant que médecin de la salle des urgences et a passé 12 ans en tant que directrice d'un centre de traumatologie de niveau II avant de fonder le centre médical intégratif Tenpenny près de Cleveland.
Après avoir vu les limites de la médecine conventionnelle, elle s'est tournée vers la recherche sur les vaccins, qui ont depuis fait d'elle l'une des critiques les plus reconnues et les plus ouvertement reconnues de l'établissement médical du monde entier.
Pendant la COVID-1940, le Dr. Tenpenny a été parmi les premiers à mettre en garde contre les dangers des coups de fruits du Coprocvid-19. Elle a appelé la pandémie pour l'escroquerie qu'elle était en temps réel et a révélé des vérités qui n'ont été admises que des années plus tard.
Aujourd'hui, j'ai eu l'occasion de lui poser quelques questions sur la santé et ce qui circule dans les nouvelles. Je pense que vous allez adorer notre conversation.
Dr. L'œil de Tenpenny sur les preuves
La voix originale de la recherche, de la vérité et de l'éducation dans le domaine des vaccins
Par le Dr. Sherri Tenpenny
*
QUESTION 1 - Le scepticisme au vaccin est en hausse, mais de nombreux parents ne sont toujours pas prêts à les éliminer complètement et à choisir plutôt un calendrier retardé pour leurs enfants. Que diriez-vous à ces parents ?
RépondreSupprimerDR. TENPENY: Ils doivent continuer à lire. Ils n'ont pas assez d'informations sur chacune des infections (ce qu'ils sont, comment les prévenir naturellement et comment les traiter).
Une fois que vous connaissez les infections, vous pouvez prendre une décision en toute connaissance de cause sur la façon d'élever un enfant en bonne santé sans vaccin.
En outre, ils ne disposent pas d'informations suffisantes sur les composants de chacun des vaccins. Une fois que vous êtes pleinement conscient, je suis convaincu que vous ne voudrez aucune de ces matières étrangères injectées à vos enfants à n'importe quel âge.
*
QUESTION no 2 - Surtension générale de Floride Dr. Joseph Ladapo a récemment annoncé qu'il déménageait pour FIN tous les mandats de vaccins en Floride. Après des décennies de discours sur les vaccins, pouvez-vous croire que c'est enfin ce qui se passe ? Où voyez-vous les choses d'ici ?
DR. TENPENNIE: Septembre 3, 2025, Florida BANNED Vaccin requirements en matière de vaccins pour les écoles publiques et pour l'emploi par Florida Surgeon General Dr. Joseph Ladapo. Voici ses mots exacts à l'annonce :
Il s'agit de la moralité de ce que nous faisons... Il s'agit de liberté. Il s'agit d'esclavage. Il s'agit du type de société dans laquelle nous voulons vivre. Qui suis-je en tant que gouvernement, ou même en tant qu'homme debout ici, pour vous dire quoi mettre dans votre corps ? Qui suis-je pour vous dire ce que votre enfant devrait mettre dans son corps ? Je n'ai pas ce droit.
Votre corps est un don de Dieu. Ce que vous mettez dans votre corps est à cause de votre relation avec votre corps et votre Dieu. Je n'ai pas ce droit. Le gouvernement n'a pas ce droit. Ils veulent que vous croyiez qu'ils ont ce droit. Et malheureusement, ils ont réussi. »
Les parents qui vaccinent dépendent souvent des coups de feu défectueux pour empêcher leurs enfants de tomber malades. D'autre part, les parents qui choisissent de ne pas vacciner ne sont pas irresponsables.
Ils assument la responsabilité de plus en plus de leur santé. Ils doivent maintenant accorder une attention particulière à l'alimentation de leur enfant, en éliminant les malbouffes et le sucre raffiné, et en veillant à ce qu'ils consomment des repas sains pour soutenir leur système immunitaire. Ils donneront très probablement à leurs enfants une multivitamine et une vitamine D de bonne qualité. Ils peuvent choisir de suivre un protocole homeoprophylactique avec leurs nourrissons.
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QUESTION 3 - Les écoles publiques ne sont guère plus que des centres d'endoctrinement. Pensez-vous que les parents devraient faire le sacrifice à l'école à la maison, ou d'autres options comme les écoles Montessori peuvent-elles servir comme un bon milieu ?
RépondreSupprimerDR. TENPENNY: Je suis tout à fait d'accord pour dire que les écoles publiques ont complètement échoué à nos enfants. Beaucoup sont diplômés sans même les bases de la lecture, de l'écriture et de l'arithmétique.
The L'Évaluation nationale du progrès de l'éducation (NAEP), souvent appelée « The Nation’s Report Card », est la plus grande évaluation nationale de ce que les étudiants américains savent et comment ils se produisent dans des matières principales.
Pour la lecture, les résultats récents montrent qu'environ 35 % seulement des lycéens ont obtenu ou plus le niveau «ficient» de la NAEP, et environ 32 % ont obtenu un score inférieur à la «base».
En mathématiques, les résultats étaient encore plus faibles, avec seulement 22 % des personnes âgées atteignant « lesficients » et environ 45 % en dessous de « base ».
Les résultats d'écriture, bien que plus anciens (à partir de 2011, la dernière thévaluation complète de la 12e année de la troisième année), ont révélé des défis similaires: seulement 27 % des étudiants ont obtenu un score égal ou supérieur à «fiventure», tandis qu'environ la moitié a démontré au moins des compétences «de base».
Ces résultats démontrent qu'un grand nombre d'élèves quittent l'école secondaire sans les compétences de lecture, d'écriture et de mathématiques considérées comme nécessaires pour les compétences pratiques et la réussite scolaire future.
Les recherches sur les élèves scolarisés à domicile indiquent qu'ils obtiennent souvent de meilleurs résultats scolaires et développent des compétences pratiques plus solides que leurs homologues dans les écoles publiques. Des études ont montré que les écoles à domicile obtiennent des notes fréquemment de 15 à 30 points de pourcentage plus élevées que les élèves des écoles publiques sur des tests normalisés, avec des résultats particulièrement bons en lecture, en écriture et en verbal. Même si les gains de maths sont parfois plus faibles, les élèves des écoles à domicile testent systématiquement au-dessus de la moyenne nationale.
Au-delà des études, l'enseignement à domicile met souvent l'accent sur l'apprentissage indépendant, la pensée critique et la responsabilité personnelle, ce qui se traduit par une meilleure aptitude à la vie. De nombreux diplômés de l'école à domicile sont mieux préparés à gérer le temps, à s'adapter aux défis et à poursuivre leurs intérêts académiques et professionnels en toute confiance. Les enquêtes suggèrent également qu'elles ont tendance à être très impliquées dans leurs communautés, plus engagées dans la vie civique, et qu'elles font souvent état d'une plus grande satisfaction dans les universités et les carrières.
RépondreSupprimerLe tableau d'ensemble est clair : l'enseignement à domicile non seulement équipe les élèves de solides bases de lecture, d'écriture et de mathématiques, mais aussi de l'indépendance, de l'adaptabilité et de la maturité qui leur servent bien dans la vie.
En outre, l'enseignement à domicile est économiquement avantageux pour le pays. Selon l'Institut national de recherche sur l'éducation à domicile (NHERI) :
« Les contribuables dépensent en moyenne 16 446 dollars par élève et par an dans les écoles publiques, plus les dépenses d'équipement (Association nationale pour l'éducation, 2023). Les familles d'écoles à domicile dépensent en moyenne 600 dollars par élève par an pour leurs études. Avec environ 3,1 millions d'élèves à domicile de 2021 à 22 ans, les économies réalisées ont été réalisées à plus de 51 milliards de dollars pour les contribuables. C’est 51 milliards de dollars que les contribuables américains n’avaient pas à dépenser. » RÉFÉRENCE : https://nheri.org/research-facts-on-homeschooling
Voici un endroit pour commencer. Ce sont des programmes dont nous sommes de grands fans – vous pouvez regarder ces programmes et écouter nos interviews en podcast sur ce lien :
Visite du Dr. La page dédiée de Tenpenny pour l'enseignement à domicile ici.
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QUESTION 4 - Y a-t-il des effets à long terme des vaccins, même si aucun problème immédiat n'apparaît? Dans l'affirmative, de quels inconvénients cachés les gens devraient-ils être conscients?
RépondreSupprimerDR. TENPENNIE : Les perturbations de la santé peuvent être immédiates (réactions allergiques, anaphylaxie, voire arrêt cardiaque).
Cependant, d'autres événements indésirables qui peuvent prendre des semaines, des mois, voire des années à se manifester incluent l'asthme, l'ADD/TDAH, une longue liste d'affections auto-immunes, une longue liste de maladies neurologiques, et même le cancer.
La manifestation retardée est ce que l'établissement médical utilise pour affirmer qu'il n'y a pas de «n lien» entre l'injection de produits chimiques, de métaux et de protéines étrangères et un problème de santé qui survient plus tard.
L'organisme fait de son mieux pour s'autoréguler et se remettre de l'attaque de ces injections. Mais lorsqu'il ne peut plus guérir, des symptômes définis comme des maladies commencent à apparaître.
QUESTION 5 – Quelle est la seule chose non négociable que vous faites chaque jour pour votre santé ?
DR. TENPENNIE : J'ai la priorité à un minimum de 30 minutes chaque matin pour écouter un podcast de la Bible, et prier.
QUESTION 6 – Pour ce qui est en avance, quelle est la mesure la plus pratique que quelqu'un peut prendre aujourd'hui pour se protéger des futures crises sanitaires?
DR. TENPENNY : Le plus grand outil qu'ils ont est la peur militarisée. Ne craignez pas. S'accrocher à l'expression « Fool Me Once ? Honte à toi. Fool Me deux fois ? Ne vous affûtez pas. » Lisez mon livre, « Responsabilisation zéro dans un système défaillant », pour vous donner des informations et des outils à préparer pour ce qui pourrait être en avance.
QUESTION 7 - Où les gens peuvent-ils suivre votre travail et rester informés de vos dernières informations ?
RépondreSupprimerDR. TENPENNY: Notre site web principal est www.DrTenpenny.com – en navitant la barre d'outils en haut de la page, vous pouvez trouver notre adhésion, nos bulletins d'information hebdomadaires, un lien vers nos magasins de produits et tous nos podcasts.
Nous avons un podcast tous les jours à 11aEST diffusé sur Rumble (www.rumble.com/c/DrTenpenny) et X.com (-BusyDrT)
J'ai deux sous-tapis: 1) DrTenpenny.substack.com – publié le samedi en tant qu'oeil sur les preuves, et 2) TenpennyWalkWithGod.substack.com – publié le dimanche.
Nous publions des bouchées quotidiennes tous les jours sur DrTenpenny.substack.com, et nos podcasts M-W-F y sont également postés.
https://www.vigilantfox.com/p/dr-sherri-tenpenny-secrets-to-better?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=175025166&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Un nouveau film expose des décennies de mensonges sur la santé publique
RépondreSupprimerPour un temps limité, ce documentaire puissant est complètement libre de regarder.
Le renard glorieux
Octobre 2 , 2025
NOTE: Merci d'appuyer ce message sponsorisé, qui maintient ce site web en cours pour vous apporter des nouvelles non crantées.
De temps en temps, un film arrive qui force la vérité à l'ouverture et expose la corruption que les gens n'ont jamais réalisée.
Tout comme Blackfish a révélé les abus et les dissimulations chez SeaWorld - suscitant des outrages publics massifs, boycotts, et finalement forçant la société à mettre fin à son programme d'élevage d'orques - un nouveau film est arrivé pour mettre en lumière l'épidémie de maladies chroniques en Amérique et la corruption qui l'a créée.
Des créateurs de The Truth About Vaccines et The Truth About Cancer, Ty et Charlene Bollinger vous apportent : Dépacking The Lies We’ve Beed Fed.
Ce documentaire expose l'ordre du jour de plusieurs décennies pour garder les Américains malades, obèses et dépendants, tout en montrant pourquoi Robert F. La nomination de Kennedy au secrétaire du HHS pourrait être le tournant.
De la corruption de l'industrie alimentaire à l'autisme pathologique en passant par la géo-ingénierie, démantèle le réseau de mensonges du peuple américain a été informé de la santé publique.
Avec des voix de premier plan comme Charlene Bollinger, Mike Adams et Dr. Mary Talley Bowden, ce casting entièrement vedette réaffirme Robert F. Les décennies de recherche de Kennedy et ouvre la voie à son programme pour démanteler les agences gouvernementales américaines qui ont profité d'une Amérique malade.
Pour une durée limitée, le film est totalement libre de regarder.
Je l'ai déjà regardé, et il raconte l'histoire de la corruption de manière magistrale. C'est un must-see et une excellente part pour les amis et les membres de la famille qui se réveillent encore.
https://www.vigilantfox.com/p/new-film-exposes-decades-of-lies?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=175067250&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Contestation de l'hypothèse du cœur de graisse saturée alimentaire
RépondreSupprimerCardiologiste Dr. Peter McCullough s'appuie sur le Dr Nina Teicholz, scientifique en nutrition
Peter A. McCullough, MD, MPH
Octobre 2 , 2025
Depuis 75 ans, le chien diététique en cardiologie préventive se concentre sur la réduction des graisses saturées dans l'alimentation humaine dans le but de réduire le LDL-C et les taux de maladie coronarienne. Avec la popularité des régimes carnivores et céto ces dernières années, cette thèse centrale aux maladies coronariennes est remise en question. Après un post de POINTS FOCAL sur le grand volume d'études antérieures sur l'hypothèse de la stupésion de la mystériose, le Dr. Nina Teicholz m'a contacté et a déclaré que des preuves récentes avaient renversé la base de preuves antérieures. Je l'ai donc invitée dans l'émission.
Teicholz N. Une courte histoire de graisses saturées : la création et la non-présentation d'un consensus scientifique. Curr Opin Endocrinol Diabète Obes. 2023 Feb 1;30(1):65-71. doi: 10.1097/MED.0000000000000791. Epub 2022 décembre 8. Erratum in: Curr Opin Endocrinol Diabète Obes. 2025 août 1;32(4):166. doi: 10.1097/01.med.0001118356.22843.75. PMID: 36477384; PMCID: PMC9794145.
Dr. Nina Teicholz préconise un régime mettant l'accent sur les graisses animales naturelles comme le beurre, le fromage et la viande, et d'autres aliments entiers, affirmant que le paradigme pauvre en graisses a été préjudiciable à la santé publique. Son travail, en particulier le livre The Big Fat Surprise, défie des décennies de conseils nutritionnels et promeut la consommation de graisses et la réduction des glucides, suggérant que cette approche peut aider à inverser des problèmes de santé généralisés comme l'obésité et le diabète. Elle promeut également des produits animaux alimentaires entiers par rapport aux huiles végétales industriellement transformées.
Je suis sûr que son message sera accueilli favorablement à de nombreux acteurs du mouvement pour la liberté de la santé qui veulent avoir la liberté de manger de nombreuses quantités de graisses animales. Mon intuition est que permettre à l'un des trois méchants diététiques n'est pas une si bonne idée. J'ai soutenu une philosophie selon laquelle les trois doivent être limités : 1) le sucre, 2) l'amidon, 3) les graisses saturées. Les patients et le grand public sont prêts à réduire deux, mais rarement tous les trois. J'ai constaté que les personnes qui ont la discipline pour limiter les trois ont tendance à avoir un poids corporel normal, d'excellents paramètres de laboratoire, y compris l'HbA1C et le LDL-C, et sont exemptes de diabète et de maladie coronarienne. Les régimes les plus populaires ont tendance à négocier pour la liberté sur l'un des trois régimes. Dans le cas des carnivores et des céto-dieters, leur rationalisation est pour les graisses saturées.
Teicholz a passé en revue Ramdsen et al qui ont re-analysé l'expérience coronaire du Minnesota 1968-1973, qui était un essai randomisé d'un régime pauvre en graisses saturées par un régime alimentaire en graisses saturées par de l'huile végétale riche en acide linoléique. Malheureusement, la population des maisons de retraite et des hôpitaux psychiatriques n'était pas représentative de la population générale et l'exposition au régime randomisé n'était pas suffisante à long terme pour faire une différence significative dans les résultats. Cependant, étant donné qu'un suivi très limité, les résultats ont démontré une légère réduction du cholestérol total et aucune différence de maladie coronarienne ou toute la mortalité causée dans ce groupe qui était âgé de 52 ans à l'inclusion et ayant eu au moins un an de régime alimentaire. Cinq essais supplémentaires ont été synthétisés avec l'affichage du rapport impair comme indiqué.
RépondreSupprimerRamsden CE, zamora D, Majchrzak-Hong S, Faurot KR, Broste SK, Frantz RP, Davis JM, Ringel A, Suchindran CM, Hibbeln JR. Réévaluation de l'hypothèse traditionnelle du cœur-alimentation: analyse des données récupérées de l'expérience coronaire du Minnesota (1968-73). BMJ. 2016 Avril 12;353:i1246. doi: 10.1136/bmj.i1246. Erratum dans : BMJ. 2024 Jun 28;385:q1450. doi: 10.1136/bmj.q1450. PMID: 27071971; PMCID: PMC4836695.
Mon opinion est que les interventions alimentaires à court terme avec une perte importante pour le suivi et aucun critère principal assuré et jugé ont tendance à biaiser les résultats vers l'hypothèse nulle. Même les études de prévention primaire de médicaments qui ne séparent pas suffisamment le LDL-C ou qui ont des durées de suivi de longue durée ont tendance à être peu concluantes. Il y a des décennies, fumer était le facteur de risque hyper dominant, les gens étaient beaucoup moins obèses, et il y avait peu de thérapies ou d'interventions pour réduire les taux de décès dus à une maladie coronarienne. Ces données sont-elles suffisamment pour perdre des graisses saturées dans le régime alimentaire aujourd'hui? Je vous laisserai décider après avoir écouté cette édition des POINTS FOCAUX.
À la fin, j'ai demandé au Dr. Teicholz pour sa réaction à la nomination du Dr. Ben Carson est notre nouveau conseiller national en nutrition. Carson est un adventiste du septième jour qui est végétarien à vie et ne consomme aucune protéine animale ou graisse saturée. J'ai souligné les données publiées sur les adventistes du septième jour qui sont très favorables en termes de longévité et de liberté vis-à-vis de nombreuses maladies chroniques. L'Adventist Health Study-2 (AHS-2) à partir de 2002, a inclus plus de 96 000 SDA à travers les États-Unis et le Canada, la mortalité ayant suivi jusqu'en 2009 dans une analyse clé. Il a indiqué que les végétariens (entre des catégories comme les végétaliens, les lacto-ovo, les pesco et les semi-végétariens) avaient un risque de mortalité toutes causes confondues plus faible par rapport aux non-végétariens. Chez les hommes, le risque relatif de décès cardiovasculaire était de 0,58 (0,38-0,89). Pour la femme et dans l'ensemble, les risques relatifs étaient protecteurs mais pas statistiquement significatifs. Bien que non randomisée, je suis impressionné par ces données comparatives prospectives montrant un végétalien qui ne consomme pas de graisse animale ou de viande, juste à l'opposé de ce que Teicholz propose, semble vivre plus longtemps et avoir une plus grande liberté contre les maladies cardiaques qu'il n'y a d'équivalents consommant de graisses.
RépondreSupprimerS'il vous plaît, abonnez-vous à FOCAL POINTS en tant que membre payant (5 dollars par mois) ou à un membre fondateur afin que nous puissions continuer à vous apporter la vérité.
Peter A. McCullough, MD, MPH
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Teicholz N. Une courte histoire de graisses saturées : la création et la non-présentation d'un consensus scientifique. Curr Opin Endocrinol Diabète Obes. 2023 Feb 1;30(1):65-71. doi: 10.1097/MED.0000000000000791. Epub 2022 décembre 8. Erratum in: Curr Opin Endocrinol Diabète Obes. 2025 août 1;32(4):166. doi: 10.1097/01.med.0001118356.22843.75. PMID: 36477384; PMCID: PMC9794145.
Ramsden CE, zamora D, Majchrzak-Hong S, Faurot KR, Broste SK, Frantz RP, Davis JM, Ringel A, Suchindran CM, Hibbeln JR. Réévaluation de l'hypothèse traditionnelle du cœur-alimentation: analyse des données récupérées de l'expérience coronaire du Minnesota (1968-73). BMJ. 2016 Avril 12;353:i1246. doi: 10.1136/bmj.i1246. Erratum dans : BMJ. 2024 Jun 28;385:q1450. doi: 10.1136/bmj.q1450. PMID: 27071971; PMCID: PMC4836695.
Orlich MJ, Singh PN, Sabaté J, Jaceldo-Siegl K, Fan J, Knutsen S, Beeson WL, Fraser GE. Modes alimentaires végétariens et mortalité dans l'étude sur la santé adventiste 2. JAMA Instaura Med. 2013 Jul 8;173(13):1230-8. doi: 10.1001/jamainternmed.2013.6473. PMID: 23836264; PMCID: PMC4191896.
RépondreSupprimer- voir docs sur site :
https://www.thefocalpoints.com/p/challenging-the-dietary-saturated?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=174694991&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Substack: un forum pour les deux côtés du débat sur le vaccin
RépondreSupprimerNature Magazine Piece Posée aux auteurs de déchets préoccupés par les vaccins
Peter A. McCullough, MD, MPH
Octobre 2 , 2025
J'ai été contacté par Jack Leeming, un rédacteur en chef du magazine Nature, qui travaille sur « comment Substack est devenu un lieu populaire pour les personnes impliquées dans le mouvement anti-vaccins et d'autres domaines généralement considérés comme extérieurs au consensus scientifique ».
Jack Leeming et Cours de maître nature
«L'essentiel de l'article est que Substack est devenu extrêmement populaire dans ce domaine parce qu'il manque de modération du contenu et permet une monétisation relativement facile (ainsi que bien sûr, la mise à disposition d'une plate-forme de lettre d'information robuste). Pourriez-vous en parler?»
Le magazine Nature, en tant que revue scientifique de premier plan, jusqu'au 30 septembre 2025, a publié en détail les vaccins contre la COVID-19, en mettant l'accent sur la recherche, les critiques, les éditoriaux et les analyses fondées sur des données probantes. Tous leurs articles ont favorisé la vaccination en minimisant la sécurité, en surestimant l'efficacité, en surestime les bénéfices et en exaltant la valeur de santé publique des vaccins contre la COVID-19, en poussant efficacement leur utilisation. En revanche, les articles de la revue NONE of Nature ont conclu que les risques l'emportent sur les avantages pour la population en général, conseillant l'évitement ou la recherche de vaccins comme nocifs ou dangereux pour le public. Au lieu de cela, les articles du magazine Nature proposent des moyens d'augmenter l'utilisation des vaccins. Cela correspond au rôle de la nature dans le soutien aux vaccins en tant que principal outil de lutte contre la pandémie de COVID-19.
Étant donné le biais extrême du vaccin de son éditeur, je m'attends à ce que Leeming inclinque son article pour discréditer la publication d'auteurs sur les problèmes d'efficacité et de sécurité avec les vaccins. Il peut même essayer de ternir tous les Substack, il est donc important que notre lectorat comprenne que Substack a à la fois ceux qui sont sensibles au risque de vaccin et ceux qui font la promotion de la vaccination en tant qu'auteurs sur la plate-forme.
Plus de 50 000 éditeurs gagnent de l'argent par le biais d'abonnements payants, ce qui représente le segment monétisé des auteurs sur Substack. Pour le contexte de l'écosystème plus large, Substack fait état de plus de 50 millions d'abonnements actifs (y compris gratuits et payants) dans toutes les publications, avec plus de 5 millions d'abonnements payants à la mi-2025. Des dizaines de millions de lecteurs se livrent au contenu chaque semaine.
Substack a des écrivains qui postent des études sur la sécurité des vaccins ainsi que ceux qui sont des promoteurs de vaccins. Les bulletins d'information sur la promotion de la vaccination se chevauchent souvent dans des thèmes tels que l'équité des vaccins, le suivi des épidémies et la lutte contre l'hésitation. Par exemple, beaucoup ont couvert des guides ou des études sur les vaccins contre les chutes montrant qu'il n'y avait aucun lien entre les vaccins et les maladies chroniques. Les sections de découverte de Substack pour la science et la « santé » peuvent donner plus de résultats, mais elles nécessitent une navigation directe sur la plateforme pour des recommandations en temps réel.
RépondreSupprimerVoici quelques exemples de sous-tapis de promotion des vaccins que Google fait d'abord d'abord faire l'objet de recherches :
Votre épidémiologiste local par le Dr. Katelyn Jetelina: L'accent est mis sur la traduction des sciences de la santé publique, y compris les mises à jour de vaccins, les données d'efficacité et les recommandations pour les injections saisonnières comme la COVID-19, la grippe et le VRS. Il y a beaucoup de messages de peur qui suscitent des épidémies de maladies infectieuses pour encourager davantage la vaccination. Publie deux fois par semaine.
Une science impartiale (theunbiasedscipod.substack.com) fournit une communication scientifique indépendante sur les vaccins, les maladies infectieuses et les sujets de santé, tout en se moquant du nouveau panel de l'ACIP et en republiant des messages d'inquiétude sur l'accès aux vaccins.
Au-delà du bruit par le Dr. Paul Offit: Explore l'histoire, la politique et la science des vaccins, souvent avec des discussions vidéo ; qui aborde directement les allégations anti-vaccins et en se moquant de Robert F. Kennedy Jr.
Sheena’s Substack (sheenacruickshankimmunology.substack.com) par Prof. Sheena Cruickshank: Discrète l'immunologie, les changements de la politique de vaccination et la raison d'être de la vaccination dans la prévention de maladies comme la rougeole.
You Can Know Things de Jessica Hockett : Analyse les stratégies de communication des vaccins et pourquoi les anti-vaxxs honteux se retournent, favorisant des approches fondées sur des données probantes pour encourager l'adoption
Miss Trust (misstrustreview.substack.com) : Examine les questions sanitaires et sociales par la pensée critique, y compris les sujets liés aux vaccins, dans le cadre des efforts visant à instaurer la confiance dans la science.
RépondreSupprimerLet's Be Clear (joomi.substack.com) de Joomi Kim: Explique les sujets COVID-19 et les sujets de vaccination de manière accessible à l'intention des publics non professionnels, en mettant l'accent sur les faits scientifiques. Un récent post s'est moqué du christianisme et feu Charlie Kirk.
Noahpinion de Noah Smith : Couvre l'économie et la politique, y compris les analyses des efforts de vaccination et de leurs impacts mondiaux, soutenant la vaccination généralisée.
Vous pouvez voir que Substack, contrairement à tant d'autres formes de médias, permet la publication des deux côtés des problèmes et cela explique sa popularité. J'espère que Leeming peut apprendre de son affectation sur le biais, la valeur du discours scientifique, et pourquoi il attire un large public.
Voici mes réponses ponctuelles à Leeming:
Leeming
«L'essentiel de l'article est que Substack est devenu extrêmement populaire dans ce domaine parce qu'il manque de modération du contenu et permet une monétisation relativement facile (ainsi que bien sûr, la mise à disposition d'une plate-forme de lettre d'information robuste). Pourriez-vous en parler?»
Réponse de McCullough
La modération du contenu est synonyme de censure, en particulier en ce qui concerne le calendrier des vaccins contre la pandémie et l'enfance. Les écrivains et le public de Substack veulent un travail non censuré. Parce que Substack est très compétitive, la monétisation ne peut pas être considérée comme « relativement facile ».
Leeming
« Plus précisément, ceux que nous avons parlé ont évoqué :
Les écrivains de sous-stack, y compris vous-même, mettent en danger la santé publique en encourageant des informations anti-vaccins qui ne sont pas enracinées dans la science acceptée et évaluée par des pairs ».
Réponse de McCullough
RépondreSupprimerFOCAL POINTS substack a publié plus de 2800 œuvres et chacune qui examine la littérature revue par les pairs cite la source exacte. Étant donné que les risques de vaccination contre la COVID-19 l’emportent sur les bénéfices théoriques, la santé publique n’est pas menacée par les articles qui concluent que la vaccination contre la COVID-19 devrait être arrêtée. On trouvera ci-après des informations, acceptées dans la science à l'examen par les pairs qui sont parvenues à cette conclusion.
Mead, M. N., Seneff, S., Wolfinger, R., Rose, J., Denhaerynck, K., Kirsch, S., et McCullough, P. A. (2024). COVID-19 Modified mRNA « Vaccins » Partie 1: Enseignements tirés des essais cliniques, de la vaccination de masse et du complexe biopharmaceutique. International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 3(2), 1112-1178.
Mead, M. N., Seneff, S., Rose, J., Wolfinger, R., Hulscher, N., et McCullough, P. A. (2024). COVID-19 ARNm modifié « Vaccins » : enseignements tirés des essais cliniques, de la vaccination de masse et du complexe biopharmaceutique, deuxième partie. International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 3(2), 1246-1315.
M. Nathaniel Mead, Jessica Rose, William Makis, Kirk Milhoan, Nicolas Hulscher et Peter A. McCullough. Myocardite après infection du SRAS-CoV-2 et vaccination contre la COVID-19: épidémiologie, résultats et nouvelles perspectives. JOURNAL INTERNATIONAL DE RECHERCHE ET INNOVATION CARDIOVASCULAIRES. Janvier-marin 2025, VOL. 3, QUESTION 1, p. 1-43, DOI 10.61577 ijcri.2025.100001 https://reseaprojournals.com/journals/cardiovascular-research/Articles/myocarditis-after-sars-cov-2-infection-and-covid-19-vaccination-epidemiology-outcomes-et-new-perspectives
Hulscher N, Bowden M., McCullough P. A. Revue des appels à l'élimination du marché des vaccins contre la COVID-19 s'intensifient: les risques dépassent les avantages théoriques. La science, la politique de la santé publique et la loi. 2025 janv. 28; v6.2019-2025
Leeming
RépondreSupprimer«Vous et d’autres sous-stackers profitez de la diffusion de ces informations par le biais des mécanismes de monétisation de Substack.»
Réponse de McCullough
Les abonnés peuvent recevoir un abonnement gratuit ou accepter volontairement de payer mensuellement ou annuellement pour soutenir notre travail. Plus de 95 % de nos postes sont gratuits. Contrairement au magazine Nature et à sa société mère, Springer Nature, qui acceptent la publicité pharmaceutique et vaccinale, FOCAL POINTS est non biaisé et n'accepte pas ces sources de revenus qui sont une source d'influence sur le contenu.
Leeming
En général, les positions anti-vaccins sont étayées par un petit nombre de preuves par rapport au poids plus élevé des preuves de la vaccination.
Réponse de McCullough
Les manuscrits cités ci-dessus contiennent plus de 500 références et concluent que l'ensemble des preuves est en fonction de la vaccination contre le COVID-19.
Leeming
« Vous êtes cardiologue de formation, mais votre certification aurait été révoquée par l’American Board of Internal Medicine pour les allégations controversées de COVID, telles que la promotion de l’ivermectine pour le traitement de l’infection virale.
Réponse de McCullough
Mes certifications du Conseil d'administration de l'Internal Medicine sont inscrites sur mon curriculum vitae comme suit.
1) Diplomate, American Board of Internal Medicine, Candidat, no 136084, septembre, 25, 1991, recertifié le 1er mai 2001, recertifié le 10 juin 2011, recertifié le 6 avril 2021, valable jusqu'au 11 novembre 2024, 510 Walnut Street, Suite 1700, Philadelphie, PA 19106-3699
2) Diplomate, American Board of Internal Medicine, Cardiovascular Diseases Subspecialty, Candidat 136084, novembre 1997, valable jusqu'en 2007, recertifié le 1er octobre 2007, valable jusqu'en 2017, recommandé le 28 septembre 2017, valable jusqu'au 11 novembre 2024, 510 Walnut Street, Suite 1700, Philadelphie, PA 19106-3699
Le 11 novembre 2024, j'ai démissionné avec des droits réservés à ABIM après un différend de plus de deux ans concernant la politique de désinformation de COVID-19 d'ABIM. ABIM n'a pas contesté ma démission. Je suis actuellement certifié par le National Board of Physicians and Surgeons, Certification in Internal Medicine and Carvascular Diseases, 1er mars 2024 valable jusqu'au 31 mars 2026.
RépondreSupprimerLeeming
« Nous vous décrivons également en tant que responsable scientifique en chef de The Wellness Company, une entreprise de compléments alimentaires et de télésanté basée en Floride. »
Réponse de McCullough
On trouvera ci-après une description plus complète.
Dr. Peter A. McCullough, MD, MPH, www.peteramcculloughmd.com
Président de la Fondation McCullough, www.mcculloughfnd.org
Directeur scientifique, The Wellness Company, www.twc.health/courage
Auteur, FOCAL POINTS, https://www.thefocalpoints.com/
The McCullough Report, https://www.americaoutloud.news/author/dr-peter-mccullough/
Auteur, Courage to Face COVID-19: Preventing Hospitalization and Death Tout en battant le complexe biopharmaceutique et les vaccins du client du NYT: mythologie, idéologie et réalité
Dr. McCullough est un interneur, cardiologue, épidémiologiste diplômé de l'Université Baylor, de la faculté de médecine du Sud-Ouest de l'Université du Michigan et de l'Université méthodiste du Sud. Dr. McCullough a largement publié sur une gamme de sujets en médecine avec plus de 1 000 publications et plus de 700 citations à la Bibliothèque nationale de médecine. Dr. McCullough est une figure publique bien connue en médecine et contribue fréquemment à de nombreuses plateformes médiatiques et indépendantes. Il a témoigné à plusieurs reprises au Sénat des États-Unis, à la Chambre des représentants des États-Unis, au Parlement européen et à de nombreuses capitales d’État concernant la politique de santé publique.
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Peter A. McCullough, MD, MPH
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HHS Peseur d'ajout de symptômes d'autisme à un vaccin Tableau des blessures
RépondreSupprimerJames Lyons-Weiler, doctorat
Octobre 2 , 2025
Par James Lyons-Weiler, PhD, contributeur, The MAHA Report
La semaine dernière, un conseiller du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé que l'agence est en train de réfléchir à la question de savoir s'il convient ou non d'ajouter ou non des symptômes associés à l'autisme au tableau des blessures du vaccin. Une telle démarche attirerait de vives critiques de la part des médias traditionnels, mais elle aiderait les patients: certaines demandes de blessures par le développement neurologique seraient traitées plus rapidement, selon Andrew Downing, un conseiller principal du secrétaire du HHS Kennedy, qui a fait valoir son point de vue lors d'un événement organisé par le MAHA Institute.
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Le tableau des blessures est le point fort des récompenses non contentées du Programme d'indemnisation des blessures liées aux vaccins (VICP), un programme que la plupart des Américains ne savent même pas exister.
Lorsqu'une blessure survient dans le délai spécifié après un vaccin couvert, les pétitionnaires reçoivent une présomption de causalité et le HHS a la charge de réfuter. Les rubriques de la table et leurs «Qualifications et aides à l'interprétation» sont codifiées et ne peuvent, selon l'Institut d'information juridique et le Registre fédéral de l'eCFR, être révisées que par la notification et la réglementation des observations après consultation de la Commission consultative des vaccins contre l'enfance (ACCV).
Si une révision élargit l'éligibilité des patients, le Congrès a créé une fenêtre de retour spéciale: les personnes nouvellement éligibles ont deux ans à compter de la date d'entrée en vigueur pour demander une indemnisation pour les blessures survenues jusqu'à huit ans auparavant.
Toutes les réclamations du VICP, à l'exception de celles qui ont été transférées devant un tribunal civil en raison de preuves de fraude, sont traitées par le Bureau des maîtres spéciaux aux États-Unis. Cour des réclamations fédérales, qui comprend huit capitaines spéciaux pour quatre ans. Les documents du programme de HRSA indiquent que l'arbitrage prend généralement deux à trois ans. Au cours du rapport mensuel sur les statistiques du 1er septembre 2025, le programme a reçu 28 991 pétitions depuis sa création, jugé 25 593, rémunérés 12 339 et ont versé environ 5,4 milliards de dollars. Jusqu'à présent, le prix moyen de 2025 a été d'environ 140 000 dollars, en baisse par rapport aux millions de dollars il y a dix ans.
RépondreSupprimerSelon Wayne Rohde, auteur du livre « The Vaccine Court 2.0 », la réduction du prix moyen est due à des blessures par l'épaule (terme de blessures à l'épaule liées à l'administration du vaccin; SIRVA). Les récompenses pour SIRVA ont été en moyenne de 50 000 dollars, principalement pour le vaccin contre la grippe. «Le vaccin contre la grippe est la plus fréquemment déposée dans le NVICP pour les lésions de l'épaule et le syndrome de Guillain Barre. Environ 95 % des bourses sont accordées à des adultes, environ 5 % d'entre eux se rapportant à des cas de blessures par vaccin pédiatrique.» Rohde dit que le pic des blessures à l'épaule - appelé lésion de l'épaule liée à l'administration du vaccin ou SIRVA - est dû à une mauvaise administration de vaccins grippaux d'au-dessus plutôt que de niveau dans le muscle deltoide.
Ces chiffres reflètent une croissance régulière des dépôts et des débits et fixent le niveau de référence pour toute poussée déclenchée par un tableau élargi.
Le moment choisi pour avancer l'approche basée sur ce symptôme proposé par Drew Downing se croise directement avec un dossier public inconfortable: le gouvernement a longtemps compensé l'encéphalopathie et les troubles résiduels des crises convulsives (RSD) lorsque le dossier médical inclut l'autisme - comme les symptômes, mais le programme n'a pas suivi le « l'autisme » en tant que tel. Dans un article de 2011 , Holland, Conte, Krakow et Colin ont documenté quatre-vingt-trois cas de blessures cérébrales de VICP rémunérés avec de l'autisme ou de l'autisme. Vingt et une décisions publiées ont reconnu des caractéristiques de l'autisme; les auteurs ont également obtenu des écrans de questionnaire de communication sociale (SCQ) de 22 familles compensées, le tout ou plus à la ligne de diagnostic, avec un score moyen de 24,4. L'article soulignait que son analyse indiquait un écart de responsabilité: une incohérence dans le processus d'attribution basée sur le diagnostic de l'autisme par rapport aux symptômes constitutifs de l'autisme.
Le HHS lui-même a confirmé l'écart de suivi. Dans un courriel de 2009 reproduit dans l'article de Pace, HRSA a déclaré: «nous ne suivons pas les cas sur cette base», faisant référence à l'autisme ou aux symptômes autistes dans le cadre d'allégations d'encéphalopathie compensées. Ce choix politique a maintenu l'horizon public de rapport étroit même lorsque le bilan de compensation incluait des comportements ausistes - comportements de spectre et besoins de soutien (y compris l'analyse du comportement appliqué et la planification de la sécurité) dans les dommages.
RépondreSupprimerLe même ensemble de données Pace montre la gravité des blessures causées par le vaccin que le public n'a jamais vu, résumée par le programme : huit des 83 personnes compensées (moins de 10 %) sont décédées avant l'âge de trente ans, soit une; sept décès ont suivi des crises. Ce signal de mortalité se situe de l'autre côté d'une poche codée comme une encéphalopathie/DRS plutôt qu'un diagnostic neurodéveloppemental, ce qui est précisément le genre de désalignement sémantique d'une entrée de table basée sur un symptôme qui pourrait corriger.
L'ajout de symptômes associés à l'autisme dépasserait le programme ? Cela dépend de la spécificité des entrées proposées et des ressources déployées à leurs côtés. Le tableau répertorie déjà les blessures neurologiques pour plusieurs vaccins avec des fenêtres de synchronisation étroites. Si le HHS rédige des définitions précises des groupes de symptômes et des intervalles d'amorçage, la modification pourrait réduire l'intensité et la durée des litiges. Avec des masters spéciaux supplémentaires et une meilleure gestion des affaires, les affaires éligibles passeraient dans la même voie présumée qui permettrait de rationaliser les différends SIRVA. Au lieu de cela, l'agence annonce une large catégorie sans critères de calendrier et de diagnostic granulaires, les dossiers augmenteraient tandis que les goulets d'étranglement persistent.
La conception de la loi amplifie les enjeux: les révisions de tableau ouvrent une fenêtre de dépôt de deux ans allant de huit ans, et la présomption fait peser la charge sur le HHS.
Pour les fabricants, le calcul est différent des titres. Décision de la Cour suprême dans l’affaire Bruesewitz c. Wyeth a estimé que la loi sur les vaccins empêchait les allégations de conception et de défaut devant un tribunal civil; le VICP était le canal. L'élargissement du tableau n'augmente pas l'exposition à la responsabilité civile; il augmente la part des réclamations résolues au sein du programme sur une base présumée, avec des dommages prévisibles et aucune découverte de conception. Cela ressemble moins à une menace existentielle et plus à un compromis administratif entre dénis - litiges lourds et plus rapides, des récompenses liées à des règles.
Quels sont les vaccins couverts par le Tableau des blessures liées au vaccin?
RépondreSupprimerVaccin de la varicelle (Varicelle)
Vaccins diurétiques, tétaniques, coquelucheux (DTap, DT, DTP, Tdap, TD, TT)
Vaccin hémophilus Grippe de type B (Hib)
Vaccin contre l'hépatite A
Vaccin contre l'hépatite B
Vaccin contre le papillomavirus humain (HPV, Gardasil)
Grippe saisonnière (Flu)
Rougeole, orifices, vaccins à base de rubéole (MMR)
Vaccins à méningocoques
Vaccins à base de pneumococcie (PCV, Prevnar-13)
Vaccin contre la poliomyélite
Vaccin au rotavirus
Quels vaccins NE PAS couverts par le Tableau des blessures liées au vaccin?
Vaccin contre la COVID
Vaccin pneumococcique polysaccharidique (PPSV, PPV)
Vaccin de l'herpès zoster (Shingles)
Vaccin contre le charbon
Quels sont les vaccins «blessés» couverts par le Tableau des blessures liées au vaccin?
SIRVA (Lésions de l'épaule liées à l'administration des vaccins)
Névrite cérébrale
Encéphalopathie
Purpura thrombopénique
Anaphylaxie
Syndrome de Guillain-Barré
Invagination
La ligne de dialogue politique est sans équivoque. Pendant des décennies, le gouvernement a indemnisé les cas d'encéphalopathie/RSD qui coexistent souvent avec les caractéristiques de l'autisme tout en disant au public qu'il n'a pas suivi l'autisme dans ces récompenses. La compilation par l'APCE des faits des affaires met cette différence dans l'impression, pour tous.
RépondreSupprimerUne mise à jour basée sur les symptômes ne réglerait pas les débats scientifiques, mais elle alignerait enfin les critères d'attribution sur les preuves d'indemnisation. Le test sera dans les détails publiés par le HHS dans le Registre fédéral: quels groupes de symptômes, quels intervalles de début, et quels ressources HHS s'engage à faire fonctionner un tableau réformé comme plus qu'une ligne de presse.
https://www.themahareport.com/p/hhs-weighs-adding-autism-symptoms?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=175090951&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Hypocrisie de Nature et la censure de France-Soir : quand les institutions scientifiques et publiques étouffent la voix dissidente
RépondreSupprimerLe Collectif citoyen et Xavier Azalbert, France-Soir
le 02 octobre 2025 - 11:25
Dans un monde où la science et l'information devraient être des piliers de la démocratie, deux affaires récentes mettent en lumière une hypocrisie flagrante. D'un côté, la revue Nature, longtemps bastion de la recherche « peer-reviewed » (revue par les pairs), accuse des journalistes indépendants de « mettre en danger la santé publique » tout en empochant des millions de l'industrie pharmaceutique, De l'autre, en France, le ministère de la Culture ne renouvelle pas l'agrément CPPAP à France-Soir sur la base d'une note administrative bâclée et non signée, qui analyse à peine 0,6 % des articles du média et cite une étude aujourd’hui rétractée. Ces cas, bien que distants géographiquement, dessinent un parallèle troublant : la mainmise des élites sur le discours scientifique et médiatique, au mépris des faits et de la transparence.
Nature, la revue qui prêche l'Intégrité tout en fréquentant le diable
Tout commence par un thread acéré publié le 1er octobre 2025 sur X par Maryanne Demasi, journaliste d'investigation australienne titulaire d'un doctorat en sciences biomédicales. Ancienne présentatrice de l'ABC et « fellow » du Brownstone Institute, Demasi y dénonce une tentative de « salissage de réputation » (character assassination en anglais) orchestrée par Nature, la revue scientifique la plus prestigieuse au monde.
Dans un email envoyé par un éditeur de la revue, elle est accusée d'appartenir à un « mouvement anti-vaccinal », de « mettre en danger la santé publique » et de « tirer profit de la diffusion de désinformation ».
Mail de Nature à Demasi
Mail de Jack Leeming de Nature Careers à Maryanne Demasi - traduit par France-Soir
Aucune preuve n'est fournie : pas d'articles cités, pas de plaintes nommées, pas de définition claire du terme « anti-vaccinal ». « Juste des accusations en bloc destinées à un assassinat de caractère », écrit Demasi.
Ce n'est pas un cas isolé. Le même email a été envoyé à des figures comme le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARN messager et membre du comité consultatif sur l'immunisation du CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Demasi y voit une campagne de diffamation systématique contre les voix indépendantes qui scrutent l'industrie pharmaceutique. Et pour cause : Nature est profondément imbriquée dans les conflits d'intérêts qu'elle prétend combattre. La revue publie des recherches sur les vaccins tout en engrangeant des revenus publicitaires et des contenus sponsorisés des fabricants eux-mêmes, comme Janssen (Johnson & Johnson), Merck et AstraZeneca. Sur son site, Nature vante ces « partenariats pionniers » pour « soutenir la science », sans jamais quantifier l'ampleur de ces financements.
RépondreSupprimerPublicité dans Nature
Demasi a même demandé la divulgation des revenus publicitaires de la revue sur la dernière décennie, ventilés par corporations pharmaceutiques, agences gouvernementales et ONG – une requête qui reste sans réponse pour l'instant.
L'hypocrisie culmine avec le scandale « Proximal Origin ». En mars 2020, Nature Medicine (filiale de Nature) publie un article concluant que le SARS-CoV-2 ne pouvait pas provenir d'un laboratoire. Des emails et chats Slack internes révèlent pourtant que les auteurs doutaient gravement de cette thèse et admettaient qu'une origine labo n'était pas exclue. Des centaines de scientifiques qualifient aujourd'hui cet article de « tract politique » déguisé en science, et des milliers ont pétitionné pour sa rétractation – refusée par la revue.
Article Nature
Demasi ironise : « Consensus scientifique » et « revue par les pairs » sont brandis comme des atouts, mais « le consensus peut être fabriqué, et la revue par les pairs n'est pas un bouclier contre la corruption ». Cette « police du consensus » inclut la censure de la base de données sur plus de 700 études peer-reviewed sur les risques des vaccins ARNm (myocardites, thromboses), comme le dénonce Nicolas Hulscher, accusant Nature d'un « black-out » contre les critiques vaccinaux – un comble pour une revue qui légitime des outils comme PubPeer, accusés de harcèlement et de biais financés.
Cette hypocrisie s'étend à la gestion des fraudes scientifiques. En juillet 2025, Nature a publié un article élogieux sur Elisabeth Bik, microbiologiste et contributrice de PubPeer, la qualifiant de « détectrice de fraudes » pour des rétractations comme celle de l'étude Lesné de 2006 sur Alzheimer. Pourtant, Bik est accusée d'erreurs méthodologiques flagrantes, comme dans un rapport HAL de 2025 de Charles Vidal et Didier Raoult démontrant que ses allégations de duplication d'images à l'IHU Méditerranée Infection reposaient sur une analyse biaisée (seulement 3 % de différence via GIMP et FAST Feature Detector). Omettant son passé chez uBiome (perquisitionné par le FBI pour fraude en 2024), Nature ignore aussi les plaintes pour harcèlement déposées par l'IHU contre Bik et PubPeer, qualifié de « plateforme de censure » par ScienceGuardians. Un scientifique anonyme ironise : « Ce n’est vraiment pas ce que l’on attend d’une revue réputée comme Nature, ce n’est plus de la science, mais de la propagande. » Ces omissions alimentent les soupçons de conflits d'intérêts, avec des financements comme le prix Einstein Foundation (200 000 $ pour Bik et PubPeer, sponsorisé par Springer Nature) et des contrats NIH-pharma, contrastant avec le décret américain de mai 2025 exigeant la transparence scientifique.
RépondreSupprimerArticle de france-soir
Crise de l’intégrité scientifique : Nature, Bik et PubPeer face aux accusations de pollution informationnelle
Dans son blog détaillé, Demasi étaye ces accusations : les études critiques sont rejetées ou enterrées, tandis que les findings pro-industrie passent sans encombre. Elle cite ses propres enquêtes sur les liens journal-pharma, les rétractations d'études « incommodes » (comme celles sur l'hydroxychloroquine) et l'usage de « fact-checks » financés par l'industrie pour discréditer les découvertes politiquement sensibles. Pis encore, Nature offre une tribune à des figures comme Lonni Besançon, chercheur en visualisation de données sans aucune légitimité médicale (doctorat en interaction homme-ordinateur, sans formation en épidémiologie ou éthique biomédicale), présenté en 2025 comme un « champion de l'intégrité scientifique ». Omettant ses comportements de harceleur – tweets vulgaires comme « Ta mère est passée à la Boomrang » ou « Laisse ta mère en dehors de ça », documentés par Science Guardians et visant des experts comme Didier Raoult –, l'article de Nature le dépeint en héros sans mentionner ses attaques systématiques contre l'IHU et ses études sur l'hydroxychloroquine, ni ses alliances avec la « harcélosphère » dévoilée par France-Soir. Un psychiatre y diagnostique des traits narcissiques, expliquant cette agressivité qui pollue le débat scientifique et décourage les voix dissidentes.
Comment Besançon, un chercheur sans légitimité médicale, a-t-il pu orchestrer une campagne de discrédit contre des scientifiques renommés comme le Pr Raoult ?
RépondreSupprimer« Quand ceux qui profitent des partenariats pharma prétendent policer ce qui est 'hors consensus scientifique', la confiance publique en la science s'effondre », conclut-elle.
France-Soir, le média français visé par une note administrative fantôme
À des milliers de kilomètres, un parallèle saisissant se dessine avec France-Soir, média en ligne français connu pour son journalisme citoyen et ses analyses critiques sur la gestion de la crise COVID-19. Le 26 juin 2024, la Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse (CPPAP) refuse de renouveler son agrément, privant ainsi ses donateurs de défiscalisation et menaçant sa survie économique – licenciements et non-renouvellement de CDD en vue. Le ministère de la Culture justifie cette décision en arguant que France-Soirmanque d'intérêt général et est « dangereux pour la santé des Français ».
France-Soir
Un média comme France-Soir peut-il être dangereux pour la santé comme le prétend le ministère de la Culture ?
Base de cette accusation ? Une note de 28 pages de la Direction Générale de la Santé (DGS), envoyée par Grégory Emery, médecin sans publications scientifiques listées, et non signée. Cette note, datée du 7 mai 2024 et intitulée « Analyse relative aux publications de la rubrique santé du site en ligne francesoir.fr », prétend examiner 14 articles sur les vaccins, mais n'en cite que 13 sur un total de 2 048 publiés dans la rubrique santé – soit moins de 1 % du corpus. Elle accuse France-Soir de diffuser des « fausses informations » sur la dangerosité, l'inefficacité et les coûts des vaccins, sans respecter les normes de débat scientifique ni les procédures légales. Parmi les griefs : promotion de l'hydroxychloroquine contre le COVID-19, découragement de la vaccination HPV, et interprétation biaisée de données officielles. Mais la note regorge de failles. D'abord, son analyse est superficielle : Emery n'a pas contacté les éditeurs pour un débat scientifique préalable, violant les principes de la méthode scientifique. Ensuite, elle cite une étude fausse et probablement frauduleuse de Pradelle et Lega, deux universitaires lyonnais, publiée par une revue du groupe Elsevier. Cette étude, prétendait fallacieusement que 17 000 personnes seraient mortes de la prise d’hydroxychloroquine pendant la Covid. Elle a été rétractée ou discréditée pour ses biais méthodologiques, notamment suite à plusieurs lettres de préoccupation à l’éditeur.
France-Soir rétorque que ses articles s'appuient sur des études peer-reviewed et des experts comme le Pr Christian Perronne (blanchi par l'Ordre des médecins) ou le Pr Michel Goldman, et qu'elle ouvre ses colonnes aux pro-vaccinaux comme le Dr Laurent Alexandre. Une note antérieure de la DGS (septembre 2022), préparée par un consultant sans expertise scientifique (Harold Ferraguti de BearingPoint), avait déjà servi de base au refus de renouvellement par la CPPAP en 2023. Ce non-renouvellement a valu des remontrances judiciaires pour censure et abus de pouvoir. Le délai de réponse inégal (six semaines pour la DGS, quatre pour le média) et l'ignorance des contre-arguments détaillés de France-Soir achèvent le tableau d'une procédure biaisée.
RépondreSupprimerDécision
Décision du tribunal administratif de Paris – le 13 janvier 2023 en faveur de France-Soir
Un parallèle éclatant : censure institutionnelle et conflits d'intérêts
Le fil rouge entre l’appoche de Nature envers Demasi et Malone, et celle des autorités envers France-Soir est limpide : des institutions autoproclamées gardiennes de la vérité scientifique et médiatique étouffent les voix dissidentes par des accusations sans fondement, tout en protégeant leurs propres intérêts. Nature invoque un « consensus », fabriqué pour dénigrer des journalistes comme Demasi qui critiquent les autorités et les études publiées dans Nature, sans citer une seule source ! Alors que la revue et le groupe Nature publient eux-mêmes des études financées par les géants pharma.
De même, la DGS et le ministère de la Culture brandissent une note bâclée – non signée, superficielle, truffée d'erreurs comme l'étude rétractée Pradelle Lega – pour qualifier France-Soir de « dangereux pour la santé », sans analyser ne serait-ce que 1 % de son contenu.
Dans les deux cas, l'absence de transparence est criante : Nature refuse de divulguer ses revenus pharma, la DGS omet de signer sa note, fait une analyse partiale et parcellaire et ignore les droits de la défense.
Et les enjeux sont identiques : miner la confiance publique en la science et en la presse libre.
Comme le souligne un article de France-Soir, cette « censure politique » vise à « tuer le média et effacer sa voix critique », alignée sur un journalisme citoyen qui fait confiance au discernement des lecteurs. Demasi, elle, alerte sur un « système » où les revues puissantes, liées à l'industrie, déploient des « hatchet men » (tueurs à gages en français) pour discréditer les indépendants, plutôt que d'engager le débat sur les faits.
Vers une réforme urgente : pour une science et une presse libérées
RépondreSupprimerMalgré une décision du Conseil d'état validant la partialité de la décision de non-renouvellement en 2024, la CPPAP enjoint de prendre une nouvelle décision, ne renouvellera pas l’agrément de France-Soir, mettant ainsi en danger sa pérennité financière. De son côté, Demasi appelle à une enquête au plus haut niveau, avec le NIH sous la direction de Jay Bhattacharya, pour traquer les conflits d'intérêts et la censure sélective.
Ces affaires rappellent que la liberté d'expression et l'intégrité scientifique ne sont pas négociables. Face à des institutions qui préfèrent la mainmise à la transparence, il est temps de soutenir les médias indépendants et les journalistes comme Demasi – non par idéologie, mais par attachement à la vérité.
Car, comme l'écrit France-Soir, « un débat public plutôt que la censure » est le seul antidote à la désinformation réelle.
https://www.francesoir.fr/societe-justice-sante-science-tech/hypocrisie-de-nature-et-la-censure-de-france-soir-quand-les
AVANT DE PARLER DE MALADIE, DE PARALYSIE OU DE MORT IL FAUT SE DEMANDER D’OÙ ELLE VIENT !!
SupprimerSerait-ce un microbe ou une poussière totalement inoffensive (appelée 'virus') extraterrestre ?
NON. Aucun des deux.
Cette poussière est-elle radioactive ?
NON !
Mais alors... D'où qu'elle vient-elle ???
C'est ce qu'on fait des scientifiques qui ont examiné les flacons de poisons injectables dès leurs sorties de laboratoires nazis.
Les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej se sont attelées à la tâche:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE
*
Grâce aux nano particules d'oxyde de graphène* injectées le corps est dévoyé, ce n'est plus votre cerveau qui commande mais les messages envoyés vers VOS nano particules qui circulent dans VOTRE sang via VOTRE téléphone portable qui se charge de la transition. VOTRE corps ne vous appartient plus ! VOUS recevez des ordres: VOUS les exécutez ! "Roulez à gauche ! Roulez à gauche ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Sautez par la fenêtre ! Sautez par la fenêtre !"
ET VOUS LE FEREZ !
* Ces nano particules d'oxyde de graphène ont été découvertes dès leurs sorties de laboratoires nazis par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables.
1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
SupprimerEntre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus apportés par le coton infecté de l'écouvillon !, nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules d'oxyde de graphène qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
Mauvaise nouvelle pour les escrologistes, la banquise de l’Arctique a cessé de fondre depuis 13 ans et les pêts des ours blancs n’y sont pour rien
RépondreSupprimerle 2 octobre 2025
par pgibertie
Nouvelle étude : Il y a une « tendance négligeable » dans la glace de mer arctique (ASI) depuis 2012 (-0 0,4 %/décennie).
La tendance à la baisse de l’ASI entre 1996 et 2011 ainsi que la tendance à la stagnation après 2012 sont toutes deux dues à la variabilité interne. Un « ralentissement » de l’ASI persistera probablement jusqu’en 2030-2040.
https://nature.com/articles/s41467-025-63520-0
- voir doc sur site :
https://pgibertie.com/2025/10/02/mauvaise-nouvelle-pour-les-escrologistes-la-banquise-de-larctique-a-cesse-de-fondre-depuis-13-ans-et-les-pets-des-ours-blancs-ny-sont-pour-rien/
La renationalisation ne réglera pas les problèmes des chemins de fer britanniques
RépondreSupprimer1 octobre 2025
Philbert Carbon
La renationalisation ne réglera pas les problèmes des chemins de fer britanniques. Malheureusement, cette opération risque de rendre le train anglais encore plus malade.
Margaret Thatcher doit (une fois de plus) se retourner dans sa tombe. Tout ce qu’elle a essayé de construire pendant ses onze années passées au 10 Downing Street est, petit à petit, démoli, pour ne pas dire saccagé, par ses successeurs. Si des conservateurs sans convictions libérales ont participé à l’entreprise de déconstruction, ce sont bien évidemment les gouvernements travaillistes qui y mettent le plus de zèle.
Pourquoi renationaliser les chemins de fer ?
Dans le programme de gouvernement sur lequel ils ont été élus en juillet 2024, la renationalisation du rail figurait en bonne place. Et le Premier ministre Keir Starmer n’a pas tardé à tenir sa promesse. Dès novembre 2024, il a fait adopter une loi en ce sens et a donné naissance à Great British Railways, une entité publique centralisée de gestion du réseau et des services ferroviaires. Il est prévu que les différentes franchises qui exploitent les chemins de fer repassent sous pavillon public au fur et à mesure qu’expireront leurs contrats. Ce fut le cas de South Western Railway en mai 2025, de C2C en juillet, ce sera bientôt celui de Greater Anglia, et ainsi de suite jusqu’en 2027.
Qu’est-ce qui justifie ce revirement après une trentaine d’années de privatisation ? Selon les travaillistes et tous les contempteurs de la privatisation des années 1990, le rail britannique géré par le privé n’aurait pas stimulé la concurrence comme promis ni amélioré les services. Il aurait, tout au contraire, conduit à « des prix exorbitants, des retards chroniques, des accidents, une fragmentation du réseau et, paradoxalement, une intervention publique toujours plus massive pour éviter l’effondrement du système ! ». Bref, il serait « coûteux, inefficace et inégalitaire ».
Un constat que partage une large majorité de Britanniques qui, selon un sondage Yougov de septembre 2024, soutiennent la renationalisation (65%), 77% d’entre eux jugeant les billets trop chers et 51% se plaignant des retards. Le syndicat TSSA a, de son côté, salué «un moment historique qui ouvre la voie au retour de nos chemins de fer dans le giron public, là où ils doivent être en tant que service vital. »
La privatisation a été bénéfique au rail anglais…
RépondreSupprimerPour Edward Bennett, de la Tax Payer’s Alliance, il est indéniable que les Britanniques oublient les échecs du passé, « romantisés à travers des lunettes roses ». Car, si le Premier ministre John Major a, en 1993, concrétisé la privatisation du rail voulue par Margaret Thatcher, ce n’est pas pour des raisons purement idéologiques. C’est en partie parce que la directive européenne 91/400 imposait alors une séparation juridique entre l’exploitation des trains et la gestion de l’infrastructure, dans l’objectif d’ouvrir le rail à la concurrence. C’est surtout parce que le service public était dans un état lamentable avec des coûts prohibitifs, des services souvent mauvais, des retards récurrents, des grèves à répétition.
Aujourd’hui, les défenseurs de la renationalisation font, peu ou prou, les mêmes critiques aux opérateurs privés. Pourtant, comme le note l’Adam Smith Institute, les chemins de fer ont obtenu des résultats remarquables depuis leur privatisation. Il en veut pour preuve l’augmentation spectaculaire des déplacements, plus forte que dans les autres pays européens, pas seulement dans l’agglomération londonienne mais dans tout le pays. Une augmentation qui ne s’explique ni par la croissance similaire du PIB, ni par les subventions publiques, ni par une forte hausse du coût des déplacements en voiture, et qui ne s’est pas faite au détriment de la sécurité (des salariés comme des passagers), ni du développement du fret (qui a crû également), ni de la satisfaction client.
… mais elle a été vite pervertie par une mauvaise gestion publique
Cependant la privatisation n’a pas été exempte d’erreurs dès le départ. Elle était en particulier d’une très grande complexité, faisant intervenir Railtrack, (propriétaire du réseau et des gares), l’Office of the Rail Regulator (supervision, gestion des conflits entre opérateurs, détermination des péages), le Health and Safety Executive (réglementation en matière de sécurité), l’Office of Passenger Rail Franchising (gestion des concessions), les 25 Train operating companies (opérateurs franchisés), les 3 entreprises louant le matériel roulant aux opérateurs, les 6 Freight Operating Companies (chargées du fret).
Cette organisation n’a pas contribué, c’est le moins que l’on puisse dire, à la fluidité des échanges. D’autant plus que l’intervention de certains acteurs publics – volontairement ou non – a pénalisé les opérateurs privés. Par exemple, la compagnie Virgin a abandonné ses activités sur la côte est à cause des retards de Railtrack qui ruinaient tous ses efforts.
Des modifications ont été apportées au fil du temps. Par exemple, de nouveaux contrats de gestion ont été mis en place pour les compagnies ferroviaires. Ils prévoient que l’État détermine les itinéraires, les prix des billets, les horaires, etc. Les entreprises ferroviaires perçoivent les recettes pour le Trésor public et reçoivent des fonds du ministère des Transports pour couvrir leurs coûts. Une marge modeste est autorisée (0,5% dans le cas du contrat Govia-Thameslink). Il existe bien des primes de performance, mais elles ne sont pas directement liées à la productivité ou à la croissance du marché. C’est ainsi que les opérateurs véritablement privés ont fini par se retirer pour laisser la place à des filiales d’opérateurs ferroviaires nationalisés des Pays-Bas, d’Italie, d’Allemagne ou encore de France (via Keolis, filiale de la SNCF).
RépondreSupprimerQuant aux opérateurs « en libre accès », qui louent des créneaux horaires à Railtrack (devenu Network Rail), ils remportent des succès certains. Par exemple, sur la ligne de la côte est, Hull Trains et Grand Central sont depuis longtemps très appréciés des voyageurs car ils proposent des trajets souvent plus pratiques que ceux de la compagnie publique LNER et souvent aussi moins chers : jusqu’à 55% de moins que les franchises monopolistiques uniques, comme l’a prouvé une étude de l’Adam Smith Institue.
Ces compagnies auraient pu être plus nombreuses mais le ministère des Transports ne leur permettait d’exploiter des services que si elles pouvaient démontrer qu’elles allaient agrandir le marché plutôt que de simplement en prendre des parts, donc des revenus, aux franchises existantes (qui versaient beaucoup d’argent à l’État pour exploiter un service en situation de monopole).
Bref, le gouvernement travailliste ne semble pas vouloir comprendre que si le rail anglais dysfonctionne, c’est essentiellement parce qu’il est de plus en plus à la main du ministère des Transports qui détient, en particulier, les cordons de la bourse.
En tant que Français, nous pouvons témoigner que les chemins de fer publics ne sont pas la panacée et nous coûtent horriblement cher. C’est pourquoi nous mettons beaucoup d’espoir dans l’ouverture à la concurrence… qui ne se fait pas sans difficultés tant les opposants sont nombreux.
L’exemple britannique nous montre que ce n’est pas la privatisation qui est mauvaise en soi, mais plutôt une privatisation mal pensée qui laisse encore trop de place à l’État et au secteur public.
https://contrepoints.org/la-renationalisation-ne-reglera-pas-les-problemes-des-chemins-de-fer-britanniques/
L’État accable et submerge les entreprises de taxes et d'impôts. Le privé s'effondre. L’État s'accapare ces entreprises défaillantes qui étaient dans le collimateur. Mais, comme dans ses ministères, personne ne sait faire tourner une entreprise mais donnent conseils et projettent des rendements extraordinaires !
SupprimerLes gens voient donc ces transformations d'uin bon oeil puisque que le gouvernement va supprimer ses taxes et ses impôts. Mais, comble de malchance, des crétins se voient confier la direction dont ils n'ont rien à foutre. Ils sont payés, payés très cher quoi qu'il arrive !
La dette « publique » n’existe pas
RépondreSupprimer1 octobre 2025
Élodie Messéant
Dans un article publié sur le site anglais d’IREF Europe, Bob Lyddon, analyste financier, explique la manière dont les États européens contournent les limites de leur capacité d’endettement à travers des mécanismes financiers complexes. Ces derniers imposent de nouvelles charges aux contribuables et aux entreprises, et s’ajoutent au coût de la dette de l’État et des entités du secteur public.
L’UE recourt massivement à ces pratiques à travers InvestEU et la Banque européenne d’investissement (BEI). Les programmes de transition énergétique sont privés, mais ils disposent de peu de fonds propres : en général, ils sont financés à plus de 95 % par l’endettement. La BEI et sa filiale, le Fonds européen d’investissement (FEI), injectent des prêts et des garanties dans les parties les plus risquées du bilan d’un programme, ce qui permet à celui-ci d’attirer d’importants financements par l’emprunt. Les investisseurs sont rassurés car les remboursements reposent in fine sur les consommateurs européens, contraints d’acheter l’énergie au prix imposé, de financer les compléments tarifaires décidés par les autorités ou encore de renflouer les opérateurs en difficulté. Autrement dit, les ménages et entreprises deviennent les garants ultimes, sans échappatoire possible.
Ces dispositifs présentent un avantage considérable pour les gouvernements : ni la dette, ni le service de la dette ne transitent par les comptes publics. Dans les faits, il s’agit d’une extension déguisée de la sphère publique et d’un transfert de charges vers le secteur privé. Les paiements prennent la forme de factures d’électricité ou de « contributions » obligatoires, mais ils pèsent sur les mêmes acteurs, comme des impôts classiques. C’est pour cette raison que Bob Lyddon précise qu’il n’y a pas de « dette publique » ou de « dette du secteur public » au sens strict, de la même manière qu’il est dans l’intérêt des gouvernements de faire croire aux prêteurs que les prêts sont garantis par l’État.
Ces nouvelles dettes sont une forme d’impôt déguisé. Elles alourdissent les charges sur les ménages et les entreprises, engendrent une mauvaise allocation des ressources et fragilisent la transparence nécessaire dans toute démocratie. Les États affichent des comptes publics artificiellement maîtrisés alors que la réalité est que la dette continue de croître, tout en étant dissimulée.
https://contrepoints.org/la-dette-publique-nexiste-pas/
On nous apprend maintenant que le FBI avait 274 agents infiltrés au Capitole le 6 janvier.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
September 27th, 2025
La corruption monte jusqu'au sommet.
Pour ce qui est du « Blob », les forces les plus obscures du pouvoir, celles qui effraient même les banquiers, sont assurément les espions armés, surtout s'il s'agit d'espions irresponsables et politiquement biaisés.
Pendant les quatre ans qui ont suivi les émeutes du Capitole du 6 janvier, le FBI a refusé de révéler le nombre d'agents présents dans la foule, même au Congrès, ni même au président des États-Unis. Or, après ces démentis, nous découvrons aujourd'hui que 274 agents en civil étaient présents ce jour-là. Donald Trump s'exclame : « Waouh ! Une arnaque radicale de la gauche démocrate.»
Le terme « insurrection » prend alors un tout autre sens. Des centaines d'agents rémunérés, armés, prétendant manifester contre le gouvernement qui les a payés pour être là ?
N'oublions pas que le principal objectif des émeutes du Capitole a été de détourner l'attention des débats cruciaux du Sénat sur les irrégularités de l'élection de 2020. (De nombreux sénateurs républicains qui avaient promis de s'opposer à la certification de Joe Biden ont retiré leurs objections après les émeutes.) Emprisonner près de 1 000 manifestants aurait également été un outil utile (quoique terrible) pour terroriser et dissuader les partisans d'un parti politique de manifester.
Et puis, il y a eu des gens qui ont crié et incité d'autres personnes à manifester, comme Ray Epps : « Il faut entrer au Capitole !» – et qui n'ont jamais été arrêtés ni emprisonnés. Et nous ignorons encore pourquoi.
Bombe du FBI : 274 agents envoyés au Capitole pour l’opération J6, dont beaucoup se sont ensuite plaints d’être des « pions » politiques
Par John Solomon et Steven Richards, JustTheNews
Le FBI a secrètement déployé plus de 250 agents en civil au Capitole des États-Unis lors des émeutes du 6 janvier 2021. Une opération si désorganisée qu’elle a suscité une vive frustration parmi de nombreux membres du FBI, au point que le bureau a perdu ses compétences clés au profit de la « wokeness » et a permis à ses employés de devenir des « pions dans une guerre politique », selon un rapport d’après-action tenu secret pendant plus de quatre ans.
RépondreSupprimerIl n’est pas surprenant qu’une action aussi politiquement biaisée et aussi anti-américaine ait mis à l’épreuve le personnel du FBI, plus patriote, qui a protesté par des plaintes anonymes adressées à l’équipe « après-action ». Ce rapport de 50 pages vient d'être remis à la commission judiciaire de la Chambre des représentants :
De nombreux agents et membres du personnel du FBI, dont beaucoup proviennent du principal bureau local du FBI à Washington (WFO), ont adressé des plaintes anonymes à l'équipe d'enquête après intervention, détaillant comment des agents ont été déployés dans un environnement dangereux, sans équipement de sécurité adéquat ni possibilité de s'identifier facilement comme agents armés auprès d'autres services de police, comme le montre le rapport obtenu par Just the News.
« Le FBI devrait faire comprendre à son personnel et au public que, malgré ses préjugés politiques évidents, il prend sa mission et ses priorités au sérieux », a écrit un employé dans une analyse cinglante. « Il devrait enquêter avec la même rigueur et la même énergie sur les activités criminelles, quelles que soient l'origine ethnique, les affiliations politiques ou les motivations perçues des auteurs ; et il devrait protéger avec la même rigueur et la même énergie tous les Américains, quelles que soient leur origine ethnique, leurs affiliations politiques ou leurs motivations perçues.»
Cet agent a exhorté les dirigeants du FBI à « identifier des options de sortie viables pour les membres du FBI qui ne jugent plus légalement ou moralement acceptable de soutenir une agence fédérale de renseignement et de maintien de l'ordre motivée par des préjugés politiques. »
Ces agents étaient déployés en civil et armés, mais ils n'avaient aucun moyen de se faire connaître de la police ni aucun équipement de sécurité pour se protéger. Que faisaient-ils là, et pourquoi ce secret a-t-il été gardé secret si longtemps ?
RépondreSupprimerLa question la plus importante est de savoir à quel point la démocratie la plus puissante du monde est proche d'être une imposture sous le contrôle d'un gouvernement fantôme irresponsable. Hypothétiquement, si les chefs du FBI avaient un compromis leur permettant de contrôler un candidat à la présidentielle (par exemple, l'ordinateur portable de son fils), ils pourraient être tentés d'augmenter ses chances d'être élu et de dissimuler toute manipulation illégale qu'ils auraient pu commettre. La question n'est pas de savoir si ce scénario est possible, car il l'est de toute évidence, mais de se demander, s'il se produisait, « Qu'est-ce qui l'empêcherait ?» Les médias ? Les organismes de surveillance ?
Comme PBS News de décembre 2024 ? « Aucun agent infiltré sur les lieux », affirme un rapport du ministère de la Justice, démentant une nouvelle conspiration marginale qui s'est avérée vraie.
Le ministère américain de la Justice a mis trois ans à retrouver 274 agents. De quelle justice s'agit-il ? Du genre « Blob »…
https://joannenova.com.au/2025/09/now-they-tell-us-the-fbi-had-274-undercover-agents-at-capitol-hill-on-january-6th/
Biden et la gauche américaine ont censuré Google
RépondreSupprimer26 septembre 2025
Nicolas Lecaussin
Google vient d’annoncer le rétablissement de plusieurs comptes YouTube qui avaient été fermés sous la pression de l’administration Biden. L’information n’a pas eu l’heur de susciter l’intérêt des médias. Pourtant, c’est la preuve de la très grave ingérence du pouvoir politique dans le monde des réseaux sociaux et de l’information sous le la présidence de Biden. Dans une lettre adressée à Jim Jordan, président de la commission des lois de la Chambre des représentants, un avocat d’Alphabet, la maison mère de Google, a révélé que de hauts responsables de l’administration Biden « ont mené des actions auprès d’Alphabet et ont fait pression sur l’entreprise concernant certains contenus générés par les utilisateurs liés à la pandémie de COVID-19, qui contrevenaient à la politique de l’administration ». Alphabet, par la voix de son avocat, a ajouté qu’il est « inacceptable et répréhensible qu’un gouvernement, y compris l’administration Biden, tente d’imposer à l’entreprise la modération de ses contenus ». A l’époque, la pression de l’administration Biden a été discrète… tout comme les médias, qui se sont abstenus d’en parler. Alphabet aurait pu d’ailleurs, de son côté, réagir ouvertement et refuser cette ingérence politique.
Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a, lui aussi, envoyé, une lettre à M. Jordan et à la commission en août 2024, dans laquelle il affirmait que l’administration Biden avait « fait pression à plusieurs reprises » sur Facebook pour que la plateforme supprime « certains contenus liés à la COVID-19, notamment humoristiques et satiriques ». Aujourd’hui, beaucoup de journalistes ne se privent pas d’accabler Trump parce qu’il s’en prend aux médias qui le critiquent et qu’il veut même les museler… Il faut évidemment combattre ces tentatives mais il ne peut y avoir deux poids deux mesures : lorsque les « progressistes » font la même chose, il faut aussi les dénoncer.
https://contrepoints.org/biden-et-la-gauche-americaine-ont-censure-google/
France Télévisions : vers la faillite programmée
RépondreSupprimer25 septembre 2025
Lorenzo Delpech
Le dernier rapport de la Cour des comptes dresse un constat sans appel : France Télévisions s’enfonce dans une crise financière « non soutenable ». En huit ans, les capitaux propres du groupe se sont effondrés, passant de 294 millions d’euros en 2017 à seulement 179 millions fin 2025, soit une perte sèche de 115 millions. Depuis 2021, ils sont inférieurs à la moitié du capital social, seuil critique pour la survie de toute entreprise.
Les déficits se sont accumulés année après année. Entre 2017 et 2024, ils atteignent 81 millions d’euros, malgré une réduction des effectifs de plus de 10 % sur la période. Pour 2025, le déficit net attendu grimpe déjà à 40 millions d’euros, tandis que la situation de la trésorerie est jugée « particulièrement préoccupante » par la Cour des comptes. Autrement dit, le groupe audiovisuel public vit désormais au bord du gouffre.
À ces difficultés structurelles s’ajoutent des anomalies dans la gestion. La Cour des comptes souligne ainsi que « Certains niveaux de salaires chez France Télévisions étonnent au regard de la disponibilité des personnes concernées dans l’entreprise ». Autre point marquant : les frais liés aux déplacements, missions et réceptions, loin de diminuer, n’ont cessé d’augmenter. Ils sont passés de 43,2 millions d’euros en 2017 à plus de 46 millions en 2023, ce qui laisse perplexe au regard de la situation financière.
« Certains niveaux de salaires chez France Télévisions étonnent au regard de la disponibilité des personnes concernées dans l’entreprise »
Le modèle économique de France Télévisions ne fonctionne plus. Si la Cour propose de réformer l’organisation interne et appelle à fixer une trajectoire financière réaliste, l’IREF rappelle que la véritable solution est la privatisation de France Télévisions, que nous réclamons depuis des années pour mettre fin au gaspillage massif de l’argent public. D’autant plus que l’emprise idéologique de la gauche sur cette maison est de plus en plus évidente, comme l’a d’ailleurs montré ce que l’on nomme l’affaire Legrand-Cohen, du nom des deux journalistes de France Inter pris en flagrant délit de collusion avec des dirigeants du parti socialiste.
- voir doc sur site :
https://contrepoints.org/france-televisions-vers-la-faillite-programmee/
EXCLUSIVE: La «bombe de la dette» américaine est sur le point d'exploser - Daily Pulse
RépondreSupprimerBlackRock et le WEF resserrent leur emprise sur votre retraite... mais les Américains intelligents ont trouvé une faille cachée de l'IRS qui la casse.
Le renard glorieux
26 septembre 2025
NOTE: Merci de soutenir cet entretien parrainé, qui maintient ce site web en cours pour vous apporter des nouvelles non censurées.
- voir clips de Maria sur site -
Au Viêt Nam, 86 millions de comptes bancaires n'étaient que WIPED OUT en une seule journée après que les citoyens eurent refusé la surveillance biométrique.
Bill Armour prévient que ce n'était pas un coup de chance, c'est le plan mondial, et il se propage plus vite que vous ne le pensez.
Mais il y a un soupçon d'espoir : enterrer profondément à l'intérieur du code des impôts américain est une faille secrète de l'IRS. Wall Street a passé des décennies à essayer d'enterrer. C'est peut-être la seule trappe d'évacuation légale avant que le système ne s'écrase.
Et quand BlackRock et le WEF finissent-ils enfin leurs griffes dans votre retraite, reconnaîtrez-vous même le vol avant qu'il ne soit trop tard ?
À l'heure actuelle, seule une poignée d'Américains utilisent la faille pour protéger leur épargne et supprimer légalement les impôts immédiats des investissements d'or... alors que le reste du pays reste dans l'obscurité.
Dans notre dernière conversation, Bill Armour de Genesis Gold a expliqué comment nous vivons le plus grand braquage financier de l'histoire humaine - le fait que le dollar dans votre portefeuille ne représente pas la valeur réelle, mais la dette.
En revanche, l'or a conservé sa valeur pendant des milliers d'années. Sa valeur remonte à l'époque biblique, où elle était considérée non seulement comme une richesse, mais comme un symbole de stabilité et de valeur durable.
Aujourd'hui, Bill est ici pour exposer une faille peu connue de l'IRS qui permet aux Américains de supprimer les impôts immédiats des investissements d'or.
Bill Armour n'a pas hésité à se retenir lorsqu'il a décrit comment Wall Street a piégé les Américains dans ce qu'il a appelé un système truqué.
Il a déclaré que la plupart des gens avaient été « quelque peu escroqués... dans la conviction qu'ils devaient posséder des actions, des obligations, des fonds communs de placement » à l'intérieur de leurs comptes de retraite. Ce message, expliqué Bill, a été brisé pendant des décennies pour garder les gens « comme des rats dans un labyrinthe », alors que des entreprises comme Fidelity et Merrill Lynch se râtent avec tranquille les bénéfices.
Mais Bill a révélé qu'il y avait un autre chemin. Depuis 1997, une faille peu connue de l'IRS a permis aux Américains de transférer des fonds de retraite - des fonds de retraite - reporté et exempt de pénalités - à des comptes contenant de l'or et de l'argent physiques.
RépondreSupprimer"Ils n'ont pas besoin d'être piégés de cette façon que tant d'Américains sont involontairement", a-t-il déclaré.
Alors pourquoi le public n'en a-t-il pas entendu parler ? Bill était franc : « Si l'argent quitte ce système, devinez où cet argent partait. Il laisse leurs poches. »
Il a fait valoir que Wall Street a gonflé l'un des marchés boursiers les plus surévalués de l'histoire, encaisser des frais et des bonus. Mais si les Américains commencent à se retirer, il ne ferait pas faillite.
C'est pourquoi, avertit Bill, le timing est tout : « Vous pouvez être tôt, vous ne pouvez pas vous permettre d'être en retard. »
Les grandes banques ne veulent pas que vous le voyiez.
Le guide de boucle de l'IRS gratuit sur DailyPulseGold.com révèle le code fiscal caché de Wall Street pour rester enterré.
Cette exception peu connue montre comment les Américains peuvent supprimer les impôts immédiats des investissements d'or et détenir légalement de l'or physique dans un IRA - au-delà de la portée des institutions avides.
Genesis Gold Group explique pourquoi cette lacune pourrait être la bouée de sauvetage pour l’épargne-retraite – et pourquoi le président Trump pousse l’or comme véritable protection contre un système qui s’effondre.
À partir de là, Bill a appelé l'hypocrisie des courtiers de Wall Street disant aux clients d'acheter des actions pendant que leurs propres entreprises se chargent discrètement de l'or. Puis il s’est tourné vers ce qu’il croit être la plus grande menace pour le système financier américain – l’explosion de la dette nationale.
Alors que la 'dette' au PIB devrait atteindre 120 % d’ici 2035, Bill a averti que « nous créons plus de dette, notre dette est plus importante que la somme totale de l’ensemble du PIB de notre pays ». Les États-Unis sont déjà près de 100 %, et une fois que la courbe est devenue parabolique, a-t-il dit, les nombres ne peuvent tout simplement pas grimper plus haut. "Et c'est vraiment cette implosion."
C’est pourquoi Bill l’appelle une « bombe de dette ». Selon ses propres mots : « C’est une bombe à retardement. Et à un moment donné, il y a un moment où cela explose. »
Son rappel glacial a conduit le point de retour : « la minuterie a été lancée ».
À partir de là, Maria a averti que les fonds de retraite étaient déjà en danger.
Elle a souligné le système australien de retraite, où des millions de personnes ont disparu du jour au lendemain lorsque les entreprises se sont effondrées. « Tout ce qu’ils ont travaillé, tout ce qu’ils ont jamais planifié pour leurs enfants, il disparaît du jour au lendemain. Et il n’y a rien qu’ils puissent faire à ce sujet », a-t-elle averti, notant qu’il pourrait facilement en faire en Amérique, car les fonds de capital-investissement s’enfoncent dans les comptes de retraite.
RépondreSupprimerBill est d'accord et de noms nommés. « Nous avons BlackRock, Larry Fink... il a un pouvoir énorme... ces gens, ils sont vraiment monstrueux. » Il a averti que, comme le capital-investissement s'enfonce davantage, il ne se prépare qu'à « la déchirure initiale où ils reprennent cette richesse ».
Puis il a posé la question que tout le monde devrait se poser : pourquoi leur permettons-nous de contrôler notre argent ? « Nous savons qu’ils sont tortueux, maléfiques et corrompus. Il me semble juste tellement à l'envers. »
Au lieu de cela, il a exhorté les gens à se tourner vers des actifs qui ne peuvent pas être manipulés. S’appuyant sur une référence biblique, il a indiqué que l’or et l’argent étaient « des échelles et des mesures égales », contrairement au dollar, qui peut être tordu « de nombreuses manières différentes ».
Bill a clos l'entretien avec l'une de ses métaphores les plus frappantes.
Il a dit que si vous vivez en Floride, vous comprenez que les ouragans font partie de la vie - vous gardez l'eau en bouteille, la nourriture et d'autres produits de première nécessité prêts. « Nous vivons à une époque où les ouragans financiers sont la norme », a-t-il expliqué.
« Elles se produisent tout le temps. Et donc, dans ce cas, l'or et l'argent sont votre nourriture, votre eau.
Sans cette protection, Bill luttait, les gens risquent d’être pris avec leur « pantalon métaphorique vers le bas ».
Même de petites quantités d'or et d'argent, a-t-il ajouté, peuvent servir d'assurance. Dans une crise prolongée, les métaux précieux peuvent être échangés, créant un système parallèle en cas de défaillance de l'argent traditionnel.
Il a plaisanté en firguant avec des « batteries et des bottes en cuir », mais son point de vue était sérieux : dans le monde instable d’aujourd’hui, la préparation est tout. Tout comme personne ne sortirait d’un ouragan de catégorie 5 sans alimentation, personne ne devrait faire face aux tempêtes financières d’aujourd’hui sans or et argent pour les maintenir au sol.
C'était un moyen qui donne à réfléchir à la fin de l'interview - un rappel que dans un monde aussi instable, la seule bouée de sauvetage est quelque chose de tangible.
Les grandes banques ne veulent pas que vous sachiez ça...
https://www.vigilantfox.com/p/exclusive-americas-debt-bomb-is-about?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=174563918&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Quoique vous ayez chez vous (or, argent, cuivre, aluminium, fer, plastique, etc) ils NE VALENT RIEN ! PCHITT ! Ce sont des Matières Premières dont le 'prix' est fixé 2 fois par jour par un 'bureau' (qui ne tient jamais compte des transactions !) !
SupprimerLes billets 'sous le matelas' NE VALENT PLUS RIEN ! PCHITT ! Y A PLUS !
Solutions: Le troc ! (Un lapin contre une douzaine d’œufs ?).
Essayer la pêche. Pêchez votre poisson en rivières, mers ou océans. Essayez la chasse (pose de pièges ou l'arme à feu). Essayez les radis 15 jours. Les graines de tomates ou melons ne sont semables qu'au... printemps ! et récoltes en été !
C'est depuis toujours comme çà ! La monnaie papiers ou pièces n'a JAMAIS été adossée au prix de l'or (qui devrait par sa rareté être aujourd'hui à 100 fois ou mille fois plus cher !).
C'est l'erreur des dictateurs qui dirigent.
Le monde (8 milliards d'habitants) doit se reconstruire. Retour aux campagnes comme vos ancêtres. Semez, plantez: récoltez.
voir:
https://forum.communspaysans.org/viewtopic.php?t=4346&sid=fa62c631c455e9b175504b86f30f7d55
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