Une étude évaluée par des pairs a révélé que les fragments d’ADN humain dans les vaccins dérivés des cellules fœtales dépassent la limite de la FDA jusqu’à 2,760% et ont cartographié leurs sites d’intégration potentiels à des gènes associés à l’autisme.
Nicolas Hulscher, MPH
Oct 21, 2025
Un article évalué par par Deisher et al intitulé, Epidemiology and Molecular Relationship Between Vaccine Manufacture and Autism Spectrum Disorder Prevalence, a livré l'une des découvertes les plus alarmantes dans la recherche moderne sur la sécurité des vaccins: les vaccins pour enfants cultivés dans les lignées de cellules fœtales humaines contiennent des milliards à des milliers de milliards de molécules d'ADN humain fragmentées - capables d'entrer et de s'intégrer dans le génome des cellules humaines.
Les chercheurs ont analysé deux vaccins fabriqués dans des lignées cellulaires avortées-fœtales – Meruvax II (le composant de rubéole du vaccin ROR II) et Havrix (hépatite A) – pour:
Contenu résiduel de l'ADN humain à l'aide de tests de fluorescence PicoGreen® et OliGreen®.
Taille du fragment par électrophorèse en gel.
L'absorption et l'intégration génomique de fragments d'ADN humain étiquetés dans diverses lignées cellulaires humaines.
Corrélation écologique entre la couverture vaccinale de la ROR et la prévalence de l’autisme au Royaume-Uni, en Norvège et en Suède à la suite de la perturbation de l’absorption de la ROR en 1998.
CONSTATATIONS CLÉS
1. Contamination massive de l'ADN fœtal
Meruvax II (Rubella): ~ 142 ng monobrin à brins + 35 ng ADN double brin par flacon.
Havrix (Hep A): ~ 276 ng monobrin à brin + 35 ng ADN double brin par flacon
C’est 14 à 27× plus élevé que la limite de sécurité de 10 ng de la FDA, ce qui équivaut à des milliards de milliers de milliards de fragments d’ADN fœtal humain dans chaque flacon.
2. Intégration-Fragments Prêts
Les fragments de Meruvax II étaient en moyenne de ~215 paires de bases, optimales pour une absorption nucléaire spontanée.
Les fragments de Havrix ont dépassé 48000 pb, assez grands pour contenir des gènes entiers et des régions de régulation.
3. L'incorporation De Cellules Humaines Démontrée*
- voir doc sur site
-En utilisant des fragments d'ADN humain équivalents en taille et en séquence à ceux trouvés dans les vaccins, les chercheurs ont montré que dans les 24 à 48 heures, ces fragments ont été absorbés dans des noyaux de cellules humaines et intégrés dans l'ADN chromosomique.
L'intégration s'est produite dans jusqu'à 0,6% de l'ensemble du génome dans certaines lignées cellulaires - soit l'équivalent de dizaines de millions de paires de bases insérées dans des conditions de laboratoire.
4. Les gènes liés à l'autisme montrent une vulnérabilité exceptionnelle
L’équipe a cartographié 280.000 «points chauds» de recombinaison méiotique et a découvert qu’ils sont concentrés de manière disproportionnée dans les gènes associés à l’autisme, en particulier sur le chromosome X. Ces points chauds sont des zones d'atterrissage idéales pour les ruptures à double brin et la mutagénèse insertionnelle par fragments d'ADN exogènes.
5. Corrélation Population-niveau
Lorsque la couverture de RMM a chuté après le Dr. LancetLa publication historique de Lancet de 1998 d’Andrew Wakefield – au Royaume-Uni, en Norvège et en Suède, la prévalence de l’autisme a fortement diminué, puis a augmenté à nouveau à mesure que l’absorption de la ROR s’est rétablie vers 2001. Le groupe de Deisher a décrit cela comme une «expérience naturelle» démontrant une relation de causalité potentielle entre les vaccins dérivés des cellules fœtales et la prévalence des TSA.
Chaque dose de vaccins dérivés des cellules fœtales peut livrer des milliards à des milliers de milliards de molécules d’ADN humain dans un enfant en développement – dont certains, dans des conditions inflammatoires, peuvent s’insérer directement dans leurs chromosomes. Cela fournit encore un autre mécanisme biologiquement plausible par lequel les vaccins pourraient contribuer aux troubles neurodéveloppementaux, y compris l'autisme.
Cette étude est l’une des plus de 300 incluses dans notre prochain rapport historique sur l’autisme – parmi les analyses les plus complètes jamais menées sur les déterminants environnementaux et iatrogènes de l’autisme.
Le nombre de nano-particules d'oxyde de graphène a été évalué à 40 000 milliards par flacon injectable ! D'où la constatation exponentielle et effrayante du nombre d'autistes (encéphalite).
RépondreSupprimerUn traumatisme oculaire reconnu pour les amateurs de pickleball
RépondreSupprimerLe traumatisme oculaire rejoint la longue liste de blessures reconnues avec le sport adulte croissant
Pierre A. McCullough, MD, MPH
Oct 21, 2025
J’ai joué au pickleball hier dans un quatuor au Mauna Lani Sports & Fitness Club à Kona et je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que la vitesse du jeu a progressé au fil des ans.
Le pickleball est devenu l'un des sports à la croissance la plus rapide en Amérique, avec près de 20 millions de joueurs et une croissance dépassant les 300% depuis 2020. Mais les médecins avertissent que la popularité explosive du sport apporte un risque inattendu: une augmentation spectaculaire des blessures oculaires graves.
Rodgers L. Alors que le pickleball continue de gagner des joueurs, les blessures augmentent. JAMA. Publié en ligne octobre 17, 2025. doi:10.1001/jama.2025.18833
Meghan Daniels de Detroit postée 18:27 PM, Oct 16, 2025
LIVONIE, Mich. (WXYZ) – Le pickleball est devenu l’un des sports à la croissance la plus rapide en Amérique, avec près de 20 millions de joueurs et une croissance dépassant les 300% depuis 2020. Mais les médecins avertissent que la popularité explosive du sport apporte un risque inattendu: une augmentation spectaculaire des blessures oculaires graves.
Les balles en mouvement rapide, parfois passant à plus de 40 mi/h (64 km/h), provoquent un pic de décollements de la rétine, de fractures et d'ecchymoses sévères, en particulier chez les joueurs de plus de 50 ans.
"Surtout maintenant avec l'avancement dans les pagaies, l'avancement dans le ballon, le jeu est plus accéléré, beaucoup de joueurs plus jeunes aussi, donc les balles viennent à vous très vite", a déclaré Brandon Kakos, un joueur de pickleball.
Les joueurs de moins de 50 ans ne sont pas non plus à l’abri des blessures. Beaucoup prennent maintenant des mesures proactives pour se protéger.
« Je dirais toujours porter vos lunettes. Le carbone fait de grandes lunettes ainsi que seulement vos lunettes régulières, lunettes de sécurité, lunettes de soleil que vous pouvez porter », a déclaré Alex Wiewiora, directeur de Livonia Athletic District.
Ces analyses méritent d'être prises en compte compte tenu de la gravité de certaines de ces lésions oculaires. Nous pouvons nous attendre à plus de recherches dans ce domaine alors que le pickleball continue de monter en popularité. Mon point de vue en tant que médecin est que j'accueille le sport alors que je vois plus de patients sédentaires sortir pour s'amuser et faire de l'exercice en même temps.
https://www.thefocalpoints.com/p/pickleball-injuries-spike-as-popularity?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=176437007&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
MAHA Weekly 'Wins': la Floride rejette les mandats, le Texas rejette le chantage médical et les problèmes de sécurité vaccinale prennent le contrôle des médias sociaux
RépondreSupprimerAdam Garrie
20 oct 2025
Par Adam Garrie Le Rapport MAHA.
Des études vaccinales précédemment supprimées devenant virales à plusieurs États embrassant la liberté médicale, cela a été une autre semaine importante dans le monde de MAHA.
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Mais tout d’abord: N’oubliez pas de regarder la minute MAHA de Caitlin Sinclair tous les vendredis sur les canaux sociaux de MAHA Action pour rattraper toutes les dernières nouvelles du mouvement MAHA en constante expansion. Voici le récapitulatif de Caitlin:
Dr. Le Malone Étale Le Message MAHA
La semaine dernière, Dr. Robert Malone a comparu devant les membres du Parlement de l’Union européenne, où il a parlé à son public étranger du mouvement MAHA.
Dr. Malone, membre du Comité consultatif indépendant sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC et détenteur de co-brevet pour la technologie des vaccins à ARNm, a déclaré aux parlementaires de l’UE: «J’attends avec impatience le jour où il n’est plus acceptable de censurer et de ridiculiser les parents d’enfants blessés par le vaccin.» Il a poursuivi: «Vous êtes-vous déjà demandé quoi ou qui alimente l’organisation de défense de la santé des enfants? Au fond, ce sont les parents d'enfants blessés par le vaccin. Pas Bobby Kennedy. »
L'étude sur la sécurité des vaccins devient virale
L'étude sur le vaccin Henry Ford non publiée en 2020 est devenue virale sur les réseaux sociaux des mois après que l'avocat de la liberté médicale et des droits de l'homme Aaron Siri a présenté le rapport au Congrès. Une fois entré dans le dossier du Congrès, de nombreux Américains ont commencé à lire et à partager ses conclusions, tout en notant également le Dr. Les déclarations de Marcus Zervos sur la rétention de la publication en raison de craintes de représailles personnelles.
L’étude a révélé d’importantes disparités en matière de santé entre les enfants vaccinés et les enfants non vaccinés. Les enfants vaccinés se sont avérés être 4,29 fois plus susceptibles de développer de l'asthme, trois fois plus susceptibles d'avoir des maladies atopiques telles que l'eczéma et près de six fois plus susceptibles de développer des troubles auto-immuns, couvrant plus de 80 affections. Comparativement à leurs homologues non vaccinés, ils ont également été confrontés à un risque 5,5 fois plus élevé de troubles neurodéveloppementaux; 2,9 fois plus de probabilité d'incapacités motrices; 4,5 fois plus de risque de troubles de la parole; trois fois plus de retards de développement; et six fois plus d'incidence d'infections aiguës et chroniques de l'oreille.
Le Texas défend la liberté médicale
RépondreSupprimerLe procureur général du Texas, Ken Paxton, a publié une lettre à l'hôpital méthodiste de Houston, avertissant que l'État lancera une enquête officielle sur les allégations selon lesquelles l'hôpital exige des vaccinations contre le Covid-19 pour les patients transplantés d'organes, avec un refus conduisant au refus d'un traitement potentiellement vital. Selon Paxton, « la loi du Texas interdit aux fournisseurs de soins de santé de refuser les greffes d’organes ou les services connexes uniquement en raison de la décision d’un patient de ne pas recevoir de COVID-19 ou d’une autre vaccination ».
L’engagement du chirurgien général de Floride envers le consentement éclairé et la liberté
Chirurgien de Floride Dr. Joseph Ladapo a confirmé qu'il travaillait avec les législateurs pour mettre fin définitivement à tous les mandats de vaccin ayant un impact sur des millions d'enfants floridiens.
Dr. Ladapo a dit: «Il n’y a pas de zone grise – soit vous contrôlez ce qui va dans votre corps et le corps de vos enfants, soit vous ne le faites pas. Au ministère de la Santé de Floride, nous avons quatre vaccins qui sont actuellement mandatés. C’est la varicelle, l’hépatite B, le vaccin contre le pneumocoque et le vaccin annuel contre la grippe. Nous allons nous retirer sur eux. Il y en a une poignée d’autres qui sont mandatés dans la loi de Floride, et nous les retirerons avec le soutien des législateurs, espérons-le. »
Le président Trump et le secrétaire Kennedy élargissent l'accès aux traitements de fertilité
Le président Trump a annoncé un accord entre le fabricant de médicaments de fertilité EMD Serono et le gouvernement fédéral pour réduire les coûts de traitement de la FIV via la plate-forme TrumpRx.gov, attendue en ligne plus tard cette année. Le programme commence par le médicament populaire, GONAL-F, qui sera offert à un rabais élevé sur le prix négocié, tandis que les femmes à revenu faible et intermédiaire gagnant moins de 550% du niveau de pauvreté fédérale sont admissibles à une réduction supplémentaire. Les Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS) estiment des économies allant jusqu’à 2 200 $ par cycle de médicaments de fertilité – sur des traitements dépassant souvent 5 000 $ – puisque ces médicaments représentent près de 20% des dépenses totales de FIV.
S’exprimant dans le bureau ovale, le secrétaire du HHS Kennedy a déclaré: «Aujourd’hui, l’adolescent moyen dans ce pays a 50% du nombre de spermatozoïdes, 50% de la testostérone en tant qu’homme de 65 ans. Nos filles frappent la puberté six ans plus tôt. Et c’est mauvais, mais aussi nos parents n’ont pas d’enfants. Les parents qui veulent avoir des enfants n'ont pas accès. J'ai sept enfants. Je sens que Dieu m’a béni avec cela et je ne peux pas imaginer à quel point ma vie serait différente si je n’avais pas cette bénédiction. »
Kennedy a poursuivi: «Ce matin, l’Université Harvard a publié une étude qui a montré que les taux d’obésité ont maintenant grimpé de plus de 70%. Et cela est de nouveau pour la même raison. Nous inondons nos enfants, nous empoisonnons une génération de masse, empoisonnant massivement une génération d’enfants avec des produits chimiques. Le président Trump nous a ordonné d’arrêter ces problèmes à la cause profonde. Mais il a aussi reconnu qu’il y a des gens qui sont blessés, des gens qui ne vivent pas la vie pleinement, et il s’attaque à cela. La semaine dernière, nous avons mis les médicaments contre les BPL disponibles dans la nation la plus favorisée. Et cette semaine, c’est la FIV. »
RépondreSupprimerhttps://www.themahareport.com/p/maha-weekly-wins-florida-rejects?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=176638149&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Les méga-corporations exécutent discrètement un plan sinistre pour prendre le contrôle de l'Amérique | Daily Pulse
RépondreSupprimerBlackRock et Blackstone viennent de faire un geste terrifiant qui pourrait changer l'Amérique pour toujours.
Le Renard Vigilant
Oct 21, 2025
Regardez l'épisode complet
STORY #1BlackRock et Blackstone prennent tranquillement le contrôle du réseau électrique américain, tout en disant au public que tout cela est pour l’IA.
- voir clips de Maria sur site -
Derrière le discours glissant de « l’innovation » se cache un transfert de contrôle radical, transmettant l’approvisionnement énergétique de la nation à deux des empires financiers les plus puissants de la planète.
Au cours de la dernière année, Blackstone a dépensé des milliards pour acquérir des usines de gaz naturel et des services publics dans l’Indiana, la Virginie, la Pennsylvanie et le Nouveau-Mexique, tandis que la filiale de BlackRock a pris le contrôle majoritaire de Superior Water, Light & Power du Wisconsin. Les dirigeants admettent que ces accords sont destinés à alimenter « la révolution de l’IA » – un boom des centres de données qui augmente déjà les coûts énergétiques et met à rude épreuve le réseau.
Les critiques disent que cela n'a pas grand-chose à voir avec le progrès et tout à voir avec le contrôle. Avec des milliers de milliards d’actifs et de liens profonds avec le WEF et le CFR, BlackRock et Blackstone se positionnent pour décider qui obtient le pouvoir à l’ère de l’IA.
Le rapport de Maria Zeee expose comment cette prise de contrôle tranquille pourrait déterminer qui contrôle votre pouvoir et votre liberté.
Regardez l'épisode complet ici.
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STORY #2 - Les avions et les hélicoptères abandonnent des millions d’appâts de vaccins en direct et génétiquement modifiés à travers l’Amérique – sans avis public ni consentement.
RépondreSupprimerL'USDA confirme que l'opération couvre six États ce mois-ci, revêtement les communautés rurales avec des vaccins oraux en laboratoire connus sous le nom de RABORAL V-RG®.
Ce que la plupart ne réalisent pas, c’est que ces appâts contiennent un virus recombinant vivant capable d’infecter plusieurs espèces. Une étude sur le vaccin de 2019 a révélé qu’elle peut persister et se répandre pendant des semaines, laissant les animaux contagieux longtemps après l’exposition. Même le CDC admet que les gens peuvent être « à risque d’infection par le virus vaccinal ».
Pourtant, le gouvernement continue d’inonder les forêts, les cours d’eau et les quartiers avec des millions de ces doses de virus vivant – enveloppées dans un attractif de farine de poisson – sans divulgation publique ni surveillance indépendante de la sécurité.
Les experts avertissent que ce n’est pas un contrôle de la rage. C’est une expérience en plein air sur le peuple américain. Maria Zeee découvre la preuve en noir et blanc. Ne manquez pas ce rapport.
Regardez l'épisode complet ici.
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HISTOIRE #3 - Des milliers de manifestants ont inondé les rues de Londres le 18 octobre, se levant contre le système d'identification numérique du Premier ministre Keir Starmer - un plan que les critiques avertiraient donnerait au gouvernement et aux élites technologiques un contrôle sans précédent sur la vie quotidienne.
C’était la plus grande manifestation de résistance depuis les manifestations COVID-19, alors que des citoyens de tous les horizons politiques marchaient de Marble Arch à Whitehall en scandant « Non à l’ID numérique ». Organisé par Fiona Rose Diamond, le rassemblement mettait en vedette David Icke et le député Andrew Bridgen, qui ont averti que le programme « volontaire » deviendra obligatoire d’ici 2029. Même les membres du cabinet de Starmer se rebellent, craignant les défections électorales de masse aux Verts et aux Lib Dems.
Maintenant, le même système progresse tranquillement en Amérique. L’avocat Tom Renz avertit que grâce à des réglementations mises à jour et à des « partenariats public-privé », l’identification numérique devient déjà une loi.
Les signes avant-coureurs sont là. Regardez les images de rassemblement de Londres et découvrez la répartition par Maria de la rapidité avec laquelle cet agenda se propage aux États-Unis.
Cliquez ici pour l'épisode complet.
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Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.
RépondreSupprimerNous reviendrons avec un autre spectacle demain. On se voit alors.
Regardez l'épisode complet ci-dessous:
https://www.vigilantfox.com/p/mega-corporations-are-quietly-executing?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=176671294&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Rejoignez-nous pour le hub multimédia MAHA! Mercredi 22 octobre 14h, avec les principales voix du mouvement MAHA
RépondreSupprimerLe rapport MAHA
Oct 21, 2025
Par Le Rapport MAHA
Veuillez vous joindre à nous le mercredi 22 octobre, de 16h à 17h05, pour un autre hub médiatique hebdomadaire MAHA Action!
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Le programme de mercredi comprend le président de l’action de l’AMMA, Tony Lyons (animateur); l’ancien directeur du CDC, Dr. Robert Redfield ; nutritionniste renommé, Dr. Eric Berg ; chercheur en médecine alternative et journaliste Sayer Ji; expert en santé cellulaire et désintoxication, Daniel Pompa ; « food babe » Vani Hari ; conseiller HHS Calley Means ; et acteur, comédien et animateur de podcast, Russell Brand.
Les sujets à discuter incluent les dernières réformes et percées scientifiques du monde de l'AMA. La justification historique du secrétaire Kennedy sur la santé et le bien-être, et les implications sociales plus larges de la révolution MAHA.
Pour assister à notre hub média, cliquez simplement sur le lien d'inscription gratuit ici. Tous nos événements de centres de médias sont ouverts au public et à la presse.
Nous espérons vous voir @16pm le mercredi!
https://www.themahareport.com/p/join-us-for-the-maha-media-hub-wednesday?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=176700722&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Démystifier le mythe : comment manger des œufs contribue à réduire le taux de mauvais cholestérol
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
20 octobre 2025
Une étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition a montré que la consommation de deux œufs par jour réduisait le cholestérol LDL, tandis que les régimes riches en graisses saturées l'augmentaient.
Les chercheurs ont découvert que le cholestérol des œufs n'augmentait pas le LDL, mais que les graisses saturées provenant d'aliments comme le bacon et les saucisses le faisaient, montrant que le contexte alimentaire fait une différence majeure.
Les œufs fournissent du cholestérol sans surcharger le foie, ce qui lui permet d'éliminer efficacement le LDL et d'empêcher l'accumulation dans les artères qui augmente le risque de maladie cardiaque et d'accident vasculaire cérébral.
La consommation hebdomadaire d’œufs a réduit les décès par maladie cardiaque de 29 % et la mortalité toutes causes confondues de 17 % chez les personnes âgées, soulignant l’importance de la modération pour des bénéfices protecteurs.
Choisir des œufs de pâturage, éviter les huiles végétales et associer les œufs à des aliments entiers riches en nutriments renforce encore les bienfaits tout en minimisant l'apport nocif en acide linoléique oméga-6 (LA).
***
Pendant des décennies, les œufs ont eu une réputation injuste : on les qualifiait de « bombes à cholestérol » et on affirmait qu'en consommer régulièrement obstruait les artères, augmentait le taux de « mauvais » cholestérol et, inévitablement, augmentait le risque de maladies cardiaques. Les autorités sanitaires recommandaient de limiter, voire d'éviter, la consommation d'œufs, laissant de nombreuses personnes perplexes et hésitantes à savourer l'un des aliments les plus riches en nutriments de la nature.
Mais la science a évolué, tout comme notre compréhension du cholestérol. De plus en plus de recherches montrent que le cholestérol alimentaire provenant des œufs a peu d'impact sur le cholestérol sanguin chez la plupart des gens. En réalité, dans de bonnes conditions, la consommation d'œufs peut contribuer à réduire le taux de cholestérol et à favoriser la santé cardiaque.
Selon une nouvelle étude, manger des œufs a réduit le cholestérol en seulement 5 semaines.
RépondreSupprimerUne étude récente publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition a examiné comment les œufs, le cholestérol et les graisses saturées interagissent pour influencer le cholestérol des lipoprotéines de basse densité (LDL), le soi-disant « mauvais » cholestérol qui contribue au blocage des artères et aux maladies cardiaques. 1
« Les œufs ont longtemps été injustement critiqués par des conseils diététiques dépassés. Ils sont uniques : riches en cholestérol, certes, mais pauvres en graisses saturées. Pourtant, c'est leur taux de cholestérol qui a souvent amené les gens à s'interroger sur leur place dans une alimentation saine. » a déclaré Jonathan Buckley, scientifique spécialisé dans l'activité physique à l'Université d'Australie-Méridionale et chercheur principal de l'étude .
Les chercheurs ont conçu l'étude pour répondre à une question simple : la consommation d'œufs augmente-t-elle réellement le cholestérol LDL, ou y a-t-il autre chose en jeu ? Pour le savoir, ils ont testé trois régimes différents, chacun présentant un équilibre unique entre cholestérol et graisses saturées.
• Les participants étaient 61 adultes présentant le même taux de cholestérol initial au début de l'essai. Pendant cinq semaines, ils ont suivi l'un des trois programmes alimentaires suivants : le premier était riche en graisses saturées et en cholestérol, le deuxième riche en graisses saturées mais pauvre en cholestérol, et le troisième riche en cholestérol mais pauvre en graisses saturées .
Le troisième régime se distinguait par la consommation de deux œufs par jour. Étonnamment, le groupe ayant consommé plus d'œufs a vu son taux de cholestérol LDL baisser, comparativement aux autres groupes, qui ont même vu leur taux de LDL augmenter. Selon un rapport de Science Alert :
Les résultats ont montré qu'une alimentation riche en graisses saturées était corrélée à une augmentation du taux de cholestérol LDL. En revanche, un régime riche en cholestérol et pauvre en graisses saturées a entraîné une réduction du taux de cholestérol LDL, ce qui suggère que les œufs ne sont pas responsables du mauvais cholestérol .
• Les chercheurs ont également comparé les variables : lorsque le cholestérol provenait d'œufs peu riches en graisses saturées, le taux de LDL diminuait. Lorsque le cholestérol était associé à des graisses saturées, le taux de LDL augmentait. Cela illustre l'importance du contexte alimentaire : le cholestérol n'agit pas seul. Il interagit avec le reste de votre alimentation, et cette interaction détermine si votre chimie sanguine évolue vers la santé ou vers un risque.
• Les graisses saturées influencent la façon dont le foie traite le cholestérol — D'un point de vue biologique, l'explication est simple. Lorsque le taux de graisses saturées est élevé, le foie peine à éliminer efficacement le cholestérol LDL, ce qui en laisse une plus grande quantité circuler dans le sang. Les œufs, en revanche, fournissent du cholestérol sans surcharger l'organisme. Cela permet à l'organisme de gérer correctement le cholestérol, prévenant ainsi l'accumulation responsable du rétrécissement des artères.
RépondreSupprimerCette étude confirme que les œufs ne sont pas un ennemi ; le véritable problème réside dans l'excès de graisses saturées, notamment de graisses polyinsaturées (PUF), présentes dans les autres aliments que vous consommez. En préférant les œufs aux aliments riches en ces mauvaises graisses, vous encouragez votre corps à mieux gérer son cholestérol.
« On peut dire que nous avons apporté des preuves tangibles en faveur de l'humble œuf. Ainsi, lorsqu'il s'agit d'un petit-déjeuner chaud, ce ne sont pas les œufs qui sont à prendre en compte, mais la portion supplémentaire de bacon ou de saucisse qui est la plus susceptible d'avoir un impact sur votre santé cardiaque », a déclaré Buckley .
Démystifier le mythe du cholestérol
Au vu des conclusions de cette étude, Buckley estime qu'il est temps que le public change sa perception des œufs, affirmant que cet aliment hautement nutritif est « depuis longtemps injustement dénigré par des conseils diététiques dépassés ». Il fait ici référence au mythe du cholestérol, à savoir que le cholestérol alimentaire nuit au cœur et à la santé à long terme.
Malgré les rapports contradictoires et les avertissements des sources conventionnelles, les œufs ne sont pas responsables des maladies cardiaques ; l'étude présentée en fournit des preuves solides. En réalité, le cholestérol alimentaire n'est pas le coupable qu'on prétend.
Votre corps a besoin de cholestérol. Présent dans presque toutes les cellules de votre corps, il est essentiel à son fonctionnement optimal. Cette substance cireuse est un élément fondamental des membranes cellulaires, assurant leur intégrité structurelle et leur fluidité.
• Le cholestérol agit comme précurseur de diverses hormones essentielles. Il est essentiel à la production de vitamine D lorsque votre peau est exposée au soleil, contribuant ainsi à la santé osseuse et au système immunitaire. Dans le système digestif, il contribue à la formation des acides biliaires, nécessaires à l'absorption des graisses et des vitamines liposolubles.
• Un taux de cholestérol total insuffisant augmente le risque de problèmes de santé, y compris de mortalité toutes causes confondues. Des études corroborent cette hypothèse. Par exemple, une étude publiée dans Frontiers in Endocrinology a établi un lien révélateur entre un faible taux de cholestérol total (CT) et un risque accru de mortalité chez les personnes de 85 ans et plus. En effet, un faible taux de CT compromet le fonctionnement cellulaire et accroît la vulnérabilité aux infections et autres problèmes de santé.
De plus, le cholestérol contribue à réguler les marqueurs inflammatoires dans l'organisme. Un faible taux de cholestérol total peut entraîner une inflammation accrue, associée à de nombreuses maladies liées à l'âge. Je vous recommande de lire « Pourquoi un faible taux de cholestérol sanguin est-il associé à une mortalité tardive accrue ? » pour une analyse plus approfondie de ce sujet.
RépondreSupprimerLes œufs protègent votre santé cardiaque
Contrairement à ce que beaucoup pensent, les œufs offrent des bienfaits protecteurs pour le cœur. Une étude récente le démontre, montrant comment la consommation d'œufs, notamment chez les personnes âgées , contribue à réduire le risque de décès par maladie cardiaque ou autre.
• L’étude a porté sur 8 756 personnes âgées de 70 ans et plus. Elles ont été regroupées en fonction de la fréquence à laquelle elles mangeaient des œufs : jamais ou rarement, chaque semaine (une à six fois par semaine) et quotidiennement (sept fois ou plus par semaine).
Les œufs sont bons, mais la quantité compte aussi. L'étude a révélé que les personnes qui mangeaient des œufs chaque semaine présentaient un risque de décès par maladie cardiaque inférieur de 29 % et un risque de mortalité toutes causes confondues inférieur de 17 % par rapport à celles qui en mangeaient rarement, voire jamais. Il est intéressant de noter que les personnes qui mangeaient des œufs tous les jours ne bénéficiaient pas des mêmes effets protecteurs, ce qui montre que la modération est essentielle .
Adopter un mode de vie sain est également crucial. L'étude a également révélé que les bénéfices les plus significatifs étaient observés chez les personnes ayant une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et évitant une consommation excessive d'alcool et de tabac. Dans ce groupe, la réduction de la mortalité cardiovasculaire était particulièrement marquée, ce qui renforce l'idée que les œufs peuvent faire partie d'un régime alimentaire sain.
Combien d'œufs par semaine peut-on consommer avant que les bienfaits ne s'estompent ? Selon les auteurs de l'étude, jusqu'à six œufs par semaine pourraient contribuer à réduire le risque de décès toutes causes confondues et de maladies cardiaques chez les personnes âgées. Holly Wild, co-auteure de l'étude, a déclaré : « Ces résultats pourraient contribuer à l'élaboration de recommandations alimentaires fondées sur des données probantes pour les personnes âgées. » 9
Les œufs sont une source de nutriments
Les œufs comptent parmi les aliments les plus nutritifs de votre cuisine. Ils regorgent de vitamines, de protéines et de minéraux comme le calcium, le phosphore, le zinc et le sélénium.
• Les œufs contribuent à la santé oculaire — La lutéine et la zéaxanthine, deux antioxydants importants qui s'accumulent dans la rétine, sont abondantes dans les œufs. Ces nutriments protègent efficacement votre vision et contribuent à réduire le risque de cataracte et de dégénérescence maculaire.
RépondreSupprimer• La choline est l’un des nutriments les plus importants des œufs — Découvert en 1862, 10 ce composé abondamment présent dans les jaunes d’œufs offre une longue liste d’avantages, tels que le soutien de la fonction cérébrale, la santé du système nerveux, la synthèse de l’ADN, le développement sain du fœtus, la santé du foie, et bien plus encore. 11
La choline protège votre santé cardiovasculaire — La choline prévient l'accumulation d'homocystéine , un facteur de risque bien connu des maladies cardiovasculaires, car elle contribue aux lésions artérielles et augmente le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral . Des études démontrent qu'une alimentation riche en choline contribue à réguler le taux d'homocystéine, minimisant ainsi la pression exercée sur le système cardiovasculaire.
• La choline contribue également à la santé du foie. Votre corps utilise la choline pour prévenir l'accumulation de graisses dans le foie. Sans choline en quantité suffisante, les graisses et le cholestérol s'accumulent dans le foie, augmentant ainsi le risque de dysfonctionnement hépatique .
Puisque votre corps n'est pas capable de produire suffisamment de choline pour répondre à vos besoins, il est essentiel d'en obtenir par l'alimentation. Bien qu'il existe d'autres sources de choline, comme le foie et le bœuf, les œufs restent l'option la plus pratique et la plus répandue.
Les PUF sont les véritables coupables de votre alimentation
L'étude présentée met en évidence un autre facteur important : le rôle des graisses saturées dans l'augmentation du cholestérol LDL. Cependant, le problème se cache dans les détails, et dans ce cas précis, les graisses saturées en question font référence aux PUF, en particulier à l'acide linoléique (AL) oméga-6.
Vous avez besoin d'acide linoléique , mais seulement en quantités infimes — Vos besoins biologiques en acide linoléique sont très faibles, idéalement entre 1 et 2 % de vos calories quotidiennes. Cependant, il représente aujourd'hui plus de 15 à 25 % de l'apport calorique moyen d'un Américain. En effet, l'acide linoléique est présent en quantités excessives dans les huiles végétales transformées comme le soja, le maïs et le colza, des ingrédients que l'on retrouve dans presque tous les plats préparés et les plats de restaurant.
L' acide linoléique se transforme en métabolites dangereux de l'acide linoléique oxydé ( OXLAM) : ils endommagent l'ADN, perturbent la production d'énergie et provoquent une inflammation chronique dans tout l'organisme. Ils attaquent également les mitochondries, les usines énergétiques des cellules, et perturbent la production d'énergie par l'organisme. C'est pourquoi l'acide linoléique est associé à presque toutes les maladies chroniques du monde moderne, comme l'obésité, le diabète de type 2, la neurodégénérescence et les maladies cardiaques.
J'ai récemment publié un article dans la revue Nutrients sur les effets biologiques à long terme de l'acide linoléique. Je vous encourage à le lire, car il explique en détail comment l'acide linoléique perturbe votre organisme et comment vous pouvez remédier à ces dommages.
RépondreSupprimerL'acide linoléique est omniprésent dans l'alimentation actuelle. En fait, la plupart des gens ignorent que les aliments qu'on leur présente comme bons pour le cœur, comme certaines huiles, noix et en-cas emballés, surchargent en réalité leurs cellules d'un nutriment qu'elles ne sont pas censées absorber en si grande quantité. Pire encore, l'acide linoléique a une demi-vie biologique de près de deux ans ; si vous cessez d'en consommer aujourd'hui, vous continuerez à le métaboliser des années plus tard.
Cependant , la plupart des œufs conventionnels contiennent de grandes quantités de PUF. Cela est dû à la mauvaise qualité de l'alimentation des poules, ce qui contrecarre les bienfaits des œufs pour la santé. Si vous mangez plus de quatre œufs par jour, vous dépasserez probablement la limite recommandée d'acide linoléique (AL), qui est de 5 grammes par jour.
Mais comme je l'ai dit, le diable est dans les détails : il existe un moyen de profiter des avantages des œufs tout en évitant le LA présent dans les variétés conventionnelles.
Où (et comment) trouver les meilleurs œufs
Pour choisir les œufs les plus sains, privilégiez autant que possible les œufs de poules élevées en plein air. Privilégiez les œufs de poules élevées en plein air et issues de l'agriculture biologique. Ainsi, les poules disposent d'un grand espace pour se déplacer et se nourrir naturellement, sans être nourries avec des aliments contenant des pesticides.
• Achetez auprès de producteurs de confiance pour éviter que vos poules ne consomment des céréales riches en acide linoléique oméga-6. Cela permet d'obtenir des œufs à teneur réduite en lipides et à meilleure qualité nutritionnelle. La ferme d'Ashley Armstrong, Angel Acres Egg Co. , produit des œufs parmi les plus qualitatifs que j'aie jamais vus, et le secret réside dans l'alimentation de ses poules. Ainsi, leurs œufs contiennent 75 % moins d'acide linoléique que les œufs conventionnels.
• Les jaunes d'œufs sont les plus nutritifs — C'est là que se trouvent la plupart des nutriments. Angel Acres Egg Co. me fournit des jaunes d'œufs lyophilisés, et grâce à leur excellent profil nutritionnel, je peux manger trois jaunes d'œufs crus deux fois par jour, soit six au total.
• Cependant, pensez à modérer votre consommation de blancs d'œufs. En effet, ils sont riches en tryptophane, un précurseur de la sérotonine , une hormone dont il est important de limiter la production en raison de ses effets néfastes sur la santé. Je recommande également d'augmenter votre consommation de glycine, car elle contribue à réduire les effets d'un excès de tryptophane dans l'organisme. Le bouillon d'os et les jarrets faits maison sont de bonnes sources de glycine.
RépondreSupprimer• Accompagnez vos œufs d'autres aliments sains — L'accompagnement de vos œufs influence grandement leurs effets sur la santé. Au lieu de les associer à des viandes transformées comme du bacon ou des saucisses, privilégiez des aliments complets et riches en nutriments comme des fruits frais, des légumes racines ou des produits laitiers de pâturage.
Évitez de cuire les œufs dans des huiles végétales — ces mauvaises graisses sont riches en acide linoléique. Privilégiez le beurre, le ghee ou l'huile de coco provenant de poules élevées en plein air. Mieux encore, envisagez d'autres méthodes de cuisson : œufs durs, à la coque ou même pochés.
• Espacez votre consommation d'œufs — Bien qu'il puisse être tentant de manger des œufs quotidiennement, les recherches montrent qu'une à six fois par semaine est idéale pour le cœur et la santé générale. Si la consommation quotidienne d'œufs n'augmente pas nécessairement le risque de maladie, les bienfaits diminuent avec une consommation plus élevée. Envisagez d'alterner avec d'autres aliments riches en choline, comme le foie, le bœuf ou les produits laitiers de pâturage, pour diversifier vos apports nutritionnels.
Questions fréquemment posées (FAQ) sur les œufs et le cholestérol
Q : Les œufs augmentent-ils le mauvais cholestérol ?
R : Non. Une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition montre que la consommation quotidienne de deux œufs réduit le taux de cholestérol LDL (« mauvais ») lorsqu’elle est associée à un régime pauvre en graisses saturées.
Q : Quel est le véritable problème alimentaire s’il ne s’agit pas d’œufs ?
R : Le véritable facteur responsable d’un taux élevé de LDL est la graisse saturée, en particulier celle provenant des viandes transformées comme le bacon et les saucisses, et l’excès d’acides gras oméga-6 provenant des huiles de graines.
Q : Combien d’œufs peut-on consommer sans danger chaque semaine ?
RépondreSupprimerR : Des études suggèrent qu'une à six œufs par semaine constituent un apport idéal pour le cœur et la santé générale. Une consommation quotidienne n'augmente pas les risques, mais offre moins de bénéfices supplémentaires.
Q : Tous les œufs sont-ils également bons pour la santé ?
R : Non. Les œufs de poules élevées en plein air ont un meilleur profil nutritionnel et des niveaux inférieurs de graisses nocives comme l’acide linoléique par rapport aux œufs conventionnels provenant de poules nourries aux céréales.
Q : Quels sont les principaux bienfaits pour la santé de la consommation d’œufs ?
R : Les œufs favorisent la santé cardiaque, la santé oculaire, la fonction cérébrale et la protection du foie grâce à des nutriments comme la choline, la lutéine et la zéaxanthine, tout en aidant à réguler efficacement le cholestérol.
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Notes
1 The American Journal of Clinical Nutrition Volume 122, numéro 1, juillet 2025, pages 83-91
2, 5 SciTechDaily, 26 juillet 2025
3, 4 Science Alert, 27 juillet 2025
6 Front. Endocrinol., 13 juin 2024 Sec. Endocrinologie du vieillissement Volume 15 – 2024
7, 8, 12 Nutriments 2025, 17(2), 323
9 Euronews, 7 février 2025
10 Ann Nutr Metab. 26 novembre 2012 ;61(3):254-258
11 Nutr Rev. 2009 nov.;67(11):615-623
https://www.globalresearch.ca/eating-eggs-helps-lower-bad-cholesterol/5903314
La crise cachée de la transplantation d'organes
RépondreSupprimerCe qu'on ne nous dit pas sur la « mort cérébrale »
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
17 OCTOBRE 2025
Aperçu :
Le concept de « mort cérébrale », introduit en 1968 pour permettre le prélèvement d'organes, n'a jamais été comparé à la mort ; il se limite à définir un coma irréversible.
Des cas documentés de patients en « mort cérébrale » conscients existent, dont certains ont murmuré « à l'aide » alors que leurs organes étaient sur le point d'être prélevés.
Les pénuries mondiales d'organes ont alimenté un marché noir, avec environ 5 à 20 % des transplantations impliquant un prélèvement illégal, ce qui a accru la pression pour abaisser les normes diagnostiques de la « mort cérébrale ».
De récentes enquêtes fédérales ont révélé de graves défaillances dans le système américain de don d'organes : 29,3 % des cas examinés présentaient des signes inquiétants et 20,8 % des patients présentaient une activité neurologique incompatible avec le prélèvement. Pourtant, les coordinateurs de transplantation ont insisté pour que le don d'organes se poursuive.
Les receveurs d'organes sont confrontés à des défis permanents, notamment le phénomène peu connu de l'adoption de la personnalité et des souvenirs du donneur.
Des alternatives plus sûres et éthiques existent, comme les thérapies naturelles comme le DMSO, qui ont permis de réanimer des patients en état de mort cérébrale et de restaurer la fonction des organes, supprimant ainsi le recours à la greffe.
Lorsque j'ai obtenu mon permis de conduire il y a des années, on m'a demandé si je souhaitais donner mes organes. Ayant appris à me méfier des institutions et ayant entendu des histoires inquiétantes, j'ai refusé. Mais j'étais partagé : je crois qu'il faut traiter les autres comme on aimerait être traité, et si j'avais besoin d'une greffe un jour, je souhaiterais désespérément que quelqu'un soit prêt à m'aider à me sauver la vie.
Depuis, j'ai découvert des informations bien plus troublantes sur la transplantation d'organes, qui ont complètement bouleversé ma perspective. Récemment, RFK Jr. a fait quelque chose que je n'aurais jamais imaginé : il a officiellement annoncé que les garanties éthiques de notre système de don d'organes présentaient de nombreuses failles. Cela a ouvert la voie à d'autres personnes qui ont commencé à débattre de la triste réalité : des organes sont prélevés sur des personnes encore en vie.
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La Valeur des Organes
Au fil du temps, la médecine a transformé notre rapport culturel à la mort, passant d'un compagnon intime et accepté à un ennemi redouté, médicalisé et à vaincre (par exemple, un auteur retrace cette évolution en six étapes historiques, affirmant que la médicalisation a privé les individus de leur autonomie et transformé la mort en marchandise).
La médecine a alimenté cette transformation en accomplissant des « miracles » modernes, comme la réanimation cardiaque et la transplantation d'organes, franchissant ainsi ce qui était autrefois une frontière absolue entre la vie et la mort. Ce faisant, elle a acquis une immense confiance du public et la capacité de justifier des coûts exorbitants.
RépondreSupprimerCela a entretenu le mythe selon lequel la médecine peut vaincre la mort. Au fil du temps, la transplantation est devenue non seulement un moyen de survie, mais aussi un produit à consommer sans cesse au nom de la « santé », la transformant en une industrie extrêmement rentable qui représente aujourd'hui plus de 17,6 % des dépenses totales aux États-Unis.
Le nombre limité d'organes de donneurs viables (élément central de la maîtrise de la médecine sur la mort) a rapidement fait des greffes une ressource précieuse : leur coût varie de 446 800 $ à 1 918 700 $ selon l'organe. Compte tenu du besoin urgent d'organes et des sommes en jeu, il semblait raisonnable de supposer qu'un prélèvement illégal aurait lieu.
Au fil des ans, alors que la demande d'organes ne cesse d'augmenter, j'ai constamment constaté des preuves inquiétantes de ce phénomène. Cela inclut :
• Des individus victimes de ruse pour vendre un rein (par exemple, en 2011, un article devenu viral évoquait l’histoire d’un adolescent chinois qui avait vendu un rein pour un iPhone 4 – environ 0,0125 % du prix du marché noir, après quoi il a développé une septicémie et son autre rein a lâché, le laissant alité de façon permanente ; et en 2023, un riche homme politique nigérian a été condamné pour avoir tenté de tromper quelqu’un afin qu’il donne un rein pour une transplantation dans un hôpital anglais).
• Une enquête de Newsweek de 2009 et 2014, ainsi qu’un article de 2025, ont mis en lumière l’ampleur du trafic illégal d’organes, estimant que 5 % des transplantations d’organes dans le monde sont effectuées au marché noir (pour un total de 600 millions à 1,7 milliard de dollars par an), dont 75 % de reins en raison de la forte demande pour les traitements de l’insuffisance rénale et de la possibilité de survivre avec un seul rein (bien que cela réduise considérablement la vitalité). Environ 10 à 20 % des greffes de rein provenant de donneurs vivants sont illégales. Les acheteurs britanniques déboursent entre 50 000 et 60 000 dollars, tandis que les donneurs désespérés et démunis (par exemple, originaires de camps de réfugiés ou de pays comme le Pakistan, l'Inde, la Chine et l'Afrique) reçoivent une rémunération minimale et sont abandonnés en cas de complications médicales, malgré les promesses de soins. Pour citer l'article de 2009 :
Diflo est devenu un ardent défenseur de la réforme il y a plusieurs années, lorsqu'il a découvert que, plutôt que de risquer de mourir sur la liste d'attente américaine, nombre de ses patients dialysés les plus aisés se faisaient greffer en Chine. Ils pouvaient y acheter les reins de prisonniers exécutés. En Inde, Lawrence Cohen, autre anthropologue de l'Université de Californie à Berkeley, a constaté que des femmes étaient contraintes par leur mari à vendre des organes à des acheteurs étrangers pour contribuer aux revenus de la famille ou pour constituer la dot de leur fille. Or, si l'OMS estime que les réseaux de trafic d'organes sont répandus et en pleine expansion, elle affirme qu'il est quasiment impossible d'obtenir des données fiables.
RépondreSupprimerRemarque : ces rapports ont également souligné que ces opérations chirurgicales se déroulent en marge du système médical et impliquent des professionnels de santé complices qui affirment généralement ignorer leur illégalité (par exemple, il a été démontré que quelques hôpitaux américains, comme le Cedars Sinaï, étaient complices de ce trafic).
• Une affaire judiciaire de 2004 a vu un hôpital sud-africain plaider coupable d'avoir transplanté illégalement des reins de receveurs pauvres (ayant reçu entre 6 000 et 20 000 dollars) à des receveurs aisés (ayant versé jusqu'à 120 000 dollars).1 2
• De nombreux rapports font état de prélèvements d'organes par le gouvernement chinois sur des prisonniers politiques spécifiques.1,2,3,4,5 Ces preuves sont particulièrement convaincantes, d'autant plus que jusqu'en 2006, la Chine a admis que les organes provenaient de condamnés à mort (les données suggérant que cette pratique n'a pas cessé).
Remarque : le prélèvement d'organes sur des condamnés à mort représente l'un des moyens les plus fiables d'obtenir des organes sains immédiatement après le décès (ce qui constitue l'un des plus grands défis de la médecine de transplantation).
• J'ai lu des rapports sur des prélèvements d'organes pratiqués dans les zones de conflit du Moyen-Orient, par l'État islamique et lors du conflit du Kosovo, ainsi que par les cartels de la drogue.
Remarque : de nombreux autres cas inquiétants de prélèvements illicites d'organes sont abordés plus en détail ici. De même, de nombreux autres tissus précieux (par exemple, les tendons et les cornées) peuvent être prélevés sur des cadavres. L'éthique de leur prélèvement suscite également une controverse importante (par exemple, cette enquête souligne que l'industrie est fortement axée sur le profit et accorde peu de respect aux corps).
Quand la conscience est piégée
Différentes parties du cerveau contrôlent différents aspects de notre être, de sorte que les personnes encore conscientes peuvent parfois perdre complètement le contrôle de leur corps ou leur capacité à communiquer – ce que l'on appelle le syndrome d'enfermement.
Le cas le plus célèbre est celui de Martin, un adolescent de 12 ans atteint d'une méningite et entré dans un état végétatif. Il a été renvoyé chez lui pour mourir, mais il est resté en vie. À 16 ans, il a commencé à reprendre conscience, puis est devenu pleinement conscient à 19 ans. À 26 ans, un soignant a finalement réalisé qu'il était conscient et lui a offert un ordinateur de communication. Il s'est finalement marié.
RépondreSupprimerNote : Deux éléments de ses mémoires m’ont marqué : des années de hantise par sa mère qui lui a dit un jour : « J’espère que tu vas mourir », frustrée, et le fait qu’il ait confié : « Je ne peux même pas vous dire à quel point je détestais Barney » parce que le centre de soins lui faisait regarder des rediffusions de Barney tous les jours, le supposant végétatif.
Lorsqu’une personne est en fin de vie, certaines fonctions disparaissent avant d’autres. On observe fréquemment en soins palliatifs que le toucher et l’ouïe sont les derniers sens à disparaître (par exemple, des études montrent que l’ouïe persiste en fin de vie). C’est pourquoi je dis parfois aux familles endeuillées que leur proche en état de mort cérébrale pourrait encore entendre leur voix ou ressentir leur toucher.
Note : De nombreuses personnes réanimées rapportent des « expériences de mort imminente » où elles étaient conscientes de leur environnement alors que leur cerveau était supposément « mort », ce qui suggère que d’autres sens pourraient persister pendant la mort cérébrale.
Le problème de la mort cérébrale
Comme les organes perdent rapidement leur viabilité après le décès, la seule façon éthique de les obtenir est de les prélever sur une personne décédée, mais dont le corps conserve encore des organes en vie – une personne en état de mort cérébrale.
La mort cérébrale a été définie par un rapport du comité de la faculté de médecine de Harvard de 1968 intitulé « Définition du coma irréversible ». Ce rapport affirmait que son objectif était de « définir le coma irréversible comme un nouveau critère de décès » pour deux raisons : la charge que représentent les soins aux patients atteints de lésions cérébrales et la nécessité d'éviter toute controverse concernant l'obtention d'organes destinés à la transplantation.
Cependant, le comité était confiant quant au diagnostic de « coma irréversible », mais hésitait à le qualifier de « mort ». Un éthicien de Harvard a noté : « Ce lien entre une perte de connaissance irréversible et la mort n'a jamais été établi de manière convaincante.»
Les critères comprenaient l'absence de réponse aux stimuli, l'absence de respiration, l'absence de réflexes, l'absence d'ondes cérébrales et la réplication après 24 heures. Bien que rapidement adoptée, cette pratique a été immédiatement contestée par les médecins, qui estimaient que le prélèvement d'organes sur une personne présentant un battement de cœur était contraire à l'éthique, craignaient les erreurs de diagnostic et soupçonnaient que la motivation principale était d'éviter les coûts des soins de longue durée et d'obtenir des organes.
RépondreSupprimerRemarque : Des études récentes montrent que l'IRMf révèle une activité cérébrale intentionnelle chez 20 % des patients végétatifs, et que 25 % des patients incapables de réagir peuvent néanmoins activer des régions cérébrales lorsqu'on leur parle.
Le New York Times a récemment publié un essai prônant l'élargissement de la définition de la mort, arguant : « Nous devons élargir la définition de la mort… Dès lors que le patient a donné son consentement éclairé au don d'organes, le prélèvement aurait lieu sans délai… Nous aurions davantage d'organes disponibles pour la transplantation.»
Quand les patients en état de « mort cérébrale » sont réellement conscients
Des cas probants démontrent le bien-fondé de ces préoccupations. Zack Dunlap, un jeune homme de 21 ans déclaré en état de mort cérébrale après un accident de VTT, s'apprêtait à subir un prélèvement d'organes lorsqu'une infirmière proche a testé ses réflexes et obtenu des réponses. La greffe a été annulée et Zack s'est complètement rétabli. Point crucial : Zack est resté pleinement conscient pendant toute la durée de la greffe :
« Je me souviens ensuite d'être allongé dans mon lit d'hôpital, incapable de bouger, de respirer, incapable de faire quoi que ce soit, sous respirateur artificiel, et j'ai entendu quelqu'un dire : « Je suis désolé, il est en état de mort cérébrale… » J'ai essayé de crier, j'ai essayé de bouger, mais j'étais extrêmement en colère.»
Jahi McMath, une adolescente de treize ans déclarée en état de mort cérébrale suite à des complications liées à une amygdalectomie, a été maintenue sous assistance respiratoire par sa famille malgré les décisions de justice. Neuf mois plus tard, elle avait retrouvé ses ondes cérébrales et sa circulation sanguine, et pouvait se déplacer sur commande.
Des cas similaires incluent Lewis Roberts (qui a recommencé à respirer quelques heures avant le prélèvement d'organes), Ryan Marlow (diagnostic annulé suite à l'insistance de sa femme), Colleen Burns (qui s'est réveillée sur la table d'opération et dont le HHS a plus tard constaté qu'elle avait reçu des diagnostics erronés à plusieurs reprises) et Trenton McKinley (adolescente de 13 ans qui s'est rétablie avant la date prévue du don). Il y a également eu des cas comme celui de Steven Thorpe (déclaré en état de mort cérébrale par quatre médecins, ses parents ayant refusé le don d'organes et s'étant réveillé deux semaines plus tard) et celui de Gloria Cruz (son mari ayant refusé l'arrêt des soins et qui s'est rétablie).
RépondreSupprimerRemarque : Une étude récente a révélé que plus de 30 % des patients atteints de lésions cérébrales jugés irrécupérables se seraient partiellement ou totalement rétablis si les respirateurs artificiels n'avaient pas été retirés.
Prélèvements sur des patients conscients
Les cas les plus alarmants concernent les tentatives de prélèvement sur des patients conscients. Anthony Thomas « TJ » Hoover II, qui avait montré des signes de vie à plusieurs reprises mais était sous sédatif, a été amené au bloc opératoire les yeux ouverts. Des larmes coulaient sur son visage tandis qu'il murmurait « À l'aide » et se débattait pour éviter l'opération. Le chirurgien a refusé de procéder, mais le coordinateur a tenté de trouver un autre chirurgien.
Remarque : Dans un cas similaire, une femme diagnostiquée en état de mort cérébrale était en réalité « enfermée » et pouvait entendre tout ce qui l'entourait, y compris un médecin déclarant aux étudiants en médecine que son mari était « déraisonnable » de ne pas vouloir céder ses organes à des personnes qui pourraient en bénéficier, et qu'il était acceptable de parler ainsi en sa présence puisqu'elle était en état de mort cérébrale.
Il existe également des cas comme celui de James Howard-Jones, qui s'est réveillé juste avant le débranchement des respirateurs artificiels pour le prélèvement d'organes. De plus, plusieurs patients, dont un garçon de trois mois, un garçon de dix mois, une fille de 15 ans et une femme de 65 ans, tous déclarés en état de mort cérébrale, ont vu leur assistance respiratoire débranchée pour faciliter une transition en douceur, mais ont survécu et se sont rétablis de manière inattendue.
Remarque : Je soupçonne que ces histoires sont plus courantes qu’on ne le croit (par exemple, après la publication de cet article, des lecteurs, dont des médecins, ont fait état d’enfants ou de patients en état de mort cérébrale ayant ensuite complètement récupéré).
Des enquêtes fédérales révèlent des défaillances systématiques
Les organismes régionaux d’approvisionnement en organes facilitent les transplantations dans le cadre du Réseau d’approvisionnement et de transplantation d’organes (OPTN). En raison de pénuries chroniques d’organes (environ 5 600 décès par an en attente d’organes), l’OPTN a fait l’objet d’auditions cinglantes au Congrès et d’une enquête du ministère de la Justice.
Ils ont constaté que l'OPTN était corrompu et dysfonctionnel :
RépondreSupprimer20 à 25 % des reins perdus pendant le transport
80 % des organes éligibles non collectés
Une formation insuffisante empêchait le personnel de déterminer la mort cérébrale
Représailles contre les lanceurs d'alerte
Désinformation des familles et demande de consentement aux proches handicapés
Fraude à Medicare et modification des causes de décès
Le Congrès a donc adopté une loi en 2023 mettant fin au monopole de l'OPTN.
L'enquête explosive de la HRSA
L'Administration des ressources et des services de santé (HRSA) a mené une enquête approfondie après le refus de l'OPTN de divulguer des données critiques. Si l'enquête de l'OPTN n'a révélé « aucune préoccupation majeure », celle de la HRSA a révélé des tendances inquiétantes.
RFK Jr. a pris la décision sans précédent de rendre publiques ces conclusions choquantes, tout en sachant que cela saperait la confiance dans les dons d'organes.
Le rapport partiellement expurgé concluait :
« L’HRSA a constaté un profil de risque préoccupant pour les patients présentant des lésions neurologiques… De nombreux patients ont présenté des douleurs ou une gêne lors des interventions péri-prélèvement, le personnel de l’OPO n’ayant pas évalué correctement la fonction neurologique ou ayant présenté des résultats incohérents avec une récupération réussie des organes sans modification du plan.»
L’ampleur de la situation était alarmante : parmi les cas autorisés mais non récupérés (ce qui signifie qu’un incident de dernière minute s’est produit), l’HRSA a constaté que 103 patients (29,3 %) présentaient des caractéristiques préoccupantes, dont 73 patients (20,8 %) présentant un état neurologique incompatible avec un prélèvement d’organes. Au moins 28 patients (8 %) n’avaient pas d’heure de décès cardiaque notée, ce qui suggère une survie potentielle.
Remarque : ANR signifie « autorisé mais non récupéré » : un problème de dernière minute (comme la réanimation du donneur) a interrompu le prélèvement.
Le rapport a révélé des erreurs systématiques de déclaration des cas d’intoxication médicamenteuse, où un état mental dépressif dû à la drogue était confondu avec une lésion cérébrale permanente.
Les médias grand public confirment l’horreur
Une enquête du New York Times de juillet 2025 a corroboré ces conclusions :
« Cinquante-cinq professionnels de santé dans 19 États ont déclaré au Times avoir été témoins d’au moins un cas inquiétant… des coordinateurs persuadant des cliniciens hospitaliers d’administrer de la morphine, du propofol et d’autres médicaments pour accélérer la mort de donneurs potentiels.»
RépondreSupprimerUn technicien chirurgical a décrit une femme en pleurs, alerte, qui était pourtant sous sédatif : « J’avais l’impression que si on lui avait laissé plus de temps sous respirateur, elle aurait pu s’en sortir… J’avais l’impression d’avoir contribué à la mort de quelqu’un.»
Le Dr Wade Smith, neurologue à l’UCSF, a conclu : « Je pense que ce type de problèmes est bien plus fréquent qu’on ne le pense. » Vivre avec une greffe
Les greffes ne sont pas le miracle qu'on leur présente. Les taux d'échec sont importants :
• Poumon : 10,4 % (dans l'année), 72 % (dans les 10 ans)
• Cœur : 7,8 % (dans l'année), 46 % (dans les 10 ans)
• Rein : 5 % (dans l'année), 46,4 % (dans les 10 ans)
• Foie : 7,6 % (dans l'année), 32,5 % (dans les 10 ans).
Les patients doivent suivre à vie un traitement immunosuppresseur coûtant entre 10 000 et 30 000 dollars par an, avec de nombreux effets secondaires graves. Une vaccination complète est également généralement requise, ce qui a suscité la controverse pendant la COVID-19, lorsque des personnes se sont vu refuser une greffe pour avoir refusé les vaccins contre la COVID-19 (et sont parfois décédées des suites de ces vaccins obligatoires).
Le plus choquant est que le vaccin contre la COVID-19 pourrait augmenter le risque de rejet de greffe. J'ai reçu de nombreux signalements de mon réseau à ce sujet et j'ai trouvé un article documentant 44 cas de rejet de greffe cornéenne suite à l'administration du vaccin contre la COVID-19, ainsi que des résultats similaires pour les greffes rénales (36 cas) et hépatiques (12 cas).
Remarque : Il a été démontré que le DMSO prévient le rejet de certaines greffes tissulaires, potentialise de nombreux médicaments (par exemple, les médicaments contre le rejet d'organes), permettant ainsi l'utilisation de doses plus faibles et plus sûres, réduit considérablement les réponses auto-immunes (traitant ainsi de nombreuses maladies rhumatologiques) et restaure les organes défaillants. Tout cela suggère qu'il pourrait améliorer considérablement les résultats pour les receveurs de greffe.
Le coût émotionnel des greffes
RépondreSupprimerLes receveurs de greffe sont souvent confrontés à un stress psychologique intense, de l'incertitude liée à l'attente d'un donneur au risque omniprésent de rejet d'organe, en passant par la gestion permanente de besoins médicaux complexes.
L'une des sources de stress les plus négligées et pourtant les plus profondes est le phénomène de transfert de personnalité, de préférences et de souvenirs du donneur au receveur. De nombreux cas documentés décrivent des receveurs acquérant de nouveaux traits – tels que des préférences alimentaires, des talents ou même des changements d'orientation sexuelle – étroitement liés à ceux du donneur, sans en avoir eu connaissance au préalable. Dans des cas exceptionnels, des receveurs ont rapporté des souvenirs d'événements qu'ils n'avaient jamais vécus, notamment des détails sur le décès du donneur, qui ont ensuite contribué à élucider des crimes.
L'impact psychologique de l'intégration de ces traits inattendus – essentiellement des éléments de l'identité d'une autre personne – peut être profondément déstabilisant. De plus, la recherche et l'observation clinique suggèrent que les receveurs qui résistent ou peinent à accepter ces changements peuvent connaître davantage de complications après la transplantation. De même, nous observons fréquemment un transfert important avec les organes, et il est souvent nécessaire de libérer les émotions emprisonnées par l'organe pour améliorer les résultats de la transplantation.
Ces observations soulèvent des questions complexes sur la nature de la conscience, de la mémoire et de l'identité. Elles mettent également en avant des préoccupations éthiques, en particulier si le fait de recevoir des organes prélevés sans le consentement éclairé du donneur entraîne des conséquences spirituelles tangibles.
Ce qui doit changer
De nombreux problèmes persistants au sein du système américain de transplantation d'organes découlent du manque de responsabilité et de la concurrence au sein du Réseau d'approvisionnement et de transplantation d'organes (OPTN). Pendant des décennies, l'OPTN a fonctionné avec une supervision minimale, ce qui l'a peu incité à améliorer les protocoles d'identification des donneurs (par exemple, identifier les patients en état de mort cérébrale encore en vie), à investir dans de meilleurs outils de diagnostic ou à moderniser les pratiques de prélèvement d'organes afin de réduire la perte d'organes vitaux.
Pour résoudre ces problèmes systémiques, des réformes significatives sont nécessaires de toute urgence :
Amélioration des normes diagnostiques : Intégrer des méthodes avancées d'évaluation de la conscience, telles que l'IRM fonctionnelle (IRMf) et d'autres techniques de neuroimagerie, permettant de détecter des signes subtils de conscience souvent ignorés par les évaluations traditionnelles.
Supervision indépendante : Établir une séparation claire entre les organismes de prélèvement d'organes et les équipes soignantes. Tous les dossiers de donneurs potentiels devraient être examinés par des comités d'éthique et médicaux indépendants.
RépondreSupprimerGaranties juridiques : Mettre en place des protections juridiques plus strictes, notamment des délais d'attente obligatoires, des contre-avis médicaux par des professionnels indépendants et des droits familiaux irrévocables sous la pression.
Transparence et responsabilité : Mettre en place des mécanismes de surveillance rigoureux, de solides protections des lanceurs d'alerte et des sanctions applicables pour les organisations qui enfreignent les normes éthiques.
Plus important encore, il est essentiel de privilégier des alternatives viables à la transplantation d'organes conventionnelle, car tant que la demande dépassera largement l'offre, des pratiques contraires à l'éthique apparaîtront inévitablement. Heureusement, plusieurs solutions prometteuses sont d'ores et déjà à portée de main :
Thérapies naturelles et régénératrices : Tout au long de ma carrière, j'ai vu de nombreuses thérapies « alternatives » marginalisées restaurer des organes défaillants. De même, des médecins lecteurs ont rapporté que le DMSO avait sauvé des foies et des poumons, permettant ainsi à leurs patients d'être retirés de la liste d'attente pour une transplantation.
Organes issus de la bio-ingénierie : La recherche de pointe fait progresser le développement d'organes synthétiques et cultivés en laboratoire, qui pourraient être commercialisés d'ici une décennie.
Solutions pour les donneurs vivants : Dans de nombreux cas, un donneur vivant en bonne santé, souvent un membre de la famille, peut donner en toute sécurité des organes non essentiels, comme un rein, réduisant ainsi considérablement le recours aux greffes à partir de donneurs décédés.
Inversion de la mort cérébrale : Le DMSO intraveineux a montré un succès remarquable dans la réanimation de patients diagnostiqués en état de mort cérébrale ou présentant des troubles neurologiques graves (et nécessitant des soins médicaux coûteux à vie). Malgré des décennies de preuves cliniques soutenant son potentiel, la médecine conventionnelle a largement ignoré cette thérapie peu coûteuse pour la mort cérébrale.
Remarque : de nombreux cas documentés de prélèvement d’organes sur des personnes paralysées mais conscientes illustrent parfaitement les cas où le DMSO a permis une guérison neurologique complète.
En bref, de récentes enquêtes fédérales ont révélé des failles dans un système qui ne peuvent plus être ignorées. Nous avons aujourd'hui une occasion cruciale non seulement de réformer un processus profondément défaillant, mais aussi de promouvoir des alternatives éthiques et innovantes qui respectent la dignité de chaque vie humaine. La décision historique du HHS du 18 septembre, une première en son genre, de retirer l'agrément d'un important organisme de prélèvement d'organes (desservant plus de 7 millions de personnes dans le sud de la Floride) en est une illustration. Elle est le fruit de violations chroniques et flagrantes, notamment des pratiques dangereuses liées à des signes d'activité neurologique chez les donneurs potentiels, une formation inadéquate, un manque de personnel et des dossiers falsifiés. Ce qui constitue un avertissement sans équivoque pour l'ensemble du secteur.
RépondreSupprimerIl appartient à chacun d'entre nous – patients, prestataires de soins, décideurs politiques et citoyens – de veiller à ce que les décisions médicales soient prises dans le meilleur intérêt de la personne, et non sous la pression de la demande d'organes. Le don d'organes touche à l'un des aspects les plus sacrés de la condition humaine, et il est temps de veiller à ce qu'il soit respecté.
Note de l'auteur : Ceci est une version abrégée d'un article plus long qui détaille les points mentionnés ici (par exemple, les thérapies permettant de restaurer les organes défaillants, l'important corpus de données que la conscience contient et les méthodes de libération des traumatismes émotionnels emprisonnés). Cet article, ainsi que des liens et des références supplémentaires, peuvent être consultés ici.
https://www.midwesterndoctor.com/p/the-hidden-crisis-in-organ-transplantation*
Après le 'Prenez-leurs leur entrailles !" suite intelligente "Et pourquoi pas leur cerveau ?" HAHAHAHA ! Parce que le QI n'est interceptable.
Supprimer"Make Europe Healthy Again", à Bruxelles, les interviews de Perronne, Fouché et Malone qui appellent à la refonte de la Santé en Europe
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 16 octobre 2025 - 19:49
Hier, France-Soir était au Parlement européen qui accueillait le lancement de Make Europe Healthy Again (MEHA), initié par l’eurodéputé autrichien Gérald Hauser. Réunissant médecins, chercheurs, juristes et élus venus de plusieurs continents, l’événement a posé les bases d’une plateforme engagée pour « faire de la santé publique un bien commun, à l’abri des conflits d’intérêt et des dérives bureaucratiques ». Porté par la médecin autrichienne Maria Hubmer-Mogg, ce projet entend réformer la gouvernance sanitaire européenne, dénoncer la dépendance de l’Agence européenne des médicaments à l’industrie, et promouvoir une transparence accrue.
Les interventions de figures comme le cardiologue britannique Aseem Malhotra et le chercheur américain Robert Malone ont marqué le ton : remettre la prévention, l’éthique et la souveraineté au cœur de la santé, contre ce qu’ils qualifient de « capture commerciale » du savoir scientifique. Entre critiques de l’OMS, plaidoyer pour le consentement éclairé et défense d’une approche globale de la santé — intégrant environnement, nutrition et liberté individuelle —, la journée a pris des airs de manifeste. Hubmer-Mogg appelant à « réhabiliter la pluralité des approches ».
Le Pr Christian Perronne, s’est réjoui de cette initiative « d’Européens, notamment d’Autriche », soutenue par des figures américaines « proches de l’équipe de Kennedy ». Il a salué « la richesse des échanges entre médecins, chercheurs, avocats, journalistes », estimant que « quelque chose démarre en Europe pour restaurer la santé ». Selon lui, MEHA pourrait devenir un catalyseur pour rassembler les collectifs de terrain en France et ailleurs : « Si cette initiative internationale permet à ceux qui travaillent chacun dans leur coin de se parler et de collaborer, ce serait formidable. Plus on sera ensemble, plus on sera forts. » Tout en affirmant ne « pas croire à l’utopie d’une Europe unie pour la santé », il voit dans le dialogue transnational un levier concret pour peser sur les politiques publiques. « Ce que fait Kennedy aux États-Unis est prodigieux : il lutte contre la corruption, pour une alimentation saine et pour une recherche enfin intègre », a-t-il ajouté, appelant à s’inspirer de cette dynamique pour « changer la politique en Europe ».
Parmi les voix françaises, celle du Dr Louis Fouché s’est distinguée par un discours à la fois symbolique et ancré dans une réflexion éthique profonde. « Nous sommes au cœur du mal, dans le temple de l’Union européenne », a-t-il déclaré en évoquant les barbelés qui entourent le Parlement de Bruxelles, image selon lui du paradoxe d’une démocratie « prise dans ses propres filets ». Membre à la fois du Steering Committee et de l'International Advisory Board de MEHA, Fouché assume un rôle actif dans la gouvernance du mouvement, tout en insistant sur la nécessité de rester « non-clivant, non-partisan, non-politicien ».
RépondreSupprimerMEHA doit incarner une renaissance humaniste, capable de fédérer au-delà des idéologies : « Quand on met des humains ensemble, ils ont envie de construire quelque chose de plus beau. » Il plaide pour une santé « intégrale et intégrative », ouverte aux savoirs et médecines traditionnels comme l’ayurvéda, la médecine chinoise ou l’homéopathie, et critique la mainmise des grandes industries : « Aujourd’hui, ce sont les conseils d’administration des multinationales qui décident de ce que vous mettez dans votre corps. »
Louis Fouché rappelle l’urgence de retrouver la souveraineté sanitaire et politique : « Pourquoi laisser notre souveraineté dans les mains de tutelles internationales, financières ou institutionnelles ? Il y a un moment, il faut dire non. » Mais derrière son engagement, pointe aussi une mise en garde. Le médecin redoute que Make Europe Healthy Again ne devienne qu’un prolongement du mouvement américain, voire une forme de néo-colonialisme idéologique : « Si c’est un nouveau plan Marshall, imposant encore ses vues à l’Europe, je ne souhaite pas en faire partie. » Pour lui, MEHA ne doit pas reproduire la dépendance d’après-guerre, mais s’émanciper d’elle : bâtir une Europe de la santé réellement autonome, capable d’innover sans se soumettre. Il plaide ainsi pour une déclinaison française du mouvement, non pas sous forme de parti, mais comme « une plateforme de politique de santé dont n’importe quel parti puisse s’emparer », dans un esprit de liberté, d’équilibre et de coopération entre les peuples.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/make-europe-healthy-again-bruxelles-les-interviews-de-perronne-fouche-et-malone-qui
(...) « quelque chose démarre en Europe pour restaurer la santé ». (...)
SupprimerQuelque chose démarre... 5 ANS APRÈS la FAUSSE arrivée d'une poussière dans l'air !
5 ans après la sortie immédiate d'une expérimentation génique d'essais frauduleusement et criminellement appelée 'vaccin', les flacons mortels qui venaient de sortir de laboratoires nazis ont été examinés pare des scientifiques. Les Dr Astrid Stuckelberger et la Dr Carrie Madej ont publié immédiatement les rapports d'analyses sur Internet à la vue de 8 milliards de personnes.
Mais les FAUX 'Dr' réunis à Bruxelles n'en ont pas tenu compte !!
*
1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
Supprimer7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
Le déploiement de robots suscite un débat mondial sur le contrôle, la résistance et les risques existentiels, dans un contexte de craintes de dépopulation.
RépondreSupprimer16/10/2025
Finn Heartley
L'intégration des robots suscite des craintes dystopiques : Les systèmes autonomes utilisés dans la sécurité publique inquiètent les militants, qui mettent en garde contre les excès de la robotique et les programmes de dépopulation. Des « kill teams » ciblent les robots, tandis que les gouvernements arment des robots policiers, ravivant ainsi les débats sur les libertés civiles et un contrôle « à la Terminator ».
Mandats et surveillance axés sur la technologie : Des entités mondialistes comme Bill Gates et le Forum économique mondial (FEM) utiliseraient des robots, des véhicules électriques et des réseaux intelligents comme armes pour faire respecter les mandats et surveiller les populations. L'IA pourrait garantir le respect des vaccins, favorisant ainsi le développement de modes de vie autonomes et l'adoption de monnaies adossées à l'or comme moyen de résistance.
Collusion réglementaire et allégations de dépopulation : D'anciens espions accusent les entreprises technologiques, l'industrie pharmaceutique et les régulateurs de s'entendre pour accélérer la dépopulation via l'IA et les crises liées à la bio-ingénierie. Les critiques mettent en garde contre les systèmes qui « détournent le consentement », exploitent la peur et déstabilisent les sociétés au profit d'un contrôle mondialiste.
Ruée vers l'or : une échappatoire aux systèmes fiduciaires : La flambée des prix de l'or et de l'argent reflète la méfiance envers l'effondrement des monnaies fiduciaires. Adams relie ce phénomène à l'instabilité systémique, soulignant que les banques centrales thésaurisent l'or comme des casinos pour les élites, tandis que d'autres adoptent les cryptomonnaies et les métaux précieux.
Fracture technologique éthique : Outil ou tyrannie ? Si l'IA open source comme Enoch renforce la résistance, son utilisation abusive risque d'être piratée ou de causer des dommages sociétaux massifs. Adams souligne : « Les robots manquent de jugement ; ce sont des outils. Le combat est de savoir qui les utilise de manière éthique contre les élites.»
RépondreSupprimerL'intégration rapide des systèmes autonomes dans les fonctions de sécurité publique, de surveillance et d'application de la loi a déclenché une vive controverse, tandis que les mouvements décentralisés et d'anciens membres du renseignement mettent en garde contre un avenir dystopique lié à l'emprise excessive de la robotique et aux programmes de dépopulation. Des groupes d'autodéfense, invoquant la crainte d'un « Nouvel Ordre Mondial » imposé par des technologies basées sur l'IA, ont formé des « kill teams » ciblant les équipements robotiques, tandis que les gouvernements s'efforcent d'équiper les robots policiers de moyens de dissuasion non létaux – une démarche que leurs détracteurs comparent à des « guerres à la Terminator » érodant les libertés civiles.
Au cœur du débat se trouve une proposition effrayante : les robots, associés aux flottes de véhicules électriques et aux réseaux intelligents, sont instrumentalisés par des entités mondialistes comme les entreprises de Bill Gates et le Forum économique mondial pour faire respecter les obligations vaccinales et surveiller les populations. Comme l'a récemment souligné un animateur de podcast de Brighteon, les robots et l'IA pourraient bientôt faire respecter les obligations vaccinales, à l'image d'une parodie virale fictive dans laquelle des robots-agents hurlent : « Citoyen, votre conformité aux soins de santé est… insuffisante.» De telles visions ont suscité des mouvements de résistance qui se sont ralliés à la vie autonome, aux protocoles de détoxification des protéines Spike et aux monnaies adossées à l'or comme antidotes au contrôle centralisé.
La montée de la résistance des robots
Les activistes décentralisés affirment que les robots sont les chevaux de Troie du « Nouvel Ordre Mondial Vert », permettant la surveillance de masse et le dépeuplement par des tactiques de « mise à mort douce ». Ces groupes mettent en avant l'autosuffisance grâce à la permaculture et aux cages de Faraday pour contrer l'asservissement électromagnétique. Parallèlement, les législateurs proposent d'équiper les robots de maintien de l'ordre d'outils non létaux, une mesure que les critiques dénoncent comme le signe avant-coureur d'une violence cautionnée par l'État.
D'anciens agents des services de renseignement dénoncent une collusion entre les entreprises technologiques, les géants pharmaceutiques et les régulateurs : un cycle de mainmise réglementaire permettant aux systèmes d'IA de provoquer le dépeuplement par le biais de crises bio-ingéniérisées. « Ces systèmes détournent le consentement, manipulent la perception et ouvrent la voie à l'effondrement de la société », prévient Mike Adams du Health Ranger Store.
La ruée vers l'or, soupape de sécurité
RépondreSupprimerAu milieu du chaos, les métaux précieux ont flambé. L'argent a atteint 53 onces l'once, l'or 4 230 onces, tandis que les devises vacillent et que la défiance envers la monnaie fiduciaire s'accentue. Mike Adams, fondateur de Brighteon, attribue cette hausse aux craintes d'un effondrement systémique, soulignant que « les banques centrales accumulent de l'or comme des casinos pour les riches, tandis que le reste de la population fuit la dette numérique ». L'augmentation de la possession d'or reflète une tentative désespérée de contourner le dépeuplement induit par la monnaie fiduciaire, s'alignant sur les mouvements hors réseau prônant l'autonomie souveraine.
L'épée à double tranchant de la technologie
Les défenseurs de l'IA et des robots affirment que l'IA et les robots peuvent renforcer la résistance populaire. Par exemple, le modèle open source Enoch de Brighteon décentralise les connaissances et contrecarre la désinformation dominante. Pourtant, les risques opérationnels sont évidents : des pirates informatiques pourraient « effacer l'esprit » des robots pour les transformer en armes, tandis que des dysfonctionnements accidentels ou des acteurs malveillants pourraient déclencher des violences liées aux robots.
« Il ne s'agit pas de science-fiction, mais d'une lutte pour la maîtrise humaine de la technologie », prévient Adams. « Les robots manquent de jugement ; ce sont des outils. La question est : qui les utilise ? »
Le défi est désormais de taille : la société peut-elle concilier utilisation éthique de l'IA et contrôle incontrôlé des entreprises et des gouvernements ? Avec les prévisions de hausse du chômage, les menaces à la cybersécurité et les craintes existentielles liées à la domination de l'IA, la lutte pour les robots – et l'avenir qu'ils représentent – est loin d'être terminée.
Regardez l'épisode du 16 octobre de « Brighteon Broadcast News » où Mike Adams, le Health Ranger, évoque les équipes d'autodéfense qui traqueront les robots lors des guerres Terminator à venir.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
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AI robots will outsmart and exterminate humans—because we programmed them
Amazon nears tipping point as robots rival human workforce in warehouses
Urgent Wake-Up Call: The Coming AI Robot Wars and the Great Human Unity
Sources include:
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-10-16-robot-deployment-sparks-global-debate-over-control-resistance-depopulation.html
(...) L'IA pourrait garantir le respect des vaccins, favorisant ainsi le développement de modes de vie autonomes et l'adoption de monnaies adossées à l'or comme moyen de résistance. (...)
SupprimerCe qui est totalement faux car, LIA est un PROGRAMME. Un programme malfaisant de type 'pirate d'ordinateurs' qui n'AUCUNE intelligence (puisque artificielle).
L'or n'a jamais été adossé à la monnaie. Le prix de l'or (MP) est fixé par un bureau et n'ont par le nombre de transactions (d'où son prix plancher face a sa rareté).
Trump devrait dire aux dirigeants européens de fermer et de cesser de fantasmer sur la guerre avec la Russie
RépondreSupprimerLes bizarres mondialistes à Berlin, Paris et Londres sont un danger extrême pour l’humanité. Trump devrait les traiter comme tels.
John Leake
20 oct 2025
Au mieux, Friedrich Merz. Emmanuel Macron et Keir Starmer sont des enfants irrationnels. Plus probablement, ce sont des marionnettes de banquiers mondialistes qui sont déterminées à détruire l'Europe. En ce qui concerne la guerre par procuration de l’Occident contre la Russie en Ukraine, ils représentent un danger extrême pour l’humanité, et le président Trump devrait les traiter comme tels.
À ce stade, Trump devrait voir ces clowns de la manière dont les parents aimants peuvent venir voir un enfant adulte toxicomane. De tels parents veulent aider leur enfant à surmonter sa dépendance et à se mettre sur la voie d’une vie bonne et productive. Cependant, finalement, ils doivent compter sur le fait qu’il ne peut pas être aidé, et qu’il leur ruinera s’ils ne lui disent pas de rester à l’écart. Plus besoin de leur voler, d’amener ses amis toxicomanes, de les appeler à le renflouer de prison et de leur demander de payer ses visites de réadaptation qui ne fonctionnent pas. Le père doit dire au fils: «Battez-le, et si vous revenez ici, j’appellerai le shérif et porterai plainte pour invasion de domicile.»
Pour régler la guerre en Ukraine, le président Trump doit dire à Zelensky et aux Trois Amigos à Berlin, Paris et Londres qu’il est temps pour eux de se taire et de prendre des vacances – peut-être aux suites Bill&Coo sur Mykonos, où ils peuvent devenir bizarres les uns avec les autres – et laisser les vrais hommes régler ce conflit une fois pour toutes.
Les Trois Amigos dans un train pour Kiev en mai.
Ce que je propose, c'est de mettre de côté toutes nos présuppositions selon lesquelles l'Europe occidentale serait la place de la démocratie représentative, de la prudence et de la raison. Quiconque a passé beaucoup de temps en Europe ces dernières années sait que ce n'est plus le cas.
Si le président Trump se remet de la responsabilité de régler la guerre en Ukraine à Zelensky et aux Trois Amigos, ils créeront probablement une crise de style de juillet 1914 qui entraînera une guerre européenne générale, et la pression montera sur les États-Unis pour la régler sur le champ de bataille.
Quiconque a sérieusement étudié la crise de juillet 1914 reconnaît que les conditions en Europe ressemblent maintenant étrangement à celles qui ont prévalu au cours de cet été fatidique. Nous voyons la même irrationalité obstinée, l’esprit sanglant et les hypothèses absurdement optimistes sur l’issue probable de la guerre. Dans les dirigeants européens aujourd’hui, nous voyons la même vanité et la même prédilection pour les jeux d’argent et peut-être même le suicide.
Le président Trump ne devrait pas permettre aux Zelensky et aux Trois Amigos de suivre cette même voie sombre. Il devrait leur dire très clairement que le cours imprudent qu'ils poursuivent menace la sécurité non seulement de leur propre peuple, mais aussi du peuple américain, et qu'il ne tolérera pas cela.
https://www.thefocalpoints.com/p/trump-should-tell-europes-leaders?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=176646698&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
RépondreSupprimerFaut-il encore augmenter les taxes foncières ?
20 octobre 2025
Philbert Carbon
Robin Rivaton, spécialiste de l’immobilier, plaide pour une augmentation de la taxe foncière dans une chronique aux Échos. Plus précisément, il défend la suppression des droits de mutation à titre onéreux (DTMO) et leur remplacement par la taxe foncière.
Il explique que la France est l’un des pays qui taxent le plus la transaction immobilière. Or, argumente-t-il avec conviction, « taxer le stock plutôt que le flux augmente la friction à la mobilité résidentielle. Ces taxes pénalisent la bonne adéquation des ressources sur le marché du travail. Elles pèsent de manière disproportionnée sur les primo-accédants car la charge fiscale est capitalisée dans les prix de l’immobilier. Elles figent encore plus le marché car les jeunes ménages qui ne pourront pas acheter resteront locataires. »
Il propose donc de refondre la taxe foncière avec un taux de 0,57% sur la valeur nette du bien déduction faite de la dette d’acquisition. Elle rapporterait ainsi autant que la taxe foncière et les DTMO actuels.
Les arguments de Robin Rivaton ne sont pas sans intérêt. Ils souffrent cependant, à notre sens, de trois tares principales. La première est que la taxe serait nationale et « redistribuée aux départements par péréquation ». Par conséquent, au lieu de favoriser l’autonomie fiscale des collectivités, la proposition renforce leur dépendance vis-à-vis de l’État.
Deuxième tare, cette taxe semble toujours réservée aux propriétaires. Les bailleurs pourront-ils se la faire rembourser par leurs locataires ? Les HLM, qui sont souvent exonérées de taxe foncière aujourd’hui, y seront-elles soumises ? Par ailleurs, elle est assise sur la valeur du bien. Est-ce vraiment la bonne base pour les contributions locales ?
Troisièmement enfin, nous sommes persuadés que le taux proposé de 0,57% ne resterait pas longtemps à ce niveau, étant donné l’état des finances publiques. L’observatoire national des taxes foncières de l’UNPI ne montre-t-il pas que la taxe foncière a augmenté de 37,3% en moyenne entre 2014 et 2024 alors que l’inflation n’a augmenté que de 19,9% sur la période, et l’indice des loyers d’habitation de 8,7% ? R. Rivaton explique que, « quand les finances publiques sont en crise, les droits de mutation à titre onéreux sont devenus une ressource facile, addictive, qu’on peut augmenter quand le rendement devient décevant parce que le marché immobilier ralentit ». Mais pourquoi en serait-il autrement de la nouvelle mouture de la taxe foncière ? Il y a même fort à parier qu’au fil du temps une partie du rendement de cette taxe ne soit plus versée localement et gardée par l’État pour combler son déficit chronique.
Si les impôts locaux doivent servir à payer les services rendus par les collectivités, il nous semble que, là aussi, une flat tax serait l’outil le plus approprié.
https://contrepoints.org/faut-il-encore-augmenter-les-taxes-foncieres/
Lorsque vous achetez une voiture elle est payée point barre, mais lorsque vous achetez une maison ou terrain il n'est jamais à vous ! Le propriétaire doit encore payer ! Payer chaque année une taxe foncière !
SupprimerPour la voiture la vignette payée chaque année (pour les vieux !!) a disparue des pare-brise. Il s'agissait là d'une sorte de 'taxe foncière' déguisée' en auto-collant. L'argent récolté devait servir les personnes âgées mais au contraire elle remplissait les poches des escrocs au pouvoir !
Quand on achète quelque chose la consommation s'arrête. On ne va pas payer toute sa vie une vignette collée à la bicyclette ou aux pompes achetées il y a 10 ou 20 ans !
En 2012 j'avais calculé que chaque habitant sur Terre a droit à 7 hectares 8.476 m²/hab. (la population était alors de 6 milliards 500 000 habitants). Chacune et chacun avait donc un morceau de terre et de mer et de désert et de glacier. En Démocratie personne n'impose l'autre. En dictatures l'esclave n'est JAMAIS libre d'aller et venir, de parler ou même d'avoir.
60 % de taxes sur l’héritage et ça ne suffit pas
RépondreSupprimer18 octobre 2025
Lorenzo Delpech
Sur France TV, Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale et membre du parti Renaissance, a estimé que l’héritage était un « truc tombé du ciel » et qu’il faudrait davantage le taxer. Pourtant, la France détient déjà l’un des taux les plus élevés d’Europe, pouvant atteindre 60 %.
Dans le reste du continent, les taux sont bien plus faibles. Selon Tax Foundation, il est de 10 % au Portugal, entre 4 et 8 % en Italie, entre 7 et 50 % en Allemagne, entre 10 et 40 % aux Pays-Bas. Dans plusieurs pays de l’Est, c’est encore moins : entre 5 et 10 % en Lituanie, entre 9 et 18 % en Hongrie, entre 0 et 20 % en Pologne, notamment. De nombreux pays européens ont même totalement supprimé cet impôt, entre autres la Norvège, la Slovaquie, Chypre, l’Estonie, l’Autriche, la Géorgie, la Moldavie. En Suisse, cela varie selon les cantons, certains ne prélèvent rien.
Pendant que d’autres allègent la charge sur la transmission familiale, la France, elle, songe donc à l’alourdir..
https://contrepoints.org/60-de-taxes-sur-lheritage-et-ca-ne-suffit-pas/
Pour Yaël Braun-Pivet, les héritages « tombent du ciel »
RépondreSupprimer17 octobre 2025
Jean-Philippe Feldman
Invitée de France 2 le 15 octobre, Yaël Braun-Pivet s’est subitement attaquée aux donations et successions : « Des héritages passent de génération en génération, vous savez ce truc qui vous tombe du ciel. Il y a un moment où ça suffit ! ». Et d’ajouter : « Il faut en tout cas taxer davantage les héritages et mettre le sujet en débat sur la table », avant de conclure : « La circulation des richesses de génération en génération ne se fait pas bien dans notre pays et ça n’est pas sain ».
Nous souhaiterions féliciter la Présidente de l’Assemblée nationale. Voilà une riche idée, sans mauvais jeu de mots. Car, en dépit d’une nuée de propositions de matraquage supplémentaire des donataires et des héritiers depuis plusieurs années par la Commission Blanchard-Tirole, le Conseil d’analyse économique, la Fondation Jean Jaurès ou encore Oxfam France, entre autres, l’idée n’était plus en première ligne au sein du Parti socialiste, tout occupé qu’il était de faire suspendre la réformette des retraites et d’introduire la si intelligente « taxe Zucman » !
Danger : l’épidémie de fiscalisme frappe de plus en plus les macronistes de gauche
Nous marquons notre accord avec Mme Braun-Pivet. Oui, les enfants « tombent du ciel » ; les parents ne font jamais d’enfants pour qu’ils leur succèdent, c’est bien connu. Et oui, l’État est le mieux placé pour faire « circuler » les richesses, des particuliers au panier percé qu’est le Trésor public.
Nous comprenons bien que Mme Braun-Pivet se soit déclarée disponible ces derniers temps pour occuper Matignon. Et pour ceux dont les dents rayent le parquet, rien de tel que de faire de la surenchère dans le massacre du droit de propriété et l’accroissement des impôts des plus « riches ». Comme d’autres proches ou, compte tenu des défections croissantes, anciens proches du chef de l’État, elle dispose de toutes les qualités à cet effet : ancienne socialiste, puis macroniste de gauche, sans corps de doctrine…
A ceux qui se demandaient comment justifier la dissolution, Yaël Braun-Pivet vient de donner un argument « tombé du ciel » : se débarrasser d’elle au plus vite à l’issue des prochaines élections générales.
https://contrepoints.org/pour-yael-braun-pivet-les-heritages-tombent-du-ciel/
Faut bien être la pire des connasse pour parler comme çà ! L'héritier devient 100 % l’État ! Les gouvernement volent, escroquent, pourquoi pas le chef de l’État qui s'en mettrait plein les poches ?!
SupprimerEt pourquoi pas demain l'homme ne serait-il pas imposé sur son assiette pleine grâce à sa femme qui lui a cédé sa cuisine ?
La transmission est gratuite, elle doit rester gratuite.
Chez les paysans, lorsque le père décède c'est son fils ou sa fille qui y succèdent car, depuis leur naissance ils y ont travaillé ! car à la campagne les enfants travaillent ! Oui M'sieurs-dames ! Les champs, la ferme, le tracteur et tout le matériel revient aux enfants. Mais il y a des putes qui voudraient accélérer la disparition totale des paysans qui osent encore de nos jours nourrir le monde tous les jours !
La totalité de l'intelligence n'est jamais transmise, certains même conservent leur QI complet sans partage jusqu'à leur extinction électrique . Chacun a ses idées, son opinion ou ses 'rêveries', Internet permet cette présentation, cette discussion et surtout son vol ! (LIA est faite pour çà). C'est pourquoi seule la Démocratie peut sauver l'humanité (SEULE la Suisse est en Démocratie, les autres pays ne sont que des dictatures monarchiques, républicaines ou impériale où le Peuple doit fermer sa gueule).
L’intelligence artificielle contre l’intelligence du marché libre
RépondreSupprimer16 octobre 2025
Philbert Carbon
Pour mieux gouverner un pays, certains « experts » verraient bien l’IA prendre le pouvoir. "Ne pourrait-elle pas aussi remplacer le libre marché qui, chaque jour, fait la preuve de son imperfection ?" Émettre cette idée, c’est vraiment ne rien avoir compris ni du marché, ni de l’IA.
Et si Emmanuel Macron nommait une intelligence artificielle (IA) à Matignon plutôt que de se fatiguer à trouver un Premier ministre qui dure ? Après tout le gouvernement albanais ne vient-il pas de faire entrer une IA en son sein ? Diella – c’est son nom – a été nommée ministre des Marchés publics dans le but de lutter contre la corruption. Elle serait, en effet, la meilleure pour analyser les appels d’offres, repérer les conflits d’intérêts et garantir l’impartialité des décisions publiques.
L’IA dans l’administration ou le cauchemar des citoyens
Au même moment, l’OCDE publiait un rapport intitulé « Gouverner avec l’intelligence artificielle » dans lequel il est question des « possibilités considérables » qu’elle offre aux administrations publiques. Elle peut, selon l’institution du château de la Muette, « permettre d’automatiser et de personnaliser les services publics, d’améliorer la prise de décision, de détecter les tentatives de fraude et d’enrichir le travail et l’apprentissage des agents publics ».
Quant au cabinet de consulting Roland Berger, il soutient qu’un tiers des emplois publics mondiaux pourraient être exposé à des changements importants avec l’IA : 22% pourraient être « augmentés » – par exemple, elle pourrait aider les agents des impôts à mieux détecter la fraude – et 7,5%, entièrement automatisés.
Nous serions certes heureux que l’IA rende l’administration plus performante, avec des effectifs réduits, des processus simplifiés, des règlements enfin lisibles, des délais de traitement raccourcis, etc., mais nous craignons surtout qu’elle ne fasse qu’ajouter de la complexité à la complexité. Comme nous l’avons déjà souligné, il est probable que l’IA, dans l’administration, sera au service des fonctionnaires et nullement à celui des citoyens-contribuables. Utilisée à grande échelle par l’État, elle risque même de se transformer en véritable cauchemar pour les Français. En effet, à quoi bon simplifier les procédures si l’IA facilite le travail des fonctionnaires qui instruisent les dossiers ? À quoi bon réduire les normes si l’IA les aide à mieux se repérer dans le maquis ? À quoi bon instaurer un impôt simple si l’IA permet de complexifier à loisir ?
Certains envisagent même la possibilité qu’elle contrôle toute l’économie, éradiquant ainsi « l’irrationnalité » et les « défaillances » du marché. C’est en substance ce qu’ont proposé récemment Ted Parson, Spyridon Samothrakis et Leo Schlichter.
Le marché remplacé par l’IA ?
RépondreSupprimerLe premier, professeur de droit, a mis au point Max, une IA qui permet de jouer habilement sur les taxes et les subventions dans le but de neutraliser toutes les externalités négatives. Le deuxième, informaticien, propose un réseau de centres de données et de programmes d’apprentissage pour guider la coordination économique, l’allocation des ressources et la production. Le troisième, économiste, veut utiliser l’IA pour réduire la production, assurer le respect des « limites écologiques » et répondre à tous les besoins humains.
Tous les trois prétendent que l’IA est capable d’augmenter, voire de remplacer, la fonction des prix et le marché libre qui les génère. Et tous les trois se fourvoient.
Car la coordination économique n’est pas un problème à résoudre en cherchant la réponse optimale. Elle résulte des décisions décentralisées et des ajustements effectués par des milliards d’acteurs économiques, chacun ayant ses propres projets, préférences et connaissances, dans le cadre d’un processus évolutif continu. Comme l’écrivent Marian L. Tupy et Peter Boettke dans un article publié par le Cato Institute, « Certaines règles et institutions sont essentielles pour transformer la prise de décision décentralisée en résultats ordonnés et socialement bénéfiques. Les trois P (droits de propriété, prix, profits et pertes) fournissent les trois I (information, incitations et innovation). »
Ces deux économistes rappellent que les prix permettent aux individus de procéder à des calculs économiques, qui constituent la base d’une allocation rationnelle des ressources rares entre différentes fins, et qu’ils fonctionnent comme des boucles de rétroaction décentralisées. Ce double signal communique des informations sur les raretés relatives et encourage simultanément les acteurs économiques à ajuster leurs plans en conséquence. Par exemple, quand le prix du lithium flambe, les producteurs et les consommateurs économisent, recyclent, innovent et cherchent des solutions autres.
Le marché ou l’intelligence collective en action
Croire que l’IA puisse obtenir des résultats comparables à ceux des marchés libres, voire les surpasser, reflète une confiance mal placée dans le calcul et une mauvaise compréhension du système des prix.
Les prix ne sont pas des données existantes qu’il suffirait de collecter puis de traiter. « Ils résultent d’une enchère concurrentielle sur des ressources rares et sont indissociables des échanges réels sur le marché », écrivent Tupy et Boettke. De plus, ils sont continuellement découverts et formés par des entrepreneurs qui testent des idées sur les besoins futurs des consommateurs et les contraintes en matière de ressources.
RépondreSupprimerSi l’IA peut traiter de grandes quantités de données, elle se nourrit exclusivement de celles qui sont issues des expériences passées. Or, l’action économique est tournée vers l’avenir. Un algorithme peut extrapoler des tendances, mais il ne peut pas anticiper l’innovation et l’évolution des goûts. « Il ne peut pas découvrir ce qui n’a pas été imaginé », insistent Tupy et Boettke.
De plus, les dirigeants influençant constamment les prix avec la réglementation et la fiscalité, l’IA, aussi performante soit-elle, ne pourra que se tromper si elle est alimentée par des données faussées !
Qu’elle soit réalisée par des bureaucrates ou par des algorithmes sophistiqués, la planification centralisée ne pourra jamais remplacer le processus de découverte qu’offre le système des prix dans un marché libre. Comme l’a observé Hayek, « la valeur de la liberté repose sur les opportunités qu’elle offre pour des actions imprévues et imprévisibles ».
Plutôt que de ressusciter la planification centrale avec l’IA, Tupy et Boettke suggèrent que les décideurs politiques se concentrent « sur le renforcement des fondements institutionnels » (les trois P) qui rendent possible une véritable coordination du marché.
https://contrepoints.org/lintelligence-artificielle-contre-lintelligence-du-marche-libre/
(...) Les prix ne sont pas des données existantes qu’il suffirait de collecter puis de traiter. « Ils résultent d’une enchère concurrentielle sur des ressources rares et sont indissociables des échanges réels sur le marché », écrivent Tupy et Boettke. (...)
SupprimerEt bêh NON ! Les pris des Matières Premières sont définis par un 'bureau' qui affiche les prix qu'ils veulent !
(...) Si l’IA peut traiter de grandes quantités de données, elle se nourrit exclusivement de celles qui sont issues des expériences passées (...)
Effectivement, LIA rapporte des données publiées sur l'Internet et qui n'ont RIEN A VOIR avec les pensées/actions présentes. D'où ses erreurs de diagnostics.
Les programmes 'LIA' n'obtiennent/enregistrent pasz les découvertes de savants. Les scientifiques ne vont pas publier leurs découvertes ! Ils se contentent d'observer et d'organiser leur agencement.
La vérité choquante sur l'ID numérique qu'ils ne veulent pas que vous sachiez | Daily Pulse
RépondreSupprimerIl ne s’agit pas de protéger les enfants – il s’agit de vous contrôler.
Le Renard Vigilant
17 oct. 2025
Regardez l'épisode complet
HISTOIRE #1 - Les Nations Unies s'efforcent tranquillement d'imposer la première taxe mondiale aux citoyens américains - un prélèvement sur le carbone que le Wall Street Journal appelle "le nec plus ultra de la fiscalité sans représentation"..”
- voir clips de Maria sur site -
Cette semaine, l’Organisation maritime internationale basée à Londres, de l’ONU, votera sur un «cadre net zéro» qui pourrait taxer les navires jusqu’à 380 $ la tonne métrique de dioxyde de carbone, acheminant l’argent directement dans un fonds contrôlé par l’ONU – même s’il n’a pas d’autorité souveraine pour le faire.
L’administration Trump a averti qu’elle sanctionnerait toute nation qui soutient le plan, la qualifiant de portée excessive scandaleuse qui pourrait faire grimper les coûts d’expédition mondiaux de plus de 10%.
Le gouverneur Ron DeSantis l’a comparé aux impôts britanniques qui ont déclenché la révolution américaine, affirmant qu’être taxé par l’ONU est « beaucoup plus offensant ».
Si les Américains ne reculent pas maintenant, les bureaucrates non élus de New York et de Londres pourraient bientôt dicter ce que vous payez pour vivre, travailler et commercer. Maria Zeee expose à quel point ce régime fiscal mondial est dangereusement proche.
Regardez l'épisode complet ici.
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STORY #2 - La persécution chrétienne explose dans le monde entier – atteignant des niveaux invisibles dans l'histoire moderne. À travers les continents, les croyants sont réduits au silence, battus et tués simplement pour leur foi en Jésus-Christ.
RépondreSupprimerEn Grande-Bretagne, la police interdit désormais aux citoyens de chanter des hymnes d'église en public. En Inde, une nouvelle loi brutale « anti-conversion » menace les chrétiens de prison, d’amendes massives et de démolitions de maisons – alimentant la violence de la foule et les arrestations de pasteurs. En Israël, le gouvernement a gelé les finances du Patriarcat grec dans le cadre d’un régime fiscal rétroactif, tandis qu’en Ukraine, les prêtres sont traînés de leurs églises. Et au Nigeria – la ligne de front la plus meurtrière – plus de 52.000 chrétiens ont été massacrés depuis 2009, avec 7.000 de plus cette année seulement.
Le christianisme est maintenant la foi la plus persécutée dans le monde. Pourtant, alors même que le mal se répand, le réveil monte. À travers le monde, plus de jeunes reviennent à Dieu.
Le rapport de Maria Zeee révèle la persécution que les médias du monde refusent de montrer.
Regardez l'épisode complet ici.
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STORY #3 - Les républicains avancent maintenant une version fédérale du même système d'identification numérique qui traverse le Texas, le Royaume-Uni et l'Australie - prouver que ce programme n'est pas partisan, il est coordonné et mondial.
Sen. Mike Lee et Rep. John James a présenté la « Loi sur la responsabilité des App Stores », affirmant qu’elle protégera les enfants en ligne. Mais caché dans les petits caractères est un langage vague sur la «vérification de l’âge» et le «consentement parental», sans explication claire de son fonctionnement – ou qui le contrôle.
Dans la pratique, les Américains pourraient bientôt être amenés à télécharger leur identifiant gouvernemental ou à soumettre des données biométriques à un «fournisseur approuvé» juste pour prouver qu’ils sont des adultes. Les parents seraient obligés de lier leurs profils numériques à ceux de leurs enfants, donnant aux tiers inconnus l’accès aux deux.
C’est le même schéma qui se déroule déjà au Royaume-Uni et en Australie, où les responsables admettent maintenant que l’identification numérique sera utilisée pour «l’assurance de l’âge». Une fois mis en œuvre, chaque clic, chaque message et chaque achat peuvent être suivis et restreints, le tout sous couvert de sécurité des enfants.
Il ne s’agit pas de protéger les enfants, mais de vous contrôler. Si les Américains n’agissent pas maintenant, la liberté numérique disparaîtra sous leurs yeux. Maria Zeee révèle à quel point elle est proche de l'enfermer.
Regardez l'épisode complet ici.
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Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.
RépondreSupprimerNous reviendrons avec un autre spectacle demain. On se voit alors.
Regardez l'épisode complet ci-dessous:
https://www.vigilantfox.com/p/the-global-digital-id-power-grab?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=176360357&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Les salariés ne comprennent rien à leur fiche de paie
RépondreSupprimer17 octobre 2025
Philbert Carbon
Bien qu’il ait subi moultes simplifications ces dernières années, le bulletin de paie est toujours aussi opaque pour les salariés. Le Club Landoy (un think tank regroupant des grandes entreprises s’intéressant aux « enjeux et impacts de la démographie ») et Viavoice viennent de publier une étude intitulée « La fiche de paie, miroir social. Le grand flou du brut au net » à l’occasion des 80 ans de la Sécurité sociale.
Si près de deux sondés sur trois (63%) se disent attachés au système de protection sociale tel qu’il fonctionne aujourd’hui, ils sont tout aussi nombreux à ne pas comprendre comment il marche. Ainsi, seuls 13% des salariés déclarent comprendre toutes les cotisations inscrites sur leur fiche de paie. La majorité (55%) des salariés avoue rencontrer des difficultés à comprendre la contrepartie des prélèvements obligatoires figurant sur la fiche de paie. Seule une courte majorité (52%) a conscience que ses propres cotisations retraites ne financent pas sa future pension de retraite. L’ordre de grandeur des cotisations n’est pas non plus clair pour la plupart des salariés : seuls 37% des sondés savent que les cotisations retraite sont celles qui représentent la plus grande part des prélèvement sociaux. Près de 60% des personnes interrogées avouent ne pas savoir à quoi sert la CSG prélevée sur leur salaire. Parmi ceux qui déclarent le savoir, 44% répondent de manière erronée qu’elle finance, entre autres, la dette publique.
65% des salariés n’ont pas conscience de financer les syndicats
Par ailleurs, 65% des sondés ne pensent pas (35%) ou ne savent pas (30%) que leur salaire contribue au financement des syndicats et du patronat.
On ne s’étonnera donc pas que seulement 13% des sondés définissent correctement le salaire brut et que 48%des salariés pensent que les cotisations patronales, qui figurent pourtant sur leur fiche de paie, ne font pas partie de leur salaire.
Il nous semble que les Français ont besoin d’avoir une « fiche de paie vérité » qui fasse apparaître « le super-brut », et qu’ensuite on leur verse ce « salaire complet » pour s’assurer auprès des prestataires de leur choix. Ce serait bien plus efficace qu’une campagne d’information !
https://contrepoints.org/les-salaries-ne-comprennent-rien-a-leur-fiche-de-paie/
Los Angeles déclare l'état d'urgence suite aux perquisitions de l'ICE, alors que les tensions s'intensifient
RépondreSupprimer18/10/2025
Belle Carter
Le comté de Los Angeles déclare l'état d'urgence (4 voix contre 1) en réponse aux perquisitions de l'ICE, décrétant un moratoire sur les expulsions, des aides financières et une assistance de l'État – des mesures généralement réservées aux catastrophes naturelles. Cette mesure fait suite à de violentes manifestations, à des actes de vandalisme et à l'arrestation de 113 personnes ayant déjà été condamnées.
La répression de l'ICE s'intensifie après le feu vert de la Cour suprême pour l'application de la loi, ciblant les lieux de travail, les arrêts de bus et les habitations. Des chercheurs de l'Université de Californie à Merced signalent une baisse de l'emploi de 3,1 % dans tout l'État, les travailleurs sans papiers évitant les chantiers.
Des cocktails Molotov ont été lancés sur des agents, des commerces pillés et des bâtiments fédéraux vandalisés. La maire Karen Bass impose un couvre-feu à 20 h, tandis que le gouverneur Newsom intente une action en justice pour bloquer le déploiement de la Garde nationale et des Marines par Trump, le qualifiant d'« abus de pouvoir ». La superviseure Lindsey Horvath défend la déclaration d'urgence, invoquant le « climat de peur » induit par l'ICE, tandis que la superviseure Kathryn Barger prévient qu'elle ouvre la voie à des poursuites judiciaires. Les propriétaires s'opposent au moratoire sur les expulsions, craignant des difficultés financières après le gel des loyers lié à la COVID.
L'ICE condamne la défiance de Los Angeles, qualifiant d'illégales les politiques de sanctuaire. Avec l'application incessante des lois sous l'ère Trump (mais une augmentation des arrestations pour motifs non criminels) et les manifestations nationales prévues, la bataille autour du contrôle de l'immigration reste sans issue. Le centre-ville de Los Angeles reste un point névralgique du débat américain sur l'immigration.
Le comté de Los Angeles a déclaré l'état d'urgence local le 14 octobre en réponse à une recrudescence des mesures fédérales de contrôle de l'immigration, marquant une escalade sans précédent dans le conflit entre les politiques de sanctuaire californiennes et la répression de l'immigration menée par l'administration Trump.
Le vote à 4 voix contre 1 du Conseil des superviseurs permet au comté d'instaurer un moratoire sur les expulsions pour les locataires touchés par les opérations de l'Immigration and Customs Enforcement (ICE), de mobiliser des aides financières et de solliciter des aides de l'État – des mesures généralement réservées aux catastrophes naturelles. Cette décision fait suite à des mois de raids de l'ICE, d'arrestations sur les lieux de travail et de manifestations violentes qui ont causé des dommages aux commerces, des blessures aux agents et semé la peur au sein des communautés immigrées.
« Depuis début 2024, les agents de l'ICE ont mené des opérations de grande envergure dans toute la Californie du Sud, ciblant les lieux de travail, les arrêts de bus et les zones résidentielles », note Enoch de BrightU.AI. Un arrêt de la Cour suprême des États-Unis rendu en septembre a ouvert la voie à la poursuite des mesures d'application, rejetant les accusations de profilage racial. Des chercheurs de l'UC Merced ont constaté une baisse de 3,1 % de l'emploi dans tout l'État après les premières opérations de ratissage, imputable au fait que les travailleurs évitaient les chantiers par crainte d'être arrêtés.
RépondreSupprimerLos Angeles, où vivent entre 800 000 et un million d'immigrés sans papiers, résiste depuis longtemps aux politiques fédérales d'immigration. Mais les récentes rafles, dont l'arrestation de 113 personnes ayant déjà été condamnées, ont déclenché des manifestations qui ont dégénéré en pillages et en actes de vandalisme. La maire Karen Bass a imposé un couvre-feu à 20 h après des jets de cocktails Molotov sur des policiers et des saccages de commerces. Parallèlement, le gouverneur Gavin Newsom a intenté une action en justice pour bloquer les déploiements de la Garde nationale et des Marines autorisés par le président Donald Trump, qualifiant cette décision d'« abus de pouvoir ».
Les dirigeants locaux s'opposent sur la réponse à apporter
La superviseure Lindsey Horvath, co-auteure de la déclaration d'urgence, a affirmé que les tactiques de l'ICE avaient « créé un climat de peur », perturbant les écoles, les hôpitaux et les lieux de travail.
« Nous ne resterons pas les bras croisés pendant que la peur et le chaos se propagent », a-t-elle déclaré.
La superviseure Kathryn Barger, seule voix dissidente, a toutefois averti que la déclaration pourrait donner lieu à des poursuites judiciaires et ne pas répondre aux critères d'urgence juridique.
Les défenseurs des propriétaires, dont l'Association des propriétaires d'appartements du Grand Los Angeles, ont critiqué le moratoire proposé sur les expulsions, arguant qu'il pèse injustement sur les propriétaires qui se remettent encore du gel des loyers lié à la COVID-19.
« Les petits propriétaires sont déjà en difficulté », a déclaré le PDG Daniel Yukelson, soulignant qu'un contrôle plus strict des locataires pourrait aggraver la crise du logement.
Implications plus larges et batailles juridiques
RépondreSupprimerLa déclaration d'état d'urgence ouvre la voie à un affrontement constitutionnel entre les autorités locales et fédérales. Emily Covington, porte-parole de l'ICE, a fustigé cette mesure : « Le seul état d'urgence est celui auquel les habitants de Los Angeles sont confrontés après avoir élu des élus qui font un doigt d'honneur à la loi.»
L'administration Biden a largement maintenu les priorités de l'ère Trump en matière de répression, bien que les arrestations de migrants non criminels aient augmenté, selon une analyse d'ABC News. Parallèlement, des chercheurs avertissent qu'une instabilité prolongée pourrait aggraver les répercussions économiques, les familles s'absentant du travail et des vacances pour éviter d'être repérées.
Alors que Los Angeles est aux prises avec les conséquences des raids de l'ICE et des troubles civils, la déclaration d'état d'urgence souligne un clivage croissant sur la politique d'immigration. Alors que les dirigeants locaux qualifient la crise d'urgence humanitaire, les autorités fédérales insistent sur la nécessité de faire respecter la loi pour faire respecter l'État de droit. Avec des manifestations prévues dans tout le pays et des recours judiciaires imminents, la bataille autour des villes sanctuaires – et de la responsabilité de leur attribution – ne semble pas prête de s'achever. Pour l'instant, les rues du centre-ville de Los Angeles restent un point de friction dans le débat actuel sur l'immigration aux États-Unis.
Watch the video below where Secretary of Homeland Security Kristi Noem talks about cartels and terror groups targeting ICE agents.
This video is from the NewsClips channel on Brighteon.com.
Sources include:
TheEpochTimes.com
SupremeCourt.gov
FoxNews.com
ABCNews.Go.com
BrightU.ai
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-10-18-los-angeles-declares-emergency-over-ice-raids.html
La crise et la révolution cachées au grand jour
RépondreSupprimer20 octobre 2025
harles Hugh Smith
Alors que nous nous concentrons sur l'IA et la finance, la société s'effondre sous nos pieds.
Selon les médias grand public et les réseaux sociaux, les forces qui façonneront l'avenir sont :
1) l'IA (c'est-à-dire l'impact de la technologie sur l'emploi et la croissance) ;
2) la concurrence géopolitique pour la domination de l'IA, l'énergie, les ressources, le commerce, la puissance militaire et financière ;
3) la finance, qui inclut les cryptomonnaies, les stablecoins, la théorie monétaire moderne (MMT), les déficits fédéraux, l'hyperinflation/la dévaluation monétaire et les métaux précieux – tout cela se résume à la question : « Que puis-je faire pour garantir que mon patrimoine restera intact quoi qu'il arrive ?»
Les enjeux clés sont la technologie, la finance et les forces du marché, moteurs essentiels de l'économie mondiale. La société n'est pas au menu, si ce n'est comme une source de lamentations consciencieuses, rapidement écartée.
Bien que tous ces facteurs soient déterminants, personne ne semble percevoir la crise intérieure, cachée au grand jour, ni la révolution qu'elle rend inévitable. Selon mon analyse, ce sont ces forces dominantes qui façonneront la décennie à venir.
Comme je l'ai démontré dans de récents articles : « Si l'économie était mesurée par la qualité de vie plutôt que par le PIB, nous serions en dépression. Pour beaucoup, cette récession sera ressentie comme une dépression et une période critique pour les villes, les comtés et les États. » – le système a atteint ses limites et est en train de s'effondrer.
Qu'est-ce que la crise ? Trois dynamiques se renforcent mutuellement.
La première est le déséquilibre entre l'économie et la société : l'économie domine désormais la société, ce qui, historiquement, conduit au désordre. Tous ceux qui voient la technologie et la finance comme des solutions ont l'inverse : la technologie et la finance sont les problèmes, et non les solutions, car elles sont les principaux moteurs du déséquilibre entre la société et l'économie.
Comme je l'explique dans l'introduction de mon nouveau livre (gratuit), la société et les forces du marché qui animent l'économie ont des échéances, des missions et des priorités différentes.
Les forces du marché se concentrent sur l'expansion de nouveaux marchés, sans se soucier des conséquences au-delà du profit et des parts de marché ; les conséquences futures pèsent sur la société, qui doit adopter une vision à long terme et absorber les impacts sur la main-d'œuvre, la stabilité sociale et les biens communs de la nation, c'est-à-dire l'environnement.
Deuxièmement, les inégalités – de richesse, de revenu, d'opportunités et de pouvoir – ont atteint des extrêmes que l'on peut visualiser comme un pendule : poussé à l'extrême, le pendule oscillera vers l'extrême opposé.
Ce ne sont pas seulement les inégalités qui ont atteint un niveau extrême, mais aussi l'exploitation, l'artifice et la déchéance morale.
RépondreSupprimerLe revenu moyen des 60 % des ménages les plus pauvres est de 38 000 dollars par an, tandis que pour être considéré comme un ménage des 10 % les plus riches, il faut environ 250 000 dollars par an.
Comme je l'ai démontré ici, l'insécurité ne se mesure pas uniquement par le revenu ; l'autre dynamique est la précarité : les revenus de nombreux ménages sont variables, et des dépenses imprévues, comme les réparations automobiles ou les urgences médicales (qui ont toutes deux atteint des sommets insensés), peuvent plonger le ménage dans un gouffre financier.
Ceux qui ignorent la société pour se concentrer sur l'économie supposent que les 60 % d'Américains les plus pauvres – 200 millions de personnes, 80 millions de ménages qui possèdent si peu de richesse nationale que leur part est une erreur d'arrondi – accepteront sans se plaindre leur appauvrissement croissant, alors que les prix des biens essentiels flambent et que les salaires ne suivent pas.
Le problème avec cette hypothèse est que cette cohorte gagne trop peu (même avec des augmentations du salaire minimum) pour se permettre les besoins essentiels comme le logement, la nourriture, les soins de santé, la garde d'enfants et les transports.
L'inflation n'est pas morte ; elle a déjà transformé le paysage de manière permanente. Les alternatives moins coûteuses se sont taries : même les vieilles voitures et les appartements dans les quartiers miteux coûtent une fortune aujourd'hui.
Ceux qui se situent entre les 60 % les plus pauvres et les 10 % les plus riches – les 30 % qui se définissent comme « classe moyenne » – peuvent se sentir à l'abri de la précarité, mais une grande partie de leur stabilité financière repose sur des fondations qui s'effondreront en cas de récession ou d'éclatement de bulles spéculatives.
Leur stabilité financière est fragile car elle repose désormais sur trois structures économiques fragiles :
1) les bulles spéculatives sur les actifs, qui ont accru la « richesse » sans augmenter la valeur d'usage ;
2) le transfert des risques des entreprises et de l'État vers les ménages ;
3) l'« économie du ruissellement », où les 10 % les plus riches perçoivent désormais la quasi-totalité des revenus hors salaires issus des actifs productifs de revenus et représentent 50 % de l'ensemble des dépenses – richesse et revenus censés « ruisseler » vers les 90 % les plus pauvres.
Une fois que les bulles spéculatives éclateront et que même les 10 % les plus riches commenceront à subir des pertes d'emploi et une baisse de leurs revenus, les licenciements parmi les 90 % les plus pauvres se multiplieront à mesure que les dépenses se tariront et que les portefeuilles d'actions et la valeur des maisons reviendront à la normale.
RépondreSupprimerSeules les personnes de 62 ans et plus étaient actives lors d'une « récession réelle », c'est-à-dire une récession irréversible par la baisse des taux d'intérêt à court terme de la Réserve fédérale et par l'augmentation des emprunts et des dépenses du gouvernement fédéral pour « sortir de la récession par la dépense ». La dernière véritable récession remonte à 43 ans, en 1981-1982.
Une dynamique démographique est également à l'œuvre à l'échelle mondiale : la génération Z n'accepte plus que les inégalités massives entre générations soient inévitables.
La deuxième dynamique est que les marges de manœuvre qui permettaient aux individus de survivre aux récessions se sont amenuisées : là où la dette représentait un pourcentage modeste du PIB lors des récessions des années 1970 et 1980, elle atteint aujourd'hui des sommets historiques. Les ménages ont déjà épuisé leurs cartes de crédit et emprunter davantage pour survivre n'est plus envisageable.
Ainsi, face aux difficultés – lorsque les horaires de travail sont réduits ou qu'un emploi est perdu –, le seul choix est de ne pas payer : prêt étudiant, mensualités de voiture, loyer, l'alimentation et les services publics étant prioritaires.
Les marges de manœuvre sont déjà amenuisées et nous ne sommes même pas encore entrés en récession.
La troisième dynamique est la moins reconnue : la décadence morale qui a poussé l'exploitation, le profit et l'artifice à l'extrême, sapant les fondements de l'économie et de la société.
Bien que cela soit invisible, l'économie et la société reposent toutes deux sur des fondements moraux. À mesure que la décadence morale ronge ces fondements, les conséquences sont un déclin social et économique.
Le marché authentique, défini par la transparence et la concurrence, a été remplacé par des monopoles et des cartels qui génèrent des profits démesurés non pas en augmentant la valeur, mais en la réduisant, des produits et services.
Les profits ne découlent pas de l'amélioration de la durabilité et de la qualité, mais de leur réduction. Il existe des mots qui décrivent notre économie : exploitation, profit, prédation, extraction.
L'influence politique étant désormais une enchère ouverte où les entreprises remportent les enchères, il n'y a aucun intérêt ni aucune volonté politique à s'attaquer au fossé des inégalités. Les principales politiques économiques de l'administration actuelle sont inchangées par rapport à 2008-2009 : réduire les impôts payés par les 10 % les plus riches (car ce sont eux qui paient la majeure partie de l'impôt sur le revenu), baisser les taux d'intérêt pour doper les emprunts et gonfler les bulles spéculatives pour créer « l'effet de richesse ». Que cela ne fasse qu'accroître les inégalités de richesse et de revenus… qui s'en soucie ? Pas la classe politique d’aucun des deux partis.
RépondreSupprimerNous avons succombé à la normalisation : tout est « comme ça ».
Mais c’est un artifice : normaliser les extrêmes ne les rend pas stables. Le système a atteint ses limites et l’ordre social s’effondre.
Mon nouveau livre, Investir dans la révolution, décrit le résultat inévitable : une révolution sociale, et non politique, qui remplacerait une élite dirigeante par une autre. Ce sera une révolution qui changera les valeurs et restaurera les normes sociales. Nous aurons tous la possibilité d’investir dans la révolution.
Pour moi, tout cela est évident, mais comme personne d’autre ne le voit, c’est caché. L’introduction (gratuite) résume les nombreuses dynamiques en jeu.
J’ai tendance à penser que ce livre pourrait être le plus important, car je doute sincèrement que la prochaine décennie soit une simple prolongation de la décennie précédente. Tout comme l’empire Ming s’est effondré lorsqu’il a atteint ses limites, notre système a atteint ses limites ; tandis que nous nous concentrons sur l’IA et la finance, la société s’effondre sous nos pieds.
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https://www.oftwominds.com/blogoct25/crisis-revolution10-25.html
Imaginez 3 dés sur la table affichant 1, 2, 3, 4 , 5 et un joker. Le lanceur peut rejouer ou pas pour obtenir le chiffre de 555.
SupprimerOu, trois dés 1, 2, 3, 4, 5 et un 0. Le plus gros nombre sera 555.
Le '555' n'est pas une intelligence mais le hasard.
Dans la première version le joueur peut ou pas relancer les dès. C'est un 'poker'.
Étudions maintenant la première version:
Le 'poker' donne au joueur l'alternative de refaire son envoi.
Cette loi du hasard peut permettre de gagner plus ou de finir moins.
Dans la seconde version il peut avoir 000.
La différence est donc de relancer entre ces deux jeux.
(...) Tout comme l’empire Ming s’est effondré lorsqu’il a atteint ses limites, notre système a atteint ses limites ; tandis que nous nous concentrons sur l’IA et la finance, la société s’effondre sous nos pieds. (...)
'l’empire Ming s’est effondré lorsqu’il a atteint ses limites' ! Quelles sont-elles ?
L'Intelligence.
C'est pourquoi, ces limites (même pas du niveau maternelle) sont réévaluées par un programme obsolète appelé LIA.
L''Intelligence Artificielle' EST artificielle et donc dépourvue d'intelligence.
C'est sur quoi repose la politique internationale ! Soit: L'absence d'intelligence décisionnelle Mais arrive la 'version 1' celle où le 'pouvoir' peut rejouer.
Cette construction doit donc aboutir à la faillite, au délabrement, à la décomposition des pouvoirs en place.
Puisque nous sommes au 21 ème siècle, profitons-en !
L'Intelligence bat des records ! Le nombre de surdoué(e)s est exponentiel.
Quelles que soient les positions de montage seule l'Intelligence règne. Qu'est-ce que l'intelligence ? C'est, de prime abord la Démocratie où c'est l'avis du Peuple qui domine et détermine ses valeurs. Il n'y a plus de dé ! On ne choisit plus entre la vie et la mort.
Observez un jeu de cartes: As, rois, dames, valets, etc. Pourquoi cette présentation ? Observez un jeu de dames: Noirs ou blancs. Même pouvoir. Seule l'intelligence des adversaires peut gagner.
La différence est entre l'hasard et l'intelligence.
Aujourd'hui, c'est un jeu de dés où l'hasard domine mais pas l'intelligence. La construction est éphémère. Le pouvoir le sait. Il est au pied du mur entre la vie et la mort de toutes et tous. Certains illuminés pensent à l'être humain robotisé ! c'est-à-dire sans construction. L'avenir n'est pas dans une boule de cristal il est dans le cerveau de chacune et chacun.
Méfiez-vous des jeux.
Seulement trois pays riches ont un impôt sur… les riches
RépondreSupprimer18 octobre 2025
Nicolas Lecaussin
Lors de son discours de politique générale, Sébastien Lecornu a affirmé qu’il y avait des « anomalies » dans la fiscalité des très grandes fortunes. Nul besoin d’être un grand expert, tout le monde a compris que le gouvernement allait proposer de nouvelles taxes et impôts sur les riches et les richesses. Mesures idéologiques s’il en est. Elles apportent, encore une fois la preuve que les politiques, même au plus haut niveau, fustigent les hauts revenus et les holdings presque par principe, sans réflexion sur le rôle souvent important dans l’économie du pays de ceux qui les détiennent, comme l’a montré l’IREF , tout récemment.
Il est étonnant en outre que M. Lecornu et ses conseillers ne sachent pas que (très) peu de pays membres de l’OCDE imposent des taxes spécifiques aux plus riches. Au début des années 1990, elles existaient dans une douzaine de pays membres de l’OCDE. L’Autriche a été la première à abolir genre d’impôt en 1994, l’Allemagne en 1997, la Suède en 2007, la France en 2018… Aujourd’hui, seulement trois pays riches – Norvège, Espagne et Suisse –gardent un impôt sur les riches.
https://contrepoints.org/seulement-trois-pays-riches-ont-un-impot-sur-les-riches/