MERCREDI 1ER OCT. 2025 - 12H30
Via eugyppius.com,
Le 25 septembre 2018, le président américain Donald Trump a prononcé son premier discours devant l'Assemblée générale des Nations Unies.
Il a notamment mis en garde l'Allemagne contre son projet Nord Stream 2, qui, selon lui, rendrait le pays « totalement dépendant de l'énergie russe s'il ne change pas immédiatement de cap ». Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas (SPD), et le représentant permanent auprès des Nations Unies, Christoph Heusgen, lui ont ri au nez.
Ces clowns pensaient avoir tout compris à l'époque. Nous construirions beaucoup d'éoliennes et de panneaux photovoltaïques, et nous compenserions avec du gaz naturel russe. Ce serait bon marché, cela ferait le bonheur des climatologues et, de plus, de nombreux intérêts particuliers pourraient en tirer profit.
Plus personne ne rit.
Toute cette stratégie s'est effondrée, car sans le gaz russe, la transition énergétique est sans espoir. Elle est vouée à l'échec, elle n'aboutira à rien, et la seule question est de savoir combien de temps nous persisterons à détruire notre économie sans raison. Les adultes, très intelligents, extrêmement matures et profondément clairvoyants de l'establishment politique allemand, sont confrontés à une urgence économique et politique qui se propage lentement, et ils ne sont absolument pas prêts à la reconnaître, et encore moins à y remédier.
C'est pourquoi, lorsque Trump est revenu la semaine dernière pour prononcer un second discours devant l'Assemblée générale des Nations Unies, personne n'a ri. L'Europe en ligne de mire, Trump a déclaré : « Vos pays vont en enfer », avant de déplorer particulièrement ce qu'il a appelé le « monstre à double queue » des migrations massives et du climatisme. Il a tenu ces propos devant la présidente de l'Assemblée générale, qui se trouve être la bimbo écologiste archi-verte Annalena Baerbock.
J'ai retranscrit ses déclarations les plus importantes sur le climatisme et la transition énergétique :
L'énergie est un autre domaine où les États-Unis prospèrent comme jamais auparavant.
Nous nous débarrassons des énergies renouvelables, faussement nommées.
Au fait, c'est une blague. Elles ne fonctionnent pas. Elles sont trop chères. Elles ne sont pas assez puissantes pour alimenter les centrales nécessaires à la grandeur de votre pays. Le vent ne souffle pas. Ces grandes éoliennes sont si pathétiques et si mauvaises, si coûteuses à exploiter, et il faut les reconstruire sans cesse, jusqu'à ce qu'elles rouillent et pourrissent. L'énergie la plus chère jamais conçue… On est censé gagner de l'argent avec l'énergie, pas en perdre. Si on perd de l'argent, les gouvernements doivent subventionner. Impossible de les mettre en service sans subventions massives. Et la plupart sont construites en Chine, et j'accorde beaucoup de crédit à la Chine. Ils les construisent, mais ce sont très peu de parcs éoliens. Alors pourquoi les construisent-ils et les envoient-ils partout dans le monde, alors qu'ils les utilisent à peine ? Vous savez quoi ? Ils utilisent du charbon, du gaz, presque tout, mais ils n'aiment pas le vent, et ils adorent vendre des éoliennes.
En 1982, le directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement prédisait que d'ici l'an 2000, le changement climatique provoquerait une catastrophe mondiale. Il disait que ce serait irréversible, comme le serait n'importe quel holocauste nucléaire. C'est ce qu'ils ont dit aux Nations Unies. Que s'est-il passé ? Nous y voilà. Un autre responsable de l'ONU a déclaré en 1989 qu'en une décennie, des nations entières pourraient être rayées de la carte par le réchauffement climatique. Ce n'est pas arrivé. Toutes ces prédictions faites par les Nations Unies et bien d'autres, souvent pour de mauvaises raisons, étaient fausses. Elles ont été faites par des gens stupides. …
Je vous le dis : si vous ne vous éloignez pas de l'arnaque de l'énergie verte, votre pays est voué à l'échec. … Je suis président des États-Unis, mais je m'inquiète pour l'Europe. J'aime l'Europe. J'aime les Européens, et je déteste la voir dévastée par l'énergie et l'immigration. Ce monstre à double queue détruit tout sur son passage, et ils ne peuvent plus le laisser faire. Vous le faites par gentillesse, par politiquement correct, et vous détruisez votre patrimoine.
Ils doivent prendre le contrôle, avec force et sans délai, de ce désastre migratoire absolu et de cette fausse catastrophe énergétique avant qu'il ne soit trop tard. L'empreinte carbone est un canular inventé par des personnes mal intentionnées, et elles se dirigent vers la destruction totale. …
L'Europe a réduit sa propre empreinte carbone de 37 %. Imaginez. Félicitations à l'Europe. Bravo ! Vous avez perdu beaucoup d'emplois, fermé de nombreuses usines, mais vous avez réduit votre empreinte carbone de 37 %. Pourtant, malgré tous ces sacrifices et bien d'autres, celle-ci a été totalement anéantie, et même plus, par une augmentation mondiale de 54 %, en grande partie imputable à la Chine et aux autres pays qui prospèrent autour de la Chine, qui produisent désormais plus de gaz carbonique que tous les autres pays développés du monde. Tous ces pays travaillent d'arrache-pied sur leur empreinte carbone, ce qui est absurde, soit dit en passant. C'est absurde…
Tout cela est absurde. L'effet principal de ces politiques brutales en matière d'énergie verte n'a pas été de protéger l'environnement, mais de redistribuer l'activité manufacturière et industrielle des pays développés, qui respectent les règles insensées imposées, vers les pays polluants qui les enfreignent et s'enrichissent. Et ils s'enrichissent.
Les factures d'électricité européennes sont désormais quatre à cinq fois plus chères qu'en Chine, et deux à trois fois plus élevées qu'aux États-Unis. … L'idée mondialiste consistant à demander aux nations industrialisées prospères de s'infliger elles-mêmes des souffrances et de bouleverser radicalement leurs sociétés doit être rejetée immédiatement, et ce, sans délai.
Au lendemain de ces propos dévastateurs, Wopke Hoekstra, le commissaire européen au climat, s'est adressé au New York Times pour assurer aux Américains progressistes que « le monde ne ralentit pas sur le plan climatique ». Ce n'est vrai qu'à un niveau très superficiel. Idéologiquement, le climatisme est révolu. Tout son soutien populaire a disparu, et il ne subsiste que grâce à l'inertie institutionnelle, sous la forme d'un ensemble complexe d'opérations d'escroquerie technocratique. Les Verts allemands ont saigné presque tout leur soutien au-delà de leur base de citadins désemparés et sans avenir. Ils sont sur le point de disparaître complètement des parlements régionaux d'Allemagne de l'Est, et à l'Ouest, ils subissent également une sévère défaite. Les électeurs de Rhénanie-du-Nord-Westphalie viennent de renvoyer la plupart des maires verts des grandes municipalités. Dans toute la République fédérale, l'énergie de gauche s'est déplacée vers les socialistes purs et durs de Die Linke.
Quatre jours après le discours de Trump, les climatoïdes allemands de Fridays for Future ont organisé une « grève pour le climat » nationale, semblable à celle qu'ils menaient autrefois chaque vendredi après-midi en 2019. Ces événements rassemblaient autrefois dans la rue des centaines de milliers d'étudiantes naïves, de fonctionnaires désemparés et d'écoliers. Aujourd'hui, les manifestations ne sont plus qu'une grève nominale ; Ils ont dû déplacer leur grand événement à un samedi, car plus personne ne veut perdre son temps de travail avec ce genre de bêtises.
Sur Apollo News, Marius Marx écrit sur « La chute silencieuse du mouvement climatique » :
Les images du week-end sont éloquentes : à Berlin, même selon les chiffres des organisateurs, seulement 4 300 personnes se sont présentées, tandis que la police n’en a recensé que 3 000.
À Hambourg, on comptait environ 2 500 manifestants, à Munich environ 1 500. Et à Potsdam, où les célébrités Luisa Neubauer et le climatologue Stefan Rahmstorf étaient présents, ils n’étaient que quelques centaines. À l’échelle nationale, moins de 50 000 personnes ont participé. … À titre de comparaison, en 2019, lorsque les manifestations initiées par Greta Thunberg avaient lieu chaque vendredi, des centaines de milliers de personnes étaient descendues dans la rue rien qu’à Berlin.
Ce qui était autrefois un mouvement de masse largement courtisé et naïvement idéalisé, doté d'un large impact social… est devenu un petit groupe dissident, idéologiquement muré dans sa propre vision du monde : le mouvement climatique s'est depuis longtemps réduit à un noyau de rêveurs radicaux. Même Greta Thunberg, l'ancienne icône du climat, a adopté des préoccupations plus récentes et plus actuelles.
Les slogans sur les banderoles montrent à eux seuls à quel point le mouvement s'est éloigné de sa cause première.
C'est Luisa Neubauer en personne, défilant avec quelques militants de gauche à Potsdam. Derrière elle, on peut lire sur la banderole : « Pour la justice climatique. Vous comprenez ?» Depuis la guerre de Gaza, on entend beaucoup plus parler de « justice climatique » que de « changement climatique », car les climatoïdes ne mènent plus l'éternelle contestation de gauche. L'anticolonialisme est plus important ; le gaz carbonique n'a d'importance que dans la mesure où il représente une injustice occidentale imposée aux personnes de couleur quelque part. En fait, à gauche, le climatisme est relégué au second plan par rapport à toutes sortes d'autres préoccupations. C'est pourquoi nos climatoïdes ont apposé leur logo sur le drapeau transgenre et doivent défiler aux côtés de militants portant des banderoles se plaignant des « riches » et s'en prenant aux « nazis ». Le mouvement tout entier se transforme en un engrenage de revendications gauchistes classique.
Ce week-end a montré que Fridays for Future a perdu sa base populaire et que le climat, en tant qu'enjeu politique, a perdu son potentiel mobilisateur. Alors que l'opinion publique débat du retour à une énergie nucléaire respectueuse du climat, des politiques de chauffage domestique, des prix de l'électricité et de la mobilité, le mouvement climatique allemand défile dans les centres-villes avec des pancartes dont les messages n'ont visiblement aucun rapport avec le quotidien de la plupart des citoyens. Pour cette raison, et parce que certains manifestants de 2019 ont probablement compris que « Fridays for Future » peut bien parler de protection du climat, mais signifie en réalité décroissance, désindustrialisation et destruction délibérée de la prospérité, le mouvement est désormais au bord de l'insignifiance.
Le climatisme a toujours compté deux volets.
Le premier volet était un récit hystérique sur la destruction de l'atmosphère par l'industrialisation via les émissions de carbone, la disparition des récifs coralliens, la fonte des calottes glaciaires et la montée des océans.
Le second volet était la transition énergétique – un ensemble de politiques inquiétantes qui, ensemble, annoncent la désindustrialisation pour toute nation qui ose les mettre en œuvre sérieusement, mais qui n'ont aucun espoir d'atténuer, ne serait-ce que légèrement, le discours de panique du premier volet.Si l'on réduisait cette absurdité à un diagramme de Venn, on verrait deux cercles sans intersection. La gauche militante a exalté le récit de panique hystérique du premier volet tout en soutenant les politiques catastrophiquement destructrices du second (même si elle s'est parfois plainte que ces politiques n'allaient pas assez loin). La technocratie a exalté les politiques catastrophiquement destructrices du second volet et a soutenu (souvent tacitement) l'hystérie du premier.
Ce système idéologique, d'une incohérence sournoise, est totalement défaillant. Les militants véhiculent une myriade de griefs contre l'injustice mondiale qui n'ont que peu à voir avec les politiques technocratiques, et ces derniers continuent de désindustrialiser l'Allemagne en l'absence de tout soutien ou justification idéologique de la gauche – et parfois même en opposition à un anti-élitisme gauchiste traditionnel et renaissant. (Après tout, peu d'idéologies incarnent les préoccupations des élites aussi clairement et avec aussi peu d'égards pour les personnes économiquement défavorisées que le climatisme.) C'est le début d'une désintégration climatiste générale.
Si les eurocrates qui défendent actuellement le climatisme sont bien à l'abri des fluctuations de l'opinion publique, ils ne peuvent les ignorer indéfiniment. Les politiques au cœur du climatisme ont bien sûr un objectif plus profond, largement distinct du discours de panique propagé par les militants. Si les eurocrates poursuivent ces politiques, ils devront inventer de nouvelles histoires pour justifier la nécessité de la destruction économique qu'ils provoquent. Jusqu'à présent, ils ne manifestent aucun intérêt pour ce genre d'invention idéologique. Les histoires qu'ils racontent actuellement sont d'une toute autre nature. Elles parlent de menaces extérieures et de destructeurs intérieurs, des graves dangers que représentent les Russes à l'étranger et les fascistes chez eux. Rétrospectivement, je pense que le climatisme était une idéologie conçue pour un monde dépourvu de méchants du béton – un monde où les procédés industriels et les gaz étaient les seuls ennemis concevables. Nous ne sommes plus dans ce monde, et c'est pourquoi le climatisme est terminé.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/climatism-europe-dying
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Blog n°220
60 articles ci dessous
(...) L'Europe a réduit sa propre empreinte carbone de 37 %. (...)
RépondreSupprimerGaz carbonique 0,041 % de notre atmosphère, moins... 37 % = −36,959 !!!
HAHAHAHAHA !
Découvrez la ligne de programmation de la conférence annuelle du CHD à Austin TX, novembre. 7 - 9
RépondreSupprimerJ'ai même été impressionné. Pas 1 mais 2 sénateurs. Et ils ont fait des graphismes mignons pour chaque orateur.
Meryl Nass
Octobre 01, 2025
Cela devrait être un événement très inspirant. Avec beaucoup de mise en réseau.
J'espère y rencontrer certains de mes lecteurs. Inscrivez-vous : [https://childrenshealthdefense.org/chd-2025-conférence/registration/]
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RépondreSupprimerDévoiler la dissimulation de l'efficacité et de la sécurité des vaccins
Par Richard Gale et le Dr Gary Null
Recherche mondiale,
30 septembre 2025
Les deux piliers sur lesquels repose l’ensemble de l’édifice de la vaccinologie sont que les vaccins sont sûrs et efficaces.
Les autorités médicales et fédérales, les médecins, les pharmaciens et les professionnels de la santé nous expliquent que les vaccins agissent en stimulant le système immunitaire afin qu'il produise des anticorps spécifiques. Ces anticorps nous protègent contre la maladie infectieuse spécifique au vaccin.
Ce principe fondamental n'est pratiquement jamais remis en question. Des centaines de millions d'Américains acceptent sans hésiter que tous les vaccins soient scientifiquement prouvés pour conférer une immunité contre les maladies. Cependant, les recherches indépendantes présentées pour chaque vaccin majeur soulèvent de sérieuses questions qui remettent en cause le concept de production d'anticorps comme facteur fiable pour garantir l'immunité virale et bactérienne.
Le déclin des maladies épidémiques : la vérité
La baisse spectaculaire de la mortalité due aux maladies infectieuses aux XIXe et XXe siècles est souvent attribuée principalement aux vaccins. Cependant, les recherches historiques et épidémiologiques montrent systématiquement que la mortalité due à la rougeole, à la diphtérie, à la coqueluche, à la tuberculose et à d'autres agents pathogènes majeurs a commencé à baisser bien avant l'introduction généralisée des vaccins. En réalité, ce sont l'assainissement, l'assainissement adéquat, l'eau potable, l'amélioration de la nutrition, la plomberie intérieure, la réduction de la surpopulation, l'élimination du travail des enfants et une meilleure hygiène qui expliquent véritablement cette baisse des taux d'infection.
Les premières preuves proviennent des travaux de Thomas McKeown et de ses collègues dans les années 1960, qui ont montré que l'amélioration du niveau de vie, et en particulier une meilleure nutrition, était responsable de la majeure partie des réductions de mortalité en Angleterre et au Pays de Galles au cours du XIXe siècle.[1] Les systèmes d'eau potable et d'évacuation des eaux usées ont également joué un rôle décisif dans le contrôle et la disparition de la fièvre typhoïde, comme le montrent les premières réformes de la santé publique, documentées en 1908.[2] Ces découvertes ont jeté les bases de ce qui deviendrait la « thèse McKeown ». Des études ultérieures confirment et élargissent encore cette perspective.
Les analyses des tendances de la mortalité aux États-Unis montrent que les plus fortes baisses de décès par maladies infectieuses se sont produites bien avant les programmes de vaccination de masse au cours de la première moitié du XXe siècle. Des études ultérieures démontrent que les mesures de santé publique telles que l'assainissement, l'eau potable et l'hygiène ont été les principaux contributeurs à ces tendances.[3] Par exemple, deux chercheurs, Cutler et Miller, ont publié des données quantitatives montrant qu'aux États-Unis, la purification de l'eau explique à elle seule près de la moitié de la baisse de la mortalité urbaine due aux maladies infectieuses.[4]
RépondreSupprimerDe plus, l'introduction des antibiotiques a encore accéléré la baisse de la mortalité. Des maladies comme la tuberculose et la pneumonie, autrefois principales causes de décès, ont rapidement diminué suite à l'arrivée des sulfamides et de la pénicilline ; ce constat a été confirmé par une vaste analyse de 2015, intitulée « Population Health Metrics ». [5] Plus important encore, cependant, est le vaste aperçu historique du lauréat du prix Nobel, Sir Angus Deaton, qui renforce la théorie selon laquelle les technologies et innovations médicales, comme les vaccins, n'ont eu d'importance qu'après que les améliorations de base en matière de nutrition et d'assainissement, associées à la pauvreté et aux mauvaises conditions de vie, ont fortement réduit la gravité des maladies. [6]
Des études plus récentes continuent de soutenir le récit de McKeown, y compris des preuves supplémentaires soulignant les liens entre les conditions sociales et économiques et le déclin à long terme de la mortalité due aux maladies infectieuses.[7] Si nous devons être intellectuellement honnêtes, bien que la vaccination ait eu un impact notable, elle n'est qu'un outil dans un contexte plus large de santé publique, où l'eau potable, l'assainissement, une nutrition adéquate et des aliments sains, les antibiotiques et une variété d'autres interventions non pharmaceutiques continuent de sauver davantage de vies dans le monde.[8]
Pris dans leur ensemble, ces éléments démontrent que les vaccins ne sont pas la cause initiale des fortes baisses de mortalité par maladies infectieuses. Au contraire, les données révèlent un processus historique à plusieurs niveaux : d’abord, l’assainissement, la nutrition et l’hygiène ; ensuite, les antibiotiques et l’amélioration des soins médicaux ; et seulement ensuite, les vaccins, qui renforcent la protection. Comprendre cette chronologie nous permet d’appréhender l’ensemble des progrès en matière de santé publique et de ne pas négliger le rôle fondamental des conditions de vie dans la protection de la santé humaine.
Les graphiques suivants montrent que d'importantes baisses des taux de mortalité par maladie ont eu lieu bien avant l'introduction des vaccins. De 1900 à 1963, année de l'introduction du vaccin contre la rougeole, les taux de mortalité par rougeole étaient passés de 13,3 pour 100 000 à 0,2 pour 100 000, soit une baisse de 98 %. De 1900 à 1949, les taux de mortalité par coqueluche ont diminué de 12,2 pour 100 000 à 0,5 pour 100 000 (baisse de 96 %). De 1900 à 1949, les taux de mortalité par diphtérie ont diminué de 40,3 pour 100 000 à 0,4 pour 100 000 (99 %). Ces graphiques montrent des changements clairs et majeurs dans la gravité des maladies bien avant l'introduction des vaccins.[9]
RépondreSupprimerFigure 1. Taux de mortalité par rougeole
- voir doc sur site -
Figure 2. Taux de mortalité par diphtérie
.- voir doc sur site -
Figure 3. Taux de mortalité par coqueluche
- voir doc sur site -
Les données suggèrent que les interventions de santé publique, telles que des mesures telles que l’amélioration de l’hygiène et l’isolement des personnes infectées, sont des interventions plus efficaces et moins coûteuses pour contenir les épidémies de virus respiratoires, avec des estimations d’effet allant de 55 % à 91 %.[10]
Malgré toutes les preuves solides soutenant l'amélioration de l'hygiène et les mesures de santé publique comme facteurs essentiels de prévention des maladies, la presse recommande rarement des mesures à adopter pour se protéger au mieux contre les maladies virales ou bactériennes, hormis la vaccination. L'une des études les plus fallacieuses visant à renforcer le discours sur la vaccination est une étude de l'Université de Pittsburgh, commandée et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates et publiée dans The Lancet en 2021.[11]
L'étude Gates-Pittsburgh affirme sans ambages que les vaccins ont « sauvé 37 millions de vies » entre 2000 et 2019, et que 32 millions supplémentaires devraient être sauvées d'ici 2030. L'étude a également été largement relayée par les médias grand public comme une preuve irréfutable du pouvoir salvateur des vaccins. Par exemple, The Guardian et la BBC ont souligné le rôle de Gates dans le financement et cité l'étude comme démontrant que la vaccination est « l'une des plus grandes réussites de la médecine moderne ». Ces chiffres, sans cesse amplifiés par les médias, donnent l'impression d'une efficacité absolue des vaccins. L'étude elle-même révèle qu'il ne s'agissait pas d'une mesure de la réalité, mais plutôt d'une projection entièrement dépendante des hypothèses intégrées à ses modèles mathématiques.
Le principal défaut de Gates réside dans le postulat de son étude. Son argumentation repose sur l'hypothèse selon laquelle, sans vaccins, les taux de mortalité liés à des maladies telles que la rougeole, le rotavirus, le VPH, le pneumocoque, etc., se seraient maintenus à des niveaux historiques. C'est une erreur historique. Pendant plus d'un siècle, les données épidémiologiques citées ci-dessus démontrent que la mortalité due aux maladies infectieuses a commencé à baisser fortement bien avant l'arrivée des vaccins. En ignorant ces réalités historiques, l'étude financée par Gates réécrit l'histoire.
Bien que ces résultats puissent paraître impressionnants, la méthodologie repose entièrement sur des modèles. Autrement dit, aucune donnée de mortalité en conditions réelles n'a été analysée directement pour établir un lien de causalité. Les chercheurs ont plutôt supposé qu'en l'absence de vaccins, les taux de mortalité dus à certains agents pathogènes seraient restés aux niveaux antérieurs à la vaccination. Cette hypothèse ignore plus d'un siècle de données probantes, comme indiqué précédemment, montrant que les plus fortes baisses de mortalité par maladies infectieuses étaient largement dues à l'assainissement, à la nutrition, aux antibiotiques et aux infrastructures de santé publique.
RépondreSupprimerDe plus, attribuer des dizaines de millions de « vies sauvées » aux vaccins nécessite de négliger de nombreux facteurs de confusion potentiels, tels que l'amélioration des soins néonatals, la réduction de la surpopulation, l'amélioration des pratiques d'hygiène et le développement socio-économique. Chacune de ces initiatives a contribué indépendamment à réduire la charge de morbidité infectieuse. Le modèle de Pittsburgh considère également la production d'anticorps comme synonyme d'immunité, malgré les preuves croissantes que les réponses des lymphocytes T et la résilience immunitaire globale, associées à l'alimentation, aux comorbidités, à l'hygiène, etc., sont tout aussi, voire plus, cruciales.
Enfin, le contexte politique et financier de l'étude de Gates ne peut être ignoré. La Fondation Bill et Melinda Gates est l'une des plus puissantes organisations de défense des vaccins au monde. Une étude financée par la Fondation et menée pour quantifier les « vies sauvées » grâce aux vaccins n'a jamais été un exercice neutre. Ses conclusions étaient préétablies par sa conception même ; attribuer la baisse de la mortalité exclusivement aux vaccins produit inévitablement des chiffres falsifiés de « vies sauvées grâce aux vaccins ».
Dans ce contexte, l'étude Gates, reprise en chœur par les opposants à l'hésitation vaccinale, doit être interprétée comme un document de plaidoyer, étayé par une modélisation académique. Elle présente un discours soigneusement élaboré qui érige les vaccins en moteur principal de la santé préventive, tout en ignorant les preuves historiques accablantes montrant que les infrastructures de santé publique et l'immunité naturelle jouent un rôle bien plus important dans la réduction de la mortalité.
Déconstruire la science des anticorps
À l'origine, les vaccins ont été développés pour exploiter une partie du système immunitaire, à savoir la production d'anticorps ou l'immunité humorale. Par exemple, lorsqu'un anticorps se fixe à un virus, il peut l'empêcher de pénétrer dans les cellules et de les infecter. Cependant, le système immunitaire de l'organisme est bien plus puissant que celui ciblé par un vaccin. Outre l'immunité humorale, il existe également l'immunité à médiation cellulaire, qui implique les lymphocytes T, les macrophages, les cellules tueuses naturelles et des signaux chimiques appelés cytokines. Contrairement aux anticorps, qui agissent à l'extérieur des cellules de l'organisme, ces défenses cellulaires ciblent et détruisent les cellules infectées de l'intérieur afin d'empêcher la propagation de l'infection.
L'infection naturelle stimule généralement ces deux systèmes immunitaires. Lorsqu'un virus de la grippe ou de la rougeole pénètre par les voies respiratoires, l'organisme mobilise un large éventail de défenses. Les anticorps bloquent les particules virales flottantes, tandis que les lymphocytes T et les macrophages localisent et éliminent les cellules infectées. Cette « double réponse » non seulement élimine l'infection, mais crée également une mémoire dans les lymphocytes B, qui produisent les anticorps, et dans les lymphocytes T. Depuis plus de vingt ans, les immunologistes avertissent que les vaccins produisent très rarement une « immunité anti-infectieuse » complète. Selon RM Zinkernagel, de l'Institut d'immunologie expérimentale de l'hôpital universitaire de Zurich, « nous n'avons pas réussi à créer de vaccins véritablement protecteurs contre les infections persistantes, car nous ne pouvons pas imiter une « immunité anti-infectieuse » durable, générant une stimulation protectrice des lymphocytes T et B contre diverses infections sans provoquer de maladie par immunopathologie ou tolérance. »[12]
RépondreSupprimerCela est particulièrement vrai pour les infections chroniques ou persistantes, où la réponse des lymphocytes T à long terme est cruciale. Des études montrent que la mémoire cellulaire à long terme est essentielle à une protection immunitaire durable.[13] En revanche, les anticorps diminuent avec le temps et leur présence ne garantit pas l'immunité. Par exemple, Neidich et ses collègues ont observé que les adultes vaccinés ne présentant pas d'anticorps mesurables présentaient néanmoins un risque accru de grippe, ce qui suggère que les anticorps ne peuvent à eux seuls expliquer la protection.[14]
De nombreuses études sur la grippe et la rougeole l'ont confirmé. Lors de la pandémie de grippe H1N1 de 2009, les personnes présentant une forte réponse des lymphocytes T étaient moins susceptibles de développer une maladie symptomatique, quel que soit leur taux d'anticorps.[15] De même, la protection contre la rougeole dépend fortement de l'activité des lymphocytes T, et pas seulement de la présence d'anticorps.[16] Ces résultats soulignent que les vaccins conçus uniquement pour stimuler la production d'anticorps ne fournissent pas toujours une protection fiable ou complète.
Étant donné que les enfants de moins de 6 ans reçoivent 31 vaccins obligatoires, sans compter ceux contre la grippe et la COVID-19, la vaccination des nourrissons est particulièrement préoccupante. À leur naissance, les bébés possèdent un système immunitaire globalement fonctionnel, mais encore immature. Contrairement aux adultes, les nourrissons sont généralement incapables de produire l'ensemble des anticorps nécessaires à une immunité durable. Durant leur première année, les nourrissons dépendent fortement des anticorps maternels. Les anticorps qu'ils acquièrent, comme les immunoglobulines, sont transmis de la mère à l'enfant par le lait maternel.[17]
Malgré la dépendance biologique bien documentée à l'immunité maternelle, le calendrier vaccinal infantile des CDC prévoit plus d'une douzaine d'injections au cours des six premiers mois de vie. Ceci est préoccupant, car les vaccins sont conçus pour stimuler la production d'anticorps chez des populations qui ne sont pas pleinement capables de développer par elles-mêmes une réponse immunitaire robuste. Un problème bien plus grave lié à la préférence accordée aux anticorps induits par le vaccin par rapport à l'immunité à médiation cellulaire est l'apparition de déséquilibres conduisant à l'auto-immunité et à l'auto-attaque par erreur de l'organisme. Lorsque les vaccins surstimulent la production d'anticorps sans régulation suffisante des lymphocytes T, une réponse immunitaire anormale peut se produire.[18] Les adjuvants, comme l'aluminium, ajoutés aux vaccins pour renforcer la réponse immunitaire contribuent fréquemment à ce déséquilibre et sont l'une des principales causes d'un large éventail d'effets indésirables vaccinaux, notamment de maladies auto-immunes. Des études montrent que les vaccins injectés accentuent la production d'anticorps et n'activent que faiblement les défenses cellulaires. Chez les enfants plus âgés et les adultes, ces déséquilibres de l'activation immunitaire ont été associés à des maladies auto-immunes et à d'autres anomalies de la régulation immunitaire.[19] Par conséquent, si les vaccins sont capables de fausser les réponses immunitaires dans des systèmes pleinement développés, nous devons nous demander quelles sont les conséquences lorsque cette même pression est appliquée à la physiologie délicate des nourrissons dont le système immunitaire est encore développé.
RépondreSupprimerLe chercheur indépendant Steve Kirsch a analysé les données des CDC sur la sécurité des vaccins, les enquêtes auprès des parents et les études indépendantes. Son analyse des données montre une forte association entre vaccinations précoces ou multiples et risque accru d'autisme, avec une inquiétude particulière concernant l'exposition au mercure thimérosal, toujours présent dans les vaccins contre la grippe. Les chercheurs des CDC, dont Thomas Verstraeten et William Thompson, avaient identifié très tôt des signaux reliant les vaccins contenant du thimérosal et le vaccin ROR à l'autisme, mais l'agence a supprimé ou détruit des preuves pour occulter ces résultats. Les enquêtes de Kirsch auprès de milliers de parents et les études comparant les enfants vaccinés et non vaccinés ont observé que ces derniers semblent systématiquement en meilleure santé et présentent des taux plus faibles de maladies chroniques.[20] Des préoccupations plus larges incluent le rôle de la dépendance aux anticorps induite par le vaccin dans le développement potentiel de maladies auto-immunes et l'absence d'études crédibles financées par les NIH comparant directement les enfants vaccinés et non vaccinés.
Un avertissement important qui remet en cause le discours pro-vaccin concerne la recherche génétique. Certaines personnes ont des maladies héréditaires qui les empêchent de produire des anticorps ; néanmoins, si leur immunité cellulaire T est intacte, elles peuvent encore contrôler et combattre efficacement les infections.[21] Dans de tels cas, la vaccination est largement inutile.
Dans l'ensemble, ces recherches dressent un tableau clair : l'immunité induite par le vaccin, qui privilégie principalement les anticorps, ne constitue qu'une partie de la stratégie de défense naturelle de l'organisme. L'infection naturelle, en revanche, mobilise à la fois les réponses des anticorps et des lymphocytes T, créant une immunité beaucoup plus large et durable.
RépondreSupprimerMesurer l'efficacité du vaccin contre la grippe : la science bidon à son pire
À chaque saison grippale, des millions d'Américains se rendent chez leur médecin ou à la pharmacie pour se faire vacciner. Les personnes vaccinées reçoivent l'un des rares vaccins antigrippaux disponibles sur le marché. Ce même vaccin, contenant 15 µg d'antigène hémagglutinine par souche grippale et environ 25 µg d'éthylmercure, est injecté aux enfants de trois ans, aux athlètes de 90 kg et aux personnes âgées fragiles et immunodéprimées. Après 36 mois, quels que soient l'âge, le poids, les antécédents médicaux, un système immunitaire affaibli ou tout autre facteur défavorable, tous reçoivent exactement le même cocktail chimique. De plus, il est conseillé d'accepter que cette approche universelle entraînera, de manière prévisible, la production d'anticorps protecteurs qui préviendront l'infection grippale.
Une fois la saison grippale terminée, les personnes vaccinées qui ont survécu sans contracter de grippe diagnostiquée sont considérées comme ayant été vaccinées avec succès par nos autorités sanitaires. Ces statistiques constituent alors la preuve de l'efficacité du vaccin. Parallèlement, on accorde très peu, voire aucune attention, aux nombreux autres facteurs dont l'influence sur l'immunité est démontrée, notamment la qualité de l'alimentation, les apports nutritionnels complémentaires, notamment en vitamine D et en zinc, l'exercice physique, la gestion du stress, l'exposition aux toxines environnementales, les habitudes de sommeil et le patrimoine biochimique et génétique.
Une personne qui choisit de se faire vacciner et adopte un mode de vie sain, en adoptant une alimentation équilibrée, en minimisant l'exposition aux toxines environnementales, en pratiquant une activité physique régulière et en pratiquant des techniques de déstressage, a beaucoup moins de risques de tomber malade. Il est donc impossible et franchement non scientifique d'affirmer avec certitude que les vaccins constituent la seule protection contre les maladies infectieuses. En revanche, une personne non vaccinée qui suit le régime alimentaire américain standard, souffre de multiples carences nutritionnelles et mène une vie sédentaire et très stressante présente un risque plus élevé de développer une maladie immunitaire significativement affaiblie. Si une telle personne contracte une maladie infectieuse, comment peut-on imputer cela à l'absence de vaccin plutôt qu'à un mode de vie malsain ?
Lors de l'évaluation de l'impact des vaccins, il est fallacieux d'exclure de l'équation les nombreux autres principes et fonctions biomoléculaires de l'organisme. Prétendre qu'un vaccin peut prévenir une maladie sans prendre en compte de nombreux autres facteurs de santé essentiels est contraire à toute norme objective et mesurable permettant d'évaluer la santé ou la maladie. C'est comme si une personne prenait de la vitamine C et n'attrapait pas de rhume par la suite : c'est uniquement l'apport en vitamine C qui mérite tout le crédit de son manque de science.
RépondreSupprimerIl existe également des preuves importantes que la vaccination contre la grippe augmente le risque de contracter d'autres maladies respiratoires non grippales. Bien que publiée en 2012, une étude clinique en double aveugle contrôlée par placebo (vaccinés vs non vaccinés) remet en question l'idée selon laquelle un vaccin contre la grippe devrait être recommandé en cas de pandémie. L'Université de Hong Kong a suivi l'état de santé d'enfants vaccinés et non vaccinés âgés de 6 à 15 ans pendant 272 jours. L'essai a conclu que le vaccin contre la grippe n'apporte aucun bénéfice pour la santé. En réalité, les personnes vaccinées présentaient un risque 550 % plus élevé de contracter des infections respiratoires non grippales. Le nombre d'incidences d'infections non grippales constatées dans le groupe vacciné contre la grippe était considérable (105 cas, dont des coronavirus, des rhinovirus, des coxsackie et des échovirus, par rapport au groupe placebo). Les résultats suggèrent que la vaccination contre la grippe augmente le risque de contracter un autre virus infectieux comme la Covid-19.
De même, la branche de surveillance sanitaire des forces armées américaines de la base aérienne Wright-Patterson a étudié l'interférence virale associée au vaccin antigrippal. Autrement dit, le vaccin antigrippal rend-il le vacciné plus vulnérable aux autres infections virales respiratoires non grippales ? Les conclusions de l'étude indiquent que « l'interférence virale dérivée du vaccin était significativement associée au coronavirus et au métapneumovirus humain ».
Il existe des preuves solides suggérant que tous les essais cliniques menés par les fabricants de vaccins ne parviennent pas à démontrer avec précision l'efficacité des vaccins. Et lorsqu'ils se révèlent efficaces, c'est souvent à court terme et n'offrent qu'une protection partielle. Selon un article paru dans le Journal of Infectious Diseases , une revue à comité de lecture, la seule façon d'évaluer les vaccins est d'examiner attentivement les données épidémiologiques obtenues en conditions réelles. Autrement dit, les chercheurs ne peuvent tout simplement pas – ou ne veulent pas – tester adéquatement l'efficacité et l'immunogénicité d'un vaccin avant sa mise sur le marché auprès d'un public non averti. (1)
Un excellent exemple a été publié plus tôt cette année. La Cleveland Clinic a mené une étude à grande échelle auprès de plus de 53 000 de ses employés pendant la saison grippale 2024-2025. Cette étude est considérée comme l'une des évaluations en conditions réelles les plus complètes de l'efficacité des vaccins contre la grippe à ce jour. Parmi ces travailleurs, plus de 43 800 (82 %) étaient vaccinés et environ 9 500 (18 %) ne l'étaient pas ; cela fournit un groupe de comparaison clair au sein d'un même système de santé. Les chercheurs ont suivi les cas de grippe confirmés par analyse moléculaire sur une période de six mois. Les conclusions de la clinique étaient frappantes : l'incidence de l'infection grippale était plus élevée chez les employés vaccinés, avec une efficacité vaccinale estimée à moins 26,9 %. Autrement dit, les personnes vaccinées étaient plus susceptibles d'être testées positives à la grippe que leurs pairs non vaccinés. Grâce à la taille importante de l'échantillon, au suivi rigoureux et à l'analyse en temps réel, cette étude fournit des preuves solides que l'efficacité du vaccin contre la grippe ne peut être présumée et doit être constamment réévaluée.
RépondreSupprimerUne autre découverte moins médiatisée concernant la faible efficacité du vaccin contre la grippe a été réalisée par Kaiser Permanente Northern California en 2019. Après avoir examiné 45 000 dossiers médicaux de patients testés positifs à la grippe, les chercheurs ont constaté une tendance : « Le risque de contracter la grippe augmente d'environ 16 % tous les 28 jours après la vaccination. Par conséquent, si l'efficacité initiale du vaccin d'une saison donnée est faible, la protection immunitaire pourrait diminuer en un mois chez certains patients. »
La Cochrane Collaboration, qui fut peut-être à une époque le groupe de chercheurs impartiaux le plus éminent au monde, a mené une série de méta-analyses sur l'efficacité du vaccin contre la grippe. Elle a constaté que la vaccination des adultes contre la grippe n'avait pas d'effet sur le nombre de personnes hospitalisées ni sur la diminution des heures de travail perdues. En fait, les chercheurs de Cochrane ont déclaré que leurs résultats pourraient être trop optimistes, car 24 études sur 90 ont été financées par les fabricants de vaccins, lesquels ont produit des résultats favorables à leur produit.[22] Selon le Dr Tom Jefferson de la Cochrane Collaboration, il est peu judicieux de poursuivre la vaccination contre la grippe saisonnière sur la base des données probantes.
Les conclusions du Dr Jefferson sont appuyées par Peter Doshi, ancien statisticien médical de la faculté de médecine de l'Université Johns Hopkins et aujourd'hui rédacteur en chef du British Medical Journal . Dans un article du BMJ , Doshi remet en question le paradigme du vaccin contre la grippe :
Un examen plus approfondi des politiques de vaccination contre la grippe montre que, même si leurs promoteurs utilisent la rhétorique scientifique, les études qui les sous-tendent sont souvent de faible qualité et ne corroborent pas les affirmations des responsables. Le vaccin pourrait être moins bénéfique et moins sûr qu'on ne le prétend, et la menace de la grippe semble surestimée.[23]
RépondreSupprimerLes CDC recommandent actuellement aux Américains âgés de se faire vacciner contre la grippe, affirmant que « la vaccination est particulièrement importante pour les personnes de 65 ans et plus, car elles présentent un risque élevé de complications grippales ». [24] Malheureusement, cet avertissement sérieux contredit un ensemble important de preuves démontrant que le vaccin antigrippal ne réduit pas la mortalité chez les personnes âgées. Une étude particulièrement convaincante des National Institutes of Health a non seulement révélé que le vaccin antigrippal n'avait aucun effet préventif sur les décès dus à la grippe chez les personnes âgées, mais que les taux de mortalité grippale augmentaient à mesure qu'un pourcentage plus élevé de personnes âgées recevaient le vaccin. [25] Selon le Dr Tom Reichert, co-auteur de l'étude, l'équipe de recherche a réexaminé les données à plusieurs reprises, mais quelle que soit l'analyse des « éléments incendiaires », la conclusion était claire : le vaccin antigrippal n'améliore pas la mortalité chez les personnes âgées. [26]
Enfin, une étude menée par la Dre Danuta Skowronski au Canada a révélé que les personnes ayant reçu des vaccins contre la grippe saisonnière consécutifs pendant plusieurs années présentaient un risque accru d'infection par le virus H1N1. Commentant ses conclusions, Skowronski a déclaré : « Les décideurs politiques n'ont pas encore eu l'occasion d'assimiler pleinement les conclusions de l'étude ni d'en comprendre les implications. » Il a ajouté : « Qui sait, franchement ? Le sage sait qu'il n'y connaît rien en matière de grippe, il faut donc toujours se montrer prudent dans ses spéculations. »
L'immunité ne s'appuyant pas uniquement sur le statut vaccinal, il est logique que la seule façon de déterminer avec exactitude l'efficacité du calendrier vaccinal actuel soit de réaliser une telle analyse en utilisant une méthodologie et un protocole scientifiques de référence. Pourquoi cela n'a-t-il jamais été fait ? Pour comprendre cette question restée sans réponse, il faut revenir sur l'histoire de la vaccinologie et sur les preuves scientifiques qui pourraient accuser notre campagne nationale de vaccination d'être une expérience dangereuse et trompeuse pour le public.
Vaccins à ARNm contre la Covid-19
RépondreSupprimerLe débat sur l'administration des vaccins à ARNm contre la COVID-19 aux enfants ne devrait plus être controversé en raison du risque extrêmement faible de maladie grave dans cette tranche d'âge et des risques élevés d'effets indésirables. De nombreux pays, comme la Suède, le Danemark, la Norvège, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ne recommandent pas la vaccination des enfants ; leur justification réside dans le manque de clarté quant à savoir si les bénéfices minimes l'emportent sur les risques graves. Par exemple, en 2022, l'Agence suédoise de santé publique a explicitement déclaré que, les enfants présentant un risque très faible de contracter le SRAS-2, les bénéfices marginaux de la vaccination ne justifiaient pas les risques. Un raisonnement similaire a guidé la décision du Danemark d'interrompre la vaccination générale des moins de 18 ans. L'Afrique du Sud, en revanche, n'a jamais reconnu la nécessité de vacciner les enfants de moins de 12 ans. Ces politiques reflètent un raisonnement international de plus en plus partagé selon lequel le virus du SRAS-2 représente une menace sanitaire bien moindre pour les enfants que pour les adultes, et les vaccins comportent un risque non négociable d'effets indésirables, y compris de décès cardiaque.
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La littérature scientifique soutient désormais de manière concluante cette approche prudente. L'une des premières et des plus influentes études a examiné 1 626 rapports de myocardite après une vaccination à ARNm. L'étude a identifié les garçons adolescents, en particulier ceux âgés de 12 à 17 ans, comme ayant la plus forte incidence, surtout après la deuxième dose de vaccin. La plupart des cas ont nécessité une hospitalisation et de nombreuses incertitudes subsistent quant au rétablissement à long terme.[27] Des chercheurs israéliens ont rapporté des résultats complémentaires ; les jeunes hommes âgés de 16 à 19 ans couraient un risque estimé à 1 sur 6 000 de myocardite après leur deuxième dose du vaccin de Pfizer.[28] Cette étude a été cruciale car, en dehors des États-Unis, elle a façonné les perceptions internationales du manque de sécurité des vaccins à ARNm.
Les analyses d'IRM cardiaque des myocardites liées aux vaccins révèlent que, même plusieurs semaines après le diagnostic, certains patients présentent encore une inflammation persistante et des cicatrices permanentes. Autrement dit, les vaccins peuvent augmenter considérablement le risque de complications cardiovasculaires futures.[29] Ces résultats concordent avec des observations épidémiologiques plus larges réalisées au Danemark, montrant un risque accru de myocardite et de péricardite chez les garçons de 12 à 17 ans, longtemps après la vaccination.[30]
Ensemble, ces résultats expliquent pourquoi les pays à revenu élevé dotés de systèmes de santé robustes ont décidé de ne plus recommander la vaccination universelle à ARNm pour les enfants.
Ces dernières années, des études confirment sans cesse que les vaccins à ARNm sont immunogènes, c'est-à-dire capables d'induire ou d'augmenter la fréquence de mutations génétiques susceptibles d'entraîner des modifications permanentes ou des dommages cellulaires dans l'ADN d'un organisme. Pour les enfants, cela présente des risques à long terme très inquiétants. Bien qu'aucune étude évaluée par des pairs n'ait permis de démontrer de manière consensuelle que les vaccins à ARNm s'intègrent au génome humain ou perturbent le développement génétique des enfants, de sérieuses inquiétudes subsistent concernant l'empreinte immunitaire, l'altération des réponses immunitaires des lymphocytes T et les effets indésirables inflammatoires liés à la myocardite.
RépondreSupprimerEn 2023, des chercheurs japonais ont mené une revue systématique et une méta-analyse de la myocardite et de la myopéricardite après vaccination à ARNm chez les adolescents et les jeunes adultes. Ils ont constaté que l'incidence de la maladie était significativement plus élevée chez les hommes de moins de 30 ans, en particulier après la deuxième dose.[31] De même, une revue systématique mondiale plus récente, stratifiée par âge et par sexe, a conclu que les jeunes hommes présentaient le risque attribuable le plus élevé de myocardite et de péricardite après vaccination à ARNm.[32]
Plusieurs études mettent en évidence des inquiétudes concernant l'interférence immunitaire chez les enfants. Une étude examinant les réponses immunitaires chez les enfants recevant le vaccin à ARNm Comirnaty de Pfizer a révélé que des expositions répétées aux rappels peuvent entraîner une empreinte immunitaire, par laquelle le système immunitaire devient prédisposé ou biaisé en faveur de la souche vaccinale plutôt que des futurs variants du SRAS-2.[33] De même, une autre étude a rapporté que chez les adolescents, malgré une augmentation des taux d'anticorps post-vaccinaux, les anticorps neutralisants dirigés contre les variants viraux réduisaient significativement la protection contre les futures souches.[34]
Il a été constaté que les adolescents vaccinés développaient des réponses des lymphocytes T CD8+ inférieures à celles des infections naturelles par le SRAS-2 ; par conséquent, la protection induite par le vaccin à ARNm perturbe les réponses immunitaires cellulaires plus robustes de l'organisme.[35] Une autre préoccupation a montré que la vaccination répétée pourrait contribuer à un phénomène connu sous le nom d'« épuisement immunitaire » des lymphocytes T, bien que cela n'ait été observé que dans des modèles animaux.[36]
Les critiques soutiennent que l'insistance du gouvernement fédéral à vacciner les enfants, malgré ces incertitudes génétiques, n'est pas conforme à une analyse transparente des bénéfices et des risques. Le Dr John Ioannidis, physicien et médecin de renommée internationale à l'Université de Stanford, a souligné que la mortalité et les conséquences graves des infections à la COVID-19 chez les enfants en bonne santé sont extrêmement rares et, par conséquent, les bénéfices de la vaccination sont minimes et très marginaux par rapport aux risques élevés des vaccins.[37] De plus, les décisions réglementaires de privilégier une autorisation rapide de la FDA et une distribution commerciale au lieu d'évaluations rigoureuses de la sécurité à long terme, confirment que les politiques de la Covid-19 ont été davantage influencées par le lobbying pharmaceutique et les intérêts financiers que par la santé publique.[38] Cette critique fait écho aux analyses de presque tous les vaccins lancés au cours des deux dernières décennies qui ont été priorisés par les décisions du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination des CDC. Les décisions de politique vaccinale aux États-Unis sont moins façonnées par la science médicale que par l'influence des intérêts privés en matière de vaccins.
RépondreSupprimerCependant, les mises en garde de la littérature scientifique concernant les risques sanitaires des vaccins à ARNm Pfizer et Moderna chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes dépassent de plus en plus la myocardite pour s'étendre à des préoccupations plus larges, notamment la santé reproductive et les nouvelles inquiétudes concernant les cancers accélérés ou turbo. La myocardite reste le risque le plus régulièrement documenté ; cependant, d'autres voix, notamment au Japon et ailleurs, mettent en garde contre des dangers supplémentaires, potentiellement mortels, chez les populations plus jeunes, dont les risques de base liés à la COVID-19 sont bien plus faibles.
Au-delà de la myocardite, des études animales montrent qu'une inflammation transitoire des ovaires et des testicules consécutive à l'administration de nanoparticules lipidiques par le vaccin Pfizer contre la Covid-19 peut avoir des effets à long terme sur la reproduction. En analysant les signalements spontanés de myocardite et de péricardite confirmées, Kobayashi et ses collègues japonais ont noté les effets du vaccin sur la fertilité après la migration des nanoparticules lipidiques vers les organes reproducteurs.[39]
Récemment, le terme « turbo cancer », qui désigne des tumeurs malignes post-vaccinales exceptionnellement agressives, a fait son apparition dans le débat médical. Dans son témoignage devant la People's Vaccine Inquiry, le Dr Angus Dalgleish, oncologue britannique, a présenté l'argument selon lequel la dysrégulation immunitaire et la suppression des mécanismes de surveillance tumorale de l'organisme après des vaccinations répétées par ARNm peuvent contribuer à une progression rapide des cancers. C'est particulièrement le cas chez les personnes plus jeunes.[40] Bien que ces affirmations ne soient pas pleinement acceptées, elles suscitent une attention croissante en raison d'un nombre croissant de rapports de cas cliniques et anatomopathologiques. Les experts médicaux japonais évoquent la possibilité de risques de cancer liés à une modulation immunitaire soutenue suite à des vaccinations répétées par ARNm. Par exemple, des cliniciens japonais ont fait part de leurs inquiétudes lors des réunions réglementaires du gouvernement japonais et dans des revues médicales concernant les effets à long terme de l'ARNm qui compromettent les défenses immunitaires oncologiques de l'organisme. Une étude sud-coréenne plus récente, suivie sur 300 000 résidents pendant 30 mois, a identifié des signaux indiquant que les vaccins à ARNm augmentent le risque de cancer du sein, de la vessie et colorectal.[41]
RépondreSupprimerL'accumulation d'études toujours plus nombreuses met désormais en évidence une tendance évolutive et incontestable : la myocardite est un risque bien établi chez les jeunes hommes, les troubles de la reproduction ne peuvent être ignorés et le « turbo-cancer », bien que non prouvé de manière concluante, constitue un sérieux avertissement pour les experts. Les cas japonais sont remarquables car le pays dispose d'alertes de pharmacovigilance beaucoup plus strictes et est plus prudent que les États-Unis. Le système de santé japonais se soucie véritablement de sa population. Cette prudence souligne la manière dont les autorités sanitaires nationales évaluent les données probantes et la perception des risques. Elle devrait nous inciter à chercher des vérités plus objectives sur les vaccins au-delà de notre propre institution médicale et de nos propres médias américains.
Au début du déploiement du vaccin contre la Covid-19, les messages publics mettaient l'accent sur l'efficacité des vaccins pour freiner la transmission et ainsi atteindre l'immunité collective. Cependant, cette propagande n'a jamais été fondée, et aucune recherche sérieuse, ni de Pfizer ni de Moderna, n'a jamais étayé cette affirmation. Des études cliniques, des rapports de surveillance en situation réelle et des témoignages de responsables pharmaceutiques et de lanceurs d'alerte ont démontré que les vaccins à ARNm ne préviennent pas efficacement l'infection ou la transmission.
Les premiers essais cliniques randomisés des entreprises n'ont jamais été conçus pour tester la prévention de la transmission. Par exemple, l'essai pivot de Pfizer, publié dans le New England Journal of Medicine , a évalué l'infection symptomatique, mais a complètement ignoré la contagiosité.[42] De même, l'essai de Moderna s'est concentré sur la prévention clinique des maladies et n'a pas examiné les critères de transmission.[43] Les deux entreprises ont par la suite avoué n'avoir jamais mesuré si les personnes vaccinées pouvaient être porteuses et propager le virus du SRAS-2.
RépondreSupprimerMaintenant, les preuves issues d'études observationnelles confirment que les infections percées parmi les personnes vaccinées ne sont pas rares ; en fait, les vaccinés transmettent même le virus à d'autres personnes vaccinées. Une enquête des CDC sur l'épidémie pendant la vague Delta dans le Massachusetts a démontré que 74 % des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées, et les niveaux de charge virale étaient similaires quel que soit le statut vaccinal.[44] De même, une étude du Lancet a suivi la transmission domestique au Royaume-Uni et a constaté que les personnes vaccinées infectées par le virus étaient tout aussi susceptibles que les personnes non vaccinées de transmettre l'infection à leurs contacts proches.[45] Des études ultérieures renforcent ces résultats et montrent des taux élevés d'infection percée et de transmission parmi les personnes vaccinées.
Cette controverse a atteint son paroxysme en octobre 2022, lorsque Janine Small, cadre chez Pfizer, a témoigné devant le Parlement européen. En réponse aux questions, elle a admis que Pfizer n'avait jamais testé si son vaccin empêchait la transmission avant sa mise sur le marché. Small a déclaré : « Nous avons dû vraiment évoluer au rythme de la science pour savoir ce qui se passe sur le marché… concernant la transmission, nous avons dû prendre tous les risques », ce qui met en évidence le degré de négligence de Pfizer pour simplement mettre son vaccin sur le marché et contourner une surveillance rigoureuse de l'efficacité et de la sécurité.[46] De plus, « la vitesse de la science » n'est pas la science. C'est une recette imprudente pour des erreurs et des catastrophes, comme l'a montré le vaccin à ARNm.
RépondreSupprimerConsidérées dans leur ensemble, les preuves de plus en plus nombreuses laissent peu de doute quant au fait que les agences fédérales de santé américaines et le gouvernement dans son ensemble ont totalement failli à leur devoir le plus élémentaire de protéger la santé publique. Malgré les avertissements scientifiques clairs concernant la myocardite, les risques reproductifs, le dysfonctionnement immunitaire, les signaux oncologiques et l'incapacité des vaccins à ARNm de Pfizer et de Moderna à prévenir la transmission, l'establishment médical des entreprises poursuit son lobbying en faveur de politiques de vaccination infantile. Au lieu de tenir compte des approches prudentes et transparentes adoptées par des pays comme la Suède, le Danemark et le Japon, nos régulateurs et nos revues médicales ignorent des montagnes de preuves tout en promouvant un discours visant à protéger les profits et la crédibilité politique de l'industrie pharmaceutique plutôt que la vie des Américains. Ce mépris délibéré de la science au profit de l'opportunisme et de l'influence des entreprises constitue non seulement une erreur politique, mais aussi une profonde trahison de la confiance du public. En privilégiant les intérêts privés au détriment de la santé et de la sécurité de ses plus jeunes citoyens, le gouvernement a révélé à quel point son appareil sanitaire a été capté et fait peser sur le public la responsabilité de décisions prises de mauvaise foi et sans aucune responsabilité crédible.
rougeole et coqueluche
Malgré des décennies d'affirmations selon lesquelles le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) éliminerait la rougeole aux États-Unis, des données montrent que des épidémies continuent de se produire dans les populations fortement vaccinées. Et ce, malgré le fait qu'en 2022-2023, la couverture vaccinale nationale ROR dans les écoles maternelles demeure élevée, autour de 93 %.[47]
En 2019, les États-Unis ont connu 22 épidémies totalisant 1 274 cas confirmés, soit le nombre de cas le plus élevé depuis 1992.[48] En 2020, dans le contexte des restrictions liées à la COVID, le nombre de cas a fortement chuté à 13 cas, mais a de nouveau augmenté l'année suivante pour atteindre 49 cas et 121 cas en 2022.[49] Il est à noter que les rapports des CDC reconnaissent que bon nombre de ces cas surviennent chez des personnes vaccinées. Cela indique que l'échec vaccinal, plutôt que le seul non-respect, joue un rôle majeur dans la transmission continue.
Les recherches menées au cours de la dernière décennie reconnaissent de plus en plus que l'immunité induite par le ROR diminue plus rapidement qu'on ne le pensait auparavant. Une importante étude financée par les CDC a confirmé que « la diminution de l'immunité contre la rougeole est un facteur potentiel d'épidémies, même au sein des populations fortement vaccinées ».[50] D'autres recherches ont montré que, si le ROR induit des titres initiaux d'anticorps élevés, la protection diminue significativement chez certains individus, les rendant ainsi vulnérables à l'infection malgré une observance totale du traitement.[51] Ce phénomène contribue à expliquer la fréquence des épidémies sur les campus universitaires, dans les milieux militaires et dans d'autres communautés où la couverture vaccinale est supérieure à 95 %.
RépondreSupprimerEn revanche, l'infection naturelle par le virus sauvage de la rougeole continue de conférer une immunité à vie. Une étude classique de suivi à long terme a confirmé qu'une fois infectés, les individus conservent une protection durable qui ne diminue pas avec l'âge.[52] Des recherches immunologiques plus récentes confirment que l'infection par le virus sauvage de la rougeole crée une mémoire cellulaire T et B durable, bien plus durable que l'immunité induite par le vaccin.[53]
En 2021, le réseau Cochrane a publié une revue systématique évaluant 138 études portant sur plus de 23 millions de participants afin d'évaluer la sécurité et l'efficacité du vaccin ROR chez les enfants. Bien que le rapport affirme l'efficacité des vaccins pour prévenir la rougeole, il établit également un lien clair entre le vaccin ROR et les convulsions fébriles. Ces dernières peuvent survenir naturellement chez environ 3 % des enfants de moins de cinq ans en bonne santé, mais les scientifiques de Cochrane ont estimé le risque attribuable au vaccin ROR à environ 1 pour 1 150 doses. Il s'agit d'une augmentation mesurable du risque de convulsions chez les enfants vaccinés.[54]
Pour la rougeole en particulier, il n'existe pas encore de preuve que les campagnes de vaccination répétées ou de masse favorisent l'évolution de souches résistantes aux vaccins ou rendent les souches plus virulentes. Cependant, ce n'est pas le cas pour d'autres agents pathogènes. La coqueluche ( Bordetella pertussis ) et le pneumocoque, le remplacement des souches induit par la vaccination et l'apparition de souches plus virulentes ou résistantes ont été documentés. Par exemple, l'émergence de souches de B. pertussis déficientes en pertactine est désormais fortement associée à une vaccination généralisée contre la coqueluche.[55] Cela fournit un cadre théorique selon lequel certains agents pathogènes peuvent s'adapter sous la pression vaccinale, bien que cela n'ait pas encore été démontré pour la rougeole.
Malgré l'administration obligatoire du vaccin anticoquelucheux et des rappels, les données scientifiques montrent que le vaccin ne confère pas une immunité efficace contre la coqueluche. Une étude publiée dans Clinical Infectious Diseases indique que « la coqueluche est actuellement la maladie évitable par la vaccination la moins bien contrôlée, malgré une excellente couverture vaccinale et la recommandation de six doses de vaccin entre l'âge de deux mois et l'adolescence ».[56]
L'inefficacité, voire l'inutilité totale et les risques franchement dangereux du vaccin contre la coqueluche ont été mis en lumière lors de la grande épidémie de coqueluche de 2010 en Californie, qui a touché plus de 9 100 personnes, dont de nombreux enfants. Une étude évaluant l'efficacité du vaccin a conclu qu'un pourcentage extraordinairement élevé de 80 % des enfants ayant contracté la maladie étaient entièrement vaccinés.[57]
RépondreSupprimerUne explication du manque remarquable d'efficacité du vaccin contre la coqueluche se trouve dans une étude menée par le Centre de dynamique des maladies infectieuses de l'Université d'État de Pennsylvanie. L'équipe a constaté que, plutôt que d'inhiber la croissance bactérienne, le vaccin contre la coqueluche favorise la colonisation de Bordetella parapertussis, l'agent bactérien responsable de la coqueluche. Sur la base de leurs résultats, les chercheurs ont émis l'hypothèse que le vaccin lui-même pourrait contribuer à la forte recrudescence des cas de coqueluche par rapport à la décennie précédente.[58]
Outre l'inefficacité du vaccin anticoquelucheux, il existe des preuves que le vaccin DTC favorise l'apparition de souches coquelucheuses plus virulentes. Lors d'une réunion du Conseil scientifique des CDC pour les maladies infectieuses, des responsables ont souligné que ces nouvelles souches émergentes sont dépourvues de pertactine (PRN), l'antigène actuellement utilisé dans les vaccins anticoquelucheux. Il a été rapporté lors de cette réunion que « les patients vaccinés présentaient un risque significativement plus élevé d'être infectés par des souches déficientes en PRN que les patients non vaccinés ».[59] Une autre étude a examiné l'incidence de la coqueluche dans huit États. L'enquête a révélé que les enfants entièrement vaccinés étaient deux à quatre fois plus susceptibles de contracter une souche déficiente en PRN que la population non vaccinée.[60]
Une autre raison expliquant l'échec du vaccin anticoquelucheux à contrôler l'infection communautaire est que les enfants vaccinés peuvent devenir porteurs asymptomatiques du pathogène ; ce problème est identique à celui constaté lors de l'échec des vaccins à ARNm pendant la pandémie de Covid-19. Par conséquent, les populations vaccinées par le DTC peuvent être infectées par la coqueluche sans présenter de symptômes.[61] L'inconvénient majeur est que les porteurs asymptomatiques transmettent la maladie aux personnes non vaccinées, en particulier aux nourrissons qui courent le plus grand risque de complications de la coqueluche. Cela accrédite également les recherches impliquant les frères et sœurs aînés vaccinés, et non les parents, comme principale source d'infection de la coqueluche chez les nourrissons. Ces recherches contredisent la notion même d'immunité collective, qui stipule que les populations âgées doivent être vaccinées afin de protéger les nourrissons qui ne sont pas en âge de recevoir le vaccin.[62]
Appel à une vaccinologie fondée sur la science
RépondreSupprimerIl est certes raisonnable et responsable de penser que si un vaccin était prouvé sûr et efficace selon une norme scientifique de référence, il constituerait un service de santé important pour chaque enfant et chaque adulte. Cependant, à l'heure actuelle, aucune garantie de ce genre ne peut être donnée sur la base d'une science de qualité. Nous devrions au minimum exiger des études impartiales, indépendantes, en double aveugle et contrôlées par placebo pour chaque vaccin, tant individuellement que collectivement, sans aucune intervention des fabricants de vaccins ni de leurs collègues, associés ou consultants. Pour garantir un avenir plus sain, il est crucial que nous nous mobilisions dès aujourd'hui et exigeions un nouveau paradigme de la science vaccinale et de l'immunologie, fondé sur une médecine indépendante et scientifique.
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Richard Gale est le producteur exécutif du Progressive Radio Network et un ancien analyste de recherche principal dans les secteurs de la biotechnologie et de la génomique.
Le Dr Gary Null est l'animateur de l'émission de radio publique la plus ancienne du pays sur la santé alternative et nutritionnelle et un réalisateur de films documentaires primé à plusieurs reprises, notamment son récent Last Call to Tomorrow.
Ils contribuent régulièrement à Global Research.
Notes
RépondreSupprimer[1] McKeown T, Record RG. Raisons du déclin de la mortalité en Angleterre et au Pays de Galles au XIXe siècle. Population Studies, 1962 ; 16(2), 94–122
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https://www.globalresearch.ca/uncovering-cover-up-vaccine-effectiveness-safety/5901469
Quelque chose de sans précédent vient de se produire dans l'armée américaine et le quotidien
RépondreSupprimerLes nouvelles que vous n'étiez pas censées voir.
Le renard glorieux
Octobre 01, 2025
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STORY no 1 - Le nouveau plan du président Trump à Gaza a choqué le monde, gagnant un soutien rare des nations arabes, de la Russie, de la Chine, de l'Allemagne, de la France et même de l'Autorité palestinienne. Les dirigeants l'appellent la campagne la plus sérieuse pour mettre fin à la guerre à ce jour.
Mais cachés dans les petits caractères est une bombe : l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair supervisera Gaza sous un tableau « technocratique » temporaire. L’histoire de Blair – la vente de la Grande-Bretagne sur une fausse guerre des armes de destruction massive et le lobbying en faveur des systèmes d’identification numériques – soulève des questions urgentes sur le type de « paix » réellement construite.
Le plan appelle au retrait organisé par l’État hébreu, libérés dans les 72 heures, aux combattants du Hamas, à l’amnistie ou à l’exil, et à la restauration de l’aide de l’ONU. Pourtant, les critiques soulignent que l'institut de Blair a pris des centaines de millions de personnes du fondateur d'Oracle, Larry Ellison, dont les liens de la CIA et l'agenda de la CIA en matière d'identité indiquent quelque chose de beaucoup plus sinistre.
Gaza est-elle sur le point de devenir un point zéro pour une technocratie axée sur la surveillance ? Le rapport explosif de Maria zeee révèle ce qui est réellement en jeu.
*
STORY no 2 - Le secrétaire à la Guerre, Pete Hegseth, a rassemblé les principaux dirigeants militaires de Quantico et a transmis un message qu'ils n'oublieront pas : l'ère de la faiblesse est terminée, et la nouvelle mission du département de la guerre est de se préparer à la guerre.
Il a clairement indiqué qu'il ne s'agissait pas de chercher un conflit, mais de préserver la paix par la force, d'avertir que le pacifisme est insensé et que seule une force disciplinée et prête à la bataille peut dissuader les ennemis de l'Amérique.
La Cour de justice a publié 10 directives à grande échelle. Chaque membre du service sera soumis à la norme de combat masculine la plus élevée, les tests de condition physique seront obligatoires deux fois par an, et des exigences strictes en matière de taille et de poids seront appliquées.
Les « généraux purs et amiraux » ne sont plus acceptables, a-t-il déclaré. Le fait de se faire entendre et les quotas ont disparu, la formation de base redeviendra difficile et intransigeante, et les promotions seront gagnées grâce au mérite, et non à la politique.
Hegseth a comparé ces réformes à celles d'avant la Seconde Guerre mondiale, soulevant une question effrayante : avec des tensions qui montent à travers le monde, les États-Unis se préparent-ils à un autre conflit majeur ?
*
FERK Jr. fait un geste audacieux qui pourrait bouleverser l'avortement en Amérique. En tant que secrétaire du HHS, il a ordonné à la FDA de lancer un examen de la sécurité de la drogue pour l'avortement.
RépondreSupprimerPendant des années, Obama et Biden ont démantelé les garde-fous - les pilules d'avortement au service de la vente par le public sans un contrôle médical approprié. Aujourd'hui, Kennedy avertit que les femmes en paient le prix, soulignant les preuves de plus en plus des dangers qui ont été cachés au public.
Une étude majeure montre que près de 11 % des femmes souffrent de complications graves après avoir pris de la mifépristone, soit 22 fois plus que l'étiquette l'admet. Depuis 2000, plus de 4 000 événements indésirables ont été signalés, dont 24 décès maternels. Avec près des deux tiers des avortements maintenant chimiques, des restrictions plus strictes pourraient envoyer des taux d'avortements en chute libre dans tout le pays.
L'examen de l'Office des forêts a commencé. La vraie question est : l'Amérique va-t-elle enfin affronter la vérité sur cette pilule ?
Merci d'avoir fait le réglage. Suivez-nous pour @Zeee_Mediales @VigilantFoxhistoires qui importent, les médias ne veulent pas que vous voyiez.
Nous reviendrons avec un autre spectacle demain. À ce moment-là.
Regardez l'épisode complet ci-dessous :
https://www.vigilantfox.com/p/something-unprecedented-just-happened?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=174969542&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La fiscalité affectée : un facteur de sédimentation de la dépense publique
RépondreSupprimer30 septembre 2025
Romain Delisle
Alors que la dépense publique reste élevée malgré les signaux d’alarme de l’alourdissement du fardeau de la dette, la fiscalité affectée apparaît comme un facteur clé de rigidité budgétaire. Entre taxes fléchés vers un maquis d’agences publiques différentes, comptes spéciaux et financement d’opérateurs publics, ce système complexifie le contrôle des finances publiques et limite l’efficacité des efforts de réduction des dépenses.
Depuis l’année dernière, la dissolution ratée, la chute des gouvernements Barnier et Bayrou et la tragicomédie du vote du budget 2025, la question de la dépense publique est revenue au premier plan de l’agenda politique et du débat public. Les fameuses « économies », dont le chiffre devait atteindre 44 Mds€ cette année, ne sont pas, à proprement parler, une baisse de la dépense publique mais un simple ralentissement de la hausse pour partie et une augmentation des prélèvements obligatoires pour une autre part.
Dans le projet présenté par François Bayrou, qui servira peut-être de base aux prochaines négociations, le total de la dépense publique atteindrait 1722 Mds€ en 2026, soit 29 Mds€ de plus que l’année précédente …
Seuls 20,8 Mds€ proviendraient d’ailleurs du ralentissement des dépenses des administrations publiques et 7 Mds€ de la fameuse « année blanche » pour les prestations sociales et le barème de l’impôt. Le reste se compose d’hypothétiques gains liés à la lutte contre la fraude et d’augmentations d’impôts déguisées dans un toilettage des dépenses fiscales.
Outre la contrainte politique, qu’il ne s’agit naturellement pas de minimiser, le jeu des intérêts publics et privés, l’importance des coalitions qui les défendent et l’inertie du monde politique, il est un facteur rarement évoqué qui augmente la difficulté à réellement baisser la dépense publique : celui du poids de la fiscalité affectée.
La rigidification rampante de l’emploi des recettes publiques
L’universalité de l’impôt est un principe budgétaire classique du droit public français qui comporte notamment une règle de non-affectation des recettes fiscales à une dépense particulière, toutes les recettes fiscales alimentant le budget général de l’État.
Or ce principe comporte des exceptions : budgets annexes, comptes spéciaux, financement des opérateurs de l’État, des collectivités locales ou de la sécurité sociale. Comme le note le Conseil des prélèvements obligatoires, les exceptions ont pris le pas sur la règle : en 2022, les recettes des 238 taxes affectées atteignaient 462 Mds€ (soit 36 % des prélèvements obligatoires), un chiffre supérieur aux 323 Mds€ de recettes abondant le budget de l’État.
La part de taxes affectées représente 57 % des ressources de la sécurité sociale et 39 % de celles des administrations publiques locales. La CSG (contribution sociale généralisée), avec un rendement de 140 Mds€, est la plus importante de ces taxes, suivie de la part de TVA fléchée vers les régions, la sécurité sociale ou l’audiovisuel public (102 Mds€), des droits de mutation à titre onéreux (20 Mds€) et des droits d’accises sur les tabacs (14 Mds€).
RépondreSupprimerUn tour de passe-passe pour éviter de baisser la dépense publique
Le principal problème de l’affectation de la fiscalité à une entité publique est son inefficacité : soit le rendement de la taxe est fort et l’organisme aura trop d’argent qu’il dépensera de manière irrationnelle, soit le rendement de la taxe est faible et l’organisme sera sous-financé. Des effets d’aubaine ou de rentes peuvent aussi apparaître, liés au contrôle d’une manne qui n’est jamais remise en question par le législateur, manne alimentée par des taxes à faible rendement qui contribuent également à l’illisibilité du système fiscal.
La fiscalité affectée est un frein invisible à la maîtrise des dépenses publiques. Trop de taxes fléchées, trop de comptes spéciaux, trop de bureaucratie : le résultat, ce sont des finances publiques rigides et inefficaces. Revenir à une fiscalité universelle, simplifier le budget et limiter l’État à l’essentiel serait le meilleur moyen de redonner du pouvoir d’achat aux Français et de redynamiser l’économie. Naturellement, cette clarification doit s’accompagner d’une vraie réflexion sur le périmètre de l’État et déboucher sur des choix politique courageux pour supprimer certains services inutiles et en privatiser d’autres, permettre à chacun de s’assurer socialement (maladie, maternité, vieillesse, chômage) auprès des compagnies ou mutuelles de son choix…
https://contrepoints.org/la-fiscalite-affectee-un-facteur-de-sedimentation-de-la-depense-publique/
Depuis 70 ans il n'y a aucun ministère qui tient debout. Ils sont tous en faillite fabriquée par les occupants payés pour voler l'argent des français. Les machines, les robots se sont développé et tendent à faire des français des gens millionnaires ! multi millionnaires ! C'est-à-dire des gens qui n'écoutent pas et n'écouteront jamais plus la dictature au pouvoir !
SupprimerTaxation des plus riches : François Ruffin méprise les chiffres, la législation et les libertés
RépondreSupprimer30 septembre 2025
Jean-Philippe Feldman
Après un passage sur BFMTV, François Ruffin a publié un message qui, si nous pouvons nous exprimer ainsi, vaut son pesant d’or. Chacun de ses trois paragraphes doit être scruté.
« C’est dans notre Constitution : l’impôt doit être payé ‘chacun en raison de ses facultés’. Or, aujourd’hui, les milliardaires sont moins imposés que leurs secrétaires ». En contrepoint, l’Iref a rappelé que cette dernière allégation était fantaisiste. Quant à la première, elle est imprécise : c’est par renvoi du Préambule de notre Constitution que l’article 13 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 dispose qu’une contribution commune, indispensable pour l’entretien de la force publique et les dépenses d’administration (et seulement celles-là…), doit être également répartie suivant les facultés des citoyens (autrement dit elle doit être proportionnelle…).
Ruffin pense même à la privation des droits civiques pour punir les riches
« En cas de taxe sur leur patrimoine (donc des milliardaires cités au premier paragraphe), 99,997 % resteraient. Seuls 0,003 % partiraient, feraient le choix de ne plus appartenir à la patrie ». Ces phrases feraient rire si elles n’étaient navrantes. Il faut donc apprendre à François Ruffin que, selon le magazine Forbes (9 avril 2025), la France compte 52 milliardaires. Si 0,003 % d’entre eux quitte l’hexagone (chaque année ?) en cas de taxe sur leur patrimoine (la « taxe Zucman » ?), cela signifie que 0,00156 milliardaire sur 52 quitterait le territoire, autrement dit… 0 ! En réalité, ce chiffre semble fantaisiste. Dans une note du 2 septembre 2025, affirme que « la fiscalité du patrimoine a bien un impact significatif sur l’exil fiscal des plus hauts patrimoines » même s’il reste modeste dans ses effets sur l’économie française.
« Contre eux, bien sûr qu’il faut des sanctions. Pourquoi pas la privation des droits civiques. » Là encore, François Ruffin étale toute son ignorance. En effet, la privation des droits civiques n’est qu’une peine complémentaire (être privé du droit de vote, de l’éligibilité, du droit d’exercer une fonction juridictionnelle, être tuteur ou curateur…), qui suppose donc une condamnation pour crime ou délit. Or, l’on ne sache pas que le fait de quitter la France puisse être qualifié de tel ! Par surcroît, on peut subodorer que le méchant milliardaire qui a décidé pour de vils motifs de s’expatrier, se fiche comme de sa première feuille d’impôt de ne plus pouvoir voter aux élections en faveur d’un candidat liberticide comme François Ruffin !
https://contrepoints.org/taxation-des-plus-riches-francois-ruffin/
Bientôt une police du gaspillage alimentaire ?
RépondreSupprimer30 septembre 2025
Philbert Carbon
Nos gouvernants n’arrêtent pas de prendre des mesures contre le gaspillage alimentaire. Dès 2013 (révisé en 2017), un Pacte national était mis en place, visant à réduire le gaspillage alimentaire de 50% d’ici 2025 pour les secteurs de la distribution et de la restauration collective, et d’ici 2030 pour les autres secteurs.
Depuis cette date, la frénésie réglementaire n’a pas cessé. Citons, entre autres :
la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui introduit l’obligation, pour la restauration collective publique, d’avoir une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire ;
la loi dite « Garot » du 11 février 2016 qui interdit la destruction d’aliments encore consommables et oblige les distributeurs de plus de 400 m² à signer des conventions de don à des associations d’aide alimentaire ;
la loi EGalim du 30 octobre 2018 qui introduit l’obligation, à partir du 1er juillet de 2021, pour les opérateurs de la restauration commerciale de proposer le « gourmet bag » (doggy bag à la française) ;
la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (loi Agec) du 10 février 2020 qui étend notamment l’obligation de diagnostic anti-gaspillage aux industries agroalimentaires ainsi que les obligations de la loi Garot aux opérateurs de commerce de gros alimentaire ;
la loi du 22 août 2021 sur la lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience face à ses effets qui prévoit d’expérimenter la réservation de repas dans la restauration collective pour lutter contre le gaspillage alimentaire.
Cet arsenal législatif n’a eu que peu d’effets jusqu’à présent. Il est vrai qu’il ne s’attaque pas principaux gaspilleurs : les particuliers. Ils sont à l’origine de 40% du gaspillage alimentaire.
Pour y remédier, le député socialiste Guillaume Garot incrimine le manque de contrôles et propose la création d’une police du gaspillage. Des fonctionnaires viendront-ils inspecter nos poubelles, nous faire la leçon, pour ne pas dire nous « rééduquer », et nous verbaliser si nous avons trop jeté ?
Après la police des températures, c’est donc celle des déchets alimentaires que l’on veut faire entrer dans nos logements. Avec les socialistes, décidément, Big Brother n’est jamais très loin !
https://contrepoints.org/bientot-une-police-du-gaspillage-alimentaire/
Ne pissez plus ! Ne chiez plus ! C'est du gaspillage ! Votre merde est bio ! Mangez-là !
SupprimerNormalement, ce que l'on jette (gaspillage !) n'est plus bon, c'est foutu, c'est pourri, mais là, le 'gouvernement' intervient ! "Donnez cette (gourmet bag) merde aux plus démunis !"
HAHAHAHA !
La France exporte ! Whôaw !... des armes !! Des armes pour tuer des gens. Des armes pour tuer des paysans, des armes pour rendre toutes les terres irradiés afin que les survivants crèvent de faim !
En Alsace, du béton souterrain pour confiner des déchets toxiques
RépondreSupprimerFrance-Soir avec AFP
le 01 octobre 2025 - 11:01
A 524 mètres sous terre, une rivière de béton liquide inonde les cavités creusées dans le sel: en dépit des controverses, les salariés se relaient jour et nuit sur le site de Stocamine, en Alsace, pour confiner définitivement 42.000 mètres cubes de déchets toxiques, et empêcher une pollution en surface.
Ce chantier titanesque, prévu jusque fin 2027, consiste à ériger 12 barrages souterrains de 500 m3 de béton chacun aux entrées de la zone de stockage, et à combler des kilomètres de galerie.
En tout, 100.000 m3 de béton doivent être injectés depuis la surface, puis malaxés et coulés dans les galeries. Celles-ci ont été creusées à la fin des années 1990 afin d'entreposer des déchets industriels hautement toxiques dans cette couche souterraine de sel, quelques mètres sous les gisements de potasse exploités ici au siècle dernier.
Dans l'obscurité, que trouent seulement les lampes frontales et les phares des véhicules arpentant les tunnels, quelque 150 travailleurs des profondeurs bravent l'exiguïté, le bruit et la poussière de sel.
Ils s'affairent par endroits à quelques mètres des fûts et sacs emplis de cyanure, d'amiante ou d'arsenic, entreposés ici entre 1999 et 2002, date à laquelle un incendie a mis fin au processus. Des déchets toutefois invisibles et inaccessibles: des bâches, puis des murs en parpaings, ont été installés pour isoler les zones de stockage des galeries de circulation.
Ces déchets "inertes" ne dégagent aucune émanation toxique, assure Régis Fischer, directeur technique adjoint des Mines de potasse d'Alsace (MPDA), l'entreprise publique qui gère le projet. "S'il y avait un risque (...) pour le personnel qui travaille à proximité, on n'enverrait personne", insiste le responsable.
Pour les opposants au projet toutefois, c'est surtout l'impact de ce stockage souterrain sur la nappe phréatique, 500 mètres plus haut, qui cristallise les inquiétudes. Les "anti-Stocamine" craignent que l'eau de ruissellement s'infiltre en profondeur jusqu'aux déchets, et provoque ensuite, en remontant à la surface, une "pollution irréversible" de la nappe.
- Affaissement naturel -
RépondreSupprimerAssociations écologistes, riverains et collectivités locales ont mené une longue bataille devant la justice administrative. Ils plaident pour que les déchets soient retirés des profondeurs - seuls l'ont été 2.000 m3 de matériaux contenant du mercure, entre 2014 et 2017 - ou au moins qu'ils ne soient pas confinés.
La justice leur a cependant donné tort: d'abord lors d'une procédure en urgence, puis sur le fond, dans une décision rendue en première instance, en juin. Les opposants ont fait appel, mais celui-ci n'est pas suspensif.
Pour les responsables de Stocamine, le déstockage total des matériaux toxiques n'est de toute façon plus possible, du fait de l'affaissement naturel des cavités: sous le poids des couches géologiques supérieures, les galeries "se referment naturellement, et à très long terme vont finir par disparaître", emprisonnant ainsi définitivement les déchets, explique M. Fischer, ingénieur géologue de formation.
Cet affaissement a d'ailleurs pu être constaté dans certaines galeries, où le niveau du sol a bougé de plus d'un mètre en quelques années.
Entamé en 2019, interrompu plusieurs fois, puis repris en continu depuis mars 2024, le chantier de confinement a été conçu sur la base de nombreuses expertises, et des hypothèses les plus pessimistes quant à la progression éventuelle des eaux de ruissellement, insiste la direction de Stocamine.
Des arguments qui ne convainquent pas les opposants. Pour Yann Flory, du collectif "Déstocamine", la remontée vers la surface des eaux polluées "ira bien plus vite que ce disent les experts". L'efficacité et l'étanchéité des barrages en béton, "on n'y croit pas, c'est de la folie", assène le militant.
Pour l'heure, sur les 12 barrages prévus, quatre ont été réalisés, trois sont en chantier, et cinq restent à construire. Un kilomètre de galeries a été en outre obstrué, sur une dizaine au total.
Le coût total du projet, financé par l'Etat, est évalué à 70 millions d'euros. Auxquels il faut ajouter, selon la Cour des comptes, 226 millions supplémentaires dus aux retards successifs du chantier depuis 2013, du fait des contestations.
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/en-alsace-du-beton-souterrain-pour-confiner-des-dechets-toxiques
Les déchets toxiques sortis de terre il y a x années retournent sous terre de là où ils sont venus.
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RépondreSupprimerEtude pestiriv : des titres de presse inquiétants, pour des résultats rassurants !
30 septembre 2025
Aymeric Belaud
Menée par Santé publique France et l’Anses, l’étude Pestiriv a fait parler d’elle lors de ce mois de septembre. Relayée par les médias, elle affirme que les riverains de parcelles de vignes sont plus exposés aux « pesticides ». Selon Libération, « l’usage de ces substances chimiques par les viticulteurs est le principal facteur de contamination des riverains et de leur environnement. » Mais derrière ces titres de presse inquiétants, se cache une réalité plutôt rassurante.
En effet, ce que retient la presse est du même acabit que « l’eau ça mouille ». C’est une évidence que vivre près des vignes expose davantage aux produits phytosanitaires utilisés par les viticulteurs, surtout lors des périodes de traitement. Une personne vivant loin de toute culture est forcément moins touchée. Pour autant, cette exposition est dans des proportions très faibles. Dans un article du Point, Géraldine Woessner explique que « les niveaux mesurés dans l’étude restent très largement en deçà des seuils associés à un risque sanitaire. » Pour les auteurs de l’étude, cette dernière ne soulève pas d’alerte sanitaire car les niveaux de pesticides mesurés ne dépassent pas les limites prévues par la réglementation. « Les niveaux mesurés apparaissent globalement cohérents avec les scénarios d’exposition anticipés lors des évaluations réglementaires ». L’AMM (autorisation de mise sur le marché), remplit donc son rôle de protection des usagers et des riverains et les « évaluations réglementaires anticipent correctement les niveaux d’exposition observés sur le terrain. »
Autrement dit, les conclusions de l’étude Pestiriv, contrairement aux titres aguicheurs de la presse habituée à l’agribashing, sont rassurantes. L’exposition actuelle et réelle des riverains aux « pesticides », utilisés par le conventionnel comme le bio, n’a aucun effet néfaste sur la santé.
https://contrepoints.org/etude-pestiriv-des-titres-de-presse-inquietants-pour-des-resultats-rassurants/
Premièrement, les produits de traitements contre les mazladies des plantes et contre les insectes nuisibles qui affameraient la population sont des médicaments tels qu'on en trouve des tonnes en pharmacies.
SupprimerCes sulfatages sont nécessaires, obligatoires pour proposer des fruits et légumes en très bonne santé contrairement aux produits bio qui sont tous des produits malades et qui tuent la population depuis des milliers d'années.
Deuxièmement, ces remèdes ne s'enfoncent pas dans la terre, pas plus que les pluies. Prenez une bêche et, au lendemain des pluies (voire inondation) faites un trou dans le sol. Que voyez-vous ? Vous voyez que la pluie est descendue à 10 cm ! 20 tout-au-plus ! Pas plus ! Çà alors !! Et, cette eau va remonter à la surface au fil des jours sans pluies, puis s'évaporer ! Çà alors !!
Mais alors... l'eau que nous buvons... L'eau que vous buvez provient des nappes phréatiques et sources de montagnes ! Elles sont approvisionnées par la combustion magmatique. Cette eau est propre ! Pure ! Sans couleur, ni odeur, ni goût, ni bactérie ! Cà alors !
Argentine : la pauvreté au plus bas depuis 2018
RépondreSupprimer28 septembre 2025
Lorenzo Delpech
Selon un rapport de l’Instituto Nacional de Estadística y Censos (INDEC), le taux de pauvreté en Argentine a atteint 31,6 %, soit le niveau le plus bas depuis 2018, d’après le Ministère du Capital Humain.
Cette amélioration est remarquable par rapport au second semestre 2024, où le taux de pauvreté s’élevait à 38,1 %, enregistrant une baisse de 6,5 points. L’extrême pauvreté recule également, diminuant de 1,3 point pour la population argentine. Selon le rapport, cette tendance positive touche toutes les régions du pays.
Le revenu total des familles a augmenté de 26,3 %
Sur une période d’un an, la progression est encore plus spectaculaire : le taux de pauvreté est passé de 52,9 % au premier semestre 2024 à 31,6 % au premier semestre 2025, soit une baisse de plus de 20 points en seulement douze mois. Cette amélioration se reflète aussi sur l’extrême pauvreté, qui est passée de 18,1 % au premier semestre 2024 à 6,9 % au premier semestre 2025, soit une chute de 11,2 points sur un an.
Par ailleurs, le revenu total des familles a augmenté de 26,3 % en moyenne, dépassant largement la hausse des coûts du panier de consommation, qui s’est élevée à 13,2 % pour le panier de base alimentaire (CBA) et 12,3 % pour le CBT (calculé à partir du panier alimentaire de base (CBA) avec l’inclusion de biens et services non alimentaires tels que l’habillement, le transport, l’éducation, la santé, entre autres).
Ces chiffres illustrent l’impact tangible des politiques économiques mises en œuvre sous Javier Milei. La baisse continue de la pauvreté et de l’extrême pauvreté démontre encore une fois que la liberté économique est un moteur significatif de prospérité.
https://contrepoints.org/argentine-la-pauvrete-au-plus-bas-depuis-2018/
Voir aussi:
Supprimerhttps://contrepoints.org/la-defaite-electorale-nentamera-pas-les-reformes-lancees-par-javier-milei/
Les nouveaux projets de loi pourraient changer la façon dont vous payez, conduisez et guérissez
RépondreSupprimerLegiSector Ledger
Le meilleur de DailyClout
27 septembre 2025
Bienvenue au LegiSector Ledger – votre ventilation des plus grands projets de loi qui façonnent l’avenir de l’Amérique.
- voir dessins sur site -
Chaque édition réduit le bruit pour montrer comment la nouvelle législation aura un impact sur les entreprises, la technologie, les soins de santé, l'énergie et le commerce. De la finance numérique aux marchés des véhicules, des tarifs en passant par la télésanté, ces lois ne siègent pas seulement au Congrès – elles remodissent les risques, les opportunités et les stratégies pour les industries à travers le pays. Le Lédiger est construit pour donner aux dirigeants, aux défenseurs et aux citoyens une vision claire et pratique de ce qui bouge à Washington, pourquoi cela compte, et comment il pourrait affecter votre monde.
Plusieurs projets de loi de 2025 auront un impact sur le paysage des affaires dans de multiples secteurs. La loi GENIUS clarifie les règles de la stabilitécoin, en renforçant le respect des règles tout en renforçant la confiance dans la finance numérique. La loi sur la liberté du marché des véhicules met fin aux crédits d'impôt pour véhicules propres, à la dynamique des coûts pour les constructeurs et les flottes automobiles. La loi sur l'examen du commerce réintègre le pouvoir tarifaire, réduisant l'incertitude mais ajoutant un contrôle politique. La loi CONNECT for Health cimente la télésanté à Medicare, ouvrant ainsi des possibilités de croissance pour les entreprises de santé et de technologie. Ensemble, ils mettent en évidence le changement des risques et les opportunités que les dirigeants doivent suivre de près.
GENIUS Act (S.1582) – Installe une surveillance stricte pour les pièces de monnaie stables, en renforçant la confiance dans la finance numérique, tout en augmentant les coûts de mise en conformité.
Restaurer la loi sur la liberté du marché des véhicules (H.R.312) – Fine les crédits de taxe sur les véhicules propres, la suppression de la dynamique des coûts pour les constructeurs automobiles, les flottes et les chaînes d'approvisionnement des véhicules électriques.
Loi sur la révision du commerce (S.B.1272) - Limite le pouvoir tarifaire présidentiel, ce qui réduit l'incertitude pour les entreprises anthropiques, mais injecter davantage de politiques au Congrès.
CONNECT for Health Act (S.B.1261) – Rend la télésanté permanente à Medicare, en élargissant les possibilités offertes aux prestataires de soins de santé, aux assureurs et aux vendeurs de technologie.
Technologie/fonds
RépondreSupprimerLoi GENIUS - S. 1582
La loi GENIUS établit le premier cadre global des États-Unis pour la réglementation des pièces de monnaie stables, les actifs numériques conçus pour maintenir une valeur fixe. En vertu de cette loi, seuls les émetteurs agréés par le gouvernement fédéral peuvent créer des stablecoins, et chaque pièce doit être adossée à 1:1 par des réserves sécurisées comme l'argent liquide ou des titres du gouvernement américain. Les émetteurs sont soumis à des règles strictes de lutte contre le blanchiment de capitaux, à des informations mensuelles transparentes et à un contrôle continu des régulateurs financiers. La loi bloque également la commercialisation trompeuse, interdit les paiements d'intérêts sur les participations et garantit un remboursement rapide des pièces à valeur nominale. En établissant des lignes claires - les pièces à base de stabilité ne sont pas des titres ou des matières premières - elle offre des protections aux consommateurs tout en donnant aux innovateurs une voie d'action légale. L'objectif est de préserver la stabilité de la finance numérique et de positionner les États-Unis en tant que leader mondial des paiements numériques fiables. En savoir plus...
Taxes/Énergie/Transports et véhicules à moteur
Restaurer la loi de 2025 sur la liberté du marché des véhicules - H.R. 312
Ce projet de loi sur la Restaurer la loi de 2025 sur la liberté du marché des véhicules vise à enrayer les incitations fiscales fédérales qui ont alimenté la croissance des véhicules électriques et des véhicules à carburant alternatif. Elle abroge les crédits pour l'achat de véhicules électriques neufs ou usagés, l'installation d'équipements de ravitaillement spécialisés ou l'achat d'hybrides rechargeables et de véhicules utilitaires propres. S'ils sont adoptés, ces changements ne s'appliquent qu'aux achats futurs, ce qui augmente effectivement le coût des véhicules à énergie propre par rapport à aujourd'hui. Les partisans affirment qu'il atteindra les conditions de concurrence en laissant le marché, et non les subventions, pour déterminer la demande de véhicules. Les opposants avertissent qu'il pourrait ralentir l'adoption d'une technologie plus verte et affaiblir les investissements dans les transports propres. En bref, la mesure représente un pivot aigu des incitations prises par le gouvernement pour obtenir des résultats axés sur le marché dans l'industrie automobile. En savoir plus...
Commerce
RépondreSupprimerLoi de 2025 sur l'examen du commerce et du commerce S.B. 1272
La loi sur l'examen du commerce réintègre l'autorité présidentielle sur les nouvelles taxes à l'importation en imposant une plus grande transparence et un contrôle du Congrès. Dans les deux jours qui suivent l'imposition ou l'augmentation des droits de douane, le Président doit notifier au Congrès des détails sur l'impact économique. Ces fonctions expirent automatiquement après 60 jours, à moins que le Congrès ne vote pour les prolonger, et les législateurs peuvent les réduire à court d'une résolution de désapprobation. Bien qu'il subsiste des exceptions pour des cas particuliers tels que les mesures antidumping, le projet de loi garantit un processus de révision rapide, empêchant les entreprises et les consommateurs d'être aveugles par des tarifs soudains et non contrôlés. En revenant davantage au Congrès, le projet de loi tente d'équilibrer la politique commerciale avec la responsabilité et la prévisibilité. En savoir plus...
Soins de santé/Medicare et Medicaid
CONNECT pour la loi de 2025 sur la santé - S.B. 1261
La loi de 2025 sur la RELNECT pour la santé fait de la télésanté une caractéristique permanente et accessible de Medicare, éliminant ainsi les barrières qui limitent son utilisation aux patients ruraux ou à certains prestataires. Aujourd'hui, tous les bénéficiaires de Medicare peuvent accéder aux soins à distance, que ce soit à la maison, dans les cliniques ou dans les établissements de santé des Amérindiens, et un plus large éventail de professionnels peuvent fournir des services. Le projet de loi supprime les besoins obsolètes en matière de visites en personne pour les soins de santé mentale, élargit la formation et le soutien aux patients handicapés ou aux problèmes linguistiques, et impose de nouvelles garanties contre la fraude et les abus. Les dispositions relatives à la transparence exigent des rapports réguliers sur l'impact de la télésanté sur les dépenses et la qualité des soins. En modernisant l'approche de Medicare, la loi garantit que la télésanté continue d'améliorer l'accès, en particulier pour ceux qui luttent pour atteindre les fournisseurs traditionnels, tout en maintenant la surveillance stricte. En savoir plus...
https://bestofdailyclout.substack.com/p/new-bills-could-change-how-you-pay?utm_source=cross-post&publication_id=2164757&post_id=174651886&utm_campaign=1053235&isFre
email=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
"Il y a une crise silencieuse dans l'agriculture qui se profile au-dessus de nous.
RépondreSupprimerComment allons-nous obtenir la nourriture nutritive que nous recherchons quand les fermes familiales sont toutes parties ?
Mes diapositives de la conférence d'aujourd'hui. Il s'agit d'une crise désastreuse qui est confrontée autant aux EATERS que les agriculteurs. S'il vous plaît, faites attention à cela.
Meryl Nass
28 septembre 2025
Le site SOFAF.org est incomplet, mais il y en a déjà beaucoup, si vous voulez en savoir plus à ce sujet, y compris les 50 Ways Farmers are Being Attacked.
Merci beaucoup, Dr. C'est pour sonner l'alarme. En tant que petit agriculteur au Texas, je tire la sonnette d'alarme depuis des années à tous ceux qui mangent de la nourriture : il n'y a pas assez de fermiers pour lutter contre la nourriture seule. Nous avons besoin que tous ceux qui mettent de la nourriture dans leur bouche s'en prennent à leurs serviteurs élus - (les fonctionnaires politiques) et exigent dans leur état que la nourriture réelle soit encouragée et que les agriculteurs soient laissés seuls à l'augmenter, la vendre tout en la cultivant dans les meilleures conditions possibles, ce qui signifie sans poison dans le ciel, le sol et l'eau.
Je vous prie d'allumer un feu sous les gens pour qu'ils réalisent les vérités que vous parlez. Au fait, à titre de note de côté, j'aurai 70 ans en novembre et mon mari aura 80 ans en juillet; nous prévoyons de continuer à faire ce que nous pouvons dans la petite ferme sur laquelle nous sommes bénis, alors que nous le pouvons aussi longtemps que nous le pouvons.
Je suis végan, pendant des décennies, et faire bouillir l'eau que je bois
Mais après votre émission avec Peter, quel est son nom de famille K je pense que j'ai juste peur de mourir sur la peinture maléfique en digue.
Bien sûr, être effrayé n'aide pas.
Je n'ai jamais été appelé Eater auparavant.
J'essaie d'y trouver des aliments auprès des agriculteurs au marché direct .
Pourquoi ils veulent nous tuer tous. Et faire du bon travail... ?
Pourquoi , ?
C'est officiel. Les données des CDC et du gouvernement britannique révèlent que les vaccins contre la COVID ne préviennent pas les cas, la transmission, les maladies graves ou les décès
Alors, que font-ils, et POURQUOI les utilisons-nous ?
Nous l'avons fait. 22 A la part des procureurs généraux aux États-Unis ont dit à Joe Biden que l'OMS ne prendrait pas de politique publique dans leurs États.
Pour les milliers de personnes qui ont passé des appels et des lettres - vous êtes les meilleurs. La gouvernance mondiale ne commencera pas par les États-Unis
Le président Trump s'est entretenu avec Davos par vidéo. Voici ce qu'il a dit aux participants
Je n'ai pas commencé à prendre des notes avant environ 10 minutes en, désolé
- voir photos et docs sur site :
https://merylnass.substack.com/p/there-is-a-silent-crisis-in-farming?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=174722829&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Les autorités dilatoires de l'Amérique
RépondreSupprimerRéflexions sur nos communautés religieuses du XXIe siècle.
John Leake
28 septembre 2025
Pendant la pandémie de COVID-19, Dr. McCullough et moi nous émerveillais souvent du fanatisme avec lequel le gouvernement américain a poursuivi son programme de vaccination de masse. Comme nous le décrivons dans notre nouveau livre, Vaccines: Mythologie, Idéologie, et Réalité, ceux qui sont au pouvoir ont érigé une nouvelle religion qui dépeignait la nouvelle grenaille génétique comme le libérateur et le sauveur de l'humanité. Notre chapitre intitulé « In Vaccines We Trust » conclut ce qui suit :
La caractéristique la plus étonnante de la religion des vaccins était que la foi fervente de ses adeptes n'était pas du tout ébranlée par le fait que le vaccin ne prévenait pas - comme l'avait initialement promis ses créateurs - préviennent l'infection et la transmission de la maladie. Des millions de personnes vaccinées ont remarqué cela lorsqu'elles sont tombées à plusieurs reprises avec Covid même après avoir reçu plusieurs rappels, probablement en raison de l'augmentation dépendante des anticorps. Apparemment reconnaissant qu'il n'y avait aucun moyen d'occulter cette réalité, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a déclaré publiquement le 5 août 2021 que les vaccins n'empêchent pas la transmission du SARS-CoV-2.
Avec cet aveu, la raison d'être de l'homme vacciné contre le COVID-19 est datée dans diverses professions, parmi les travailleurs fédéraux, dans l'armée, et pour voyager, assister à des réceptions, et même visiter des hôtels et des restaurants dans des villes telles que Washington D.C. - collapsed. Néanmoins, ces mandats ont été maintenus par l'administration Biden pendant plusieurs mois après que Walensky eut fait son annonce. Pourquoi ? Le fait était-il une expression symbolique de la foi dans les vaccins et de leur ménèse miraculeuse, même s'ils n'ont pas empêché l'infection ? Ou y avait-il un autre motif ?
Nous ne pouvions nous empêcher de nous demander si le programme mondial de vaccination de masse mené avec le fanatisme était l'expression d'un plan beaucoup plus grand pour l'humanité tout entière. Mais quel était exactement le plan, et qui était derrière ? Était-ce une sorte d'essai ou d'exercice de conditionnement pour déterminer si toute l'humanité pouvait être amenée à accepter une perte de l'autonomie corporelle individuelle ? La recherche de ces questions nous a souvent amenés dans le domaine de la métaphysique spéculative. Le programme mondial de vaccination de masse Covid nous frappe comme l'un des épisodes d'émersie dans l'histoire.
Réfléchir à cette nouvelle religion étrange m'a poussé à relire un livre écrit par mon professeur de philosophie, Roger Scruton, quand j'étais à l'université. La philosophie moderne a été publiée en 1996, et son chapitre sur « Le Diable » m'a fait forte impression.
Le chapitre est une réflexion sur la façon dont la société moderne - à tant de manières façonnées par les qualités impersonnelles du marché de masse et la vision du monde scientifique - tend à laisser de nombreuses personnes aspirent à avoir un sens et un sentiment d'appartenance. Ils aspirent à croire en quelque chose et à appartenir à une communauté de croyants. Dans cet état vulnérable, ils peuvent devenir des fervents dévots d'étranges nouvelles communautés religieuses qui semblent offrir le salut et la rédemption.
Pour les observateurs extérieurs, les adeptes de ces nouveaux cultes semblent être possédé par les doctrines qu'ils ont adoptées. Cette perception rappelle l’observation de Carl Jung selon laquelle « les gens ne possèdent pas d’idées ; les idées possèdent des gens ». Les jeunes qui rejoignent ces cultes peuvent être fouettés dans une frénésie d’émotion, y compris la rage homicide et l’exultation à la mort de quelqu’un comme Charlie Kirk qu’ils ont été amenés à croire être « un fasciste » et un « épanouissant de la haine ». Lorsque les humains, en particulier les jeunes hommes, sont saisis par ces pensées et ces sentiments, ils deviennent capables de toute atrocité imaginable, qu'ils imaginent faire au service d'un plus grand bien.
RépondreSupprimerQuelqu'un m'a récemment envoyé une image d'un jeune homme barbu qui - au spectacle de Charlie Kirk en train d'être tiré dans le cou - sauter les pieds et a jeté ses bras triomphals. L'image m'a rappelé la dernière mise en garde de George Orwell à l'humanité - qui a été filmée par une équipe de tournage - brièvement avant sa mort.
C'est la direction dans laquelle le monde va actuellement. Dans notre monde, il n'y aura pas d'émotions si ce n'est la peur, la rage, le triomphe et l'auto-audace. Mais il y aura toujours l'intoxication du pouvoir. Toujours, à chaque instant, il y aura le frisson de la victoire, la sensation de piétiner sur un ennemi qui est impuissant. Si vous voulez une photo de l'avenir, imaginez un estampage de botte sur un visage humain, pour toujours.
Cette nuit-là, après avoir vu l'image du jeune homme extensif, j'ai eu un cauchemar sur le triomphe malveillant que cette image semblait exprimer. J'ai décrit mon cauchemar à un programme d'IA et lui ai demandé de le recréer dans une image. C'est ce que le programme d'IA a produit.
Nightmare Image of Exultant Young Man: Copyright John Leake
Roger Scruton, qui était un membre actif du mouvement dissident tchèque dans les années 1980, a consacré une grande partie de son analyse critique à la pseudo-religion marxiste qui a balayé l'Europe et l'Asie au cours du XXe siècle. Comme Scruton le voyait, Marx et les intellectuels qui portaient le flambeau marxiste étaient eux-mêmes des hommes aliénés et désespérés, et ils ont cherché la rédemption dans le but de refaire le monde à leur image. Les crimes qu’ils ont commis avec leur police secrète et leurs goulags peuvent ainsi être conceptualisés comme « le travail du diable ». Comme l'a dit Scruton :
Le travail du diable est de nous persuader de refaire le monde à l'image de ce désespoir, tout en nous excitant aux hauteurs de la passion religieuse, afin que nous croyions que, ce faisant, nous agissons pour le plus grand bien. Nous devons garder cela à l'esprit lorsque nous considérons les grands événements du monde moderne, et en particulier ces révolutions extraordinaires qui, à partir du désespoir des intellectuels, ont pris fin dans le désespoir de tous.
Le marxisme, ou l'itération grossière de celui-ci, qui est enseignée aux étudiants, n'est qu'une des nombreuses communautés religieuses bizarres en Amérique aujourd'hui. Le plus diabolique est le Transgender Cult « l'expression ultime du concept de Scruton » dans son livre de 1996. À l'époque, le transgenre était limité à quelques adultes excentriques tels que le talentueux auteur britannique, James Morris, qui a subi une opération de « changement de sexe » dans les années 1970 et a changé son nom en Jan Morris.
RépondreSupprimerLes propagandistes adultes transgenres se nourrissent comme des vampires de l'insécurité et de l'aliénation qui sont des caractéristiques naturelles de l'adolescence pour beaucoup d'enfants. Les prosélyseurs adultes de ce culte font la fausse promesse ultime des adolescents confus, à savoir que toutes leurs émotions négatives seront résolues par « la transition » à l'autre sexe.
Les prosélyseurs transgenres rappellent la caractérisation frappante de Jésus (comptée dans Jean 8:44) des pharisiens qui essaient de lui poser des pièges verbaux. Comme il l'a proclamé :
Vous appartenez à votre père, le diable, et vous voulez réaliser les désirs de votre père. Il était un meurtrier dès le début, ne se tenait pas à la vérité, car il n'y avait pas de vérité en lui. Quand il ment, il parle sa langue maternelle, car il est un menteur et le père du mensonge.
On y voit l'association du « diabolo-diabolou » avec les mots « miteurs » (anthropktonos) et « delie » (pseudos). En d'autres termes, le diable est principalement un meurtrier et un menteur. Il me semble qu'il s'agit d'une qualification appropriée des adultes qui font la fausse promesse aux enfants que leurs sentiments négatifs seront résolus par « la transition ».
Une autre communauté religieuse diabolique, érigée aux États-Unis en 2022, était fondée sur la promesse fallacieuse qu'un avenir heureux pour l'Ukraine se trouvait en rejoignant finalement l'OTAN contre les Russes. Quiconque a étudié sérieusement l'histoire de l'Europe et de la Russie peut voir que c'était un mensonge meurtrier.
La voie la plus probable vers un avenir heureux pour l'Ukraine réside dans un accord de neutralité de type autrichien. Les Russes ont déclaré qu'ils se sentiraient en sécurité avec la neutralité ukrainienne. Si un accord de neutralité avait été conclu et si les Russes avaient plus tard violé, alors l'Occident aurait eu un casus belli clair.
Le fait que l'Occident n'ait même jamais considéré un accord de neutralité ukrainien est une preuve prima facie que ses dirigeants voulaient embrasser la Russie dans la guerre. Ainsi, la guerre en Ukraine - et le fervent nationalisme ukrainien qui a métastasé dans les pays occidentaux, y compris les États-Unis - est précisément caractérisée comme un autre résultat stupéfiant d'une pseudo-religion diabolique.
RépondreSupprimerUne caractéristique paradoxale du culte ukrainien aux États-Unis est que de nombreux citoyens américains qui considéraient l'administration Biden comme odieux et indigne et indigne croyaient néanmoins que le président russe Vladmir Poutine aurait dû faire confiance aux assurances de l'administration Biden à l'automne 2021 et à l'hiver 2022.
Une caractéristique commune de tous ces cultes est qu'il est loin d'être clair ce que veulent exactement leurs dirigeants en plus de gratifier leur orgueil, leur cupidité et leur luxure apparemment sans limite. Jeffrey Epstein est soupçonné d'utiliser de belles jeunes filles pour séduire des hommes influents afin que lui (ou celui pour lequel il travaillait) puisse les faire chanter pour qu'ils répondent à ses souhaits. Il est considéré comme un homme maléfique, mais il est important de se rappeler que son plan n'aurait obtenu nulle part sans la participation volontaire de ceux qui ont cédé aux tentations qu'il leur a offertes.
En accord avec d'innombrables descriptions littéraires du diable, Epstein n'a jamais essayé de dissimuler ce dont il avait. J'ai entendu plusieurs récits de rencontres avec lui, dans lesquels il a clairement indiqué que son monde était un monde de sexe débauché avec de jeunes filles. Parfois, il était hyperboliquement théâtral à ce sujet.
J'ai l'impression que beaucoup de vieillards qui dirigent maintenant le monde connaissent une lutte désespérée pour accepter leur mortalité. Les pseudo-religions diaboliques qu'ils ont érigées en sont l'expression. Au lieu de prendre leur retraite des affaires publiques, beaucoup de ces hommes sont apparemment déterminés à conserver leur pouvoir aussi longtemps que possible. Il semble qu'ils veuiller refaire le monde à l'image de leur désespoir.
https://www.thefocalpoints.com/p/americas-diabolical-pseudo-religions?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=174712701&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le cash, ce faux ami de la liberté ? Quand la BCE nous vend du rêve papier
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 28 septembre 2025 - 10:23
Résumé express pour les pressés : démontons le cash chéri par la BCE comme un mirage de liberté. Les billets correspondent à la confiance forcée en des institutions qui les dévaluent à coups d'inflation (pensez Venezuela à 71 % ou Argentine à 30 % en 2025 !). Regardons les agrégats monétaires, où le cash n'est qu'une miette. Les cryptos ? Libres, mais vulnérables aux attaques 51 % terrifiantes.
Et, face à l'or, ce havre ancestral anti-inflation, le cash fait pâle figure – un paradoxe hilarant : on fuit l'État pour son propre piège ! Lisez pour rire jaune et questionner tout.
*** analyse ***
Ah, la BCE ! Cette tour d'ivoire bruxelloise qui, en pleine année 2025, nous pond un article tout miel intitulé « Restez calme et gardez de l'argent liquide ». On y apprend, avec une tendresse presque paternelle, que le bon vieux billet en euros est notre meilleur pote en cas de crise. Pendant la pandémie, l'invasion en Ukraine ou même ce blackout ibérique d'avril 2025 qui a fait planter les cartes bancaires comme des dominos, le cash a sauvé la mise. Résilient, tangible, anonyme, une « roue de secours » pour l'économie, qu'ils disent. Mais attendez, chers lecteurs, avant de remplir vos chaussettes de coupures de 50, creusons un peu. Car derrière ce plaidoyer partiellement pro-cash se cache un paradoxe hilarant :
la BCE nous exhorte à faire confiance au cash... tout en étant celle qui tient les ciseaux de la planche à billets.
C'est comme si votre boucher vous conseillait de stocker de la viande pour l'apocalypse : pratique, mais qui décide de la date de péremption ?
Le cash ou l'art de confier ses illusions à l'État
Commençons par les bases, instructives et sans chichis.
Qu'est-ce que le cash ? Pas ces pixels qui dansent sur votre app bancaire, non. Le cash, ce sont les billets et les pièces – la monnaie fiduciaire, en jargon technocratique. Et « fiduciaire » vient de fides, la foi en latin. Pas la foi en vos voisins ou en votre portefeuille magique, mais une confiance absolue... envers les institutions. Oui, vous avez bien lu : le billet de 20 euros que vous serrez dans la main n'est qu'un bout de papier cotonné gravé d'un hologramme européen, garanti par la Banque Centrale Européenne (BCE) et les gouvernements de la zone euro qui contrôlent son émission. C'est leur promesse solennelle : « Tiens, ça vaut quelque chose parce qu'on le dit. »
RépondreSupprimerImaginez : pendant la crise grecque de 2015, les Grecs se ruaient sur les distributeurs pour thésauriser du cash, fuyant les banques digitales qui sentaient le roussi. Pourquoi ? Parce que le billet offre un semblant de contrôle immédiat – pas de mot de passe oublié, pas de cyberattaque qui vide votre compte en un clic. Mais ce contrôle est une illusion comique, car la BCE peut, d'un claquement de doigts (ou d'un conseil des gouverneurs), imprimer plus de ces bouts de papier, diluant leur valeur comme un café trop arrosé. Inflation, bonjour !
C'est la confiance en l'ennemi. Mes amis, on combat les élites en stockant leur propre produit dérivé.
Euro, Billets De Banque
Le cash (source Pixabay)
Et si on zoomait sur les pièges bien réels de cette « confiance » ? Prenez l'inflation galopante dans certains pays : en une année, elle peut ronger votre cash comme un acide vorace. Au Venezuela, l'inflation a atteint 71,70 % en 2025, transformant un billet de 100 bolivars en confettis quasi-inutiles – une dévaluation qui a fait chuter le bolívar de plus de 50 % depuis janvier, au milieu d'une crise pétrolière incertaine.
Au Soudan, c'est pire : 118,90 % d'inflation, avec des guerres civiles qui accélèrent la planche à billets et font fondre les économies familiales en poussière.
L'Argentine ? 23,3 à 30 % en 2025, où les supermarchés doublent les prix mensuellement, et le peso dévalué rend le cash un pari perdant – mieux vaut le dépenser vite avant qu'il ne vale son poids en regrets.
Le Zimbabwe, champion historique, frôle les 23,60 % malgré des leçons apprises (ou pas).
Ces exemples montrent le cash non comme un bouclier, mais comme une cible mouvante : dévaluation officielle ou inflation rampante, c'est l'État qui tire les ficelles, et votre matelas se remplit de... vide.
Paradoxe savoureux : on stocke du cash pour « contrôler » son destin, alors qu'en un an, il peut perdre 100 % de sa valeur réelle. Riez, ou pleurez – c'est le même billet !
Les agrégats monétaires : une pyramide où le cash est le socle... minuscule
Pour y voir plus clair, parlons chiffres – parce que rien n'est plus sexy qu'un peu d'agrégats monétaires pour pimenter le dîner. La BCE et la Banque de France, dans sa grande sagesse, définissent ces « agrégats » comme des mesures de la masse monétaire, classées par liquidité (c'est-à-dire à quel point c'est facile à dépenser sans y passer la nuit).
M0 (la base monétaire) est le cœur du réacteur. Ça inclut les billets et pièces en circulation hors banques (environ 1 500 milliards d'euros en 2025), plus les réserves que les banques gardent chez la BCE. Ici, les billets pèsent lourd – souvent plus de 80 % de M0, car les réserves bancaires fluctuent avec les politiques monétaires. C'est le cash pur, le jus originel.
RépondreSupprimerM1 (monnaie étroite) est constitué de M0 auquel sont additionnés les dépôts à vue (comptes courants que vous pouvez vider illico). En juillet 2025, M1 tournait autour de 10 808 milliards d'euros. Les billets ? Une part modeste, genre 14 % (1 500 / 10 800), noyés dans l'océan des virements instantanés.
M2 (monnaie intermédiaire), c’est M1 + les dépôts à terme jusqu'à deux ans (épargne accessible sans trop de frais). Valeur en août 2025 : 15 743 milliards d'euros. Les billets représentent à peine 10 %, relégués au rang de curiosité vintage.
M3 (monnaie large, la star de la BCE) composée de M2 + des trucs plus exotiques comme les fonds monétaires ou les titres de dette. Croissance à 3,4 % en juillet 2025, pour une valeur totale autour de 15 000-16 000 milliards. Et les billets ? Pile 10 % de M3, comme le souligne l'article BCE lui-même. Une goutte d'eau dans l'océan digital, mais une goutte qui gonfle en crise – +140 milliards pendant le COVID, rien que ça !
Masse monétaire
En résumé, le cash est le petit poucet des agrégats : dominant en M0, mais dilué à mesure qu'on monte la pyramide. La BCE nous dit « gardez-en sous le matelas », mais c'est elle qui décide de la taille du matelas ! Et oui il y a toujours un élément de contrôle caché !
Classes d'actifs et cryptos : le chaos libérateur (ou pas)
Passons aux classes d'actifs, ces boîtes où nous rangeons nos sous pour dormir tranquilles (ou pas).
Le cash ? Une classe « sûre », un havre de paix gouvernemental, surtout quand les actions s'effondrent ou que les obligations sentent le pourri. Mais regardez les alternatives : obligations d'État (encore plus liées à la planche à billets), actions (volatiles comme un tweet d'Elon), immobilier (fixe, mais fiscalement collant). Et puis il y a les crypto-monnaies – Bitcoin, Ethereum & Cie –, ces rebelles numériques qui promettent une décentralisation totale.
Le rôle des crypto ? Elles offrent un contrôle "meilleur" parce que moins étatique : pas de BCE pour imprimer des bitcoins à l'infini (du moins, en théorie). Basées sur la blockchain, elles sont peer-to-peer, anonymes (ou presque), et résistantes à la censure. Moins contrôlées par l'État, oui – ce qui est un rêve pour les sceptiques des institutions. Mais attention au revers de la médaille : les risques d'attaques à 51 %, où une entité (ou un cartel de mineurs) contrôle plus de la moitié du réseau et peut réécrire l'historique.
RépondreSupprimerPlongeons dans ce cauchemar high-tech : une attaque 51 % donne au malfrat le pouvoir de valider (ou invalider) des transactions, de faire du « double-spend » (dépenser deux fois la même pièce), ou même de bloquer de nouveaux blocs – imaginez réécrire l'histoire de votre portefeuille pour effacer des paiements ! Le coût ? Énorme pour Bitcoin (des millions en hardware), mais accessible pour les petites « chaines » : Ethereum Classic a subi plusieurs attaques en 2020, perdant des millions ; en 2025, Bitcoin lui-même flirte avec le danger, deux pools miniers contrôlant déjà 51 % du hashrate, gonflant le risque à un pic historique sans qu'une attaque n'ait encore eu lieu.
Pour les cryptos mineures, c'est routine : un cartel chinois ou un État voyou peut racheter du "hashrate" pour 100 000 $ et tout casser.
C'est l'humour noir de la décentralisation : on fuit l'État pour tomber dans les bras d'un cartel invisible, où une « attaque » coûte moins cher qu'une Tesla.
La BCE, elle, préfère son cash « contrôlé » – parce que, avouons-le, une attaque à 51 % sur l'euro ? Ce serait juste Mario Draghi qui appuie sur « print ».
Cash vs or : les havres de crise, un duel inégal
Et si on comparait le cash à son cousin plus noble, l'or ? Les deux sont des « havres de crise », ces refuges qu'on courtise quand le ciel s'assombrit. Le cash brille par sa liquidité : tangible, anonyme, prêt à dépenser pour un café post-apo.
Mais l'or ? Ce métal jaunâtre est le vrai tank anti-inflation : pendant le COVID, il a grimpé de 25 % tandis que les devises fiat fondaient ; lors de la crise de 2008, +5 % quand les bourses saignaient.
Pourquoi ? L'or n'est pas imprimable à l'infini – pas de planche à billets pour en « fabriquer » plus. Il protège la puissance d'achat sur le long terme, montant en flèche lors des turbulences géopolitiques ou inflationnistes (comme en 2025, avec +15 % face à l'incertitude mondiale).
Le cash, lui ? Liquide pour le court terme, mais vulnérable : en hyperinflation, il perd tout (Venezuela again !). L'or demande stockage et vente, mais c'est un hedge éternel – pas un pari sur la bonne foi d'un gouvernement.
Paradoxe comique : on choisit le cash pour « fuir » la crise, mais c'est l'or qui rit le dernier, scintillant pendant que vos billets jaunissent. La BCE promeut l'un ; l'histoire préfère l'autre. Devinez qui a raison ?
RépondreSupprimerLe paradoxe ultime : confiance en l'ennemi, ou comment se tirer une balle dans le pied en riant
Et voilà le clou du spectacle : la perte de confiance galopante dans les institutions. Sondages à l'appui (et bon sens populaire), les gens fuient les banques centrales, accusées de tout – de l'inflation post-COVID à la « tyrannie du CBDC » (monnaie numérique de banque centrale, en gestation). Du coup, ils se tournent vers le cash, pensant qu'il leur redonne du pouvoir : « Au moins, c'est à moi, tangible, hors radar ! »
Mais lol, quel paradoxe ! Ce cash que vous chérissez est l'arme fatale de la BCE. Elle peut, unilatéralement, décider de sa « véritable valeur » en allumant la planche à billets – QE forever (assouplissement quantitatif de la masse monétaire une politique décidée après la crise des subprimes), comme on dit dans les couloirs de Francfort.
Pendant que vous combattez « le système » en planquant vos billets sous le matelas, c'est ce même système qui peut les dévaluer d'un décret. N'est-ce pas délicieux ? Avoir confiance en l'ennemi qu'on cherche à combattre, c'est comme draguer son ex en lui disant « cette fois, c'est différent ». La BCE le sait, et son article le frôle du bout des doigts : le « paradoxe des billets », où la demande explose en crise malgré l'usage transactionnel en berne.
Crise = peur de l'État = ruée sur... l'outil de l'État. Ironie cosmique.
Alors, chers sceptiques du cash, gardez-en un peu – pour les blackouts ou pour le fun. Mais rappelez-vous : c'est un pansement sur une plaie que la BCE elle-même a ouverte. Si on veut fuir un vrai contrôle, peut-être que les crypto, avec leurs bugs hilarants, valent le coup d'œil. Ou l'or, ce vieux sage qui ne ment jamais.
Ou alors, on rit jaune et on continue à croire au Père Noël bruxellois et à l’État providence.
Rester calme, en effet... et tout remettre en question.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-cash-ce-faux-ami-de-la-liberte-quand-la-bce-nous-vend-du-reve-papier
Exactement comme je l'ai annoncé précédemment (depuis des ANNÉES), que vous ayez de l'or chez vous ou des billets 'plein les poches', ce fric ne VAUT PLUS RIEN ! RIEN !
SupprimerPCHITT !
TOUT PERDU !
'VOUS N'AVEZ PLUS 'RIEN' !
(mise-à-part votre intelligence).
C'est alors que 'ôh miracle' ! vous revenez sur Terre !
LES POULES ! Les poules pondent une œuf par jour !! Whôah ! (avec çà on va loin ! HAHAHA !).
Le pétrole ? Y A PLUS ! L'électricité ? Y A PLUS ! WHÔAH ! LA deuch.
Les "autorités' ?... parties sous les Tropiques !
Et vous ?...
Les pays qui s'en sortent ? Les pays qui sont sous les Tropiques. Là-bas, TOUT POUSSE ! TOUT !
RépondreSupprimerGoldman Sachs identifie un « maillon vulnérable » au cœur de la sécurité énergétique
PAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 SEPTEMBRE 2025 - 22H55
La politique américaine de sécurité énergétique ne se concentre plus uniquement sur les pétroliers, les cargaisons de GNL ou même la production de schiste. Le nouveau point d'étranglement est le réseau électrique : vieux de près d'un demi-siècle, avec une capacité de réserve limitée, il est désormais, selon les analystes de Goldman Sachs, au cœur même de la sécurité énergétique. Comme ils le disent : « Le réseau est un maillon vulnérable de la sécurité énergétique.»
« La nécessité d'investir dans le réseau électrique – un maillon vulnérable de la chaîne d'approvisionnement énergétique – et la hausse de la demande de métaux qui en découle se font de plus en plus pressantes avec l'essor de l'IA, les tensions géopolitiques et le passage à la guerre hybride », ont écrit les analystes Lina Thomas et Daan Struyven dans une note adressée à leurs clients jeudi intitulée « L'IA et la défense placent les réseaux électriques au cœur de la sécurité énergétique. »
- voir doc sur site -
Thomas et Struyven soulignent que les réseaux électriques occidentaux ont une durée de vie moyenne de 50 ans en Europe et de 40 ans en Amérique du Nord, et qu'ils approchent de la fin de leur durée de vie.
- voir graph sur site -
« Aux États-Unis, la croissance de la demande d'électricité a déjà commencé à peser sur les marchés régionaux. Plus précisément, le marché de l'électricité de PJM en Virginie – capitale mondiale des centres de données – a connu d'importants goulots d'étranglement en matière de transport en 2022, et neuf des 13 marchés électriques régionaux américains ont déjà atteint un seuil critique de tension cet été, tandis que nous prévoyons que tous, sauf un, atteindront ce seuil critique d'ici 2030 », ont noté les analystes.
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Pendant ce temps, les États-Unis et l'Europe ont paralysé leurs économies et leurs capacités énergétiques sous couvert de « crise climatique », où les démocrates, proches des mondialistes, ont imposé des politiques vertes remplaçant une production stable à partir de combustibles fossiles par des énergies solaire et éolienne peu fiables (déclenchant ainsi une crise des factures d'électricité). Parallèlement, la Chine a massivement développé son énergie au charbon et au nucléaire. Il semble que les mondialistes occidentaux aient délibérément neutralisé l'Occident pour permettre l'essor de la Chine.
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Les analystes affirment que les réseaux électriques constituent le « lien le plus crucial » entre l'IA et la défense, car ces trois éléments sont étroitement liés, ce qui en fait une priorité de sécurité nationale.
RépondreSupprimer« La nécessité d'investir dans le réseau électrique – un maillon vulnérable de la chaîne d'approvisionnement énergétique – et la hausse de la demande de métaux qui en découle se font de plus en plus pressantes avec l'essor de l'IA, les tensions géopolitiques et le passage à la guerre hybride. En effet, le réseau électrique est un lien crucial entre l'IA et la défense, car ces trois éléments sont interdépendants », ont souligné Thomas et Struyven.
L'IA dans le monde de la défense n'en est qu'à ses débuts…
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Les centres de données consomment d'énormes quantités d'énergie.
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Du côté des matières premières, les analystes ont souligné qu'avec l'IA et la défense qui placent le réseau électrique au cœur de la sécurité énergétique, le besoin urgent de modernisation du réseau transforme le cuivre en nouveau pétrole.
« Ces mises à niveau du réseau sont gourmandes en métaux : nous prévoyons que le réseau et les infrastructures électriques généreront environ 60 % de la croissance de la demande mondiale de cuivre d'ici la fin de la décennie, ajoutant l'équivalent d'un autre État américain à la demande mondiale et confortant nos prévisions optimistes pour un prix du cuivre de 10 750 $/t d'ici 2027 », ont-ils déclaré.
À lire également cette semaine :
« Un événement cygne noir » : Les prix du cuivre flambent après la déclaration de force majeure par FCX dans la deuxième plus grande mine du monde.
D'ici les années 2030, vous pourriez également lire ceci :
« Centre de données bombardé » : Eric Schmidt prévient que la course aux armements de l'IA pourrait déclencher un conflit mondial.
La note complète de Goldman est disponible pour ZeroHedge Pro Subs à l'adresse habituelle. Cette note comprend des graphiques supplémentaires et une analyse approfondie de la façon dont le réseau électrique est devenu le « maillon vulnérable de la sécurité énergétique ».
https://www.zerohedge.com/ai/goldman-identifies-vulnerable-link-center-energy-security
Les seules pertes dues aux catastrophes en Australie sont liées au changement climatique, et portent atteinte à la réputation du CSIRO.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
September 26th, 2025
Les experts se trompent : après 58 ans d’émissions, les pertes dues aux catastrophes en Australie restent stables.
L’Évaluation nationale des risques climatiques de l’Australie a été lancée la semaine dernière comme une bombe de propagande parfaite, déclenchant des gros titres sur notre avenir climatique terrifiant, avec des photos de maisons inondées en vedette. Mais les données montrent que le seul spectacle d’horreur réside dans l’état de la science australienne au CSIRO.
Le rapport prévoit que le changement climatique causera 40 milliards de dollars de pertes par an en cas de catastrophe d’ici 2050. Mais le professeur Roger Pielke Jr. souligne que ces chiffres proviennent du rapport Colvin, qui « ne dit rien de tel ». Le rapport Colvin se contente de prévoir une augmentation des coûts des catastrophes due à la croissance démographique, et non au « changement climatique ». Comme le dit Pielke, « pour une évaluation gouvernementale officielle, c’est, au mieux, incroyablement bâclé. » (Il n'ajoute rien, surtout quand des centaines de milliards de dollars en dépendent.) Il s'attend à ce que les personnes qui se fient à ce rapport se sentent « trompées ». (Nous, si.)
Le changement climatique n'augmente pas les pertes liées aux catastrophes en Australie
Malgré le fait que chaque incendie, inondation et marée de vive-eau soient imputés au changement climatique, les coûts d'assurance pour les catastrophes n'ont pas augmenté depuis près de 60 ans, hormis ce que l'on pourrait attendre en raison de l'inflation et de la croissance démographique. Pielke a obtenu les données du Conseil australien des assurances et les a ajustées à l'aide des données du PIB du Bureau australien des statistiques pour produire ce graphique (ci-dessous). Il constate qu'il n'y a « aucune tendance ».
RépondreSupprimerOù est la crise ?
L'humanité a produit 80 % de toutes les émissions que nous avons jamais produites au cours des 58 dernières années (1 400 milliards de tonnes de gaz carbonique), et pourtant, en Australie, les pertes dues aux catastrophes naturelles n'ont pas changé en proportion de notre économie. Ici, au pays des sécheresses et des pluies torrentielles, la situation est la même.
- voir graph sur site -
https://insurancecouncil.com.au/industry-members/data-hub/
Source : Roger Pielke Jnr, à partir des données de l’ICA et de l’ABS. À noter que 2025 couvre la période jusqu’en septembre. (Voir McAneney et al. 2019 pour plus de détails.)
Notre population est passée de 11 à 27 millions d’habitants, avec davantage de maisons, de fermes et d’usines qui ne demandent qu’à être incendiées, emportées par le vent ou inondées. Mais une fois les objectifs supplémentaires pris en compte, aucun effet supplémentaire du « changement climatique » n’est visible. Tous ces bâtiments, ponts et voitures supplémentaires sont des cibles faciles pour les tempêtes, les inondations et la grêle, et pourtant, la « crise climatique » en Australie est la même qu’avant.
En 1967 (début du graphique), le taux mondial de gaz carbonique atteignait le niveau idyllique de 320 ppm ; il est aujourd’hui de 425 ppm, et rien n’est à signaler. Combien sommes-nous censés dépenser de plus pour éviter une crise qui n'a pas lieu ?
Le CSIRO, la BoM et les spécialistes du climat se servent eux-mêmes et non les contribuables qui les financent.
Le professeur Andy Pitman admet que les modèles climatiques ne peuvent prédire les événements extrêmes, El Niño, les points de basculement, les pluies ou le débit des rivières. Pourtant, lui (et tous les autres) le disent rarement lorsque notre ministre de la météo ou nos médias induisent la population en erreur.
Le secret, c'est que les modélisateurs du climat ignorent totalement ce qui contrôle réellement notre climat. La banquise arctique était censée disparaître, mais elle est restée inchangée pendant vingt ans. La banquise antarctique a inexplicablement augmenté pendant des décennies, sans que les modélisateurs en comprennent la raison, puis elle a soudainement diminué, sans que les modélisateurs ne l'aient vu venir non plus. Les cyclones ont diminué en Australie et dans l'océan Indien. Le niveau de la mer en Australie baisse depuis 7 000 ans. Les déserts ne s'étendent pas. Les îles du Pacifique ne s'enfoncent pas. Et 178 années d'émissions de gaz carbonique n'ont aucun effet mesurable sur les précipitations en Australie.
RépondreSupprimerLe CSIRO et le BOM se sont réduits, eux et la science, à un simple exercice de communication visant à promouvoir le pouvoir et les dépenses du gouvernement. Même les scientifiques les plus ou moins compétents qui restent dans ces deux institutions ne s'expriment pas lorsque leurs collègues abusent sans vergogne de la méthode scientifique ou mentent par omission.
Ils continuent de percevoir leurs salaires et leur retraite, tandis que les plombiers, les agriculteurs et les routiers paient l'électricité plus cher qu'ils ne le devraient et que des emplois dans les usines ferment.
Honte à tous ces universitaires snobs et incompétents : ils laissent tomber le pays pour se remplir les poches avec des carrières confortables.
Articles connexes :
Le ministre Bowen affirme que les coûts de l’inaction sont nettement plus élevés, même si nous ignorons le coût de l’action.
Un modélisateur expert admet ne pas pouvoir prédire les événements extrêmes, El Niño, les points de basculement, les précipitations ou le débit des rivières.
Le changement climatique coûtera 38 milliards de dollars toutes les dix minutes, juste après ma retraite, selon tous les experts.
RÉFÉRENCES
McAneney, J., Sandercock, B., Crompton, R., Mortlock, T., Musulin, R., Pielke Jr, R., & Gissing, A. (2019). Normalised insurance losses from Australian natural disasters: 1966–2017. Environmental Hazards, 18(5), 414-433.
ICA: Insurance Council of Australia data.
OWID: Cumulative CO₂ emissions 1967 – 2025
OWID: Australian population growth.
CO2 levels: NASA
Australian Bureau of Statistics
Image from the AFR article: “Extreme heat, property price falls: Australia’s ‘severe’ climate risk”
https://joannenova.com.au/2025/09/the-only-disaster-losses-in-australia-due-to-climate-change-are-to-csiros-reputation/
Le Peuple (LES Peuples) sont menés dans l'ignorance et la connerie des dirigeants merdiatiques et politiques.
SupprimerIls ne savent rien, restent collés aux écrans de télés, les oreilles à la radio et les yeux aux journaux ! Le QI est en baisse de partout ! Où va le monde ? Où va le monde ?