le 8 novembre 2025
par pgibertie
Influenza aviaire hautement pathogène : deux nouveaux foyers détectés en #Vendée dans des élevages de canards de Barbarie à Saint-Mathurin et à Saint-Fulgent.
En moins de trois semaines, cinq foyers, deux dans des basses-cours à Marans et à Vix, et trois dans des élevages, ont été confirmés en Vendée et dans sa proche bordure.
Le risque d’introduction du virus en élevages de volailles, via l’avifaune sauvage migratrice ou autochtone infectée, est donc très élevé.
Des zones de protection et de surveillance sont mises en place autour du foyer de Saint Mathurin et de Saint-Fulgent.
Tous les acteurs de la filière sont appelés à la plus grande vigilance, à l’application la plus stricte des mesures de biosécurité (en élevage et dans les transports) et des mesures liées à la surveillance passive dans les élevages de palmipèdes.
Les particuliers détenteurs de basses-cours doivent impérativement mettre leurs oiseaux à l’abri, non seulement pour éviter la propagation de la maladie mais éviter que leurs oiseaux soient atteints.
Lire le communiqué de presse : https://www.vendee.gouv.fr/…/CP%20Influenza%20aviaire…
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Blog n°264
80 articles ci dessous
(...) Le risque d’introduction du virus en élevages de volailles, via l’avifaune sauvage migratrice ou autochtone infectée, est donc très élevé. (...)
RépondreSupprimerIl N'EXISTE PAS de nano poussières empoisonnées dans l'air. S'il y a mort d'animaux c'est par empoisonnement de leur nourriture.
Quatre "Prochaines étapes" du rapport de la Fondation McCullough sur l'autisme
RépondreSupprimerLe Dr McCullough décrit les mesures constructives que notre gouvernement doit prendre pour le Dr. Gina Loudon
Pierre A. McCullough, MD, MPH
Nov 08, 2025
Depuis que le rapport de la ont chuté la semaine dernière, il y a eu une discussion considérable dans les médias sociaux et grand public sur ce qui devrait être fait par nos agences gouvernementales qui ont des copies du rapport.
- voir doc sur site -
Avec un budget de $9 milliards et 12.000 employés, notre CDC devrait rédiger son propre rapport et faire sa propre analyse indépendamment de la Fondation McCullough pour validation. En fait, d'autres agences de ce type (NIH, FDA, Service de santé publique) devraient faire de même. Beaucoup se sont demandés pourquoi le CDC ne l’avait pas fait il y a des décennies après leur déclaration de 2004 sur l’autisme encourageant davantage d’analyses.
Nicolas Hulscher, MPH, John S. Leake, MA, Simon Troupe, MPH, Claire Rogers, MSPAS, PA-C, Kirstin Cosgrove, BM, CCRA, M. Nathaniel Mead, MSc, PhD, Breanne Craven, PA-C, Mila Radetich, Andrew Wakefield, MBBS, et Peter A. McCullough, MD, MPH. (2025). Rapport de la Fondation McCullough: Déterminants du trouble du spectre de l'autisme. Zenodo. https://doi.org/10.5281/zenodo.17451259
Le Dr McCullough est apparu avec le Dr. Gina Loudon sur American Sunrise by Real America’s Voice pour décrire ces quatre éléments d’action en se basant sur la compréhension que chez les enfants sensibles, la vaccination combinée est un facteur de risque modifiable pour l’autisme, en particulier l’autisme profond:
1
Annulation de la National Childhood Vaccine Incure Act (NCVIA) de 1986 (42 U.S.C. §§ 300aa-1 à 300aa-34) et rétablir la responsabilité du produit envers les fabricants de vaccins
2
Interdire toutes les exigences ou tous les mandats de vaccin pour l'école, l'armée et l'emploi
3
Suspendre le calendrier de l’ACIP du CDC et mettre les vaccins à la disposition du public par le biais d’une prise de décision partagée entre le médecin et le patient ou les parents de l’enfant
4
Interdire toute publicité directe aux consommateurs pour les vaccins par les entreprises de vaccins, les pharmacies et les agences de santé publique
https://www.thefocalpoints.com/p/four-next-steps-from-mccullough-foundation?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=178068896&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Pourquoi n'y a-t-il pas de remède contre la maladie d'Alzheimer ?
RépondreSupprimerRévélations sur l'arnaque de l'amyloïde et les remèdes qu'ils ont dissimulés pour des milliards
UN MÉDECIN DU MIDWEST
6 NOV. 2025
Résumé de l'article :
• On pense généralement que la maladie d'Alzheimer résulte d'une accumulation anormale de plaques dans le cerveau, qui détruit progressivement les tissus cérébraux.
• Pendant des décennies, la quasi-totalité de la recherche sur la maladie d'Alzheimer a été axée sur l'élimination de l'amyloïde, même après qu'il a été démontré que la base d'une grande partie de ces travaux provenait de recherches frauduleuses.
• Les milliards dépensés dans la recherche sur l'amyloïde et la maladie d'Alzheimer n'ont produit que trois médicaments, qui n'offrent que des bénéfices minimes et de graves effets secondaires.
• En revanche, des traitements abordables et simples qui réduisent la démence ou les troubles cognitifs qui la précèdent ont été dénigrés et ignorés par l'industrie médicale.
• Le DMSO, par exemple, possède d'incroyables qualités neuroprotectrices qui ont épargné à de nombreuses victimes d'AVC et de lésions de la moelle épinière une vie d'invalidité « incurable ». Des décennies de recherches oubliées montrent également qu'il traite les troubles cognitifs et la démence.
• Cet article passera en revue la grande arnaque de l'amyloïde et les thérapies simples contre le déclin cognitif dont on ne nous parle jamais.
La médecine est fortement orientée vers l'adoption de modèles biochimiques des maladies, car cela facilite le développement de thérapies coûteuses pour chaque maladie et, par conséquent, soutient l'industrie médicale. Malheureusement, dans de nombreux cas, l'approche biochimique des maladies ne permet, au mieux, que de gérer les symptômes, et de nombreuses affections restent donc « incurables » tandis que des thérapies naturelles non brevetables qui pourraient les guérir restent dans l'oubli.
C'est pourquoi, malgré des dépenses toujours croissantes en recherche sur la maladie d'Alzheimer (par exemple, le NIH a dépensé 2,9 milliards de dollars en 2020 et 3,9 milliards de dollars en 2024), nous n'avons toujours pas réalisé de réels progrès dans la lutte contre cette maladie. C'est particulièrement remarquable compte tenu des coûts considérables pour le pays (par exemple, l'année dernière, le coût de la maladie d'Alzheimer pour les États-Unis a été estimé à 360 milliards de dollars) et des coûts sociaux encore plus importants qui l'accompagnent.
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RépondreSupprimerEn 1906, les plaques (d'amyloïde) dans le cerveau ont été identifiées comme la cause de la maladie d'Alzheimer. Au fil des ans, la majorité des recherches sur le traitement de la maladie d'Alzheimer ont été axées sur l'élimination de ces plaques. Malheureusement, pour citer un article de 2022 :
Des centaines d'essais cliniques de thérapies ciblant l'amyloïde n'ont donné que peu de résultats prometteurs ; seul l'Aduhelm, aux résultats décevants, a obtenu l'approbation de la FDA. Pourtant, l'Aβ domine toujours la recherche et le développement de médicaments. Le NIH a dépensé environ 1,6 milliard de dollars en projets mentionnant les amyloïdes au cours de cet exercice fiscal, soit environ la moitié de son financement global pour la maladie d'Alzheimer. Les scientifiques qui proposent d'autres causes potentielles de la maladie d'Alzheimer, comme le dysfonctionnement immunitaire ou l'inflammation, se plaignent d'avoir été mis à l'écart par la « mafia de l'amyloïde ». Forsayeth affirme que l'hypothèse de l'amyloïde est devenue « l'équivalent scientifique du modèle ptolémaïque du système solaire », dans lequel le Soleil et les planètes tournent autour de la Terre.
Note : Souvent, lorsqu'un paradigme erroné ne parvient pas à expliquer la maladie qu'il prétend traiter, plutôt que d'admettre que le paradigme est défectueux, ses partisans qualifient chaque élément de preuve contradictoire de paradoxe (par exemple, le « paradoxe » français réfute l'idée que le cholestérol cause les maladies cardiaques4) et s'enfoncent de plus en plus profondément jusqu'à ce qu'ils trouvent quelque chose pour continuer à étayer leur idéologie (par exemple, les statines réduisant le cholestérol n'apportent pratiquement aucun bénéfice pour les maladies cardiaques tout en ayant des effets secondaires importants, et pourtant elles continuent d'être prescrites aux patients).
L'échec constant du modèle amyloïde à guérir la maladie d'Alzheimer a progressivement suscité un scepticisme croissant à son égard, ce qui a conduit de plus en plus de scientifiques à étudier des modèles alternatifs de la maladie. Rapidement, ils ont découvert que d'autres facteurs jouaient un rôle beaucoup plus important dans la cause de la maladie (par exemple, l'inflammation chronique), et en 2006, cette perspective semblait prête à changer l'orientation de la recherche sur la maladie d'Alzheimer.
En réponse, les partisans de l'amyloïde se sont tournés vers la défense de leur hypothèse défaillante, affirmant que l'échec n'était pas dû aux amas d'amyloïde, mais plutôt à des parties toxiques de celle-ci (oligomères), et un article paru dans Nature en 2006 a identifié un oligomère toxique jusqu'alors inconnu, l'Aβ*56, et a fourni la preuve qu'il provoquait la démence chez les rats. Cet article a conforté les hypothèses concernant la protéine bêta-amyloïde et les oligomères toxiques (en apportant la preuve que de nombreux partisans de cette théorie attendaient) et est rapidement devenu l'une des publications les plus citées dans le domaine de la recherche sur la maladie d'Alzheimer. Ses auteurs ont acquis une grande notoriété académique, ont publié d'autres articles validant leur hypothèse initiale, et des milliards de dollars supplémentaires ont été investis par les NIH et l'industrie pharmaceutique dans la recherche sur l'hypothèse de l'amyloïde et des oligomères toxiques.
Il convient de noter que certains étaient sceptiques quant à leurs conclusions et n'ont pas non plus été en mesure de reproduire ces données, mais ils ont rarement eu voix au chapitre dans le débat :
RépondreSupprimerLes preuves fragmentaires du rôle de l'Aβ*56 dans la maladie d'Alzheimer suscitaient depuis longtemps des doutes. Wilcock a longtemps mis en doute les études qui prétendent utiliser de l'Aβ*56 « purifié ». Ces oligomères sont notoirement instables et se transforment spontanément en d'autres types d'oligomères. Plusieurs types peuvent être présents dans un échantillon même après des efforts de purification, ce qui rend difficile d'affirmer que les effets cognitifs sont dus à l'Aβ*56 seul, note-t-elle, en supposant qu'il existe. En fait, Wilcock et d'autres affirment que plusieurs laboratoires ont tenté, sans succès, de trouver de l'Aβ*56, bien que peu aient publié ces résultats. Les revues scientifiques sont souvent peu intéressées par les résultats négatifs, et les chercheurs peuvent être réticents à contredire un chercheur renommé.
Le scandale de l'amyloïde
Fin 2021, un neuroscientifique a été engagé par des investisseurs pour évaluer un médicament expérimental contre la maladie d'Alzheimer et a découvert des signes indiquant que ses données comportaient des Western Blots falsifiés (et donc des évaluations erronées des oligomères présents dans le cerveau des sujets de recherche). En approfondissant le sujet, il a découvert que d'autres articles de la littérature sur la maladie d'Alzheimer avaient été signalés comme contenant des Western Blots falsifiés.
Note : Les Western Blots, utilisés pour tester les protéines, sont l'une des rares formes de fraude scientifique facilement détectables (par exemple, nous avons découvert que Pfizer avait soumis de faux Western Blots aux autorités de réglementation pour « prouver » l'efficacité de son vaccin). Malheureusement, il existe une fraude beaucoup plus importante et indétectable dans la littérature scientifique (par exemple, des chercheurs indépendants comparant les soumissions réglementaires ont découvert que Pfizer avait également soumis des données falsifiées sur la distribution du vaccin COVID dans le corps).
Peu de temps après, le neuroscientifique a remarqué que trois de ces articles suspects avaient été publiés par le même auteur et a décidé d'enquêter sur les autres publications de cet auteur. Cela l'a conduit à la publication fondamentale de 2006 sur la maladie d'Alzheimer, qui contenait des signes évidents de fraude.
L'enquête a ensuite révélé 20 articles falsifiés écrits par l'auteur, dont 10 concernaient l'Aβ*56 (ainsi qu'un co-chercheur attestant d'une précédente inconduite scientifique de l'auteur).
L'industrie de l'amyloïde
RépondreSupprimerL'un des aspects remarquables de cette fraude monumentale est le peu de mesures qui ont été prises à son encontre. Par exemple, les NIH ont été informés en janvier 2022, mais en mai 2022, non seulement aucune mesure n'avait été prise, mais les NIH ont même accordé au chercheur incriminé une bourse de recherche très convoitée de 764 792 dollars (approuvée par un autre des auteurs de l'article de 2006).
En juillet 2022, la revue Science a publié un article révélant l'incident et la fraude manifeste qui avait eu lieu. Malgré cela, le chercheur a été autorisé à conserver son poste de professeur titulaire à la faculté de médecine. Ce n'est qu'en juin 2024 que l'article de 2006 a été rétracté à la demande des auteurs, qui ont tous nié toute responsabilité et insisté sur le fait que les images falsifiées n'avaient pas affecté les conclusions de l'article. Finalement, le 29 janvier 2025, lors de son audition de confirmation, RFK a cité cet article comme exemple de fraude institutionnelle et de gaspillage de fonds publics au sein des NIH, et quelques jours plus tard, le chercheur incriminé a annoncé sa démission de son poste de professeur à la faculté de médecine (tout en continuant de clamer son innocence).
Ce comportement étrange (par exemple, le milieu médical continue d'affirmer que la fraude avérée n'a pas invalidé l'hypothèse amyloïde) s'explique probablement par les enjeux financiers considérables : outre les fonds alloués à la recherche, environ 7 millions d'adultes souffrent de la maladie d'Alzheimer, ce qui représente des centaines de milliards de dollars de ventes potentielles (financées par Medicare) chaque année.
Les médicaments anti-amyloïdes qui ont échoué
Récemment, un anticorps monoclonal ciblant les cellules immunitaires pour qu'elles s'attaquent aux amyloïdes a démontré un succès limité dans le traitement de la maladie d'Alzheimer, ce qui a été salué comme une révolution par la communauté médicale, l'industrie pharmaceutique et les autorités de réglementation des médicaments. Par la suite, le premier nouveau médicament a reçu une approbation accélérée (annoncée fièrement par la FDA). Le second a ensuite reçu une approbation discrète par la voie détournée (en raison de l'immense controverse entourant le premier), et le troisième a été partiellement approuvé un an et demi plus tard.
Chaque année, JP Morgan (Chase Bank) organise une conférence privée pour les investisseurs pharmaceutiques qui donne le ton à l'ensemble du secteur. En 2023, l'accent (détaillé ici) a été mis sur l'incroyable rentabilité des nouveaux médicaments contre la maladie d'Alzheimer et des GLP-1 comme l'Ozempic (que la FDA a également promu sans relâche). Plus remarquable encore, le commissaire de la FDA (largement considéré comme corrompu) était l'un des principaux orateurs, et quelques jours avant la conférence, il avait promulgué la deuxième approbation par la voie détournée.
Cependant, malgré les perspectives optimistes présentées autour de ces médicaments (qui ciblaient chacun différents aspects des amyloïdes), ils ont été très controversés pour les raisons suivantes :
RépondreSupprimer• Le comité consultatif indépendant de la FDA, dans une démarche très inhabituelle, a voté à 10 voix contre 0 (avec une abstention) contre l'approbation d'Aduhelm, le premier médicament anti-amyloïde (qui ciblait les plaques amyloïdes), mais la FDA l'a quand même approuvé. Dans un geste sans précédent, trois des conseillers ont ensuite démissionné, qualifiant cette décision de « probablement la pire décision d'approbation de médicament de l'histoire récente des États-Unis ».
• Ce médicament était vendu au prix de 56 000 dollars par an, ce qui aurait suffi à mettre Medicare en faillite (ce qui a d'ailleurs donné lieu à une enquête du Congrès).
• Un gonflement ou une hémorragie cérébrale a été constaté chez 41 % des patients participant aux études. De plus, les maux de tête (y compris les migraines et la névralgie occipitale), les chutes, la diarrhée, la confusion et le délire étaient également nettement plus fréquents que chez les patients sous placebo.
• Aucune amélioration de la maladie d'Alzheimer n'a été observée ; une analyse a même révélé qu'il ralentissait la progression de la maladie d'Alzheimer de seulement 20 % (bien que cela puisse être un artefact du protocole plutôt qu'un effet réel). Le deuxième anticorps monoclonal (qui ciblait les précurseurs d'amyloïde) présentait un profil risque-bénéfice légèrement meilleur (seulement 21 % des patients ont souffert d'hémorragies et d'œdèmes cérébraux grâce à un ciblage réduit des plaques amyloïdes stables), et une réduction de 26,4 % de la progression de la maladie d'Alzheimer a été observée lors de l'essai clinique (ce qui, pour contextualiser, correspond à une réduction de 0,45 sur une échelle où une réduction d'au moins 1 à 2 points est nécessaire pour avoir un impact significatif pour un patient).
Le troisième anticorps monoclonal (qui ciblait les plaques amyloïdes considérées comme plus pathologiques) a également été contesté car il a provoqué des hémorragies ou des œdèmes cérébraux chez 36,8 % des receveurs, comme les autres médicaments anti-amyloïdes, et a fréquemment entraîné des maux de tête et des réactions à la perfusion (par exemple, nausées, vomissements, variations de la tension artérielle, réactions d'hypersensibilité ou anaphylaxie). De plus, il y avait des raisons de soupçonner que l'essai clinique avait largement surestimé ses bénéfices minimes.
Étonnamment, malgré les protestations généralisées contre ce troisième médicament, le nouveau comité consultatif de la FDA a voté à l'unanimité en sa faveur, même s'il présentait un mécanisme d'action, une efficacité et une toxicité très similaires à ceux du médicament anti-amyloïde précédemment rejeté à l'unanimité. Il n'est donc pas surprenant que, lorsque le British Medical Journal a mené une enquête indépendante, il ait constaté que, dans les bases de données publiques disponibles, 9 membres sur 9 (évaluables) du comité consultatif présentaient d'importants conflits d'intérêts financiers.
Heureusement, malgré la promotion agressive des médicaments anti-amyloïdes et les tentatives de l'industrie pour promouvoir ce secteur, le marché a en quelque sorte reconnu leur inefficacité. Le prix du premier médicament a été divisé par deux (puis il a été retiré du marché car personne n'en voulait – générant environ 5 millions de dollars de ventes au total), tandis que les deux autres ont réalisé des ventes très modestes (par exemple, 290 millions de dollars pour le plus populaire).
RépondreSupprimerCe que nous apprennent les médicaments anti-amyloïdes
De tout cela, quatre points ressortent :
• Ces médicaments endommagent systématiquement les tissus cérébraux, ce qui indique que leur mécanisme d'action était intrinsèquement dangereux (par exemple, ils provoquent un œdème cérébral en incitant les cellules immunitaires attaquant l'amyloïde à attaquer également les tissus cérébraux, ou ils provoquent des hémorragies cérébrales en éliminant les plaques amyloïdes qui renforcent les parois des vaisseaux et stabilisent les tissus cérébraux). Il est remarquable que, malgré ce problème reconnu, l'utilisation de cette classe de médicaments n'ait pas été abandonnée.
• L'élimination de l'amyloïde n'offre que des bénéfices minimes et peut même être contre-productive. En fait, l'un des seuls protocoles ayant fait ses preuves dans le traitement de la maladie d'Alzheimer considère l'amyloïde comme un mécanisme de protection que le cerveau utilise pour prévenir d'autres dommages.
• Une somme d'argent et un temps absolument considérables ont été gaspillés dans cette entreprise en raison du besoin du secteur médical de trouver un médicament brevetable.
• L'accent mis sur ces médicaments lucratifs a détourné l'attention d'autres traitements (non brevetés) plus susceptibles d'aider les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.
Par exemple, un essai contrôlé randomisé portant sur des triglycérides à chaîne moyenne (TCM) dérivés de la noix de coco a montré qu'en six mois, 80 % des participants sont restés stables ou se sont améliorés – ce qui, à titre de comparaison, est supérieur aux résultats obtenus par tous les essais cliniques sur les médicaments anti-amyloïdes, et surtout, ne provoque pas d'hémorragies cérébrales (et coûte beaucoup moins cher que le coût annuel d'environ 30 000 dollars de ces médicaments).
Note : de nombreux lecteurs ont indiqué que l'huile de coco avait amélioré la démence de leurs proches.
De même, très peu de personnes sont au courant d'une étude de 2022 qui aurait dû révolutionner le domaine de la maladie d'Alzheimer :
Note : le protocole RECODE visait à identifier la cause sous-jacente des troubles cognitifs d'un patient (car cinq facteurs différents peuvent être à l'origine de la démence), puis à proposer des thérapies naturelles appropriées pour traiter la cause identifiée. Depuis, de nombreuses autres personnes ont reproduit ce succès auprès de leurs patients.
DMSO et démence
RépondreSupprimerLe diméthylsulfoxyde (DMSO) est un composé naturel qui possède diverses propriétés curatives uniques lui permettant de protéger les tissus de la nécrose et de réparer ceux endommagés par des lésions antérieures – comme en témoignent des décennies de preuves montrant que le DMSO peut soigner les AVC, les hémorragies cérébrales, les commotions cérébrales graves et les lésions de la moelle épinière, et éviter aux patients une paralysie à vie.
Comme de nombreux mécanismes du DMSO contrecarrent directement les processus qui déclenchent la démence, j'ai reçu de nombreux témoignages de lecteurs comme ceux-ci :
L'épouse de mon oncle souffre de démence et est incapable de parler depuis plus d'un an. Ma mère leur a rendu visite récemment et leur a parlé du DMSO. Mon oncle a commencé à donner du DMSO à sa femme par voie orale. Au bout de deux semaines, elle a recommencé à parler.
J'ai lu l'article et j'ai commencé à en donner à ma mère de 93 ans dans son jus de fruits tous les matins fin novembre. Elle souffre d'une forme de démence depuis plus de 15 ans. Depuis qu'elle prend du DMSO, elle ne souffre plus de syndrome du crépuscule. Elle est plus lucide et peut communiquer et rire avec nous. Elle a retrouvé sa personnalité. Elle croise à nouveau les jambes et lève son petit doigt lorsqu'elle boit son café. Ce sont tous ces petits détails qui font la différence. Elle comprend quand je lui demande d'aller aux toilettes. Ses capacités cognitives se sont améliorées et elle a recommencé à colorier dans ses livres de coloriage.
J'apprécie énormément vos publications sur le DMSO. Vous avez contribué à réintroduire des interactions spontanées dans la vie de mon père atteint de la maladie d'Alzheimer.
De nombreuses études confirment ces observations :
• Lorsque les artères carotides de rats ont été modifiées chirurgicalement afin de réduire l'apport sanguin au cerveau, le DMSO a prévenu les lésions neuronales ainsi que la perte importante de mémoire spatiale et des capacités d'apprentissage qui se seraient produites autrement.
• Dans une étude similaire, des rats ayant développé des troubles de la mémoire persistants et sévères suite à une réduction du flux sanguin cérébral ont reçu du DMSO et du FDP pendant 7 jours, ce qui a amélioré leur mémoire de 54 %, atteignant presque le niveau de fonction cognitive des rats dont le flux sanguin n'avait jamais été interrompu.sup>1,2</sup
•Chez les rats, l'administration quotidienne de DMSO a contrecarré les troubles de la mémoire induits par des perfusions intracérébroventriculaires de STZ, tandis que dans une étude similaire, le DMSO et le Ginkgo biloba ont amélioré l'apprentissage et la mémoire chez des rats atteints de la maladie d'Alzheimer.
•L'ingestion de petites quantités de DMSO a prévenu la dégénérescence visuelle observée chez les rats génétiquement modifiés pour développer une forme précoce de la maladie d'Alzheimer. Dans une autre étude menée sur ces mêmes rats, le DMSO a protégé les cellules cérébrales clés de la dégénérescence et a amélioré leur mémoire spatiale et leur odorat (tout en diminuant leur anxiété). De même, chez les rats élevés pour développer des troubles cérébelleux, le DMSO a prévenu la détérioration liée à l'âge de certaines fonctions cognitives (par exemple, la mémoire et l'apprentissage spatial).
RépondreSupprimerCes résultats ont également été reproduits chez l'homme :
•Chez 18 patients atteints de la maladie d'Alzheimer probable, après trois mois de traitement, le DMSO a considérablement amélioré la mémoire, la concentration et la communication, ainsi qu'une diminution significative de la désorientation spatio-temporelle.
•Chez 104 personnes âgées atteintes de démence due à des maladies cérébrovasculaires, des commotions cérébrales ou la maladie de Parkinson, le DMSO associé à des acides aminés a significativement amélioré leurs fonctions cognitives et motrices.
•Chez 100 patients atteints de maladies cérébrovasculaires (dont beaucoup souffraient de démence), le DMSO a permis à presque tous d'améliorer leurs paramètres cardiovasculaires et :
« La récupération des symptômes généraux a été positive ; des changements favorables ont été observés, se traduisant par un sentiment de bien-être, le retour de l'agilité, un changement d'humeur (de la dépression à la gaieté), une amélioration du sommeil et une élocution plus claire. En ce qui concerne les résultats « focaux », une récupération accélérée de l'hémiplégie et de l'hémiparésie a été constatée. Une récupération plus rapide de la parole a eu lieu dans les cas d'aphasie avérée ou suspectée. »
Note : Je suis actuellement en train d'analyser toute la littérature existante sur le DMSO (des dizaines de milliers d'articles) et je découvre progressivement de nombreuses autres études qui montrent également que le DMSO peut contrer des affections neurologiques graves comme la maladie d'Alzheimer (par exemple, une étude que j'ai trouvée aujourd'hui a montré que le DMSO transforme la protéine précurseur de l'amyloïde en une forme qui protège les neurones au lieu de les détruire). Malheureusement, la quasi-totalité de ces études restent totalement inconnues (à tel point que je ne les ai trouvées que grâce à des recherches massives sur le DMSO), car le système médical n'a aucune incitation à promouvoir des thérapies qui ne sont pas rentables.
Conclusion
RépondreSupprimerL'histoire de la maladie d'Alzheimer illustre comment l'obsession de la science médicale pour les produits commercialisables a nui au pays. Il est impératif de remplacer cette approche par une priorité donnée à la compréhension des causes profondes des maladies chroniques auxquelles nous sommes confrontés. Si nous n'agissons pas et continuons d'encourager financièrement le paradigme lucratif actuel, nous ne pouvons que nous attendre à une détérioration des soins de santé et à une augmentation des coûts jusqu'à des niveaux de plus en plus inabordables – comme en témoigne le fait que le gouvernement a connu le plus long blocage budgétaire de son histoire en raison de désaccords sur le maintien des coûteuses subventions d'assurance maladie de l'ACA de 2016 (qui ont eu pour effet de plus que doubler le coût de l'assurance maladie).
Note : Je suivrai une audition organisée par le sénateur Ron Johnson sur la loi sur les soins de santé « abordables » plus tard dans la journée (dont il a souligné les points clés ici).
Heureusement, maintenant que la MAHA peut définir la politique de santé nationale et que les médias indépendants ont brisé le monopole des médias traditionnels sur la vérité suite aux mensonges observés pendant la pandémie de COVID-19, de plus en plus de personnes s'écartent de l'orthodoxie médicale pour rechercher des thérapies qui peuvent réellement les guérir (et qu'elles peuvent réellement se permettre). Une telle opportunité de nous libérer du monopole médical n'a jamais existé auparavant, et il est crucial que chacun d'entre nous attire l'attention sur la nécessité d'une médecine véritable avant que cette opportunité de changer fondamentalement la pratique de la médecine ne disparaisse.
Note de l'auteur : Ceci est une version abrégée (demandée par les lecteurs) d'un article plus long qui traite des causes et des traitements de la maladie d'Alzheimer. Cet article, ainsi que des liens et des références supplémentaires, peuvent être consultés ici. Par ailleurs, un article complémentaire (récemment mis à jour) sur la manière dont le DMSO traite les lésions neurologiques (par exemple, les AVC, les hémorragies cérébrales, les traumatismes crâniens, la paralysie médullaire et les retards de développement) est disponible ici.
https://www.midwesterndoctor.com/p/why-isnt-there-a-cure-for-alzheimers-d9d
Le vaccin à ARNm est efficace aussi 'contre' le cancer
RépondreSupprimer7 novembre 2025
Nicolas Lecaussin
Jeff Coller est professeur de biologie et de thérapie basées sur l’ARN à l’université Johns Hopkins, fondateur de l’Alliance pour les médicaments à ARN et cofondateur de Tevard Biosciences. Il vient de publier un article sur la véritable révolution produite par les traitements à ARN mesager dans la lutte contre le cancer. Plusieurs études et recherches ont révélé des avancées étonnantes. Des patients ayant reçu un vaccin à ARNm contre la Covid-19 alors qu’ils étaient sous traitement anticancéreux ont vécu significativement plus longtemps que d’autres dans la même situation et soignés de manière identique. Une équipe de chercheurs du MD Anderson Cancer Center de l’Université du Texas à Houston et de l’Université de Floride, ont constaté que chez les patients atteints d’un cancer du poumon ayant reçu un vaccin à ARNm contre la Covid-19 dans les 100 jours suivant le début de l’immunothérapie, la survie médiane était de 37,3 mois, soit près du double de celle des patients non vaccinés. Les taux de survie à trois ans étaient également plus élevés : 55,8 % contre 30,6 %. Des résultats aussi encourageants ont été observés chez les patients atteints d’un mélanome : une réduction de 49 % des récidives et de 62 % des métastases à distance mortelles. En revanche les vaccins qui ne sont pas basés sur l’ARN messager (grippe, pneumonie) sont inefficaces.
Les vaccins à ARNm n’étaient pas conçus pour traiter le cancer, mais pour apprendre à l’organisme à reconnaître la protéine spike du coronavirus. Les travaux menés sur leur développement ont permis de découvrir qu’ils activaient de puissantes voies immunitaires, renforçant ainsi les défenses naturelles de l’organisme et sa capacité à lutter contre le cancer. Les chercheurs ne comprennent pas encore pleinement les mécanismes à l’origine de ce phénomène. Ils sont cependant persuadés que leurs essais, qu’ils poursuivent activement, pourraient mener à un vaccin pouvant traiter d’autres types de cancer et révolutionner le domaine de l’oncologie.
https://contrepoints.org/le-vaccin-a-arnm-est-efficace-aussi-contre-le-cancer/
Premièrement il ne s'agit pas de 'vaccin' puisqu'il faut 10 à 15 ans pour le faire mais d'une expérimentation génique d'essai.
SupprimerDeuxièmement, là encore il n'est pas tenu compte de la composition dévoilée des flacons mortels. Dès leurs sorties des laboratoires nazis, les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej ont analysé le contenu effrayant des flacons létaux.
Leurs rapports publiés sur le net à la vue de 8 milliards d'habitants faisait mention de 95 à 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !! + des spikes !! + diverses maladies animales et, (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
De nouvelles études relient les « vaccins » à l’ARNm aux dommages neurologiques graves, à l’intégration génomique et au cancer du turbo – alors que le HHS reste silencieux
RépondreSupprimerL'épidémiologiste Nicolas Hulscher rejoint Breanna Morello sur InfoWars
Nicolas Hulscher, MPH
07 Nov, 2025
Aujourd’hui, je me suis jointe à Breanna Morello sur InfoWars pour discuter de notre nouvelle étude évaluée par des qui a révélé une lésion neurologique catastrophique des injections d’ARNm COVID-19.
63 signaux de sécurité graves ont été identifiés – tous impliquant le système nerveux central – y compris l’encéphalite, la méningite, la myélite, les syndromes de démyélinisation, les abcès cerveau/moelle épinière, et même la maladie de Creutzfeldt-Jakob (prion), qui semblait 847× plus probable après les coups d’ARNm COVID-19 qu’après les vaccins traditionnels.
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BREAKING: Peer-Reviewed Study Finds COVID-19 "Vaccines" Linked to 63 Serious Brain and Spinal Cord Adverse Events
Nicolas Hulscher, MPH
6 nov.
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Ces résultats indiquent une perturbation de la barrière hémato-encéphalique induite par le vaccin COVID-19, permettant aux protéines et aux agents pathogènes du pic amyloïdogène de pénétrer dans le cerveau et la moelle épinière – un résultat cohérent avec les maintenant observés aux États-Unis.
Intégration génomique et cancers turbo
Nous avons également discuté de notre découverte par les pairs de matériel génétique dérivé du vaccin intégré au chromosome humain 19 chez une femme qui a développé un cancer de la vessie de stade IV peu de temps après 3 injections d’ARNm – représentant les premières preuves documentées de l’intégration génomique chez l’homme.
En collaboration avec Neo7Bioscience, notre équipe a mené une autre étude démontrant que les injections d’ARNm dysrégulent des milliers de gènes humains, déclenchant l’insuffisance mitochondriale, l’effondrement immunitaire et l’activité de promotion du cancer qui peuvent persister pendant des années.
BREAKING STUDY: mRNA Injections Induce Severe, Long-Lasting Genetic Disruption Linked to Cancer and Chronic Disease
BREAKING STUDY: mRNA Injections Induce Severe, Long-Lasting Genetic Disruption Linked to Cancer and Chronic Disease
Nicolas Hulscher, MPH
25 juil.
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Le manuscrit a été illégalement effacé de deux serveurs pré-imprimés quelques semaines après être devenu viral par le Journal Cartel et PubPeer Mob – mais a depuis été examiné avec succès et accepté pour publication dans une revue indexée sur PubMed.gov, marquant une victoire majeure pour l’intégrité scientifique et une défaite décisive pour le complexe bio-pharmaceutique.
RépondreSupprimerBREAKING: MDPI Censors One of the World’s Most-Read Preprints Showing mRNA Shots Disrupt Thousands of Genes
BREAKING: MDPI Censors One of the World’s Most-Read Preprints Showing mRNA Shots Disrupt Thousands of Genes
Nicolas Hulscher, MPH
11 sept.
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Enfin, deux études démographiques massives (n = 8,7 millions) confirment maintenant des risques élevés dans sept cancers majeurs parmi les vaccinés contre la COVID-19.
BREAKING: Second Massive Population Study Finds COVID-19 "Vaccines" Increase Risk of 6 Major Cancers
BREAKING: Second Massive Population Study Finds COVID-19 "Vaccines" Increase Risk of 6 Major Cancers
Nicolas Hulscher, MPH
27 sept.
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L' entreprise criminelle Pfizer
Comme je l’ai dit à l’antenne, Pfizer n’est pas un partenaire de santé publique de confiance – il fonctionne comme une entreprise criminelle. Avec 107 pénalités documentées, le dossier de Pfizer se lit comme un catalogue de crimes d’entreprise: faux marketing, violations de sécurité, stratagèmes de retour en arrière, violations de l’environnement, corruption étrangère et fraude systémique.
Selon Violation Tracker, les peines de Pfizer depuis 2000 totalisent plus de $11 milliards dans les affaires criminelles, civiles et réglementaires – un chiffre stupéfiant qui expose un modèle d’anarchie, et non des erreurs isolées.
Pourtant, malgré la manipulation prouvée des et les preuves généralisées de dommages, le complexe bio-pharmaceutique continue de pousser les technologies de transfert de gènes d’ARNm sur tous les marchés thérapeutiques, y compris pour les cancers qu’ils ont déclenchés.
Pfizer conclut un accord de $70 milliards avec les États-Unis pour étendre son empire d'ARNm, baissent les prix des médicaments
Nicolas Hulscher, MPH
30 sept.
Pfizer Strikes $70 Billion Deal with U.S. to Expand Its mRNA Empire, Lower Drug Prices
par Nicolas Hulscher, MPH
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L'Amérique ne peut pas être rendue saine tant que ce dangereux système de corruption et de capture n'est pas complètement exposé et démantelé.
https://www.thefocalpoints.com/p/new-studies-link-mrna-vaccines-to?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=178295756&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
L'acide De L'estomac Est Vital Pour La Santé
RépondreSupprimerDéballage de l'arnaque de reflux de Great Acid
Un médecin du Midwest
Nov 08, 2025
L'histoire en un coup d'œil
•De nombreux produits pharmaceutiques sur le marché sont automatiquement administrés à un grand nombre de patients malgré les méfaits de ces médicaments l’emportant souvent largement sur leurs avantages.
•L’un des pires contrevenants est le médicament de suppression de l’acide. Leur surprescription va de pair avec la cécité médicale généralisée aux fonctions critiques de l'acide chlorhydrique dans tout le corps, les symptômes d'une faible acidité de l'estomac (par exemple, de nombreux troubles auto-immuns) et les causes réelles du reflux acide.
•Étant donné que l’estomac doit être capable de laisser entrer les aliments mais de rester fermé tout en le digérant, son ouverture (les ERP) est sensible au pH et se fermera lorsque suffisamment d’acide est détecté.
•Le reflux est donc souvent dû à l’insuffisance de l’acide gastrique (dont la production diminue avec l’âge) ce qui provoque l’écoulement de l’acide restant dans l’œsophage. Le traitement du reflux en éliminant tout acide provoque le maintien de l'ouverture des ERP et, par conséquent, accroche les patients sur les médicaments puisque le moment où n'importe quel acide revient, il va fuir et causer des brûlures d'estomac.
•Une petite fuite chronique d’acide gastrique peut créer de nombreux problèmes différents dans les oreilles, le nez et la gorge (par exemple, allergies, toux et sinusite).
•Il existe une variété d’approches sûres et non invasives pour remédier au large éventail de complications du reflux acide et de la production d’acides gastriques dysfonctionnels qui restaurent plutôt que d’entraver la production d’acide.
L'une des parties les plus déprimantes d'être un médecin éveillé dans le système médical est de lire les listes de médicaments des patients que vous voyez et de réaliser combien d'ordonnances ils sont sur qui ne leur sont pas bénéfiques, et dans de nombreux cas leur nuire. Actuellement, on estime que 6 8% des adultes américains ont au moins une ordonnance et en moyenne, les adultes américains prennent quatre médicaments différents.
Puisque les médecins sont extrêmement réticents à mettre fin aux ordonnances existantes, cela crée un scénario où les gens sont placés sur de plus en plus de médicaments à mesure qu’ils vieillissent (dont certains sont pour traiter les effets secondaires d’autres médicaments qu’ils prennent).
Cette situation est encore pire pour les personnes âgées, qui ont plus de temps pour être mises sur un nombre croissant de médicaments, et en raison de leur physiologie altérée, sont également les plus vulnérables aux effets néfastes de ces médicaments. Par exemple, de 2009 à 2016, après l’évaluation de deux milliards de visites de bureau, il a été constaté que pour les adultes de plus de 65 ans, 65,1% étaient sous deux médicaments ou plus, 48,9% étaient sur quatre ou plus, et 36,8% étaient sur plus de cinq (avec la plus forte utilisation dans les Américains les plus âgés).
L'une des meilleures illustrations du problème est venue d'une étude qui a comparé 119 adultes âgés handicapés vivant dans des maisons de retraite à 71 contrôles correspondants. Ces patients (en moyenne, étaient sous 7,09 médicaments) ont été dépistés pour lesquels de leurs médicaments répondaient clairement aux critères existants pour être arrêtés (en moyenne 2,8 par patient). Après l'arrêt de ces médicaments dans le groupe de test, par rapport aux témoins qui sont restés sur toutes leurs ordonnances existantes, il a été constaté que:
RépondreSupprimer•Le taux de mortalité a chuté de 53 % (en un an, 45 % du groupe témoin est décédé, alors que 21 % des sujets testés sont décédés).
•Le taux annuel de renvois à l’hôpital a chuté de 60,7 % (30 % des contrôles vs. 11,8 % de l'étude).
•Sans surprise, il y a également eu des économies significatives en retirant les médicaments inutiles.
Bref, ne rien faire d’autre que de mettre fin à certaines des prescriptions les plus flagrantes pour nos aînés (qui manquent souvent d’autonomie pour refuser leurs ordonnances) ont entraîné une réduction de 23% de leur taux de mortalité. Lorsque vous considérez que beaucoup de ces médicaments sont approuvés pour des réductions beaucoup plus faibles du taux de mortalité, et qu'ils ont souvent une variété d'autres effets secondaires concernant (par exemple, déclencher la démence), l'absurdité de cette situation (p. ex., cette étude pivot n'a jamais changé la façon dont nous pratiquons la médecine) devient évidente.
Par exemple, presque tout le monde est mis sur des statines, surtout en vieillissant. Pourtant, dans les essais évaluant les statines, par exemple, leur effet sur le risque de maladie cardiaque chez les patients âgés de 50 à 75 ans, les statines ont entraîné une réduction de 0,4% du risque annuel d’un événement cardiovasculaire majeur (dont la plupart ne sont pas mortels) et aucun bénéfice dans le taux de mortalité global. De même, selon les essais existants (qui sont presque certainement biaisés pour favoriser les sociétés pharmaceutiques qui les financent), il a été constaté en moyenne que la prise d'une statine pendant cinq ans augmenterait votre durée de vie prévue de trois à quatre jours. En revanche, les statines sont notoires pour causer des effets indésirables qui affectent au moins 20% des receveurs. Ces effets comprennent les troubles cognitifs et la démence, les changements de personnalité, la perte de sensation dans tout le corps et la faiblesse musculaire importante ou les douleurs musculaires.
Cela semble absurde jusqu’à ce que vous considériez également que les statines sont également l’un des marchés de médicaments les plus rentables.
Remarque: un résumé plus détaillé de la grande arnaque aux statines et des effets indésirables tragiques des statines peut être trouvé ici.
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Les pires drogues sur le marché
Une question fréquente que je reçois est de savoir quels sont les médicaments les plus nocifs en Amérique. Avant les vaccins contre la COVID-19 (qui, selon moi, ont gagné cette distinction). Bien qu’un cas puisse être fait, de nombreux médicaments et vaccins sont dignes de cette distinction, presque tous les médecins intégratifs à qui j’ai jamais posé cette question (avant les vaccins contre la COVID) incluraient les médicaments suivants dans leur top 5:
RépondreSupprimer•Inhibiteurs de la pompe à protons (IPP – le bloqueur d’acide gastrique le plus puissant et le focus de cet article)
• Antidépresseurs de l'ISRS (p. ex., Prozac)
• Statines
• AINS (p. ex., Ibuprofène)
Remarque: bien qu'il y ait plus de médicaments nocifs sur le marché, ceux-ci ont été généralement sélectionnés en raison du nombre de personnes qui sont mises sur eux. De plus, les pilules contraceptives, les corticoïdes, les bisphosphonates pour l'ostéoporose ou les antipsychotiques étaient souvent (mais pas toujours) le cinquième médicament sélectionné.
Dans les ventes, une pratique courante consiste à commencer par un article gratuit ou à faible coût, puis à partir du pool de personnes qui l’obtiennent, utilisez leur investissement pour leur vendre un article à prix modéré, puis à partir du pool de ces acheteurs, vendre un article plus cher et ainsi de suite. Cette pratique commerciale, à son tour, est connue sous le nom de création d’entonnoirs de vente.
Souvent, avec les médicaments ci-dessus (et beaucoup d'autres), je vois une variété d'entonnoirs de vente. Par exemple, les adolescentes sont souvent placées sous pilule contraceptive par leurs pédiatres (p. ex., cette enquête a révélé que 54% des femmes âgées de 15 à 19 ans avaient utilisé la pilule) – souvent pour des raisons sans rapport avec le sexe (p. ex., règles douloureuses ou SPM chez un enfant de douze ans).
Les pilules contraceptives, à leur tour, provoquent fréquemment d’importantes sautes d’humeur et des altérations de l’humeur (par exemple, une grande étude a détecté une augmentation de 130% des taux de dépression au cours des deux premières années d’utilisation de la pilule), ce qui conduit souvent à ce que ces nouveaux troubles de l’humeur soient «traités» avec un antidépresseur ISRS (qui maintenant plus de 10% des adolescentes sont en marche). À son tour, l'un des effets secondaires les plus courants des ISRS sont d'autres nouveaux troubles psychiatriques (le bipolaire I est le plus courant) qui sont ensuite traités avec un antipsychotique (ou un autre stabilisateur de l'humeur).
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En conséquence, je rencontre souvent de jeunes femmes qui ont traversé cet entonnoir de vente dans leurs années d’adolescence et qui sont maintenant en train de porter des antipsychotiques. De plus, j’ai également parlé à quelques personnes qui avaient été sur ce pipeline et ont déclaré que les dommages neuropsychiatriques qu’ils ont développés à partir du vaccin contre le VPH les ont finalement fait basculer sur le bord (ce qui a ensuite nécessité de prendre un antipsychotique qui a souvent causé des problèmes psychiatriques et neurologiques encore plus chroniques pour eux).
RépondreSupprimerRemarque: l'un des principaux problèmes est qu'ils causent tant de maladies chroniques différentes (par exemple, ici, je montre toutes les études qui ont comparé les enfants vaccinés à des enfants non vaccinés ont révélé que la vaccination a généralement causé une augmentation de 3X à 10X du taux de maladies chroniques courantes).
Comme vous pouvez le deviner, je ne suis pas fan de ce modèle d’affaires, et l’un de mes objectifs ici est de passer progressivement par la raison pour laquelle chacun de ces médicaments malins peut causer tant de problèmes. Heureusement, nous assistons enfin à un changement culturel massif sur cette question, mis en évidence par des choses comme une récente interview (visionnée 57 millions de fois) où Tucker Carlson et Elon Musk ont discuté de l'entonnoir de vente contraceptive-antidépresseur:
Médecine Translationnelle
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Puisque la médecine est censée être « basée sur la science », une question récurrente est de savoir pourquoi les découvertes scientifiques les plus importantes ne sont jamais adoptées dans la pratique clinique, ou si elles le sont, il faut souvent des années sinon des décennies pour l’être (c’est ce que la discipline de la médecine translationnelle cherche à aborder).
Quand j'ai commencé ma formation médicale, un mentor m'a dit:
La profession médicale a toujours été remarquablement conservatrice en adoptant de nouvelles idées. Essayez de ne pas être frustrés s’ils ne prennent pas en compte les preuves que vous leur présentez.
À mon tour, dans cette publication, j’ai essayé d’examiner progressivement des exemples du refus généralisé de la profession médicale de considérer des preuves d’une importance critique qui leur étaient présentées encore et encore et encore, comme le fait que de nombreux médicaments largement prescrits sont inoffensifs et inutiles, ou que des alternatives beaucoup plus sûres et efficaces (par exemple, DMSO) existent.
Un innovateur clé dans le domaine de la médecine intégrative était Jonathan Wright MD, un médecin chercheur avec un talent unique pour déterrer les études oubliées qui étaient extrêmement pertinentes pour les soins aux patients. Beaucoup d’entre eux concernaient des alternatives naturelles aux produits pharmaceutiques, et étaient si efficaces que le travail de Wright a finalement façonné une partie importante de la médecine naturelle.
RépondreSupprimerDe même, la clinique de Wright a attiré tellement d’attention (en raison du fait qu’elle traitait fréquemment des cas « incurables » et que des patients du monde entier venaient en visite) que la FDA ciblait fréquemment la clinique et effectuait éventuellement un raid inapproprié sous la menace d’une arme à feu pour confisquer les vitamines de Wright qui enrageaient le public et faisait passer l’une des lois sur la liberté de santé les plus critiques de l’histoire américaine.
L’une des idées critiques de Wright était que toute notre compréhension du reflux acide était complètement incorrecte et que d’immenses conséquences pour la santé en découlaient. Wright a finalement écrit un livre de 2001 sur le sujet, Why Stomach Acid Is Good For You, qui non seulement a synopsé l'ensemble du problème, mais a également prédit avec précision que beaucoup des méfaits de la recherche à long terme sur les IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) montreraient réellement. Malheureusement, comme beaucoup de choses en médecine, des décennies plus tard, il n’y a encore qu’une reconnaissance partielle des points critiques que Wright a exposés dans son livre.
Qu'est-ce que le reflux acide ?
Votre estomac contient de l’acide qu’il utilise pour digérer les aliments (principalement en allumant des enzymes puissantes qui digèrent les protéines). Lorsque l'estomac digère de la nourriture, l'acide doit rester à l'intérieur de l'estomac, mais parfois il se réveille dans l'œsophage (votre gorge) parce que le muscle qui scelle le haut de l'estomac ne parvient pas à le sceller complètement. Puisque l'acide gastrique est irritant, lorsqu'il se retourne dans la gorge (qui contrairement à l'estomac n'a pas de tissu conçu pour résister à l'acide gastrique), il crée fréquemment la condition irritante connue sous le nom de brûlures d'estomac.
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Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est une affection très fréquente, estimée à 20% des adultes (variant entre 18,1% à 27,8% des adultes aux États-Unis), est légèrement plus fréquente chez les femmes, et ce nombre a augmenté progressivement à l'échelle mondiale. Comme les brûlures d’estomac qu’il déclenche provoquent généralement un inconfort immédiat, les personnes atteintes de RGO veulent généralement qu’il soit traité, en particulier une fois que leur médecin l’encourage (par exemple, parce que sinon votre œsophage peut être endommagé et potentiellement devenir cancéreux).
En plus du reflux acide manifeste, une autre condition existe également, connue sous le nom de reflux silencieux (ou reflux laryngopharyngé), où un reflux plus mineur se produit sans causer de brûlures d'estomac manifestes. Bien que je crois que le complexe industriel médical a tendance à surhyper les maladies afin que plus de médicaments puissent être vendus pour eux, je pense que le reflux silencieux appartient à l'autre camp, car il n'est souvent pas reconnu comme la cause profonde d'une variété d'autres symptômes tels que:
RépondreSupprimer• Allergies
•Asthme et maladies réactives des voies respiratoires
• Brûlure dans la bouche ou sur la langue
• Maux de gorge chronique
•Pression de l’oreille et infections de l’oreille
•Sensez-vous souvent de devoir vous débarrasser de la gorge (et parfois de la toux)
•Dérivoir post-nasal
•Sensation d'une bosse indolore dans la gorge
•Problèmes sinusaux
La spécialité de l'otolaryngologie (oreilles, nez et gorge [ENT] médecine) illustre le mieux l'impact du reflux silencieux car un nombre étonnamment élevé de problèmes pour lesquels les patients voient un ORL sont en fait simplement dus au reflux silencieux. À son tour, les ORL plus observateurs peuvent reconnaître et corriger ces symptômes en se concentrant sur le reflux silencieux plutôt que d’essayer de traiter les symptômes avec des médicaments dirigés vers chaque problème individuel. Plus important encore, le reflux silencieux a tendance à avoir une plus grande réponse aux changements de mode de vie (par exemple, manger différents aliments) et peut donc souvent être facilement traité sans médicaments (bien qu’un bref traitement des médicaments soit souvent utilisé pour aider les patients à reconnaître que le reflux silencieux cause leurs problèmes).
L’acide De L’estomac Est Bon Pour Vous
L’une des choses que je m’émerveille toujours est de savoir comment des distorsions subtiles ont tendance à se produire dans la science, ce qui conduit chacun à avoir une fausse conception de la réalité qui permet commodément à une industrie rentable d’exister. Un tel exemple peut être trouvé avec l'acide gastrique, quelque chose que le champ médical considère comme largement inutile et donc possible de justifier l'élimination avec des médicaments de suppression d'acide.
L'acide de l'estomac pour le contexte, sert une variété de fonctions critiques. Ils comprennent:
•Permettre de décomposer complètement les protéines.
•Stériliser l’estomac afin que les bactéries étrangères, les virus, les levures et les parasites ne puissent pas entrer dans le tube digestif.
•Chéler les minéraux de la nourriture afin qu’ils puissent être absorbés.
•Permettre d’absorber certaines vitamines et certains nutriments (par exemple, la vitamine B-12).
•Réguler le reste de la digestion.
Pourtant, la plupart d’entre eux sont des « côtés oubliés de la médecine » car les fonctions critiques de l’acide gastrique en plus de la digestion des protéines sont généralement à peine mentionnées dans le programme médical. Par exemple, on apprend aux étudiants en médecine à croire que la digestion des protéines se produit principalement dans l’intestin grêle et que les enzymes digestives du pancréas seul sont suffisantes pour digérer les protéines une fois qu’il atteint l’intestin grêle, éliminant ainsi tout besoin restant pour l’acide de l’estomac. Dans ce paradigme, il devient ainsi justifiable de supprimer l'acide gastrique autant que possible avec des médicaments bloquant l'acide.
RépondreSupprimerVoyons maintenant pourquoi ces fonctions sont en fait d’une importance vitale.
Remarque: généralement avec des interventions médicales et des conditions corrélées, vous voyez des corrélations petites à modérées entre elles. L’une des choses les plus frappantes à propos de l’acide gastrique est encore et encore l’effet de l’acide gastrique adéquat par rapport à l’acide gastrique inadéquat – dans la plupart des études citées par Wright, nous discuterons dans les sections suivantes, entre deux à dix fois que la différence de santé pourrait être observée une fois que suffisamment d’acide gastrique était présent.
Digestion De Protéines:
Les protéines sont composées de longues chaînes d’acides aminés qui se replient dans une variété de structures complexes, créant ainsi notre infrastructure cellulaire.
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Pour digérer les protéines, ces chaînes doivent être brisées puis démontées dans leurs acides aminés constitutifs (qui sont ensuite assemblés en protéines dans le corps) – un processus qui repose d’abord sur des enzymes qui nécessitent une acidité significative dans l’estomac pour fonctionner correctement. Si cela ne se produit pas, le corps devient incapable d’extraire les acides aminés dont il a besoin à partir des protéines que vous mangez, ce qui provoque à son tour des carences nutritionnelles importantes.
La carence en acides aminés est un problème répandu, et dans ma pratique et celle de mes collègues, nous trouvons fréquemment l'un des suppléments les plus importants pour nos patients est le bon mélange d'acides aminés prédigérés (et de même, les lecteurs ici ont partagé qu'une formulation d'acides aminés que j'ai recommandé a fait une énorme amélioration de leur santé et de leur bien-être). De même, il est fréquemment observé que les carences en acides aminés sont liées à des conditions psychiatriques parce que certains des acides aminés forment les éléments constitutifs des neurotransmetteurs qui régulent votre humeur. En conséquence, la supplémentation en acides aminés est souvent un composant essentiel d’un plan de psychiatrie intégrative (par exemple, lorsqu’il aide un patient à se retirer d’un antidépresseur de l’ISRS – qui sont connus pour être très addictifs et difficiles à arrêter).
Lorsque les protéines ne sont pas digérées, leurs fragments peuvent souvent passer de l’intestin dans la circulation sanguine, déclenchant un large éventail de sensibilités alimentaires. À mon tour, je trouve fréquemment qu’avec des patients qui ont un large éventail de sensibilités alimentaires (ce qui leur oblige à manger des régimes très restrictifs), leur problème est une mauvaise digestion des protéines plutôt qu’une allergie alimentaire spécifique. Plus important encore (et l’une des principales raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article) était l’observation de Wright selon laquelle un large éventail de conditions auto-immunes sont directement liées à de faibles niveaux d’acide gastrique.
RépondreSupprimerRemarque: les tests d'allergie alimentaire sont relativement inexacts et donnent des résultats très variables (p. ex., les collègues ont constaté que deux échantillons prélevés en même temps sur le même patient mais envoyés sous des noms de patients différents ont donné des résultats significativement différents). Je ne suis pas sûr que cette question se soit améliorée ces dernières années depuis que nous avons cessé d'utiliser ces tests et que nous ne pouvons donc plus évaluer leurs résultats.
Stérilisation de l'estomac:
Une fonction clé de l'acide gastrique est de stériliser le tractus gastro-intestinal de sorte que les microbes ne peuvent pas entrer et le coloniser (comme le tractus gastro-intestinal représente autrement une zone idéale pour qu'ils habitent).
L'importance de cette stérilisation est plus évidente avec les infections aiguës. Par exemple, les personnes sous médicaments de suppression d’acides ont un risque beaucoup plus élevé de développer une intoxication alimentaire après avoir mangé des aliments infectés par l’une des nombreuses espèces bactériennes connues pour cela (c’est-à-dire qu’elles sont environ quatre fois plus susceptibles de développer l’une de ces infections).
De même, pendant des siècles, il était bien connu que le choléra (une infection qui était un fléau pour l'humanité jusqu'à ce que nous nettoyions notre approvisionnement en eau) était considérablement plus susceptible d'affecter ceux qui avaient de l'acide gastrique déficient. Par exemple, en 1885, Robert Koch (qui a découvert de nombreuses caractéristiques fondamentales des infections microbiennes) a démontré que l’alimentation des cochons d’Inde une dose de bicarbonate (un antiacide) avant de les infecter avec du choléra augmentait considérablement leur risque de développer l’infection. De même, dans de nombreuses épidémies de choléra, les responsables de la santé publique ont constaté que ceux qui ont développé des infections avaient de faibles niveaux d'acide gastrique, tandis que ceux qui n'avaient pas de niveaux normaux.
Alors que le choléra appartient maintenant en grande partie au passé, la zone où ce risque d'infection aiguë est le plus important est chez les patients hospitalisés qui sont régulièrement mis sous médicaments de suppression d'acide (surtout s'ils sont sous ventilateurs). Une variété d'études ont montré que ceux qui mettent des médicaments antiacides sont plus susceptibles d'attraper ces infections (parfois mortelles) acquises à l'hôpital.
Par exemple, une étude dans le New England Journal of Medicine a révélé que les patients ventilés qui ont reçu un médicament bloquant l'acide (qui n'est pas aussi puissant que les IPP plus récents) étaient deux fois plus susceptibles de développer une pneumonie et 60% plus susceptibles de mourir d'une pneumonie hospitalière acquise. De même, une infection à Clostridium difficile est la principale cause de diarrhée infectieuse associée à l'hôpital. Il a un impact considérable sur la durée d’un séjour à l’hôpital et ses coûts – ceux sur les IPP se sont avérés être deux fois plus susceptibles de développer cette condition. De plus, une grande revue des patients septiques a révélé que ceux sous IPP étaient 4,3% plus susceptibles de mourir que ceux qui ne sont pas sous IP.
RépondreSupprimerRemarque: le plus grand examen qui a été fait jusqu'à présent des IPP et de la COVID-19 a révélé que les IPP augmentaient le risque de décès d'un patient atteint de la COVID de 77%.
Beaucoup de problèmes avec la suppression des acides sont mieux illustrés par la façon dont ils modifient la flore bactérienne normale de l'intestin. Par exemple, pour citer le fabricant d'un PPI:
Comme d'autres agents qui élèvent le pH intragastrique, l'oméprazole [Prilosec] administré pendant 14 jours chez des sujets sains a augmenté de manière significative les concentrations intragastriques de bactéries viables. Le modèle de l'espèce bactérienne était inchangé par rapport à celui couramment trouvé dans la salive. Tous les changements ont été résolus dans les trois jours suivant l'arrêt du traitement.
Bien que la colonisation bactérienne dans l'estomac soit potentiellement problématique, elle est beaucoup plus un problème car ces microbes sont capables de voyager plus loin dans le tractus gastro-intestinal. Pendant des décennies, la communauté de la médecine fonctionnelle a observé que la colonisation inappropriée du tractus gastro-intestinal entraîne une variété de problèmes, tels que la condition complexe et débilitante SIBO (petite croissance intestinale). De même, beaucoup d'autres ont lié les endotoxines inflammatoires produites par les bactéries dans le tube digestif à un large éventail de problèmes de santé chroniques.
Remarque: les personnes présentant une prolifération bactérienne importante dans l'estomac déclarent souvent avoir une odeur d'haleine horrible (c'est parfois pourquoi elles recherchent un traitement).
Absorption de nutriments
Beaucoup (moi y compris) croient que l'une des principales causes de toutes les maladies chroniques que nous voyons aujourd'hui sont des carences généralisées en nutriments vitaux.
Remarque: Je passe progressivement à la perspective, de nombreuses «déficiences» nutritionnelles résultent d’altérations microcirculatoires (par exemple, en raison de perturbations généralisées du potentiel zêta physiologique) qui empêchent suffisamment de nutriments encore présents dans le sang d’atteindre les tissus qui en ont besoin.
À son tour, un bon cas peut être fait que cette carence en nutriments vient l'un des éléments suivants:
RépondreSupprimer•L’agriculture chimique intensive a fait que nos sols se sont déminéralisés, ce qui a conduit les plantes à ne plus avoir les nutriments nécessaires. Compte tenu des avantages dramatiques pour la santé observés à plusieurs reprises par la reminéralisation du sol, je pense que c'est une préoccupation valable. Par exemple, j’ai déjà discuté de la façon dont la carence en manganèse est une cause principale d’hypermobilité (ce qui peut souvent être handicapant pour ces patients et les prédisposer simultanément à être beaucoup plus sensibles aux choses dans leur environnement comme les vaccins).
Remarque: au fil des ans, j’ai rencontré de nombreux praticiens qui ont conclu que la supplémentation en minéraux traces était essentielle pour la santé. Plus récemment, Pierre Kory a partagé avec moi de nombreux cas convaincants qui l’ont conduit à changer toute sa pratique médicale et sa mission de vie pour restaurer les oligo-éléments.
•Les produits chimiques dans l’environnement bloquent notre absorption des nutriments essentiels. Par exemple, l'herbicide Roundup, largement utilisé, est également un agent chélatant, qui est bien connu pour se lier aux minéraux essentiels (par exemple, le manganèse) et les empêcher d'entrer dans le corps.
•Les régimes alimentaires hautement transformés que nous mangeons ne contiennent pas beaucoup des nutriments essentiels dont nous avons besoin (par exemple, les vitamines liposolubles provenant des graisses et des organes animaux). La recherche fondamentale de Weston Price a mieux démontré l’importance de cela, car il a observé à plusieurs reprises des sociétés qui sont passées de leur régime alimentaire traditionnel à celle transformée moderne, a ensuite développé un large éventail de conditions dégénératives associées à la vie moderne et ont eu des changements dégénératifs reproductibles dans leurs os et leurs dents. De même, j’ai constaté à plusieurs reprises que les patients développaient une amélioration significative de leur santé une fois que ces carences nutritionnelles seraient comblées.
Remarque: nous croyons également que ces nutriments liposolubles sont essentiels pendant la grossesse.
•L’absorption nutritionnelle est altérée. Bien que cela puisse provenir d'une variété de problèmes (p. ex., la régulation neurologique dysfonctionnelle du tractus gastro-intestinal), l'une des causes les plus conséquentes est l'acide gastrique déficient.
Pour de nombreux minéraux essentiels (p. ex., zinc, magnésium, calcium et fer), l'acide est nécessaire pour leur absorption, car ils nécessitent un environnement acide pour se séparer de ce à quoi ils sont liés et devenir des ions solubles dans l'eau qui peuvent pénétrer dans le corps (p. ex., le fer absorbe beaucoup mieux à un pH inférieur à 5). Dans une étude, il a été constaté que les antiacides réduisent l'absorption du fer entre 50 et 67%, tandis que dans une autre étude, lorsque les patients déficients en acides gastriques (ayant un pH gastrique de 6,5) ont vu leur pH de l'acide gastrique abaissé à 1 (ce qui le rend beaucoup plus acide), l'absorption de calcium est montée de cinq fois à 10 pour cent. Des différences similaires sont également observées avec d'autres minéraux.
RépondreSupprimerCes problèmes sont particulièrement vrais pour les minéraux liés aux plantes par rapport aux formes beaucoup plus absorbables dans lesquelles ils existent dans les tissus animaux (que Wright a illustrés avec les données sur l’absorption du fer – quelque chose qui peut aider à expliquer une partie de la fatigue et de l’anémie observées chez les végétariens – et donc rendre l’acide gastrique adéquat encore plus important dans cette population).
De même, de nombreuses vitamines essentielles nécessitent également de l’acide gastrique à absorber (par exemple, parce que l’acide sépare les vitamines de la protéine à laquelle elles sont liées), la vitamine B12 étant le meilleur exemple. Il existe également des données significatives reliant B6 et l'absorption du folate à l'acidité de l'estomac, et certaines données reliant, la vitamine A, B1, B2, B3 et E aux niveaux d'acide gastrique. Plus important encore, Dr. Wright a observé une amélioration de l'absorption de presque tous les nutriments lorsque la mauvaise fonction de l'estomac est améliorée.
Remarque: une grande variété de problèmes chroniques (p. ex., fatigue excessive, capacité réduite de concentration, fatigue, insomnie et manque d'intérêt pour l'environnement externe ont été liés à des déficiences B12). Typiquement Wright trouvé chez les patients présentant une insuffisance gastro-chimique chronique (qui créait une variété d'autres maladies), B12 avait souvent besoin d'être injecté plutôt que pris par voie orale (ce qui, selon nous, devrait être fait par voie sous-cutanée plutôt qu'intramusculaire), mais dans les cas moins graves, la supplémentation orale parallèlement au soutien de la fonction gastrique était souvent suffisante pour résoudre le problème. De plus, il a constaté que les femmes avaient la plus grande réponse à la B12.
Enfin, un domaine que Wright s'est spécialisé dans le traitement était la dégénérescence maculaire. Une composante centrale (mais pas la seule) de son approche était de remédier aux carences nutritionnelles (qui étaient souvent dues à une mauvaise fonction de l'estomac). Pour corroborer cet argument, il a cité une vaste étude des facteurs de risque de dégénérescence maculaire:
RépondreSupprimerIl semble que l’un des facteurs de risque les plus importants pour un sous-groupe d’individus atteints de dégénérescence maculaire «sèche» (ceux caractérisés par «l’atrophie géographique») est l’utilisation d’antacides.
Signalisation digestive
Beaucoup de signaux qui facilitent la digestion (par exemple, les hormones sécrétine et cholécystokinine) sont générés par l'acidité de l'estomac. Par exemple, le pancréas nécessite ces signaux pour libérer les enzymes qu'il utilise pour digérer les protéines, ce qui rend une fois de plus très frustrant qu'une grande partie de la profession médicale ne croit pas que l'acide gastrique est nécessaire à la digestion des protéines. La chose importante à comprendre est que beaucoup de ces fonctions digestives essentielles ne peuvent se produire que dans une plage de pH très étroite (qui se déplace pour chaque étape de la digestion).
Les signes courants d'altération de ce processus comprennent l'indigestion ou les flatulences commençant une heure ou plus après les repas et les selles flottantes. En outre, la fonction enzymatique pancréatique nécessaire à la digestion est souvent observée pour s’aggraver avec l’âge et dans le diabète (une maladie caractérisée par une altération de l’autre fonction primaire du pancréas – le secret de l’insuline).
Comme chacun des points ci-dessus le montre, l'acide gastrique remplit de nombreuses fonctions critiques. Pour citer Wright:
« Pourquoi la nature dépenserait-elle autant d’énergie métabolique pour fournir à chacun de nous à la naissance (et jusqu’à l’âge de quarante ans au moins) un apport suffisant en acide gastrique et en pepsine si ce n’était pas vraiment nécessaire pour la digestion ? »
Note: grâce au travail pionnier de Wright, l’importance de l’acide gastrique est maintenant quelque peu reconnue dans la profession de médecine fonctionnelle, mais elle est néanmoins en grande partie une face oubliée de la médecine.
Conditions liées à l'acidité altérée de l'estomac
Wright a mis l’accent sur le traitement de l’acide gastrique déficient parce qu’il a trouvé qu’il était un fil conducteur chez les patients qu’il a vus, en particulier ceux souffrant d’affections auto-immunes – qui se sont par la suite améliorées une fois que la fonction de l’acide gastrique, la fonction enzymatique digestive et les carences nutritionnelles existantes ont été corrigées.
Beaucoup des conditions qu’il a observées correspondaient à celles qui ont été liées au reflux silencieux – ce qui signifie essentiellement que le reflux silencieux est toujours une condition importante à considérer, même si les oreilles, le nez et les symptômes de la gorge ne sont pas présents. Cependant, en plus de l'asthme (qui peut potentiellement s'expliquer par le reflux de l'acide gastrique ou des bactéries pathologiques qui ont colonisé l'estomac irritant les poumons une fois portés au reflux) de nombreux autres troubles auto-immuns traités par Wright avaient également un lien fort avec la carence en acide gastrique, et pour beaucoup de ces troubles, il a fourni un cas solide pour soutenir ce lien.
RépondreSupprimerPar exemple, en 1931, Dr. Bray a publié ses découvertes de nombreuses années de suivi de plus de 200 enfants asthmatiques. Il a constaté que plus de 80% des enfants asthmatiques avaient une sécrétion acide inférieure à la normale dans leur estomac, avec une légère carence présente chez 23%, une carence sévère chez 48% et une carence complète en 9%.
Dans la plupart des cas, s’il leur a fourni une solution diluée d’acide chlorhydrique à boire, dans trois mois, leur asthme a disparu, l’amélioration étant beaucoup plus rapide (et moins susceptible de se reproduire à l’avenir, en particulier au cours de l’hiver) si des allergènes étaient retirés de leur alimentation. De plus, il a trouvé pour de nombreux enfants, la carence était la plus prononcée lorsqu’ils avaient moins de sept ans, et qu’en vieillissant, la sécrétion d’acide gastrique de nombreux enfants revenait à la normale, qui coïncidait souvent avec la rémission, ou « remède spontané », de leur asthme.
Encore plus triste, Bray n'était pas le seul à trouver ça. La littérature médicale sur le lien remonte à il y a 300 ans, et il y avait une mine de données dans les années 1920, 1930 et 1940 qui l'étayaient. Malheureusement, une fois que des «traitements» tels que des bronchodilatateurs et des stéroïdes ont été trouvés pour l’asthme (qui serait acheté à vie) toutes les incitations à explorer les causes réelles de l’asthme ont disparu).
Remarque: de même, l'irradiation du sang ultraviolet (qui est entrée en vigueur à cette époque) a démontré un succès extraordinaire contre l'asthme (y compris les variantes résistantes au traitement) mais a été déplacée par les interventions pharmaceutiques à vie plus lucratives pour l'asthme. De même, comme je le montre ici, de nombreux lecteurs ont eu un succès significatif dans le traitement de l’asthme avec le DMSO (une substance avec de nombreux effets thérapeutiques similaires à l’IVUB). Cependant, si l’acide gastrique est un facteur contribuant à l’asthme d’un patient, je commence généralement à la cause profonde plutôt que de commencer par un traitement naturel contre l’asthme comme le DMSO.
Heureusement, Wright a été incité à utiliser ces approches oubliées et a rapporté:
RépondreSupprimerDans des centaines de cas, j’ai constaté que plus de 50 pour cent des enfants qui viennent à moi avec de l’asthme peuvent avoir leur respiration sifflante guérie simplement en normalisant leur acide gastrique et en administrant correctement la vitamine B12, sans bronchodilatateurs et sans corticoïdes. Je ne peux que vous donner des approximations, mais environ 50 pour cent éliminent complètement leur respiration sifflante, environ 30 pour cent ont une amélioration majeure, environ 10 pour cent seulement une amélioration mineure, et seulement environ 10 pour cent sans changement.
Remarque: Wright a également trouvé des médicaments anti-acides fournissant une amélioration minimale pour l'asthme.
Au total, Wright a pu établir un lien clair entre la carence en acide gastrique et les conditions auto-immunes suivantes (comme des données existaient pour soutenir le lien et dans plus de la moitié des cas qu'il a vus, un faible taux d'acide gastrique a été détecté):
- voir cadre sur site -
Dans la liste ci-dessus, ces conditions en gras sont connues pour être liées à un facteur génétique HLA. Cependant, malgré ce lien, les conditions ont tout de même répondu au protocole de Wright, soutenant l’argument selon lequel de nombreuses maladies que nous considérons comme génétiquement inévitables ne sont en fait que représentatives d’une sensibilité accrue à la condition qui peut ensuite être traitée en s’attaquant aux facteurs environnementaux sous-jacents.
Ceci est très similaire à la situation avec l'autisme, où de nombreux facteurs génétiques différents y ont été partiellement liés. Tous ces facteurs partagent le fil conducteur de l'augmentation de la probabilité qu'une toxine environnementale endommage définitivement le corps (par exemple parce que sa capacité à se détoxifier est réduite, parce que le corps a une sensibilité accrue à l'entrée dans la réponse au danger cellulaire, ou parce que le corps a une capacité réduite à maintenir son potentiel zêta physiologique). Ainsi, dans les deux cas, nous avons une myriade de conditions difficiles à expliquer à moins qu’elles ne soient chacune considérées comme la manifestation de quelques processus pathologiques clés.
En plus de ces troubles auto-immuns (que Wright a généralement traités en rétablissant l'acidité gastrique, en remplaçant les nutriments perdus et en évitant les aliments auxquels le patient avait une sensibilité), il a observé une variété d'autres conditions qui ont également été fréquemment déclenchées par une faible acidité. Ceux-ci comprenaient:
•Une variété de problèmes liés à l’IG (p. ex. ballonnements, mauvaise digestion, mauvaise absorption des nutriments, prolifération des intestins de petits intestins [SIBO] et bien sûr du RGO).
•Les maladies de la peau, y compris les formes d’acné, de dermatite (démangeaisons, rougeur, gonflement), la dermatite herpétiforme, l’eczéma et l’urticaire (ruches) – dont beaucoup sont des troubles techniquement auto-immuns.
RépondreSupprimer•Vieillissement accéléré
•Dépression
•Maladie de la vésicule biliaire (calculs)
•Le rhume des foins (qui est également allergique dans la nature).
• Dégénérescence maculaire
•Maux de tête de migraine
• Ostéoporose
•Cancer de l’estomac
Remarque: Dans son livre de 2001, Wright a prédit que les IPP augmenteraient considérablement le cancer de l'estomac, car dès 1879, la maladie avait été liée à de faibles conditions d'acide gastrique (peut-être en raison de la possibilité qu'une infection H.Pylori existante devienne plus dommageable). Des études récentes ont confirmé cette prédiction, trouvant généralement que les IPP doublent à peu près le taux de cancer de l’estomac (par exemple, une méta-analyse examinant des millions de personnes a constaté que les IPP l’ont augmenté de 1,8 fois). De plus, depuis 2001, des données ont émergé montrant que l'utilisation à long terme de l'IPP provoque une prise de poids, ce qui est probablement une conséquence de leur effet sur le microbiome intestinal.
Qu'est-ce qui cause le reflux acide ?
Jusqu’à présent, j’ai essayé de faire valoir que le reflux acide est lié à une carence en acide gastrique (quelque chose que Wright a trouvé dans plus de 90% des milliers de tests effectués par sa clinique), et plus important encore, que la présence de reflux devrait servir d’avertissement que d’autres parties de votre santé peuvent également être compromises en raison de la présence d’une carence en acide gastrique. Malheureusement, les médecins supposent toujours qu'il y a trop d'acide dans l'estomac lorsqu'il y a un patient atteint du RGO plutôt que de mesurer les niveaux d'acide gastrique avant de commencer un schéma d'abaissement de l'acide (par exemple, en 30 ans de pratique, Wright n'a jamais vu un patient qui a déjà eu son acide gastrique directement mesuré par un autre médecin, quel que soit le nombre de tests que leurs médecins précédents avaient effectués pour évaluer leur tractus gastro).
Tout cela se produit en raison d'un fait important qui est rarement enseigné à l'école de médecine. Le sphincter œsophagien inférieur (l’ouverture de l’estomac) est sensible au pH et ne se ferme qu’une fois que l’acidité est présente dans l’estomac (ce qui a du sens car sinon la nourriture ne serait pas en mesure d’arriver à l’estomac en premier lieu, mais une fois qu’elle est là et qu’elle est digérée, vous avez besoin d’un moyen de l’empêcher de se remettre dans la gorge).
- voir clip sur site -
Puisque le RGO est si fréquent qui suggère qu’il y a aussi une carence généralisée en acide gastrique (chlorhydrique) (p. ex., tenez compte de la réponse remarquable du sénateur Ron Jonson à l’essai de la thérapie à l’acide chlorhydrique après en avoir pris connaissance ici). Actuellement, je crois que quelques facteurs sont responsables:
RépondreSupprimer•La première est que la production d’acide gastrique est connue pour diminuer à mesure que nous vieillissons (en particulier après 60 ans). À l'heure actuelle, comme la réduction chronique du potentiel zêta à mesure que l'on vieillit (en raison de la diminution de la fonction rénale), je considère que l'acide gastrique faible est l'une des principales causes de la dégénérescence observée dans le vieillissement et pourquoi, entre autres, l'acide aminé et la supplémentation en B-12 sont souvent si critiques pour les patients plus âgés.
- voir graph sur site -
Remarque: La probabilité que le RGO augmente avec l’âge (bien que maintenant il est de plus en plus fréquent chez les jeunes adultes), ce qui rend à nouveau remarquable si peu de médecins considèrent que la possibilité d’un excès d’acide dans l’estomac n’est pas la cause des symptômes de leur patient ou pense à demander. Pour citer le Dr. Wright):
Pourquoi trop d’acide est-il si efficace pour revenir dans l’œsophage, mais si inefficace pour digérer réellement les aliments ?
•Deuxièmement, l’acide gastrique nécessite à la fois l’hydrogène et le chlorure, et de nombreux facteurs alimentaires qui ont créé chacun (par exemple, le chlorure de sodium non transformé) sont beaucoup moins présents dans notre alimentation maintenant. À leur tour, les collègues ont constaté que la supplémentation correcte de ces éléments peut améliorer considérablement la fonction de GI.
•Troisièmement, les conditions auto-immunes peuvent attaquer les cellules productrices d’acide de l’estomac.
•Quatrième, H. Les infections à Pylori diminueront la production d'acide gastrique.
•Cinquième, la production d’acide gastrique est un processus à forte consommation d’énergie (d’où les cellules qui produisent de l’acide gastrique ont un grand nombre de mitochondries), et j’ai longtemps soupçonné que le dysfonctionnement mitochondrial (quelque chose souvent vu avec de nombreuses maladies chroniques Wright énumérées ci-dessus) est en partie responsable de la baisse des niveaux d’acide gastrique.
•Enfin, la prise de médicaments anti-acide (que de nombreux Américains prennent) par conception, réduit la présence d’acide gastrique.
Cependant, en même temps, une carence en acide gastrique n’est pas la seule chose qui peut provoquer le reflux. Il peut également souvent se produire si trop de pression est sur l'estomac (par exemple, à partir d'une hernie hiatale - une condition estimée à affecter 55%-60% des individus de plus de 50 ans), faisant ainsi éclater le sphincter œsophagien inférieur (LES) ouvert. De même, de nombreux médicaments, en particulier ceux utilisés pour détendre les muscles certains médicaments pression artérielle (par exemple, les bloqueurs du canal calcique) ainsi que valium, la nitroglycérine et les opioïdes, tous détendent les ERP et permettent ainsi au contenu de l’estomac de fuir à travers elle. De plus, Wright a constaté que certains aliments, y compris les graisses, le chocolat, le café, d'autres boissons contenant de la caféine, les menthes, le sucre, les oignons et certaines boissons alcoolisées, peuvent affaiblir les ERP.
RépondreSupprimerEnfin, si une substance irrite l'estomac, elle déclenche fréquemment un reflux. Certains des déclencheurs les plus courants comprennent les agrumes acides et les aliments à base de tomates, les aliments épicés, les boissons gazeuses et le café. De plus, pour les patients présentant des sensibilités à la lectine, les aliments riches en lectine sont souvent importants à éviter.
Il convient également de noter que la nourriture irritant l’estomac n’est pas toujours mauvaise. Par exemple, les aliments épicés ou amers déclenchent la sécrétion d’acide gastrique, et dans de nombreuses régions de l’Inde, les aliments incroyablement épicés sont la cuisine standard – quelque chose que beaucoup de mes collègues ont soupçonné d’émerger dans la culture parce qu’il protège ceux qui sont là contre le nombre élevé de parasites dans l’environnement (comme l’acide gastrique les tue). Cependant, alors que les aliments épicés (en particulier l’ingrédient actif capsicum) déclenchent la sécrétion d’acide et ont un effet protecteur sur la muqueuse de l’estomac, ils irriteront également les tissus déjà enflammés et ne doivent donc pas être utilisés dans les cas plus graves de RGO.
Remarque: beaucoup des aliments énumérés ci-dessus sont généralement vus sur les listes d'aliments à éviter si vous avez le RGO. Cependant, Wright est la seule personne que je connaisse qui les a différenciés en aliments qui affaiblissaient les ERP par rapport aux aliments qui irritaient l’estomac.
Les problèmes avec les IPP
Actuellement, on estime que plus de 27% des Américains prennent des antiacides, et que plus de 15% de la population américaine (en augmentant avec l'âge) prend des IPP. Pour le contexte, les IPP sont les médicaments de suppression d’acide les plus puissants – une seule pilule élimine souvent presque tout l’acide de l’estomac pour le reste de la journée – mais sont vendus simultanément en vente libre, permettant à beaucoup de s’auto-médicamenter avec eux.
Remarque: certains antiacides (IPP et antagonistes H2) agissent en supprimant la production d’acide de l’estomac. D'autres (p. ex., Tums) travaillent en neutralisant directement l'acide dans l'estomac. Bien que les neutralisants soient les moins nocifs (puisqu’ils ont l’effet le plus faible sur la production d’acide gastrique), beaucoup de ces neutralisants contiennent de l’hydroxyde d’aluminium (un composé toxique qui nuit gravement au potentiel zéta physiologique et est fréquemment ajouté aux vaccins en tant qu’adjuvant). Pour cette raison, il est important de revoir les ingrédients des antiacides avant de les ingérer.
RépondreSupprimerÀ la lecture de cet article jusqu'à présent, vous pouvez probablement deviner quels sont les dommages causés par les IPP, et quand ils ont été approuvés pour la première fois par la FDA, beaucoup d'entre eux ont été reconnus. Par conséquent, les IPP n'étaient destinés à être utilisés que pour des conditions rares (par exemple, le syndrome de Zollinger-Ellison) caractérisées par des niveaux très élevés d'acide gastrique ou en présence de dommages importants au tissu gastro-intestinal, et si elles sont utilisées, pour être utilisées uniquement pendant une période de 4 à 8 semaines.
Comme il y avait tellement d'argent à gagner dans l'utilisation des IPP, nous avons plutôt vu les patients les utiliser pour des problèmes beaucoup plus courants (par exemple, les brûlures d'estomac) et souvent pour le reste de leur vie (un thème que vous voyez souvent se produire avec des médicaments pharmaceutiques). De plus, comme le RGO est souvent dû à trop peu d'acide gastrique empêchant les ERP de se fermer, une fois qu'un IPP est arrêté et qu'un peu d'acide gastrique revient, le RGO rebondit souvent immédiatement avant qu'un taux normal d'acide gastrique ne soit atteint et que le ERP ne se ferme tout seul. En conséquence, après une période d'utilisation prolongée, les IPP sont souvent extrêmement difficiles à arrêter (par exemple, considérez qu'il y a eu des rapports de patients qui n'ont pas produit d'acide gastrique pendant deux ans après l'arrêt de Prilosec, un PPI commun que vous pouvez maintenant acheter en vente libre).
Remarque: un médicament qui démontre que le bénéfice à court terme devient problématique lorsqu’il est utilisé pendant une période prolongée est un problème récurrent en médecine – car la surutilisation est presque toujours ce qui profite à l’industrie pharmaceutique. L’un des meilleurs exemples de cela sont les benzodiazépines (comme le valium) utilisées pour l’anxiété. Ces médicaments peuvent être très utiles lorsqu'ils sont utilisés pour de brèves périodes de stress intense (ou de types spécifiques d'anxiété), mais deviennent extrêmement préjudiciables et addictifs une fois qu'ils sont utilisés indéfiniment, ce qui conduit de nombreux patients à devenir des consommateurs chroniques de médicaments (et de nombreuses conséquences graves pour la santé). Deux des autres classes de médicaments qui sont les plus notoires pour créer une dépendance à vie en raison de leurs retraits sévères sont les antidépresseurs et les opioïdes de l'ISRS.
De même, maintenant que les IPP sont hors brevet, des recherches ont enfin commencé à émerger qui a corroboré de nombreuses prédictions de Wright sur les IPP d’il y a plus de vingt ans. Par exemple, en plus des méfaits énumérés précédemment (p. ex., une absorption altérée des nutriments ou une augmentation de 80% du cancer de l'estomac), l'utilisation de l'IPP a maintenant été liée à:
RépondreSupprimer•Un risque plus élevé de mourir (p. ex., cette étude a révélé que les IPP augmentaient le risque global de décès de 19%).
•Un risque plus élevé d’un événement cardiaque majeur (par exemple, cette méta-analyse a révélé une augmentation de 28%)
•Maladie rénale (par exemple, cette étude a révélé une augmentation de 74% de la maladie rénale sévère, entraînant un risque accru de décès de 142% pour ces patients).
•Maladie du foie et aggravation importante de la maladie du foie existante.
• Ostéoporose et fractures
•Infections telles que la colite Clostridium difficile mentionnée précédemment. Par exemple, cette étude a révélé un risque accru de 37% de pneumonie acquise par la communauté chez les utilisateurs d’IPP.
• Hypomagnésémie (faible taux de magnésium).
•Démence (par exemple, cette étude récente a révélé une augmentation de 33%).
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Gérer l'acidité de l'estomac
La plupart des approches existantes pour le traitement du RGO (à l'exclusion de celles qui utilisent des médicaments anti-acide) et les conditions relatives à l'acidité de l'estomac déficiente cherchent normalement à faire un ou plusieurs des éléments suivants:
•Réduire la pression sur l’estomac.
•Supprimer les aliments irritants de l'alimentation.
•Restaurer le ton des ERP.
•Restaurer la production d’acide chlorhydrique.
•Cuire les zones endommagées du tractus gastro-intestinal (par exemple, un ulcère) sans utiliser de médicaments anti-acide.
•Soutenir la fonction digestive normale en tandem avec l'augmentation de l'acidité de l'estomac.
Certaines de ces approches sont relativement simples et ont été mentionnées tout au long de l'article. D’autres sont généralement effectués dans la médecine (par exemple, une fondoplication enveloppe la partie supérieure de l’estomac autour de l’œsophage, ce qui resserre les ERP et réduit la quantité d’acide qui peut sortir dans l’œsophage – mais a malheureusement une variété d’effets secondaires).
RépondreSupprimerBeaucoup d’approches efficaces que mes collègues et moi avons utilisées pour traiter le RGO et les complications de la faible teneur en acide gastrique (ainsi que des problèmes concomitants tels que les saignements gastro-intestinaux chroniques) sont beaucoup plus sûrs que les options standard telles qu’une solution de fond. Malheureusement, il y a encore des précautions lors de l'utilisation de chacun d'eux. Je vous demande donc de tout considérer dans la dernière partie de l’article (et idéalement de trouver un médecin avec lequel travailler) avant de tenter l’un d’entre eux.
https://www.midwesterndoctor.com/p/stomach-acid-is-vital-for-health?utm_source=post-email-title&publication_id=748806&post_id=178332974&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Dix ans de combat : Les mémoires d’une scientifique accusent Pfizer d’avoir étouffé une affaire d’infection au laboratoire
RépondreSupprimer11/08/2025
Willow Tohi
Une ancienne scientifique de Pfizer a publié ses mémoires, dans lesquelles elle relate avoir été infectée par un virus génétiquement modifié sur son lieu de travail.
Becky McClain affirme que l’entreprise a ensuite dissimulé les informations relatives à son exposition et l’a licenciée pour avoir soulevé des problèmes de sécurité.
Après dix ans de bataille juridique, un jury a reconnu Pfizer coupable d’avoir enfreint la loi sur la protection des lanceurs d’alerte, bien que sa demande d’indemnisation pour maladie ait été rejetée.
Le témoignage de McClain met en lumière des problèmes systémiques liés à la sécurité dans les laboratoires de biotechnologie, à la responsabilité des entreprises et à la protection des lanceurs d’alerte.
Elle milite pour l’interdiction des clauses de confidentialité concernant les accidents du travail en laboratoire et pour la réforme des organismes de contrôle de la sécurité.
En 2003, la biologiste moléculaire Becky McClain travaillait dans un laboratoire Pfizer lorsqu’elle pense avoir été exposée à un virus génétiquement modifié dangereux. Ce qui suivit ne fut pas seulement une maladie débilitante et mystérieuse, mais une lutte de dix ans contre l'une des plus grandes entreprises pharmaceutiques au monde. Ses mémoires, « Révélations : Une scientifique de Pfizer lutte contre la corruption, les mensonges et la trahison, et devient lanceuse d'alerte en matière de risques biologiques », relatent son combat pour obtenir ses dossiers médicaux, des soins appropriés et justice, soulevant des questions fondamentales sur la transparence des entreprises et la sécurité des travailleurs dans le secteur des biotechnologies, un secteur à haut risque. Son histoire, qui a émergé du laboratoire de biosécurité de niveau 2 de Pfizer dans le Connecticut, constitue une étude de cas édifiante sur les conséquences potentielles de la priorité accordée aux secrets commerciaux au détriment de la santé des employés.
Une culture de la peur et une maladie mystérieuse
RépondreSupprimerSelon le récit de McClain, les problèmes de sécurité sont apparus peu après son arrivée chez Pfizer. Elle a documenté des problèmes allant de protocoles de confinement biologique inadéquats à des espaces de bureaux dangereux situés trop près des zones de manipulation d'agents infectieux. Elle décrit une culture d'entreprise où, selon ses dires, les responsables instillaient la peur chez les scientifiques qui osaient soulever ces problèmes, une règle tacite stipulant que documenter ou dénoncer des problèmes de biosécurité pouvait leur coûter leur carrière. Le point de rupture est survenu lorsque McClain a découvert un désordre sur sa paillasse, laissé par un scientifique non formé et un superviseur. Peu après, elle a commencé à ressentir des symptômes neurologiques, notamment des engourdissements et des douleurs faciales, qu'un neurologue a eu du mal à diagnostiquer. Après avoir appris qu'un lentivirus génétiquement modifié – une famille de virus qui comprend le VIH – avait été utilisé à sa paillasse, elle a soupçonné la cause de sa maladie.
La lutte pour l'information et le calvaire d'une lanceuse d'alerte
La quête de réponses de McClain s'est heurtée à un obstacle de taille : Pfizer a refusé de fournir des détails sur le virus auquel elle avait été exposée, invoquant la protection des « secrets commerciaux ». Sans cette information cruciale, les médecins n'ont pas pu lui prodiguer des soins adaptés à son état qui s'aggravait et qui a fini par inclure des paralysies périodiques. Après un arrêt maladie, Pfizer l'a licenciée. McClain s'est alors tournée vers l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA), en lui fournissant des documents relatifs aux manquements présumés en matière de sécurité. Elle affirme que l'OSHA, qu'elle qualifie d'« agence sous influence », a refusé de l'aider à obtenir ses dossiers d'exposition et n'a procédé à aucune inspection de sécurité. N'ayant d'autre recours, elle a intenté une action civile en protection des lanceurs d'alerte, s'engageant ainsi dans un long et pénible parcours judiciaire. Durant cette période, elle allègue que Pfizer a exercé des représailles indirectes en menaçant son mari, employé de la FDA, de le licencier s'il ne la forçait pas à transiger et à signer une clause de confidentialité.
Une victoire judiciaire aux conséquences mitigées
RépondreSupprimerEn 2010, un jury fédéral a conclu que Pfizer avait enfreint les lois protégeant les lanceurs d'alerte et la liberté d'expression en exerçant des représailles contre McClain pour avoir soulevé des problèmes de sécurité. Le jury lui a accordé 1,37 million de dollars de dommages et intérêts, principalement pour perte de salaire. Toutefois, cette victoire judiciaire fut partielle. Un juge avait précédemment rejeté sa demande d'indemnisation pour maladie liée au virus, estimant qu'il s'agissait d'une affaire relevant de l'indemnisation des accidents du travail, un système souvent mal préparé aux nouvelles maladies causées par des agents pathogènes génétiquement modifiés. Bien que McClain n'ait jamais eu accès à l'intégralité de son dossier d'exposition et n'ait reçu aucune indemnisation pour ses souffrances ni pour ses frais médicaux, son refus de signer une clause de confidentialité lui a permis de devenir l'une des rares personnes à pouvoir témoigner publiquement. Son cas a attiré l'attention de défenseurs des consommateurs comme Ralph Nader, qui ont mis en lumière les dangers d'un système où des informations cruciales en matière de sécurité peuvent être dissimulées au public.
Un héritage durable et un appel à la réforme
L'histoire de McClain est plus qu'un simple récit historique ; c'est une campagne de plaidoyer continue en faveur d'une réforme systémique. Elle affirme que son expérience n'est pas un cas isolé, mais le symptôme de défaillances plus générales dans la supervision des biotechnologies, qui englobent les laboratoires universitaires, gouvernementaux et privés, avec des niveaux de réglementation variables. Parmi ses principales propositions de réforme, citons l'interdiction des clauses de confidentialité relatives aux accidents de laboratoire et aux problèmes de santé publique, la refonte en profondeur de l'OSHA (Occupational Safety and Health Administration) afin de mieux comprendre et réglementer les risques liés aux biotechnologies, et le renforcement de la liberté d'expression et de la protection des lanceurs d'alerte pour les scientifiques et les médecins. À une époque marquée par les progrès rapides de la biomédecine et la récente pandémie mondiale, les mémoires de McClain constituent un rappel salutaire que la recherche de l'innovation scientifique doit s'accompagner d'un engagement indéfectible en faveur de la transparence, de la sécurité et de la responsabilité des entreprises.
Sources for this article include:
ChildrensHealthDefense.org
NYTimes.com
Finance.Yahoo.com
https://www.naturalnews.com/2025-11-08-scientists-memoir-alleges-pfizer-cover-up-lab-infection.html
La double révolution de l'IA : suppressions d'emplois, décentralisation et bouleversements des rapports de force mondiaux
RépondreSupprimer11/07/2025
Finn Heartley
La double révolution de l'IA : l'automatisation accélérée menace plus de 300 millions d'emplois dans le monde d'ici 2030, tandis que les plateformes décentralisées démocratisent l'innovation, remettent en question la domination des entreprises et redessinent les économies et les structures de pouvoir.
La crise économique de l'automatisation : l'IA remplace des rôles allant des services aux tâches cognitives complexes ; les experts mettent en garde contre un effondrement du secteur bancaire en 2027 en raison de l'endettement et du manque de main-d'œuvre qualifiée, car 78 % des emplois du service client sont menacés par l'automatisation.
L'IA décentralisée comme vecteur de libération : des outils open source comme Enoch permettent un accès libre et localisé aux connaissances, favorisant l'innovation participative et contournant le contrôle des entreprises et des États dans l'éducation et l'industrie. Course géostratégique à l'IA : la Chine domine 57 des 64 secteurs clés grâce à sa technologie, s'appuyant sur l'éducation et l'énergie pour asseoir sa domination, tandis que les entreprises américaines privilégient les monopoles à la collaboration open source, dans un contexte d'accélération du rééquilibrage des pouvoirs à l'échelle mondiale.
Transformation de l'éducation : l'apprentissage personnalisé piloté par l'IA démocratise l'accès à l'éducation, mais son succès repose sur des politiques de requalification et une vision de l'IA comme un outil d'émancipation plutôt que comme une menace pour l'autonomie humaine.
L'essor de l'intelligence artificielle se révèle à la fois une force de rupture et une opportunité de transformation, suscitant de vifs débats sur son impact sociétal. Alors que des entreprises comme OpenAI et Microsoft rivalisent pour développer des machines toujours plus intelligentes, le risque de suppressions massives d'emplois est considérable. Goldman Sachs estime que jusqu'à 300 millions d'emplois dans le monde pourraient disparaître d'ici 2030, l'automatisation étant sur le point de remplacer des tâches allant du travail manuel aux fonctions cognitives de haut niveau. Pourtant, au milieu de ce bouleversement, un mouvement de résistance émerge : les plateformes d’IA décentralisées démocratisent l’éducation et l’innovation, remettent en cause le contrôle des entreprises et redéfinissent les règles d’accès à la technologie. Cette double révolution menace de remodeler les économies, les systèmes éducatifs et les rapports de force géopolitiques d’une manière que le public commence à peine à appréhender.
Le dilemme de l’automatisation
RépondreSupprimerLa capacité de l’IA à surpasser les humains en termes de rapidité, de précision et de rentabilité n’est plus une simple hypothèse. Les machines remplacent les agents du service client, les camions se conduisent seuls et les robots préparent les repas en cuisine. Mike Adams, lanceur d’alerte reconnu du secteur technologique et développeur d’IA, prévient que les répercussions économiques sont aggravées par une incapacité systémique à requalifier les travailleurs. « D’ici 2027, nous assisterons à un effondrement bancaire sans précédent », affirme Adams, soulignant l’explosion de la dette et le manque de préparation de la main-d’œuvre face à l’économie pilotée par l’IA. Ces propos font écho aux inquiétudes des secteurs déjà sous pression : Goldman Sachs prévoit que 78 % des emplois du service client pourraient être automatisés d’ici deux ans seulement. Le danger, selon Adams, ne réside pas seulement dans la perte d'emplois, mais aussi dans la perte de pouvoir d'agir, car les industries qui s'appuyaient autrefois sur l'ingéniosité humaine cèdent de plus en plus le contrôle aux algorithmes.
L'impératif de la décentralisation
Dans ce contexte morose, les outils d'IA décentralisée offrent une lueur d'espoir. Des modèles open source comme Enoch, développé par Adams et son équipe, permettent aux individus de s'affranchir des intermédiaires traditionnels. Fonctionnant localement sur les appareils, ces modèles offrent un accès libre au savoir, des conseils de santé à l'aide à la programmation, favorisant ainsi une renaissance de l'innovation à la base. « Chacun devrait être maître de son intelligence », insiste Adams, soulignant que l'IA décentralisée pourrait démocratiser l'éducation, permettre l'apprentissage hors ligne et protéger contre la surveillance étatique ou des entreprises. En Chine, où le gouvernement fait de l'IA une priorité nationale, les projets open source prospèrent, même si des entreprises américaines comme Oracle et Microsoft dominent les marchés mondiaux. Cette concurrence met en lumière un clivage plus profond : qui contrôle l'avenir de l'IA ? Les entreprises en quête de monopoles ou les communautés open source qui privilégient la liberté ?
Évolution des pouvoirs mondiaux et course aux armements en matière d'IA
Les enjeux géopolitiques sont sans précédent. Mike Adams et d'autres affirment que la position dominante de la Chine dans 57 des 64 secteurs technologiques clés, conjuguée à son développement agressif en IA, annonce un bouleversement imminent des pouvoirs mondiaux. Avec 500 % de diplômés en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (STEM) de plus que les États-Unis et une production d'énergie en térawattheures supérieure à la production combinée des États-Unis et de l'Europe, la Chine se positionne comme une puissance hégémonique technologique. Parallèlement, les universités et les décideurs politiques américains s'efforcent de maintenir leur compétitivité sans étouffer l'innovation. Or, tandis qu'Elon Musk (Tesla) et Sam Altman (OpenAI) s'affrontent sur l'avenir de l'IA, le véritable champ de bataille pourrait bien se situer entre contrôle centralisé et collaboration open source.
L'éducation comme facteur d'égalité
RépondreSupprimerL'éducation est un enjeu crucial. Des modèles décentralisés comme Enoch permettent déjà un apprentissage personnalisé, grâce à des tuteurs IA capables de générer des conseils de santé détaillés ou des recherches scientifiques à partir de données participatives. Adams envisage un avenir où étudiants et professionnels pourront apprendre sans les barrières institutionnelles, en utilisant l'IA pour adapter l'éducation aux besoins individuels. Cela pourrait égaliser les chances – à condition que les sociétés privilégient la reconversion professionnelle plutôt que la peur. « L'IA n'est pas l'ennemi », affirme Adams. « C'est un outil. Ce qui compte, c'est la manière dont nous l'utilisons. »
La voie à suivre
Concilier les risques et les opportunités de l'IA exige une approche globale. Les gouvernements doivent élaborer des politiques qui protègent les travailleurs tout en encourageant l'innovation. Pour les individus, le message est clair : s'adapter ou être laissé pour compte. Comme le démontrent Adams et Sunny (la startup d'IA musicale), les premiers échecs de l'IA peuvent être surmontés grâce à l'itération. Il en va de même pour l'adaptation de l'humanité. En fin de compte, l'avenir de l'IA pourrait bien dépendre de la manière dont nous la percevons : comme une force de destruction ou comme un catalyseur de libération.
Regardez l'épisode complet du « Health Ranger Report » avec Mike Adams, le Health Ranger, et Aaron Day, qui discutent de la révolution de l'IA non censurable.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
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Sources include:
Brighteon.com
TheAaronDayShow.com
https://www.naturalnews.com/2025-11-07-job-displacement-decentralization-and-global-power-shifts.html
Il n'existe pas UNE ia mais des ! Chaque pays a son propre programme.
SupprimerAvertissements de l'ONU : La possible liquidation de la liberté humaine et de la démocratie instrumentalisée par les neurotechnologies
RépondreSupprimerLettre ouverte à la presse mondiale
Par Mojmir Babacek
Recherche mondiale,
6 novembre 2025
[Première publication le 10 mai 2025]
L'eau constitue une part importante du corps humain, soit entre 55 % et 70 %. Une grande partie de cette eau contient des particules appelées ions, qui sont des atomes ou des molécules ayant gagné ou perdu un électron, ce qui leur confère une charge positive ou négative. Les liquides corporels riches en ions peuvent être comparés à des électrolytes : des substances conductrices d'électricité, capables de fonctionner comme des antennes. L'activité du système nerveux humain est principalement caractérisée par les courants électriques générés par la circulation de ces particules chargées dans les fibres nerveuses. L'information cérébrale est communiquée par le nombre et la fréquence des influx nerveux, l'intensité des sensations ou des perceptions étant généralement corrélée à l'intensité du courant électrique. Ainsi, le système nerveux humain fonctionne de manière analogue à un système numérique et peut être comparé à un ordinateur auquel il peut être connecté.
En réponse à des stimuli qui captent l'attention du cerveau, les fréquences des influx nerveux dans différentes zones cérébrales se synchronisent. En délivrant au cerveau un nombre approprié d'impulsions électriques, magnétiques ou électromagnétiques d'une certaine fréquence, il est possible d'induire artificiellement l'activité de neurones correspondant à une activité cérébrale naturelle spécifique.
Dès les années 1950, le scientifique espagnol José Delgado mena aux États-Unis des expériences de stimulation électrique du cerveau. Lorsqu'il stimula le centre moteur du cerveau d'un chat, l'animal leva la patte, même en plein saut, ce qui entraîna une réception mal maîtrisée. Lorsqu'on demanda à un volontaire de redresser une main qui était stimulée électriquement pour la plier, il déclara : « Je crois que votre électricité est plus forte que ma volonté. » Les travaux de Delgado démontrèrent que la stimulation électrique pouvait affecter significativement des fonctions telles que la respiration, le rythme cardiaque et même les sécrétions viscérales. Lorsque le centre du plaisir fut stimulé, des femmes proposèrent le mariage à des thérapeutes .
En 1962, le scientifique américain Allen H. Frey est parvenu à produire des sons dans le cerveau de sujets humains grâce à des micro-ondes pulsées – une découverte qui a été reproduite à de nombreuses reprises et reconnue par l'Organisation mondiale de la santé. En 2012, Allen H. Frey a écrit que les recherches sur les effets des rayonnements micro-ondes sur l'organisme humain avaient été falsifiées aux États-Unis les années précédentes afin de dissimuler le développement d'armes biologiques à micro-ondes (il n'est pas surprenant que cet article ait disparu du site web de The Scientist). Autrement dit, les recherches ultérieures dans ce domaine ont été classifiées.
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
Source
En 2011, un autre scientifique d'origine espagnole, Rafael Yuste, a proposé le développement de technologies visant à « enregistrer chaque potentiel d'action de chaque neurone ». Il a co-écrit un livre blanc décrivant ce projet ambitieux, inspiré du Projet Génome Humain. En 2013, le président Barack Obama a accepté cette proposition et annoncé l' Initiative BRAIN américaine , qui continue de financer la recherche en neurosciences à hauteur de plusieurs milliards de dollars dans plus de 500 laboratoires et devrait se poursuivre jusqu'à la fin de l'année. Cette initiative a suscité des annonces similaires de la part de l'Union européenne, et il est fort probable que des efforts comparables aient été entrepris, bien que discrètement, en Russie et en Chine. Ces recherches ont abouti à la création de cartes très précises de l'activité cérébrale, permettant la reproduction artificielle de toute action neuronale naturelle au sein du cerveau grâce aux neurotechnologies. Le fait que des scientifiques du monde entier n'aient pas participé à ces recherches conjointement laisse penser que leurs résultats seraient utilisés, entre autres, pour le développement d'armes.
À l'instar de Robert Oppenheimer et d'Andreï Sakharov, scientifiques confrontés aux implications morales de leurs inventions nucléaires, Rafael Yuste a exprimé de profondes inquiétudes quant au risque de détournement catastrophique de ces découvertes. C'est pourquoi il a cofondé la Neurorights Foundation , qui s'efforce notamment d'inciter l'Organisation des Nations Unies à défendre les droits humains face aux violations potentielles des droits humains découlant de la connaissance approfondie du fonctionnement du cerveau humain permise par les neurotechnologies.
Selon le rapport d’ Ana Brian Nougrère , Rapporteuse spéciale sur le droit à la vie privée, intitulé « Fondements et principes de la réglementation des neurotechnologies et du traitement des neurodonnées dans la perspective du droit à la vie privée » , Rafael Yuste a recensé parmi les défis posés par le développement des neurotechnologies :
« potentiel d’altérer certaines caractéristiques humaines fondamentales, telles que l’autonomie, la responsabilité morale, le libre arbitre, la dignité, l’identité, la vie mentale privée… l’intégrité et la sécurité corporelles », potentiel de « causer des dommages physiques ou une manipulation mentale chez les êtres humains ».
RépondreSupprimerIl a également averti que le « brainjacking » pouvait impliquer le vol d'informations (violation du droit à la vie privée mentale). De plus, des virus pourraient être introduits ou des dispositifs neuronaux connectés à Internet pourraient permettre à des individus ou à des organisations (pirates informatiques, entreprises ou agences gouvernementales) de suivre, voire de manipuler, l'expérience mentale d'un individu.
Dans le rapport du Comité consultatif du Conseil des droits de l’homme de l’ONU publié en 2024, intitulé « Impact, opportunités et défis des neurotechnologies en matière de promotion et de protection de tous les droits de l’homme », on peut lire :
Les neurotechnologies remettent en cause les fondements du système des droits humains et peuvent être utilisées de manière à éroder la démocratie et l'État de droit. Elles peuvent servir à interférer avec les individus et à les manipuler. Grâce aux dispositifs de neuromodulation, les processus physiques et mentaux de la sphère intérieure d'une personne peuvent être altérés, s'apparentant à un lavage de cerveau. Elles peuvent également porter atteinte au droit de faire des choix de vie autonomes, sans ingérence ni intimidation extérieure (vie privée décisionnelle), et affecter la confidentialité des informations par l'utilisation non autorisée des données personnelles collectées. De plus, certains types de neurotechnologies peuvent affecter la santé mentale et provoquer des altérations de la personnalité, de l'équilibre psychologique ou du sentiment d'identité. Comme l'ont déjà démontré les stratégies de neuromarketing, elles peuvent être utilisées avec succès pour conditionner la formation des opinions et influencer les processus décisionnels. Cela permet, à un degré sans précédent, une manipulation comportementale des individus par des acteurs privés, tels que des ingénieurs marketing ou des militants politiques. Avec la commercialisation à grande échelle de ces technologies à des fins personnelles, y compris pendant le sommeil, le risque de telles interférences, même sans consentement, s'accroît. « Le consentement ou la connaissance de l'individu est élevé ».
Le rapport du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies ne reconnaît nulle part, à une exception près, que ces effets peuvent être produits à distance. À la page 4 (point 11), il est indiqué :
Les stimulateurs cérébraux invasifs sont utilisés depuis des décennies et implantés dans le monde entier pour traiter les affections neurologiques. Cependant, les applications de la technologie des puces s'étendent également au-delà du domaine médical. Une entreprise a récemment développé une interface sécurisée permettant de communiquer par la pensée et mène des essais à grande échelle de cette technologie, qui peut être implantée dans le cerveau par voie sanguine. D'autres entreprises commercialisent déjà des implants invisibles qui permettraient aux utilisateurs de contrôler des ordinateurs ou des appareils mobiles à distance.
RépondreSupprimerL'entreprise qui travaille sur l'administration de « puces » ou d'implants par voie sanguine utilise très probablement des nanoparticules de graphène pour acheminer des antennes supplémentaires jusqu'au cerveau, améliorant ainsi l'efficacité des micro-ondes pulsées utilisées pour communiquer avec lui. Le graphène est le nanomatériau le moins nocif, ce qui le rend adapté à la communication non invasive avec le cerveau ; il est d'ailleurs déjà largement utilisé dans le traitement des troubles neurologiques. Il peut également être administré au cerveau par voie orale (inhalé ou ingéré).
L'ONU est uniquement habilitée à formuler des recommandations aux gouvernements. Dans les documents susmentionnés, elle recommande aux gouvernements d'adopter des lois visant à protéger leurs citoyens contre les abus liés aux neurotechnologies ; toutefois, elle ne recommande pas d'interdire l'utilisation de micro-ondes pulsées ou d'autres formes d'énergie pour manipuler l'esprit des individus ou, à distance, à l'échelle mondiale. En effet, ces technologies sont classées comme informations relevant de la sécurité nationale.
Le 6 juin 1992, le journal russe Komsomolskaya Pravda publiait un article intitulé « Купите устройство для слежки за соседями » (Achetez du matériel pour espionner vos voisins ). L'article indiquait que le sujet du contrôle à distance des fonctions cérébrales humaines figurait sur la « Liste des informations interdites de publication » en Fédération de Russie depuis 1990.
En novembre 2000, la Commission de la sécurité de la Douma d'État russe a publié une conclusion intitulée « Sur l'ajout d'un addendum à l'article 6 de la loi fédérale sur les armes », arguant que « les effets des rayonnements micro-ondes provoquent une perception erronée de la réalité » et que, pour influencer les masses, « les lignes téléphoniques, les canalisations de chauffage et d'égouts, les téléviseurs et les systèmes de signalisation incendie peuvent servir d'antennes émettrices » pour ces rayonnements. Ce raisonnement de la Commission de la sécurité russe n'a pas été publié dans les médias russes. En novembre 2016, l'hebdomadaire polonais NIE a rapporté que lorsque ses journalistes ont interrogé le ministère polonais de la Défense sur les raisons pour lesquelles le ministre n'avait pas tenu sa promesse de créer une commission d'enquête sur les plaintes de citoyens polonais affirmant être victimes d'attaques à l'arme électromagnétique, on leur a répondu que la question relevait du secret d'État relatif à la défense nationale ( cet article n'est plus disponible sur le site web original de NIE, à l'instar de l'article d'Allen H. Frey paru dans la revue The Scientist, qui évoque la classification des armes biologiques utilisant des micro-ondes).
Dans le dernier paragraphe du premier document de l'ONU cité, l'organisation recommande aux gouvernements d'informer publiquement leurs citoyens sur les « avantages et les risques associés aux neurotechnologies », ce qui « permettra aux individus de mieux comprendre leur impact, de prendre des décisions éclairées concernant leurs données neuronales et d'exiger le respect de leurs droits dans cette nouvelle ère technologique ». Malheureusement, ces publications de l'ONU ne sont pas mentionnées dans les médias internationaux, ce qui indique que les gouvernements dissimulent des informations sur des technologies répressives qui contrastent fortement avec leurs politiques affichées en matière de droits humains. En 2008, le président hondurien déchu, Manuel Zelaya, assiégé à l'ambassade du Brésil au Honduras, a affirmé avoir été soumis à un « bombardement d'électrons par micro-ondes » . Interrogé par Amy Goodman de l'émission Democracy Now!, suivie dans le monde entier, sur le point de savoir s'il savait que l'armée hondurienne possédait une telle technologie dans son arsenal, il a répondu : « Oui, bien sûr . » Dans une situation exceptionnelle, il a donc accepté de confirmer publiquement l'existence de ces armes.
RépondreSupprimerLes efforts des services de renseignement américains pour nier l' implication de puissances étrangèresdans les attaques liées au syndrome de La Havane ne font qu'alimenter les soupçons selon lesquels les États-Unis souhaiteraient utiliser ces neurotechnologies pour contrôler la population mondiale, comme l'avait proposé en 1994 l'Institut d'études stratégiques du Collège de guerre américain. Ces soupçons sont renforcés par le fait que le nouveau président américain, Donald Trump , après son entrée en fonction, a suspendu le financement américain à l'ONU (d'un montant total de 2,7 milliards de dollars), contraignant l'ONU à licencier 20 % de son personnel . Cherchait-il à empêcher l'ONU de publier davantage d'informations susceptibles de faire pression sur les gouvernements pour qu'ils déclassifient ces armes ? Auparavant, Joe Biden avait déjà empêché l'Union européenne de divulguer et d'interdire l'utilisation de ces neurotechnologies dans sa législation sur l'IA en suspendant toute nouvelle commande de gaz naturel liquéfié américain, freinant ainsi la croissance de l'économie européenne au-delà de la fin de la décennie. Donald Trump n'a pas encore autorisé de nouvelles commandes de GNL américain. Ainsi, aujourd'hui, l'absence de liberté de la presse contribue à faire évoluer les modes de gouvernance à l'échelle mondiale vers une nouvelle forme de totalitarisme.
Il devient de plus en plus évident que les gouvernements rechignent à assumer la responsabilité de la liberté de leurs citoyens et du respect de leurs droits fondamentaux. Dès lors, la question se pose de savoir si les Nations Unies ne devraient pas se voir confier davantage de pouvoirs que la simple formulation de recommandations et devenir une institution démocratique chargée de veiller au respect de l'interdiction de l'utilisation abusive des neurotechnologies pour bafouer les droits humains dans le monde entier. Vous pouvez contribuer à briser le silence des gouvernements concernant l'existence de technologies qui détruisent la liberté de pensée et la démocratie et permettent le vol d'idées en partageant cet article sur les réseaux sociaux et en signant une pétition exhortant l'Union européenne à déclassifier les technologies permettant le contrôle à distance du système nerveux humain.
https://www.globalresearch.ca/world-governments-suppress-un-warnings-possible-liquidation-human-freedom-democracy-neurotechnologies/5886254
L'ONU et son personnel sont un fléau sur le peuple de la Terre
RépondreSupprimerDéclaration de l'ONU sur les droits des peuples autochtones atterrit et commence immédiatement à détruire - Il est temps de tout fermer
Nov 08, 2025
La meilleure boulangerie où je vis a une caisse sur le comptoir avec un grand TERRAIN immanifugé rouge collé sur son couvercle. Les propriétaires sont des enfants d'amis, tous sont des socialistes appropriés, mais les parents ne peuvent pas argumenter le cas avec les enfants parce que ce dernier se lève silencieusement et quitte la pièce. Aucune discussion permise, votre pensée est corrompue et pas digne de préavis est le message. Dans les écoles ici, la noblesse et la victimisation de l'Indien sont enseignées dans chaque année, dans chaque classe et discipline. Une histoire entièrement fabriquée est proposée. L’art et la culture autochtones sont adorés et promus et tout Indien qui s’aventure dans la culture « blanche » est immédiatement traité comme un Messie junior et accueilli à bras ouverts. Ils sont considérés comme une race moralement supérieure, avec des relations supérieures à la terre, et sont donc élevés au-dessus de nous.
Maintenant formellement. Grâce à ma province - la Colombie-Britannique - étant la première au monde à reconnaître officiellement les Déclarations des Nations Unies sur les peuples autochtones, nous avons, à partir de cette semaine, élevé les droits des Autochtones au-dessus de tout le monde et de tout le reste.
Peu importe le fait que, à notre arrivée, les Indiens n'avaient pas la roue, manger régulièrement n'était pas garanti, ils gardaient des esclaves, ils étaient en guerre constante les uns contre les autres. Chaque tribu et chaque groupe d'Amérique du Nord, du Sud et d'Amérique centrale pratiquaient le sacrifice humain. L'une des raisons pour lesquelles les peuples autochtones acceptaient facilement le christianisme était qu'ils ne vivaient pas sous la peur perpétuelle de perdre un bébé à un rituel chamanique pour la guerre ou la chasse. Dans le nord de l'Ontario, les Ojibwa avaient un rite - Wendigo - qui était la goule créée à partir de manger de la chair humaine qui patrouillait dans les forêts, pleurant et désirant la viande humaine. Certains des rituels que j'ai lus décrits.....quittant.
La preuve de tout cela est accablante et bien recueillie dans ce livre incontournable, méticuleusement sourcé et franchement irréfutable. Toutes ces ordures sur le fait de vivre sur des terres volées ? Un marxiste sale ment de début en fin.
Un mensonge immonde, qui comme tous les mensonges marxistes, est profondément destructeur du bien public. Et qui apporte conflit, désarroi et faillite. C’est le cas de tous les programmes de l’ONU. Travaillé pendant des décennies, le personnel insinue une nouvelle forme de loi dans les pays souverains, et leurs découpes, socialistes instruits par nous, travaillent à les codifier puis à les faire respecter. Ça prend des décennies. Ils ne s’en soucient pas, leurs salaires et leurs avantages sociaux sont luxuriants et payés par nous.
Jeudi, Ursula Von Der Leyen, responsable de l'E. U., au Brésil pour la COP 30, a exigé $1,3 billion pour lutter contre le « changement climatique », ce qui ne se produit pas. Même l'IPCC a repoussé ses projections, mais le programme, une fois entraîné, est impitoyable et comme l'a rapporté le Telegraph cette semaine, provoque la famine. Ils s’en fichent. Ils n'admettent jamais le tort. La tentation du pouvoir de réorganiser des vies, la cascade d’argent fiscal est tout simplement trop grande
Si jamais la réglementation sur le changement climatique atterrit, préparez-vous à vivre comme vos arrières arrière-grands-parents. Cela tuera la croissance, le progrès et toutes les bonnes choses. L'ONU est une grande Principauté du Mal, une machine de guerre titanesque.
RépondreSupprimerUNDRIP - la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones - a fait sa première apparition officielle cette semaine.
Après 500 jours de torture devant les tribunaux, la plus longue affaire judiciaire de l'histoire du Canada, coûtant des dizaines de millions avec les deux côtés de l'argument financé par le contribuable, la tribu Cowichan a reçu un morceau de terre, d'une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars, rempli de maisons, d'entreprises, de production industrielle, au milieu d'un centre urbain en plein essor. Le lendemain, une banque a retiré un prêt de cent millions de dollars pour une entreprise, et un propriétaire - un agriculteur de myrtilles - qui possède sa terre depuis les années 1970 si son renouvellement hypothécaire a été refusé.
C'est ce qu'ils veulent
Hier, un groupe indien a revendiqué toute la ville de Kamloops et a logé un costume. Attendez-vous à ce que le reste de la province soit traité de cette façon. Nous n'avons aucune idée du nombre de ces costumes qui sont encore beaucoup plus dans l'attente. Encore une fois, le contribuable paie pour tout cela. chaque centime. Les deux côtés de l'affaire. Et le public n'avait aucune représentation dans cette affaire. Le gouvernement ne s’est pas battu.
Vous êtes propriétaire d'un terrain ici, buster ? Oh non, tu ne le fais pas. Les centaines de milliers que vous avez payés en hypothèque, les dizaines de milliers que vous avez gagnés sur une décennie ou plus d'épargne et de travail brutal ? VIDE !!!!
Toutes les améliorations ? PAS LA VÔTRE !!!!
L’intelligentsia canadienne, comme c’est sa pratique, s’engage dans des nœuds expliquant que cela ne signifie pas ce qu’elle signifie réellement.
Mais:
Le juge dans l'affaire stipule essentiellement que puisque 110% de la Colombie-Britannique a été réclamée par une tribu ou une autre, tous les droits de propriété en Colombie-Britannique pourraient être annulés.
Le pouvoir judiciaire qui a créé ce gâchis - qui a été, en partie, formé par le personnel de l'ONU - devrait être radié à tous les niveaux, en tant qu'agents d'une puissance étrangère. Les pires gens se sont insinués dans cette profession et ils sont remplis de haine. La décision pourrait détruire la santé économique de la province, de ses habitants, et surtout de ses Indiens.
La Colombie-Britannique est deux fois plus grande que celle du Texas et, compte tenu de son immense richesse en ressources, a le potentiel d’être cinq fois plus prospère. Nous avons dix zones biogéoclimatiques – c’est la preuve de la richesse en ressources de toutes sortes de moyens. L'économie du Texas est plus grande que l'économie du Canada. L’économie de la Colombie-Britannique pourrait être deux fois plus importante que l’économie du Canada d’ici une génération. Il fait maintenant 15% de la taille du Texas et du Canada. Cette chose monstrueuse, cette abomination, avec tout le reste du poison de l’ONU, arrête tout développement.
RépondreSupprimerRegardons les gens sur qui cette prime a été douée et imaginons exactement ce qu’ils pourraient en faire.
La tribu Cowichan, gagnante de cette bataille - revendiquez cette terre parce qu'il y a 150 ans, ils utilisaient ces acres comme un camp d'été et un terrain de pêche. À l'époque, le Cowichan comptait environ 29.000 âmes, dont plus de 9.000 étaient des esclaves. La réserve actuelle de Cowichan est située à environ cinquante milles à l'ouest, à vol d'oiseau, et un voyage de quatre heures en voiture et en ferry à Richmond où se trouvait autrefois le camp d'été. Ils y passaient probablement un mois par an, maximum, quand le saumon courait. Leur réserve réelle est située juste en face des voies ferrées d'un centre commercial animé, Duncan, rempli de grands magasins, plusieurs centaines d'entreprises locales grandes et petites, et une collection de maisons, le tout en bon ordre.
Conduisez sur la réserve de Cowichan comme je l'ai fait avec un membre du groupe / ami. Deux fois.
CAUCHEMAR. Les maisons de la réserve, construites avec des subventions gouvernementales, s'effondrent littéralement. Ils ont été construits sans épreuve d’humidité parce que les «droits» natifs signifient qu’ils n’ont pas à suivre les registres de construction. Ils n'avaient pas d'argent pour réparer les maisons. La saleté, les ordures, les maisons remplies de clobber de ces grands magasins, le manque flagrant de démocratie, la persécution des autres familles par la famille au pouvoir... la bouffe de jeunes femmes parce qu’elles ne peuvent pas obtenir un emploi, parce que le temps indien, les schémas indiens de la vie et les droits indiens signifient que vous n’avez pas à vous conformer aux manières de l’homme blanc.
La discipline, d’ailleurs, comme l’un des secrets de la vie humaine, n’est pas un trait « blanc »; c’est l’outil humain principal. Mais non. Si vous n’êtes pas conforme à ce que les socialistes ont enseigné, c’est la culture indienne, vous êtes excisé, expulsé, votre allocation annulée. Cue grossesse, toxicomanie, alcoolisme, parce que c’est tout ce qui reste. La dépression rayonne de ces réserves parce qu’aucun Indien n’a d’espoir pour l’avenir. En dehors de nourrir l'homme blanc. L’autodétermination ? Ils n'en ont pas. Agence ? Aucun.
Les seules maisons qui sont étalées sont les maisons appartenant au chef et les parents du chef. Devant ces maisons, brillant 100,000 $ de camions. Tout l'argent est détenu et dépensé par eux. Il y a souvent plus d'une centaine de personnes dans une famille Cowichan. Et si le chef est un parent, financièrement, vous avez de la chance. Pour les autres familles, l'argent est parcellé à ceux qui bossent et plaident. C'est un cercle vicieux et le conflit au sein de la bande est sans fin.
Le Canada dépense 75 G$ par année pour ses Indiens. Dans une réserve du nord où l'un de mes jeunes cousins enseignait pendant des années, les adolescents se tuent régulièrement; cinq par an pendant un certain temps, parce que leur vie est remplie de désespoir. Malgré cet argent, il n’y a pas de route hors de cette réserve, parce qu’ils vivent comme ils ont été enseignés par les éducateurs socialistes, un mode de vie plus vertueux, sans le monde moderne.
RépondreSupprimerJuste au sud de cette bande se trouve l'Anneau du Feu, une ressource si riche qu'elle pourrait alimenter Mars. Fermé par les politiciens du comité parce que « vert ». Cette ressource pourrait donner de l'espoir à ces enfants.
C’est ce qu’ils nous ont fait, cette concaténation d’imbéciles vicieux dans le système judiciaire, l’éducation et le gouvernement. Ils détruisent l'avenir.
Devant les maisons non-chefs sur la réserve de Cowichan, subventionnant à cause de la pourriture et du mildiou, rouillés des bangers, avec des pneus crevés. S'ils sont chanceux. L'oncle de mon ami a dû faire du stop à soixante milles au centre de cancérologie le plus proche pour le traitement.
C'est vrai pour chaque réserve sur laquelle j'ai été. Chaque. Single. Un. Pas d'exceptions.
La réconciliation est une phrase marxiste inventée par l’ONU, pour créer la division et la haine entre les peuples autochtones. C'est spécieux et malhonnête.
Ok, il y a des exceptions. Prétends que je dis ça ensuite très lentement. Parce que c’est le moyen de briser l’oppression, la destruction, la misère. LA SEULE VOIE.
Mais d'abord, laissez-moi vous expliquer mon POV !
Jamie et ma famille détiennent quatre groupes autochtones; nous sommes des pionniers et c’est courant. La première rencontre de ma famille avec des indigènes a été mon premier ancêtre achetant sa ferme pour quatre manteaux en 1657 dans la vallée de la rivière Connecticut. Son grand grand grand grand petit-fils, etc., s'est marié dans le Mohawk et est devenu un défenseur furieux des droits des autochtones après la Révolution. Mon arrière-grand-mère a grandi avec le Mohawk sur la rivière Grand en Ontario, et sa cousine était Pauline Johnson, la célèbre poète mohawk du Canada. Pauline a été célébrée à travers le monde connu, animée par la royauté, mais quand elle est tombée malade avec un cancer du sein la deuxième fois, c'est sa cousine blanche et ses amis qui l'ont recueillie - Pauline, malgré sa renommée, a été brisée - l'a nourrie, l'a logée, l'a nourrie, a enterrée et a élevé une statue à Stanley Park.
Ma grand-mère n'était pas non plus une aberrante hippie. Elle était la société. Elle descendait de deux grandes familles aristocratiques, et de tous les fondateurs du nord de la République américaine. Elle a fondé l’Hôpital général de Vancouver dans une tente avec ses amis de l’église, et elle a été présidente du Canadian Club for women. Ce qu'elle a dit et fait, était modelé. À cette époque, les autochtones étaient lentement intégrés, avec difficulté, mais lentement, soigneusement, dans la culture plus large, apprenant les compétences de base de la façon de vivre avec tous les avantages de ne pas mourir de faim de façon saisonnière, de ne pas vivre dans des tentes, de ne pas mourir de septicémie, ou de tuberculose, d'apprendre, de construire, de faire grandir des familles en bonne santé, de ne pas avoir à jeter vos bébés dans le feu pour propitier un dieu redouté. Nous n'avons pas fait de discrimination à leur encontre. Nous les aimions. Nous les avons épousés.
RépondreSupprimerLa fille de mon arrière-grand-mère s'est mariée dans les Pieds-Noirs.
La famille de Jamie raconte la même histoire. Développer l’intégration et le respect.
Tout ce qui est maintenant enseigné dans les écoles du Canada est un mensonge fulgurant.
Ok, retour à la poignée de réserves saines.
Lorsqu’une bande ou une tribu a un chef éclairé et une ressource qu’elle peut exploiter, et qu’elle s’engage dans quelque chose appelé capitalisme – sans l’implication des avocats et des bureaucrates blancs de la classe moyenne supérieure et blanches qui se nourrissent de l’entreprise indienne, des militants marxistes et écologistes, et de l’ONU, qui est presque exclusivement rempli d’avocats et de bureaucrates blancs de la classe moyenne supérieure qui se nourrissent de ce peuple.
Nous payons pour leur persécution, chaque centime rouge. Une grande partie des soixante-quinze milliards par an va soutenir les Blancs qui se nourrissent des Indiens. L'entreprise indienne est si lucrative, il y a une classe de personnes appelées Pretendians, qui revendiquent le statut de natif et essaient d'encaisser. Très peu d'entre eux arrivent aux Indiens, vis-à-vis de l'état des lieux dans toutes les réserves. La raison pour laquelle ces réserves sont si désespérées est à cause de la pauvreté qui écrase. Tout l'argent destiné à eux est volé par les bureaucrates et les entrepreneurs, qui soudoient les chefs. Et ces voleurs sans conscience utilisent notre argent pour confliter, confondre, compliquer et propagander les jeunes et les faibles d’esprit.
J'ai parlé à plusieurs chefs indiens qui élèvent leur peuple, tant au Canada qu'aux États-Unis. J'ai été dans l'une de ces réserves, j'ai dormi dans la réserve, j'ai mangé dans la réserve et j'ai passé six heures en conférence dans cette réserve. Dans ces réserves, savez-vous ce qui les rend fiers ? Que leurs enfants aient une chance, ont une raison de se faire éduquer parce qu'avec la ressource, ils ont un avenir.
Sur ces réserves ? L'espoir.
Dans la réserve de Cowichan ? Le désespoir. Le légalisme. Poursuivre le gouvernement pour la richesse des autres est le seul recours. Et pour se préparer à la bataille de plusieurs décennies, vous devez développer une haine qui fait rage pour les Blancs.
Regardons les mots réels du FOOL réel qui a causé cela et qui devrait être radié et exilé.
Oh eh bien, quand il est vendu... sa valeur n’est déjà rien, vous le crétin absolu.
Si vous aimez l’obscurcissement, cependant, voici un avocat en droit immobilier expliquant pourquoi cette décision n’est rien. La propriété de personne ne sera enlevée, et il faudra encore 500 jours au tribunal pour savoir ce que tout cela signifie vraiment, parce que tant de choses doivent encore être déterminées. Je veux dire, allez. C’est l’état du discours intellectuel au Canada. C’est faible, c’est stupide, c’est malhonnête, c’est délibérément obscurci. C’est une société qui se ment à elle-même tandis que ses fondations sont rongées par la malhonnêteté, la prédication et le sentiment.
RépondreSupprimerLe lendemain de cette interview, la banque a commencé à tirer des prêts.
Le Canada a, depuis 25 ans et compté, travaillé dans le cadre d'une campagne de propagande implacable sur son traitement de l'Indien canadien. Chaque nouvelle révélation est une psy-op. Avec l'aimable autorisation du DownTown EastSide à Vancouver, créé par un socialiste américain qui a travaillé avec arduité pendant des années pour créer une fosse de désespoir pour le toxicomane, alcoolique et fou dans une partie de Vancouver, les femmes autochtones ont commencé à disparaître. Il semble qu'ils aient été capturés par un éleveur de porcs, qui les a violés, assassinés et les a donnés à ses cochons. On croit maintenant que c’était un lieu de rituel pour les Lucifériens qui les ont sacrifiés à leur dieu horrible et stupide et qui ont impliqué des participants de haut rang.
Par la suite, il est apparu que les femmes autochtones, faisant de l’auto-stop sur les autoroutes massives du Canada, disparaissaient également.
Plus de dizaines de millions dépensés pour une «commission» inutile, qui n’a rien résolu.
Que faisaient les femmes autochtones dans le Downtown East Side et en auto-stop la nuit sur l'autoroute TransCanada? Pute. Wby ? Parce qu'ils étaient désespérés. Et, accro. Malgré ces $75 milliards dépensés pour les autochtones chaque année, ils étaient désespérés.
Et, après que des dizaines de millions de personnes ont passé « à enquêter », il s’est avéré que la plupart des meurtres ont été commis par des hommes autochtones, également désespérés, en colère, alcooliques. La misère infligée aux Indiens par les bureaucrates et les factotums de l'ONU sans conscience est bien plus grande que n'importe quelle piste de larmes. Multiplier chaque Cherokee décédé pendant le Trail of Tears de 100.000. Dans le monde en développement, l’ONU, parce que « verte », a chassé 30.000.000 peuples autochtones de leurs terres.
Personne à l'ONU n'est jamais tenu responsable. Personne ne se trompe. Encore une fois, dix fois, mille fois la Trail of Tears commise par de riches boomers de la Ivy League avec des salaires luxuriants et des bureaux à Turtle Bay. Ils agissent en toute impunité.
Avec le fondateur marxiste susmentionné de la fosse la plus désespérée d'humains brisés au Canada, j'ai visité un vaste complexe de logement pour les femmes indiennes, où elles pourraient vivre en sécurité. C'était unisexe. Pas d'hommes. Leurs enfants ont traversé les couloirs. Il était propre, il n'était pas mollissé. Il y avait de la nourriture. Là-bas, les donateurs blancs ont dépensé encore plus de millions pour créer une maison d’où ils pourraient, peut-être, se lever.
RépondreSupprimerSur le Downtown East Side, l’Église catholique compte 168 missions dans les désespérés, dont 50% sont indigènes. Des dizaines de millions de Canadiens sont dépensés par des Canadiens charitables (en dehors de l'argent des impôts) chaque année en essayant de soulever les catastrophes brisées.
Les griffons socialistes ont créé une culture dégradée. Des fondations libérales stupides ont payé pour cette misère. Les Nations Unies ont créé la fausse construction intellectuelle qui a permis cette tragédie. Il y a cent ans, à l'aube du XXe siècle, les Indiens s'étaient suffisamment intégrés pour vivre dans une sorte de sécurité, avec des familles qui avaient de l'espoir. Depuis lors, ils ont été exploités impitoyablement par les socialistes afin de poursuivre leurs objectifs de briser la culture du Canada et des États-Unis. Ils ont été immurés dans les réserves, avec des gouvernements « tribaux » autocratiques et corrompus, sans droits de propriété, incapables de se lever. Et ils ont été mal utilisés et exploités par la pire politique que le monde ait jamais créée.
Sous le règne profondément répulsif de Justin Trudeau, nous avons été agressés avec une fiction que les pensionnats catholiques ont tué et enterré des centaines d'enfants. Ce mensonge a fait flamber dans le monde entier.
Aucun reste humain n'a été retrouvé. Personne n’est autorisé à fouiller le dit « tombe-souris ». Aucun enfant n'a été désigné comme disparu par une famille indienne.
L'Église et les écoles ont gardé des registres méticuleux. Le tout était une psy-op afin de convaincre les Canadiens ordinaires que leur héritage était cruel et qu'ils devaient payer.
Et maintenant, nous avons été agressés par la rupture de l'élément le plus fondamental de notre prospérité, les droits de propriété.
Compte tenu des perspectives de la Colombie-Britannique, pas étonnant que l’ONU soit partout sur nous. L'ONU a été conçue par les Rockefeller comme anti-croissance. Le changement climatique, qui est la pensée des ordures, est anti-croissance. L'abomination que je connais le plus, l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture - la FAO - est anti-croissance et détruit les champs, les aires de répartition et les forêts à travers le monde, sans parler de pousser les gens de leurs terres ancestrales. Le U. N. a pollué les secteurs suivants avec ses constructions intellectuelles malhonnêtes: santé, alimentation, foresterie, élevage, exploitation minière, Climat, espèces menacées, développement économique, développement de la ville et de la ville, diplomatie, et il préside une politique étrangère qui crée des conflits. Il n'a pas réussi à désamorcer un conflit. Lorsque Trump est allé aux Nations Unies, après avoir résolu six guerres à travers le monde, il a souligné qu’il n’avait pas eu une seule scintillation d’aide de l’ONU.
C'est la solution:
RépondreSupprimerSi les 5.500 membres de la nation Cowichan veulent la terre à Richmond, ils peuvent payer pour les améliorations apportées au cours des 100 dernières années. Je les estime d'une valeur d'environ 500,000,000 $. Je parie que les propriétaires de ce terrain seraient heureux d'y renoncer pour cela.
À Kamloops, où les Indiens ont déposé le procès, même projet de loi.
Donc, dès que les Rockefellers et la Couronne britannique, etc., pourront trouver cet argent, et les nombreux milliers de milliards qu'il en coûtera pour payer les améliorations sur toutes les terres de la Colombie-Britannique, les tribus peuvent avoir ces terres.
Jusque-là ?
Rêve sur. Vous venez de réveiller les gens les plus endormis et les plus passifs du monde, la classe moyenne canadienne.
Ce n’est pas une loi, c’est une collusion avec une idéologie politique vicieuse qui a dévasté des continents entiers. Partout où il atterrit, il crée la guerre, la misère, le désastre écologique et des générations de personnes brisées.
Ferme-la. Elle. En bas.
J'ai promis un article sur la nouvelle culture qui monte cette semaine, mais cette horreur a atterri à ma porte, et puisque c'est ma région, j'ai des racines profondes ici, je sais quelque chose sur le groupe Cowichan et je les ai visités, j'ai dû écrire à ce sujet.
La semaine prochaine, beaucoup plus d'espoir, bien que je maintienne, plus nous en savons, moins ce mal prévaudra probablement.
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Elizabeth Nickson a été formée comme journaliste au bureau londonien de Time Magazine. Elle est devenue chef du bureau européen du magazine LIFE dans ses dernières années de publication mensuelle, et pendant cette période, a acquis les droits des mémoires de Nelson Mandela avant sa sortie de Robben Island. Elle a ensuite écrit pour Harper’s Magazine, le Guardian, l’Observateur, l’Indépendant, le Sunday Telegraph, le Sunday Times Magazine, le Telegraph, le Globe and Mail et le National Post
https://elizabethnickson.substack.com/p/the-un-and-its-staff-are-a-plague?utm_source=post-email-title&publication_id=30495&post_id=177999789&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le gouvernement canadien massacre des centaines d'autruches en parfaite santé avec des fusils à haute puissance
RépondreSupprimerUn jour sombre pour le Canada, pour les fermes d’autruches universelles, et pour nous tous.
Nicolas Hulscher, MPH
Nov 08, 2025
En décembre 2024, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a affirmé que deux autruches décédées – qui étaient couchées à l’extérieur depuis plus de 16 heures – ont été testées positives au H5N1 par le biais de tests PCR. Seulement 41 minutes après avoir reçu ces résultats, l'ACIA a signé une ordonnance pour abattre l'ensemble du troupeau.
Le Canada ordonne l'abattage massif de 400 autruches de recherche sur la grippe aviaire, refuse de tester les oiseaux survivants pour l'immunité naturelle
Nicolas Hulscher, MPH
11 mars
Canada Orders Mass Culling of 400 Research Ostriches Over Bird Flu, Refuses to Test Surviving Birds for Natural Immunity
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a ordonné l'abattage de 400 autruches à Universal Ostrich Farm, en Colombie-Britannique, invoquant des préoccupations concernant la grippe aviaire H5N1. Cependant, cette décision n'est pas fondée sur une science solide et pourrait avoir de graves conséquences à la fois sur la sécurité alimentaire et la recherche médicale.
Lire l'article complet
Près d'un an plus tard, toutes les autruches sont restées en bonne santé, se sont complètement rétablies et ont développé une immunité naturelle contre la grippe aviaire H5N1. Leurs anticorps étaient d'une importance cruciale pour les efforts de recherche futurs.
Le mois dernier, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a pris le d’Universal Ostrich Farms, a coupé l’accès et a construit un énorme « stylo de mort » pour exterminer les oiseaux en bonne santé.
RUPTURE: L'extermination massive du Canada de 400 autruches en santé imminente
Nicolas Hulscher, MPH
30 sept.
BREAKING: Canada's Mass Extermination of 400 Healthy Ostriches Imminent
par Nicolas Hulscher, MPH
Lire l'article complet
Le dernier effort pour arrêter cette folie n'a pas été couronné de succès. Hier, la Cour suprême du Canada a déclaré qu’elle n’entendrait pas d’appel concernant le mandat d’extermination des autruches saines.
Il y a quelques heures, Rebel News a confirmé que chacune des autruches en bonne santé a été abattue – abattue avec des armes à feu.
C’est un jour sombre pour le Canada, pour les fermes d’autruches universelles et pour nous tous.
https://www.thefocalpoints.com/p/canadian-government-massacres-hundreds?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=178314060&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La GRC Du Canada A Massacré Les 400 Autruches En Bonne Santé À Universal Ostrich Farm: «... Le Pire Son Que J'ai Jamais Entendu... Je Ne Serai Jamais Le Même. »
RépondreSupprimerLes Propriétaires Ont Appelé Leurs Noms Et Leur Ont Dit Qu'ils Les Aimaient Alors Qu'ils Étaient Abattus, Dans Le Noir De La Nuit; CBC Airs "Comedy" Skit Se Moquant Des Propriétaires En Deuil
Celia Farber
Nov 08, 2025
Je suis désolée d'avoir à le signaler. Si vous êtes sensible, vous ne voudrez peut-être pas voir tout le matériel ici.
Nous avons tous espéré, prié, et pendant un bref moment même cru, cela ne se produirait pas.
C’est inimaginable ce que les propriétaires, et ces oiseaux, ont enduré. Les « implications » pour le Canada et le reste du « monde libre » sont graves. Avec les peurs du « virus », les tyrans et les fascistes peuvent et vont prendre toutes les mesures pour « protéger » le public. Surtout de n'importe oquoi, ce qui semble leur plaire le plus.
https://celiafarber.substack.com/p/canadas-rcmp-has-massacred-all-400?utm_source=post-email-title&publication_id=257742&post_id=178312776&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Pour les animaux élevés dehors l'empoisonnement peut se faire par drone qui lâchent des graines empoisonnées. Pour ceux à l'intérieur c'est encore la nourriture qui est empoisonnée et non l'arrivée d'un 'virus' que personne n'a vu oui ne peut voir malgré les milliers de laboratoires qui chaque joiur examinent la qualité de l'air.
SupprimerPréparez la capsule de sauvetage — Keir Starmer déclare : « Le consensus a disparu »
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 8th, 2025
L'odeur de l'échec plane sur la COP30 au Brésil
Les États-Unis, la Chine et l'Inde n'y participent pas. L'ONU a déclaré que l'objectif de 1,5 degré n'est plus réalisable. Et l'OCDE admet que « les engagements politiques sont passés d'une croissance annuelle de 10 % à seulement 1 %. »
Le consensus est non seulement mort, mais personne ne peut plus cacher le cadavre sous le tapis. Les choses se décomposent si vite que même Keir Starmer a fait le voyage jusqu'à la conférence de la COP au Brésil pour déclarer que « le consensus a disparu ».
Keir Starmer ne voulait même pas se rendre à la COP30 de peur de paraître sous l'influence de la mouvance mondialiste, ce qui ferait le jeu de son ennemi juré, Nigel Farage. Il a donc fait une apparition de dernière minute et a tout fait pour éviter les discours enflammés habituels en proférant un blasphème. Le consensus, après tout, était le Saint Graal. C'était la raison de « croire » et une raison d'agir même si l'on n'y croyait pas. La mouvance mondialiste disait toujours : « Nous ne voulons pas être à la traîne », comme si suivre le troupeau était un avantage en soi.
Pour un groupe d'adeptes de la pensée unique, c'est un aveu de taille :
[The Guardian] Le Premier ministre britannique a déclaré jeudi aux dirigeants mondiaux, lors du sommet sur le climat COP30 au Brésil, que le « consensus a disparu » concernant la lutte contre le changement climatique dans le monde, dix ans après l'accord historique de Paris en 2015.
« Il y a dix ans, le monde s'est réuni à Paris… uni dans sa détermination à lutter contre la crise climatique », a déclaré Starmer. « La seule question était de savoir à quelle vitesse nous pouvions avancer. Aujourd'hui, malheureusement, ce consensus a disparu. » Pour Starmer, c'est peut-être la meilleure issue pour échapper à la bombe du « zéro émission nette ». Tant que la mèche est allumée et que le compte à rebours climatique est lancé, les partis mondialistes risquent d'être balayés aux prochaines élections. Mais si « le consensus » est rompu, il pourra peut-être mettre de côté les discussions sur le climat pendant quelques années et calmer la colère concernant les prix de l'électricité. C'est ce que Mark Carney a fait pour gagner au Canada. Il a supprimé la taxe carbone dès son premier jour au pouvoir et a désarmé l'opposition. Cela pourrait même apaiser les Verts, s'il parvient à les convaincre que personne d'autre n'agit et qu'il faut attendre des jours meilleurs.
De plus, Starmer a surpris tout le monde en se retirant du programme phare du Brésil. Le Fonds pour les forêts tropicales (Tropical Forests Forever Facility - TFFF) était censé lever 25 milliards de dollars, un montant ramené à 10 milliards cette année, pour rémunérer les personnes qui préservent les forêts, et le Royaume-Uni devait être l'un des premiers contributeurs. Sans le milliard de dollars du Royaume-Uni, il est difficile d'imaginer que ce programme puisse réussir.
Chris Bowen, le ministre australien du Contrôle climatique, est même d'accord avec Keir Starmer.
Mais dans ce pays obsédé par les énergies renouvelables, cela signifie simplement que l'Australie doit en faire encore plus. Le Guardian l'a interrogé sur les propos de Keir Starmer et il a répondu :
« Je pense que c'est un commentaire pertinent. Oui, c'est un sujet controversé, mais cela rend le soutien à des actions conformes aux données scientifiques encore plus important.
Cela rend encore plus importantes les actions continues des gouvernements et des industries qui comprennent qu'il s'agit d'un impératif scientifique et environnemental, mais aussi d'une excellente opportunité économique. Et c'est certainement notre approche en Australie. »
RépondreSupprimerContrairement au Parti réformiste au Royaume-Uni, l'opposition en Australie est amorphe et n'a pas de politique climatique. Chris Bowen est donc libre de continuer à débiter ses sornettes. Il n'a pas peur de l'opposition car, en réalité, il n'y en a pas.
En effet, Bowen doit continuer à brandir le drapeau, car le gouvernement australien souhaite accueillir la prochaine COP, qui s'annonce comme un échec, l'année prochaine. Heureusement, l'opposition et les Nationaux ont tous deux déclaré : « Laissez la Turquie l'organiser ». Nous voulons notre milliard de dollars.
Même l'OCDE admet que les engagements politiques sont au point mort. À l'échelle mondiale, elles n'ont augmenté que de 1 % l'année dernière, alors qu'auparavant, elles progressaient de 10 % chaque année.
L'action climatique mondiale perd de son élan : OCDE
Par Ryann Cropp, The Australian Financial Review
Le rythme des efforts mondiaux pour lutter contre le changement climatique est au point mort, selon un rapport de l'OCDE qui risque d'intensifier les tensions au sein de la Coalition concernant son engagement en matière de réduction des émissions.
L'extension des engagements internationaux en matière de politique climatique n'a augmenté que de 1 % en 2024, et seulement 17,7 % des émissions mondiales sont désormais couvertes par des engagements juridiquement contraignants de neutralité carbone, selon le rapport annuel de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur l'action climatique.
Selon l'OCDE, ce ralentissement des engagements climatiques depuis 2021 contraste fortement avec la décennie précédente, au cours de laquelle les politiques de réduction des émissions ont progressé en moyenne d'environ 10 % par an.
Ils n'ont plus d'excuses :
« Ce ralentissement ne peut plus être expliqué par la pandémie de COVID-19 ou les chocs économiques : il reflète une perte d'élan dans la mise en œuvre de politiques efficaces », indique le rapport.
Même l'ONU reconnaît que nous n'atteindrons pas leur objectif magique de 1,5 degré.
C'est, bien sûr, de notre faute et nous sommes moralement responsables de cet échec :
L'incapacité à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius est une urgence et les nations doivent désormais « prendre les devants ou courir à leur perte », a déclaré le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lors de l'ouverture de la conférence climatique COP30 à Belém, ville située en pleine forêt amazonienne brésilienne.
Il a ajouté : « Chaque fraction de degré supplémentaire signifie plus de faim, de déplacements et de pertes – surtout pour les moins responsables. C'est un échec moral – et une négligence criminelle. »
RépondreSupprimerM. Guterres, en bon bureaucrate et socialiste convaincu, présente cela comme la conséquence de la cupidité capitaliste :
« Trop d'entreprises réalisent des profits records grâce à la dévastation climatique, dépensant des milliards en lobbying, en trompant le public et en faisant obstacle au progrès », a-t-il déclaré. « Trop de dirigeants restent prisonniers de ces intérêts bien établis. »
Après tout, ce n'est pas comme si le consensus s'était effondré parce que des millions de personnes dans la plus grande économie du monde n'étaient pas convaincues et avaient voté volontairement (deux fois !) pour un homme qui qualifiait le changement climatique d'arnaque et de canular. Oh non…
MISE À JOUR : Juste pour préciser, le consensus auquel Keir Starmer fait référence n'est pas le « consensus scientifique » (qui reste sacré pour les socialistes du monde entier). Il parle du consensus sur l'action climatique, c'est-à-dire des mesures politiques ou économiques. Tant que « la science » est toujours d'actualité, il ne s'agit que d'une pause dans l'escroquerie climatique. Il ne suffit jamais de gagner les arguments économiques, il faut aussi terrasser le monstre de la pseudo-science.
https://joannenova.com.au/2025/11/prepare-the-escape-pods-kier-starmer-says-the-consensus-is-gone-oecd-admits-its-losing-momentum/
Les partisans du 'Global Warming' ne sont PAS des scientifiques mais des GROS CONS. Pareillement pour le retrait de notre atmosphère du gaz carbonique !!
Supprimer
RépondreSupprimerRetraites : la capitalisation fait son chemin dans la tête des Français
7 novembre 2025
Philbert Carbon
La pédagogie, c’est l’art de la répétition. A force de marteler que la capitalisation est la solution pour sauver nos retraites, il faut croire que cela a fini par marquer les esprits.
En début d’année, Contrepoints relayait un sondage Elab qui montrait que 59% des Français étaient ouverts à l’idée d’injecter une dose de capitalisation dans le système de retraite. Une nouvelle enquête, cette fois réalisée par Odoxa pour le compte de Groupama, publiée mercredi 5 novembre à l’occasion des 5èmes Rencontres sur les retraites organisées par l’assureur, confirme cette tendance.
A la question « Selon vous, quel serait le moyen le plus efficace et le plus juste de garantir à l’avenir la pérennité du système de retraites en France ? », 35% des sondés répondent « Mettre en place une dose de “capitalisation” dans le système de retraite actuel pour l’instant uniquement effectué par répartition. »
Il faut dire que 52 % des Français interrogés par Odoxa disent ne pas avoir confiance dans le système de retraite actuel (+5 points depuis juillet 2024), et 67% pensent que les caisses de retraites ne pourront pas leur verser une retraite à la hauteur de leurs attentes (+4 points). Le baromètre montre également que « 83 % des Français pensent que de nouvelles réformes repousseront encore l’âge légal de départ à la retraite et tout ça… pour rien car 69% pensent que cela ne sera pas efficace pour rendre pérenne notre système de retraite sur le plan financier ».
C’est pourquoi 65 % des non-retraités interrogés affirment avoir déjà mis en place « quelque chose » pour financer leur retraite. De fait, le montant mis de côté par les épargnants pour leurs vieux jours est de plus en plus important : 260 € par mois en moyenne. Un montant en progression de 25 % en 7 ans et de… 75 % par rapport à ce que les actuels retraités mettaient de côté. L’enquête révèle aussi que les non-retraités ont commencé à préparer leur retraite en moyenne dès l’âge de 30 ans. La majorité des retraités actuels avaient débuté après 40 ans.
L’autre enseignement principal de ce baromètre est que les Français sont bien plus lucides et raisonnables que leurs représentants qui ont offert, ces jours derniers, un spectacle désolant à l’Assemblée nationale fait de déni sur le déficit et d’attaques répétées contre l’épargne.
https://contrepoints.org/retraites-la-capitalisation-fait-son-chemin-dans-la-tete-des-francais/
Qu'elle soit par répartition ou par capitalisation PERSONNE ne peut faire confiance en une caisse ! Aux States les Américains cotisaient selon leurs économies à un compte bancaire. En cas de décès du déposant c'est sa femme qui avait accès au compte. C'est la transmission sans qu'il n'y ait de putain de taxe. C'est l'héritage. C'est l'intelligence face au monde des voleurs.
SupprimerImpôts : la France soviétisée
RépondreSupprimer7 novembre 2025
Jean-Philippe Delsol
Aux innombrables taxations prévues sur le capital, les députés ont ajouté une hausse de 1,4% de la contribution de solidarité de 7,5% qui s’ajoute à la CSG perçue sur les revenus du capital. Ceux-ci seraient donc imposé désormais au taux de 18,6% au lieu de 17,2%. Le prélèvement forfaitaire unique (PFU), ou « flat tax » passerait de 30 % à 31,4 %. Les loyers reçus par un particulier imposé au taux maximum de l’impôt sur le revenu seraient taxés globalement au taux de 67,6% ! Outre, bien sûr, IFI ou nouvel ISF, taxes foncières, droits de succession (que les socialistes veulent augmenter)…. Ils auraient vite plus à payer chaque année que le revenu qu’ils en retirent.
Les Français sont atteints de cette vieille maladie égalitariste qui les gangrène. Ils ne comprennent pas que la propriété est l’assise de nos libertés. Car comme le disait Bastiat, « L’homme naît propriétaire », la propriété est dans sa nature. Les gens œuvrent pour transmettre. A les piller on les décourage et on les désincite de travailler, d’innover, d’entreprendre… on appauvrit la France.
Ce que veulent les députés LFI, avec le soutien de leurs idiots utiles socialistes, de l’extrême centre ou du RN, c’est collectiviser la France, nous rendre dépendants de l’Etat, soumis à eux qui espèrent être, comme les bolcheviques, aux manettes de cet Etat dominateur. Ils veulent nous exproprier progressivement de tous nos biens. Et nous sommes aveugles !
La propriété est notre rempart contre l’Etat. Nos ennemis le savent. C’est pourquoi ils veulent la détruire, l’accaparer. Proudhon, qui avait indument repris dans sa jeunesse le mot malheureux du révolutionnaire girondin Brissot de Warville – « La propriété c’est le vol », s’était lui-même rendu compte de son erreur pour considérer ensuite que la propriété était nécessaire pour nous protéger des excès de l’Etat : « Où trouver une puissance capable de contrebalancer cette puissance formidable de l’Etat ? Je n’en connais pas d’autres que la propriété ».
Souhaitons que la France n’attende plus pour se rendre compte de son erreur : les menchéviques ont été bousculé sans délai par les bolchéviques et Brissot de Warville a été guillotiné le 31 octobre 1793 !
https://contrepoints.org/impots-la-france-sovietisee/
Les congressistes n'ont JAMAIS représenté le Peuple et ne le représenteront JAMAIS. Ce sont des tarés qui ne savent eux-mêmes se torcher le cul et qui votent des lois CONTRE le Peuple.
SupprimerL'architecture cachée de la dette : comment les banques privées ont pris le contrôle de l'économie mondiale
RépondreSupprimerComment la monnaie basée sur la dette est discrètement devenue le moteur du contrôle mondial – et à quoi pourrait ressembler une véritable réforme.
Par Mark Keenan
30 octobre 2025
Introduction : L'importance du pouvoir monétaire
La plupart des gens sortent de l'université en connaissant la trigonométrie, mais pas les mécanismes de création monétaire. On nous apprend à voter pour des partis, mais on s'intéresse rarement à ceux qui façonnent le paysage économique sur lequel ces partis évoluent. Pourtant, depuis plus d'un siècle, le pouvoir de créer de la monnaie sous forme de dette portant intérêt a discrètement concentré le contrôle économique et politique entre des mains privées. Il en résulte un monde où les nations croulent sous des obligations croissantes, où le débat public se focalise sur les marges de la politique et où des sociétés entières deviennent dépendantes d'un système de crédit qu'elles n'ont ni conçu ni pleinement compris.
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Cet essai synthétise les principaux arguments et citations (historiques et contemporaines) sur le fonctionnement réel du système bancaire moderne, les raisons pour lesquelles la dette est devenue le moteur de la gouvernance et ses conséquences sur la souveraineté, la prospérité et même notre sens moral. L'objectif n'est pas de recycler des slogans, mais d'éclaircir les mécanismes : comment la monnaie entre en circulation, qui en bénéficie en premier, qui supporte les risques et pourquoi le système exige presque toujours plus de croissance, plus d'extraction de ressources et plus de dettes.
1) Le mécanisme fondamental : la monnaie comme dette, et non comme valeur
Un siècle de banque centrale et de crédit commercial a normalisé un fait simple, mais fondamental : la majeure partie de la nouvelle monnaie est créée lorsque les banques accordent des prêts. Comme l'a déclaré l'ancien secrétaire au Trésor américain, Robert B. Anderson, en 1959, lorsqu'une banque accorde un prêt, elle crédite un dépôt qui n'existait pas auparavant ; ce nouveau dépôt constitue de la « nouvelle monnaie ». En pratique, cela signifie que la masse monétaire augmente principalement par le biais de prêts privés, et non par l'émission publique.
Ce mécanisme est amplifié par le système bancaire à réserves fractionnaires et, aujourd'hui, par les règles bancaires fondées sur les fonds propres : les banques ne prêtent pas l'épargne existante à parité ; elles augmentent les dépôts en créant du crédit. Des intérêts sont attachés à ce crédit, ce qui signifie que le système a besoin d'emprunter continuellement de nouveaux fonds pour rembourser les emprunts antérieurs. Si la création de crédit ralentit sensiblement, les défauts de paiement augmentent, les prix des actifs fluctuent et la pression politique s'intensifie pour relancer l'économie. En bref, nous vivons dans un système bien plus dépendant du crédit que ne le laissent entendre la plupart des manuels d'éducation civique.
Des critiques comme Henry Ford et John Scales Avery ont soutenu que ce système est structurellement injuste car il privatise le seigneuriage (le profit lié à la création monétaire) et socialise les conséquences (inflation, bulles spéculatives, austérité). Que l'on adhère ou non à tous les arguments de ces critiques, le raisonnement mathématique sous-jacent est difficile à ignorer : lorsque l'argent arrive sous forme de dette portant intérêt, le système est intrinsèquement biaisé en faveur d'un effet de levier toujours plus important.
2) Du crédit privé au pouvoir public : comment en sommes-nous arrivés là ?
RépondreSupprimerL'influence politique du secteur bancaire moderne s'est développée parallèlement à celle d'institutions comme la Banque d'Angleterre et, plus tard, la Réserve fédérale américaine (créée en 1913). Quelles qu'aient été les intentions de leurs fondateurs, les banques centrales se trouvent aujourd'hui au carrefour de l'État et de la finance : mandatées par l'État, elles bénéficient d'une indépendance opérationnelle (et sont détenues par des intérêts privés), coordonnant les liquidités pour stabiliser le système tandis que les banques commerciales sont à l'origine de la plupart des créations monétaires.
Ce modèle hybride a des conséquences bien réelles. Il permet à un cercle restreint de décideurs de fixer le prix de l'argent (les taux d'intérêt), de garantir les bilans des banques privées en cas de crise et d'influencer les choix budgétaires en rendant certaines politiques financièrement accessibles et d'autres coûteuses. L'ancien président de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, a un jour insisté sur l'indépendance de l'institution ; le revers de cette indépendance est une faible visibilité démocratique sur les décisions qui façonnent chaque prêt immobilier, chaque marché du travail et chaque budget public.
Au-delà des banques centrales nationales se trouve la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, souvent qualifiée de « banque centrale des banques centrales ». Par le biais de normes (accords de Bâle) et de la coordination, elle contribue à harmoniser les règles bancaires mondiales. Les critiques estiment que cela engendre un contrôle technocratique sur les économies nationales, avec un faible contrôle public. Que l'on considère cela comme une gestion prudente ou comme un déficit démocratique, cela met en lumière un thème central : l'architecture de la gouvernance monétaire est largement opaque pour le public qu'elle est censée gouverner.
3) La dette comme principe organisateur : les nations prises au piège
Si la monnaie est principalement créée par l'emprunt, les emprunteurs deviennent les rouages du système. Cela vaut pour les ménages, les entreprises et, surtout, les gouvernements. Les dettes nationales ont explosé au cours des dernières décennies. Les intérêts de ces dettes ne sont ni une abstraction théorique ni une simple ligne budgétaire anodine : ils détournent année après année les recettes fiscales destinées aux services publics vers le remboursement des créanciers.
Des exemples concrets illustrent ce point. Des pays comme l'Irlande ont versé des milliards d'euros chaque année en intérêts sur leur dette, des montants qui peuvent représenter une part importante des revenus nationaux les bonnes années. Le Canada a dépensé des dizaines de milliards par an en intérêts à différentes périodes. Les États-Unis remboursent des centaines de milliards chaque année. Plus l'encours de la dette est important et plus les taux sont élevés, plus la marge de manœuvre budgétaire se réduit – et plus il est facile pour les créanciers et les institutions extérieures d'exiger des concessions politiques en échange de liquidités.
Les prêts internationaux renforcent cette tendance. Lorsqu'un pays est plongé dans une crise, la solution habituelle consiste en des mesures d'austérité et de privatisation en échange de financements – transférant ainsi de fait les actifs publics et les flux de trésorerie futurs entre des mains privées. Même lorsque de tels programmes stabilisent une monnaie, ils laissent souvent un héritage de souveraineté réduite et de tensions sociales. Quoi qu'il en soit, le principe directeur reste le même : rembourser la dette en priorité.
4) Pourquoi la croissance perpétuelle semble non négociable
RépondreSupprimerUne fois que l'on comprend que le crédit porteur d'intérêts est la principale source de création monétaire, la politique de « croissance à tout prix » prend tout son sens. Si les économies doivent se développer pour honorer leurs obligations passées, les décideurs politiques sont incités à rechercher la croissance du PIB même lorsque les retombées écologiques ou sociales sont négatives. C'est pourquoi les gouvernements de tous bords ont tendance à converger vers des politiques similaires lorsque la croissance stagne : incitations fiscales à l'emprunt et à l'investissement, répression financière pour maintenir les taux bas, dépenses déficitaires pour combler les lacunes et pressions sur les banques centrales pour qu'elles assouplissent à nouveau leur politique monétaire.
Des critiques comme Roy Madron, John Jopling et John Scales Avery ont fait valoir que cette dépendance à la croissance évince d'autres objectifs : une répartition équitable, la protection de l'environnement et la stabilité culturelle. Cela explique également pourquoi les débats traditionnels évitent souvent d'aborder la structure fondamentale et se concentrent plutôt sur le rythme de la croissance. Nous débattons de 2 % contre 3 % d'inflation plutôt que de savoir qui émet la monnaie, qui perçoit le seigneuriage et qui supporte les pertes lorsque les cycles se retournent.
Comme l'ont soutenu Ludwig von Mises et Murray Rothbard, lorsque l'expansion du crédit remplace l'épargne réelle comme moteur de la croissance, le boom lui-même devient le germe de son propre effondrement. Leur analyse autrichienne – selon laquelle une monnaie saine, fondée sur la discipline du marché, est la seule garantie durable contre la manipulation politique et la cartelisation du secteur bancaire – reste plus que jamais d'actualité (Mises, Human Action ; Rothbard, America’s Great Depression ; Mises, Theory of Money and Credit).
Cette synthèse s'inspire de Mises, « La théorie de la monnaie et du crédit », chap. 17 ; Rothbard, « Le mystère de la banque », chapitre 3 ; et ouvrages connexes.
5) La Réserve fédérale : Mandat public, origines privées
La Réserve fédérale occupe une position singulière : un mandat public (stabilité des prix, plein emploi) mis en œuvre par un système détenu par des banques membres au niveau régional. La jurisprudence a depuis longtemps reconnu que les banques de la Réserve fédérale sont des entités corporatives dotées d'actionnaires privés (banques commerciales) qui élisent de nombreux administrateurs. Le Conseil des gouverneurs est une agence fédérale, mais son fonctionnement opérationnel combine objectif public et infrastructure privée.
Du point de vue de la responsabilité, ce modèle hybride soulève des questions légitimes :
Qui bénéficie en fin de compte du soutien apporté aux marchés par la Fed ?
Comment concilier l'intérêt public et la stabilité des bilans privés ?
Pourquoi la création et l'allocation de la monnaie sont-elles largement gérées par des institutions pour lesquelles les citoyens ne votent pas ?
Même les défenseurs du statu quo doivent admettre que le manque de communication est considérable : le citoyen moyen ignore comment les réserves, les opérations de pension et les facilités de crédit se traduisent en effets concrets sur la richesse. Ce manque de transparence engendre naturellement la méfiance – même lorsque celle-ci n'est pas toujours justifiée – car le public ignore comment les grandes décisions financières sont prises et qui en bénéficie. En définitive, ce secret empêche les citoyens ordinaires et leurs représentants de débattre ouvertement des choix qui affectent les moyens de subsistance de chacun.
6) Usure, inflation et coût de la « stabilité »
RépondreSupprimerLorsque l'argent est principalement constitué de dettes, les intérêts ne sont pas un détail ; ils constituent une taxe structurelle pour tous ceux qui ont besoin d'argent pour effectuer des transactions. Les banques, en créant du crédit, perçoivent des flux d'intérêts qui se cumulent au sein du système. Parallèlement, l'inflation – la dilution du pouvoir d'achat – devient souvent un sous-produit nécessaire au maintien de la solvabilité des dettes. En pratique, l'inflation agit comme un transfert insidieux des épargnants et des salariés vers ceux qui sont plus proches de la source de création monétaire (grandes institutions financières et détenteurs d'actifs).
Il ne s'agit pas de plaider pour l'abolition du crédit ; les économies modernes ont besoin de financements flexibles. Il s'agit de nommer honnêtement les compromis. Lorsque nous qualifions l'assouplissement monétaire de « relance », nous devrions également préciser qui absorbe la perte de pouvoir d'achat et qui profite de l'inflation des actifs. Lorsque nous augmentons les taux d'intérêt pour « lutter contre l'inflation », nous devrions reconnaître le coût en termes d'emplois, de faillites et de budgets publics. La stabilité n'est jamais gratuite ; elle est une simple redistribution de la volatilité.
7) La dimension mondiale : la coordination sans consentement
Au-delà des systèmes nationaux se trouve un réseau de coordination mondiale – normes, lignes de swap et dispositifs de prêteur en dernier ressort – qui relient les économies entre elles. Des institutions telles que la BRI, le FMI et les banques de développement définissent les conditions de liquidité et de restructuration. Leurs partisans affirment que cela est nécessaire pour prévenir la contagion ; leurs détracteurs rétorquent que cela permet à une classe financière transnationale d'imposer ses conditions aux sociétés 'démocratiques' dans des moments de vulnérabilité maximale.
Ces deux points de vue peuvent être vrais. Mais quel que soit le camp, le résultat est similaire : les créanciers détiennent un pouvoir de négociation et les politiques suivent les réalités des bilans. Plus la dette est importante et plus les marchés sont tendus, plus les options des gouvernements et des citoyens sont limitées. Il ne s'agit pas d'une conspiration ; c'est un choix de conception que nous discutons rarement.
8) Souveraineté, médias et problème narratif
Le pouvoir de créer de l'argent et d'allouer du crédit se répercute inévitablement sur les médias et la politique. Les détenteurs de créances financières importantes possèdent ou influencent les plateformes qui façonnent les discours publics. Cela ne signifie pas que chaque rédaction reçoit des ordres d'une banque ; cela signifie que les critiques structurelles des systèmes monétaires fondés sur la dette sont souvent marginalisées, tandis que les controverses superficielles bénéficient d'une couverture médiatique saturée.
Il en résulte un public qui débat perpétuellement des symptômes – inégalités, bulles immobilières, stagnation des salaires, austérité – sans interroger l'architecture monétaire qui détermine ces résultats. La démocratie représentative se réduit alors à un choix entre des partis qui gèrent le même système à des vitesses différentes. 9) La dimension éthique : Gestion responsable contre exploitation
Au-delà des aspects techniques, il reste une question morale : à quoi sert l'argent ? S'il s'agit d'un bien public qui mesure et mobilise le travail et les ressources réelles, alors sa création et son allocation devraient être transparentes, responsables et conformes au bien commun. Si l'argent est un produit vendu à profit et avec intérêt au lieu d'être géré pour le bien public, alors nous devrions au moins admettre que nous vivons dans un monde où les créances des banques sur notre travail futur importent davantage que le bien-être des personnes aujourd'hui.
À travers les traditions – laïques et spirituelles – un fil conducteur se dégage : la richesse est une responsabilité, pas une propriété. La « domination » sur la terre ne signifie pas l'autorisation de piller l'avenir ; elle implique la responsabilité des systèmes vivants qui nous font vivre. Toute architecture économique qui exige une extraction perpétuelle pour satisfaire des créances cumulées finira par se heurter aux limites écologiques et à la dignité humaine.
RépondreSupprimer10) Ce que pourrait signifier une réforme (sans promesses utopiques)
Cet essai ne propose pas de solution unique, mais il indique des principes que les réformateurs de tous bords pourraient examiner :
Transparence monétaire : Les citoyens méritent des explications claires sur la manière dont l'argent est mis en circulation, qui le reçoit en premier et à quelles conditions.
Seigneurage au service du public : Explorer les mécanismes permettant de faire en sorte que les bénéfices de la création monétaire servent les priorités publiques plutôt que d'enrichir principalement les bilans privés.
Amortisseurs contracycliques : Les politiques qui atténuent les extrêmes des cycles d'expansion et de récession (par exemple, un levier financier plus strict en période d'expansion ; des stabilisateurs automatiques en période de récession) peuvent réduire le coût humain des cycles de crédit.
Capacité souveraine : Restaurer et protéger la capacité nationale d'émettre directement de la monnaie ou du crédit public pour des projets d'économie réelle, avec des audits indépendants pour prévenir les abus.
Limites éthiques : Reconnaître que tout système exigeant une croissance infinie sur une planète finie est mathématiquement fragile et moralement irresponsable. Privilégier la résilience plutôt que l'emballement.
Ce ne sont pas des idées radicales ; ce sont des discussions qui auraient dû avoir lieu depuis longtemps dans un monde où presque tout le monde est endetté, directement ou indirectement, auprès d'un système que peu comprennent.
J'explore ces dynamiques plus en profondeur dans mon livre « La Machine à dette : Comment les banques privées ont mis en place le contrôle mondial », qui retrace comment la création monétaire privée est devenue l'architecture cachée du pouvoir mondial – et comment les nations souveraines peuvent reprendre le contrôle du crédit et des politiques économiques.
Conclusion : Comprendre la machine
Si vous ne deviez retenir qu'une seule chose, que ce soit celle-ci : la monnaie n'est pas neutre. La manière dont elle est créée, qui contrôle son émission et les conditions qui y sont associées déterminent la forme de nos économies et les limites de notre politique. Nous pouvons être en désaccord sur les meilleures réformes, mais nous ne pouvons plus nous permettre l'ignorance civique concernant les mécanismes monétaires qui régissent nos vies.
Dans une société saine, l'architecture de la monnaie serait un sujet de débat public, et non un secret d'initiés. D'ici là, le système continuera de tourner – et ceux qui sont aux commandes continueront de décider à quelle vitesse nous devons courir.
https://www.lewrockwell.com/2025/10/mark-keenan/the-hidden-architecture-of-debt-how-private-banks-captured-the-global-economy/
Poutine annonce le succès d'un essai du missile nucléaire russe « invincible »
RépondreSupprimer30/10/2020
Kevin Hughe
Le président russe Vladimir Poutine a révélé le succès de l'essai du missile de croisière nucléaire Burevestnik (OTAN : SSC-X-9 Skyfall), capable d'une portée de 14 000 km et capable de déjouer les systèmes de défense antimissile modernes. Il s'agit de la première reconnaissance publique de ce missile depuis son annonce en 2018.
Le président américain Donald Trump a qualifié l'essai de missile de Poutine d'« inapproprié » dans le contexte de l'enlisement du conflit russe en Ukraine, avertissant : « Ils savent que nous avons un sous-marin nucléaire… juste au large de leurs côtes. » Il a insisté sur la dissuasion stratégique américaine, mais a minimisé la menace immédiate.
Les responsables russes affirment que le Burevestnik est « indétectable par radar » et peut frapper « des cibles hautement protégées à n'importe quelle distance ». S'il était déployé, il pourrait contourner les systèmes de défense antimissile américains grâce à des trajectoires imprévisibles, y compris au-dessus du pôle Sud. Les analystes occidentaux remettent en question la fiabilité du missile, évoquant des échecs lors d'essais antérieurs, tout en reconnaissant son potentiel de déstabilisation de la dissuasion nucléaire. Jeffrey Lewis l'a qualifié d'« arme de science-fiction » compliquant le contrôle des armements.
Cet essai semble être une manœuvre psychologique de Poutine dans le contexte des 'difficultés' que rencontre la Russie en Ukraine. Parallèlement, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté les États-Unis à fournir un soutien en matière de missiles à longue portée, arguant qu'une pression militaire accrue est nécessaire pour freiner Poutine.
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé le succès de l'essai d'un missile de croisière nucléaire de nouvelle génération, qualifié d'« invincible » par Moscou, marquant une escalade significative des tensions militaires internationales.
Cette annonce a suscité une vive réaction du président américain Donald Trump, qui a mis en garde Poutine contre toute nouvelle provocation, tout en soulignant la force de dissuasion stratégique des États-Unis.
Dans une vidéo diffusée par le Kremlin, Vladimir Poutine apparaît en uniforme militaire supervisant l'essai du Burevestnik (désignation OTAN : SSC-X-9 Skyfall), un missile de croisière à propulsion nucléaire doté d'une portée sans précédent. Cet essai, mené le 21 octobre, a permis au missile de parcourir 14 000 kilomètres (8 700 miles) en plusieurs heures de vol, démontrant ainsi sa capacité à déjouer les systèmes de défense antimissile modernes.
Selon le moteur Enoch de BrightU.AI, le missile de croisière Burevestnik est un missile hypersonique russe qui a suscité un vif intérêt en raison de ses capacités avancées et de ses implications stratégiques. Ce missile de croisière hypersonique à propulsion nucléaire et à propulsion aérobie est conçu pour voler à des vitesses hypersoniques (Mach 5 et plus) et possède une portée annoncée de 2 000 kilomètres. Son système de propulsion nucléaire lui permet de maintenir une vitesse et une manœuvrabilité élevées sur de longues distances, ce qui en fait une menace importante pour les systèmes de défense aérienne modernes.
Poutine a déclaré que la Russie avait testé avec succès le missile de croisière nucléaire Burevestnik, à portée globale, marquant ainsi la première reconnaissance publique de cette arme depuis son annonce initiale en 2018.
Il a ordonné à ses chefs militaires d'entamer les préparatifs de déploiement, déclarant : « Nous devons déterminer les utilisations possibles et commencer à préparer l'infrastructure nécessaire au déploiement de ces armes au sein de nos forces armées.»
RépondreSupprimerLe chef d'état-major russe, Valery Gerasimov, s'est vanté que le missile était « unique » et « indétectable par les radars conventionnels », capable de frapper « des cibles hautement protégées à n'importe quelle distance avec une précision garantie ». Il a ajouté que le missile avait exécuté des manœuvres complexes, prouvant ainsi sa capacité à contourner les défenses antimissiles.
Réponse de Trump : Un avertissement et une réprimande
À bord d'Air Force One, Trump a qualifié la posture de Poutine d'« inappropriée » compte tenu des tensions géopolitiques actuelles, notamment l'enlisement de la guerre en Ukraine. « Poutine devrait mettre fin à la guerre ; une guerre qui aurait dû durer une semaine en est maintenant à sa quatrième année », a déclaré Trump. « Voilà ce qu'il devrait faire au lieu de tester des missiles. »
Il a également souligné la capacité de l'armée américaine à se défendre, en faisant remarquer : « Ils savent que nous avons un sous-marin nucléaire, le plus puissant du monde, juste au large de leurs côtes. Nous n'avons pas besoin d'aller jusqu'à 13 000 kilomètres. »
Alors que les médias d'État russes ont salué le Burevestnik comme un « Tchernobyl volant » — en référence à sa propulsion nucléaire —, les analystes occidentaux restent sceptiques quant à sa viabilité opérationnelle. Des essais précédents se seraient soldés par des échecs catastrophiques, soulevant des doutes sur sa fiabilité.
Malgré ce scepticisme, les responsables de la défense reconnaissent que, s'il était déployé avec succès, ce missile pourrait fondamentalement modifier la dissuasion nucléaire, permettant à la Russie de frapper depuis des trajectoires imprévisibles — y compris au-dessus du pôle Sud, où les défenses antimissiles américaines sont les plus vulnérables.
Zelensky fait pression sur les États-Unis pour obtenir davantage de soutien
Face à l'escalade de la rhétorique, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réitéré ses appels à un soutien américain en matière de missiles à longue portée, affirmant que seule une pression militaire accrue contraindrait Poutine à négocier.
« Si Poutine ne s'arrête pas, nous avons besoin de moyens pour l'arrêter », a déclaré Zelensky à Axios, saluant les sanctions américaines mais insistant sur la nécessité de mesures supplémentaires.
La présentation du Burevestnik par Poutine semble être à la fois une démonstration de force stratégique et une manœuvre psychologique, renforçant les capacités nucléaires de la Russie malgré les sanctions économiques et les revers subis sur le champ de bataille en Ukraine. La réponse de Trump indique que, bien que Washington reste imperturbable, il est prêt à contrer toute escalade.
RépondreSupprimerAlors que les tensions s'intensifient, le monde observe si le missile « invincible » de Poutine restera un simple outil de propagande ou deviendra une nouvelle réalité déstabilisatrice dans la course mondiale aux armements.
Regardez la vidéo ci-dessous concernant l'ordre donné par Poutine de déployer le Burevestnik, le seul missile de croisière à propulsion nucléaire au monde.
This video is from the The Prisoner channel on Brighteon.com.
Sources include:
ZeroHedge.com
BrightU.ai
Newsmax.com
NewYorkPost.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-10-30-putin-announces-successful-test-invincible-nuclear-powered-missile.html
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8.
Supprimer* Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros ou 'google': sent zéro.
https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux Etats-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
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Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
dimanche 8 novembre 2015
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/11/secretaire-la-defense-suggere-poutine.html
Le monde d'autrefois
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
8 novembre 2025
Alors que tous les pays occidentaux connaissent un effondrement social dû à une multitude de causes non résolues, telles que la perte rapide d'emplois au profit de l'intelligence artificielle, l'épuisement des ressources environnementales et naturelles, la féminisation qui remplace le rôle masculin par le sentimentalisme et détruit la relation homme-femme, la perte d'intégrité et de moralité au profit de l'argent, et l'agression inhérente à la doctrine néoconservatrice sioniste d'hégémonie, je vais m'abstenir de rédiger aujourd'hui une nouvelle évaluation pessimiste de nos nombreux défis non résolus.
Au lieu de cela, me souvenant de mon précédent essai sur les romans policiers anglais et leurs auteurs, je reviens, pour cet article du matin, à une époque civilisée où tout était sous contrôle. Dans les années 1920 et 1930, la Grande-Bretagne, malgré l'implication stupide de Sir Edward Grey dans la Première Guerre mondiale, restait une grande puissance contrôlant les mers et le commerce international. La livre sterling était la monnaie mondiale. Le président américain, Franklin D. Roosevelt, enviait la puissance britannique.
Wilkie Collins, avec ses livres La Pierre de lune et La Femme en blanc, fut peut-être le premier romancier policier anglais. Mais c'est Agatha Christie qui a écrit 66 romans policiers, la plupart résolus non pas par la police britannique, mais par le détective privé Hercule Poirot et la citoyenne ordinaire, Miss Marple. Avec Agatha Christie, on trouve un roman policier, et non un roman rempli de développement de personnages et de théories psychologiques du crime.
À mon avis, la seule rivale de Christie est Dorothy Sayers. Son détective, Lord Peter Wimsey, est supérieur aux super-détectives de Christie. Sayers n'a écrit que quelques romans policiers avant de se consacrer à des œuvres plus sérieuses. Quelques-uns sont de simples romans policiers, mais une intrigue amoureuse y apparaît. Lord Peter perçoit l'injustice dans l'affaire d'Harriet Vane, une femme diplômée d'Oxford qui vit en concubinage avec un personnage peu recommandable qui est assassiné, et pour lequel Harriet est arrêtée, condamnée et condamnée à mort par pendaison. Lord Peter prend en charge son affaire, prouve son innocence, obtient sa libération et passe cinq ans, si ma mémoire est bonne, sur deux livres, avant qu'elle ne l'accepte enfin, au grand déplaisir de sa belle-sœur, la duchesse de Denver. Lord Peter, le deuxième fils du duc de Denver, l'aristocrate le plus riche de Grande-Bretagne, est riche par ses propres moyens. Lord Peter est un favori du ministère des Affaires étrangères et est envoyé partout dans le monde pour défendre les intérêts britanniques. Il est le célibataire le plus convoité du royaume et épouse une femme perçue comme une dévergondée, malgré son éducation à Oxford. Rappelons que cela se passait il y a un siècle, avant la libération sexuelle des femmes.
J'ai toujours été perplexe face aux récits de promiscuité masculine. Les relations sexuelles hétérosexuelles nécessitent un homme et une femme. Si seuls les hommes sont libertins, avec qui ont-ils des aventures ?
Mais revenons à nos moutons. Dès l'apparition d'Harriet Vane, les romans policiers de Sayers deviennent aussi le récit du développement de la relation entre Lord Peter et Harriet. Et d'autres thèmes apparaissent. Lorsque Sayers situe un meurtre dans une agence de publicité, ou peut-être une maison d'édition, elle prend d'abord la peine de se renseigner sur le fonctionnement de ces entreprises. Dans ce que je considère comme son chef-d'œuvre, Les Neuf Tailleurs, elle maîtrise d'abord l'art de sonner les cloches. Ainsi, un roman policier de Sayers peut être plus enrichissant qu'un roman de Christie, car c'est une histoire plus riche, pas seulement une simple intrigue policière.
RépondreSupprimerCe qui me plaît dans ces livres, ce ne sont pas les meurtres. En effet, je peux relire plusieurs fois les romans de Christie, car je ne me souviens pas des intrigues. En m'interrogeant sur ma mémoire, j'ai réalisé que je ne lis pas ces livres pour les mystères. Je les lis pour échapper à la réalité actuelle et me plonger dans une époque plus civilisée.
On peut se demander si l'image du comportement policier dans les romans policiers est fidèle à la réalité. Je suppose que oui, car les auteurs s'adressent à un public de leur époque et ne peuvent pas leur présenter une fantaisie. Les policiers sont très mesurés, non seulement dans leur propre comportement, mais aussi par rapport à ce que les suspects sont prêts à accepter de leur part. La politesse et le respect de la vie privée sont de rigueur. Les policiers doivent être très prudents dans leurs interrogatoires afin de ne pas être impertinents. À quand remonte la dernière fois que vous avez entendu ce mot ? Savez-vous ce qu'il signifie ? Cela signifie manquer de respect. La police ne cherche pas simplement un suspect, coupable ou innocent, pour clore l'affaire. La police ne veut que le coupable. Aujourd'hui, ils s'en moquent. Ils veulent juste classer les affaires. Le procureur veut juste une autre condamnation. Le juge veut juste un calendrier d'audiences dégagé. C'est tellement différent d'aujourd'hui, où les suspects sont harcelés aussi bien par leur avocat que par le procureur pour accepter un accord de plaidoyer, qu'ils soient innocents ou coupables, ce qui permet de clore rapidement l'affaire, d'offrir au procureur une nouvelle condamnation et de désengorger le rôle du juge.
Les limites imposées à la police dans les romans policiers britanniques des années 1920 et 1930 sont tout simplement incroyables aujourd'hui. Il en va de même du comportement des personnages qui refusent d'aider la police car cela les obligerait à trahir un secret. Imaginez le contraste avec notre époque, où chacun est impatient de dénoncer son prochain.
Ma conclusion est que j'aurais aimé être né il y a longtemps et être mort avant notre époque barbare. Le soir, en lisant avant de me coucher, je m'émerveille de ce monde civilisé que nous avons perdu.
https://www.lewrockwell.com/2025/11/paul-craig-roberts/the-world-that-was/
La différence entre l'argent et l'intelligence est que l'argent se crée à la pelle, la valeur n'existe pas, tandis que l'intelligence elle y est ou elle n'y est pas.
SupprimerNvidia : plus de 5 000 milliards de dollars de valorisation boursière !
RépondreSupprimer29 octobre 2025
Yves Bourdillon
Le mastodonte américain des puces électroniques Nvidia est devenu mercredi la première entreprise au monde à franchir le cap symbolique des 5.000 milliards de dollars de valorisation boursière, preuve de l’appétit accru pour les valeurs liées à l’intelligence artificielle, mais aussi du dynamisme vertigineux des entreprises américaines de haute technologie. Contrastant avec une Europe auto ligotée dans la quête frénétique de régulations à Paris (bonjour, l’obligation de WC sur les petits navires ramassant les huitres), ou à Bruxelles (hello l’obligation l’an prochain de déclarer tout découvert de plus de 200 euros comme un crédit à la consommation, avec étude de solvabilité), ou le poids financier de l’Etat-Providence.
Illustration ; parmi les douze entreprises d’une valorisation boursière supérieure à mille milliards de dollars, toutes sont américaines (Nvidia, Microsoft, Appel, Aphabet, Meta, Tesla, Berskshire, JP Morgan, Walmart, etc), généralement dans le secteur du numérique, sauf une saoudienne dans le pétrole et une taïwanaise dans les micro-processeurs. Il faut descendre à la 28ème place pour trouver une Européenne, aux Pays-Bas, l’européenne suivante étant le Français, LVMH, 34ème place. Sur les quarante entreprises les mieux valorisées de la planète, trente-trois sont américaines (généralement californiennes), presque toutes créées il y a moins d’un demi-siècle. L’Europe est larguée dans la compétition high tech en ce qui concerne les grandes entreprises.
https://contrepoints.org/nvidia-plus-de-5-000-milliards-de-dollars-de-valorisation-boursiere/
Là, les riches qui dépensent leur argent ne font pas travailler 10, 50 ou 100 personnes mais des milliers ! des dizaines de milliers ! Construire un yacht, un avion, une voiture de luxe, une maison de 34 pièces avec toutes ses garnitures demande beaucoup de personnel. Beaucoup !
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