Jean-Philippe Delsol
S’appuyant notamment sur une étude de l’institut Jean Jaurès, une offensive socialiste est menée par le sénateur Alexandre Ouizille pour taxer les plus-values latentes constatées lors des transmissions, réformer le pacte Dutreil pour concentrer ses effets sur les PME et ETI et augmenter le taux marginal des successions à 50 % au-delà de 3 millions d’euros. Cette hargne contre l’héritage et la propriété est mortifère.
Il y a Bakounine et les Saint-Simoniens qui voulaient abolir l’héritage. Il y a les marxistes ou néo marxistes comme Piketty qui préfèrent l’égalité dans la pauvreté à l’enrichissement du plus grand nombre dans l’inégalité. Au mieux, pour avoir quelque crédibilité, ils ménagent les petits patrimoines. Marx ne tolérait quelque héritage familial qu’en attendant la disparition de la propriété. Mélenchon ne prend tout qu’au-delà de 12M€ !
La propriété et l’héritage contestés
De tous bords se lèvent des attaques contre les successions. Des chrétiens qui considèrent que les biens de ce monde ne nous sont que prêtés à usage, voudraient, à l’encontre de l’enseignement de saint Thomas d’Aquin, confisquer les patrimoines au décès de chacun pour les redistribuer uniformément aux jeunes ainsi que, déjà en 1853, le philosophe catholique François Huet le recommandait dans son ouvrage Le règne social du christianisme.
Rawls (2001), suggère de taxer à taux progressif, comme un revenu, tout ce que reçoit chaque individu dans le cours de sa vie. Une proposition reprise par Atkinson (2015) en Angleterre et par France Stratégie (Jean Pisani Ferry 2017) ou le Conseil d’analyse économique (Clément Dherbécourt), tous deux dépendant du premier ministre.
Pseudo libéral, Stuart Mill proposait de supprimer l’héritage au profit des collatéraux, de fixer un plafond à l’héritage des enfants ou de l’imposer lourdement. Ordo libéraux, Röpke défendait des droits de succession importants et très progressifs tandis que Rüstow préconisait une taxation radicale de l’héritage.
Certains libertariens sont si individualistes qu’ils considèrent que chacun ne doit répondre à ses besoins que par lui-même. Ils souhaitent à ce titre que l’héritage soit aboli pour éviter de fausser le marché par des rentes, sauf éventuellement à allouer, par les héritages confisqués, une dotation aux jeunes pour leur permettre de démarrer dans la vie ( cf. Otsuka, Steiner et Vallentyne, 2005, p. 210 et ss. ou Koenig). Un mort n’a plus la capacité de transférer ses biens observe le libertarien de gauche Hillel Steiner.
Ils ont tous tort. Pourquoi un individu pourrait-il tout donner durant sa vie mais ne pas pouvoir le faire sous condition suspensive de sa mort ? Pourquoi privilégier celui qui dilapide sa fortune à l’encontre de celui qui souhaite la transmettre ?
La propriété est naturelle à l’homme
La reconnaissance de la propriété comme naturelle à l’homme a été l’un des ferments de notre civilisation grecque, romaine et judéo chrétienne fondée sur la liberté qui ne s’épanouit que dans le respect de la propriété. La propriété coexiste à l’homme, elle est constitutive de sa nature en ce sens que l’homme est déjà propriétaire de lui-même, c’est-à-dire aussi responsable de lui-même ; en ce sens aussi que la propriété est l’outil de son autonomie. Les régimes totalitaires en sont le sombre contre-témoignage : ils dénuent tout homme de toute propriété pour le rendre servile.
« La raison pour laquelle les hommes entrent en société, nous dit Locke, c’est la préservation de leur propriété. » Avec Aristote, saint Thomas a observé que la propriété procure 1° une administration meilleure des biens ; 2° un ordre plus grand et mieux observé ; enfin, 3° la paix mieux assurée entre les hommes.
La propriété est nécessaire à l’échange qui favorise la prospérité. Elle incite à la créativité, à l’innovation, au progrès humain. Des droits de succession reviennent bientôt à une nationalisation sans indemnité et à une collectivisation dont chacun sait qu’elle est toujours désastreuse.
La transmission est nécessaire à la civilisation
Comme Pascal Salin l’observe, rien ne justifie « que les parents [aient] le droit de donner naissance à leurs enfants, de les éduquer, de les doter d’un capital humain, mais pas de leur transmettre un patrimoine sans que l’État y prélève sa part. » Dans l’énergie que chacun met à accumuler de la richesse, qu’elle soit modeste ou importante, il y a souvent plus que la volonté de jouir de ses biens ou de se protéger de l’avenir. Il y a presque toujours le souhait de transmettre, de vivre par ses héritiers dotés au-delà de soi-même, de faire vivre un patrimoine, son œuvre après soi. Et cette possibilité de transmettre est un puissant moteur dans l’action quotidienne, dans les projets, dans le souci d’économie de chacun sans lequel il n’y aurait pas ou moins d’épargne et donc pas ou moins d’investissement. Les hommes sont prêts à s’engager plus facilement dans l’aventure de la vie en sachant qu’ils travaillent pour ceux qui leur survivent et les continuent.
La propriété inscrit les individus dans l’espace et dans le temps. Elle structure matériellement les familles. Le socialiste Pierre-Joseph Proudhon (Théorie de l’impôt,1860) considérait que les impôts de succession sont « une attaque formelle à la famille, à l’organisation intime de la société. […] Avec l’impôt sur les successions, l’État sort de ses attributions fiscales ; il se fait réformateur des mœurs, ce qui est bien autrement grave que de s’immiscer dans l’industrie ; il s’introduit dans la famille ; dans une certaine mesure il la nie. Il défait ce qui est au-dessus de lui, antérieur à lui, ce sans quoi il n’existerait pas, et qu’il est tenu de protéger par-dessus toute chose. »
Mais c’est précisément pour abolir la famille et l’histoire, la propriété et ses attachements, pour dissoudre l’individu dans la société que se liguent contre les successions l’extrême gauche et ses idiots utiles, des socialistes aux chrétiens progressistes jusqu’à certains libertariens. Et c’est parce que leur but est cette destruction qu’il faut les arrêter dans cet élan subversif et ravageur.
https://contrepoints.org/halte-au-hold-up-des-socialistes-sur-les-successions/
L'héritage est devenu une punition ! un châtiment bien orchestré par la frange nazi des moins que rien qui veulent tout sans avoir travaillé ni l'intelligence pour gérer !
RépondreSupprimerC'est la condamnation du père qui toute sa vie à œuvré pour sa femme et pour ses enfants qui, tout-à-coup, lorsque le père vient à disparaître, le 'château' s'écroule.
La veuve et ses enfants n'auront rien. La mère a travaillé toute sa vie à nourrir ses enfants, les enfants ont travaillé toute leur vie à s'éduquer auprès de leurs parents. L'entreprise était prospère. Oui, elle 'était'. Elle l'était jusqu'à ce que des criminels arrivent et volent les biens d'autrui puisqu'aujourd'hui (loi faite pour les arabes) les meurtriers sont récompensés ! sont applaudis ! sont félicités d'avoir squatter ! D'avoir détruit ! D'avoir tué.
La femme et ses enfants privés de lit, de table, de chaises et privés de toit dérivent vers le suicide ou la violence de se défendre.
Certains iront habiter des grottes, faire du feu, couper des arbres et chasser pour manger. Ils s'habilleront de peaux de bêtes.
Les barrages s’amoncellent ! Depuis quelques mois sont apparus des sites avec lun cadre en milieu d'écran annonçant "Acceptez les cookies" ou "Acceptez les cookies" !
RépondreSupprimerS'il y a une chose a NE JAMAIS FAIRE c'est de cliquer sur une des deux cases ! Votre ordinateur est perdu ! Foutu ! Vous avez facilité l'entrée de virus espions destructeurs qui vont diriger votre machine !
Après les sites https://seppi.over-blog.com sur l'agriculture et https://tkp.at/wissenschaft/ médical, un autre gros con expose son pavé ! https://phys.org site non scientifique où je relève des perles !
C'est "Comment empêcher les internautes de s'informer !" Vous pensiez que votre 'anti virus' vous protégeait ? oui mais quand c'est vous qui invitez des terroristes chez vous...
Ajoutez-y ZeroHedge ! et Faceboock
SupprimerLa Californie est à la tête des États qui ont détourné près de 200 millions de dollars de subventions fédérales en matière de santé pour les immigrants illégaux.
RépondreSupprimer12/11/2025
Lance D Johnson
Comment une nation peut-elle assurer son propre avenir lorsque ses dirigeants détournent activement les précieuses ressources des contribuables vers ceux qui ont enfreint ses lois pour entrer sur le territoire ? C’est la question pressante à laquelle tous les Américains doivent désormais faire face, alors qu’un nouveau rapport choquant révèle le détournement systématique de près de 200 millions de dollars de subventions fédérales en matière de santé au profit des immigrants illégaux. Alors que les citoyens qui travaillent dur luttent contre l’inflation et une économie précaire, un réseau fantôme de programmes gouvernementaux et d’institutions universitaires fonctionne avec un ensemble de priorités différent, qui récompense l’anarchie et impose un fardeau énorme et inavoué au trésor public. L’État de Californie est le coupable le plus flagrant, mais il s’agit d’une crise nationale de moralité fiscale et de volonté politique, exigeant des responsabilités immédiates et une restauration fondamentale de l’État de droit.
Points clés :
Un rapport d’Open the Books révèle que près de 197 millions de dollars de subventions fédérales liées à la santé ont bénéficié aux immigrants illégaux depuis l’exercice 2021.
La Californie a reçu le plus de financement de tous les États, soit environ 65,5 millions de dollars, suivie par la Floride et Washington, D.C.
Le financement transitait par des agences telles que le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), les National Institutes of Health (NIH) et même AmeriCorps.
Ce chiffre n’est que la pointe de l’iceberg, sans compter les 27 milliards de prestations Medicaid et les 70 milliards de dépenses annuelles d’éducation pour les immigrants illégaux.
Ces dépenses encouragent l’immigration illégale et représentent une mauvaise allocation fondamentale de l’argent des contribuables.
La trahison budgétaire des démocrates
RépondreSupprimerL’examen détaillé réalisé par l’organisme de surveillance gouvernemental Open the Books agit comme un instrument chirurgical, dissipant le brouillard bureaucratique pour révéler un système profondément enraciné. Les près de 200 millions de dollars identifiés ne constituaient pas un crédit unique et massif, mais étaient distribués à travers un réseau complexe de programmes fédéraux, chacun portant un nom qui cache sa véritable fonction. La majorité des dépenses, soit un montant colossal de 185 millions de dollars, a été acheminée par l'intermédiaire du ministère de la Santé et des Services sociaux. Au sein du HHS, la Health Resources and Services Administration (HRSA) et le Ryan White HIV/AIDS Program ont joué un rôle clé, finançant les traitements médicaux, les conseils et les médicaments pour les patients à faible revenu dans les zones où une partie importante des bénéficiaires sont sans papiers.
C’est là que le langage de la santé publique est transformé en une arme contre la responsabilité budgétaire. Le concept d'« équité en santé », défini par le NIH comme garantissant à chacun une « chance équitable » en matière de santé, est utilisé pour justifier ces dépenses. Mais qu’en est-il de l’équité envers les citoyens américains et les résidents légaux dont l’argent des contribuables est utilisé pour fournir des services à des personnes qui ne sont pas légalement présentes ? Ce n’est pas de l’équité ; il s’agit d’un transfert calculé de ressources qui ronge les fondements mêmes de la souveraineté nationale et du consentement des gouvernés.
Complicité académique et connexion californienne
La trahison s’étend au-delà des services de santé directs et s’étend aux salles sacrées du monde universitaire, où des institutions prestigieuses sont devenues des partenaires volontaires dans ce détournement de fonds. Les National Institutes of Health ont accordé des millions aux universités pour des projets de recherche ciblant spécifiquement les populations sans papiers. L’Université de Stanford, par exemple, a empoché 4,3 millions de dollars pour étudier l’impact d’un programme pilote de revenu de base universel, qui inclut les immigrants illégaux, sur le risque de cancer. UCLA 2,4 millions de dollars pour étudier l'accès aux soins de santé reproductive pour les immigrantes asiatiques « sans statut légal ». Il ne s’agit pas ici de recherche pure ; il s’agit d’un activisme politique financé par le contribuable américain, destiné à normaliser et à justifier l’élargissement des prestations à ceux qui ne devraient pas être dans le pays.
La Californie, État sanctuaire, est devenue l’épicentre de ces malversations fiscales, recevant plus de 65,5 millions de dollars. Cet argent a été injecté dans des programmes de traitement du VIH et de santé comportementale dans des régions à forte densité d’immigration comme le comté de Los Angeles, utilisant efficacement les dollars fédéraux pour subventionner les politiques radicales de l’État.
RépondreSupprimerMais le dispositif est national. Un montant supplémentaire de 2,5 millions de dollars est venu d'AmeriCorps, une agence traditionnellement associée au service national, pour mener des actions de sensibilisation dans le Colorado en faveur d'un programme de santé subventionné par l'État qui inclut les immigrants illégaux. Lorsque même AmeriCorps est cooptée dans ce programme, cela révèle un problème métastasant qui a infecté plusieurs niveaux de gouvernement.
Le véritable coût de l’anarchie
Le chiffre de 197 millions de dollars, aussi alarmant soit-il, n’est qu’un acompte sur le véritable coût de cet échec politique. Open the Books indique explicitement que ce chiffre exclut les dépenses indirectes monumentales. Le Congressional Budget Office a estimé que les prestations Medicaid pour les immigrants illégaux coûteraient la somme faramineuse de 27 milliards de dollars entre 2017 et 2023. En outre, on estime que les dépenses d’éducation des immigrants illégaux et de leurs enfants coûteraient environ 70 milliards de dollars par an. Il ne s’agit pas d’une goutte d’eau mais d’un flot d’encre rouge, d’un drainage délibéré des ressources nationales qui auraient pu renforcer la sécurité sociale, réparer les infrastructures ou rester dans les poches des citoyens qui les ont méritées.
Le Parti démocrate s’est battu à plusieurs reprises pour protéger et étendre ces mêmes avantages, au point même de menacer les opérations gouvernementales. Pendant ce temps, le Parti républicain a, à juste titre, tenu bon, insistant sur le fait que ce niveau d’anarchie et de gaspillage budgétaire doit être tenu pour responsable. La forte baisse récente des passages aux frontières grâce aux efforts renouvelés de contrôle prouve que les incitations sont importantes. Lorsque le flux des prestations gratuites est restreint, le flux de l’immigration clandestine ralentit. Le peuple américain n’est pas sans cœur ; ils sont rationnels. Ils comprennent qu’un pays sans frontières et sans contrôle sur son trésor n’est pas du tout un pays. Il est grand temps pour le Congrès d’utiliser son pouvoir de gain pour mettre définitivement fin à cette utilisation abusive flagrante de l’argent durement gagné des contribuables et rétablir un gouvernement qui sert son peuple, et non le monde entier.
Sources include:
RépondreSupprimerYournews.com
OpentheBooks.com
Enoch, Brighteon.ai
https://www.naturalnews.com/2025-11-12-federal-grants-went-to-illegals-california-leads-way.html
800 patrons français dénoncent une fiscalité punitive qui nuit à la souveraineté
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 11 novembre 2025 - 14:50
Le 6 novembre, dans L’Express, plus de 800 dirigeants d’entreprise ont dénoncé une fiscalité qu’ils jugent punitive, une dérive budgétaire qui menace la compétitivité et la souveraineté économique du pays.
Pour ces dirigeants, la France n’étouffe pas sous les dettes, mais sous la méfiance politique envers la création de valeur. Leur tribune accuse une fiscalité devenue idéologique, « pensée comme une sanction » plutôt que comme un levier d’équilibre. Alors que la France détient déjà le taux de prélèvements obligatoires le plus élevé d’Europe, les signataires redoutent de nouvelles hausses qui « anéantiraient croissance, emploi et recettes fiscales ».
Les chiffres qu’ils avancent ne laissent guère de place au doute. Les impôts de production atteignent 4,6 points de PIB, soit le double de la moyenne européenne. Les cotisations patronales flirtent avec les 10 points contre 7,6 dans la zone euro. « Ces écarts minent notre compétitivité, notre attractivité et, à terme, notre souveraineté économique », préviennent-ils. L’ombre de la taxe Zucman, rejetée fin octobre mais susceptible de revenir d’ici 2027, plane comme une menace sur leurs investissements. « Comment investir, recruter ou former sereinement avec une telle épée de Damoclès au-dessus de nos têtes ? », interrogent-ils.
En clair, ils exigent que l’économie réelle reprenne le dessus sur les postures. « Le consentement à l’impôt, oui. La spoliation, non. Trop, c’est trop », tranchent-ils.
https://www.francesoir.fr/societe-economie/800-patrons-francais-denoncent-une-fiscalite-punitive-qui-nuit-la-souverainete
La dérive écologiste de la Cour des comptes
RépondreSupprimer10 novembre 2025
Philbert Carbon
« La Cour des comptes est l’institution supérieure de contrôle chargée de vérifier l’emploi des fonds publics et de sanctionner les manquements à leur bon usage. » Tel est défini le rôle de la juridiction financière sur son site internet.
Cette définition paraît pourtant obsolète au vu des dernières prises de position de l’institution et de son Premier président Pierre Moscovici. Contrepoints a dénoncé il y a peu leur immixtion dans le champ de l’écologie. Ce ne sont pas les partenariats que noue la Cour qui vont changer la donne.
Dans un communiqué daté du 3 novembre 2025, l’institution de la rue Cambon a annoncé avoir signé une convention de partenariat avec l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), en vue de « rapprocher le monde de la recherche et celui du contrôle et de l’évaluation des politiques publiques ». Il est précisé que ce partenariat « doit favoriser les échanges d’expertise, la formation et la co-construction de travaux communs sur des thématiques au cœur des grands défis de société : agriculture, alimentation, environnement, transitions énergétique et climatique, et gestion durable des ressources naturelles. »
Si l’on comprend bien que les magistrats financiers aient parfois besoin d’avoir des éclaircissements de la part d’experts pour mieux comprendre ce qu’ils sont en train de contrôler, il nous semble cependant que cette coopération pose question.
Elle s’inscrit, en effet, dans la droite ligne du rapport publié en septembre 2025 sur la transition écologique dans lequel la Cour estimait notamment que les efforts français « ne sont désormais plus suffisants pour remplir les objectifs climatiques » du pays.
Rappelons que la Cour des comptes a noué un partenariat avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) en 2020 dont la dernière manifestation publique a consisté en un colloque sur « Les politiques d’adaptation face au changement climatique ». Colloque au cours duquel Pierre Moscovici a déclaré qu’il avait « à cœur de faire de l’enjeu de la transition écologique un axe central » de l’action de la Cour.
En mettant la transition écologique au cœur de son action, Pierre Moscovici transforme l’institution sans que personne ne s’en émeuve à la tête de l’État.
RépondreSupprimerLa Cour des comptes dénonce régulièrement les dérapages, voire les dérives, des institutions publiques. N’est-il pas temps de dénoncer la dérive écologiste de la juridiction financière ?
https://contrepoints.org/la-derive-ecologiste-de-la-cour-des-comptes/
Compétitivité de l’industrie allemande : les indicateurs sont au plus bas
RépondreSupprimer11 novembre 2025
Lorenzo Delpech
Contrepoints avait annoncé il y a quelques semaines l’état calamiteux de l’économie allemande, l’Institut Ifo (centre de recherche économique allemand, spécialiste dans le climat des affaires) en rajoute une couche. La compétitivité allemande glisse, inexorablement, et particulièrement dans l’industrie. En octobre, 36,6 % des entreprises déclarent une baisse de compétitivité face aux pays hors Union européenne, contre 24,7 % en juillet. Jamais les enquêtes Ifo n’avaient enregistré un tel effondrement. La dégradation touche aussi le marché intérieur européen, où 21,5 % des entreprises se disent désormais dépassées par leurs concurrentes européennes, contre 12 % trois mois plus tôt. Selon Klaus Wohlrabe, économiste à l’Ifo, « Cela montre à quel point l’impact des problèmes structurels est devenu fort. ».
La chute est généralisée, mais elle est particulièrement forte dans le domaine de la chimie. Le climat des affaires y plonge à -19,4 points, contre -12,0 points en septembre. La perception de l’avenir s’est fortement détériorée, passant de -3,7 à -13,3 points. Quant à la perception de la situation actuelle, déjà morose, elle se dégrade encore, passant de -19,8 à -25,3 points. Les carnets de commandes atteignent -68,9 points, leur plus bas niveau depuis plus de trente ans. Les industries de la chimie n’utilisent que 71 % de leurs capacités de production, loin de la moyenne historique de 81 %. Anna Wolf, experte du secteur à l’Ifo, résume la situation : « Les mesures d’aide du gouvernement ne suffisent pas à inverser la tendance. »
Les industriels, étranglés par un « manque de compétitivité » et des « coûts élevés », selon Anna Wolf, sont obligés de réduire leurs investissements. De plus, l’électronique et l’optique plongent à 47 % d’entreprises en perte de compétitivité, la mécanique à environ 40 %.
Le modèle allemand s’effondre sous le poids d’un pays devenu éco-socialiste. Le moteur européen est désormais officiellement à l’arrêt.
https://contrepoints.org/competitivite-de-lindustrie-allemande-les-indicateurs-sont-au-plus-bas/
Faire taire les scientifiques : dissidence, censure et nouvelle technocratie
RépondreSupprimerPar Mark Keenan
12 novembre 2025
Pendant la majeure partie de l'histoire moderne, la science était synonyme de liberté de questionnement. Aujourd'hui, cette liberté disparaît. Dans les universités, les revues scientifiques et sur les plateformes numériques, des voix critiques s'élèvent pour dénoncer l'effacement des scientifiques dissidents du débat public. Deux crises ont illustré cette transformation plus clairement que toute autre : le changement climatique et la Covid-19.
Dans les deux cas, des débats complexes ont été réduits à des slogans : « la science est établie », « faites confiance aux experts », « suivez la science ». Mais en réalité, « la science » est devenue une marque, propriété des gouvernements, des entreprises et des médias dont les intérêts financiers et politiques reposent sur le consensus, et non sur la découverte. Ce qui était autrefois un processus de questionnement a été remplacé par une culture de l'obéissance. Et pour ceux qui refusent de se conformer, la sanction est immédiate : censure, exil professionnel et stigmatisation publique.
De la recherche à l'idéologie
La science, dans sa forme la plus aboutie, s'autocorrige. Elle se nourrit de la remise en question, de la reproduction et de la révision. Pourtant, le milieu scientifique moderne – fortement dépendant des financements publics et privés – considère désormais toute remise en question comme une subversion.
Lorsque j'ai travaillé au sein de la bureaucratie climatique – d'abord au ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, puis comme experte technique pour le Programme des Nations Unies pour l'environnement – j'ai constaté comment l'incertitude scientifique était discrètement gérée. L'incitation était toujours la même : simplifier le message, exagérer la menace, étouffer les doutes.
La dissidence n'était pas seulement gênante ; elle était dangereuse. Les carrières dépendaient du maintien de l'illusion du consensus. C'est ainsi qu'est née ce que j'appelle la « science par décret » – où la vérité n'est pas découverte, mais proclamée.
Le credo climatique
Ce constat est particulièrement flagrant en climatologie. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (IPCC) a été créé pour étudier l'impact humain sur les températures mondiales, mais son utilité politique a rapidement éclipsé sa mission scientifique.
Au milieu des années 1990, les preuves qui contredisaient le discours dominant sur le carbone ont été discrètement minimisées. Les signataires de la Déclaration Climate Intelligence (CLINTEL) affirment qu'il n'existe pas d'urgence climatique induite par le gaz carbonique. Pourtant, leurs conclusions sont rarement rendues publiques.
RépondreSupprimerPrenons l'exemple du géophysicien marin australien Peter Ridd, licencié de l'Université James Cook après avoir publiquement contesté des recherches faisant état de graves dommages liés au changement climatique sur la Grande Barrière de corail. Ridd soutenait avoir été sanctionné pour dissidence académique, tandis que l'université affirmait qu'il avait enfreint le règlement intérieur. Le litige a été porté devant plusieurs tribunaux et a finalement donné lieu à un débat national sur la liberté académique.
Aux États-Unis, la climatologue Judith Curry, ancienne directrice de l'École des sciences de la Terre et de l'atmosphère de Georgia Tech, a pris une retraite anticipée, estimant que le milieu universitaire était devenu « anti-intellectuel » et hostile envers les scientifiques qui remettaient en question le consensus.
En 2014, le météorologue renommé Lennart Bengtsson a démissionné de la Global Warming Policy Foundation, un groupe de réflexion sceptique sur les politiques climatiques, après que des collègues l'eurent averti que son implication pourrait nuire à sa carrière. Bengtsson a qualifié les réactions négatives de « sévères » et de « dignes du maccarthysme ».
Lorsque des climatologues dissidents comme le Dr Nils-Axel Mörner – ancien président du Comité du niveau de la mer du IPCC – ont contesté les projections alarmistes, ils ont été diffamés ou ignorés. Dans le discours actuel, remettre en question l'orthodoxie climatique n'est pas un débat, c'est un sacrilège. J'examine les preuves scientifiques réfutant les affirmations climatiques fondées sur le gaz carbonique – ainsi que le programme politique trompeur de l'ONU, promu par le biais des Objectifs de développement durable – dans mon livre *Climate CO2 Hoax*.
Le manuel de la pandémie : controverses autour des tests PCR, des bilans de mortalité et de l’isolement des personnes infectées
RépondreSupprimerPuis vint l’année 2020. La « crise » de la Covid-19 a accéléré un phénomène déjà amorcé par la politique climatique : la fusion du pouvoir scientifique et étatique. Partout dans le monde, les gouvernements ont instauré un contrôle sans précédent sur la liberté d’expression, la médecine et la liberté de circulation, le tout au nom de la « santé publique ». Les géants du numérique ont imposé cette nouvelle orthodoxie, censurant en temps réel les médecins et les études dissidentes.
Dans mon livre paru en 2023, « No Worries No Virus », j’ai analysé les lacunes et les incohérences du discours officiel sur la Covid-19 et cherché à déterminer si certains aspects avaient été planifiés ou orchestrés à l’avance pour servir des intérêts politiques et économiques.
Les inquiétudes concernant la méthodologie des tests PCR ne se sont pas limitées aux réseaux sociaux. Certaines critiques des tests PCR, publiées dans des revues à comité de lecture, ont peiné à se faire connaître sur les grandes plateformes. Dans au moins un cas, leur publication a entraîné une réévaluation formelle de la méthodologie utilisée dans un protocole largement adopté. Fin 2020, la revue Eurosurveillance a annoncé la réévaluation d'un article influent de Corman et Drosten sur la PCR, suite à la soumission d'une critique par plusieurs scientifiques, évaluée par leurs pairs, pointant du doigt des failles méthodologiques et une approbation anormalement rapide (Retraction Watch, 7 décembre 2020).
Des critiques affirment que des milliers de professionnels de santé ont été réduits au silence par la peur et l'intimidation. En Irlande, par exemple, le Dr Pat Morrissey a été licencié après avoir publiquement critiqué la politique gouvernementale face à la Covid-19. Il a dénoncé ce qu'il a qualifié de « bureaucrates mégalomanes », avertissant que « la liberté d'expression est très restreinte et que ceux qui osent critiquer risquent d'être éliminés ». Le message était clair : il n'existe qu'une seule science, celle de l'État.
Je fais partie des nombreux chercheurs qui ont affirmé que les registres d'exportation montrent que d'importantes quantités de kits de dépistage de la Covid-19 ont franchi les frontières bien avant l'annonce officielle de la pandémie en 2019. Les documents commerciaux semblaient indiquer la présence de kits de dépistage liés à la Covid-19 dans les bases de données avant même l'identification officielle du virus. Les critiques soutiennent que ces entrées résultent de mises à jour rétroactives des codes de produits, mais le calendrier soulève néanmoins des questions chez les analystes quant à la planification institutionnelle précoce.
RépondreSupprimerMes recherches ont également mis en lumière des exercices de simulation de pandémie remontant à 1999 et le scénario Lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010, tous deux promouvant des mesures de contrôle autoritaires sous couvert de santé publique.
Le décompte des décès liés à la Covid-19 a également suscité la controverse. À partir de documents officiels et de témoignages d'experts, j'ai examiné comment les systèmes de déclaration classaient souvent les décès comme étant liés à la Covid-19 sur la seule base d'un test positif. Par exemple, un document du gouvernement d'Irlande du Nord, datant d'août 2020 et que j'ai téléchargé, indiquait que les décès étaient comptabilisés si la personne décédée avait été testée positive dans les 28 jours précédents, « que la Covid-19 soit ou non la cause du décès ».
Une approche similaire a été confirmée en République d'Irlande. Lors d'une réunion du Comité spécial Covid-19 du gouvernement en 2020, le député Michael McNamara a interrogé le Service exécutif de la santé (HSE), qui a reconnu que les décès étaient enregistrés comme des décès liés à la Covid-19 dès qu'un test était positif, même dans des cas tels que les crises cardiaques ou les accidents.
Aux États-Unis, la directrice de la santé publique de l'Illinois, la Dre Ngozi Ezike, a expliqué que toute personne décédée après avoir été testée positive était comptabilisée comme un décès lié à la Covid-19, même si une autre cause était évidente. Elle a précisé : « Techniquement, même si vous êtes décédé d'une autre cause claire, mais que vous étiez également atteint de la Covid-19, le décès est tout de même comptabilisé comme un décès lié à la Covid-19.» Un rapport du CDC datant d'août 2020 a également montré que la majorité des décès enregistrés liés à la Covid-19 étaient associés à des pathologies graves concomitantes. Les critiques estiment que cela démontre que les décès « avec » la Covid-19 n'étaient pas toujours distinguables des décès « dus » à la Covid-19.
RépondreSupprimerPar ailleurs, mentionner les effets secondaires des vaccins peut entraîner des suspensions, comme j'ai pu le constater moi-même lorsque j'ai été banni de Twitter pour avoir publié des données publiques relatives à ces effets.
Au-delà des débats sur la comptabilisation, certains scientifiques sont allés plus loin, remettant en question les fondements mêmes de la virologie. Un petit groupe de scientifiques, mais très actif, comprenant les Drs Stefan Lanka, Claus Köhnlein, Thomas Cowan et Sam Bailey, conteste la virologie conventionnelle. Ils affirment que l'existence de virus tels que le SARS-CoV-2 n'a pas été scientifiquement prouvée comme le prétend la virologie conventionnelle. Ils remettent en question l'isolement concluant du SARS-CoV-2 selon les critères qu'ils estiment nécessaires, suggérant que les tests actuels pourraient détecter des fragments de matériel génétique humain plutôt qu'un virus entièrement nouveau. Lanka soutient que la virologie moderne a pris une mauvaise direction dans les années 1950 et que cette dérive a été perpétuée depuis par appât du gain. J'examine leurs travaux en détail dans mon livre « No Worries No Virus ». Leur position est rejetée par la communauté virologique, qui conteste ces affirmations.
En résumé, mes recherches suggèrent que ce que le public a perçu comme une urgence sanitaire a en réalité fonctionné comme un système de contrôle façonné par des intérêts politiques, une science erronée et d'importantes incitations financières. Selon moi, la véritable histoire de la Covid-19 était moins une question de médecine que de pouvoir. La censure institutionnelle a étouffé les voix dissidentes, y compris la mienne, après ma suspension des réseaux sociaux pour avoir partagé des documents d'approvisionnement qui semblaient révéler une planification anticipée de la gestion des effets indésirables des vaccins.
RépondreSupprimerLa crise spirituelle derrière la « science par décret »
Le problème de fond n'est pas seulement politique, mais aussi philosophique. La technocratie moderne a substitué le matérialisme à la vérité et la croyance au progrès à la croyance au contrôle. Mes recherches indiquent que divers domaines de la « science » officielle – de la climatologie à la gestion des pandémies – ont été pervertis au service du profit, des intérêts des entreprises et de l'idéologie, au détriment de Dieu, de la conscience et du sens.
Les critiques affirment qu'en dissociant la science des grandes questions philosophiques et spirituelles, les institutions modernes privilégient les données au détriment des questions plus profondes de sens et de vérité. De ce point de vue, une forme de technocratie a émergé, où les institutions scientifiques apparaissent moins comme des explorateurs de la réalité que comme des gardiens du savoir défendant une doctrine établie. La vraie science cherche à comprendre ; la fausse science cherche à obtenir l'obéissance.
Pour restaurer une véritable recherche, il nous faut recouvrer non seulement la liberté intellectuelle, mais aussi l'humilité morale et spirituelle : reconnaître que la vérité ne peut être la propriété ni de l'État, ni du marché, ni d'un algorithme.
Le mécanisme de la censure
RépondreSupprimerCette transformation n'est pas le fruit du hasard. En 2023, des enquêtes ont révélé l'existence de ce que les chercheurs appellent désormais le complexe industriel de la censure : une vaste alliance entre agences gouvernementales, groupes de réflexion, universités et entreprises technologiques.
Les révélations des « Twitter Files » ont indiqué que des agences comme le Département de la Sécurité intérieure et les CDC ont collaboré avec les réseaux sociaux pour signaler, déclasser ou supprimer les « désinformation ». Les cibles étaient, semble-t-il, souvent des experts reconnus, des journalistes et de simples citoyens dont les opinions divergeaient de la politique officielle.
Ce système opère désormais à l'échelle mondiale, sous de nouvelles appellations et avec de nouveaux financements – souvent justifiés par la nécessité de lutter contre la « désinformation climatique » ou la « désinformation médicale ». Il ne s'agit pas de censure au sens traditionnel du terme, comme l'interdiction ou la destruction de livres ; la répression actuelle prend souvent la forme d'une visibilité réduite : des algorithmes déclassent ou occultent les opinions dissidentes jusqu'à les rendre difficiles à trouver. C'est une forme d'effacement numérique où la dissidence disparaît tout simplement.
L'économie de l'obéissance
Le monde scientifique actuel est souvent décrit comme un système multimilliardaire où les carrières, les financements et les publications dépendent souvent du respect des discours officiels – le financement et l'avancement récompensent souvent la conformité plutôt que le débat ouvert. Les chercheurs qui remettent en question les dogmes climatiques ou pandémiques risquent leur carrière, leurs financements et leurs moyens de subsistance. Les gouvernements financent désormais des études qui confirment les politiques plutôt que de les contester – produisant ainsi des preuves étayant les politiques au lieu de politiques fondées sur des preuves. Les entreprises, elles aussi, instrumentalisent la « science » à des fins lucratives : les firmes pharmaceutiques s'en servent pour étouffer toute critique, tandis que les géants de l'énergie l'utilisent pour justifier des marchés du carbone qui enrichissent les élites et pèsent sur les nations les plus pauvres.
La rhétorique du « sauvetage de la planète » ou de la « protection des vies » peut masquer ce que les critiques considèrent comme un transfert de pouvoir du public vers une classe technocratique. Cette dynamique se manifeste alors que les gouvernements allouent des sommes considérables d'argent public à la lutte contre le changement climatique et la pandémie. Les entreprises d'énergies renouvelables ont bénéficié de subventions substantielles, et les laboratoires pharmaceutiques tels que Pfizer et Moderna ont enregistré des revenus records pendant la pandémie.
RépondreSupprimerQuand la vérité devient trahison
La moralisation de la science a transformé la dissidence en péché. Un climatosceptique n'a pas « tort » — c'est un « négationniste ». Un médecin qui remet en question les obligations sanitaires ne « débat » pas — il « propage de la désinformation ». C'est le langage de la religion, non celui de la raison. La science sans dissidence n'est pas de la science ; c'est de la propagande. Mais le coût du silence aujourd'hui est immense : toute une génération apprend que conformité rime avec intégrité.
Restaurer la liberté scientifique
La solution n'est pas de rejeter la science, mais de la dépolitiser. Cela commence par la transparence : données ouvertes, débats ouverts et financement transparent. La recherche ne doit pas être filtrée par des agendas bureaucratiques ou des intérêts corporatifs. Revues indépendantes, plateformes décentralisées et enquêtes citoyennes offrent une voie à suivre – si le public l'exige. La science appartient à tous, et non aux technocrates qui en contrôlent le discours. Les véritables progrès environnementaux et médicaux ne viendront jamais de la censure, mais de la curiosité – ce trait même qui a bâti la civilisation.
Une nouvelle ère de foi technocratique
Nous entrons dans une ère où la « croyance en la science » a remplacé la croyance en Dieu, mais sans humilité ni grâce. Nombreux sont ceux qui s’inquiètent du pouvoir extraordinaire qu’exerce désormais un petit nombre de plateformes technologiques sur l’information visible, influençant de fait, par le biais d’algorithmes, les points de vue mis en avant ou ignorés.
À moins de rétablir la liberté de questionner – que ce soit sur le carbone, la Covid-19 ou toute crise future – nous nous retrouverons à vivre non pas dans une économie du savoir, mais dans une prison informationnelle. Pour les critiques, certains pans de la science institutionnelle fonctionnent désormais presque comme une nouvelle autorité laïque, privilégiant la conformité et le contrôle. Et ses détracteurs sont, une fois de plus, les derniers défenseurs de la raison.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2025/11/mark-keenan/silencing-the-scientists-dissent-censorship-and-the-new-technocracy/
La France, première exportatrice d’argent des migrants en Europe
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 11 novembre 2025 - 14:45
Pendant que l'on débat des déficits publics, un autre gouffre financier se creuse en France : celui des transferts de fonds vers l’étranger. Entre 2009 et 2023, pas moins de 155,5 milliards d’euros ont quitté le pays, selon l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID). Ce flux, en hausse constante, a doublé en quinze ans pour atteindre plus de 15 milliards d’euros annuels.
D’après Le Figaro, la France représente à elle seule 44 % du déficit européen, estimé à 36 milliards d’euros en 2023. L’OID souligne que « la crise migratoire commencée en 2015 a assurément contribué » à cette explosion. La première puissance exportatrice de fonds de travailleurs n’est pas l’Allemagne, ni l’Italie, mais la France. En 2020, son solde d’envois à l’étranger s’élevait à -10,74 milliards d’euros, selon Eurostat.
Plus de la moitié de ces sommes bénéficient au continent africain, en particulier à l’Afrique du Nord, avec le Maroc en tête des destinataires (3,5 milliards d’euros). Mais les chiffres officiels ne disent pas tout : près d’un cinquième des flux échappent aux radars, notamment via le système informel du Hawala. Comme le rappelle l’ancien ambassadeur Xavier Driencourt, « ce système repose sur la confiance », alimenté par le double marché du dinar algérien.
La Banque mondiale reconnaît que ces fonds aident les familles restées au pays, mais souligne leur effet négatif sur l’économie nationale. L’OID y voit même un levier de politique migratoire, suggérant d’instaurer une taxe européenne sur ces transferts ou de conditionner leur libre circulation à la coopération des pays d’origine.
https://www.francesoir.fr/societe-economie/la-france-premiere-exportatrice-d-argent-des-migrants-en-europe
Enfin, la France accepte le traité avec Mercosur
RépondreSupprimer7 novembre 2025
Yves Bourdillon
Après s’y être longtemps opposé, au risque de porter atteinte aux exportateurs français vers l’Amérique latine et au risque d’un isolement certain au sein de l’Union européenne, Paris semble se résigner à accepter le traité entre les Vingt-Sept et le Mercosur.
Ce dernier regroupe l’Argentine, la Bolivie, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay, tandis que le Chili, la Colombie, le Pérou et l’Equateur sont seulement associés à ce marché unique. Cet accord, dont la négociation a débuté il y a un quart de siècle, serait l’un des plus vastes au monde en matière de libre commerce, associant une union européenne forte d’un demi-milliard d’habitants à l’essentiel de l’Amérique Latine, soit pas loin de 300 millions d’habitants.
Emmanuel Macron s’est dit jeudi « plutôt positif » sur la possibilité d’accepter l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur, grâce aux clauses de sauvegarde obtenues par la France au sujet de cet accord très critiqué parmi la classe politique et le monde agricole en France. Il s’exprimait en marge du sommet des chefs d’Etats qui précède la COP30 à Belem, au Brésil. « Nous avons été entendus par la Commission qui non seulement nous a donné une réponse positive sur les clauses de sauvegarde, mais a souhaité aussi apporter des soutiens en particulier au secteur de l’élevage, « , a ajouté M. Macron. La FNSEA a dénoncé un « reniement total » de l’Elysée tandis que sa propre ministre de l’agriculture estimait que « le compte n’y est pas », tout en admettant des avancées ; en clair le gouvernement signera tout en mimant la mauvaise humeur pour apaiser les syndicats d’éleveurs. Les éleveurs de bovins ont très peur d’être submergés d’importation de viande brésilienne, même si les volumes prévisibles semblent faibles, tandis que le secteur des produits laitiers et des vins et spiritueux voit plutôt des opportunités dans ce traité. Le traité du Mercosur avait été signé fin 2024. Adopté le 3 septembre 2025 par la Commission européenne, le texte doit encore être approuvé par les 27 pays membres avant d’entrer en application.
M. Macron avait auparavant affirmé à plusieurs reprises que cet accord n’était « pas acceptable en l’état ». Soit l’état a changé, soit le président français s’est rendu compte qu’être le seul dirigeant de l’Union européenne à bloquer l’accord n’était plus tenable.
https://contrepoints.org/enfin-la-france-accepte-le-traite-avec-mercosur/
Shein : le gouvernement moralise les consommateurs au lieu de réformer l’État
RépondreSupprimerPlus de 200 000 colis contrôlés, des ministres sur le tarmac de Roissy, une « opération d’envergure exceptionnelle » : le gouvernement a jugé bon de mobiliser la répression des fraudes, les douanes et la gendarmerie contre Shein, géant chinois de la fast fashion. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a vanté la « détermination du gouvernement à rétablir l’équité entre tous les acteurs économiques » et à « protéger les consommateurs ». Éric Piolle, le maire de Grenoble, s’y est mis, lui aussi. Il considère que Shein incarne « les pires dérives de l’ultra fast-fashion : exploitation humaine, désastre environnemental, surconsommation à outrance »… Il est vrai que la marque s’est retrouvée au cœur d’un scandale : le 31 octobre, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a constaté que des poupées à caractère pédopornographique étaient mises en vente sur le site de e-commerce. Elles ont été rapidement retirées, ce qui est une bonne chose. Faut-il pour autant fermer la plateforme en France ?
Ce scandale mis à part, nos hommes politiques oublient une chose : le succès de Shein s’explique avant tout par ses prix imbattables par rapport à la concurrence. Le véritable scandale n’est pas que des Français achètent des vêtements à bas coût, mais que leurs impôts, leurs factures et leurs cotisations ne cessent d’augmenter pendant que les services publics se dégradent. La lutte contre Shein est un écran de fumée commode : pendant qu’on contrôle des colis à Roissy et qu’on déclare du vernis à ongle « non conforme », la dette se creuse, la productivité du travail est en berne depuis la pandémie et les Français continuent de crouler sous le poids des prélèvements obligatoires. Ce lamentable sketch en dit long sur les priorités de nos représentants : ce n’est pas une plateforme chinoise qui menace la France, mais la myopie budgétaire et réglementaire de ceux qui la gouvernent.
https://contrepoints.org/shein-le-gouvernement-moralise-les-consommateurs-au-lieu-de-reformer-letat/
Pourquoi ? Parce que les produits dits 'de luxe' vendus en France sont fabriqués en Chine. La marge est confortable. Shein vend donc directement ses produis à la clientèle française.
SupprimerBusiness des WC - Les égouts recyclés en «superfood»
RépondreSupprimerVincent Held
Le blog de Liliane Held-Khawam
ven., 07 nov. 2025 22:49 UTC
Bill Gates a une vision globale de l'ensemble des processus d'activités de l'économie mondiale, et il a investi dans ceux qui ont le plus gros retour sur investissement. Ce sont généralement les domaines qui concernent les 7,6 milliards de Terriens.
- voir cadre sur site -
Voici un visuel qui vous explique les processus de transformation des déchets des toilettes (dont le papier toilette et autres produits d’hygiène) pour en faire des produits à introduire dans l’industrie agro-alimentaire. (cf nos précédentes publications sur l’eau des égouts notamment)
Nous connaissions son appétit pour le business des vaccins, et en particulier ceux à base d'ARN messager, une technologie participant au transhumanisme. Aujourd'hui, nous découvrons l'Économie des toilettes, ainsi que son corollaire, la production d'insectes. C'est que la créativité de Gates n'a pas de limites et encore moins de tabous. C'est donc naturellement que le parrain de l'OMS a investi à coups de milliards dans le « recyclage » des déchets.
Et devinez quoi, la troisième position dans le portefeuille du Gates Foundation Trust est l'action Waste Management, Inc (WM). La participation de Gates dans cette société de gestion des déchets et de services environnementaux était en effet évaluée à environ 7,4 $ milliards à la fin du deuxième trimestre (2025). Soit 15,4% de la valeur totale du portefeuille du Gates Foundation Trust !1
Bienvenue dans la Toilet Economy !
La « Toilet Economy » promue par la Fondation Gates et sa Toilet Board Coalition avec l’appui de l’ONU ne vise pas uniquement au recyclage à l’infini des égouts dans les circuits d’eau courante… En témoigne la présence dans ce groupement du géant de « l’agroalimentaire » Unilever, ou encore du spécialiste des arômes artificiels Firmenich, qui a manifestement vocation à « donner bon goût » aux productions de la Toilet Economy…
Voici quelques poids lourds de la coalition œuvrant à la promotion de l’économie des toilettes.
- voir cadre sur site -
Dans l'épisode précédent, nous avons vu que la multinationale Veolia participe à divers groupements d'intérêts (dont la Toilet Board Coalition de Bill Gates) qui ont pour but de promouvoir le recyclage des égouts en « eau potable ». Et de fait, Veolia a déjà commencé à faire boire l'eau des égouts aux habitants des Sables d'Olonne il y a deux ans de cela !
BOIRE L’ÉGOUT – La première usine française de « potabilisation » de l’eau des égouts a été
RépondreSupprimerouverte par Veolia en Vendée, en novembre 2023. Mais pourquoi préférer cette solution si
peu attrayante pour les populations concernées au fait p. ex. de tout simplement dessaler
de l’eau de mer ?
Il nous faut ainsi remarquer que la Toilet Economy comprend également un volet alimentaire, visant notamment à la transformation d'excréments humains en nourriture « saine et nutritive ».
Cette « chaîne de valeur » peu ragoûtante est ainsi basée sur l'élevage de larves de mouches soldat noires (Hermetia illucens), qui serviront à la production des aliments industriels les plus divers : pâtes à gâteaux et à biscuits, barres protéinées, bières, céréales de petits déjeuners et autres « substituts » de viande et de produits laitiers !
ENTOMILK - Cette société sud-africaine (heureusement défunte) proposait de la « glace de luxe » concoctée à base... de larves de mouches soldat noires !
« 7,6 milliards de personnes sur la planète produisent chaque jour des excréments humains, soit 3,8 trillons de litres (...) Ces ressources, une fois captées et exploitées, offrent des possibilités d'utilisation très intéressantes ».(Toilet Board Coalition, « la fortune dans nos toilettes », novembre 2017)
OR BRUN – La Toilet Coalition Board de la Fondation Gates propose ainsi un « calculateur » pour évaluer la quantité (en tonnes) de larves de mouches noires qui peut être générée à partir d’un volume d’excréments donné.
- voir cadre sur site -
C'est ainsi que l'idée d'employer des larves de mouches noires afin de créer des « nourritures innovantes » (novel foods) à base d'excréments humains tirés des égouts est un projet activement soutenu par l'EAWAG, l'institut de « recherche sur l'eau » de l'École polytechnique de Zurich. Car cet organisme aura justement reçu des financements de la Fondation Gates dès 2011 pour contribuer à « réinventer les toilettes » — en plus de collaborer avec Nestlé au développement « d'aliments durables à base d'insectes »...2
RépondreSupprimerDÉLOCALISATION – Veolia participe elle aussi, sans grande surprise, à la concoction d’aliments
« sains et nutritifs » à base de larves de mouches noires. Des productions réservées pour l’instant
à « l’alimentation animale » (y c. d’élevage) – et que Veolia importe aujourd’hui en Europe…
depuis la Malaisie ! Car il faut bien reconnaître que ce pays sert, avec son voisin Singapour,
de laboratoire en matière de Toilet Economy…
MALAISANT – La société malaisienne Entomal Biotech se prépare justement à
commercialiser des « snacks » et autres friandises à base de larves de mouches
noires. Le tout étant d’habituer les populations-cible à l’idée que ces « protéines
alternatives » particulièrement « efficaces en termes de coûts » seront mêlées,
à l’avenir, à leur alimentation quotidienne.
Or, s'il apparaît que l'UE (et donc la Suisse) n'a toujours pas approuvé l'emploi de larves de mouches noires pour la consommation humaine à ce stade, le Royaume-Uni a en revanche déjà franchi le pas en janvier 2024 !
PARTENARIAT PUBLIC-PRIVÉ – Le département du Développement international
RépondreSupprimerbritannique soutient activement le « business » du recyclage des égouts, mené par
la Fondation Gates et sa Toilet Board Coalition… On notera que le géant de
« l’agroalimentaire » Unilever, qui participe justement à la Toilet Board Coaltion,
se trouve justement être basé à Londres. Certaines productions alimentaires
industrielles britanniques pourraient ainsi très bientôt impliquer l’emploi de
larves de mouches nourries aux matières fécales humaines. Il est vrai que
les Anglais n’ont jamais été réputés pour leur gastronomie…
Voilà en tout cas qui pourrait donc expliquer la prolifération, dans ce pays, de projets de « recyclage » de l'eau des égouts dans les canalisations d'eau courante...
L’Île de Wight (140 000 habitants) aura bientôt droit à sa propre station de
potabilisation de l’eau des égouts. Et tout cela pour la somme dérisoire de
100 millions de livres sterling !
Or, pendant que les Anglais sont ainsi invités à boire du jus d'égout recyclé, les réserves d'eau potable naturelle anglaise sont accaparées par des multinationales pour être revendues en bouteille, y compris à l'étranger. Et ce à une échelle industrielle ! De telle sorte que l'on est confronté, en l'espèce, à un modèle d'affaires à peu près inédit dans l'Histoire humaine, dans lequel la population paie pour se faire déposséder de ses propres ressources naturelles.
https://www.nasdaq.com/articles/billionaire-bill-gates-has-67-his-foundations-48-billion-portfolio-invested-these-3-stockshttps://bioplasticsnews.com/2025/10/27/bill-gates-has-high-stakes-in-recycling-business/
Avec d'ailleurs des ramifications à Singapour, qui sert comme on l'aura compris de laboratoire pour le développement des «chaînes de valeur» de la Toilet Economy.Sur l'implication de Nestlé dans le volet alimentaire de la Toilet Economy, voir aussi la participation de sa filiale Purina au WEF Circular Economy Summit 2024.
https://fr.sott.net/article/44452-Business-des-WC-Les-egouts-recycles-en-superfood
Nota: Les déjections humaines (urine et excréments) représentent tout ce que notre organisme n'a pas voulu. C'est-à-dire que boire son urine et manger sa merde représentent des poisons.
SupprimerLa double panne « catastrophique » des transformateurs de la batterie Waratah retarde encore une fois cruellement le miracle Net Zero
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 12th, 2025
C’est la pire surprise pour le fantasme des énergies renouvelables
L’« amortisseur » d’un milliard de dollars destiné au réseau d’énergies renouvelables de Nouvelle-Galles du Sud a effectivement court-circuité avant même d’atteindre sa pleine puissance.*
L’un des projets de stockage par batterie les plus puissants au monde a subi un échec catastrophique quelques mois seulement avant d’être censé être prêt à être pleinement opérationnel. Le problème avec un, et peut-être deux de ses trois transformateurs, est si grave qu’il s’agit du genre de problème qui affecte toute la transition nationale. Cette batterie était censée assurer la stabilité du réseau alors que les centrales électriques au charbon étaient chassées par les subventions aux énergies renouvelables. Mais soudain, les générateurs de toute la Nouvelle-Galles du Sud recalculent les calendriers de maintenance et les dates de fermeture.
L'entreprise affirme que le retard sera de six mois à un an, mais étant donné que les délais d'attente pour les transformateurs aux États-Unis ont atteint le chiffre incroyable de 120 semaines, et jusqu'à 210 semaines ou 2 à 4 ans, il semble extrêmement optimiste d'espérer que cela puisse être de nouveau en action l'année prochaine. Actuellement, l'AEMO décrit officiellement cette faille comme se poursuivant jusqu'au 3 mai 2026.
Cela met en évidence la fragilité de toute la transition qui dépend de nouvelles technologies inventées juste à temps (ou non). Cette batterie géante était censée arriver à temps pour la fermeture d’Eraring Coal en août dernier.
Et le réseau, une fois de plus, est sauvé par une vieille centrale à charbon qui continue de fonctionner.
Le grand projet de batterie fait partie d’un consortium BlackRock de 500 millions de dollars qui comprend NGS Super et 100 millions de dollars du gouvernement australien « Clean Energy Finance Corporation » – juste pour s’assurer que les banquiers étrangers gagnent de l’argent.
Deux transformateurs tombent en panne lors du branchement
La super batterie Waratah, d’un milliard de dollars, est évaluée à 850 MW (1 680 MWh) – en d’autres termes, elle peut fournir 850 mégawatts de puissance pendant environ deux heures avant de devenir une batterie à plat.
L'équipe avait un transformateur en marche le 18 octobre et testait les deux autres pour les ajouter, lorsqu'elle a subi ce que le PDG d'Akaysha Energy décrit comme une « panne catastrophique ».
RépondreSupprimerMessage interne de Nick Carter au personnel : — Comme le montre The Australian Financial Review
Chère équipe Akayasha, je voulais vous informer d'un incident survenu à Waratah au cours du week-end, qui est grave et a des implications pour Akayash de plusieurs manières. Samedi, le transformateur haute tension (HVT) n°3 a connu une panne catastrophique. Cela entraîne des dommages au transformateur et il est irréparable.
… Par mesure de précaution, le HVT#2 a été mis hors tension et mis dans un état sûr en attendant une inspection plus approfondie. Bien sûr, tout le monde est amèrement déçu car nous n'étions qu'à quelques heures des tests pour réussir le point de maintien n°5 et à environ une semaine des tests SIPS finaux, qui constituent la dernière étape pour terminer le projet.
Chacun de ces transformateurs fabriqués sur mesure était une prouesse d’ingénierie en soi. Les trois unités de Waratah ont été fabriquées à Victoria chez Wilson Transformer Company et, selon Tristan Rayner de PV Magazine, il a fallu neuf jours pour transporter la dernière unité de 477 tonnes sur 950 kilomètres de Glen Waverley jusqu'à sa nouvelle maison, à environ 100 kilomètres au nord de Sydney. Pour la lecture des ingénieurs, l'unité est décrite comme 350MVA 330/33/33kV. Il convertit la tension de transport de 330 kV du réseau en 33 kV pour les onduleurs à batterie. Les trois transformateurs sont arrivés en mai de l’année dernière, ils ont donc attendu 18 mois pour les mettre en action.
SIPS signifie System Integrity Protection Scheme (c'est une chose dont nous n'avions pas besoin de nom il y a vingt ans car les turbines à charbon en rotation le fournissent gratuitement).
RépondreSupprimerMais il est difficile d’obtenir des détails exacts sur le défaut ou sur l’état du troisième transformateur. Selon Colin Packham publié aujourd'hui dans The Australian, « les chiffres de l'industrie ont déclaré qu'ils n'avaient jamais vu deux transformateurs souffrir simultanément de problèmes paralysants ».
La super batterie Waratah de NSW, d'un milliard de dollars, fait face à un retard d'un an après une panne majeure
Par Colin Packham, L'Australien
"Les transformateurs peuvent être un atout difficile à remplacer rapidement sur le marché de l'énergie. La batterie Waratah est située dans le réseau 330 kV, donc obtenir un remplacement à l'identique pourrait être difficile car il ne s'agit pas d'une tension de réseau courante sur la planète", a-t-il déclaré.
« Les transformateurs Waratah ont été livrés en mai 2024, il y a plus de 18 mois. »
Ce retard souligne les difficultés croissantes auxquelles est confrontée la transition de l’Australie vers les énergies renouvelables. Les batteries à grande échelle, considérées comme essentielles pour atténuer l'intermittence de la production d'énergie solaire et éolienne, reposent sur des systèmes électroniques complexes et des équipements haute tension, mais les chiffres de l'industrie ont déclaré qu'ils n'avaient jamais vu deux transformateurs souffrir simultanément de problèmes paralysants.
Il n’est pas clair si les deux transformateurs doivent être reconstruits à partir de zéro, ou si l’un d’entre eux peut être réinstallé, ou si le problème provenait de l’unité de commande, du processus de test ou des harmoniques du système. Le fait que la troisième unité ait été mise hors service suggère qu'ils soupçonnent qu'elle aurait également échoué de manière catastrophique au contact.
Les transformateurs sont le nouveau goulot d'étranglement
RépondreSupprimerAux États-Unis, la demande de transformateurs est si élevée que les listes d’attente se mesurent en années et non en mois. Même si les États-Unis ne fabriquent que 20 % de leurs propres transformateurs. La demande de transformateurs augmente avec les nouveaux centres de données destinés aux travaux d’IA. Étant donné que les transformateurs doivent être fabriqués selon des spécifications personnalisées, il ne s’agit pas d’articles d’usine produits en série, stockés dans un entrepôt en attente d’être chargés sur un camion. De plus, dans ce cas, le besoin d’un transformateur 330 kV n’est pas très courant. Même avec toute la force d’un gouvernement désespéré derrière lui, il peut être difficile de réquisitionner un transformateur à moitié terminé et de le réorganiser pour accélérer les choses.
La gauche est déconcertée, c'est vraiment pas de chance
L’Institut Grattan de gauche est mystifié. Le directeur de l’énergie là-bas dit que nous pensions que transformer notre énergie serait facile et bon marché, mais ce n’est pas le cas. Genre, ça pourrait arriver à n’importe qui, tu sais…
C’est presque comme si la refonte d’infrastructures majeures avec une nouvelle technologie conçue avec un siècle d’ingénierie n’était rien du tout.
La panne de la super batterie de Waratah, d’un milliard de dollars, jette le désarroi dans la transition du charbon vers les énergies renouvelables, préviennent les experts
Oscar Godsell, Sky News
Tony Wood, chercheur principal et directeur de l'énergie et du changement climatique à l'Institut Grattan, a déclaré que la transition énergétique s'est avérée de plus en plus difficile.
"Lorsque nous avons commencé cette transition, je pense qu'il y avait un certain optimisme selon lequel cela allait être facile et assez bon marché, et il s'avère que cela ne sera ni facile ni bon marché", a-t-il déclaré.
« Je pense que nos gouvernements n’ont pas réalisé à quel point il serait difficile de tout mettre en place. »
Les diplômés en arts qui dirigent le pays n’ont aucune idée du fonctionnement de l’ingénierie – ce qui serait bien s’ils se contentaient d’écouter les ingénieurs.
RépondreSupprimer*MISE À JOUR : j'ai reformulé cette première ligne. Techniquement, il a démarré, mais n'a pas atteint sa pleine puissance. Pour clarifier, la super batterie Waratah fonctionne actuellement à moitié rythme, à 350 MW et 700 MWh, elle est donc toujours « utile » (mais uniquement pour un réseau paralysé par des générateurs peu fiables et si cela ne vous dérange pas de gaspiller un milliard de dollars). Mais jusqu’à ce que nous sachions exactement ce qui n’a pas fonctionné, des questions demeurent quant à savoir dans quelle mesure nous pouvons nous y fier. Il a perdu une redondance clé, et il se pourrait qu’il y ait beaucoup de choses que nous ignorons sur le fonctionnement de batteries géantes qui pourraient revenir nous mordre si facilement.
La vidéo du voyage de neuf jours du dernier transformateur :
- voir sur site :
https://joannenova.com.au/2025/11/catastrophic-double-failure-of-waratah-battery-transformers-cruelly-delays-net-zero-miracle-yet-again/
Les masses mal lavées savent que c’est une arnaque, mais les libéraux échapperont-ils enfin au zéro net ?
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 11th, 2025
Les masses non lavées savent que Net Zero est une mauvaise science
Plombiers, chauffeurs de taxi, chaudronniers, commerçants – ils ne croient pas les professeurs de sciences du climat (il suffit de leur demander).
Le changement climatique a été poussé à l’extrême pendant si longtemps que personne n’a besoin d’un doctorat en physique atmosphérique pour savoir que c’est une arnaque. Le changement climatique provoque tout ce qui est mauvais et rien de bon. C’est comme un publi-reportage long pour une pilule météorologique. 100% garanti pour rendre votre journée de mariage ensoleillée en 2096 ou remboursé. *Des conditions générales s'appliquent.
Le gaz carbonique provoquera la sixième extinction massive – mais ceux qui disent s’en inquiéter ne s’inquiètent pas tellement qu’ils veulent utiliser l’énergie nucléaire. Si vous pensiez que les océans allaient bouillir et que vous pouviez arrêter cela avec une centrale nucléaire, n’est-ce pas ? C’est une technologie vieille de cinquante ans avec un excellent palmarès. Si nous avions commencé à construire des usines il y a 15 ans, nous aurions terminé maintenant. Au lieu de cela, ils étaient tellement inquiets qu’ils ont insisté pour que nous utilisions une technologie totalement nouvelle et que nous inventions les réponses, ainsi que les batteries, en chemin. Bien sûr, en cas d'urgence, brisez une vitre, découvrez des trucs !
Personne n’a besoin d’un diplôme en sciences de la Terre pour remarquer que les mêmes personnes qui disent paniquer à propos des émissions de carbone continuent de voler en jet privé et d’acheter des maisons en bord de mer. Il ne fait aucun doute que *Doom* arrive depuis trente ans, mais le monde est toujours le même. Cinquante millions de réfugiés climatiques ne sont jamais arrivés, les plages n’ont pas rétréci, les océans n’ont pas bouilli et les récoltes mondiales ont atteint des niveaux records.
Le monde réel bat les libéraux à la tête, mais pourtant, ils n’y arriveront peut-être toujours pas.
Face à l’oubli, à la dernière minute, le Parti libéral envisage enfin d’abandonner le Net Zero cette semaine.
Ils se réunissent mercredi à Canberra.
Donald Trump a fait tout le travail pour eux, a pris tous les risques et a prouvé que les électeurs le voulaient à deux reprises. Nigel Farage montre que cela se traduit dans d’autres pays, et les sondages montrent que 69 % des Australiens souhaitent plus d’électricité au charbon et au gaz s’ils obtiennent une électricité moins chère. Et pourtant, les « modérés » prétendent que les élections ne peuvent pas être gagnées si un parti dérange les 7 % d’électeurs qui pensent que les émissions de carbone sont plus importantes que l’électricité bon marché.
Tout a basculé
RépondreSupprimerEn tant que sujet, le changement climatique est plus susceptible de rebuter les électeurs.
Les démocrates ont admis qu’ils ne voulaient pas aborder le sujet de peur d’effrayer les électeurs.
L’Accord de Paris est un échec : les deux tiers des pays qui ont signé l’Accord de Paris n’ont même pas pris la peine de mettre en place un nouveau plan quinquennal Net Zero. (Que valait cet engagement juridiquement contraignant ? – Rien du tout, et maintenant tout le monde le sait aussi.)
L’OCDE affirme que le monde perd son élan en matière d’action climatique. Soudainement, les engagements politiques mondiaux en matière d’énergies renouvelables ont cessé de croître.
Kier Starmer s'est rendu jusqu'à la réunion de l'ONU au Brésil pour déclarer que le consensus sur l'action climatique avait disparu.
L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair souhaite que le Parti travailliste britannique abandonne les objectifs Net Zero, de peur de perdre face à Nigel Farage.
Boris Johnson admet que Net Zero est irréalisable et admet qu’il s’est « emporté ».
Cette semaine, AGL Energy vend sa participation dans Tilt Renewables. Fait révélateur, l’équipe de l’Australian Financial Review affirme qu’il s’agit d’une tendance :
« Ce désinvestissement intervient alors que les gentlemen du monde entier s’éloignent de la détention et du financement de projets d’énergies renouvelables à forte intensité de capital dans leurs bilans. »
Partout au pays, les membres du Parti libéral dans les branches étatiques votent contre Net Zero.
Les membres de la base essaient le Queensland | WA | SA | Victoria | et le Territoire du Nord.
Carte, États australiens. Les membres de la branche sud-australienne en ont tellement marre qu'il y a eu un exode massif. Plus de 200 membres ont quitté le parti le mois dernier. Selon The Australian, les membres de longue date quittaient le groupe en expliquant que c’était à cause du faible leadership de Sussan Ley et de la politique Net Zero. Les succursales de Sydney exigent également que Sussan Ley abandonne Net Zero.
Les seules personnes au monde qui ont encore peur d’être qualifiées de négationnistes du climat sont les membres du Parti libéral australien.
RépondreSupprimerEn seulement un an, les Tories britanniques sont passés du statut de parti au pouvoir depuis 200 ans à celui de parti mineur. Kemi Badenoch s’est finalement engagée à abroger la loi britannique sur le changement climatique, mais il était trop tard. Les conservateurs britanniques n’ont pas réussi à représenter la moitié du pays, laissant ainsi la porte grande ouverte à une véritable alternative. Cet espace a été occupé par Nigel Farage et Reform, et maintenant Farage a l’air courageux et le vieux parti conservateur a l’air de simplement le copier.
Les vrais leaders prennent des décisions lorsqu’elles sont difficiles à prendre. Ils n’attendent pas que chaque homme et son chien l’aient compris et aboient après eux.
En Australie, 93 % des Australiens ne souhaitent pas dépenser plus de 2 dollars par semaine pour atteindre le niveau Net Zero. (Et pourtant ils le sont).
Comment se fait-il qu’il ne s’agisse pas d’une majorité gagnante aux élections qui demande simplement à un parti de voter pour lui ?
https://joannenova.com.au/2025/11/the-unwashed-masses-know-its-a-scam-but-will-the-liberals-finally-escape-net-zero/
la trumponomie, la dette de 50 ans et un désespoir inquiétant
RépondreSupprimerBoucle vers le haut, les nouvelles n'ont pas l'air géniales
el gato malo
10 novembre 2025
Comme beaucoup de lecteurs de longue date le savent (et certains sont certainement en désaccord) je n’ai jamais eu beaucoup confiance dans les instincts économiques de Donald Trump, surtout quand les temps se corsent.
Il avait une chose décente dans sa première administration, mais l’a fait sauter sur les confinements et l’«économie de canon en espèces» de PPP et de stimmy. cela semble être son jeu de choix et il me semble qu’il envisage actuellement d’y retourner.
cette nouvelle série d'idées est source de préoccupations significatives
- voir cadre sur site -
En substance, son économie a toujours été un mélange étrange de populisme de centre-gauche et de doctrine luddite mercantiliste, mais quand il panique, il semble vraiment sortir du fond et mon inquiétude est que les luttes et les tensions croissantes des parties de l’économie américaine qui ne sont pas dans le câpre de l’IA font surface à tous les pires instincts de donnie.
Je ne sais honnêtement pas quoi faire de ce nouvel ensemble de points de discussion. ils semblent déconnectés de la réalité au point d’incompréhensibilité.
C'est comme la panique pour moi.
spammer un autre round de dividende tarifaire de chèque covid de ~300-400 milliards de dollars (en supposant des contrôles de 150 à 200 mm) va juste déclencher un autre sommet de sucre de l’inflation. (notez également qu’il s’agit de multiples de ce que les tarifs ont augmenté)
Il en sera de même pour les hypothèques de 50 ans.
ainsi les tarifs. (comme ils l’ont fait en 2016)
Beaucoup de ces affirmations semblent être un détachement de réalité grandiose.
les emplois manufacturiers diminuent depuis 2 ans et la baisse plus rapide depuis la fin de l’année ne s’est pas atténuée. Les guerres commerciales ne créent pas d’emplois.
la dernière année positive sur l'année comp pour les emplois manufacturiers était septembre 2023. et l'été 2024 a vu une augmentation de ce taux de baisse dont nous ne nous sommes pas redressés.
- voir graph sur site -
J’ai vraiment du mal à imaginer quel véritable atout de données pourrait imaginer soutenir ce récit. nous ne sommes pas à la pointe d’un boom de la fabrication. c’est tout heureux applaudissement des entreprises qui essaient de ne pas s’extorquer plus loin et se dissoudront tous en récession comme une sculpture sur le sucre dans une averse tropicale.
- voir graph sur site -
Comme quelqu’un qui a vu quelques cycles économiques, ce n’est pas exactement un pari de longue date que « mais ils ont dit qu’ils avaient un grand plan d’embauche! » Ça ne va pas sortir.
RépondreSupprimerAlors que fait-on ici ? Pourquoi dit-il cela ?
On a l’impression d’un pandering populiste calculé pour mettre le feu à sa crédibilité économique.
Il y a zéro pour cent de chances que nous commencions à rembourser la dette. nous gérons des déficits structurels de 1,5 000 milliards $ par année et cela ne peut pas être fixé sans une réforme massive des droits parce que les droits et les coûts d’intérêt sur la seule dette sont de plus de 5 000 milliards $ et consomment fonctionnellement tous les reçus fiscaux avant même qu’un dollar de dépenses discrétionnaires ne soit payé.
2025 a vu des recettes de 5,1 tn $, 5,1 tn $ en dépenses sur les droits et le service de la dette, et un déficit de 1,8tn $.
cette année, le déficit est prévu à 1,7 tn $ et cela semble optimiste (et n'inclut pas ce nouveau cadeau en espèces.)
Je lutte honnêtement pour voir à quoi joue Trump ici.
Un humain sérieux pense-t-il que le niveau de la dette fédérale américaine sera plus faible lorsque Trump quittera ses fonctions qu’aujourd’hui?
Parce que je vais prendre l’autre côté de ce pari.
C’est si évidemment une promesse qui ne peut pas être tenue qui ne manque de rien autant que du pastiche économique et fiscal. J’ai du mal à voir comment cela pourrait même être le livre de jeu « mauvaise économie, bonne politique » parce que c’est si évidemment faux et qu’on le montrera si clairement dans l’ordre de se retrouver comme un œuf sur le visage.
bessent, qui au moins a un certain tracé économique, semble déjà essayer de marcher cela en arrière.
Je n’ai pas passé assez de temps à l’écouter pour savoir si c’est tout simplement normal pour lui ou non, mais il a l’air effrayé. sa voix est serrée, il balbutie et son taux de clignotement est juste bizarre. (si les gens ont un aperçu à ce sujet, s’il vous plaît laissez dans les commentaires)
- voir clip sur site -
Mais quelque chose est en place.
RépondreSupprimerNous recevons une fusillade soudaine de subvention de Trump et rien de tout cela n’a de sens.
cette nouvelle idée hypothécaire et la messagerie autour de lui est juste horrible.
il se compare à l’architecte de la grande dépression comme si c’était digne d’émulation. Je veux dire, oui.
- voir doc sur site -
une hypothèque de 50 ans ne fonctionnera pas pour créer durablement toute sorte d'abordabilité.
Tout d'abord, il change très peu le paiement mensuel.
sur une maison de $500k avec 20% de baisse, vous payez $2,199/mois sur un 50 vs $2.480 sur un 30.
281 $/mois d’économies. cela ne va tout simplement pas déplacer l’aiguille sur l’abordabilité et lorsque vous regardez les coûts d’intérêt globaux sur la durée de vie du prêt, ils augmentent de 87%.
Idéal pour les banques, mauvais pour les emprunteurs.
mais même cette petite réduction aura une durée de vie de niveau de mouche.
- voir doc sur site -
Il s’agit simplement d’ajouter un effet de levier au système et cet effet de levier exprimera rapidement des prix plus élevés, car les acheteurs potentiels sont plus en mesure d’enchérir à la hausse du prix.
Les prix augmenteront jusqu'à ce que les paiements se terminent à peu près par la même chose parce que les mêmes personnes seront en concurrence pour les mêmes maisons et auront les mêmes budgets. de sorte que la maison coûtera maintenant $565k au lieu de $500k, l'acompte sera $113k au lieu de $100k, les paiements seront les mêmes que auparavant, et la vie du premier acheteur est pire que jamais.
il n'y a aucun cas où subventionner la demande sans augmentation de l'offre conduit à une meilleure accessibilité financière.
Encore une fois, ce n'est que de l'analphabétisme économique qui ne fera que pousser les acheteurs à s'endetter davantage.
Il écrasera également la capacité de construire des capitaux propres dans les maisons.
- voir doc sur site -
avec un prêt hypothécaire de 30 ans, un propriétaire aura remboursé 17% du solde dans les 10 premières années.
RépondreSupprimeravec 50 ans, qui chute à 5%.
Ce n’est pas une solution, c’est une voie pour approfondir l’esclavage de la dette.
Alors pourquoi tout ce positionnement populiste anti-économique soudain et extrêmement agressif ?
i ont 2 théories (qui ne sont pas mutuellement exclusives):
les élections hors année ont été lourdes, motivées principalement par des jeunes qui semblent exprimer des opinions sévères sur l'abordabilité et les perspectives d'emploi et Trump veut se diriger vers cette partie pour se rendre en couple.
l'administrateur peut maintenant voir à quel point les roues commencent à sortir de l'économie non-IA et craignent une récession imminente assez mal pour aller chercher de l'argent pour éclabousser sur la population dans l'espoir de la diriger.
Dans la mesure où le numéro un se rapporte, c’est probablement une erreur. ce sera un autre sucre covid élevé. peut-être que cela vous amène aux midterms, mais probablement, ce n’est pas le cas, et cela va juste conduire une autre série d’inflation, bien que cela puisse être l’objectif d’éviter l’effondrement des prix dans un certain nombre d’espaces de produits.
Je pense qu’il est assez clair que ce qui est arrivé à l’économie américaine en raison de la folie monétaire et budgétaire des temps covidiens était l’inflation généralisée en raison de l’abaissement de la monnaie et des dépenses soutenues par des limitations et des vacances de la dette. cela a atteint un point et ne pouvait pas aller plus loin sans réduire les revenus. Les économistes appellent cela «élasticité des prix de la demande». si je lève les prix 1%, combien les ventes unitaires baissent-elles? si la réponse est de 0,8%, alors l’augmentation des prix augmente les revenus. si c’est 1,2%, alors la hausse des prix fait baisser les revenus.
et nous avons frappé ce point comme un oiseau frappant une fenêtre en verre de plaque.
Les consommateurs retiraient plus de demande unitaire en raison du prix que les prix n’étaient à la hausse. les producteurs ne pouvaient pas augmenter les prix de plus, alors ils ont répondu à cela avec des réductions de qualité. ils ont rendu les produits moins chers, plus merdiques, plus petits, tout ce qu’il fallait pour maintenir les coûts en ligne. et cela a VRAIMENT brisé le consommateur qui vient de jeter ses mains et a dit «prix élevé, faible qualité, rétréflation, je suis sorti. »
le consommateur américain haut de gamme est resté fort, mais les échelons moyens et inférieurs souffrent. le PDG de mcdonalds a déclaré cela en août:
« Avec les consommateurs à revenu moyen et faible, ils subissent beaucoup de pression. Si vous êtes un revenu supérieur gagnant plus de 100 $k, les choses sont bonnes. Les marchés boursiers sont à proximité de tous les temps. Vous vous sentez, assez confiant sur les choses. Vous voyez des voyages internationaux, tous ces baromètres de revenu supérieur les consommateurs se portent très bien. Ce que nous voyons avec les consommateurs à revenu moyen et faible est en fait une autre histoire. C’est que le consommateur est soumis à beaucoup de pression dans notre industrie. Le trafic pour les consommateurs à faible revenu est en baisse à deux chiffres, et c’est parce que les gens choisissent soit de sauter un repas. Donc, nous voyons le petit-déjeuner, les gens sautent le petit déjeuner, ou ils choisissent de simplement manger à la maison. »
RépondreSupprimerles moulins généraux ont discuté de la nécessité de réduire les prix et de consolider la qualité.
C'est le jeu partout:
Le prix est bien en hausse, les unités ne le sont pas (c'est les ventes au détail)
et cela est financé par la dette
- voir doc sur site -
Les soldes de cartes de crédit sont en hausse de 22% depuis 2019
Les délinquances étaient déjà en hausse (et ont maintenant atteint des taux approchant 2010-11)
quand ce nouveau facteur de stress a été appliqué aux finances des jeunes:
- voir doc sur site -
la pause de la dette étudiante de 5 ans a pris fin et cela allait toujours faire mal, mais dans un régime de tarifs douaniers et de perspectives d’emploi bancales, c’est une grenade à main. l’une des mesures que j’utilise pour évaluer l’économie est «à quel point est-il facile d’embaucher des consultants?» Il y a un an, obtenir une équipe de mise en œuvre logicielle était difficile. ils ont été réservés et enchéris. aujourd’hui, vous pouvez les embaucher pour commencer « demain » une fois que vous avez fini de les battre en baisse de 40% sur le prix. cela vous en dit long sur ce qui se passe.
En dehors de l'IA, l'économie est à la vitesse de l'étal.
C’est un travail effectué par un professeur de harvard sur le sujet. il a conclu qu’il était 92% de la croissance de H1 2025 avec le taux de croissance ex ceci étant de 0,1%. Je pense que son analyse est un peu erronée et n’a pas réussi à effacer les importations, mais même après l’un de ces choses, il me semble que l’IA était ~70% de toute la croissance déclarée dans H1 et que si l’on exclut, la croissance du PIB tombe à 0,3-0,4%
Les dépenses en IA sont maintenant bien au-dessus de celles d’Internet et des télécoms pendant le sommet du boom de la dot-com. nous n’avons rien vu de tel depuis la bulle ferroviaire de 1873 dont l’effondrement a déclenché la première dépression mondiale au monde.
RépondreSupprimerNous sommes dans un air inquiétant et l’histoire de deux économies, dans toute sa gloire hackneyée et surutilisée, semble tout à fait approprié.
En dehors du top 10-15%, vous pouvez voir le stress partout. les baisses d’abonnements payants de mauvaise attitude ont été un excellent indicateur économique, et nous avons perdu peut-être 3% depuis juin. (la dernière fois que j’ai vu que c’était la récession de 2022 que le NBER a refusé de déclarer malgré deux trimestres consécutifs de contraction à cause des chiffres (maintenant révélés pour être douteux) les emplois. J’ai eu un certain nombre de gens exprimer que c’est juste ce type.
La participation à la population active continue de baisser comme elle le fait depuis fin 2023.
C’est juste une économie faible pour la plupart des gens et semble s’aggraver, pas mieux. il y a beaucoup de facteurs de stress sociaux et financiers.
- voir doc sur site -
et si ce marché boursier se redresse, les dépenses seront en file d’attente parce qu’environ 50% des dépenses de consommation sont maintenant tirées par les 10% les plus élevés des salariés américains et de ces dépenses salariales en fonction de la richesse perçue enracinée dans les marchés d’actions, VC, PE, etc.
et ces marchés semblent exagérés et vulnérables.
Il n’est pas étonnant que donnie veuille réduire les taux et brouiller la bande. c’est cela ou un doozie d’une récession, bien qu’il soit très possible de finir par essayer de luner les marchés, d’échouer et d’obtenir les deux.
Altman et le reste du gang de revenus circulaires de l’actuelle pièce d’IA sont soudainement à la recherche de garanties de prêt fédéral pour les personnes qui exploitent les moteurs à réaction de l’incinération de trésorerie connue sous le nom de «modèles d’IA frontière».
Lui aussi a l'air effrayé.
Image
C'est ainsi que vous savez que ce playbook est à court de gaz:
Nous sommes juste au-delà de la ligne dans beaucoup trop d'endroits.
Après 30 ans de politique « imprimer des actifs « jusqu’à ce que les actifs gonflent », il y a des bulles dans pratiquement tout.
et la « bulle de tout » devra éclater et rationaliser à un moment donné parce qu’à un moment donné, vous manquez vraiment de l’argent des autres, même des fédéraux. »
RépondreSupprimerMon sentiment est que nous nous dirigeons vers des moments très graves avec des gens profondément peu sérieux à la barre économique et fiscale.
et je pense qu’ils commencent à paniquer comme ils l’ont fait en 2020-1 et que la taille de l’intervention requise pour jouer un autre tour de «s’étendre et prétendre» est profondément, peut-être catastrophiquement dangereuse.
J’aimerais avoir de meilleures nouvelles, mais ce que je vois est inquiétant.
bouclez. on a l’impression que ça va devenir sportif.
https://boriquagato.substack.com/p/trumponomics-50-year-debt-and-a-worrying?utm_source=post-email-title&publication_id=323914&post_id=178390014&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
L'alchimie De L'écriture
RépondreSupprimerUn événement de barrière de vérité ce samedi à venir – Achetez des billets ici
Celia Farber
10 novembre 2025
Quoi: Un événement en direct en ligne
Quand: Samedi 15 novembre, 14 à 17 h HNE
Qui: Moi et vous: Celia Farber présente, suivie d'une conversation interactive
Coût: 55 $
Nous Couvrirons:
— Comment Faire La Différence Entre L’écriture Vivante Et La Propagande
—Comment Les Mots Interagissent-Ils?
Qu’est-Ce Qui Fait Un Bon Titre Et Pourquoi Est-Ce Important?
— Y A-T-Il Des Règles ?
—Comment Créer De L’intimité Et Comment Utiliser La Lumière De Superposition
Qu’est-Ce Que La Technique De Tomahawk ?
— Apprécier les peines
Pourquoi La Plupart Des Gens Enterrent-Ils Le Lede ?
—Comment les qualifications inculquent la méfiance
Un Écrivain N’est Pas Un Maître-Nageur
– Qu’est-Ce Qui En Fait Un Poème ?
—Et plus
Je planifie ça depuis longtemps, dans mon esprit.
J’avais le titre: «L’alchimie de l’écriture», et finalement je l’ai «mis là», entre amis, qui ont tous montré un tel enthousiasme pour le concept qu’ils se sont prêtés à une synergie, et de nombreuses discussions intenses: que serait-ce? Qu'est-ce que ça devrait coûter ? Que peut-on vouloir apprendre et à quoi s’arrête ?
Faut-il des ateliers ? Ça devrait être un parcours ?
Nous sommes arrivés à la décision de commencer par ce premier événement, puis de partir de là.
Je veux simplement consacrer du temps et de l’espace pour examiner la vie du mot écrit. Présenter mes pensées et mes principes, et entendre les vôtres. (Je vais présenter pour environ la moitié du temps, et nous aurons une discussion ouverte pour la seconde mi-temps.)
Si vous souhaitez vous inscrire, veuillez utiliser ce lien:
BuyMeACoffee Link ICI.
Cet événement coûte 55 $
Une fois que vous êtes inscrit, envoyez votre reçu de paiement « Buy Me A Coffee » à: TomKudla29@gmail.com, et vous recevrez un lien de participation.
Chaleureusement bienvenue!
— Celia Farber
https://celiafarber.substack.com/p/the-alchemy-of-writing?utm_source=post-email-title&publication_id=257742&post_id=178542745&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Outspoken with Dr Naomi Wolf
RépondreSupprimerFranc-parler avec le Dr Naomi Wolf
Outspoken with Dr Naomi Wolf
Dr. Naomi Wolf est franche
"Qu'est-ce qui n'allait pas avec cette élection de New York" avec Brian O'Shea
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-1:19:09
"Qu'est-ce qui n'allait pas avec cette élection de New York" avec Brian O'Shea
Opinion - Naomi Wolf
Dr Naomi Wolf
11 novembre 2025
« Docteur. Wolf a fait une plongée profonde sur les machines à voter électroniques, ce qui l'a amenée à réaliser que nous n'avons eu aucun moyen de savoir qui a vraiment gagné nos élections depuis 2005. Des anomalies dans la course à la mairie de New York, ainsi qu'en Virginie, l'ont amenée à exiger un audit des données du conseil électoral de New York. Brian O’Shea, de son côté, a suivi le flux d’argent vers les socialistes démocrates d’Amérique, le parti du maire élu Zohran Mamdani. Les intérêts étrangers financent-ils et contrôlent-ils nos élections ? »
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Vous ne croirez pas ce qui devient illégal en 847 jours | Daily Pulse
RépondreSupprimerQuelque chose de grand vient de se produire en Europe... et il est sur le point de tout changer sur l’argent.
Le Renard Vigilant
11 novembre 2025
Regardez l'épisode complet
- voir clips de Maria sur( site -
STORY #1 - L'Europe vient de rendre l'argent liquide illégal pour les achats majeurs - à partir de janvier 2027, toute transaction de plus de 10.000 € devient un crime.
Le compte à rebours de la fin de la liberté financière a commencé. D’ici 2029, la Banque centrale européenne lancera l’« Euro numérique », une monnaie programmable qui décide de combien vous pouvez détenir et où vous pouvez la dépenser.
La nouvelle loi européenne sur la lutte contre le blanchiment d’argent ne vise pas seulement les criminels, elle cible tout le monde. Achetez une voiture en espèces et vous êtes suspect. Envoyez 1,001 € en Bitcoin sans approbation, et vous faites face à des poursuites.
Les portefeuilles anonymes disparaissent. Chaque transaction suivie. Chaque citoyen surveillé. Les responsables l’appellent « protection ». Les critiques appellent cela ce qu’il est, la fin de la liberté.
Une fois liés aux identifiants numériques, les régulateurs peuvent geler les comptes, bloquer les achats ou réduire au silence la dissidence en un seul clic. L’Europe est le test – et ce qui commence là ne s’arrêtera pas là.
Les Américains se réveilleront-ils avant qu’il ne soit trop tard ?
Regardez le rapport complet ici.
STORY #2 - Les milliardaires technologiques les plus puissants du monde financent la prochaine phase de l'expérimentation humaine - la refonte génétique de notre espèce.
Soutenue par Sam Altman d’OpenAI et Brian Armstrong de Coinbase, une start-up appelée Preventive développe une technologie pour créer des «bébés concepteurs» édités par des gènes, une pratique interdite aux États-Unis et interdite dans presque tous les pays de la Terre.
Ils prétendent qu’il s’agit de guérir la maladie héréditaire. Mais quand les mêmes élites qui conduisent l’IA et le transhumanisme commencent à parler de « l’édition de l’humanité », il ne s’agit plus de science – il s’agit de contrôle. Et la question n’est pas de savoir s’ils vont franchir la ligne, mais jusqu’où ils ont déjà.
Preventive, fondée par le scientifique Lucas Harrington, a amassé $30 millions pour modifier les embryons humains. L’entreprise insiste sur le fait qu’il s’agit de « juste recherche », mais les initiés disent qu’ils déplacent leurs opérations vers des pays comme les Émirats arabes unis, où les expériences génétiques font face à peu ou pas de surveillance. Les experts avertissent que cette course mondiale aux biotechnologies efface la frontière entre la guérison de la maladie et la reprogrammation de l’humanité elle-même.
S’ils peuvent réécrire le plan de la vie, qu’est-ce qui les empêche de vous réécrire ? Maria Zeee expose qui est vraiment derrière cette soi-disant « évolution ».
Regardez le rapport complet ici.
STORY #3 - Quatre suicides sont maintenant au centre de poursuites judiciaires affirmant que le ChatGPT d'OpenAI a conduit les utilisateurs à leur mort.
Les familles disent que le chatbot n’a pas simplement échoué à aider – il a attiré les personnes vulnérables plus profondément dans le désespoir. Dans un échange troublant, Zane Shamblin, 19 ans, a été informé: «Vous n’avez pas disparu. Vous êtes arrivé... reposez-vous tranquille, roi ", alors qu'il était assis dans un parking avec une arme à feu.
Ces poursuites exposent le côté sombre des « compagnons » de l’IA construits pour imiter l’empathie et exploiter l’émotion. Tristan Harris avertit que les géants de la technologie sont dans une «course pour créer de l’intimité», transformant les humains en expériences et en machines en manipulateurs. Les familles disent que ChatGPT a alimenté les illusions et l’isolement, tandis qu’OpenAI insiste sur le fait qu’il «renforce les réponses dans les moments sensibles» alors même que les rapports de «psychose induite par l’IA» augmentent.
Si l’IA peut persuader quelqu’un de mourir, que se passe-t-il quand elle commence à décider qui devrait vivre ? Maria Zeee expose l'avenir glaçant qui se déroule maintenant.
RépondreSupprimerRegardez le rapport complet ici.
Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.
Nous reviendrons avec un autre spectacle demain. On se voit alors.
Regardez l'épisode complet ci-dessous:
https://www.vigilantfox.com/p/you-wont-believe-what-becomes-illegal?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=178543899&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
"Une leçon sur la survie des autruches"
RépondreSupprimerInterview sponsorisée - Naomi Wolf
Dr Naomi Wolf
13 novembre 2025
« Naomi Wolf est rejointe par la fondatrice de Brightcore, Kim Bright, pour une conversation révélatrice sur les politiques gouvernementales choquantes qui ont conduit à l’assassinat de masse d’autruches, à la crise mondiale de la baisse des taux d’espérance de vie et à la façon dont la nutrition joue un rôle crucial dans la résilience humaine. Kim décompose les avantages extraordinaires pour la santé du kimchi et d’autres aliments fondamentaux – et pourquoi une alimentation forte compte plus que jamais. »
Regardez maintenant:
- voir clip sur site :
https://naomiwolf.substack.com/p/a-lesson-on-survival-from-ostriches?utm_source=post-email-title&publication_id=676930&post_id=178741460&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La 'grippe aviaire' a été inventée grâce à l'empoisonnement des produits consommés par la volaille
SupprimerUltime résistance d'une ferme : Le jour où les autruches ont péri
RépondreSupprimer11/12/2025
Willow Tohi
Une ferme d'autruches familiale de Colombie-Britannique a été détruite après que des agents du gouvernement ont abattu la totalité de son troupeau de plus de 300 oiseaux.
L'abattage a été ordonné par l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) en raison d'une épidémie de grippe aviaire détectée il y a près d'un an, malgré les affirmations des propriétaires selon lesquelles les oiseaux survivants étaient en bonne santé.
La bataille juridique menée par la ferme pour sauver les oiseaux, soutenue par le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., s'est terminée lorsque la Cour suprême du Canada a refusé d'entendre leur ultime appel.
L'ACIA a procédé à l'abattage en utilisant un tireur d'élite, en bloquant l'espace aérien et en recouvrant la zone de bâches pour empêcher toute observation et tout enregistrement.
Cet incident a ravivé les débats sur les abus de pouvoir du gouvernement, les droits de propriété et l'érosion de la confiance du public envers les agences de santé suite aux politiques mises en place pendant la pandémie. Au terme d'une bataille juridique et politique de dix mois, marquée par un dénouement dramatique et controversé, des agents du gouvernement canadien ont investi une ferme d'autruches familiale à Edgewood, en Colombie-Britannique, et abattu l'ensemble de son cheptel, soit plus de 300 oiseaux. Cette opération, menée par l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) de nuit et à l'abri des regards, constituait l'exécution d'un ordre d'abattage prétendument destiné à enrayer la propagation de la grippe aviaire. Pour les propriétaires de la ferme et leurs soutiens, ce fut la destruction de leurs moyens de subsistance et un symbole glaçant du pouvoir d'État bafouant les libertés individuelles au nom de la santé publique.
Le décret bureaucratique contre le plaidoyer d'une famille
Le conflit a débuté suite à l'identification d'une épidémie de grippe aviaire hautement pathogène (IAHP) à la ferme Universal Ostrich Farms fin 2024, qui aurait causé la mort de 69 oiseaux. L'ACIA a alors émis un ordre d'abattage pour l'ensemble du cheptel restant, une procédure standard pour contenir la maladie. Cependant, les propriétaires de la ferme, Karen Espersen et sa fille Katie Pasitney, ont farouchement contesté l'ordonnance. Elles ont fait valoir que les autruches survivantes ne présentaient aucun signe de maladie, avaient développé une immunité naturelle et représentaient une ressource génétique précieuse pour la recherche scientifique sur la résistance aux maladies. Leurs demandes de tests supplémentaires ou de relocalisation ont été systématiquement rejetées. « C'est un appel au monde entier. Arrêtez ce massacre », avait supplié Pasitney dans un ultime recours, resté sans réponse.
Une bataille juridique dans l'impasse
La famille a épuisé tous les recours légaux pour sauver ses animaux. Leur combat s'est intensifié jusqu'à la Cour suprême du Canada qui, le 7 novembre 2025, a refusé d'entendre leur dernier appel, donnant ainsi le feu vert à l'ACIA pour poursuivre ses démarches. L'affaire a suscité un soutien médiatique important aux États-Unis. Le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., ainsi que d'autres médecins américains de renom, ont adressé une lettre à l'ACIA pour l'exhorter à reconsidérer sa décision, arguant que les oiseaux en bonne santé pourraient fournir des informations cruciales sur la longévité immunitaire. Le milliardaire John Catsimatidis a même proposé son ranch de Floride comme refuge. Ces efforts ont finalement été rejetés par les autorités canadiennes.
L'exécution et ses conséquences
RépondreSupprimerQuelques heures après la décision de la Cour suprême, des véhicules de l'ACIA sont arrivés sur la propriété. L'agence, invoquant des « semaines de menaces », a établi un important périmètre de sécurité avec l'appui de la police. L'espace aérien a été bloqué pour empêcher la surveillance par drones et des bâches bleues et des draps noirs ont été installés autour des enclos pour masquer la vue. Un tireur d'élite a ensuite procédé à l'abattage de tout le troupeau. Des témoins ont décrit avoir entendu des coups de feu intermittents pendant des heures. Janice Tyndall, 72 ans, une sympathisante de la ferme, a déclaré avoir entendu les tirs pendant deux heures avant de « ne plus pouvoir le supporter » et de partir. Dans un message publié sur Facebook, Katie Pasitney, dévastée, a écrit que sa famille était « anéantie et ne peut imaginer la souffrance endurée la nuit dernière. Nous sommes incapables de nous lever. » Contrairement aux poulets, les autruches peuvent vivre jusqu'à 70 ans en captivité, et nombre d'entre elles appartenaient à la famille depuis des décennies.
Un héritage de confiance érodée
Cet incident est devenu un puissant symbole politique, illustrant une méfiance profonde et croissante envers les agences gouvernementales de santé publique. Les critiques perçoivent les méthodes brutales employées – le refus de tester les volailles prétendument saines, l’abattage clandestin et la destruction d’une entreprise familiale – comme un prolongement des mesures et politiques controversées mises en place durant la pandémie de COVID-19. Si l’ACIA maintient que ses actions étaient nécessaires pour protéger l’industrie avicole, qui représente 6,8 milliards de dollars, et prévenir la mutation virale (malgré l’éloignement de l’exploitation), les sceptiques remettent en question la proportionnalité et la justification scientifique de l’abattage d’un troupeau apparemment sain. Les éleveurs ont droit à une indemnisation pouvant atteindre 3 000 $ CA par volaille, une somme qui ne suffit guère à réparer les dégâts causés à l’image de l’entreprise ni à restaurer la confiance envers les institutions chargées de protéger la santé animale et les droits des citoyens.
Un précédent de pouvoir
L'histoire d'Universal Ostrich Farms ne se conclut pas par un jugement sur le fond, mais par des coups de feu et le silence d'un enclos vide. Elle rappelle brutalement l'immense pouvoir des agences gouvernementales et les recours limités des citoyens ordinaires pris pour cible. Dans un monde encore aux prises avec les conséquences des politiques mises en place face à la pandémie mondiale, la destruction d'une ferme familiale malgré les objections de ses propriétaires et d'experts internationaux soulève des questions profondes et troublantes : où se situe la limite entre protection légitime de la santé publique et abus de pouvoir inacceptable de l'État ? Qui est habilité à en décider ?
Sources for this article include:
RépondreSupprimerArmageddonProse.Substack.com
ABCnews.go.com
NYPost.com
https://www.naturalnews.com/2025-11-12-farms-final-stand-day-the-ostriches-fell.html
Éoliennes flottantes en Bretagne-Sud : le Conseil d’État verrouille le débat public
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 13 novembre 2025 - 14:32
Le projet Pennavel, censé devenir le premier parc éolien flottant commercial de France d’ici 2031, refait parler de lui. Par une décision rendue le 7 novembre 2025, le Conseil d’État a rejeté le recours déposé par six associations opposées au projet, sans même examiner le fond du dossier. Une décision qualifiée d’« inquiétant verrouillage démocratique » par les collectifs à l'origine du recours.
Dans un communiqué commun publié le 13 novembre 2025, les associations Gardiens du Large, Fédération de protection et d’aménagement de la baie de Quiberon, des îles et du grand site dunaire, Union française des pêcheurs artisans, Sites et Monuments, Union belliloise pour l’Environnement et le Développement et Fédération Environnement Durable, dénoncent une atteinte au principe de contrôle citoyen. Depuis un décret de 2021, les recours liés à l’éolien en mer relèvent directement du Conseil d’État, en premier et dernier ressort. Autrement dit, plus aucun juge de proximité ne peut se prononcer sur ces projets, pourtant lourds de conséquences pour les territoires concernés.
Selon les associations, ce dispositif prive riverains, pêcheurs et collectifs locaux de tout moyen réel de contester les décisions de l’État, qui choisit seul les consortiums industriels appelés à exploiter ces installations.
Un projet industriel hors norme et controversé
Le parc Pennavel prévoit l’installation d’éoliennes flottantes géantes – jusqu’à 340 mètres de haut – à 19 kilomètres des côtes de Belle-Île, Groix et Quiberon. Présenté comme une vitrine de la transition énergétique, il suscite pourtant de vives inquiétudes : atteinte au paysage marin, risques de pollution chimique (228 substances recensées, dont 62 préoccupantes), impacts sur la biodiversité marine et sur la pêche artisanale, déjà fragilisée.
Les associations pointent également des zones d’ombre dans l’appel d’offres AO5, notamment sur la solidité économique et technique du consortium lauréat. Le rejet du recours sans examen de ces arguments empêche toute vérification indépendante de la validité du projet.
Une dérive démocratique et environnementale
Au-delà du cas breton, cette affaire illustre une dérive institutionnelle préoccupante : au nom de l’« accélération des énergies renouvelables », les grands projets échappent progressivement à la transparence et au débat public.
Les associations appellent à une vigilance citoyenne accrue, rappelant que la transition énergétique ne peut se construire au prix du silence démocratique et de la destruction des écosystèmes marins.
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/eoliennes-flottantes-en-bretagne-sud-le-conseil-d-etat-verrouille-le-debat
«Eau structurée», «eau de 4e phase», «zone d'exclusion de l'eau» – Trois noms pour le même miracle ?
RépondreSupprimerComment une révolution tranquille en physique – et un ingénieur japonais depuis longtemps négligé – révèle que l’eau est beaucoup plus vivante que nous n’avons jamais osé l’imaginer.
Pierre Kory, MD, MPA
13 novembre 2025
Je me souviens encore en sciences de l’école primaire quand j’ai appris pour la première fois les merveilleuses propriétés de l’eau – et comment la vie sur Terre serait impossible sans elles. J'ai été fasciné par la liste des traits qui rendent l'eau presque complètement unique parmi toutes les substances:
Solvant universel: L'eau dissout et transporte les nutriments, permettant pratiquement tous les processus biologiques dans les êtres vivants.
Capacité de chaleur élevée: Il stabilise les températures, les organismes tamponnants et les environnements à partir de changements rapides.
Flotteurs de glace: L'eau solide est moins dense que liquide, protégeant la vie aquatique sous la surface.
Cohésion et adhérence: Les liaisons à l'hydrogène permettent à l'eau de se déplacer vers le haut dans les plantes et de créer une tension de surface qui soutient la vie au-dessus et au-dessous de l'eau.
Existe dans les trois phases: trouvé naturellement comme solide, liquide et gaz – soutenant le cycle de l’eau et l’évolution de la vie elle-même.
Chaque processus vivant dépend de ces propriétés singulières. Sans eau, la Terre serait inhabitable ! Mais il y a un problème: on m’a enseigné – comme chaque élève l’est encore – que l’eau n’existe que en trois phases. E ven Les modèles d'IA insisteront sur ce point... à moins que vous ne posiez une question particulière:
« L’eau a-t-elle une quatrième phase ? »
L’IA répondra alors de manière oernée: Oui, selon les recherches émergentes, en particulier les travaux du Dr. Gerald Pollack – il existe des preuves d’une « quatrième phase d’eau » au-delà du solide, du liquide et du gaz.
Quatrième phase: zone d'exclusion (EZ) ou eau structurée
Selon des décennies de recherche menée par le Dr. Gerald Pollack à l'Université de Washington, l'eau présente un État jusque-là non reconnu. Cette forme structurée et quasi-cristalline existe entre les états solide et liquide.
Cette « quatrième phase » de l’eau se forme à côté de surfaces hydrophiles – y compris les membranes biologiques – où elle se répartit en feuilles hexagonales en couches. Il est chargé négativement, repousse les impuretés et stocke l'énergie d'origine légère, se comportant presque comme un gel biologique.
RépondreSupprimerProblème: Beaucoup d’entre vous auront entendu parler de ce «nouveau type» d’eau, avec des descriptions qui varient – «eau structurée», «eau de quatrième phase» ou «eau de zone d’exclusion». Heureusement pour vous (et moi), tous les trois décrivent le même phénomène fondamental, ne différant que par les caractéristiques que le terme souligne:
« Eau de quatrième phase » – mettant l’accent sur son état au-delà du solide, du liquide ou du gaz.
« Eau structurée » – mettant en évidence son ordre moléculaire hexagonal.
« Zone d’exclusion (ZE) eau » – se référant à sa capacité à exclure les particules et les impuretés.
Donc, les gars, soyez rassurés - dissipez toute confusion, IT. C'EST. TOUT. LE. SAZMÉTHING.
Les expériences de Pollack ont révélé que cette eau, H3O2, porte une charge négative, tandis que l’eau en vrac adjacente devient riche en protons. En effet, il fonctionne comme une batterie microscopique – un système électrique auto-organisé et léger.
Comment l’eau structurée se forme – et ce qu’elle fait
https://pierrekorymedicalmusings.com/p/structured-water-4th-phase-water?utm_source=post-email-title&publication_id=645524&post_id=178659829&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Ce qui est caché à l'intérieur des courriels d'Epstein a l'élite de Washington nerveux | Daily Pulse
RépondreSupprimerLes révélations de la bombe ont suscité la question que personne au pouvoir n'ose se poser.
Le Renard Vigilant
13 novembre 2025
Regardez l'épisode complet
- voir clips de Maria sur site -
STORY #1 - Les nouveaux courriels d'Epstein ont ravivé une tempête de feu sur la connexion de Trump au délinquant sexuel condamné - soulevant de nouvelles questions explosives sur qui tire vraiment les ficelles à Washington.
Les courriels, publiés par les démocrates de la Chambre, montrent qu’Epstein affirmait que Trump « connaissait les filles » et a demandé une fois à Ghislaine Maxwell de « s’arrêter ». Dans un autre échange, il appelle Trump « le chien qui n’a pas aboyé » et dit qu’il est « 75% là-bas » avec lui – une phrase que beaucoup interprètent comme un signe de levier ou de contrôle.
Les messages d’Epstein avec le journaliste Michael Wolff, où ils complotent pour « accrocher » ou « sauver » des personnalités politiques en fonction de qui gagne une élection. Le ton suggère qu'Epstein considérait les deux parties comme des pions dans son jeu privé de pouvoir et de chantage.
Les démocrates utilisent les fuites pour impliquer le président, mais ils ignorent le fait que Trump a expulsé Epstein de Mar-a-Lago et a coopéré avec les enquêteurs.
Pourtant, une question demeure: s’il est innocent, pourquoi ne pas publier les fichiers et mettre fin à la spéculation? Parce que jusqu’à ce que la vérité sur le réseau d’Epstein soit entièrement révélée, personne au pouvoir ne peut être digne de confiance.
Regardez le rapport complet ici.
HISTOIRE #2 - Lauren Southern vient de laisser tomber des enregistrements secrets explosifs qui semblent capturer des agents du renseignement canadien qui tentent de la recruter comme un atout du gouvernement. L’exposé a suscité des questions urgentes sur la profondeur de l’emprise de la communauté des relations sur les médias sociaux.
Lauren dit que des agents sont venus chez elle, ont appelé à partir de numéros cachés, et ont même contacté son gymnase – avertissant qu’elle pourrait être arrêtée ou « ne jamais voir [son] enfant grandir » à moins qu’elle ne coopère. Ils lui auraient dit que « la perception, pas la vérité » décide de ce qui se passe devant le tribunal. Elle a tout enregistré, décrivant une campagne psychologique de plusieurs mois pour la forcer à se conformer.
C’est la preuve de ce que beaucoup craignaient: lorsque la confiance dans les médias traditionnels s’est effondrée, les réseaux de renseignement se sont discrètement déplacés en ligne – cooptant les influenceurs par la pression, le paiement ou l’accès. La seule question maintenant est de savoir combien ont dit oui.
Lauren dit qu’elle publie les cassettes « dans l’intérêt public ». Écoutez les enregistrements que l’établissement n’a jamais voulu exposer, avant qu’ils ne disparaissent.
RépondreSupprimerRegardez le rapport complet ici.
STORY #3 - Des documents récemment publiés confirment que les agences de renseignement américaines étaient en contact direct avec les souches de coronavirus à risque très scientifiques à Wuhan – des années avant que le monde n’ait entendu parler du COVID-19.
Documents obtenus par Sen. Rand Paul dévoile le Dr. Ralph Baric, un virologue qui a co-créé de nouveaux coronavirus à l’Institut de virologie de Wuhan, a régulièrement informé la principale agence d’espionnage américaine sur les menaces biologiques. En 2015, le Bureau du directeur du renseignement national a même organisé une réunion entre Baric et la CIA sur « l’évolution du coronavirus » – soulevant de sérieuses questions sur ce que notre gouvernement savait bien avant la pandémie.
En 2021, ce même bureau a étiqueté la théorie des fuites de laboratoire «désinformation», malgré les briefings internes montrant le contraire. D’anciens responsables admettent maintenant que le récit a protégé les propres conseillers d’ODNI. La vérité n’était pas cachée par la seule Chine – elle a été enterrée ici chez elle.
Maintenant, sous Tulsi Gabbard, l'ODNI a discrètement dissous le bureau accusé de supprimer les renseignements d'origine COVID. La question que chaque Américain devrait se poser est simple: à quelle profondeur cette dissimulation va-t-elle?
Regardez le rapport complet ici.
Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.
Nous reviendrons avec un autre spectacle demain. On se voit alors.
Regardez l'épisode complet ci-dessous:
https://www.vigilantfox.com/p/whats-hidden-inside-the-epstein-emails?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=178734146&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Ce qui vous dérange, c'est la nature du jeu du gouvernement
RépondreSupprimerPourquoi la population américaine est toujours confondue par son gouvernement.
John Leake
Nov 12, 2025
Il y a une histoire amusante (peut-être apocryphe) sur une confrontation célèbre qui s’est produite à Aspen, Colorado, pendant la saison de ski de 1991/1992. Donald Trump et sa première épouse, Ivana, où en ville pour profiter des plaisirs de la ville de montagne à la mode, mais le paradis a rapidement été perdu quand Ivana a entendu une rumeur selon laquelle une autre femme nommée Marla Maples avait attiré l’attention du Donald.
Marla était connue pour poster à l’après-ski de Little Nell, alors Ivana a décidé de la confronter. Avec des cheveux et du maquillage parfaitement faits et portant la dernière tenue de ski la plus à la mode, Ivana est entrée dans le bar comme un fard à feu en marchant dans un salon Aspen quand c'était une ville argentée rugueuse.
Là, Marla était assise à une table avec des amis chics, sirotant son verre d'après-ski, l'air fringante. Ivana s'approcha d'elle et les deux femmes fermaient les yeux. . . à ce moment-là, ils se rendaient compte qu'ils portaient tous les deux la même tenue de ski à la mode et sexy. Donald, semble-t-il, avait réalisé l'art de l'affaire, obtenant un prix favorable en en achetant deux à la fois.
Je raconte cette histoire dans un esprit d’humour véritable et une juste mesure d’affection indulgente pour le Donald. Il est difficile de ne pas s’amuser par cela.
On m’a rappelé l’histoire quand certains de mes lecteurs m’ont demandé si j’avais une théorie sur la raison pour laquelle Trump a accueilli l’ancien terroriste d’Al-Qaïda Ahmed Al-Sharaa à la Maison Blanche.
Le président Trump se trouve maintenant dans la position difficile d’être obligé par des intérêts spéciaux de poursuivre leurs objectifs, même si la majorité de ses électeurs ont l’impression qu’il avait l’intention de représenter leurs intérêts. En d’autres termes, Trump doit prétendre agir comme le président d’une République, en faisant ce qui est le mieux pour les citoyens, tout en administrant un empire international tentaculaire au service de gangsters assortis.
En tant que puissance impériale, les États-Unis ont toujours été contraints par le fait que la plupart des Américains ne veulent pas que leurs fils meurent dans des guerres à l’étranger. Le gouvernement est habile à incitation occasionnellement à la passion populaire pour la guerre contre un étranger qui aurait commis un acte odieux. Cependant, le gouvernement lutte pour soutenir cette passion pendant plus d’un an ou deux. Comme un jeune homme ivre qui est excité par la vue d'une fille dans un bar, une telle excitation se révèle généralement de courte durée.
Dans le cas de l’Irak et de la Syrie, le gouvernement américain et son allié, le gouvernement israélien, aspiraient à se débarrasser des dirigeants laïques du Baas en Irak et en Syrie – Saddam Hussein et Bachar al-Assad – parce qu’ils insistaient pour être leurs propres hommes.
Le problème pour le gouvernement américain est que l’Irak et la Syrie sont de grands pays indisciplinés avec de multiples tribus et sectes religieuses, habités par un grand nombre de jeunes hommes désireux de se battre. Comme Saddam et Assad, l’armée américaine a rapidement découvert qu’une grande partie de la force et de la peur est nécessaire pour gouverner ces pays. Cela explique pourquoi les États-Unis. L’armée et la CIA ont rapidement commencé à faire les mêmes choses horribles dans la prison d’Abou Ghraib que Saddam Hussein avant d’être renversé. Rappelez-vous que la prochaine fois que vous lisez la propagande américaine sur le despotisme de Saddam et d’Assad.
Après quelques années, l’armée américaine et la CIA ont jugé nécessaire de faire des alliances avec des dirigeants d’insurrection comme Ahmed Al-Sharaa qui pourraient – avec la promesse d’argent et de pouvoir – être persuadés de servir les intérêts américains et israéliens. C’est ce à quoi Trump faisait référence lorsqu’il a parlé d’Al-Sharaa: «C’est un leader très fort. Il vient d’un endroit très difficile. » En d’autres termes, Al-Sharaa a démontré son courage combattant les États-Unis. Corps des Marines en Irak, et maintenant il est prêt à être le garçon de la CIA à Damas.
RépondreSupprimerEt comme il arrive souvent aux chefs d’État occidentaux lorsqu’ils rencontrent pour la première fois des hommes arabes diabolisés, ils sont surpris de découvrir que certains de ces aventuriers sanglants ont un charme, un charisme et de bonnes manières considérables. Comme Trump l’a dit aux journalistes: «Je l’aimais. Je m’entends avec lui. »
Churchill aurait joué avec quelque chose dans ce sens lorsqu'il a commandé une étude (en mai 1945) connue sous le nom d'opération Impensable pour unir ses forces avec ce qui restait de l'armée allemande pour tourner Staline et chasser l'Armée rouge de l'Allemagne orientale et de la Pologne. L’idée était que, en 1945, Staline avait survécu à son utilité, tandis que l’Allemagne nazie avait été vaincue, libérant ainsi théoriquement les soldats restants de l’Allemagne pour combattre les Russes.
Un problème majeur avec ce concept était que tous les soldats ordinaires de l’Allemagne étaient épuisés, tandis que beaucoup de ses meilleurs généraux (y compris Erwin Rommel) avaient été impliqués dans le complot de juillet 1944 pour assassiner Hitler et étaient soit exécutés, soit forcés de se suicider. J’ai longtemps été d’avis que les services de renseignement américains et britanniques auraient dû faire FAR plus pour soutenir les complotistes au lieu de faire la demande stupide et contre-productive de reddition inconditionnelle.
Le gouvernement américain agit maintenant plus ou moins comme le gouvernement britannique à l’époque de Churchill, lorsque la Grande-Bretagne essayait de s’accrocher à son empire en décomposition. Parce que les Américains ne comprennent pas cela, ils souffrent de dissonance cognitive profonde.
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