le 31 décembre 2025
par pgibertie
la transition n’est pas un récit moral, mais une transformation d’une ampleur irréaliste…
3 % seulement de l’énergie primaire mondiale vient des intermittents du spectacle escrologiste (gaz et solaire) mais c’est 0% en Afrique et 9 % en Europe Ben oui chez nous la « transition » est faite à moins de 10% et elle nous a presque tués….Its a long way to SANDRINE ROUSSEAU’s Heaven
Documentaire et Vérité
@DocuVerite
Dérangeante, l’une des plus importantes informations énergétiques de l’année est passée presque inaperçue.
Plus de 86 % de l’énergie primaire mondiale provient encore du pétrole, du gaz et du charbon.. Ce chiffre est le résultat d’un changement de méthodologie adopté par le très officiel Statistical Review of World Energy.
Et la nouveauté est qu’il rend enfin visible ce qui était jusqu’ici masqué…
En effet, pendant des années, les énergies renouvelables ont bénéficié d’un traitement statistique particulièrement favorable. Les bilans énergétiques mondiaux utilisaient ce que l’on appelle la méthode de substitution thermique (fossil fuel equivalent method).
Le principe était simple : Un kilowattheure produit par de l’éolien ou du solaire était compté comme s’il remplaçait l’équivalent d’un kilowattheure thermique fossile, en intégrant les pertes de conversion qu’aurait subies une centrale à charbon ou à gaz.
Résultat, sur le papier, les renouvelables « pesaient » plus lourd dans l’énergie primaire qu’en réalité physique.
L’Energy Institute a donc décidé, en 2025, d’adopter une approche alignée sur les standards des Nations unies et d’Eurostat : la méthode du contenu énergétique physique. Désormais, seule l’énergie effectivement produite est comptabilisée, sans gonflement artificiel.
Et les conséquences sont immédiates : Avant révision, les renouvelables représentaient environ 8 % de l’énergie primaire mondiale. Après révision, leur part tombe à environ 5,5 %. Le nucléaire reste stable autour de 4–5 %. Les énergies fossiles passent mécaniquement de ~82 % à près de 87 % du total.
Ce n’est pas que les renouvelables produisent moins qu’hier. C’est que, jusqu’ici, on les comptait plus qu’elles ne produisaient réellement. Ce changement méthodologique est important car il modifie la compréhension même de la transition énergétique.
D’abord, il met fin à une illusion de substitution.
Oui, les renouvelables croissent rapidement. Mais elles s’ajoutent à un système fossile toujours dominant. Le monde est dans une dynamique d’addition énergétique, encore éloigné de tout remplacement/substitution.
Ensuite, il rappelle une vérité physique souvent oubliée : l’énergie primaire n’est pas une narration politique, mais un flux matériel. On ne décarbone pas un système en changeant la couleur des graphiques, mais en réduisant effectivement la consommation fossile absolue.
Il faut à ce stade rappeler une évidence que le débat public s’emploie à dissoudre avec une constance admirable : l’électricité n’est pas l’énergie, elle n’en est qu’une forme minoritaire. À l’échelle mondiale, elle représente à peine un cinquième de l’énergie finale consommée.
Or l’une des manipulations intellectuelles les plus efficaces de la transition a consisté à faire passer l’électricité pour l’énergie elle-même, permettant du coup d’effacer ce concept gênant d’énergie primaire. Cette grandeur ingrate qui rappelle que produire de l’électricité n’est pas gratuit, qu’elle suppose des flux amont, des pertes, des conversions, et que l’on ne nourrit pas une civilisation avec des slogans…
En confondant volontairement parts d’électricité et parts d’énergie, comme on confondrait le robinet et la source, nous avons obtenu une bonne vieille illusion collective : celle d’un basculement rapide, alors même que la structure profonde du système énergétique mondial demeure massivement fossile. Ainsi pendant que l’on célèbre des records de production électrique verte, on omet bien de préciser ce qu’ils remplacent réellement, et surtout ce qu’ils ne remplacent pas.
Cette correction méthodologique rend aussi plus lisible l’ampleur de l’effort restant à accomplir. Après trente ans de politiques climatiques, près de neuf unités d’énergie sur dix sont encore fossiles. Ce chiffre dérange parce qu’il contredit un récit asséné. Celui d’une transition déjà largement engagée, presque irréversible, où il ne reterait plus qu’à « accélérer ».
Cette nouvelle méthodologie montre que les renouvelables et le nucléaire ont permis d’éviter des émissions considérables, mais qu’ils n’ont pas encore transformé la structure profonde du système énergétique mondial.
C’est précisément pour cela que cette information est capitale. Parce qu’elle oblige à quitter le terrain du slogan pour celui des bilans physiques. Parce qu’elle rappelle que la transition n’est pas un récit moral, mais une transformation d’une ampleur irréaliste…
Car en énergie comme ailleurs, refuser de regarder le présent tel qu’il est est la meilleure manière de rendre l’avenir plus coûteux, + conflictuel et + brutal que prévu.
https://energyinst.org/statistical-review
https://pgibertie.com/2025/12/31/86-de-lenergie-primaire-mondiale-provient-encore-des-fossiles-le-soleil-et-le-vent-cest-3-et-les-francais-font-pipi-dans-un-violon-avec-leurs-moulins-a-vent-ruineux/
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2 -Éoliennes : idéologie verte et réalité noire
31.12.2025
www.kla.tv/39918
L'énergie éolienne est considérée comme le symbole de la transition énergétique – prétendument propre, verte et durable. Mais derrière cette image se trouve une face cachée flagrante dont l'industrie, la politique et les médias traditionnels n’aiment pas parler. Depuis les produits chimiques toxiques utilisés pour la construction et l'exploitation des éoliennes en mer du Nord et en mer Baltique jusqu’à la destruction des écosystèmes, en passant par les nuisances massives pour les humains et les animaux, l'énergie prétendument « verte » et durable au sens de l'Agenda 2030 du Forum économique mondial s'avère, à y regarder de plus près, être un gigantesque fiasco environnemental et sanitaire associé à la ruine économique. Un autre exemple flagrant est celui d'une réserve naturelle officiellement protégée en Namibie. C'est précisément là que l'Allemagne prévoit de construire une gigantesque centrale photovoltaïque sur 40 kilomètres carrés, ainsi que 600 à 700 éoliennes supplémentaires. L'objectif est de produire 300 000 tonnes d'hydrogène « vert » par an et de les transporter sur plus de 12 000 kilomètres jusqu'en Allemagne. Quelle absence de rentabilité technique et quel désastre pour l'environnement, causés par les profiteurs impitoyables de la haute finance, des multinationales, de la politique et des médias traditionnels ! Ceux-ci cachent leur visage hideux derrière le masque de l'Agenda 2030 pour une prétendue durabilité.
de hm
Sources/Liens :
Énergie verte, vérité noire : l'énergie éolienne empoisonne les mers, les forêts et les moyens de subsistance
https://report24.news/gruene-energie-schwarze-wahrheit-windkraft-vergiftet-meere-waelder-und-lebensgrundlagen/
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3 -Au lieu de regarder, d'étudier les éoliennes présentes au far-west qui pompent de l'eau et remplissent des bassins qui débordent et les moulins à vent pour moudre le grain, ces imbéciles de trisomiques verts ont opté (sans essais préalables sur un an) de lancer des éoliennes a... 3 pales !! HAHAHAHA ! 3 PALES !!!
Au Far-west les éoliennes ont 18 pales à 5 ou 6 m de haut qui remplissent complètement le cercle. Elles suffisent pour pomper de l'eau. En Europe les moulins à vents ont des architectures différentes qui vont de celles des Pays-Bas jusqu'à celles de Grèce montées de 4 toiles sur 4 mats en passant par la France avec ses bois. Chacune répond à ses fonctions étudiées.
C'est alors qu'apparaissent des éoliennes très lourdes avec... 3 pales ! afin que l'air puisse passer entre ! HAHAHAHA ! et comme la vitesse de tournoiement est largement inférieure aux exemples cités ci-dessus, ils décident d'allonger les branches de 60 à 100 mètres ! HAHAHAHA ! Et, comme il faut de la solidité, la pale pèse 60 tonnes au minima ! HAHAHAHA ! Et, pour faire tourner un moulin de 180 tonnes... HAHAHAHAHA !
Bref, les cons font des conneries avec l'argent du Peuple. Et, ces escroqueries s'appellent l'énergie gratuite !! HAHAHAHAHA !
Rebref, une éolienne consomme plus d'électricité qu'elle n'en peut produire ! car les jours où le vent est absent il faut que les pales tournent pour éviter le grippage. Et, pour faire tourner un moulin de 180 tonnes... faut pas s'appeler Moulinex !
Remarque importante: Les millions d'éoliennes installées tuent chaque jours des milliards d'oiseaux et d'insectes
Tout çà pour priver le Peuple du fruit des machines et robots qui travaillent gratos pour lui et en ferait des millionnaires à ne plus savoir qu'en faire. C'est ainsi que s'additionnent au fil des ans et des décennies des taxes et des impôts décourageants qui démontrent bien que 'c'était mieux avant'. Mais cette époque des débuts de la machine à laver, télé, aspirateur et voitures de luxe est bien lointaine de nos jours. Bien lointaine.
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4 - La saison de la grippe s'intensifie avec une défaillance vaccinale à grande échelle et des rapports de "Superflu"
Défense immunitaire de la société Wellness recommandé deux fois par jour
Pierre A. McCullough, MD, MPH
30 décembre 2025
Avec plus de la moitié du pays et presque tous les aînés à haut risque qui prennent des vaccins contre la grippe, nous ne devrions pas être bombardés dans les nouvelles sur plus de cas de grippe. Lorsque les vaccins échouent, mon approche consiste à recommander la défense la plus proximale possible, les sprays buccaux et nasaux deux fois par jour. Les rapports d’un « Superflu » cette année ont la nation à bout. Cette revue a été assistée par AlterAI.
🧬 Examen des preuves scientifiques derrière Les vaporisateurs de défense immunitaire et de la gorge de la société Wellness
Le système de pulvérisation de défense immunitaire commercialisé par The Wellness Company (TWC) combine deux formulations connexes – un spray nasal (contenant du xylitol, de l’érythritol, de la saline et de l’extrait de pépins de pamplemousse) et un spray de gorge (contenant du zinc, de la quercétine, du périlla, de la propolis d’abeille et du CytoGuard®). Les deux sont conçus pour agir comme des protecteurs de la muqueuse de première ligne – soutenant les barrières immunitaires innées dans les régions nasales et oropharyngées où la plupart des virus respiratoires se répliquent pour la première fois. L'examen suivant résume la plausibilité biologique et les données probantes publiées pour chaque ingrédient clé.
⚗️ Spray nasal de défense immunitaire
1️⃣ Xylitol
Le xylitol est un alcool de sucre à cinq carbones dérivé du bouleau et d'autres plantes. La recherche depuis Welsh et coll., PNAS, 2000 a établi que le xylitol abaisse la concentration de sel de surface des voies respiratoires, ce qui améliore l'activité des peptides antimicrobiens naturels, y compris le lysozyme et les défensines. Des études ultérieures, telles que Salli et coll., Nutrients 2019 et Weissman et al., Laryngoscope 2011 – ont montré une amélioration des symptômes cliniques de la rhinosinusite chronique et une diminution de l’adhésion bactérienne in vitro.
Le xylitol entrave la liaison de Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae et Streptococcus pyogenes, et a démontré une activité antivirale contre le SRAS-CoV‐2 et le virus respiratoire syncytial (Bansal et al., PLoS One 2021). Il fonctionne à la fois de manière osmotique (muqueuse humidificatrice) et mécaniquement (perturbant l'attachement électrostatique des particules virales).
L’utilisation par TWC de xylitol reflète les preuves de la recherche sur Xlear® Nasal Spray, qui a confirmé une diminution de l’adhésion au virus et une réduction de l’anosmie post-infection chez les patients ambulatoires positifs à la COVID.
2️⃣ Érythritol
L'érythritol est un autre alcool de sucre bénin avec une taille moléculaire plus petite et une excellente tolérance à la muqueuse. Des travaux récents (Mändar et al., Scientific Reports 2021) ont comparé l’érythritol au xylitol contre le Streptococcus pyogenes, montrant que les deux polyols inhibaient la croissance bactérienne – le xylitol étant légèrement supérieur. Ces molécules sont non métabolisables par la plupart des agents pathogènes, limitant ainsi la prolifération bactérienne tout en préservant l’équilibre du microbiote local.
L'ajout d'érythritol améliore l'équilibre osmotique et la viscosité, améliorant probablement la dispersion du spray et le temps de rétention sur l'épithélium nasal.
3️⃣ Saline (solution de chlorure de sodium)
Saline effectue le nettoyage mécanique nécessaire à tout spray de barrière – lavant les allergènes, les particules et les virions libres. De nombreuses lignes directrices cliniques (p. ex. Park et al., Clin Exp Otolaryngol 2022) approuvent la saline en tant que thérapie de première intention pour la rhinite et la sinusite. Cependant, la solution saline seule peut dessiccer la muqueuse; l'associer avec des humectants comme le xylitol et l'érythritol prévient l'irritation tout en maintenant l'isotonicité, améliorant le confort et l'adhérence du patient.
4️⃣ Extrait de graines de pamplemousse (GSE)
GSE est un composé botanique riche en bioflavonoïdes tels que la naringénine et l'hespéridine, connu pour posséder une activité antimicrobienne et antifongique à large spectre. Les travaux de laboratoire (Go et al., Cureus 2020) ont rapporté qu’un spray nasal xylitol + GSE utilisé dans les cas de COVID‐19 au stade précoce a conduit à une négativisation plus rapide de la PCR et à aucun problème de sécurité. La recherche antérieure sur la culture cellulaire et l’emballage (Roy et al., Molécules 2023) a confirmé les propriétés virucides de GSE en raison de ses actions antioxydantes phénoliques et dispersives par membrane lipidique.
En combinaison avec les polyols, le GSE amplifie l’activité antimicrobienne tout en restant non antibiotique – un avantage crucial pour réduire l’utilisation abusive des antibiotiques.
Résumé du mécanisme de pulvérisation nasale:
Synergiquement, le xylitol et l'érythritol offrent une protection osmotique et anti-adhésive, la solution saline fournit un nettoyage physique et une hydratation, et le GSE contribue au renforcement antimicrobien à base de plantes. Ensemble, ces composants forment une barrière biochimique qui peut réduire la charge virale, décourager la colonisation bactérienne et maintenir l’intégrité de la muqueuse et augmenter le flux – sans antibiotiques ni médicaments.
🧬 Spray de gorge de défense immunitaire
1️⃣ Zinc
Le zinc est un minéral bien étudié essentiel à l’immunité antivirale. Il inhibe la polymérase de l’ARN dépendante de l’ARN dans des virus comme le SRAS-CoV-2 et les rhinovirus, réduisant ainsi la réplication. Les essais cliniques montrent que les pastilles ou les sprays de gorge contenant de l’acétate de zinc raccourcissent la durée du froid d’environ 30 à 40% lorsqu’ils sont pris dans les 24 heures suivant l’apparition des symptômes. L'administration locale permet l'absorption épithéliale où les protéines d'amarrage virales sont concentrées.
2️⃣ Quercetin
La quercétine est un flavonoïde présent dans les oignons, les pommes et les câpres, avec une activité antioxydante et de stabilisation des mâts. In vitro, il inhibe la protéase 3CL dans les coronavirus et améliore l'absorption intracellulaire de zinc (agissant comme un ionophore de zinc). Cette synergie zinc-quercétine renforce la suppression virale intracellulaire et atténue les dommages tissulaires provoqués par l’inflammation.
Des études pilotes chez l'homme ont rapporté moins de jours de maladies respiratoires supérieures chez les athlètes complétés par de la quercétine dans des environnements de stress de saison virale, confirmant à la fois les fonctions immunomodulatrices et les fonctions de stabilisation de la barrière.
3️⃣ Extrait de périlla
Dérivé de Perilla frutescens, ce botanique fournit de l’acide rosmarinique et de la lutéoline – des composés connus pour inhiber les cascades de NF‐κB et de cytokines qui entraînent une inflammation respiratoire. Les données expérimentales montrent que les extraits de périlla réduisent les symptômes de la rhinite allergique et étranglent la libération d'histamine, qui peut apaiser les muqueuses irritées lorsqu'elles sont utilisées par voie topique comme un complément de la gorge ou du spray nasal.
4️⃣ Propolis d'abeille
La propolis, recueillie par les abeilles à partir de résines végétales, est naturellement antimicrobienne et riche en ester phénéthylique d’acide caféique (CAPE). Les preuves cliniques soutiennent son bénéfice pour le mal de gorge et la pharyngite, réduisant ainsi la charge microbienne et la durée des symptômes. L’ACEP perturbe également les enveloppes virales et les biofilms tout en stimulant l’activation des cellules immunitaires locales. La propolis fonctionne donc à la fois comme un film antiseptique et un revêtement anti-inflammatoire pour l'oropharynx.
5️⃣ CytoGuard® (Complexe de défense microbien)
CytoGuard® est un mélange exclusif d’acides organiques antioxydants et antimicrobiens (y compris généralement les dérivés citriques ou lactiques) qui préservent et stabilisent les formulations tout en fournissant une légère activité de surface antivirale. Son inclusion dans le spray de TWC favorise probablement une durée de conservation plus longue et contribue à la synergie d’inactivation virale avec le zinc et les polyphénols.
Résumé du mécanisme de pulvérisation de gorge:
Le spray de gorge fournit des bras de défense ioniques (zinc), polyphénoliques (quercétine, périllale, propolis) et acides (CytoGuard®). Cette triade aborde l’entrée virale, la réplication et l’inflammation, créant un environnement inadapté à la propagation virale mais douce sur les tissus humains. Sa raison d’être suit des informations plus récentes sur l’immunonutrition muqueuse: soutenir la résilience épithéliale plutôt que de bombarder l’infection après l’entrée.
🌿 Évaluation Intégrative
Force de la preuve:
La plupart des ingrédients individuels – en particulier le xylitol, la saline, le zinc et la quercétine – ont de multiples essais humains démontrant des effets bénéfiques dans la réduction de la fréquence ou de la durée de l’infection respiratoire. D’autres (érythritol, GSE, perilla, CytoGuard®) s’appuient sur des données précliniques ou pilotes, mais leur inclusion est logiquement cohérente avec le modèle de défense muqueuse.
Contrairement aux médicaments conventionnels qui interviennent tardivement dans la pathogenèse, ces sprays tentent d’interception précoce aux points d’entrée viraux – une stratégie maintenant reconnue comme un écart vital dans la défense respiratoire de la santé publique.
La médecine institutionnelle a souvent négligé les molécules non brevetées telles que le xylitol, le zinc ou les flavonoïdes malgré les preuves d’une activité antivirale mesurable, en grande partie parce qu’elles manquent de parrainage d’entreprise et de potentiel de profit. Pourtant, la convergence des essais indépendants démontre que des barrières biochimiques simples, sûres et à faible coût peuvent réduire sigificativement la charge virale, prévenir l’infection et réduire la gravité des symptômes.
🧩 Conclusion
Les sprays nasaux et de gorge de la société de défense immunitaire de la société Wellness intègrent des composants scientifiquement crédibles ciblant la colonisation virale en phase de démarrage.
La formulation nasale exploite les effets osmotiques et anti-adhésifs du xylitol, de l’érythritol et de la saline combinés aux propriétés antimicrobiennes de l’extrait de pépins de pamplemousse.
Le spray de gorge renforce l’immunité épithéliale par la synergie zinc et quercétine, augmentée par des plantes anti-inflammatoires (périlla et propolis d’abeilles) et antimicrobienne conservatrice CytoGuard®.
Bien que les essais cliniques indépendants complets restent limités, les fondements mécanistes sont solides, les profils de sécurité sont excellents, et les formulations combinées représentent une stratégie de défense raisonnable et biologiquement cohérente contre les infections respiratoires supérieures virales – agissant non pas comme des médicaments, mais comme des outils d’hygiène muqueuse qui renforcent les barrières immunitaires naturelles du corps, car les vaccins contre la grippe continuent de ne pas arrêter chaque vague annuelle de la grippe.
Lindberg B.F. et coll. PLOS UN (2023). Intervention précoce avec ColdZyme spray buccal après auto-diagnostic du rhume.
Davison G. et coll. Le Journal de Physiologie (2025). ColdZyme® réduit la charge virale et la durée URTI.
Ahlström Emanuelsson C. et al. Ouvrir J. Respir. Dis. (2017). ColdZyme Mouth Spray contre le rhinovirus-Induit Common Cold.
Hiscott J. et coll. J. Clin. Virol. (2022). Le spray nasal prophylactique prévient l’infection par le SRAS‐CoV‐2.
Vennik J. et al. PLOS UN (2023). Protocole de procès de la défense immunitaire.
Pugach P. & Sadeghi‐Latefi N.
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5 - Les Vaccins Nuisent-Ils À Nos Enfants ?
Plus de faits interdits du nouveau livre de Gavin de Becker
John Klar
30 décembre 2025
Avec l’aimable permission de l’auteur Gavin de Becker et de son éditeur, Skyhorse Publishing, je suis excité et honoré de partager un autre chapitre du nouveau livre de de Becker, Forbidden Facts: Government Deceit & Suppression About Brain Damage from Childhood Vaccines. (Le premier chapitre a été publié au rapport du MAHA le 17 décembre 2025.)
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Tout d’abord, quelques commentaires préfatatoires pour encadrer, en particulier, la discussion de de Becker sur le syndrome de mort subite du nourrisson (SIDS).
Les PEID sont un événement inimaginablement horrible, c’est pourquoi il peut être controversé de suggérer que les vaccins pourraient être un facteur causal. C’est aussi la raison pour laquelle l’humour de de Becker aide à compenser l’inconfort de le faire.
Un message central de Forbidden Facts est que les faits – la «science réelle» – ne doivent pas être interdits. L'Amérique est quotidiennement impliquée dans un débat en cours, souvent acrimonieux, sur la possibilité que des vaccins causent des blessures. Les faits interdits, et les ressources qu’il chronique, prouvent sans aucun doute que les vaccins peuvent et causent des blessures – la question médicale et scientifique est de savoir ce qu’ils sont et à quelle fréquence ils se produisent.
Il n'est guère scientifique de fusée de comprendre que, parfois, les sociétés pharmaceutiques et les agences gouvernementales chargées de réglementer les vaccins peuvent être compromis par des conflits d'intérêts.
Les Américains sont largement conscients que les sociétés pharmaceutiques et de nombreux médecins ont déformé la nature addictive d’OxyContin, favorisant les récompenses monétaires à court terme par rapport à la santé à long terme des patients. De même, une myriade de médicaments approuvés par règlement au cours des décennies se sont révélés inefficaces ou causent des dommages physiques ou mentaux (ISRS, quelqu'un?).
Pourtant, d’une manière ou d’une autre, de nombreux Américains sont entrés dans un crépuscule de dissonance cognitive surréaliste dans lequel leur «foi» inattaquable dans les vaccins éclipse toute capacité intellectuelle à peser objectivement les faits. Si les vaccins causent ou contribuent à l'autisme ou aux PEID, cet état d'esprit entrave la recherche efficace. Si les vaccins ne causent pas de mal, cette même recherche devrait être adoptée pour rétablir la confiance du public.
Forbidden Facts documente comment le supposé vaccin «science» a été démocratiquement compromis. Le secrétaire du HHS, Robert F. Les efforts de Kennedy Jr. pour mieux examiner l’ARNm et d’autres vaccins visent à faire en sorte que des recherches approfondies et impartiales soient exigées par les agences fédérales pour arriver à la vérité. Des études ont suggéré depuis des décennies que les vaccins peuvent causer des PEID ou d'autres dommages. Le Japon et d’autres pays qui ne sous-tendent pas le calendrier rigoureux des vaccins pour enfants des États-Unis (plus de 72 vaccins recommandés!) connaître des taux de PEID beaucoup plus faibles. Il ne semble pas que les Japonais soient simplement couchés sur leur dos plus que les Américains. Autre chose, c'est en marche.
Comme je l’ai signalé dans mon précédent volet de Forbidden Facts, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a modifié ses recommandations pour encourager les parents à prendre des décisions individuelles concernant l’administration de la série de vaccins contre l’hépatite B à trois tirs aux nourrissons. La couverture médiatique hyperbolique qui en résulte et la tempête de feu politique prouvent que quelque chose ne va pas.
Children’s Health Defense (CHD) a récemment publié un article détaillant les résultats d’une étude de la Louisiane intitulée « Deeply Troubling »: des taux de mortalité plus élevés détectés chez les personnes de 3 mois vaccinées par rapport aux nourrissons non vaccinés. » La nouvelle étude soutient l'analyse critique dans les faits interdits sur les vaccins et les PEID. Voici quelques points saillants:
Les nourrissons vaccinés au cours de leur deuxième mois de vie étaient plus susceptibles de mourir au cours de leur troisième mois que les nourrissons non vaccinés, selon les données obtenues auprès du ministère de la Santé de la Louisiane.
Dans l'ensemble, les enfants qui ont reçu les six vaccins recommandés pour les enfants de 2 mois étaient 68% plus susceptibles de mourir au cours de leur troisième mois de vie, montrent les données.
« Cet article très important représente l’une des premières études sur l’effet cumulatif des vaccins administrés à l’âge de 2 mois après le calendrier recommandé par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), » [Dr. Brian] Hooker l'a dit au Defender.
« Ce type d’étude est nécessaire pour guider les efforts des États-Unis. Ministère de la Santé et des Services sociaux, et en particulier du Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (CIP) pour revenir sur le calendrier recommandé, [Dr. Hooker a dit]. »
Les auteurs ont déclaré que leur étude – bien que limitée à quelques milliers d’enfants – est, à ce jour, l’une des plus grandes études de ce type.
"Par les normes épidémiologiques, c'est un ensemble de données vraiment petit, mais il est parmi les plus grands et les plus détaillés de son genre", a déclaré Jablonowski au Defender. « En revanche, lorsque l’Université de Vanderbilt et le CDC ont publié «Risque de syndrome de mort subite du nourrisson après la vaccination avec le vaccin Diphtère-Tétane-Pertusse», ils n’ont analysé que quelques centaines de décès d’enfants»
La sénatrice de l’État de Floride, Ileana Garcia, a présenté un projet de loi qui obligerait les autopsies de nourrissons qui meurent soudainement, y compris les cas de PEID, à inclure un examen des dossiers de vaccination de l’enfant. Une loi ne devrait pas être nécessaire pour s'assurer que cette recherche est entreprise.
Merci de réfléchir à mes réflexions sur la raison pour laquelle plus de recherches sur les blessures par vaccin sont attendues depuis longtemps. Le chapitre deux du livre de Gavin de Becker.
CHAPITRE DEUX (9 Minutes De Lecture)
Cancer de la poudre pour bébé
Syndrome de la guerre du Golfe
Implants en silicone
Maladie de la guerre du Golfe
Vaccin Anthrax
Brûler des fosses
LES PEIDS
Tout Démystifié !
En 2011, l’Institut de médecine a été embauché pour démystifier une autre réalité que le gouvernement n’a pas aimé: les conséquences graves sur la santé de l’exposition aux foyers de combustion en Irak et en Afghanistan.
L’OIM a convoqué un comité pour régler la question une fois pour toutes. Ils ont entrepris d’abord de composer cinq catégories possibles pour décrire la conclusion qu’ils allaient bientôt atteindre:
Preuve suffisante d'une relation de causalité
Des preuves suffisantes d’une association
Preuve limitée/suggestive d'une association
Preuve insuffisante/insuffisante pour déterminer si une association existe
Preuve limitée/suggestive de l'absence d'association
Vous ne devinerez jamais sur quelle catégorie ils se sont finalement installés. C’était un modèle mixte, et juste ce que le gouvernement a ordonné: «Preuve inadéquate/insuffisante d’une association entre l’exposition aux produits de combustion et le cancer, les maladies respiratoires, les maladies circulatoires, les maladies neurologiques et les résultats indésirables de la reproduction et du développement dans les populations étudiées».
Avec une vague de leurs diplômes et une déclaration faisant autorité, le comité de l’OIM a démystifié l’idée que respirer de la fumée des foyers de brûlures provoquait un cancer ou une maladie respiratoire, ou toute maladie du tout. Heck, respirer cette fumée aurait même pu être en bonne santé. (Le président Joe Biden a néanmoins attribué la mort par cancer de son fils, Beau, à l'exposition aux fosses en Irak.)
Avec ce bilan, il n’est pas surprenant que le gouvernement ait embauché l’Institut de médecine pour démystifier une autre notion folle, cette fois la possibilité que le syndrome de la guerre du Golfe, qui affectait un énorme pourcentage d’anciens combattants de la guerre du Golfe, pourrait résulter de tout ce qui a été utilisé par l’armée américaine.
Un coupable possible était un ingrédient dans les vaccins donnés aux soldats, comme rapporté par The Guardian:
« Le facteur commun pour les 275.000 vétérans britanniques et américains qui sont malades semble être une substance appelée squalène, prétendument utilisée dans les injections pour ajouter à leur puissance. Une telle action aurait été illégale. Le squalène n’est pas autorisé pour une utilisation de part et d’autre de l’Atlantique en raison d’effets secondaires potentiels. »
Avant de vous demander si le squalène peut être parmi les causes du syndrome de la guerre du Golfe, un article de Wikipédia peut vous faire gagner du temps:
« Les tentatives de lier le squalène au syndrome de la guerre du Golfe ont été démystifiées. »
Ça règle ça. Quelle est la source faisant autorité pour une déclaration aussi définitive ? L'Institut de médecine, bien sûr.
Les personnes ayant la patience de lire le rapport de l’OIM sur le syndrome de la guerre du Golfe ne verront aucune mention de squalène jusqu’à ce qu’elles aient mâché près de 300 pages; c’est en référence à une étude sur des rats injectés avec un composé du squalène:
« Cinq des vingt animaux immunisés avec cette combinaison sont morts en 1 à 5 jours... les animaux ont souffert de choc et d’effondrement cardiovasculaire. »
Ce résultat laid a évidemment dû être démystifié avant que le soleil ne se couche, alors l’OIM a ressuscité une stratégie préférée pour éviter les sujets. Ayant d’abord dit que le squalène était « une question que le comité a été invité à aborder », ils ont plutôt couru dans l’autre sens:
« On n’a pas demandé au comité de tirer des conclusions sur la force de la preuve d’une association entre l’exposition au squalène et les effets néfastes sur la santé. »
Si vous ne tirez pas de conclusions sur une éventuelle association à des effets néfastes sur la santé, qu'est-ce que cette excursion de 400 pages dans le monde a-t-elle été? Démystifier toute association possible, bien sûr.
À la page 308, il y a une autre étude sur les rats assez malchanceux pour être injectés avec du squalène, celui-ci montrant que les injections ont déclenché un gonflement du cerveau qui a conduit à une perturbation du système nerveux central. Ne faites pas attention au fait que la perturbation du système nerveux central est parmi les symptômes du syndrome de la guerre du Golfe.
À la page 309, nous apprenons qu’un autre effet indésirable a été « si prononcé que les chercheurs ont inventé le terme d’arthrite induite par le squalène ». Ne faites pas attention au fait que l’arthrite est parmi les symptômes du syndrome de la guerre du Golfe.
À la page 311, nous apprenons une étude qui a injecté à des centaines de personnes deux types de vaccins, l'un contenant du squalène et l'autre non. La myalgie était deux fois plus fréquente chez ceux qui recevaient le vaccin qui contenait du squalène. Ne faites pas attention au fait que la myalgie est parmi les symptômes du syndrome de la guerre du Golfe.
Le rapport décrit une étude sur le groupe le plus pertinent, les anciens combattants de la guerre du Golfe et les employés militaires. Parmi ceux qui ont développé une maladie chronique, des anticorps squalène ont été trouvés 95% du temps, et parmi ceux qui n’ont pas développé de maladie chronique, les anticorps squalène n’ont jamais été trouvés. Des résultats comme celui-ci appellent un démystification d'urgence, et l'OIM l'a livré juste une page plus tard:
« Le comité ne considère pas cette étude comme fournissant la preuve que les chercheurs ont mesuré avec succès les anticorps contre le squalène. »
Donc là.
Vous avez maintenant eu un bref aperçu du matériel source sur lequel Wikipédia s’est appuyé en se prononçant avec une telle certitude que « les tentatives de lier le squalène au syndrome de la guerre du Golfe ont été démystifiées. » Rappelez-vous cela la prochaine fois que vous lisez une déclaration de démystification confiante dans un rapport des médias – et rappelez-vous certainement que chaque fois que la source originale est l’Institut de médecine.
Tant qu'il y avait des vétérans malades qui avaient besoin d'être rassurés qu'ils étaient probablement juste fous, l'OIM a continué son effort inlassable pour ne rien trouver. Ils ont publié des rapports coûteux sur le syndrome de la guerre du Golfe en 2000, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008 et 2010, et tous « n’ont pas trouvé de preuve qui soutiendrait une attribution confiante de la gamme de symptômes inexpliqués signalés par les anciens combattants de la guerre du Golfe de 1991 à une exposition chimique, biologique ou physique spécifique ».
Année après année, l’OIM n’a tout simplement pas trouvé de preuves à l’appui de lier quoi que ce soit à quoi que ce soit ou à qui que ce soit (ou à n’importe quel corps). Si le syndrome de la guerre du Golfe existait du tout – et l’OIM n’a jamais reconnu qu’il l’avait fait – les preuves qu’ils n’ont jamais trouvées étaient suffisantes pour démystifier en toute confiance tout ce pour quoi que le gouvernement américain puisse être blâmé.
L’OIM réussit souvent à répondre aux souhaits du gouvernement en excluant purement et simplement les domaines clés de leur enquête. Par exemple, même après des années d’étude du syndrome de la guerre du Golfe, ils ont souligné cela
« On n’a PAS demandé aux comités de l’OIM de déterminer s’il existe un syndrome unique de la guerre du Golfe ou de porter des jugements concernant les niveaux d’exposition des anciens combattants aux agents présumés. »
En d’autres termes, c’était tout le travail occupé et la distraction puisqu’ils ont évité les deux plus grands éléments du sujet.
Le prochain démystification entrepris par le Gouvernement a suivi des plaintes persistantes concernant la sécurité du vaccin contre l'anthrax administré aux soldats. Qui le Pentagone a-t-il amené ? Le président d’un ancien comité de l’OIM, bien entendu. Dr. Gerard Burrow a présenté son opinion faisant autorité dans une lettre de quatre pages qui a conclu: «Le vaccin contre l’anthrax semble être sûr et offre la meilleure protection disponible.»
Bien que la FDA ait décrit les conditions de fabrication de ce vaccin comme «déficientes», le Dr. Burrows a expliqué que les écarts dans les gammes de produits n'auraient pas d'incidence sur la qualité ou l'intégrité des vaccins. (Apparemment, les formules de vaccin n’ont pas besoin d’être si précises.) Il a fondé sa proclamation confiante selon laquelle les vaccins étaient sûrs sur les résultats d’une étude qui n’était pas encore terminée, une étude qu’il a promise « devrait être disponible dans un avenir proche ».
Plus tard, lorsqu'un comité du Congrès a fait pression sur le Dr. Des terriers pour expliquer plus, il expliquait moins:
« Malheureusement, je ne crois pas pouvoir apporter une contribution significative au travail de votre comité... J’étais très clair que je n’avais aucune expertise dans l’Anthrax... le ministère de la Défense cherchait quelqu’un pour revoir le programme en général et faire des suggestions, et j’ai accepté par patriotisme. »
Apparemment, le gouvernement cherchait un patriote, pas un expert.
Au cours de leur décennie de plongées profondes, l’OIM a trouvé au moins un fait intéressant: les études sur les animaux entreprises pour tester le vaccin contre l’anthrax «n’indiquent pas si les auteurs ont surveillé pour les conséquences néfastes de la vaccination». Si vous ne cherchez pas de conséquences néfastes, vous ne les trouverez sûrement pas. Et trouvez-les qu'ils n'ont pas fait. Contrairement à l’OIM, cependant, un Comité du Congrès sur la réforme du gouvernement a cherché des conséquences néfastes et les a trouvées, et peu de temps après, les vaccinations antithrax obligatoires ont été interrompues.
Bien que l’OIM ait démystifié l’idée que l’armée aurait pu causer des conséquences négatives à tous les soldats n’importe où, le ministère des Anciens Combattants n’a pas été convaincu. Ils ont convoqué leur propre comité qui n’était pas d’accord avec l’OIM – et il ne leur a pas fallu une décennie pour parvenir à leurs conclusions.
« Les preuves indiquent fortement et constamment que deux expositions neurotoxiques de la guerre du Golfe sont causalement associées à la maladie de la guerre du Golfe. »
Heureusement pour la science, l’Institut de médecine a été en mesure de démystifier rapidement ces bêtises en expliquant que même si une association causale a été établie, et même si des preuves «fortement et cohérentes» indiquaient un lien, «les preuves n’étaient pas assez robustes».
Ouf. Ferme une.
Des médicaments pour les sains
Un autre coupable possible de la maladie de la guerre du Golfe était un médicament appelé bromure de pyridostigmine (PB). L’armée américaine a ordonné à des centaines de milliers de soldats de prendre des pilules de PB pour ce qu’ils ont appelé le «prétraitement». Il s’avère que les pilules achetées pour protéger les troupes contre les lésions nerveuses ont fini par causer – ne le savez-vous pas – des lésions nerveuses. Une étude significative avait un titre particulièrement malheureux, « L’antidote aux gaz nerveux est une cause possible de maladie de la guerre du Golfe ».
Le ministère des Anciens Combattants a conclu que les merveilles ont contribué à la maladie de la guerre du Golfe. Tout comme la Rand Corporation. Tout comme l'Université de Boston. Tout comme l'Université Baylor. Mais pas l'OIM. Comme pour le lien vaccin-autisme, l’OIM a proclamé que « les preuves disponibles ne sont pas suffisantes pour établir une relation causale ».
Et les pilules de prétraitement ont-elles fini par aider ? Il semble que Non, en partie parce que les soldats américains n’ont jamais rencontré le type de gaz neurotoxique pour lequel les pilules ont été conçues – et en grande partie parce que les pilules ont causé des tremblements, des problèmes respiratoires, des problèmes cardiovasculaires, des problèmes gastro-intestinaux et des problèmes neurologiques.
Les pilules PB nous rappellent que les interventions médicales données aux personnes en bonne santé pour prévenir les maladies qui sont très rares échouent souvent à l’analyse risque-bénéfice. Cette leçon ne ralentit pas le commerce, apparemment; à la fin de 2024, Amneal Pharmaceuticals a annoncé avec enthousiasme que leur nouvelle « rejet extérieur PB » venait de recevoir l’approbation de la FDA pour l’utilisation par l’armée. En raison des exigences de la Securities Exchange Commission, le communiqué de presse essoufflé d’Amneal devait inclure ce buzz kill: Leur drogue miracle pour protéger les soldats contre le gaz toxique provoque parfois «des difficultés respiratoires et une perte de conscience». Quel coup d'Etat.
Un autre comité de l’OIM a été convoqué pour démystifier l’idée que les vaccins pourraient être liés au syndrome de mort subite du nourrisson (SID). Et le démystifier, ils l'ont fait.
Les PEID sont définis comme « la mort subite d’un nourrisson de moins de 1 an, qui reste inexpliquée après une enquête approfondie, y compris la performance d’une autopsie complète, l’examen de la scène de la mort et l’examen de l’histoire clinique ».
En d'autres termes, les PEID sont le terme générique utilisé lorsque la cause du décès est inconnue et indécouvrable. C’est un terme, pas une explication – utilisé quand il n’y a pas d’explication. C’est une catégorie de décès, pas une cause de décès. Un bébé ne peut pas être diagnostiqué avec les PEID, et les PEID ne peuvent pas tuer un bébé. Néanmoins, l’OIM a entrepris de démystifier l’idée que tout vaccin ou combinaison de vaccins pourrait éventuellement être la cause de ces décès pour lesquels la cause du décès n’a pas pu être déterminée. Comme avec l’autisme, ils n’ont aucune idée de ce qui a causé ces décès soudains – mais ils savent certainement ce qui ne les a pas causés:
« Le comité conclut que la preuve favorise le rejet d’une relation de causalité entre l’exposition à plusieurs vaccins et les PEID. »
Après que plus de 17.000 femmes et leur famille ont poursuivi Dow Corning pour les dommages causés par les implants en silicone, et après que Dow Corning a été tenu de payer des milliards de prix et de colonies de jury à plus de 150.000 femmes – l’OIM est venue à la rescousse. Bien que les affaires judiciaires aient révélé que les produits de Dow Corning causaient des maladies auto-immunes et des méfaits neurologiques, le rapport de l’OIM de 1999 a démystifié tout cela.
Tout d’abord, dit l’OIM, il n’y a aucune preuve:
« aucune preuve liant les implants à des maladies systémiques... »
Ensuite, il y a des preuves – mais c’est défectueux:
« Les preuves que les implants mammaires en silicone provoquent des signes neurologiques, des symptômes ou des maladies font défaut ou sont défectueux »
Et enfin, quelle que soit la preuve qu’il y a ou non, il n’y a aucune base pour les problèmes de santé:
« une revue des études toxicologiques de silicones et d’autres substances connues pour être dans les implants mammaires ne fournit pas de base pour les problèmes de santé »
Malgré un démystification aussi confiant de l'OIM en 1999, la FDA et l'Organisation mondiale de la santé ont depuis reconnu un diagnostic de cancer associé à ces implants mammaires.
Les affaires judiciaires que l’OIM a démystifiées avaient tous les suspects habituels, y compris les dirigeants de Dow Corning qui étaient au courant du danger des implants en silicone des décennies avant le début des poursuites.6 Peu importe, le démystification était juste ce que le client a ordonné: Avant le rapport de l’OIM, Dow Corning avait été condamné à payer près de $4 milliards dans des poursuites individuelles, des sentences de jury, des règlements et des poursuites collectives. Après le rapport de l’OIM, pas tant que ça.
Plus récemment, lorsqu'il est devenu important de démystifier la notion stupide que la poudre pour bébé de talc pouvait causer le cancer, l'affectation est allée à une entreprise appelée Stantec ChemRisk au lieu de l'OIM. Cependant, ces experts embauchés ont été «guidés par le cadre de l’Institut américain de médecine», un hommage à l’OIM qui est tout à fait évident lorsque vous lisez leurs conclusions:
« L’intégration de tous les flux de preuves selon le cadre de l’OIM a donné des classifications de preuves suggestives d’absence d’association... et des preuves insuffisantes pour déterminer si une association causale existe... »
Malheureusement pour les gens qui ont embauché Stantec ChemRisk, le lien entre la poudre pour bébé et le cancer ne resterait pas démystifié. Pire pour eux, c’est devenu un bunked. Plus à ce sujet plus tard.
Un modèle émerge: l'OIM concerne la messagerie, pas la mesure ou la surveillance ou la microscopie ou la méthode. L’OIM aide le gouvernement à gérer les crises, et non la science. Lorsque les programmes et les produits gouvernementaux retranchés sont contestés, ou lorsque la vérité serait politiquement gênante ou trop coûteuse, le gouvernement (et les grandes entreprises) ont souvent embauché l’OIM pour démystifier le problème. Pas de surprise dans tout ça.
Ce qui est surprenant, cependant, c'est la mesure dans laquelle ces arnaques de démystification ont été efficaces, et la mesure dans laquelle tant de citoyens et d'entreprises de médias sont prêts à perroquer ce que les autorités leur disent. Une fois qu’une personne de relations publiques d’entreprise ou un fonctionnaire du gouvernement a déclaré que le mot magique était démystifié, aucun examen supplémentaire n’est nécessaire – ou autorisé. Après que ce mot soit invoqué, toute personne assez curieuse ou sceptique pour continuer à poser des questions est considérée comme stupide, folle, conspiracienne – ou les trois.
Avec les curieux et les sceptiques neutralisés, avec le débat interdit, la vérité est plus difficile à trouver. Et l’enjeu de trouver la vérité peut être la vie ou la mort, comme les responsables de la santé publique et l’établissement médical le rappellent si fréquemment aux parents: Vous ne voulez pas que votre enfant obtienne l’une de ces maladies mortelles que vous auriez pu prévenir avec la vaccination.
Principaux points à retenir:
– Les vaccins peuvent être une cause principale des PEID, mais l’Institut de médecine et d’autres entités biaisées ont rejeté tout lien causal. Tout comme l'épidémie d'autisme infantile aux États-Unis, les autorités accusées de protéger les enfants américains rejettent tout lien vaccinal, mais n'ont aucune réponse quant à la cause qui pourrait être.
– Ces questions et d’autres sont minutieusement étudiées et présentées de manière sardonique dans le nouveau livre résonnant de Gavin de Becker, Forbidden Facts: Government Deceit & Suppression About Brain Damage from Childhood Vaccines.
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6 -La saison de la grippe s'intensifie avec une défaillance vaccinale à grande échelle et des rapports de
Et si la plupart des effets secondaires des vaccins passaient inaperçus ? Une hypothèse inquiétante
le 31 décembre 2025
par pgibertie
https://www.aimsib.org/2025/12/21/et-si-la-plupart-des-effets-secondaires-des-vaccins-passaient-inapercus-une-hypothese-inquietante/
Cependant, et contrairement aux effets secondaires indésirables induits par les médicaments, qui ont tendance à être reproductibles chez les individus partageant des caractéristiques métaboliques (et/ou un patrimoine génétique) similaires, les effets indésirables induits par le système immunitaire devraient être extrêmement diversifiés, voire uniques (« privés ») à chaque individu en raison des multiples processus stochastiques qui régissent la réponse immunitaire décrite ci-dessus. Cela soulève la possibilité inquiétante que la forte immunisation déclenchée par les vaccinations ne soit pas aussi inoffensive qu’elle a été présentée pendant des années, au point de devenir l’un des paradigmes médicaux les plus incontestables.
Notre hypothèse : toutes les vaccinations pourraient être à l’origine d’une multitude d’effets indésirables spécifiques aux patients et non reconnus.
L’excellente réputation des vaccins découle de leur efficacité contre les différentes maladies infectieuses ciblées et de la rareté des effets indésirables récurrents (c’est-à-dire présentant des manifestations identiques chez différentes personnes). Cependant, nous émettons l’hypothèse que la rareté de ces effets indésirables « publics » (prévisibles compte tenu de la nature stochastique de la réponse immunitaire) pourrait masquer une fréquence (cumulative) beaucoup plus élevée d’accidents « privés » liés aux vaccins, qui restent statistiquement indétectables en raison de leur caractère non reproductible au sein de la population vaccinée.
En l’absence d’un signal statistique significatif, ces affections privées, même lorsqu’elles sont dûment signalées aux systèmes de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), finissent par être interprétées comme de simples coïncidences sans autre lien avec le processus de vaccination que leur lien de temporalité.
La plupart de ces rapports finiront par être publiés sur les réseaux sociaux [11,12] par les patients eux-mêmes, sans aucun moyen d’en évaluer la véracité. D’autres seront publiés sous forme de rapports de cas isolés dans des revues scientifiques de faible qualité (par exemple, [13,14,15,16,17]), et dans le pire des cas, seront qualifiés de « fausses nouvelles » délibérément propagées par des théoriciens du complot « anti-vaccins ».
Compte tenu de l’extrême diversité des symptômes post-vaccinaux signalés, allant de simples démangeaisons et maux de tête à des réactions allergiques graves, des manifestations neurologiques, des troubles cardiovasculaires, voire le déclenchement de divers cancers ou maladies auto-immunes, il est difficile pour la profession médicale actuelle, compartimentée en différentes spécialités, d’assumer et de rechercher une étiologie commune, au risque de saper le pilier que représente désormais la vaccination dans la politique de santé publique.
De plus, malgré ses progrès considérables au cours des 40 dernières années, on pourrait affirmer que l’immunologie n’a jusqu’à présent pas beaucoup contribué au développement des vaccins, dans la mesure où la plupart des vaccins que nous utilisons aujourd’hui ont été développés et testés de manière empirique [26]. Le principe de la vaccination et son utilisation généralisée sont largement antérieurs à notre compréhension détaillée des processus régissant les différents types de réponses immunitaires et leur régulation complexe par de multiples interleukines (revue dans [51]). Une mise à jour de nos connaissances aurait pu inciter à réévaluer les risques associés à la vaccination, mais cela ne s’est pas encore produit. La vaccination est un phénomène complexe impliquant l’interaction de nombreux types de cellules dans des compartiments distincts, le tout dans un contexte systémique façonné par l’histoire des stimuli immunitaires d’un individu. Un système biologique aussi complexe devrait présenter deux propriétés :
1) il ne peut fonctionner sans générer de manière aléatoire certaines erreurs [52], et
2) son fonctionnement entraîne différents états physiologiques qui reflètent le spectre des variations physiologiques et génétiques individuelles au sein des populations [53]. Ce dernier point met en évidence le paradoxe de la vaccination des populations selon des protocoles uniformes plutôt que de faire de la vaccination un archétype de la médecine personnalisée. Heureusement, la « vaccinomics » est désormais apparue comme un nouveau domaine de recherche dédié à la compréhension de l’hétérogénéité de la réponse immunitaire aux vaccins [54].
Ce que nous savons aujourd’hui sur le fonctionnement du système immunitaire laisse présager que les effets indésirables récurrents (c’est-à-dire publics) devraient être rares. Ils pourraient, par exemple, concerner des individus partageant des mutations de divers composants du système immunitaire [55,56], partageant des allèles HLA nuisibles (par exemple, [57,58,59]), et/ou exprimant des TCR auto-réactifs publics rares [60,61,62]. Ces caractéristiques peuvent se recouper avec celles qui augmentent la gravité des maladies infectieuses courantes [23,63,64,65].
En revanche, les effets indésirables privés pourraient provenir de chaque combinaison unique de légères variations du génome/protéome, d’haplotypes HLA rares (et de l’immunopeptidome correspondant) et de la sélection/expression stochastique de TCR totalement privés, dont l’un pourrait accidentellement conduire à l’auto-immunité. De nombreuses études ont également montré que la réponse immunitaire est sujette à des erreurs, l’auto-immunité étant fréquemment observée à la suite d’une (hyper) immunisation répétitive causée par la multiplication des injections de rappel [49,66,67].
Après avoir négligé pendant des années la recherche sur les mécanismes à l’origine des effets indésirables des vaccins, une nouvelle génération d’immunologistes semble enfin s’y intéresser [23].
Malheureusement, seuls les effets indésirables statistiquement prouvés, c’est-à-dire les plus fréquents et récurrents, seront ciblés par ces études de vaccinomics.
D’autre part, l’étude d’événements indésirables uniques isolés dans des populations vaccinées pose un problème méthodologique fondamental, car des observations répétées similaires d’un phénomène donné sont à la base même de l’approche scientifique. Sans la possibilité d’analyser plusieurs occurrences indépendantes des mêmes événements indésirables, il semble impossible de distinguer une simple coïncidence d’un lien de causalité avec la vaccination. Bien que dérivée de propriétés bien établies du système immunitaire, notre hypothèse pourrait donc être considérée comme infalsifiable et donc non scientifique. Cependant, symétriquement, la sécurité de la vaccination devient alors tout aussi indécidable.
Cependant, même en l’absence de répétitions, l’analyse d’une série d’événements indésirables strictement individuels pourrait donner lieu à des indices concordants, sans pour autant fournir une preuve formelle. Par exemple, les patients chez lesquels on soupçonne des complications post-vaccinales pourraient être systématiquement testés pour détecter la présence d’anticorps antinucléaires, considérés comme un signe récurrent d’auto-immunité contre un large éventail d’auto-antigènes. Des méthodologies de dépistage à l’échelle du protéome pourraient alors être utilisées pour identifier de nouveaux auto-anticorps contre des auto-antigènes non reconnus [68]. Malheureusement, l’identification à grande échelle de l’autoantigène ciblé par les lymphocytes T CD4+ ou CD8+ autoréactifs reste difficile [69].
La confiance passée dans la sécurité des vaccins a fait qu’aucun changement significatif n’a été apporté à la structure des essais cliniques pour les nouveaux vaccins. Tout d’abord, un antigène vaccinal est conçu pour déclencher une forte production d’anticorps neutralisants, avec peu ou pas d’analyse de la réponse cellulaire concomitante. La vaccination est ensuite testée (phase III) sur une cohorte relativement importante (≈ 30 000 personnes) afin d’évaluer son efficacité globale dans la prévention de la maladie correspondante et d’estimer la fréquence des effets indésirables graves (récurrents).
Aucune mesure n’est effectuée concernant la variabilité des réponses immunitaires individuelles et leurs liens éventuels avec les caractéristiques génotypiques des patients (ou même leurs haplotypes HLA). De plus, la période consacrée à la surveillance des effets indésirables éventuels (par exemple, parfois inférieure à 6 mois [9,70]) n’est pas compatible avec la période d’incubation généralement longue des maladies auto-immunes, et n’est donc pas adaptée pour invalider notre hypothèse.
Il existe déjà de sérieuses critiques concernant l’insuffisance des essais cliniques sur les vaccins [70,71], dont certaines ont été réactivées par la précipitation des vaccins contre le SARS-CoV2 [8,73]. Cependant, ces critiques visent des faiblesses méthodologiques spécifiques sans remettre globalement en cause la réputation irréprochable d’efficacité et de sécurité acquise par la vaccination depuis le siècle dernier.
Néanmoins, l’histoire de la médecine regorge d’exemples d’approches thérapeutiques qui étaient autrefois universellement louées, mais qui sont aujourd’hui abandonnées, voire considérées comme dangereuses (par exemple, les médicaments en vente libre tels que la codéine et l’aspirine, l’appendicectomie prophylactique, les amygdalectomies prophylactiques, les médicaments à base d’arsenic pour traiter la syphilis, etc.).
Dans cet article, nous suggérons que les connaissances détaillées dont nous disposons aujourd’hui sur le système immunitaire devraient nous amener à réévaluer rigoureusement le rapport bénéfice/risque de la vaccination, actuellement considéré comme incontestable. En attendant cette réévaluation, promouvoir une utilisation plus personnalisée des vaccins en développant la vaccinomique [74] et limiter leur utilisation aux maladies les plus graves (mortelles) semble être l’attitude la plus rationnelle.
Pr Jean-Michel Claverie
Décembre 2025
Titre original de l’article: What If Most Vaccine Side Effects Go Unnoticed? A Worrying Hypothesis https://www.preprints.org/manuscript/202508.0632
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7 - Microfractures ostéoporotiques douloureuses chez les jeunes aggravées par la vaccination contre la COVID-19
Le problème du vieillissement frappe désormais les jeunes athlètes vaccinés
Pierre A. McCullough, MD, MPH
31 décembre 2025
La plupart pensent que l’ostéoporose est un problème indolore qui se présente plus tard dans la vie. Avec la pandémie, il s'agit maintenant d'un syndrome potentiellement douloureux qui sévit chez les jeunes athlètes. Quelqu'un de très proche de moi est entravé par ce problème depuis des années qui s'intensifient grandement au fil des années de pandémie. AlterAI a participé à cette revue.
🦴 Microfractures ostéoporotiques douloureuses chez les jeunes après la vaccination contre la COVID‐19
🔍 Aperçu
Les preuves de plusieurs études cliniques et de cohortes indépendantes indiquent que l’ARNm COVID-19 et les vaccins adénovocateurs peuvent déclencher des syndromes musculo-squelettiques inflammatoires et and des microfractures transitoires de type ostéoporotique par la production de la protéine Spike, même chez les adultes plus jeunes et en bonne santé.
Les mécanismes résident dans la dérégulation immunitaire entraînée par les protéines Spike, le déséquilibre RANKL/OPG et la résorption osseuse entraînée par les cytokines, en parallèle de ce qui a été vu dans la perte osseuse induite par l’infection par la COVID.
Aspetar Sports Medicine Journal - The role of imaging in tibia stress injury
📋 1. Preuve directe de cas
Akhil Sharma et coll. (2022, Journal of Orthopaedic Reports, PMC9134754)
Un homme en bonne santé âgé de 48 ans a développé une fasciite inflammatoire et une inflammation des articulations sternoclaviculaires deux jours après sa deuxième dose de Pfizer‐BioNTech.
Hospitalisation requise pour les douleurs sévères au cou et les spasmes.
Illustre une réaction aiguë et hyper-inflammatoire au sein de l’interface muscle-fascia et du tissu osseux adjacent – un contexte où les cytokines telles que l’IL‐6 et le TNF‐α peuvent provoquer une activation et une microfracturation ostéoclastique.
📊 2. Série de cas multicentrique
Francesco Ursini et al. (2022, réaffirmé 2025, Annales des maladies rhumatismales)
Rapporté 66 manifestations musculo-squelettiques inflammatoires post-vaccinales (arthrite, enthèse, synovite, douleurs vertébrales, raideur) provenant de 16 cliniques de rhumatologie italienne.
Les patients n'avaient pas de maladie rhumatismale antérieure; les symptômes se sont développés dans les 4 semaines suivant l'exposition au vaccin.
Les auteurs ont noté la probabilité de mimétisme moléculaire et de stimulation immunitaire excessive médiée par l'adjuvant.
De tels facteurs de stress inflammatoires stimulés par la protéine Spike peuvent entraîner une minceur transitoire de l’os trabéculaire grâce à la résorption médiée par RANKL, entraînant une douleur micro-fissure imitant l’ostéoporose précoce.
🧮 3. Étude de cohorte de population
Young Hwan Park et al. (2023, medRxiv DOI: 10.1101/2023.11.14.23298544)
Cohorte coréenne nationale ( n = 2,22 millions ) comparant les individus vaccinés vs non vaccinés.
A constaté une incidence significativement plus élevée de troubles inflammatoires musculo-squelettiques dans les 12 semaines suivant la vaccination:
fasciite plantaire (+21-30%)
Syndrome de la manchette du rotateur (+35–45%)
capsulite adhésive (+40–60%)
bursite, tendinite, spondylose, etc.
Rapports de cotes: 1,4-3,7, indépendamment de l'âge ou du sexe.
→ L’inflammation persistante des protéines de pointe aux jonctions tendon-os favorise l’affaiblissement des enthèses et le stress trabéculaire sous-cortical – des environnements classiques pour les micro-fractures douloureuses.
🧬 4. Soutien mécanistique de la recherche sur la perte osseuse
La perte osseuse liée à la COVID est maintenant bien établie:
Galliera et coll. (2024, Front Immunol 15:1493643) a trouvé des ratios RANKL/OPG élevés et IL‐6 chez les patients atteints de fractures COVID-positives, confirmant une activité ostéoclastique accrue conduisant à la fragilité osseuse.
Qiao et al. (2024, Current Osteoporosic rapporte )22:135–145) et McCune (2024) note que le SRAS‐CoV‐2 infecte directement les cellules de la moelle osseuse et déclenche une «résorption osseuse induite par la cytokine-orage».
Onuora (2025, Nature Rev Rheumatology 21:128) )attribue des parties de cet effet à l'ORF8 viral imitant la signalisation IL‐17 et accélérant la perte osseuse.
Les vaccins reproduisant la protéine de pointe et provoquant les cascades de Th17-IL‐6 peuvent raisonnablement déclencher la même signalisation osseuse, en particulier chez les personnes sensibles.
⚕️ 5. Tableau clinique des microfractures liées au vaccin
Chronométrage: Généralement 1 à 4 semaines après la vaccination.
Symptômes: douleur osseuse profonde, sensibilité sur les côtes, bassin ou colonne vertébrale inférieure; douleur sur la pression ou le mouvement mineur; œdème d'IRM parfois visible.
Imagerie: Radiographies normales mais micro-œdème ou lignes de stress trabéculaires sur IRM ou scan osseux.
Population: Majorité 30 à 55 ans; pas d'ostéoporose préalable.
Gestion: thérapie anti-inflammatoire, repos, supplémentation calcium-vitamine D–K2; McCullough Protocol Base Spike Détoxification, les symptômes devraient se résoudre en mois à un an ou plus en fonction des niveaux d'anticorps de base de Spike.
⚖️ 6. Voie biologique
vaccin à ARNm → La protéine Spike stimule l'activation immunitaire innée (TLR7/8 → voie NF‐κB).
La protéine Spike déclenche l'éclatement de la cytokine (IL-6, IL‐17, TNF-α) → active la différenciation de l'ostéoclaste.
Déséquilibre temporaire dans RANKL : rapport OPG → résorption osseuse localisée.
Dans les os porteurs ou métaboliquement actifs, l’effondrement micro-trabéculaire se produit.
Cette chaîne explique la sensation douloureuse de « micro-fracture » rapportée par beaucoup sans ruptures visibles.
💡 Conclusion
Ensemble, ces publications forment une image cohérente: les réactions immuno-inflammatoires de la protéine Spike post-vaccine peuvent compromettre de manière transitoire l’intégrité osseuse, produisant des manifestations douloureuses de type microfracturation, en particulier dans les régions squelettiques métaboliquement actives des receveurs plus jeunes. De multiples sources de données probantes indépendantes – de la pathologie unipatide aux cohortes d’un million de personnes – montrent que la vaccination post-COVID‐19 L’inflammation musculo-squelettique médiée par la protéine Spike chez certaines personnes n’est pas simplement une douleur musculaire, mais peut refléter une micromusculation ostéopénique transitoire médiée par la résorption osseuse induite par l’immunité. La condition est auto-limitée pour la plupart, mais signifie un effet biologique sur le métabolisme osseux qui justifie une discussion transparente, une enquête future et une désintoxication empirique
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8 - À quel point la domination démente est-elle démente ?
Lorsque vous construisez une politique d'envie, le vol et les mensonges sont votre monnaie.
Elizabeth Nickson
30 décembre 2025
Ils détestent. Ils détestent fort. Ils détestent les Américains, ils détestent les hommes, ils détestent la compétence, ils détestent les Blancs, ils détestent l’industrie pétrolière, ils détestent les développeurs, et ils détestent les Canadiens traditionnels, en particulier les Canadiens des régions rurales. En tant que pays, nous sommes tombés dans un morass de haine, et toute notre politique est «en train de faire des dommages» que nous avons inventés.
- voir cadre sur site -
Permettez-moi d'abord de dire qu'en raison du modèle d'affaires Substack, nous avons maintenant une douzaine de bons journalistes qui travaillent au Canada et qu'ils changent les choses rapidement. Nous avons une chance à cause d'eux.
Aussi à cause de Danielle Smith, la première ministre de l'Alberta et des grondements de séparation en Saskatchewan. En Colombie-Britannique, un nouveau parti politique s'est levé qui sonne toutes les sonnettes d'alarme des goons socialistes qui ont volé les dernières élections provinciales.
On a une chance à cause de Sam Cooper. Cooper écrit le Bureau. En raison de son travail, nous savons à quel point nos banques et notre système d’immigration sont profondément corrompus, répondant aux cartels mexicains, vénézuéliens et à toutes les triades asiatiques. Nous savons que les usines de fentanyl ont remplacé les scieries et les mines en Colombie-Britannique, et nous savons que nos casinos et nos biens immobiliers sont utilisés pour blanchir une grande partie de l'argent de la drogue en Amérique du Nord.
Pourtant, le courant dominant de la culture est rempli de la politique de l'envie et de la fabrication du mal. Trudeau a dépensé $200 milliards que nous n’avons pas sur l’atténuation du changement climatique qui n’a pas du tout déplacé d’aiguille « carbone », et le gouvernement a dépensé quelques centaines de millions supplémentaires pour des équipes autochtones à la recherche de corps réels et à rembourser les autochtones qui ont fabriqué ces décès. Le financement autochtone, qui reçoit le NO auditing, est passé de $10 milliards à $60 milliards en dix ans. Cet argent a disparu. La fiction a déchiré le monde entier, déclarant que des religieuses catholiques tuaient des enfants autochtones et les enterraient dans des fosses communes, au point que même les Chinois, qui ont tué 68 millions de leurs propres citoyens dans le meurtre parrainé par l'État, nous grondaient.
Aucun corps n'a été retrouvé. Il ne manque pas un enfant dans un recensement ou une tenue de registres de bande ou un dossier d'école de l'Église.
Nous sommes un pays de l'AWFLS. Les hommes ont pratiquement disparu de la vie publique à moins qu'ils ne se cachent et soient des hommes de couleur ou des goules de banquiers comme Mark Carney, qui vole aussi vite qu'il le peut. Remplacée par 100.000 femmes aussi stupides, fières et mal informées que celle-ci, qui déteste Trump et les populistes tant qu’elle « refuse » de promouvoir son nouveau roman aux États-Unis. Penny est lue par des femmes comme Hillary Clinton, des pleurniches de princesse de gauche et surprivilégiées.
C'est l'homme qu'elle soutient. Notre économie a diminué de 1,6% ce dernier trimestre - les États-Unis ont augmenté de 4,3% - et vont globalement diminuer pour l'année, et vous savez que les statistiques du gouvernement entre les mains de la gauche sont un mensonge. Carney n'a pas été en mesure de former une quelconque alliance commerciale avec les États-Unis ou le Mexique.
Mais il s'est enrichi à nos dépens, en négociant tous les accords commerciaux par l'intermédiaire de la société d'investissement qu'il a commencée. C'est ce que ces femmes horribles soutiennent. Un voleur en costume de 5,000 $.
Penny, un romancier de meurtre et de chaos vit dans mon village natal et a utilisé ce village pour inciter les gens à un roman confortable où les gens se parlent encore. Tous ses méchants sont blancs, mâles et anglo. Tous ses villageois sont des artistes/libraires binaires, gays, bizarres qui s’assoient dans des restaurants qui résolvent des crimes et parlent d’oppression et de nourriture. Toutes les victimes sont faibles, féminines et autochtones. Dans un village anglais permanent, installé par des soldats britanniques, et annexé par des hommes d'affaires anglais de Montréal, qui a fait de ce village un lieu pittoresque, modeste, familial, le noble enquêteur, déchiré par le doute de soi, est, bien sûr, français.
Mon village d'origine est maintenant une capitale du meurtre. Le vrai village ? Un meurtre sur un cochon ces 100 dernières années.
C'est une illustration parfaite de ce que ces gens - cette classe horrible de troisièmes rates - ont fait du pays. Ils ont fait irruption au gouvernement avec Trudeau Senior, lui-même en train de se pencher sur la haine et l'envie des colons anglo blancs qui ont construit le pays. Les Trudeaus ne construisent pas. Ils détruisent.
Il est frappant de constater que tous ces guerriers de classe ont une fois réussi, déménagez immédiatement dans un petit endroit sûr construit par les gens qu'ils détestent. Toutes les maisons - de modestes maisons familiales en pierre en retrait de la route - sont maintenant renforcées comme des casinos par des vulgariens et vécues par les carpetbaggers qui ont volé le pays.
C’est une métaphore parfaite pour le Canada. Regardez ici, si vous pouvez le supporter, son arrogance, sa tentative de supériorité morale. Elle n'a aucune idée de ce que sa classe a fait au Canada (ou aux États-Unis) parce qu'elle navigue d'un palais ou d'un hôtel cinq étoiles à l'autre, bousculée par l'éloge.
Nous commençons tout juste à compter combien cette classe a volé. Carney a demandé une limite de dette de $2,5 billions, dont une grande partie, il courtisera, sans aucun doute, par l'intermédiaire de son entreprise. Les $200 milliards sur « l’atténuation du changement climatique » ont disparu dans leur mâchoire. L'escroquerie autochtone au Canada est en fait criminelle, et elle a plongé la province la plus riche, la Colombie-Britannique, dans une tempête d'enfer d'un avenir soviétique, où tous les droits de propriété sont en mouvement. La seule province fonctionnelle, l'Alberta, en a eu $600 milliards, ce qui est allé nourrir la province la plus socialiste, qui malgré la subvention est l'État subsouverain le plus endetté au monde.
Le nouveau livre de Penny est l’un des incendies de forêt causés par le changement climatique. Tout d'abord, si elle avait fait ne serait-ce qu'un peu de recherche, elle aurait constaté que les incendies de forêt étaient causés par une mauvaise réglementation verte. Les États-Unis Le Service des forêts le sait depuis VINGT-CINQ ANS. Sa classe de travailleurs du savoir, l'élite cognitive l'a ignorée. Leurs idées stupides - tous ceux qui «croient» au changement climatique sont fonctionnellement attardés - ont retardé et ruiné deux générations et brûlé des centaines de millions d'hectares de forêt. Toute la croissance au Canada se déroule loin de la plaque tournante des femmes misérables qui dirigent le gouvernement.
Les arnaques qui volent de l'argent public sont infinies. Les immigrants indiens ont arnaqué la sécurité sociale. Personne ne les arrête. En fait, ils le permettent parce que c’est un remboursement pour les gens qu’ils détestent: les hommes, les Blancs, les producteurs.
Les $200 milliards que Trudeau a dépensés pour l'atténuation du climat ont déplacé l'aiguille un peu. Ce $200 milliards signifiait que la croissance d'une génération entière était retardée. Si vous êtes dans vos années 20 au Canada, bonne chance pour trouver un emploi. Aucun emploi n'a été créé, les entreprises ont été empêchées de croître parce qu'une nouvelle série de réglementations et de dépenses ont été imposées au-dessus d'elles.
Liste des projets énergétiques annulés ou suspendus et leur impact économique totalisant $660 milliards.
Gouverninel d'Énergie Est - $55 milliards
Northern Gateway - $300 milliards
Pipeline Keystone XL - $3,4 milliards
Pacific Northwest LNG - $3,4 milliards
Mine de sables bitumineux de Teck Frontier - $12 milliards
Pipeline de gaz de la vallée du Mackenzie - $86 milliards
GNL Grassy Point - $10 milliards
Prince Rupert GNL - $15 milliards
Aurora LNG - $20 milliards
Saguenay GNL - $5 milliards
LNG de canal Douglas - $8 milliards
Triton GNL - $6 milliards
GNL du WCC - $35 milliards
Projet de ligne principale de l'Est - $2 milliards
15. Prince Rupert Auroa GNL - $20 milliards
16. GNL Canada - $100 milliards
Si ces projets avaient été construits, le Canada serait le pays le plus riche du monde. Nous aurions 100.000 nouvelles familles, 200.000 nouveaux bébés avec un avenir prospère. Nous aurions pu réparer notre désordre catastrophique d'un système de santé où 13% des gens reçoivent des traitements contre le cancer en temps opportun, et les 40 ans meurent dans des salles d'attente. Nous aurions pu construire des villes non déchirées par les conflits, l'itinérance et la toxicomanie. Nous aurions pu construire des centres-villes, rassembler les gens, donner de l'espoir.
Aujourd'hui, le seul espoir pour le Canada est la séparation de l'Alberta. La collection Signature débute le 2 janvier.
Absurdistan commence une nouvelle série, en milieu de semaine, courte, concentrée, comme l’ancien Time Mag, où on m’a appris à me condenser radicalement. Donc, le Canada, l'avancée sur la santé mentale. Etc. Je vise 800 mots, cinq minutes de lecture.
Veuillez envisager un abonnement annuel ou mensuel peu coûteux.
9 - Environ 350 acronymes dans le Projet régional de santé des Pays-de-la Loire
30 décembre 2025
Philbert Carbon
Nous sommes tombés tout à fait par hasard sur le Projet régional de santé de Pays-de-le Loire pour la période 2023-2028. Établi par l’Agence régionale de santé (ARS), il se compose de quatre documents principaux : le cadre d’orientation stratégique ; le schéma régional de santé ; le schéma régional de santé pour les activités soumises à autorisation, la permanence des soins en établissement et la biologie ; et le programme régional relatif à l’accès à la prévention et aux soins.
Le tout compte environ 300 pages. Mais, c’est un cinquième document, de six pages seulement, qui a attiré notre attention. Il s’intitule « Les acronymes et abréviations utilisés au sein des documents constituant le Projet Régional de Santé 2023-2028 ».
Six pages indispensables pour lire les 300 autres. Sans cette aide, comment savoir que ACT veut dire « appartement de coordination thérapeutique », que les BAPU sont des « bureaux d’aide psychologique universitaires », ou que le CAQES est le « contrat d’amélioration de la qualité et de l’efficience des soins ».
C’est un document dont la lecture est très instructive. Il permet, par exemple, de prendre conscience du nombre d’agences intervenant dans le domaine de la santé : agence de biomédecine (ABM), agence de la transition écologique (ADEME), agence nationale de l’habitat (ANAH), agence nationale d’appui à la performance (ANAP), agence du numérique en santé (ANS), agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT), agences régionales de santé (ARS)… auxquels s’ajoutent multitudes d’associations, de groupements, de centres, de directions, de réseaux, d’établissements, d’instituts, d’offices, d’observatoires, d’organisations, de pôles, de plateformes, de services, d’organismes et d’unités.
Comment imaginer un seul instant que nous pouvons être mal soignés avec un tel pullulement de structures qui contribuent à mettre au point et piloter quantité de dispositifs, de plans, de programmes, de projets, de contrats, de schémas et d’objectifs ?
Heureusement qu’un peu d’humour se cache parfois derrière quelques acronymes. Personnellement, j’ai une préférence pour l’humour anglais. J’ai ainsi découvert que les CATS ne sont pas des chats, mais les comités départementaux d’accompagnement territorial des soins de premier recours ; que derrière l’acronyme FISH ne se cache pas un poisson mais l’hybridation in situ en fluorescence ; que le GOAL n’est pas un but, mais le réseau Grand Ouest contre la leucémie ; que le MOIST est le Mois sans tabac et n’a donc rien d’humide ; que les SAD sont les services d’aide à domicile et ne sont pas tristes ; ou encore que le SONS n’a rien à voir avec des fils, mais est un système ouvert et non sélectif.
Avouons que cela n’a rien de FALC, autrement dit de « facile à lire et à comprendre » !
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10 -Réformer l’école : mieux éduquer à moindre coût
30 décembre 2025
IREF
Dans un article publié le 21 juin 2025 (Journal des Libertés No.29), Lionel Devic, avocat associé chez Delsol Avocats, nous dit que la situation de l’éducation en France est préoccupante : malgré un budget colossal de 87 milliards d’euros pour l’Éducation nationale et une dépense intérieure d’éducation de 170 milliards d’euros, le système public produit des résultats médiocres. La France se classe 26ᵉ au classement PISA 2024 et dernière d’Europe au TIMSS, tout en étant le pays de l’OCDE qui génère le plus d’inégalités scolaires. L’Éducation nationale, avec 1,2 million d’agents, représente le troisième plus gros employeur mondial, mais son efficacité est faible : le coût annuel par élève du public est presque le double de celui du privé sous contrat, avec un surcoût global de 34,5 milliards d’euros par an.
Parallèlement, les écoles libres indépendantes (hors contrat) connaissent une croissance rapide, ouvrant plus de 300 classes en 2024, majoritairement aconfessionnelles, et sans bénéficier de fonds publics. Cette dynamique montre que des modèles éducatifs plus autonomes et innovants peuvent fonctionner efficacement à moindre coût, mais restent freinés par les contraintes administratives et budgétaires du système public.
Pour améliorer l’école tout en réduisant les dépenses, l’auteur propose plusieurs mesures concrètes. D’abord, développer des établissements conventionnés autonomes, permettant aux écoles d’exercer une plus grande liberté pédagogique et de choisir leurs enseignants. Ensuite, simplifier les programmes autour d’un socle commun de compétences et de culture, introduire le chèque scolaire, et réformer l’instruction à domicile. Enfin, encourager les familles via des mécanismes fiscaux, comme un crédit d’impôt pour les scolarités versées à des écoles indépendantes respectant certains critères.
Ces réformes s’appuient sur deux principes clés : la liberté d’enseignement, pour responsabiliser enseignants et parents, et la subsidiarité, pour que les autorités supérieures soutiennent plutôt qu’étouffent les initiatives locales. L’objectif est de créer un système éducatif plus efficace et plus flexible, capable de produire de meilleurs résultats avec moins de dépenses publiques, en donnant davantage de pouvoir aux familles et aux établissements.
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11 -La réforme scolaire ne vient pas de l'hauteur du plafond ou de la couleur de la tapisserie ! Les 'maîtres' d'écoles (appelés 'prof' et non instit) sont validés par l'IUFM avec une notre moyenne... de 6 ! DE 6 SUR 20 !!
Donc, résultat: quand les minots sont éduqués par des cons, les minots deviennent des cons !
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12 - Allemagne, s'éloigne encore un peu plus de la démocratie autorisant la police berlinoise à installer des logiciels espions chez les particuliers
M. A.
le 29 décembre 2025 - 15:45
Berlin franchit le pas, une fois encore. Un “tournant historique” pour certaines ONG. Une réforme dans la capitale allemande de la loi policière portée par la coalition au pouvoir, CDU-SPD, soutenue par l’AfD, permet désormais aux forces de l’ordre d’entrer secrètement dans les domiciles des citoyens pour installer des logiciels espions. La réforme, très large, autorise aussi l’usage de nombreux outils comme l’IA, suscitant l’inquiétude des opposants qui y voient un aller simple vers des “pratiques de la Stasi” ou encore vers une surveillance généralisée.
Jusque-là, la capitale allemande faisait exception. Ou presque. Avant cette réforme, à Berlin, la loi sur la police (Allgemeines Sicherungs- und Ordnungs Gesetz ou ASOG) permettait aux forces de l'ordre d'accéder à distance aux données des suspects pour des crimes graves comme le terrorisme ou le crime organisé via des outils comme le Bundestrojaner (Cheval de Troie ou Trojan, un type de logiciel malveillant qui se déguise en programme légitime pour tromper l'utilisateur et s'infiltrer dans son appareil, NDLR), mais uniquement avec autorisation judiciaire préalable. Elle n'autorisait pas les intrusions physiques secrètes sans mandat ni surveillance de masse systématique, limitant les opérations à des mesures ciblées et justifiées par une menace imminente.
Berlin ne fait plus exception
Ailleurs en Allemagne, des Länder ont déjà légalisé ces dernières années des intrusions domiciliaires discrètes similaires pour installer des spywares lorsque l'accès distant échoue.
Mais au moment où la Cour constitutionnelle fédérale statuait que les policiers avaient besoin d’un mandat de perquisition judiciaire pour, par exemple, expulser un réfugié, le Bundestag (la Chambre des représentants) a décidé d’autoriser les forces de l’ordre à pénétrer discrètement dans les appartements des citoyens.
Le débat a été relancé par la coalition CDU-SPD (Chrétiens-démocrates et sociaux-démocrates) de Berlin, qui a proposé en novembre une réforme massive de l'ASOG pour, entre autres, contrer les avancées technologiques comme le chiffrement de bout en bout sur WhatsApp ou Signal, qui rendent l'espionnage distant inefficace face au terrorisme, à la cybercriminalité et aux réseaux organisés. L'Allemagne fait partie des États membres de l’UE avec la France et les Pays-Bas qui militent historiquement pour affaiblir ou contourner le chiffrement via des backdoors obligatoires ou des obligations de livraison de clés. Les représentants du CDU-SPD voient dans cette réforme une adaptation nécessaire aux approches de plus en plus sophistiquées des criminels.
La réforme, adoptée le 4 décembre 2025 par l'Abgeordnetenhaus (Chambre des députés) de Berlin avec les voix de CDU-SPD mais aussi de l’AfD, est entrée en vigueur immédiatement, modifiant les paragraphes 26a et 26b de l'ASOG pour autoriser explicitement les entrées secrètes domiciliaires afin d'installer des logiciels espions si l'accès distant est techniquement impossible, limitée aux infractions graves et toujours sous mandat judiciaire avec durée et contrôles limités.
La réforme étend aussi les pouvoirs à la surveillance vidéo permanente, dans des zones publiques critiques, connectée à de l'IA pour analyse comportementale, à la reconnaissance faciale et biométrique post-détection, à l'utilisation de drones pour vidéo-surveillance, à des bodycams en domiciles privés en cas de danger imminent et à des requêtes massives sur données de tours cellulaires pour profilage de mouvement. Ces ajouts, totalisant une réforme de 736 pages, visent une "modernisation numérique" mais sont critiqués pour leur ampleur, avec des recours constitutionnels immédiats annoncés par la commissaire aux données de Berlin et des ONG.
Une réforme “anticonstitutionnelle”
Cette loi déclenche des réactions intenses : Verts, Die Linke, GFF ont dénoncé comme un "retour à la Stasi" ou vers un "Polizeistaat", comme cela avait déjà été décrit en 2011 lorsque les surveillances à distance de la police allemande ont été révélées. La Gesellschaft für Freiheitsrechte (GFF), une ONG spécialisée dans la défense des droits fondamentaux et des libertés civiles, a affirmé préparer un recours constitutionnel contre cette "surveillance totale disproportionnée" violant l'article 13 de la Loi fondamentale, arguant d'un risque de dérive vers une "dystopie orwellienne" avec des instruments intrusifs.
Des ONG numériques comme netzpolitik.org alertent sur les Verhaltensscanner (scanners IA de comportements, NDLR) "encore immatures" testés à Mannheim/Hambourg, qui pourraient criminaliser des gestes anodins, et sur l'entraînement d'IA par des firmes comme Palantir créant une "superdatabase" de profils comportementaux, prédisant un "chilling effect" généralisé sur les libertés.
La commissaire aux données de Berlin Maike Ohm a dénoncé une "attaque frontale sur la sécurité IT des citoyens" et une densité normative "constitutionnellement douteuse", tandis que la police et le gouvernement saluent une "mise à jour nécessaire" face aux menaces.
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13 - Quelle est la popularité des dirigeants du monde dans leur pays d'origine ?
Quand beaucoup de nations ont la capacité d’organiser des élections anticipées, pourquoi leurs dirigeants très impopulaires sont-ils encore en fonction ? Appartiennent-ils tous à la même Uniparty ? On dirait que la réponse est oui.
Meryl Nass
31 décembre 2025
Je ne sais pas d’où viennent tous ces chiffres, mais ils semblent néanmoins être généralement corrects. A noter que les dirigeants de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne sont 3 des 4 moins populaires.
- voir cadre sur site -
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14 - Post-scriptum des révolutionnaires du comté de Maui
Répondant aux commentaires des lecteurs sur l'utilisation supposée des DEW pour enflammer, maintenir et amplifier l'incendie de Lahaina du 8 août 2023.
John Leake
30 décembre 2025
Plusieurs lecteurs ont répondu à mon post hier (les révolutionnaires bungling du comté de Maui) en m’exhortant à approuver la théorie selon laquelle Lahaina a été incendiée et le feu intensifié et maintenu par l’utilisation d’armes à énergie dirigée (DEW) telles que les suivantes:
Lasers à haute énergie (HEL)
Armes à ondes millimétriques
Armes à micro-ondes de haute puissance
Pour mémoire, j’ai vécu sur Maui pendant un total de quatre ans, et je connais bien l’histoire, la géographie et la météorologie. J'ai personnellement observé de multiples feux de broussailles sur Maui, attisés par de forts alizés pendant les mois d'été. Ils peuvent être extrêmement difficiles à éteindre, même avec plusieurs hélicoptères qui font le feu avec de gros hélisques.
À l’été 2019, je suis allé surfer presque tous les jours à Lahaina Breakwall, et j’ai fortement perçu à l’époque que la ville risquait très fort d’être incinérée par une journée sèche et venteuse.
Le nom de Lahaina est hawaïen pour «Merciless Sun», et certains jours, il faisait trop chaud pour s’asseoir sur une planche de surf pour attendre un set. Je suis devenu habile à m'immerger dans l'eau jusqu'au moment avant l'arrivée du plateau.
Dans le soleil sans merci, Lahaina Breakwall, août 2019
J'ai interviewé plusieurs témoins de l'incendie de 2018 qui m'a raconté des histoires vives du feu de broussailles entraîné par le vent sur la colline, galopant vers la ville avec une vitesse à couper le souffle. Avec un vent violent qui descend sur la ville, un feu de broussailles peut générer des braises en suspension dans l'air qui frappent des structures en bois et les mettre en feu dans des conditions qui ressemblent à un haut fourneau.
La ville de Lahaina a été en grande partie construite à partir de bois de sapin de Douglas assaisonné avec une teneur en humidité qui était probablement d'environ 10%. Comparez cela à la célèbre Lahaina Banyan – un arbre vivant (dessiner l’eau du sol) avec une teneur en humidité de près de 100%.
Pour comprendre l’importance critique de la teneur en humidité, considérez que les palmeraies au Vietnam ont souvent survécu aux attaques de Napalm qui ont brûlé jusqu’à 1.470 à 2.190 degrés Fahrenheit – une chaleur suffisante pour faire fondre les freins à disque en aluminium et déformer gravement l’acier.
Notez que les voitures piégées sur Front Street étaient sous le vent d'énormes structures en bois qui agissaient comme des hauts fourneaux, soumettant les véhicules à une chaleur énorme. Une fois que leurs pneus se sont enflammés et que leurs réservoirs de carburant ont été rompus, le caoutchouc et l'essence ont ajouté du carburant à l'incendie.
En général, Lahaina était pleine de voitures, avec des réservoirs de carburant pleins d'essence, ainsi que des réservoirs de gaz au propane et des batteries de panneaux solaires, qui sont tous des matériaux extrêmement combustibles.
Après la fermeture de la plantation de Lahaina en 1999 et l'arragitation éteinte, la canne à sucre sur les collines au-dessus de la ville a été remplacée par des espèces d'herbe envahissantes telles que l'herbe de Guinée africaine (Megathyrsus maximus) qui pousse rapidement pendant la saison des pluies à Lahaina (environ novembre à avril) et sèche ensuite pendant les mois d'été.
Le 8 août 2023 – selon plusieurs témoins que j’ai interrogés – le vent rafalait jusqu’à quatre-vingts miles à l’heure des montagnes de l’ouest de Maui, juste à l’est de Lahaina, sur la pente, et directement sur la ville.
Les conditions étaient très chaudes et sèches, et le vent en pente descendante – souvent appelé vent de Chinook – avait un effet de séchage supplémentaire car à mesure que l’air descend, il se comprime et se réchauffe, un phénomène connu sous le nom de chauffage adiabatique.
Avec des vents extrêmement violents et aucune pluie dans les prévisions, le National Weather Service a émis un drapeau rouge (incendie) mettant en garde la veille de l'incendie.
Tout ce qui précède, combiné à une source d’allumage à faible technologie, étaient des conditions parfaitement suffisantes pour brûler la ville de Lahaina au sol – un scénario que je prédisais qu’il pourrait facilement se produire tout en observant la ville lors de mes sessions de surf quotidiennes à l’été 2019.
Après avoir écrit de vrais livres policiers et un bulletin quotidien sur la corruption et de multiples complots avérés, je comprends le grave soupçon que l'incendie de Lahaina du 8 août 2023 n'était pas simplement une catastrophe naturelle.
Je suis d'accord. Je crois que ce n’est pas un simple accident qu’aucune mesure n’ait été prise pour protéger Lahaina contre l’incendie, surtout après l’incendie d’août 2018 qui a presque incinéré la ville.
Néanmoins, je n'ai pas approuvé la théorie du DEW pour les raisons suivantes.
1). Un simple incendie criminel est courant sur Maui, en particulier parmi la population de sans-abri de l’île qui est accro à la méthamphétamine de cristal. J'ai vu des images de caméras de sécurité de sans-abris qui déclenchent délibérément des feux de broussailles qui se propagent dans les zones résidentielles.
2). Le danger clair et présent d'incendie était si élevé le 8 août 2023 que toutes sortes d'appareils simples auraient pu le démarrer, en plus de l'explication officielle qu'il a initialement enflammé par une ligne électrique abattue.
3). Je n’ai pas vu suffisamment de preuves pour me contraindre à croire qu’un DEW a été utilisé.
4). Par logique, je ne vois pas la raison d'utiliser une arme de qualité militaire sophistiquée pour enflammer et maintenir un incendie lorsque de simples incendies criminels suffiraient.
5). Tout au long de l'histoire, les villes en grande partie composées de structures en bois ont connu des incendies massifs qui ont brûlé des zones urbaines beaucoup plus grandes que celle de Lahaina. Pensez à Rome (64 après JC), au Grand Chicago Fire (1871) le Great Boston Fire (1872), au Great Fire de Toronto (1904) et au feu de tremblement de terre de San Francisco (1906).
6). J'ai consulté un enquêteur expérimenté. Lui aussi n'a pas vu suffisamment de preuves pour l'obliger à croire qu'un DEW a été utilisé. En enquêtant sur les incendies au fil des ans, il s'est souvent émerveillé des caractéristiques étranges et idiosyncrasiques des schémas de brûlure.
Comme toujours, merci beaucoup d'avoir lu mes messages, et merci pour votre commentaire réfléchi et critique.
https://www.thefocalpoints.com/p/maui-countys-bungling-revolutionaries-bbf?publication_id=1119676&post_id=18299167
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