le 7 décembre 2025
par pgibertie
ÉTUDE INÉDITE : Les « vaccins » à ARNm pourraient préparer l’organisme à des années de dommages amplifiés lors d’infections ultérieures au SARS-CoV-2. Notre article de référence, évalué par des pairs, révèle comment les injections d’ARNm et le SARS-CoV-2 alimentent de manière synergique la surmortalité mondiale et les maladies chroniquesun article récent de la McCullough Foundation, intitulé Compound Adverse Effects of COVID-19 mRNA Vaccination and Coronavirus Infection: A Convergence of Extensive Spike Protein Harms to the Human Body (publié en preprint en août 2025, puis en version peer-reviewed en décembre 2025).
Cet article, qui cite 380 références, propose l' »hypothèse des dommages hybrides » : les vaccins à ARNm contre la COVID-19, en induisant une production prolongée de protéine Spike, pourraient sensibiliser l’organisme à des lésions amplifiées lors d’infections ultérieures par le SARS-CoV-2. Cela inclut une synergie entre la charge toxique du vaccin (protéine Spike, nanoparticules lipidiques inflammatoires, contaminants d’ADN) et l’infection virale, menant à une surmortalité et à des maladies chroniques persistantes.
1. Charge utile immunotoxique (protéine Spike, LNP inflammatoires, contaminants d’ADN)Éléments soutenant l’affirmation : La protéine Spike vaccinale est toxique à haute dose ; des études montrent qu’elle peut causer une inflammation endothéliale et une thrombose. Les nanoparticules lipidiques (LNP) des vaccins Pfizer/Moderna sont pro-inflammatoires et se distribuent dans tout l’organisme. Des contaminants d’ADN plasmidique (résidus de production) ont été détectés à des niveaux supérieurs aux limites réglementaires (jusqu’à 145 ng/dose pour Pfizer).
Évaluation : Risque plausible pour les doses multiples, mais pas une « bombe à retardement » pour tous.
Biodistribution dans l’organisme entier (cœur, cerveau, ovaires, placenta, etc.)Éléments soutenant : Des études sur des rats montrent que les LNP atteignent le cœur (0,095 % de la dose), le cerveau (0,02 %), les ovaires (0,1 %) et le placenta. Chez l’humain, des biopsies lymphatiques détectent la Spike jusqu’à 60 jours post-vaccination.
Exposition prolongée à la protéine Spike (mois à années, via intégration génomique)Éléments soutenant : La Spike circule dans le plasma jusqu’à 187 jours post-vaccination dans 50 % des cas. Des cas rares d’intégration génomique de l’ADN contaminant (via rétrotranscription) ont été rapportés in vitro et dans un cas clinique de cancer de la vessie (2025). Cela pourrait expliquer une production persistante de Spike, mimant la « COVID longue ».
Exposition cumulative (plus de doses = dysfonction immunitaire plus profonde : IgG4, épuisement des lymphocytes T)Éléments soutenant : Les doses répétées induisent un switch vers les IgG4 (non inflammatoires, jusqu’à 50 % des anticorps anti-Spike après 3-4 doses), corrélé à une réduction des fonctions effectrices (phagocytose, cytotoxicité). L’épuisement des T-cells est observé chez les immunodéprimés post-boosters.
Physiopathologie concomitante (infection + vaccination = lésions additives/synergiques)Éléments soutenant : Symptômes similaires entre « COVID longue » et post-vaccinaux ; des cas de myocardite amplifiée post-infection chez les vaccinés multiples.
Efficacité négative et propagation de la COVID-19Éléments soutenant : Des études montrent une « efficacité négative » contre l’infection après 6 mois (risque accru de 20-30 % pour les boosters vs. non-vaccinés), avec pics d’infections post-75 % de couverture vaccinale (biais possible par comportement à risque).
Éléments soutenant : Excès persistant dans pays >80 % vaccinés (jusqu’à +11 % en 2022), corrélé à doses multiples.
Zone de danger prolongée et accountabilityRisque pour millions : Si l’hypothèse est vérifiée, les réinfections pourraient aggraver les lésions chez les vaccinés multiples. Des millions de cas de « COVID longue » pourraient être post-vaccinaux mal diagnostiqués.
Pas d’impunité : Les agences (FDA, EMA) surveillent ; rappels recommandés pour vulnérables. Mais critiques sur la transparence des données de pharmacovigilance persistent.
Conclusion : L’hypothèse des « dommages hybrides » est bien étayée par des mécanismes biologiques (persistance Spike, IgG4),
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2 - Un métabolisme lent et une carence en NAD+ impliqués dans le syndrome de dépérissement.
NAD+ avec niacine (vitamine B3) contribue à la reconstruction de la masse musculaire et à l'amélioration de la force.
Par le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
7 décembre 2025
La fonte musculaire observée dans le cancer et les maladies chroniques est due à une perturbation de la production d'énergie cellulaire, et non pas seulement à une perte d'appétit ou à une inflammation.
De faibles niveaux de NAD+, la molécule qui alimente les mitochondries de vos cellules, entraînent un affaiblissement et un rétrécissement des muscles même lorsque l'apport calorique est suffisant.
Des chercheurs ont découvert que la restauration du NAD+ grâce à la niacine (vitamine B3) contribue à la reconstruction de la masse musculaire, à l'amélioration de la force et à la stabilisation du métabolisme énergétique, même pendant la chimiothérapie.
Les huiles de graines riches en acide linoléique perturbent la production d'énergie cellulaire et favorisent l'inflammation chronique, tandis que leur remplacement par des graisses stables comme le beurre de vaches nourries à l'herbe ou le ghee favorise la récupération.
Des stratégies simples comme la prise de niacinamide, la consommation d'aliments complets riches en nutriments, la réduction du stress et une exposition régulière au soleil contribuent à relancer votre métabolisme et à vous redonner de la force de l'intérieur.
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Chaque année, des millions de personnes atteintes d'un cancer ou d'une maladie chronique sont confrontées à un ennemi invisible et dévastateur : leur corps s'affaiblit progressivement. Les muscles s'atrophient, l'énergie diminue et la force disparaît, même lorsque l'apport alimentaire reste inchangé. Ce processus d'amaigrissement, appelé cachexie, n'est pas uniquement dû à une perte d'appétit. Il reflète une altération plus profonde de la capacité du corps à produire et à utiliser l'énergie, ce qui affaiblit les personnes jour après jour malgré leurs efforts pour se rétablir.
Ce qui rend la cachexie particulièrement dévastatrice, c'est sa progression insidieuse. Les premiers signes, comme la fatigue, la baisse d'endurance ou une légère fonte musculaire, sont souvent attribués à tort au vieillissement ou à la maladie. Pourtant, derrière ces symptômes se cache un bouleversement profond du métabolisme : l'organisme passe d'un système de production à un système de combustion, puisant dans ses propres tissus pour assurer le fonctionnement de ses fonctions vitales.
Avec le temps, cette crise énergétique interne accélère la fragilité, aggrave les résultats des traitements et prive les personnes de la vitalité nécessaire à leur guérison. Les chercheurs réexaminent désormais cette pathologie sous l'angle du métabolisme plutôt que de la malnutrition.
En étudiant comment la production d'énergie faiblit au cœur même de la cellule, les chercheurs ont commencé à comprendre pourquoi la masse musculaire et la force diminuent même chez des personnes bien nourries, et comment le rétablissement de l'équilibre énergétique de l'organisme pourrait stopper, voire inverser, ce déclin. Ces nouvelles découvertes scientifiques mettent en lumière une idée puissante : retrouver sa force ne se résume pas à un apport calorique ou protéique suffisant, mais consiste à réactiver la capacité du corps à générer l'énergie vitale.
Pour stopper la fonte musculaire, il faut commencer par restaurer l'énergie.
Une étude publiée dans la revue Molecular Metabolism a révélé que la perte musculaire observée lors du cancer et des maladies chroniques est due à une défaillance du système énergétique de l'organisme, et non pas seulement à une inflammation ou à une mauvaise alimentation. 1
Les chercheurs ont découvert que les muscles des animaux souffrant d'atrophie musculaire sévère présentaient des taux beaucoup plus faibles de nicotinamide adénine dinucléotide ( NAD+ ), une molécule essentielle à la production d'énergie dans les mitochondries, véritables « centrales énergétiques » de nos cellules. Lorsque le taux de NAD+ est bas, les cellules ne peuvent plus convertir les aliments en énergie, ce qui oblige l'organisme à dégrader son propre tissu musculaire pour survivre.
• La carence énergétique entraîne une fonte musculaire — En examinant les tissus musculaires, les scientifiques ont constaté que les mitochondries fonctionnaient au ralenti. Ce manque d'énergie a provoqué un affaiblissement et une diminution du volume musculaire. Parallèlement, les niveaux de NAD+ se sont effondrés, indiquant un déséquilibre de l'ensemble du système énergétique de l'organisme.
• La restauration du NAD+ a redonné vie aux muscles — Lorsqu'un traitement bloquant les signaux nocifs à l'origine de cette dégradation a été utilisé, les niveaux de NAD+ sont revenus à la normale et la production d'énergie a repris. L'enzyme permettant à l'organisme de synthétiser le NAD+ à partir de nutriments comme la vitamine B3 a également retrouvé son fonctionnement normal. Par conséquent, les cellules musculaires ont commencé à se réparer et à regagner de la force.
Les muscles se sont renforcés même sans réduction des tumeurs : les animaux traités ont vécu plus longtemps et ont conservé leur masse musculaire, non pas grâce à une amélioration de leur cancer, mais parce que leurs cellules pouvaient à nouveau produire de l’énergie efficacement. Cette découverte a démontré que la correction du métabolisme, et pas seulement le traitement de la maladie, est essentielle pour retrouver de la force.
L’ inflammation joue un rôle, mais n’en est pas la cause principale. Bien que présente, la véritable cause résidait dans la perte de capacité énergétique des cellules. Une fois le NAD+ et la fonction mitochondriale rétablis, la réparation musculaire a repris, même en présence d’une inflammation persistante.
• C’est le rétablissement de l’énergie, et non l’apport calorique, qui enraye la fonte musculaire : le NAD+ agit comme une batterie rechargeable qui alimente vos cellules. Lorsque cette batterie est épuisée, votre corps perd sa capacité à produire de l’énergie pour le mouvement, à réparer les tissus et à maintenir sa résistance. Restaurer le NAD+ recharge le système, vous aidant ainsi à retrouver de l’énergie, à préserver votre force et à ralentir le processus de fonte musculaire de l’intérieur.
- voir clip sur site -
Un métabolisme lent est la véritable cause de la fonte musculaire.
Un commentaire de l'étude Molecular Metabolism² par le chercheur en bioénergétique Georgi Dinkov a confirmé que la cachexie reflète un dysfonctionnement du métabolisme, et non une simple inflammation³. L' atrophie musculaire associée au cancer et à d'autres affections chroniques survient lorsque le métabolisme oxydatif, principal processus de production d'énergie de l'organisme, ralentit.
La perte d'énergie commence à l'intérieur des mitochondries : lorsque ces centrales énergétiques cessent de fonctionner correctement, le taux de NAD+ chute brutalement. Cette perte d'énergie n'est pas seulement un symptôme de la maladie, mais l'une de ses causes principales : elle alimente le processus de dégradation de l'énergie.
L’ inflammation et les facteurs environnementaux aggravent le déclin énergétique. Cette baisse d’énergie cellulaire est souvent accentuée par une inflammation chronique et par les acides gras polyinsaturés, comme l’acide linoléique (AL) présent dans les huiles de graines. Ces facteurs diminuent encore la capacité de l’organisme à produire de l’énergie. Dinkov a souligné que l’inflammation survient après la défaillance du système énergétique ; elle n’en est pas la cause.
• Le cancer dérègle la production d'énergie — Lorsque le métabolisme mitochondrial dysfonctionne, explique Dinkov, les cellules cancéreuses compensent en produisant de l'énergie dans le compartiment liquidien intracellulaire plutôt que dans les mitochondries. Ce processus régénère de petites quantités de NAD+ mais produit de grandes quantités de lactate — une forme de « mode d'urgence » métabolique qui alimente d'autres dysfonctionnements.
• Favoriser la régénération du NAD+ contribue à freiner l'atrophie musculaire — Selon Dinkov, prévenir l'épuisement du NAD+ ou restaurer les niveaux de NAD+ mitochondrial pourrait stopper, voire inverser, l'atrophie musculaire. Il a souligné que des composés simples qui soutiennent le métabolisme oxydatif — notamment la niacinamide (vitamine B3), le bleu de méthylène, la coenzyme Q10, la vitamine K et l'émodine — contribuent au maintien de l'énergie mitochondriale, freinent le processus d'atrophie et favorisent la récupération.
La niacine recharge le système énergétique de votre corps et ralentit la fonte musculaire.
Une étude publiée dans Nature Communications a montré que l'administration de niacine, une forme de vitamine B3, permettait de rétablir les niveaux de NAD+ dans les tissus musculaires et hépatiques de souris atteintes d'une importante cachexie liée au cancer.⁴ Lorsque les niveaux de NAD+ étaient rétablis, la masse et la force musculaires s'amélioraient, la fonction mitochondriale se rétablissait et la production d'énergie se stabilisait, même pendant la chimiothérapie .
Bien que cette étude démontre le potentiel thérapeutique de la supplémentation en NAD+, je ne suis pas d'accord avec l'utilisation de la niacine comme forme d'administration optimale. D'après mon analyse de la littérature, la niacinamide (nicotinamide) est un précurseur du NAD+ bien plus efficace, présentant plusieurs avantages essentiels : elle se convertit plus efficacement en NAD+ via la voie de récupération. Pour une supplémentation orale, une dose efficace est d'environ 50 mg trois fois par jour.
Cependant, nous lancerons début 2024 des formulations de nouvelle génération bien plus performantes, utilisant une technologie liposomale avancée pour acheminer la niacinamide directement dans les cellules, avec une absorption quasi complète. Ce ciblage élimine l'effet de premier passage hépatique et nous permet d'obtenir une reconstitution des réserves de NAD+ équivalente, voire supérieure, avec des doses considérablement réduites (de seulement 1 à 2 milligrammes), tout en évitant les effets indésirables gastro-intestinaux et hépatiques liés à des doses orales plus élevées.
Ces innovations représentent un progrès significatif dans l'optimisation du NAD+, combinant le précurseur biochimique approprié avec une technologie d'administration qui maximise l'absorption cellulaire et minimise le gaspillage.
• La perte musculaire a été attribuée à une défaillance de la capacité de la cellule à produire du NAD+ — Dans la cachexie cancéreuse, l'enzyme responsable de la transformation des nutriments comme la vitamine B3 en NAD+ s'est avérée considérablement réduite chez les animaux et les patients atteints de cancer.
Cette diminution impliquait que, même en présence de nutriments, les cellules musculaires ne pouvaient les convertir en énergie. Chez l'humain, une faible expression de cette enzyme était associée à des profils métaboliques anormaux, avant même l'apparition d'une perte de poids, suggérant que le déficit énergétique débute bien avant l'apparition d'un amaigrissement visible.
La niacine a contribué à rétablir l'équilibre énergétique dans plusieurs organes. Chez des souris atteintes de cancers agressifs et chez celles présentant des tumeurs à croissance plus lente, la niacine a augmenté le taux de NAD+ dans les muscles squelettiques et le foie. Ceci a non seulement stimulé la production d'adénosine triphosphate (ATP), principale molécule énergétique de l'organisme, mais a également amélioré la santé mitochondriale et la synthèse protéique.
Les muscles traités à la niacine ont repris du volume, ont présenté moins de signes de dégradation et ont partiellement récupéré leur force de préhension. Ces améliorations ont été observées sans réduction des tumeurs, ce qui indique qu'elles résultent d'une modification du métabolisme et non d'une suppression du cancer.
La niacine a également augmenté le nombre et la qualité des mitochondries en élevant les niveaux d'une protéine qui contrôle leur croissance et leur renouvellement. Les animaux traités présentaient une quantité d'ADN mitochondrial plus élevée, une capacité énergétique accrue et des fibres musculaires plus fortes. Cet effet était constant dans les deux modèles d'émaciation, rapide et lente, ce qui signifie que la niacine était efficace quelle que soit la gravité de la maladie.
Ces résultats ouvrent la voie à des thérapies métaboliques simples : l’étude a révélé que les carences en NAD+ dans les muscles et le foie jouent un rôle central dans l’atrophie cancéreuse, faisant de la réparation énergétique un problème systémique. En corrigeant le métabolisme du NAD+, la niacine a contribué au maintien de l’homéostasie énergétique et à la prévention de la dégradation tissulaire.
• Les cliniciens explorent des traitements précoces et ciblés pour compléter la réparation métabolique — Une étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology a noté que des millions de personnes vivent avec une fonte musculaire non diagnostiquée, souvent avant même qu'une perte de poids visible ne se produise. 5
Des chercheurs testent de nouveaux médicaments, comme les modulateurs sélectifs des récepteurs aux androgènes (SARM) et les agonistes de la ghréline, afin de stimuler la synthèse des protéines musculaires. Cependant, les résultats obtenus jusqu'à présent montrent que ces médicaments augmentent davantage la masse musculaire que la force, ce qui souligne que la restauration du NAD+ et du métabolisme – et non la simple construction de tissu musculaire – demeure la véritable clé d'une récupération durable.
Reconstruisez votre énergie de l'intérieur vers l'extérieur
Si vous constatez une perte de force, des problèmes de fatigue ou une perte de poids malgré une alimentation suffisante, le problème ne réside pas seulement dans le contenu de votre assiette, mais aussi dans la façon dont votre corps utilise cette énergie.
Les recherches montrent que la fonte musculaire, la faiblesse et le déclin métabolique commencent lorsque vos cellules perdent leur capacité à produire de l'énergie efficacement. Pour inverser ce processus, il est nécessaire de relancer votre métabolisme et de restaurer le NAD+, la molécule qui alimente vos mitochondries et assure le bon fonctionnement des systèmes de réparation de votre corps. Voici comment commencer à reconstruire votre force et votre énergie de l'intérieur :
1. Rechargez vos batteries cellulaires grâce à des aliments riches en niacine et en niacinamide : si vous vous sentez épuisé malgré un repos suffisant, c’est souvent dû à une carence en NAD+. La niacine et sa forme plus douce, la niacinamide, fournissent à votre corps les éléments nécessaires à la synthèse du NAD+.
L'ajout de petites doses quotidiennes, que ce soit par le biais d'aliments comme le foie de bœuf nourri à l'herbe ou les champignons, ou par l'intermédiaire d'un complément alimentaire, aide vos cellules à retrouver une production d'énergie efficace. Ce changement soutient simultanément vos muscles, votre foie et votre cerveau. L'utilisation prolongée de niacine comporte un risque d'effets secondaires ; il est donc conseillé de prendre plutôt de la niacinamide, à une dose de 50 milligrammes trois fois par jour, afin d'augmenter la production de NAD+.
2. Nourrissez vos mitochondries avec les nutriments essentiels : vos mitochondries ont besoin de bien plus que de calories ; elles ont besoin de cofacteurs comme la CoQ10, la vitamine K et la riboflavine pour produire de l’ATP. Si vous souffrez de fatigue ou de faiblesse persistante, un apport suffisant en ces nutriments aide votre corps à « se souvenir » comment produire à nouveau une énergie stable et propre. Considérez-les comme des outils qui régénèrent votre centrale énergétique interne.
3. Éliminez les freins métaboliques cachés dans votre alimentation : si vous consommez des huiles de graines comme l’huile de soja, de maïs, de tournesol ou de colza, il est temps d’arrêter. Ces huiles sont riches en acide linoléique (LA), qui perturbe la production d’énergie par vos cellules et provoque une inflammation chronique. Remplacez-les par des matières grasses stables comme le beurre de vaches nourries à l’herbe, le ghee ou le suif. À terme, ce changement réduira le stress oxydatif sur votre organisme et favorisera un métabolisme optimal.
4. Réduisez vos hormones de stress grâce à un repos profond et une alimentation saine — En cas de stress prolongé, votre corps produit massivement du cortisol et de l'adrénaline, ce qui accélère la dégradation des tissus. Des repas équilibrés, riches en protéines, en glucides naturels comme les fruits ou le riz blanc, et en sel minéral, apaisent votre système nerveux et rétablissent l'équilibre de votre métabolisme. Évitez le jeûne prolongé et les restrictions caloriques extrêmes : ces méthodes ne font qu'épuiser davantage votre énergie.
5. Utilisez la lumière et le mouvement pour favoriser la récupération — Si possible, exposez-vous quotidiennement à la lumière naturelle du soleil et pratiquez une activité physique douce comme la marche ou les étirements. La lumière du soleil stimule les enzymes mitochondriales qui augmentent la production d'ATP, et même de courtes séances d'activité physique incitent vos muscles à rester actifs et réactifs. L'important n'est pas l'intensité, mais la régularité.
Chaque pas, chaque rayon de lumière, est un signal pour vos cellules : vous vous régénérez de l'intérieur. En nourrissant votre métabolisme de cette façon, vous ne faites pas que traiter les symptômes ; vous réinitialisez la capacité de votre corps à générer de l'énergie, à réparer les tissus et à retrouver sa vitalité naturellement.
FAQ sur le métabolisme lent, le NAD+ et la fonte musculaire
Q : Qu’est-ce que la cachexie exactement, et en quoi diffère-t-elle d’une perte de poids normale ?
A: La cachexie est un syndrome de dépérissement qui entraîne une perte musculaire et une diminution du poids, même en cas d'alimentation suffisante. Contrairement aux régimes ou à la famine, elle n'est pas due à une restriction calorique. Le métabolisme de l'organisme entre alors en mode de crise : il cesse de produire de l'énergie efficacement et commence à dégrader les tissus musculaires pour assurer la survie. Ce processus épuise les forces, affaiblit le système immunitaire et rend la convalescence plus difficile.
Q : Quel rôle joue le NAD+ dans la prévention de l'atrophie musculaire ?
A: Le NAD+ est une molécule essentielle à la conversion des aliments en énergie par toutes les cellules. Lorsque le taux de NAD+ diminue, les mitochondries (les organites cellulaires responsables de la production d'énergie) fonctionnent mal. Il en résulte fatigue, faiblesse et fonte musculaire. Restaurer le taux de NAD+ permet aux cellules de générer à nouveau de l'énergie, de régénérer les tissus et de se protéger contre d'autres dommages.
Q : Comment la niacine contribue-t-elle à restaurer l'énergie et la force ?
A : La niacine, aussi appelée vitamine B3, reconstitue les niveaux de NAD+ dans les cellules. Une étude publiée dans Nature Communications a démontré que la niacine rétablissait le NAD+ dans les tissus musculaires et hépatiques de patients atteints de cancer et d'animaux souffrant d'amaigrissement sévère.⁶ Une fois les niveaux de NAD+ normalisés, la force musculaire, la production d'énergie et la santé mitochondriale s'amélioraient, même pendant la chimiothérapie.
Q : Pourquoi les huiles de graines comme l'huile de soja ou de canola sont-elles nocives pour le métabolisme ?
A: Les huiles de graines sont riches en acide linoléique (LA), un type de graisse polyinsaturée qui perturbe la production d'énergie cellulaire. Ces graisses instables s'oxydent facilement, favorisant l'inflammation et altérant la fonction mitochondriale. À terme, cela ralentit le métabolisme et aggrave la fatigue et la fonte musculaire. Remplacer les huiles de graines par des graisses stables comme le beurre de vaches nourries à l'herbe, le ghee ou le suif contribue à rétablir une production d'énergie saine.
Q : Quels sont les meilleurs moyens de favoriser naturellement un métabolisme énergétique sain ?
A : Commencez par nourrir votre corps avec des aliments riches en niacine ou en niacinamide, en coenzyme Q10, en vitamine K et autres nutriments essentiels au bon fonctionnement de vos mitochondries. Évitez les huiles végétales et les aliments transformés, privilégiez une alimentation équilibrée composée de glucides et de protéines naturels, et gérez votre stress en vous reposant et en vous exposant au soleil. Une activité physique douce, comme la marche ou les étirements, contribue à réactiver la fonction musculaire. Ensemble, ces mesures stimulent votre métabolisme et vous aident à retrouver des forces en profondeur.
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Notes
1, 2 Métabolisme moléculaire Novembre 2020, Volume 41, 101046
3. Extraire des connaissances de la matière (3 octobre 2025)
4, 6 Nature Communications 3 avril 2023
5 Br J Clin Pharmacol. 2017 Aug 24;83(12):2599-2601
https://www.globalresearch.ca/low-metabolism-nad-deficiency-implicated-wasting-syndrome/5908087
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3 -DERNIÈRE MINUTE : L’ACIP vote par 8 voix contre 3 pour supprimer la recommandation de vaccination universelle contre l’hépatite B pour les nourrissons
Trente années de science corrompue et de dommages inutiles commencent à s'effondrer.
Par Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
7 décembre 2025
Dans une décision historique, le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) du CDC a voté vendredi par 8 voix contre 3 pour supprimer la recommandation universelle selon laquelle tous les nouveau-nés reçoivent un vaccin contre l'hépatite B à la naissance — une politique en vigueur depuis 1991.
Les nouvelles recommandations maintiennent la dose vaccinale à la naissance uniquement pour les nourrissons dont la mère est porteuse de l'hépatite B ou dont le statut est inconnu. Pour tous les autres nouveau-nés, l'ACIP recommande désormais une décision individualisée, laissée aux parents, la vaccination étant déconseillée avant l'âge de deux mois.
Ce vote a fait suite à des discussions portant sur des données probantes montrant que les nouveau-nés américains courent un risque extrêmement faible de transmission de l'hépatite B en l'absence d'infection maternelle, et que les baisses passées de la maladie étaient principalement dues à l'amélioration du dépistage sanguin et des pratiques médicales plutôt qu'à la vaccination universelle des nourrissons.
Trois membres dissidents ont mis en garde contre les risques potentiels, mais la majorité a conclu qu'une recommandation générale n'était plus scientifiquement justifiée.
Les données du CDC VAERS montrent que depuis 1990, la vaccination massive des nourrissons et des enfants contre l'hépatite B a entraîné un nombre considérable de victimes :
1 494 décès signalés.
1 730 événements mettant des vies en danger.
1 759 personnes handicapées à vie.
6 454 hospitalisés.
82 980 événements indésirables.
- voir doc sur site -
Sous réserve de l'approbation du directeur du CDC, cela marque le premier recul majeur d'une recommandation de vaccination infantile depuis des décennies et une victoire importante pour la liberté médicale.
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Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
https://www.globalresearch.ca/acip-votes-8-3-eliminate-universal-hepatitis-b-vaccine/5908095
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4 - L'ARNm de Pfizer envahit les tissus fœtaux et les personnes non vaccinées, des lésions cardiaques silencieuses se répandent et la fraude au glyphosate de Monsanto s'effondre.
Par Nicolas Hulscher et Brannon Howse
Recherche mondiale,
7 décembre 2025
Hier, dans l'émission Brannon Howse Live , nous avons passé en revue quatre des révélations scientifiques les plus importantes du mois — chacune d'elles exposant un système qui a dissimulé des risques, manipulé des preuves ou détourné le regard pendant que des Américains étaient lésés.
L'étude la plus avancée à ce jour sur la biodistribution de l'ARNm humain
L’étude la plus inquiétante présentée à l’antenne — et l’un des articles les plus importants sur l’ARNm à ce jour — était la nouvelle étude sur la biodistribution humaine .
- voir doc sur site -
88 % des femmes enceintes vaccinées présentaient de l'ARNm de Pfizer dans leur placenta , prouvant ainsi une exposition fœtale directe.
Tous les hommes ayant des spermatozoïdes viables présentaient de l'ARNm Pfizer dans les cellules spermatiques et le liquide séminal .
50 % des participants vaccinés étaient encore porteurs d'ARNm Pfizer circulant plus de 200 jours après l'injection.
La moitié des femmes enceintes non vaccinées présentaient de l’ARNm Pfizer détecté dans leur sang et/ou leur placenta – la première preuve moléculaire directe de la transmission (excrétion) du vaccin à ARNm .
Cette étude réfute définitivement les trois principaux arguments avancés pour justifier la vaccination de masse :
« Cela reste dans le bras. » → Faux.
« Il se dégrade rapidement. » → Faux.
« La mue est une théorie du complot. » → Faux.
Comme indiqué lors de la diffusion : ce document à lui seul justifie le retrait immédiat du marché des produits à ARNm et des excuses formelles aux personnes contraintes de les prendre.
Premier article évalué par des pairs décrivant en détail les lésions cardiaques infracliniques induites par l'ARNm
Nous nous sommes ensuite tournés vers notre cadre clinique récemment publié pour la myopéricardite subclinique induite par le vaccin contre la COVID-19 — la forme silencieuse de lésion cardiaque qui se présente souvent sans symptômes avant-coureurs d'un collapsus ou d'une mort subite.
- voir doc sur site -
1 à 3 % par dose peuvent entraîner des lésions cardiaques infracliniques.
Les premiers symptômes sont subtils et souvent négligés : fatigue à l’effort, palpitations, instabilité du rythme cardiaque, diminution de la tolérance à l’effort.
L’arrêt cardiaque soudain peut être le premier signe clinique .
Nous avons créé la première feuille de route diagnostique et de prise en charge de ce syndrome afin de prévenir au mieux les arrêts cardiaques mortels — les directives que le CDC aurait dû créer, mais qu'il a refusé de créer.
Le document « Préjudices hybrides » : des années de vulnérabilité accrue
Nous avons également discuté de notre nouvelle analyse évaluée par des pairs dans les Archives de la recherche médicale , qui révèle comment la vaccination à ARNm et l'infection par le SARS-CoV-2 interagissent pour produire des lésions biologiques aggravées .
- voir doc sur site -
Les mécanismes comprennent
Production persistante de la protéine Spike hautement pathogène
Dérégulation immunitaire cumulative
Susceptibilité cardiovasculaire et neurologique
Bioaccumulation à long terme de pics dans le cerveau, le cœur, le système vasculaire et les cellules immunitaires
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Les gouvenements et les agences de santé publique ne se soucient pas de votre santé.
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Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
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5 -DERNIÈRE MINUTE : Rapport évalué par des pairs. 86 % des cas de « COVID » positifs au test PCR n’étaient pas de véritables infections.
Par Nicolas Hulscher et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
7 décembre 2025
Nous portons à l'attention de nos lecteurs l'analyse capitale du Dr Nicolas Hulscher concernant une étude évaluée par des pairs et menée en Allemagne, qui a « démantelé les fondements scientifiques utilisés pour justifier les confinements, la distanciation sociale et les obligations vaccinales ».
- voir doc sur site -
cliquez pour accéder à l'étude évaluée par les pairs
Déjà vu
Le « test » PCR ne permet pas de détecter l'identité du virus.
par Michel Chossudovsky
Ironiquement, cela était connu dès le début de la crise du Covid , début 2020.
Et voilà qu’une étude prétendument explosive, validée par des pairs, nous apprend quelque chose qui était connu, documenté et fermement établi dès le début de la crise du Covid en janvier 2020.
« La PCR est un processus. Elle ne vous indique pas que vous êtes malade. » – Dr Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« …La totalité ou une part importante de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des faux positifs. » – Dr Michael Yeadon , scientifique de renom, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Ce détournement de la technique RT-PCR est appliqué de manière systématique et délibérée par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives, telles que la violation de nombreux droits constitutionnels, […] sous prétexte d’une pandémie fondée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients. » – Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste de santé publique reconnu.
Dr Kary Mullis. Son héritage perdurera.
Le « test » PCR ne permet pas de détecter l’identité du virus, ni ses variants et sous-variants.
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Fausse science, données invalides : il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Il n’y a pas de pandémie.
La méthodologie privilégiée, conformément aux directives de l'OMS, pour détecter la propagation présumée du virus est le test RT-PCR (Reverse Transcription Polymerase Chain Reaction) , qui est appliqué de manière routinière dans le monde entier depuis février 2020.
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de faux cas confirmés de « COVID-19 », qui servent ensuite à entretenir l'illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des [cinq] dernières années pour lancer et maintenir la campagne de peur.
À l’échelle planétaire, on a fait croire aux gens que le « vaccin » contre la COVID-19 était la « solution ». Et que la « normalité » serait rétablie une fois que toute la population de la planète Terre aurait été vaccinée.
Le terme « confirmé » est impropre. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas un « cas confirmé de COVID-19 ».
« Un test RT-PCR positif n’est pas synonyme de COVID-19 ! Les spécialistes insistent sur le fait qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient et à son état de santé afin d’en confirmer la fiabilité. » (Dr Pascal Sacré)⁷
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales du monde entier consistait à catégoriser tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Paradoxalement, ce processus systématique d'identification des « cas confirmés » contrevenait aux propres recommandations des CDC.
« La détection d’ARN viral ne signifie pas nécessairement la présence d’un virus infectieux ni que le 2019-nCoV soit l’agent causal des symptômes cliniques. »
Les performances de ce test n'ont pas été établies pour le suivi du traitement de l'infection par le 2019-nCoV.
Ce test ne permet pas d’exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. (soulignement ajouté)
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Ce que confirme cette citation du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC), c'est que la méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation présumée du « nouveau » virus 2019-nCoV était erronée et invalide dès le départ.
faux positifs
Les premiers débats, au début de la crise, portaient sur la question des « faux positifs ». Reconnu par l'OMS et les CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd'hui, avec l'augmentation du nombre de tests effectués par les autorités, il est inévitable que le nombre de tests RT-PCR positifs augmente. Cela ne signifie pas pour autant que la COVID-19 fait son retour, ni que l'épidémie se propage par vagues. Il y a simplement plus de personnes testées. »
Le débat sur les faux positifs (reconnu par les autorités sanitaires) met en lumière ce que l'on appelle des erreurs, sans pour autant remettre nécessairement en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation supposée du virus SARS-CoV-2.
Le test PCR ne permet pas d'identifier le virus.
Le test RT-PCR ne détecte pas le virus. Il identifie des fragments génétiques de nombreux virus (dont les virus de la grippe A et B et les coronavirus responsables du rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui subit le test est infectée par le SARS-CoV-2.
La présence de matériel génétique viral suffit à qualifier un test de « positif ». Cette procédure n'identifie ni n'isole le SARS-CoV-2 . Les résultats ne détectent que des fragments du virus.
Extraits choisis, avec quelques corrections mineures, du chapitre III du livre de Michel Chossudovsky intitulé :
La crise mondiale du coronavirus, coup d'État mondial contre l'humanité.
Cliquez ici (docsend) et téléchargez .
Vous pouvez également accéder à la version en ligne du livre électronique en cliquant ici .
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Rapport évalué par des pairs.
86 % des cas de « COVID » positifs au test PCR n'étaient pas de véritables infections.
par le Dr Nicolas Hulscher
Point focal
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Une étude allemande, validée par des pairs et qui fait l'effet d'une bombe, vient de démanteler les fondements scientifiques utilisés pour justifier les confinements, la distanciation sociale et l'obligation vaccinale.
Les chercheurs ont analysé les données de l' Akkreditierte Labore in der Medizin (ALM) — un consortium national de laboratoires médicaux accrédités par les autorités qui ont effectué environ 90 % de tous les tests PCR SARS-CoV-2 en Allemagne entre 2020 et 2023 .
Lorsque les chercheurs ont comparé les taux de positivité hebdomadaires aux tests PCR de l'ALM avec les données des tests d'anticorps IgG des mêmes laboratoires — mesurant essentiellement qui a réellement développé une immunité induite par l'infection —, ils ont découvert quelque chose d'étonnant :
Seulement 14 % environ des personnes testées positives au test PCR au cours de la période initiale de la pandémie (2020-mi-2021) ont réellement développé des anticorps, ce qui signifie que la plupart des premiers « cas » n’étaient jamais de véritables infections.
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Même dans les hypothèses les plus conservatrices — en corrigeant une éventuelle surreprésentation des individus positifs à l'IgG dans l'échantillon — la véritable fraction d'infection est tombée à environ 10 %, ce qui implique que près de 90 % des résultats positifs à la PCR étaient des détections fausses ou non infectieuses, souvent juste des fragments d'ARN résiduels amplifiés à des seuils CT de 35 à 45.
Ce que cela signifie
Les tests PCR de masse ont largement gonflé le nombre de cas dans le monde entier. Tous les pays qui ont utilisé des seuils de CT similaires ont probablement surestimé le nombre d'« infections » d'un ordre de grandeur.
Les confinements et les mesures obligatoires reposaient sur un indicateur fallacieux. Le taux d'incidence sur 7 jours utilisé en Allemagne pour déclencher les restrictions était statistiquement dénué de sens, et la même logique a été appliquée aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs. En Amérique, toute la campagne « 15 jours pour ralentir la propagation » était fondée sur cette même supercherie des tests PCR gonflés à bloc.
Les autorités ont dissimulé des données sérologiques représentatives. L'Institut Robert Koch (RKI) et le ministère de la Santé allemands avaient accès à ces résultats concernant les anticorps anti-ALM, mais ne les ont jamais divulgués, malgré leur importance pour les politiques de santé publique.
Réécrire l'histoire de la pandémie. Si seulement 10 à 14 % des « cas » PCR déclarés durant la première année reflétaient de véritables infections, alors le taux de létalité, les modèles de transmission et les déclarations d'état d'urgence reposaient tous sur des bases fragiles. Fin 2020, soit des mois avant le début de la vaccination, environ un quart de la population allemande possédait déjà des anticorps naturels. Autrement dit, tandis que les autorités dénonçaient une crise hors de contrôle, l'immunité collective se mettait déjà en place. Fin 2021, la quasi-totalité de la population était séropositive pour les IgG. Les faits démontrent que la politique de gestion de la pandémie n'était pas guidée par la réalité des infections, mais par une illusion diagnostique.
La technologie PCR et les seuils de dépistage ont été standardisés dans tous les États membres de l'OMS.
Cela signifie que la même distorsion s'est probablement produite partout — une inflation systémique des diagnostics qui pourrait bien être la plus grande fraude de l'histoire de la santé publique.
Ces tactiques ont probablement été utilisées pour amplifier la peur afin d'accroître l'adhésion aux confinements et aux « vaccins » expérimentaux à base de gènes. Cela a été démontré par Gao et al ., qui ont constaté que la peur publique du COVID-19 (PFC) était positivement associée au nombre de vaccinations contre le COVID-19 au niveau des comtés : « lorsque la PFC augmente de 0 à 300, le nombre de vaccinations prévu passe de 10 000 à 230 000 ».
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Cela s'inscrit dans le cadre des tentatives frauduleuses visant à gonfler artificiellement le nombre de décès liés à la COVID-19. Basoulis et al. ont constaté que 45,3 % des « décès attribués à la COVID-19 » en Grèce n'étaient en réalité pas dus à la COVID-19.
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Au final, la majeure partie de la population a bien été exposée au virus artificiel et a développé des anticorps, mais les données PCR qui ont justifié les confinements mondiaux, la peur et l'obligation vaccinale étaient une pure supercherie. Il est temps que les responsables rendent des comptes.
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Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
https://www.globalresearch.ca/breaking-86-pcr-positive-covid-cases-not-real-infections/5905098
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6 - Le vaccin contre le coronavirus : le véritable danger réside dans « l’Agenda ID2020 ». La vaccination comme plateforme pour « l’identité numérique ».
Qu'est-ce que le fameux programme ID2020 ? Il s'agit d'une alliance de partenaires publics et privés, comprenant des agences des Nations Unies et des représentants de la société civile. C'est un programme d'identité électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l'identité numérique.
Par Peter Koenig
Recherche mondiale,
7 décembre 2025
Cet article de Peter Koenig , écrit avec clairvoyance le 12 mars 2020, au lendemain du confinement du 11 mars, a figuré parmi les articles les plus populaires de GR en 2020.
Cela révèle le véritable objectif de l'initiative de vaccination contre la Covid-19, qui est actuellement mise en œuvre.
Note de l'auteur et mise à jour
Le 29 janvier 2021, le Bundestag , le parlement allemand, a ratifié la mise en œuvre d' Agenda ID 2020. Il doit encore être approuvé par le Conseil fédéral allemand, le Bundesrat : il y a peu de chances qu'il soit rejeté.
En Suisse, le même projet de loi – Agenda ID2020 – portant sur l’identité électronique intégrale et reliant toutes les données de chaque individu, sera soumis au vote le 7 mars.
Et ce n'est pas tout ! Le gouvernement suisse veut externaliser la gestion d'Agenda ID 2020 au secteur privé ! Incroyable ! Et maintenant, c'est au tour du Parlement européen…
Imaginez une banque ou une compagnie d'assurance qui traite (et vend) vos données ! — Imaginez ce qui arriverait à nos données — impensable.
Mais vivant dans un pays d'élevage ovin, il est fort possible, voire probable, que la proposition du gouvernement suisse soit acceptée.
Alors, certains d'entre nous ne peuvent que rêver de fuir — mais où aller ?
Peter Koenig , 2 février 2021
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Il semble que plus on écrit sur les causes du coronavirus, plus les analyses sont occultées par une propagande alarmiste. Les questions de vérité, les arguments sur l'origine du virus, sa propagation et les moyens de le combattre se perdent dans le brouhaha du chaos ambiant. Mais n'est-ce pas précisément ce que recherchent les puissantes élites financières à l'origine de cette pandémie orchestrée : le chaos, la panique, le désespoir, afin de rendre les populations vulnérables et faciles à manipuler ?
Aujourd'hui [11 mars 2020], l'OMS a déclaré que le coronavirus COVID-19 était une « pandémie » , alors qu'il n'y a pas le moindre signe de pandémie. Une pandémie peut être déclarée lorsque le taux de mortalité dépasse 12 %. En Europe, ce taux est d'environ 0,4 %, voire moins. L'Italie constitue un cas particulier, avec un pic de mortalité à 6 % (voir analyse ci-dessous).
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En Chine, où le taux de mortalité avait culminé il y a quelques semaines à environ 3 %, il est retombé à 0,7 % – et diminue rapidement, tandis que le pays maîtrise totalement l'épidémie – grâce notamment à un médicament peu connu, mis au point il y a 39 ans par Cuba, appelé « Interféron Alpha 2B (IFNrec) », très efficace contre les virus et autres maladies, mais inconnu et inutilisé dans le monde entier, car les États-Unis, sous l'embargo illégal imposé à Cuba, interdisent sa commercialisation internationale.
L'OMS a très probablement reçu des ordres « d'en haut », de la part de ceux qui gèrent également Trump et les « dirigeants » (sic) de l'Union européenne et de ses pays membres, ceux qui visent à contrôler le monde par la force – le Nouvel Ordre Mondial.
Ce projet était en préparation depuis des années. La décision finale de le mettre en œuvre dès maintenant a été prise en janvier 2020 au Forum économique mondial (FEM) de Davos, à huis clos, bien entendu. Les familles Gates, GAVI (une association de laboratoires pharmaceutiques promouvant la vaccination), Rockefeller, Rothschild et d'autres encore soutiennent cette décision – la mise en œuvre de l' Agenda ID2020 – voir ci-dessous.
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Une fois la pandémie officiellement déclarée, l'étape suivante pourrait être – toujours sur recommandation de l'OMS ou des États – la vaccination forcée, sous surveillance policière et/ou militaire. Les personnes refusant de se faire vacciner s'exposeraient à des sanctions (amendes et/ou emprisonnement) et seraient néanmoins soumises à la vaccination forcée.
Si la vaccination forcée devait avoir lieu, ce serait une nouvelle aubaine pour l'industrie pharmaceutique. On ignore la composition exacte du vaccin : un agent pathogène à action lente, qui ne se déclare que dans quelques années ; une maladie qui ne touche que la génération suivante ; un agent neurotoxique ; ou un gène rendant les femmes stériles… Tout est possible, toujours dans le but de contrôler et de réduire la population. Dans quelques années, on ignore évidemment d'où provient la maladie. Voilà le niveau technologique atteint par nos laboratoires de guerre biologique (États-Unis, Royaume-Uni, Israël, Canada, Australie…).
Une autre hypothèse, pour l'instant une simple hypothèse, mais plausible, est qu'en même temps que la vaccination – si ce n'est avec celle-ci, peut-être avec une ultérieure – une nano-puce pourrait être injectée à l'insu de la personne vaccinée. Cette puce pourrait être chargée à distance avec toutes vos données personnelles, y compris vos comptes bancaires – de l'argent numérique. Oui, de l'argent numérique, c'est bien ce qu'« ils » visent. Vous n'auriez alors plus aucun contrôle sur votre santé et vos données intimes, ni sur vos revenus et vos dépenses. Votre argent pourrait être bloqué ou confisqué – en guise de « sanction » pour une mauvaise conduite, pour avoir osé aller à contre-courant. Vous pourriez devenir un simple esclave. En comparaison, le féodalisme semblerait presque idyllique.
Ce n'est pas sans raison que le Dr Tedros, directeur général de l'OMS, a déclaré il y a quelques jours que nous devons nous tourner vers la monnaie numérique, car les billets et les pièces de monnaie peuvent propager des maladies, notamment des maladies endémiques comme le coronavirus. Un signe avant-coureur ? Ou peut-être une conséquence de ce qui est déjà là ? Dans de nombreux pays scandinaves, l'argent liquide est largement proscrit et même une tablette de chocolat ne peut être payée que par voie électronique.
Nous nous dirigeons vers un monde totalitaire. Cela fait partie de l'Agenda ID2020 – et ces mesures doivent être mises en œuvre dès maintenant – préparé de longue date, notamment par la simulation informatique du coronavirus à l'université Johns Hopkins de Baltimore le 18 octobre 2019, sous l'égide du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates.
Bill Gates, l'un des principaux défenseurs de la vaccination universelle, notamment en Afrique, est aussi un fervent partisan de la réduction de la population. Cette réduction démographique figure parmi les objectifs de l'élite au sein du Forum économique mondial, des familles Rockefeller, Rothschild, Morgen et d'autres encore. Le but : permettre à un nombre réduit d'individus (une petite élite) de vivre plus longtemps et en meilleure santé grâce aux ressources limitées que la Terre nous offre généreusement.
Cette rhétorique avait déjà été ouvertement propagée dans les années 1960 et 1970 par Henry Kissinger, ministre des Affaires étrangères sous l'administration de Nixon, co-artisan de la guerre du Vietnam et principal responsable des bombardements semi-clandestins du Cambodge, un génocide qui a coûté la vie à des millions de civils cambodgiens non armés. Avec le coup d'État orchestré par la CIA et Kissinger le 11 septembre 1973 au Chili, qui a coûté la vie au président démocratiquement élu Salvador Allende et porté au pouvoir le dictateur militaire Pinochet, Kissinger s'est rendu coupable de crimes de guerre. Aujourd'hui, il est en quelque sorte le porte-parole de Rockefeller et de son groupe, le « Bilderberg ».
Deux semaines après la simulation informatique du centre médical Johns Hopkins de Baltimore, dans le Maryland, qui a « produit » (ou simulé) 65 millions de morts (!), le virus COVID-19 est apparu pour la première fois à Wuhan. Il est désormais presque certain que le virus a été introduit à Wuhan depuis l'extérieur, très probablement depuis un laboratoire de guerre biologique aux États-Unis. Voir aussi ceci et cela .
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Qu'est-ce que le tristement célèbre programme ID2020 ? Il s'agit d'une alliance de partenaires publics et privés, incluant des agences des Nations Unies et la société civile. Ce programme d'identité électronique utilise la vaccination généralisée comme plateforme d'identité numérique. Il s'appuie sur les systèmes existants d'enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et permanente, liée à la biométrie. GAVI, l' Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination , se présente sur son site web comme un partenariat mondial de santé regroupant des organisations des secteurs public et privé, œuvrant pour « la vaccination pour tous ». GAVI est soutenue par l'OMS et, bien entendu, ses principaux partenaires et financeurs sont issus de l'industrie pharmaceutique.
L’Alliance ID2020, lors de son sommet de 2019 intitulé « Relever le défi d’une identité numérique de qualité », qui s’est tenu à New York en septembre 2019, a décidé de lancer son programme en 2020, une décision confirmée par le Forum économique mondial (WEF) à Davos en janvier 2020. Son programme d’identité numérique sera testé avec le gouvernement du Bangladesh. GAVI, l’Alliance du Vaccin, et des « partenaires issus du monde universitaire et de l’aide humanitaire » (selon leur appellation) font partie des pionniers de ce projet.
Est-ce une simple coïncidence si le programme ID2020 est lancé au début de ce que l'OMS qualifie de pandémie ? – Ou bien une pandémie est-elle nécessaire pour « déployer » les multiples programmes dévastateurs d'ID2020 ?
Voici ce qu'a déclaré Anir Chowdhury, conseiller politique du programme du gouvernement du Bangladesh :
« Nous mettons en œuvre une approche novatrice de l’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs informations personnelles, tout en nous appuyant sur les systèmes et programmes existants. Le gouvernement du Bangladesh reconnaît que la conception des systèmes d’identité numérique a des répercussions considérables sur l’accès des individus aux services et à leurs moyens de subsistance, et nous sommes impatients d’être les pionniers de cette approche. »
Waouh ! Monsieur Anir Chowdhury sait-il dans quoi il s'embarque ?
Revenons à la pandémie et à la panique. Genève, siège européen des Nations Unies, et notamment de l'OMS, est quasiment paralysée. Un confinement similaire à celui instauré à Venise, qui s'est ensuite étendu au nord de l'Italie jusqu'à il y a quelques jours, et qui concerne désormais toute l'Italie. La France et d'autres États européens vassaux de l'empire anglo-sioniste pourraient bientôt adopter des mesures similaires.
De nombreuses notes de service alarmistes, émanant de différentes agences des Nations Unies à Genève, circulent. Leur message principal est clair : annuler tous les déplacements professionnels, tous les événements à Genève, les visites du Palais des Nations, de la cathédrale de Genève, ainsi que d’autres monuments et musées. Suite aux dernières directives, plusieurs agences demandent à leur personnel de télétravailler afin d’éviter tout risque de contamination dans les transports en commun.
Cette ambiance de panique et de peur étouffe toute notion de réalité, quand la vérité n'a plus d'importance. On ne peut même plus réfléchir aux causes et aux enjeux. Plus personne ne vous croit quand vous évoquez l'événement 201, la simulation de coronavirus, les Jeux militaires de Wuhan, la fermeture, le 7 août dernier, du laboratoire de guerre biologique de haute sécurité de Fort Detrick, dans le Maryland… Ce qui aurait pu autrefois être une révélation pour beaucoup est aujourd'hui considéré comme une pure théorie du complot. Le pouvoir de la propagande. Un pouvoir déstabilisateur qui déstabilise les pays et les populations, détruit les économies, et plonge dans la précarité ceux qui risquent de perdre leur emploi, généralement les plus vulnérables.
Il est par ailleurs crucial, à l'heure actuelle, de rappeler que l'épidémie en Chine ciblait le génome chinois. Le virus a-t-il ensuite muté pour s'étendre au-delà des frontières de l'ADN chinois ? Si oui, quand cela s'est-il produit ? Car dès le départ, il était clair que même les personnes infectées dans d'autres régions du monde étaient à 99,9 % d'origine chinoise.
Ce qui s'est passé ensuite, lorsque le virus s'est propagé à l'Italie et à l'Iran, est une autre question, et ouvre la voie à de nombreuses spéculations.
(i) Différentes souches du virus ont circulé en séquence – afin de déstabiliser les pays du monde entier et de semer la confusion parmi la population et les médias, afin que personne, en particulier parmi les médias traditionnels, ne puisse conclure que la première souche visait la Chine dans le cadre d’une guerre biologique.
(ii) En Iran, je soupçonne fortement que le virus était une forme améliorée du MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient, d'origine humaine, apparu pour la première fois en Arabie saoudite en 2012 et ciblant le génome arabe) – qui aurait été introduite d'une manière ou d'une autre dans les cercles gouvernementaux (par pulvérisation d'aérosol ?) – dans le but de provoquer un « changement de régime » par le biais des décès causés par la COVID-19. C'est le vœu pieux de Washington depuis au moins 30 ans.
(iii) En Italie – pourquoi l’Italie ? – Peut-être parce que Washington/Bruxelles voulait frapper durement l’Italie pour avoir été officiellement le premier pays à signer un accord de la Ceinture et de la Route (BRI) avec la Chine (en réalité, le premier était la Grèce, mais personne n’est censé savoir que la Chine est venue au secours de la Grèce, détruite par les frères de la Grèce, les membres de l’UE, principalement l’Allemagne et la France).
(iv) L’exagération concernant le taux de mortalité élevé en Italie, au moment de la rédaction de ce document : 10 149 infections contre 631 décès, soit un taux de mortalité de 6,2 (à titre de comparaison, en Iran : 8 042 infections contre 291 décès, soit un taux de mortalité de 3,6). Le taux de mortalité en Italie est presque le double de celui de l’Iran et près de dix fois supérieur à la moyenne européenne. (Ces écarts sont-ils dus à des difficultés à établir des données fiables concernant les « infections » ? Voir nos observations concernant l’Italie ci-dessous).
Pourquoi ? – L’Italie était-elle touchée par la panique liée au virus ? Une souche beaucoup plus virulente a-t-elle été introduite en Italie ?
La grippe saisonnière en Europe, durant la saison 2019/2020, aurait jusqu'à présent fait environ 16 000 morts (aux États-Unis, le nombre de décès se situe, selon le CDC, entre 14 000 et 32 000, selon le site web du CDC consulté).
Se pourrait-il que parmi les décès dus au coronavirus en Italie se trouvent également des victimes de la grippe saisonnière, étant donné que les personnes touchées sont majoritairement âgées et présentent des problèmes respiratoires ? De plus, les symptômes du coronavirus et de la grippe saisonnière sont très similaires, et pourtant personne ne remet en question la version officielle des autorités ?
Il se pourrait que toutes les souches de coronavirus ne proviennent pas du même laboratoire. Une journaliste berlinoise d'origine ukrainienne m'a confié ce matin que l'Ukraine abrite environ cinq laboratoires de guerre biologique américains de haute sécurité. Ces laboratoires testent régulièrement de nouveaux virus sur la population. Pourtant, lorsque d'étranges maladies se déclarent aux alentours de ces laboratoires, personne n'est autorisé à en parler. Une situation similaire, selon elle, se produit en Géorgie, où se trouvent encore plus de laboratoires de guerre biologique du Pentagone et de la CIA, et où apparaissent également des maladies nouvelles et étranges.
Tout cela rend le tableau d'ensemble encore plus complexe. Ce qui prime, c'est que cette surenchère médiatique est motivée par le profit, la quête de gains immédiats, d'avantages instantanés tirés de la souffrance du peuple. Cette panique est largement disproportionnée. Ce que ces caïds du crime organisé, qui prétendent diriger le monde civilisé, ont peut-être mal évalué, c'est que dans le monde globalisé et fortement externalisé d'aujourd'hui, l'Occident dépend massivement de la chaîne d'approvisionnement chinoise, pour les biens de consommation, les produits intermédiaires et , surtout, les médicaments et le matériel médical. Au moins 80 % des médicaments ou de leurs ingrédients, ainsi que du matériel médical, proviennent de Chine. La dépendance de l'Occident à la Chine pour les antibiotiques est encore plus élevée, atteignant environ 90 %. Les conséquences potentielles sur la santé sont dévastatrices.
Au plus fort de l'épidémie de COVID-19, l'appareil de production chinois, tous secteurs confondus, a été quasiment paralysé. Les navires marchands, pour les livraisons encore assurées, étaient régulièrement et systématiquement refoulés de nombreux ports à travers le monde. Ainsi, l'Occident s'est piégé dans une situation de pénurie généralisée en menant de facto une « guerre économique » contre la Chine. Combien de temps cela va-t-il durer ? Nul ne le sait, mais l'économie chinoise, qui avait chuté de près de moitié, a rapidement retrouvé plus de 80 % de son niveau d'avant la crise sanitaire. Combien de temps faudra-t-il pour rattraper le retard accumulé ?
Que cache tout cela ? – Une répression totale, accompagnée d’une panique artificiellement provoquée, au point que la population crie « Au secours ! Vaccinez-nous ! Déployez la police et l’armée pour notre sécurité ! » – ou, même si le désespoir public n’atteint pas ce stade, il serait facile pour les autorités européennes et américaines d’imposer un siège militaire au nom de la « protection sanitaire de la population ». De fait, le CDC (Centre de contrôle et de prévention des maladies d’Atlanta) a déjà élaboré des directives autoritaires et sévères en cas d’« urgence sanitaire ».
Outre la vaccination forcée, qui sait ce que contiendrait ce cocktail de « mini-maladies » injecté, et quels en seraient les effets à long terme ? Un peu comme avec les OGM, où toutes sortes de germes pourraient être introduits à notre insu ?
Nous sommes peut-être en effet au tout début de la mise en œuvre d'ID2020 – qui comprend la vaccination forcée, la réduction de la population et le contrôle numérique total de tous – sur la voie d'un Ordre Mondial Unique – et d'une hégémonie financière mondiale – une Domination Totale, comme aime à l'appeler le PNAC (Plan pour un Nouveau Siècle Américain).
Une aubaine pour la Chine. La Chine a été délibérément ciblée pour une « destruction économique » en raison de son économie en plein essor, une économie qui dépassera bientôt celle de l'actuelle puissance hégémonique, les États-Unis, et en raison de la force de sa monnaie, le yuan, qui pourrait également supplanter le dollar comme principale monnaie de réserve mondiale.
Ces deux événements signifieraient la fin de la domination américaine sur le monde. La COVID-19, qui touche désormais plus de 80 pays, a provoqué un effondrement des marchés boursiers, avec une baisse d'au moins 20 % ces dernières semaines – et la tendance se poursuit. Les craintes liées au virus, à savoir un ralentissement économique, voire une récession, ont fait chuter les prix de l'essence de près de moitié en deux semaines. Cependant, sans intervention de la banque centrale chinoise, la valeur du yuan par rapport au dollar est restée relativement stable, autour de 7 yuans pour un dollar. Cela signifie que l'économie chinoise, malgré la COVID-19, bénéficie toujours d'une grande confiance à travers le monde.
Conseil à la Chine : achetez un maximum d’actions d’entreprises américaines et européennes à leurs prix plancher actuels, sur des marchés boursiers qui se sont effondrés d’un cinquième, voire plus. Investissez également massivement dans les contrats à terme sur le pétrole. Lorsque les cours se redresseront, vous aurez non seulement engrangé des milliards, voire des milliers de milliards de dollars grâce à l’Occident, mais vous détiendrez aussi des participations importantes et influentes dans la plupart des plus grandes entreprises américaines et européennes, et vous serez en mesure d’orienter leurs projets futurs.
Il existe cependant une lueur d'espoir à l'horizon, malgré les nuages sombres. Il pourrait s'agir d'un éveil miraculeux des consciences, d'une prise de conscience collective capable de mettre un terme à tout cela. Bien que nous soyons encore loin d'un tel miracle, il subsiste en chacun de nous, au plus profond de nous-mêmes, une étincelle de conscience. Nous avons la capacité spirituelle d'abandonner la voie désastreuse du capitalisme néolibéral occidental et d'embrasser la solidarité, la compassion et l'amour les uns pour les autres et pour notre société. C'est peut-être le seul moyen de briser l'impasse et de mettre fin au chaos engendré par l'avidité égocentrique de l'Occident.
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Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Spécialiste des ressources en eau et de l'environnement, il a travaillé pendant plus de 30 ans pour la Banque mondiale et l'Organisation mondiale de la santé à travers le monde, notamment en Palestine, dans les domaines de l'environnement et de l'eau. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il contribue régulièrement à Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greenville Post, Defend Democracy Press, TeleSUR, The Saker Blog, New Eastern Outlook (NEO) et d'autres sites internet. Il est l'auteur d' « Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises », une fiction inspirée de faits réels et de 30 ans d'expérience à la Banque mondiale. Il est également co-auteur de « L'Ordre mondial et la révolution ! – Essais de la résistance » . Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.
La source originale de cet article est Global Research.
https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153
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7 - Les vaccins contre la COVID accélèrent-ils les épidémies mortelles de cancers ? Cancers turbo.
Analyse du professeur Angus Dalgleish
Par Richard Gale et le Dr Gary Null
Recherche mondiale,
7 décembre 2025
Depuis plus de 70 ans, le public américain est appelé chaque année à se joindre à la lutte contre le cancer.
Nous sommes encouragés à faire des dons, avec l'assurance que des progrès sont réalisés et que des traitements novateurs et révolutionnaires sont imminents.
Malgré des décennies d'investissements financiers et institutionnels, l'évolution récente de la situation a jeté une ombre sur ce constat. Depuis le début de la pandémie de COVID-19, plusieurs des centres de cancérologie les plus réputés du pays – dont le Memorial Sloan Kettering, le Dana-Farber, le MD Anderson et la Mayo Clinic – ont signalé une augmentation alarmante des cas de cancer.
Si certains attribuent cette augmentation aux perturbations du système de santé liées à la pandémie, notamment les retards dans les dépistages et la saturation des hôpitaux, des tendances émergentes suggèrent que ces facteurs, à eux seuls, n'expliquent ni l'ampleur ni la nature de cette hausse. Une hypothèse plus inquiétante, qui gagne du terrain, concerne les effets biologiques potentiels du virus SARS-CoV-2 lui-même et, de façon plus controversée, les vaccins expérimentaux à ARNm déployés à l'échelle mondiale par Pfizer et Moderna.
Parmi les observations les plus inquiétantes des oncologues figure la montée en puissance de ce que l'on appelle officieusement les « turbocancers ».
Ces tumeurs malignes agressives et à évolution rapide apparaissent chez des individus sans antécédents de la maladie.
Souvent, ces patients étaient en rémission complète. De plus, ces cancers touchent des populations plus jeunes, autrefois considérées comme à très faible risque. Ces cancers, tels que les cancers colorectaux et pancréatiques chez les adolescents et les jeunes adultes, présentent une croissance accélérée inédite en oncologie clinique. Plus troublants encore sont les cas de récidives survenant quelques semaines seulement après l'administration des injections de rappel d'ARNm. Des oncologues de renom, comme le professeur Angus Dalgleish et le Dr Patrick Soon-Shiong, tirent la sonnette d'alarme quant à un lien possible entre l'immunosuppression induite par ces vaccins et la prolifération soudaine de cancers à un stade avancé. Si ces tendances sont effectivement liées à la nouvelle technologie de l'ARNm, comme le soutiennent ces experts, les implications sont alarmantes. Cela soulève des questions scientifiques, éthiques et juridiques urgentes qui exigent un examen approfondi et une enquête indépendante.
Ce n'est qu'au cours des deux ou trois dernières années que le terme « cancer turbo » a émergé dans les observations cliniques et les analyses médicales critiques pour décrire une tendance profondément inquiétante. Depuis le début de la pandémie de Covid-19, on observe une augmentation du nombre de cas de cancers à apparition rapide et agressive chez des personnes auparavant en bonne santé, en rémission ou sans antécédent de cancer. Bien que le cancer turbo ne soit pas une classification médicale formellement reconnue, comme la CIM-10 ou les classifications oncologiques de l'Organisation mondiale de la Santé, ce terme est de plus en plus utilisé pour caractériser un profil clinique particulier de cancers observés depuis le début de la pandémie et le déploiement à grande échelle des vaccins à ARNm. Les cancers turbo sont décrits comme des tumeurs malignes qui se manifestent et métastasent en quelques jours, semaines ou mois après leur première détection. Ces cancers se développent beaucoup plus rapidement que les tumeurs classiques. Non seulement ils présentent une gravité inattendue, mais ils semblent également mal répondre aux traitements.
Un autre facteur qui semble les distinguer est leur profil démographique. Des individus par ailleurs en bonne santé, souvent beaucoup plus jeunes que prévu, sans facteurs de risque significatifs, présentent des signes de cette maladie rapidement mortelle peu après un événement déclencheur du système immunitaire tel qu'une infection par le SARS-CoV-2 ou une vaccination contre la COVID-19 par un vaccin à ARNm.
Bien qu'il n'existe aucun consensus au sein de la communauté médicale sur ce phénomène, et qu'aucun marqueur histologique ou signature biomoléculaire spécifique ne permette de définir un cancer turbo, cette absence de classification ne doit pas être interprétée comme une preuve de son inexistence ni comme une simple théorie du complot. L'histoire de la médecine est jalonnée d'observations initialement anecdotiques, validées ultérieurement par des études scientifiques rigoureuses. Le rôle d'Helicobacter pylori dans les ulcères en est un exemple. Au grand dam des oncologues et des médecins, les cas de cancer turbo apparaissent souvent peu après l'activation du système immunitaire, ce qui suggère un mécanisme immunologique ou inflammatoire probable. Parmi les hypothèses avancées figurent une surveillance altérée des lymphocytes T et/ou NK, des signaux cytokiniques persistants et une oncogenèse induite par le stress. L'intégrité scientifique exige désormais que ces tendances cancéreuses soient étudiées, qu'elles remettent ou non en cause les discours pro-vaccins contre la Covid-19 et les intérêts pharmaceutiques. Cette nouvelle vague de cancers très agressifs, observée après 2020, requiert de toute urgence des recherches longitudinales indépendantes et menées avec objectivité.
Le professeur Angus Dalgleish, oncologue de renommée internationale et professeur émérite à la faculté de médecine de l'hôpital St George's (Université de Londres), a lancé l'une des mises en garde les plus fermes et les plus claires à ce jour concernant les dangers des vaccins à ARNm contre la COVID-19. Reconnu pour sa codécouverte novatrice du rôle du récepteur CD4 dans l'infection par le VIH et pour avoir publié plus de 500 études évaluées par des pairs, le Dr Dalgleish fonde sa critique sur des décennies de recherche en virologie, en immunologie et en cancérologie. Selon lui, l'utilisation de la technologie des vaccins à ARNm chez les personnes en bonne santé est « incroyablement dangereuse » et « n'aurait jamais dû être envisagée », en particulier pour un virus qui menace principalement les personnes déjà à risque. Son évaluation dépasse le cadre de simples spéculations théoriques ; elle s'appuie sur des données cliniques, des analyses immunologiques et des cas de patients. Dalgleish affirme à plusieurs reprises que les vaccins à ARNm non seulement n'offrent pas une immunité efficace, mais suppriment activement des composants clés de la réponse immunitaire, notamment le système des lymphocytes T après les doses de rappel.
Lors de notre récent entretien avec le Dr Dalgleish, il a expliqué que dans ses recherches en laboratoire, publiées dans Frontiers in Immunology , il a été démontré que les doses de rappel pouvaient complètement bloquer la réponse des lymphocytes T, rendant ainsi les patients immunologiquement vulnérables.(1) Il met en garde contre l'amplification dépendante des anticorps : le phénomène d'anticorps induits par le vaccin se fixant aux variants viraux sans les neutraliser.
Mais le plus inquiétant est la recrudescence de cancers très agressifs et à progression rapide, qu'il appelle familièrement « cancers turbo », qui surviennent chez ses patients suivis à long terme après avoir reçu des injections de rappel d'ARNm. Il raconte le cas de patients atteints de mélanome, stables depuis des années, qui ont soudainement rechuté avec une maladie métastatique quelques semaines après la vaccination. Plutôt que de considérer ces cas comme une simple coïncidence, Dalgleish a cherché le point commun : tous ses patients avaient reçu des injections de rappel d'ARNm peu avant la rechute. « J'ai été le premier à remarquer que mes patients, contraints de recevoir ces injections de rappel de virus à ARN messager… commençaient à rechuter », a-t-il déclaré. Ce phénomène n'est pas isolé. De nombreux autres oncologues et cliniciens signalent désormais des cas similaires de rechutes agressives et de nouveaux cancers chez des patients vaccinés.
Dans plusieurs cas détaillés, le professeur Dalgleish a décrit comment deux de ses amis, en bonne santé et indemnes de cancer, ont développé des cancers métastatiques fulgurants quelques semaines après avoir reçu une injection de rappel d'ARNm. Les deux hommes ont présenté des symptômes inhabituels, d'abord confondus avec un syndrome COVID long, mais qui ont rapidement évolué vers de graves métastases osseuses. L'un des patients a reçu un diagnostic de récidive agressive de mélanome, tandis que l'autre souffrait d'un myélome multiple à progression rapide. Un troisième cas a développé un lymphome généralisé peu après une vaccination de rappel. Le professeur Dalgleish a souligné que ces évolutions cancéreuses étaient atypiques.
« En 40 ans de pratique en oncologie, j'ai probablement vu deux cancers à progression fulgurante. Maintenant, on en voit beaucoup. »
D'après lui, ces cancers ne répondent pas aux thérapies conventionnelles, y compris à l'immunothérapie qui, en temps normal, affiche un taux de réponse de 80 % dans le mélanome. Dans un cas, aucune réponse n'a été observée, ce qui souligne encore davantage le caractère anormal de la progression de ces cancers turbo.
Les rapports et analyses cliniques récents corroborent l'expérience du Dr Dalgleish. Par exemple, une inquiétude justifiée se fait désormais jour quant à une possible association entre les vaccins à ARNm et l'apparition ou la réactivation d'hémopathies malignes, notamment les lymphomes et les leucémies. Plusieurs études décrivent des patients ayant développé des lymphomes B agressifs peu après avoir reçu un vaccin à ARNm (2, 3). Une revue systématique menée en 2024 a identifié de nombreux cas de récidive de lymphome cutané suite à la vaccination. Les auteurs de l'Université de médecine de Gdańsk, en Pologne, suggèrent que la stimulation immunitaire induite par le vaccin pourrait réactiver des cellules néoplasiques dormantes chez les personnes prédisposées (4). Pour expliquer l'augmentation soudaine des cancers après la vaccination contre la Covid-19, les Drs… Angues et Bustos, de l’École de médecine de l’Université de la santé et des sciences de l’Oregon, ont proposé l’« hypothèse des coups multiples », selon laquelle l’activation immunitaire répétée via les vaccins à ARNm pourrait induire un stress oncogène chez les individus génétiquement vulnérables.(5) Bien que beaucoup plus de choses restent à faire pour mieux comprendre les caractéristiques oncogènes des vaccins à ARNm, ces observations initiales soulignent néanmoins le besoin urgent d’études épidémiologiques rigoureuses et d’une surveillance à long terme des populations vaccinées.
Les avertissements de Dalgleish ne se limitent pas aux cas individuels, mais portent sur des défaillances systémiques. Il a dénoncé le silence des autorités sanitaires nationales, notamment les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), les Instituts nationaux de la santé (NIH) et la Société américaine du cancer. « Pas un mot », a-t-il déclaré, faisant référence à l'absence de reconnaissance institutionnelle malgré l'accumulation de témoignages. Il a qualifié la réponse des autorités de santé publique de « vaste opération de dissimulation », où les causes de décès sont systématiquement mal identifiées et exagérées afin d'alimenter de faux récits de pandémie. Selon Dalgleish, le risque posé par les vaccins à ARNm provient non seulement de leurs effets immunosuppresseurs à long terme, mais aussi de leur conception même. L'ARN synthétique stabilisé, contenant des contaminants tels que des capsides d'ADN et des séquences promotrices du SV40, présente des risques oncogènes importants.
« Ce n’est pas de l’ARN ordinaire », a-t-il averti. « Il est en cours de stabilisation… Il ne faut même pas envisager de l’utiliser pour un autre être humain. »
Le docteur Dalgleish conclut par un jugement moral sévère :
« Je pense sincèrement que toutes ces personnes que j'ai mentionnées devraient être en prison… Il ne s'agit pas seulement de crimes contre des individus ou même une famille. Il s'agit de crimes contre l'humanité. »
Sa position, fondée sur des décennies d'expérience scientifique et clinique, est claire : les vaccins à ARNm présentent un danger oncogène réel et immédiat, et leur utilisation continue, en particulier chez les populations saines et à faible risque, doit être immédiatement stoppée.
Entre 2022 et 2024, une hausse marquée et préoccupante de l'incidence du cancer a été documentée dans de nombreuses études évaluées par des pairs. De plus en plus d'éléments suggèrent que cette tendance pourrait être liée à l'exposition spécifique au virus SARS-CoV-2 et à l'administration généralisée des vaccins à ARNm produits par Pfizer-BioNTech et Moderna. Ces augmentations sont non seulement importantes par leur ampleur, mais aussi alarmantes quant aux populations touchées. Les cancers sont de plus en plus diagnostiqués chez les jeunes adultes. Cette tendance s'écarte nettement des données historiques. Les données du Royaume-Uni, par exemple, ont révélé une augmentation de 6,7 % des diagnostics de cancer du sein en 2022, en particulier chez les femmes de moins de 50 ans (6). Au Canada, les diagnostics de cancer du sein ont augmenté de 13 % et ceux de cancer colorectal de 8 % en 2022. Les jeunes adultes âgés de 20 à 39 ans ont largement dépassé les niveaux pré-pandémiques (7). Les données du registre SEER et du CDC américains font également état d'une augmentation accélérée de l'incidence du cancer depuis 2021, en particulier chez les personnes âgées de 20 à 39 ans, avec des taux globaux en hausse de 1,15 % par an depuis 2005, mais une augmentation plus spectaculaire après 2020 (8). De même, une vaste analyse de registre nordique a identifié une augmentation significative des cancers de stade avancé III-IV en 2021-2022 suite aux retards de diagnostic en 2020. Les cancers du sein, du poumon et colorectal ont fortement dépassé les niveaux pré-pandémiques.(9) Enfin, une étude de cohorte polonaise portant sur 3,5 millions de personnes a signalé une augmentation similaire des cancers du sein, de la tête et du cou et colorectal à un stade avancé à la fin de 2022.(10)
Il est important de noter que ces rebonds alarmants ne se limitent pas aux populations à haut risque ou âgées, mais touchent de manière disproportionnée les cohortes plus jeunes, traditionnellement moins exposées au risque de cancer. Aux États-Unis, les hommes de 30 à 50 ans connaissent les plus fortes augmentations de cancers de la tête et du cou (11). De plus, une étude analysant Google Trends a identifié une forte hausse des recherches publiques sur Internet concernant les symptômes du cancer à partir de 2022. Cela reflète très probablement une augmentation réelle de la fréquence des symptômes ou une apparition rapide et inexpliquée de la maladie (12). Cette tendance est surtout observée dans les pays où la vaccination est largement répandue et où l'accès aux soins de santé est par ailleurs performant. Si les explications du corps médical et des agences gouvernementales de santé publique se concentrent sur les perturbations du dépistage et les retards de diagnostic, la hausse continue des cas de cancer – malgré la fin officielle de la pandémie – suggère l'implication de facteurs biologiques bien plus insidieux. Les seules expositions nouvelles et omniprésentes à l'échelle mondiale durant cette période ont été les infections virales au SARS-CoV-2 et le déploiement sans précédent de plateformes de vaccins à ARNm, qui fonctionnent grâce à l'administration systémique de nanoparticules lipidiques et de constructions d'ARN synthétiques capables de modifier les réponses immunitaires de l'hôte pendant des durées inconnues.
Il est désormais impératif d'envisager sérieusement la possibilité que l'un ou l'autre de ces agents, voire les deux, contribuent à l'évolution anormale du cancer et à la dysrégulation immunitaire. Malheureusement, les autorités sanitaires, tant nationales qu'internationales, ne reconnaissent pas systématiquement ces signaux d'alarme et n'y donnent pas suite avec l'urgence requise. Le CDC et la FDA se sont principalement concentrés sur la sécurité des vaccins à court terme, négligeant la surveillance à long terme. Ils omettent délibérément d'initier des enquêtes indépendantes et impartiales sur les liens potentiels entre les vaccins à ARNm et la pathogenèse du cancer. L'administration continue de doses de rappel de vaccins à ARNm contre la COVID-19 aggrave encore ces inquiétudes, alors que les taux de cancer continuent d'augmenter. Dans ce contexte, il est impératif de lancer immédiatement des initiatives de recherche exhaustives, transparentes et indépendantes des entreprises afin d'évaluer le rôle causal de l'infection par le SARS-CoV-2 et de l'exposition aux vaccins à ARNm dans l'épidémie de cancer actuelle. Ces preuves ne peuvent plus être considérées comme de simples coïncidences ou attribuées uniquement aux retards du système de santé.
Le Dr Patrick Soon-Shiong est un chercheur renommé en cancérologie, ancien professeur à la faculté de médecine de l'UCLA, innovateur en biotechnologie et pionnier de la transplantation de pancréas et de cellules souches. Dans une récente interview, il a exprimé sa profonde inquiétude face à l'augmentation sans précédent des cancers agressifs chez les jeunes, un phénomène qu'il a pu observer directement dans sa pratique clinique (13). Le Dr Soon-Shiong rapporte avoir été témoin d'un cancer du pancréas métastatique chez un garçon de 13 ans ; un cas qu'il qualifie de « dévastateur » et d'inédit au cours de ses décennies d'expérience. Malgré des métastases généralisées, le jeune garçon avait épuisé tous les traitements disponibles et a finalement succombé à la maladie. Ces cas, explique-t-il, ne sont pas isolés. Il constate une augmentation significative des cancers du côlon, des ovaires et du pancréas chez des personnes âgées de 8, 10 et 11 ans, ainsi que chez des femmes dans la trentaine et la quarantaine.
« Nous voyons maintenant des femmes de 30, 40 ans, des jeunes femmes atteintes d'un cancer des ovaires », a-t-il déclaré.
Ces tumeurs malignes agressives et à progression rapide présentent les caractéristiques des cancers turbo. Selon le Dr Soon-Shiong, des patients précédemment en rémission présentent à présent des cancers à progression rapide qui résistent aux protocoles de traitement standard.
« Je reçois des témoignages à ce sujet en ce moment… des personnes qui étaient en rémission auparavant voient leur cancer réapparaître et progresser très rapidement. »
Ses observations correspondent parfaitement à ce que fait le Dr Dalgleish de l'autre côté de l'océan Atlantique.
Le Dr Soon-Shiong associe ce phénomène oncogène à une défaillance fondamentale du système immunitaire. Il constate notamment une suppression des cellules NK et des lymphocytes T, éléments clés de la défense immunitaire contre le cancer. Il prévient que l'infection par le SARS-CoV-2 et les vaccins à ARNm développés par Moderna et Pfizer pourraient être responsables de cette immunosuppression et de la recrudescence des cancers qui en résulte. « La COVID est oncogène », a-t-il affirmé sans ambages, en citant de multiples mécanismes par lesquels la persistance virale et l'inflammation favorisent la croissance tumorale. Le Dr Soon-Shiong explique que la protéine Spike persistante, issue du virus ou des vaccins, pénètre dans les cellules via le récepteur ACE2 présent dans le cerveau, les poumons, le côlon, le pancréas et le cœur. Ceci peut entraîner un dysfonctionnement mitochondrial, une inflammation et une suppression des cellules immunitaires. Selon lui, il ne s'agit pas d'un hasard.
« Est-ce un hasard si, après l'infection par la COVID et la vaccination, nous observons tous ces événements où l'on sait que la protéine Spike disparaît ? Je ne le crois pas. Je pense que ce n'est pas un hasard. »
Des recherches menées par l'Université de Californie à San Francisco ont révélé que le virus SARS-CoV-2 se réplique dans les tissus du côlon jusqu'à deux ans après l'infection, en plus de la suppression des cellules tueuses naturelles, contribuant ainsi à une croissance tumorale incontrôlée.
Outre les inquiétudes concernant les effets indésirables oncogènes probables des vaccins à ARNm, un nombre croissant d'études évaluées par des pairs suggère également des liens entre l'infection par le SARS-CoV-2 et une augmentation des cancers ainsi que leur progression rapide. Des données confirment les observations du Dr Soon-Shiong selon lesquelles le virus peut favoriser les processus oncogènes par le biais d'une dysrégulation immunitaire, d'une inflammation chronique et d'un remodelage épigénétique. À l'instar des vaccins, la persistance du virus chez les patients cancéreux immunodéprimés exacerbe également les hémopathies malignes (14). Dans une étude, l'altération de la capacité de l'ADN à se réparer, observée lors d'infections à la Covid-19, ressemble aux mécanismes d'oncovirus connus tels que le HPV et l'EBV (15). De plus, il a été démontré que le virus altère significativement les populations de lymphocytes, en particulier les lymphocytes T CD4+ et CD8+, par divers mécanismes immunopathologiques. En supprimant les cellules T, l'immunosurveillance tumorale de l'organisme est affaiblie, augmentant ainsi les risques de cancer à long terme.(16) Étant donné le consensus désormais largement répandu selon lequel le virus est issu d'une manipulation génétique à l'Institut de virologie de Wuhan, la hausse mondiale des cas de cancer pourrait finalement refléter les conséquences en aval d'une crise virologique d'origine humaine.
Le Dr Soon-Shiong critique vivement l'approche vaccinale à ARNm et le processus réglementaire du gouvernement fédéral qui a permis leur approbation. Il avertit que les vaccins à ARNm se transforment en ADN et peuvent potentiellement continuer à produire des protéines virales longtemps après leur administration.
« L’idée d’administrer un vaccin à base d’anticorps puis d’en créer un autre… je ne vois pas l’intérêt », a-t-il déclaré.
Il a dénoncé la décision de cibler la protéine Spike pour la vaccination. Selon lui, « ils ont visé la mauvaise protéine ». Il estime que les chercheurs auraient dû se concentrer sur un produit stimulant la réponse des lymphocytes T grâce à une protéine de la nucléocapside. Cette approche, d'après lui, aurait permis d'obtenir une immunité durable, jusqu'à 17 ans, essentielle à l'élimination prolongée des virus et à la prévention de l'immunosuppression.
« Le seul vaccin important est un vaccin à cellules T », a-t-il insisté.
D'après son expérience personnelle, la science médicale qu'il défend fait l'objet d'une répression institutionnelle. Des responsables fédéraux de la santé, tels que Francis Collins et Anthony Fauci, ont tenté d'empêcher les essais cliniques de ses vaccins à base de lymphocytes T.
Dans son évaluation finale, le Dr Soon-Shiong souligne le dangereux point de convergence entre un virus oncogène et une stratégie vaccinale susceptible de reproduire et d'amplifier ses propriétés immunosuppressives.
« On voit apparaître soudainement des jeunes atteints d’un cancer du pancréas. On voit soudainement apparaître des jeunes atteints d’un cancer du côlon », a-t-il averti.
Selon lui, le virus et le vaccin à ARNm pourraient être à l'origine d'une nouvelle épidémie alarmante de défaillance immunitaire et de nouveaux cancers. Son appel à l'arrêt immédiat des vaccins à ARNm à base de protéine Spike de Pfizer et Moderna est implicite dans ses mises en garde, car ces vaccins sont fondamentalement défectueux, insuffisamment testés et probablement responsables de l'augmentation fulgurante des cancers à l'échelle mondiale, et particulièrement chez les jeunes.
Face à l'augmentation alarmante de l'incidence du cancer et à l'émergence de cancers ultrarapides, concomitante au déploiement mondial des vaccins anti-COVID-19 à ARNm, il est scientifiquement prudent et éthiquement impératif d'imposer, à tout le moins, un avertissement de sécurité maximal sur ces produits expérimentaux. La convergence des évolutions démographiques et des similitudes géographiques entre les pays fortement vaccinés soulève de sérieuses inquiétudes quant à la contribution probable des mécanismes biologiques inédits des vaccins Pfizer et Moderna à cette crise oncogène croissante. Bien que le lien de causalité reste à établir avec certitude, l'ampleur et la gravité des cas signalés dépassent largement les seuils de sécurité ayant entraîné l'apposition d'avertissements de sécurité maximal et le retrait du marché d'autres produits pharmaceutiques présentant des taux de mortalité et d'effets indésirables bien moindres. La crédibilité en matière de santé publique repose non pas sur une approbation aveugle, mais sur une vigilance fondée sur des données probantes. Dans ce contexte, un avertissement de sécurité maximal constituerait une première étape cruciale vers le rétablissement de la responsabilité scientifique.
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Richard Gale est le producteur exécutif du Progressive Radio Network et un ancien analyste de recherche principal dans les secteurs de la biotechnologie et de la génomique.
Le Dr Gary Null anime la plus ancienne émission de radio publique du pays consacrée à la santé alternative et nutritionnelle et est un réalisateur de documentaires primé à de multiples reprises, notamment pour son récent film Last Call to Tomorrow.
Ils contribuent régulièrement à Global Research.
Notes
(1) Null, G. Entretien avec le Dr Angus Dalgleish, Progressive Radio Network, 29 avril 2025.
(2) Zamfir MA, Morearu L, Dobrea C, et al. Hémopathies malignes diagnostiquées dans le contexte de la campagne de vaccination contre la COVID-19 par ARNm : rapport de deux cas. Medicina . 2022 ; 58(7). Doi.org/10.3390/medicina58070874
(3) Gentilini P, Lindsay JC, Konishi M, et al. Un cas de leucémie lymphoblastique aiguë après la deuxième dose de Comirnaty : analyse du mécanisme pathogénique potentiel à partir de la littérature existante. Med Pharmacol . (prépublication). DOI : 10.20944/preprints202403.1661.v1
(4) Olszewska B, Zaryczanska A, et al. Effets secondaires rares du vaccin contre la Covid-19 passés inaperçus : lymphomes cutanés primitifs après vaccination contre la Covid-19, une revue systématique. Front Med . 10 avril 2024. https://doi.org/10.3389/fmed.2024.1325478
(5) Angues RV, Bustos YP. Vaccination contre le SARS-CoV-2 et hypothèse de l'oncogenèse par facteurs multiples. Cureus . Décembre 2023 ; 15(12) : e50702. DOI 10.7759/cureus.50703
(6) Barclay N, Moncusi MP, Jodicke AM, et al. Impact du confinement lié à la Covid-19 au Royaume-Uni sur le dépistage, le diagnostic et l'incidence des cancers du sein, colorectal, du poumon et de la prostate : une étude de cohorte populationnelle. Front Oncol . 2024 Mar 26 ;14. doi.org/10.3389/fonc.2024.1370862
(7) Decker KM, Feely A, Bucher O, et al. Nouveaux diagnostics de cancer avant et pendant la pandémie de Covid-19. JAMA Net Open . 2023 ; 6(9) : e2332363. doi : 10.1001/jamanetworkopen.2023.32363
(8) Howlader N, Chen HS, Noone AM, et al. Impact de la COVID-19 sur les taux d’incidence du cancer en 2021 et rebond potentiel après la baisse de 2020. JNCI 2025 mars ; 117(3) : 507-510. doi.org/10.1093/jnci/djae180
(9) Johansson ALV, Skog A, Johannesen TB, et al. Évolution de l’incidence et du stade du cancer pendant la pandémie de Covid-19 en 2020-2021 dans les pays nordiques. Acta Oncol . 202 ; 64 : 42079. doi : 10.2340/1651-226X.2025.42079
(10) Trojanowski M, Radomyski P, et al. Diminution du nombre de nouveaux diagnostics de cancer au cours de la première année de la pandémie de Covid-19 : étude de cohorte portant sur 3,5 millions de personnes dans l’ouest de la Pologne. Front Oncol . 21 déc. 2023. DOI 10.3389/fonc.2023.123028
(11) Semprini J, Pagedar NA, Boakye EA, et al. Incidence des cancers de la tête et du cou aux États-Unis avant et pendant la pandémie de Covid-19. JAMA Otolaryn . 11 janv. 2024 ; 150(3) : 193-200. doi : 10.1001/jamaoto.2023.4322
(12) Kaminski M, Skrzypczak P, Staszewski R, et al. Effet de la pandémie de Covid-19 sur l'intérêt des requêtes Google concernant le dépistage du cancer et les cancers : une étude rétrospective. Cancers . 2023 ;115 : 617. doi.org/10.3390/cancers15030617
(13) Carlson T. Interview avec Patrick Soon-Shiong. Tucker Carlson Show. 26 mars 2025.
(14) Passamonti F, Cattaneo C, Arcaini L, et al. Caractéristiques cliniques et facteurs de risque associés à la gravité de la COVID-19 chez les patients atteints d'hémopathies malignes en Italie : une étude de cohorte rétrospective multicentrique. Lancet Haematology . 2020;7(10): e737–e745.
(15) Ghosh, R., et al. (2021). Stress génotoxique dans la COVID-19 et le cancer : voies convergentes. Int J Molecular Sci . 2021;22(17): 9105.
(16) Antonyuk O, Oleksii S. Modèles prédictifs du risque de décès des patients hospitalisés atteints de la COVID-19 dans les établissements de santé : un outil supplémentaire d’aide à la décision. Ukra Sci Med J. 2025 ; 1(152). doi.org/10.32345/USMYJ.1(152).2025.97-113
https://www.globalresearch.ca/covid-vaccines-accelerating-deadly-cancer/5891129
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8 - Pourquoi l'Amérique a-t-elle cessé de parler des vaccins et de l'autisme ?
Les preuves ont-elles changé... ou autre chose ?
Le Renard Vigilant
Dec 06, 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
En 2005, Joe Scarborough a dit quelque chose que vous n'entendriez jamais à la télévision aujourd'hui.
En parlant avec RFK Jr., il a légitimé la croyance que les vaccins peuvent causer l'autisme.
« Quelque chose s’est passé en 1989 ! « Scarborough a déclaré fermement.
Selon ses propres mots, il a déclaré: «Les parents viendraient constamment à [lui], et ils lui apporteraient des bandes vidéo de leurs enfants [anciennement en bonne santé]. Et ils sont tous sur l’âge du fils de [Scarborough] ou plus jeune. Il s’est passé quelque chose en 1989 ! »
Vingt ans plus tard, il est difficile d’ignorer que les médias traditionnels n’affichent plus jamais de segments comme celui-ci.
Les preuves ont-elles changé... ou autre chose ?
La plupart des gens n’ont absolument aucune idée de la quantité de machines de relations publiques qui façonnent ce qu’ils croient en la santé.
Les campagnes de relations publiques ne changent pas seulement d’opinion, elles changent de langage dans le processus.
Et lorsque le langage change, les souvenirs et les idées semblent disparaître, y compris les choses que nous avions l’habitude de reconnaître ouvertement, comme l’inflammation du cerveau induite par le vaccin et les lésions neurologiques.
Aujourd'hui, ces concepts existent à peine dans le vocabulaire public, mais il y a quelques décennies, ils étaient reconnus partout.
Le changement se fait lentement. C’est ainsi que la tactique est si réussie. La plupart des gens ne réalisent même pas que cela se produit.
Par exemple, jetez un coup d'œil à ce débat de 1983 qui a eu lieu sur le plus grand talk-show en Amérique. Une conversation comme celle-ci n'arriverait jamais, jamais à la télévision aujourd'hui.
Cette information provient du travail de chercheur médical Un médecin du Midwest
. Pour toutes les sources et détails, lire le rapport complet ci-dessous.
Comment les lésions cérébrales vaccinales ont été rebaptisées et effacées de la mémoire
Comment les lésions cérébrales vaccinales ont été rebaptisées et balayées sous le tapis
Exposant les jeux auxquels ils jouent pour cacher les blessures par vaccin. Lire plus.
Comme vous le savez peut-être, un thème clé du célèbre livre de George Orwell, 1984, est que la langue définit la culture. S’il n’y a pas de langage pour expliquer des idées spécifiques, les gens ne peuvent tout simplement pas s’y rapporter.
Le parti au pouvoir a donc éliminé les mots qui étaient gênants. Des choses comme la liberté, la rébellion et la justice.
Les pensées et les idées peuvent être davantage confondues en utilisant des termes ambigus qui n’ont tout simplement pas de définition claire.
Vous vous souvenez peut-être de l’utilisation créative du langage par Fauci ou de la façon dont tout le monde a répété l’expression «sûr et efficace» lors de la discussion sur les injections COVID. Personne n'a réellement défini ce que cela signifiait, mais ils l'ont certainement dit. Beaucoup.
Cette ambiguïté a créé un bouclier. Les autorités, comme Fauci lui-même, pourraient impliquer une sécurité à 100 % sans jamais le dire.
Et lorsque des blessures se sont produites, la langue offrait une trappe d’évasion: «Nous n’avons jamais dit qu’elles étaient parfaites.»
Cette stratégie n’était pas un accident. Même pas proche.
C'était systématique.
En raison de cela et des campagnes de relations publiques qui élaborent nos croyances culturelles, la plupart des gens ignorent complètement que les revues médicales ont publié des rapports détaillés de blessures post-vaccinales.
Des choses comme l’encéphalite, les lésions du nerf crânien et la régression neurologique rapide étaient liées aux vaccins et vous n’étiez pas un théoricien du complot si vous en parliez.
En fait, les médecins ont discuté ouvertement de ces cas. Les parents les ont reconnus instantanément. Et quand c’était nécessaire, les médias en rendraient compte, sans le parti pris absurde que nous voyons aujourd’hui.
Mais la langue a changé. Les rapports sont devenus de moins en moins fréquents. Et un nouveau récit a rempli le vide: «Les vaccins ne causent pas l’autisme».
Non pas parce que les preuves l’ont prouvé, mais parce que l’ancien langage – avec des données pour les sauvegarder – a été progressivement effacé et remplacé par une phrase.
Un autre tournant est survenu lorsque certains mots ont été retirés de la société.
Pendant des décennies, les familles et les médecins ont clairement déclaré qu’un enfant était devenu « mentalement retardé » après un coup de feu.
Le langage brut, peut-être, mais indéniablement clair et quelque chose que les parents eux-mêmes étaient à l’aise de dire.
Mais au début des années 2000, le mot a été aboli. Littéralement. La loi fédérale l’a remplacé par « handicap intellectuel ».
Et en plein milieu de cette transition, alors que les membres moyens de la société étaient occupés à se préoccuper du politiquement correct, quelque chose de remarquable s'est produit: une grande partie des cas de retard mental ont été reclassés comme autisme.
Il y a une étude enterrée dans Un médecin du Midwest
L’article qui n’a jamais vu le jour parce que les résultats étaient trop explosifs.
Il est temps d’exposer la vérité.
Comment les lésions cérébrales vaccinales ont été rebaptisées et effacées de la mémoire
Comment les lésions cérébrales vaccinales ont été rebaptisées et balayées sous le tapis
Exposant les jeux auxquels ils jouent pour cacher les blessures par vaccin. Lire plus.
Les cas d’autisme ne se sont pas seulement élevés – la définition a explosé.
Le parapluie grandit et grandit. Les comportements autrefois considérés comme sans lien de parenté ont été soudainement inclus. Des traits légers ont été repliés dans le spectre. Les limites se sont dissoutes.
Soudain, une condition qui avait autrefois un sens clinique clair est devenue si large que presque tout pouvait s'y mettre.
Cela crée une énorme confusion. C'était un endroit parfait pour enterrer les diagnostics plus anciens qui rendaient la blessure vaccinale indubitable.
Au lieu de dommages neurologiques, la société voit maintenant la «neurodiversité».
Comme c'est pratique.
Mais un fait rarement discuté aujourd'hui existe encore dans les données.
Les cas de vie profonde, débilitante, qui modifient l’autisme augmentent.
Pas les formes douces ou les traits excentriques.
Je parle des cas vraiment graves – les enfants qui perdent leur discours, leurs fonctions motrices et toute leur indépendance.
Et malheureusement, dans ces cas, les parents perdent leurs enfants. Les espoirs et les rêves typiques pour l’avenir de leur enfant – tous disparus.
Les données des CDC montrent qu'environ 26,7 % des enfants autistes entrent dans cette catégorie.
C’est un grand nombre, et pourtant presque personne n’en parle publiquement.
Il y a un autre point de données étonnant de la Californie.
En 2009, les chercheurs ont constaté que 26,4 % des enfants précédemment étiquetés « mentalement retardés » ont ensuite été reclassés comme autistes.
Rien de ces enfants n'a changé. Les étiquettes l'ont fait.
Et une fois les étiquettes changées, le public a été encouragé à cesser de demander pourquoi tant d'enfants régressaient en premier lieu.
Au lieu de cela, l’explication est devenue « expansion diagnostique ».
Une réponse pratique qui peut avoir du sens si vous ne regardez pas assez près, mais ce n’est même pas proche d’un honnête.
Pendant ce temps, les rapports de régression après la vaccination ont continué à faire surface.
L’un des exemples les plus inquiétants implique des triplés qui ont tous perdu la parole, les réflexes et le développement dans les heures qui suivent la réception d’un vaccin du même lot.
Trois enfants. Le même jour. La même séquence de symptômes.
La génétique ne peut pas expliquer cela. La coïncidence ne peut pas expliquer cela.
Mais une blessure neurologique soudaine peut.
Pourtant, des cas comme ceux-ci sont presque impossibles à discuter ouvertement.
Le public doit voir ces données, mais le CDC ne publie jamais de communiqués de presse. Ils préféreraient cacher cela. Un médecin du Midwest
L’article met tout sur la table. Bookmarkez-le.
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Lorsque vous blessez une grande population, à moins d’un échec catastrophique, les résultats graves seront rares.
Les résultats plus légers sont communs.
C’est pourquoi l’explosion de traits autistiques légers – problèmes sensoriels, rigidité, régression subtile – peut être le plus grand signe avant-coureur de tous.
Mais au lieu de demander ce qui change dans la neurologie des enfants, nous l’avons normalisé.
On l'appelle personnalité. On l'appelle l'identité. Nous l’appelons « conscience ».
Et on nous dit de l’accepter.
Pendant ce temps, le nombre d'enfants qui ne peuvent pas parler, ne peuvent pas fonctionner, ne peuvent pas prendre soin d'eux-mêmes et qui deviennent parfois un danger pour les membres de leur propre famille continuent d'augmenter.
Mais personne ne veut en parler. Parce que nous ne pouvons pas le brosser comme une personnalité excentrique. Parce que ceux qui blessent les familles ne sont pas fiers.
Ces familles sont traumatisées. Et leur vie a été changée à jamais.
La normalisation de ces traits légers a créé un puissant bouclier social.
Mentionnez une lésion cérébrale et quelqu’un répond immédiatement: «Mon enfant autiste n’est pas endommagé.»
Et ils ont raison, leur enfant n’est pas la conversation.
La question est le changement neurologique au niveau de la population. La question est une régression soudaine. Le problème est celui des enfants qui perdent des compétences en quelques heures ou jours après une intervention médicale.
La question est la normalisation et l'acceptation de tout cela.
Et l'incapacité d'avoir autant de conversation à ce sujet.
En 1986, le Congrès a adopté une loi – la loi de 1986 sur les blessures vaccinales – pour indemniser les enfants blessés par le vaccin et faire respecter les réformes de sécurité.
Il avait beaucoup de soutien parce que la blessure au vaccin n’était pas une conspiration – c’était une idée grand public grâce en partie à la volonté des médias de rendre compte ouvertement des dommages causés par le vaccin DPT.
L'intention était de résoudre les problèmes de sécurité avec les vaccins et d'aider les personnes blessées à obtenir les soins et le soutien dont elles ont besoin.
Mais presque toutes les exigences de sécurité étaient laissées à la discrétion des organismes fédéraux. La plupart d'entre eux n'ont jamais été mis en œuvre.
Et il a fini par donner aux fabricants une immunité de balayage parce que c’était maintenant le travail du gouvernement de faire face aux blessures par vaccin, pas les leurs.
Et à mesure que les calendriers de vaccination des enfants s'étendaient, presque aucune nouvelle blessure n'a été ajoutée au tableau de compensation.
Avec l’acte de compensation à l’esprit, imaginez ce qui se passe si les cas d’encéphalopathie induits par le vaccin sont requalifiés d’«autisme».
Soudain, ces cas ne sont plus admissibles à une indemnisation.
Soudain, le gouvernement ne doit rien à personne.
Soudain, les blessures les plus dommageables et les plus coûteuses disparaissent des livres.
Il est clair qu’il y a une grande incitation.
Moins il y a de lésions cérébrales sur le papier, moins le gouvernement fédéral paie.
Et c’est exactement ce qui s’est passé.
L'opinion publique est enfin en train de changer parce que notre expérience vécue l'emporte sur la messagerie officielle. Il est devenu trop difficile d’ignorer ce qui est juste sous notre nez.
Plusieurs sondages montrent maintenant que plus de la moitié des électeurs américains pensent que les vaccins contre le Covid ont causé des décès importants, un troisième rapport d'effets secondaires, des millions de personnes connaissent personnellement quelqu'un blessé par les vaccins, la confiance dans les responsables de la santé est dans une chute libre, et une majorité veulent des enquêtes du Congrès.
Ce n’est pas à cause de l’idéologie. C’est à cause de nos expériences.
Heureusement, les gens peuvent encore croire ce qu’ils voient, même lorsqu’on leur dit de l’ignorer.
C’est pourquoi une récente conférence de presse axée sur l’autisme a été un moment si décisif.
Pour la première fois depuis des années, les dirigeants ont ouvertement reconnu ce que des millions de parents ont dit depuis des décennies. Leur enfant a régressé après la vaccination, et le calendrier était indéniable.
Et au lieu de rejeter ces parents comme confus, quelqu'un écoute enfin.
Nous devons tous enfin écouter.
La vue d'ensemble ici compte.
Pendant des décennies, les journaux télévisés ont publié des histoires sur les blessures liées aux vaccins. Des choses comme les crises, la paralysie et la régression neurologique catastrophique.
Mais quelque chose est arrivé. Les entreprises pharmaceutiques sont devenues les plus grands annonceurs dans les médias.
Sans surprise, la couverture s'est arrêtée.
Les blessures n’ont pas disparu, le modèle de financement des médias a changé.
Heureusement, les médias indépendants et les médias sociaux et Internet en général nous ont permis de combler ce vide et de renforcer les voix des personnes les plus touchées.
Un médecin du Midwest
L’article complet contient des preuves que le public n’était jamais censé voir. Ne le manquez pas.
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Comment les lésions cérébrales vaccinales ont été rebaptisées et balayées sous le tapis
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Avez-vous remarqué qu’en ce moment, nous sommes au milieu d’un tournant historique ? Ce qui se passe maintenant est sûr d'entrer dans les livres d'histoire.
Des millions de personnes ont maintenant fait l'expérience d'elles-mêmes ou ont été témoins que des choses qui leur ont été dites ne pourraient jamais arriver.
D'innombrables parents ont vu leurs enfants changer du jour au lendemain. Les travailleurs de la santé ont vu des réactions qu’ils n’avaient pas le droit de documenter ou même de parler. Beaucoup d’entre nous ont vu le même motif se répéter encore et encore.
Le vieux récit dépendait de personnes qui restaient silencieuses et suivient. Mais cette ère est partie depuis longtemps.
La vérité se répand le plus rapidement lorsque le coût de son ignorance devient insupportable.
Chaque jour, de plus en plus de gens ouvrent les yeux sur la tragédie absolue que nous avons vécue. Le motif s'arrête maintenant. Nous reprenons le contrôle de notre santé.
Que se passe-t-il quand une société affronte enfin les blessures qu’elle a passées des décennies à nier ?
Que se passe-t-il lorsque les manipulations de langage ne tiennent plus ?
Que se passe-t-il lorsque le public réalise que les étiquettes ont changé, mais les enfants ne l'ont pas fait ?
Que se passe-t-il lorsque des millions de parents comprennent parfaitement que les personnes qu’ils pensaient protéger la santé de leurs enfants le détruisaient réellement ?
Ce moment arrive.
Pendant des années, le message dominant était simple, trop simple.
Il n'y a pas de connexion. Il n'y a pas de blessure. Il n'y a pas de modèle. Les parents ne font qu'imaginer des choses.
Mais ce message s'effondre au moment où les gens commencent à comparer des notes.
Et le garçon les a.
Dans les communautés, les États et même les pays.
Les histoires sont les mêmes. Les délais sont les mêmes. Le silence n’est plus durable. En fait, c'est absolument inacceptable.
La vérité est douloureusement simple: vous ne pouvez pas cacher une blessure neurologique au niveau de la population pour toujours.
Vous ne pouvez pas le cacher quand les chiffres augmentent, les familles s’expriment, le public ne croit plus au récit officiel, et lorsque des médias indépendants exposent les médias hérités des données enterrées.
Le barrage a déjà craqué, et il ne peut pas être corrigé avec des slogans.
Tout dépend maintenant de la question de savoir si la société est autorisée à avoir la conversation que nous avons été refusés pendant des décennies.
Nous devons parler de régression, de lésions cérébrales et de nombreux enfants qui étaient prospères, jusqu’à ce qu’ils ne le soient pas.
Cette conversation n'aurait jamais dû être censurée.
Nous le devons à toutes les personnes touchées (et ignorées) dans le passé et aux générations futures.
Une fois que tout le monde voit ce qui était caché à la vue de tous, ils ne vont pas se rendormir.
Si même la moitié des données supprimées deviennent publiques, ce sera l’un des plus grands scandales médicaux de l’histoire moderne.
Il est temps d’en parler.
Merci d'avoir lu ! Cette information était basée sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
Le côté oublié de la médecine
Comment les lésions cérébrales vaccinales ont été rebaptisées et effacées de la mémoire
Histoire en un coup d'œil...
Lire plus
Il y a 2 mois · 832 likes · 197 commentaires · A Midwest Doctor
Pour une plongée plus profonde dans ce que la médecine moderne a négligé – ou intentionnellement enterré – vérifier ces autres rapports révélateurs par A Midwest Doctor::
Le Mensonge D’Alzheimer Qui A Fait De Gros Milliards De Pharmaciens
C'est Ce Qui Se Passe Quand On Arrête De Prendre Ozempic
Quelle Est L’eau La Plus Saine À Boire ?
Pendant que vous y êtes, donnez un suivi à A Midwest Doctor. Personne n’apporte plus de recherche, de connaissance clinique ou de contexte historique lorsqu’il s’agit d’exposer les mythes de la santé que nous avons tous été nourris. C’est facilement l’un des comptes les plus précieux que vous suivrez.
*
9 - AVANT DE PARLER DE MALADIE, DE PARALYSIE OU DE MORT IL FAUT SE DEMANDER D’OÙ ELLE VIENT !!
Serait-ce un microbe ou une poussière totalement inoffensive (appelée 'virus') extraterrestre ?
NON. Aucun des deux.
Cette poussière est-elle radioactive ?
NON !
Mais alors... D'où qu'elle vient-elle ???
C'est ce qu'on fait des scientifiques qui ont examiné les flacons de poisons injectables dès leurs sorties de laboratoires nazis.
Les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej se sont attelées à la tâche:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE
Le saviez-vous ? NON ! Ils ont 'oublié' de vous le dire.
*
Grâce aux nano particules d'oxyde de graphène* injectées le corps est dévoyé, ce n'est plus votre cerveau qui commande mais les messages envoyés vers VOS nano particules qui circulent dans VOTRE sang via VOTRE téléphone portable qui se charge de la transition. VOTRE corps ne vous appartient plus ! VOUS recevez des ordres: VOUS les exécutez ! "Roulez à gauche ! Roulez à gauche ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Sautez par la fenêtre ! Sautez par la fenêtre !"
ET VOUS LE FEREZ !
* Ces nano particules d'oxyde de graphène ont été découvertes dès leurs sorties de laboratoires nazis par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables.
1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus apportés par le coton infecté de l'écouvillon !, nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules d'oxyde de graphène qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
*
10 -Pas une seule vidéo claire ou une photo du vol AA 77 qui approche du Pentagone
Réfléchir à l’inexistence de séquences vidéo claires d’un Boeing 757 manœuvrant, approchant, puis s’écrasant sur le Pentagone.
John Leake
Dec 06, 2025
J'ai récemment eu une longue conversation avec un vieil ami qui était un pilote naval et maintenant pilote pour une grande compagnie aérienne au sujet du vol 77 d'American Airlines (un Boeing 757) qui aurait été détourné peu après le décollage de l'aéroport de Washington Dulles. À une altitude de 34.000 pieds, le pirate de l’air (Hani Hanjour) a ensuite retourné l’avion et est retourné à Washington D.C., où il a ensuite effectué un virage en tire-bouchon radical autour du Pentagone et – frappant une vitesse estimée de 460 nœuds (530 mi/h) – puis s’est aligné sur la façade occidentale (75 pieds de haut) et l’a parfaitement épinglé.
Selon le récit officiel, Hani Hanjour a reçu une formation sur simulateur de vol, c’est-à-dire quelques sessions à la Sawyer School of Aviation en Arizona, bien que sa formation principale était dans d’autres écoles comme Arizona Aviation. En 2001, il aurait déménagé dans le New Jersey, où il a reçu, selon le rapport de la Commission du 11 septembre, reçu une instruction supplémentaire à Air Fleet Training Systems à Teterboro, dans le New Jersey, et à la Caldwell Flight Academy à Fairfield, New Jersey. Aucune des sources que je trouve n'a fourni de documentation claire sur la formation qu'il a reçue, le cas échéant, pour le 757. Certaines sources déclarent qu’il a reçu 757 formations de simulateur; d’autres suggèrent vaguement qu’il ne l’a pas fait.
Dans l'estimation de mon ancien ami pilote, tirer les manœuvres extrêmes en question aurait nécessité une pratique approfondie dans un simulateur. Et pas seulement la pratique générale, mais pratique que Hanjour aurait exécutées. Cela aurait nécessité d'être laissé seul dans le simulateur, à moins que l'instructeur de l'école de pilotage ne soit un co-conspirateur.
L'autre préoccupation que mon ami a exprimée était que la descente extrêmement rapide et le virage dur auraient probablement poussé l'avion au-delà de son enveloppe d'exploitation et de sa capacité de chargement de l'aile. Mon ami a proposé qu'une enquête appropriée examine précisément cet élément du crime.
La conversation m'a incité à me demander s'il y a de bonnes séquences vidéo du vol AA 77 exécutant les manœuvres radicales dans le ciel au-dessus d'Arlington, en Virginie, puis en faisant la queue pour l'approche finale courte du Pentagone, puis en frappant le bâtiment.
J'avais entendu dire que les séquences vidéo disponibles sont pauvres et fragmentaires. Ce que je n’ai pas réalisé, c’est qu’il y a ZÉRO séquence vidéo disponible dans laquelle un Boeing 757 peut être clairement identifié en train d’approcher ou de frapper le Pentagone. Selon une requête de l'IA sur les images disponibles:
Oui, il y a des images de caméras de sécurité de l'American Airlines Flight 77 qui s'écrasent sur le Pentagone, mais cela ne montre pas une approche claire et continue de l'avion.
Les images qui ont été diffusées par le ministère de la Défense en 2006, en réponse à une demande de Freedom of Information Act (FOIA) du groupe Judicial Watch, se compose de quelques cadres d'une caméra de sécurité à une porte de stationnement.
La qualité est très granuleuse, et l'avion n'apparaît que comme un mince flou blanc dans un ou deux cadres avant l'explosion.
Les caméras ont été conçues pour capturer des images fixes une fois toutes les quelques secondes, ce qui a été considéré comme standard pour la technologie en 2001, ce qui les rend mal adaptées à la capture d'un objet en mouvement rapide comme un Boeing 757 voyageant à environ 530 mi/h (850 km/h).
La première question qui me vient à l’esprit est pourquoi le ministère de la Défense n’a-t-il pas immédiatement publié les images en 2001? Pourquoi Judicial Watch a-t-il dû déposer une demande de la FOIA pour obtenir des séquences vidéo de l'événement dont on nous a dit qu'elle s'était produite ?
Notez que le Pentagone est clairement visible depuis la tour de l'aéroport de Washington Reagan, qui est équipé de caméras vidéo. Y avait-il vraiment ZÉRO séquence vidéo des 757 capturés depuis la tour de Reagan ?
Ce qui suit est une compilation de ce qui est prétendument la seule séquence vidéo de l'événement.
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