Heiko Schöning : Attention ! L’argent de la corruption pour la guerre et les pandémies

 


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47 commentaires:

  1. [Présentateur :] Donc le narratif actuel, ce qu'on entend, c'est qu'on a eu besoin de ces milliards pour fabriquer les vaccins. Ils ont dû coûter une fortune.

    [Heiko Schöning :] Les coûts de production des vaccins classiques ou même de ces thérapies géniques à ARNm, c'est de l'ordre du centime, c'est donc vraiment faible. C'est pourquoi je dis toujours qu'il faut regarder attentivement du côté des sites de production, car d'une part, ils ne peuvent pas changer aussi vite. Et d'autre part, les flux financiers y sont beaucoup plus clairs et compréhensibles.

    [Présentateur :] Est-ce que vous pouvez en dire plus ? Parce que si vous dites que l'anthrax et le Covid, c'était le même schéma, il doit y avoir des choses bizarres qui se sont passées avec les flux d'argent, non ?

    [Heiko Schöning :] Oui, c'est ça. Et on peut le prouver directement. Donc sur le plan financier, comme sur le plan de l'organisation. Je ne veux pas trop m'étendre sur ce sujet, qui figure dans mon livre et dans les conférences gratuites qui ont été données. Mais il y a là, très concrètement, pour ceux qui n'en ont pas encore entendu parler, par exemple une entreprise qui s'appelle "Emergent BioSolutions". C'est une entreprise américaine, fondée par un germano-libanais, Fuad El-Hibri, et aussi avec le plus haut général des États-Unis, l'amiral William Crowe. Et ils avaient justement des parts importantes dans cette entreprise. Et qu'ont-ils fait ? Ils ont pu s'acheter un laboratoire biologique d'État qui avait le seul vaccin contre la maladie du charbon - en d'autres mots c'est l'anthrax. Pour le dire très brièvement, ils ont pu l'acheter pour 25 millions de dollars et ont ensuite réalisé un chiffre d'affaires de plus de 2 000 milliards de dollars au bout de quelques années. C'était le plus haut gradé des États-Unis, à titre personnel. Peu de temps après, il y a eu un prétendu attentat à l'arme biologique, après l'achat à titre personnel. Et ils ont fait des affaires en or.

    Et c'est précisément cette entreprise - j'ai pu le dire en 2019, juste avant la plandémie Covid - qui prévoyait justement une nouvelle production très importante pour 2020. Et justement avec une fausse pandémie. C'est ce que nous avons vécu avec le Covid-19 à partir de 2020. Et c'est ce que j'avais effectivement exposé des mois auparavant dans une longue interview, avec les preuves et le projet de livre. J'ai pu dire : Voilà, cette entreprise "Emergent BioSolutions", elle est effectivement impliquée - on peut le prouver - dans le crime de l'anthrax. L'unique coupable officiel était même un employé d'Emergent BioSolutions. C'était donc un peu leur bouc émissaire. Il ne s'agissait évidemment pas d'un auteur isolé, mais d'un groupe qui se trouvait derrière. Emergent BioSolutions a également été ensuite le principal producteur de nombreux vaccins Covid, par exemple pour Johnson & Johnson ou AstraZeneca, Novavax, VEXAT. Et aussi le directeur de Novavax, qui est très impliqué, Michael McManus, qui était aussi vice-président de Pfizer. Donc : vice-président de Pfizer, directeur de Novavax, très étroitement lié à Emergent BioSolutions ! C'est bien cette entreprise.

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  2. Et voilà que maintenant, il y a quelques mois, ça m'a fait froid dans le dos - parce qu'Emergent BioSolutions était à Berlin, à un congrès sur l'armement. C'était la conférence "Berlin Security". Nous avons fait une manifestation devant l'hôtel du congrès. Mais j'étais à l'hôtel et au congrès. J'ai encore ici l'original de la brochure du congrès. Et qui était là avec les exposants ? Emergent BioSolutions. Ils sont donc encore là dans cette affaire d'armement. Et justement à Berlin avec l'armée allemande et tous les membres de l'OTAN qui étaient là aussi.
    Donc si on veut avoir un lien avec le crime organisé, ça passe toujours par Emergent BioSolutions pour l'anthrax, pour le Covid et aussi maintenant pour le matériel d'armement.

    [Présentateur :] Cela signifie que les fonds sont toujours versés avant les événements. Et il faut bien qu'il y ait un agenda derrière. Il faut bien qu'il y ait un plan, comme maintenant : il y a soudain de l'argent. Mais quel est le but de tout cela ?

    [Heiko Schöning :] Tout cela vise à nous piéger. On veut nous tromper. Et il faut bien sûr nous faire accepter cela, pour ainsi dire. Car le meilleur moyen d'y parvenir, c'est l'argent. Ça concerne beaucoup de personnes qui ne sont pas encore vraiment au courant du sujet, ou qui n'ont pas de scrupules à jeter par-dessus bord toute la bonne science, toute la bonne médecine et à vacciner. Et gagner ainsi beaucoup, beaucoup d'argent. C'est ce que nous avons vu en Allemagne dans les cabinets spécialisés Covid, chez les médecins libéraux. Nous l'avons vu avec les cliniques qui ont reçu pour chaque cas des forfaits exorbitants, c'est-à-dire vraiment très supérieurs à la moyenne, lorsqu'il y avait un diagnostic de Covid-19. Oui, aussi si on les a branchés à des respirateurs - ce qui n'est pas du tout médical. Pour cela, on a reçu 38 000 dollars de plus aux États-Unis, par exemple, etc. En fait, le schéma sous-jacent est d'impliquer beaucoup de monde dans le crime.

    Et maintenant, il y a justement deux projets très récents. Il s'agit d'une part du "projet Stargate", qui est censé être un vaccin "ARNm" contre le cancer. Il s'agit donc à nouveau d'une manipulation génétique de l'ARNm, et non d'un vaccin. Mais maintenant contre le cancer. C'est ce que Donald Trump a exposé à la Maison Blanche avec des investisseurs comme Larry Ellison d'Oracle. Et que vont-ils faire de ces 500 milliards de dollars ? Pour une intelligence artificielle, de quoi a-t-on besoin ? Il faut des programmeurs. Il faut donc quelques serveurs, une ferme. Bon, il faut les installer. Ils ont besoin d'électricité, ils doivent être refroidis. On peut donc les installer au Groenland par exemple, on n'a alors pas besoin de dépenser autant d'argent pour le refroidissement. Mais on pourrait aussi le faire dans l'État américain de l'Alaska, au passage, oui. Il faut alors dire : Attendez, à quoi sert tout cet argent ? Faut-il vraiment 500 milliards de dollars pour cela ? Non. Une grande partie de l'argent ira à la corruption, à la séduction. Ils trouveront ainsi leurs partenaires publicitaires. Et c'est pourquoi il est si important d'expliquer maintenant ce schéma.

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  3. Et il en va de même pour l'armement Je pense que c'est aussi beaucoup plus clair pour beaucoup. Qu'est-ce que cela signifie si Friedrich Merz - qui vient de BlackRock - parvient à imposer, dans une action précipitée, que 500 milliards d'euros soient mis à disposition uniquement pour l'armement ? Où va donc l'argent ? Ils vont maintenant essayer de rendre cela très attractif pour de nombreuses entreprises et dire : Vous pouvez là faire un profit énorme en produisant et en investissant tout à coup dans l'armement. Cela signifie que, d'un côté, on freine l'économie, on rend les choses plus difficiles. Les emplois sont alors supprimés ou mis sous tension. Et puis on dit : Les emplois et les bénéfices de l'entreprise peuvent être toujours florissants si vous devenez une entreprise d'armement. Par exemple, à Görlitz, après environ 150 ans de tradition dans les wagons civils, c'est maintenant devenu une usine de chars. C'est ainsi que les choses se présentent. Et c'est pourquoi il est si important de ne pas accepter cet argent de la séduction et de la corruption, de tirer les leçons du passé. Et comme je l'ai dit, cette ancre clairement prouvée est l'Anthrax 01. Et c'est ce qui est imprimé. Il est temps de prendre cela vraiment au sérieux et de le percevoir.

    [Présentateur :] Très intéressant. Donc, si je peux résumer. Une grande partie de ces milliards et milliards d'euros va maintenant aux futurs complices - c'est donc l'argent du silence, si on prend cela très au sérieux - des structures mafieuses.

    [Heiko Schöning :] Oui, on peut appeler ça comme ça. Mais c'est plutôt de l'argent pour le silence, si on est déjà dedans. Quand on est médecin et qu'on a déjà vacciné, par exemple pour le Covid, sans informer correctement les patients. C'est en fait une obligation. Et vous êtes en fait légalement responsable si vous n’avez pas fourni les informations appropriées. Oui, sans parler des questions morales. Ce n'est pas parce que tout le monde l'a fait qu'on est individuellement protégé. Et une fois qu'on a pris l'argent, parce qu'on se dit que tout le monde le fait aussi, et que sinon on aurait une perte économique. C'est exactement comme maintenant : Tout le monde va faire de la production d'armement et je subirais une perte économique si je n'y participais pas aussi. C'est là que réside l'astuce. Il n'y a donc pas forcément de complicité. En fait, cela ne vient que des années plus tard. Mais ce sont des suiveurs ! Et je ne peux que dire qu'il est question aussi de nos enfants et de nos petits-enfants. En cas de guerre, il est question aussi de nous-mêmes, de nos biens et de nos sites de production, de nos emplois, de notre existence même. N'est-ce pas ?

    [Présentateur :] Oui, tout à fait.

    [Heiko Schöning :] Je ne peux que mettre en garde de ne pas scier la branche sur laquelle on est assis.

    [Présentateur :] Oui. Pour l'avenir, ça a l'air sérieux, si je vous ai bien compris. Pouvez-vous nous en dire plus ? Alors, où en est-on ? Aussi bien avec le Stargate de Donald Trump qu'avec l'investissement de plusieurs milliards de dollars dans l'armement en Allemagne. Qu'est-ce qui nous attend maintenant dans le futur ?

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  4. [Heiko Schöning :] J'ai déjà pu présenter un calendrier il y a quelques mois. Cela a d'ailleurs été montré dans une infographie. Peut-être qu'on pourrait la montrer à nouveau maintenant. Il est évident qu'il y a eu des élections anticipées, en particulier dans les pays de l'OTAN, dans les pays importants comme la France et l'Angleterre. Mais, comme je l'ai dit précédemment, le 10 juin 2024, c'est-à-dire bien des mois avant que de nouvelles élections ne soient soudainement convoquées en Allemagne... J'avais alors dit : oui, il y aura aussi des élections anticipées en Allemagne. Et tout cela se passe autour du point fixe de l'élection américaine qui vient d'avoir lieu. Voilà, c'est une synchronisation. Cela signifie qu'il y aura ensuite une période sans élections d'environ quatre ans dans les pays importants.
    Et c'est à cette période que survient ce que je viens d'écrire, une crise sanitaire, avec "l'attaque du microbiome". En fin de compte, il s'agit de l'ARNm, que tout le monde obtienne cette manipulation génétique. Et si on continue à réfléchir, il y a bien ceci... Alors quand auront lieu les prochaines élections ? Oh, 2029 est le point fixe. Et on nous a toujours dit : "En 2029, nous deviendrons aptes à la guerre. Aptes à la guerre. Attendez une minute. Exactement 2030. Je l'avais d'ailleurs montré et expliqué dans un autre grand entretien : En 2030, il existe désormais un agenda de guerre. Et ils veulent vraiment aller jusqu'au bout - une guerre vraiment chaude en Europe ! Cela signifie donc en particulier l'OTAN contre la Russie. Oui, et ça se construit vraiment ouvertement. Et de quel côté se trouve le véritable agresseur, c'est ce que je viens de présenter plus en détail dans le "Rapport Schöning" Vol. 9. Parce qu'il existe des documents officiels, comme par exemple le Grünbuch (Livre vert) allemand ZMZ 4.0. Voici, en résumé, le plan de 2025 à 2033. C'est sur des plans aussi vastes et criminels que tout repose. Et il y a vraiment des sommes importantes qui sont demandées, sans cesse. Et c'est l'argent de la séduction et de la corruption. Et là, on ne peut vraiment que lancer un appel : Ne participez pas à tout cela. Ne vous mettez pas à travailler pour cet armement. C'est pourquoi il n'y a plus qu'une chose à faire : dire NON. Il existe même un site web www.danngibtesnureins.de. Et peut-être y jeter un coup d'œil.

    [Présentateur :] Pour résumer tout cela maintenant : Il doit y avoir un agenda derrière tout cela. Tout cela va dans le sens d'un objectif précis.

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  5. [Heiko Schöning :] Au fond, c'est très simple. C'est le sens des responsabilités. Je suis père, je suis médecin, je suis officier de réserve de l'armée allemande. C'est le sens des responsabilités. Il est en effet pathogène de participer à ces mensonges et de porter cette culpabilité sur soi.
    Et là, je dois aussi lancer un appel à tous les enseignants : Vous voulez encore mener vos élèves à la ruine ? Maintenant avec la guerre et les préparatifs de guerre ? Tout comme vous avez trahi la plupart de vos élèves pendant le Covid ? Enseignants, vous voulez encore ça ?

    Et aussi aux prêtres et aux pasteurs : voulez-vous encore trahir vos paroissiens ? Tout comme vous ne les avez pas laissés entrer dans l'église pendant le Covid ? Vous voulez les trahir à nouveau ? Vous voulez vraiment les mener à nouveau à la guerre ? C'est dans le "Rapport Schöning" Vol. 9 - nous y avions aussi mis ça - que l'Église évangélique, par exemple, participe vraiment à l'effort de guerre. Et c'est pourquoi chaque pasteur et chaque membre de la paroisse doit dire NON à cette affaire.
    Et pour finir, à chaque officier de l'armée allemande : Camarades, soyez courageux, défendez simplement la vérité et dites ce qu'elle est. Et aussi courageusement, sinon aussi pour tous les fonctionnaires protestez aussi. Cela signifie que pour les soldats, il s'agirait aussi de refuser des ordres qui constitueraient tout simplement un délit. Comme la préparation d'une guerre d'agression, comme avec Taurus par exemple. C'est du sabotage. Il faut voir les choses clairement.

    Donc, en fin de compte, c'est le sens des responsabilités. Et je pense qu'en fin de compte, nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de 100 ans, qu'à travers tant de choses précédentes, encore fraîches comme le Covid, menaçantes maintenant comme Stargate, cette injection d'IA à ARNm contre le cancer, et aussi avec des preuves claires, avec l'anthrax. Que nous avons là aussi la meilleure chance que de très nombreuses personnes se rendent compte : Non, nous ne voulons pas devenir aptes à la guerre, mais il s'agit de développer une aptitude à la paix. Et oui, ensemble, nous pouvons aussi réussir à devenir aptes à la paix.

    [Présentateur :] Oui, merci beaucoup pour ces mots de conclusion émouvants. Je pense qu'avec ça, on peut clôturer l'interview. Et pour ce qui est de devenir aptes à la paix, je pense que nous y contribuerons tous. Merci beaucoup Heiko Schöning dans le grand Nord.

    [Heiko Schöning :] Merci beaucoup. Tous mes vœux.

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  6. de ag.
    Sources/Liens :
    Livre « Game Over Covid-19, Anthrax-01 », par Heiko Schöning
    www.eticamedia.eu/produkt/game-over

    Livre « Game Over II - Attaque du microbiome », par HeikoSchöning
    www.eticamedia.eu/produkt/angriff-aufs-mikrobiom

    Livre « La grande prise » de David Webb
    www.eticamedia.eu/produkt/die-grosse-enteignung

    Livre vert ZMZ 4.0
    www.zoes-bund.de/publikationen/gruenbuch-zmz/

    Le rapport Schöning
    www.eticamedia.eu/schoening-report

    Émission d'Auf1 « Et maintenant ? » avec HeikoSchöning
    www.auf1.tv/das-grosse-interview/heiko-schoening-sagt-voraus-bis-2028-wollen-sie-uns-alle-mit-mrna-stoffen-impfen

    Site web « Alors il n'y a qu'une chose à faire ! Dis NON » !
    www.danngibtesnureins.de

    Creative Commons Lizenzen
    https://www.creativecommons.org/licenses/

    https://www.kla.tv/fr

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    Réponses
    1. Question première, que sont ces milliards demandés pour l'armement ? Pour faire la guerre ? Contre qui ? Vous l'êtes vous déjà demandé ?
      Il ne s'agit pas d'attaquer un pays voisin ou lointain avec des arcs et des flèches contre la bombe atomique, il s'agit aux dictateurs en place sous divers noms de tendance identique de se protéger de la rébellion qui monte et qui avance. 'Les révoltés du Bounty' ! Les putains d'empereurs, de rois ou de présidents contre 8 milliards de femmes et d'hommes qui veulent manger en paix, se déplacer avec ce qu'ils ont construit et surtout pouvoir parler ! Parler librement !

      Question finance, ancien temps existait la monnaie sous forme d'images de Mickey sur papier ou de têtes coupées de dictateurs représentées sur pièces. Maintenant c'est l'argent électrique ! C'est-à-dire l'argent qui n'existe pas. La différence avec avant c'est que son absence de valeur est maintenant officialisée. Donc, chacun au monde peut se dire milliardaire ou multimilliardaire comme surtout sans le sou puisque votre argent placé en banques EST et DEVIENT l'argent du banquier tandis qu'aujourd'hui il demeure l'argent du voleur.

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  7. Une étude de Yale révèle des effets persistants des vaccins COVID-19 : une prépublication scientifique qui fait débat


    France-Soir
    le 12 avril 2025 - 17:20


    Résumé : une étude menée par des chercheurs de l’Université de Yale, publiée en février 2025 sur la plateforme de prépublication scientifique MedRxiv, a jeté un pavé dans la mare en révélant que certains patients vaccinés contre le COVID-19 continuent de produire la protéine de pointe (Spike protein) jusqu’à 709 jours après leur injection. Ces résultats, relayés par un thread viral de @VigilantFox sur X, remettent en question les affirmations initiales selon lesquelles cette protéine disparaîtrait rapidement et que le vaccin resterait localisé au site d’injection. Alors que cette prépublication n’a pas encore été évaluée par des pairs, elle suscite déjà des réactions passionnées et soulève des questions sur la sécurité des vaccins à ARNm.

    Les résultats troublants de l’étude

    L’étude, intitulée « Immunological and Clinical Characterization of Post-Vaccination Syndrome (PVS) Following COVID-19 Vaccination », a été menée par une équipe de Yale, incluant l’immunobiologiste Akiko Iwasaki, connue pour ses travaux sur les réponses immunitaires. Les chercheurs ont analysé 42 participants souffrant de symptômes persistants après leur vaccination contre le COVID-19, un état qu’ils ont nommé syndrome post-vaccinal (PVS). Ces symptômes incluent une fatigue écrasante, des troubles neurologiques comme le brouillard cérébral, une intolérance à l’exercice et des acouphènes. Un groupe témoin de 22 personnes vaccinées, mais asymptomatiques a également été étudié pour comparaison.

    Les conclusions de l’étude sont préoccupantes et viennent confirmer bien des hypothèses avancées
    Tout d’abord la persistance de la protéine de pointe (Spike) : chez certains participants, la protéine Spike a été détectée dans le sang jusqu’à 709 jours après la vaccination, soit près de deux ans, contredisant l’idée qu’elle se dégraderait en quelques heures ou jours. En second lieu des anomalies immunitaires sont rapportées. En effet, les patients atteints de PVS (syndrome post-vaccinal) présentaient des niveaux élevés de cytokines pro-inflammatoires et des différences dans les populations de cellules immunitaires, suggérant une dérégulation du système immunitaire. Ensuite, des symptômes invalidants ont été rapportés par les participants faisant état de symptômes chroniques, qui affectent gravement leur qualité de vie, souvent similaires à ceux du COVID long.

    Cependant, les auteurs précisent que ces résultats sont préliminaires et nécessitent une validation par des études plus larges, et appellent à une recherche approfondie pour mieux comprendre ces effets et améliorer la sécurité des vaccins à l’avenir.

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  8. Les points forts de l’étude

    Cette prépublication scientifique a le mérite de mettre en lumière un sujet souvent ignoré : les effets secondaires rares, mais débilitants des vaccins COVID-19. En identifiant des biomarqueurs spécifiques, elle pourrait ouvrir la voie à une meilleure prise en charge des patients souffrants de PVS (syndrome post vaccinal). De plus, les chercheurs, comme le Dr Harlan Krumholz, co-auteur de l’étude, soulignent leur objectif d’améliorer les vaccins. Une meilleure compréhension de ces effets pourrait mener à des vaccins plus sûrs et à des stratégies de diagnostic plus efficaces.

    L’étude encourage également la recherche sur les vaccins à ARNm, une technologie encore récente. En mettant en évidence des effets inattendus, elle rappelle l’importance de la vigilance scientifique, même pour des outils de santé publique largement déployés.

    Les limites de l’étude

    Cependant, cette prépublication présente des limites importantes. Tout d’abord, l’échantillon est restreint : avec seulement 42 participants dans le groupe PVS, les résultats manquent de robustesse statistique pour être généralisés. Ensuite, l’absence d’un groupe témoin non vacciné, comme l’a noté @saforbes88 sur X, limite la capacité à distinguer les effets du vaccin de ceux d’une infection antérieure au COVID-19.

    Enfin, le statut de prépublication signifie que l’étude n’a pas encore été soumise à l’évaluation rigoureuse par des pairs, un processus essentiel pour valider les résultats scientifiques. Cela expose les conclusions à un risque de surinterprétation qu’il ne faut pas sous-estimer dans les deux sens. Les pro-vaccins y vont de leurs couplets habituels en analysant les limites de l’étude et les autres n'en regardent que les points forts.

    Réactions du public : entre colère et espoir

    L’étude a rapidement fait réagir sur les réseaux sociaux, notamment sur X, où elle a été largement commentée. Les réactions oscillent entre frustration, scepticisme et appels à une meilleure reconnaissance des effets secondaires.

    Des démonstrations de frustration et de colère. Une infirmière retraitée, a partagé son expérience personnelle : « après mes deux premières doses, j’ai développé des tremblements dans ma main gauche. On nous a poussés à prendre les boosters si vite… Je crois en mon système immunitaire pour combattre ce virus. » Témoignage illustrant ainsi la méfiance croissante envers les politiques vaccinales.

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  9. Ainsi que des regrets personnels : un autre utilisateur a écrit : « J’ai pris le vaccin et un rappel, la plus grande erreur de ma vie, même si je n’ai pas été malade » décrivant ainsi le sentiment de regret de certains vaccinés face à ces nouvelles révélations.

    Ou encore du sarcasme et critique des institutions. @arandomlife77 a publié une image du film Casablanca avec la légende : « je suis choqué, CHOQUÉ, de découvrir qu’il y a du jeu ici ! », suggérant que ces résultats ne surprennent pas ceux qui suivaient les signaux d’alerte dès le début de la pandémie.

    Et enfin des appels à plus de recherche ou d’éducation : Kaizen Institute a salué l’étude et le travail de @MidwesternDoc, qui explore les liens entre les tactiques historiques des industries pharmaceutiques et les événements actuels. « C’est une chance d’éduquer le public sur les influences des institutions médicales », a-t-il écrit.

    Un contexte de polarisation

    Cette prépublication intervient dans un contexte déjà tendu autour des vaccins COVID-19. D’un côté, les vaccins ont été salués par une partie de la communauté scientifique pour avoir réduit les formes graves de la maladie et les décès à l’échelle mondiale, un point que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) continue de défendre. De l’autre, des études comme celle de Yale soulignent l’importance de reconnaître les effets secondaires graves rares pour maintenir la confiance du public, voire même des scientifiques pour lesquels ces vaccins peuvent avoir un rapport bénéfice/risque défavorable, notamment au niveau cardiovasculaire pour les jeunes (source 1, source 2 et source 3).

    L’article de Midwestern Doctor, cité dans le thread de @VigilantFox , va plus loin en accusant les institutions médicales d’avoir minimisé les risques des vaccins sous des pressions politiques et économiques. Il suggère que cette étude pourrait marquer un tournant pour une reconnaissance officielle des blessures vaccinales, bien que cela reste à confirmer par des recherches validées.

    Vers une meilleure transparence ?

    L’étude de Yale, bien que préliminaire, met en lumière des préoccupations légitimes pour une minorité de patients vaccinés. Elle appelle à une recherche plus approfondie pour confirmer ces résultats et mieux comprendre les mécanismes sous-jacents. Cependant, elle soulève aussi le défi de communiquer sur des données scientifiques non encore validées sans alimenter la désinformation.

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  10. Les réactions sur X montrent un public divisé, entre ceux qui se sentent validés dans leurs inquiétudes et ceux qui craignent que ces résultats ne soient détournés pour discréditer les vaccins. À l’avenir, il sera crucial de trouver un équilibre entre la reconnaissance des risques et la préservation de la confiance dans les outils de santé publique qui ont sauvé des millions de vies. En attendant, cette prépublication scientifique rappelle l’importance de la transparence et de la rigueur dans la recherche médicale.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante-science-tech/une-etude-de-yale-revele-des-effets-persistants-des-vaccins-covid-19-une

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  11. Les mécanismes de contrôle de l’information pendant la pandémie selon Brian Martin


    Le Collectif Citoyen, France-Soir
    le 14 avril 2025 - 08:50


    Résumé : dans son article « Dissimulation autour du Covid : secret, censure et répression pendant la pandémie », publié en mars 2025 dans Secrecy and Society, Brian Martin décortique les mécanismes de contrôle de l’information pendant la pandémie de COVID-19. Il identifie quatre stratégies – inondation, ignorance, censure et attaque – utilisées pour marginaliser les points de vue hétérodoxes sur les mesures comme les confinements ou les vaccins.

    Ce cadre éclaire les dynamiques de pouvoir dans la gestion des crises sanitaires, notamment à travers les récents développements aux États-Unis, comme la nomination officielle de Jay Bhattacharya à la tête des National Institutes of Health (NIH) et celle de Robert Kennedy Jr. En France, ces mécanismes résonnent avec la défiance croissante envers les institutions, amplifiée par le déclassement du pays en « démocratie défaillante » et une crise de confiance sans précédent.

    Cet article offre des clés pour comprendre les comportements médiatiques et politiques, tout en proposant des pistes pour explorer leurs impacts à long terme.

    L’auteur : Brian Martin, un expert des controverses et de la liberté d’expression

    Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l’Université de Wollongong, en Australie. Titulaire d’un doctorat en physique théorique de l’Université de Sydney, il s’est ensuite orienté vers les sciences sociales, explorant des thématiques comme la non-violence, le lanceur d’alerte, les controverses scientifiques, la liberté d’expression et les stratégies contre l’injustice.

    Auteur de plus de 20 livres et de centaines d’articles, il est également engagé comme vice-président de Whistleblowers Australia, une organisation soutenant les lanceurs d’alerte. Il partage ses publications, souvent en accès libre, sur son site personnel. Dans son article publié en mars 2025 dans Secrecy and Society, intitulé « Dissimulation autour du Covid : secret, censure et répression pendant la pandémie », Martin propose une analyse percutante des stratégies de contrôle de l’information déployées pendant la pandémie de COVID-19.

    Les quatre mécanismes de contrôle de l’information

    Martin identifie quatre mécanismes – inondation (flooding), ignorance (ignoring), censure (censoring) et attaque (attacking) – qui ont marginalisé les voix dissidentes face aux mesures sanitaires officielles, formant une « écologie de contrôle de l’information » qui a façonné le discours public, souvent au détriment du débat scientifique. Comme il l’écrit :

    « Au plus fort de la pandémie de Covid, la majorité des autorités sanitaires, des gouvernements et des médias ont présenté un seul point de vue officiel sur le confinement, le port du masque, la distanciation et les vaccins. Les méthodes utilisées pour contrer les opinions divergentes peuvent être classées en quatre catégories : submersion, ignorance, censure et attaque. »

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  12. Inondation (Flooding) : l’inondation consiste à diffuser massivement un discours dominant pour noyer les perspectives alternatives. Pendant la pandémie, les messages sur les confinements, le port du masque, la distanciation sociale et les vaccins ont saturé les médias, rendant les points de vue hétérodoxes quasi invisibles. Martin explique : « On peut considérer que la submersion crée une sorte de secret de fait : les opinions dissidentes se perdent dans le volume d’expressions de l’opinion conventionnelle. Dans la métaphore de l’aiguille dans la botte de foin, cela revient à mieux cacher l’aiguille en empilant plus de foin. »

    Par exemple, les autorités ont peu promu l’exercice physique comme moyen de renforcer l’immunité, malgré des études montrant son efficacité contre la sévérité du COVID-19.

    Ignorance (Ignoring) : l’ignorance repose sur le choix de ne pas financer ni publiciser les recherches contraires à l’orthodoxie, un phénomène lié à la « science non réalisée » (undone science). Peu d’études ont été menées sur les effets négatifs des confinements ou sur des traitements alternatifs comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. Les critiques légitimes, notamment sur les effets secondaires des vaccins, ont été largement ignorées, renforçant l’illusion d’un consensus scientifique unanime.

    Censure (Censoring) : la censure a activement empêché la diffusion de points de vue divergents. Martin cite les Twitter Files, qui révèlent la suppression systématique de contenus critiques sur les réseaux sociaux. Des plateformes comme YouTube et Facebook ont retiré des vidéos ou des publications qualifiées de « désinformation », souvent sans transparence. Cette censure, justifiée par la lutte contre la désinformation, a parfois alimenté la méfiance envers les autorités.

    Attaque (Attacking) : Les attaques visaient à discréditer ou réduire au silence les figures hétérodoxes. Martin évoque le Dr Pierre Kory, défenseur de l’ivermectine, qui a subi des suspensions de comptes et des menaces professionnelles. Le rapport du Centre Contre la Haine en Ligne (Center for Countering Digital Hate CCDH), ciblant les « Douze Désinformateurs », illustre comment des campagnes médiatiques ont cherché à délégitimer les critiques des vaccins, souvent sans débat équitable.

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  13. Une grille pour décrypter les comportements médiatiques

    Le cadre de Martin permet de comprendre pourquoi les médias relayaient souvent le discours officiel sans questionner ses failles. L’inondation a saturé l’espace public, l’ignorance a marginalisé les études critiques, la censure a limité la pluralité, et les attaques ont polarisé le débat. Comme Martin le conseille, « lorsqu’ils sont confrontés à une submersion, les contestataires doivent penser à contacter le public directement, et non par l’intermédiaire des autorités ou des médias grand public. »

    Ce schéma explique la sous-représentation de sujets comme les effets secondaires des vaccins ou les coûts sociaux des confinements. Martin met aussi en garde contre les risques d’une telle dynamique : « Il existe un risque supplémentaire. En tentant d’imposer un discours unique, certaines personnes peuvent devenir méfiantes à l’égard des autorités et des médias dominants, et se positionner à contre-courant à l’avenir, même si le point de vue dominant sert au mieux le bien-être de l’humanité. »

    Réactions sur X : un écho dans la communauté en ligne

    L’article de Martin a suscité des réactions sur X, reflétant l’intérêt pour son analyse. Par exemple, Fred Stalder (@sudokuvariante) a partagé le 12 avril 2025 : « Un excellent article qui décrit les stratégies de contrôle de l’information en faveur d’un point de vue officiel unique pendant la pandémie de covid : inonder, ignorer, censurer et attaquer. »

    De même, Viviane Cuendo (@CuendetV) a publié le 13 avril 2025 une traduction humaine intégrale de l’article en français :

    À la lumière de l’actualité : Bhattacharya et Kennedy Jr.

    L’actualité récente illustre la pertinence de l’analyse de Martin. Le 5 mars 2025, le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la Great Barrington Declaration, a témoigné lors d’une audition de confirmation devant le comité de la Santé, de l’Éducation, du Travail et des Pensions (HELP) du Sénat américain, dans le cadre de sa nomination à la tête des National Institutes of Health (NIH) par le président Donald Trump. Bhattacharya a dénoncé la censure dont il a été victime, notamment la marginalisation de ses propositions pour une protection ciblée des populations vulnérables.

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  14. Le 25 mars 2025, le Sénat a confirmé la nomination de Bhattacharya par 53 voix contre 47, une décision décrite comme une « onde de choc » aux États-Unis. Cette nomination est perçue comme un tournant, marquant un retour à une science centrée sur le patient plutôt que sur la maladie, et une volonté de restaurer l’intégrité scientifique au sein d’une institution dotée d’un budget de 48 milliards de dollars. Aux USA, la vraie science reprend sa place, et le ‘monde d’avant’ – cet enfer technocratique où l’humain était sacrifié sur l’autel des pathologies – serait-il enfin sur le point de s’effondrer ?

    Par ailleurs, la nomination de Robert Kennedy Jr. comme secrétaire d’État à la Santé américain, confirmée le 13 février 2025 par un vote serré de 52 voix contre 48, reflète une reconnaissance des préoccupations des dissidents. Ciblé par le rapport du CCDH, Kennedy incarne le phénomène de « backfire » (effet boomerang) décrit par Martin : la censure excessive peut amplifier l’attention portée aux idées qu’elle cherche à étouffer. Ces deux nominations montrent que les mécanismes de contrôle, bien qu’efficaces à court terme, perdent de leur emprise lorsque les voix marginalisées gagnent en légitimité.

    Applicabilité en France

    En France, les mécanismes de Martin trouvent un écho marqué. Les médias ont massivement relayé les messages officiels du gouvernement et du Conseil scientifique, inondant l’espace public d’informations sur les confinements, les masques et les vaccins. Les voix dissidentes, comme celle du Pr Didier Raoult, défenseur de l’hydroxychloroquine, ont été marginalisées par l’ignorance et les attaques. Raoult a été caricaturé comme un « charlatan » par certains médias, et ses travaux ont reçu peu d’analyse sérieuse, malgré leur retentissement international.

    La censure a également joué un rôle, avec la suppression de contenus critiques sur les réseaux sociaux. Des vidéos de médecins questionnant les confinements ou les vaccins ont été retirées de YouTube, renforçant l’impression d’un discours unique. L’ignorance des alternatives, comme l’exercice ou la nutrition pour renforcer l’immunité, a été frappante : les autorités sanitaires ont privilégié les vaccins, négligeant des approches complémentaires.

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  15. Ce climat a exacerbé la défiance envers les institutions, un phénomène amplifié par le déclassement de la France en « démocratie défaillante » par The Economist en 2021, en raison des restrictions jugées excessives pendant la pandémie. Un sondage de mars 2025 de France-Soir décrit une « crise de confiance sans précédent », avec seulement 30 % des Français faisant confiance au gouvernement pour gérer les crises sanitaires. Cette méfiance s’ancre dans la perception d’une opacité des autorités, renforcée par des scandales comme ceux décrits par Laurent Mucchielli, où il analyse la « délinquance pharmaceutique » et les conflits d’intérêt dans la gestion du COVID-19. De plus, une étude publiée dans International Journal of Environmental Research and Public Health (février 2025) souligne les effets négatifs des politiques COVID-19 sur la cohésion sociale en France, alimentant les tensions.

    Les manifestations contre le pass sanitaire, souvent dépeintes comme irrationnelles, peuvent être lues à travers le cadre de Martin comme une réaction à l’invisibilité des débats scientifiques. Cette défiance persiste, comme en témoigne la faible participation aux campagnes de vaccination saisonnières en 2024.

    Pour aller plus loin : trois pistes à explorer
    Pour approfondir l’analyse de Martin, trois pistes méritent d’être explorées :

    Impact sur la confiance à long terme : les mécanismes de contrôle ont laissé des traces durables. En France, des sondages récents montrent une baisse de la confiance dans les vaccins, avec seulement 55 % des Français se disant prêts à se faire vacciner contre la grippe en 2024, contre 65 % avant la pandémie. Cette érosion de la confiance, décrite dans l’article de France-Soir comme une « rupture », pourrait compliquer la gestion de futures crises sanitaires.

    Comparaison internationale : une analyse comparative avec des pays comme la Suède, qui a privilégié une approche moins restrictive, pourrait éclairer l’impact des mécanismes de Martin. En Suède, l’absence d’inondation massive et de censure stricte a permis un débat plus ouvert, bien que controversé, sur les stratégies sanitaires. Cette comparaison pourrait révéler comment des contextes moins coercitifs influencent la confiance publique.

    Rôle des réseaux sociaux alternatifs : pendant la pandémie, des plateformes comme Telegram ou Rumble sont devenues des refuges pour les voix dissidentes, contournant la censure des grands réseaux. En France, des groupes Telegram ont relayé des critiques sur les politiques COVID-19, attirant des milliers d’abonnés. Explorer ce phénomène pourrait montrer comment les challengers ont adapté leurs stratégies face à l’écologie de contrôle décrite par Martin.

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  16. L’article de Brian Martin offre une grille d’analyse essentielle pour comprendre comment le contrôle de l’information a façonné la gestion de la pandémie. En décortiquant les mécanismes d’inondation, d’ignorance, de censure et d’attaque, il met en lumière les dynamiques qui ont marginalisé les voix dissidentes, souvent au détriment du débat scientifique.

    Comme il le souligne, « faire taire les opinions dissidentes implique que les opinions des autorités et de leurs porte-parole soient correctes et vitales, qu’il n’y ait aucun intérêt à les vérifier et qu’il n’y ait aucun risque qu’elles soient erronées ou préjudiciables.

    Cela suppose également que le public est incapable de se faire sa propre opinion en connaissance de cause lorsqu’il est exposé à des opinions contraires et qu’il faut donc le protéger de ces opinions en ne les mentionnant jamais ou en les discréditant. »

    Les nominations de Jay Bhattacharya et Robert Kennedy Jr. montrent que ces mécanismes, bien qu’efficaces à court terme, peuvent perdre leur emprise face à la résilience des critiques. En France, où la défiance envers les institutions s’amplifie, exacerbée par le déclassement démocratique et les scandales pharmaceutiques, l’analyse de Martin appelle à repenser la transparence et la pluralité dans les crises futures. Comme il l’indique, une question persiste : « Qu’ont-ils cherché à cacher ? »

    https://www.francesoir.fr/societe-economie-sante-science-tech/les-mecanismes-de-controle-de-l-information-pendant-la-pandemie

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  17. Le remède contre le cancer oublié, caché à la vue de tous

    Comment le DMSO transforme un colorant courant en un traitement anticancéreux très puissant, inoffensif pour les tissus sains


    UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
    12 AVRIL 2025


    Aperçu
    • Le DMSO est une substance sûre et naturelle, remarquablement efficace contre un large éventail de maladies, notamment la douleur, les blessures et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

    • Le DMSO dissout efficacement divers médicaments et les transporte dans tout l'organisme. Cela augmente leur efficacité, permet leur administration à travers la peau et leur permet de cibler des zones profondes de l'organisme (par exemple, les infections résistantes) que d'autres thérapies ont du mal à atteindre.

    • Grâce à divers mécanismes, le DMSO cible sélectivement les cellules cancéreuses et atténue simultanément les conséquences des thérapies anticancéreuses. Il permet également d'utiliser des thérapies anticancéreuses conventionnelles et naturelles sur les tumeurs, augmentant ainsi considérablement leur efficacité (tout en permettant l'utilisation d'une dose beaucoup plus faible et moins toxique).

    Associé à l'hématoxyline (un colorant largement utilisé en pathologie), le DMSO devient un traitement anticancéreux très puissant, exploitant ses propriétés anticancéreuses intrinsèques et détruisant directement les cellules cancéreuses. Il cible également les cancers de manière très spécifique sans affecter les cellules normales, ce qui lui permet de dissoudre les cellules cancéreuses à des doses pratiquement inoffensives pour le patient.

    Malgré la facilité d'accès à ses ingrédients et ses résultats remarquables, cette thérapie (comme de nombreux autres traitements alternatifs contre le cancer) était presque totalement tombée dans l'oubli. Heureusement, un fil conducteur de connaissances a permis de préserver cette découverte vieille de soixante ans, notamment grâce à un médecin qui a passé les quinze dernières années à perfectionner cette thérapie oubliée et à traiter avec succès des patients atteints de cancer.

    Cet article abordera tout ce que l'on sait sur le DMSO-hématoxyline, notamment ses mécanismes d'action, les cancers auxquels il répond (par exemple, il est très efficace contre les leucémies et les anémies associées et peut souvent traiter des cancers avancés pour lesquels aucun autre traitement ne fonctionne), et son utilisation à domicile et en milieu médical.

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  18. Au cours des six derniers mois, j'ai œuvré à attirer l'attention du public sur le diméthylsulfoxyde (DMSO), une thérapie naturelle oubliée qui traite rapidement un large éventail de pathologies et dont de nombreuses études ont démontré l'innocuité (à condition qu'elle soit utilisée correctement) et, surtout (grâce à la loi DSHEA de 1994 qui a légalisé toutes les thérapies naturelles), qui est désormais facilement accessible. Convaincu que le DMSO a énormément à offrir à la communauté médicale et aux patients, j'ai donc travaillé avec diligence pour rassembler les preuves qui plaideraient le plus en faveur de sa redécouverte. Ainsi, tout au long de cette série, j'ai présenté plus d'un millier d'études démontrant l'efficacité du DMSO dans le traitement de :

    Accidents vasculaires cérébraux, paralysies, divers troubles neurologiques (par exemple, le syndrome de Down et la démence) et de nombreux troubles circulatoires (par exemple, la maladie de Raynaud, les varices, les hémorroïdes), dont j'ai parlé ici ;

    De nombreuses lésions tissulaires, telles que les entorses, les commotions cérébrales, les brûlures, les incisions chirurgicales et les lésions de la moelle épinière (dont j'ai parlé ici ;

    Douleur chronique (par exemple, due à une hernie discale, une bursite, l'arthrite ou un syndrome douloureux régional complexe), dont j'ai parlé ici ;

    De nombreuses maladies auto-immunes, protéiques et contractiles, telles que la sclérodermie, l'amylose et la cystite interstitielle (dont j'ai parlé ici ;

    De nombreuses affections cérébrales, telles que les acouphènes, la perte de vision, les problèmes dentaires et la sinusite (dont j'ai parlé ici ;

    Un large éventail de maladies des organes internes, telles que la pancréatite, l'infertilité, la cirrhose du foie et l'endométriose (abordées ici).

    Un large éventail d'affections cutanées, telles que les brûlures, les varices, l'acné, la chute des cheveux, les ulcères, le cancer de la peau et de nombreuses maladies dermatologiques auto-immunes (abordées ici).

    De nombreuses maladies infectieuses complexes, notamment les infections bactériennes chroniques, l'herpès et le zona (abordées ici).

    C'est incroyable, mais pensez un instant à ce rapport de 1980 de 60 Minutes qui corrobore en grande partie ces informations :

    Heureusement, de la même manière que le DMSO a connu un succès dans les années 1960, l'apport de preuves lui a permis de connaître un regain d'intérêt rapide (j'ai par exemple reçu plus de 2 000 témoignages de lecteurs qui ont souvent constaté des améliorations remarquables grâce à son utilisation).

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  19. Parmi les nombreuses utilisations du DMSO, la moins appréciée est son application contre le cancer, en raison des enjeux politiques entourant les thérapies anticancéreuses « non prouvées ».

    Le Dr Stanley Jacob [le pionnier du DMSO] connaît également les travaux de Tucker. Il lui a d'ailleurs téléphoné quelques jours avant l'émission « 60 Minutes » de Mike Wallace sur CBS pour s'informer des progrès du traitement du cancer. Jacob minimise le lien entre le DMSO et le cancer, car il a déjà bien du mal à faire reconnaître la substance pour toutes ses autres utilisations spécifiques. Il ne veut pas non plus avoir à lutter contre l'étiquette de « charlatanisme contre le cancer ».

    C'est pourquoi j'ai récemment publié un article sur les propriétés remarquables du DMSO dans le traitement du cancer et j'en ai cité des centaines.

    À ce titre, j'ai récemment publié un article sur les propriétés remarquables du DMSO dans le traitement du cancer et cité des centaines d'études démontrant que :

    • Le DMSO permet à un large éventail de cellules cancéreuses de se transformer en cellules normales.
    • Le DMSO ralentit la croissance de nombreux cancers.
    • Le DMSO permet au système immunitaire de cibler et d'éliminer les cancers qu'il était auparavant incapable d'éliminer.
    • Le DMSO traite de nombreuses complications difficiles du cancer, telles que la douleur cancéreuse et l'amylose due au myélome multiple.
    • Le DMSO protège les tissus des lésions dues à la radiothérapie et à la chimiothérapie.
    • Le DMSO renforce l'efficacité de nombreux traitements anticancéreux (radiothérapie ou chimiothérapie, par exemple), garantissant ainsi un taux de réussite plus élevé et une réduction significative des complications (grâce à l'utilisation de doses moins toxiques).

    Il est remarquable de constater que, malgré l'utilisation régulière des propriétés anticancéreuses du DMSO dans les expériences en laboratoire (y compris celles visant à trouver des agents anticancéreux possédant ces mêmes propriétés), le domaine du cancer présente un angle mort frappant quant à son utilisation. De ce fait, dans la littérature existante, il n'est presque jamais évoqué comme un traitement potentiel.

    Parmi ces nombreuses utilisations, les deux plus remarquables sont, à mon avis, la capacité du DMSO à atténuer les complications complexes du cancer (par exemple, la douleur cancéreuse ou la protection des tissus sains contre la radiothérapie) et sa capacité à potentialiser d'autres agents anticancéreux.

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  20. La découverte de Tucker

    Actuellement, la plupart des médicaments que nous utilisons sont développés selon un système mécaniste où des cibles biologiquement pertinentes dans l'organisme (par exemple, des récepteurs ou des enzymes) sont identifiées par la recherche. Les composés sont ensuite criblés en masse pour déterminer leur capacité à affecter ces cibles. Ceux qui peuvent induire un changement pertinent sont ensuite soumis à un processus de sélection (qui peut impliquer des tests sur des animaux, puis parfois sur des humains) afin d'identifier, parmi ce large éventail de candidats, celui qui présente un bénéfice.
    Remarque : les composés sont parfois conçus sur mesure pour affecter les récepteurs ou identifiés par des systèmes d'IA plutôt que par des tests physiques sur un large échantillon.

    En revanche, auparavant, la conception de médicaments était un processus aléatoire, et des découvertes incroyables étaient souvent le fruit du hasard ou d'une supposition totalement erronée.

    Par exemple, le premier antibiotique a été développé en mélangeant une substance connue pour sa toxicité bactérienne (l'arsenic) avec un colorant qui colorait les parois cellulaires bactériennes, en partant du principe que ce colorant permettrait à l'arsenic de cibler sélectivement les bactéries plutôt que l'organisme (la quasi-totalité des tentatives ayant échoué). Après des décennies de tentatives pour reproduire cette approche, un autre colorant efficace a été découvert, mais on a rapidement découvert que l'agent antimicrobien n'était pas le colorant lui-même, mais plutôt un produit métabolique incolore, le sulfanilamide.

    De même, l'une des thérapies les plus remarquables que je connaisse (l'irradiation sanguine aux ultraviolets) a été initialement développée en partant du principe que l'exposition de toute la circulation sanguine aux UV stériliserait la circulation sanguine et traiterait ainsi une infection mortelle. Cela n’a pas fonctionné (cela a tué les chiens de test), mais peu de temps après, l’inventeur a accidentellement irradié seulement une petite fraction du sang du chien et a obtenu des résultats remarquables, car l’introduction d’une petite quantité de lumière UV dans la circulation transforme la physiologie humaine et permet à la capacité d’auto-guérison du corps de traiter un large éventail de maladies (par exemple, l’UVBI est un traitement très efficace contre les infections bactériennes et virales, les troubles circulatoires et les maladies auto-immunes).

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  21. Tucker a ensuite décidé de mener des études de toxicité (initialement chez le chien) où il a constaté que de fortes concentrations de DMSO IV mélangé à de l’hématoxyline n’avaient aucune toxicité pour les tissus ou organes examinés (et ne s’accumulaient dans aucun tissu non cancéreux). Curieusement, le mélange qu’il a réalisé était bien moins toxique que le DMSO IV seul (qui est extrêmement sûr et ne présentait de problèmes de toxicité qu’à des concentrations assez élevées), les animaux pouvant tolérer environ quatre fois plus de DMSO IV une fois mélangé à de l’hématoxyline. Remarque : le seul changement physiologique observé avec la D-hématoxyline était une diminution typique d’environ 50 % de l’azote uréique sanguin, ce qui indique que ce mélange améliorait la fonction rénale.

    Il a ensuite commencé à traiter des cancers spontanés chez l’animal (par exemple, chez les chevaux, les chiens et les vaches), dont des cas terminaux avec des tumeurs massives (par exemple, un lymphosarcome à grandes cellules, un lymphosarcome à petites cellules, un mélanome malin généralisé, un carcinome épidermoïde) ainsi qu’un sarcome ostéogène. Dans tous ces cas, la réponse a été rapide et l’animal s’est rétabli par la suite.

    Remarque : Tucker a constaté que l’hématoxyline seule n’avait aucun effet sur les cellules cancéreuses (comme l’avaient fait des chercheurs précédents qui l’avaient testée sur des lignées cellulaires de carcinome, de sarcome et de leucémie), tandis que des chercheurs ultérieurs ont constaté que le DMSO seul avait des effets anticancéreux minimes par rapport au mélange, alors qu’ils ne pouvaient pas administrer l’hématoxyline seule (car sans DMSO, elle est pratiquement insoluble dans une solution intraveineuse). À l’avenir (par souci de concision), je désignerai le mélange DMSO-hématoxyline par « D-hématoxyline » (terme que j’ai inventé en écrivant ceci).

    William Daniel, ancien gouverneur de Guam et ami de Tucker, téléphona au médecin : « E.J., j’ai un chien cancéreux dans mon ranch qui souffre terriblement. Pourriez-vous faire quelque chose pour l’aider, ou dois-je le faire abattre ?»

    « J’aimerais beaucoup essayer », répondit Tucker. « J’enverrai mon technicien récupérer le chien immédiatement.»

    Le technicien amena l’animal chez le vétérinaire de Tucker, le Dr Collins, pour examen. Le vétérinaire diagnostiqua un lymphosarcome à grandes cellules qui envahissait le corps du chien. « Le pauvre animal est en train de mourir étouffé par les tumeurs de sa gorge, et il a de grosses tumeurs sur tout le corps », déclara le Dr Collins au téléphone. « Je ne pense pas qu’il vivra assez longtemps pour être transporté dans votre laboratoire.»

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  22. Tucker dit : « Transfusez-le, donnez-lui du sang rapidement et laissez-moi le soigner. »

    Le médecin emmena le chien, à peine vivant, au laboratoire et lui injecta une solution de DMSO-hématoxyline par voie intraveineuse. Son technicien prit le relais et administra les injections quotidiennement. En deux semaines, toutes les tumeurs avaient disparu. Cela lui parut miraculeux.

    Lors de l'examen du chien par Tucker, il constata que tous les lymphosarcomes à grandes cellules avaient complètement régressé. Les énormes masses présentes dans le cou et sur tout le corps de l'animal avaient disparu, et le chien sortit du traitement complètement guéri.

    Le chien se portait bien au laboratoire lorsqu'un accident malheureux causa sa mort. Il avait ingéré une grande quantité de viande contaminée au malathion, un insecticide. Tucker pratiqua une autopsie, qui ne révéla aucune cellule cancéreuse active dans les vestiges des nodules lymphomateux auparavant volumineux. De nombreuses cellules fantômes – des cellules autrefois cancéreuses mais qui n'en étaient plus – apparurent sur les coupes microscopiques. Il ne subsistait plus une seule cellule cancéreuse distincte chez le chien.

    De plus, en 2019, bien après que Tucker ait mené ses expériences de toxicité, pour aider l'équipe équatorienne, Roger Tapia, étudiant en médecine vétérinaire, a mené sa propre étude sur la DL50 dans le cadre de son mémoire de fin d'études. Il a administré des injections intrapéritonéales de D-hématoxyline à 70 souris et a déterminé que :

    • La DL50 de la D-hématoxyline était de 1 257,16 mg/kg d'hématoxyline (± 159,10 mg/kg), ce qui est très sûr (et 10 à 100 fois moins toxique que de nombreux médicaments anticancéreux couramment utilisés).
    Remarque : la DL50 de l'hématoxyline seule est également assez faible (par exemple, la DL50 orale est supérieure à 2 000 mg/kg), mais il existe relativement peu de données sur sa DL50 réelle, car elle n'est pas destinée à la consommation humaine (par exemple, les données n'existent que pour la DL50 orale et la DL50 réelle est inconnue, car une dose suffisamment élevée pour être mortelle pour la moitié des personnes exposées n'a jamais été testée). À des doses plus faibles (par exemple, de 5,5 mg/kg à 550 mg/kg), une faible activité, des tremblements et une respiration accélérée ont été observés, régressant après une heure. À des doses plus élevées, des spasmes, une suffocation et finalement le décès sont survenus (probablement dû à un collapsus respiratoire).
    Remarque : les auteurs de l’étude soupçonnaient que ces symptômes étaient probablement dus au choc d’une injection intrapéritonéale et à une injection trop rapide (ce qui peut être évité par une administration intraveineuse prudente).

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  23. • Chez les rats décédés, une accumulation de liquide a été observée dans la cavité abdominale et autour des poumons, ce qui a été attribué à une vasodilatation et à une fragilité vasculaire accrue.

    • À toutes les doses (y compris les doses létales), le mélange n'a entraîné aucune modification de la forme, du poids ou de la taille des organes internes (ce qui, selon moi, était dû au fait que la D-hématoxyline ne s'accumule pas dans les tissus normaux).

    L'étude complète est disponible ici :

    Étude sur la DL50 de l'hématoxyline du DMSO
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    Remarque : bien que Tucker ait constaté que le DMSO IV associé à l'hématoxyline était quatre fois moins toxique que le DMSO seul, j'ai comparé la DL50 intrapéritonéale (IP) obtenue dans cette étude aux valeurs reconnues pour le DMSO et constaté que le DMSO seul était moins toxique.

    Les patients de Tucker

    À partir de ces expériences, Tucker a progressivement déterminé un dosage efficace de D-hématoxyline et était donc prêt à l'administrer à l'homme. Il a commencé à informer ses collègues de l'hôpital de ses découvertes et, peu après, un collègue a contacté une patiente comateuse, au bord de la mort, atteinte d'un fibrosarcome inopérable. Comme il s'agissait de sa première patiente humaine, Tucker lui a administré une perfusion très lente et, au fil des semaines de traitement, la tumeur a progressivement régressé jusqu'à être suffisamment petite pour être retirée (elle a alors complètement récupéré).

    Remarque : dans notre bureaucratie médicale moderne, un tel traitement n'aurait probablement jamais pu être approuvé.

    Par la suite, il a traité de nombreux patients et, suite à l'interdiction de la recherche sur le DMSO par la FDA en 1965, il a mené un petit essai au Panama avec un collègue. Après de nombreuses difficultés, il a réussi à faire publier ses cas en 1968. Il y a décrit 37 patients qu'il avait traités pour des cancers récurrents (à l'exclusion des patients en phase terminale ou présentant une urée sanguine nettement élevée). Parmi eux, 70,5 % des patients sous autre traitement (radiothérapie, chirurgie ou chimiothérapie, comme le 5-fluorouracile (5FU), le méthotrexate et le thiotépa) ont vu leur état s'améliorer, 38,1 % des patients sous hématoxyline ont vu leur état s'améliorer (généralement uniquement leurs symptômes, mais un cas de léiomyosarcome a régressé et a été retiré chirurgicalement), tandis que seulement 5,4 % des patients sous traitement conventionnel ont vu leur état s'améliorer.

    Les patients plus jeunes atteints de cancers agressifs ont généralement mieux répondu que les patients plus âgés, tout comme ceux ayant reçu une chimiothérapie minimale ou inexistante et ceux recevant des doses totales plus élevées (par exemple, 50 perfusions) ou une combinaison de D-hématoxyline topique et IV.

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  24. Remarque : au fil des décennies, Tucker aurait administré son mélange par voie intraveineuse, orale, intralésionnelle, intra-artérielle, rectale et topique (les applications topiques de D-hématoxyline étant particulièrement utiles pour le cancer du col de l'utérus). À l'inverse, les médecins que j'ai consultés ultérieurement (et qui ont constaté l'efficacité de ces voies d'administration) ont conclu, de manière évidente, à l'injection de D-hématoxyline dans les tumeurs, mais, curieusement (leurs tentatives limitées) n'ont jamais abouti à une telle conclusion.

    En revanche, les patients atteints de maladies plus terminales ont eu de moins bons résultats (ce qui s'est vérifié avec pratiquement toutes les thérapies alternatives contre le cancer, ce qui est regrettable, car leur utilisation n'est autorisée dans les cas terminaux qu'après l'échec de toutes les autres). De plus, les patients atteints de lymphosarcome à grandes cellules, de tumeurs osseuses à cellules géantes, de léiomyosarcome et d'adénocarcinomes du sein ou de l'ovaire ont présenté des réponses positives à la D-hématoxyline, tandis que ceux atteints de carcinomes épidermoïdes (col de l'utérus, poumon ou bouche) et d'adénocarcinomes (prostate, estomac) ont présenté des réponses positives mineures, mais ont finalement succombé à leur cancer. Remarque : un autre auteur a signalé que la D-hématoxyline était efficace contre le carcinome épidermoïde, l’adénocarcinome, le lymphosarcome, le lymphome et les tumeurs malignes associées telles que la maladie de Hodgkin.

    Nombre de ces cas étaient remarquables. Les deux cas de lymphosarcome à grandes cellules ont montré une régression complète, sans récidive, bien au-delà du rapport de Tucker de juin 1968 (un patient est décédé d'une crise cardiaque dix ans plus tard, tandis que l'autre était toujours en vie des décennies plus tard). De plus, un cas de tumeur maligne à cellules géantes, touchant environ un tiers du fémur, a connu une régression complète accompagnée d'une régénération osseuse.

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  25. • Enfin, dans ces 37 cas, les complications ont été minimes (y compris chez un patient qui a été évalué en continu pendant 72 traitements [2 ml] par D-hématoxyline). L'effet secondaire le plus fréquent chez les patients de Tucker était la fièvre chez les patients présentant de grosses tumeurs (qui durait généralement environ 35 minutes et était moins intense si des doses plus faibles étaient utilisées ou si la tumeur avait commencé à rétrécir). De plus, si la D-hématoxyline était perfusée trop rapidement, quelques patients ont développé un essoufflement (qui a immédiatement disparu après l'arrêt de la perfusion et l'administration de Demerol). Des éruptions cutanées pouvaient également survenir (on soupçonnait qu'elles étaient dues à l'absorption de tissu tumoral nécrotique). Les complications les plus graves survenaient suite à l'absorption de grandes quantités de tissu nécrotique (par exemple, les patients en phase terminale présentant un taux élevé d'acide urique cessaient d'uriner en cas de nécrose tumorale trop importante). Tucker était donc beaucoup plus prudent dans ces cas et utilisait des doses plus faibles afin de ne pas éliminer la tumeur trop rapidement. Enfin, aucun changement n'a été observé au niveau des yeux (ce qui constituait une inquiétude infondée de longue date concernant le DMSO) ni au niveau de la numération globulaire (un problème fréquent en chimiothérapie).

    Remarque : cet article (qui inclut de nombreux cas cliniques détaillés) étant difficile à trouver en ligne, j'en joins une copie.

    Article de Tucker sur l'hématoxyline
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    Malheureusement, après la publication de cet article par Tucker, l'American Cancer Society (en 1971) a publié un bulletin adressé à ses 58 divisions, déclarant que la D-hématoxyline était un remède « non prouvé », fournissant très peu d'éléments pour réfuter son efficacité et ne mentionnant aucune toxicité potentielle (suggérant que la D-hématoxyline est tout à fait sûre, car tout signe de toxicité aurait été utilisé pour discréditer la thérapie). Tucker a malheureusement reçu de nombreuses critiques de la part de ses collègues pour avoir utilisé un « médicament non approuvé » (par exemple, malgré son grand respect au sein de la communauté médicale, il a été exclu du personnel de deux hôpitaux pour avoir administré le traitement et craignait réellement de perdre son droit d'exercer la médecine), de sorte qu'il n'a plus rien publié. De même, il devint beaucoup plus sélectif dans le choix de ses patients (par exemple, uniquement les patients en phase terminale et les personnes démunies), généralement gratuitement ou pour une somme modique (mais il réussit néanmoins à traiter de nombreux patients atteints de cancer dans les années qui suivirent).

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  26. Note : Andrew Ivy (sans doute le médecin le plus influent des États-Unis à la fin de la Seconde Guerre mondiale), comme Tucker, théorisa l'existence d'un facteur sanguin résistant au cancer, et finit par découvrir un isolat (provenant de vaches ayant reçu une injection d'un champignon cancérigène et guéries) qui agissait précisément ainsi. Après avoir refusé de vendre ses services à l'AMA (qui tentait fréquemment de racheter des thérapies concurrentes), il fut mis sur liste noire par la FDA et l'AMA. Malgré des milliers de cas convaincants et bien documentés prouvant son efficacité, sa réputation fut détruite pour avoir promu un « remède contre le cancer non prouvé ».

    Parmi les autres patients de Tucker figuraient :

    • Un garçon de 3 ans atteint de diabète insipide (nécessitant des injections régulières de vasopressine) qui, en 1972, souffrait d’un endothéliome métastatique terminal et de la maladie de Letterer-Siwe. Des lésions cancéreuses palpables et solides s’étaient propagées à la tête et au corps. Ses médecins avaient abandonné cette hypothèse et s’attendaient à sa mort en quelques années. Pire encore, le père les avait abandonnés pour échapper au cancer, laissant la mère démunie et luttant pour sa survie. Tucker donna alors à la mère désespérée du garçon un flacon compte-gouttes de D-hématoxyline à prendre 5 gouttes dans de l’eau distillée chaque matin à jeun et lui recommanda d’informer ses médecins de sa situation.

    Mme Lindsey revint le lendemain, complètement désemparée. Entre sanglots et larmes, elle expliqua comment le personnel de l’hôpital pour enfants du Texas, furieux, lui avait dit de ne plus jamais revenir si elle utilisait le médicament de Tucker pour le cancer de son fils. Cela signifiait que son approvisionnement en Pitressin pour traiter le diabète hydrique du petit garçon était complètement coupé, faute d'argent pour en acheter davantage.

    Cette scène se déroulait à portée de voix d'autres patients assis dans le salon de Tucker. Ils se passèrent le chapeau et, en quelques minutes, récoltèrent 75 dollars pour que la mère puisse acheter les médicaments contre le diabète de son enfant.

    Heureusement, le traitement de Tucker fonctionna : le garçon se rétablit complètement (à la grande surprise de son ORL, qui avait diagnostiqué une maladie terminale). Lors de sa dernière visite en 1992, il était grand, fort et en bonne santé, âgé de 29 ans.

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  27. • Une femme qui avait vu un journal télévisé de trois heures en 1972, animé par le présentateur Ron Stone de KHOU-TV Houston, sur les traitements de Tucker, l'avait consulté car elle souffrait d'un lymphosarcome disséminé à grandes cellules (tumeurs importantes dans les poumons, les artères iliaques communes et les ganglions lymphatiques autour de l'aorte, par exemple) avec une espérance de vie de six mois (après avoir reçu de fortes doses de radiothérapie et de chimiothérapie, sans succès, et avoir finalement dû arrêter la chimiothérapie en raison d'un très faible taux de globules blancs). Tucker lui a administré cinq perfusions de D-hématoxyline par semaine ; elle a cessé de ressentir les effets secondaires de la radiothérapie et, un an plus tard, était complètement guérie (et l'était toujours après 28 ans de suivi).

    Remarque : si quelqu'un à Houston pouvait obtenir un exemplaire de ce journal télévisé auprès de la station (ce qui, je le sais, a été mentionné par plusieurs auteurs du DMSO qui ont fourni des détails différents à ce sujet), ce serait grandement apprécié.

    • Un homme de 41 ans atteint d'un lymphosarcome disséminé, dont le traitement par radiothérapie et chimiothérapie maximales avait échoué et dont la survie n'était estimée qu'à trois mois. Il a reçu de la D-hématoxyline IV tous les deux jours pendant trois mois, après quoi la tumeur a complètement disparu. L'homme a arrêté le traitement et n'a présenté aucune récidive jusqu'à son décès huit ans plus tard (d'une crise cardiaque).

    • Un homme de 44 ans atteint d'un lymphosarcome avancé (avec une grosseur massive au cou) a été traité pendant cinq ans par radiothérapie et chimiothérapie à doses maximales (ce qui a notamment entraîné une absence quasi totale de globules blancs). L'administration quotidienne de D-hématoxyline IV a réduit la taille de sa tumeur cervicale de 57,5 ​​à 47,5 cm (ce qui a permis à son cou de retrouver un aspect normal), mais il a ensuite succombé au cancer, des métastases ayant envahi ses organes internes.

    Un homme de 36 ans atteint d'une maladie de Hodgkin de stade 4 terminal (par exemple, de gros nodules cancéreux au cou et au visage, un gonflement important de l'abdomen et des jambes et une insuffisance cardiaque congestive) a été hospitalisé avec un pronostic vital de seulement quelques jours. Il a reçu de la D-hématoxyline par voie intraveineuse et topique sur ses poumons et, après quatre jours, il était suffisamment rétabli pour rentrer chez lui. Sans traitement continu, ses difficultés respiratoires sont réapparues. Il est donc retourné à l'hôpital et a obtenu une réponse rapide à la D-hématoxyline (par exemple, les premières radiographies du 22 mai ont montré une obstruction pulmonaire quasi totale, mais le 25 mai, une légère amélioration est apparue et le 18 juillet, le cancer avait complètement disparu). Après traitement, il est resté indemne de cancer jusqu'à son décès par insuffisance cardiaque.

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  28. • Un homme de 75 ans, atteint en 1984 d'un carcinome épidermoïde récurrent au niveau du nez (où un carcinome avait été retiré trois ans auparavant), a appliqué de la D-hématoxyline topique. En quelques semaines, le cancer a disparu et le nez a été sauvé d'une intervention chirurgicale défigurante.

    Plus tard, en mars 1978, Tucker a été invité par un groupe de médecins new-yorkais à partager son traitement. En route, K.C. Pani, médecin de la FDA, a demandé à Tucker de partager ses données avec le Dr Pani (Tucker disposait de nombreux dossiers de guérison, de radiographies et de diapositives à montrer).

    Lors de ce voyage, Tucker a emmené Joe Floyd, un cadre d'Exxon Oil, qui, quatre ans plus tôt, avait été atteint d'un cancer du côlon métastatique avancé (par exemple, au niveau des ganglions lymphatiques et du foie) avec un pronostic sombre (d'autant plus qu'il s'agissait d'un lymphosarcome rare). Après l'opération, un chirurgien dont l'épouse souffrait de la même pathologie lui a conseillé de commencer une chimiothérapie, mais il a finalement consulté Tucker (il avait vu le journal télévisé de 1972 deux ans plus tôt). Tucker a finalement accepté de le traiter à titre expérimental (avec de la D-hématoxyline IV et de la D-hématoxyline orale quotidienne). Bien que l'épouse du chirurgien de Floyd soit décédée six semaines plus tard, Floyd « n'a eu ni nausées ni aucun des symptômes habituellement associés à la chimiothérapie » et, après 18 mois, son taux d'ACE (un marqueur du cancer du côlon) était bien inférieur à la normale, et n'a jamais rebondi au cours des années suivantes (et de même, après 15 ans de suivi).

    Le médecin et le patient se sont rendus à Rockville, où Tucker a présenté son dossier médical à la FDA.

    Lorsqu'ils ont examiné le dossier de Floyd, le Dr Pani a demandé : « Combien de temps a duré celui-ci, trois mois ? »

    Tucker a répondu : « Il est assis dans le hall. »

    Pani a dit : « Je veux voir ce mort. »

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  29. Ils ont contacté M. Floyd, qui a raconté son histoire. Le responsable de la FDA, visiblement impressionné, a alors annoncé qu'il prendrait contact avec Tucker prochainement. Il a également mentionné qu'il était en contact avec le Dr Stanley Jacob, de l'Oregon, et qu'il surveillait l'utilisation du DMSO. Environ une semaine plus tard, le médicament a été approuvé pour le traitement de la cystite interstitielle. Aucune autre mesure n'a été prise pour suivre son utilisation contre le cancer, si ce n'est que Tucker a reçu une demande de la FDA pour « approfondir ses recherches ».

    Remarque : la FDA avait brièvement autorisé Tucker à étudier la D-hématoxyline en 1970, mais l'a retirée plus tard dans l'année.

    Floyd a également tenté de contacter de nombreux autres médias. Une lettre qu'il a écrite à un journal, par exemple, a été publiée dans le compte rendu d'une audience tenue en 1980 par le Congrès pour faire pression sur la FDA afin qu'elle légalise le DMSO. On pouvait y lire :

    Pendant que je suivais les traitements du Dr Tucker, j'ai rencontré nombre de ses patients qui venaient pour des examens et qu'il avait guéris. Vous pouvez imaginer mon enthousiasme pour ce traitement. Je voulais faire quelque chose pour que toutes les personnes atteintes de cancer puissent avoir accès à ce médicament. J'en ai parlé à mes amis et connaissances, mais hélas, lorsqu'on en parlait à son médecin traitant, il refusait d'y toucher, surtout s'il n'était pas approuvé pour un usage général ; les hôpitaux refusaient de l'utiliser, même s'il le souhaitait. J'ai commencé à écrire à des membres du Congrès et je recevais une lettre de remerciement avec une signature apposée sur le tampon. Même à l'agonie d'Hubert Humphrey, je lui ai écrit une lettre, mais j'ai reçu une autre lettre de remerciement avec la signature apposée sur le tampon d'Hubert.

    J'ai ensuite écrit à Jimmy Carter, pensant que quelqu'un à la Maison-Blanche pourrait percevoir les possibilités politiques et le lui transmettre. Mais non, l'information a été transmise à la FDA. J'étais enthousiaste : la réponse portait bel et bien une signature : « Harold Davis » Bureau des Médicaments (HFD—35). C'était un gentil « Merci de votre intérêt, mais nous devons protéger la population du charlatanisme, etc. ». Il m'a même envoyé une brochure des Drs Tucker et A. Carrizo [l'autre auteur de l'article de Tucker de 1968], la même que celle que je vous joins et que le Dr Tucker m'a donnée.

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  30. Sur le plan médical, à 23 ans, McCann a également commencé à rechercher des traitements contre le cancer et, une dizaine d'années plus tard, il a adopté le DMSO dès son arrivée aux États-Unis. Après avoir découvert la D-hématoxyline grâce à l'article de Tucker de 1968, il a tenté de se procurer de l'hématoxyline, mais n'y est pas parvenu initialement, l'accès étant restreint à l'époque (et s'est alors concentré sur la chélation par EDTA). Finalement, vers 1985, il l'a utilisée chez un patient atteint d'un cancer de la prostate à l'article de la mort. Incertain de la conduite à tenir, il a administré une dose élevée qui a permis une guérison complète.

    Par la suite, il a soigné quelques autres personnes au Canada (environ cinq), a essuyé une forte opposition de la part de la communauté médicale alternative pour avoir pratiqué la médecine sans permis et, en 1995, s'est installé à Riobamba, une ville perchée dans les montagnes de l'Équateur.

    Au départ, il utilisait le DMSO (et des thérapies par chélation comme l'EDTA) pour traiter les accidents vasculaires cérébraux et les maladies cardiaques, mais il a finalement commencé à utiliser également la D-hématoxyline. Suite à ses résultats, les médecins ont commencé à le solliciter et ont formé directement une vingtaine de médecins (dont certains n'étaient pas équatoriens, comme un médecin polonais et un médecin philippin qui s'est fait connaître pour avoir traité avec succès de nombreux patients atteints de la COVID-19 avec de l'ivermectine), ainsi que de nombreux patients du monde entier (et de nombreux Témoins de Jéhovah de la communauté de McCann). L'Équateur est ainsi devenu un foyer de thérapies alternatives et, selon les estimations de McCann, une centaine de médecins (dont beaucoup n'avaient jamais été formés par lui) ont commencé à utiliser la D-hématoxyline.

    Vers la fin de sa vie (à l'âge de 90 ans), McCann a accepté de mener un entretien lucide avec un médecin qui avait fait dix heures de bus pour le consulter (dont vous pouvez écouter quelques extraits ci-dessous).

    McCann y expliquait :

    • La plupart des doses de D-hématoxyline qu’il utilisait (surtout les premières) étaient excessives, car il pensait que le patient mourrait rapidement de toute façon ; il valait donc la peine de miser sur une dose potentiellement toxique pour le guérir.

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  31. Les cancers ayant bien répondu à la D-hématoxyline (dont certains sont par ailleurs extrêmement difficiles à traiter) comprenaient :

    • Leucémies (en particulier la leucémie aiguë)
    • Sarcomes (dont les sarcomes des tissus mous et l’ostéosarcome)
    • Léiomyosarcome
    • Cancer des voies biliaires
    • Lymphome non hodgkinien
    • Carcinome de l’ovaire
    • Tumeurs médiastinales
    • Cancer de la vessie
    • Cancers à phénotype tumoral à cellules géantes

    Remarque : la survie des néoplasmes myéloprolifératifs (par exemple, la polyglobulie essentielle, la thrombocytémie essentielle et la myélofibrose primitive) dépend d’une protéine mutante, dont la capacité à être perturbée par quelques petits composés, dont l’hématoxyline, a été démontrée. Bien que la D-hématoxyline n’ait pas été testée sur ces maladies, cette étude (ainsi que les autres effets connus du DMSO et de la D-hématoxyline) suggère qu’elle pourrait constituer un traitement efficace.

    Les cancers ayant présenté une réponse plus faible comprenaient :

    • Tumeurs « solides »
    • Cancer du poumon
    • Cancer du côlon
    • Cancer gastrique
    • Mélanome
    • Métastases osseuses
    • Cancer du cerveau (nécessitant un traitement plus long)

    De plus, si un marqueur cancéreux est associé à la tumeur (par exemple, l'ACE ou le PSA), son taux chute souvent rapidement, ce qui facilite le suivi de la progression de la D-hématoxyline.
    Remarque : le taux de ce marqueur tumoral peut initialement augmenter (en raison de la dégradation et de la libération de ses composants par le cancer dans la circulation sanguine), mais il diminue rapidement.

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  32. Comme le montrent les cas suivants, de nombreuses améliorations ont été importantes :

    • Une patiente de 54 ans atteinte d'un lymphome de Hodgkin classique ayant envahi 72 % de sa moelle osseuse, avec expression CD20 positive. Elle présentait divers symptômes (par exemple, épanchements pleuraux récurrents et anémie), mais comme sa religion ne lui permettait pas de recevoir de transfusions sanguines, elle n'a reçu que de la D-hématoxyline et de l'EDTA, puis s'est complètement rétablie (sans récidive après douze ans de suivi). L'aspect le plus frappant de ce cas a été l'évolution de sa biopsie de moelle osseuse : après trois mois de traitement par D-hématoxyline (contrairement à la chimiothérapie), celle-ci a détruit sélectivement les cellules cancéreuses, permettant aux cellules normales de repousser et a rapidement traité son anémie.

    • Patiente de 72 ans atteinte de leucémie, anémique, dont l'anémie s'est rapidement améliorée après un traitement par D-hématoxyline :

    De même, des modifications similaires de la moelle osseuse ont été observées chez elle.

    Remarque : une autre patiente leucémique similaire sous D-hématoxyline et anémique n'a présenté aucune amélioration. Après enquête, il a été déterminé que cela était dû au fait qu'elle utilisait régulièrement du WD40 quotidiennement (sans protection respiratoire) et qu'elle souffrait donc d'une intoxication de la moelle osseuse qui endommageait directement la moelle osseuse (et par conséquent, le diagnostic de leucémie pouvait être erroné).

    • Un homme de 16 ans atteint d'un séminome médiastinal a reçu 16 perfusions de D-hématoxyline, 5 perfusions intraveineuses de vitamine C, puis une séance de chimiothérapie (le 7 juillet) combinant cisplatine et bléomycine avec du DMSO (après quoi il a poursuivi sa chimiothérapie et s'est rétabli).

    • Un homme de 63 ans atteint d'un cholangiocarcinome (un cancer rare, agressif et notoirement difficile à traiter des voies biliaires) a reçu de la D-hématoxyline associée à un traitement chélateur et de la vitamine C (mais sans chimiothérapie). Au cours de son traitement, un drain de ses voies biliaires a également été surveillé pour détecter des marqueurs tumoraux.

    De plus, des débris cancéreux étaient visibles dans le drain (un cathéter de drainage biliaire transhépatique percutané interne-externe), un élément désormais indispensable aux médecins équatoriens pour l'utilisation de la D-hématoxyline dans ce cancer.

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  33. Remarque : une autre patiente atteinte d'un cancer des voies biliaires (une femme de 68 ans) a reçu de la D-hématoxyline à titre palliatif en attendant une intervention chirurgicale et une chimiothérapie (qui n'ont finalement pas pu être réalisées en raison du stade avancé du cancer). Ses marqueurs cancéreux se sont significativement améliorés après la D-hématoxyline (et ont continué à baisser pendant les interruptions de traitement), mais elle a finalement perdu la volonté de vivre et est décédée après 16 mois.

    • Un homme de 63 ans atteint d'un syndrome lymphoprolifératif à cellules B, qui a reçu de la D-hématoxyline pendant 10 jours (sans autre traitement), a connu une baisse significative (normalisation) de son taux de globules blancs pendant cette période, puis a arrêté le traitement sur avis de ses hématologues, et est décédé deux ans plus tard de la COVID.

    • Un homme présentait un polype vésical stable, devenu cancéreux suite à une vaccination contre la Covid (le premier signe étant un gros caillot sanguin dans les urines). L'examen s'était propagé à une grande partie de l'endothélium des voies urinaires. Le polype a été retiré chirurgicalement, mais en raison de son ampleur, l'urologue a annoncé au patient qu'il ne survivrait que deux mois. Ils ont ensuite commencé cinq semaines d'administration intravésicale et intraveineuse de D-hématoxyline, et en quatre ans, le cancer n'est jamais réapparu (ce qui a conduit l'urologue à parler à tout le monde de l'intervention chirurgicale « extraordinaire » qu'ils avaient réalisée).

    • Une femme de 55 ans présentant une tumeur médiastinale (de type inconnu car elle était enroulée à 560° autour de l'aorte et ne pouvait donc pas être biopsiée) qui a complètement disparu après 33 traitements quotidiens de D-hématoxyline.

    De plus, voici le scanner avant le traitement, où la tumeur est visible autour de l'aorte :

    Ce scanner a été réalisé deux semaines après le traitement par D-hématoxyline :

    Enfin, après cinq ans de suivi, aucune récidive n'a été observée.

    Une femme de 27 ans atteinte de leucémie aiguë lymphoblastique a mal réagi à deux séances de chimiothérapie. Elle a été classée en phase terminale, puis a commencé un traitement par D-hématoxyline. Elle a constaté une amélioration significative de son cancer et une amélioration simultanée de son anémie, qui s'est poursuivie longtemps après l'arrêt des traitements conventionnels contre l'anémie (qui n'incluaient pas de transfusions sanguines, car elle était Témoin de Jéhovah).

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  34. Dans une vidéo avant (1er février 2020) et après (2 janvier 2020) que j'ai vue de cette patiente, elle semblait initialement très fragile et avait des difficultés à marcher, mais un mois plus tard (après 31 jours de traitement), elle n'avait plus de difficulté à marcher et paraissait dynamique et robuste. De plus, ils ont continué à la surveiller mensuellement et, quatre ans plus tard, elle avait accouché d'un bébé en bonne santé et son hématocrite se situait entre 42 et 48 (un taux légèrement supérieur à la moyenne), indiquant qu'elle ne présentait plus de risque d'anémie (même si les hématologues de l'hôpital avaient prédit que sa grossesse non désirée provoquerait une anémie sévère). De plus, sa VS (qui était significativement élevée avant le traitement) s'est normalisée (et reste normale cinq ans plus tard).

    Enseignements de l'Équateur

    Outre l'efficacité remarquable de la D-hématoxyline, l'équipe équatorienne a pu identifier divers schémas (dont beaucoup reflétaient les observations précédentes de Tucker) qui ont contribué à l'élaboration de leurs protocoles de traitement. Par exemple :

    • Si le DMSO seul peut être efficace dans une certaine mesure contre le cancer, les effets du DMSO associé à l'hématoxyline sont totalement différents de ceux observés avec le DMSO seul.

    • L'équipe a observé de nombreux signes au cours de ses protocoles de traitement indiquant que la D-hématoxyline ciblait sélectivement les cellules cancéreuses.

    • Les cancers n’ont pas développé de résistance à la D-hématoxyline (ce qui est un défi courant avec de nombreuses chimiothérapies).

    • Alors que certaines tumeurs disparaissent rapidement, d'autres types deviennent fréquemment avasculaires (ce qui arrête leur croissance) et se dessèchent, blanchissent ou deviennent fibreux plutôt que de se rétracter directement (j'ai par exemple examiné des cas où un cancer du cerveau a tout simplement cessé de croître). Dans de nombreux cas, ces tumeurs sont alors très faciles à extraire chirurgicalement.

    Remarque : à ma connaissance, toutes les équipes utilisant la D-hématoxyline, à l'exception de l'équipe équatorienne, utilisent encore le protocole de Tucker et n'ont pas cherché à l'améliorer.

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  35. Variations d'efficacité de la D-hématoxyline

    En moyenne, la D-hématoxyline a traité 80 à 90 % des cas où elle a été utilisée, un chiffre qui s'explique par le fait que certains cas ont bien mieux répondu à la D-hématoxyline. Par exemple, chez les patients qui se portent bien trois mois après le traitement, la quasi-totalité d'entre eux ont maintenu une rémission indéfinie et aucune rechute n'a été observée chez les patients n'ayant jamais reçu de chimiothérapie avant un traitement (complet) par D-hématoxyline. Remarque : les patients ayant reçu une chimiothérapie complète avant la D-hématoxyline ont tendance à y répondre le moins bien.

    Par ailleurs :

    • Deux cancers pour lesquels la D-hématoxyline semble très prometteuse sont les cancers des voies biliaires et les leucémies. Bien que les ostéosarcomes aient historiquement bien répondu à la D-hématoxyline, l’équipe équatorienne n’a encore pu traiter aucun cas de ce cancer et ne peut donc le confirmer.

    • Les patients plus jeunes, qui traversaient une vie sans problème et qui ont été soudainement atteints d’un cancer (spontanément ou immédiatement après un autre problème de santé soudain, comme un traumatisme), ont tendance à avoir d’excellentes réponses à la D-hématoxyline.

    • Les cancers d’origine émotionnelle ont tendance à être plus difficiles à traiter et à moins bien répondre à la D-hématoxyline.

    Remarque : de même, Merck a très tôt constaté que les patients souffrant de douleurs psychologiques ne répondaient pas au DMSO et a donc demandé à ses investigateurs du DMSO de ne pas recruter ces patients dans les études sur la douleur.

    • Bien que l'hématoxyline puisse traiter les cancers à évolution rapide et inhabituelle observés chez les personnes vaccinées, son taux de réussite le plus élevé est observé chez les patients non vaccinés (comme chez les patients vaccinés contre la COVID-19, la rémission du cancer, pour une raison inconnue, au lieu d'être permanente, cesse d'être efficace une fois les perfusions régulières interrompues).

    • Les personnes qui reçoivent de la D-hématoxyline et survivent ont tendance à avoir une plus forte envie de vivre (c'est pourquoi cet aspect du traitement doit être encouragé).

    Remarque : Cette observation rejoint ce que d'autres médecins m'ont partagé au fil des ans. Je pense que cela est dû à la fois à la stagnation liquidienne qui réduit l'enthousiasme et le désir de vivre (ce qui est problématique car le cancer provoque fréquemment une stagnation liquidienne – mais heureusement, le DMSO l'élimine souvent) et au fait que les cancérologues prononcent souvent une date de décès pour un patient atteint de cancer, ce qui s'avère remarquablement précis (une forme maligne de suggestion hypnotique parfois appelée effet nocebo ou malédiction médicale).

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  36. Évaluation du traitement

    La D-hématoxyline étant un traitement largement méconnu, il est essentiel que les médecins traitants démontrent son efficacité.

    Heureusement, en deux semaines, la D-hématoxyline fait baisser systématiquement les marqueurs tumoraux élevés (bien que cela puisse être précédé d'un bref pic). Cela permet au patient sceptique et au médecin de constater l'efficacité du traitement. Par conséquent, les patients idéaux pour se familiariser avec la D-hématoxyline sont ceux présentant des cancers dont les marqueurs tumoraux sont significativement supérieurs à la limite supérieure et hautement spécifiques.

    Par ailleurs :

    • Dans les leucémies, au lieu d'utiliser des marqueurs tumoraux, on peut effectuer une numération globulaire hebdomadaire (notamment la numération absolue et les blastocytes, qui, bien que faciles à observer au microscope, peuvent parfois être difficiles à obtenir par les laboratoires classiques).

    • La VS est également utile à suivre (en particulier pour les leucémies).
    Remarque : la VS est fortement corrélée au potentiel zêta, un paramètre essentiel que le DMSO améliore dans une certaine mesure.

    • De même, si possible, une biopsie doit être réalisée avant et après le traitement afin d'évaluer les modifications induites par la D-hématoxyline.

    Protocoles de traitement

    Les protocoles utilisés par l'équipe équatorienne étaient basés sur le protocole original de Tucker et modifiés à mesure que des données supplémentaires devenaient disponibles (par exemple, sur les conseils de Jim McCann, l'EDTA a été fréquemment administré au cours du traitement et on a observé une amélioration des résultats).

    Remarque : de nombreuses thérapies remarquables, notamment contre le cancer, ont été développées du début au milieu des années 1900, grâce aux nouvelles technologies permettant des avancées significatives, mais le complexe médico-industriel n'avait pas encore dominé la recherche médicale. Parmi ces thérapies, j'ai constaté que certaines étaient efficaces comme annoncé, d'autres étaient exagérées, certaines étaient trop rares pour être évaluées, et beaucoup sont moins efficaces aujourd'hui. J'attribue ce phénomène à la toxicité croissante et au déclin de la vitalité de l'humanité au cours du siècle dernier, phénomène que je pense maintenant dû aux changements physiologiques indésirables liés à certaines technologies modernes, notamment à la stagnation des fluides qu'elles provoquent dans l'organisme, altérant ainsi sa capacité innée à guérir. Le DMSO associé à l'hématoxyline se distingue par sa grande efficacité, sa facilité d'accès (fabriqué à partir de deux composés largement disponibles) et, je pense, son succès est en partie dû à l'association du DMSO et de l'EDTA, qui améliorent la circulation des fluides (par exemple, l'EDTA correctement dosé augmente le potentiel zêta).

    L'équipe équatorienne a notamment fait les découvertes suivantes :

    • Une fois la DL50 de la D-hématoxyline fixée à 1 250 mg/kg, les chercheurs ont réalisé qu'ils pouvaient augmenter la dose initiale en toute sécurité (8-11 mg/kg). Après avoir multiplié la dose par 2 à 3, ils ont constaté une réduction équivalente de la durée totale du traitement (par exemple, il fallait 4 à 5 semaines pour guérir un patient au lieu de 3 mois).

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  37. • La formule qu'ils ont choisie utilise une quantité de DMSO significativement plus importante (par rapport à l'hématoxyline) que celle de Tucker. Cela s'explique en partie par de meilleurs résultats et par le fait que le DMSO, plutôt que d'être simplement un vecteur d'hématoxyline, jouait un rôle majeur dans le traitement (contrairement à l'hématoxyline, sa dose pouvait facilement être augmentée significativement sans déclencher de réactions telles que fièvre ou frissons, tandis que la dose totale d'hématoxyline doit être soigneusement ajustée à l'organisme du patient pour éviter ces réactions). À l'inverse, si certains patients ne supportent pas les frissons (nécessitant une dose plus faible et donc un traitement plus long), d'autres les tolèrent et reçoivent des doses plus élevées, permettant une élimination plus rapide du cancer. Étant donné que ces frissons surviennent bien en dessous d'une dose toxique de D-hématoxyline, ils constituent un excellent garde-fou pour garantir la sécurité de la procédure. Remarque : ces frissons ne sont observés qu’en cas d’administration intraveineuse de D-hématoxyline.

    L’administration de D-hématoxyline à des patients anémiques atteints de leucémie entraîne souvent une amélioration rapide de leur numération érythrocytaire, ce qui suggère que le DMSO différencie les cellules leucémiques en cellules capables de produire des globules rouges ou offre aux cellules saines de la moelle osseuse l’espace nécessaire pour commencer à produire des globules rouges. Pour cette raison (et compte tenu de l’avis de McCann selon lequel une supplémentation en fer était déconseillée en cas de leucémie), le médecin a étudié le traitement de l’anémie due à la leucémie par la D-hématoxyline et a constaté une meilleure efficacité que le fer.

    Remarque : un faible taux de globules rouges et blancs est un problème majeur en chimiothérapie, car celle-ci cible les cellules à division rapide, caractéristiques des cellules cancéreuses, et la moelle osseuse (qui se divise rapidement pour produire les cellules sanguines). La D-hématoxyline offre donc un avantage significatif par rapport à de nombreux traitements anticancéreux existants, car non seulement elle ne réduit pas le nombre de cellules sanguines critiques, mais elle réduit également la dose d'agents chimiothérapeutiques qui appauvrissent les cellules sanguines, tout en pouvant parfois augmenter directement la numération globulaire (par exemple, dans la leucémie).

    • Bien que la D-hématoxyline soit sûre, il est important d'ajuster la dose, car une dose trop élevée peut provoquer des frissons, de la fièvre ou un essoufflement. La dose « élevée » variant d'un patient à l'autre (voire parfois pour un même patient), le médecin doit surveiller attentivement le patient pendant le traitement et la perfusion est généralement poursuivie jusqu'à ce que le patient commence à avoir chaud ou froid. De plus, des sensations alternant chaud-froid se produisent souvent au cours des deux premières séances, tandis qu'à partir de la troisième, des frissons sont souvent ressentis - tout cela peut nécessiter qu'un médecin explique au patient et à sa famille ce qui se passe afin qu'il n'y ait pas lieu de s'inquiéter (d'autant plus que les frissons, bien qu'inoffensifs, peuvent être assez inquiétants) - ce qui souligne à nouveau l'importance de la communication avec les patients lors de l'administration de cette thérapie.

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  38. Remarque : après avoir examiné l’ensemble de ces données, je suis relativement certain que des doses beaucoup plus élevées (et probablement plus efficaces) auraient pu être utilisées, mais elles ne l’ont pas été, car ils ne voulaient pas risquer d’éventuels effets indésirables liés au traitement (alors qu’à l’inverse, la chimiothérapie est systématiquement administrée à des doses qui entraînent une toxicité et des réactions importantes).

    Chimiothérapie et radiothérapie

    Comme les cancers sont souvent traités en association avec des traitements conventionnels, ils ont également surveillé l’interaction de la D-hématoxyline avec ces derniers, découvrant :

    • L’association de la D-hématoxyline à la radiothérapie ne posait aucun problème.

    • Les patients ayant déjà reçu une chimiothérapie cytotoxique au moment de l’administration de la D-hématoxyline avaient tendance à avoir une réponse beaucoup plus faible à la D-hématoxyline. Cependant, si la chimiothérapie cytotoxique était commencée au moins trois semaines après le début du traitement par la D-hématoxyline, ils avaient beaucoup plus de chances de réussir leur traitement contre le cancer.

    • Dans les cas plus difficiles (par exemple, lorsque la D-hématoxyline a été commencée trop tard et que les patients avaient déjà subi une chimiothérapie importante), comme dans les études sur le DMSO-NaHCO₃, la D-hématoxyline n'a pas été curative, mais a plutôt significativement diminué la douleur et amélioré la qualité de vie restante.

    Comment fonctionne la D-hématoxyline ?

    Dans la première partie de cette série, j'ai compilé l'importante littérature qui a élucidé les mécanismes à l'origine de nombreuses propriétés anticancéreuses du DMSO. Cependant, bien que convaincants, ces mécanismes ne suffisent pas à expliquer l'efficacité de ce mélange dans le traitement du cancer (d'autant plus que l'élimination rapide des cancers par la D-hématoxyline n'est pas observée avec le DMSO seul).

    Remarque : lorsque la D-hématoxyline est injectée dans le sang, elle change rapidement de couleur, ce qui suggère que l'hématéine (hématoxyline oxydée) est l'agent actif. Cette observation est renforcée par le fait que, lorsque l'hématoxyline a été stérilisée par l'équipe équatorienne en l'exposant à l'ozone (un puissant agent oxydant), avant d'être mélangée au DMSO puis perfusée, son efficacité n'a pas été altérée (cependant, l'exposition de l'hématoxyline en poudre à l'ozone n'a visiblement pas modifié sa couleur ; il est donc peu probable que l'exposition à l'ozone l'oxyde complètement).

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  39. En l'absence de mécanisme précis pour la D-hématoxyline, de nombreuses explications sont possibles quant à son action sur la destruction du cancer. À l'heure actuelle, ma meilleure hypothèse est que, pour une raison inconnue, la D-hématoxyline a une forte affinité pour l'ADN cancéreux et que, soit en raison de sa persistance autour de l'ADN cancéreux, soit en raison de sa toxicité spécifique pour l'ADN cancéreux, elle le détruit (ce qui, à son tour, élimine la tumeur). Cependant, dans de nombreux cas, les dommages au noyau des cellules cancéreuses sont progressifs plutôt qu'immédiats. Ainsi, plutôt que d'être directement toxique pour l'ADN cancéreux, la D-hématoxyline, une fois sur place, peut initier un processus qui finit par détruire l'ADN cancéreux. De plus, si la D-hématoxyline se déplace vers les cancers et les élimine, elle n'est pas efficace si elle est injectée directement dans un cancer, ce qui implique une forme de toxicité non standard.

    Cela dit, je ne comprends pas pourquoi cette affinité pour les cancers existe, ni pourquoi la D-hématoxyline n'endommage pas les cellules normales ni n'y reste.

    Remarque : lorsque l'hématoxyline est liée à un sel métallique, elle (et l'hématéine) devient capable de se lier à l'ADN et donc de le colorer (c'est pourquoi la plupart des hématoxylines commerciales sont associées à un métal souvent toxique). Le DMSO confère probablement également cette capacité à l'hématoxyline, bien qu'il le fasse par un mécanisme différent de celui des mordants (qui sont simplement des métaux chargés positivement qui relient des molécules chargées négativement (par exemple, l'hématéine et l'ADN) entre elles).

    Après les premiers succès de Tucker chez l'homme, un étudiant diplômé, Thomas D. Rogers, a compris l'importance de répondre à cette question et a donc décidé de réaliser sa thèse sur les effets de la D-hématoxyline sur les tumeurs (consultable ici et présentant de nombreuses photos de cancers affectés par la D-hématoxyline).

    Thèse sur l'hématoxyline Dmso
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    Pour ce faire, Rogers a implanté des souris avec des cellules de lymphosarcome à croissance rapide (ce qui entraînait généralement la mort en 11 jours), puis les a sacrifiées et disséquées peu avant leur mort prévue et a examiné visuellement l'ensemble (au microscope optique et électronique). Les souris ont reçu soit rien, soit du DMSO seul, soit de l'hématoxyline seule (dissoute dans une solution saline par chauffage et agitation), soit des doses variables de D-hématoxyline (0,2 ml de DMSO à 90 % mélangé à 2, 5, 8 ou 12 mg d'hématoxyline dans du DMSO). Le DMSO et l'hématoxyline seuls n'ont eu aucun effet secondaire, mais n'ont pas non plus affecté les cancers en croissance, tandis que la D-hématoxyline a inhibé les cancers de manière dose-dépendante (sans effets secondaires ni impact sur les tissus non cancéreux).

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  40. Remarque : les voies intraveineuses (qui constituent généralement la méthode la plus puissante d'administration du DMSO ou de la D-hématoxyline) étant difficiles à administrer aux souris, Rogers a plutôt administré les traitements par injections intrapéritonéales ou sous-cutanées et par alimentation orale (de même que Tapia, dans son étude sur la DL50, n'a pratiqué que des injections intrapéritonéales). Rogers a découvert que la D-hématoxyline sous-cutanée et intrapéritonéale produisait des résultats similaires et notables, tandis que la D-hématoxyline orale produisait des résultats similaires, mais moins étendus (ce qui concorde avec les observations de Tucker, qui observait également que la D-hématoxyline orale pouvait obtenir des résultats cliniques).

    Avec la D-hématoxyline intrapéritonéale, la dose la plus faible de 2 mg provoquait de légères altérations de la morphologie des cellules tumorales ; 5 mg provoquait les mêmes modifications, mais sur une zone plus étendue ; 8 mg entraînait parfois une réduction tumorale, tandis que 12 mg entraînait une destruction complète de la tumeur et une réduction tumorale d'environ 33 % (ce qui prolongeait la durée de vie des souris d'environ 27 %). De plus, alors que les souris étaient généralement sacrifiées quatre jours après cinq traitements à la D-hématoxyline, dans un cas, elles ont été sacrifiées un jour plus tard. Des stades précoces de dégénérescence ont alors été observés, démontrant que la D-hématoxyline initie un processus thérapeutique qui se poursuit longtemps après l'arrêt du traitement.

    De plus, à toutes les doses, la D-hématoxyline s'est d'abord avérée affecter le centre de la tumeur, puis s'est propagée vers l'extérieur, épargnant la périphérie des effets observés sur le reste de la tumeur. Cependant, à des doses plus élevées (8 ou 12 mg), des modifications mineures ont également été détectées dans les régions périphériques. Ce schéma est très inhabituel, car les agents de chimiothérapie ciblent généralement le cancer de la périphérie vers l'intérieur (avec un nombre plus restreint d'agents qui détruisent le cancer de manière plus dispersée et hétérogène). Cela suggère que la D-hématoxyline est capable de pénétrer les barrières qui permettent normalement aux cellules cancéreuses de résister aux chimiothérapies (ce qui, comme je l'ai montré précédemment, a été démontré par le DMSO pour d'autres chimiothérapies).

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  41. De même, lorsque des cellules individuelles ont été observées, les lésions ont d'abord débuté dans le noyau (avec l'apparition de lésions nucléolaires et la perte de noyaux de chromatine périphériques), suggérant que la D-hématoxyline avait une affinité pour l'ADN (ce qui est le cas de l'hématéine). Par la suite, les cellules cancéreuses ont commencé, par étapes successives, à se décomposer et à se digérer (autolyse), un processus de mort différent de l'apoptose généralement observée lorsque le DMSO seul élimine les cancers (ce qui était potentiellement dû à la libération d'enzymes digestives par le DMSO à partir des lysosomes). Finalement, à mesure que le processus progressait, les débris d'autres tumeurs se sont multipliés et les globules blancs ont commencé à envahir les tumeurs pour les éliminer. Remarque : chez la souris, une augmentation trop rapide des débris cancéreux pourrait entraîner une insuffisance rénale (car les reins étaient trop nombreux à traiter).

    Par la suite, Morton Walker a analysé cette thèse et conclu que la D-hématoxyline dissolvait la matrice extracellulaire (ce qui était également visible sur de nombreuses autres images de l’étude) et que cette dissolution privait les cellules cancéreuses des nutriments nécessaires, provoquant leur famine (ce qui pourrait également expliquer le processus dégénératif progressif que la D-hématoxyline initie dans les cellules cancéreuses à partir du centre plutôt que de la périphérie).

    Remarque : d’autres processus pourraient également expliquer ces changements (par exemple, l’anoïkis, une forme de mort cellulaire déclenchée par le détachement de la matrice extracellulaire plutôt que par la famine, pourrait déclencher la mort cellulaire commençant au centre de la tumeur, ou encore, la perte de la matrice extracellulaire pourrait être un effet de la mort cellulaire plutôt qu’une cause et ne pas contribuer aux changements observés).

    Malheureusement, hormis la thèse de Rogers (qui ne fait qu'effleurer la question), personne n'a mené d'expériences cellulaires pour déterminer l'efficacité de la D-hématoxyline. Heureusement, une équipe en Équateur (où la recherche est relativement abordable) cherche actuellement à obtenir le financement nécessaire. Si vous souhaitez contribuer à ce financement, n'hésitez pas à nous le faire savoir (par exemple, dans les commentaires ci-dessous).

    Remarque : la seule autre étude que j'ai pu trouver évaluant les effets du DMSO associé à l'hématoxyline a montré que le DMSO éliminait efficacement l'hématoxyline des granules d'amidon des cellules polliniques, mais pas du noyau, ce qui suggère une fois de plus que la D-hématoxyline a une affinité particulière pour le noyau cellulaire. Cette étude a été menée car l'hématoxyline colorait systématiquement les granules d'amidon en noir, rendant impossible l'observation du noyau des cellules polliniques.

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  42. Protéine kinase CK2

    La protéine kinase CK2, lorsqu'elle est dérégulée, est impliquée dans des centaines de maladies (par exemple, les infections virales, dont la COVID-19, les maladies auto-immunes et les affections neurologiques). Parmi celles-ci, elle est surtout connue pour son rôle clé dans le cancer (son activité est souvent élevée dans divers cancers, ce qui contribue à la progression tumorale et à un pronostic sombre). Parmi ses effets cancérigènes, on peut citer :

    • La CK2 phosphoryle des centaines de protéines, ce qui lui permet d'activer des voies de signalisation cancéreuses clés telles que PI3K/Akt, mTORC1 et β-caténine 1,2 (qui favorisent la prolifération, la survie, l'angiogenèse, l'invasion et les métastases des cellules cancéreuses), et d'inhiber des suppresseurs de tumeurs clés comme PTEN et p53.

    • La CK2 module l'effet Warburg, déclenchant ainsi un changement métabolique par lequel les cellules cancéreuses cessent de dépendre de l'oxygène pour la production d'énergie (ce que beaucoup ont longtemps considéré comme une cause fondamentale du cancer). De plus, la CK2 préserve la fonction mitochondriale afin de répondre aux besoins énergétiques élevés de la tumeur en croissance.

    • L'activité de la CK2 cancéreuse inhibe la capacité du système immunitaire à éliminer les cellules cancéreuses, tandis que de nombreuses études montrent que son inhibition renforce la capacité du système immunitaire à éliminer les cancers.

    • La CK2 rend les cellules cancéreuses résistantes à la mort cellulaire programmée et favorise ainsi leur prolifération. De plus, la CK2 rend les cellules cancéreuses résistantes à l'anoïkis (qui, comme mentionné précédemment, devrait normalement se déclencher lorsque la matrice extracellulaire (MEC) entourant la tumeur disparaît), ce qui suggère qu'au-delà de l'élimination de la résistance des cellules cancéreuses à l'hématéine par le DMSO, l'hématéine pourrait également supprimer la résistance des cellules cancéreuses au DMSO, une fois que le DMSO a partiellement dissous la matrice extracellulaire environnante.
    Remarque : La CK2 rend également les cellules cancéreuses résistantes à de nombreuses chimiothérapies, ce que fait également la D-hématoxyline, comme mentionné précédemment.

    Pour ces raisons, les inhibiteurs de la CK2 se sont révélés prometteurs lors d'études précliniques et cliniques pour le traitement des cancers, et sont approuvés par la FDA pour le traitement de certains cancers (par exemple, le cancer des voies biliaires).

    L'hématéine, quant à elle, s'est avérée inhiber la CK2 avec une forte sélectivité1,2,3 (en tant qu'inhibiteur allostérique non compétitif) en se liant à la CK2α, une sous-unité surexprimée dans de nombreux cancers1,2,3, associée à un pronostic défavorable1,2 et dont l'inhibition provoque la mort cellulaire programmée des cellules cancéreuses1,2.

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  43. Plusieurs études (par exemple, celle-ci, celle-ci et celle-ci) ont montré que l'hématéine avait des effets antitumoraux et pouvait déclencher la mort cellulaire programmée dans les cancers, et ce, de manière à avoir un effet inhibiteur plus important sur les cellules cancéreuses que sur les cellules normales.

    Remarque : il a également été démontré que les inhibiteurs de la CK2 augmentent la sensibilité des cancers à la chimiothérapie,1,2 ce qui est également observé avec la D-hématoxyline.

    À leur tour, la plupart des cancers très sensibles à la D-hématoxyline sont également fortement dépendants de la CK2 (en particulier les cancers du sang1,2, contre lesquels les inhibiteurs de la CK2 ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité1,2,3). Cependant, certains cancers contre lesquels la D-hématoxyline est moins efficace sont également fortement dépendants de la CK2. Dans ces cas, une explication possible de ces différences est que le centre des tumeurs est plus difficile à atteindre (par exemple, parce qu'il est plus épais ou plus profond dans l'os) et, par conséquent (du moins aux doses les plus faibles utilisées jusqu'à présent), la D-hématoxyline ne parvient pas à amener le DMSO au centre de ces cancers.

    Remarque : l'inhibition de la CK2 pourrait expliquer le retard de la mort cellulaire suite à l'administration de D-hématoxyline, mais la mort cellulaire induite par l'inhibition de la CK2 (apoptose) est différente de celle observée par Rogers (autolyse).

    Enfin, comme la CK2 est médiatrice de nombreuses autres maladies, il est tout à fait possible que la D-hématoxyline (ou les fièvres qu'elle induite) puisse guérir d'autres maladies. Cependant, à ma connaissance, ni l'hématéine (ni la D-hématoxyline) n'ont jamais été testées sur une affection non cancéreuse.

    Autres mécanismes

    Après avoir longuement analysé les données disponibles (auxquelles vous avez désormais accès), je pense que nous avons une idée de l'action de la D-hématoxyline sur les cellules cancéreuses. Cependant, outre sa capacité à atteindre les cellules cancéreuses et à inhiber la CK2, nous avons beaucoup moins de clarté sur les raisons de ces changements. Voici quelques autres hypothèses que j'ai émises pour expliquer ce phénomène (et qui ne me semblent pas du tout fiables). Par conséquent, je suis ouvert à toute autre suggestion que vous pourriez partager pour expliquer ce phénomène. Mes autres théories sont les suivantes :

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  44. 1. Une école de médecine oubliée (anciennement connue sous le nom de chromothérapie et aujourd’hui rattachée à la biophysique) soutient que des fréquences lumineuses spécifiques exercent des effets différents sur le corps. De nombreuses preuves corroborent ce point, la plupart ayant été compilées en plaçant des organismes vivants dans des pièces de couleurs différentes ou en les exposant à des fréquences lumineuses spécifiques (par exemple, la lumière rouge pour les mitochondries), la biologie étant très sensible à ces fréquences. Par ailleurs, je me suis longtemps demandé si, outre l’application externe de lumière, les substances qui créent des couleurs dans le corps (par exemple, les colorants) auraient également, dans une certaine mesure, des effets biologiques dus à leurs propriétés optiques.

    Remarque : deux éléments clés ont contribué à l’élaboration de cette hypothèse. Premièrement, de nombreux parents ont observé au fil des ans que les colorants alimentaires rouges et (dans une certaine mesure jaunes) aggravent le TDAH de leur enfant, et que nombre des changements comportementaux attribués au rouge (et, dans une moindre mesure, au jaune) en chromothérapie reflètent les changements observés lors d’une aggravation du TDAH. Deuxièmement, une étude de 1972 (qui a contribué à la création du domaine de la biophotonique) a observé que deux molécules (l'une cancérigène, l'autre non cancérigène) déformaient optiquement une fréquence lumineuse spécifique qui la traversait, tandis que la non cancérigène ne le faisait pas. Elle a ensuite découvert que de très faibles émissions de cette fréquence lumineuse étaient couramment utilisées par l'organisme pour communiquer avec l'environnement, suggérant ainsi que des substances chimiques modifiant la lumière dans l'organisme pourraient avoir des effets biologiques importants.

    L'hématoxyline (ou plus précisément l'hématéine) étant un colorant puissant, elle pourrait potentiellement créer une fréquence lumineuse anticancéreuse dans l'organisme (ce qui expliquerait la mort cellulaire progressive qu'elle provoque sélectivement dans les cancers). J'étais donc curieux de connaître ses propriétés optiques afin de pouvoir les comparer aux effets connus de ces fréquences. Malheureusement, en me penchant sur la question, j'ai découvert que les propriétés de l'hématoxyline et de l'hématéine varient considérablement selon le matériau avec lequel elles sont mélangées. Personne n'a jamais étudié son comportement lorsqu'il est mélangé au DMSO (il est donc actuellement impossible d'évaluer cette théorie). De même, ses propriétés optiques peuvent varier en fonction du pH (par exemple, l'environnement plus acide des cellules cancéreuses). J'espère donc que de futures recherches permettront d'élucider les effets optiques de la D-hématoxyline (car cela pourrait potentiellement expliquer son effet sur un large éventail de cancers).

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  45. 2. De nombreux mécanismes potentiels expliquent les fièvres et les frissons provoqués par la D-hématoxyline. Parmi ceux-ci, le plus probable est une activation immunitaire, due soit à la réaction du système immunitaire à la pénétration de cellules cancéreuses mortes dans la circulation, soit à l'exposition de la surface des cellules cancéreuses par la D-hématoxyline, rendant leurs antigènes visibles au système immunitaire et permettant ainsi la mise en place d'une réponse immunitaire. Cinq raisons possibles me semblent expliquer ce phénomène :

    • L'activation immunitaire est une conséquence plutôt qu'une cause de l'élimination du cancer par la D-hématoxyline (car une fois que les débris émergent des cellules cancéreuses mortes, le système immunitaire est incité à les éliminer).

    • En supprimant la matrice extracellulaire (MEC) entourant les cellules cancéreuses, il devient beaucoup plus facile pour les cellules immunitaires d'atteindre les tumeurs et de les éliminer.
    Remarque : la suppression de la MEC augmente la capacité du système immunitaire à éliminer les cellules cancéreuses et a été explorée comme approche thérapeutique contre le cancer.

    • La D-hématoxyline supprime la barrière cytoplasmique entourant les cellules cancéreuses, exposant ainsi des antigènes cachés au système immunitaire.
    Remarque : dans la première partie de cette série, j'ai montré que le DMSO seul exposait les cancers au système immunitaire (ce qui, dans certains cas, permet au système immunitaire de les éliminer) et supprimait la barrière cytoplasmique entourant les cellules cancéreuses (qui fait probablement partie de la MEC) qui les protège des chimiothérapies. Il est également possible que la D-hématoxyline, pour une raison ou une autre, augmente significativement cette exposition (en détruisant directement la MEC).

    • La D-hématoxyline expose les antigènes tumoraux (par exemple, en endommageant la membrane et en provoquant leur fuite dans la circulation sanguine), facilitant ainsi la réaction du système immunitaire.

    • Plutôt que de réduire la capacité du cancer à échapper au système immunitaire, la D-hématoxyline active directement ce dernier, l'incitant à attaquer les cancers (par exemple, l'énergie UVB appliquée à la circulation sanguine joue ce rôle, et il est possible que le spectre lumineux émis par la D-hématoxyline joue également ce rôle).

    Remarque : la fièvre et les frissons pourraient également être dus à l'action de la D-hématoxyline qui augmente significativement le métabolisme (par exemple, via les mitochondries).

    3. Comme mentionné dans la première partie de cette série, de nombreux acteurs du domaine des cancérologies alternatives ont conclu que des bactéries difficiles à détecter (ressemblant à des mycoplasmes) qui changent fréquemment de morphologie sont à l'origine de nombreux cancers (et donc de nombreuses maladies auto-immunes). De ce fait, je soupçonne que la capacité du DMSO à améliorer ces maladies provient de sa capacité à affecter ces micro-organismes (d'autant plus que les bactéries plus petites sont plus sensibles au DMSO).

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  46. De plus, comme les extraits de campêche (y compris le bois de cœur, qui contient de l'hématoxyline) ont montré une activité antimicrobienne à large spectre,1,2,3,4,5,6,7, notamment contre les mycoplasmes.1,2, et que le DMSO renforce l'activité antibactérienne des antibiotiques, je me demande si l'élimination de ces bactéries par la D-hématoxyline explique ses propriétés anticancéreuses. D'une part, cela pourrait expliquer comment le DMSO provoque une mort retardée dans les cancers (ces changements suivant la mort des bactéries). Cependant, cela me paraît peu probable, car je n'ai rencontré aucune autre association antibiotique-DMSO présentant des propriétés anticancéreuses (ce qui pourrait s'expliquer par le fait que ces associations n'ont jamais été testées contre le cancer) et parce que la plupart des modifications induites par la D-hématoxyline détruisent directement les cancers, au lieu de les encourager à se transformer à nouveau en cancers normaux (un phénomène fréquemment observé avec le DMSO seul, bien qu'une différenciation puisse se produire dans la moelle osseuse, car nous ne disposons pas encore de données permettant de l'évaluer).

    Remarque : si l'hématéine possède certaines propriétés antibactériennes, nombre de ces propriétés ont été attribuées à d'autres composés présents dans le bois de campêche. Ceci soulève un autre point important : l'hématoxyline étant un extrait de tous les composants du bois de campêche, il est tout à fait possible qu'un autre agent anticancéreux soit en réalité un autre composé.

    4. Étant donné la faible toxicité du DMSO, je trouve étrange que son mélange avec l'hématoxyline diminue considérablement sa DL50 IV (environ un quart de sa valeur initiale), d'autant plus que la toxicité IV du DMSO résulte principalement de lésions osmotiques (créées par de très fortes concentrations de DMSO) et que l'ajout d'hématoxyline au DMSO augmenterait encore son osmolarité. Actuellement (en supposant que les données soient exactes), je ne vois que deux explications à cela.

    Premièrement, l'hématoxyline a une toxicité si faible qu'elle « dilue » efficacement la toxicité pratiquement négligeable du DMSO.

    Remarque : bien que cela soit peu probable, c'est possible, car la DL50 de l'hématoxyline a dépassé les doses testées et pourrait donc être très élevée.

    Deuxièmement, la D-hématoxyline catalyse un processus cellulaire qui protège les cellules de la mort et élimine sélectivement les cancers. Si cela se produit, cela résulte probablement soit d'une modification du cytoplasme ou du cytosquelette (dont les preuves ont été présentées dans la première partie de cette série), soit d'une augmentation directe de la fonction mitochondriale (par exemple, en fournissant une fréquence lumineuse qui augmente la fonction mitochondriale, en agissant comme catalyseur oxydatif grâce à sa capacité à transférer des électrons ou à générer des espèces oxydatives réactives – une propriété des polyphénols et des quinones).

    Remarque : une autre thérapie anticancéreuse oubliée (j'ai une expérience directe avec d'autres pathologies et j'ai pu la traiter) utilisait des catalyseurs à base de quinone pour relancer le métabolisme oxydatif dans l'organisme. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une quinone, l'hématéine, un polyphénol, est considérée comme une quinone apparentée et partage certaines propriétés avec elles. Il est intéressant de noter que les quelques personnes que je connaissais qui utilisaient les catalyseurs de Koch étaient toutes convaincues que l'utilisateur ne pouvait pas être exposé simultanément à des solvants (par exemple, en faisant le plein d'essence), car cela inactiverait les catalyseurs.

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