Le carnet de vaccination européen : un moyen de surveillance totale ?

 

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  1. Le carnet de vaccination européen : un moyen de surveillance totale ?


    01.04.2025
    www.kla.tv/37178


    Les bases d'une carte de vaccination européenne, en anglais European Vaccination Card, ou EVC, ont été posées dès l'époque du Covid. C'est ce qui s'est passé avec la création du "Global Digital Health Certification Network", en abrégé GDHCN, qui est géré par l'OMS depuis 2023. Celui-ci doit garantir, grâce à son infrastructure, que les documents de santé sont vérifiables et transmissibles entre les institutions, même au-delà des frontières. Depuis le GDHCN, les premières mesures sont prises pour mettre en place une carte de vaccination dans toute l'UE.

    Ainsi, un projet pilote est actuellement en cours en Europe, initié par une organisation européenne appelée "European Vaccination Beyond COVID-19" ou EUVABECO. Cette organisation a été créée après la pandémie pour développer différents projets de passeports vaccinaux. L'UE et l'OMS collaborent très étroitement dans ce domaine, l'OMS ayant adopté le certificat numérique COVID de l'UE.

    Un article publié par l’avocate Cornelia Margot le 26 août 2024 suggère que cette entreprise pourrait avoir des conséquences négatives pour les citoyens de toute l’Europe. Elle voit des dangers potentiels dans ce projet, car celui-ci est très vaste et le carnet de vaccination européen n'en est qu'un élément.

    EUVABECO est censé fournir "uniquement" des informations sur les vaccinations recommandées ou obligatoires. Il s'agit d'un dossier électronique que le citoyen doit créer lui-même et remplir avec un maximum de données personnelles, y compris des informations sur ses conditions de vie et sa situation familiale.

    L'ensemble du projet EUVABECO comprend cinq volets qui seront évalués après une phase de test et mis à la disposition de tous les pays de l'UE. Les deux outils vraiment dangereux sont le carnet de vaccination et l'"étude de motivation à la vaccination". Le carnet de vaccination numérique européen EVC [EVC = European vaccination certification, en français : carte de vaccination européenne] a déjà été introduit en Allemagne à titre d'essai à partir de septembre 2024.

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  2. Selon EUVABECO, il s'agit d'un "justificatif personnel" et non d'un "document administratif".
    Que dit maintenant l'avocate Cornelia Margot :
    "C'est vrai, mais cela n'exclut pas que d'autres objectifs ne soient pas ajoutés un jour à l'EVC, qui a été officiellement conçue dans un autre but. Comme un carnet de vaccination traditionnel a déjà ce même objectif, il s'agit probablement de possibilités de contrôle tout à fait différentes. Il est facile de scanner un code QR harmonisé au niveau de l'UE et d'obtenir les informations souhaitées en un clin d'œil. Alors pourquoi l'EVC, [EVC = European vaccination certification, en français : carte de vaccination européenne], une fois qu'elle existe, ne serait-elle pas transformée en justificatif reconnu par les autorités ? Il faut s'y attendre. Et plus c'est simple et rapide, plus la demande d'autres mécanismes de contrôle sera grande à l'avenir."

    A quoi ressemblera l'EVC ?

    Outre une application numérique pour smartphone, elle devrait également exister sous forme papier, avec un code QR.

    Quelles informations contiendra le carnet de vaccination ?

    "Il contiendra des informations complètes sur l'historique des vaccinations, notamment des rapports écrits détaillés, un code QR scannable et des métadonnées intégrées téléchargeables. [Les métadonnées sont les données personnelles de la personne concernée, le numéro de sécurité sociale, les données de vaccination]. Il s'agira des données personnelles de la personne concernée, y compris le numéro de sécurité sociale. Puis toutes les informations sur quand, par qui, avec quoi et contre quoi la vaccination a été effectuée."

    Selon Cornelia Margot, le risque, c'est que l'Allemagne introduise le carnet de vaccination européen de manière permanente à l'issue de la phase pilote, et peut-être alors sur une base non volontaire. En effet, l'Autriche dispose déjà d'un passeport de vaccination électronique qu'on ne peut pas refuser. On peut se "désinscrire" du dossier médical électronique, mais pas du passe vaccinal électronique. Et finalement, il pourra susciter d'autres idées, par exemple un lien avec les documents d'identité, un lien avec le compte bancaire et avec l'empreinte écologique. Selon Mme Margot, cela semble encore aujourd'hui être une musique d'avenir, dont personne ne parle officiellement. Demain, ce sera peut-être une amère réalité !

    Le deuxième outil très dangereux du projet EUVABECO est l'étude sur la motivation à la vaccination. Il s'agit ici de relier les données afin d'optimiser les campagnes de vaccination. Le modèle en est un modèle développé en Belgique à l'époque du Covid, l'étude de croisement des données LINK-VACC, développée et appliquée par l'agence nationale de santé belge Sciensano.

    À l'époque du Covid, celle-ci avait essentiellement deux objectifs : Déterminer la motivation personnelle à se faire vacciner et réaliser une "étude d'observation post-marketing" à partir des données.

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  3. On a eu recours à des ensembles de données existants - provenant de dossiers d'assurance, de médecins et d'"autres sources de santé". En Belgique, cela a été possible facilement grâce au lien entre la carte d'identité électronique et l'accès au dossier électronique du patient, l'ordonnance électronique et la caisse de maladie. En outre, toute personne ayant subi un test de dépistage du Covid a été enregistrée avec des informations personnelles complètes. Ces données et d'autres provenant d'"institutions publiques et privées" ont été mises en relation. Les groupes à risque ont été filtrés à partir des ensembles de données ainsi obtenus. Ainsi, les habitants de la Belgique ont reçu, par ordre de risque décroissant, une lettre d'invitation personnelle à se faire vacciner contre le Covid. Et cette invitation contenait déjà des dates fixes pour la première et la deuxième vaccination. Les données de contact, y compris les numéros de téléphone et les adresses e-mail, avaient été extraites des dossiers d'assurance maladie.

    L'exemple de la Belgique montre clairement comment un tel outil peut être utilisé à mauvais escient pour mesurer la motivation des citoyens à se faire vacciner.
    Ainsi, les planificateurs d'EUVABECO sont si enthousiastes à l'égard de cet outil intrusif qu'ils envisagent maintenant de le tester dans quatre pays sélectionnés et de le déployer ensuite, si possible, dans toute l'UE.

    L'exemple de la Belgique montre ce que peuvent réellement signifier les récits enjolivés sur le "contrôle volontaire de ses propres données de vaccination" ! Et si les deux outils à venir que sont le carnet de vaccination et l'étude de motivation d'EUVABECO sont séduisants, ils donnent à l'Etat de multiples possibilités de contrôle de la population !

    Que peut-on faire ?

    1. Montrer de la résistance et ne pas se laisser endormir Pas de participation volontaire au projet pilote de carnet de vaccination.

    2. Ecrire des lettres de lecteurs sur des articles pertinents et mettre en garde contre le carnet de vaccination européen

    3. Remplir les questionnaires sur votre situation personnelle et votre état de santé avec beaucoup de prudence et avec très peu de données.

    4. Informer les décideurs politiques !
    Il faut agir de manière ciblée pour que l'EVC ne soit au moins pas introduite de manière obligatoire et que le point du projet "Etude de motivation à la vaccination" ne soit pas introduit chez nous.

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  4. C'est pourquoi il faut éviter qu'une loi sur l'introduction obligatoire de l'EVC soit adoptée. Et cela implique de montrer très clairement, dès la phase pilote, qu'une telle chose n'est pas souhaitable. Chaque fois qu'on propose d'essayer les avantages apparents du nouveau carnet de vaccination : NON.

    de aa.
    Sources/Liens :
    Article et commentaire de C. Margot
    https://www.mwgfd.org/2024/08/euvabeco-mehr-als-nur-ein-impfausweis/

    « Outil » en Belgique
    https://www.sciensano.be/sites/default/files/covid-19_vaccine_surveillance_in_belgium_-_the_link-vacc_project.pdf

    Historique et genèse
    https://uncutnews.ch/der-europaeische-impfausweis-wird-2026-verfuegbar-sein-und-was-da-bedeutet-sie-machen-dinge-die-rechtlich-gar-nicht-moeglich-sind/

    https://transition-news.org/europaischer-impfausweis-wird-in-funf-landern-erprobt

    Lettre d'invitation de la Belgique à la vaccination contre la maladie du Covid
    https://www.brusselstimes.com/154673/belgians-will-start-to-receive-letters-to-get-vaccinated-from-march

    https://www.linkedin.com/posts/euvabeco_european-vaccination-card-will-be-piloted-activity-7221096381262815233-Zlzs

    https://www.kla.tv/fr

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  5. la surmortalité post vaccinale se stabilise aux Etats Unis ,elle s’aggrave au Japon pays de injections à l’ARN autorépliquant et en Corée (85% injectés récents)


    le 2 avril 2025
    par pgibertie


    - voir graph sur site -

    🚨USA 🇺🇸 ! Les données de l’assurance révèlent que la crise de la surmortalité persiste – la « vaccination » de masse contre le COVID-19 est probablement en cause

    Les Américains meurent plus jeunes :

    L’espérance de vie est aujourd’hui pire qu’il y a dix ans, alors que l’injection d’ARNm a dépassé les 80 % et que les décès d’origine cardiaque, neurologique et cancéreuse montent en flèche.

    Les décès d’origine cardiaque ont augmenté de 8 à 36 % :

    La plus grande étude sur l’innocuité du vaccin COVID-19 jamais réalisée (99 millions de personnes vaccinées) a révélé que le risque de myocardite augmentait jusqu’à 610 % après l’injection d’ARNm. Une myopéricardite subclinique induite par le vaccin peut déclencher une tachycardie ventriculaire réentrante ou une fibrillation ventriculaire spontanée, entraînant une mort cardiaque subite. Notre étude du comté de King (WA) et les données du CDC confirment que l’excès de morts subites d’origine cardiaque est monté en flèche après l’injection massive d’ARNm.

    Les décès neurologiques ont augmenté de 16 à 39 % :

    Les injections d’ARNm sont liées aux accidents vasculaires cérébraux ischémiques (+44 %), aux accidents vasculaires cérébraux hémorragiques (+50 %), aux accidents ischémiques transitoires (+67 %), à la myélite (+165 %), à la myasthénie grave (+71 %), à la maladie d’Alzheimer (+22,5 %), aux troubles cognitifs (+138 %), à la dépression (+68,3 %), aux troubles anxieux (+43,9 %), aux troubles du sommeil (+93,4 %) – le bilan neurologique est indéniable.

    Les taux de cancer ont augmenté de 10 à 50 % :

    Les données du CDC, les études évaluées par des pairs et les analyses au niveau de la population suggèrent que les injections d’ARNm COVID-19 sont probablement cancérigènes, contribuant ainsi à l’augmentation des cas de cancer.

    L’analyse des données du CDC réalisée par Ethical Skeptic montre que la surmortalité due au cancer a augmenté de 9 % après l’introduction de l’ARNm.

    Des études suggèrent que les injections d’ARNm peuvent altérer la surveillance immunitaire, entraver la réparation de l’A

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  6. DN et accélérer la croissance des tumeurs, réalisant ainsi l’hypothèse de l’oncogenèse à coups multiples. Des rapports de cas établissent un lien entre les injections et des cancers agressifs, notamment le lymphome intravasculaire à grandes cellules B, la lymphohistiocytose hémophagocytaire et le carcinome adénoïde kystique cutané. La multiplication des cas de cancer post-vaccinaux exige une enquête urgente.

    Ces données suggèrent que la campagne d’injection massive d’ARNm COVID-19 est l’un des principaux moteurs de l’effondrement de l’espérance de vie aux États-Unis, empêchant son rétablissement complet. Une intervention urgente du gouvernement fédéral est indiquée pour retirer immédiatement du marché ces injections qui réduisent l’espérance de vie et prendre des mesures pour inverser ces tendances négatives.

    🅻🅴 🅲🅾🅻🅻🅴🅲🆃🅸🅵
    @tatiann69922625
    🔥Prof. Hiroshi Kusunoki de l’Université dentaire d’Osaka, Japon, a publié de nouvelles conclusions dans un article de préimpression le 10 mars 2025, concernant l’augmentation persistante non-stop de la surmortalité de 2021 à 2024 à travers le Japon et les grandes villes & soulève des questions sur l’impact des vaccins mRNA COVID19 sur la surmortalité au Japon 🇯🇵 :
    @fgidf98fj9jh0h

    @Mami_Aho_Dema

    Si vous préférez ne pas lire le texte ci-dessous, veuillez vous référer aux graphiques et aux phrases surlignées dans les images référencées :

    « Unraveling Rising Mortality : Statistical Insights from Japan and International Comparisons » (Démêler l’augmentation de la mortalité : aperçu statistique du Japon et comparaisons internationales)

    « La mortalité augmente à partir de 2021 et persiste jusqu’en 2024. Tokyo, Yokohama, Osaka et Nagoya présentent des tendances parallèles.

    « Débats récents sur les causes potentielles, y compris les effets indésirables des vaccins

    « Certains affirment que la diminution de la prise vaccinale en 2023 a contribué à l’augmentation de la mortalité en 2024, mais les décès liés au COV-19 ne peuvent à eux seuls expliquer entièrement les tendances observées.

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  7. « En effet, certains pensent que les effets à long terme des vaccins à ARNm ont pu contribuer à l’augmentation des maladies cardiovasculaires ou des dysfonctionnements immunitaires, et cette possibilité ne peut pas être entièrement exclue.

    « En outre, l’augmentation significative du nombre de décès au Japon est devenue évidente en 2021, lorsque les vaccinations COVID-19 ont commencé »

    « Plusieurs autres facteurs peuvent également avoir contribué à l’augmentation de la mortalité »

    Source du document : https://preprints.org/frontend/manuscript/d2182c3a4da41fb3570e6eea7183481d/download_pub

    https://pgibertie.com/2025/04/02/la-surmortalite-post-vaccinale-se-stabilise-aux-etats-unis-elle-saggrave-au-japon-pays-de-injections-a-larn-autorepliquant-et-en-coree-85-injectes-recents/

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  8. l’Académie de médecine lève son excommunication: Ceux qui soutiennent la thèse de l’origine humaine du covid ne sont pas des complotistes, les média minimisent


    le 2 avril 2025
    par pgibertie


    « Il y a plus d’arguments pour la deuxième hypothèse (d’origine humaine, NDLR) que la première », a mentionné Christine Rouzioux aux côtés de Jean-François Delfraissy (président du Comité consultatif national d’éthique) et Patrick Berche, biologiste spécialiste des fuites de laboratoire, ajoutant:

    « Plusieurs enquêtes ont été effectuées par les États-Unis. Elles ont montré un point important: des expériences d’insertion de séquence dans des virus faisaient l’objet d’un programme de recherche (…) les travaux avaient déjà commencé à Wuhan ».
    « Ceux qui soutiennent la thèse de l’accident ne sont pas des complotistes »

    Cette hypothèse est d’ailleurs celle privilégiée par les services de renseignement américains –

    https://pgibertie.com/2025/04/02/lacademie-de-medecine-leve-son-excommunication-ceux-qui-soutiennent-la-these-de-lorigine-humaine-du-covid-ne-sont-pas-des-complotistes-les-media-minimisent/

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  9. Médias, peur et mensonges : les Français disent stop selon un sondage exclusif France-Soir/BonSens.org – partie IV


    BonSens.org & France-Soir
    le 02 avril 2025 - 10:23


    La France en crise : 62 % des Français jugent les médias télévisés totalement biaisés, 84 % accusent ces derniers d’amplifier leurs peurs, et 50 % veulent couper les subventions aux médias, révèle une enquête choc de France-Soir et BonSens.org menée fin mars 2025.

    Une défiance qui s’enracine

    France-Soir et l’association BonSens.org poursuivent leur série d’enquêtes sociologiques avec une troisième vague réalisée les 27 et 28 mars 2025 par MIS Group. Après les sondages de janvier et février 2025, qui révélaient une crise de confiance envers la gestion d’Emmanuel Macron, l’opacité sur les effets secondaires des vaccins Covid-19 et un rejet massif des institutions, ce nouvel article explore comment les Français s’informent et quelles sont leurs peurs.

    Les médias alternatifs volent la vedette

    53 % des Français déclarent avoir abandonné la presse mainstream, tandis que 44 % privilégient les médias alternatifs contre 42 % pour les sources traditionnelles.

    Sondage IV - Presse mainstream vs alternatif

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    Ce basculement reflète une fracture profonde avec les canaux d’information établis que l’on peut expliquer par la montée en puissance de plateformes comme X en 2025 (anciennement Twitter). Cette montée en puissance a été dopée par les journalistes citoyens et influenceurs indépendants qui ont dénoncé la couverture biaisée des tensions sociales (annulation des élections en Roumanie, actions contre les ZFE et contre la réforme des retraites, défaillance des comptes publics), et a accéléré ce virage vers les alternatives. Une étude du Reuters Institute (Digital News Report 2023) avait montré qu’en France, la confiance dans les médias traditionnels était tombée à 29 %, l’une des plus faibles d’Europe, poussant les citoyens vers des sources alternatives comme les réseaux sociaux.

    Objectivité en berne : les médias traditionnels décriés
    62 % des sondés jugent que les médias télévisés mainstream manquent totalement d’objectivité, un constat partagé par 43 % concernant la presse papier (L’Express, Le Point, Le Parisien).

    Sondage IV - Contenu manque d'objectivité

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    Pourtant, l’État a injecté des centaines de millions d’euros en aides et subventions pour garantir le « pluralisme ». En 2023, selon la Cour des Comptes, les aides directes à la presse s’élevaient à environ 120 millions d’euros par an, sans compter les exonérations fiscales et les soutiens exceptionnels post-Covid. Malgré cela, la population perçoit un manque criant d’indépendance, ce qui alimente la défiance. Face à un budget de l’État jugé trop lourd et à ces aides inefficaces, 50 % des Français exigent leur suppression totale, une tendance stable sur les trois vagues d’enquête.

    Sondage IV - aides aux médias suspendues

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  10. De nombreux articles de presse (OJIM) ont analysé le « scandale persistant des aides à la presse », qui a distribué des millions d’euros entrainant de nombreuses critiques sur l’absence de contreparties pour garantir le pluralisme. D’ailleurs, la Cour des comptes s’est fâchée en 2024 : « Les aides à la presse, directes ou indirectes, sont le tonneau des Danaïdes et toujours au profit des mêmes » a indiqué Pierre Moscovici président de la Cour lors de son audition devant la commission des finances du Sénat fin mars 2024.

    Sondage IV - OJIM

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    Les médias, amplificateurs de peurs ?

    84 % des Français estiment que les médias exacerbent leurs peurs, et 87 % ressentent une anxiété croissante liée à l’information.

    Sondage IV - attitude sur les médias peurs

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    Pour 79 %, distinguer le vrai du faux devient une mission impossible, tandis que 61 % dénoncent une science manipulée par les politiques et les médias. Enfin, 77 % perçoivent le mensonge comme omniprésent en politique, sans réelle sanction – contrairement aux États-Unis, où le parjure est pénalement répréhensible. Ce sondage vient corroborer l’étude de l’INA (2021) sur la couverture médiatique de la covid-19 qui a montré que les chaînes d’info en continu diffusaient 70 % de contenus anxiogènes, contribuant à une perception amplifiée des risques.

    Comment les Français s’informent : entre habitude et contradiction

    Les Français consacrent en moyenne plus d’une heure par jour à s’informer : 52 % y passent une heure, 23 % plusieurs heures et seuls 6 % s’informent rarement (moins d’une fois tous les 4-5 jours).

    Sondage IV - Temps passé à s'informer

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    La télévision reste le média dominant (56 % la consultent quotidiennement), suivie du smartphone (44 %), devant la radio (35 %) et l’ordinateur (29 %). Les newsletters (46 % de non-lecteurs) et la presse papier (39 %) perdent du terrain.

    Sondage IV - Consultation des types de médias

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    Paradoxalement, bien que 62 % critiquent l’absence d’objectivité des médias télévisés, une majorité continue de les regarder quotidiennement, signe d’une dépendance ou d’un manque d’alternatives perçues. Selon le baromètre La Croix 2023, 55 % des Français utilisaient encore la télévision comme source principale d’information, malgré une confiance en baisse (36 %), illustrant cette dépendance historique.

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  11. S’informer, oui. Mais sur quoi ?

    94 % cherchent à comprendre ce qui se passe autour d’eux, 31 % veulent s’enrichir intellectuellement via des analyses d’experts, et 23 % recherchent des sujets de conversation.

    Sondage IV - sur quoi s'informer

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    Côté contenu, 58 % plébiscitent les articles courts (2-5 minutes), 44 % les vidéos factuelles, 42 % les entretiens approfondis, et 38 % les courts formats des réseaux sociaux. Les dossiers d’investigation (23 %) et les livres (14 %) séduisent moins, reflétant une préférence pour l’instantané.

    Sondage IV - Type de contenu

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    58 % favorisent l’audio (écouté en voiture ou en mouvement), mais 50 % apprécient aussi les analyses écrites exigeant plus d’attention, révélant un fossé générationnel entre information rapide en surface et quête de compréhension plus complète.

    Sondage IV - type d'information

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    En 2023, le Reuters Institute avait noté que 40 % des Français préfèrent les formats courts en ligne, une tendance portée par les moins de 35 ans, tandis que les plus âgés restent attachés aux formats plus traditionnels.

    Vérifier l’info : une tâche laissée en suspens

    29 % ne vérifient pas les informations, souvent par manque de temps. 33 % se fient à l’avis d’experts ou journalistes mainstream, 20 % à ceux des médias alternatifs, et seulement 20 % consultent Wikipédia.

    Sondage IV - vérification de l'info

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    Les fact-checkers, utilisés par 6 %, sont délaissés au profit des « notes de la communauté » (popularisées sur les réseaux sociaux). En 2024, Mark Zuckerberg a réduit l’usage des fact-checkers sur Meta, privilégiant l’intelligence collective face aux critiques sur leur partialité. De plus en 2023, l’étude Edelman avait montré que seulement 18 % des Français font confiance aux journalistes pour vérifier les faits, expliquant le faible recours aux fact-checkers professionnels.

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  12. Si 50 % rejettent les subventions aux médias, 57 % ne souhaitent pas non plus financer la presse indépendante. Parmi les 43 % prêts à le faire, 16 % optent pour un abonnement mensuel, 15 % pour des magazines numériques, et 17 % pour des dons.

    Sondage IV - Soutien à la presse indépendante

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    Participation citoyenne : une démocratie en quête de souffle

    40 % des Français soutiennent le financement d’associations défendant l’intérêt général, et 28 % celui de la presse indépendante, signe d’une volonté de réinventer la démocratie directe.

    Sondage IV - moyen d'actions pour soutenir la démocratie directe

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    Les peurs des Français : l’économie en tête

    89 % des Français redoutent une dégradation économique, 80 % une hausse des inégalités, et 58 % craignent de ne plus pouvoir subvenir à leurs besoins. Seuls 48 % se sentent protégés par les mesures de l’État, miné par une dette publique jugée alarmante. En 2025, la dette française dépasse 120 % du PIB, selon les projections du FMI.

    Sondage IV - Peur situation économique

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    L’INSEE rapportait en 2023, une inflation de 4,9 %, alimentant déjà les craintes économiques, un sentiment qui semble s’être amplifié en 2025 selon les données de l’enquête.

    Sur le climat, 74 % s’inquiètent pour l’avenir malgré 77 % qui réclament une révision des politiques officielles. Les avancées scientifiques rassurent 69 %, mais les risques sanitaires divisent (48 % préoccupés, 47 % indifférents). Seuls 39 % craignent une nouvelle crise comme la covid-19, bien que 51 % critiquent la gestion passée.

    Sondage IV - peurs climat science maladie

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    Réconfort et pragmatisme : les ancres des Français

    80 % des Français trouvent du réconfort dans la famille et les amis, et 76 % dans la solidarité. 54 % puisent dans la spiritualité une forme de paix, signe d’un pragmatisme qui contraste avec les élites politiques et leur « foi en la science » affichée durant la crise covid.

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  13. 59 % des Français assument d’être qualifiés de complotistes sur certains sujets, et 68 % ne craignent pas le rejet social.

    Enfin, 79 % des sondés redoutent un usage abusif de leurs données personnelles. En 2023, une étude CSA montrait que 72 % des Français s’inquiétaient des données personnelles, une peur renforcée par les scandales de surveillance numérique comme Pegasus (Le Monde, 2021).

    Sondage IV - peurs éléments sociaux

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    Une France déchirée mais résiliente

    Cette enquête révèle une société française fracturée, où la défiance envers les institutions et les médias atteint des sommets. Entre peur économique, rejet de la manipulation médiatique et quête d’authenticité, les Français oscillent entre désillusion et pragmatisme. Si les médias alternatifs gagnent du terrain, la question du financement de l’information reste en suspens, laissant entrevoir un défi majeur pour la démocratie. Le baromètre Cevipof 2023 indiquait que seuls 26 % des Français ont confiance en leurs institutions, un niveau historiquement bas qui cadre avec les résultats de cette enquête. Les médias alternatifs et les associations semblent les vrais gagnants et piliers de la confiance des Français.

    Étude BonSens.org et France-Soir analysée par FranceSoir.fr sur la situation en France, à l’international mené le 27-28 mars 2025 sur un échantillon représentatif de la population française de 1200 personnes. Méthode des quotas sur les critères de sexe, âge, catégorie socio-professionnelle et répartition géographique. L'enquête a été réalisée par MIS Group pour l’association Bonsens.org et la société Shopper Union France SAS qui publie et édite le site www.francesoir.fr. Tout sondage comporte statistiquement des marges d'erreurs, réduites en l'espèce de par la taille de l'échantillon de 1200 personnes. Toute personne a le droit à consulter la notice prévue par l'article 3 de la loi.

    - voir cadre sur site -

    https://www.francesoir.fr/politique-france/medias-peur-et-mensonges-les-francais-disent-stop

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  14. De la grippe aviaire à l'aide alimentaire : M. Trump remodèle la santé et la faim dans le monde


    1 Avril 2025
    Jake Zajkowski, AGDAILY*


    L'approche des États-Unis en matière de sécurité alimentaire mondiale, ainsi que leur leadership en matière de santé publique animale, ont changé de cap dès le premier jour de mandat du président Donald Trump, avec une pause de 90 jours sur les programmes d'aide à l'étranger.

    À l'aube de la nouvelle administration, on s'attendait à des coupes budgétaires et à des efforts visant à améliorer l'« efficacité » des programmes gouvernementaux. Cependant, les récents décrets ont déjà des répercussions inattendues sur l'agriculture, les universités land-grant et les partenariats agricoles internationaux qui œuvrent à l'amélioration des résultats en matière de santé.

    Depuis 1954, les États-Unis financent et dirigent des projets dans de nombreuses missions diplomatiques pour lutter contre la faim dans le monde, en s'associant à des organisations philanthropiques et en encourageant les partenariats public-privé pour relever les défis mondiaux.

    Les personnes impliquées dans l'agriculture internationale et le développement alimentaire cherchent des réponses à Washington alors que les agences fédérales suspendent leurs activités, émettent des avis de licenciement et empêchent les employés de se présenter au travail à l'Agence Américaine pour le Développement International (USAID).

    En 2023, l'USAID a déboursé plus de 72 milliards de dollars d'aide à environ 130 pays. Notamment, 2 milliards de dollars sont utilisés pour acheter des denrées de base américains afin de les transformer en repas envoyés à l'étranger, desservant environ 45 millions de bénéficiaires, selon un rapport du Service de l'Agriculture à l'Étranger.

    La dernière fois que la communauté agricole a eu des discussions intensives sur l'aide alimentaire, c'était lors de l'introduction de l'American Farmers Feed the World Act of 2023 (loi « les agriculteurs américains nourrissent le monde » de 2023, qui visait à garantir que 50 % des programmes d'aide alimentaire utilisent des produits cultivés aux États-Unis, en plus des exigences d'expédition à partir des États-Unis énoncées dans la loi sur l'agriculture.

    - voir carte sur site -

    Organigramme de l'aide alimentaire américaine aux pays bénéficiaires. (Image : USAID)

    Les agriculteurs américains qui nourrissent le monde et leurs homologues du développement mondial s'échinent à déterminer les prochaines étapes, alors que des programmes soutenus depuis longtemps sont temporairement suspendus et que l'USAID licencie des membres clés de son personnel et semble mettre fin à ses activités.

    Aujourd'hui, quelques semaines après le début de la présidence Trump, les responsables de l'USAID et du département d'État américain sont en quête de clarté. La communauté mondiale du développement s'efforce de déterminer son rôle alors que l'administration gèle l'aide étrangère, licencie du personnel clé et semble mettre fin aux opérations de l'USAID.

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  15. Une pause de 90 jours a été imposée sur les nouvelles obligations et décaissements d'aide étrangère pendant que tous les programmes d'aide étrangère font l'objet d'un examen. Le Bureau de la Gestion et du Budget (OMB) a émis un ordre pour « arrêter, cesser et/ou suspendre tout travail » effectué dans le cadre des accords de financement de l'USAID.

    Parmi les programmes concernés figurent les laboratoires Feed the Future (alimenter l'avenir), financés par l'USAID, qui se concentrent sur la faim dans le monde et la sécurité alimentaire dans 12 universités land-grant. Toutefois, les informations relatives à Feed the Future ont disparu des sites web publics. L'Université de Californie à Davis, par exemple, accueille trois des 22 laboratoires Feed the Future, spécialisés dans l'horticulture, la sécurité alimentaire et la résilience des marchés. Parmi les autres établissements concernés, citons l'Université de l'État du Kansas, l'Université de l'État du Michigan, l'Université de Purdue et Virginia Tech.

    L'administration a décidé de réévaluer l'aide américaine à l'étranger en déclarant que « l'industrie et la bureaucratie de l'aide à l'étranger ne sont pas alignées sur les intérêts américains et, dans de nombreux cas, sont contraires aux valeurs américaines ».

    M. Mark Becker, président de l'Association of Public and Land-grant Universities, a critiqué la directive de la Maison Blanche en déclarant : « Ordonner une pause temporaire des subventions fédérales est un mandat trop large, inutile et préjudiciable. »

    Le secrétaire d'État Mark Rubio a récemment pris la direction de l'agence, mais l'incertitude demeure car le Congrès débat de la question de savoir s'il peut le faire. Entre-temps, le département d'État n'a pas encore nommé d'envoyé spécial pour la sécurité alimentaire mondiale – un rôle précédemment occupé par le Dr Cary Fowler, qui avait des liens étroits avec le secteur agricole et des organisations telles que la World Food Prize Foundation et la U.S. Farm Foundation. Ce poste représente les États-Unis dans les discussions sur la sécurité alimentaire mondiale.

    M. Trump a également annoncé son intention de retirer les États-Unis de l'Organisation Mondiale de la Santé, une décision qu'il avait prise lors de son premier mandat. La procédure de retrait nécessite un préavis d'un an, mais on ne sait pas encore si le Congrès autorisera le retrait.

    Dans le secteur agricole, l'OMS collabore avec l'Organisation Mondiale de la Santé Animale pour coordonner les réponses aux maladies zoonotiques telles que la peste porcine africaine et la grippe aviaire. Bien que les deux organisations bénéficient d'un financement américain, le financement de l'OMSA devrait se poursuivre, la mise en œuvre étant dirigée par le Service d'Inspection de la Santé Animale et Végétale de l'USDA.

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  16. Les experts en santé animale affirment que le retrait des États-Unis de l'OMS ne compromet pas directement la santé animale, mais qu'il « exclut les États-Unis de discussions et de collaborations essentielles », selon un responsable international de la santé animale. « C'est un rôle que le secteur privé peut jouer », a ajouté ce responsable. L'OMS, l'OMSA et l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) collaborent sur les interfaces entre les maladies animales et humaines, les initiatives « One Health » (Une Seule Santé) et les rapports hebdomadaires.

    Le recul de M. Trump par rapport aux engagements mondiaux en matière de santé publique intervient alors que la grippe aviaire continue de se propager. Les États-Unis ont déjà enregistré 67 foyers, dont un cas humain confirmé (le patient est décédé le mois dernier). En Europe, un cas a récemment été confirmé au Royaume-Uni. Les agences du monde entier renforcent leurs protocoles de surveillance et d'intervention.

    La grippe aviaire, une maladie qui se propage entre les oiseaux sauvages et le bétail, est documentée depuis le début du XXe siècle, époque à laquelle elle était connue sous le nom de « peste aviaire ». Toutefois, sa réapparition aux États-Unis en 2022 représentait un risque nettement plus important en raison de l'échelle industrielle des élevages de volailles américains, où les exploitations individuelles abritent souvent plus de 75.000 oiseaux. Ces grandes installations, qui produisent 95 % des œufs du pays, selon le Manuel de l'Industrie Avicole Américaine, créent des conditions susceptibles d'accélérer la propagation de la maladie. En revanche, les élevages de volailles des pays du Sud entretiennent généralement des troupes beaucoup plus petites, de 10 à 23 oiseaux en moyenne, alors que la troupe de basse-cour américaine moyenne compte environ 49 oiseaux, selon une étude des Instituts Nationaux de la Santé (NIH).

    Un éleveur de canards de Long Island a récemment été victime d'une épidémie qui a nécessité l'abattage de 10.000 oiseaux. « Si l'élevage de canards n'est pas une option, je ne sais pas trop ce que nous ferions », a déclaré un éleveur à la chaîne NBC. « Nous ne sommes pas vraiment préparés à faire autre chose. »

    Lorsque les maladies animales perturbent les marchés, les gouvernements prennent souvent des mesures rapides pour atténuer les dommages économiques.

    L'Allemagne a récemment été confrontée à une épidémie de fièvre aphteuse, ce qui a entraîné un arrêt temporaire des exportations de viande et la suspension du statut « indemne de fièvre aphteuse » de l'Organisation Mondiale de la Santé Animale (OMSA). Des restrictions commerciales ont été imposées par la Corée, le Royaume-Uni, les États-Unis, la Russie et le Japon, bien que certaines aient été levées. M. Norbert Lins, membre allemand du Parlement Européen, a appelé à une aide économique pour les éleveurs, dont les pertes sont estimées à un milliard d'euros.

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  17. « De nombreuses exploitations ne sont pas en mesure de livrer leurs animaux et subissent des pertes de 60.000 à 80.000 euros par jour depuis des mois », a-t-il déclaré. « Si on fait le calcul, nous devrions penser à des compensations, c'est tout à fait normal. »

    Les gouvernements du monde entier ont intensifié leurs réponses aux épidémies de maladies animales en raison de leur impact économique considérable. Sous la précédente administration de l'USDA, des mesures telles que l'amélioration des tests, des programmes d'aide financière et des programmes de paiement d'indemnités ont été mises en œuvre pour soutenir les agriculteurs touchés par des épizooties.

    La réponse de l'USDA aux maladies animales est restée cohérente pendant la transition présidentielle. La candidate au poste de secrétaire à l'Agriculture, Brooke Rollins, a déclaré lors de son audition de confirmation au Sénat : « Je sais que l'équipe actuelle et la future équipe travailleront main dans la main pour faire tout ce qui est en leur pouvoir en matière de maladies animales ».

    Toutefois, au cours de cette audition, la sénatrice Amy Klobuchar (D-Minn.) a interrogé Mme Rollins sur « l'arrêt des communications externes du CDC en matière de santé publique sur ces épidémies de grippe aviaire ». Plus précisément, elle s'est inquiétée du rapport hebdomadaire du CDC sur la morbidité et la mortalité, dont la publication est désormais soumise à l'approbation d'une personne nommée pour des raisons politiques.

    Mme Klobuchar a exhorté Mme Rollins à discuter de cette question avec le CDC : « Je sais que cela ne relevait pas de l'USDA, mais je vous demande instamment d'en parler avec eux. Nous sommes inquiets. »

    https://seppi.over-blog.com/2025/04/de-la-grippe-aviaire-a-l-aide-alimentaire-m.trump-remodele-la-sante-et-la-faim-dans-le-monde.html

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  18. Charles Dereeper VIVRE


    30 MARS 2025


    Charles quelle est ta source pour le cocovide ?

    Je selectionne mes sources en fonction de leur aptitude a dominer la matrice
    Il y a environ 3000 milliardaires sur terre dont les 2 tiers soit 2000 ont créé leur fortune
    Les classements sont faux du fait des vols a grande echelle de l argent publique et des mafieux. Mais le critere de fiabilité des milliardaires restent interessant. Ce n est pas la connaissance intello mais la concretisation et la validation des consommateurs et d un appareil de production
    Ma source est soon shiong inventeur d un medicament anti cancer et milliardaire non heritier.

    Fiche attachee en photo

    Pour lui, le cocovide + vaccin = explosion du taux de cancer fulgurant

    Il emploi le terme de virally induced cancer donc litterallement une epidemie de cancer declenché par des virus... le cocovide est une ope militaire de grande envergure pour reduire la population vu la logique sous jacente. Le hasard est exclu. Impossible de créer ces coïncidences disent les chercheurs
    Pour soon shiong, le cocovide a supprimé une fonction de surveillance d immunité et le vaccin supprime la capacité de la personne a repondre et tenir en echec les cancers
    Les stats montrent qu apres les boosters, les cancers progressent beaucoup plus rapidement qu avant en s aggravant

    Desolé mais vous pouvez pas vous rassurer que je suis complotiste avec ce genre de source...
    Ce mec a dedié sa vie au cancer depuis 50 ans
    Cela dit, le net est couvert de temoignages d inconnus qui connaissent des complications severes... beaucoup trop de convergences pour accepter la version rose officielle
    Cette semaine ils ont sorti une etude sur 1800 pilotes commerciaux lignes interieures usa... cest chaud les taux... ca donne pas envie de monter dans un boeing a pilotes piquousés
    t.me/dereeper

    🔙 Ceci est un retour sur mes récentes publications (28/03/2025)

    - voir doc sur site :

    https://www.facebook.com/charlesdereepervivre

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  19. Quand cessera-t-on de faire trier la science par des ratés oisifs et conformes pour laisser travailler les créatifs qui par définition ne sont jamais dans le courant dominant ?(D Raoult)


    le 1 avril 2025
    par pgibertie


    La révolution en cours aux États-Unis va permettre de rendre limpide la bêtise des mesures prises en Occident pour le Covid. Le nouveau directeur du NIH (la direction de la recherche biologique et médicale) est en tout point du même avis que moi, Mr. Jay Bhattachary a été marginalisé au début de l’épidémie de COVID pour avoir expliqué que confinement, masque et vaccination des enfants et des jeunes était inutile et qu’il fallait concentrer les efforts et les soins sur les personnes à risque (il est un des meilleurs spécialistes américains de santé publique et non un politique crapuleux comme A. Fauci)

    . Fauci a été scandaleusement gracié par avance par Biden avant même que des poursuites soient engagées, ce qui montre bien que tous les acteurs informés savent ce qu’il risquait) .

    Quel retournement ! Comment les ‘’ idiots utiles’’ de la presse pourront ils clamer » C’est la Science qui le dit ‘’ ? Ceci étant répété par des ratés de la science ou des journalistes qui en ont entendu parler et donnent des leçons de science !

    Le nouveau directeur du NIH met au cœur de sa réforme le droit de désaccord qui est la base de la science et des débats scientifiques. Les ‘’idiots utiles’’, ainsi contredits, disent alors :’’ on pourra prétendre que la terre est plate’’ ! Ceci est une conversation de bar, il n’y a pas de scientifiques qui prétendent cela. Que les politiques et les journalistes laissent les vrais scientifiques (ceux dont l’œuvre est visible) débattre ! La politique et l’argent ont toujours été des parasites de la science. On ne pourra plus dire sans faire rire ‘’ C’est la Science’’ répété par un chercheur raté, acclamé par un journaliste ou un homme/femme politique. /

    C’est ridicule… La corruption généralisée par l’industrie pharmaceutique a détruit la conscience de collègues et de la presse scientifique, (en particulier Elsevier et Nature) et a créé une crise de confiance majeure. Plus personne n’est dupe. Le discours de la presse prétendant que dénoncer le rôle de la corruption (pourtant transparente) était du complotisme est ridicule!!! Ceci est dangereux, même si la bêtise a aussi joué un grand rôle dans la gestion du Covid. Beaucoup de révolutions, dont la nôtre, se sont faites à cause de la corruption. Le titre de gloire de Robespierre était ‘’ l’incorruptible’’ qui lui a conservé une certaine estime malgré ses dérives autoritaires et sanglantes. En effet, la corruption et l’injustice sont les ferments des révolutions. J’ai eu l’occasion de m’exprimer sur ce sujet, entre autres aux États-Unis, auprès de l’équipe de M. Kennedy, le nouveau ministre de la Santé américain (https://thehighwire.com/ark-videos/didier-raoult-uncensored/…) ITW par Del Bigtree,

    @HighWireTalk

    ceci devrait être traduit en français bientôt, mais aussi sur Omerta, https://youtube.com/watch?v=7INAYl8SNFI&ab_channel=OMERTAavec… Idriss Aberkane https://youtube.com/watch?v=fTlrrbExwvk&ab_channel=IdrissJ.Aberkane… et avec Xavier Azalbert. https://x.com/france_soir/status/1904787989860868176… Il est plaisant d’entendre les Ayatollahs français de la science politiquement définie hurler à la mort de la science aux États-Unis. C’est la science française qui meurt, la capacité de rebondir des États-Unis fait rêver. À quand un projet aussi dynamique contre la corruption et les lobbies ? Quand cessera-t-on de faire trier la science par des ratés oisifs et conformes pour laisser travailler les créatifs qui par définition ne sont jamais dans le courant dominant ?

    https://pgibertie.com/2025/04/01/quand-cessera-t-on-de-faire-trier-la-science-par-des-rates-oisifs-et-conformes-pour-laisser-travailler-les-creatifs-qui-par-definition-ne-sont-jamais-dans-le-courant-dominant-d-raoult/

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    1. Il ne suffit pas de dire que les masques et les confinements sont inutiles il faut expliquer pourquoi !
      Ce ne sont pas des ratés mais bien des GROS CONS qui soutiennent les trisomiques. Car le 'professeur' R. a TOUJOURS refusé de dire ce que contenaient les flacons injectables analysés dès leurs sorties de laboratoires par de vraies scientifiques telles que les Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej.

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  20. 1. L'analyse de la « poussière du Sahara » est disponible : Alerte terroriste ! (de Ivo Sasek)


    23.08.2024
    www.kla.tv/30233


    Dans mon discours Kla.TV du 11 mai 24, j'ai exprimé pour la première fois le soupçon que les nouvelles précipitations de poussière du Sahara avaient peut-être plus à voir avec l'utilisation d'armes météorologiques brevetées depuis longtemps qu'avec le sable du Sahara lui-même. Aujourd'hui, je vous présente un 1er rapport d'analyse qui indique qu'à chaque pluie de poussière dite du Sahara, au moins 26 éléments, dont certains très toxiques, nous tombent sur la tête. Mais pas seulement sur la tête, mais aussi sur notre agriculture, sur nos lacs, nos rivières, nos jardins, nos prairies, sur tous nos animaux, sur les populations d'insectes dans l'air, sur le sol et sous le sol. Mais reprenons les choses dans l'ordre :

    Tout d'abord, je rappelle une nouvelle fois le brevet américain 9924640. Et ce n'est qu'un des dizaines de brevets similaires : Il y est décrit comment des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules de type sable à 18 000 mètres d'altitude. La raison : pour contrôler, manipuler notre météo et notre climat. Ensuite, je rappelle encore une fois le carburant de l'OTAN "JP 8", que l'OTAN maçonnique vend depuis longtemps à environ 90% de l'aviation civile, c'est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Ce qui est effrayant, c'est les résultats d'analyse des additifs nommés : En effet, des quantités importantes d'aluminium, de baryum, de béryllium, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d'étain ont été détectées dans ces carburants militaires. Également de nombreux oxydes de ces métaux et d'autres substances toxiques. Ces résultats de mesures nous ont donné l'idée que des substances similaires pourraient peut-être se trouver dans les nanoparticules de poussière fine semblables au sable. Ceux-ci ont déjà été pulvérisés par centaines de millions de tonnes au-dessus de la tête de chacun d'entre nous. Et que la prétendue pluie de poussière du Sahara pourrait également être une précipitation contenant précisément de telles substances.

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  21. Car les brevets de manipulation météorologique dévoilés, c'est-à-dire les brevets d'armes météorologiques, décrivent noir sur blanc comment ces nanoparticules de sable, une fois éjectées, restent en suspension jusqu'à deux ans dans la haute atmosphère - avant de retomber progressivement sur nous. Et je dis bien : cela soit sans bruit, soit en association avec une pluie battante qui s'abat alors sur nos têtes, mais aussi sur les têtes de nos proches, nos enfants. Et puis, ils empoissent aussi nos installations solaires, recouvrent tous nos moyens de transport, empoisonnent tous nos champs etc., etc.

    Avant d'en venir aux résultats de l'analyse de la pluie de poussière du Sahara, je dois encore une fois évoquer les expériences à grande échelle menées sur les peuples, par exemple en 1994 aux États-Unis, expériences qui ont été révélées depuis longtemps. Je dois le faire pour que vous compreniez suffisamment que des expériences aussi cruelles sur les peuples sont effectivement menées par des gouvernements et qu'elles sont ensuite couvertes par la justice. Et ici, nous ne traitons que la pointe de l'iceberg que les lanceurs d'alerte libres ont déjà dévoilée :

    Les sujets involontaires des tests de 1994 étaient des citoyens américains - des grandes villes entières. Que s'est-il passé ? Des avions militaires les ont délibérément aspergés de poison pendant de longues périodes, car l'armée disait qu'elle voulait voir ce qui se passerait ; en effet les substances de combat doivent être testées avant d'être utilisées chez "l'ennemi". Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée pendant trois mois de sulfure de zinc et de cadmium. Retenez déjà ces deux substances, car vous allez en entendre parler dans un instant. Les conséquences de ce seul brouillard de sulfure de zinc et de cadmium ont été terribles. La moitié d'une classe entière est alors littéralement morte, l'autre moitié a souffert des plus graves maladies, stérilisations et autres handicaps.

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  22. Car ces victimes sans défense, ces petits enfants, plus tard quand ils sont devenus adultes, ont eux-mêmes donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Et comprenez ici que nous ne parlons pas de simples théories du complot, mais de crimes commis par des gouvernements entiers et leur justice, qui ont été reconnus depuis longtemps, mais jamais punis comme il se doit, ni publiés. Interrogés à ce sujet, ils ont indiqué que les avions ne pulvérisaient que des produits chimiques inoffensifs. Les mêmes réponses nous sont d'ailleurs données par nos gouvernements lorsque nous les interrogeons sur le contenu des millions de tonnes de nanoparticules pulvérisées. Et les prétendues pluies de poussière du Sahara ne suscitent aucun tollé - surtout de la part de nos médias grand public. Mais venons-en aux résultats d'analyse effrayants qui nous ont été remis par des lanceurs d'alerte indépendants de Bosnie. Les documents originaux sont affichés en arrière-plan.

    Ces derniers ont en effet fait réaliser une analyse comparative entre le sable saharien original et le prétendu sable saharien issu des précipitations en Bosnie-Herzégovine. Ils voulaient seulement savoir s'il y avait peut-être des éléments toxiques dans cette prétendue "pluie de poussière du Sahara". Quelque chose qui nous nuit, à nous-mêmes ou à notre écosystème. Et c'est précisément ce qui aurait dû être le rôle des gouvernements. Mais comme ils n'ont rien fait, l'analyse qui suit a été réalisée à titre privé.

    Vous avez donc envoyé à l'Institut de génie chimique de Tuzla, en plus du sable saharien original, un échantillon de sable de Lukavac. "Le 6 mai 2022, nous avons envoyé deux échantillons à l'Institut de génie chimique de Tuzla : Un échantillon de sable prélevé sur les rives d'un lac dans le sud de la Tunisie et un échantillon de sable prélevé à Dobošnica Donja, près de Lukavac, le 7 avril 2022, après la "pluie de sang" rouge." ... prélevée le 7 avril 2022 après ce qu'on appelle la pluie du Sahara. Cet échantillon est d'autant plus important qu'en Bosnie, le vent souffle généralement de l'ouest et que les précipitations à Lukavac n'ont donc pas pu être influencées par les fumées d'une quelconque industrie ou par des centrales thermiques ou autres. Et voilà :

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  23. Pas moins de 26 éléments, dont certains très toxiques, ont été trouvés dans la prétendue pluie de poussière du Sahara étudiée : Aluminium, arsenic, bore, baryum, béryllium, bismuth, cobalt, chrome, cuivre, fer, lithium, manganèse, molybdène, nickel, plomb, antimoine, sélénium, étain, strontium, thallium, vanadium, zinc, cadmium. Je vous l'ai dit, retenez ces deux derniers éléments.

    Rien que la proportion d'aluminium dans la prétendue pluie de poussière saharienne en provenance de Bosnie était 728 fois plus élevée que dans le sable saharien original. Les poussières fines d'aluminium peuvent par exemple provoquer la maladie d'Alzheimer, endommager les reins, le foie et les os, et bien d'autres choses encore. Les taux d'arsenic étaient 44 fois plus élevés, les taux de baryum 660 fois plus élevés et les taux de nickel même 2.500 fois plus élevés que dans le sable saharien original. On a trouvé 64 fois plus de zinc dans la pluie dite saharienne, 23 fois plus de fer, etc.

    Après cette révélation, une seule chose intéresse les peuples concernés : Qui diable permet que ces nouveaux cocktails hautement toxiques soient de plus en plus déversés sur nos têtes ? Qui fait exactement ce genre de choses et pourquoi ? Quels sont les noms de ces malfaiteurs ? C'est ce que nous voulons savoir maintenant. Dans quelle mission et avec quels objectifs ultimes agissent-ils ? Etant donné que les analyses présentées constituent plus qu'un simple début de soupçon que l'Europe entière est devenue la cible des pires terroristes hybrides, j'appelle tous nos téléspectateurs à participer activement à la poursuite du travail d'enquête sur cette affaire. Car, comme d'habitude, les médias à prélèvements obligatoires n'en disent rien et cachent même, contre toute évidence, des choses bien pires encore. Nous en parlons tous les jours depuis 2012.

    N'oubliez pas qu'à chaque nouveau nuage de soi-disant poussière du Sahara, vous respirez toutes ces choses aussi longtemps qu'elles flottent librement dans l'air. Et ensuite, vous absorbez ces nanoparticules du tableau par tous les pores de votre peau, vous les mangez aussi avec vos légumes bio, vous les avalez avec votre eau potable et même lorsque vous nagez, ces trucs vous pénètrent. De tous les côtés, pas seulement par la bouche. N'oubliez pas que l'étendue finale des dégâts et les conséquences à long terme doivent encore être déterminées. Pourtant, rien que les déformations croissantes de nos arbres nous laissent présager le pire. Toute information pertinente peut donc protéger et sauver la vie de notre nature et l'existence de peuples entiers !

    Pour obtenir une attestation définitive sur l'origine, la cause et les objectifs de cette composition chimique de poussières, il faut un maximum d'analyses supplémentaires d'échantillons de différentes origines. De même, on ne sait pas encore de quelle manière, dans quelle mesure et avec quelles conséquences les éléments trouvés sont absorbés par les différents organismes.

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  24. Mais je dis : Demandez sans relâche aux députés de votre circonscription d'interdire non seulement la pulvérisation des carburants de l'OTAN par nos avions, car ils sont des tueurs de climat et d'êtres humains ! Expliquez également à tous ceux qui ne le savent pas à quel point nombre de ces éléments précédemment cités sont mortels pour nous. Demandez à vos députés d'informer les peuples sur la pulvérisation annuelle de dizaines de millions de tonnes de nanoparticules d'aluminium jusqu'aux particules fines de charbon. Demandez sans relâche un débat ouvert sur tous ces brevets de manipulation du temps et d'utilisation d'armes météorologiques mentionnés ici, ainsi que sur le génocide insidieux qui en découle. Il n'y a pas d'autre mot pour décrire cela. Demandez à vos politiciens et à vos députés de rendre compte publiquement de l'analyse de la poussière du Sahara dont nous venons de parler. Les originaux sont affichés, chers amis. Enfin, en tant que peuple, nous devons exiger le droit à notre compétence décisionnelle finale jusqu'à ce qu'elle soit fermement ancrée dans toute constitution et que les politiciens élus ne puissent plus simplement s'opposer à nos objections. S'il vous plaît, diffusez des émissions comme celle-ci auprès d'autant de personnes que vous le pouvez, en particulier auprès des personnes encore ignorantes de cela.

    Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 48 ans.

    de is.
    Sources/Liens :
    Pluie de sang en Bosnie - résultats d'analyse effrayants
    https://www.youtube.com/watch?v=vCtIsk9bWrg

    La géo-ingénierie démasquée :ce que révèle la lanceuse d'alerte Kristen Meghan
    https://www.kla.tv/GeoEngineering/29949

    Les brevets météorologiques : Où se cachent les faiseurs de catastrophes
    https://www.kla.tv/GeoEngineering/19915

    « Manipulations météorologiques : Ce que nous savons avec certitude - Exposé du physicien de l'ETH, Dr. Philipp Zeller »
    www.kla.tv/27872

    Le débat sur le CO2 comme moyen de détourner l'attention de la manipulation ..
    https://www.kla.tv/16595

    Bande dessinée Covid-19 de 2012
    https://www.kla.tv/16831
    (Cette émission prédit précisément qu'après le Covid, les systèmes HAARP seront utilisés pour décimer la population).
    1 an après les inondations catastrophiques de la vallée de l'Ahr (2021) : Incohérences révélées
    https://www.kla.tv/GeoEngineering/19752

    Arme de guerre – taxes sur l’audio-visuel | 40 raisons pour lesquelles je ne paie plus (par Ivo Sasek)
    www.kla.tv/28967

    Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat
    https;//www.kla.tv/28157
    Les USA ont testé des poisons sur leur propre population
    https://www.kla.tv/28308

    Carte du monde : quelles parties du monde sont les plus touchées par la géo-ingénierie ?
    https://etcgroup.org/content/world-geoengineering

    La « poussière du Sahara » contient-elle aussi des substances d'Albatow, pour manipuler notre perception ?
    https://gettr.com/post/p3a11j00e62

    https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=30233&date=2025-04-01

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    1. (...) Il y est décrit comment des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules de type sable à 18 000 mètres d'altitude. La raison : pour contrôler, manipuler notre météo et notre climat. Ensuite, je rappelle encore une fois le carburant de l'OTAN "JP 8", que l'OTAN maçonnique vend depuis longtemps à environ 90% de l'aviation civile, c'est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Ce qui est effrayant, c'est les résultats d'analyse des additifs nommés : En effet, des quantités importantes d'aluminium, de baryum, de béryllium, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d'étain ont été détectées dans ces carburants militaires. (...)

      (...) Pas moins de 26 éléments, dont certains très toxiques, ont été trouvés dans la prétendue pluie de poussière du Sahara étudiée : Aluminium, arsenic, bore, baryum, béryllium, bismuth, cobalt, chrome, cuivre, fer, lithium, manganèse, molybdène, nickel, plomb, antimoine, sélénium, étain, strontium, thallium, vanadium, zinc, cadmium. Je vous l'ai dit, retenez ces deux derniers éléments.

      Rien que la proportion d'aluminium dans la prétendue pluie de poussière saharienne en provenance de Bosnie était 728 fois plus élevée que dans le sable saharien original. Les poussières fines d'aluminium peuvent par exemple provoquer la maladie d'Alzheimer, endommager les reins, le foie et les os, et bien d'autres choses encore. Les taux d'arsenic étaient 44 fois plus élevés, les taux de baryum 660 fois plus élevés et les taux de nickel même 2.500 fois plus élevés que dans le sable saharien original. On a trouvé 64 fois plus de zinc dans la pluie dite saharienne, 23 fois plus de fer, etc.
      (...)

      Après les chemtrails diffusés sur TOUS les pays du monde et les boues toxiques analysées au Texas voici qu'arrive les 'poussières du désert Sahara' !

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  25. Comment les « polluants éternels » ont dévasté des familles d'éleveurs du Texas


    2 Avril 2025
    Chris Clayton, DTN Ag Policy Editor, dans AGDAILY*


    Ma note : C'est un modèle de littérature qui manipule les appels à la commisération à coup de demi- et contre-vérités, sur fond tout de même de données factuelles, a priori exactes, étonnantes.

    GRANDVIEW, Texas – M. Tony Coleman a parcouru une petite partie du pâturage de 325 acres [130 hectares] de sa famille, derrière sa maison rurale, en appelant « Tank ». Un taureau Black Baldy s'est finalement approché et M. Tony Coleman a commencé à lui frotter la face.

    « Il veut juste que je l'aime », a déclaré M. Coleman à propos du taureau.

    « C'est le petit garçon de papa. »

    Tony et sa femme, Karen, ont nourri Tank au biberon dans leur garage après que la mère du taureau est morte à la naissance. Parlant de leur terre empoisonnée, qui a entraîné la mort d'au moins 47 vaches et veaux à cause de problèmes tels que des maladies du foie, les Coleman sont émus par leur crainte pour la santé de Tank.

    « Nous sommes devenus son père et sa mère, et donc pour nous, vous savez, j'ai grandi à la ferme, et les gens ont toujours dit : "Comment pouvez-vous manger ce que vous élevez ?" Pour moi, cela fait partie de la vie », a déclaré Mme Karen Coleman. « Il y a une différence entre traiter une vache pour ses besoins nutritionnels et devoir euthanasier tout ce pour quoi on a travaillé. Mais si nous devons euthanasier ce taureau, cela laissera un vide qui ne pourra jamais être remplacé ».

    Les Coleman sont au centre de l'un des procès environnementaux les plus suivis du pays contre l'Agence Américaine de Protection de l'Environnement (EPA) et l'entreprise qui propose des engrais biosolides [des boues d'épuration] à l'extérieur de Fort Worth, au Texas.

    Karen et Jim Coleman élèvent du bétail sur 325 acres appartenant à la mère de Karen, Mme Patsy Schultz, près de Grandview, au Texas. Les Coleman ont perdu 47 vaches et veaux au cours des trois dernières années en raison des niveaux élevés de produits chimiques provenant du ruissellement des biosolides sur la propriété [ma note : La relation de cause à effet est bien sûr prouvée (ironie)]. (Photo : Chris Clayton, DTN)

    Les Coleman, la mère de Karen, Mme Patsy Schultz, et leurs voisins – M. James Farmer et M. Robin Alessi – ont partagé leur histoire avec DTN, décrivant ce à quoi ils ont été confrontés depuis qu'ils ont appris l'existence du terme « polluants éternels ».

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  26. La contamination dans le comté de Johnson, au Texas, a atteint un point tel que la cour des commissaires du comté a voté mardi pour demander au gouverneur Greg Abbott de déclarer le comté zone sinistrée, ce qui pourrait conduire à une aide fédérale pour les agriculteurs touchés par les applications à long terme de biosolides.

    L'EPA est poursuivie devant un tribunal fédéral

    Les agriculteurs du comté de Johnson (à 20 km au Sus-Ouest de Dallas), ainsi que le gouvernement de leur comté, l'association des agriculteurs et jardiniers biologiques du Maine et Potomac Riverkeeper Inc. ont collectivement poursuivi l'EPA devant un tribunal fédéral pour ne pas avoir réglementé les substances per- et polyfluoroalkyles (PFAS) présentes dans les biosolides, également connus sous le nom de boues d'épuration.

    Les PFAS constituent un groupe de milliers de produits chimiques de synthèse particulièrement résistants à la chaleur et à l'eau, ce qui leur vaut d'être typiquement surnommés « polluants éternels ». Les PFAS et les produits chimiques associés – y compris le PFOS et le PFOA – s'accumulent au fil du temps dans la terre, l'eau, les plantes, les poissons, les animaux et les êtres humains. L'EPA les a classés comme probablement cancérigènes et on sait qu'ils se concentrent dans des organes tels que le foie, les reins et la vésicule biliaire [ma note : Cette affirmation à propos de la cancérogénicité est sans doute fausse. Voir ici et ici].

    Au cours des sept dernières années, des niveaux élevés de contamination ont entraîné la fermeture d'une exploitation laitière au Nouveau-Mexique, d'au moins une exploitation bovine dans le Michigan et de plusieurs fermes dans le Maine, le seul État qui, jusqu'à présent, a carrément interdit l'utilisation de biosolides en tant qu'engrais. Le Michigan exige désormais que les biosolides soient testés avant d'être épandus.

    Sur la base des données de 2022 provenant des plus grandes installations au niveau national, l'EPA estime qu'environ 1,2 million de tonnes [1,1 million de tonnes métriques si l'original est en tonnes US] de biosolides sont épandues sur les terres agricoles au niveau national, et que 906.000 tonnes [822.000 tonnes métriques] supplémentaires sont utilisées pour les jardins potagers, l'aménagement paysager, les terrains de golf et d'autres usages.

    Le fait qu'une station d'épuration produise des boues pour les biosolides ne signifie pas nécessairement qu'il s'agit d'une dose élevée de polluants éternels, mais les villes où les volumes de fabrication liés aux produits chimiques sont importants sont plus susceptibles d'être touchées.

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  27. Projet d'évaluation des risques publié par l'EPA

    Dans l'une des dernières actions de l'EPA sous l'administration Biden, l'agence a publié le 15 janvier un projet d'évaluation des risques concernant les substances chimiques PFAS présentes dans les biosolides [ma note : C'est ici, mais le lien n'a pas été mis dans le texte original...]. L'EPA a averti que les risques peuvent dépasser les niveaux de sécurité de l'agence « parfois de plusieurs ordres de grandeur » [1]. La fiche d'information de l'EPA [c'est ici] destinée aux agriculteurs leur recommande « d'envisager une autre source d'engrais que les biosolides à l'avenir, en particulier si votre exploitation pourrait être vulnérable aux impacts des PFAS ». L'EPA a cité les vaches laitières et les bovins qui paissent dans des pâturages où des boues d'épuration ont été épandues, ainsi que les poules élevées sur parcours comme étant à risque, ainsi que les exploitations maraîchères.

    « Ce qu'ils disent, c'est qu'il ne faut pas utiliser de biosolides parce que c'est risqué, ce qui est très surprenant de la part de l'EPA après tout ce temps », a déclaré Mme Mary Whittle, une avocate texane spécialisée dans les questions environnementales qui représente les Coleman, les Farmer et d'autres personnes. « Je veux dire qu'ils ont eu la tête dans le sable, et dès qu'ils y jettent ne serait-ce qu'un petit coup d'œil, ils se rendent compte que nos inquiétudes sont fondées ». [Ma note : Tout se plaide... et ça peut marcher sur un malentendu ou devant un jury acquis à la cause.]

    Poursuite devant le tribunal de l'État

    Devant le tribunal de l'État, les Coleman, les Farmer et d'autres voisins poursuivent également les entreprises qui ont épandu les boues d'épuration de la station d'épuration de Fort Worth dans les comtés environnants – Synagro Technologies et une entreprise régionale plus petite, Renda Environmental Inc. Synagro conclut des contrats à l'échelle nationale pour l'élimination des boues d'épuration, généralement en les appliquant comme engrais biosolide dans les exploitations agricoles. L'action en justice ne se limite pas aux PFAS, mais cite également d'autres produits chimiques que l'on trouve généralement dans les biosolides.

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  28. Dans son rapport annuel 2023 sur le développement durable, Synagro a reconnu que l'un des défis de l'industrie est d'essayer de traiter les « substances indésirables » telles que les PFAS [ma note : C'est ici. Le mot « reconnu » est trompeur : l'existence de ce « défi » est un fait bien établi]. Synagro a cité une nouvelle technologie de traitement des eaux usées appelée « SynaPure » qui, selon l'entreprise, peut éliminer les PFAS, les métaux lourds et d'autres agents pathogènes.

    Synagro a également suggéré que les biosolides pourraient être utilisés pour des projets d'énergie renouvelable tels que le carburant d'aviation durable.

    Synagro n'a pas répondu aux demandes de commentaires [ma note : Ça aussi, c'est un classique : il suffit de poser les questions de manière « astucieuse » pour obtenir une absence de réponse].

    Mme Patsy Shultz et les Coleman

    Mme Patsy Schultz, la mère de Karen, et Jim, le mari de Patsy, ont acheté le terrain en 2006 et construit leur maison quatre ans plus tard. M. Jim Schultz était mécanicien et a travaillé dans une usine d'hélicoptères, puis dans une compagnie d'électricité pendant 24 ans. Ce garçon qui a grandi sur une ferme, originaire du Kansas, voulait un peu de terrain dans une zone rurale et quelques vaches.

    Il a trouvé l'endroit idéal à l'extérieur de Grandview.

    « Lorsque vous êtes dans un endroit comme celui-ci, vous ne voulez plus retourner en ville », a déclaré Mme Patsy Schultz, en regardant les vaches paître par la fenêtre arrière.

    M. Jim Schultz est décédé d'une maladie du foie en 2018.

    Alors qu'ils sont au cœur d'un procès très technique et potentiellement révolutionnaire, les Coleman et les Farmer voient tout ce pour quoi ils ont travaillé toute leur vie être détruit sous leurs yeux.

    « Nous n'avons jamais su ce qu'étaient les PFAS avant le printemps 2023 », a déclaré M. Tony Coleman. Il a ajouté : « C'est un sujet très compliqué que d'essayer de comprendre ce que sont les PFAS et les PFOS ».

    Les Coleman et les Farmer n'ont pas non plus épandu de biosolides sur leurs terres. La contamination est venue d'un agriculteur dont la propriété est située en amont de la leur et qui a reçu des biosolides de Synagro mais qui, à une occasion au moins, les a laissés empilés pendant des semaines jusqu'à ce qu'il puisse les épandre [ma note : C'est bien sûr prouvé, et tous les PFAS du tas se sont retrouvés chez les Coleman, répandus sur toute la surface du terrain (ironie)].

    Les fortes pluies et le ruissellement entraînaient l'érosion sur les terres des Coleman et des Farmer et dans la nappe phréatique peu profonde juste à côté du grand ruisseau qui passe à proximité.

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  29. Les niveaux de PFA testés

    Après qu'un tas de biosolides provenant de Synagro a été déposé sur le champ de la ferme voisine en novembre 2022, elle est restée là pendant des semaines et a brûlé [ma note : le feu aurait pu provoquer la dispersion des PFAS, mais cela pose la question des concentrations mesurées ; le lien est invraisemblable]. Les familles voisines se sont plaintes de l'odeur nauséabonde. Les Coleman et les Farmer décrivent le type d'odeur qui se dégageait des tas comme le genre d'odeur qui « ferait tomber une buse d'un wagon d'intestins ». M. James Farmer a déclaré que l'odeur ressemblait à celle de carcasses en décomposition.

    « On sortait et on avait envie de vomir », a-t-il déclaré.

    Suite aux plaintes et aux inquiétudes, l'enquêteur environnemental du comté a prélevé des échantillons de sol, ainsi que des échantillons provenant d'étangs et de puits.

    Le sol a été testé avec un taux de 6.291 parties par billion (ppt) de substances chimiques PFAS [ma note : = 6,... ppb ou 6,... µg/kg [2]]. L'eau du puits de Mme Patsy Schultz contenait 268 parties par billion [0,268 µg/L]. Les enquêteurs sont revenus et ont testé des poissons morts dans l'étang des Farmer qui ont montré 74.460 ppt [= 74,... µg/kg], et l'un des veaux mort-nés des Coleman a été testé à 620.228 ppt de PFAS [= 620,... µg/kg].

    Pour remettre les choses dans leur contexte, si une personne mangeait 8 onces [230 g] de poisson de l'étang des Farmer et Alessi, le risque dépasserait de 30.000 fois les niveaux d'exposition quotidiens recommandés par l'EPA. Si une personne avait mangé le foie du veau, le risque aurait été 250.000 fois supérieur aux niveaux de sécurité recommandés par l'EPA.

    L'enquêteur du comté a ensuite testé l'engrais de Synagro et a trouvé 27 substances chimiques PFAS différentes, l'échantillon atteignant 35.610 ppt [35,... µg/kg [3]]. Des concentrations élevées d'au moins huit substances chimiques PFAS différentes ont été relevées dans les propriétés des Schultz/Coleman et Farmer.

    Au cours de cette période, les Coleman ont également commencé à perdre du bétail. Ils ont perdu 47 veaux et vaches au cours des deux dernières années.

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  30. Les veaux naissent mort-nés ou peuvent mourir peu après la naissance. Les bovins présentent souvent des symptômes très spécifiques, explique Mme Karen Coleman. « À la fin, elles commencent à avoir une porte très toxique, et cela se voit tout de suite. » [sic] Les vaches deviennent également plus agressives, même si elles boitent et ne peuvent pas se lever. « C'est déchirant de savoir qu'il n'y a rien à faire. C'est l'impuissance. »

    Les vaches mortes sont maintenant envoyées à l'université A&M du Texas pour y être autopsiées.

    « Toutes les vaches ont été testées positives à une maladie du foie », a déclaré M. Tony Coleman.

    M. James Farmer et Mme Robin Alessi

    À quelques pas de là se trouvent M. James Farmer et sa femme Robin Alessi. Comme les Schultz et les Coleman, M. James Farmer explique qu'il a travaillé toute sa vie pour s'offrir une petite maison à la campagne où il pourrait élever quelques animaux pendant son temps libre.

    « Je voulais y installer un verger de pêchers et quelques autres choses, mais ce rêve s'est envolé », a déclaré M. Farmer. « Je voulais faire quelque chose qui me permette de tirer un petit profit de ma terre. Maintenant, je rentre à la maison et je me demande pourquoi je veux encore perdre du temps à essayer de m'en occuper. »

    Les Farmer et Alessi possèdent un terrain plus petit, d'environ 17 acres [7 hectares], mais ils ont normalement une dizaine de vaches sur leur terre, ainsi qu'une poignée de chevaux, de poulets, de dindes et de paons. Leurs vaches se mêlent fréquemment au bétail des Coleman et ils ont été confrontés aux mêmes difficultés. Ils ont eu des veaux mort-nés et des vaches qui ont tout simplement perdu leur capacité à se tenir debout.

    « Elles tombent sur le dos et ne peuvent plus se relever », explique M. James Farmer.

    M. James Farmer se tient à côté d'un enclos de dindes sur sa propriété à l'extérieur de Grandview, au Texas. Lui et sa femme ont perdu des chevaux et du bétail à cause de la contamination par des polluants éternels. (Photo : Chris Clayton, DTN)

    Mme Robin Alessi adore les chevaux et les a ramenés d'Alaska lorsqu'elle s'est installée au Texas. Ils ont perdu quatre d'entre eux en raison de problèmes neurologiques inexpliqués. Deux d'entre eux se sont couchés et sont morts, tandis que deux autres ont été euthanasiés.

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  31. « J'ai eu quelques-uns des meilleurs quarter horses que l'on puisse demander, tous très bien élevés », a déclaré M. James Farmer. « Maintenant, j'ai peur de sortir et de monter en selle avec eux. J'ai peur que l'un d'eux ne tombe raide mort lorsque je suis en selle et qu'il ne m'immobilise ».

    M. Farmer et Mme Alessi ont également apporté des chevaux morts à l'Université Texas A&M pour qu'ils soient testés.

    Le comté de Johnson demande une déclaration de catastrophe

    Le vote de la Commission du comté de Johnson, mardi, est l'aboutissement d'années de tests et d'avertissements de la part des fonctionnaires du comté qui déconseillent aux agriculteurs d'utiliser des biosolides.

    « Le seul moyen d'obtenir une aide fédérale est d'obtenir une déclaration de catastrophe du gouverneur », a déclaré M. Larry Woolley, un commissaire du comté de Johnson. « Jusqu'à récemment, nous ne savions pas si nous étions sur une base solide pour faire cette demande. »

    M. Woolley a ajouté : « Tout cela a pour but d'aider les Coleman, les Farmer et tous les autres à obtenir une aide fédérale pour euthanasier leurs troupeaux, éliminer les carcasses et, espérons-le, trouver des solutions pour atténuer les effets de la catastrophe sur leurs terres ».

    Le tournant pour les responsables du comté de Johnson s'est produit en décembre, lorsque le procureur général du Texas, Ken Paxton, a intenté une action en justice devant le tribunal du comté contre 3M et les anciennes sociétés DowDuPont, deux des plus grands producteurs de produits chimiques à base de PFAS du pays. Le mois dernier, la plainte de M. Paxton a été transférée au tribunal fédéral du Texas. [Ma note : les plaintes sont – évidemment – dirigées contre les entreprises aux poches les plus profondes...]

    Selon M. Woolley, les commissaires du comté ont rencontré le commissaire à l'agriculture du Texas, Sid Miller, au début du mois de janvier, au sujet de la demande d'aide en cas de catastrophe, et M. Miller a exprimé son soutien à l'idée.

    « Le moment est en quelque sorte parfait puisque deux projets de loi ont été déposés au cours de la session législative actuelle pour tester tous les biosolides destinés à l'épandage sur le sol », a déclaré M. Woolley.

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  32. La résolution du comté demande à M. Abbott de soutenir les projets de loi au sein de la législature.

    L'utilisation de biosolides comme engrais est une pratique de longue date dans le comté, a déclaré M. Woolley. Il a été professeur d'agriculture et a également travaillé avec des banques pour déterminer l'inventaire des garanties pour les prêts agricoles. Il se souvient également de « l'odeur épouvantable » associée aux champs où les biosolides ont été épandus.

    « C'est énorme. Il s'agit de milliers d'hectares qui ont été épandus. »

    Les tests sur les PFAS ne sont pas non plus bon marché. Au cours des dernières années, le comté de Johnson a dépensé environ 35.000 dollars pour tester les substances chimiques.

    Le comté n'a pas été autorisé à accéder à la propriété proche des Coleman et des Farmer où les PFAS ont été appliqués. Mais l'enquêteur du comté a prélevé des échantillons de sol sur la route du comté, près de la clôture, et c'est là qu'il a enregistré certaines des concentrations les plus élevées dans le sol.

    « Ce n'est qu'un site isolé où nous avons enregistré des pertes significatives, qu'il s'agisse de bétail ou de poissons », a déclaré M. Woolley.

    Un autre problème auquel le comté de Johnson est confronté est l'augmentation du nombre de personnes qui s'y installent. La population a augmenté de 20 % depuis le recensement de 2020. Les gens vendent des parcelles de terrain à des promoteurs qui veulent construire dans l'une des rares zones d'espace ouvert restantes, juste à l'extérieur de Fort Worth. Beaucoup de ces nouvelles maisons utiliseront de l'eau de puits. « C'est une préoccupation majeure », a déclaré M. Woolley.

    M. Woolley a également fait remarquer qu'avant que les Schultz n'achètent leur terrain, il avait lui aussi des vues sur celui-ci.

    « Chaque fois que je passais devant, je me disais que c'était un beau terrain, mais qu'il était trop grand pour que je puisse l'acquérir. »

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  33. Une loi d'État pour tester les biosolides

    Le comté de Johnson s'est doté en novembre d'une nouvelle représentante de l'État, la républicaine Helen Kerwin, qui a présenté un projet de loi visant à tester les biosolides. Elle a présenté un projet de loi visant à tester les biosolides sur au moins 17 substances chimiques différents avant qu'ils ne soient épandus. Un projet de loi similaire a également été déposé au Sénat de l'État du Texas.

    « J'ai dit d'emblée que je ne voulais pas réglementer qui que ce soit, mais nous devons certainement à nos agriculteurs et à nos éleveurs de faire face à cette situation », a déclaré Mme Kerwin lors d'une interview. Elle a ajouté : « Les agriculteurs et les éleveurs ne se doutent de rien, comme tant d'autres personnes, en ce qui concerne ces produits chimiques éternels. Je pense que l'agriculture jouera un rôle important lorsqu'il s'agira d'intégrer les PFAS dans les futures normes. » [Ma note : Bon sang, mais c'est bien sûr ! Les agriculteurs et les éleveurs ne savent pas qu'il faut être prudent avec l'utilisation de boues d'épuration...]

    Mme Kerwin a également de nouvelles relations au niveau fédéral. Sa fille est Mme Brooke Rollins, qui attend un vote du Sénat américain pour devenir le nouveau secrétaire à l'Agriculture de l'administration Trump [C'est fait !]. Mme Kerwin a déclaré qu'elle avait été surprise, lors de sa visite au Capitole pour l'audition de confirmation de Mme Rollins, de voir que les sénateurs, y compris le sénateur Cory Booker, D-N.J., voulaient lui parler de la contamination par les PFAS.

    « C'est lui qui était le plus passionné par le sujet », a-t-elle déclaré.

    Un avenir incertain pour les Coleman et les agriculteurs

    Après avoir reçu les résultats des tests il y a près de deux ans, les familles Coleman et Farmer ont réalisé qu'elles ne pouvaient plus vendre de produits alimentaires provenant de leurs fermes. Elles ne devaient pas non plus manger les poissons de leurs étangs, et elles ont dû installer des systèmes de filtrage de pointe pour leur eau, même si elles ne l'utilisent plus comme eau potable.

    « Aucune loi ne nous interdit de vendre notre bétail, mais c'est une question de conscience humaine », a déclaré M. Tony Coleman. « Pourquoi voudrais-je faire du mal à votre famille en lui faisant manger quelque chose que j'ai vendu ? Nous ne vaudrions pas mieux que les gens qui produisent cette saleté et qui viennent la répandre dans la ferme de quelqu'un d'autre. »

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  34. Il ajoute : « C'est un véritable cauchemar. Vous faites tout ce que vous pouvez pour essayer d'élever le meilleur bœuf possible parce que vous voulez en obtenir le meilleur prix. Qui a bien pu penser que répandre les déchets d'une ville sur des terres agricoles pour y cultiver de la nourriture était une bonne idée ? »

    M. Tony Coleman se frotte à son taureau Black Baldy « Tank » dans le pâturage familial à l'extérieur de Grandview, au Texas. Au cours des trois dernières années, l'exploitation de vaches allaitantes a subi de nombreuses pertes de vaches et de veaux. La famille a cessé de vendre son bétail et son foin après avoir appris que son sol, son eau et son bétail contenaient des doses extrêmement élevées de polluants éternels. (Photo : Chris Clayton, DTN)

    Mme Karen Coleman est atteinte d'un cancer de la thyroïde et a dû subir l'ablation d'une masse dans le dos. Mme Robin Alessi vient également de sortir de l'hôpital. Elle a perdu temporairement l'usage de ses jambes et a eu besoin de plusieurs semaines de kinésithérapie pour retrouver cet usage. M. James Farmer a déclaré qu'ils avaient tous des problèmes de santé. Et leur situation a des conséquences sur le plan mental.

    « Cela m'effraie au plus haut point », a déclaré M. James Farmer. « Je ne suis plus une poule mouillée. Elle non plus. Vous sortez et essayez de faire quelque chose que vous aimez et de travailler pour vous-même et vous ne pouvez pas. On ne peut pas survivre avec quelque chose dont on ne peut rien faire ».

    M. James Farmer est ému lorsqu'il évoque les visites de sa famille. Il a construit un pavillon près de l'étang, à l'ombre des arbres, pour créer un endroit idéal pour la pêche et les barbecues.

    « J'ai des neveux et des membres de ma famille qui adorent pêcher et qui veulent venir ici pour faire une friture de poisson, et je dois leur dire que nous ne pouvons pas manger le poisson », a déclaré M. James Farmer.

    Mme Robin Alessi a ajouté : « C'est vraiment difficile d'expliquer cela à un enfant. Alors, nous les rejetons [les poissons]. Nous sommes obligés de le faire. »

    Le jour où le DTN a rendu visite aux Coleman, fin janvier, les bœufs de 300 à 400 livres se vendaient 4,50 dollars la livre.

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  35. « C'est énorme, et ces deux dernières années, nous n'avons rien pu vendre. Pendant ce temps, les prix du bétail ont grimpé en flèche », a déclaré M. Tony Coleman. « Parce que quelqu'un d'autre a fait quelque chose, cela vous coûte tout ce pour quoi vous avez travaillé. Cela me semble un peu injuste. »
    ______________

    * Cet article a été rédigé par Chris Clayton, rédacteur en chef pour la politique agricole chez DTN, qui publie le magazine Progressive Farmer. Il a été distribué via AP Storyshare dans le cadre du Mississippi River Basin Ag & Water Desk, un réseau de reportage indépendant basé à l'Université du Missouri en partenariat avec Report for America, avec un financement majeur de la Walton Family Foundation.

    [1] Voici l'extrait pertinent :

    « Les conclusions préliminaires du projet d'évaluation des risques indiquent qu'il peut y avoir des risques pour la santé humaine dépassant les seuils acceptables de l'EPA, parfois de plusieurs ordres de grandeur, pour certains scénarios dans lesquels l'agriculteur a appliqué des biosolides contenant 1 partie par milliard (ppb) de PFOA ou de PFOS (ce qui est proche de la limite de détection actuelle pour ces PFAS dans les biosolides). Ces scénarios modélisés incluent des exploitations agricoles avec un épandage de biosolides à un taux de 10 tonnes métriques de matière sèche par hectare et 40 années consécutives d'épandage de biosolides à ce même taux. La modélisation effectuée dans le cadre de cette évaluation révèle également que les risques pour la santé humaine dépassent les seuils acceptables de l'EPA dans certains scénarios où les biosolides contenant 1 ppb de PFOA ou de PFOS sont placés dans une unité d'élimination de surface non revêtue ou revêtue d'argile. Une fois finalisée, l'EPA utilisera l'évaluation des risques pour aider à informer les futures actions de gestion des risques pour le PFOA et le PFOS dans les boues d'épuration. Pour le scénario de l'incinération, le risque n'est pas quantifié en raison de lacunes importantes dans les données. »

    Rappel : 1 ppb = 1 microgramme/kilogramme ; le trillion anglais, auquel se réfère « ppt » est le billion français, mille milliards.

    [2] En Belgique, la Wallonie a procédé à une étude d'envergure des teneurs en PFAS des boues des stations d'épuration. Pour les boues destinées à la valorisation agricole, les autorités ont fixé une norme temporaire de 40 µg/kg MS pour 6 PFAS (les 4 PFAS les plus dangereux, ainsi que 2 fréquemment rencontrés et dont la toxicité est élevée) et de 400 µg/kg MS (somme de 22 PFAS) pour une dose maximale d’épandage de 2 t MS/ha et par an. Seules trois stations d'épuration dépassaient la norme de 40 µg/kg (il y en a 460 en Wallonie).

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  36. La teneur annoncée ici pour le sol des Coleman (6,291 µg/kg) – avec une étonnante précision au nanogramme près – est du même ordre de grandeur que ce qu'on trouve dans les boues de beaucoup de stations d'épuration belges (exemple ci-dessous).

    [3] Trouver 27 substances PFAS n'est pas forcément anormal. La teneur de 35,6 µg/kg serait dans la norme temporaire wallonne.

    Source : How 'forever chemicals’ devastated Texas family ranchers | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2025/04/comment-les-polluants-eternels-ont-devaste-des-familles-d-eleveurs-du-texas.html

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    1. (...) Les Coleman sont au centre de l'un des procès environnementaux les plus suivis du pays contre l'Agence Américaine de Protection de l'Environnement (EPA) et l'entreprise qui propose des engrais biosolides [des boues d'épuration] à l'extérieur de Fort Worth, au Texas. (...)

      (...) ». Les PFAS et les produits chimiques associés – y compris le PFOS et le PFOA – s'accumulent au fil du temps dans la terre, l'eau, les plantes, les poissons, les animaux et les êtres humains. (...)

      Des boues biosolides provenant des villes de Dallas et Fort Worth (202 906 habitants) sont répandues !! Mais... quelle MERDE bouffent ces gens là pour aller jusqu'à empoisonner les vaches et terrains ??

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  37. Même l'UE, véritable fer de lance de l'action climatique, recule face à ses plans climatiques.


    Par Jo Nova
    April 1st, 2025


    Le grand recul mondial du carbone se poursuit :
    L'UE souhaite maintenir son objectif tout en explorant toutes les options possibles pour ne pas le tenir.

    Elle envisage une trajectoire « non linéaire », c'est-à-dire une approche beaucoup plus lente pour l'instant, en attendant de trouver des excuses pour se retirer plus tard.

    L'UE envisage un objectif climatique plus faible pour 2040
    Politico, [Anciennement financé par l'USAID]

    La Commission européenne souhaite conserver un objectif de réduction des émissions de 90 %, mais modifier la méthode de calcul des progrès par les pays.

    Pour commencer, les responsables envisagent une trajectoire « non linéaire » entre l'objectif de réduction des émissions de 55 % de l'UE pour 2030 et son objectif pour 2040, plutôt qu'une ligne droite. Cela pourrait se traduire par des réductions d'émissions plus lentes au départ, compensées par des baisses rapides plus tard dans les années 2030. Cela entraînerait également une augmentation de la pollution totale au cours de la décennie.

    Mais au-delà du retard du plan, il y a la clause dérogatoire des pays étrangers à bas prix, l'option forestière et les jeux d'échange de ressources nationales.
    Maintenant que chacun sait que les énergies renouvelables ne sont pas efficaces et que les véhicules électriques ne remplaceront pas les voitures à essence, les techniques comptables créatives sont innombrables pour « atteindre les objectifs » sans dépenser beaucoup ni admettre sa défaite.

    L'UE pourrait à nouveau autoriser les pays européens à acheter des crédits carbone internationaux à bas prix. Cela signifie qu'ils pourraient refiler la « réduction carbone » à des programmes minables dans le tiers monde et économiser des milliards de dollars. Cela a été autorisé jusqu'en 2020, lorsque l'UE a fait preuve de piété et a décidé qu'elle était favorable à la mondialisation, sauf s'il s'agissait d'une molécule de gaz carbonique. Il fallait bien trouver une raison pour mettre fin aux programmes étrangers à bas prix, sinon les coûteux crédits carbone produits par l'énergie éolienne et solaire dans l'UE seraient surpassés par tout le reste. Rappelons qu'en Australie, en 2014, le plan d'enchères directes de Tony Abbott a montré que le « carbone » pouvait être réduit pour seulement 14 dollars la tonne, alors que l'énergie éolienne et solaire coûtait entre 60 et 1 500 dollars la tonne. Au final, le prix de la subvention carbone du Parti travailliste à la même époque s'élevait à la somme indécente de 5 310 dollars la tonne. Il n'a jamais été question de réduire les émissions de gaz carbonique.

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  38. Pour la même raison, l'UE a exclu l'énergie nucléaire partout et en permanence, ce qui n'avait aucun sens en chimie atmosphérique, sauf à considérer les crédits carbone comme un système de blanchiment d'argent destiné à alimenter les entreprises éoliennes et solaires favorites ou comme un moyen pour des adversaires étrangers de détruire notre industrie nationale.

    Par un blasphème, l'UE pourrait même envisager de considérer les forêts comme des puits de carbone. (Les Verts™ ont beau sauver la planète, ils ne voulaient pas que l'on plante des arbres au lieu de « parcs » éoliens.)

    Enfin, l'UE envisage d'autoriser l'échange national de crédits carbone entre secteurs. Si votre pays est bon pour l'agriculture mais mauvais pour les transports, on pourrait bien appeler une molécule de gaz carbonique « molécule de gaz carbonique », ce qui est le cas et l'a toujours été. Il s'agit simplement d'un nouveau remaniement des colonnes comptables et d'un assouplissement des règles. N'oubliez pas que le jeu ici n'est pas d'être scientifiquement pertinent, mais d'utiliser un jargon pour justifier les règles de pieuvre que le gouvernement pense pouvoir appliquer impunément.

    Un jour, s'ils doivent vraiment fermer le robinet du marché du carbone, ils incluront aussi les lacs et les océans. Alors, miraculeusement, tous les grands émetteurs seront enfin neutres en carbone, et chacun pourra dire que l'Accord de Paris a sauvé le monde.

    Quoi qu'il en soit, le dégonflement de la bulle carbone mondiale par Trump se poursuit :
    « Avec les singeries des États-Unis, il n'y a plus aucun moyen d'inciter les gens à adopter des CDN ambitieuses », a déclaré un responsable britannique non autorisé à s'exprimer publiquement, sous couvert d'anonymat. « L'Inde ne va pas insister. L'Arabie saoudite non plus. De plus, les dates de livraison des CDN sont repoussées, en grande partie à cause du retard de l'UE.»

    — Politico

    À ce rythme, si le Parti travailliste australien remporte les prochaines élections du 3 mai, les deux seuls pays au monde à s'en tenir encore à des objectifs carbone fantaisistes et suicidaires seront le Royaume-Uni et l'Australie. À moins que le Canada ne vote pour Mark Carney le 28 avril. Alors, il n'y en aura plus que « trois ». Que Dieu nous vienne en aide.

    https://joannenova.com.au/2025/04/even-the-eu-the-motherlode-of-climate-action-backs-away-from-climate-targets/

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  39. Vaches laitières et méthane


    1 Avril 2025
    Benoît Rouillé*


    💡 Réduction totale des émissions de #méthane chez les vaches laitières grâce à un complément alimentaire issu de leurs propres excréments : vers une économie circulaire bovine 🐄 🔁

    Les émissions de méthane entérique par les bovins représentent une part significative des gaz à effet de serre (GES) d’origine agricole. Cette étude évalue l’efficacité d’un complément alimentaire innovant, le Methano0️⃣ , élaboré à partir des résidus traités des bouses de vaches laitières.

    Un essai randomisé en double aveugle a été mené à l'Institut Franco-Suisse de Recherche en Agroécologie Ruminante (IFRAR) sur un troupeau de 120 vaches réparties en deux groupes (2x60) : un groupe témoin et un groupe recevant quotidiennement 50 g de Methano0️⃣ incorporé à leur ration alimentaire.

    Les résultats ont révélé une réduction totale (-100 %) des émissions de méthane chez les vaches supplémentées, mesurée par spectrométrie d’évacuation ruminale (p < 0,001). Les analyses métagénomiques ont montré une altération significative du microbiote ruminal 🦠, suggérant une inhibition complète de l’activité des archaea méthanogènes. De plus, la digestibilité de la ration a été améliorée de 12 %, entraînant une augmentation moyenne de la production laitière de 2,3 l/vache/jour (p = 0,004).

    L’approche circulaire 🔁 de cet additif, basé sur le retraitement et la valorisation des bouses, ouvre des perspectives révolutionnaires pour la durabilité des élevages laitiers. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer l’impact à long terme sur la physiologie animale et la palatabilité de ce complément aux yeux des vaches elles-mêmes.

    Dr. Claude Paturâge, Pr. Jean-Michel Bouseux, Dr. Anaïs Fumier - Institut Franco-Suisse de Recherche en Agroécologie Ruminante (IFRAR) - Journal of Experimental Fecology & Bovine Emissions (JEFBE)

    https://seppi.over-blog.com/2025/04/vaches-laitieres-et-methane.html

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    1. (...) Les émissions de méthane entérique par les bovins représentent une part significative des gaz à effet de serre (GES) d’origine agricole. (...)

      Ce qui est TOTALEMENT FAUX !
      Azote 78 %
      Oxygène 21 %

      Gaz très très rares:

      Gaz carbonique 0,041 %
      Méthane... 0,0000015 % !

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  40. Le soleil plutôt que le maïs ? Combien d'énergie le photovoltaïque apporte-t-il vraiment ?


    1 Avril 2025
    Dagmar Deutsch, AGRARHEUTE*


    En 2024, la puissance solaire totale installée en Allemagne était de 99,3 gigawatts.

    Les installations photovoltaïques produisent, sur une même surface, plusieurs fois plus d'énergie que les champs de maïs et ont une longue durée de vie. Mais quelle est exactement cette durée ? Et quelle est la quantité d'électricité produite par une telle installation solaire ? Voici six faits passionnants sur l'énergie solaire.

    1. Chaque jour, la Terre reçoit environ 174 pétawatts de rayonnement solaire. Cela correspond à 174 millions de gigawatts.

    2. Les cellules solaires au silicium ont été développées par Bell Labs en 1954. Leur efficacité a quadruplé depuis leur invention et se situe aujourd'hui aux alentours de 20 pour cent.

    3. Par hectare et par an, une installation photovoltaïque au sol produit entre 400.000 et 500.000 kWh d'électricité. Rapporté à la surface, un champ solaire produit donc environ quarante fois plus d'énergie qu'un champ de maïs.

    4. En 2024, la puissance solaire totale installée en Allemagne correspondait à 99,3 gigawatts.

    5. La plus grande installation solaire actuelle d'Allemagne se trouve en Saxe. Elle a été mise en service au printemps 2024 avec 162 mégawatts.

    6. La durée de vie moyenne des cellules solaires cristallines est estimée à environ 30 ans. Jusqu'à 97 % des matériaux des modules solaires peuvent être recyclés et réutilisés à d'autres fins.
    ______________

    * Dagmar Deutsch travaille chez AGRARHEUTE comme rédactrice cross-média dans l'équipe du magazine et est l'interlocutrice quand il s'agit de sujets concernant les jeunes agriculteurs et la jeunesse agricole.

    Source : Sonne statt Mais? Wie viel Energie Photovoltaik wirklich bringt | agrarheute.com

    Ma note : Cette sorte de publireportage ne présente qu'une image très partielle de la réalité.

    Le problème de l'électricité photovoltaïque (35 g gaz carboniqueeq/kWh selon Electricity Maps) est évidemment qu'elle est cyclique (0 wattheure la nuit...), en partie imprévisible, non pilotable et intermittente. Il faut par conséquent d'autres sources d'électricité capables de répondre à la demande quand le photovoltaïque est indisponible ou insuffisant. En Allemagne, championne affichée des énergies renouvelables, c'est le gaz (530 ggaz carboniqueeq/kWh), le charbon et le lignite (1079 ggaz carboniqueeq/kWh).

    Par comparaison, le nucléaire français est affiché à 5 ggaz carboniqueeq/kWh (c'est une quantité imputée, issue des émissions liées à la construction des centrales).

    Résultat pratique : le 21 mars 2025, à 14 heures (journée ensoleillée), l'électricité allemande produisait 158 ggaz carboniqueeq/kWh, le solaire contribuant au total pour 48,12 % (34,63 % de la capacité installée). Mais à 0:00 heures, l'électricité produisait... 596 g gaz carboniqueeq/kWh.

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  41. En France, l'électricité est principalement produite par le nucléaire et l'hydraulique. Les émissions de gaz carbonique sont relativement constantes à 30 ggaz carboniqueeq/kWh.

    Et le maïs ? Il s'inscrit dans des itinéraires agricoles avec des bénéfices environnementaux et économiques. Et, en termes d'énergie, nous consommons des calories, pas des kilowattheures...

    https://seppi.over-blog.com/2025/04/le-soleil-plutot-que-le-mais-combien-d-energie-le-photovoltaique-apporte-t-il-vraiment.html

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  42. Plomb de nos batteries "Vertes", ce recyclage qui empoisonne le Bangladesh


    France-Soir avec AFP
    le 01 avril 2025 - 17:54


    Il a 12 ans, mais sa petite taille n'en suggère guère plus de 8. Comme la plupart des enfants de son village, Junayed souffre d'empoisonnement au plomb, un mal aussi silencieux que redoutable qui inquiète les autorités du Bangladesh, sans pour autant trop tracasser cette Europe "Verte" qui nous pousse tous les jours un peu plus au tout électrique.

    Assis sur une chaise en plastique, il promène son regard vide dans la cour de sa maison de Lalbari, à deux heures de route au nord de la capitale Dacca. De l'affection qui le ronge, il ne dit pas un mot.

    Drapée dans un impeccable sari tacheté de bleu et de vert, c'est sa mère qui en parle.

    "A partir du CE2, il ne voulait plus nous écouter, plus aller à l'école. Il pleurait beaucoup aussi", raconte Bithi Akter, 26 ans. "Le docteur n'a pas pu nous dire de quoi il souffrait. Après sa prise de sang, on a compris que c'était lié au plomb".

    Les résultats sont sans appel : 11 microgrammes de plomb par décilitre de sang. Deux fois plus que le seuil (5 µg/dL) à partir duquel l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) juge que ce métal peut affecter le développement d'un enfant.

    Les campagnes de tests menées ces dernières années au Bangladesh ont montré que le cas de Junayed était plus que monnaie courante.

    Dans ce seul pays, 60 % des enfants, soit plus de 35 millions, affichent des taux de plomb dangereusement élevés. Et pour l'essentiel (86 %), ce poison invisible provient des usines informelles de recyclage des batteries électriques arrivées tout droit de ce bon occident qui veut tout décarboner à grand coup de batterie.

    Dans un rapport de 2023, le fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) et l'ONG Pure Earth ont recensé sur toute la planète 815 millions de victimes d'empoisonnement au plomb, citant la peinture, les jouets ou les ustensiles de cuisine comme autres sources de contamination... Mais ce n'est pas chez nous.

    La liste de ses effets est longue, surtout chez les enfants, plus vulnérables : baisse du quotient intellectuel et des performances cognitives, anémies, retards de croissance, affections neurologiques. Jusqu'à la mort.

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  43. - "Tueur silencieux" -

    Tests sanguins en main, Bithi Akter n'a pas tardé à faire le lien entre les symptômes de son fils et cet atelier près duquel il avait l'habitude de jouer.

    "Ça commençait la nuit et tout le secteur était enfumé. On sentait cette odeur particulière en respirant", se remémore-t-elle. "Les fruits ne poussaient plus pendant la saison. Un jour, on a même retrouvé deux vaches mortes chez ma tante..."

    "Ils ont fermé l'usine dès qu'on a commencé à se plaindre", renchérit une autre mère du village, Morsheda Begum. Son fils Muhin, 14 ans, n'a pas échappé au plomb lui non plus.

    Pour Mitali Das, de Pure Earth, le recyclage "sauvage" des batteries est un véritable poison. Et le Bangladesh est notre poubelle

    "Dans ces usines, ils cassent les vieilles batteries, en retirent le plomb et le fondent pour en faire de nouvelles", décrit-elle. "Ils font tout ça à l'air libre (...) les vapeurs toxiques et l'eau acide produite dans l'opération polluent l'air, le sol et l'eau".

    "Le plomb est un tueur silencieux", résume-t-elle.

    Son ONG a recensé plus de 300 sites pollués dans tout le pays, dont 265 usines informelles de recyclage. La Banque mondiale estime qu'il en existerait plus d'un millier...

    Comme à Fulbaria, petit village à 150 kilomètres au nord de Dacca. Au bout d'un chemin forestier, à l'abri de hauts murs de pierre et d'un portail dûment gardé, le siège de la société chinoise Xinyuan Storage Ltd.

    Son directeur refuse d'ouvrir la porte, alors c'est un voisin, Rakib Hasan, qui mène la visite.

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  44. - "C'est mort" -

    D'un côté de l'usine, des rizières bien ordonnées piquées de pousses vertes. De l'autre, une canalisation crache de l'eau dans un bassin d'un vert opaque. Tout autour, des parcelles mortes, engluées d'une épaisse boue orangée.

    "Je me souviens qu'enfant, j'apportais à manger à mon père quand il était dans les champs. Le paysage était magnifique, vert, l'eau était claire", raconte Rakib Hasan, 34 ans.

    "Vous voyez à quoi ça ressemble maintenant. C'est mort, pour toujours", peste l'ingénieur. "Ils ont tué notre village".

    Sur sa plainte, un juge a déclaré illégale l'activité de l'usine, qui emploie officiellement 80 salariés, et ordonné d'y couper l'électricité. Mais la Cour suprême du pays a suspendu sa décision.

    "L'usine a acheté les autorités locales (...) notre pays est pauvre, beaucoup de gens sont corrompus", maugrée le plaignant. "On a besoin d'emplois, mais pas de ceux qui détruisent notre environnement..."

    Sollicitées par l'AFP, ni l'entreprise ni l'ambassade de Chine n'ont répondu.

    Quant à la ministre de l'Environnement du gouvernement provisoire, elle refuse de se prononcer sur un dossier porté devant la justice.

    "Nous menons régulièrement des opérations contre la production et le recyclage illégaux des batteries électriques", assure toutefois Syeda Rizwana Hasan, "mais ces efforts sont souvent insuffisants face à l'ampleur du phénomène".

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  45. - "Prévenir" -

    Il faut dire que le recyclage informel des batteries a le vent en poupe au Bangladesh. Dopé par le "boom" de l'électrification des "rickshaws", ces tricycles à moteur qui encombrent les rues des villes et les routes des campagnes du pays.

    Les autorités en ont recensé près de 4 millions. Le juteux marché de leurs batteries est estimé à 870 millions de dollars (800 M euros)...

    "Il est presque totalement informel", déplore Sohanur Rahman, de l'ONG Youth Net. "Il faut le légaliser de façon à ce que les règles de sécurité du gouvernement soient appliquées".

    "C'est un peu le revers du tout électrique", regrette Maya Vandenant, de l'Unicef, qui prêche pour une stratégie de "formalisation" du secteur incluant règles plus strictes, incitations fiscales et surtout campagnes d'information.

    "La plupart des gens ignorent les dangers du plomb", insiste-t-elle. "Le coût de la perte de QI causée par le plomb a été estimé à 6,9 points de croissance pour l'économie du pays !" Là ça finira peut-être à parler à certains...

    Pour mieux lutter contre cette pollution, une nouvelle campagne de tests sanguins vient d'être lancée auprès de 9.000 habitants du pays. Outre celui du plomb, elle mesurera le taux d'autres métaux lourds comme le mercure ou l'arsenic.

    Autorités et ONG ne se font pas d'illusion : ses résultats seront mauvais.

    Alors pour le Dr Muhammad Anwar Sadat, qui suit le dossier au ministère de la Santé, il y a déjà urgence.

    "Si nous ne faisons rien, avertit-il, le nombre de personnes affectées sera multiplié par trois ou quatre dans les deux prochaines années".

    Mais peu importe, ce n'est pas chez nous, cela ne nous regarde pas, nous, on met fin aux moteurs thermiques... quoi qu'il en coute.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/plomb-de-nos-batteries-vertes-ce-recyclage-qui-empoisonne-le-bangladesh

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    1. Après l'empoisonnement glorifié par les partis politique (dits 'de la majorité' ou dits 'de l'opposition') des seringues létales dites 'anti-poussières' !! (virus), voici qu'arrive sous les hourra de ces mêmes trisomiques les putains de voitures électrique de merde ! (Une tonne de batterie par véhicule !!).

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  46. Le plus gros maraîcher du Grand Est contraint de cesser sa production face à la grande distribution


    France-Soir
    le 02 avril 2025 - 12:00


    Claude Keller, patron d’ID3A, l’un des plus grands maraîchers du Grand Est, met fin à son activité après avoir été étranglé par la grande distribution. L’impossibilité d’augmenter ses prix et les hausses de charges l’ont poussé à cesser sa production. À Balgau (Haut-Rhin), son entreprise de 220 hectares se transforme en un champ de ruines. Pourquoi l’agriculture, pilier de notre alimentation, n’est-elle pas protégée des dérives économiques du marché ?

    La décision est tombée comme un couperet. Claude Keller, âgé de 59 ans, abandonne un rêve de famille qu’il avait bâti avec son père et qu’il espérait léguer à son fils. Mais la réalité est implacable : « C’est un cadeau empoisonné », dit-il à l'AFP. Un fardeau qui devient trop lourd à porter quand les marges de manœuvre sont nulles face à des grandes surfaces qui imposent leurs conditions. En 2024, ID3A a produit plus de quatre millions de salades et des centaines de tonnes d’autres légumes destinés aux supermarchés français. Pourtant, dans les champs de Balgau, il ne reste plus rien. Les machines partent à l’étranger, les terres seront converties en culture céréalière. La fin d'une époque pour ce géant de l’agriculture, autrefois fleuron de la région.

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  47. Le cœur du problème réside dans la bataille économique qui oppose les producteurs aux grandes surfaces. Claude Keller le résume ainsi : « Personne n’a le droit de vendre à perte, sauf nous. » Un prix de vente souvent bien inférieur au coût de production, comme ces salades vendues à 50 centimes alors qu’elles coûtaient 75 centimes à produire. Face à ce rapport de force inégal, les producteurs, petits et grands, sont acculés. À force de concessions, c’est la rentabilité qui part en fumée, tout comme les espoirs de nombreux agriculteurs.

    Mais la grande distribution n’est pas seule en cause. Le manque d’organisation au sein même du secteur agricole empêche de contrer cette pression. L’interprofession, qui aurait pu offrir une défense commune, est inexistante. Et si les lois comme Egalim ont été mises en place pour mieux rémunérer les agriculteurs, elles n’ont pas changé la donne. « C’est le consommateur qui décide s’il achète nos produits », constate amèrement Keller. Un consommateur dont le pouvoir d'achat est brinqueballant ; une arme à double tranchant pour les producteurs locaux.

    L’histoire de Claude Keller n’est que l’illustration d’une crise plus large qui frappe le secteur agricole français. Si des solutions ne sont pas rapidement trouvées, le modèle agricole traditionnel, qui alimente encore une grande partie de la population, risque de tirer définitivement sa révérence. Les politiques de soutien à l’agriculture doivent rapidement être réévaluées pour que la prochaine génération d’agriculteurs ne se retrouve pas à fermer les portes de ses exploitations.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/le-plus-gros-maraicher-du-grand-est-contraint-de-cesser-sa-production-face-la

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    1. (...) « Personne n’a le droit de vendre à perte, sauf nous. » Un prix de vente souvent bien inférieur au coût de production, comme ces salades vendues à 50 centimes alors qu’elles coûtaient 75 centimes à produire. (...)

      A quels prix sont exposés les salades aux rayons des supermarchés qui n'ont qu'à les recevoir et- les mettre en vente ??!

      Elles viendront de l'étranger ! ou pas s'il y a famine.

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  48. Royaume-Uni : Vous êtes fichés ! l'autorisation de voyage électronique obligatoire


    France-Soir avec AFP
    le 02 avril 2025 - 11:18


    Pour la première fois mercredi, les touristes européens qui entrent au Royaume-Uni doivent être munis de leur autorisation de voyage électronique (ETA). Vous serez donc encore un peu plus fichés si vous décidez d’aller outre-Manche. Un document numérique payant obtenu au préalable, censé renforcer la sécurité aux frontières britanniques vous sera donc imposé pour la modique somme de 10£.

    Après avoir imposé en janvier ce système aux ressortissants d'une cinquantaine de pays et territoires, dont les Etats-Unis, le Canada et l'Australie, c'est au tour des voyageurs d'une trentaine de pays européens de devoir se munir de ce sésame pour le Royaume-Uni, qui a quitté l'UE il y a cinq ans avec le Brexit.

    Tous devront remplir avant leur voyage un questionnaire en ligne, avant de s'acquitter d'une somme de 10 livres (12 euros). Celle-ci sera portée à 16 livres, soit environ 19 euros, à partir du 9 avril.

    Désormais, toute personne qui se rendra au Royaume-Uni devra soit être munie d'un visa, soit d'un ETA, exigée dans leur gare ou aéroport de départ.

    "Si vous n'êtes pas un ressortissant d'un pays soumis à un visa, un citoyen britannique ou irlandais, alors nous voulons récolter vos informations avant le départ pour vérifier que vous êtes autorisé à voyager au Royaume-Uni", a expliqué mardi Phil Douglas, directeur général de la police britannique aux frontières.

    Cette démarche est "incroyablement facile" à réaliser, et permettra d'accélérer les contrôles des voyageurs à l'arrivée sur le sol britannique via des portiques automatisés, a-t-il assuré.

    A l'exception de l'Irlande, tous les ressortissants des pays de l'Union européenne (UE), mineurs ou majeurs, sont concernés, sauf ceux munis d'un visa (travail, études...). Leur ETA sera valable deux ans.

    Pour l'obtenir, ils doivent télécharger une application dédiée, "UK ETA" ou, à défaut, se rendre sur le site du gouvernement britannique, gov.uk.

    Cette démarche est similaire à celle de l'ESTA américain, dont le prix est équivalent.

    - "Période transitoire" -

    Il y aura, selon Phil Douglas, une "période transitoire" avec une forme de tolérance, qui devrait durer jusqu'en "septembre ou en octobre". Mais "après cela, une personne n'aura plus le droit de monter dans l'avion ou le train pour venir au Royaume-Uni" sans son autorisation électronique.

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  49. Le gouvernement britannique justifie cette mesure par la nécessité de "sécuriser les frontières", en "numérisant le système d'immigration".

    L'ETA a été lancé en 2023, d'abord pour les citoyens du Qatar, puis dans les autres pays du Golfe.

    Les ressortissants de pays notamment asiatiques ou africains comme l'Inde, l'Afghanistan, le Cameroun ou l'Egypte, restent eux soumis au traditionnel système de visa.

    Le gouvernement recommande de demander son ETA au moins trois jours ouvrés avant son voyage, des vérifications supplémentaires étant requises dans certains rares cas.

    Pour cela, le voyageur doit fournir une photo de son passeport, de son visage, et répondre à une série de questions. La démarche prend moins de dix minutes et l'autorisation de voyage, liée numériquement au passeport, est généralement accordée en quelques instants, selon le ministère britannique de l'Intérieur.

    Cette autorisation permet de séjourner au Royaume-Uni pendant six mois maximums. Elle autorise un nombre de voyages illimités pendant deux ans, mais la demande doit être renouvelée s'il y a changement de passeport.

    La plupart des personnes en transit au Royaume-Uni devront également s'en acquitter, sauf celles qui passeront par certains aéroports comme Heathrow ou celui de Manchester, où ils n'ont pas besoin de passer les contrôles aux frontières britanniques à l'atterrissage.

    L'UE prévoit de mettre en place le même type de système, avec ETIAS (European Travel Information and Authorisation System), une autorisation pour voyager dans 30 pays européens, dont l'entrée en vigueur devrait intervenir en 2026.

    Vos libertés de mouvement s’amenuisent soyez-en bien conscient.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/royaume-uni-vous-etes-fiches-l-autorisation-de-voyage-electronique-obligatoire

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    1. (...) Après avoir imposé en janvier ce système aux ressortissants d'une cinquantaine de pays et territoires, dont les États-Unis, le Canada et l'Australie, c'est au tour des voyageurs d'une trentaine de pays européens de devoir se munir de ce sésame pour le Royaume-Uni, qui a quitté l'UE il y a cinq ans avec le Brexit. (...)

      Vous osez sortir de chez vous ??!

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  50. La Chine  : vers une domination technologique mondiale  ?


    Daniel Godet pour France-Soir
    le 02 avril 2025 - 10:12


    Le vice-président américain, Vance, vient de faire une déclaration marquante : la mondialisation, telle qu’elle avait été conçue, a échoué.

    Pour ses concepteurs occidentaux, il s’agissait de promouvoir un libre-échange généralisé entre les pays développés occidentaux et les autres, invités à se spécialiser dans la mise à disposition des matières premières et la production de biens banals. Et bien sûr, l’Occident avait vocation à conserver la maîtrise des biens de haute technologie.

    Rien ne s’est passé comme prévu.

    La Russie – en-dehors de la supériorité qui lui est reconnue quant à son arsenal nucléaire - a montré à travers la crise ukrainienne qu’elle était a minima largement au niveau de l’Occident en matière de qualité et sophistication des armements de champ de bataille. Ce à travers la mise en œuvre de missiles hypersoniques, de l’ensemble des contre-mesures électroniques, de la défense anti-aérienne, et des drones, etc.

    Surtout, la Chine aurait maintenant largement dépassé les États-Unis quant aux technologies d’avenir. C’est ce qu’a récemment mis en lumière l’institut australien ASPI (Australian Strategic Policy Institute) ; dans son rapport 2024 Critical Technology Tracker, il analyse les principales innovations scientifiques et techniques dans 64 champs technologiques à travers le monde, selon 8 méta-catégories :

    Technologies avancées de l'information et de la communication
    Matériaux et fabrication avancés
    Technologies de l'IA
    Biotechnologie, technologies génétiques et vaccins
    Défense, espace, robotique et transports
    Énergie et environnement
    Technologies quantiques
    Détection, synchronisation et navigation.

    - voir cadre sur site -

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  51. En moins de deux décennies, la Chine a ainsi pris de loin la première place, reléguant les États-Unis au rôle de brillant second. L’absence dans ce classement du reste de l’Asie (Japon, Corée, Inde, Singapour…) et de la Russie est notable.

    Cette domination se traduit par bien des faits concrets, dont voici quelques exemples (cf. détails en documentation) :

    La domination chinoise dans les véhicules électriques ; BYD, premier acteur chinois d’un marché ultra-compétitif, est en train de surpasser Tesla qui souffre d’un marché US qui se désintéresse de l’électrique, et risque d’être progressivement marginalisé sur le marché chinois.

    Construction du premier réacteur nucléaire au Thorium.

    Lancement du projet d’un barrage électrique au Tibet 3 fois plus grand encore que celui des Trois-Gorges – puissance de 60 GW ; production équivalente à celle d’une trentaine de réacteurs EPR ou 60% de la production française actuelle – coûts de 135 milliards d’euros – échéance 2035.
    Projet de production d’électricité dans l’espace et transmission sur Terre via micro-ondes – puissance visée équivalente à celle du barrage des Trois-Gorges.

    Lancement en télécom mobiles du déploiement de la 6G.

    Mise en place d’un réseau de communication par satellites ‘grand public’ alternatif à Starlink.
    Lancement international de technologies d’AI compétitives à des coût-utilisateurs inférieurs de 95% aux technologies US.

    Premier alunissage sur la face cachée.

    Robotique avancée – les robots qui font du vélo.

    Robotique avancée – soins aux personnes âgées.

    Établissement en Chine de scientifiques étrangers.

    Cette accélération chinoise a été planifiée et accélérée à la suite du 1er mandat de Trump qui a démontré aux dirigeants chinois le risque inhérent à toute dépendance vis-à-vis des technologies américaines. Les restrictions aux exportations de technologies ont ainsi été un moteur essentiel de l’essor scientifique et technologique de la Chine.

    L’académicien Mao Keji a ainsi remercié récemment l’administration Trump 1 d’avoir lancé sa guerre commerciale qui a convaincu les dirigeants chinois, sous l’impulsion de Wang Huning, 4e personnage de l’État, de ne plus laisser l’économie chinoise trop dépendre d’exportations de biens banals vers les USA, et de devenir le leader mondial dans le développement des STEM (Science, Technology, Engineering and Mathematics).

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  52. En Chine, les formations scientifiques et techniques sont reines, et les ingénieurs formés ne se précipitent pas vers le contrôle de gestion ou la finance de marchés pour faire carrière ou fortune !

    Documentation :

    Deux sources remarquables pour qui veut suivre ce qui se passe en Chine :

    Arnaud Bertrand sur X
    Hua Bin sur Substack et The Unz Review
    Déclaration J.P. Vance sur la mondialisation : Arnaud Bertrand sur X : "This is actually an extraordinary admission to make for a US Vice President https://t.co/cKl9QuDOPd Vance explains that "the idea of globalization was that rich countries would move further up the value chain while the poor countries made the simpler things." But he laments" / X

    ASPI : Comparing China and US Critical Future Technology Development, by Hua Bin - The Unz Review

    Le géant chinois de la voiture électrique BYD laisse Tesla dans son rétroviseur

    Réacteur au Thorium 

    Barrage trois fois plus grand que les Trois-Gorges 

    Centrale électrique dans l’espace 

    Déploiement de la 6G 

    Concurrence chinoise à Starlink : Arnaud Bertrand sur X : "I've seen relatively little coverage on this topic but geo-strategically speaking Starlink is one of the most important developments of the 21st century so far. Basically what we're talking about is a private American firm - whose owner is now part of the U.S. government - that" / X

    Première alunissage sur la face cachée : (116) La sonde chinoise Chang'e-4 se pose en douceur sur la face cachée de la Lune|CCTV - YouTube

    AI : Part 3 - predicting what comes after DeepSeek, by Hua Bin - The Unz Review

    Robotique avancée : Ambassade de Chine en France sur X : "À Shanghai, en Chine, un robot qui roule à bicyclette a fait son apparition. Regardez la vidéo pour découvrir ce qu'il peut faire d'autre !

    Normes de robotique pour applications personnes âgées : Ambassade de Chine en France sur X : "Quand la technologie rencontre la compassion ! Une norme internationale pour les robots de soins aux personnes âgées, pilotée par la Chine, a été publiée pour guider le développement sain de l'industrie mondiale de la robotique de soins aux personnes âgées." / X

    Scientifiques étrangers s’établissant en Chine 

    Remerciements de l’académicien Mao Keji à l’administration Trump 1 : Chinese Scholar Mao Keji on Trump, India and the World in 2049

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-chine-vers-une-domination-technologique-mondiale

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    1. (...) Lancement du projet d’un barrage électrique au Tibet 3 fois plus grand encore que celui des Trois-Gorges – puissance de 60 GW ; production équivalente à celle d’une trentaine de réacteurs EPR ou 60% de la production française actuelle – coûts de 135 milliards d’euros – échéance 2035.
      Projet de production d’électricité dans l’espace et transmission sur Terre via micro-ondes – puissance visée équivalente à celle du barrage des Trois-Gorges. (...)

      La Chine (1,5 milliard d'habitants) a favorisé l'émergence de l'intelligence chinoise avec son nombre époustouflant de surdoués libres de conceptionnaliser leurs esprits de découverte ! LA liberté d'entreprendre !

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