Le contenu des injections - Dr Astrid Stuckelberger 19.07.2024

 


&

Astrid Stuckelberger & Ricardo Delgado (TV-ADP)


ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

58 commentaires:

  1. Le Monde a échappé la vérité, alors il veut la rattraper ! Comment « révéler » la fabrication du covid en laboratoire cinq ans après les complotistes ,relisons Reichstadt


    le 10 avril 2025
    par pgibertie


    - voir doc sur site -

    Amusant, c’est l’Immonde qui publie la tribune , on y lisait en 2020:

    Selon un sondage de l’IFOP pour la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch publié le 28 mars, 26 % des Français estiment ainsi que le SARS-CoV-2, le virus responsable de la pandémie actuelle, a été créé par l’homme. Aux Etats-Unis, selon une étude de journalism.org, ils sont même 29 % à adhérer à cette thèse pourtant battue en brèche par toutes les publications scientifiques.

    « Le virus qui circule actuellement a été séquencé de partout. On sait qu’il est sauvage, qu’il n’a pas été créé en laboratoire. Il n’y a pas de discussion possible là-dessus », assure Guy Gorochov, responsable du centre d’immunologie et des maladies infectieuses de l’Inserm. Un discours qui ne porte visiblement pas dans une frange de l’opinion.

    « C’est la conjugaison d’une très grande méfiance et d’un profond analphabétisme », se désespère Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch et auteur de L’Opium des imbéciles. Essai sur la question complotiste (Grasset, 2019). « Une importante partie de la population n’a aucune conscience de son incompétence – c’est l’effet Dunning-Kruger –, et les réseaux sociaux désinhibent beaucoup. Avant, on respectait davantage la parole des experts. »

    Le SARS-CoV-2, le coronavirus à l’origine de la pandémie de Covid-19, est, selon toutes les études sérieuses sur le sujet, d’origine naturelle. A défaut de pouvoir retracer son parcours précis, les scientifiques du monde entier s’accordent sur ce point, comme l’ont encore reconfirmé récemment des études chinoise, britannico-australo-américaine et américano-suisse.

    Comment en sont-ils si sûrs ? « C’est à la portée de n’importe quel biologiste moléculaire derrière son écran, explique Guy Gorochov. Des milliers d’entre eux dans le monde ont vu sa séquence. C’est un travail d’étudiant de comparer les séquences ADN, et on sait que l’analogie est très forte avec des virus sauvages, pas avec des chimères. » Selon les connaissances actuelles, le SARS-CoV-2 est identique à plus de 90 % au virus RaTG13 de la chauve-souris et au Pangolin-CoV du pangolin.

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  2. Autre élément permettant d’asseoir ces conclusions : les virus créés et naturels ne se ressemblent pas. La nature avance en effet par subtiles mutations, tandis que les scientifiques opèrent par recombinaison de deux souches. « Les virus naturels évoluent plutôt sur des détails, c’est ce qui fait qu’ils s’adaptent. Dès qu’il y a un mélange [artificiel], ça saute aux yeux, continue leresponsable du centre d’immunologie et des maladies infectieuses de l’Inserm. On verrait que la protéine d’enveloppe ne correspond pas à la famille habituelle. Dans le cas du SARS-CoV-2, on sait que ce n’est pas un virus bricolé. »
    Un discours scientifique inaudible

    Alors, pourquoi un quart des Français continuent-ils d’adhérer à la piste de la création humaine, en dépit des avancées scientifiques ?

    Il y a d’abord un contexte général. « C’est le résultat du travail métapolitique et idéologique d’une certaine mouvance conspirationniste très active », estimeRudy Reichstadt.Et de rappeler que, selon un sondage de 2019, 25 % des Français adhéraient à au moins cinq théories complotistes parmi une dizaine proposée.

    La seconde raison est à chercher du côté du choc émotionnel lié à cette pandémie. « On sait que quand on est en période de perte de contrôle, de manque de certitude, on a tendance à privilégier les explications intentionnalistes et les énoncés conspirationnistes », poursuit Rudy Reichstadt.Une série de six expériences menées en 2008 montre une corrélation entre situation de vulnérabilité et recours à des explications superstitieuses ou complotistes. Dans le sondage l’IFOP, les plus jeunes et les personnes issues de catégories sociales défavorisées sont les plus perméables à la théorie du virus créé par l’homme.

    Une troisième explication tient au confinement, qui offre beaucoup plus de temps pour partager des publications sur les réseaux sociaux, et à la dissymétrie entre l’accessibilité des vidéos conspirationnistes et l’aridité des travaux scientifiques.

    On parlait à l’époque de virus un peu monstrueux, fabriqué en laboratoire par des savants fous, et cela ne reposait sur rien, recadre Guy Gorochov, responsable du centre d’immunologie et des maladies infectieuses de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, interrogé en 2020 sur ces thèses.

    Amusant de relever parmi les signataires d’une tribune publiée par l’Immonde, le nom d’un télétoubib comme Antoine Flahault ou des journalistes comme Yves Sciama chaud partisan de la responsabilités des visons

    Reconnaissons à M Flahault d’avoir reconnu l’utilité du débat scientifique sur Twitter

    Parmi les signataires des scientifiques sérieux qui ont utilisé leur doute critique depuis longtemps comme Patrick Berche Etienne Decroly et Marc Eloit

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  3. 2021

    « L’hypothèse de la zoonose était la grande favorite au début de l’épidémie, résume Etienne Decroly, directeur de recherche en virologie au CNRS. Mais un an après, 80 000 échantillons ont été testés pour trouver l’hôte intermédiaire, et ces analyses n’ont pas permis d’identifier l’animal responsable de cette zoonose. La rigueur scientifique veut qu’on explore donc d’autres hypothèses initialement considérées comme moins probables. »

    2023 – L’Académie de Médecine a organisé une conférence semblant favorable à la théorie selon laquelle la pandémie de Covid-19 a été provoquée par un accident de laboratoire.

    En 2020, alors que la pandémie de Covid-19 plongeait le monde dans une crise sans précédent, déclarer publiquement que le SARS-Cov-2 s’était échappé d’un laboratoire (plus précisément du laboratoire P4 de Wuhan en Chine) vous valait d’être traité au mieux de fou, au pire de complotiste admirateur de Donald Trump. Tous les scientifiques sérieux s’accordaient pour dire (publiquement en tout cas) que le SARS-Cov-2 était apparu naturellement, qu’il avait été transmis de la chauve-souris à l’homme via un animal intermédiaire et que la thèse de l’accident de laboratoire n’était qu’une théorie du complot créée pour discréditer la Chine.

    Trois ans plus tard, les choses ont radicalement changé. De plus en plus de scientifiques considèrent que la possibilité que la pandémie de Covid-19 ait été déclenchée par un accident de laboratoire est sérieuse, alors même que l’hypothétique origine naturelle du virus n’a pas été trouvée. Aux Etats-Unis, la question a pris un tournant politique, le FBI et le ministère de l’Energie défendant désormais officiellement la théorie de l’accident de laboratoire, tandis que les républicains accusent les démocrates d’essayer de cacher la vérité au grand public. En France en revanche, la question est rarement débattue publiquement (peut-être du fait que le fameux laboratoire P4 de Wuhan accusé d’être à l’origine de la pandémie a été mis en œuvre en collaboration avec des chercheurs français). En 2021, le gouvernement a déclaré ne pas vouloir « politiser le sujet de l’origine du virus ».
    Le mystère du site de clivage de la furine

    La tenue ce mardi à l’Académie de Médecine d’une séance consacrée à la théorie de l’accident de laboratoire (sans pour autant la confirmer) est donc un évènement inédit pour la communauté scientifique française, marquant tout le chemin parcouru par cette thèse au départ jugée complotiste. Intitulée « De l’origine du Sars-Cov-2 à la virologie/biologie dangereuse », cette conférence a été l’occasion de présenter les différents éléments appuyant l’hypothèse selon laquelle le SARS-Cov-2 ait été créé en laboratoire, possiblement via des expériences dits de gain de fonction, consistant à augmenter artificiellement la pathogénicité d’un virus.

    L’intervention de Marc Eloit a particulièrement marqué les esprits. Se qualifiant lui-même de « pécheur de virus », ce virologue de l’Institut Pasteur a expliqué comment lui et son équipe étaient partis au Laos en 2021 sur les traces de l’origine du virus. Pourquoi au Laos et pas en Chine ? Tout simplement parce que Pékin a interdit toute enquête internationale sur l’origine du virus sur son territoire.

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  4. Au Laos, Marc Eloit a ainsi découvert chez la chauve-souris un virus, qu’il a appelé Banal-52, similaire à 97 % au SARS-Cov-2. Principale différence entre les deux virus : le Banal-52 ne présente pas de site de clivage à la furine, une particularité qui explique la très grande contagiosité du SARS-Cov-2 chez l’homme. Or, en réalisant plusieurs passages du Banal-52 chez des souris génétiquement modifiés ayant des récepteurs cellulaires proches de ceux des hommes, Marc Eloit a semble-t-il démontré que ce site furine n’a pas pu apparaitre naturellement.

    Si c’est un simple doute que Marc Eloit a exprimé, son collègue Patrick Berche s’est voulu beaucoup plus direct. Pour l’ancien directeur de l’Institut Pasteur de Lille, tout porte à croire que le virus s’est échappé d’un laboratoire, à commencer par les incohérences de la thèse de l’origine naturelle. En effet, si le virus était né dans la nature, l’épidémie serait apparue progressivement, en plusieurs foyers dispersés et non pas uniquement à Wuhan à proximité du laboratoire P4. « Si des animaux vendus sur le marché de Wuhan ont été porteurs du virus, comment-ils ont pu transiter sur des centaines de kilomètres sans faire aucun cas ailleurs ? » s’interroge le chercheur. Patrick Berche a conclu son intervention en évoquant une information révélée en 2021 par un groupe de scientifiques indépendant, le Drastic, mais passé inaperçu : avant la pandémie, le laboratoire P4 de Wuhan procédait bien à des expériences de gain de fonction, le projet Defuse, consistant à insérer des sites furine dans des virus de chauve-souris.

    2022

    Patrick Berche, ancien directeur général de l’Institut Pasteur de Lille, a même ajouté que les pandémies (épidémies à l’échelle mondiale) ne sont pas des phénomènes nouveaux, puisque l’humanité a dû les affronter dès le Néolithique. Les primates, les rongeurs, les chauves-souris, les oiseaux, les animaux de compagnie et le bétail, sont historiquement le point de départ de la majorité des maladies infectieuses émergentes. Antoine Gessain, responsable de l’unité d’Epidémiologie et physiopathologie des virus oncogènes, a rappelé que 70% des maladies infectieuses émergentes sont des zoonoses. Les réservoirs animaux et les modes de transmission sont variés mais se font surtout par contact avec les fluides biologiques des animaux (sang, salives, urines, …)

    https://pgibertie.com/2025/04/10/le-monde-a-echappe-la-verite-alors-il-veut-la-rattraper-comment-reveler-la-fabrication-du-covid-en-laboratoire-cinq-ans-apres-les-complotistes-relisons-reichstadt/

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  5. Le vaccin antigrippal inactivé représente un risque pour la santé publique

    Une étude de la Cleveland Clinic révèle que le vaccin contenant du thimérosal augmente le risque d'infection grippale de 27 %


    Par le Dr James Lyons-Weiler
    Recherche mondiale,
    8 avril 2025


    Une importante étude de cohorte prospective menée par la Cleveland Clinic a remis en question directement le dogme dominant en matière de santé publique : le vaccin contre la grippe de cette saison n'était pas seulement inefficace, il était associé à une augmentation statistiquement significative du risque d'infection.

    Parmi les 53 402 professionnels de santé en âge de travailler suivis au cours de la saison virale respiratoire 2024-2025, ceux qui avaient reçu le vaccin contre la grippe présentaient un risque 27 % plus élevé de contracter une grippe confirmée en laboratoire que ceux qui n'avaient pas été vaccinés. Les auteurs ont calculé une efficacité vaccinale de –26,9 %, ce qui signifie que les personnes vaccinées étaient significativement plus susceptibles d'être infectées.

    Il ne s'agit pas d'une projection théorique ou modélisée. Il s'agit de données réelles provenant de l'une des institutions médicales les plus respectées des États-Unis, publiées le 4 avril 2025 sur medRxiv .

    Rapport de risque ajusté (HR) : 1,27
    Intervalle de confiance à 95 % : 1,07–1,51
    Valeur p : 0,007

    À une époque où la confiance du public dans les institutions médicales est précaire, une augmentation du risque d’infection induite par le vaccin – en particulier dans une population où l’observance est quasi universelle – porte atteinte à la fois à la politique et à la crédibilité.

    Conception de l'étude : robuste et transparente

    Dirigée par le Dr Nabin Shrestha, l'étude de la Cleveland Clinic a suivi une méthodologie rigoureuse. Tous les employés travaillant dans les établissements de la Cleveland Clinic en Ohio au 1er octobre 2024 ont été inclus. Le statut vaccinal a été suivi comme une covariable temporelle, un choix de conception crucial qui a permis aux chercheurs de tenir compte de l'évolution du statut d'exposition au cours de la saison.

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  6. Les employés étaient même considérés comme « vaccinés » en raison d'un délai de sept jours après l'administration du vaccin trivalent inactivé. Ce délai a entraîné, après deux doses, un important biais de surestimation des injections d'ARNm de la COVID-19 (effet Lyons-Weiler/Fenton/Neil). Le critère d'évaluation était une infection grippale confirmée en laboratoire par des tests moléculaires (tests d'amplification des acides nucléiques pour la grippe A ou B). L'âge médian des participants était de 42 ans, et la cohorte était majoritairement en bonne santé et en emploi – précisément la population ciblée par les campagnes de vaccination contre la grippe.

    À la fin de la saison, 82,1 % des employés avaient été vaccinés et 1 079 infections grippales confirmées avaient été identifiées, dont 98,8 % dues à la grippe A. Pourtant, les taux d’infection ont augmenté plus rapidement parmi les personnes vaccinées.

    Cette constatation n’était pas un hasard : elle était valable aussi bien avec les modèles de risques proportionnels de Cox ajustés qu’avec les modèles non ajustés.

    Expliquer l'efficacité négative

    Les auteurs n'ont pas spéculé de manière irresponsable, mais ils ont mis en évidence plusieurs possibilités : une incompatibilité de souche, une interférence immunitaire ou une empreinte immunologique pourraient toutes jouer un rôle. L'explication la plus probable implique une modulation immunitaire induite par le vaccin, où une exposition antérieure via la vaccination pourrait réduire la capacité du système immunitaire à répondre aux souches en circulation, notamment en cas d'incompatibilité de souche.
    La formulation administrée à la quasi-totalité des participants (98,7 %) était le vaccin antigrippal trivalent inactivé, qui contenait du thimérosal, un conservateur à base de mercure encore utilisé dans de nombreux flacons multidoses contre la grippe. Le thimérosal est composé à 50 % d'éthylmercure en poids et présente une toxicité cérébrale beaucoup plus durable que le méthylmercure, un type de mercure qui inquiète les écologistes en raison de sa présence dans d'autres sources isolées (Burbacher et al., 2005).

    Cette constatation n'est pas sans précédent. En 2012, Cowling et al. ont publié un essai contrôlé randomisé dans la revue Clinical Infectious Diseases montrant que les enfants ayant reçu le vaccin antigrippal inactivé présentaient un risque significativement accru d'infections par des virus respiratoires non grippaux :

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  7. « L'administration du VTI était associée à un risque accru d'infections non grippales confirmées virologiquement (RR 4,40 ; IC à 95 % : 1,31 à 14,8). »
    — Cowling BJ et al., 2012

    Bien que les mécanismes puissent différer, le principe est le même : la vaccination peut, dans certaines circonstances, altérer la réponse immunitaire plus large.

    Pourquoi cette étude est importante

    Il s’agit de l’une des études sur le vaccin contre la grippe les plus importantes publiées ces dernières années pour plusieurs raisons :

    Taille de l’échantillon : Plus de 53 000 participants.
    Conception du monde réel : une cohorte prospective, et non une étude cas-témoins « test-négative ».
    Résultat basé sur le risque : l’étude calcule le risque, pas seulement les cotes, évitant ainsi la surestimation typique des études basées sur le rapport de cotes.
    Méthodes statistiques robustes : covariables dépendantes du temps, régression multivariable, aucune violation des hypothèses de risques proportionnels.
    Aucun financement industriel : les auteurs ne signalent aucun conflit d’intérêt et aucun financement n’a été déclaré.
    Il est rare de voir une étude de cette ampleur, de cette clarté et de cette indépendance produire un résultat aussi directement en contradiction avec la politique nationale en matière de vaccination.

    Ce que cela signifie pour la politique
    L’implication est claire : la vaccination annuelle systématique contre la grippe pour les adultes en âge de travailler – du moins avec cette formulation – pourrait ne pas être justifiée dans le cadre des modèles actuels de sélection et de fabrication des souches.

    Cela soulève également des questions plus larges :

    Sous-estimons-nous la fréquence et l’impact de l’efficacité négative des vaccins au cours des années où les souches ne correspondent pas ?
    Des politiques comme la vaccination obligatoire contre la grippe pour les professionnels de la santé ont-elles dépassé les preuves ?
    Surveillons-nous de manière adéquate les performances réelles de ces vaccins après leur déploiement ?
    Cette étude remet en question la pertinence des campagnes de vaccination universelle contre la grippe, qui ne parviennent pas à apporter des bénéfices constants et peuvent même causer des dommages nets.

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  8. Une voie à suivre

    Les auteurs soulignent l'importance d'un suivi annuel de l'efficacité, un point que les agences de santé publique n'ont pas toujours considéré comme prioritaire. Mais ce résultat va plus loin : il souligne l'urgente nécessité de transparence, de recherche mécaniste et de réévaluation des hypothèses entourant la politique de vaccination contre la grippe.

    Au minimum, les mises à jour des politiques du HHS devraient désormais inclure :

    Interdire les vaccins antigrippaux contenant du thimérosal, ou
    Étiquetage des vaccins antigrippaux inactivés contenant du thimérosal comme suit : « Ce produit pourrait augmenter votre risque de grippe ».
    Les études futures doivent :

    Examiner le risque d'hospitalisation et de décès après la vaccination contre la grippe en stratifiant les résultats par formulation du vaccin (par exemple, thimérosal contre sans thimérosal, trivalent contre quadrivalent) par rapport aux non-vaccinés (stratifié par jamais vacciné, arrêté il y a des années).
    Étudier la possibilité d’interférence et de suppression immunitaire.
    Réévaluer la validité prédictive des méthodes de sélection des souches.
    Comme nous l’avons déjà demandé à maintes reprises, il faut étudier les effets de l’élimination des épitopes dangereux et de l’évitement de toutes les formes d’aluminium sur les effets indésirables liés au vaccin contre la grippe.
    D'ici là, il n'est plus scientifiquement défendable de parler du vaccin contre la grippe comme d'une intervention établie pour les adultes en bonne santé. Ce sont les données probantes, et non le consensus, qui doivent prévaloir.

    *

    Sources

    Shrestha NK, Burke PC, Nowacki AS, Gordon SM. Efficacité du vaccin antigrippal pendant la saison virale respiratoire 2024-2025 . medRxiv. Publié le 4 avril 2025. https://doi.org/10.1101/2025.01.30.25321421

    Cowling BJ, et al. Risque accru d'infections respiratoires non grippales associé à la réception d'un vaccin antigrippal inactivé . Clin Infect Dis. 2012;54(12):1778-1783.

    Burbacher, TM, Shen, DD, Liberato, N., Grant, KS, Cernichiari, E., et Clarkson, T. (2005). Comparaison des concentrations sanguines et cérébrales de mercure chez des singes nourrissons exposés au méthylmercure ou à des vaccins contenant du thimérosal. Environmental Health Perspectives, 113(8), 1015–1021. https://doi.org/10.1289/ehp.7712

    https://www.globalresearch.ca/inactivated-influenza-vaccine-risk-public-health/588

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  9. DERNIÈRE MINUTE : Une étude menée auprès de 85 millions de personnes révèle une augmentation des risques d'accident vasculaire cérébral, de crise cardiaque, de maladie coronarienne et d'arythmie après la vaccination contre la COVID-19

    Les injections d'ARNm et de vecteur viral COVID-19 liées à l'accident vasculaire cérébral (+240%), à la crise cardiaque (+286%), à la maladie coronarienne (+244%) et à l'arythmie (+199%) dans une analyse à grande échelle.


    Par Nicolas Hulscher
    Recherche mondiale,
    8 avril 2025


    L'étude intitulée « Vaccination contre la COVID-19 et événements cardiovasculaires : une revue systématique et une méta-analyse multivariée bayésienne des avantages et des risques préventifs » vient d'être publiée dans l'International Journal of Preventative Medicine :

    - voir doc sur site -

    Cliquez ici pour une vue agrandie

    Cette méta-analyse bayésienne multivariée exhaustive comprenait 15 études, dont 11 études observationnelles contrôlées constituant la base de l'analyse principale. Au total, l'analyse a évalué plus de 85 millions de personnes , dont près de 46 millions de personnes vaccinées (avec une première, une deuxième ou une troisième dose) et près de 40 millions de participants non vaccinés ou témoins. Les vaccins étudiés comprenaient le BNT162b2 (Pfizer), l'ARNm-1273 (Moderna) et le ChAdOx1 (AstraZeneca), répartis dans plusieurs pays d'Asie, d'Europe et d'Amérique du Nord. Moderna (ARNm-1273) n'a pas été mis en évidence dans les principales estimations du risque en raison du manque d'études contrôlées isolant spécifiquement ses effets cardiovasculaires. Par conséquent, les principaux indicateurs se concentrent sur les résultats associés à Pfizer, AstraZeneca et aux données groupées spécifiques à la dose.

    Voici ce qu’ils ont trouvé :

    Risques accrus suite à la vaccination contre la COVID-19
    ( Comparé au groupe non vacciné/témoin )

    Maladie coronarienne (MC)
    Globalement : OU 1,70 ( 95 % CrI : 1,11–2,57 ) → 70 % de risque accru
    BNT162b2 (Pfizer) : OU 1,64 ( 95 % CrI : 1,06–2,55 ) → 64 % de risque accru
    Deuxième dose (tous les vaccins) : OU 3,44 ( 95 % CrI : 1,99–5,98 ) → 244 % de risque accru

    Infarctus du myocarde (IDM)
    Deuxième dose (tous les vaccins) : OU 3,86 (ICr à 95 % : 2,28–6,60 ) → risque accru de 286 %
    BNT162b2 (Pfizer) : OU 1,87 ( 95 % CrI : 1,22–2,89 ) → 87 % de risque accru
    Deuxième dose de BNT162b2 : OU 3,84 ( 95 % CrI : 2,21–6,66 ) → 284 % de risque accru

    Accident vasculaire cérébral
    BNT162b2 (Pfizer) : OU 2,09 ( 95 % CrI : 1,36–3,21 ) → 109 % de risque accru
    Première dose de BNT162b2 : OU 3,69 ( 95 % CrI : 2,13–6,37 ) → 269 % de risque accru
    Première dose (tout vaccin) : OU 3,40 ( 95 % CrI : 1,98–5,86 ) → 240 % de risque accru

    Arythmie
    Première dose (tout vaccin) : OU 2,99 ( 95 % CrI : 1,20–7,44 ) → 199 % de risque accru
    ChAdOx1 (AstraZeneca) : OU 8,11 95 % CrI : 3,67–17,99 ) → 711 % de risque accru
    Première dose de ChAdOx1 : OU 4,89 ( 95 % CrI : 1,21–19,38 ) → 389 % de risque accru

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  10. Cette analyse à grande échelle portant sur plus de 85 millions de personnes montre que les vaccins contre la COVID-19 sont associés à une augmentation significative des risques d'accident vasculaire cérébral (AVC), de crise cardiaque, de maladie coronarienne et d'arythmie. Les injections d'ARNm de Pfizer (BNT162b2) ont été spécifiquement associées à une augmentation substantielle des accidents vasculaires cérébraux (AVC), d'infarctus du myocarde et de maladie coronarienne, en particulier après la première et la deuxième dose. Le risque d'arythmie était accru après la première dose de chaque vaccin, le signal le plus fort ayant été observé après le ChAdOx1 d'AstraZeneca.

    Chaque jour qui passe voit la publication d'une nouvelle étude révélant les graves méfaits des contre-mesures génétiques contre la COVID-19. Elles doivent être immédiatement retirées des marchés mondiaux.

    *

    Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough

    https://www.globalresearch.ca/breaking-85-million-person-risks-stroke-heart-attack-coronary-artery-disease-arrhythmia-covid-19-vaccination/5883840

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  11. Peter Marks, gourou des vaccins, démissionne de la FDA

    Le directeur de l'évaluation et de la recherche sur les produits biologiques de la FDA rédige une lettre de démission catéchiste sur les vaccins après avoir prétendument reçu l'ordre de les éviter.


    Par John Leake
    Discours courageux
    9 avril 2025


    L'inoculation d'une forme faible de substance pathogène pour prévenir les maladies graves est une idée fascinante qui a profondément marqué l'esprit humain depuis que sa première itération primitive contre la variole, appelée variolisation, a été proposée en Angleterre et dans les colonies britanniques d'Amérique au début du XVIIIe siècle.

    Après la publication par Edward Jenner de son pamphlet de 1798, dans lequel il proposait d'utiliser la vaccine pour inoculer les humains contre la variole, l'idée d'inoculation est devenue le concept central de la médecine des maladies infectieuses et l'est restée depuis. Un étudiant sérieux de l'histoire de la vaccination constatera que cette technologie de santé publique a toujours davantage relevé du vœu pieux, de la foi et de l'entreprise commerciale que de la recherche scientifique impartiale.

    La lettre de démission larmoyante de Peter Marks, directeur du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA, est un catéchisme, c'est-à-dire « une série de réponses ou de préceptes fixes utilisés pour l'enseignement dans d'autres situations ». Marks est un défenseur de la foi vaccinale, et sa lettre de démission m'a rappelé les pamphlets de la Contre-Réforme du XVIe siècle qui affirmaient la rectitude de la doctrine catholique et l'erreur de la doctrine de la Réforme protestante. Chaque affirmation de la lettre de Marks n'est qu'une simple affirmation, un article de foi.

    Je me réjouis de la nouvelle du départ de Marks, qui aura un effet salutaire et rajeunissant sur l'ensemble du Département.

    Le ministère de la Santé et des Services sociaux ne contribuera jamais à la promotion de la santé si ses postes les plus élevés sont occupés par des idéologues dont la fonction première est de maintenir l'orthodoxie. L'agence a besoin d'hommes et de femmes dotés d'un véritable esprit et d'une imagination débordante pour poser de nouvelles questions et chercher des réponses là où l'orthodoxie a transformé le savoir en domaine interdit.

    Peter Marks, MD, PhD
    Directeur, Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques
    Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA)
    10903, avenue New Hampshire
    Silver Spring, MD 20903

    28 mars 2025

    Sara Brenner, MD, MPH
    Commissaire par intérim de la FDA
    FDA
    10903, avenue New Hampshire
    Silver Spring, MD 20903

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  12. Cher Dr Brenner,
    C'est avec le cœur lourd que j'ai décidé de démissionner de la FDA et de prendre ma retraite de la fonction publique fédérale en tant que directeur du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques à compter du 5 avril 2025. Je laisse derrière moi une équipe de professionnels qui sont sans aucun doute les plus dévoués à la protection et à la promotion de la santé publique que j'ai rencontrés au cours de mes quatre décennies d'expérience dans les secteurs public et privé. J'ai toujours fait de mon mieux pour défendre leur bien-être et je vous demande de faire de même en cette période très difficile où leur importance cruciale pour la sûreté et la sécurité de notre nation pourrait être sous-estimée.

    Ces dernières années, j'ai contribué à améliorer la sécurité de l'approvisionnement en sang de notre pays, à faire progresser le domaine des thérapies cellulaires et géniques, et à répondre aux urgences de santé publique. Lors de la dernière de ces crises, pendant la pandémie de COVID-19, j'ai eu le privilège de voir la vision que j'avais conçue pour l'opération Warp Speed ​​en mars 2020 en collaboration avec le Dr Robert Kadlec se concrétiser sous la direction du secrétaire au HHS, M. Azar, et du président Trump, grâce à l'engagement indéfectible des fonctionnaires de la FDA et d'autres administrations publiques.

    À la FDA, les efforts inlassables du personnel de l'agence ont permis d'accélérer considérablement le développement de vaccins contre le virus, répondant aux normes de qualité, de sécurité et d'efficacité attendues par la population américaine. Ces vaccins ont incontestablement réduit considérablement la morbidité et la mortalité liées à la COVID-19 aux États-Unis et ailleurs. Nombre de ces mêmes personnes ont appliqué les enseignements tirés de la pandémie lors d'une réponse sans faille, contribuant ainsi à la maîtrise rapide de l'épidémie de variole aux États-Unis en 2022.

    Ceux qui ont participé à ces interventions restent prêts à faire face aux menaces infectieuses auxquelles nous serons sans aucun doute confrontés dans les années à venir, notamment le virus H5N1, qui est désormais imminent. Les efforts actuellement déployés par certains sur les effets néfastes de la vaccination sur la santé sont préoccupants.

    L'histoire des bénéfices individuels et sociétaux potentiels de la vaccination est aussi ancienne que celle de notre grande nation. Dès le début de la guerre d'Indépendance, George Washington envisagea de protéger ses troupes de Cambridge, dans le Massachusetts, contre la variole afin de les protéger de l'infection par les troupes britanniques infiltrées dans ses rangs. Plus tard, en février 1777, alors qu'il campait à Morristown, dans le New Jersey, il eut le courage et la clairvoyance de signer un ordre exigeant la vaccination de ses troupes contre la variole.

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  13. Par la suite, le perfectionnement du vaccin antivariolique, combiné à une vaste campagne de vaccination, permit l'éradication de la variole de la planète. L'application des remarquables avancées scientifiques des vaccins des Drs Salk et Sabin conduisit à l'élimination de la polio aux États-Unis. Et ce ne sont là que les effets de deux des vaccins qui ont permis de sauver des millions de vies.

    L'épidémie de rougeole qui sévit actuellement dans plusieurs États, particulièrement grave au Texas, nous rappelle ce qui se produit lorsque la confiance dans les fondements scientifiques solides de la santé et du bien-être publics est ébranlée. La rougeole, qui a tué plus de 100 000 enfants non vaccinés l'année dernière en Afrique et en Asie à cause d'une pneumopathie et d'une encéphalite causées par le virus, a été éradiquée de nos côtes. Le schéma vaccinal contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) en deux doses, utilisé ces dernières décennies, présente un profil bénéfice-risque remarquablement favorable.

    Le vaccin ROR est efficace à 97 % ou plus pour prévenir la rougeole après la série de deux doses, et son innocuité a été remarquablement bien étudiée. Bien qu'il soit rarement suivi d'une seule crise fébrile, ou très rarement de réactions allergiques ou de troubles de la coagulation sanguine, le vaccin ne provoque tout simplement pas d'autisme et n'est pas associé à une encéphalite ou à la mort. Il protège cependant contre une conséquence potentiellement dévastatrice d'une infection antérieure par la rougeole : la panencéphalite sclérosante subaiguë (PESS), une maladie neurologique incurable et inexorablement évolutive entraînant le décès chez environ une personne infectée par la rougeole sur 10 000.

    Saper la confiance dans des vaccins bien établis, conformes aux normes élevées de qualité, de sécurité et d'efficacité en vigueur depuis des décennies à la FDA, est irresponsable, préjudiciable à la santé publique et constitue un danger évident pour la santé, la sûreté et la sécurité de notre pays.

    Dans les années qui ont suivi la pandémie, au Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques, nous avons appliqué le même engagement indéfectible envers les priorités de santé publique au développement de thérapies cellulaires et géniques pour traiter les maladies rares héréditaires et acquises. Sous ma direction, nous avons approuvé 22 thérapies géniques, dont la toute première thérapie génique jamais approuvée aux États-Unis. Cependant, nous savons que nous devons faire mieux pour accélérer le développement de traitements pour les personnes souffrant de l'une des milliers de maladies potentiellement traitées par les progrès de la médecine moléculaire au cours des dernières décennies.

    Fort des enseignements tirés de la pandémie, le personnel du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques met en œuvre les meilleures pratiques apprises pendant la pandémie, telles qu'une communication accrue avec les développeurs de produits, afin d'accélérer la mise à disposition des traitements nécessaires à ceux qui en ont besoin. Ils ont également exploré la transformation radicale de notre approche réglementaire pour accélérer la livraison de produits d’édition du génome administrés directement.

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  14. S'ils sont abordés avec réflexion, puis développés et affinés, ces traitements ont le potentiel de transformer la santé humaine dans les années à venir.
    Au cours des 13 dernières années, j'ai fait de mon mieux pour garantir que nous appliquions efficacement les meilleures données scientifiques disponibles au bénéfice de la santé publique. Comme vous le savez, j'étais disposé à répondre aux préoccupations du Secrétaire concernant la sécurité des vaccins et la transparence en écoutant le public et en organisant diverses réunions publiques et des échanges avec l'Académie nationale des sciences, de l'ingénierie et de la médecine.

    Cependant, il est devenu clair que le Secrétaire ne recherche ni la vérité ni la transparence, mais plutôt une confirmation servile de ses fausses informations et de ses mensonges. J'espère qu'au cours des prochaines années, cette attaque sans précédent contre la vérité scientifique, qui a eu un impact négatif sur la santé publique de notre pays, prendra fin afin que nos citoyens puissent pleinement bénéficier de l'étendue des avancées de la science médicale. Même si je regretterai de ne plus pouvoir participer aux futurs travaux de la FDA, je suis profondément reconnaissant d'avoir eu l'occasion de travailler avec un groupe de personnes aussi remarquables que l'équipe de la FDA et je ferai de mon mieux pour continuer à faire progresser la santé publique.
    Sincèrement,
    Peter Marks, MD, PhD

    This originally appeared on Courageous Discourse.

    https://www.lewrockwell.com/2025/04/no_author/vaccine-guru-peter-marks-resigns-from-fda/

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  15. Cinq ans après Luc Montagnier Le Point découvre que le virus du Covid est une création humaine mais oublie de présenter ses excuses à celui qu’il avait sali


    le 9 avril 2025
    par pgibertie


    Cinq ans après Luc Montagnier Le Point découvre que le virus du Covid est une création humaine mais oublie de présenter ses excuses à celui qu’il avait sali

    @PanDanTag
    Il aura fallu attendre 2025 pour que
    @LePoint
    cesse de se fier à
    @RReichstadt
    ? Ça ne vous gêne pas
    @Tantalite
    de faire du damage control plutôt que votre métier de journaliste ? Dès 2021 nous avions les preuves. La crédibilité et la légitimité ça se mérite !

    - voir doc sur site :

    https://pgibertie.com/2025/04/09/cinq-ans-apres-luc-montagnier-le-point-decouvre-que-le-virus-du-covid-est-une-creation-humaine-mais-oublie-de-presenter-ses-excuses-a-celui-quil-avait-sali/

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  16. La géopolitique de la folie des élites. « Transformer le monde entier en technocratie planétaire. » Robert J. Burrowes

    Partie III : L'illusion dangereuse selon laquelle les gouvernements, y compris ceux des BRICS, sont souverains et peuvent arrêter la prise de pouvoir technocratique


    Par Robert J. Burrowes
    Recherche mondiale,
    10 avril 2025



    Alors que l'ordre géopolitique est rapidement remodelé pour mieux servir les intérêts de l'élite, la plupart des analystes qui écrivent sur le sujet se laissent berner et perçoivent les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud récemment élargis pour inclure l'Égypte, l'Éthiopie, l'Indonésie, l'Iran et les Émirats arabes unis) comme une sorte d'« alternative ».

    Voir, par exemple :

    Ben Norton affirme que « les BRICS… changeront le monde » dans « Les BRICS s'étendent avec neuf nouveaux pays partenaires. Ils représentent désormais la moitié de la population mondiale et 41 % de l'économie mondiale » .

    L'affirmation du professeur Jeffrey D. Sachs selon laquelle « les BRICS sont… une ouverture potentielle vers un ordre mondial beaucoup plus pacifique et sûr… [et] peuvent être une aubaine pour tous les pays » dans « Le sommet des BRICS devrait marquer la fin des illusions néoconservatrices » .

    L'affirmation d' Alfred de Zayas , premier expert indépendant de l'ONU sur la promotion d'un ordre international démocratique et équitable, selon laquelle « les BRICS représentent une « nouvelle aube » de multipolarité » et « l'existence même des BRICS et le sommet de Kazan, tourné vers l'avenir, offrent une alternative au nihilisme occidental » dans « Le sommet des BRICS à Kazan : un manifeste pour un ordre mondial rationnel » .

    Et l’affirmation d’ Abayomi Azikiwe selon laquelle « les BRICS représentent un modèle historique d’efforts pour construire des alternatives au système capitaliste mondial existant… Le sommet BRICS Plus est une manifestation du mouvement international visant à mettre fin à la domination des peuples du monde par le capital financier international » dans « La déclaration des BRICS renforce l’appel à la multipolarité : le sommet de Kazan rejette l’unilatéralisme avancé par l’Occident » .

    Bien sûr, des analystes plus perspicaces voient clair et révèlent comment les pays BRICS se contentent de mettre en œuvre le même programme technocratique que les pays extérieurs. Voir, par exemple, l'article de Riley Waggaman « Voulez-vous savoir ce que les BRICS viennent de déclarer ? »

    Le problème est simple : derrière les différences superficielles entre ce que les pays BRICS (parfois appelés désormais BRICS+ étant donné l’adhésion récente de cinq autres membres) pourraient faire et qui semble remodeler la géopolitique planétaire en un ordre mondial multipolaire qui remplacera d’une manière ou d’une autre l’ordre mondial unipolaire dirigé par les États-Unis, se cache une vérité plus profonde et plus sombre.

    Cette vérité est que l'élite mondiale transforme rapidement et progressivement le monde entier en une technocratie planétaire peuplée d'esclaves transhumains. Cela signifie que les perceptions limitées à des visions du monde traditionnelles, telles que le monde étatique et/ou capitaliste/socialiste, passent à côté ou perçoivent mal les profonds changements en cours.

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  17. Aucun gouvernement, y compris ceux des BRICS, ne résiste à ces profonds changements. Aucun gouvernement, y compris ceux des BRICS, ne résistera à ces profonds changements.

    Le monde géopolitique ne s'articule pas autour d'États-nations souverains, car aucune nation n'est souveraine. Autrement dit, aucun gouvernement d'État-nation n'est en mesure d'exercer une autorité indépendante et ultime sur l'ensemble de ses affaires (intérieures et extérieures).

    Bien sûr, cela a été le cas depuis longtemps, comme l’explique l’éminent historien, le professeur Carroll Quigley, dans son ouvrage classique publié en 1966. Voir Tragédie et espoir : une histoire du monde à notre époque , pp. 5-6.

    Les puissances du capitalisme financier poursuivaient un autre objectif ambitieux : créer un système mondial de contrôle financier privé, capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie mondiale dans son ensemble. Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales du monde entier, agissant de concert par des accords secrets conclus lors de fréquentes réunions et conférences privées. Le sommet du système devait être la Banque des règlements internationaux de Bâle, en Suisse, une banque privée détenue et contrôlée par les banques centrales du monde entier, elles-mêmes des sociétés privées…

    Il ne faut pas croire que ces dirigeants des principales banques centrales du monde étaient eux-mêmes des puissances financières majeures. Ce n'était pas le cas. Ils étaient plutôt les techniciens et les agents des banquiers d'affaires dominants de leurs propres pays, qui les avaient portés et étaient parfaitement capables de les renverser. Les puissances financières mondiales majeures étaient aux mains de ces banquiers d'affaires (aussi appelés banquiers « internationaux » ou « marchands ») qui restaient largement dans l'ombre au sein de leurs propres banques privées non constituées en sociétés. Ceux-ci formaient un système de coopération internationale et de domination nationale plus privé, plus puissant et plus secret que celui de leurs agents au sein des banques centrales.

    Outre le livre complet et inestimable de Quigley, vous pouvez lire un résumé raisonnable de la manière dont le pouvoir de l'élite - politiquement, économiquement, socialement et militairement - a été acquis et est exercé dans Historical Analysis of the Global Elite: Ransacking the World Economy Until 'You'll Own Nothing'.

    Bien sûr, dans le cas des pays « démocratiques » au moins, vous êtes censé croire que « votre » gouvernement est, en effet, libre de prendre des décisions régissant votre sécurité et votre bien-être et que vous avez certains droits, y compris le droit de vote, pour avoir votre mot à dire dans la détermination du gouvernement du pays dans lequel vous vivez.

    Pour dissimuler la réalité selon laquelle aucune nation n'est souveraine, les gouvernements ont depuis longtemps le pouvoir de prendre des décisions sur des questions mineures (qui peuvent néanmoins avoir un impact critique sur certaines populations) qui n'ont aucun rapport avec le programme fondamental de l'Élite, tandis que toutes les « décisions » importantes prises par les gouvernements se limitent à approuver les directives de l'Élite et à mobiliser les agents concernés au sein du gouvernement, des bureaucraties, des médias, de l'armée et ailleurs pour mettre en œuvre les derniers composants du programme de l'Élite.

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  18. Tant que vous ne reconnaîtrez pas que les gouvernements à tous les niveaux – et les institutions internationales que vous connaissez le mieux, à commencer par les Nations Unies et l'Organisation mondiale de la Santé – ne sont que des façades ou des « marionnettes fantômes » destinées à vous distraire des véritables fondements du pouvoir dans le système mondial, vous continuerez à mal comprendre ce qui se passe, qui en est le moteur et comment cela se produit. Et toute tentative de résistance à la violence et à l'injustice endémiques inhérentes à ce qui se passe sera vouée à l'échec.

    Et c’est précisément ce que l’élite a l’intention de faire.

    Après tout, la manière la plus efficace de contrecarrer l’opposition à un programme est de s’assurer que les opposants potentiels ne comprennent pas les règles du jeu (y compris, dans ce cas, qui exerce le pouvoir effectif dans le système mondial) tout en s’assurant que ces opposants potentiels reçoivent beaucoup de distractions bruyantes et colorées (comme des élections régulières et d’autres processus politiques partisans, sans parler de l’art et du sport sous diverses formes) pour garder la plupart d’entre eux occupés en même temps.

    La récente élection présidentielle américaine a été un parfait exemple de cette distraction, avec une vaste gamme de commentaires sur un large éventail de changements superficiels et seulement les analystes les plus rares ont noté le nombre et l’éventail de technocrates riches nommés par Donald Trump pour jouer des rôles clés dans sa nouvelle administration, sans parler d’expliquer l’importance de cela.

    En substance, il est préférable pour l’élite que vous mettiez toute votre passion et votre énergie à combattre sur un champ de bataille qui n’a absolument aucune importance et que vous ignoriez où se trouve le véritable champ de bataille.

    Quelle meilleure façon de neutraliser toute opposition que de la concentrer sur le mauvais « jeu » ?

    La technocratie planétaire en pleine progression
    Alors que de nombreux auteurs ont discuté de l’avancée rapide de la technocratie planétaire ces dernières années, et que des spécialistes comme Patrick Wood nous mettent en garde depuis bien plus longtemps – voir « Technocracy News & Trends » – il ne fait aucun doute qu’il s’agit toujours d’un sujet incroyablement mal compris.

    Scénario possible de mobilité intelligente et durable (Sous licence CC BY-SA 4.0)

    - voir schéma sur site -

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  19. Cela signifie que la menace posée par les changements qui nous sont imposés est largement méconnue. Ces technologies invasives incluent l'identité numérique (à laquelle sera rattaché votre « score de crédit social »), les monnaies numériques de banque centrale (MNBC), l'emprisonnement géorepéré dans une « ville intelligente », la surveillance 24 heures sur 24 grâce à des caméras de reconnaissance faciale tridimensionnelles (qui capturent votre « empreinte faciale » unique), l'espionnage via un vaste réseau d'appareils « intelligents » (ordinateurs, téléviseurs, réfrigérateurs… ainsi que les plateformes de médias sociaux, les poteaux et lampadaires intelligents) connectés via la 5G/6G et l'Internet des objets, et le contrôle de nos mouvements grâce à une gamme parallèle de technologies, notamment le géorepérage, les voitures sans conducteur, les coupe-circuits de véhicules, les drones (utilisés comme police aérienne), les robots (y compris comme « option de force létale ») ainsi que les armes autonomes et électromagnétiques. Au-delà de ces menaces, les « vaccins », l’intelligence artificielle, la biologie synthétique, la géo-ingénierie et d’autres technologies sont utilisées pour remodeler profondément la vie planétaire, à votre détriment.

    Mais si vous n'avez pas encore une compréhension claire de l'origine historique et du développement des dangers technocratiques qui minent rapidement la vie humaine, l'identité, la vie privée, la liberté et la sécurité, vous pouvez obtenir une excellente compréhension du livre le plus récent de Patrick Wood sur le sujet, The Evil Twins of Technocracy and Transhumanism, ou de bons aperçus dans cet article récent de Joshua Stylman « The Technocratic Blueprint: A Century in the Making » ou cette série en deux parties de Jesse Smith :

    « L'ascension de la technocratie – Partie 1 : Pourquoi il est crucial de comprendre la fin du jeu » et

    « L'ascension de la technocratie – Partie 2 : Croyez-moi, je suis un technocrate » .

    Et si vous ne croyez toujours pas que les BRICS et tous les autres pays mettent en œuvre le programme technocratique de l'élite, vous pouvez en savoir plus dans des articles tels que ceux-ci, à commencer par la récente déclaration du sommet des BRICS en octobre 2024 :

    Sommet des BRICS 2024 « Déclaration de Kazan : Renforcer le multilatéralisme pour un développement et une sécurité mondiaux justes » .

    Si vous ne percevez pas immédiatement l'engagement des BRICS envers la technocratie de l'élite, Riley Waggaman vous l'explique clairement. Voir « Souhaitez-vous savoir ce que les BRICS viennent de déclarer ? »

    Mais Waggaman a également expliqué en détail comment le gouvernement russe s'emploie à imposer la technocratie de l'élite aux Russes. Voir « Poutine est-il de mèche avec les mondialistes ? »

    Quant à la Chine, selon Iain Davis, elle est le « premier technat » du monde. En réalité, ce phénomène a été systématiquement facilité par l'Occident après l'arrivée au pouvoir de Deng Xiaoping après la mort de Mao en 1976. La Chine a été infiltrée par des membres américains de la Commission trilatérale (connus sous le nom de « trilatéralistes ») afin d'influencer son développement. Par exemple, depuis 1979, « le gouvernement israélien et les entreprises israéliennes de défense ont systématiquement facilité le transfert vers la Chine des technologies occidentales de défense et de surveillance les plus sensibles ». Voir « Chine : le premier technat du monde – 2e partie » .

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  20. Alors, si la Russie et la Chine sont déjà des États technocratiques avancés, qu’en est-il des autres pays BRICS ?

    Eh bien, même si nous considérons seulement trois des éléments fondamentaux les plus critiques nécessaires à la construction d’un État technocratique – le déploiement de la 5G, l’identité numérique et les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) – il s’avère que les autres pays BRICS sont tous bien avancés.

    Malgré les dangers électromagnétiques bien documentés de la 5G, la technologie a déjà été largement déployée dans ces pays : « 5G Progress Report: Brazil » , « 5G rollout in India faster in world, officials say » et « 5G rocking in South Africa » .

    L'identité numérique est également bien avancée : « La version numérique de la nouvelle carte d'identité nationale du Brésil est désormais disponible dans certains États » , « En ce qui concerne les cartes d'identité biométriques, l'Inde est un « laboratoire pour le reste du monde » » et « Nouveau système d'identité numérique pour les Sud-Africains – voici à quoi s'attendre » .

    Concernant les CBDC, le Brésil, l'Inde et l'Afrique du Sud ont tous des programmes pilotes avancés ou sont en cours de mise en œuvre. Voir « La Banque centrale du Brésil confirme qu'elle lancera un test pilote pour sa CBDC cette année » , « Le gouvernement annonce la roupie numérique : qu'est-ce que c'est et plus encore » et « La Banque de réserve d'Afrique du Sud lance une étude de faisabilité pour une CBDC de détail » .

    Si vous vous interrogez sur les membres les plus récents des BRICS, une recherche rapide confirmera leur forte implication dans l'imposition de la technocratie de l'élite, à commencer par les trois éléments fondamentaux mentionnés ci-dessus. Concernant l'Iran, par exemple, le déploiement de la 5G, de l'identité numérique et des CBDC est bien avancé. Voir « 4 000 sites fourniront l'internet 5G en Iran d'ici mars 2025 » , « Portail national du gouvernement intelligent » et « La banque centrale iranienne va lancer une monnaie numérique à titre pilote » .

    En résumé, tous les gouvernements nationaux ainsi que leurs alliés du monde des affaires sont impliqués dans le processus de construction de l’infrastructure technocratique qui, un jour prochain, asservira ceux d’entre nous qui resteront en vie dans une prison de « ville intelligente ».

    Si vous souhaitez des preuves supplémentaires, faites simplement une recherche sur Internet en spécifiant un pays et une technologie (5G, identification numérique, CBDC, reconnaissance faciale, géorepérage…) et/ou vérifiez les progrès de votre ville la plus proche dans sa transformation en « ville intelligente ».

    Se défendre contre l'avancée de la technocratie

    Il faudra déployer des efforts énormes pour nous défendre contre les changements politiques, économiques, sociaux, technologiques et autres qui nous sont désormais imposés à grande vitesse.

    C'est parce que « L'élite mondiale est folle revisitée » et que pratiquement tous les humains sont totalement soumis en raison de la violence qu'ils ont subie pendant leur enfance.

    Voir « Pourquoi la violence ? » et « Psychologie sans peur et psychologie craintive : principes et pratique » .

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  21. Et que vous agissiez ou non en réponse à d’autres projets d’élite menés dans d’autres parties du monde, résister à la technocratie en pleine avancée est crucial pour votre propre avenir :

    « Combattre pour notre humanité, lutter pour notre avenir » .

    « Nous sommes humains, nous sommes libres » identifie l'action stratégique nécessaire pour se défendre contre cette technocratie (avec des actions critiques expliquées,

    plus simplement, sur le dépliant d'une page « Nous sommes humains, nous sommes libres » , disponible en 23 langues).

    Conclusion

    Aucun gouvernement n'échappe au contrôle des élites. Les gouvernements ne sont que des agents de l'élite qui obéissent aux ordres de divers agents de l'élite, notamment dans les domaines bancaire, de la politique étrangère, de la technologie et autres.

    Fondamentalement, le programme Elite tue la majeure partie de la population humaine et utilise une gamme de technologies pour asservir de manière technocratique les transhumains laissés en vie dans une prison de « ville intelligente ».

    Ce programme progresse rapidement alors que notre ignorance et notre peur font que la plupart des gens ne parviennent pas à percevoir la véritable nature des menaces, qui les alimente et ce qui est nécessaire pour y résister efficacement.

    Cela signifie que même les personnes qui prétendent être au courant sont généralement prises au piège en entreprenant des actions impuissantes (comme signer une pétition adressée à un gouvernement, changer leur vote aux prochaines élections, manifester dans la rue) plutôt que d’agir avec force pour se défendre contre l’élite en résistant à ses impératifs.

    La réalité est que vous pouvez vous défendre assez efficacement en prenant les mesures proposées dans « Nous sommes humains, nous sommes libres », mais nous avons besoin de suffisamment de personnes prenant ces mesures pour vaincre l'ensemble du programme, sinon l'élite utilisera simplement ses agents transhumains et robots pour nous traquer une fois que ceux qui se sont facilement conformés seront déjà morts ou emprisonnés.

    Notre combat est contre l'élite mondiale. Pas contre votre gouvernement, une organisation internationale ou qui que ce soit d'autre.

    *

    Robert J. Burrowes s'est engagé toute sa vie à comprendre et à mettre fin à la violence humaine. Depuis 1966, il mène des recherches approfondies pour comprendre les causes de la violence humaine et milite pour la non-violence depuis 1981. Il est l'auteur de « Why Violence? ». Son adresse courriel est flametree@riseup.net et son site web est disponible ici . Il contribue régulièrement à « Global Research ».

    https://www.globalresearch.ca/geopolitics-elite-insanity-part-iii/5878411

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  22. Une nouvelle carte du monde
    Les nations libres, les nations combattantes et les nations brisées


    DR NAOMI WOLF
    7 AVRIL 2025


    Je constate que je vous écris aujourd'hui au sujet de sociétés autrefois libres, plus ou moins ruinées.

    Je vois une nouvelle carte du monde, qui n'a plus grand-chose à voir avec le célèbre classement tendancieux et propagandiste des sociétés libres et fermées de Freedom House. La carte du monde, telle qu'elle est écrite en termes de liberté, est en pleine mutation.

    Je le constate à travers mes voyages. Voyager à l'étranger est à nouveau nouveau pour moi. Je n'avais pas quitté les États-Unis pendant les cinq années qui ont suivi le « confinement », pour des raisons de sécurité ; lorsque j'ai commencé à être une « dissidente du confinement », puis une dissidente des « mandats » et des « injections d'ARNm », mon mari, l'expert en sécurité Brian O'Shea, pensait que je serais plus en sécurité aux États-Unis. (Il travaillait pour une société de sécurité qui, entre autres, négociait la libération d'otages ; croyez-le ou non, si vous êtes citoyen/dissident américain, vous bénéficiez toujours d'une meilleure protection contre les forces de sécurité, ou simplement contre les individus malintentionnés qui vous mettent physiquement en danger, si vous êtes aux États-Unis, que si vous voyagez au-delà de ses frontières.)

    J'avais donc un désir ardent de découvrir le reste du monde et de rendre compte directement de la situation des libertés dans le monde, en particulier dans des pays que j'avais tant aimés, comme le Canada, la Grande-Bretagne, l'Inde et les Pays-Bas. (J'avais voulu accepter une invitation à retourner en Australie, qui fait partie des pays que j'ai tant aimés, mais j'avais trop peur d'être placé en quarantaine. C'était arrivé pendant deux semaines au député dissident qui m'invitait, alors j'ai décliné à regret. L'Australie avait arrêté trois internés qui avaient tenté de s'échapper d'un centre de quarantaine, et je craignais donc tout contact avec ce système.)

    Jusqu'à présent, j'ai vu des nations ruinées, des nations dont on pensait que la liberté et l'État de droit perdureraient pendant des siècles, voire des millénaires, et j'ai aussi vu des nations en plein essor, nourries d'espoir, de confiance et, surtout, de défense de leurs libertés. Il existe une troisième catégorie : celle des nations en lutte active entre ces deux pôles.

    Je compte les Pays-Bas, dont je vous ai déjà parlé, parmi ceux qui se trouvent dans cette situation de conflit actif : ils subissent la répression et ripostent. Je me réjouis de me rendre en Allemagne, à l'invitation de la députée européenne Christine Anderson, en septembre, car l'Allemagne fait également partie de cette catégorie désormais, c'est-à-dire qu'elle maintient une résistance active à la suppression active des droits ; et je dois absolument voir la France aussi, pour la même raison.

    Nous sommes entrés dans un nouvel « ordre mondial », même si certains mystifient ou utilisent ce terme à mauvais escient, et je dirais que ce nouvel indicateur le définit.

    Il semble que le « confinement » et la tentative mondiale des malfaiteurs de 2020-2025 de nous asservir tous (il leur faudrait vraiment un nom historique, un peu plus descriptif que « la Cabale ») aient eu pour effet soit d'aiguiser la volonté nationale des citoyens et d'affiner leur volonté de diriger leur nation, de protéger leurs droits et de défendre leur culture, soit, dans d'autres pays, d'atteindre un point de bascule : la répression a été si intense que les citoyens ont été brisés, et la plupart ont perdu la volonté ou même la compréhension de se battre.

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  23. À cet égard, le monde ayant été reclassé en nations libres, vigilantes et agressives, nations récemment brisées et nations engagées dans une lutte acharnée, dangereuse et acharnée pour la liberté, nous ne sommes définitivement plus dans l'ordre mondial d'avant 2020.

    Les pays en bas de la liste des pays en matière de liberté, si on les révisait correctement, auraient évolué. On voit la Grande-Bretagne et le Canada dégringoler du classement, gagnant en intensité à mesure qu'ils chutent. Nous constatons que l'Inde progresse rapidement, mettant en avant sa liberté de la presse et sa démocratie solide auprès du reste du monde ; la Hongrie fait preuve de courage en défendant sa culture et sa langue. Avec l'élection du président Trump, l'Amérique retrouve le sommet, défendant ses frontières et sa souveraineté et affirmant, au moins en principe, son rejet de la censure d'État.

    De nos jours, de nombreux pays affichent une meilleure situation en matière de liberté que l'Angleterre, berceau de la liberté d'expression au XVIe siècle. Nombre d'entre eux font même mieux que la France, berceau de la liberté au XVIIIe siècle ; Marine Le Pen, cheffe du Parti national, nationaliste et populiste français, et favorite pour l'élection présidentielle de 2027, a été reconnue coupable de détournement de fonds – des critiques comme le président Trump affirment, par la voie judiciaire, avoir « utilisé la guerre juridique pour museler la liberté d'expression » – et se voit interdire de se présenter aux élections, comme par hasard, pendant cinq ans.

    La Russie réprimande l'Occident ces derniers temps, et ce, à juste titre. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, représentant une nation présentée par l'Occident pendant des décennies comme un État autocratique, s'est élevé contre l'effondrement des normes démocratiques en France et a élargi la critique du Kremlin à l'Europe dans son ensemble : « De plus en plus de capitales européennes s'engagent sur la voie de la violation des normes démocratiques », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, aux journalistes, interrogé sur la décision.

    « Nous n'intervenons pas dans les affaires intérieures de la France et ne l'avons jamais fait », a ajouté Peskov. « Mais notre observation des capitales européennes montre qu'elles n'hésitent pas à transgresser les limites de la démocratie dans le processus politique.»

    Les revers de fortune et du destin se poursuivent. Les nations dont nous avons toujours pensé qu'elles défendraient la liberté, les anciennes alliances, l'ordre mondial d'après 1919 et la Conférence de paix de Paris, cet ordre mondial qui a créé des alliés à partir des nations occidentales dans un format proto-Société des Nations cherchant à imposer une transparence civilisée et une diplomatie ouverte à des États-nations qui maintenaient jusque-là un « équilibre des pouvoirs » précaire par la menace de la répression et de la force – un ordre mondial qui a conduit à l'adoption par l'Europe de la Convention européenne des droits de l'homme de 1950 – ou « Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales » – ont pour la plupart cédé.

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  24. Ce traité garantissait tout ce que nous pourrions appeler « l'Occident » pour les soixante-dix années suivantes, des élections libres et équitables à la liberté d'expression, en passant par l'absence de discrimination légale. (Soit dit en passant, il est assez difficile de localiser et de partager un texte numérique de la Convention des droits de l'homme de 1950. Même sur le site web de la CEDH, il faut cliquer un peu partout pour finalement trouver une version PFD étrangement photocopiée, dont les citations ne peuvent être partagées. Étrange, ou pas de nos jours, pour un texte qui devrait être encadré dans chaque salle de classe en Europe. Si son langage des « libertés fondamentales » était effectivement présent dans chaque salle de classe, salle de rédaction et amphithéâtre universitaire d'Europe, au lieu d'être enfoui dans un étrange PDF sur un site web aride, nous ne pourrions même pas voir les débats absurdes, et encore moins la propagation des revendications contre la liberté d'expression et les atteintes aux droits absolus que l'Europe entretient, car chacun sur ce continent et en Grande-Bretagne saurait qu'elles sont illégales.) Mais aujourd'hui, les dirigeants des grandes nations occidentales l'ignorent tout simplement. Le déploiement du harcèlement des critiques britanniques de la tyrannie en 2025 et le ciblage de la parole des Britanniques pour les pétrifier étaient bien sûr au cœur du plan 2020-2025.

    La Grande-Bretagne est aujourd'hui un exemple de démocratie en déclin. De nouvelles initiatives sapent les libertés britanniques de tous bords, à commencer par la liberté d'expression ; il est clair que la voie à l'acceptation de cette situation par la population a été tracée par les confinements de 2020-2022, si draconiens qu'à un moment donné, les Britanniques n'étaient autorisés à sortir qu'une heure par jour. À un autre moment, pendant les confinements britanniques, plus de six personnes se sont vu interdire de se réunir, dans une des versions les plus absurdes de la pensée magique, conçue non pas pour avoir un sens épidémiologique, mais pour habituer le public britannique à des décisions étatiques arbitraires et restrictives.

    La police britannique a donc inventé son propre « code de déontologie » – et non une loi – qui lui permet d'arrêter et d'inculper les personnes dont les opinions sur les réseaux sociaux « suscitent… » des inquiétudes.

    Mais ce « code de déontologie » contredit et vide de sa substance les dispositions relatives à la liberté d'expression de la Convention européenne des droits de l'homme, ainsi qu'une loi britannique fondamentale : l'article 10 de la loi sur les droits de l'homme de 1998 : « Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.»

    Le Canada, nation du Commonwealth, se situe plus loin sur cette chronologie, et le nouveau bas niveau du Canada (égalé seulement par l'Australie) est clairement celui où « nos seigneurs maléfiques », comme certains de mes amis les plus spirituels aiment appeler « M. Global », souhaitent conduire la Grande-Bretagne.

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  25. Comme je vous l'ai décrit dans mon dernier essai, j'ai pris l'avion pour Toronto, rempli d'immigrants illégaux fuyant l'application par le président Trump des lois fondamentales sur l'immigration aux États-Unis. Ces immigrants, pour la plupart illégaux, à en juger par le temps que j'ai passé à attendre mon tour pour entrer aux États-Unis, ont franchi sans hésiter les douanes et la police des frontières, expliquant à peine aux agents qui cherchaient à les interroger qui les attendait ou quels moyens de soutien, autres que les prestations canadiennes, ils pouvaient leur fournir. Les agents semblaient frustrés et furieux. Ils ne pouvaient rien faire pour accomplir leur travail.

    Monter dans la voiture qui m'a récupéré à l'aéroport m'a offert une expérience vertigineuse d'une nation occidentale post-liberté, autrefois libre. Le tableau de bord a émis un cri strident alors que nous quittions l'aéroport. Le chauffeur m'a expliqué que ce cri est émis par « le système » lorsqu'il sort du « secteur » de l'aéroport. J'ai bien sûr pensé aux villes à quinze minutes.

    Il m'a ensuite expliqué, alors que nous ralentissions avant un feu rouge, que le système lui infligeait automatiquement une amende s'il ne s'arrêtait pas – s'il osait traverser au feu jaune. Il a également expliqué qu'il nous enregistrait « par mesure de sécurité ». Il a semblé se reprendre alors que je lui demandais si toute cette surveillance était intrusive. Il avait commencé à acquiescer, mais se rappelant ensuite, me semble-t-il, qu'il était lui aussi enregistré, le conducteur a dit lentement et clairement que c'était un très bon système, car il « réduisait les coûts d'assurance ».

    J'ai pensé au fait que les principaux médias canadiens sont financés par l'État, et j'imaginais bien que ce type de surveillance continue serait mis en place sous prétexte qu'il vise à « réduire les coûts d'assurance ».

    Je n'ai pas su dire s'il s'agissait d'une entreprise privée qui plaçait sa voiture sur écoute pour contrôler ses conducteurs, ou d'une obligation gouvernementale ou d'assurance.

    Quoi qu'il en soit, en mars 2025, le gouvernement canadien a ajouté dix nouvelles formes de suivi ou de surveillance « Internet des objets » aux véhicules des citoyens, dont la biométrie par téléphone intelligent, dans le cadre d'un programme pilote visant à « dissuader le vol ». Il s'agit d'un ensemble de technologies qui permettront également de suivre les véhicules des citoyens. Parmi les nouvelles formes de suivi, on compte :

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  26. « Sécurité par téléphone intelligent utilisant la biométrie et la détection de proximité ;

    Dispositifs de verrouillage utilisant la surveillance par intelligence artificielle (IA) ;

    Système de remplacement du relais de démarrage d'un véhicule ;

    Authentification par empreinte digitale ;

    Antivols de volant alimentés par IA ;

    Capteurs avec reconnaissance gestuelle ;

    Protecteur de porte-clés intelligent ; et

    Dispositifs miniaturisés permettant de désactiver les composants du véhicule en cas de vol. »

    Je crois que cette torture psychologique prolongée a tellement traumatisé la population britannique en général qu'elle a eu peu de volonté ni de présence d'esprit pour lutter contre les nouvelles restrictions mises en place, sans prétexte de « pandémie ».

    La Grande-Bretagne s'effondre si vite que les rares voix qui subsistent pour défendre le journalisme, la liberté d'expression et d'autres libertés sont stupéfaites. (Je partagerai demain quelques-unes des histoires des plus courageux et des plus nobles de ces derniers combattants pour une Grande-Bretagne libre.)

    Depuis le Bureau ovale, le vice-président Vance a averti le Premier ministre Kier Starmer, dirigeant de notre allié traditionnel, la Grande-Bretagne, devant le monde entier : sans le rétablissement de la liberté d'expression par la Grande-Bretagne, il n'y aura pas de libre-échange : « Vance] a déclaré : "Nous savons également qu'il y a eu des atteintes à la liberté d'expression qui appartiennent non seulement aux Britanniques – bien sûr, ce que les Britanniques font dans leur propre pays leur appartient – ​​​​mais aussi les entreprises technologiques américaines et, par extension, les citoyens américains." » (Cela a donné lieu à la vérification des faits la plus nulle que j'aie vue depuis un moment : le titre « Vérification des faits : Oui, la liberté d'expression existe au Royaume-Uni », sur le site Euronews.com. L'article réaffirmait à juste titre que la liberté d'expression est inscrite dans les lois britanniques, mais omettait d'aborder le fait que le pays viole ses propres lois sur la liberté d'expression.)

    The Times — où j'étais chroniqueur, mais un journal qui, à ma connaissance, Je sais, et à ce jour, je continue de m'« annuler » : les informations selon lesquelles « la police procède à 30 arrestations par jour pour propos offensants » omettent, dans ce qui constituerait une grave erreur éditoriale dans un contexte journalistique raisonnable, de mettre le mot « offensant » entre guillemets. Offensant pour qui ? Les journalistes et les éditeurs britanniques, dans leur immense majorité, ne résistent pas à la censure généralisée et à la répression généralisée de la liberté d'expression ; et ces arrestations, quant à elles, visent à créer de nouveaux parias et à insuffler de nouvelles formes de peur abjecte au simple usage de la langue anglaise, en public.

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  27. Allison Pearson du Telegraph vient de publier un article, vu par deux millions de personnes depuis sa publication hier, sur une Britannique nommée Lucy Connolly, qui s'est vu refuser une libération sous prudence et qui, comme l'a indiqué Pearson, est « prisonnée pendant deux ans pour un tweet ».

    Pearson est l'une des dernières chroniqueuses et journalistes d'opinion britanniques à défendre les libertés d'expression et de pensée historique du Royaume-Uni. Elle m'a expliqué récemment qu'en 2022, la police britannique avait proposé une nouvelle catégorie d'« infraction », baptisée « Incidents haineux non criminels ». En 2023, le Parlement a approuvé ce « code de conduite ».

    Le site web Gov.uk explique plus en détail :

    « 7. Les incidents haineux non criminels (NCHI) sont enregistrés par la police afin de recueillir des informations sur les « incidents haineux » susceptibles de dégénérer en préjudices plus graves ou d'aggraver les tensions au sein de la communauté, mais qui ne constituent pas une infraction pénale […].» Autrement dit, il s'agit du « pré-crime » d'Orwell : il n'est pas nécessaire qu'un crime soit commis pour que la police intervienne. L'infraction peut également être totalement subjective, aux yeux de l'observateur :

    « 11. Un incident haineux non criminel (NCHI) désigne un incident ou un incident présumé impliquant ou présumé impliquer un acte d'une personne (« le sujet ») perçu par une personne autre que le sujet comme motivé, en tout ou en partie, par l'hostilité ou les préjugés envers des personnes présentant une caractéristique particulière. » De plus, il n'est pas nécessaire de causer des dommages ou un préjudice mesurables à la personne qui porte plainte pour être considérée comme ayant commis cette infraction non criminelle : il suffit d'être à l'origine d'un « incident » qui « perturbe » la « qualité de vie » d'une personne — ce qui peut signifier une atteinte à ses sentiments — ou même un événement aussi léger que « suscitant des inquiétudes » :

    « 14. Un « incident » est défini dans la Norme nationale pour l'enregistrement des incidents (NSIR) comme « un événement ou une circonstance unique et distinct qui perturbe la qualité de vie d'un individu, d'un groupe ou d'une communauté ou qui les préoccupe ». La NSIR couvre tous les incidents criminels et non criminels. »

    Vous comprenez ce que cela signifie ; si ces nouvelles modalités sont commercialisées, et encore moins « imposées » par le gouvernement canadien, cela signifie que l’État, qui a déboursé en février 2022 les « camionneurs de la liberté » qui protestaient contre la vaccination obligatoire, peut simplement éteindre votre voiture à distance ; il peut, par exemple, rendre vos empreintes digitales « méconnaissables » par le système, vous empêchant ainsi d’ouvrir, et encore moins de démarrer, votre propre véhicule.

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  28. Nous sommes arrivés à Toronto par des banlieues dont je me souvenais, après y être allés de temps à autre depuis 1993, pour la publication de mon premier livre, Le Mythe de la beauté, comme étant des champs ouverts au bord du lac Ontario, parsemés d’immeubles résidentiels. Toronto elle-même, je me souvenais d’une ville à échelle humaine, accueillante sur le plan architectural et culturel, et magnifiquement composée de rues bordées de maisons de ville en pierre grise du XIXe siècle, entrecoupées d’immeubles résidentiels de trois ou quatre étages de la même époque. Même au centre-ville, me souvenais-je, on trouvait des maisons de ville victoriennes, malgré la présence d'imposants gratte-ciel modernes. Je me souvenais des ruelles où des boutiques de yaourts, des restaurants proposant une cuisine ethnique variée et des commerces familiaux comme des quincailleries et des magasins de chaussures attiraient les passants. Des trottoirs arborés et ombragés entouraient l'Université de Toronto, où j'avais donné une conférence dans les années 1990. L'hôtel désuet où mon éditeur m'avait hébergée avait une élégance surannée. J'avais été étonné qu'un jeune auteur débutant de 26 ans soit hébergé dans un endroit avec d'épaisses nappes en lin blanc dans la salle à manger, des traversins rouges brodés sur les lits, une piscine au sous-sol et un service en chambre. Je n'avais jamais rien vu de tel. Je me souviens encore de mon attachée de presse, une charmante et gentille jeune femme aux cheveux blonds courts et à la coupe garçonne, animée des mêmes idéaux ambitieux que moi à l'époque, et de sa façon impressionnante de passer de l'anglais au français, puis à l'anglais, me guidant de station de radio en émission de télévision ; la guerre franco-anglophone battait son plein.

    Je me souviens surtout avec une profonde affection des Canadiens qui composaient mon public : des gens sensés, honnêtes, raisonnables, curieux et courtois, engagés dans leurs idées. Ils étaient libéraux, au sens le plus pur et le plus ancien du terme : ils croyaient au dialogue ouvert et à l'amélioration de la société. Ils accueillaient un grand nombre d'immigrants dans une société encore majoritairement née au Canada, avec générosité et la conviction que quiconque débarquait sur ces terres pouvait s'intégrer à cette culture canadienne bien définie, fière et bien ancrée, aux valeurs distinctives et admirables. Ils ignoraient que l'immigration allait dévorer cette belle culture.

    À l'époque, je plaisantais sur scène en disant que le Canada était une version plus sensée de l'Amérique. J'avais le sentiment que le Canada partageait bon nombre de nos valeurs de démocratie, de liberté et de liberté d'expression, mais sans la frénésie, la distraction, la division et l'extrémisme qui pouvaient ternir les relations civiles aux États-Unis.

    Les banlieues ouvertes et verdoyantes de la ville dont je me souvenais avaient disparu. À leur place se dressaient désormais d'immenses ensembles résidentiels modernes, hauts de plusieurs dizaines d'étages. Les uns après les autres, ils occupaient l'espace, de l'aéroport jusqu'à la périphérie du centre-ville, en volumes immenses, suggérant un manque d'efforts pour concevoir un paysage urbain esthétique, voire à échelle humaine.

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  29. Les lumières étaient éteintes dans de nombreux appartements. Mon chauffeur m'a expliqué que des investisseurs étrangers avaient construit ces structures essentiellement pour blanchir de l'argent, mais que beaucoup d'appartements étaient vides, car il était plus rentable pour les investisseurs de les maintenir ainsi – une sorte d'échappatoire fiscale – que de les remplir de locataires. Ce n'était là qu'une explication personnelle, mais j'ai ressenti une étrange impression de manque de vie dans ces immeubles.

    Nous sommes arrivés au centre-ville de Toronto. J'étais incapable de reconnaître la plupart des lieux. Un immense surdéveloppement avait même affecté les charmantes rues du centre-ville. Les maisons de ville en pierre aux toits mansardés avaient presque complètement disparu ; des monstruosités abruptes et insignifiantes se dressaient désormais. Tout, maintenant, soupirais-je intérieurement, était Houston.

    Le lendemain, je devais prendre la parole lors d'un événement pour la liberté médicale, organisé par Trinity Productions, au sujet des documents Pfizer et des menaces à la liberté en général. J'étais jumelée à l'éminente podcasteuse et commentatrice canadienne Trish Wood.

    Je l'avais rencontrée par téléphone mi-2020, lors de l'une de mes premières conversations publiques critiquant les idées reçues sur le confinement ; nous avions décrit, avec la reconnaissance bienveillante de nos compagnons de souffrance, à quel point ce confinement était injuste et bizarre.

    Mes hôtes, Mme Wood, quelques invités et moi-même avions dîné, la veille de l'événement, dans un petit restaurant français d'une rue latérale du centre-ville. Avec ses murs en terre cuite et ses serveurs en noir, l'éclairage tamisé au centre des tables, ses martinis glacés et ses affiches du Paris des années 1920 – avec ses tables d'hommes et de femmes aux cheveux gris, habillés avec soin, âgés de 50, 60 et 70 ans, discutant intensément dans le bourdonnement sourd et excité propre aux bons petits restaurants de quartier –, cet endroit semblait délicieusement archaïque, comme une capsule du « temps d'avant ».

    J'ai été surpris d'apprendre par le propriétaire – un homme d'origine roumaine qui ressemblait à tous les hommes du côté Wolf de ma famille, eux aussi roumains – que sa mère, une survivante de l'Holocauste nonagénaire, s'était élevée contre eux pendant les confinements au Canada. Elle avait décelé les signes de la dérive totalitaire. J'ai ressenti un frisson, à l'idée qu'un petit feu brûlait dans ce restaurant civilisé, dont le propriétaire était issu d'une femme aux valeurs civilisées ; et pourtant, à l'extérieur, la nation était méconnaissable par rapport à ce qu'elle était quatre ans plus tôt. Les bureaucrates féroces, que la mère du propriétaire du bistro avait immédiatement reconnus, avaient gagné, tout comme en 1933.

    Le lendemain, notre événement se tenait dans une grande salle de banquet d'un centre de villégiature clinquant, un peu à l'extérieur du centre-ville ; j'avais entendu dire que très peu de lieux à Toronto accepteraient un rassemblement comme le nôtre – oh ! Un événement sur la liberté médicale – à ne pas manquer. Lieu.

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  30. Les gens ont raconté des histoires d'ostracisme, de perte d'emploi et de revenus, de perte d'amis, de famille et de statut. J'ai été présenté à certains des dirigeants des Freedom Truckers. Eux aussi ont décrit leur « définancement », ou leur crainte de l'être ; la perte de leurs permis, la perte de leurs moyens de subsistance.

    J'étais assise tranquillement sur scène face à Mme Wood, mon micro inutilisable sur mes genoux, et j'écoutais ces hommes – visiblement travailleurs, en jeans et chemises de flanelle, le visage brûlé par le vent et le soleil, profondément ridé par le stress ou la détermination, ou les deux.

    Je me suis dit : je n'ai vraiment rien à dire.

    Je devrais aller dans le public maintenant, m'asseoir et écouter ; ces hommes devraient être sur scène.

    Ce que j'avais fait et ce que je savais me semblait si insignifiant comparé à ce qu'ils avaient fait et savaient. J'ai réalisé que j'étais en présence de héros imposants ; des héros historiques de la Seconde Guerre mondiale, dignes de la Purple Heart, capables de sortir des gens d'immeubles en feu. Si l'histoire avait un sens, me suis-je dit, les hommes brûlés par le soleil qui s'exprimaient dans cette salle de conférence auraient un jour leur propre chapitre dans les livres d'histoire du Canada.

    Ce que j'essaie de décrire dans cette communauté La leçon de vie de ces gens, dont beaucoup avaient fait une heure ou deux de route pour être présents, non seulement avec moi et Mme Wood, mais aussi entre eux, est la suivante : ces gens ont compris que les forces qui s’étaient massées contre eux et leurs valeurs au Canada étaient désormais si immenses et si institutionnalisées qu’il était extrêmement improbable qu’ils reconquièrent leur nation de leur vivant.

    Mais ils ont continué à parler, à s’unir et à se battre, simplement parce que c’est ce que doivent faire les gens honnêtes – les Canadiens honnêtes qui aiment leur pays et s’en souviennent, et qui ne veulent pas, ne peuvent pas, l’abandonner, même s’il semble presque disparu.

    Jusqu’à leur mort.

    Voilà ce que j'ai ressenti.

    Une bataille désespérée, menée à ce stade par simple respect de soi et par un amour fantomatique pour un pays peut-être déjà disparu.

    Je suis rentrée chez moi le lendemain, profondément triste. J'ai traversé une frontière pour rejoindre un pays où les patriotes avaient réellement gagné – ils étaient en train de refaire renaître leur République.

    Je ne veux manquer de respect ni au Canada ni aux courageux Canadiens que j'ai rencontrés ; mais c'était comme passer de la nuit à la lumière du jour ; du désespoir à l'espoir. Du deuil à la reconstruction.

    J'ai vu le Canada comme un pays qui, sur le plan de la liberté – le sang qui vivifie les veines des nations – est déjà mort. Je suis désolée si je vous offense en disant cela. Je dois dire la vérité sur ce que j'ai vu.

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  31. En d'autres termes, je n'ai vu aucune façon de suggérer aux Canadiens comment agir. Je n'ai vu aucun recours clair pour les Canadiens dans leur lutte pour recouvrer leurs libertés ; Je ne voyais aucun moyen pour eux de contraindre leur gouvernement à la transparence ; je ne voyais aucun moyen de mettre fin aux mauvaises lois ou d’en adopter de bonnes ; je n’avais entendu parler d’aucun droit fondamental qui aurait pu être préservé et permettre aux citoyens de s’exprimer en toute impunité.

    Un sentiment de vulnérabilité régnait au Canada, car il n’existait aucune défense contre la prochaine attaque de l’État, quelle qu’en soit la nature, contre la population.

    Il était pratiquement impossible de percer la bulle de la propagande médiatique d’État.

    En 2024, le Canada a cherché à introduire une « Loi sur les préjudices en ligne ». Il s'agissait d'un « nouveau cadre législatif et réglementaire » — notez le libellé, identique à celui du nouveau « code de pratique » réglementaire du Royaume-Uni — qui prévoyait :

    « 1. Des modifications au Code criminel afin de mieux lutter contre les crimes haineux et la propagande haineuse ;

    Des modifications à la Loi canadienne sur les droits de la personne afin de permettre aux particuliers et aux groupes de porter plainte contre les personnes qui publient des discours haineux en ligne. »

    Cela permettrait exactement ce qui se passe en Grande-Bretagne : des arrestations sur la base de plaintes anonymes déposées par quiconque – ou peut-être par personne – s'opposant à ce qu'il considère subjectivement comme des « discours haineux en ligne ».

    L'Atlantic rapportait : « La Loi sur les préjudices en ligne [canadienne] stipule que toute personne qui prône ou encourage le génocide est passible d'une peine d'emprisonnement à perpétuité. » Elle définit les « crimes haineux » de moindre gravité comme incluant les propos en ligne « susceptibles d'inciter à la haine ou à la diffamation » sur la base de la race, de la religion, du sexe ou d'autres critères protégés. Si une personne craint d'être victime d'un crime haineux, elle peut se présenter devant un juge, qui peut convoquer l'accusé préventif pour une sorte de procès préalable. Si le juge estime que la crainte est fondée, l'accusé doit prendre un engagement. Il s'agit exactement du même « pré-crime » orwellien que celui qui figure aujourd'hui dans le cadre réglementaire du Royaume-Uni.

    Comme s'il existait un scénario mondial.

    La Loi sur les préjudices en ligne a été adoptée en première lecture au Parlement canadien l'année dernière. Elle n'a pas suivi le processus législatif, mais seulement parce que le Parlement a été « prorogé » ou suspendu (un phénomène qui se produit aujourd'hui – et qui se produit d'ailleurs en Grande-Bretagne et en Australie depuis 2020 – et qui n'arrivait jamais dans les démocraties, sauf dans un pays en guerre civile).

    Comme cette harceleuse dérangée qui bondit hors de son bain, pas encore morte, à la fin du film Liaison fatale, le projet de loi sur les préjudices en ligne fait son retour.

    Amnesty International, dans une caricature honteuse d'elle-même, se réjouit que la scission du projet de loi en deux permette désormais au gouvernement de créer une « Commission de la sécurité numérique ». Le langage d’Amnesty International regorge de tous les clichés utilisés pour prétendre que la censure est acceptable et que cette opinion est de la « violence numérique » :

    Amnistie internationale Canada salue le projet du gouvernement fédéral de scinder le projet de loi C-63, la Loi sur les préjudices en ligne, en deux textes distincts. Les parties 1 et 4, qui représentent la Loi sur les préjudices en ligne, feront l'objet d'une étude préliminaire au Comité de la justice du Parlement cette semaine. […]

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  32. « Il s'agit d'un pas dans la bonne direction pour une élaboration de politiques réfléchie et un débat démocratique solide », a déclaré Ketty Nivyabandi, secrétaire générale de la section anglophone d'Amnistie internationale Canada. « La séparation des sections controversées permettra aux parlementaires de lutter plus facilement contre les préjudices en ligne d'une manière qui respecte les droits de la personne tout en protégeant la liberté d'expression et en prévenant les conséquences imprévues. » [Italiques de moi]

    En savoir plus : Le Canada doit mettre fin à la violence fondée sur le genre facilitée par la technologie [NO : Italiques de moi. Il s’agit d’exprimer une pensée sur les médias sociaux]

    Le projet de loi C-63 prévoyait initialement des modifications importantes et controversées au Code criminel et à la Loi canadienne sur les droits de la personne. Des critiques ont affirmé que certaines des modifications proposées, si elles étaient adoptées, pourraient affecter de manière disproportionnée la liberté d’expression sans réduire efficacement la haine en ligne. [Italiques de moi]. […] En légiférant séparément sur ces éléments, le Parlement peut également se concentrer sur la tâche essentielle de créer une Commission de la sécurité numérique transparente, responsable et efficace pour atténuer les préjudices en ligne, en particulier ceux qui touchent les jeunes, les femmes, les personnes 2ELGBTQQIA+ [NO : Italiques de moi. De quoi s’agit-il ?], les personnes noires, autochtones et racialisées [NO : Italiques de moi. Que sont les « personnes racialisées » ?], les personnes handicapées et d’autres groupes méritant l’équité. [NO : Italiques de moi. Seuls certains groupes méritent-ils l'« équité » ? Qu'est-ce que l'« équité » ?]

    Amnistie internationale Canada insiste sur la nécessité d'une consultation publique large et inclusive afin de garantir que la législation qui en résulte reflète la diversité des points de vue de tous les Canadiens. [NW : C'est moi qui souligne. Au lieu de défendre les droits innés à la liberté de parole et d'expression de tous les Canadiens.]

    « Nous sommes impatients de collaborer avec le gouvernement et les autres parties prenantes à mesure que ce processus progresse », a déclaré Nivyabandi. « Il est essentiel que le Canada prenne les bonnes décisions : pour la sécurité des personnes lésées en ligne [NW : Sauf menaces de violence et diffamation, il ne s'agit que de mots et d'opinions, pas de “préjudices”] et pour la protection de toutes les personnes dont les droits sont affectés.»

    Il m'est difficile de lire un communiqué de presse comme celui-ci, émanant d'une organisation de défense des droits autrefois prestigieuse comme Amnistie internationale, car elle prône la tyrannie, alors qu'il s'agit d'une tyrannie déguisée en cheveux bleus et Birkenstocks, et se présentant comme « racisée », quelle qu'elle soit.

    La lecture du texte ci-dessus me rend malade, en partie à cause de ses mensonges et de son hypocrisie qui donnent mal au crâne, mais aussi parce qu'il démontre qu'il ne reste plus personne – ni cavalerie, ni aide, ni organisation, ni parti, ni institution – au Canada dont le rôle est de défendre le droit à la liberté d'expression consacré par la Charte canadienne des droits et libertés.

    La Charte canadienne des droits et libertés garantit ceci :

    « 2 Chacun a les libertés fondamentales suivantes :

    a) la liberté de conscience et de religion ;

    b) la liberté de pensée, de croyance, d'opinion et d'expression, y compris la liberté de la presse et des autres moyens de communication ;

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  33. c) la liberté de réunion pacifique ; et

    d) la liberté d'association. »

    Amnistie Internationale, ainsi que des députés canadiens et une grande partie de la presse canadienne, en ont fini avec tout cela.

    Légiférer sur la tyrannie, même si une loi tyrannique n'a pas encore été adoptée, comme au Canada, ou adopter de nouveaux « codes de pratique » draconiens, comme au Royaume-Uni, ne sont pas des actes neutres. Ils touchent tout le monde.

    L'ombre de ce « code de pratique » britannique, ou de ce projet de loi canadien, réduit au silence et effraie les gens. En Angleterre, ce « code de pratique » envoie déjà des gens en prison.

    Voilà comment ils font ; c'est ainsi qu'ils assassinent de grandes nations.

    Reconnaître les signes des temps.

    J'ai le sentiment que l'Angleterre peut encore riposter.

    Mais pour être terriblement et amèrement honnête, j'ai le sentiment, sauf miracle, que le Canada est brisé ; réduit en poussière en tant que puissance libre ; perdu.

    Le Canada et l'Australie ont été les tests des mondialistes pour tuer les démocraties. Le Canada est si près de disparaître maintenant, et dans si peu de temps, l'histoire en fera une leçon.

    Puisse-t-on me prouver le contraire.

    Je prierai pour le Canada et pour mes courageux amis canadiens ; seuls, ébranlés et isolés comme ils le sont, diligents, honnêtes et engagés ; on leur a dit qu'ils étaient fous, luttant contre toute attente.

    Priez aussi, si vous le voulez bien, pour le Canada, si meurtri, maintenu sous assistance respiratoire ; et aussi, s'il vous plaît, priez pour les nations qui sont encore au cœur du combat.

    https://naomiwolf.substack.com/p/a-new-map-of-the-world

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    Réponses
    1. (...) l'Inde progresse rapidement, mettant en avant sa liberté de la presse et sa démocratie solide auprès du reste du monde ; (...)

      La Démocratie c'est 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. Il n'existe au monde qu'un seul pays en Démocratie !! La Suisse. En Suisse les suisses proposent eux-mêmes LEURS lois et votent eux-mêmes LEURS lois. C'est toute la différence entre la dictature monarchique, républicaine ou impériale où ce sont des tuteurs qui votent eux-mêmes leurs lois sans demander l'avis du Peuple.

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  34. La Grande Invasion Mondialiste : Ces Titans n’ont qu’un seul objectif : la domination de l’humanité par la dictature


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 8 AVRIL 2025 - 5H25
    Par Madge Waddy,


    La moitié du monde développé s’achemine allègrement vers l’autoritarisme. En quête de changement, les citoyens votent contre leurs intérêts et laissent les institutions démocratiques emblématiques se dégrader.

    Il y a encore de la place pour la rédemption, mais l’espoir n’est pas une stratégie. Pour empêcher la montée du fascisme, il faut utiliser les droits mêmes qui sont menacés : le droit à la liberté d’expression, le droit de réunion, le droit de vote. En théorie, le droit de porter des armes est également censé empêcher la montée de la tyrannie. Malheureusement, une part importante de la société est trop occupée à regarder Netflix ou à vénérer de faux dieux pour empêcher la disparition de la démocratie.

    Comme nous l’avons vu en France ces derniers mois, nous pouvons utiliser ces droits à notre avantage. Que nous choisissions ou non de le faire reste à déterminer. Malheureusement, une fois le seuil de l'autoritarisme franchi, la rédemption n'est plus une stratégie gagnante.

    Il est trop tôt pour savoir de quoi l'avenir sera fait, mais dans l'article suivant, je tente de montrer à quoi ressemble le quotidien sous une dictature et comment y survivre.

    « Chaque jour, à la Gestapo, je voyais comment des gens étaient brisés par la terreur. J'ai moi-même vécu la façon dont on se faisait broyer par cette machine. C'est ce qui était monstrueux. On n'était plus humain.»

    – Victor Klemperer, extrait de son journal « Je témoignerai : Journal des années nazies »

    La vie sous un régime autoritaire
    Les gouvernements autoritaires gouvernent par la peur. Une surveillance généralisée, descendante et locale, est essentielle pour maintenir la population sur le qui-vive.

    L'État de surveillance nord-coréen est parmi les plus extrêmes au monde. Le régime emploie un vaste réseau d'informateurs, et même les conversations privées ne sont pas à l'abri d'un examen minutieux. Les citoyens sont tenus d'assister à des séances d'autocritique hebdomadaires, au cours desquelles ils doivent confesser toute déloyauté perçue. Cette surveillance constante garantit que toute opposition – ainsi que toute la famille du dissident – ​​est rapidement identifiée et neutralisée. La peur de l'emprisonnement, de la torture ou de l'exécution est omniprésente, car même les infractions mineures peuvent entraîner de lourdes sanctions.

    Dans l'Allemagne nazie, la police secrète a instauré une culture de la peur en encourageant les citoyens à signaler toute activité suspecte, même celle de leurs proches. Cette tactique a efficacement dressé les gens les uns contre les autres et a assuré un niveau élevé de conformité aux politiques du régime. Comme l'a raconté un citoyen allemand : « Nous vivions dans la peur d'être dénoncés par nos voisins, nos amis, et même nos propres enfants. »

    « Nous étions tous habitués à vivre dans un état de peur permanente, et c'est pourquoi nous manquions toujours autant de temps. La peur est l'activité la plus chronophage qui soit. »

    – Nadejda Mandelstam, extrait de « Hope Against Hope »

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  35. Un ingrédient clé de la peur est l'aliénation, réelle ou perçue. Pour les régimes autoritaires, l'aliénation était préétablie par des moyens sociaux (avec la menace de l'isolement physique). L'aliénation est fabriquée par une combinaison de censure implacable et de propagande, laissant les dissidents croire qu'ils sont seuls. C'est pourquoi le contrôle des médias est essentiel au maintien d'une dictature.

    L'Union soviétique, par exemple, contrôlait étroitement la circulation de l'information via les médias d'État. Le journalisme indépendant était quasiment inexistant, et le gouvernement diffusait de la propagande pour façonner l'opinion publique. Les journalistes et écrivains indépendants qui osaient remettre en question le discours officiel risquaient l'emprisonnement, voire pire. La propagande du régime soviétique glorifiait l'État et ses dirigeants tout en diabolisant les ennemis perçus. Un citoyen soviétique a décrit l'omniprésence de la propagande : « Partout où nous regardions, nous voyions la version de la réalité de l'État. Impossible d'y échapper.»

    De même, le Grand Pare-feu chinois restreint l'accès à l'information provenant de l'extérieur du pays, garantissant que la population n'est exposée qu'aux discours approuvés par l'État. Les plateformes de médias sociaux sont étroitement surveillées et tout contenu jugé subversif est rapidement supprimé. Le Parti communiste chinois (PCC) utilise des algorithmes sophistiqués pour censurer la dissidence et promouvoir sa propagande, créant ainsi un environnement informationnel contrôlé. Cette censure omniprésente étouffe la dissidence et empêche la diffusion de points de vue alternatifs.

    La propagande est un outil puissant pour façonner la perception du public et maintenir le contrôle.

    Joseph Goebbels, sous le régime nazi, a déclaré :

    « Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous le répétez sans cesse, les gens finiront par y croire. Le mensonge ne peut être maintenu que le temps que l'État puisse protéger la population de ses conséquences politiques, économiques et/ou militaires. Il devient donc crucial pour l'État d'utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l'ennemi mortel du mensonge et, par extension, le plus grand ennemi de l'État.»

    La machine de propagande du régime nazi a glorifié Hitler et la race aryenne, tout en diabolisant les Juifs et d'autres minorités. Cette propagande incessante a créé un climat de haine et de peur, justifiant les atrocités du régime.

    Dans la Chine moderne, le PCC utilise la propagande pour promouvoir sa vision d'une société harmonieuse. Les médias d'État mettent en avant les réussites du parti et minimisent ses échecs. Des campagnes d'éducation patriotique inculquent la loyauté au parti dès le plus jeune âge, assurant ainsi un flux constant de citoyens dociles. Un citoyen chinois a expliqué : « Nous sommes constamment bombardés de messages sur la grandeur du parti. Il est difficile de voir la vérité à travers la propagande. »

    Si la censure et la propagande adoucissent et rallient la majorité de la population, les régimes autoritaires doivent néanmoins composer avec les dissidents. Disparitions, torture, détention, travail forcé et exécutions sommaires sont utilisés pour faire de ceux qui s'opposent ouvertement au gouvernement des exemples.

    En Chine, nous vivons dans une véritable prison. La surveillance est omniprésente, et c'est la peur de ce qui pourrait arriver qui nous maintient sous contrôle.

    – Ma Jian, extrait de « China Dream »

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  36. Dans la Russie moderne, les opposants politiques et les journalistes critiques envers le gouvernement sont victimes de harcèlement, d'emprisonnement, voire d'assassinat. Le meurtre de la journaliste Anna Politkovskaïa et l'empoisonnement du leader de l'opposition Alexeï Navalny rappellent brutalement jusqu'où le régime est prêt à aller pour maintenir son emprise. Un militant russe a déclaré : « S'exprimer contre le gouvernement est un jeu dangereux. Nombreux sont ceux qui ont payé le prix fort pour leur courage.»

    Stratégies de survie

    Les régimes autoritaires prospèrent grâce à la conformité. S'il est facile pour les guerriers du clavier de suggérer la révolte contre les dictateurs, la plupart des gens aspirent simplement à une vie paisible avec leur famille. Une fois l'autoritarisme installé, les citoyens feront tout ce qu'il faut pour que leur famille survive et évite le harcèlement. La survie est une réalité, pas une lâcheté.

    Le moyen le plus simple d'éviter la persécution est de se plier aux exigences du régime. Dans l'Allemagne nazie, de nombreux citoyens se conformaient ouvertement à l'idéologie nazie pour éviter les soupçons. Assister à des rassemblements organisés par l'État, arborer des symboles nazis et participer à des activités obligatoires étaient des moyens courants de démontrer leur loyauté. Cette conformité publique masquait souvent des dissensions privées, les individus cherchant à se protéger et à protéger leurs familles.

    Dans la Chine contemporaine, le respect des directives du PCC est essentiel pour éviter les ennuis. Le système de crédit social, qui récompense ou punit les citoyens en fonction de leur comportement, encourage la conformité. Un score de crédit social élevé peut conduire à de meilleures opportunités d'emploi et à un meilleur accès aux services, tandis qu'un score faible peut entraîner des restrictions et des sanctions. De nombreux citoyens chinois s'adaptent à ce système en gérant soigneusement leur présence en ligne et en évitant les activités susceptibles d'attirer l'attention négative.

    Survivre et prospérer dans un régime autoritaire exige souvent une compréhension fine du système et la capacité à en appréhender les complexités. Au Chili de Pinochet, certains individus ont réussi à maintenir leurs moyens de subsistance en s'alignant sur les politiques économiques du régime. Les entrepreneurs qui ont soutenu les réformes néolibérales ont bénéficié du soutien du régime, même s’ils s’opposaient en privé à sa brutalité.

    Dans la Russie moderne, les oligarques et les chefs d'entreprise qui entretiennent des liens étroits avec le Kremlin jouissent de privilèges importants. Ces individus naviguent dans le paysage politique en alignant leurs intérêts sur ceux de l'État, assurant ainsi leur prospérité durable. Cependant, cette relation est précaire, car perdre les faveurs du régime peut entraîner des répercussions rapides et graves.

    « En Corée du Nord, nous n'avions pas le luxe de penser par nous-mêmes. Le régime réfléchissait à notre place, et si nous résistions, nous étions punies. »

    – Yeonmi Park, extrait de « In Order to Live : A North Korean Girl’s Journey to Freedom »

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  37. Résistance

    Si la soumission est une stratégie de survie courante, certains individus résistent aux régimes autoritaires par des subterfuges. C'est très risqué, mais la volonté de riposter est puissante pour certains.

    À l'époque soviétique, des mouvements clandestins et des réseaux dissidents ont défié le contrôle de l'État. Le samizdat, copie et distribution clandestines de littérature interdite, a diffusé des points de vue alternatifs. Ces actes de résistance risqués ont permis à des individus d'exprimer leur désaccord et de nouer des liens avec des personnes partageant les mêmes idées.

    En Corée du Nord, des transfuges ont développé des méthodes ingénieuses pour faire entrer et sortir clandestinement des informations du pays. Des clés USB contenant des médias étrangers sont distribuées clandestinement, offrant un aperçu du monde extérieur. Ces actes de défiance sont dangereux, mais ils jouent un rôle crucial pour saper le contrôle du régime sur l'information.

    Rester en vie

    Face à une brutalité indicible, le conformisme est-il une forme de lâcheté ? Dans tout environnement autoritaire, on trouve des approbateurs, des dissidents et des conformistes. Malheureusement, il n'est pas réaliste d'espérer que tout le monde se rebelle contre l'oppression. Souvent, nous sommes contraints de nous adapter aux circonstances plutôt que de les corriger.

    En général, survivre dans une dictature exige de garder les yeux ouverts et de tourner la tête.

    Voici quelques idées pour vous fondre dans la masse, rester informé et garder la tête froide :

    1. Restez informé et éduqué

    Assurez-vous de consulter des informations provenant de sources fiables et variées, nationales et internationales. Cela vous permettra de rester informé de la situation réelle.

    2. Protégez votre confidentialité numérique

    Des outils comme Signal, ProtonMail et les services VPN peuvent vous aider à protéger vos communications en ligne de la surveillance. Évitez de partager des informations sensibles qui pourraient être utilisées contre vous. Partez du principe que tout ce que vous publiez en ligne est surveillé.

    3. Construisez un réseau de soutien

    Constituez-vous un réseau d'amis, de membres de votre famille et de collègues de confiance qui partagent vos préoccupations et peuvent vous offrir un soutien mutuel. Rejoignez des groupes de défense des droits de l'homme, des libertés civiles et de la démocratie. Ils peuvent vous apporter ressources et solidarité. Cependant, l'association avec de tels groupes pourrait créer des tensions entre vous et votre famille.

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  38. 4. Conservez vos documents

    Conservez vos documents importants (passeports, relevés bancaires, etc.) et vos archives dans des lieux numériques sécurisés et cryptés ou dans des lieux physiques sécurisés.

    5. Apprenez des techniques de survie

    Envisagez d'apprendre à vous protéger physiquement. Apprenez des compétences comme les premiers secours, la préparation aux situations d'urgence et la gestion des ressources. Réduisez votre dépendance à l'État pour les produits de première nécessité. Cultivez des aliments. Attention : en cas de pénurie, la nourriture sera confisquée pour nourrir la police et l'armée, car ces ressources sont essentielles au maintien du contrôle de l'État.

    6. Sécurisez vos finances

    Conservez certains de vos actifs sous des formes sûres et stables, moins sensibles au contrôle gouvernemental et faciles à transporter, comme les devises étrangères ou les métaux précieux. Si vous utilisez de l'or ou des portefeuilles numériques, vous pouvez transporter une somme importante dans un sac à dos. Conservez un fonds d'urgence dans un endroit sûr et accessible.

    7. Établissez une stratégie de sortie sécurisée

    Identifiez les destinations sûres potentielles et établissez un plan pour une sortie rapide et sécurisée si nécessaire. Assurez-vous que votre passeport et vos autres documents de voyage sont à jour. Établissez des contacts dans d'autres pays qui pourraient vous aider si vous devez partir rapidement.

    Rester véritablement invisible exige de se fondre dans la masse. Si votre objectif est de survivre paisiblement, vous devrez mettre de côté vos valeurs personnelles et faire ce qu'on attend de vous. Cela peut signifier participer à des rassemblements ou arborer un drapeau sur votre pelouse. Vous ne supportez pas cela ? Le non-conformisme est une forme de résistance, alors préparez-vous à être traité en conséquence.

    Ceci n'est pas un guide exhaustif. Ce ne sont que quelques pistes de réflexion pour vous préparer au pire. Utilisons nos voix et nos votes aujourd'hui pour éviter que cela n'arrive.

    Je n'aime pas autant écrire ceci que vous n'aimez pas le lire. Mais alors que de nombreux gouvernements à travers le monde sombrent dans la dictature, c’est cette triste réalité que nous devons prendre en compte.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/great-globalists-invasion-these-titans-have-only-one-goal-domination-human-race

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  39. Meta fin officiellement fin à son programme de fact-checking, les notes communautaires sur ses plateformes arrivent aux États-Unis


    France-Soir
    le 09 avril 2025 - 10:49


    Près de trois mois après le “mea culpa” et l’annonce de son patron, Mark Zuckerberg, le groupe Meta a officiellement mis fin, lundi 07 avril, à ses programmes de fact-checking. Sur Facebook comme sur Instagram, plus aucun message de fact-checking, autrefois réalisé en collaboration avec les médias, ne s’affichera aux utilisateurs leur indiquant que le lien ou le contenu visionné est une “fake news” ou “contesté”. Les notes de la communauté seront “progressivement” introduites, a annoncé un dirigeant du géant de la tech. Une annonce que le patron de X et Tesla, Elon Musk ne peut qu'approuver.

    Mark Zuckerberg, le PDG de Meta, a récemment annoncé la fin du programme de fact-checking sur Facebook et Instagram, marquant un tournant majeur dans la politique de modération de contenu de l'entreprise. Cette décision intervient après des années de tensions entre Zuckerberg et Donald Trump, exacerbées par la suspension des comptes du président américain sur les plateformes de Meta à la suite de l'assaut du Capitole en janvier 2021. Trump, qui s'était alors déclaré victime de censure, avait intenté une action en justice contre Meta et son fondateur.

    Le revirement de Zuckerberg s'inscrit dans un contexte où les critiques des conservateurs vis-à-vis des programmes de fact-checking étaient omniprésentes. Ces derniers considéraient ces initiatives comme biaisées et censurant disproportionnellement les voix de droite. Face à la pression, Zuckerberg a d’abord reconnu durant l’été 2024 que l’administration Biden a fait pression sur ses services pour censurer certains contenus. Quatre mois plus tard, il a finalement admis que les fact-checkers avaient "exhibé un biais politique excessif" et "détruit plus de confiance qu'ils n'en ont créé". Ce changement stratégique semblait aligné sur les priorités du président élu Donald Trump, qui avait critiqué Meta pour avoir supposément influencé les élections en faveur des démocrates.

    Mais les relations autrefois tendues entre Zuckerberg et Trump semblent s'être adoucies. Le cofondateur de Facebook a d’abord dîné avec Trump à Mar-a-Lago, un geste perçu comme une tentative de réconciliation. Peu après, Meta a fait un don d'un million de dollars au fonds d'investiture de Trump et annoncé la fin du fact-checking. Les équipes rémunérées par Facebook seront remplacées, tout comme sur X, par “les notes de communautés”, rédigées par les utilisateurs, afin de retrouver une certaine “liberté d’expression”. Les mêmes services seront délocalisés de la Silicon Valley, située en Californie démocrate, pour être transférées dans des bureaux situés au Texas, avait aussi annoncé le patron de Meta.

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  40. Les notes communautaires bientôt en Europe ?

    La décision est entrée en vigueur lundi. “Comme nous l’avions annoncé en janvier, nous supprimons le programme de fact-checking et nous supprimons les pénalités”, a écrit Joel Kaplan, directeur de la communication de Meta, sur Facebook, Instagram et X. “Cela signifie qu'il n'y aura plus de nouvelles vérifications ni de vérificateurs. À la place des vérifications, les premières Notes communautaires apparaîtront progressivement sur Facebook, Threads et Instagram, sans pénalités”, insiste-t-il.

    Cet arrêt des programmes de vérification et le lancement des notes de la communauté ne concernent à ce stade que les Etats-Unis, et pas l’Europe. Mais la mesure se généralise puisque la semaine dernière, 2 000 modérateurs sous-traitants comme ceux de Telus Digital et travaillant pour Meta à Barcelone, où étaient traités la plupart des messages publiés en Europe, ont été licenciés. Dans sa vidéo début janvier, Mark Zuckerberg s’en était directement pris aux réglementations européennes, accusant l’UE de vouloir “institutionnaliser la censure” tout en appelant à “lutter contre cette tendance mondiale”.

    L’annonce du directeur de la communication de Mela a rapidement été saluée par Elon Musk, le propriétaire de X, qui juge la décision de Meta “cool”.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/meta-fin-officiellement-fin-son-programme-de-fact-checking-les-notes-communautaires

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  41. Une décennie de vents contraires


    By Charles Hugh Smith
    OfTwoMinds.com
    April 11, 2025


    Ces vents contraires persisteront pendant une ou deux décennies.

    La bourse rebondit fortement après une chute brutale – un phénomène courant. Tandis que nous savourons nos gains au casino de première classe du navire, il est judicieux de sortir sur le pont et d'évaluer la météo.

    Il y a des vents contraires. Pas de zéphyrs, pas de rafales, juste des vents contraires constants et forts.

    1. Les présidents Trump et Xi se considèrent mutuellement comme un défi existentiel pour la prospérité future de la nation qu'ils dirigent. Aucun des deux ne peut se permettre de perdre la face en cédant, et chacun a une stratégie mondiale sans compromis.

    2. Les échanges commerciaux et les flux de capitaux mondiaux sont très divers. L'incertitude est le mot d'ordre du moment, mais la description la plus pertinente est peut-être l'imprévisibilité : si les entreprises n'ont aucune visibilité sur les coûts futurs du commerce, des matières premières, de la main-d'œuvre et du capital, elles n'ont d'autre choix que d'éviter les gros paris jusqu'à ce que cette visibilité soit rétablie.

    3. Le consommateur américain est à sec. Les radiations de cartes de crédit augmentent, les défauts de paiement sur les prêts automobiles augmentent, le transport aérien est en difficulté : de nombreuses sources indiquent que les consommateurs, en particulier les 20 % des ménages les plus aisés dont les dépenses ont soutenu l'économie, ont atteint leurs limites financières et peut-être psychologiques.

    4. L'effet de richesse inversé se manifeste : les actions et autres actifs basculent dans la volatilité et les tendances potentielles se transforment en baisses plutôt qu'en hausses. Les 10 % les plus aisés, qui détiennent la majorité des actifs productifs de revenus et des actifs à risque, subissent des pertes de 10 000 milliards de dollars, suivies de recouvrements de 5 000 milliards de dollars. Des fluctuations d'une telle ampleur ne confortent pas la confiance dans la stabilité des valorisations actuelles et n'offrent aucune visibilité sur les perspectives de plus-values ​​futures.

    Tout comme les entreprises doivent réagir à une faible visibilité en réduisant les risques, les ménages réagissent à la volatilité et à l'imprévisibilité croissantes en réduisant leurs emprunts et leurs dépenses. La hausse stable de la valorisation des actifs alimente l'effet de richesse, encourageant les consommateurs à emprunter et à dépenser davantage en raison de l'augmentation de leur patrimoine. L'effet de richesse inversé, déclenché par les pertes, la volatilité et la faible visibilité, encourage la réduction des risques, des emprunts et des dépenses.

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  42. 5. La Réserve fédérale ne procédera à aucune « économie » ni à de nouvelles largesses budgétaires fédérales massives. Les droits de douane et la relocalisation de l'industrie manufacturière sont inflationnistes ; la Fed n'a donc plus la liberté de créer quelques milliers de milliards de dollars de toutes pièces pour gonfler les actifs à risque. La frénésie d'emprunts et de dépenses du gouvernement fédéral menace l'intégrité de la monnaie et de l'économie du pays, de sorte que le chéquier sans limites a été mis au placard.

    6. Les deux décennies de déflation générées par la Chine sont terminées. Les banques centrales pourraient jouer un rôle dans le bac à sable de la politique de taux zéro, car les forces inflationnistes ont été entièrement compensées par les forces déflationnistes soutenues de la machine exportatrice et de l'expansion du crédit de la Chine. Aujourd'hui, toutes les économies, y compris la Chine, sont confrontées à des vagues inflationnistes d'origines diverses.

    7. Les sommes nécessaires à la reconstruction du tissu industriel américain vont comprimer les emprunts spéculatifs et la consommation des ménages. Maintenant que la Fed et le gouvernement fédéral sont empêchés d'emprunter et de gaspiller des milliers de milliards supplémentaires, il faudra attirer les capitaux privés vers des investissements à long terme en obligations du Trésor et la relocalisation. Les moyens d'encourager l'investissement à long terme plutôt que la consommation et la spéculation sont la récession et le dégonflement des bulles spéculatives. Ces deux moyens redéfinissent les attentes, l'appétence au risque et les incitations.

    Tous ceux qui ont une expérience directe des réseaux de production et de chaîne d'approvisionnement nous disent que la relocalisation sera un projet coûteux et de longue haleine, nécessitant la reconstruction de l'écosystème tout entier, détruit par la délocalisation de l'hypermondialisation et la prédation de l'hyperfinanciarisation.

    Notez que toutes les bulles d'actifs générées par le crédit éclatent. Certes, le marché est truqué, mais cela ne signifie pas qu'il est toujours en hausse ni qu'il est facile de compenser les baisses. La bulle Internet a perdu 80 % de sa valorisation maximale, malgré les assurances selon lesquelles c'était « impossible ».

    8. La démographie n'est pas favorable à l'expansion des actifs à risque. Grâce à @Econimica, examinez ce graphique illustrant l'évolution annuelle des populations à revenu élevé et moyen-élevé à l'échelle mondiale. L'évolution est désormais négative : moins de personnes entrent dans ces catégories. En conséquence, la dette mondiale a explosé, compensant de fait le déclin de la consommation par des emprunts.

    À mesure que la génération du baby-boom mondiale prend sa retraite et nécessite des soins à domicile ou en institution, elle vendra ses actifs pour financer ces dépenses en hausse : actions, obligations, immobilier… tous seront mis aux enchères pour lever des fonds.

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  43. Les investisseurs plus âgés sont également plus réticents au risque, car ils savent qu'ils ne disposeront pas d'une décennie ou deux pour se remettre d'une chute catastrophique de la valorisation de leurs actifs.

    Aucune de ces dynamiques ne peut être inversée. Ces vents contraires persisteront pendant une décennie ou deux.

    Nouveau podcast : La récession mondiale à venir sera plus longue et plus profonde que ce que la plupart des analystes anticipent (42 min)

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  44. Rackets, rackets partout

    La Chine annonce (en pleine guerre commerciale) une transmissibilité accrue du virus H5N1 entre humains, et le prix des œufs, excessivement élevé, pratiqué par l'État de Californie et du Maine, en raison d'une prétendue pénurie d'œufs due au virus H5N1.


    Par John Leake
    Discours courageux
    11 avril 2025


    L'actualité, par exemple aujourd'hui, illustre parfaitement que le secteur de la biosécurité est devenu un vaste racket international auquel participent de nombreuses institutions privées et publiques, ainsi que des entreprises commerciales. The Epoch Times, que je qualifie de « seul journal digne de ce nom », vient de rapporter les articles suivants.

    1). Un document des CDC chinois, divulgué, confirme que la nouvelle souche H5N1 est plus contagieuse pour l'homme : le document décrit une nouvelle mutation du gène de la protéine hémagglutinine, mais manque de détails, ce qui suscite l'inquiétude des experts.

    2). Le plus grand producteur d'œufs américain, Cal-Maine, fait l'objet d'une enquête du ministère de la Justice sur ses prix : l'entreprise a réalisé un bénéfice de 508 millions de dollars au troisième trimestre de l'exercice 2025, soit une hausse de 245 % par rapport à l'année précédente.

    Concernant le premier article, il est important de rappeler que la fuite du document s'inscrit dans le contexte de la guerre commerciale féroce qui vient de débuter. Comme le souligne le journaliste d'Epoch Times, la prétendue « nouvelle mutation du gène de la protéine hémagglutinine » n'est pas précisée dans le rapport divulgué.

    L'avis interne montre que le problème de la grippe aviaire en Chine est devenu très grave, bien que les responsables du Parti communiste chinois (PCC) au pouvoir le dissimulent toujours, a déclaré à Epoch Times le 5 avril Sean Lin, professeur adjoint au département des sciences biomédicales du Feitian College de New York et ancien microbiologiste de l'armée américaine.

    « Une souche mutante est apparue, mais les responsables n'ont pas précisé de quelle mutation il s'agit », a-t-il déclaré. « Le nom de la souche virale dite A/H5N1-2025E ne correspond pas à la position spécifique de l'acide aminé muté. La longueur totale de l'hémagglutinine H5N1 HA est d'environ 524 acides aminés. À quoi correspond donc cette 2025E ? » a-t-il demandé à propos de la mutation.

    « Cet avis interne des CDC chinois continue de dissimuler la vérité », a-t-il déclaré, surtout s'ils recommandent une attention accrue à ce variant plutôt qu'une transmissibilité accrue.

    Nous nous demandons si cette menace d'émergence d'une grippe n'est pas une sorte de mascarade perpétrée par le PCC pour compliquer et limiter la capacité de l'administration Trump à obtenir des concessions commerciales de la Chine.

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  45. L'affaire Cal-Maine présente des éléments du même type de racket. L'entreprise fait l'objet d'une enquête car elle a annoncé des prix et des volumes de ventes records, suscitant ainsi des soupçons de manipulation dans le contexte d'une prétendue pénurie d'œufs due à la directive (totalement insensée) de l'administration Biden d'abattre des dizaines de millions de poules pondeuses. Le motif invoqué pour justifier cette destruction insensée était d'empêcher la propagation d'une nouvelle souche de grippe aviaire H5N1, une politique qui s'est poursuivie bien après qu'il soit devenu évident que ces mesures de confinement étaient inefficaces.

    Pour citer l'article d'Epoch Times :

    Les responsables de l'entreprise ont déclaré que la solide performance du troisième trimestre était principalement due à une augmentation de 80,7 % du prix de vente moyen net par douzaine d'œufs et à une augmentation de 10,2 % du volume.

    Pour le trimestre, le prix de vente moyen net par douzaine de Cal-Maine s'est établi à 4,06 $, contre 2,247 $ il y a un an. L'entreprise a vendu un nombre record de 331,4 millions de douzaines d'œufs en coquille, soit une hausse de 10,2 %, incluant la contribution des acquisitions, par rapport aux 300,8 millions de douzaines du troisième trimestre de l'exercice 2024. Les ventes d'œufs conventionnels ont totalisé 213,2 millions de douzaines, contre 192,2 millions de douzaines pour la même période de l'exercice précédent, soit une hausse de 11,0 %.

    Ce ne sont là que deux exemples de la façon dont le secteur de la biosécurité est devenu un racket international, utilisant les mêmes méthodes que celles appliquées depuis longtemps au secteur de la guerre. Au lieu de faire la guerre à des hommes armés, notre système de biodéfense doit (selon lui) constamment lutter contre les maladies infectieuses émergentes.

    Vers la fin de sa vie, le major-général Smedley Darlington Butler, le Marine le plus décoré de l'histoire des États-Unis, concluait que la guerre est un racket, comme il l'a décrit de manière mémorable dans le titre de son livre de 1935. Dans l'introduction, il écrivait :

    Le racket est une pratique courante. J'ai contribué à purifier le Nicaragua pour le compte de la banque internationale Brown Brothers de 1909 à 1912. J'ai apporté la lumière en République dominicaine pour les intérêts sucriers américains en 1916. En Chine, j'ai contribué à ce que la Standard Oil poursuive son chemin sans encombre.

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  46. James Madison a décrit le caractère douteux de la guerre lors d'un débat avec Alexander Hamilton en 1793. Madison a spécifiquement souligné le danger d'accorder un pouvoir de guerre à l'exécutif, mais son raisonnement s'applique également à celui accordé à notre haute prêtrise de virologues et de biologistes moléculaires.

    À la guerre, les trésors publics doivent être débloqués, et c'est l'exécutif qui les dispense. À la guerre, les honneurs et les émoluments de la fonction doivent être multipliés, et c'est sous le patronage de l'exécutif qu'ils doivent être appréciés. C'est à la guerre, enfin, que les lauriers doivent être cueillis, et c'est l'exécutif qui doit les encercler. Les passions les plus fortes et les faiblesses les plus dangereuses du cœur humain : l'ambition, l'avarice, la vanité, l'amour honorable ou véniel de la gloire, tout cela conspire contre le désir et le devoir de paix.

    Reprinted with permission from Courageous Discourse.

    https://www.lewrockwell.com/2025/04/no_author/rackets-rackets-everywhere/

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    1. (...) La Chine annonce (en pleine guerre commerciale) une transmissibilité accrue du virus H5N1 entre humains, (...)

      FAUX ! Il n'y a pas de transmissibilité entre un être humain empoisonné et l'humain qui n'a pas consommé le poison. Il peut y avoir transmission de nano-poussières (virus) d'un animal à l'être humain qui le consomme car, même si la viande est cuite et élimine les microbes demeure le poison intacte.

      Mais, n'oublions pas (soit dit en passant) que la Chine, comme la Russie, Brésil, Angleterre, etc) ont chez eux HAARP identique aux États-Unis. Il y a 13 stations HAARP dans le monde !

      https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/

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  47. Le co-fondateur de LinkedIn a demandé à une IA de répliquer le réseau


    le 10 avril 2025 - 15:25


    Le cofondateur de LinkedIn, Reid Hoffman, a demandé à une intelligence artificielle de créer une copie de son propre réseau social. En quelques minutes et sans taper une ligne de code, le résultat soulève des questions sur l’avenir du développement web.

    L’expérience s’est déroulée récemment, en ligne, à l’aide de la plateforme Replit. Armé de Replit, une IA spécialisée dans le vibe coding, l’entrepreneur a lancé un simple prompt pour reproduire son propre réseau social… et l’algorithme s’est exécuté. Interface, fonctionnalités, design : presque tout y est. Ce tour de force relance un débat brûlant sur le rôle du développeur dans un monde où l’intelligence artificielle fait le sale boulot – souvent assez bien.

    Derrière cette démonstration futuriste, la remise en question d'un métier qui semblait pourtant assuré par le développement technologique : coder va-t-il devenir optionnel ? Amjad Masad, PDG de Replit, enfonce le clou sur X : « Apprendre à coder ne sera plus nécessaire. Ce qu’il faut aujourd’hui, c’est apprendre à penser. » Une phrase qui divise. Si certains saluent une révolution de l’accessibilité, d’autres dénoncent une infantilisation du processus de création numérique, réduisant le développeur au rôle de spectateur. Le site Siècle Digital, qui relaie cette initiative, note que le clonage n’était pas qu’un jeu, mais une déclaration.

    Plus globalement, cette expérience soulève le sujet de l'intégration massive de l’IA dans les réseaux sociaux eux-mêmes. Meta affine déjà Llama 4, Elon Musk propulse Grok 3 sur X… et LinkedIn, jusque-là discret, pourrait bien être le prochain à dégainer ses propres outils IA. Ce que Reid Hoffman a testé publiquement ressemble fort à un ballon d’essai.

    https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/le-co-fondateur-de-linkedin-demande-une-ia-de-repliquer-le-reseau

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  48. En Dordogne, des canards en liberté que la grippe aviaire ne saurait toucher


    le 10 avril 2025 - 13:05


    À Saint-Avit-de-Vialard, en Dordogne, une poignée d’éleveurs de canards défient les règles sanitaires en refusant de confiner leurs bêtes malgré l’épizootie de grippe aviaire. Depuis un an, ils participent à une expérimentation nationale supervisée par la Confédération Paysanne, avec l'aval du ministère de l’Agriculture. Objectif : démontrer que les élevages autonomes et à taille humaine ne sont ni vecteurs ni victimes de l’épidémie.

    À l’heure où l’agro-industrie cloître ses volailles derrière des murs de tôle pour contrer la grippe aviaire, certains irréductibles du Périgord choisissent de laisser leurs canards gambader en plein air. Jean-François Roudier et Ludovic Dubos, installés à Saint-Avit-de-Vialard, n’ont jamais enfermé leurs animaux, pas même lors des pics d’alerte. Et jusqu’ici, aucun cas de contamination. « Nous, ça n’a rien changé parce qu’on a toujours pratiqué la désobéissance… notre élevage n’a jamais été contaminé. Notre but c'est de démontrer que nos méthodes d'élevage ne posent pas des problèmes sanitaires », insiste Roudier auprès de France 3 Régions. Une insoumission qui, contre toute attente, semble plus efficace que les protocoles imposés.

    Ce choix n’est pas simplement idéologique : il s’inscrit dans une expérimentation lancée en 2023 par la Confédération Paysanne, avec l'aval du ministère de l'Agriculture. 144 fermes, dont deux en Dordogne, testent un modèle d’élevage semi-libertaire et autarcique. Les animaux y naissent, vivent et meurent sans jamais quitter l’exploitation. Une stratégie qui limite drastiquement les risques de transmission, à rebours des circuits fragmentés de l’élevage intensif. « On n’a pas d’intervenants extérieurs, les animaux ne bougent plus », rappelle l’éleveur. France 3 Régions, qui a enquêté sur le sujet, souligne que même l’hiver dernier, quand le parc voisin du Bournat a dû abattre 80 volatiles, la ferme de Saint-Avit est restée épargnée.

    Ce modèle questionne les fondements mêmes de l’élevage industriel. Faible densité, autonomie sanitaire, bien-être animal : et si la solution était la meilleure était la plus simple ? Les résultats finaux de l’expérimentation sont attendus fin 2025. La résistance qui s’organise en campagne est pleine de panache, et finalement, elle pourrait gagner des points face à l'industrie.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/en-dordogne-des-canards-en-liberte-que-la-grippe-aviaire-ne-saurait-toucher

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    1. Cela démontre bien ce que la science dit ! La 'grippe aviaire' N'EXISTE PAS ! C'est juste du commercial, une atteinte aux droits des animaux ainsi qu'aux paysans qui n'ont que quelques poules et coqs qui vivent en liberté dehors et ne consomment donc aucun produits empoisonnés de laboratoires avicoles.

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  49. Voici les États américains comptant le plus de criminels encore en fuite


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 9 AVRIL 2025 - 12H55


    Une étude du cabinet Spartacus a classé les États américains selon le nombre de criminels encore en fuite, en prenant en compte les taux de crimes violents, les taux d'élucidation, la population et la superficie. Le dernier indicateur (le nombre de criminels en fuite par kilomètre carré, ajusté à la population) place la Californie en tête en raison de son taux élevé de crimes violents non résolus.

    La Californie arrive en tête des États américains en termes de criminels encore en fuite, avec 303 par kilomètre carré, ajusté à la population. L'État a signalé 198 000 incidents violents, dont 60 % non résolus, laissant près de 119 000 délinquants sans nouvelles.

    Le Tennessee se classe deuxième avec 211 affaires par mile carré, grâce au taux de criminalité violente le plus élevé du pays (628 pour 100 000 habitants) et à un faible taux de résolution de 39 %, selon le cabinet Spartacus.

    Le Massachusetts arrive troisième avec 144 affaires par mile carré. Malgré un taux de résolution de 50 % et un nombre d'incidents moins élevé, sa petite taille accroît la densité de la criminalité.

    Le Maryland se classe quatrième avec 119 affaires, reflétant le taux de résolution de 39 % du Tennessee, mais avec moins d'incidents et une densité de population plus élevée.

    La Floride est cinquième avec 97 affaires par mile carré, pénalisée par le taux de résolution le plus faible (30 %) parmi les dix premières, ce qui se traduit par près de 46 000 affaires non résolues.

    L'État de New York arrive sixième avec 76 affaires. Bien qu'il affiche le taux de résolution le plus élevé (58 %) du groupe, sa forte population entraîne un nombre total d'incidents élevé.

    Le rapport indique que le Rhode Island est septième avec 53 affaires, avec le taux de criminalité et le nombre total d'incidents les plus bas, mais un taux de résolution modeste de 47 %.

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  50. Le New Jersey se classe huitième avec 31 affaires résolues, un taux légèrement supérieur à celui du Rhode Island, mais un volume de crimes non élucidés bien plus élevé.

    Le Michigan se classe neuvième avec 26 affaires, avec un taux de criminalité élevé et un faible taux de résolution, totalisant plus de 25 000 affaires non élucidées.

    L'Illinois termine dixième avec 24 affaires par mile carré, un taux similaire à celui du Michigan en termes de taux de résolution et de volume de criminalité, avec environ 19 500 affaires non élucidées.

    « La concentration de criminels violents en liberté dans les centres urbains révèle une interaction complexe entre les ressources de la justice pénale, la densité de population et les contraintes géographiques. Cette perspective géographique déplace le débat de la comparaison des taux de résolution vers la prise en compte de la façon dont les crimes non élucidés créent des "zones sensibles" d'impunité », a commenté Chandon Alexander, PDG du cabinet Spartacus, à propos de l'étude.

    Il a poursuivi : « Les forces de l’ordre pourraient tirer profit d’une allocation ciblée des ressources, basée sur ces indicateurs de densité plutôt que sur des statistiques criminelles brutes. Les différences marquées entre les États présentant des taux de résolution similaires mais des concentrations criminelles très différentes suggèrent que les approches policières traditionnelles pourraient nécessiter une adaptation régionale, en particulier dans les États où les criminels bénéficient de la proximité des frontières juridictionnelles ou des réseaux de transport qui facilitent leur mobilité après avoir commis des actes violents.»

    Les données complètes de l’étude sont disponibles ici:

    https://docs.google.com/spreadsheets/u/0/d/e/2PACX-1vThFfwa1XGZUc5dJFuBctlAEZBRqWLl3kslAcKnMlr_w4TAJf1JQFReR15skSliZrSi4ryPRjnx6A_P/pubhtml?urp=gmail_link&pli=1

    https://www.zerohedge.com/markets/these-are-us-states-most-criminals-still-large

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  51. Paris va transformer son parking Foch en "hub de services urbains"


    France-Soir
    le 09 avril 2025 - 13:10


    Le plus grand parking souterrain de Paris, celui de Foch, entre l'Arc de Triomphe et la Place de l'Étoile, va être transformé en "hub de services urbains innovants". Ce chantier, lancé en 2025 par Indigo et Corsalis, réduira de moitié les 2 030 places de stationnement pour y intégrer des espaces logistiques tels qu'un Cyclopark.

    Encore une preuve, s'il en fallait, que Paris ne veut plus de voitures ; elle veut devenir une ville hybride. Le parking Foch, monument souterrain de la capitale, va ainsi faire peau neuve : moins de voitures, plus de services. Situé en plein cœur de Paris, il va réduire de moitié ses places de stationnement, passant de 2 030 à 1 000, pour laisser place à un "hub de services urbains innovants". Ce projet initié par Indigo, en partenariat avec Corsalis, vise à transformer les parkings de demain, qui n'auront plus vocation à être de simples lieux de stationnement, mais des espaces multifonctionnels au service de la ville. Pour un investissement de 30 millions d'euros.

    Le parking Foch, vieux de 60 ans, devient ainsi le premier laboratoire de cette nouvelle génération de parkings hybrides. Au-delà du stationnement, il intègrera un espace de logistique urbaine de 12 000 m² pour les livraisons du dernier kilomètre, un Cyclopark de 200 places pour les vélos, et une aire pour les autocars de tourisme. Ce projet, à la croisée des enjeux de mobilité douce et de logistique. En déployant des solutions comme les vélos-cargos et les camionnettes électriques, il entend répondre aux problématiques de congestion et de pollution.

    L’infrastructure, gérée par Indigo, s’inscrit dans une tendance plus large, celle d’une redéfinition des espaces urbains. "Ce projet n'est pas qu’une transformation physique, c’est une réinvention de la ville", précise un porte-parole d'Indigo. Reste à voir comment les Parisiens s'adapteront, ainsi que les travailleurs et touristes.

    https://www.francesoir.fr/societe-transport/paris-va-transformer-son-parking-foch-en-hub-de-services-urbains

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  52. En Occident, il est devenu héroïque de dire la vérité
    Petite revue de presse de Dominique


    Par Dominique Muselet
    Mondialisation.ca,
    10 avril 2025


    « Celui qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité, se fait le complice des faussaires et des voleurs » Charles Péguy

    Convoqué devant le Conseil de l’Ordre, le Dr Loridan « gueule la vérité »
    Le Dr Loridan, suspendu, en 2023, pour ses positions critiques notamment sur la gestion du Covid, s’exprime à sa sortie de l’audience : « Je n’étais pas trop stressé parce que la salle était pleine de personnes venues me soutenir.

    Quand on accepte des actions aussi liberticides que celles qui a été faites sur le port du masque confinement, l’obligation vaccinal, la suspension des soignants, le chantage à l’emploi, si personne, en 2025 n’a compris à quel point on était entré dans un totalitarisme qui a pris la médecine en otage, si vous n’avez pas compris ça, je ne peux plus rien pour vous !

    J’ai rappelé au Conseil de l’ordre que leur rôle n’est pas de taper sur les médecins qui sortent du rang mais au contraire de garantir aux soignants une parole libre vis-à-vis de la société et aussi de nos dirigeants politiques qui ne veulent pas forcément notre bien, leurs intérêts ne sont pas les nôtres, et notamment notre président dont le profil psychologique est inquiétant. Les psychopathes, si on ne les arrête pas, ils continuent.

    Dupond-Moretti, quand il était Garde des Sceaux a dit « les détenus ne sont pas des cobayes, concernant la vaccination, et ils ont droit à la dignité ». Par contre la population générale, elle, peut servir de cobaye et le personnel suspendu sans salaire n’a pas droit à la dignité. »

    https://lemediaen442.fr/conseil-de-lordre-vs-liberte-dexpression-le-dr-loridan-denonce-le-totalitarisme-medical/

    États-Unis : Expulsions d’étudiants étrangers pour soutien à la Palestine
    Suite à la signature d’un décret par le président américain Donald Trump, portant sur l’expulsion d’étudiants étrangers impliqués dans des manifestations pro-Palestine, de nombreux visas ont été annulés à travers les États-Unis. Selon des médias américains, cette mesure a touché des centaines d’étudiants fréquentant les plus prestigieuses universités du pays.

    https://senego.com/etats-unis-expulsions-detudiants-etrangers-pour-soutien-a-la-palestine_1823537.html

    Philippe Murer – L’Etat français balance 240 milliards de plus dans les énergies renouvelables !
    Macron balance des milliards par les fenêtres, tout en faisant les poche des Français (réforme retraite, augmentation des taxes, du reste à charge de la sécurité sociale, inflation, etc. etc.) qui, pour beaucoup d’entre eux, ne mangent déjà plus à leur faim, comme le montre un documentaire de Public Sénat Le début de la faim.

    Après le quoiqu’il en coûte de 300 milliards pour contrer les effets négatifs du confinement stupide et meurtrier de l’arnaque Covid, après les chèques énergie pour contrer l’effet désastreux des ridicules sanctions contre la Russie, après le milliards déversés sur une Ukraine hyper-corrompue pour « affaiblir la Russie »,, après les 109 milliards d’euros promis pour développer l’intelligence artificielle pour faire comme Trump, les 800 milliards pour l’Europe de la Défense, les 3 milliards pour le nouveau métro du Caire pendant que le nôtre est à l’abandon, et j’en passe, Macron veut augmenter encore dilapider 240 milliards (+ 100 milliards pour adapter le réseau électrique) pour obéir à l’UE, c’est-à-dire, à l’Allemagne, qui exige 42% d’énergie renouvelable dans la production électrique, sous peine de payer des amendes.

    Il s’agit d’un décret du gouvernement pour les dix ans à venir : triplement des éoliennes et quadruplement des panneaux solaires. Déj, la France n’en a pas besoin car elle exporte 20 % de sa production électrique décarbonée, sans compter que la consommation d’électricité a baissé de 10% car la France s’appauvrit.

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  53. Par ailleurs ces énergies renouvelables sont loin d’avoir fait leurs preuves, même écologiques, et elles ont des effets pervers. Par exemple, comme la production des éoliennes et des panneaux solaires est prioritaire, quand il y a du vent et du soleil, on est obligé de baisser la production des centrales nucléaires ce qui use prématurément les centrales, sans même faire d’économie sur l’énergie nucléaire.

    En 2012 on produisait à 6 centimes d’€ du kilowatt/h et on la vendait Français et ailleurs 12 centimes d’€ mais avec le marché européen de l’énergie, le prix de l’énergie a doublé, et cela ruine l’agriculture et l’industrie français. C’est pareil pour les DPE (Diagnostic de performance énergétique) qui font faire disparaître 40% des logements, les ZFE (Zones à faible émission) qui interdisent les centres-villes aux gueux, et l’interdiction des chaudières fuel, gaz et même bois.

    Tout cela est en train de ruiner la France et les Français. Il faut se battre, car tous les politiciens sont complètement déconnectés de la réalité et sont favorables à ces politiques suicidaires.

    https://www.youtube.com/watch?v=QWiumYjSURE

    Ursula von der Leyen : « L’Europe, ce sont les valeurs du Talmud »
    Et nous qui pensions que l’Europe avait des racines chrétiennes… C’est fou comme on peut se tromper !

    Ursula von der Leyen est allée en Israël, le 14 juin 2022, faire allégeance à l’Etat hébreu, sans doute pour que cet Etat influent soutienne s sa reconduction à la tête de la Commission européenne. Elle était fragilisée par la découverte, en avril 2021, par le New York Times, de ses petites tractations secrètes avec le patron de Pfizer, Albert Bourla, un juif séfarade grec dont les parents ont survécu à l’holocauste. Elle lui a acheté, avec notre argent et sans appel d’offre, 1,8 milliard de doses d’injection Covid coûteuses et inutiles. Dieu sait combien ça leur a rapporté à tous les deux…

    En tout cas, elle devait vraiment avoir peur de ne pas être renommée, car elle a tout simplement offert l’Europe (passé, présent et avenir) à Israël… C’est typique de ces gens-là d’offrir ce qui ne leur appartient pas… Voyez Macron !

    « L’Europe, ce sont les valeurs du Talmud, le sens juif de la responsabilité personnelle, de la justice et de la solidarité. Au fil des siècles, le peuple juif a été « une lumière pour les nations ». Et il sera une lumière pour l’Europe pendant de nombreux siècles à venir ». Elle a encensé Ben Gourion, passé sous silence les crimes historiques du sionisme, et n’a jamais mentionné les droits du peuple palestinien. Cette réécriture historique, combinée à la gestion opaque de milliards d’euros pour des vaccins peu efficaces, signe une dérive grave de la Commission européenne.

    Marine le Pen a récemment elle aussi envoyé son beau-fils faire allégeance à l’Etat génocidaire, pour obtenir le soutien israélien à sa candidature aux élections présidentielles. Mais cela ne semble pas lui avoir aussi bien réussi si l’on en juge par l’inégibilité qui lui est tombée dessus juste après. Peut-être qu’elle aurait dû y aller elle-même !

    https://x.com/camille_moscow-am-israel-chai…

    Gilles Casanova – Ukraine, corruption, révoltes populaires : l’Europe à la dérive ?
    Macron fait n’importe quoi, sans se préoccuper des conséquences parce qu’il est uniquement préoccupé de lui-même. Pour lui, tout ce qui compte, c’est de se mettre en scène.

    Tout ce qui se passe en France (et en Europe) a un double but :

    La fédéralisation de l’Europe sous la houlette de l’UE au prétexte de la défense contre la menace russe qui n’existe pas
    La destruction des systèmes sociaux, au profit des milliardaires dont Macron est la marionnette.
    A mon avis, la menace russe marchera moins bien que le Covid, où on répétait le nombre de morts (de la grippe habituelle ou causés par le refus de soins) tous les jours à la TV. En plus, l’armée française ne suivra pas Macron. Le Monde des clowns perd du terrain. Les électeurs de Macron vont se rabattre sur les socialistes qui mènent la même politique.

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  54. Aujourd’hui, à gauche, cela veut simplement dire, un peu plus agressif contre les catégories populaires qu’à droite. La droite ne déteste pas autant le peuple que la gauche.

    Ça bouge en Europe de l’est, il y a des manifestations de masse, dont on ne parle pas dans les médias subventionnés, parce que, d’une part, elle n’a pas absorbé la chute de l’URSS et, d’autre part, elle est déçue de l’UE. Les populations veulent s’émanciper. Elles sentent que le pouvoir vacille et pourrait changer de nature en Grèce, en Serbie et en Roumanie, grâce à la fenêtre ouverte par Trump.

    La Roumanie est, de fait, une dictature puisque que le Conseil Constitutionnel vient de décréter qu’aucune personne qui critique l’UE et l’OTAN ne pourra se présenter aux élections présidentielles. C’est la souveraineté limitée qui s’est appliquée en Roumanie comme elle se serait appliquée à l’Allemagne si l’AFD avait fait un meilleur score et en France si la condamnation de Marine le Pen n’est pas confirmée avant les élections de 2028.

    L’Occident est devenu le paradis de la corruption. Il y a une intrication massive entre les mafias et les dirigeants occidentaux. Tout cet argent part dans les paradis fiscaux. L’Ukraine est un des plus gros centres des trafics qui nourrissent l’UE et c’est pour ça qu’ils ne veulent pas que la guerre s’arrête.

    Les populations occidentales ne se rendent pas compte de l’effondrement de leur civilisation. C’est un suicide collectif couvert par une propagande de plus en plus faussaire. Quand les gens prennent un peu conscience des manipulations et des mensonges, il est trop tard. Voyez l’opération Covid ! C’est la servitude volontaire dont parlait Etienne de la Boétie.

    Tout cela va mal finir, mais pas tout de suite, car le système est bien verrouillé…

    Quant à Trump, il veut faire le ménage parce qu’il a compris que la globalisation a favorisé le mensonge, la corruption, la montée de la Chine, et que tout cela a détruit la force de l’Amérique, qui est la cohésion de la plus grande partie de son peuple derrière ses dirigeants. Mais il y a l’épée de Damoclès des élections de mi-mandat et pour durer plus de deux ans, il a besoin de financiers et de nains de jardin (les Européens), et, pour le moment, il a un allié objectif mais pas très puissant en Poutine.

    https://www.youtube.com/watch?v=mGchg-6aBVg

    John Helmer – Trump bluffe, il n’attaquera pas l’Iran

    Source de la photo : https://www.gzeromedia.com/by-ian-bremmer/will-trumps-iran-strategy-actually-prevent-war, crédit : Jess Frampton

    L’Iran a les moyens militaires non seulement d’encaisser une frappe américaine, mais d’attaquer sur terre, mer et ciel, des cibles américaines au Moyen Orient et en Israël, après avoir été frappé.

    Le recul de Trump sur les droits de douane qu’on vient de voir et l’escalade de la guerre économique contre la Chine, montrent que:

    1.Trump peut être vaincu et a été vaincu.

    2.Nous, Américains, ne comprenons pas comment les Russes, les gens du Moyen Orient, les Iraniens, les Juifs, fonctionnent. Pour comprendre ce qui arrive à Trump, il faut se référer à la chute de l’empire romain, à l’aide de deux méthodes scientifiques :

    – la prosopographie, qui étudie le réseau qui entoure le dirigeant (le recrutement de ses membres, les interrelations familiales, le déroulement des carrières), et dont la logique interne est la loyauté, pas la compétence, ni l’efficacité, la loyauté.

    – l’épigraphie, l’étude des inscriptions trouvées dans les tombes, les temples, etc. Les inscriptions de l’antiquité sont l’équivalent des tweets que Trump envoie toutes les heures. L’organisation de Trump a renoncé à toute communication rationnelle. Trump fait de la pub et des menaces désordonnées. Tout cela dénote une certaine fébrilité/fragilité.

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  55. Les empereurs romains des 3è/4è s. pensaient que leur volonté faisait loi. Quand Trump brandit ses décrets, il est clair qu’il pense que sa volonté devrait faire loi. Mais quand le rapport de force n’est pas en sa faveur et qu’on lui résiste, il recule. C’est ce qu’on a vu avec l’effondrement des marchés et la hausse des intérêts de la dette qui étaient des réactions de défiance contre sa campagne de droits de douane.

    Les menaces de Trump contre l’Iran, sont typiques des empereurs romains qui craignaient de perdre leur empire affaibli. Ces menaces n’ont rien de rationnel. C’est du bluff. Mais Trump ne s’en rend pas compte et quand il est obligé de reculer dans un domaine, il attaque dans un autre.

    Il y a déjà évidemment des pourparlers directs avec l’Iran. Les Iraniens ont mis au point leur stratégie avec la Russie et la Chine. Ils ont dit aux Américains quelque chose comme : Samedi prochain (12/4/25) transmettez au Sultanat d’Oman, vos demandes écrites, et nous verrons si cela vaut la peine de vous rencontrer. Ils ne veulent pas se retrouver en face de Vitkoff car ils ne veulent pas que ce dernier puisse les intimider ou se vanter de l’avoir fait. Il y a de fortes chances que Trump fera comme pour les négociations de paix en Ukraine, il fera semblant d’avoir obtenu tout ce qu’il voulait, sans rien avoir obtenu.

    Pour Trump, le plus grand danger vient de gens comme Vance. Si Vance a l’impression que les bluff/reculades de Trump risquent de nuire à son ambition de lui succéder, il essayera de renverser l’empereur. La Russie ne veut pas que l’Etat profond renverse Trump, donc elle joue son jeu pour le moment, mais elle n’a pas l’intention d’accepter le moindre cessez-le-feu, tout se décidera sur le champ de bataille.

    https://www.youtube.com/watch?v=im-l4xRj5Qg

    Sylvain Tiger/Laurent Michelon – Guerre commerciale entre la Chine et les USA
    Trump a mis 106% de droits de douane sur les produits chinois. Ce qui revient à un véritable embargo. Mais comme cette guerre commerciale a commencé, il y a 5/6 ans, pendant le premier mandat de Trump, la Chine a eu le temps de se préparer, et il ne reste que 20% de son PIB qui soit dépendant des USA. La situation est bien pire pour les Etats-Unis car les produits provenant de Chine sont en fait les produits des marques occidentales, qui ont délocalisé leur production. Mais cela va aussi impacter les petites et moyennes entreprises américaines qui font tout fabriquer en Chine. Ils ne vont pas pouvoir se passer de ces produits et cela va provoquer une inflation qui va nuire aux consommateurs US.

    C’est une forme de tribut ou de droit d’entrée pour commercer avec les USA que Trump tente d’imposer au reste du monde. Des pays, comme Taiwan et le Vietnam ont capitulé et d’autres, en Europe, se rapprochent de la Chine pour essayer de compenser leurs pertes à l’exportation.

    En représailles, la Chine peut se débarrasser du dollar (la dette américaine qu’elle a acheté en masse), ce qu’elle fait grâce à ses échanges commerciaux. Elle peut aussi décréter des embargos, notamment sur les terres rares.

    Il se pourrait que Trump cherche à former une coalition (notamment avec des pays du Moyen Orient et du sud-est) pour faire plier la Chine. S’il obtenait que beaucoup de pays taxent la Chine, en échange d’un traitement de faveur de la part des USA, là, ce serait problématique pour la Chine. Mais ce n’est pas gagné…

    Les BRICS peuvent jouer les intermédiaires dans ce conflit, ou l’Arabie saoudite, mais l’Europe, du fait de son attitude hostile, est hors-jeu.

    https://www.youtube.com/watch?v=oyhvu19zL3c

    Les films à l’arrache
    La liberté d’expression

    https://www.youtube.com/watch?v=b-JBdXgJaRc

    La lutte contre l’ennemi invisible

    https://www.youtube.com/watch?v=b-JBdXgJaRc

    https://www.mondialisation.ca/en-occident-il-est-devenu-heroique-de-dire-la-verite/5697701?doing_wp_cron=1744352321.7129530906677246093750

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Ivo Sasek esquisse une issue à la folle spirale de l'armement

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