Sauvegarder la neutralité suisse et éviter la culpabilité de guerre ...

 


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55 commentaires:

  1. Sauvegarder la neutralité suisse et éviter la culpabilité de guerre ...


    23.04.2025
    www.kla.tv/37391


    La neutralité de la Suisse est inscrite dans la Constitution fédérale à l'article 185 : "Le Conseil fédéral prend des mesures pour sauvegarder la sécurité extérieure, l'indépendance et la neutralité de la Suisse."

    Dans la quatrième édition révisée d'une brochure d'information, le Département fédéral de la défense (DDPS) explique lui-même comment il faut interpréter ces propos : "Neutre vient du latin : ne uter - ni l'un ni l'autre. Une puissance est neutre lorsqu'elle ne prend pas parti dans une guerre."
    Cependant, dans la même édition, le DDPS se contredit lui-même et s'octroie une "grande marge de manœuvre".

    Par exemple, la reprise de sanctions économiques imposées par l'ONU ou d'autres acteurs internationaux - comme l'UE - serait compatible avec la neutralité. Mais dans ce cas, la Suisse devra, bon gré mal gré, prendre parti. C'est ce qu'elle a fait le 28 février 2022, lorsqu'elle a adopté les sanctions économiques de l'UE contre la Russie.

    Le DDPS - ou était-ce le Département des affaires étrangères DFAE ? - a dû remarquer cette contradiction. Le 3 mars 2022, juste après l'adoption des sanctions économiques contre la Russie, le DFAE a publié une nouvelle brochure intitulée "La neutralité de la Suisse". La quatrième édition révisée précédente n'est plus disponible. Dans la nouvelle brochure, qui se présente sous un tout nouvel aspect, on ne trouve plus la formule "Une puissance est neutre lorsqu'elle ne prend pas parti dans une guerre". En outre, le DFAE a justifié dans la nouvelle brochure la reprise par le Conseil fédéral des sanctions de l'UE contre la Russie. La Russie a "violé de manière massive les normes élémentaires du droit international". Ainsi, la nouvelle brochure du 3 mars 2022 pose également la question de savoir comment la Suisse "peut préserver au mieux ses intérêts tout en contribuant à la sécurité dans le monde". Une option serait que la Suisse "prenne clairement position pour l'un ou l'autre camp lors de conflits militaires à l'étranger".

    La neutralité de la Suisse est plus que jamais sur la sellette ! Ainsi, le conseiller fédéral fraîchement élu Martin Pfister a clairement indiqué dès la première conférence de presse qu'il souhaitait aménager la neutralité de manière flexible. En juin 2024, 87 scientifiques, diplomates et politiciens ont demandé dans un manifeste que le Conseil fédéral repense la neutralité suisse. Avec sa définition d'une "neutralité orientée vers un but", il serait possible, dans une guerre, de traiter l'agresseur différemment de la victime. Des sanctions contre l'agresseur seraient autorisées, tout comme des prestations de soutien envers le pays agressé. Et il serait possible de coopérer avec des alliances militaires, comme l'OTAN.

    Un exemple actuel : En janvier de cette année, l'UE a approuvé la participation de la Suisse au programme UE-USA "Military Mobility". A l'avenir, les véhicules de l'armée étrangère, le matériel, les munitions et les armes ainsi que le personnel militaire pourront traverser le territoire suisse sans "grandes procédures d'autorisation", en fait sans frontières.
    Voilà donc où mène la "flexibilité" annoncée par le conseiller fédéral élu Pfister. En cas de guerre d'agression, la Suisse doit pouvoir prendre parti et soutenir le pays agressé. Mais dans une guerre, la frontière entre l'agresseur et la victime est-elle toujours claire et nette et qui détermine où se situent les frontières ? Qui le définit ? Est-il vraiment possible de prendre parti dans une guerre sans en porter la responsabilité ? Et le soutien à une guerre, quel que soit le parti et quelle que soit la forme qu'elle prend, permet-il vraiment de réduire la souffrance d'une guerre ?

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  2. L'histoire nous enseigne le contraire. Avant toute chose, il convient de noter que "la première victime de toute guerre est la vérité". C'est ce qu'on cite souvent. L'historien allemand Christian Hardinghaus le résume ainsi dans son livre en allemand "Propagande de guerre et manipulation des médias". "Il n'y a pas de pays dans l'histoire qui n'ait pas utilisé les moyens de la propagande pendant la guerre. C'est pourquoi, lorsque deux pays sont en guerre, les deux parties font toujours de la propagande."

    Voici quelques exemples :

    Comme l'a montré par exemple le documentaire "Quand les présidents américains mentent", les guerres menées par les États-Unis, comme par exemple au Vietnam, au Kosovo, en Afghanistan ou en Irak, ont toujours été d'une part des guerres d'agression, et d'autre part, toujours justifiées par un mensonge. Pourquoi cela n'a-t-il pas entraîné jusqu'à présent une seule sanction contre les États-Unis ?
    Le 20 mars 2003, une "coalition de volontaires" dirigée par les États-Unis a attaqué l'Irak. Ils ont justifié cette décision comme une guerre préventive nécessaire, car l'Irak aurait été en possession d'armes de destruction massive. Cependant, aucune arme de destruction massive n'a été trouvée et le secrétaire général des Nations unies de l'époque a condamné la guerre en Irak comme illégale, ce qui n'a entraîné ni sanctions contre les États-Unis ni aide à la victime, l'Irak.

    Du 24 mars au 10 juin 1999, quelque 200 avions de combat de l'OTAN ont largué 28 018 engins explosifs sur l'ex-Yougoslavie - y compris des bombes à fragmentation - et 10 à 15 tonnes de munitions à l'uranium. L'OTAN a justifié les frappes aériennes par une prétendue "catastrophe humanitaire". Cependant, selon plusieurs rapports, y compris ceux de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), il n'y avait pas eu de catastrophe humanitaire ni de nettoyage ethnique avant le début de la guerre.

    A propos de "catastrophe humanitaire". Nous allons maintenant nous pencher sur la guerre russo-ukrainienne. Dans le débat actuel sur la neutralité de la Suisse, il s'agit surtout de savoir si la Suisse doit prendre parti pour la victime présumée, l'Ukraine, et la soutenir. Mais les faits sont-ils vraiment aussi clairs - l'Ukraine est la victime et la Russie l'agresseur - ou pourrait-il s'agir, comme dans toute guerre, également ou partiellement de propagande ? L'historien et chercheur suisse sur la paix Daniele Ganser a fait remarquer qu'on ne pourrait jamais comprendre la guerre en Ukraine si on ignorait le putsch de 2014. Ganser faisait ainsi référence au renversement illégal et anticonstitutionnel du gouvernement à Kiev le 22 février 2014. Le nombre de voix requis au Parlement pour une procédure de destitution du président en exercice Viktor Ianoukovitch n'avait pas été atteint.

    Auparavant, des tireurs d'élite inconnus avaient tiré des coups de feu mortels sur des manifestants et des forces de police. Il y a eu plus de 40 morts. Le gouvernement en place du président Ianoukovitch et son unité de police "Berkut" ont immédiatement été tenus pour responsables du massacre. Et ce, bien que les forces de police et les unités spéciales ukrainiennes - comme la "Berkut" - n'aient pas eu recours à la violence, comme le montrent les enregistrements vidéo. [www.kla.tv/2487] Selon Ganser, ce putsch est à la racine de la guerre en Ukraine.

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  3. Les régions orientales de Donetsk et de Lougansk, majoritairement russophones, n'avaient pourtant pas reconnu le coup d'État sanglant de Kiev et avaient proclamé des "républiques populaires" indépendantes. Le nouveau gouvernement de Kiev a alors envoyé des troupes contre les régions orientales, ce qui a conduit à la guerre civile. Les attaques des troupes ukrainiennes contre la population du Donbass ont augmenté de manière drastique à partir de la mi-février 2022, c'est-à-dire avant même l'entrée des troupes russes. Les observateurs neutres de l'OSCE ont compté jusqu'à 1 400 explosions par jour à partir du 17 février 2022. 100 000 civils auraient été évacués vers l'intérieur ou vers la Russie pour se protéger.

    Les habitants de la péninsule de Crimée qui sont retournés en Crimée après le coup d'État ont également été harcelés et maltraités de la manière la plus cruelle par des partisans meurtriers de Maïdan. C'est ce qu'a démontré le documentaire "Crimée - Le retour à la patrie" à l'aide de différents témoignages. Selon le ministère ukrainien de l'Intérieur, sept personnes des huit bus qui sont rentrés ont été tuées. Les habitants de la Crimée ont alors commencé à former des unités de défense et ont prévu un vote officiel le 16 mars 2014 - conformément au droit à l'autodétermination inscrit dans le droit international - sur la poursuite de l'appartenance de la Crimée. C'était le seul moyen d'éviter de nouvelles effusions de sang. Selon le résultat final officiel, 96,77% des votants se sont prononcés en faveur du rattachement à la Russie.

    Une comparaison entre la sécession de la Crimée et la déclaration d'indépendance du Kosovo montre qu'il peut y avoir deux poids deux mesures dans un cas de guerre ou d'annexion. Le Kosovo a été placé sous la juridiction administrative des Nations unies après la guerre de 1999 et a proclamé son indépendance le 27 février 2008. Suite à la guerre, la deuxième plus grande base militaire américaine d'Europe - Camp Bondsteel - a été créée au Kosovo, avec des milliers de soldats sur une surface de 386 hectares. Par leur présence militaire dans une région stratégiquement importante, les États-Unis s'assuraient ainsi le contrôle des routes potentielles des pipelines ainsi que de l'exploitation commerciale des ressources naturelles. Personne n'a parlé d'"annexion" et personne n'a imposé de sanctions aux États-Unis. Cependant, la Russie, qui a envoyé des troupes en Crimée le 21 février 2014 pour protéger les habitants et garantir sa base navale de Sébastopol, a été sanctionnée.

    Une chose est sûre, chaque belligérant se sert de moyens de propagande et utilise son récit en sa faveur. Qui peut garantir qu’une des parties belligérantes n’est pas en partie responsable d’une guerre ? La Suisse serait donc bien inspirée de ne pas s'en mêler et de ne pas prendre parti.
    Comme Kla.TV l'a démontré dans plusieurs émissions et comme le montre l'histoire, les guerres et la prise de parti sont difficilement justifiables. Ce sont surtout les guerres menées par les États-Unis ou l'OTAN qui ont causé des souffrances indicibles, avec des centaines de milliers de victimes et des effets dévastateurs à long terme - de l'Irak à la Libye, de la Yougoslavie à la Syrie.

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  4. Il convient également de noter que les guerres sont souvent instrumentalisées par une troisième puissance afin de faire avancer ses plans de domination mondiale. Ainsi, la population est constamment maintenue sous "tension" et "insécurité" par les guerres et/ou la rhétorique guerrière. Cela fait le jeu des gouvernements et de l'industrie de l'armement pour priver les gens de leurs droits civils et de leurs libertés ou pour en tirer profit d'une autre manière. Pour en savoir plus, consultez le documentaire de l'OTAN.

    Il convient de noter brièvement ceci : Les livraisons d'armes à une partie belligérante - même si elles sont censées être destinées à la partie prétendument victime, comme l'Ukraine - ne font que le jeu des belligérants et des bâtisseurs d'un gouvernement mondial dominant. Ce sont eux qui occupent les hautes sphères des entreprises d'armement. Les livraisons d'armes alimentent l'économie de guerre, prolongent les guerres et empêchent les négociations de paix. C'est toujours le peuple qui en pâtit, car il est contraint d'envoyer ses fils - et depuis peu ses filles - au front. Les livraisons d'armes contribuent à saigner la population jusqu'au dernier homme.

    Les Suisses s'engagent à sauvegarder la neutralité suisse et à éviter la culpabilité de guerre

    C'est dans ce contexte, où les guerres sont instrumentalisées et difficilement justifiables, que de plus en plus de Suisses s'engagent pour sauvegarder la neutralité suisse et éviter la culpabilité de guerre. En voici trois exemples :

    1. Frye Schwyzer - c'est-à-dire Suisses libres du canton de Schwyz - déposent une opposition contre l'atelier de production d'armes à Unteriberg
    Extraits du communiqué de presse de la "Communauté d'intérêts Frye Schwyzer" du 16 mars 2025 :
    "Dans les zones de guerre, les armes causent d'énormes souffrances et de nombreux morts innocents. Seuls quelques-uns profitent de la guerre, par exemple sous la forme de livraisons d'armes. L'entreprise allemande Rheinmetall approvisionne des belligérants actifs. Elle veut maintenant développer la fabrication de matériel de guerre à Unteriberg et y installer un atelier de production. (...)
    La Suisse avait une tradition de neutralité de longue date et un rôle important de médiateur. Aujourd'hui, la guerre est plus proche qu’elle ne l’a été depuis longtemps. La loi sur le matériel de guerre a été introduite à l'origine pour protéger la neutralité de la Suisse et empêcher les exportations d'armes vers les régions en guerre. Il est scandaleux qu'aujourd'hui des exportations d'armes soient également autorisées vers des régions en guerre. Leur part dans le produit final doit simplement être inférieure à 50 %. Cela signifie que jusqu'à 50 % de sa valeur, une arme peut être exportée de la Suisse vers des pays en guerre. - Il est facile de contrôler cette valeur en appliquant des prix de transfert appropriés au sein du groupe. En matière d'exportations d'armes, le Conseil fédéral fait passer les intérêts financiers avant la neutralité. Le lobby des armes a fait du bon travail dans ce domaine. Alors que l'humanité contemple les ruines, Rheinmetall se réjouit de bénéfices records. (...)
    L'opposition vise à obtenir que les demandes et les préoccupations sécuritaires de la population inquiète soient prises au sérieux. (...) Les activités de Rheinmetall ne sont pas défendables sur le plan éthique, elles mettent en danger la sécurité des habitants du canton de Schwyz et sont contraires à la Constitution suisse.

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  5. La guerre n'est pas une fatalité. La guerre est une décision. Il est temps d'en choisir une autre.
    "La communauté d'intérêts Frye Schwyzer"

    2. Initiative populaire fédérale "Sauvegarder la neutralité suisse (Initiative sur la neutralité)".
    Le 11 avril 2024, l'initiative sur la neutralité a été déposée avec près de 130 000 signatures valables. Le 27 novembre 2024, le Conseil fédéral a recommandé au Parlement de rejeter l'initiative sur la neutralité sans lui opposer de contre-projet. L'initiative limiterait fortement la coopération avec des alliances militaires comme l'OTAN. De même, la Suisse ne devrait plus prendre en charge les sanctions de l'UE, comme par exemple celles contre la Russie. L'initiative sur la neutralité sera probablement soumise au vote le 30 novembre 2025 ou ensuite en 2026 et se présente comme suit :

    "La Constitution fédérale est modifiée comme suit :

    Art. 54a Neutralité suisse

    1 La Suisse est neutre. Sa neutralité est perpétuelle et armée.

    2 La Suisse n'adhère à aucune alliance militaire ou défensive. Est réservée la coopération avec une telle alliance en cas d’attaque militaire directe contre la Suisse ou en cas d’actes préparatoires à une telle attaque.

    3 La Suisse ne participe pas aux conflits militaires entre États tiers et elle ne prend pas non plus de mesures coercitives non militaires contre un État belligérant. Sont réservées ses obligations envers l’Organisation des Nations Unies (ONU) et les mesures visant à éviter le contournement des mesures coercitives non militaires prises par d’autres États.

    4 La Suisse fait usage de sa neutralité perpétuelle pour prévenir et résoudre les conflits, et elle met à disposition ses services en qualité de médiatrice."

    3. Pour une Suisse de bons offices – création du "Mouvement pour la neutralité"
    Extrait d'un communiqué de presse du 14 mars 2025 :

    "Pour une Suisse de bons offices - c'est dans ce but que 46 personnes engagées ont fondé dimanche l'association de soutien du 'Mouvement pour la neutralité', en abrégé 'bene'. Le mouvement considère la neutralité comme une condition préalable à la paix et à la démocratie directe. En effet, se "rapprocher" de blocs de puissance ou d'alliances militaires, c'est renoncer tranche par tranche à sa souveraineté. Et c'est justement sur la question existentielle de la guerre et de la paix que toute décision doit être prise par démocratie directe. (...)

    Le mouvement ne conçoit pas la neutralité comme une mise à l'écart passive et un commerce, mais comme la base d'un engagement en faveur du droit international, de l'interdiction du recours à la force par l'ONU et de la médiation entre parties en conflit. Elle veut donc se mettre en réseau au niveau international et s'engager dans d'autres pays pour la neutralité comme principe de paix.
    Il est également prévu de créer un conseil international de la neutralité qui se prononcera sur les conflits et problèmes actuels d'un point de vue indépendant du droit international.
    L'objectif prioritaire du mouvement est de gagner la votation sur l'initiative sur la neutralité. La neutralité est la protection la plus efficace contre les conflits et les guerres, elle appartient à tout le peuple et doit donc figurer dans la Constitution.

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  6. Pour plus d'informations : bene-schweiz.info"

    Diffusez cette émission et aidez à informer le peuple suisse pour que la votation sur l'initiative sur la neutralité soit gagnée. C'est le seul moyen de sauvegarder la neutralité suisse et d'éviter la culpabilité de guerre !

    de d.d.
    Sources/Liens :
    Constitution fédérale suisse Art. 185 Sécurité extérieure et intérieure
    https://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/1999/404/fr#art_185

    « La neutralité de la Suisse » - Une brochure d'information du Département fédéral de la défense DDPS, 4e édition révisée
    https://www.files.ethz.ch/isn/14841/Brosch_Neutralitaet_d.pdf

    « La neutralité de la Suisse » - Une brochure du Département fédéral des affaires étrangères DFAE (date de publication :
    3.3.2022)
    https://www.eda.admin.ch/eda/de/home/das-eda/publikationen.html/content/publikationen/de/eda/schweizer-aussenpolitik/Neutralitaet_Schweiz

    Le conseiller fédéral Martin Pfister souhaite que la neutralité soit aménagée de manière flexible
    https://www.srf.ch/news/schweiz/arena-zu-martin-pfister-flexible-neutralitaet-neuer-bundesrat-bringt-svp-auf-die-palme

    Des scientifiques, des diplomates et des politiciens présentent un manifeste pour une neutralité du 21e siècle
    https://www.srf.ch/news/schweiz/zu-starre-auslegung-der-bundesrat-soll-die-schweizer-neutralitaet-neu-denken

    Comment la Suisse devient de plus en plus partie prenante dans la guerre
    https://neutralitaet-ja.ch/die-schweiz-wird-zunehmend-kriegspartei/

    L'expert Christian Hardinghaus explique comment on ment dans la guerre
    https://www.fr.de/politik/ukraine-krieg-propaganda-russland-ukraine-manipulation-taeuschung-verschwoerung-experte-92382729.html

    War made easy – Quand les présidents américains mentent
    https://www.youtube.com/watch?v=J_souEi9gaE

    Aspects de droit public et international de la destitution de Victor Ianoukovitch
    https://de.wikipedia.org/wiki/Wiktor_Janukowytsch#Staats-_und_v%C3%B6lkerrechtliche_Aspekte_der_Absetzung

    Ganser revient sur l'invasion russe du 24 février 2022 et distribue des cartons rouges
    https://www.youtube.com/watch?v=v0XPCjudZxk

    Opposition à la construction de l’atelier de production Rheinmetall
    https://www.josefender.ch/einsprache-bau-produktionshalle-rheinmetall/

    Création du « Mouvement pour la neutralité » (bene)
    https://mcusercontent.com/4ab99f94beed6b9bfccbb567f/files/acf62944-cec3-3b3c-976e-ca994358b921/MM_14.3.25_bene_Gru_ndung.pdf

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  7. https://bene-schweiz.info/#ueberuns

    Le « Mouvement pour la neutralité » écrit une lettre ouverte au nouveau conseiller fédéral Martin Pfister
    https://bene-schweiz.info/herr-bundesrat-pfister-sie-stehen-unter-beobachtung/

    Lire et signer la lettre ouverte au conseiller fédéral Pfister
    https://mailchi.mp/bene-schweiz.info/5efa3mghhk

    Initiative populaire fédérale « Sauvegarde de la neutralité suisse (Initiative pour la neutralité) ».
    https://www.bk.admin.ch/ch/d/pore/vi/vis540t.html

    Site web de l'initiative de neutralité
    https://neutralitaet-ja.ch/

    Initiative populaire pour la « sauvegarde de la neutralité suisse » déposée
    https://proschweiz.ch/ueber-130000-beglaubigte-unterschriften-sind-ein-starkes-neutralitaetspolitisches-zeichen/

    Licences Creative Commons
    https://creativecommons.org/licenses

    https://www.kla.tv/fr

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    1. En Février 2014 (après 8 années de massacres des populations ukrainiennes par le dictateur nazi ukrainien passées sous silence par les merdias du monde entier !!) seule, la Russie décide d'intervenir et de s'interposer au dictateur ukrainien en place. C'est le début du conflit. La Russie sauve une partie de l'Ukraine.

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  8. Comprendre les causes et les symptômes de l'apnée obstructive du sommeil


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    24 avril 2025


    L'apnée obstructive du sommeil (AOS) touche près d'un milliard de personnes dans le monde. Elle provoque des interruptions respiratoires pendant le sommeil, empêchant l'accès au sommeil réparateur.

    Les symptômes courants comprennent des ronflements bruyants, des halètements/étouffements pendant le sommeil, des maux de tête matinaux, de la fatigue diurne, des difficultés de concentration et des changements d'humeur qui sont souvent confondus avec une fatigue normale.

    Les facteurs de risque de l'AOS comprennent l'âge, l'excès de tissu de la gorge, la faiblesse des muscles de la gorge, les anomalies structurelles des voies respiratoires et la carence en vitamine D, qui affecte la régulation et la qualité du sommeil.

    L'apnée du sommeil non traitée entraîne de graves complications de santé, notamment des maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2, un déclin cognitif, un affaiblissement de la fonction immunitaire et un risque accru d'accident.

    Les options de traitement comprennent la thérapie CPAP, les appareils buccaux, la thérapie myofonctionnelle orofaciale et les changements de style de vie comme l'optimisation des habitudes respiratoires, le maintien d'un poids santé et l'ajustement de la position de sommeil.

    - voir clip sur site -

    Se réveiller épuisé, avoir du mal à rester éveillé pendant la journée ou s'entendre dire que l'on ronfle bruyamment peuvent sembler des désagréments mineurs. Mais que se passerait-il si ces problèmes apparemment inoffensifs étaient en réalité les signes d'un problème de santé grave ? Si cela vous semble familier, l'apnée obstructive du sommeil (AOS) pourrait perturber silencieusement votre sommeil.

    L'apnée obstructive du sommeil (AOS) touche près d'un milliard de personnes âgées de 30 à 69 ans dans le monde. Nombre d'entre elles confondent leurs symptômes avec des ronflements inoffensifs ou une fatigue quotidienne, ignorant les conséquences plus profondes qu'elle entraîne sur leur corps et leur esprit. Non traitée, l'apnée du sommeil peut entraîner de graves risques pour la santé, affectant vos performances, votre santé globale et votre qualité de vie. Reconnaître ses symptômes et traiter ses causes tôt est essentiel pour retrouver sommeil et vitalité.

    - voir clip sur site -

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  9. Qu’est-ce que l’apnée obstructive du sommeil ?

    L'apnée obstructive du sommeil est un trouble du sommeil grave qui interrompt la respiration pendant le sommeil. Elle survient lorsque les muscles de la gorge se relâchent excessivement, provoquant un affaissement des tissus mous et bloquant la circulation de l'air. Ce manque d' oxygène force le cerveau à se réveiller brièvement, ce qui relance la respiration, mais perturbe également le cycle du sommeil.

    • Votre sommeil est perturbé à plusieurs reprises — Même si vous ne vous réveillez pas complètement, ces interruptions respiratoires vous empêchent d’atteindre un sommeil profond et réparateur, vous laissant fatigué et déconcentré le lendemain.

    • L'AOS est la forme prédominante d'apnée du sommeil ; elle représente jusqu'à 80 % des cas de syndrome d'apnée du sommeil. 3 Un autre type d'apnée du sommeil est l'apnée centrale du sommeil (ACS), qui survient lorsque le cerveau ne parvient pas à envoyer les signaux respiratoires appropriés. Certaines personnes souffrent d'apnée mixte du sommeil, une combinaison des deux affections. 4

    • Le SAOS est plus fréquent qu'on ne le pense. Des études estiment qu'entre 9 % et 38 % des adultes souffrent d'apnée obstructive du sommeil, mais jusqu'à 85 % des cas restent non diagnostiqués.5

    • L'apnée obstructive du sommeil ne se limite pas à votre sommeil. Non traitée, elle augmente le risque de problèmes de santé graves, notamment d'hypertension artérielle, de maladies cardiaques, de diabète et de déclin cognitif.6

    Quels sont les symptômes de l'apnée obstructive du sommeil ?

    Les symptômes du SAOS passent souvent inaperçus chez la personne concernée, car ils surviennent pendant son sommeil. Cependant, les personnes partageant le même lit ou le même foyer peuvent observer des signes avant-coureurs distincts. Voici quelques-uns des symptômes du SAOS :7,8,9,10

    • Ronflement fort et persistant : l'un des symptômes les plus courants et les plus visibles, il s'accompagne souvent de pauses respiratoires.

    • Bruits d'étouffement ou de suffocation pendant le sommeil : ils se produisent lorsque les voies respiratoires se ferment temporairement, provoquant une baisse du taux d'oxygène. Le cerveau déclenche alors un réflexe d'étouffement ou de suffocation soudain pour rouvrir les voies respiratoires.

    • Réveils fréquents — L'apnée du sommeil force votre cerveau à se réveiller brièvement et de manière répétée tout au long de la nuit pour rétablir la respiration. Vous ne vous souvenez peut-être pas de ces réveils, mais ils vous empêchent d'atteindre un sommeil profond et réparateur.

    • Maux de tête matinaux et sécheresse buccale — Les fluctuations d'oxygène et la respiration buccale contribuent à des maux de tête matinaux fréquents, des maux de gorge ou une sécheresse buccale au réveil.

    • Fatigue diurne et difficultés de concentration — L'AOS perturbant les cycles de sommeil normaux, vous pouvez ressentir une fatigue chronique, de l'irritabilité et des difficultés de concentration pendant la journée. De nombreuses personnes atteintes d'AOS non diagnostiquées déclarent s'endormir pendant des activités quotidiennes, comme regarder la télévision ou même conduire.

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  10. • Changements d'humeur et mauvaise régulation émotionnelle — Le manque chronique de sommeil dû à l'AOS affecte la chimie du cerveau, entraînant une augmentation du stress, de l'anxiété et de l'irritabilité. Certaines personnes présentent même des symptômes de dépression.

    Il est essentiel de reconnaître ces signes avant-coureurs pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés avant que l'AOS n'entraîne d'autres complications.

    Êtes-vous à risque ? L'AOS touche des personnes de tous âges, mais certains facteurs anatomiques, hormonaux et liés au mode de vie augmentent le risque. Comprendre ces facteurs vous permet de prendre des mesures proactives pour réduire votre risque et améliorer la qualité de votre sommeil :11,12

    • Âge et sexe — L'AOS survient à tout âge, mais le risque augmente avec l'âge, car le tissu adipeux s'accumule dans le cou et la langue, ce qui rétrécit les voies respiratoires. Les hommes sont plus susceptibles de développer une apnée du sommeil à un plus jeune âge que les femmes, bien que le risque augmente chez ces dernières après la ménopause.

    • Excès de tissu dans la gorge — Si vous avez des amygdales hypertrophiées, un cou épais ou des dépôts de graisse excessifs autour de vos voies respiratoires, ceux-ci bloquent physiquement le flux d’air, ce qui rend la respiration plus difficile pendant le sommeil.

    • Muscles de la gorge faibles ou trop détendus — Pendant le sommeil, les muscles de la gorge se relâchent naturellement, mais dans certains cas, ils s'affaissent trop et obstruent les voies respiratoires. Ce risque augmente avec l'âge et est aggravé par la consommation d'alcool, de sédatifs et de certains médicaments qui détendent davantage les muscles des voies respiratoires.

    Anomalies structurelles des voies respiratoires — Si vous avez une déviation de la cloison nasale, une petite mâchoire, une langue élargie ou des voies respiratoires naturellement étroites, votre respiration sera partiellement restreinte, ce qui augmentera le risque d'AOS. Même avec un poids santé, ces facteurs anatomiques peuvent entraîner des obstructions des voies respiratoires pendant le sommeil.

    • Influences du mode de vie — Des habitudes comme le tabagisme, la consommation excessive d'alcool et la sédentarité augmentent l'inflammation, la rétention d'eau et le manque de tonus musculaire, autant d'éléments qui contribuent à aggraver l'obstruction des voies respiratoires. Une mauvaise santé cardiovasculaire augmente également la vulnérabilité à l'AOS et à ses conséquences à long terme.

    • Maladies cardiaques et rénales — Ces affections provoquent une rétention d'eau dans le cou, ce qui obstrue les voies respiratoires pendant le sommeil. La gestion de la santé cardiovasculaire et rénale contribue à réduire la gravité de l'apnée.

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  11. Troubles hormonaux et métaboliques — Les taux d'hormones influencent la taille et la forme des voies respiratoires. Les personnes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), d'hypothyroïdie ou de taux élevés d'insuline ou d'hormone de croissance présentent un risque accru de développer un SAOS en raison de modifications de la structure des voies respiratoires et du tonus musculaire.

    • Antécédents familiaux et génétique — L'AOS est souvent héréditaire. Vos gènes déterminent la taille et la forme de votre crâne, de votre visage et de vos voies respiratoires, ce qui influence votre risque. Si vous avez des proches atteints d'apnée du sommeil, vous êtes plus susceptible de développer cette maladie.

    L’AOS est plus susceptible de se développer lorsque plusieurs facteurs de risque sont présents, ce qui rend la détection et l’intervention précoces importantes pour prévenir les complications à long terme.

    Quel est le lien entre la vitamine D et l’apnée du sommeil ?

    Croyez-le ou non, un autre facteur qui augmente le risque de développer un SAOS et d'autres troubles du sommeil est la carence en vitamine D. Dans la vidéo ci-dessus, le Dr Stasha Gominak, neurologue et coach du sommeil, explique le lien souvent négligé entre la vitamine D et la régulation du sommeil.

    • La vitamine D influence le sommeil profond et la paralysie du sommeil — Votre capacité à entrer et à maintenir un sommeil profond dépend d'un neurotransmetteur appelé acétylcholine, qui contribue à réguler le sommeil paradoxal et la paralysie du sommeil. La vitamine D jouant un rôle essentiel dans la production d'acétylcholine, une carence peut perturber votre cycle de sommeil et contribuer à des troubles respiratoires pendant le sommeil.

    • Le tronc cérébral est recouvert de récepteurs de vitamine D. Il régule également les cycles du sommeil et la paralysie musculaire pendant le sommeil paradoxal, ce qui empêche les mouvements pendant le rêve. Des recherches ont montré que le tronc cérébral est riche en récepteurs de vitamine D, ce qui suggère qu'un taux optimal de vitamine D est nécessaire au bon fonctionnement du sommeil.

    • Un faible taux de vitamine D est lié à l'apnée du sommeil et à une mauvaise qualité de sommeil. Les recherches de Gominak sur les troubles du sommeil ont révélé que de nombreux patients souffrant de troubles du sommeil et de fatigue chronique présentaient des carences en vitamine D non diagnostiquées. Lorsque les taux de vitamine D ont été optimisés par une supplémentation, la qualité de leur sommeil et la gravité de leur apnée du sommeil se sont améliorées.

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  12. Comment traite-t-on l’apnée du sommeil ?

    Le traitement de l'apnée obstructive du sommeil consiste à maintenir les voies respiratoires ouvertes pendant le sommeil afin d'éviter les interruptions respiratoires. Plusieurs options thérapeutiques sont disponibles, chacune adaptée à la gravité et aux préférences du patient.

    • La thérapie CPAP est le principal traitement conventionnel — La thérapie par pression positive continue (CPAP) utilise une machine qui délivre un flux d’air constant à travers un masque pour maintenir les voies respiratoires ouvertes. 24 Bien que de nombreux utilisateurs signalent des améliorations significatives des symptômes, la CPAP n’a jamais été conçue comme une solution permanente.

    Selon son inventeur, le Dr Colin Sullivan, la PPC a toujours été conçue comme une mesure temporaire, le temps de traiter des causes sous-jacentes, telles que l'obésité, les obstructions anatomiques ou les problèmes de développement des voies respiratoires. 25 Bien qu'efficace, la thérapie PPC n'est pas bien tolérée par tous. Les plaintes courantes incluent la claustrophobie, la congestion nasale, la sécheresse buccale ou les escarres dues au masque. 26

    • Les appareils buccaux comme alternative à la PPC — Les appareils d'avancement mandibulaire (AAM) sont des gouttières sur mesure conçues pour déplacer la mâchoire inférieure vers l'avant, empêchant ainsi l'affaissement de la langue et des tissus mous dans les voies respiratoires. Des dentistes spécialisés collaborent avec des spécialistes du sommeil pour assurer un positionnement optimal des voies respiratoires sans gêne au niveau de la mâchoire. 27

    • Thérapie myofonctionnelle orofaciale (OMT) pour le renforcement des voies respiratoires — L'OMT se concentre sur la rééducation neuromusculaire des muscles buccaux et faciaux au moyen d'exercices ciblés et de techniques de modification du comportement.

    Cette thérapie corrige la position de la langue, améliore la respiration, la mastication et la déglutition, et favorise une bonne posture de la tête et du cou. L'OMT est particulièrement efficace pour les apnées du sommeil légères à modérées, offrant une approche non invasive aux bénéfices durables .

    • Thérapies émergentes — Plusieurs thérapies alternatives ciblent le tonus musculaire des voies respiratoires et la mécanique respiratoire. Les appareils de stimulation électrique neuromusculaire (SENM) aident à tonifier la langue et les muscles des voies respiratoires lorsqu'ils sont portés 20 minutes par jour, les renforçant ainsi pour prévenir l'affaissement pendant le sommeil. 29

    Dans les cas plus graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour élargir les voies aériennes supérieures en avançant les mâchoires supérieure et inférieure. De plus, s'entraîner à respirer par le nez plutôt que par la bouche normalise le volume respiratoire, améliorant ainsi l'oxygénation des tissus et le fonctionnement cérébral.

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  13. Pour en savoir plus sur les raisons pour lesquelles la CPAP est devenue le traitement dominant de l'apnée du sommeil et sur la façon dont les thérapies alternatives se comparent, lisez « Pourquoi tout le monde utilise des machines CPAP ? »

    Cinq changements de style de vie qui aident à réduire l'apnée du sommeil
    Des changements ciblés dans le mode de vie améliorent considérablement les symptômes de l'apnée du sommeil et la qualité globale du sommeil. Si des traitements médicaux comme la PPC ou les appareils buccaux peuvent être nécessaires chez certains, la prise en compte de facteurs sous-jacents tels que la respiration, le poids et les habitudes de sommeil réduit l'obstruction des voies respiratoires et favorise un soulagement durable.

    1. Optimisez vos habitudes respiratoires — Des habitudes respiratoires dysfonctionnelles nuisent à votre santé et aggravent des problèmes comme l'apnée du sommeil. Je vous recommande de consulter un analyste du comportement respiratoire pour vous aider à prendre conscience de vos habitudes respiratoires, de leurs déclencheurs et des solutions pour y remédier.

    2. Maintenez un poids santé — L'excès de poids, notamment au niveau du cou et des voies respiratoires supérieures, contribue à l'obstruction des voies respiratoires. Si vous êtes en surpoids ou obèse, perdre ne serait-ce que 10 % de votre poids corporel entraîne une amélioration notable des symptômes d'apnée du sommeil.

    3. Adaptez votre position de sommeil — Dormir sur le dos aggrave l'apnée du sommeil en laissant votre langue et votre palais mou retomber en arrière et obstruer vos voies respiratoires. Essayez plutôt de dormir sur le côté ou sur le ventre, ou surélevez le haut de votre corps avec un oreiller compensé. Pour éviter de rouler sur le dos pendant la nuit, attachez une balle de tennis au dos de votre pyjama ou utilisez des oreillers placés stratégiquement.

    4. Évitez l'alcool et le tabac : l'alcool détend les muscles de la gorge, augmentant ainsi le risque de collapsus des voies respiratoires, tandis que le tabac provoque une inflammation et une rétention d'eau dans les voies respiratoires, rendant la respiration plus difficile. Éviter la consommation d'alcool et arrêter de fumer réduit considérablement la gravité de l'apnée.

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  14. 5. Évitez les benzodiazépines : ces médicaments détendent davantage les muscles de la gorge, augmentant ainsi le risque d'obstruction des voies respiratoires. Si vous prenez des sédatifs ou des benzodiazépines, envisagez de consulter votre médecin pour trouver des alternatives plus sûres pour favoriser le sommeil.

    En effectuant ces ajustements, vous prenez le contrôle de votre santé du sommeil, réduisant ainsi les symptômes d’apnée et diminuant votre risque de complications de santé graves associées à l’AOS non traitée.

    Foire aux questions (FAQ) sur l'apnée obstructive du sommeil
    Q : Qu’est-ce que l’apnée obstructive du sommeil (AOS) ?

    R : L'AOS est un trouble du sommeil caractérisé par un affaissement répété des voies respiratoires pendant le sommeil, provoquant des interruptions respiratoires. Cela empêche un sommeil profond et réparateur et augmente le risque de problèmes de santé graves comme les maladies cardiaques, le diabète et le déclin cognitif.

    Q : Comment savoir si je souffre d’apnée du sommeil ?

    R : Les signes de l'apnée du sommeil comprennent des ronflements bruyants, des difficultés à respirer pendant le sommeil, des réveils fréquents, des maux de tête matinaux, une sécheresse buccale, une fatigue diurne excessive et des difficultés de concentration. Beaucoup de personnes ne s'en rendent compte que lorsque quelqu'un d'autre le remarque.

    Q : Qui est le plus susceptible de développer une apnée du sommeil ?

    R : Les facteurs de risque incluent le surpoids, un cou épais, le vieillissement, le tabagisme, la consommation d'alcool, un faible tonus musculaire, des déséquilibres hormonaux et des antécédents familiaux d'apnée du sommeil. Des problèmes structurels comme une petite mâchoire ou des amygdales volumineuses augmentent également le risque.

    Q : La vitamine D peut-elle aider à lutter contre l’apnée du sommeil ?

    R : Oui. La vitamine D joue un rôle dans la régulation du sommeil et la fonction musculaire. Un faible taux de vitamine D a été associé à une mauvaise qualité du sommeil et à un risque accru de troubles du sommeil, notamment d'apnée du sommeil.

    Q : Comment l’apnée du sommeil est-elle traitée ?

    R : La thérapie CPAP est le traitement le plus courant, mais d'autres alternatives incluent les appareils buccaux et la thérapie myofonctionnelle orofaciale. Pour obtenir une amélioration durable, concentrez-vous sur la résolution des problèmes sous-jacents tels que les mauvaises habitudes respiratoires, la faiblesse des muscles des voies respiratoires, le surpoids et les facteurs liés au mode de vie.

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  15. Remarques

    1 Cleveland Clinic, Apnée obstructive du sommeil

    2, 4 NHLBI, apnée du sommeil

    3, 5 Physiol Res. 31 août 2023 ;72(4) :415–423

    6, 8, 11 Mayo Clinic, Apnée du sommeil

    7 symptômes de l'apnée du sommeil (NHLBI)

    9 Cleveland Clinic, Apnée obstructive du sommeil (symptômes et causes)

    10 Medscape, Apnée obstructive du sommeil (AOS)

    12 NHLBI, causes et facteurs de risque de l'apnée du sommeil

    13 Alzahrani et al.; JPRI, 32(35) : 97-113, 2020 ; Numéro d'articleJPRI.63214

    14 Circulation. 20 juil. 2021 ; 144(3):e56-e67

    15 Obésité Volume 31, Numéro 4, Avril 2023 Pages 900-911

    16 Revue européenne d'endocrinologie, volume 186, numéro 4, avril 2022, pages 457–467

    17 Brain Sci. 2021, 11(6), 706

    18 Ann Am Thorac Soc. 2021 mai ;18(5):865-875

    19 Front Surg. 6 juil. 2022 ; 9 : 890 377

    20 J. Clin. Méd. 2021, 10(2), 277

    21 Int. J. Environ. Res. Santé publique 2021, 18(24), 13416

    22 Médicine 2022, 58(12), 1723

    23 J. Clin. Méd. 2022, 11(14), 3971

    24 SleepApnea.org, Traitements de l'apnée du sommeil

    25 Salon, 23 octobre 2023

    Fondation du sommeil, 27 février 2024

    27 Cleveland Clinic, Appareils buccaux pour l'apnée du sommeil

    28 Sommeil. 1er mai 2015 ;38(5) :669–675

    29 ERJ Open Res. 27 déc. 2023 ;9(6):00474-2023

    https://www.globalresearch.ca/understanding-causes-symptoms-obstructive-sleep-apnea/5885252

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  16. Le coût de l'ignorance des causes profondes des maladies chroniques. J. Mercola


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    24 avril 2025


    Les États-Unis consacrent 90 % de leurs 4 500 milliards de dollars de dépenses annuelles de santé aux maladies chroniques, mais la majeure partie de cette somme finance des médicaments et des procédures rentables qui ne s'attaquent pas à la cause profonde de la maladie.

    Les médicaments sur ordonnance enferment les patients dans un cycle infernal de dépendance. Une fois qu'ils ont commencé à prendre des médicaments pour des maladies chroniques, ils les arrêtent rarement, même lorsque leur santé continue de décliner.

    Les patients atteints de maladies chroniques sont confrontés à de graves difficultés financières ; 32 % d’entre eux ont des dettes médicales en cours de recouvrement et leur taux de faillite est quatre fois plus élevé que celui des personnes en bonne santé.

    Au-delà des conséquences physiques, les maladies chroniques impactent la santé mentale, mettent à rude épreuve les relations et engendrent un sentiment d'isolement. Les aidants sont également confrontés au stress, à l'épuisement et à une perte de revenus.

    La médecine doit passer de la gestion des maladies à la véritable guérison. Au lieu de masquer les symptômes, l'accent doit être mis sur la restauration des fonctions cellulaires et le soutien du métabolisme pour rompre le cycle des maladies chroniques.

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    Les maladies chroniques constituent la crise sanitaire majeure de notre époque. Malgré les progrès médicaux, les taux de diabète, de maladies cardiaques, de cancer et de maladies neurodégénératives continuent d'augmenter. Les États-Unis dépensent plus en soins de santé que tout autre pays, et pourtant, la population est plus malade, au lieu d'améliorer sa santé.

    Cet échec résulte de l'étroite focalisation de la médecine conventionnelle sur les médicaments et les procédures qui ne font que prolonger la dépendance, au détriment de la reconnaissance du rôle de la fonction mitochondriale et de la santé cellulaire dans la prévention et le traitement des maladies chroniques. Il est temps de remettre en question ce système, d'en révéler les failles et d'exiger une transition vers des solutions qui rétablissent véritablement la santé à ses fondements.

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  17. Le coût financier de la gestion des maladies à vie

    Le fardeau financier de la gestion des maladies chroniques est écrasant, même pour les personnes bénéficiant d'une assurance maladie. L'endettement médical est ainsi devenu l'une des crises économiques les plus graves aux États-Unis. 1 Le problème n'est pas seulement que ces maladies sont coûteuses, mais aussi qu'elles sont rarement traitées. Les patients sont soumis à des prescriptions et à des procédures à vie qui génèrent des milliards de dollars de revenus pour les compagnies pharmaceutiques et les assurances, sans pour autant rétablir leur santé.

    • Une étude majeure révèle que les maladies chroniques augmentent la vulnérabilité financière — Une étude publiée dans JAMA Internal Medicine 2 a évalué plus de 2,85 millions d'adultes et a révélé que plus de 38 % d'entre eux souffraient d'au moins une maladie chronique. Si beaucoup pensent que l'assurance maladie protège contre les dépenses médicales importantes, leurs conclusions montrent que les personnes atteintes de maladies chroniques sont beaucoup plus susceptibles de se retrouver confrontées à des factures médicales impayées, à des dettes impayées, voire à la faillite.

    • À mesure que le nombre de maladies chroniques augmente, la probabilité de difficultés financières augmente également. Parmi les personnes sans maladie chronique, seulement 7,6 % avaient des dettes médicales en recouvrement. Cependant, ce chiffre grimpait à 32 % chez celles souffrant de sept à treize maladies chroniques. Cette tendance était également observée pour les dettes non médicales en recouvrement, qui ne touchaient que 7,2 % des personnes sans maladie chronique, mais qui atteignaient 24 % chez celles présentant le plus de problèmes médicaux.

    • Les dettes en souffrance et les faibles cotes de crédit sont plus courantes en cas de maladie chronique — Les dettes en souffrance, c’est-à-dire les paiements manqués sur tout type de dette, ont été constatées chez 14 % des personnes en bonne santé, contre près de 43 % chez celles souffrant de multiples maladies chroniques.

    Les conséquences financières des maladies chroniques se répercutent également sur les cotes de crédit et les taux de faillite. Les personnes sans maladie chronique n'avaient que 17 % de risque d'avoir une cote de crédit faible, contre 47 % pour celles souffrant de sept à treize maladies chroniques.

    • Les taux de faillite augmentent considérablement avec l'augmentation des maladies chroniques — Les taux de faillite ont également augmenté : 1,7 % des personnes atteintes de multiples maladies chroniques ont déclaré faillite, soit quatre fois plus que les 0,4 % des personnes en bonne santé qui ont dû franchir cette étape. Au-delà du risque d'accumulation de dettes, le montant réel des dettes médicales recouvrées a également augmenté avec chaque maladie chronique supplémentaire.

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  18. • Les dettes médicales impayées augmentent fortement avec l'augmentation des maladies chroniques — Parmi les personnes ne souffrant d'aucune maladie chronique, le montant moyen des factures médicales impayées en recouvrement s'élevait à 784 $. Chez les personnes atteintes de plusieurs maladies chroniques, ce chiffre s'élevait à 1 252 $. Cela suggère que, même avec une assurance, les frais à la charge des patients liés aux traitements, aux médicaments et aux consultations chez le spécialiste s'accumulent rapidement, laissant les patients financièrement dépassés.

    Le fardeau économique croissant des maladies chroniques

    Les maladies chroniques sont la principale cause de dépenses de santé aux États-Unis. Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), 90 % des 4 500 milliards de dollars de dépenses annuelles de santé du pays sont consacrés au traitement des maladies chroniques, soit en moyenne 13 493 dollars par personne. Ces dépenses comprennent les consultations médicales, les séjours à l'hôpital, les interventions chirurgicales et la consommation prolongée de médicaments sur ordonnance.

    • La perte de productivité due aux maladies chroniques entraîne également des milliards de dollars de pertes économiques chaque année. En 2022, les coûts indirects du diabète dans l'économie américaine étaient estimés à 106,3 milliards de dollars. 5 Parallèlement, les maladies cardiovasculaires à elles seules devraient coûter aux États-Unis 1,1 billion de dollars par an d'ici 2035. 6

    • Les maladies chroniques créent des difficultés financières intergénérationnelles — Lorsqu'une santé déclinante contraint un travailleur à quitter son emploi, les difficultés financières affectent également toute sa famille. Les conjoints et les enfants deviennent souvent des aidants à temps plein, sacrifiant ainsi leur carrière et leur sécurité financière.

    Alors que les dépenses médicales s’accumulent et que les revenus diminuent, les familles se retrouvent piégées dans un cycle d’instabilité économique qui s’étend sur plusieurs générations et rend le rétablissement financier difficile.

    • Même les programmes gouvernementaux croulent sous le coût exorbitant des maladies chroniques. Le rapport financier 2024 des Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS) 7 révèle que Medicare représente à lui seul 22 % des dépenses de santé aux États-Unis, tandis que Medicaid y contribue à hauteur de 17 %. Au total, ces programmes traitent plus d'un milliard de demandes de remboursement à l'acte chaque année et représentent environ 13 % des dépenses fédérales totales.

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  19. • La plupart des fonds Medicare et Medicaid sont probablement consacrés aux soins des maladies chroniques — Étant donné que les maladies chroniques sont responsables de 90 % des dépenses de santé aux États-Unis, il est probable qu’une part substantielle de ces fonds Medicare et Medicaid soit consacrée à la gestion des maladies chroniques.

    Il y a plus de dix ans, Medicare dépensait déjà des sommes très différentes en fonction du nombre de maladies chroniques dont souffrait une personne.

    • Les coûts de Medicare augmentent considérablement avec le nombre de maladies chroniques. En 2010, un bénéficiaire Medicare moyen ne souffrant que d'une seule maladie chronique ou d'aucune maladie chronique coûtait au système 2 025 $ par an. Mais pour ceux souffrant de deux ou trois maladies, ce chiffre grimpait à 5 698 $.

    Les patients atteints de quatre ou cinq maladies chroniques coûtent en moyenne 12 174 $, tandis que ceux atteints de six maladies ou plus accumulent la somme stupéfiante de 32 658 $ par an. 8 Avec des taux de maladies chroniques augmentant chaque année, on peut supposer que ces chiffres n'ont fait qu'empirer.

    • Le système privilégie les traitements à vie plutôt que la guérison des maladies — Le coût exorbitant des maladies chroniques est le reflet d'un système médical conçu pour gérer les symptômes plutôt que pour vous aider à guérir, avec des milliards investis dans les médicaments, les interventions chirurgicales et les traitements qui assurent un flux constant de profits aux sociétés pharmaceutiques et à l'industrie médicale. Même les médicaments les plus vendus au monde ne sont pas conçus pour traiter la maladie, mais pour vous maintenir dépendant.

    • Les médicaments les plus vendus génèrent des milliards alors que les maladies persistent ou s'aggravent — Lipitor , un médicament hypocholestérolémiant, a généré plus de 150 milliards de dollars de ventes, 9 pourtant les maladies cardiaques restent la principale cause de décès. De même, le coût de l'insuline continue d'augmenter, 10 même si le diabète de type 2 est largement évitable grâce à des changements d'alimentation et de mode de vie.

    Tant que le système tirera profit du maintien des patients sous traitement, la prévention et les solutions concrètes seront ignorées. Pour s'en sortir, il faut commencer à regarder au-delà de la médecine conventionnelle.

    Épuisement professionnel des patients : quand les médicaments deviennent une condamnation à perpétuité
    Le cycle incessant de la recherche d'un soulagement sans guérison est la réalité fondamentale de millions de personnes prises au piège du système médical moderne. Un patient souffrant de douleurs chroniques, par exemple, peut commencer par une prescription légère pour le soulager, puis se retrouver à devoir recourir à des médicaments plus puissants à mesure que son état s'aggrave.

    • Les prescriptions d'opioïdes augmentent au fil du temps mais n'améliorent pas les résultats pour les patients — Une étude publiée dans Pain Medicine 11 a révélé que parmi les patients souffrant de douleurs chroniques non cancéreuses, les taux de prescription d'opioïdes sont passés de 59,6 % au départ à 74,3 % sur deux ans, avec un pourcentage inquiétant de 71 % d'utilisateurs restant sous traitement à long terme.

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  20. La consommation d'opioïdes forts a plus que doublé, passant de 13 % à 31 %. Malgré cette augmentation des prescriptions, les patients ont continué de signaler des douleurs intenses et une forte interférence avec leur vie quotidienne.

    • Les consommateurs d'opioïdes de longue date ressentent davantage de douleur et interrompent rarement leur traitement. De plus, l'étude a révélé que les consommateurs d'opioïdes étaient plus susceptibles de souffrir de douleurs et d'incapacités continues que ceux qui n'en recevaient pas. Plus particulièrement, seulement 1 % des patients ont réussi à interrompre leur consommation d'opioïdes au cours de la période de deux ans, ce qui montre qu'une fois le traitement commencé, les patients l'arrêtent rarement, même lorsque la douleur ne s'améliore pas. 12

    • Les opioïdes aggravent la douleur au fil du temps en abaissant le seuil de douleur du corps. La recherche a également démontré que l'utilisation d'opioïdes à long terme conduit à une hyperalgésie induite par les opioïdes, une condition dans laquelle votre système nerveux devient plus sensible à la douleur plutôt que moins.

    Au lieu d'apporter un soulagement durable, les opioïdes reprogramment vos voies de la douleur, abaissant votre seuil de tolérance à la douleur et rendant l'inconfort encore plus intense. Les médicaments censés soulager vos souffrances les aggravent en réalité avec le temps et vous enferment dans un cycle de douleur croissante et de dépendance aux drogues.

    • Pour les personnes souffrant de troubles mentaux, le schéma est étrangement similaire. Brooke Siem, dans le Washington Post, 14, raconte comment elle a passé près de la moitié de sa vie sous antidépresseurs, sans jamais être interpellée par un médecin pour reconsidérer la nécessité de ces médicaments. Comme tant d'autres, elle a accepté l'idée que ses seuls choix étaient de « faire face à la dépression ou de prendre des antidépresseurs ». 15

    Des années plus tard, elle se retrouva à regarder par la fenêtre de son immeuble de Manhattan, à envisager le suicide malgré les médicaments censés la stabiliser. Ce n'est qu'après avoir arrêté ces médicaments – un processus atroce de plusieurs mois, marqué par des symptômes de sevrage – qu'elle prit conscience de l'ampleur de sa dépendance .

    • L’histoire de Brooke n’est malheureusement pas un cas isolé — on estime que près de 15,5 millions d’Américains prennent des antidépresseurs depuis plus de cinq ans, souvent sans réévaluation. 17

    De plus, une revue systématique et une méta-analyse de 2024 publiées dans The Lancet Psychiatry 18 ont révélé qu'environ 15 % des personnes ayant arrêté leur traitement par antidépresseurs présentaient des symptômes de sevrage directement causés par l'arrêt du traitement. Chez environ 3 % des patients, ces symptômes étaient sévères.

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  21. • La polypharmacie réduit la qualité de vie en aggravant la santé mentale et physique — Une étude de 2021 publiée dans Patient Related Outcome Measures 19 a également révélé que les patients présentant un indice de charge médicamenteuse (DBI) élevé — qui mesure l'exposition aux médicaments ayant des effets sédatifs (par exemple, les benzodiazépines, les opioïdes) et anticholinergiques (par exemple, certains antihistaminiques, antidépresseurs, médicaments pour la vessie) — ont signalé un bien-être psychologique nettement moins bon , des limitations fonctionnelles et une qualité de vie globale diminuée.

    En d'autres termes, plus une personne prend de médicaments, plus elle risque de souffrir de troubles cognitifs, de fatigue et de détresse émotionnelle. Même lorsque ces médicaments sont prescrits avec de bonnes intentions, leurs effets à long terme rendent souvent la vie quotidienne plus difficile, au lieu de l'améliorer.

    Les coûts cachés des maladies chroniques — Stress mental, émotionnel et social
    Si vous vivez avec une maladie chronique, vous savez déjà que le combat va bien au-delà des symptômes physiques : les conséquences mentales et émotionnelles peuvent être tout aussi accablantes. Selon une étude publiée dans Middle East Current Psychiatry, 68,7 % des patients atteints de maladies chroniques ressentent du stress, 51,1 % souffrent d'anxiété et 58,8 % souffrent de dépression.

    • La tension psychologique est particulièrement grave en cas de maladies chroniques multiples. Ces maladies sont particulièrement répandues chez les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires, de troubles métaboliques, de cancer, de maladies respiratoires, de maladies dégénératives, de maladies rénales chroniques et de troubles hépatiques chroniques.

    L’étude Patient Related Outcome Measures21 confirme en outre que les personnes souffrant de trois maladies chroniques ou plus sont significativement plus susceptibles de connaître un bien-être psychologique plus faible.

    • Le fardeau des maladies chroniques affecte également les familles des patients — Les recherches montrent que 95 % des patients atteints de maladies chroniques dépendent d’un soignant, généralement un membre de la famille, pour les aider dans les tâches quotidiennes, la prise de médicaments et les rendez-vous médicaux.

    Les exigences liées à la prestation de soins peuvent rapidement devenir écrasantes, entraînant épuisement et tension émotionnelle. De nombreux aidants sont confrontés à une fatigue constante , au manque de soutien et à la lourde responsabilité de gérer la santé d'autrui tout en essayant de mener leur propre vie.

    • De plus, les maladies chroniques engendrent un sentiment d'isolement. La fatigue, la douleur ou les problèmes de mobilité rendent difficile la participation à des activités sociales et poussent les personnes à abandonner les rassemblements et les loisirs qu'elles appréciaient autrefois. Certaines amitiés s'estompent lorsque les projets sont annulés et que les invitations cessent d'arriver. La solitude qui s'ensuit aggrave la dépression, créant un cycle qui alimente le déclin émotionnel et physique. 23

    • Les maladies chroniques mettent à rude épreuve les mariages, les relations et même les enfants — Si vous êtes marié ou en couple depuis longtemps, le passage du statut de partenaire égal à celui de patient et de soignant peut être difficile à gérer.

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  22. Des recherches (24) montrent que les maladies chroniques augmentent le risque de divorce et de ruptures conjugales, souvent en raison du stress financier, de l'épuisement émotionnel et de la perte d'intimité. Si vous avez des enfants, ils peuvent éprouver des difficultés émotionnelles ou scolaires, car la gestion de votre maladie est désormais au cœur des préoccupations du foyer ( 25) .

    En fin de compte, les maladies chroniques affectent tous les aspects de la vie. Tant que le système médical continuera de se concentrer uniquement sur la gestion des symptômes, des millions de personnes resteront prisonnières d'un cycle qui mine leur qualité de vie.

    L'angle mort de la médecine conventionnelle
    La médecine moderne s'enorgueillit des progrès réalisés dans les domaines pharmaceutique et chirurgical, mais elle a constamment négligé le facteur le plus fondamental de la santé : la fonction cellulaire. Peu de chercheurs l'ont mieux compris que le regretté Dr Ray Peat, biologiste et pionnier de la médecine bioénergétique et du métabolisme humain, dont les travaux ont remis en question presque tous les dogmes alimentaires et métaboliques dominants.

    • L'énergie cellulaire est le fondement de la santé — Les recherches de Peat sur la médecine bioénergétique, qui sont à la base de mon livre « Votre guide pour la santé cellulaire », soulignent le rôle central de l'énergie cellulaire dans la prévention des maladies et le rétablissement de la santé. Il a rejeté l'approche pauvre en glucides, affirmant au contraire que les glucides sont essentiels au fonctionnement des mitochondries et à la santé métabolique.

    • Les régimes à faible teneur en glucides peuvent nuire à la santé des mitochondries en limitant le glucose — J'ai déjà fait partie de ceux qui ont promu un régime à faible teneur en glucides, mais le travail de Peat m'a ouvert les yeux sur la réalité selon laquelle les mitochondries se nourrissent de glucose et que priver votre corps de ce carburant essentiel aggrave les conditions mêmes que les régimes à faible teneur en glucides prétendent traiter.

    Au lieu de promouvoir la restriction calorique et l’évitement des macronutriments, les travaux de Peat démontrent qu’un apport adéquat en glucides alimente la production d’énergie, réduit les hormones de stress et soutient la fonction thyroïdienne. 26

    • Peat a mis en garde contre les huiles de graines et leurs effets métaboliques nocifs — Peat était également l’un des critiques les plus virulents des graisses polyinsaturées (PUF) présentes dans les huiles de graines, bien avant que la médecine traditionnelle ne reconnaisse leurs risques.

    Ses recherches ont démontré comment l’excès d’acide linoléique, un composant principal des huiles de graines, perturbe la fonction mitochondriale et favorise l’inflammation. 27 Alors que la communauté médicale continue de promouvoir les huiles végétales comme étant « bonnes pour le cœur », le modèle bioénergétique révèle leur impact dévastateur sur le métabolisme.

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  23. • Des recherches importantes comme celles de Peat ont été ignorées parce qu'elles ne correspondaient pas au profit. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres où des recherches révolutionnaires ont été systématiquement ignorées au profit de directives alimentaires axées sur le profit.

    Les découvertes de Peat ont des implications profondes pour des pathologies allant de l'hypothyroïdie aux maladies neurodégénératives, mais elles restent largement méconnues de la médecine moderne. Il n'est pas surprenant que la médecine conventionnelle ait rejeté les travaux de Peat, les jugeant trop obscurs ou indignes d'une considération clinique sérieuse, les soumettant à la censure et au ridicule.

    • L'industrie médicale résiste aux changements qui pourraient réduire la dépendance aux médicaments — Cette suppression délibérée a limité sa portée, tout comme les travaux des chercheurs pionniers sur lesquels il s'est appuyé. Il n'existe aucune motivation financière pour promouvoir des interventions diététiques et hygiéno-diététiques qui restaurent la fonction mitochondriale, réduisent la dépendance aux médicaments et inversent les maladies chroniques. Après tout, l'industrie médicale est structurée autour de traitements rentables plutôt que de prévention des maladies.

    Par conséquent, les recherches prometteuses sur la santé cellulaire et les thérapies métaboliques restent en marge du système de santé, tandis que les patients sont livrés à eux-mêmes. Tant que le corps médical ne se concentrera pas sur le soutien de la fonction mitochondriale, la prise en charge des carences nutritionnelles et l'élimination des expositions toxiques, l'épidémie de maladies chroniques continuera de s'aggraver. Les véritables solutions pour la santé ne sont pas cachées : elles sont tout simplement ignorées.

    Un signal d'alarme : le système de santé a désespérément besoin de changement
    La médecine moderne ne parvient pas à soigner ceux-là mêmes qu'elle est censée aider. Les maladies chroniques ont atteint des proportions épidémiques, et pourtant, la seule réponse du système de santé est la multiplication des médicaments, des procédures et des interventions plus coûteuses, sans pour autant s'attaquer aux causes profondes des maladies.

    Votre corps ne manque pas de médicaments ; il est privé des conditions essentielles à un fonctionnement cellulaire optimal. Une mauvaise alimentation, un dysfonctionnement métabolique, des toxines environnementales et un stress chronique sont les véritables causes des maladies modernes. Pourtant, ces facteurs sont négligés au profit d'interventions coûteuses et très rentables qui ne font rien pour inverser la maladie au niveau cellulaire.

    Ce cycle n'est pas une fatalité. Une véritable santé est possible, mais elle nécessite de passer de la gestion de la maladie à la restauration des fonctions cellulaires. Au lieu de masquer les symptômes, la médecine doit privilégier les conditions qui permettent au corps de s'auto-guérir. La bonne nouvelle, c'est que des solutions existent déjà. La recherche en bioénergétique et en thérapies métaboliques ouvre la voie à un avenir où les maladies chroniques ne seront plus la norme.

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  24. Le corps humain est incroyablement résilient lorsqu'il dispose des outils adéquats, et la guérison est à portée de main pour ceux qui sont prêts à sortir du modèle conventionnel. En se concentrant sur la santé cellulaire, l'avenir de la médecine peut enfin dépasser la gestion des maladies et s'orienter vers une vitalité réelle et durable.

    Foire aux questions (FAQ) sur la cause profonde des maladies chroniques
    Q : Pourquoi les États-Unis dépensent-ils autant dans les soins de santé alors que les conséquences des maladies chroniques s’aggravent ?

    R : Malgré l'allocation de 90 % de leur budget annuel de santé de 4 500 milliards de dollars aux maladies chroniques, les États-Unis continuent de constater une augmentation des taux de maladies comme les maladies cardiaques, le diabète et le cancer. La raison ? La plupart des dépenses sont consacrées à des traitements pharmaceutiques et à des interventions chirurgicales rentables qui ne traitent pas le dysfonctionnement cellulaire sous-jacent. Au lieu de favoriser la guérison, ces interventions favorisent une dépendance à vie et ne parviennent pas à inverser la progression de la maladie.

    Q : Quel est l’impact financier et émotionnel des maladies chroniques sur les patients ?

    R : Les maladies chroniques entraînent de graves difficultés financières, même pour les assurés. Les patients souffrant de plusieurs pathologies sont quatre fois plus susceptibles de déclarer faillite, leur dette médicale impayée moyenne passant de 784 $ (sans pathologie) à 1 252 $ (avec plusieurs pathologies).

    Au-delà des questions financières, les patients et leurs familles sont confrontés à une tension émotionnelle intense, au stress, à l'isolement et à des ruptures relationnelles. Les aidants, souvent des membres de la famille, souffrent d'épuisement professionnel et de pertes de revenus alors qu'ils jonglent avec les tâches quotidiennes liées aux soins.

    Q : Pourquoi les médicaments sur ordonnance comme les opioïdes et les antidépresseurs sont-ils problématiques pour les maladies chroniques ?

    R : Les médicaments sur ordonnance sont souvent une condamnation à perpétuité plutôt qu'une voie vers la guérison. Des études montrent que les patients arrêtent rarement les opioïdes, même lorsque leur douleur ne s'améliore pas, en raison d'une sensibilité accrue à la douleur (hyperalgésie induite par les opioïdes).

    De même, l'utilisation d'antidépresseurs à long terme est répandue : 15,5 millions d'Américains en prennent depuis plus de cinq ans, souvent sans réévaluation. Les symptômes de sevrage sont fréquents et parfois sévères, et la polymédication aggrave le bien-être mental et physique général.

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  25. Q : Quels sont les « coûts cachés » des maladies chroniques au-delà des symptômes physiques ?

    R : Les maladies chroniques ont de graves répercussions sur la santé mentale, émotionnelle et sociale. Près de 70 % des patients souffrent de stress, d'anxiété ou de dépression, en particulier ceux qui souffrent de plusieurs affections. Le repli sur soi, la solitude et les tensions conjugales et relationnelles sont fréquents.

    Le fardeau émotionnel pèse également sur les aidants, qui souffrent de fatigue et voient leur qualité de vie diminuer. L'accent mis par le système sur la gestion des symptômes, plutôt que sur une véritable guérison, ne fait qu'aggraver ces conséquences.

    Q : Quelle approche peut m’aider à briser le cycle de la maladie chronique et de la dépendance ?

    R : La guérison commence par s'attaquer aux causes profondes au niveau cellulaire. Privilégier la santé mitochondriale, un apport adéquat en glucose, une exposition réduite aux huiles de graines et une alimentation riche en nutriments favorise la capacité de l'organisme à se régénérer. Cette approche va au-delà de la gestion des symptômes et vise à rétablir la production d'énergie, à équilibrer les hormones du stress et à réduire la dépendance aux médicaments, favorisant ainsi une santé durable plutôt qu'une dépendance chronique.

    *

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  26. Et si le DMSO était utilisé pour les AVC, les lésions de la moelle épinière, les douleurs inflammatoires et les cancers? Une molécule délaissée car non rentable


    le 22 avril 2025
    par pgibertie


    Si le DMSO était utilisé pour les accidents vasculaires cérébraux et les lésions de la moelle épinière, des millions de personnes seraient épargnées de la mort, de la paralysie et de l’invalidité. En tant que médecin en soins intensifs, je n’arrive pas à croire que la FDA nous ait caché cela pendant des décennie

    https://twitter.com/MidwesternDoc

    Cet article montre comment le DMSO a libéré des millions de personnes de douleurs chroniques et a prouvé qu’il pouvait traiter rapidement 80 à 90 % des blessures, ce que nous avons pu constater de visu. Pourtant, malgré des décennies de données incroyables et de protestations généralisées en faveur de sa légalisation, la FDA l’a quand même enterré.

    L’approche standard pour traiter la douleur et les blessures musculo-squelettiques consiste généralement à administrer des AINS (par exemple, l’ibuprofène) et, dans les cas plus graves, des opioïdes. Malheureusement, ces médicaments sont extrêmement dangereux (par exemple, chacun tue des dizaines de milliers de personnes chaque année), mais ils n’en demeurent pas moins la norme de soins depuis des décennies.

    Le DMSO est un analgésique remarquablement efficace, qui permet dans de nombreux cas à des personnes handicapées depuis des années par la douleur (par exemple, une opération de la colonne vertébrale ratée ou une arthrite grave, l’utilisation la plus courante du DMSO) de reprendre leur vie en main. De plus, il peut traiter de nombreux types de douleur sur lesquels d’autres thérapies ne fonctionnent pas (par exemple, le syndrome douloureux régional complexe).

    •Le DMSO est une thérapie très efficace pour cicatriser les plaies et créer des cicatrices saines, ce qui le rend particulièrement utile pour la récupération après une intervention chirurgicale.

    •Le DMSO est incroyablement efficace pour soigner un large éventail de blessures musculo-squelettiques aiguës et chroniques (par exemple, l’arthrite, les maux de tête, les tensions au niveau du cou et du dos, le syndrome des jambes sans repos, les entorses de la cheville, la névralgie du trijumeau et de nombreuses blessures traumatiques). Son taux de réussite est généralement de 80 à 90 % et son effet est souvent instantané et spectaculaire. Cette utilisation était particulièrement populaire auprès des athlètes professionnels, car elle permettait à bon nombre d’entre eux de retourner rapidement sur le terrain plutôt que d’être absents pour le reste de la saison.

    https://www.midwesterndoctor.com/p/dmso-is-a-miraculous-therapy-for

    @BanounHelene

    « Le miracle du cancer vieux de 50 ans, caché à la vue de tous En 1968, la FDA a découvert quelque chose d’incroyable : un colorant commun combiné au DMSO (diméthylsulfoxyde) pouvait détruire les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines. Au lieu d’accélérer cette avancée, ils ont choisi d’enterrer les preuves. Mais maintenant, comme le montre

    @MidwesternDoc

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  27. , les médecins ont prouvé que cette combinaison fonctionne, traitant en toute sécurité des cancers autrement « incurables ».

    Le colorant utilisé en combinaison avec le DMSO était l’hématoxyline, un extrait naturel traditionnellement utilisé pour colorer les tissus au microscope. Lorsque les médecins l’ont associé au DMSO, ils ont constaté quelque chose d’extraordinaire : des cancers agressifs et récurrents ont commencé à disparaître. Cela a fonctionné même dans les cas où les traitements standards avaient échoué. Les résultats étaient si prometteurs qu’ils auraient dû ouvrir une nouvelle ère dans la prise en charge du cancer.

    Mais la bonne nouvelle n’a pas duré longtemps. L’élan du DMSO a été interrompu. La répression réglementaire et les intérêts pharmaceutiques ont eu leur mot à dire. Et encore une fois, c’était une question de profit plutôt que de personnes. Aujourd’hui, des décennies plus tard, le potentiel étonnant du DMSO dans le traitement du cancer reste largement oublié.

    https://www.midwesterndoctor.com/p/hundreds-of-studies-show-dmso-transforms

    https://pgibertie.com/2025/04/22/et-si-le-dmso-etait-utilise-pour-les-avc-les-lesions-de-la-moelle-epiniere-les-douleurs-inflammatoires-et-les-cancers-une-molecule-delaissee-car-non-rentable/

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  28. les effets neurologiques nocifs de la protéine Spike issue de l’infection et des vaccins COVID la neurotoxicité potentielle des vaccins COVID-19/vaccinations


    le 22 avril 2025
    par pgibertie


    URGENT ! 2 ans que nous prévenons sur les effets neurologiques de la Spike, et bien voilà 😞⬇️
    Un neuroscientifique allemand publie une nouvelle revue – 18 avril 2025, montrant les effets neurologiques nocifs de la protéine Spike issue de l’infection et des vaccins COVID-19/Spike S-COV-2.
    Il démontre la neurotoxicité potentielle des vaccins COVID-19/vaccinations répétées/inefficacité/problèmes de sécurité.

    EFFICACITÉ:

    « Les données de pharmacovigilance sont principalement obtenues grâce à des systèmes de détection passifs qui sont inadéquats »
    « L’administration répétée de vaccins peut entraîner une résistance/tolérance au vaccin… jusqu’à l’épuisement du système immunitaire »
    « peut altérer la signalisation de l’interféron de type I, essentielle à la santé du système immunitaire, au contrôle des infections et des agents cancérigènes »
    « incidence d’infection signalée plus élevée chez les personnes traitées par ASP (par produite par les 💉), parrapport aux personnes non traitées »

    SÉCURITÉ:

    « L’ASP de Pfizer-BioNTech a été administré. Une signature inflammatoire systémique, incluant des interférons/interleukines, a été démontrée. Les symptômes persistent pendant des semaines/mois chez certaines personnes. »

    « Des décès ont été décrits immédiatement après l’administration d’ASP »

    « preuve d’une sous-déclaration importante et généralisée des effets indésirables »

    « Les effets neurologiques indésirables de l’ASP décrits dans la littérature »

    « Potentiel neurodégénératif. La SP ( Spike) peut induire une agrégation/un mauvais repliement/un dysfonctionnement des protéines. Favoriser les processus neurodégénératifs »

    « Autres propriétés toxiques »

    « Il a été démontré que la SP contient un domaine « semblable à une toxine » dans le RBD sur son S1, avec une homologie de séquence avec le virus de la rage (RBG), la glycoprotéine (VIH) et la neurotoxine NL-1, qui se lient tous aux nAChR α7 du système cholinergique et les inhibent. »

    « contamination, adjuvants non déclarés provenant du processus de fabrication »

    « Les ASP contiennent également des substances telles que les excipients fonctionnels exclusifs ALC-0315 et ALC-0159, qui n’ont jamais été utilisés dans un médicament auparavant. »

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  29. « Une contamination par l’ADN a été détectée dans les vaccins bivalents à ARNm de Moderna et de Pfizer-BioNTech, dépassant les limites fixées par l’EMA et la FDA. »

    « Il est inquiétant de constater que l’ADN résiduel représente non seulement des fragments des matrices d’ADN, mais tous les gènes du plasmide, y compris le promoteur/activateur du virus simien 40 (SV40) et le gène de résistance aux antibiotiques (à la kanamycine) »

    « préoccupation car le SV40 est associé au cancer chez l’homme »

    Il faut prouver que l’ASP est la cause de dommages physiques ou sanitaires. Or, cela a déjà été démontré avec la détection de SP par injection (et non pour la protéine de nucléocapside N issue d’une infection) dans des foyers d’inflammation cérébrale et cardiaque.

    « Les effets secondaires indésirables de l’ASP ne doivent pas être négligés ni même rejetés comme un moindre mal. »

    « Il est proposé ici d’utiliser le terme « spikeopathie » pour les pathologies associées aux protéines spike. Il s’agit donc d’une autre protéinopathie présentant, entre autres, un potentiel neurodégénératif. »

    « Les termes utilisés jusqu’à présent, tels que « syndromes post-vaccination COVID-19 », sont incorrects. Il ne s’agit pas de vaccinations conventionnelles classiques, mais d’un nouveau concept d’immunisation génétique utilisant des promédicaments immunostimulants à base de gènes. »

    Source:

    https://sciencedirect.com/science/article/pii/S0940960225002894

    https://pgibertie.com/2025/04/22/les-effets-neurologiques-nocifs-de-la-proteine-spike-issue-de-linfection-et-des-vaccins-covid-la-neurotoxicite-potentielle-des-vaccins-covid-19-vaccinations/

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  30. Des molécules intéressantes pour lutter contre le cancer mais nuisibles pour les dividendes de Big Pharma


    le 24 avril 2025
    par pgibertie


    La Vitamine C : Un Remède Miracle ?

    - voir schéma sur site -

    La vitamine C, ou acide ascorbique, est essentielle pour de nombreuses fonctions corporelles, notamment la production de collagène, la cicatrisation des plaies et le soutien du système immunitaire. Cependant, son potentiel thérapeutique va bien au-delà de ces fonctions de base. Des études ont montré que des doses massives de vitamine C, administrées par voie intraveineuse, peuvent avoir des effets bénéfiques sur diverses pathologies, y compris le cancer.

    Linus Pauling, double lauréat du prix Nobel, a été l’un des premiers à défendre l’utilisation de la vitamine C à haute dose dans les années 1970. Ses travaux ont montré des résultats prometteurs, mais ils ont été largement ignorés par la communauté médicale française. Aujourd’hui, des médecins comme le Dr Jean-Philippe Labreze, qui a utilisé cette méthode avec succès sur une patiente en phase terminale, se heurtent à des sanctions sévères, allant jusqu’à la radiation.

    https://lemediaen442.fr/big-pharma-vs-medecine-naturelle-pourquoi-la-vitamine-c-est-elle-interdite-en-france-pour-traiter-le-cancer/

    Ivermectine et cancer: une revue de la littérature par des Drs en pharmacie qui explore les mécanismes d’action possible, passe en revue des études de cas, rassure sur la sécurité pour des patients cancéreux et appelle à plus de recherche clinique.

    « Le traitement à l’ivermectine a (souvent) été refusé en raison de l’étiquette de l’indication actuelle. Pour lever cet obstacle et rendre le traitement plus équitable, il faut recueillir davantage de preuves auprès des patients atteints de cancer et les rassembler en vue de leur examen. L’inquiétude théorique concernant la neurotoxicité potentielle de l’ivermectine chez l’homme n’a pas été confirmée. Cette méta-analyse IPD fournit aux autorités réglementaires et aux décideurs politiques de nouvelles preuves de l’innocuité de l’ivermectine chez les patients atteints de cancer. Les données fournissent des preuves limitées mais inspirantes que l’ivermectine est sûre et bien tolérée chez les patients atteints de cancer ».

    https://pgibertie.com/2025/04/24/des-molecules-interessantes-pour-lutter-contre-le-cancer-mais-nuisibles-pour-les-dividendes-de-big-pharma/

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  31. La Chine exporte des voitures électriques augmentées à l'essence


    France-Soir, avec AFP
    le 25 avril 2025 - 12:20


    La Chine est-elle en train de maquiller son retour au thermique ? Lors du Salon automobile de Shanghai, les géants chinois de l’auto ont présenté fièrement des modèles ÉREV — véhicules électriques à prolongateur d’autonomie. Un joli nom qui promet plus de 1 000 km d'autonomie, grâce à du carburant fossile.

    Certains diraient qu'on veut le beurre et l'argent du beurre. La solution hybride offre aux automobilistes anxieux - mais bien verts - une porte de sortie confortable face aux limites de l’électrique.

    Les ÉREV, ou "range extenders", associent une batterie électrique classique à un générateur thermique qui recharge la batterie en roulant. Le moteur essence n’entraîne jamais les roues, mais permet d’éviter la panne sèche électrique. Autrement dit, les émissions sont bel et bien réelles, même si le discours reste « zéro émission à l’usage ». Et en Chine, ce segment explose : +1 million de ventes en 2024, selon McKinsey. Stellantis, Volkswagen et Renault, via leurs partenariats locaux, testent timidement ces modèles en Europe et aux États-Unis. Comme le rapporte l’AFP, la prudence domine côté occidental, notamment à cause des réglementations à venir. Il faut dire, aussi, que cela sèmerait un doute certain quant à l'efficacité des mesures écologiques, ou bien à leur sincérité !

    Alors, si pour l'instant le marché européen vise le 100 % électrique d’ici à 2035, ces modèles à essence pourraient rendre caduque cette échéance si des exemptions sont accordées. "Qui investirait dans des usines de prolongateurs en Europe si on sait qu'elles seront caduques en 2035 ?", interroge Holger Klein, patron de ZF. Aux États-Unis, plus souples et plus friands des gros pickups capables de tracter sans vider la batterie, ces véhicules trouvent un public potentiel : 24 % des consommateurs seraient prêts à opter pour un EREV, toujours selon une étude McKinsey.

    Alors que l’électrique pur promet encore monts et merveilles, la Chine tente de prendre une longueur d’avance en choisissant l'illusion pragmatique : une voiture propre pas si propre, qui roule.

    https://www.francesoir.fr/societe-transport/la-chine-exporte-des-voitures-electriques-augmentees-l-essence

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  32. La CE inflige des amendes de 500 et 200 millions d’euros à Meta et Apple


    France-Soir
    le 25 avril 2025 - 10:55


    Apple et Meta sont de nouveau sanctionnés par la Commission européenne (CE). Assez discrètement. Il s’agit des premières sanctions prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques, entré en vigueur l’an dernier. Les amendes infligées à ces deux géants sont toutefois de moindre envergure que celles qui ont déjà été prononcées, dans un contexte de tension entre l’Union européenne (UE) et les États-Unis.

    L’entrée en vigueur du DMA (Digital Markets Act, NDLR) est suivie en mars 2024 par l’ouverture d’enquêtes contre les pratiques commerciales de Meta, groupe californien dirigé par Mark Zuckerberg et maison-mère de Facebook ou encore Instagram, et celles d’Apple. Il est reproché à la firme de Cupertino une non-conformité concernant les règles relatives au pilotage dans l'AppStore tandis que la société de Menlo Park se retrouve dans le viseur de la CE pour son “modèle de paiement ou de consentement”.

    Un AppStore restrictif et une collecte de data non consentie

    En juin et juillet de la même année, les deux géants de la tech sont informés par la CE de son avis préliminaire selon lequel les sociétés enfreignent la législation sur les marchés numériques. “La Commission peut infliger des amendes aux entreprises non conformes jusqu'à concurrence de 10 % de leur chiffre d'affaires annuel mondial”, rappelait alors l’institution européenne.

    Une année plus tard, les sanctions tombent. “Aujourd'hui, la Commission européenne a constaté qu'Apple avait manqué à son obligation de lutte contre la direction au titre de la législation sur les marchés numériques (DMA) et que Meta avait violé l'obligation de la DMA de donner aux consommateurs le choix d'un service qui utilise moins de leurs données à caractère personnel”, conclut la CE.

    Qu’est-il reproché à Apple et Meta ? Le premier groupe se voit taper sur les doigts pour son App Store, sa boutique d’applications iOs. “En vertu du DMA, les développeurs d'applications distribuant leurs applications via l'AppStore d'Apple devraient être en mesure d'informer gratuitement les clients des offres alternatives en dehors de l'AppStore, de les orienter vers ces offres et de leur permettre d'effectuer des achats”, lit-on.

    Or, la firme de Cupertino “ne respectait pas cette obligation”. “En raison d'un certain nombre de restrictions imposées par Apple, les développeurs d'applications ne pouvant pas bénéficier pleinement des avantages des canaux de distribution alternatifs en dehors de l'App Store”. Quant aux utilisateurs, ils “ne peuvent bénéficier pleinement d'offres alternatives et moins chères, étant donné qu'Apple empêche les développeurs d'applications d'informer directement les consommateurs de ces offres”.

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  33. Il est alors ordonné à Apple de “lever les restrictions techniques et commerciales en matière de direction et de s'abstenir de perpétuer le comportement non conforme à l'avenir”.

    500 et 200 millions pour Apple et Meta

    Pour Meta, c’est le modèle publicitaire “consentement ou paiement”, jugé “binaire”, qui pose problème selon le DMA. “Les utilisateurs de Facebook et d'Instagram dans l'UE avaient le choix entre consentir à la combinaison de données à caractère personnel pour la publicité personnalisée ou payer un abonnement mensuel pour un service sans publicité”, explique-t-on. Ce modèle “n'était pas conforme à la législation”, ne donnant pas aux utilisateurs le choix spécifique requis d'opter pour un service qui utilise moins de leurs données à caractère personnel, ni la possibilité “d'exercer leur droit de consentir librement à la combinaison de leurs données personnelles”.

    Meta a vite réagi en novembre dernier, en introduisant une autre version du modèle d'annonces personnalisées gratuites, actuellement évaluée par la CE, qui a tout de même décidé d’infliger une amende de 500 millions d'euros à Apple et de 200 millions d'euros à Meta. Les amendes infligées à Apple et Meta tiennent compte de la gravité et de la durée de la non-conformité”, explique la commission. Les deux groupes “sont tenus de se conformer aux décisions de la Commission dans un délai de 60 jours”.

    La firme de Cupertino a rapidement réagi à la décision, contestant une décision qui le "cible injustement" et annonçant son intention de faire appel.

    Il s’agit des premières sanctions prononcées dans le cadre du DMA. Celles-ci interviennent dans un contexte tendu entre Washington et Bruxelles en raison des tarifs douaniers appliqués par l’administration Trump. Les sanctions déjà prononcées jusque-là contre les GAFAM en Europe n’ont pas manqué d’aggraver la mésentente. Ces règlements constituent, en outre, un levier ou surtout un moyen de pression pour l’UE dans ses négociations avec son allié transatlantique.

    https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/la-ce-inflige-des-amendes-de-500-et-200-millions-d-euros-meta-et-apple

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  34. On dirait le grand plan pour utiliser la pollution pour lutter contre la « pollution ».
    Le communiqué de presse parle timidement d'« aérosols » injectés dans le ciel, comme s'il s'agissait d'un brumisateur géant ou d'une aromathérapie pour l'atmosphère. Ils refusent de nommer l'aérosol que ces expériences vont déverser dans le ciel – pas en une seule phrase. Au lieu de cela, ils suggèrent de manière suggestive que le dioxyde de soufre se dégage des vaisseaux et rend les nuages ​​plus brillants depuis l'espace, ce qui est une façon élégante de dire que la pollution due au diesel rend les nuages ​​plus sombres depuis la Terre. Vous voyez comment ça marche ? Le mauvais dioxyde de soufre nécessitait une réglementation et créait des emplois (et l'ONU était très fière d'avoir éliminé le SO2). Maintenant, le bon dioxyde de soufre a besoin de subventions et crée encore plus d'emplois. Le SO2 a juste besoin d'une refonte. Alors, oh ! c'est un élément courant dans les gaz d'échappement des avions à réaction. Vient-il d'admettre que nous pourrions tous voler davantage et « sauver la planète » ? Le Forum économique mondial ne sera pas ravi. Le Dr Sebastian Eastham, maître de conférences en aviation durable à l'Imperial College de Londres, a déclaré : « À chaque vol, du soufre, naturellement présent dans le kérosène, est émis dans la basse stratosphère, provoquant un léger refroidissement. »

    Les experts espèrent que si les expériences s'avèrent concluantes, elles pourront être étendues et mises en œuvre d'ici 10 ans.

    Ils ne disent donc pas explicitement qu'ils ajouteront à la pollution du ciel, pollution que nous avons cherché à éliminer du transport maritime ces 100 dernières années. Mais il est probable que c'est précisément ce à quoi ils pensent. Presque toutes les injections d'aérosols stratosphériques utilisent du dioxyde de soufre. La semaine dernière, on a appris que le projet américain « Make Sunsets » utilise des ballons météorologiques pour larguer du dioxyde de soufre dans le ciel afin de « refroidir la planète ».

    Des articles récents attribuent à leur succès dans l'élimination du SO2 du transport maritime le réchauffement climatique anormal que leurs modèles n'avaient pas prévu.

    Pour mémoire, certains projets de géo-ingénierie insensés pourraient impliquer de la craie. Poussière, dioxyde de titane et sel marin. Peut-être qu'ils les essaieront tous ?

    Et comme le disent les commentateurs sur X, je ne consens pas !

    H/t David M, Rafe, Jim Simpson,


    https://joannenova.com.au/2025/04/uk-gov-spends-50-m-to-dim-sun-to-create-slightly-less-beach-weather/

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  35. Fête de la librairie indépendante le samedi 26 avril


    le 25 avril 2025 - 11:55


    Allez, on lit ! Samedi 26 avril, c'est la 27e édition de la Fête de la librairie indépendante. En France, Belgique, Suisse et Luxembourg, près de 700 libraires participeront à cette tradition empruntée à l'esprit de la Sant Jordi catalane, et offriront aux lecteurs un ouvrage pensé pour l'occasion ainsi qu'une rose. De quoi masquer pour un instant l'écroulement du métier...

    Version française de la Sant Jordi catalane, la Fête de la librairie indépendante a été créée par l'association Verbes en 1998. Elle est soutenue par trois maisons d’éditions : Gallimard, Actes Sud et Thierry Magnier. Pour cette année, comme le rapporte l'AFP, cinq beaux livres sont rassemblés en un seul, "Esprit es-tu là ?", tiré à 26 000 exemplaires et offert aux clients des librairies indépendantes qui participent à cette journée dans toute la France. Comme l'explique la librairie des Abbesses, organisatrice de l'événement avec l'association Verbes, cinq artistes et intellectuels ont participé à ce périple éditorial : Gabriel Dufay, Antoine Ginésy, Claire Morel, Daniel Sangsue et Vahram Muratyan.

    Pour trouver une librairie participante près de chez vous, rendez-vous sur la carte interactive. Plus généralement, pour soutenir ces petits commerces toute l'année, vous pouvez aussi vous référez au site bien nommé des librairies indépendantes.

    Il faut dire que tout cela tombe à pic, puisque nos chères petites librairies ne se sont jamais portées aussi mal... Pour la première fois depuis 2015, les librairies passent derrière les grandes surfaces culturelles en tant que lieu d’achat privilégié des lecteurs, selon l’étude « Les Français et la lecture » réalisée début 2025 pour le Centre national du livre. Une alerte pour le moins sérieuse, alors que la fréquentation baisse et que les géants du secteur, Amazon en tête, laminent les marges et les habitudes. Derrière la jolie vitrine de l’événement se cache l'inquiétude grandissante de voir disparaître un maillon essentiel de la chaîne culturelle, et une habitude saine. "Pourquoi les librairies ne sont pas des commerces comme les autres ?", s'interroge-t-on cette année, en guise de thématique. Reste à savoir si la ferveur d’un jour suffira à panser les plaies de cette profession essentielle et si discrète.

    https://www.francesoir.fr/culture-livres/fete-de-la-librairie-independante-le-samedi-26-avril

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  36. En ces périodes où « la » science est remise en cause, il est sans doute bon de rappeler que science et idéologie ne font pas bon ménage. Pour ceux qui le connaissent encore, Lyssenko, ex président des sciences de l'Union soviétique en a fait la démonstration il y longtemps de façon claire…et dramatique.

    Il serait bon de ne pas recommencer et ne pas remettre en cause la science quand ses résultats sont répétés et consensuels au nom d’une idéologie, quelle qu’elle soit.
    ______________

    * Ingénieur agronome, PhD en biologie santé, co-titulaire de la chaire Aliments et Bien Manger de l'Université de Rennes, membre de l'Académie d'Agriculture de France.

    Source : https://www.linkedin.com/posts/pierre-weill-7045a318_remettre-en-cause-la-science-cest-%C3%A0-la-activity-7306567277494095872-BCF1

    https://seppi.over-blog.com/2025/04/une-recherche-pour-etablir-des-faits-ou-conforter-une-opinion.html

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  37. Annonce d’Emmanuel Macron sur les chercheurs étrangers : quid des scientifiques français muselés ?


    Xavier Azalbert, Gérard Guillaume, Christian Perronne, Corinne Reverbel pour France-Soir
    le 24 avril 2025 - 19:45


    Résumé : Ce 19 avril 2025 Emmanuel Macron et le ministre de la Recherche Philippe Baptiste promettait dans une annonce « d’accueillir des centaines de chercheurs étrangers via la plateforme Choose France for Science ». Présentée comme une réponse aux restrictions scientifiques aux États-Unis sous Trump, cette initiative vise à faire de la France un refuge pour la science mondiale. Cependant, cette ambition se présente comme une façade communicationnelle, masquant une science française muselée par des intérêts politiques, financiers et médiatiques.

    La recherche française est sous l’emprise d’une « église scientifique » où l’État, les lobbies industriels (pharmaceutiques, agroalimentaires, énergétiques) et les médias imposent des dogmes, étouffant le doute méthodique.

    Des scientifiques renommés, comme Jean-Pierre Petit (magnétohydrodynamique), Gérard Mourou (Nobel de physique 2018), Laurent Mucchielli (sociologue), Didier Raoult (IHU), et Jean-François Lesgards (Nutrition et Maladies Inflammatoires), sont ostracisés pour leurs travaux disruptifs, menaçant les intérêts établis. Cette censure viole la jurisprudence Hertel (1998), qui protège les voix minoritaires essentielles au progrès. Les lobbies bloquent des innovations (énergies propres, traitements accessibles, solutions environnementales), tandis que les médias, complices d’une « pollution informationnelle », amplifient les discours officiels sans esprit critique.

    L’initiative « Safe Place for Science » d’Aix-Marseille, bien que prometteuse, est limitée par un sous-financement et des contradictions, comme la répression de chercheurs locaux (ex. Vincent Pavan). Le CNRS et l’INSERM, critiqués pour leur inefficacité et leurs dérives censoriales, ainsi que des fraudes tolérées (ex. Pradelle-Léga), aggravent la crise. Comparée aux États-Unis, où des dissidents comme Jay Bhattacharya ou RFK Jr. sont réhabilités, la France condamne ses « Galilée modernes » à l’oubli.

    Pour redevenir une terre de science, la France doit garantir la liberté académique, des financements indépendants, une gouvernance réformée (CNRS, INSERM), et un journalisme critique. Sans ces conditions, l’annonce du président reste un « tourisme scientifique », sacrifiant le potentiel français au profit d’une illusion. Comme le souligne Camus, « La vérité, comme la lumière, aveugle » : la France doit choisir entre la vérité scientifique et le mensonge confortable.

    Analyse

    Le 19 avril 2025, le président Macron, accompagné du ministre de la Recherche Philippe Baptiste, a proclamé avec audace que « la France était prête à accueillir des centaines de chercheurs » étrangers, profitant des restrictions imposées à la science aux États-Unis sous l’administration Trump. Cette annonce, parée d’une ambition universaliste, s’appuie sur une plateforme nommée « Choose France for Science » et un rendez-vous prévu le 5 mai 2025. La France, refuge des esprits libres, phare de la science mondiale : tel est le tableau idyllique dépeint par le chef de l’État.

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  38. Mais, derrière ce vernis séduisant se tapit une réalité bien plus sombre. La science française, loin d’être libre, est enchaînée par des intérêts politiques, financiers et médiatiques. Ses lumières des temps modernes, de Jean-Pierre Petit à Gérard Mourou, des chercheurs de l’IHU Méditerranée au directeur de recherches Laurent Mucchielli, sont réduites au silence, ostracisées par une « harcelosphère » institutionnalisée. Les lobbies pharmaceutiques, agroalimentaires et énergétiques dictent les priorités de la recherche par leur mainmise sur les lobbys financiers, tandis que les médias, complices d’une pollution informationnelle, amplifient les discours officiels sans esprit critique.

    illusion

    Comment la France peut-elle prétendre incarner un havre scientifique alors qu’elle muselle ses propres talents et instrumentalise la science pour servir des agendas politiques ? Comment peut-elle vanter une recherche « sans limites » lorsque les politiques publiques, des confinements aux traitements expérimentaux, ont enrichi des industriels au détriment de droits fondamentaux des citoyens et de leur santé ? L’annonce du président n’est qu’une façade opportuniste, une propagande qui frôle le délit d’initiés, trahissant les chercheurs français au profit d’une communication internationale. À travers les cas de censure, la jurisprudence Hertel, l’influence des lobbies et le rôle des médias, nous révélons une France disqualifiée pour prétendre au statut de refuge scientifique. Comme le disait Albert Einstein, « Celui qui veut découvrir la vérité doit rester indépendant de toute influence extérieure ». C’est dans cette quête d’indépendance que nous plongeons pour démasquer les illusions d’un discours présidentiel.

    La science sous contrôle : une capture historique et contemporaine

    Depuis Galilée, condamné pour ses idées, la science est un champ de bataille pour le pouvoir. Aujourd’hui, une « église scientifique » moderne, portée par l’État, les lobbies industriels et les médias, impose ses dogmes. Le mantra des Macronistes, « Je crois en la science », transforme la recherche en outil politique, au mépris du doute méthodique prôné par Karl Popper, pour qui « l’accroissement de la connaissance dépend entièrement du désaccord. » Cette vision, qui place la critique au cœur du progrès scientifique, est bafouée par un système français où les certitudes établies sont protégées par des intérêts puissants.

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  39. Les budgets publics favorisent les projets alignés sur les priorités gouvernementales (vaccins, transition énergétique, intelligence artificielle). Les voix dissidentes sont réprimées par des outils comme PubPeer, accusée de harcèlement scientifique, ou des rapports financés par le CNRS traquant le « complotisme » pour discréditer les idées divergentes. Mais la capture ne s’arrête pas là. Les lobbies pharmaceutiques, agroalimentaires et énergétiques exercent une influence tentaculaire, orientant la recherche pour protéger leurs profits au détriment de l’intérêt public.

    La science sous controle

    La crise du Covid-19 illustre cette capture. Les confinements, basés sur des modèles épidémiologiques non calibrés, ont manqué de preuves d’efficacité globale. Les vaccins, promus comme des solutions miracles, ont enrichi des laboratoires comme Pfizer, souvent au mépris des effets secondaires. À l’inverse, les traitements précoces (hydroxychloroquine, ivermectine), défendus et prouvés dans des publications scientifiques par l’IHU Méditerranée, ont été discrédités sans études rigoureuses, sous la pression de Big Pharma avec l’assentiment des autorités sanitaires. Ces choix ont détourné des fonds publics vers des industriels, abandonnant des voies de recherche prometteuses, comme les technologies énergétiques alternatives ou les traitements accessibles.

    Cette capture, loin de servir les citoyens, a contribué à l’enrichissement d’une élite industrielle et des lobbys, au détriment de la santé publique et du progrès scientifique.

    L’annonce d’Emmanuel Macron : une façade communicationnelle

    L’annonce du 19 avril 2025, portée par Emmanuel Macron et Philippe Baptiste, se présente comme une réponse aux restrictions scientifiques américaines. Ce discours, empreint d’universalisme, vise à redorer l’image internationale d’une nation en quête de leadership. Mais derrière cette façade séduisante, le projet manque cruellement de substance. Aucun engagement financier précis n’est avancé, et les défis structurels de la recherche française – sous-financement, censure, influence des lobbies – sont soigneusement éludés.

    L’initiative « Safe Place for Science » d’Aix-Marseille, qui a attiré des candidatures sans que l’on en connaisse les profils, témoigne d’un potentiel. Mais ces atouts masquent une réalité plus sombre. Accueillir un chercheur et son équipe coûte cher, plusieurs centaines de milliers d’euros sur trois ans, un effort financier que la France, engluée dans des contraintes budgétaires, peine à soutenir sans réformes profondes. Surtout, l’annonce ignore la répression des voix dissidentes et la mainmise des lobbies, incompatibles avec une science libre.

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  40. Cette opération, amplifiée par des médias peu critiques, s’apparente à une façade médiatique glorifiant une France scientifique idéale qui n’existe que dans les discours. En vantant un accueil massif sans garantir la liberté académique ni des financements indépendants, Emmanuel Macron alimente une illusion pour séduire l’opinion internationale. Comme le notait Noam Chomsky, « la propagande est à la démocratie ce que la matraque est à la dictature. » Cette annonce pourrait même frôler le délit d’initiés : en favorisant des institutions et des industriels alignés sur l’agenda gouvernemental, comme les laboratoires pharmaceutiques ou les universités dociles, elle risque de détourner des fonds publics vers des acteurs privilégiés, au détriment des chercheurs français ostracisés.

    Ce choix trahit les scientifiques locaux, qui luttent déjà contre un système qui les muselle, renforçant l’impression d’une science française sacrifiée sur l’autel de la communication.

    La censure des génies scientifiques français : une chasse aux voix minoritaires

    La France, qui se rêve en refuge scientifique, mène une chasse impitoyable contre ses propres génies. Jean-Pierre Petit, pionnier de la magnétohydrodynamique (source de la supériorité militaire aux Russes), a vu ses travaux sur le modèle Janus marginalisés par le CNRS sous la pression des lobbies énergétiques et militaires.

    Gérard Mourou, Nobel de physique 2018 pour ses lasers à impulsions ultra-courtes, a été sous-financé en France. Ses découvertes applicables à l’énergie (réduction de la dégradation des déchets nucléaires par transmutation d'un million d’années à 30 minutes) auraient pu transformer des secteurs clés. Elles ont été freinées par des intérêts industriels et des jalousies scientifiques. Cette marginalisation d’un Nobel révèle une volonté de contrôler les avancées scientifiques pour préserver des intérêts financiers, au mépris du bien commun.

    Harcelosphère Twitter

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  41. La « harcelosphère », terme forgé par France-Soir pour décrire le harcèlement institutionnel des chercheurs dissidents, frappe de nombreux autres scientifiques. Montagnier, prix Nobel de médecine, Laurent Mucchielli, sociologue reconnu, ont été ostracisés pour leurs analyses critiques respectivement de la vaccination Covid-19 et de la gestion de la crise sanitaire. Mucchielli dénonçant brillamment la « délinquance pharmaceutique » et les conflits d’intérêt dans les politiques sanitaires. Les chercheurs de l’IHU Méditerranée, menés par les professeurs Raoult, Brouqui, Parola et Million, ont subi des attaques similaires pour avoir soigné avec des traitements précoces à base d’hydroxychloroquine. Leur marginalisation, orchestrée par des institutions aux intérêts trop souvent alignées sur l'industrie pharmaceutique, illustre un système qui punit l’audace scientifique. Vincent Pavan, mathématicien à Aix-Marseille, a été convoqué en conseil de discipline pour sa défense de la liberté d’expression académique et ses critiques de politiques sanitaires, révélant une intolérance académique glaçante. Jean-François Lesgards a subi des pressions relayées par le laboratoire auquel il était affilié, pour sa lettre d’information aux Parlementaires en juillet 2021 alors qu’ils allaient prendre part au vote sur le passe sanitaire et l’obligation vaccinale ; une forme de mise en garde des positions divergentes des assertions scientifiques trompeuses du président Macron le 12 juillet 2021, toutes dénoncées par le Dr McCullough. De plus le rapport récent de Lesgards « les enjeux de la pollution »sur les impacts de la pollution chimique menace aussi les lobbies industriels et le discours politique sur les ZFEs.

    Cette « harcelosphère » institutionnelle, illustrée par l’usage détourné de la plateforme PubPeer, punit l’audace scientifique. La jurisprudence Hertel (1998) protège les voix minoritaires, essentielles au progrès. Cette décision établit un principe clair : l’étouffement des travaux de Petit, Mourou, Raoult ou Mucchielli viole les droits fondamentaux et freine l’avancée scientifique. En France, ce principe est bafoué.

    Comme le soulignait Thomas Kuhn, « Presque toujours, les hommes qui réalisent ces inventions fondamentales d’un nouveau paradigme sont soit très jeunes, soit nouveaux dans le domaine. » En muselant ses dissidents/ses marges, la France se prive de son avenir scientifique.

    Lobbies et pollution : la science au service des profit

    Les lobbies pharmaceutiques, agroalimentaires et énergétiques capturent la recherche française. Dans l’agroalimentaire, des géants comme Monsanto financent des études minimisant les dangers des OGM ou des pesticides, marginalisant les recherches critiques sur les sucres transformés ou les régimes industriels. Le rapport de Lesgards sur les enjeux de la pollution, liant pollution, pesticides et maladies chroniques, a été ignoré sous la pression des lobbies chimiques. Les travaux de Petit sur la magnétohydrodynamique et de Mourou sur les lasers, menaçant les monopoles énergétiques, ont subi le même sort.

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  42. Industrie, Ruine Industrielle

    Cette capture détourne la science de l’intérêt public. Elle bloque des innovations qui pourraient bénéficier aux citoyens, comme des énergies propres ou des traitements accessibles, sacrifiant le progrès scientifique sur l’autel du profit. Les politiques publiques, alignées sur ces intérêts, rechignent à imposer des régulations strictes, exposant les populations à des risques sanitaires.

    Le rôle des médias : une pollution informationnelle au service du pouvoir

    Les médias mainstream français, du Parisien à France Info, jouent un rôle central dans la capture de la science. En relayant l’annonce d’Emmanuel Macron sans questionner ses fondations, ils participent à une pollution informationnelle qui amplifie les discours officiels au détriment des faits.

    Aucun média n’a interrogé les conditions nécessaires à l’accueil de chercheurs étrangers : liberté académique, financements indépendants, lutte contre les lobbies. Cette absence de recul transforme le journalisme en relais de propagande, glorifiant une France scientifique idéale qui n’existe pas. Comme le notait Noam Chomsky, « Les médias de masse servent à communiquer des messages et des symboles au grand public. Leur fonction est d’amuser, de divertir, d’informer, et d’inculquer aux individus les valeurs, croyances et codes de comportement qui les intégreront dans les structures institutionnelles de la société ». Cette critique, formulée dans un contexte de domination des élites, éclaire le rôle des médias français dans la perpétuation d’une illusion scientifique.

    Pollueur d'information

    Cette pollution informationnelle s’étend à la marginalisation des voix dissidentes. Les médias ont activement participé à la « harcelosphère », illustré dans l’enquête de ScienceGuardian et la pollution informationnelle des médias comme l’Express, Le Point ou Le Monde, qui ont contribués au dénigrement de Raoult, Mucchielli et Pavan comme « complotistes » sans engager de débat scientifique. Les critiques de l’IHU sur les traitements précoces ont été caricaturées, tandis que les erreurs de l’INSERM sur le Covid-19, comme le rejet précipité de l’hydroxychloroquine, ont été minimisées omettant trop souvent d’expliquer que l’équipe en charge, de Yazdanpanah à Delfraissy en passant par monsieur vaccin Alain Fisher font partie d’une équipe de chercheurs qui ont travaillé sur le Sida sans jamais rien trouver. Cette désinformation, orchestrée avec le soutien de l’État, protège les lobbies pharmaceutiques et agroalimentaires, étouffant les vérités dérangeantes. En comparaison, aux États-Unis, RFK Jr. a trouvé des plateformes, notamment via des médias alternatifs, pour exprimer ses critiques. Il est aujourd’hui secrétaire d’État à la Santé et mène la vie dure aux médias.

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  43. En France, les médias alignés sur le pouvoir musellent les dissidents, renforçant leur isolement.

    Comparaison internationale : ostracisation et réhabilitation
    Aux États-Unis, des dissidents comme Jay Bhattacharya, nommé à la tête du NIH, ou RFK Jr., trouvent une reconnaissance tardive. En France, les génies comme Petit, Mourou, ou Raoult restent marginalisés, prisonniers d’un système verrouillé par l’État et les lobbies. Cette répression, en violation de l’esprit de la jurisprudence Hertel, prive la France de son potentiel scientifique.

    Conditions nécessaires et suffisantes pour une science libre

    Pour accueillir des chercheurs étrangers, la France doit garantir la liberté académique, des financements indépendants, et une gouvernance réformée. Le CNRS, critiqué pour son inefficacité et ses dérives censoriales, et l’INSERM, aligné sur Big Pharma, doivent être repensés. Les médias doivent protéger les voix divergentes et dénoncer la pollution informationnelle. Sans ces réformes, la France restera disqualifiée comme refuge scientifique.

    La France doit s’atteler à cette tâche pour mériter son ambition scientifique.

    Réalités économiques et contradictions : l’exemple d’Aix-Marseille

    L’université d’Aix-Marseille illustre les contradictions de l’annonce. Son programme « Safe Place for Science », visant à accueillir des chercheurs étrangers avec 600 000 à 800 000 euros par chercheur, a attiré des candidatures, mais reste limité par des financements incertains et une sélection drastique. Accueillir ne serait-ce qu’une poignée de chercheurs représente un défi logistique et financier colossal, que l’université peine à relever sans un soutien national robuste.

    Surtout, l’université réprime ses propres chercheurs, comme Vincent Pavan, sanctionné pour ses critiques. Le programme « Safe Place for Science », bien que louable, apparaît comme une goutte d’eau dans un océan de contraintes, incapable de compenser les failles structurelles de la recherche française. Les budgets flous évoqués par Philippe Baptiste, combinés à l’influence des lobbies industriels, compromettent toute ambition de grande envergure. La France, prisonnière de ses contraintes économiques et de ses choix politiques, semble incapable de relever le défi qu’elle s’est elle-même fixé.

    Cette contradiction entre discours ambitieux et réalité austère illustre l’opportunisme d’une annonce qui privilégie la communication à l’action concrète.

    Une science française en crise : censure, inefficacité et fraudes

    La science française traverse une crise profonde, marquée par des échecs scientifiques, une censure institutionnalisée et une tolérance coupable envers les fraudes. Depuis la lutte contre le sida, l’équipe dirigée par Yazdan Yazdanpanah, soutenue par l’INSERM, est critiquée pour son manque de résultats concrets, un constat sévère relayé par des observateurs critiques. La gestion de la crise du Covid-19 a aggravé cette défiance que les Français jugent sévèrement, demandant à 82 % la levée du secret défense afin de savoir ce qui s’est passé. Les erreurs de l’INSERM, comme le rejet précipité de l’hydroxychloroquine sans études rigoureuses respectant le protocole préconisé par l’IHU méditerranée, ont discrédité la recherche française. Les modèles épidémiologiques non calibrés, utilisés pour justifier des confinements coûteux, ont manqué de fondement scientifique solide, enrichissant les laboratoires pharmaceutiques via des contrats opaques tout en négligeant les besoins des citoyens.

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  44. Science en crise

    Le CNRS, pilier de la recherche nationale, est lui aussi en proie à une crise majeure. Un rapport récent étrille son inefficacité et sa bureaucratie, soulignant son incapacité à soutenir l’innovation. Ses dérives censoriales aggravent ce tableau. Le financement du rapport de David Chavalarias, visant à contrôler la « vérité » en traquant le « complotisme », et l’implication dans la plateforme PubPeer, accusée par des scientifiques de harcèlement scientifique, révèlent un CNRS aligné sur des agendas politiques plutôt que sur la quête de connaissance. Ces pratiques, loin de promouvoir la rigueur scientifique, instaurent un climat de suspicion et de répression.

    Les fraudes scientifiques, tolérées par un système biaisé, viennent parachever ce tableau désolant. Le cas Pradelle-Lega, une fraude documentée, mais non sanctionnée, illustre un laxisme institutionnel cautionné par les universités sous l’influence des lobbies industriels. Le ministre Philippe Baptiste, incapable de réguler des plateformes comme PubPeer ou de sanctionner les dérives, ferme les yeux sur le harcèlement des chercheurs, trahissant sa mission de garant de l’intégrité scientifique. Cette crise, loin d’être anecdotique, reflète un système où la science est subordonnée aux intérêts politiques et financiers, au mépris de sa vocation première.

    En rappelant la citation de Planck, « Une nouvelle vérité scientifique ne triomphe pas en convainquant ses adversaires, mais parce que ceux-ci finissent par mourir », on ne peut que s’interroger sur la situation française : ce triomphe tarde-t-il, étouffé par une censure implacable ?

    Tourisme scientifique ou réalité ? La France disqualifiée

    L’annonce du président, en promettant une science « sans limites », ignore la répression des talents locaux. L’expulsion d’un chercheur aux États-Unis pour ses opinions expose l’hypocrisie d’un pays qui prône l’ouverture tout en censurant. Sans liberté académique ni lutte contre la désinformation, cette initiative restera un « tourisme scientifique ». Les chercheurs étrangers pourraient préférer le Royaume-Uni, l’Allemagne, ou les BRICS, où la liberté académique est mieux protégée. Comme le notait Voltaire, « il est dangereux d’avoir raison dans des choses où des hommes accrédités ont tort. »

    Les médias, en relayant l’annonce sans esprit critique, participent à une pollution informationnelle qui masque ces dérives. Leur complicité protège les lobbies et l’État, étouffant les vérités dérangeantes. Sans liberté académique, financements indépendants et lutte contre cette désinformation, l’annonce de Macron restera une mascarade, un « tourisme scientifique » vidé de sens. La France, loin d’être un refuge, trahit ses chercheurs au profit d’une propagande opportuniste, sacrifiant son avenir scientifique sur l’autel de la communication. Les chercheurs étrangers, confrontés à ce climat répressif, pourraient légitimement préférer d’autres destinations, comme le Royaume-Uni ou l’Allemagne, où la liberté académique semble pour le moment bien mieux protégée. À moins qu’ils ne s’orientent vers les BRICS.

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  45. Think twice

    Cette disqualification est d’autant plus tragique que la France dispose d’un potentiel immense, incarné par ses génies ostracisés. En muselant nos scientifiques « contrariants », elle se prive des révolutions scientifiques qui naissent, selon si l’on paraphrase Thomas Kuhn, « des marges, non des centres établis ».

    La France doit entendre cet appel à la révolte scientifique, non pas pour se complaire dans une illusion d’ouverture, mais pour reconquérir sa place dans l’histoire des idées.

    Conclusion

    L’annonce d’Emmanuel Macron est une façade communicationnelle qui ignore la censure des génies français, de Petit à Raoult. Les lobbies bloquent les innovations, les politiques publiques enrichissent les industriels, et les médias propagent une illusion scientifique. Pour redevenir une terre de science, la France doit garantir la liberté académique, libérer la recherche des lobbies, réformer le CNRS et l’INSERM, et exiger un journalisme critique. Sans ces conditions, ses dissidents resteront les "Galilée" du XXIe siècle, persécutés par un système qui préfère le dogme et le mensonge à la vérité.

    La question demeure : la France choisira-t-elle la liberté scientifique, ou continuera-t-elle à trahir ses talents au nom d’une ambition illusoire ? Comme le disait Albert Camus, « La vérité, comme la lumière, aveugle. Le mensonge, au contraire, est un beau crépuscule qui met chaque objet en valeur. »

    À la France de choisir si elle préfère la lumière crue de la vérité ou le crépuscule confortable du mensonge.

    Auteurs : Xavier Azalbert, Gérard Guillaume, Christian Perronne, Corinne Reverbel.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/annonce-d-emmanuel-macron-sur-les-chercheurs-etrangers

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    1. Dans cette annonce dite 'internationale' sont volontairement oubliées d'être invitées les scientifiques Dre Astrid Stuckelberger (Genève. Suisse) et Dre Carrie Madej (Atlanta, Georgie. USA) parce qu'en 2020 lorsque sont sortis les flacons handicapants et mortels injectables des laboratoires nazies, ils ont été examinés ! Analysés par ces très hautes personnalités et ont même publié leurs rapports sur l'Internet à la vue de 8 milliards d'habitants ! (dont certains Dr et Pr de Marseille ont oublié de lire !).

      Les compositions des flacons révélaient, entre:

      95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
      + des spikes !!
      + des hydres !!
      + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !:!

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  46. Spotlight, fer de lance médiatique de l'UER pour contrer la désinformation


    France-Soir
    le 24 avril 2025 - 19:25


    Le 11 avril dernier, l’Union européenne de radio-télévision a lancé Spotlight, un réseau réunissant 18 médias publics européens pour contrer la désinformation numérique. Un projet qui se veut réponse au nouveau positionnement de Meta, plus distant sur le fact-checking. Mais qui doit décider de la vérité, et dans quel cadre ?

    À l’heure où Meta abandonne la vérification des faits au profit de “notes communautaires”, comme l'a fait X avant, l’Europe serre les rangs. Spotlight, nouveau réseau de fact-checking mené par l'Union européenne de radio-télévision (UER), entend opposer une “vérité professionnelle” à l’inflation des fake news. « Nous sommes confrontés à une crise croissante d’informations inexactes, fausses et synthétiques », résume Liz Corbin, de l’UER. En France, ce sont Radio France, France Télévisions, France Médias Monde, TV5 Monde et l'INA qui montent en première ligne, via l’Alliance pour les faits, créée dans le même but en février 2025.

    Derrière l’ambition a priori louable de “garantir une information fiable”, le projet ne manque pas de faire grincer des dents. Et pour cause ! Si Spotlight n'est pas directement lié aux institutions de l’UE, il intervient alors que Bruxelles brandit déjà son Digital Services Act (DSA) pour imposer des règles strictes de modération. Une main de fer que Mark Zuckerberg n’a pas hésité à qualifier de "censure". En plus de quoi l'Europe se parerait donc indirectement d'une équipe de médias publics chargés de vérifier l'exactitude des faits rapportés sur Internet, tout en se disant indépendants et appuyés sur de hautes normes éthiques. Ceintures, bretelles, et biais. Comme le rapporte The Epoch Times, l'indépendance d’un fact-checking orchestré par les médias publics reste une contradiction en soi pour beaucoup.

    Le chercheur Norman Lewis, dans un rapport du MCC Brussels, alerte sur les dérives possibles de ce contrôle européen permanent. D'abord, "le problème, c’est que tout cela est opaque" et qu'on ne comprend que rarement pourquoi ceci ou cela a été supprimé. Il explique qu'il peut s'agir de contenus effectivement dangereux, "d’abus sexuels violents ou d’appels à la violence. Mais il peut aussi s’agir de contenus légitimes, par exemple l’opposition au Green Deal, aux politiques d’immigration de l’UE ou à l’identité de genre". Autrement dit, la frontière entre désinformation et opinion dissidente devient de plus en plus floue, et une question s'impose : peut-on confier la vérité à ceux que le pouvoir finance ?

    https://www.francesoir.fr/culture-medias/spotlight-fer-de-lance-mediatique-de-l-uer-pour-contrer-la-desinformation

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    Réponses
    1. (...) En France, ce sont Radio France, France Télévisions, France Médias Monde, TV5 Monde et l'INA qui montent en première ligne, via l’Alliance pour les faits, créée dans le même but en février 2025. (...)

      Quand on pense à la merde arté !... Ce sont TOUS les merdias qui sont coupables et à la botte des dictateurs !

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  47. Énergie et écologie : L'Europe dessine les contours de ses strictes règlementations à venir


    France-Soir
    le 24 avril 2025 - 19:00


    Entre transition écologique et inflation camouflée, commencent à se dessiner les nouvelles réglementations de l’Union européenne pour les années à venir. À partir de 2026 et jusqu’en 2035, une série de directives et règlements va impacter directement le coût de la vie des Français : énergie, transport, logement...

    Premier choc à la pompe : le système d’échange de quotas d’émission (SEQE 2), étendu au transport et au chauffage, renchérit l’essence, le gaz et le fioul. Le prix du litre pourrait grimper de 12 centimes dès 2027, selon Euractiv. Les producteurs répercuteront leurs coûts, et ce sont les ménages qui absorberont l’addition. Idem dans les airs, puisque dès 2026, la fin des quotas gratuits pour l’aviation fera s’envoler le prix des billets.

    Pendant ce temps, l'Union travaillera à ce que les bâtiments « zéro émission » deviennent la norme, en imposant des rénovations énergétiques coûteuses et en rendant obsolètes certains logements. "Les coûts des subventions, de l’administration et de la supervision vont exploser", alerte The Epoch Times, qui s'est entretenu avec l’avocat spécialisé Tomáš Břicháček. Mesurons le projet : "À partir de 2030 (2028 pour les bâtiments publics), seuls les bâtiments dits « à zéro émission », obligatoirement raccordés à des installations photovoltaïques en toiture et à des stations de recharge pour véhicules électriques, pourront être construits." Et "l'interdiction des chaudières à combustibles fossiles devrait intervenir d’ici 2040". Ces vélléités écologiques n'ont pas bien fonctionné pour le marché de l'automobile, quand l'Europe voulait imposer le tout électrique, reste à savoir ce qu'il en sera pour le bâtiment.

    Par ailleurs, des droits carbone à la frontière alourdiront les importations, et la traçabilité écologique imposée aux produits agricoles fera grimper les prix de biens courants. Même les poêles à bois sont menacés de devenir des produits de luxe. En bref, la grande promesse d’une Europe plus verte, comme elle nous en a déjà donner l'aperçu, pourrait bien se transformer en fardeau bureaucratique et inflationniste pour des millions de foyers.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/energie-et-ecologie-l-europe-dessine-les-contours-de-ses-strictes-reglementations

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    1. J'ai entendu dire que 'seuls les riches avaient le droit de polluer' !! HAHAHAHA ! La pollution n'existe pas ! Lorsque vous sentez une odeur c'est l'odeur que vous sentez et non le gaz qui se recycle immédiatement. Les riches savent que lorsqu'ils respirent l'odeur d'une fleur c'est le parfum qui est inspiré et non la fleur ! Les riches sont intelligents.

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  48. La dictature verte de l'UE nous pourrit inutilement la vie


    Dr Gérard Delépine
    Mondialisation.ca
    mar., 22 avr. 2025 17:08 UTC


    Prendre soin de l'environnement pour léguer une planète propre à nos enfants est un beau projet, voire curieux projet quelque peu paranoïaque. Pour qui nous prenons-nous ?

    Mais le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions et les mesures autoritaires que l'écologie punitive nous impose entrainent inutilement ségrégation sociale, aggravation de la crise du logement, disparition de notre agriculture, crise économique, chômage...

    Les mesures vertes pour l'habitat augmentent le nombre de mal-logés !

    L'ouverture de nos frontières aux migrants permet d'exercer une pression à la baisse des salaires favorable au patronat, mais augmente les besoins en logements, particulièrement ceux à loyers modérés.

    L'obligation de mieux isoler les nouveaux logements et l'interdiction d'artificialiser les sols augmentent considérablement les prix de construction et découragent les investisseurs.

    L'interdiction de louer les logements déclarés passoires thermiques et le cout trop élevé des travaux nécessaires pour les mettre aux normes excluent de la location un nombre croissant de logements anciens qui constituent l'essentiel des locations abordables en ville.[1]
    Ainsi, promettre à la population des logements écologiques aboutit à aggraver la pénurie en logements proposés à la location à de prix accessibles ! Ces mesures vertes précipitent de plus les entreprises de construction et les agences immobilières dans une crise sévère, entrainant déjà de nombreux licenciements.

    Ces mesures autoritaires sont peu efficaces sur la consommation réelle d'énergie ! Une étude du crédit mutuel sur les dépenses d'énergie de ses clients a révélé que les ménages habitant les logements présentés comme les moins énergivores dépensent près de deux fois plus d'énergie que prévu. Ceux des logements les plus énergivores, deux fois moins. Pour les maisons individuelles, les moins bien classées ne consomment même que 27 % de plus que les meilleures ! Un démenti sévère des espoirs officiels, que l'organisme attribue pour un tiers à des erreurs de mesures et aux deux tiers à des facteurs comportementaux.

    Globalement, les obligations écologiques qui pèsent sur les logements aggravent franchement la crise du logement sans diminuer notablement la pollution thermique de l'environnement.

    La liberté de circuler réservée aux riches

    Les zones à faibles émissions renforcent fortement la ségrégation sociale dans les grandes villes.

    Interdits d'habiter en centre-ville par la raréfaction des locations abordables causée par les mesures précédentes, les pauvres se voient maintenant interdits d'y pénétrer par les zones à faibles émissions qui n'acceptent que les voitures récentes. Or, selon l'association Transport & Environnement [2], les tarifs des modèles les moins chers de cinq constructeurs européens ont augmenté de 41 % de 26 590 € en 2018 à 36 082 € en 2024. De telles augmentations ont permis aux entreprises automobiles de réaliser des bénéfices records en 2022 et 2023, mais empêchent une grande partie de la population de renouveler leur véhicule.

    Du point de vue pollution, autre que sonore, le bilan de ces interdictions de circuler est très discutable. De nombreuses études montrent en effet que sur l'ensemble du cycle d'utilisation, prenant en compte l'usage, mais aussi la fabrication et le recyclage, les voitures électriques polluent autant la planète que les voitures thermiques [3, 4, 5, 6].

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  49. En 2025, aux 11 zones à faibles émissions déjà actives s'ajouteront 32 ZFE supplémentaire. Le total passera ainsi à 43 ZFE sur l'ensemble du territoire. 2,7 millions de voitures interdites et à terme, et on estime qu'environ 40 % des véhicules en circulation seront touchés par ces mesures.
    Au temps des rois[8], la résidence royale était coupée du monde. Aujourd'hui, grâce aux zones à faibles émissions, les bobos des grandes villes se protègent de la présence des pauvres.
    Notre devise liberté, égalité, fraternité est vraiment reniée par la ségrégation sociale engendrée par ces mesures prétendument écologiques.

    Extrait d »une entrevue d'Alexandre Jardin avec le journaliste canadien Stéphane Bureau

    - voir clip sur site -

    -Signez les pétitions qui réclament la défense de notre liberté de circuler

    -Soutenez les maires, les élus de toute la France et les députés qui proposent une loi visant à supprimer cette politique d'apartheid.

    -Participez aux manifestations avec le collectif « Les # Gueux » (initié par l'écrivain Alexandre Jardin) et la fédération française des motards en colère qui vont de nouveau se mobiliser dimanche prochain, en opposition aux zones à faibles émissions (ZFE) dans notre pays.

    Les mesures du plan vert tuent notre agriculture et polluent la planète en imposant des importations alimentaires lointaines.

    Les mesures prétendument écologiques briment fortement notre agriculture qualifiée de « mamelle de la France » par Sully. Elles menacent notre indépendance alimentaire et privilégient fortement les importations de pays lointains (Amérique du Sud, Australie...) favorisant la déforestation de l'Amazonie et du bush et la pollution de l'atmosphère par les émissions de CO2 du transport maritime qui représente 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit plus du double de ce qu'émet la France.[9]

    Il est urgent de libérer nos agriculteurs de toutes ces normes pour permettre une alimentation aussi locale que possible. Ces mesures supposées écologiques aggravent en réalité la production mondiale de CO2.

    La dictature écologique de l'UE précipite la crise économique

    Avant l'UE, notre industrie reposait sur la voiture et le bâtiment comme l'énonçait un ancien dicton (quand le bâtiment va, tout va).

    Les contraintes vertes, en augmentant les couts, ont fortement contribué au marasme du secteur immobilier tant pour acheteurs (investisseurs et les primo-accédants) que pour les locataires.

    La politique européenne imposant fin du thermique et objectifs CO2 a tué l'industrie automobile, aboutissant à la fermeture d'usines en Allemagne. Ce problème touche aussi les équipementiers et les concessionnaires, menaçant beaucoup des plus de 200 000 emplois du secteur.

    Actuellement, la transition énergétique repose essentiellement sur une baisse de la production de biens carbonés, de la construction neuve dans le résidentiel-tertiaire et de la production industrielle, en particulier de l'automobile et de la chimie. Le ralentissement de l'activité du BTP entraîne une chute de l'investissement non compensée par la hausse des investissements d'efficacité énergétique, une contraction de l'activité économique. Le chômage s'accroît, ce qui diminue les revenus disponibles, entrainant une chute de la consommation, cette dernière venant rétroagir négativement sur la production. L'ensemble des secteurs économiques est affecté, y compris le secteur tertiaire. À l'horizon 2035, l'économie française risque d'être plus localisée, mais moins créatrice d'emplois avec un taux de chômage plus élevé.

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  50. En plus de pourrir notre vie quotidienne par de multiples obligations et interdictions, l'écologie punitive imposée par l'UE risque de nous conduire vers le sous-développement !

    Pour vivre mieux et donner l'espoir d'une vie meilleure à nos enfants, il faut supprimer la dictature verte et quitter l'UE.

    Notes :

    [1] https://www.cae-eco.fr/staticfiles/pdf/focus-103-dpe-230110.pdf

    [2] https://www.auto-moto.com/pouvoir-d-achat/2019-2024-quelle-augmentation-de-prix-de-voitures-29674#google_vignette

    [3] https://www.consoglobe.com/voiture-electrique-ou-thermique-le-bilan-environnemental-complet-cg/2

    [4] https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/diesel/pourquoi-la-voiture-electrique-pollue-plus-que-ce-que-vous-pensez_3030669.html

    [5] https://www.leparisien.fr/automobile/voiture-electrique-ou-thermique-laquelle-pollue-le-plus-12-08-2019-8132190.php

    [6] https://www.automobile-magazine.fr/toute-l-actualite/article/33673-voitures-electriques-une-etude-prouve-quelles-emettent-autant-de-particules-que-les-essence-et-diesel

    [7] https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/d%C3%A8s-2025-pr%C3%A8s-de-40-des-v%C3%A9hicules-seront-touch%C3%A9s-par-cette-r%C3%A8gle/ar-AA1BmTyW?ocid=winp2fp&cvid=e1a15377b30a47c5a1a73522f7a1244e&ei=28

    [8] https://greenly.earth/blog/secteurs/quelle-est-l-empreinte-carbone-du-transport-maritime

    [9] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/chiffres-cles-du-climat-france-europe-et-monde-edition-2024

    https://fr.sott.net/article/44312-La-dictature-verte-de-l-UE-nous-pourrit-inutilement-la-vie

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  51. Des œufs de Pâques laissés dans les nids-de-poule par les motards


    France-Soir
    le 21 avril 2025 - 19:50


    Lors de ce week-end de Pâques, à Tours, la Fédération française des motards en colère (FFMC) a déposé des œufs dans les nids-de-poule pour alerter sur l’état alarmant des routes. Une action symbolique qui entend accélérer les décisions face à un fléau national, responsable d’un accident mortel sur trois selon les autorités.

    Les militants de la FFMC ont fêté le week-end pascal en semant des œufs dans les crevasses de la voirie. L’image peut faire sourire, mais l'exaspération est bien réelle : “On n'a pas vu de grosses améliorations de l'état des routes, bien au contraire”, alerte Laurent Orry, secrétaire départemental de la FFMC en Indre-et-Loire. Entre chaussées gondolées, nids-de-poule béants et signalisation défaillante, les usagers des deux-roues sont bien en peine.

    Ce happening n’est pas une première : il marque la quatrième année d’une mobilisation nationale. Selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, 30 % des accidents mortels sont liés à l’état du réseau routier. “Par temps humide, on a un risque de chute. C’est aussi valable pour les vélos”, ajoute Orry, qui dénonce l’inaction des collectivités malgré des alertes régulières sur les zones à risques. En 2024, 3 190 morts sur les routes françaises, dont une part croissante de deux-roues.

    France 3 rappelle que la France, qui dominait autrefois le classement mondial de la qualité routière en 2012, a chuté à la 18ᵉ place en 2019. D’après l’Observatoire national de la route, près de 20 % des routes nationales sont désormais jugées en “mauvais état”.

    https://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/des-oeufs-de-paques-laisses-dans-les-nids-de-poule-par-les-motards

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L'humanité se dirige tout droit vers la prison numérique !

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