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Par Mark Swanson
Recherche mondiale,
28 mai 2025
Le Dr Robert Redfield, ancien directeur des Centres fédéraux pour le contrôle et la prévention des maladies, a déclaré mardi qu'un patient sur cinq qu'il traite pour un COVID long n'a jamais contracté le COVID-19, affirmant sur Newsmax qu'ils avaient contracté le COVID long grâce au vaccin à ARNm.
C’est l’une des raisons pour lesquelles les fabricants de vaccins devraient cesser d’être à l’abri des recours collectifs, a-t-il déclaré.
Redfield a rejoint « Finnerty » pour parler des blessures causées par les vaccins dues aux protéines de pointe qui accompagnent les vaccins à ARN messager.
« Je passe deux jours par semaine à la clinique, et ma clinique traite principalement des patients atteints de COVID longue. Parmi les patients présentant des symptômes similaires à ceux de la COVID longue, environ 20 % n'ont jamais eu la COVID. Ils l'ont contractée grâce au vaccin à ARNm », a déclaré Redfield à l'animateur Rob Finnerty.
Il n’y a aucun moyen d’éliminer la protéine Spike de votre corps, a-t-il déclaré.
« Lorsqu'on administre un vaccin à ARNm, on injecte à l'organisme [l'acide ribonucléique], qui le transforme alors en une usine à protéines de spicule », a-t-il expliqué. « Malheureusement, nous n'avons aucun moyen de nous débarrasser de la protéine de spicule. Elle se dégrade avec le temps. Mais ce temps peut se mesurer en mois. »
Redfield a également déclaré que les fabricants de vaccins ne devraient plus être protégés contre les poursuites judiciaires. En vertu de la loi sur la préparation du public et la protection civile, les entreprises bénéficient d'une immunité de responsabilité, sauf faute intentionnelle, en cas d'effets secondaires ou de blessures causés par des vaccins ou des traitements contre des maladies comme la COVID-19.
Il devrait y avoir des poursuites judiciaires, a déclaré Redfield.
Mais pour l'instant, comme vous le savez, ils sont à l'abri des poursuites judiciaires. Il faut que cela change. Ces fabricants de vaccins doivent être tenus responsables de leurs produits.
https://www.globalresearch.ca/dr-redfield-vaccine-makers-sued/5888580
8 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 8 =n 52)
Une pandémie aux répercussions profondes. Est-on allé trop loin dans la solution ?
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 27 mai 2025 - 10:23
La pandémie de COVID-19, déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en mars 2020, a bouleversé les dynamiques sociales et politiques à travers le monde. En France, la campagne de vaccination, lancée le 27 décembre 2020 avec l’injection médiatisée de Mauricette, une ancienne aide-soignante de 78 ans résidant à l’EHPAD du centre hospitalier René-Muret à Sevran, a marqué un tournant dans la gestion de la crise. Cependant, le pass sanitaire, l’obligation vaccinale et les déclarations officielles, comme celles du président Emmanuel Macron le 12 juillet 2021, ont suscité une défiance croissante. Les assertions scientifiques de Macron, démystifiées en 24 heures par le Dr Peter McCullough, spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires, ont amplifié les doutes sur la transparence des autorités. À l’échelle internationale, des enquêtes comme celles du sénateur Ron Johnson et des décisions judiciaires, comme celle du tribunal du Kansas, ont renforcé ces questionnements. Les politiques sanitaires françaises, leurs impacts, et les débats éthiques connexes, tels que l’euthanasie ne sont pas de nature à rassurer les Français qui demandent la levée du secret défense pendant la crise covid et une commission d’enquête.
Le pass sanitaire : une chronologie controversée
La mise en place du pass sanitaire en France a suivi une progression rapide :
9 juin 2021 : Le pass est requis pour les événements de plus de 1 000 personnes, visant à sécuriser les grands rassemblements.
12 juillet 2021 : Emmanuel Macron annonce l’obligation vaccinale pour les soignants, policiers et militaires, et défend le pass sanitaire avec des assertions scientifiques, telles que « le variant Delta est trois fois plus contagieux » et « les vaccins divisent par douze le pouvoir de contamination ». Ces déclarations ont été immédiatement contestées par le Dr Peter McCullough dans un débriefing pour France-Soir, qui a conclu qu’aucune n’était fondée et que le pass vaccinal n’était pas justifié face à l’état de l’épidémie. L’association bonsens.org a averti les parlementaires par un courrier recommandé le 16 juillet 2021 sur les conséquences d’un vote en faveur de l’obligation vaccinale ainsi que la Commission mixte paritaire.
Analyses des assertions scientifiques de Macron
21 juillet 2021 : Le pass s’étend aux lieux de loisirs et de culture accueillant plus de 50 personnes.
9 août 2021 : Il devient obligatoire dans les cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux (pour les visiteurs et soins programmés), maisons de retraite, et transports longue distance.
30 août 2021 : Les salariés des établissements concernés doivent présenter le pass.
30 septembre 2021 : L’obligation s’applique aux mineurs de 12 à 17 ans.
1er septembre 2021 : Une troisième dose (« booster ») est annoncée pour les personnes âgées et vulnérables, étendue à tous les adultes visés par le pass le 27 novembre 2021, puis aux adolescents le 24 janvier 2022.
Ces mesures, levées le 1er août 2022, ont été justifiées par le gouvernement pour réduire les hospitalisations. Selon Santé publique France, les vaccins ont permis de prévenir environ 50 000 décès en France entre 2020 et 2022. Cependant, elles ont suscité une opposition massive, alimentée par des préoccupations sur les libertés et la transparence. La confiance envers le gouvernement bat de l’aile
Une méfiance croissante envers les vaccins
RépondreSupprimerLes politiques vaccinales ont exacerbé la défiance envers les institutions. Un sondage exclusif réalisé par MIS Group pour France-Soir et BonSens.org le 12 mai 2025 révèle une méfiance marquée envers les vaccins COVID-19 : 52 % des Français expriment des réserves sur certains vaccins, contre 37 % en 2023. Plus précisément, 45 % sont défavorables au vaccin COVID-19, 56 % estiment qu’il entraîne de nombreux effets secondaires, et 73 % notent que les vaccinés sont tombés malades malgré tout.
De plus, 39 % souhaitent une suspension immédiate du vaccin, et 50 % jugent que le gouvernement a mal géré la crise sanitaire. Si les autorités avaient admis ne pas connaître l’efficacité ou les effets indésirables des vaccins, 37 % n’auraient pas été vaccinés, 47 % auraient attendu plus d’informations, et seuls 17 % se seraient vaccinés immédiatement. Enfin, 52 % déclarent que « le gouvernement et ses mensonges leur ont fait perdre confiance en la vaccination », et 64 % trouvent inacceptable de qualifier d’« antivax » les personnes vaccinées ayant constaté des effets indésirables.
Sondage 12 MAI 2025
Cette défiance s’inscrit dans un contexte plus large de perte de confiance envers Emmanuel Macron et son gouvernement. Le même sondage indique que 65 % des Français jugent Macron mauvais président, 56 % ont honte de lui, et 56 % exigent sa démission, dont 34 % immédiatement. Cette fracture reflète un rejet des élites dirigeantes, perçues comme déconnectées des préoccupations populaires.
Critiques des politiques vaccinales : un débat polarisé
Les critiques des mesures sanitaires se concentrent sur plusieurs points :
Atteinte aux libertés : le pass sanitaire a été dénoncé comme discriminatoire, excluant les non-vaccinés de nombreux espaces publics. Des manifestations massives ont illustré cette opposition.
Questions sur la sécurité des vaccins : des effets secondaires rares, comme les myocardites, ont été signalés, bien que l’ANSM indique un taux d’effets graves inférieur à 0,1 % des doses administrées.
Manque de transparence : les contrats opaques avec les laboratoires pharmaceutiques Pfizer, Moderna, avec une opacité de la commission européenne dans les négociations (par exemple quel est le contenu des échanges SMS entre von der Leyen et Bourla le patron de Pfizer), et les contradictions dans la communication officielle, comme les assertions non fondées de Macron démontées par McCullough, ont alimenté la méfiance.
À l’international, des enquêtes ont renforcé ces critiques. Le 21 mai 2025, un rapport du sénateur américain Ron Johnson a dénoncé l’opacité des agences CDC et FDA, qui connaissaient dès février 2021 les risques de myocardite post-vaccinale sans en informer pleinement le public. Dans son audition du 23 mai 2025, il a accusé ces agences de « corruption de la science » et a demandé à auditionner l’ancien président Biden afin de savoir ce qu’il savait réellement.
RépondreSupprimerAudition Ron Johnson
En France, des associations comme BonSens.org, soutenues par le Pr Christian Perronne, appellent à une commission d’enquête parlementaire ainsi qu’à l’obtention des données de mortalité toutes causes par statut vaccinal et classe d’âge.
Perspectives judiciaires et réformes internationales
Aux États-Unis, une décision judiciaire du 15 mai 2025 par un tribunal fédéral du Kansas a autorisé une poursuite contre Pfizer pour pratiques commerciales trompeuses liées à son vaccin, remettant en question l’immunité des laboratoires. Par ailleurs, la réforme de la santé publique sous l’administration Trump, avec des figures comme Robert F. Kennedy Jr. et Jay Bhattacharya, a lancé des enquêtes sur les biais scientifiques et les pratiques pharmaceutiques. Une méta-critique de 2025 a également remis en question l’efficacité et la sécurité des vaccins COVID-19, ravivant le débat scientifique. Ces développements pourraient inspirer des réformes en France, où 67 % des citoyens souhaitent une enquête sur la gestion de la crise.
Questions éthiques connexes : euthanasie et délit d’entrave
La crise sanitaire a également soulevé des débats éthiques plus larges. Une proposition de loi sur l’euthanasie, débattue en 2025, autorisant une « aide à mourir », est critiquée pour son manque de garde-fous, notamment pour les personnes âgées ou handicapées. Le sondage France-Soir/BonSens.org indique que 51 % des Français craignent des dérives, et 58 % refusent que les médecins deviennent des « exécutants de la mort ». Par ailleurs, l’introduction d’un délit d’entrave à l’IVG, assorti d’une amende pouvant atteindre 30 000 euros, a suscité des inquiétudes sur la liberté d’expression, certains y voyant une véritable restriction des opinions divergentes.
Defender
RépondreSupprimerImpact social et perspectives
Les politiques sanitaires ont amplifié la fracture entre les Français et leurs dirigeants. Le sondage MIS Group révèle que 70 % estiment que le gouvernement n’agit pas pour le peuple, et 74 % qu’il divise le pays. Les opposants au pass sanitaire, souvent qualifiés de « complotistes », ont cherché à alerter sur des dérives perçues comme autoritaires. Les travaux de Ron Johnson, la décision du Kansas et les critiques de McCullough montrent que ces préoccupations ne sont pas isolées. En France, la défiance envers Macron et son gouvernement reflète une crise institutionnelle profonde.
Pour restaurer la confiance, un débat public transparent, basé sur des données scientifiques fiables, est essentiel. Les autorités doivent répondre aux préoccupations soulevées par McCullough, Johnson et d’autres aux États-Unis, ou les Professeurs Perronne et Raoult en France, tout en garantissant le respect du consentement éclairé dont le viol a été mis en avant dès 2021 par le Dr Amine Umlil.
Les débats sur l’euthanasie et le délit d’entrave appellent également à un dialogue éthique inclusif, évitant les approches unilatérales, ainsi que des enquêtes approfondies sur le harcèlement subi par les chercheurs qui se sont opposés aux mesures du gouvernement. Un harcèlement mené conjointement par une petite bande organisée et des médias peu regardants sur les nombreuses erreurs de leurs articles. Les publications frauduleuses, comme celle de Pradelle Lega qui sera rétractée en aout 2024, indiquant faussement que 17 000 personnes seraient mortes de l’hydroxychloroquine. Elles ont été promues et soutenues dans les médias par des professionnels de santé peu regardants sur l’éthique et le contenu des études comme le professeur Molimard ou encore Dominique Costagliola. Le soutien des universités comme celle de Bordeaux ou de Lyon seront aussi à regarder étant donné les conflits d’intérêt ou les prises de position souvent trop favorables aux industriels et contraires aux intérêts des patients. Aux États-Unis, le décret présidentiel, sur la restauration de la science de référence, apporte satisfaction que la science reprend le bon sens de l'intérêt du patient. Quand sera-ce le cas en France ?
Euthanasie
La crise de la COVID-19 a révélé des failles dans la gouvernance sanitaire, en France et à l’étranger. Les assertions non fondées de Macron, démontées par McCullough, la méfiance croissante révélée par le sondage France-Soir/BonSens.org, et les enquêtes internationales de Ron Johnson ou du tribunal du Kansas soulignent l’urgence d’une transparence accrue. Les débats sur l’euthanasie et le délit d’entrave reflètent des tensions similaires entre santé publique et libertés individuelles.
L’avenir exige un équilibre entre protection collective et respect des droits fondamentaux, ancré dans un dialogue ouvert et des données vérifiables, pour rebâtir une société plus unie face aux crises futures. Sur ces sujets, depuis la signature de divers décrets présidentiels aux Etats-Unis, sans commission d'enquête sur la gestion de la crise, sans levée du secret défense sur ce qu'il s'est passé pendant la crise sanitaire, la France est de plus en plus à la traine de la défense de l'intérêt des citoyens.
Et ce n'est pas The Economist, ayant classé deux années de suite la France à "démocratie défaillante", qui viendra me contredire.
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/une-pandemie-aux-repercussions-profondes
Les citoyens doivent exiger des fonctionnaires la transparence sur la sécurité des vaccins
RépondreSupprimerLe Dr McCullough sur Lindell TV après l'audition du Sénat américain HSGAC PSI sur la dissimulation du vaccin COVID-19
Par le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
28 mai 2025
La colère monte au sein du public face aux blessures, aux handicaps et aux décès liés au vaccin contre la COVID-19.
Le Dr McCullough est apparu dans une interview impromptue pour Lindell TV après l'audience du Sénat américain du 21 mai 2021 du sous-comité permanent des enquêtes sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales :
La corruption de la science et des agences fédérales de santé : comment les responsables de la santé ont minimisé et caché la myocardite et d’autres effets indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19.
https://www.globalresearch.ca/demand-transparency-vaccine-safety-public-servants/5888647
Les régimes riches en graisses augmentent le risque de cancer du sein et de métastases
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
27 mai 2025
Une alimentation riche en graisses (définie comme 60 % des calories quotidiennes) augmente considérablement votre risque de développer un cancer du sein et accélère la propagation de la maladie dans tout votre corps.
Les aliments riches en graisses activent vos plaquettes, les rendant trop collantes, ce qui aide les cellules cancéreuses à se fixer et à se développer rapidement dans des organes vitaux comme vos poumons.
Les graisses malsaines, que l'on trouve couramment dans les aliments transformés et la restauration rapide, déclenchent une inflammation nocive et des déséquilibres hormonaux qui alimentent directement le cancer du sein.
Des changements alimentaires simples, comme réduire la consommation d'aliments transformés et d'huiles végétales, réduisent considérablement le risque de cancer du sein et favorisent une fonction cellulaire plus saine.
Choisir régulièrement des aliments entiers, riches en nutriments et en glucides sains aide votre corps à réduire l'inflammation, à équilibrer les hormones et à créer un environnement moins propice à la croissance du cancer.
*
Le cancer du sein, caractérisé par des nodules, un gonflement inexpliqué, des modifications cutanées et parfois des douleurs persistantes, demeure le deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes dans le monde. Rien qu'aux États-Unis, l'American Cancer Society estime que 316 950 femmes recevront un diagnostic de cette maladie en 2025 .
Bien que l'on pense généralement que le cancer du sein est dû à des facteurs tels que des mutations génétiques ou des gènes héréditaires, les recherches montrent qu'un facteur alarmant influence considérablement le risque : l'alimentation. Plus précisément, une alimentation trop riche en graisses.
Un régime riche en graisses accélère la propagation du cancer
Une étude publiée dans Nature Communications 2 a exploré comment une alimentation riche en graisses accélère la propagation du cancer du sein, en se concentrant plus particulièrement sur le rôle des plaquettes, des cellules sanguines impliquées dans la coagulation. Plus précisément, les chercheurs ont cherché à déterminer le lien entre un apport calorique de 60 % sous forme de graisses et une accélération des métastases cancéreuses (propagation des cellules cancéreuses) dans les poumons.
• Un régime riche en graisses a eu un effet significatif sur l'activation plaquettaire. Les plaquettes des souris nourries avec un régime composé à 60 % de matières grasses ne se comportaient pas normalement. Elles sont devenues excessivement collantes et agressives, et ont commencé à former des amas, en particulier dans les tissus pulmonaires.
• Les plaquettes agressives ne se sont pas simplement agglutinées au hasard : ces cellules ont libéré une protéine appelée fibronectine, qui améliore considérablement la capacité des cellules cancéreuses à adhérer aux vaisseaux sanguins. La fibronectine agit comme de la colle, offrant aux cellules cancéreuses une adhérence solide aux parois des vaisseaux sanguins.
Sans fibronectine, les cellules cancéreuses peineraient à s'accrocher aux vaisseaux sanguins des poumons, ce qui limiterait considérablement leur potentiel d'invasion et de propagation. Mais lorsque les taux de fibronectine sont élevés, comme c'est le cas avec les régimes riches en graisses, les cellules cancéreuses s'attachent facilement, survivent et prolifèrent rapidement dans de nouvelles zones.
• La fibronectine nuit à la santé cellulaire — Pour confirmer le rôle crucial de la fibronectine, les chercheurs ont mené un test supplémentaire : ils ont bloqué son action. Ce faisant, ils ont considérablement ralenti la propagation du cancer, soulignant les effets néfastes d'une alimentation riche en graisses en augmentant la production de fibronectine.
• Il est possible d’inverser les effets nocifs — Lorsque les chercheurs ont fait passer les souris testées d’un régime riche en graisses à un régime normal, ils ont constaté une réduction significative de l’activation plaquettaire et de la propagation du cancer.
RépondreSupprimerLe changement n'a pas tardé à se manifester, démontrant que des ajustements alimentaires offrent une protection rapide et efficace contre les métastases. C'est une raison convaincante d'agir sans tarder, surtout si vous consommez régulièrement des repas riches en graisses.
• La coagulation sanguine fournit un indice sur le risque de cancer — Une autre observation concernait les temps de coagulation sanguine. Le sang des animaux soumis à un régime riche en graisses coagulait plus rapidement, un changement qui prédisait avec précision des complications. En résumé, une coagulation sanguine plus rapide indique une hyperactivité plaquettaire, transformant la circulation sanguine en un environnement plus propice aux cellules cancéreuses.
En surveillant les temps de coagulation du sang, les prestataires de soins de santé peuvent identifier les personnes présentant un risque accru de propagation agressive du cancer en raison de facteurs alimentaires, ce qui permet des interventions plus précoces et plus ciblées.
• Le mécanisme d'hyperactivation plaquettaire est étroitement lié aux graisses alimentaires. Comme indiqué précédemment, les plaquettes activées sécrètent de grandes quantités de fibronectine, favorisant ainsi les métastases cancéreuses en favorisant l'adhésion des cellules cancéreuses aux vaisseaux sanguins et aux tissus pulmonaires. Mais un autre mécanisme entre en jeu : elles protègent également les cellules cancéreuses du système immunitaire.
Normalement, vos cellules immunitaires patrouillent votre circulation sanguine, identifiant et éliminant les cellules cancéreuses indésirables. Cependant, ces plaquettes agglutinées forment une barrière protectrice autour des cellules cancéreuses, les rendant pratiquement invisibles à la surveillance immunitaire. Ainsi, les cellules cancéreuses survivent plus longtemps, se multiplient rapidement et se propagent plus efficacement dans l'organisme.
• L’obésité aggrave les risques d’un régime riche en graisses — Selon les chercheurs, un excès de poids aggrave les métastases :
« En plus d’affecter la croissance tumorale primaire du cancer du sein, l’obésité favorise la métastase de ces cellules vers les poumons d’une manière qui dépend des neutrophiles, impliquant un dysfonctionnement vasculaire et une transmigration endothéliale accrue des cellules tumorales.
De plus, l’obésité induit également une inflammation chronique, tout en améliorant la signalisation prothrombotique dans les plaquettes et les cellules endothéliales, et en favorisant un état d’hypercoagulabilité chez les patients atteints de cancer.
D'autres recherches soutiennent le lien entre la consommation de graisses et un risque accru de cancer du sein
Dans une étude similaire publiée dans Cureus, trois chercheurs ont mené une méta-analyse afin de déterminer si une alimentation riche en graisses influence directement le risque de cancer du sein chez les femmes. Ils ont sélectionné huit études provenant de différents pays, portant sur des échantillons vastes et variés, allant de groupes de 172 à 91 779 personnes.
Chacune des études sélectionnées a mesuré l'apport en graisses alimentaires des participantes à l'aide de questionnaires alimentaires et a suivi les diagnostics de cancer du sein grâce à des dossiers médicaux confirmés par histologie ou radiologie. Tout comme l'étude Nature Communications, les résultats de celle-ci étaient clairs : une alimentation riche en graisses augmentait significativement le risque de cancer du sein.
RépondreSupprimer• Une consommation élevée de graisses polyinsaturées (PUF) est nocive — L'étude a identifié les PUF, en particulier les oméga-6, comme particulièrement nocifs. Comme l'ont souligné les chercheurs :
« L’apport calorique global a un impact plus important sur le développement de l’obésité, qui est liée aux anomalies redox et hormonales qui favorisent la prolifération tumorale…
[L]es stress oxydatifs excessifs peuvent activer de nombreux facteurs de transcription, notamment ceux qui contrôlent l'expression des gènes impliqués dans les voies pro-inflammatoires. Il a été démontré que l'effet des acides gras polyinsaturés (AGPI) sur le risque de cancer dépend du rapport entre les AGPI -6 et -3. Des études in vivo ont montré que les AGPI -6 stimulent le développement tumoral, tandis que les AGPI -3 ont un effet protecteur.
• Le moment et la durée de la consommation de matières grasses influencent le risque de cancer — Les chercheurs ont constaté qu'une consommation régulière d'aliments riches en matières grasses pendant plusieurs années augmentait considérablement le risque. Autrement dit, une exposition prolongée à ces graisses alimentaires créait des dommages cumulatifs, augmentant la probabilité d'un diagnostic de cancer du sein plus tard dans la vie.
• Les mécanismes biologiques sous-jacents de l'apport en graisses sur le cancer — Une consommation excessive de graisses augmente les niveaux de substances nocives dans l'organisme, appelées espèces réactives de l'oxygène (ERO). Ces molécules instables provoquent un stress oxydatif dans les cellules, entraînant directement des lésions de l'ADN et des modifications cancéreuses.
Le stress oxydatif chronique n’endommage pas seulement les cellules individuelles : il déclenche une réaction en chaîne de réactions inflammatoires, activant des gènes connus pour stimuler la croissance du cancer du sein.
• Une consommation élevée de mauvaises graisses perturbe les niveaux hormonaux — Les chercheurs ont constaté qu'un excès de tissu adipeux produit activement des œstrogènes, et que des taux élevés d'œstrogènes sont fortement corrélés au développement du cancer du sein, en particulier chez les femmes ménopausées. L'activité œstrogénique accélère la croissance des cellules mammaires. Ainsi, une alimentation riche en graisses amplifie indirectement l'environnement hormonal de l'organisme.
Tout comme l'étude précédente, cette recherche montre clairement que la quantité de matières grasses consommée chaque jour influence le risque de cancer du sein. Réduire les graisses alimentaires, en particulier celles qui déclenchent une inflammation chronique et des déséquilibres hormonaux, comme les oméga-6, améliorera votre risque de cancer du sein.
RépondreSupprimerRéduisez votre risque de cancer du sein en modifiant votre régime alimentaire
Pour réduire votre risque de cancer du sein, il est nécessaire de s'attaquer à la cause profonde : votre alimentation. Comme le montrent les études, une alimentation riche en graisses favorise l'inflammation, les déséquilibres hormonaux et la croissance agressive du cancer.
Je vous recommande d'agir dès aujourd'hui pour contrer les risques mentionnés et bâtir un avenir plus sain. Voici mes cinq stratégies qui vous mettront sur la bonne voie :
1. Réduisez votre consommation d'acide linoléique — L'acide linoléique (AL) est un type de graisse nocif, couramment présent dans les huiles végétales et les aliments transformés, car il favorise l'inflammation, favorisant ainsi la croissance du cancer. Commencez à vérifier attentivement les étiquettes et évitez les aliments contenant de l'huile de soja, de maïs, de tournesol, de carthame et les aliments ultra-transformés.
Privilégiez plutôt des graisses plus saines comme le beurre de pâturage, le ghee ou le suif, car ces graisses ne contribuent pas à l'inflammation et contribuent à protéger votre santé cellulaire. Pour en savoir plus sur les dommages cellulaires causés par l'acide linoléique, lisez mon article « L'acide linoléique : l'ingrédient le plus destructeur de votre alimentation ».
2. Modérez votre consommation de matières grasses — Comme l'ont souligné des recherches antérieures, un taux élevé de matières grasses est fortement lié au cancer du sein, mais éliminer complètement les matières grasses n'est ni réaliste ni sain ; la clé est la modération. Visez un équilibre alimentaire, car votre corps a besoin de matières grasses pour fonctionner correctement.
Pour une meilleure efficacité métabolique, visez un apport quotidien en lipides d'environ 30 % de vos calories quotidiennes et assurez-vous qu'ils proviennent de sources saines, notamment de produits laitiers crus entiers, source principale de lipides essentiels à chaîne impaire C15:0 . Le glucose est le carburant privilégié de vos cellules ; il devrait donc constituer la majeure partie (45 à 55 %) de vos calories.
3. Optez pour des aliments complets et riches en nutriments — Si vous consommez régulièrement des aliments transformés ou frits, c'est le moment de changer. Remplacez les plats et collations transformés par des aliments complets, naturels et riches en nutriments.
Parmi les bons choix, on trouve les légumes frais, les fruits, la viande élevée en plein air, les fruits de mer sauvages, les œufs de poules élevées en plein air et les produits laitiers crus de pâturage. Ces aliments fournissent des nutriments essentiels qui renforcent votre système immunitaire et favorisent une santé optimale.
4. Optimisez votre apport en glucides pour des cellules saines — Vos cellules dépendent fortement des glucides pour leur énergie ; une restriction drastique des glucides n'est donc pas une bonne idée . Privilégiez plutôt les glucides sains pour alimenter vos cellules sans déclencher d'inflammation.
RépondreSupprimerLes fruits entiers (avec pulpe), les légumes-racines cuits et les sources faciles à digérer comme le riz blanc fournissent des glucides stables et bénéfiques. Ces glucides favorisent l'équilibre hormonal et réduisent le stress oxydatif qui favorise la croissance cancéreuse.
5. Pratiquez une activité physique régulière — Une alimentation saine et une activité physique régulière sont des moyens efficaces de protéger votre santé contre le cancer. Des recherches montrent qu'une meilleure force musculaire et une meilleure santé cardiovasculaire réduisent la mortalité toutes causes confondues de 31 % à 46 % pour différents types et stades de cancer .
Alors, quels types d'exercices sont bons pour vous ? Le meilleur, et le plus simple, est d'aller marcher dehors dès maintenant, en visant 10 000 pas par jour. Si vous faites de la musculation, l'idéal est de 40 à 60 minutes par semaine.
Au-delà de cette période, votre longévité devient la même que si vous ne faisiez pas d'exercice du tout. Pour une explication plus détaillée à ce sujet, lisez mon article « Une étude montre que la forme physique est fortement liée à une meilleure survie au cancer ».
Questions fréquemment posées sur le lien entre les régimes riches en graisses et le cancer du sein
Q : Comment un régime riche en graisses influence-t-il la propagation du cancer du sein ?
R : Un régime riche en graisses accélère considérablement la formation de métastases dans les cellules cancéreuses du sein en modifiant le comportement des plaquettes. Ces dernières deviennent hyperactives et libèrent de la fibronectine, une protéine qui aide les cellules cancéreuses à adhérer aux parois des vaisseaux sanguins et à envahir d'autres organes, notamment les poumons. Ce régime alimentaire accélère également la coagulation sanguine, prédicteur d'une progression plus agressive du cancer.
Q : Est-ce que changer mon régime alimentaire peut réduire le risque de cancer du sein ?
R : Oui, des changements alimentaires réduisent rapidement et significativement le risque de cancer. Des recherches montrent que le passage d'une alimentation riche en graisses à une alimentation complète, privilégiant les glucides comme carburant cellulaire, diminue l'activation plaquettaire et la production de fibronectine, réduisant ainsi le risque de propagation des cellules cancéreuses.
Q : Quels types de graisses sont les plus nocifs en ce qui concerne le cancer du sein ?
R : Les graisses polyinsaturées (PUF), notamment les acides gras oméga-6 présents dans les huiles végétales (comme l'huile de maïs, de soja et de tournesol), sont particulièrement dangereuses. Elles favorisent le stress oxydatif, les déséquilibres hormonaux et l'inflammation chronique, autant de facteurs qui contribuent à la croissance tumorale et aux métastases. Si les oméga-3 sont bénéfiques pour la santé en général, la modération est de mise, car même un excès de bonnes graisses n'est pas bon pour la santé.
Q : Comment l’obésité interagit-elle avec les graisses alimentaires pour affecter le cancer du sein ?
R : L'obésité aggrave les effets néfastes d'une alimentation riche en graisses. Elle entraîne une inflammation chronique, un dysfonctionnement vasculaire et une augmentation de la coagulation sanguine, autant de facteurs favorisant les métastases cancéreuses. Les personnes obèses souffrent également de déséquilibres hormonaux, notamment d'une augmentation du taux d'œstrogènes, qui favorise la croissance des cellules cancéreuses du sein, surtout après la ménopause.
Q : Quelles sont les mesures recommandées pour réduire les risques alimentaires de cancer du sein ?
RépondreSupprimerA : Pour réduire votre risque, suivez les recommandations ci-dessous :
Évitez les huiles végétales — Faites attention aux produits contenant de l’huile de soja, de maïs, de carthame et de canola.
Limitez votre consommation de matières grasses à moins de 30 % de vos calories quotidiennes. Privilégiez les graisses animales saines comme le ghee ou le beurre de pâturage. L'huile de coco est également recommandée.
Mangez des aliments entiers et non transformés — par exemple des légumes, des fruits et des produits laitiers crus nourris à l’herbe.
Privilégiez les glucides sains — Les recommandations alimentaires incluent les légumes racines et le riz blanc.
Faites de l’exercice régulièrement — visez 10 000 pas par jour et 40 à 60 minutes de musculation par semaine.
*
Remarques
1 American Cancer Society, Statistiques clés sur le cancer du sein
2 Nature Communications volume 16, Numéro d'article : 2897 (2025)
3 Cureus. 8 déc. 2022 ;14(12) :e32309
4 Br. J Sports Med. 21 janvier 2025 : bjsports-2024-108671
https://www.globalresearch.ca/high-fat-diets-increase-breast-cancer-risk-metastasis/5888486
Le Dr McCullough a émis un acte d'accusation contre l'ensemble de la campagne de vaccination contre la COVID-19
RépondreSupprimerUne dissimulation de sécurité révélée, une fraude criminelle au minimum impliquée
Par le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
27 mai 2025
Veuillez partager ce segment d'actualité dans lequel un Steve Gruber indigné sur Real America's Voice résume le témoignage le plus récent du Dr McCullough au Sénat américain le 21 mai 2025.
L'audience du HSGAC PSI dirigée par le sénateur Ron Johnson (R-WI) intitulée « La corruption de la science et des agences fédérales de santé : comment les responsables de la santé ont minimisé et caché la myocardite et d'autres événements indésirables associés aux vaccins contre la COVID-19 » était à la fois révélatrice et explosive .
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https://www.globalresearch.ca/theme/science-and-medicine
Un policier canadien puni pour avoir enquêté sur la mort subite de bébés vaccinés contre la Covid
RépondreSupprimerPar Frank Bergman
Recherche mondiale,
Slay News 28 mars 2025
Un détective de la police canadienne a été reconnu coupable de « conduite déshonorante » pour avoir enquêté sur une vague de morts subites parmi les bébés décédés après avoir reçu des « vaccins » à ARNm contre la Covid.
La détective Helen Grus du Service de police d'Ottawa (SPO) a été accusée après avoir commencé à enquêter sur un grand nombre de cas de syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) en décembre 2021.
Grus a constaté que les cas de SMSN ont explosé après que les « vaccins » ont été mis à la disposition du public cette année-là.
Le policier pensait que les morts subites étaient liées aux injections de Covid, que toutes les victimes avaient reçues.
Cependant, Grus s'est retrouvée au centre d'une enquête officielle à cause de ses investigations.
À la suite d'une enquête sur ses actes, Grus a été convoquée devant une audience disciplinaire.
Dans une décision du 25 mars , Grus a été reconnu coupable de « conduite déshonorante ».
Le surintendant à la retraite Christopher Renwick, qui a présidé les débats, a statué que la détective Grus avait « discrédité la réputation du Service de police d'Ottawa » lorsqu'elle a enquêté sur un lien potentiel entre la mort subite de plusieurs nourrissons et les « vaccins » à ARNm contre la Covid qu'ils avaient reçus.
L'OPS a allégué que Grus « a lancé de son propre chef un projet non autorisé, dans lequel elle a eu accès à neuf cas de décès d'enfants et/ou de nourrissons dans lesquels elle n'avait aucun rôle/responsabilité d'enquête, et n'a pas ensuite enregistré son implication ou ses conclusions dans les dossiers. »
À partir de décembre 2021, Grus a commencé à se demander si les injections de Covid jouaient un rôle dans le nombre croissant de décès de nourrissons dont elle aurait été témoin.
Elle a donc tenté de déterminer si les bébés ou leurs parents avaient reçu le « vaccin » expérimental.
Après qu'il a été révélé que Grus menait ces enquêtes, elle a été suspendue de ses fonctions par l'unité des normes professionnelles du Service de police d'Ottawa.
Les autorités ont alors porté plainte contre Grus et l'ont forcée à défendre ses actes devant un tribunal.
L'OPS allègue que Grus a transgressé une limite professionnelle en enquêtant sur les décès de nourrissons dans des cas dans lesquels elle n'avait aucun rôle d'enquête.
Un incident s'est produit en janvier 2022 lorsque Grus aurait contacté le père d'un nourrisson décédé subitement.
Grus a cherché à s'enquérir du statut vaccinal de la mère du bébé.
Aux côtés de son avocate, Bath-Sheba van den Berg, Grus a fait valoir que l'enquête sur les décès relevait de la sphère d'autorité de la détective en tant que membre de l'unité des agressions sexuelles et des maltraitances d'enfants (SACA).
La SACA est chargée d’enquêter sur les décès d’enfants de moins de cinq ans.
RépondreSupprimerDe plus, le protocole pour le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) comprend la collecte d’informations sur les antécédents médicaux des parents.
La collecte d’informations comprend toute consommation de médicaments de rue, en vente libre et sur ordonnance.
Lors de l'audience, van den Berg a fait valoir que Grus avait pris des « mesures raisonnables » après avoir constaté un « doublement ou un triplement » des décès infantiles depuis le déploiement du « vaccin » contre le Covid.
En outre, Grus « considérait qu’il était de son devoir d’enquêter sur la négligence criminelle du gouvernement ».
Cependant, Renwick a répondu :
« J'accepte qu'une motivation sous-jacente était une augmentation perçue des décès infantiles depuis la COVID-19 et la mise en œuvre des vaccinations, mais je trouve que les preuves soutiennent qu'elle a appliqué ses propres opinions personnelles sur les risques et les dangers de la politique de vaccination, formées par ses recherches auto-initiées et sa forte opposition à la décision de son employeur de mettre en œuvre une politique de vaccination obligatoire. »
« L'inspectrice Grus a laissé ses convictions et ses opinions personnelles s'immiscer dans ses responsabilités professionnelles et obscurcir son jugement et, en fin de compte, sa conduite professionnelle », a-t-il statué.
Il convient de noter que les vaccins expérimentaux contre la Covid ont été associés à une multitude de conséquences négatives sur la santé, notamment la mort subite.
Cependant, ces faits ont souvent été ignorés ou étouffés par les gouvernements et les médias d’entreprise du monde entier.
Entre-temps, d’éminents experts japonais ont lancé une alerte mondiale pour appeler à une réévaluation urgente des programmes de vaccination dans le monde entier après avoir lié une récente augmentation des décès d’enfants aux « vaccins ».
Une nouvelle étude explosive publiée dans la revue à comité de lecture Springer Nature Discover Medicine tire la sonnette d’alarme sur le sujet après avoir lié plusieurs décès d’enfants aux « vaccinations ».
L’étude a été menée par le Dr Kenji Yamamoto de l’hôpital Okamura Memorial au Japon.
Dans le sillage de Yamamoto, les meilleurs experts japonais appellent désormais à une réévaluation urgente des programmes mondiaux de vaccination, en particulier des « vaccins » à ARNm.
https://www.globalresearch.ca/canadian-cop-punished-investigating-sudden-deaths-covid-vaxxed-babies/5888498
Petit guide pour affamer une population. Jonathan Cook
RépondreSupprimerPar Jonathan Cook
Recherche mondiale,
28 mai 2025
Un petit guide sur la manière de fomenter un génocide par la famine et le nettoyage ethnique :
1. Choisissez votre moment. Certes, vous pratiquez le nettoyage ethnique, l'occupation, l'oppression et le massacre de vos voisins depuis des décennies. Les tribunaux internationaux ont jugé vos actions illégales. Mais tout cela n'aura plus d'importance le jour où vos voisins riposteront en vous attaquant. Ne vous inquiétez pas. Vous pouvez compter sur les médias occidentaux pour vous aider. Ils seront plus que ravis de prétendre que l'histoire a commencé le jour de votre attaque.
2. Déclarez, en réponse, votre intention d'affamer vos voisins, de les traiter comme des « animaux humains », en leur coupant l'accès à la nourriture, à l'eau et à l'électricité. Vous serez surpris du nombre de politiciens occidentaux prêts à soutenir cela comme votre « droit à la défense ». Les médias leur feront écho. Il est important de ne pas se contenter de parler de blocage de l'aide. Il faut le faire. Il n'y aura pas de réaction sérieuse avant de nombreux mois.
3. Commencez relativement lentement. Le temps joue en votre faveur. Laissez entrer un peu d'aide. Mais veillez à salir sans relâche le système de distribution d'aide efficace et vieux de plusieurs décennies, géré par la communauté internationale – un système transparent, responsable et largement intégré à la communauté qu'il sert. Dites qu'il est infiltré par des « terroristes ».
4. Utilisez cette affirmation – les preuves ne sont pas vraiment nécessaires, les médias occidentaux n'en demandent jamais – comme prétexte pour bombarder les entrepôts, les centres de distribution et les cantines communautaires du système d'aide. Oh, et n'oubliez pas de bombarder toutes les boulangeries privées, de détruire toutes les terres agricoles, d'abattre tous les animaux et de tuer quiconque tente d'utiliser un bateau de pêche, afin qu'il n'y ait plus d'autres sources de nourriture. Vous contrôlez désormais le maigre apport d'aide qui parvient à une population en voie de devenir gravement sous-alimentée.
5. Il est temps de passer à la vitesse supérieure. Empêchez l'arrivée massive de l'aide internationale. Il vous faudra une couverture humanitaire pour cela. Le danger, surtout à l'ère des réseaux sociaux, est que les images de bébés affamés vous donnent une très mauvaise image. Tenez bon. Vous pouvez vous en sortir. Affirmez – encore une fois, les preuves ne sont pas vraiment nécessaires, les médias occidentaux n'en demanderont pas – que les « terroristes » volent l'aide. Vous serez surpris de voir à quel point les médias sont disposés à parler de bébés « affamés », ignorant le fait que vous les laissez mourir de faim, ou à parler de « famine », comme si c'était dû à la sécheresse et aux mauvaises récoltes, et non à vos plans soigneusement élaborés.
https://www.globalresearch.ca/short-guide-starve-population/5888589
Instabilité climatique mondiale : l’armée américaine maîtrise-t-elle la météo ? « La météo est-elle une arme » de guerre moderne ?
RépondreSupprimerIl y a trop de coïncidences et de contradictions.
Par le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
27 mars 2025
[Cet article a été publié pour la première fois en septembre 2017, avec des mises à jour en novembre 2024.]
Introduction et mise à jour de l'auteur
La COP29 de novembre 2024 (programme) s'est tenue (à peine une semaine après les élections américaines) à Bakou, en Azerbaïdjan, dans le centre géopolitique instable de la mer Caspienne.
Le pays hôte compte parmi les plus grands producteurs de pétrole et de gaz naturel au monde. Ironiquement, le gouvernement azerbaïdjanais s'est engagé en faveur de l'énergie verte ( zéro émission nette de gaz carbonique ), exigeant une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre. Cela paraît absurde.
Parmi les participants à la COP29 figurent des représentants d’organisations de la société civile, d’intérêts commerciaux, d’organisations internationales, de philanthropies milliardaires et d’organisations internationales.
- voir doc sur site -
La COP29 ainsi que le gouvernement hôte ont approuvé le gaz carbonique-Net Zero.
Cela semble absurde. L'Azerbaïdjan produit environ 33 millions de tonnes de pétrole et 35 milliards de mètres cubes de gaz (données de 2022).
Le faux récit de la réduction des émissions de gaz à effet de serre ouvre la voie au déclenchement d’un chaos économique et social, y compris des conséquences dévastatrices sur les exploitations familiales du monde entier.
Aider les pays du Sud est le mandat de plusieurs milliards de dollars de la COP29 : c'est une imposture ! Les pays du Sud sont désignés comme l'une des principales causes du réchauffement climatique. Les grandes compagnies pétrolières ne sont pas visées. Bien au contraire.
La Fondation Bill et Melinda Gates s’est engagée à débloquer des milliards de dollars pour venir en aide aux agriculteurs pauvres du Sud.
Cet argent servira à lancer une nouvelle phase de néocolonialisme , conduisant à la confiscation de terres, de biens et de ressources minérales.
Bill Gates souhaite devenir un acteur majeur du développement des terres agricoles dans les pays du Sud. Lui-même ou un membre de sa fondation prendra la parole lors de la séance plénière du 14 novembre 2024.
Voir ci-dessous:
- voir doc sur site -
À son tour, Sir Jeff Bezos, la deuxième personne la plus riche de la planète, s’est engagé à venir au secours du Sud global.
RépondreSupprimerVidéo : COP 29. Bezos Earth Fund. « Philanthropie climatique »
- voir clip sur site -
Le modus operandi pour venir au secours du Sud global est décrit dans la vidéo suivante :
Vidéo : Objectif climatique. « Il n'y a pas d'unité mondiale »
- voir clip sur site -
Notre analyse confirme que l'« unité mondiale » n'existe pas. La philanthropie climatique est une imposture.
Comme lors des précédents sommets de la COP, la question de la modification du climat, à savoir les techniques de modification de l’environnement (ENMOD), a été écartée en violation flagrante d’une convention des Nations Unies de mai 1977 (voir ci-dessous).
Techniques ENMOD
Les techniques de modification de l'environnement , objet du présent article, ont été soigneusement exclues du débat sur le changement climatique. L'histoire des techniques ENMOD est longue et complexe :
Le mathématicien américain John von Neumann, en collaboration avec le ministère de la Défense américain, a commencé ses recherches sur la modification du climat à la fin des années 1940, en pleine Guerre froide, et a anticipé des « formes de guerre climatique encore inimaginables ». Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye , dont l'objectif était de prolonger la mousson et de bloquer les voies d'approvisionnement ennemies le long de la piste Hô Chi Minh.
L'armée américaine a développé des capacités avancées lui permettant de modifier sélectivement les conditions météorologiques. Cette technologie, initialement développée dans les années 1990 dans le cadre du Programme de recherche sur les aurorales actives à haute fréquence (HAARP) , était un prolongement de l'Initiative de défense stratégique « Star Wars » (voir mon article ci-dessous).
ENMOD. La crise des ouragans dans le sud-est des États-Unis
- voir doc sur site -
Greg Reese fournit des preuves concernant la technique d'ensemencement des nuages pour contrôler les ouragans, remontant aux années 1950 en se concentrant sur la Caroline du Nord.
Voir la déclaration du vice-président Lyndon B Johnson en 1962.
Le « contrôle du temps » actuel implique l'utilisation de technologies électromagnétiques avancées. (Voir mon analyse ci-dessous)
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Cliquez ici pour regarder la vidéo de Greg Reese
La militarisation des techniques ENMOD
Bien que les techniques de modification de l’environnement (ENMOD) soient à la disposition de l’armée américaine depuis plus d’un demi-siècle, il n’existe aucune preuve à 100 % que ces techniques aient été utilisées pour déclencher des conditions météorologiques extrêmes.
Les vagues de chaleur de l'été 2022, accompagnées d'incendies de forêt dévastateurs, en Europe occidentale, en Afrique du Nord, en Californie, en Inde, au Pakistan et dans la vallée du fleuve Yangtze en Chine, ont simultanément affecté la vie de millions de personnes dans le monde , avec des conséquences sociales et économiques dévastatrices.
« Le delta du fleuve Yangtze n'a jamais connu de températures aussi élevées depuis le début des relevés historiques , et des températures aussi élevées s'accompagnent de sécheresse. »
Selon les rapports d'août 2022, la production hydroélectrique quotidienne sur le Yangtze a chuté de 51 % , entraînant la suspension de la production dans la méga-région industrielle de Chongqing, qui compte plus de 30 millions d'habitants.
En mai 2022, le Pakistan figurait parmi les 23 pays les plus touchés par la sécheresse et la désertification au monde. Quelques mois plus tard, pendant la mousson, la vallée de l'Indus a connu les inondations les plus importantes de mémoire d'homme. Les précipitations dans les provinces du Sindh et du Baloutchistan ont été au moins sept fois supérieures aux normales .
Le « changement climatique d'origine humaine » a été présenté comme la cause des inondations au Pakistan, qui ont fait 1 508 morts, inondé des millions d'hectares et touché 33 millions de personnes. Plus d'un demi-million de personnes se sont retrouvées sans abri.
Gaz carbonique ? Causalité des phénomènes météorologiques extrêmes
Bien qu’il n’existe aucune preuve concrète que les vagues de chaleur et les inondations de 2022 aient été causées par les techniques ENMOD, la question de la manipulation du climat doit néanmoins être abordée et analysée.
Des documents militaires américains ainsi que des rapports scientifiques confirment que les « techniques de modification de l’environnement » (ENMOD) étaient pleinement opérationnelles au milieu des années 1990.
D’un autre côté, il n’existe aucune preuve solide , comme le soulignent les médias grand public (citant régulièrement des climatologues faisant autorité), que ces conditions météorologiques extrêmes soient le résultat de ce que l’on appelle les « émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine ».
De plus, il faut comprendre que ces émissions de gaz à effet de serre – prétendument responsables du « réchauffement climatique » – servent de prétexte et de justification à l'adoption de mesures drastiques et inutiles, propices à la déstabilisation pure et simple de l'agriculture. Ces mesures ont été appliquées simultanément dans plusieurs pays. Elles s'inscrivent dans le cadre d'un « consensus climatique » qui consiste également à interdire l'utilisation des combustibles fossiles.
RépondreSupprimerLa procédure sous-jacente est la suivante : « L' agenda climatique » (c'est-à-dire le réchauffement climatique) consiste à restreindre l'utilisation d'engrais en vue de « réduire les émissions d'azote » (par exemple aux Pays-Bas, dans l'Ouest canadien) « au point où il est impossible pour les exploitations agricoles de continuer à fonctionner ». Ceci, à son tour, conduit au déclenchement de pénuries alimentaires massives ainsi que de famines.
Il y a trop de coïncidences et de contradictions. Il faut s'attaquer aux causes des conditions météorologiques extrêmes. Une grande partie des informations sur l'utilisation de l'ENMOD et ses impacts sont « confidentielles ».
La Convention des Nations Unies sur « l'interdiction de l'utilisation hostile » de l'ENMOD
Cette affaire devrait faire l'objet d'une enquête intergouvernementale (sous l'égide de l'Assemblée générale des Nations Unies) menée conformément aux termes de la Convention internationale historique de 1977, ratifiée par l'Assemblée générale des Nations Unies, interdisant « l'utilisation à des fins militaires ou autres fins hostiles de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves » (voir AP, 18 mai 1977). Les États-Unis et l'Union soviétique étaient tous deux signataires de la Convention :
….Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas recourir à des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires, ayant des effets étendus, durables ou graves, comme moyen de destruction, de dommage ou de préjudice à tout autre État partie. ( Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur : 5 octobre 1978 ; voir le texte intégral de la Convention en annexe)
- voir doc sur site -
Pour lire le texte intégral de la Convention des Nations Unies, cliquez ici
RépondreSupprimerIl convient de noter qu'en février 1998, la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du Parlement européen a tenu des auditions publiques à Bruxelles sur le programme HAARP.(17) La « proposition de résolution » de la commission soumise au Parlement européen :
« Considère que HAARP… en raison de son impact considérable sur l’environnement, constitue une préoccupation mondiale et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international indépendant… ; [le Comité] regrette le refus répété de l’administration américaine… de témoigner lors de l’audience publique… sur les risques environnementaux et publics [du] programme HAARP. »
Guerre météorologique
Les techniques de modification de l'environnement (ENMOD) constituent des instruments de « guerre météorologique ». Elles font partie intégrante de l'arsenal militaire américain.
La modification du climat deviendra un élément de la sécurité nationale et internationale et pourrait être appliquée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives, et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de météo artificielle font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires].
Étude commandée par l'US Air Force : La météo comme multiplicateur de force, Owning the Weather in 2025 , août 1996
Il convient de noter qu'avec la fermeture du programme HAARP ( High-frequency Active Auroral Research Program ) en Alaska en 2014, l'Agence des projets de recherche avancée de défense (DARPA) du Pentagone a activement participé aux recherches ENMOD, dont la plupart sont classifiées. Dans un rapport scientifique de 2009 :
Un groupe consultatif officiel de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) organise [en mars 2009] une réunion non classifiée… pour discuter de la géo-ingénierie, … La DARPA est la dernière d’une série d’agences officielles de financement de la science ou de sociétés scientifiques de premier plan qui explorent cette idée controversée. …
Dans le contexte actuel, notamment la guerre en Ukraine , le Pentagone a défini les contours d'un programme militaire mondial, une « guerre longue », une guerre sans frontières. La « guerre climatique » fait partie d'un arsenal militaire diversifié de systèmes d'armes conventionnels et stratégiques. L'ENMOD est potentiellement une arme de destruction massive (ADM), capable de déstabiliser l'écosystème d'un ennemi, de détruire son agriculture et de paralyser ses réseaux de communication.
La manipulation climatique est l'arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis, voire des « nations amies », à leur insu.
RépondreSupprimerLa manipulation du climat peut servir à déstabiliser l'économie, l'écosystème et l'agriculture d'un ennemi. Les techniques ENMOD peuvent saper l'économie d'un pays tout entier, appauvrir des millions de personnes et « tuer une nation » sans le déploiement de troupes ni de matériel militaire.
L'article ci-dessous se concentre sur l'histoire et l'analyse d'ENMOD.
Il fournit également des citations directes d’un document de l’US Air Force de 1996 accessible au public qui confirme le plan du Pentagone visant à « militariser la météo ».
— Michel Chossudovsky, 16 septembre 2022, 8 octobre 2024, 13 novembre 2024
L’armée américaine « maîtrise-t-elle la météo » ?
« Armoriser la météo »
comme instrument de guerre moderne ?
Par
Michel Chossudovsky
Recherche mondiale, septembre 2017
Introduction
Le mathématicien américain John von Neumann, en collaboration avec le ministère de la Défense américain, a commencé ses recherches sur la modification du climat à la fin des années 1940, en pleine Guerre froide, et a anticipé des « formes de guerre climatique encore inimaginables ». Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l'objectif était de prolonger la mousson et de bloquer les voies d'approvisionnement ennemies le long de la piste Hô Chi Minh.
https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/
L'armée américaine a développé des capacités avancées lui permettant de modifier sélectivement les conditions météorologiques. Cette technologie, initialement développée dans les années 1990 dans le cadre du Programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP) , était un appendice de l'Initiative de défense stratégique (Star Wars). D'un point de vue militaire, HAARP – officiellement aboli en 2014 – est une arme de destruction massive, opérant depuis l'atmosphère et capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques du monde entier.
Officiellement, le programme HAARP a été fermé sur son site en Alaska. Malgré le secret qui entoure cette technologie de modification du climat, elle perdure. Les documents HAARP confirment que cette technologie était pleinement opérationnelle dès le milieu des années 1990.
(Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, article intitulé Weather Warfare publié dans The Ecologist, publié pour la première fois en 2008. (qui résume les recherches antérieures sur le projet HAARP)
Il convient de souligner que, si l'armée américaine confirme que la guerre climatique est pleinement opérationnelle, il n'existe aucune preuve documentée de son utilisation militaire contre des ennemis des États-Unis . Ce sujet est tabou parmi les analystes environnementaux. Aucune enquête approfondie n'a été menée pour révéler les dimensions opérationnelles de la guerre climatique.
RépondreSupprimerLes impacts des techniques ENMOD à usage militaire ont été documentés par CBC TV au milieu des années 1990 :
Le reportage de la CBC TV a reconnu que l'installation HAARP en Alaska, sous les auspices de l'US Air Force, avait la capacité de déclencher des typhons, des tremblements de terre, des inondations et des sécheresses :
Les théories du complot ne sont pas les seules à s'inquiéter du projet HAARP. En janvier 1999, l'Union européenne a qualifié le projet de préoccupation mondiale et a adopté une résolution demandant davantage d'informations sur ses risques pour la santé et l'environnement. Malgré ces inquiétudes, les responsables de HAARP insistent sur le fait que le projet n'est rien de plus sinistre qu'un centre de recherche en radiosciences.
Les armes électromagnétiques… délivrent une force invisible, des centaines de fois supérieure à celle du courant électrique d'un éclair. L'une peut détruire des missiles ennemis, une autre peut aveugler les soldats sur le champ de bataille, une autre encore peut maîtriser une foule indisciplinée en leur brûlant la peau. Détonée au-dessus d'une grande ville, une arme électromagnétique pourrait détruire tous les appareils électroniques en quelques secondes. Elles utilisent toutes une énergie dirigée pour créer une puissante impulsion électromagnétique.
L'énergie dirigée est une technologie si puissante qu'elle pourrait servir à réchauffer l'ionosphère et à transformer la météo en arme de guerre. Imaginez une inondation pour détruire une ville ou des tornades pour décimer une armée en approche dans le désert. L'armée a consacré énormément de temps à la modification du climat comme concept pour les environnements de combat. Si une impulsion électromagnétique se déclenchait au-dessus d'une ville, pratiquement tous les appareils électroniques de votre maison s'éteindraient, s'éteignant et seraient définitivement détruits. ( CBC, 1996 )
Reportage télévisé de la CBC de 1996 sur le projet HAARP
- voir doc sur site -
La machine invisible : Guerre électronique : History Channel
RépondreSupprimer« Excellent programme de History Channel sur la guerre électronique (GE) impliquant l'utilisation du spectre électromagnétique ou de l'énergie dirigée pour contrôler le spectre, attaquer un ennemi ou entraver ses assauts via le spectre. »
- voir doc sur site -
« La météo comme multiplicateur de force : maîtriser la météo »
Dans cet article, nous fournirons des citations clés d'un document de l'US Air Force de 1996 qui analyse les techniques de modification du temps à des fins militaires.
L’objectif sous-jacent d’un point de vue militaire est de « maîtriser le climat ».
Au moment où cette étude a été commandée en 1996, le programme HAARP était déjà pleinement opérationnel, comme le montre le documentaire de la CBC.
L'objectif déclaré du rapport (dans le domaine public) est décrit ci-dessous :
Dans cet article, nous démontrons qu'une application judicieuse de la modification des conditions météorologiques peut conférer une domination de l'espace de combat à un niveau jamais imaginé auparavant. À l'avenir, de telles opérations renforceront la supériorité aérienne et spatiale et offriront de nouvelles options pour façonner et appréhender l'espace de combat, en attendant que nous mettions tout en œuvre ; en 2025, nous pourrons « maîtriser la météo ». (Document commandé par l'US Air Force, rapport final AF 2025, (document public)
- voir doc sur site -
Modification du temps, selon le document AF 2025 Final Report de l'US Air Force (lien original non disponible, cliquez ici)
« offre au combattant un large éventail d’options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire », les capacités, dit-il, s’étendent au déclenchement d’inondations, d’ouragans, de sécheresses et de tremblements de terre :
« La modification du climat deviendra un élément de la sécurité nationale et internationale et pourrait être appliquée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives, et même servir à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de météo artificielle font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires]. »
- voir doc sur site -
Voir le rapport complet commandé par l'US Air Force
…De l'amélioration des opérations amies à la perturbation de celles de l'ennemi, en passant par une adaptation à petite échelle des conditions météorologiques naturelles, jusqu'à la domination totale des communications mondiales et le contrôle du contre-espace, la modification du temps offre au combattant un large éventail d'options pour vaincre ou contraindre un adversaire. Certaines des capacités potentielles qu'un système de modification du temps pourrait offrir à un commandant en chef (CINC) sont présentées dans le tableau 1. (soulignement ajouté)
- voir doc sur site -
Source : US Air Force
Pourquoi voudrions-nous jouer avec la météo ? est le sous-titre du chapitre 2 du rapport
RépondreSupprimerSelon le général Gordon Sullivan, ancien chef d'état-major de l'armée de terre, « Avec l'avènement de la technologie au XXIe siècle, nous pourrons voir l'ennemi de jour comme de nuit, par tous les temps, et le traquer sans relâche. » Une capacité de modification météorologique globale, précise, en temps réel, robuste et systématique fournirait aux commandants en chef des forces armées un puissant multiplicateur de force pour atteindre leurs objectifs militaires. La météo étant commune à tous les futurs possibles, une capacité de modification météorologique serait universellement applicable et utile à l'ensemble du spectre des conflits. La capacité d'influencer la météo, même à petite échelle, pourrait transformer ce facteur de dégradation de force en un multiplicateur de force. »
Sous le titre :
Qu’entendons-nous par « modification du temps » ?
Le rapport indique :
Le terme « modification du temps » peut avoir une connotation négative pour de nombreuses personnes, civils comme militaires. Il est donc important de définir le champ d'application de cet article afin que les critiques ou les partisans potentiels de recherches plus approfondies disposent d'une base de discussion commune.
Au sens large, la modification du temps peut être divisée en deux grandes catégories : la suppression et l’intensification des phénomènes météorologiques . Dans les cas extrêmes, elle peut impliquer la création de phénomènes météorologiques totalement nouveaux, l’atténuation ou le contrôle de violentes tempêtes, voire une altération du climat mondial à grande échelle et/ou durable. Dans les cas les plus modérés et les moins controversés, elle peut consister à induire ou à supprimer des précipitations, des nuages ou du brouillard pendant de courtes périodes sur une région restreinte. D’autres applications de faible intensité peuvent inclure la modification et/ou l’utilisation de l’espace proche comme moyen d’améliorer les communications, de perturber la détection active ou passive, ou à d’autres fins. (soulignement ajouté)
Le déclenchement des tempêtes :
« Les technologies de modification du temps pourraient impliquer des techniques qui augmenteraient la libération de chaleur latente dans l’atmosphère, fourniraient de la vapeur d’eau supplémentaire pour le développement des cellules nuageuses et fourniraient un chauffage supplémentaire de surface et de basse atmosphère pour augmenter l’instabilité atmosphérique.
https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/
Les conditions atmosphériques préexistantes, locales et régionales, sont essentielles au succès de toute tentative de déclenchement d'une cellule orageuse. L'atmosphère doit déjà être conditionnellement instable et la dynamique à grande échelle doit favoriser le développement vertical des nuages. L'objectif de la modification du temps serait de créer des « conditions » supplémentaires qui rendraient l'atmosphère suffisamment instable pour générer des nuages et, à terme, le développement de cellules orageuses. La trajectoire des cellules orageuses, une fois développées ou renforcées, dépend non seulement de la dynamique à mésoéchelle de la tempête, mais aussi des régimes de vent atmosphériques régionaux et synoptiques (globaux) dans la zone, qui ne sont actuellement pas soumis au contrôle humain. (page 19)
Les services de renseignement américains sont-ils impliqués dans l’ingénierie climatique ?
RépondreSupprimerEn juillet 2013, MSN News rapportait que la CIA participait au financement d'un projet de l'Académie nationale des sciences (NAS) portant sur la géo-ingénierie et la manipulation climatique. Le rapport ne se contentait pas de reconnaître ces technologies, il confirmait également que les services de renseignement américains étaient régulièrement impliqués dans la lutte contre la manipulation climatique :
L'objectif de l'étude NAS, soutenue par la CIA, est de procéder à une évaluation technique d'un nombre limité de techniques de géo-ingénierie proposées, selon le site web de la NAS. Les scientifiques tenteront de déterminer quelles techniques de géo-ingénierie sont réalisables et d'évaluer les impacts et les risques de chacune (y compris les préoccupations de sécurité nationale). (Voir Slate , juillet 2013)
« La CIA contribue au financement de la recherche parce que la NAS prévoit également d’évaluer « les préoccupations de sécurité nationale (qui pourraient être) liées aux technologies de géo-ingénierie déployées quelque part dans le monde », a déclaré Kearney.
Dans une déclaration envoyée par courriel, Christopher White, porte-parole du bureau des affaires publiques de la CIA, a déclaré à MSN : « Sur un sujet comme le changement climatique, l'agence travaille avec des scientifiques pour mieux comprendre le phénomène et ses implications sur la sécurité nationale. » ( Slate )
Pour plus de détails, voir le rapport 2015 de The Independent intitulé : Les agences d'espionnage pourraient financer la recherche en géo-ingénierie dans le but d'utiliser la météo comme arme, affirment les scientifiques.
https://www.globalresearch.ca/does-the-us-military-own-the-weather-weaponizing-the-weather-as-an-instrument-of-modern-warfare/5608728
La Cour de Justice de la République ne peut condamner les crimes commis pendant la dictature covidienne
RépondreSupprimerPar Karine Bechet-Golovko
Mondialisation.ca,
27 mai 2025
Sans aucune surprise, la Cour de Justice de la République se prépare à prononcer un non-lieu et donc à refuser de voir la responsabilité de trois anciens membres du Gouvernement, Edouard Philippe, Agnès Buzin et Olivier Véran pour la gestion de la crise covidienne. Mais en regardant de plus près le recours, je dirais presque heureusement ! Car ils n’ont pas été accusés d’avoir violé sans fondement les libertés publiques, ni d’avoir mis en place un régime concentrationnaire, ni d’atteinte à la santé physique et morale de la population française. Non, il leur était reproché de ne pas en avoir fait suffisamment. Vous vouliez vraiment qu’ils soient condamnés pour cela ? Moi pas.
La phase judiciaire du Covid est à la mesure de sa phase médicale. Dans les deux cas, il s’agit d’une parodie, de piètre qualité. Comme nous pouvons le lire :
Dans cette information judiciaire pour mise en danger de la vie d’autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre, l’ex-Premier ministre Edouard Philippe, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn, ainsi que son successeur Olivier Véran, sont placés sous le statut de témoin assisté.
Cette absence de mise en examen laissait déjà entrevoir un non-lieu.
En effet, il leur était reproché de ne pas en avoir fait assez et pas assez tôt. Bref, vous voulez qu’ils en aient fait encore plus ? Pas assez de vaccins ? Pas assez de masques ? Pas assez de mesures liberticides ? Bref, vous vouliez plus de Covid ?
Le recours est en lui-même surprenant, quand on sait désormais avec certitude que ces masques ne servaient à rien, que les tests n’étaient pas fiables et que ces vaccins avaient plus d’effets dévastateurs sur la santé publique que bénéfiques. Sans oublier tous les intéressements financiers personnels et directs de ceux qui ont mis en place cette dictature sous slogan sanitaire, que ce soit au niveau français ou européen.
Mais ce qui surprend encore plus, c’est cette étrange indignation face à la position de la CJR, comme s’il s’agissait réellement de juger des crimes véritables commis à cette époque par les responsables gouvernementaux français. Alors, que c’est justement le contraire.
Il est regrettable, que les magouilles et les crimes véritablement commis contre les Français en particulier, et contre l’humanité en général, ne soient pas eux l’objet d’un procès. Mais ne nous trompons pas d’indignation. Pour cela, il faudra d’abord changer d’élite dirigeante. Tant que ces globalistes dirigeront nos pays, ils ne remettront jamais en cause ce qu’ils font, ils ne reconnaîtront jamais leurs crimes.
Karine Bechet-Golovko
https://www.mondialisation.ca/a-cour-de-justice-de-la-republique-ne-peut-condamner-les-crimes-commis-pendant-la-dictature-covidienne/5698928?doing_wp_cron=1748440053.8651759624481201171875
Les dissidents contre le Rivotril et les poisons ADNm unis pour la dignité humaine contre l’euthanasie , la loi inique et la rupture anthropologique
RépondreSupprimerle 28 Mai 2025
par pgibertie
La ligne de fracture est toujours présente. Ceux qui se sont battus pour des traitements précoces, contre l’euthanasie des vieux au Rivotril contre les ADNm, se retrouvent contre la nouvelle loi autorisant l’euthanasie et mettant en place un délit d’ent
@AnneliseBocquet
Quelqu’un fait les liens entre euthanasie, covid-longs et syndromes post-vaccins ? Les Spikeopathies ? Je dis ça, je dis rien… Commençons aussi par Solidarité, non ? Les têtes d’affiche de la Dissidence, malgré les remous historiques et les divergences, on pourrait s’unir face à cette loi, non ?
jean-claude perez a reposté
Tribune Libre
@TribuneLibre
L’essayiste Roland Hureaux nous fait suivre ces 12 arguments contre l’euthanasie. A diffuser massivement pour que chacun soit conscient des enjeux ! DOUZE ARGUMENTS CONTRE L’EUTHANASIE :
1. Les dérives que certains redoutent ne sont pas des risques mais des réalités observées dans les pays ayant déjà adopté le régime de l ’euthanasie légale .
Parmi ces risques :
a. L’incertitude sur le consentement ou le non-consentement des patients ; on peut dire que le « public » privilégié de ce genre de pratique serait précisément celui qui, en général, est le moins à même de donner un consentement lucide.
b. L’extension du champ de l’euthanasie : – Des souffrances physiques insupportables aux souffrances morales ; – Des adultes vers les adolescents, voire les enfants. Cas imaginable : un(e) adolescent(e) connait un chagrin d’amour, veut se suicider, il va voir le psychologue qui lui fait une attestation donnant « droit » à une « aide à mourir ».
c. Les pressions d’héritiers impatients sur le malade ou sur ses proches pour qu’il acceptent l’euthanasie comme un « sacrifice raisonnable » .
d. Les regrets des parents ayant donné leur consentement à une aide à mourir qui, une fois l’acte commis, se diront tout au long de leur vie « j’ai tué mon père », « j’ai tué ma mère ».
e. Risque particulièrement sordide, celui d’un désaccord entre les parents. Autres arguments fondamentaux :
2. L’idée qu’il faut pouvoir mettre fin à des souffrances insupportables perd de sa pertinence avec le développement des soins palliatifs dont le réseau est encore à compléter.
3. Se faire « achever » par une piqûre létale ou autrement, comme en chien ou un chat est le contraire de « mourir dans la dignité ». Ce travail doit être réservé aux vétérinaires. On peut dire que la vie est une longue lutte contre la mort. La vraie dignité est de mener cette lutte jusqu’au bout, y compris quand il n’y a plus d’espoir.
4. Si la pratique euthanasique se répand, loin de « mourir dans la dignité » , les personnes âgées vieilliront dans l’angoisse d’être « euthanasiées », compte tenu des incertitudes qui règnent sur la notion de consentement et des abus qu’on ne connait que trop
. 5. Beaucoup vivront dans la crainte d’aller à l’hôpital : une loi sur l’euthanasie transformerait tout soignant en tueur potentiel.
RépondreSupprimer6. Les services de soins palliatifs sont portés par des soignants d’un admirable dévouement. Leur travail diminue de beaucoup le désir des patients de mettre fin à leurs jours. Ils sont presque unanimes à dire que leur travail n’aura plus de sens si on développe à côté le suicide assisté.
7. Il est inimaginable au moment où se produit une crise de l’hôpital sans précédent que l’on mette en œuvre une telle réforme contre l’avis de l’immense majorité des soignants.
8. Que l’euthanasie se soit pratiquée de manière irrégulière notamment lors de l’épidémie de covid ne saurait être un argument. Beaucoup ne respectent pas les feux de signalisation : il n’est pas pour autant question de les supprimer. Une légalisation de cette pratique entrainerait son développement sans limites.
9. La promotion de l’euthanasie s’inscrit dans un plan mondial de réduction des dépenses de maladie et de retraite. Le numérus clausus des médecins, les restrictions des moyens des hôpitaux s’inscrivent dans le même courant. 50 % des dépenses de maladie se produisent dans la dernière année de vie – « supprimons-la ! », cette dernière année de vie, Jacques Attali est très clair sur ce sujet. Etonnants militants « progressistes » qui manifestent un jour contre la réforme des retraites et le lendemain élisent des partisans de l’euthanasie ! Moins de dépenses de maladie et moins de retraites, cela signifie au plan mondial moins de cotisations et plus de profits. Une évolution ressentie comme une nécessité par ceux qui craignent le vieillissement de la population. Les partisans de l’euthanasie soutiennent rarement les politiques familiales…
10. Plutôt que de morale, il faut parler d’anthropologie. La morale, c’est l’ensemble des règles que se donne une tribu ou une nation pour « persévérer dans son être », continuer d’exister (Spinoza). Toutes ont, depuis longtemps, établi un tabou sur le suicide, assisté ou pas. Ce tabou s’est renforcé dans les sociétés héritières de la Bible : « Choisis la vie » ( Deutétonome 30, 19). On peut le remettre en cause , au motif que certaines sociétés semblent l’avoir pratiqué ans le passé mais alors pourquoi ne pas remettre en cause aussi le tabou du cannibalisme ? En ce sens la légalisation de l’euthanasie serait une « rupture anthropologique » de première grandeur.
. En officialisant une nouvelle forme de meurtre, l’euthanasie nous ferait entrer un peu plus dans la culture de la violence dont on voit tous les jours les effets destructeurs. Il y a un lien entre toutes les formes de mort. 12.
L’euthanasie s’inscrit dans un tropisme suicidaire qui marque de plus en plus les sociétés occidentales : chute de la démographie, fascination pour la guerre et le spectre d’un affrontement nucléaire, décroissance, malthusianisme, antihumanisme. La « déprime » actuelle de l’Europe s’inscrit dans ce contexte. Aucune des grandes puissances, Etats-Unis (sauf 7 Etats/50), Russie, Chine, Inde, n’a autorisé l’euthanasie. Seuls de petits pays, dans une Europe en pleine décadence, ont franchi le pas. Pour une certaine écologie extrémiste, l’homme est une nuisance à réduire au maximum pour « sauver la planète ». Freud distingue l’instinct de vie et l’instinct de mort comme les deux formes fondamentales de la libido.
RépondreSupprimerLa volonté d’inscrire l’euthanasie dans la loi participe très clairement de l’instinct de mort qui plane au-dessus de nos sociétés. (RH) Roland Hureaux, essayiste
@VictorSinclair3
Quand la loi t’interdit de raisonner ton enfant qui veut se couper la bite ou ton parent qui veut mourir, c’est que la société dans laquelle tu vis a basculé dans l’ombre. À nous de recréer la lumière entre nous en tournant le dos à ces forces noires. Dites le mot NON.
https://pgibertie.com/2025/05/28/les-dissidents-contre-le-rivotril-et-les-poisons-adnm-unis-pour-la-dignite-humaine-contre-leuthanasie-la-loi-inique-et-la-rupture-anthropologique/
Nouvel ordre énergétique mondial : Taïwan ferme sa dernière centrale nucléaire, puis, quelques jours plus tard, organise un référendum pour sa réouverture.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
May 28th, 2025
La situation énergétique mondiale bascule du jour au lendemain.
Les acteurs politiques prennent conscience de la nécessité d'une énergie de masse fiable. Prenons l'exemple de Taïwan. Le 17 mai, ils ont fermé le dernier de leurs six réacteurs nucléaires, marquant la fin d'une ère nucléaire commencée en 1970. Mais, deux semaines plus tard, ils ont décidé d'organiser un référendum sur la remise en service de cette même centrale. Le vote est prévu le 23 août.
Taïwan prévoit un référendum sur l'abandon du nucléaire
Par Tsvetana Paraskov, OilPrice
Taïwan organisera en août un référendum sur la nécessité de redémarrer le dernier réacteur nucléaire, récemment fermé, une fois les contrôles de sécurité terminés. Ce référendum marque un tournant majeur dans la politique du pays, face aux inquiétudes liées à la sécurité énergétique.
Depuis 2018, Taïwan a fermé quatre autres réacteurs nucléaires et en a annulé la construction de deux autres à la suite d'un référendum en 2021.
Plus tôt ce mois-ci, le Parlement taïwanais a modifié la loi sur l'énergie nucléaire afin de permettre aux exploitants de centrales de demander un renouvellement de licence pour 20 ans au-delà de la limite actuelle de 40 ans. Cet amendement législatif ouvre de fait la voie au redémarrage des centrales nucléaires du pays.
Les raisons invoquées pour justifier la réouverture de la centrale sont à la fois l'augmentation des besoins énergétiques de l'industrie taïwanaise des puces électroniques (est-ce un code pour « IA » ?) et les craintes accrues d'un blocus militaire de la Chine. La centrale devant faire l'objet de contrôles de sécurité approfondis, il semble qu'il faudra attendre trois ans avant qu'elle ne soit à nouveau opérationnelle.
Un pays tiraillé entre ses objectifs de zéro émission nette et l''agression chinoise'
Apparemment, le gouvernement taïwanais s'est pleinement investi dans ses objectifs écologiques sacrés en 2016 (et cela ne conviendrait-il pas à Pékin ?), mais ces derniers temps, la situation est devenue trop tendue et les gens commencent à prendre conscience des risques sécuritaires liés à la vie sur une île où 97 % de l'énergie est importée.
Dans ce nouveau monde incertain, le charbon est soudainement préférable au gaz (il est plus facile à stocker) et les vieilles centrales nucléaires constituent un atout.
RépondreSupprimerTaïwan aggrave sa vulnérabilité face à un blocus énergétique chinois
Jane Rickards, Stratégiste, ASPI
Le gouvernement de Lai est naturellement préoccupé par la sécurité énergétique, car au moins 97 % de l'énergie de l'île est importée. Mais Taïwan souhaite également réduire ses émissions de carbone, s'étant fixé comme objectif la neutralité carbone d'ici 2050. Le gouvernement taïwanais considère le GNL comme une énergie plus propre et abandonne progressivement l'utilisation généralisée du charbon. Le gaz naturel alimentait 32 % de l'électricité taïwanaise en 2016. Ce chiffre est passé à 42 % l'année dernière, et Lai milite pour qu'il atteigne 50 % d'ici 2030. L'engouement pour le GNL s'est intensifié suite à l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Taïwan prévoit d'acheter davantage de GNL américain au cours de la prochaine décennie afin de réduire son excédent commercial avec les États-Unis.
Cependant, le GNL est difficile à stocker à long terme, ce qui créerait des problèmes en cas de quarantaine ou de blocus. Taïwan est densément peuplé et dispose d'un espace limité pour les coûteuses infrastructures de stockage de ce combustible. Lu Tsaiying, expert en énergie à l'Institut de recherche pour la démocratie, la société et les technologies émergentes de Taïwan, indique que Taïwan dispose de suffisamment de GNL pour une consommation ordinaire de 12 jours. En revanche, les stocks de charbon suffisent pour 42 jours et ceux de pétrole brut pour 146 jours.
Lu prédit que le charbon, qui alimente actuellement 39 % de l'électricité de Taïwan, et les énergies renouvelables, qui en alimentent 12 %, seraient les principales sources d'énergie en cas de blocus, de quarantaine, voire de guerre.
Dans le monde où nous pensions vivre, les partenaires commerciaux ne se livraient pas à un sabotage industriel flagrant.
Par un geste extraordinaire, le Parti communiste chinois semble s'employer activement à couper et à endommager les câbles sous-marins autour de Taïwan, avec des accidents impliquant des navires sous contrôle chinois qui changent fréquemment de nom et sont immatriculés à l'étranger.
Dans une guerre grise, il existe toujours un déni plausible, mais Taïwan a arrêté au moins un capitaine et l'a inculpé en conséquence.
Lutte contre le sabotage des câbles sous-marins par la Chine
Par Gahon Chia-Hung Chiang, collaborateur du législateur Kuan-Ting Chen, Taïwan
Les activités illégales, coercitives, agressives et trompeuses (ICAD) de la Chine constituent une menace croissante pour les démocraties mondiales, le sabotage des câbles sous-marins s'avérant une tactique particulièrement alarmante. Ces câbles à fibre optique, qui acheminent plus de 99 % du trafic internet mondial, constituent l'épine dorsale des réseaux de communication modernes : ils sous-tendent les transactions économiques, la coordination de la défense et l'infrastructure numérique.
RépondreSupprimerDébut 2025, le Xingshun 39 (興順39), un navire battant pavillon tanzanien contrôlé par une entité chinoise, a délibérément sectionné des câbles sous-marins près de Keelung, perturbant ainsi les communications extérieures de Taïwan…
Quelques semaines plus tard, fin février 2025, un autre incident s'est produit : le Hongtai 58 (宏泰58), un cargo battant pavillon togolais soupçonné d'avoir un équipage chinois, a sectionné le troisième câble sous-marin taïwanais reliant Taïwan et Penghu.
Il ne s'agissait pas d'incidents isolés, mais plutôt d'une tendance persistante et inquiétante. Selon Chunghwa Telecom, en 2023, les câbles reliant Taïwan et les îles Matsu, îles situées au large de Taïwan et proches de la Chine, ont été sectionnés à 12 reprises, entraînant des coûts de réparation de 96,4 millions de dollars NTD (2,9 millions de dollars US). [1] Bien que la Chine ait toujours nié toute implication, la répétition des interruptions de câbles, qui s'inscrit dans sa stratégie d'exploitation des ressources civiles à des fins militaires, suggère une tentative concertée de dégrader la capacité de Taïwan à maintenir une infrastructure numérique stable.
Une telle hostilité effrontée suffirait à faire réfléchir même une nation folle à sa sécurité nationale plutôt qu'à la météo dans 100 ans. Étant donné qu’un navire chinois a récemment fait le tour de l’Australie en suivant notre réseau de câbles sous-marins, peut-être devrions-nous faire de même ?
https://joannenova.com.au/2025/05/new-world-energy-order-taiwan-closes-the-last-nuclear-power-plant-then-days-later-plans-a-referendum-to-reopen-it/
(...) Le gouvernement de Lai est naturellement préoccupé par la sécurité énergétique, car au moins 97 % de l'énergie de l'île est importée. (...)
Supprimer(...) Lu Tsaiying, expert en énergie à l'Institut de recherche pour la démocratie, la société et les technologies émergentes de Taïwan, indique que Taïwan dispose de suffisamment de GNL pour une consommation ordinaire de 12 jours. En revanche, les stocks de charbon suffisent pour 42 jours et ceux de pétrole brut pour 146 jours. (...)
HAHAHA !
Contre la pollution #éolienne l’irréductible village gaulois résiste face aux chantages de l’avocat maire COPE
RépondreSupprimerle 27 Mai 2025
par pgibertie
Une petite commune rurale de Charente-Maritime est dans la tourmente, en lutte contre un mastodonte allemand de l’industrie de l’éolien dont Jean-François Copé, maire de Meaux et figure des Républicains, est… l’avocat !
À Puyrolland, la tension est électrique. Dans ce petit coin de France, niché entre La Rochelle et Angoulême et où vivent 200 âmes, un combat d’irréductibles Gaulois s’est engagé. Et le géant ne va pas faire de cadeau. Attirée par de belles promesses, la fameuse fortune du dieu Éole, la petite commune s’engage dans un projet, au début des années 2010, avec la filiale française de la société allemande WindStrom. L’installation de sept éoliennes est donc prévue et autorisée par arrêté préfectoral en 2019. Quelques années plus tard, le conseil municipal se rebiffe et change d’avis face à l’évolution du projet. « Les éoliennes sont toujours plus grandes, toujours plus grosses, avec des pâles de 60 m… La dimension des engins nécessaires à leur installation est telle qu’ils doivent couper des haies, élargir et consolider les voies d’accès en rognant sur les champs attenants », explique au Parisien Thierry Giraud, le maire de la commune. Avec une cinquantaine de propriétaires concernés, qui se sont constitués en association, l’édile refuse d’accorder une servitude de passage au promoteur éolien. En effet, pour accéder aux parcelles qui attendent leurs géants de fer, il faut emprunter chemins communaux et privés. Comme à Verdun, ils ne passeront pas !
Contre la pollution #éolienne l’irréductible village gaulois résiste face aux chantages de l’avocat maire
@lesRepublicains
@jf_cope qui demande une condamnation de 44 millions d’euros au profit d’un exploitant éolien allemand.
https://pgibertie.com/2025/05/27/contre-la-pollution-eolienne-lirreductible-village-gaulois-resiste-face-aux-chantages-de-lavocat-maire-cope/
Un printemps à Moscou…
RépondreSupprimerPar Nathalie Cardel
Mondialisation.ca,
27 mai 2025
Dans les rues blanches de Moscou, les piétons avancent à pas feutrés au côté des voitures prises dans un traditionnel embouteillage. La neige est tombée toute la nuit en ce printemps et les pavés de la Place Rouge glissent un peu. Moscou sous la neige est toujours féérique et on s’attendrait presque à voir surgir au coin d’un passage un attelage de chevaux venu d’un autre âge. Mais nous ne sommes qu’au printemps et le soleil pointe ses rayons, la neige fond vite sous ses ardeurs naissantes.
Après avoir débouché sur la Place Rouge et avoir admiré pour une millième fois les coupoles de la cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux, un des plus emblématiques édifices moscovites du XVIᵉ siècle, à côté des imposants remparts du Kremlin, je me faufile dans la célèbre galerie marchande le « Goum ». Les austères magasins d’État sous l’ère soviétique se sont transformés en une série d’élégantes boutiques de luxe et de restaurants raffinés qui n’ont rien à envier aux beaux quartiers de mon Paris natal. Ici, règne une propreté impeccable, caractéristique qui se décline dans toute la ville et son sublime métro. Les célèbres marques italiennes, françaises, britanniques rivalisent de décors discrets et luxueux afin d’attirer une riche clientèle locale, les touristes occidentaux ayant quelque peu déserté le pays soumis aux sanctions de leurs pays.
Les sanctions décrétées contre la Fédération de Russie ne semblent toutefois pas affecter la population locale, qui paye ses achats normalement avec son téléphone ou ses cartes de crédit. Les magasins sont bien achalandés et abordables et regorgent de produits frais.
La vie suit ici son cours à un rythme effréné et la ville s’endort tard (la plupart des magasins ferment entre 20 et 22 heures et sont ouverts les samedis et dimanches). La splendeur des théâtres est également remarquable aussi bien pour la qualité des spectacles qui s’y produisent que pour la beauté des décors et des bâtiments qui les abritent.
La vie nocturne est intense et s’articule autour de divers points de la capitale, dont la rue Petrovka, célèbre pour ses magasins de luxe, le passage Petrovskij et le grand magasin Tsoum qui fait face au Théâtre du Bolchoï.
Le sentiment de sécurité qui règne le soir dans la capitale et la facilité de trouver des taxis fiables aux tarifs abordables favorisent les sorties tardives. Emmitouflés dans leurs larges manteaux, les habitants de la capitale n’hésitent pas à profiter de cette vie nocturne qui s’offre à eux malgré les températures qui sont un tant soit peu fraîches. Les Moscovites sont habitués au froid rigoureux dès leur plus jeune âge, les hivers ici peuvent s’éterniser avec des tempêtes de neige qui perdurent au printemps, mais les habitations sont douillettes et les appartements en général très bien chauffés.
RépondreSupprimerLoin des stéréotypes véhiculés par les chaînes de télévision et journaux « mainstream », Moscou vit des jours sereins, quelque peu recentrée autour de son « âme russe » que tant de personnes occidentales ont du mal à sonder et à cerner.
https://www.mondialisation.ca/un-printemps-a-moscou/5698914?doing_wp_cron=1748348370.1539518833160400390625
Et si l’eau soignait ? Le pari d’un inventeur français contre Big Pharma
RépondreSupprimerR.A.H pour France-Soir
le 28 mai 2025 - 10:00
Autodidacte, ancien promoteur immobilier devenu inventeur, Frédéric Esnault a mis au point une machine capable de transformer l’eau en véritable soin thérapeutique. Entre intuition corse, expérimentations marocaines et bras de fer avec les géants de la santé, l’homme derrière Sublio trace son sillon à contre-courant, bien décidé à révolutionner la thalassothérapie… et à bousculer quelques dogmes.
Dans sa chaise roulante, silhouette imposante et regard à la fois tendre et perçant, Frédéric Esnault ne passe jamais inaperçu. À 58 ans, ce Vendéen, qui se définit lui-même comme « ingénieux, pas ingénieur », a peut-être mis au point, presque malgré lui, le soin par l’eau le plus puissant du XXIe siècle.
Son invention s’appelle Sublio — contraction poétique de sublimation de l’eau. À première vue, une machine. À l’usage, une révolution. Un générateur qui hyperionise l’eau, modifiant temporairement la structure de ses minéraux, sans en altérer la composition chimique, pour la rendre plus pénétrante, plus hydratante, plus… vivante.
« Je ne suis pas Einstein, mais j’ai 10 à 15 ans d’avance », glisse-t-il, sourire en coin, toujours accompagné de son bras droit Abdel, témoin et soutien de chaque étape de l’aventure.
Frédéric Esnault
De la Corse au Maroc, un déclic empirique
Tout commence un jour d’été, en Corse, sous une cascade d’eau glacée. En se baignant, Frédéric ressent un apaisement fulgurant. L’intuition est là : le mouvement, l’oxygénation, la pression modifient les propriétés de l’eau. Il en fait une obsession. Quelques années plus tard, dans la piscine de sa maison à Marrakech, il affine empiriquement sa technologie.
« Des gens venaient avec de l’eczéma, des rougeurs… et repartaient apaisés, voire guéris », dit-il, sans forcer le trait.
Il n’a ni diplôme en biochimie, ni laboratoire universitaire. Il lit, teste, corrige. Et pourtant, il obtient un brevet, une attestation de sécurité sanitaire, et une certification en dispositif médical de classe 1. Sa machine, commercialisée entre 22 000 et 250 000 euros selon les besoins, s’installe en plug & play sur une simple canalisation. Et les résultats sont là : meilleure absorption des oligo-éléments, hydratation accélérée, régénération cutanée. « On obtient en 5 minutes l’équivalent de 18 jours de cure en thalasso », affirme Esnault.
Un combat frontal avec Big Pharma
RépondreSupprimerMais voilà. Le monde médical traditionnel reste frileux. « Il ne manque que 1% pour que la Haute Autorité de Santé valide notre technologie. Nous sommes largement au-dessus des standards. Mais Big Pharma ne veut pas de concurrence », affirme-t-il sans détour.
L’homme dérange. Il assume son goût pour les médecines alternatives, les remèdes naturels, l’argent colloïdal. Et cette croyance profonde : le corps peut guérir si on lui redonne les bons leviers. « Sublio, c’est de l’eau 24 carats », dit-il. Et certains, dans le monde médical, n’ont pas encore digéré cette formule.
De Ramatuelle à demain
Depuis deux ans, Sublio est adoptée à La Ferme d’Augustin, hôtel de charme emblématique de Ramatuelle, prisé par une clientèle haut de gamme, fidèle et discrète. Le directeur, Christophe Vallet, l’a intégré à sa piscine comme une évidence. « Les clients sentent la différence, même sans qu’on leur dise quoi que ce soit, et ils reviennent spécialement », glisse-t-il.
Nous y avons testé nous-mêmes l’eau : douce, presque soyeuse, comme si elle glissait mieux sur la peau. L'effet n’est pas spectaculaire : il est profond, intérieur, une sensation de calme biologique.
Sublio s’installe désormais aussi dans des campings, des établissements thermaux, et Frédéric Esnault travaille déjà sur des versions domestiques, pour salles de bains ou bassins privés. « Mon rêve, c’est que cette eau soit accessible à tous. Dans chaque salle de bains, chaque clinique, chaque spa. »
Ce qu’il a bâti, ce n’est pas simplement une machine. C’est une vision. Une approche renouvelée de l’eau, de la santé, et de la recherche scientifique par l’expérience. Une démonstration éclatante qu’un autodidacte, à force de ténacité et d’intuition, peut encore, en France, ouvrir une voie là où personne ne l’attendait.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/et-si-l-eau-soignait-le-pari-d-un-inventeur-francais-contre-big-pharma
Lors d'une blessure chacune et chacun porte immédiatement sa main sur la surface endommagée. Comme chacune et chacun porte un doigt vers son crâne pour une question. Puis 2 doigts lorsque la question est plus difficile et la main complète s'il s'agit d'une question plus complexe et même les 2 mains au visage si la question est plus ardue !
SupprimerLes doigts contre la tête portent une question vers le cerveau. Depuis l'avant-bras, le bras, la main, les doigts. Liaison du cerveau vers les doigts où les doigts posent une question au cerveau.
C'est ce qui est appelé le magnétisme. Le magnétisme est naturel et appartient à chacune et chacun.
Pour ce qui est de l'eau, c'est différent. L'eau soigne. L'eau guérit. L'eau apaise la douleur.
Le grand détricotage : la proposition de budget de l'administration Trump est une attaque contre la science américaine
RépondreSupprimer27 Mai 2025
Henry I. Miller, ACSH*
Le budget 2026 proposé par l'administration Trump laisse présager un avenir où la science ne sera plus une priorité nationale, mais un champ de bataille idéologique. Il faudra des décennies pour réparer les dégâts causés par une mise en œuvre même partielle.
Dans un geste qui a stupéfié les scientifiques, les éducateurs et les experts politiques, le projet de budget fédéral 2026 du président Donald Trump prévoit une série de coupes sombres et sans précédent dans l'infrastructure scientifique de l'Amérique. S'il est adopté, ce budget marquera un recul historique des investissements fédéraux dans la recherche, la protection de l'environnement et la santé publique. Il pourrait paralyser fondamentalement la capacité de la Nation à innover, à être compétitive au niveau mondial et à répondre aux crises.
Bien que les propositions budgétaires de la Maison Blanche soient finalement soumises à l'approbation du Congrès, ce « budget allégé » indique une trajectoire politique claire : un affaiblissement général de la science fédérale. Avec des réductions de plus de 50 % dans certaines agences et l'élimination de divisions de recherche entières, les conséquences pour la capacité scientifique de la Nation et la croissance économique future pourraient être, selon les termes d'un responsable de la politique scientifique, « catastrophiques ». Ayant moi-même passé des années en tant que scientifique au NIH et à la FDA et ayant interagi avec d'innombrables autres agences fédérales pendant de nombreuses années, je suis d'accord.
Un virage idéologique sur la science
Le budget proposé prévoit une réduction générale de 23 % des dépenses discrétionnaires non liées à la défense, mais les agences scientifiques sont beaucoup plus durement touchées. La National Science Foundation (NSF), qui finance près d'un quart de l'ensemble de la recherche fondamentale soutenue par le gouvernement fédéral dans les universités américaines, verrait son budget actuel de plus de 9 milliards de dollars réduit de moitié. Les National Institutes of Health (NIH), la principale agence de recherche biomédicale au monde, dont les crédits s'élevaient à 48 milliards de dollars pour l'année fiscale en cours, sont confrontés à une réduction stupéfiante de 40 %, avec des plans visant à supprimer des instituts entiers axés sur la santé des minorités et la collaboration internationale.
L'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) est l'une des plus durement touchées, avec une proposition de réduction de 55 % qui inclut le démantèlement de son principal organe de recherche. Les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) perdraient un tiers de leur financement – alors même que les maladies chroniques et la préparation aux épidémies et aux pandémies restent des préoccupations nationales.
RépondreSupprimerL'administration Trump présente ces décisions comme un rejet de la science « woke » (ou « réveillée ») et « radicale », promettant au contraire de recentrer les dépenses sur des « domaines prioritaires » tels que l'intelligence artificielle, l'énergie nucléaire et l'informatique quantique. Mme Victoria LaCivita, directrice de la communication du Bureau de la Politique Scientifique et Technologique de la Maison Blanche, a déclaré que l'objectif de l'administration était de « consolider notre position de leader mondial de la technologie et de mettre fin aux dépenses consacrées à la science “woke” ».
Mais ce discours de la Maison-Blanche cache un projet de suppression radicale de la science menée et financée par le gouvernement, en particulier de la recherche fondamentale et précommerciale, qui pourrait paralyser des domaines essentiels à la sécurité nationale, à la résilience climatique et à la santé publique. Voici quelques exemples parmi tant d'autres.
Fondation Nationale pour la Science : réduire de moitié le moteur de la découverte
La NSF est l'épine dorsale de la recherche américaine. Elle soutient tout, de la modélisation climatique à l'innovation en matière d'énergie propre, en passant par les sciences sociales qui aident les décideurs politiques à comprendre les comportements et les tendances économiques. Le budget de l'administration Trump réduit le financement de la NSF de 5 milliards de dollars. Près de 1,1 milliard de dollars de subventions « d'élargissement de la participation », conçues pour accroître la diversité dans les domaines des STIM [science, technologie, ingénierie et mathématiques], seraient supprimés – soit une réduction de 80 %. Même le financement opérationnel de base est menacé, avec une réduction de 93 millions de dollars pour le personnel de l'agence, ce qui pourrait obliger à licencier jusqu'à la moitié du personnel de la NSF.
« Si ces réductions sont appliquées, je ne vois pas comment l'agence pourra fonctionner comme le Congrès l'a prévu », a déclaré M. Kenneth Evans, chercheur en politique scientifique à l'Université de Rice.
Instituts Nationaux de la Santé : paralyser le moteur de la recherche biomédicale
La réduction la plus alarmante est sans doute celle de 21 milliards de dollars proposée pour les NIH, qui sont sans doute la première agence de recherche biomédicale au monde. Sans fournir la moindre preuve, l'administration a accusé les NIH de promouvoir des « idéologies dangereuses » et des « recherches hasardeuses ».
Qualifiant l'institution de « trop grande et mal ciblée », le plan de restructuration radical prévoit la consolidation des 27 instituts des NIH en seulement cinq nouveaux « domaines d'intervention » – un bouleversement bureaucratique qui, selon de nombreux experts, détruira des décennies d'infrastructures soigneusement mises en place. Les programmes axés sur la santé des minorités et la collaboration mondiale seraient purement et simplement supprimés.
RépondreSupprimer« Ces réductions auraient un effet dévastateur sur la recherche biomédicale », a déclaré Mme Carole LaBonne, biologiste spécialiste des cellules souches à l'Université Northwestern. « C'est un manque de vision incroyable ».
Les dégâts sont déjà évidents. Selon STAT, en raison des réductions de financement et de personnel, le NIH Clinical Center, le plus grand hôpital des États-Unis consacré exclusivement à la recherche médicale, est en proie à l'agitation. Certains chercheurs ont renoncé à lancer de nouvelles études et les entreprises biopharmaceutiques hésitent à signer des accords de recherche avec le centre.
L'ancienne directrice des NIH, Monica Bertagnolli, nommée sous la présidence de Joe Biden, a qualifié les affirmations de l'administration de « grossièrement inexactes ou fausses » et de « vision déformée d'une organisation dont je sais qu'elle se consacre à l'amélioration de la santé de tous ».
Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies
Le budget proposé réduirait le financement des CDC d'environ 39 %, passant de 9,2 milliards de dollars à 5,6 milliards de dollars, selon Science | AAAS. Plusieurs initiatives relatives aux maladies non infectieuses devraient être supprimées, notamment le Centre National pour la Prévention des Maladies Chroniques et la Promotion de la Santé, le Centre National pour la Prévention et le Contrôle des Blessures, le Centre de Santé Mondiale et le Centre National pour la Santé Complémentaire et Intégrative, qui se concentre sur les thérapies alternatives, malgré l'engagement déclaré de Robert F. Kennedy Jr – qui, en tant que secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux, supervise les CDC – de soutenir de telles activités.
Administration Nationale de l'Aéronautique et de l'Espace : un âge sombre pour les sciences spatiales
Le budget de l'administration Trump priverait également la NASA de près d'un quart de son financement. L'astrophysique, l'exploration planétaire et les sciences de la Terre – y compris les satellites essentiels de surveillance du climat – subiraient des réductions de près de 50 %.
Même des programmes emblématiques tels que la mission d'acquisition d'échantillons de Mars et la Station Spatiale Internationale sont sur la sellette. Bien que l'exploration de la Lune et de Mars se poursuive dans le cadre d'une nouvelle « course à l'espace » avec la Chine, la perte des sciences fondamentales pourrait marquer le début de ce que certains appellent un « âge sombre » pour les missions de recherche de la NASA.
RépondreSupprimerSciences de l'environnement et de la terre : ciblées pour l'effacement
L'Agence de Protection de l'Environnement (EPA), le Service Géologique des États-Unis (USGS) et l'Administration Nationale des Océans et de l'Atmosphère (NOAA) – agences essentielles pour la surveillance et la protection de l'environnement et la prévision des phénomènes météorologiques importants – sont confrontés à ce qui s'apparente à un démantèlement coordonné. L'Office de Recherche et de Développement de l'EPA va être dissous.
À la NOAA, un goulet d'étranglement débilitant est apparu : près de 1.000 contrats, d'une valeur de 230 millions de dollars, sont bloqués, nécessitant un examen personnel par des personnes nommées pour des raisons politiques – un processus qui a déjà perturbé des fonctions essentielles, des prévisions météorologiques aux services informatiques. Le National Weather Service a notamment suspendu le lancement de ballons météorologiques sur certains sites, réduisant ainsi la collecte de données essentielles, et des équipes ont été supprimées dans les bureaux du National Weather Service dans tout le pays.
« C'est une façon absurde et dangereuse de gérer une agence scientifique », a déclaré M. Craig McLean, un ancien fonctionnaire de la NOAA.
Un avertissement aux jeunes scientifiques – et au monde entier
Pour la prochaine génération de chercheurs, dont beaucoup ont passé des années à se former pour être nommés à l'université, le message est clair. « Si je commençais ma carrière, je partirais d'ici en un clin d'œil », a déclaré M. Michael Lubell, physicien et expert en politique scientifique à la City University of New York. L'American Association for the Advancement of Science a qualifié le budget de « catastrophique », avertissant qu'il pourrait pousser les scientifiques en début de carrière à chercher des opportunités à l'étranger.
Il ne s'agit pas seulement d'une question nationale. Les États-Unis sont depuis longtemps le leader mondial de la science et de l'innovation, attirant des talents du monde entier et alimentant des découvertes qui profitent à l'ensemble de l'humanité. En réduisant aujourd'hui leur infrastructure scientifique, ils risquent de céder ce leadership à d'autres Nations, en particulier à la Chine, dont le budget scientifique n'a cessé d'augmenter.
Le Congrès peut-il arrêter l'hémorragie ?
RépondreSupprimerIl reste à espérer que le Congrès, qui tient les cordons de la bourse, rejettera les propositions les plus extrêmes. Mme Jennifer Zeitzer, de la Fédération des Sociétés Américaines de Biologie Expérimentale, a fait preuve d'un optimisme prudent : « Je ne peux pas imaginer que le Congrès approuve le montant et l'ampleur des réductions demandées dans le budget allégé de l'administration. »
Mais compte tenu du climat politique et de la volonté de certains législateurs d'accepter le fait que la Maison Blanche considère une grande partie de la science comme idéologique, rien n'est certain.
Conclusion : la science américaine à la croisée des chemins
Les budgets sont révélateurs. Ils reflètent les priorités, les valeurs et la vision de l'avenir d'une Nation. Le budget 2026 proposé par l'administration dépeint un avenir où la science n'est plus une priorité nationale, mais un champ de bataille idéologique. Il faudra des décennies pour réparer les dégâts causés par une mise en œuvre même partielle.
Alors que les législateurs entament sérieusement les négociations, les enjeux sont clairs : les fondements mêmes du leadership scientifique américain sont en jeu. Qu'ils protègent ces fondations – ou qu'ils les laissent s'effondrer – peut définir non seulement le sort de cette génération de chercheurs, mais aussi la capacité à moyen et long terme de la Nation à innover et à être compétitive. Espérons qu'en fin de compte, le Congrès tiendra compte de l'avertissement du Dr Thomas R. Frieden, qui a dirigé les CDC de 2009 à 2017 : « On n'améliore pas les choses en les détruisant. On les améliore en les améliorant. »
https://seppi.over-blog.com/2025/05/le-grand-detricotage-la-proposition-de-budget-de-l-administration-trump-est-une-attaque-contre-la-science-americaine.html
Jusqu’où ira-t-on ? Le projet de loi sur l’aide à mourir, entre liberté et dérives
RépondreSupprimerLe Collectif Citoyen, France-Soir
le 27 mai 2025 - 09:15
Le 24 mai 2025, l'Assemblée nationale française a ouvert un débat brûlant en examinant un projet de loi visant à légaliser l’aide à mourir, un texte qui pourrait permettre à une personne atteinte d’une maladie incurable de mettre fin à ses jours par l’administration d’une substance létale, seule ou avec l’assistance d’un professionnel de santé. Le vote à l’Assemblée est prévu le 27 mai 2025, mais ce n’est que la première étape d’un marathon législatif. Avec au moins deux lectures dans chaque chambre (Assemblée nationale et Sénat) et un examen au Sénat repoussé à l’automne 2025, ce texte, qui pourrait s’étirer sur un an jusqu’à mi-2026, promet des débats houleux et des modifications probables. Dans un pays où le droit à la vie est parfois ardu à défendre, ce projet pose une question lancinante : le droit à mourir deviendra-t-il plus facile à conquérir que le droit à vivre dignement ? Entre autonomie individuelle et risques de dérives, les critiques fusent, notamment sur les réseaux sociaux, tandis que le texte, encore brut, soulève des interrogations éthiques et pratiques majeures.
Ce projet de loi, porté par la Direction de la Séance de l’Assemblée nationale, s’inscrit dans une volonté de reconnaître le droit à l’autonomie en fin de vie. Il modifie le Code de la santé publique pour définir l’aide à mourir comme un acte légal permettant à une personne d’accéder à une substance létale, qu’elle peut s’administrer ou faire administrer par un médecin ou un infirmier, dans des conditions strictement encadrées (Art. L. 1111-12-1). Cet acte est explicitement protégé contre toute poursuite pénale (Art. 122-4 du Code pénal). Pour être éligible, une personne doit être majeure, de nationalité française ou résider légalement en France, et souffrir d’une affection grave et incurable engageant le pronostic vital, en phase avancée ou terminale. La souffrance, qu’elle soit physique ou psychologique, doit être constante, réfractaire aux traitements ou jugée insupportable par le patient, bien que la souffrance psychologique seule soit exclue comme motif suffisant. La volonté doit être exprimée de manière libre et éclairée, un point crucial pour éviter toute coercition. Cependant, le consentement libre et éclairé est fortement remis en cause notamment pour la vaccination covid, qui a établi son viol à plusieurs reprises.
La procédure est minutieuse : la demande est formulée auprès d’un médecin, qui consulte un collège pluriprofessionnel comprenant d’autres soignants et, si nécessaire, la personne de confiance ou le tuteur légal du patient (Art. L. 1111-12-3). Après vérification des critères, un délai de réflexion de deux jours minimum est imposé, suivi d’une confirmation écrite de la volonté du patient (Art. L. 1111-12-4). La substance létale, prescrite par le médecin, est préparée par une pharmacie à usage intérieur et peut être administrée au domicile ou dans un lieu choisi par le patient, hors espaces publics (Art. L. 1111-12-5 à L. 1111-12-7). Les professionnels de santé peuvent invoquer une clause de conscience pour refuser de participer, mais doivent orienter le patient vers un praticien volontaire (Art. L. 1111-12-12). Une commission nationale supervisera l’application de la loi, avec un système d’information pour tracer chaque acte et des rapports annuels pour évaluer son impact (Art. L. 1111-12-13). Les frais sont intégralement pris en charge par la Sécurité sociale, garantissant un accès équitable (Art. 18), et les assurances décès devront couvrir les cas d’aide à mourir (Art. 19). Toute entrave à ce droit, y compris par désinformation ou pressions, est passible de deux ans de prison et 30 000 € d’amende (Art. 17).
Mais ce cadre, aussi rigoureux soit-il, vacille sous le poids des critiques. Sur la plateforme X, @VirusWar fustige la difficulté d’accès au texte alors qu’il est habitué à suivre les débats parlementaires. Il qualifie d’ « abusif », dénonçant l’absence de réflexion approfondie et le risque de dérives liées à l’inclusion de la souffrance psychologique comme critère :
RépondreSupprimer« concernant le délit d'entrave, cela me parait abusif de vouloir sanctionner vaguement des "intimidations" contre les donneurs de mort, car cela peut recouvrir des menaces de procédures faites par des proches qui doutent que toutes les conditions soient respectées (consentement pour mourir...) ». Il redoute des pressions sur les personnes vulnérables, évoquant des scénarios où des proches pourraient pousser à l’aide à mourir pour des motifs financiers, comme un héritage.
Ces craintes résonnent avec celles du médecin et homme politique @philippejuvin, qui alerte sur le risque d’une médecine à deux vitesses, où l’aide à mourir deviendrait une échappatoire pour ceux qui n’ont pas accès à des soins de qualité . Juvin salue la clause de conscience, mais s’inquiète de la pression sur les soignants et des difficultés d’accès en zones rurales, où les praticiens volontaires pourraient manquer .
L’écrivain Alexandre Jardin adopte un ton plus émotionnel, critiquant un texte "trop rigide" qui, selon lui, ignore les réalités émotionnelles des familles :
« @philippejuvin dit avec humanité des choses très simples et claires - en homme médecin de cœur - qui m’ont ébranlées. Sa capacité à ne pas penser « pour soi » mais en faveur de l’autre fragilisé, plongé dans d’autres contraintes, a illuminé notre société. Toutes les crises morales révèlent les humanistes ».
Le collectif Appel des Psy va plus loin en expliquant : « l’urgence, c’est d’accompagner, pas de banaliser la mort. Ne faisons pas du désespoir une issue légale. » En incluant la souffrance psychologique, un critère subjectif qui pourrait mener à des abus, surtout sans outils d’évaluation fiables ce texte semble une aberration pour certains professionnels de santé. Ces critiques rejoignent celles d’associations comme la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs, qui pourraient déplorer l’absence d’un plan robuste pour renforcer les soins palliatifs, alternative essentielle pour soulager les souffrances sans recourir à la mort. Des groupes religieux ou éthiques pourraient aussi s’opposer au texte, arguant qu’il heurte le caractère sacré de la vie, tandis que les défenseurs des personnes handicapées ou âgées craignent une pression implicite sur ces populations vulnérables pour « ne plus être un fardeau ». L’absence de formation obligatoire pour les soignants, notamment pour évaluer les cas complexes comme les maladies neurodégénératives, est un autre point faible.
Le chemin législatif de ce texte s’annonce tortueux. Après le vote à l’Assemblée, le Sénat, connu pour son conservatisme sur les questions sociétales, n’examinera pas le projet avant l’automne 2025. Avec au moins deux lectures par chambre, la navette parlementaire pourrait s’étendre jusqu’à l’été 2026, voire plus si une commission mixte paritaire échoue à concilier les versions des deux chambres. L’Assemblée aura le dernier mot en cas de désaccord persistant, mais des saisines du Conseil constitutionnel ou des consultations publiques pourraient encore prolonger le processus. Les modifications attendues pourraient inclure une clarification de la souffrance psychologique, un renforcement des soins palliatifs, des garanties accrues pour les personnes vulnérables, ou des mesures pour assurer l’accès en zones rurales, peut-être via des équipes mobiles. Mais jusqu’où ira-t-on ? Le texte, dans sa quête de liberté individuelle, risque-t-il de fragiliser ceux que la société devrait protéger ?
RépondreSupprimerLe droit à mourir, dans un système de santé sous tension, deviendra-t-il plus accessible que le droit à vivre dans la dignité ?
Ce projet, s’il marque pour certains une avancée pour l’autonomie des patients, doit répondre à ces interrogations. Un débat sociétal plus large, impliquant citoyens, soignants et associations, sera indispensable pour légitimer une réforme qui divise autant qu’elle fascine. D’ici à son adoption définitive, prévue au plus tôt à la mi-2026, ce texte continuera de cristalliser les tensions entre compassion, éthique et pragmatisme.
Une autre question se pose réellement : la France a-t-elle vraiment besoin de cela en ce moment, est-ce une priorité pour les Français ?
https://www.francesoir.fr/politique-france-societe-sante/jusqu-ou-ira-t-le-projet-de-loi-sur-l-aide-mourir-entre-liberte-et
Aux Antilles, la pêche mise à mal par la pollution au chlordécone
RépondreSupprimerle 26 mai 2025 - 13:00
À quelques centaines de mètres des côtes guadeloupéennes, deux zodiacs des affaires maritimes s'affairent à remonter des casiers à l'abandon, tout comme la population face au chlordécone. Aux Antilles, la pollution à ce pesticide, utilisé pendant plus de vingt ans, a limité, voire interdit la pêche dans de vastes zones.
"Nous relevons ces casiers qui étaient en attente depuis deux ans", faute de navire pour venir les enlever, "car ici, la pêche est soit interdite, soit partiellement interdite", explique Frédérique Ehrstein, cheffe du service action interministérielle de l'État et sécurité en mer pour la Guadeloupe.
Le chlordécone, répandu dans les bananeraies de Guadeloupe et Martinique entre 1972 et 1993, est responsable d'une pollution massive et persistante. Sa rémanence dans les sols est estimée à plusieurs siècles et il ruisselle jusque dans la mer, emmené par les rivières ou les eaux de pluie.
Quand la pêche est autorisée, elle est réservée aux professionnels, et les casiers doivent être clairement marqués comme leur appartenant. "Les plaisanciers n'ont pas le droit d'(en) poser", indique Mme Ehrstein.
Cependant des casiers sont toujours visibles, régulièrement repérés par les autorités. Depuis les berges, certains riverains pratiquent la pêche à la ligne, a pu constater une journaliste de l'AFP, traquant poissons et langoustes et affirmant perpétuer des pratiques traditionnelles.
- Zones réglementées -
En 2013, les autorités préfectorales ont réglementé les zones où la pêche était possible en Guadeloupe.
Depuis cette période, une zone près de 200 km du sud de Basse-Terre, identifiée par des balises, est concernée par l'interdiction. De Goyave à Vieux-Fort, il est interdit de pêcher et de commercialiser le moindre produit de la mer, y compris les crabes. Et du sud du Gosier jusqu'à Vieux-Habitants, l'interdiction est partielle.
Ces interdictions obligent les pêcheurs "à aller plus loin" en mer, relève Jean-Daniel Barvaut, représentant de FO Pêche en Guadeloupe.
Mais la pêche locale étant artisanale et côtière, peu nombreux sont les marins à disposer de bateaux et de diplômes permettant d'aller plus au large, malgré les aides disponibles pour renouveler la flotte, expliquent des pêcheurs interrogés par l'AFP.
Pour ces professionnels, une aide de l'État d'environ "300.000 par an est disponible depuis 2022, "en dédommagement de l'interdiction de pêcher dans cette zone", détaille le sous-préfet chargé du dossier chlordécone, Théo Gal.
"Cette aide est touchée par 700 pêcheurs, de manière automatique depuis un an, à jour de leurs déclarations sociales et fiscales", ajoute-t-il.
Dans les zones concernées par les limitations, "il est légal d'y pêcher uniquement certaines espèces qui ont montré de faibles concentrations en chlordécone", indique Frédérique Ehrstein, des limites de concentration de la molécule dans les aliments ayant aussi été établies au début des années 2010.
Les poissons et crustacés commercialisés doivent être tracés. Afin de rassurer les consommateurs et assurer une clientèle aux pêcheurs professionnels, le comité régional des pêches a mis en place plusieurs solutions avec l'aide de l'État: un facturier reprenant les mentions obligatoires à indiquer pour toute la chaîne de commercialisation, ou encore un macaron d'identification, avec un numéro de matricule remis aux pêcheurs.
En Guadeloupe, le secteur de la pêche est en perte de vitesse: selon un rapport de l'Institut d'émission des départements d'outre-mer (IEDOM) publié en 2024, "la production des métiers de la pêche est estimée à 22,1 millions d'euros" en 2020, "soit un quart de moins qu'en 2008".
RépondreSupprimerLes pêcheurs sont de moins en moins nombreux : ils étaient 817 en 2021, contre 1.670 en 2008, une tendance à la baisse "accentuée par le vieillissement et les difficultés de renouvellement de la population du secteur", note ce rapport.
Autre contrainte pour les pêcheurs : les ressources s'amenuisent dans l'océan, à cause des autres pollutions et de la réduction des récifs où vivent poissons et crustacés les plus pêchés.
Les pêcheurs, qui subissent en plus la concurrence des poissons importés (deux tiers de la consommation locale) c'est un comble, sont obligés de trouver d'autres sources de revenus. Comme l'entretien des filets antisargasses, ces algues brunes qui déferlent sur les rivages caribéens.
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/aux-antilles-la-peche-mise-mal-par-la-pollution-au-chlordecone
Le Parlement européen vote des surtaxes “prohibitives” sur les engrais russes et biélorusses dès juillet
RépondreSupprimerle 27 mai 2025 - 11:10
Après le gaz, l’UE cible les engrais provenant de Russie et de Biélorussie. Le Parlement européen a voté jeudi des mesures visant à réduire la dépendance de Bruxelles des produits agricoles russes, en introduisant, dès juillet, de nouveaux droits de douanes qui passeront de 6,5 % à 100 % à terme. Pour Moscou, l’UE se “tire une balle dans le pied”. Des associations professionnelles félicitent le Parlement européen tandis que d’autres tirent la sonnette d’alarme, dans un contexte de crise du marché.
Début mai, la Commission européenne dévoilait un plan pour mettre fin à l’importation du gaz russe, y compris le GNL, à l’horizon 2027. "La dépendance à l'égard de la Russie n'est pas seulement néfaste pour notre sécurité, mais aussi pour notre économie. Nos prix énergétiques ne peuvent pas être dictés par un voisin hostile", arguait alors la présidente de la CE, Ursula von der Leyen.
Une “balle dans le pied” de l’UE, selon Moscou
Les 27 États membres de l'UE ont ainsi jusqu'à 2027 pour mettre fin à l'usage et à l'achat de l'énergie russe, dont les cargaisons, notamment celles de gaz naturel liquéfié (GNL), continuent d'arriver sur les côtes de l'Union européenne. Chaque État membre sera invité à élaborer un plan national détaillant la manière dont il entend éliminer le gaz, le nucléaire et le pétrole russes de son bouquet énergétique.
Outre l’autonomie énergétique européenne, cette mesure est surtout liée à la guerre en Ukraine. Bruxelles entend priver Moscou d’une source essentielle de financement de son effort de guerre, faute de résultats satisfaisants des sanctions occidentales, contournées par le Kremlin avec la contribution de ses alliés.
Jeudi, le Parlement européen a voté de nouvelles mesures pour resserrer l’étau sur les sources financières de la Russie. Cette fois-ci, ce sont les produits agricoles, principalement les engrais provenant de Russie et de la Biélorussie, qui sont ciblés. Parmi les mesures figurent des surtaxes qualifiées de “prohibitives”. Jusqu’à présent, les sanctions n’ont pas ou peu ciblé les produits agricoles, compte tenu des risques que de telles mesures faisaient planer sur les chaînes d’approvisionnement mondiales.
Ces nouveaux droits de douanes, qui prendront effet dès le 1ᵉʳ juillet, s’appliqueront essentiellement sur certains engrais azotés, taxés actuellement à 6,5 %. Les surtaxes atteindront des niveaux proches de 100 % sur une période de trois ans, explique-t-on. Cette hausse servirait aussi à endiguer la taxe russe à l’exportation de 23,5 %, qui contribue à financer les activités militaires de la Russie.
RépondreSupprimer25 % des engrais azotés de l’UE proviennent actuellement de la Russie. Ce taux représente un montant de 1,3 milliard d’euros par an. Les engrais ne sont pas les seuls produits ciblés puisque les mesures adoptées par le Parlement européen visent également une réduction drastique des importations de produits agroalimentaires, comme la viande, les produits laitiers, les fruits et légumes. Un marché qui génère environ 380 millions d’euros par an.
"Nous devons cesser de financer la guerre de la Russie en Ukraine avec nos propres ressources financières. Si le secteur agricole continue à payer pour les engrais russes, cet argent soutient directement le budget russe", a déclaré l'eurodéputée lettone Inese Vaidere, rapporteuse du Parlement sur ce dossier.
Pour le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, l’UE ne fait que “se tirer une balle dans le pied. “L’Union européenne devra acheter des engrais azotés plus chers et de moindre qualité ailleurs, en remplacement de nos engrais, y compris les engrais azotés, qui sont d’une qualité irréprochable”, a-t-il déclaré. “La demande d’engrais azotés dans d’autres régions du monde est tout aussi forte. Je pense donc que les marchés dans d’autres directions compenseront les droits européens. Comme d’habitude, les Européens continuent de se tirer une balle dans le pied”, a affirmé Peskov, relayé par l’agence TASS.
Les associations mitigées
Selon la presse européenne, les mesures votées par les eurodéputés étaient aussi bien encouragées par plusieurs États membres que par les dirigeants de l’industrie des engrais, décrits comme soucieux de l'indépendance stratégique de l’UE.
"Nous appelons toutes les institutions de l'UE à agir rapidement pour finaliser et appliquer ces droits de douane", a déclaré Leo Alders, président de FertilizersEurope, qui “félicite” le Parlement européen pour ce vote. "Plus tôt nous mettrons en œuvre ces mesures, mieux nous pourrons protéger nos chaînes de valeur, nos emplois et notre sécurité alimentaire."
D’autres associations sont bien plus réticentes. Tout en se disant “conscients” du contexte géopolitique et tout en admettant les objectifs stratégiques de l’UE, le Copa et la Cogeca, associations de producteurs agricoles européens, “soulignent les lourdes conséquences économiques et opérationnelles que cette proposition entraîne pour le secteur agricole”.
“Nous peinons à comprendre pourquoi la proposition n'a pas au moins été accompagnée d'une analyse d'impact et d'une stratégie de diversification claire”, lit-on dans un communiqué. “Si l'UE veut réellement réduire sa dépendance à l'égard des engrais russes et biélorusses, elle doit présenter une voie alternative crédible et tournée vers l'avenir”, rappellent le Copa et la Cogeca.
“Malgré ce vote, la position du Copa-Cogeca reste inchangée, car la question fondamentale sous-jacente n'est pas résolue et risque de refaire surface”, estime-t-on, appelant “à une stratégie de diversification ambitieuse”.
Depuis plusieurs années, les agriculteurs européens sont confrontés à une crise des engrais caractérisée par une hausse historique des prix, des stocks limités, des difficultés d’approvisionnement, ainsi qu’une baisse de la production européenne.
https://www.francesoir.fr/societe-economie/le-parlement-europeen-vote-des-surtaxes-prohibitifs-sur-les-engrais-russes-et
Fake news russe ou vérité qui dérange ? La gifle qui met l’Élysée KO
RépondreSupprimerle 26 mai 2025 - 17:45
Billet d'humeur - Un grand moment de cinéma politique à la française. La vidéo circule : un geste pas très présidentiel, une petite claque amicale ou un retour de boomerang mal négocié, on hésite. Et là, comme par réflexe pavlovien, le bouton rouge est pressé à l’Élysée : « IA ! Fake-News ! Russie ! Propagande ! »
Mais petit hic dans le scénario : la vidéo est bien là réelle. Vérifiée, authentifiée, validée. Gênante ? Oui. Alors on change de disque : ce n’était pas une claque, c’était un “moment de complicité”. Et demain, on appellera ça comment ? Une caresse musclée, et pourquoi pas une bifle ?
"L'Elysée dément et suggère des images générées par l'intelligence artificielle, relayé par des compte pro-russe avant au final de reconnaitre l'authenticité de la vidéo publiée par les agence de presse officielles"
- source RMC
D'abord deepfake, puis finalement bromance : la communication présidentielle, c’est du David Lynch sous Lexomil.
Et là, une question nous brûle les lèvres : quand l’Élysée hurle à la manipulation russe, à la désinformation, à la cybermenace de l’Est, peut-on encore le prendre au sérieux ? Accuser la Russie de tous les maux, n’est-il pas devenu pour tous les sujets politiques embarrassants, le moyen le plus simple de détourner l’attention ?
- voir clip sur site -
Il ne s’agit pas de dire que Moscou est devenue l’agneau de la situation, mais à la vitesse à laquelle le pouvoir dégaine l’excuse russe pour masquer dérapages et catastrophes, ce n’est plus une stratégie de communication : c’est un aveu de panique.
Quant aux médias censés jouer les garde-fous, ils deviennent les relais de cette gymnastique narrative. Un petit tour de “source proche du dossier”, un soupçon d’“expert en cybersécurité”, un général cacochyme par-ci, et hop : l’info est rincée, essorée, et vendue comme une soupe à peine tiède.
Et Macron de réagir un tantinet gêné, c’est encore la faute de ces gens qui s’attardent sur son comportement. Et oui il est inapproprié, mais surtout la voix du palais n’est plus audible, plus crédible.
Alors, peut-on encore croire un pouvoir qui déclare fausse une vidéo vraie, avant d’en faire un moment « complice » ? Peut-on faire confiance à des dirigeants qui crient au loup à chaque erreur, espérant que le loup masquera l’erreur ?
La réponse est probablement quelque part entre une gifle et une caresse. Dans le flou. Comme cette République, désormais incapable de se tenir.
https://www.francesoir.fr/politique-france/fake-news-ou-verite-qui-derange-la-gifle-qui-met-elysee-KO
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