*
- Suite aux commentaires quelques peu décousus (incompétent et hors-sujet) de 'KJ', (Clip de Novembre 2023) je voudrais intervenir:
Le '11 Septembre' raconté. Ce jour, des avions (partis de nulle part faute de plan de vol déposé) ont pénétré des tours !
1°) TOUS les avions (Boeing) sont en aluminium (sauf les réacteurs et train d'atterrissage en acier) et ont (ou plutôt 'auraient') pu couper des poutrelles verticales de 80 cm de large en acier !! Ces poutrelles assurent la solidité d'une tour.
2°) Très peu de temps après ce film extraordinaire très 'Hollywoodien' sont intervenus des avionneurs et pilotes de lignes dénonçant cette supercherie car, en plus des commentaires disant que ces 'avions' volaient à 800 km/h alors que compte tenu la densité de l'air ambiant AUCUN avion ne peut dépasser les 600 km/h à moins de 200 m du sol !
Bref, le gros tas de trucs où est apparue l'holographie avec ces avions qui tournent en angle droit et qui ne sont pas freinés par leur entrée dans les bâtiments ! (Cette nouveauté qu'est l'holographie a été exposé quelques 10 ans plus tôt à Los Angeles).
Donc, après le 'choc' est intervenu la destruction des tours (amiantées de Sylverstein) minées par des explosifs thermite (et non C4) qui fondent l'acier.
Notez bien qu'au départ c'était un accident (et non un attentat) mais qui a été diffusé sur toutes les télés du monde et toutes les chaînes ! (Imaginez un train de voyageurs chinois qui compte 5000 personnes s'écrase au fond d'un ravin. L'info dure 30 secondes !).
'Pire' encore un passager a pu téléphoner de son portable vers ses parents au sol alors qu'en 2001 n'existaient pas encore de tours relais permettant cette communication !
Notez aussi que les avions s'inclinent juste avant la collision car leur envergure est de 60 m et les tours carrés de 60 m de large ! (Fallait pas que le joysticker tape à côté !).
Sans parler de la tour n°7 et les avions qui se seraient écrasés dans la forêt qui se sont... pulvérisés' !!
- Voir le site de la docteur Judy Wood qui est une référence.
Les notices de médicaments cèdent la place au QR code
RépondreSupprimerle 03 juin 2025 - 11:50
Dès l’automne, 100 médicaments vendus en France troqueront leur vieille notice papier contre un QR code. Cette expérimentation, portée par le ministère de la Santé, est un nouveau pas vers le tout numérique, qui n'arrangera probablement pas ceux qui en ont le plus besoin.
Fini les modes d’emploi froissés et les caractères microscopiques ? Peut-être, pour le meilleur et pour le pire. Le gouvernement teste dès l’automne une version numérique de la notice, accessible via QR code sur les boîtes de 100 médicaments, dont le paracétamol. Un gain écologique, une mise à jour continue des informations et un accès plus fluide pour les patients sont autant de promesses que l'expérimentation espère tenir. Du moins, pour ceux qui sont à l’aise avec le numérique ; le projet inquiète autant qu’il intrigue.
"Personnellement, j'aurais des difficultés, parce que je ne sais pas du tout m’en servir", confie Monique Logel, 82 ans, à France Info. Comme elle, une large part de la population – personnes âgées, malvoyantes, précaires ou non connectées – pourrait se retrouver exclue d’informations vitales. "La notice numérique doit venir en complément, pas en remplacement", alerte la pharmacienne Marie Donsez, qui redoute que la logique économique ne prime sur la santé publique.
Derrière le vernis technologique, ce test soulève un dilemme bien français : comment concilier transition numérique et égalité d’accès aux soins ? Selon l’INSEE, plus de 13 millions de personnes en France souffrent d’illectronisme. Si le QR code peut séduire les générations connectées, il impose aussi une fracture dans l’autonomie des patients. Et cette fracture pourrait s’élargir à mesure que le papier disparaît au nom du progrès.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-notices-de-medicaments-cedent-la-place-au-qr-code
Après l'absence de notice OBLIGATOIRE pour les expérimentations géniques d'essais FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelées 'vaccins' mortels pour les inoculés, voici qu'arrive d'autres produits (toujours appelés 'médicaments') qui n'auront AUCUNE explication quant à leurs compositions !!
SupprimerFaudra t-il rappeler les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej pour analyser ce qu'il y a réellement dedans ? (comme elles l'ont fait pour les flacons injectables mortels sortis des laboratoires nazis il y a 5 ans).
La science des probiotiques : comment les bactéries bénéfiques favorisent la santé
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
2 juin 2025
La santé intestinale est essentielle au bien-être général, les déséquilibres provoquant fatigue, prise de poids et inflammation dans plusieurs systèmes corporels
La combinaison de probiotiques spécifiques avec des composés végétaux crée des effets synergiques qui réduisent l'inflammation et renforcent la fonction de barrière intestinale
Les acides gras à chaîne courte, en particulier le butyrate, renforcent l'intégrité de la paroi intestinale et régulent la fonction immunitaire, tandis que la bactérie Akkermansia muciniphila soutient la couche protectrice de mucus où les microbes producteurs de butyrate se développent.
Le timing est important dans la guérison intestinale : éliminez d’abord les aliments inflammatoires comme les huiles végétales et réparez le terrain avant d’introduire progressivement des fibres et des probiotiques adaptés à votre état spécifique.
Les habitudes quotidiennes comme éviter les toxines environnementales, avoir un sommeil de qualité et minimiser les huiles végétales riches en acide linoléique ont un impact significatif sur l'équilibre du microbiome et la santé intestinale.
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Si vous souffrez de fatigue, de prise de poids ou de poussées inflammatoires, vos intestins en sont probablement la cause. Il ne s'agit pas seulement d'inconfort après les repas. Votre tube digestif est le centre de commande de dizaines de fonctions importantes, de la régulation de la glycémie à la chimie du cerveau. Un déséquilibre microbien a des répercussions sur tout votre corps.
Ce que vous donnez à votre intestin, tant en termes d'aliments que de bactéries, a le pouvoir de restaurer ou de détériorer votre santé. Mais toutes les stratégies ne fonctionnent pas à chaque étape de la guérison. Le timing, le choix de la souche et l'état de préparation de votre corps sont tous importants.
Des recherches récentes montrent comment des probiotiques et des composés végétaux spécifiques, utilisés correctement, restaurent la résilience intestinale, réparent la fonction immunitaire et réduisent l'inflammation. Décryptons les dernières découvertes scientifiques et comment les appliquer étape par étape pour favoriser une guérison métabolique durable.
- voir clip sur site -
Les probiotiques et les nutriments végétaux fonctionnent mieux ensemble pour guérir votre intestin
RépondreSupprimerUne étude publiée dans Food Chemistry Advances a analysé l’impact des probiotiques et des composés végétaux sur votre microbiote intestinal et réduit l’inflammation. 1
Les chercheurs ont examiné les preuves du rôle synergique de ces composés dans la gestion des maladies métaboliques, notamment les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2. L'étude a souligné que si les probiotiques seuls sont bénéfiques, leur association avec des composés végétaux bioactifs renforce leurs effets sur les fonctions intestinales et immunitaires.
• Les personnes souffrant de troubles métaboliques et d'inflammation chronique en bénéficient le plus — L'étude s'est concentrée sur la manière dont ces stratégies soutiennent les personnes aux prises avec des déséquilibres métaboliques. Il s'agit notamment des personnes souffrant d'obésité, de diabète de type 2, de problèmes cardiovasculaires ou de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin.
Les chercheurs ont souligné que la dysbiose – un déséquilibre des bactéries intestinales – est un facteur commun à ces maladies. L'association de probiotiques ciblés et de bioactifs d'origine végétale a contribué à réduire l'inflammation systémique, à renforcer la fonction de barrière intestinale et à rééquilibrer la diversité microbienne.
• Des souches probiotiques spécifiques ont montré des avantages uniques : Lactobacillus rhamnosus et Lactobacillus plantarum ont aidé à construire une paroi intestinale plus solide en stimulant la mucine, une protéine glissante qui forme du mucus protecteur, et en resserrant les jonctions entre les cellules de votre intestin.
C'est important, car une paroi intestinale solide empêche les toxines de pénétrer dans la circulation sanguine. Bifidobacterium longum et Bifidobacterium breve excellent dans la décomposition des fibres en acides gras à chaîne courte (AGCC) comme le butyrate , un composé qui alimente les cellules du côlon et aide à gérer l'inflammation.
• Certains composés végétaux améliorent l'efficacité des probiotiques — Les polyphénols présents dans le thé , les baies et le cacao favorisent la croissance des bactéries bénéfiques tout en ralentissant la propagation des bactéries nocives. Ces composés végétaux sont également transformés par les probiotiques en substances anti-inflammatoires qui contribuent à réduire la perméabilité intestinale et le stress oxydatif. Des prébiotiques comme l'inuline nourrissent les probiotiques, améliorant leur survie et leur production d'AGCC.
Comment ces composés agissent ensemble pour renforcer la fonction intestinale et immunitaire
RépondreSupprimerLorsque les probiotiques fermentaient les fibres alimentaires, ils produisaient des AGCC : le butyrate, l’acétate et le propionate, chacun jouant un rôle spécifique. Le butyrate resserrait la muqueuse intestinale et améliorait la tolérance immunitaire. L’acétate favorisait la production de mucus, tandis que le propionate optimisait le cholestérol et régulait la glycémie. Ces AGCC contribuaient à créer un environnement sain pour le développement du microbiome.
• Des souches bénéfiques comme l'Akkermansia ont également été abordées. L'Akkermansia muciniphila renforce la couche de mucus intestinal et réduit l'inflammation chronique liée à l'obésité et à la résistance à l'insuline. L'activité de l'Akkermansia contribue au maintien d'une barrière muqueuse équilibrée et saine. Le métabolisme des sucres du mucus par l'Akkermansia produit également des sous-produits bénéfiques qui contribuent à la santé intestinale .
• Les bioactifs et les probiotiques aident à calmer votre système immunitaire — Une étude a montré que certains composés végétaux et probiotiques agissent ensemble pour contrôler l'inflammation. Ils y parviennent en activant les cellules immunitaires qui émettent des signaux apaisants, incitant ainsi votre système immunitaire à se détendre. Parallèlement, ils contribuent à réduire les concentrations de substances chimiques responsables de l'inflammation, souvent élevées chez les personnes souffrant de troubles métaboliques.
• L'axe intestin-cerveau influence également la santé mentale. Le butyrate et d'autres AGCC influencent la production de neurotransmetteurs et réduisent le stress oxydatif dans les cellules cérébrales. En calmant l'intestin, ces composés contribuent à améliorer l'humeur, la clarté cognitive et la résistance au stress. Cela renforce l'idée que votre bien-être mental est étroitement lié à la santé de votre microbiome.
• Les systèmes d'administration des aliments sont importants pour la survie des probiotiques — Les chercheurs ont souligné que tous les aliments probiotiques ne se valent pas. La structure de l'aliment, appelée matrice alimentaire, doit protéger les probiotiques de l'acide gastrique et garantir qu'ils atteignent le côlon vivants. Les produits laitiers fermentés, les légumes riches en fibres et les produits synbiotiques, qui combinent probiotiques et prébiotiques, ont donné les meilleurs résultats.
Tous les probiotiques ne sont pas créés égaux — et le timing est primordial
Selon le Bureau des compléments alimentaires des National Institutes of Health (NIH), les probiotiques sont des micro-organismes vivants qui offrent des bienfaits pour la santé, mais uniquement lorsque les bonnes souches sont utilisées à la bonne dose et au bon moment .
L'aperçu du NIH se concentre spécifiquement sur la façon dont ces organismes interagissent avec votre système gastro-intestinal et sur ce qui les rend réellement efficaces, ou non. Il s'agit d'un rappel important : tous les produits étiquetés « probiotiques » n'agissent pas aussi efficacement qu'on le pense.
• Les probiotiques sont plus efficaces dans des situations spécifiques — Le rapport souligne que différentes souches ont des objectifs différents. Ce qui aide une personne souffrant de diarrhée peut ne rien faire pour une personne atteinte du syndrome du côlon irritable (SCI).
L'efficacité dépend de plusieurs variables : votre âge, la composition de votre microbiote intestinal, votre état de santé et la capacité de la souche à survivre à la digestion et à coloniser votre intestin. En résumé, prendre des compléments alimentaires au hasard, sans objectif précis, est souvent inefficace.
RépondreSupprimer• Les mécanismes d’action comprennent la réparation de la barrière intestinale, la modulation immunitaire et l’équilibrage du pH — Le NIH explique que les probiotiques fonctionnent de plusieurs manières importantes :
Ils produisent des substances SCFA qui aident à réguler votre système immunitaire et à réduire l’inflammation intestinale.
Certaines souches renforcent votre paroi intestinale en augmentant la mucine et les protéines de jonction serrée, empêchant ainsi les bactéries nocives de s'infiltrer dans votre circulation sanguine.
D’autres entrent en compétition avec les agents pathogènes en produisant des composés antimicrobiens ou en abaissant le pH pour créer un environnement hostile aux envahisseurs.
• La survie des probiotiques après la digestion est un obstacle majeur. Ils doivent survivre à l'acidité gastrique, à la bile et aux enzymes pour atteindre l'intestin intact. De nombreuses souches probiotiques commerciales ne survivent pas à ce voyage.
Le yaourt et les produits laitiers fermentés ont tendance à favoriser une meilleure survie, surtout lorsqu'ils sont associés à des prébiotiques ou à des technologies d'encapsulation. Cependant, certains aliments étiquetés « fermentés » ne contiennent souvent plus de cultures probiotiques vivantes au moment de leur consommation, en raison de la pasteurisation ou de la transformation.
• Il n'existe pas d'approche universelle en matière de thérapie probiotique. Il est essentiel de savoir ce que l'on cherche à corriger. Le NIH conseille aux consommateurs et aux cliniciens de sélectionner des souches spécifiques adaptées à l'affection traitée.
• La réglementation et l'étiquetage des probiotiques font encore défaut. Les étiquettes sont souvent trompeuses, les souches étant mal identifiées ou omises. L'activité du produit (unités formant colonie, ou UFC) est souvent inexacte. Des allégations telles que « favorise la santé digestive » ne reposent sur aucune base scientifique normalisée, sauf si elles sont liées à des souches et des résultats spécifiques.
Comment rétablir l'équilibre intestinal et réduire l'inflammation naturellement
RépondreSupprimerSi votre digestion est perturbée, votre humeur est imprévisible, ou si vous souffrez d'inflammations tenaces ou d'une prise de poids, votre intestin vous envoie un message. Et ce n'est pas seulement une question de ce que vous mangez, mais aussi de qui vit en vous. Votre intestin abrite des milliards de microbes qui influencent tout, de la digestion des aliments à l'efficacité de votre système immunitaire et de votre métabolisme.
Lorsque ces populations microbiennes se déséquilibrent, votre santé commence à se dégrader à tous les niveaux. Remettre votre intestin sur les rails ne se résume pas à un apport en fibres ou à la prise de probiotiques aléatoires. En fait, agir trop tôt aggrave la situation. Voici comment aborder le problème correctement :
1. Préparez le terrain avant de le nourrir — Les fibres sont essentielles à la santé intestinale, mais seulement lorsque votre intestin est prêt à les gérer. En cas de dysbiose ou d'inflammation de la paroi intestinale, les fibres fermentescibles nourrissent les mauvaises bactéries, provoquant gaz, ballonnements et sous-produits toxiques comme les endotoxines. C'est ce qu'on appelle le paradoxe des fibres : la substance même qui favorise un microbiome sain à long terme aggrave les symptômes à court terme si elle est introduite trop tôt.
Si vous souffrez d'inflammation ou de prolifération bactérienne, commencez par éliminer les aliments transformés, qui contiennent des huiles végétales riches en acide linoléique (AL), des émulsifiants et des additifs. Privilégiez les glucides faciles à digérer, comme les fruits et le riz blanc, jusqu'à ce que vos symptômes se stabilisent. Ensuite, commencez à ajouter de petites quantités de glucides plus fibreux, comme les légumes racines.
Une fois votre santé intestinale rétablie, c'est-à-dire vos habitudes intestinales, vos ballonnements et votre bien-être général maîtrisés, vous pouvez élargir votre alimentation. Ajoutez des légumes non féculents, des féculents (patate douce ou courge), des haricots, des légumineuses et, éventuellement, des céréales complètes peu transformées.
2. Privilégiez les bactéries productrices de butyrate. Le butyrate est l'un des composés cicatrisants les plus puissants que votre corps fabrique, directement dans votre côlon. Il nourrit les cellules qui tapissent votre intestin, colmate les jonctions perméables, calme la suractivation immunitaire et réduit l'inflammation générale.
Le piège ? Impossible de produire du butyrate sans l'aide de microbes intestinaux spécifiques. Des bactéries comme Faecalibacterium prausnitzii, Roseburia et Eubacterium comptent parmi les principaux producteurs de butyrate dans un microbiome sain.
RépondreSupprimerElles se nourrissent de fibres fermentescibles présentes dans des aliments comme les pommes de terre cuites et refroidies, les bananes vertes, les lentilles, les topinambours et l'avoine. Une fois la paroi intestinale cicatrisée, nourrir ces bactéries devient une priorité absolue.
Mais un autre acteur clé contribue à leur succès : Akkermansia muciniphila. Bien qu'elle ne produise pas elle-même de butyrate, Akkermansia joue un rôle de soutien en maintenant et en épaississant la couche de mucus intestinal, créant ainsi un environnement idéal pour le développement des microbes producteurs de butyrate.
Considérez Akkermansia comme un gardien qui améliore le terrain, tandis que Faecalibacterium et d'autres produisent le carburant. Ensemble, ils créent un microbiome stable, anti-inflammatoire et métaboliquement protecteur.
3. Nourrissez correctement l'Akkermansia — L'Akkermansia muciniphila est une bactérie intestinale qui contribue au maintien de la muqueuse intestinale. Des concentrations élevées sont fortement associées à un meilleur contrôle de la glycémie, à une diminution de l'inflammation, à un renforcement de la barrière intestinale et même à une réduction de la masse grasse. Cette bactérie ne se contente pas de protéger votre intestin : elle contribue également à alimenter les producteurs de butyrate en améliorant la couche de mucus dont ils se nourrissent.
Les aliments riches en polyphénols comme la grenade, le raisin rouge, les canneberges et le thé vert favorisent directement sa croissance. Il en va de même pour les plantes contenant de l'inuline comme l'ail, le poireau, la racine de chicorée et l'asperge. Commencez par de petites quantités et augmentez-les en fonction de la tolérance. L'objectif est de stimuler en douceur un écosystème résilient, et non de surcharger un écosystème fragile.
4. Favorisez la santé intestinale au niveau cellulaire — Au-delà d'un simple apport en fibres , il est essentiel d'éliminer les facteurs qui endommagent activement votre environnement intestinal. L'un des principaux responsables est l'excès d'acide linoléique (LA) présent dans les huiles végétales comme l'huile de tournesol, de carthame, de soja et de canola. Ces huiles perturbent la fonction mitochondriale, diminuant la production d'énergie cellulaire et dégradant votre environnement intestinal.
Privilégiez plutôt les graisses plus saines comme le beurre, le ghee ou le suif. Réduisez également votre exposition aux perturbateurs endocriniens et aux champs électromagnétiques (CEM), car ceux-ci altèrent davantage l'énergie cellulaire et nuisent à l'environnement intestinal sans oxygène dont les bactéries bénéfiques comme Akkermansia ont besoin pour prospérer.
RépondreSupprimerLa plupart des gens ont un taux très faible d'Akkermansia dans leur intestin. Après avoir éliminé les huiles végétales pendant au moins six mois, envisagez de prendre un complément d'Akkermansia à libération prolongée. Cette formule permet à davantage de bactéries de survivre et d'atteindre votre côlon.
5. Reprenez des habitudes quotidiennes qui renforcent l'équilibre microbien — Votre microbiome ne réagit pas seulement à la nourriture, il réagit au rythme. Manger à heures régulières, profiter du soleil tôt le matin, dormir profondément et gérer le stress sont autant de facteurs qui façonnent votre flore intestinale. Le manque d'activité physique, un sommeil de mauvaise qualité, l'exposition aux toxines environnementales ou aux antibiotiques, ou une alimentation irrégulière perturbent la stabilité microbienne tout autant que la malbouffe.
Commencez par la régularité. Mangez une grande variété d'aliments complets, notamment des légumes colorés, des aliments fermentés, des herbes et des épices. Alternez les fibres pour éviter de suralimenter une espèce en particulier. Buvez du thé vert et évitez de consommer les mêmes cinq aliments « sains » chaque jour.
Si votre intestin vous a été défavorable, cette stratégie étape par étape vous offre une feuille de route pour retrouver votre résilience. Il ne s'agit pas de trouver l'aliment ou le complément alimentaire idéal, mais de reconstruire votre écosystème de fond en comble. Lorsque votre intestin retrouve sa force, tout, de votre humeur à votre métabolisme, recommence à jouer en votre faveur.
FAQ sur les probiotiques et la santé intestinale
Q : Comment les probiotiques et les nutriments végétaux agissent-ils ensemble pour guérir votre intestin ?
R : Certains probiotiques et nutriments végétaux s'associent pour renforcer votre intestin et réduire l'inflammation. Une étude publiée en 2025 dans Food Chemistry Advances a révélé que des probiotiques comme Lactobacillus rhamnosus, associés à des composés végétaux issus du thé et des baies, contribuaient à sceller la paroi intestinale, à calmer le système immunitaire et à améliorer l'équilibre des bactéries intestinales.
Q : Pourquoi le butyrate est-il si important pour la santé intestinale ?
RépondreSupprimerR : Le butyrate est une substance naturelle produite par les bactéries intestinales saines lorsqu'elles digèrent certaines fibres. Il nourrit les cellules qui tapissent votre intestin, maintient la barrière intestinale solide, contrôle l'inflammation et renforce votre système immunitaire. Vous pouvez augmenter votre taux de butyrate en consommant des aliments comme des pommes de terre cuites et refroidies, des bananes vertes et des lentilles.
Q : Que fait Akkermansia muciniphila pour votre intestin ?
R : Akkermansia muciniphila est une variété de bactéries intestinales bénéfiques qui maintiennent la couche protectrice de mucus épaisse et saine. Cela facilite la croissance d'autres bonnes bactéries. Des concentrations élevées d'Akkermansia sont associées à un meilleur contrôle de la glycémie, à une diminution de l'inflammation et à une diminution de la masse grasse.
Q : Pourquoi le moment est-il important lors de l’ajout de fibres et de probiotiques ?
R : Si votre intestin est enflammé ou déséquilibré, l'ajout prématuré de fibres ou de probiotiques aggrave les symptômes. Il est important de commencer par supprimer les aliments transformés, en particulier les huiles végétales, et de privilégier les aliments faciles à digérer comme les fruits et le riz blanc. Une fois votre intestin apaisé, ajoutez progressivement des aliments riches en fibres et des probiotiques adaptés à vos besoins.
Q : Quelles habitudes simples aident à garder votre intestin en bonne santé ?
R : Manger une variété d'aliments complets, dormir suffisamment, éviter les huiles végétales, rester actif et gérer le stress contribuent à maintenir l'équilibre de votre flore intestinale. Éliminer les huiles végétales contribue grandement à la santé intestinale et globale.
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Notes
1 Avancées en chimie alimentaire, mars 2025, volume 6, 100919
2 Instituts nationaux de la santé, Bureau des compléments alimentaires, probiotiques, fiche d'information pour les professionnels de la santé
https://www.globalresearch.ca/probiotics-beneficial-bacteria-support-health/5889229
Le mouvement MAHA est stupéfait que les vaccins contre la COVID-19 restent sur le marché
RépondreSupprimerEmerald Robinson demande : Qui donne vraiment des ordres sur des plans sans fin ?
Par Emerald Robinson et le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
2 juin 2025
La récente audience du Sénat sur la myocardite et autres effets indésirables graves liés au vaccin contre la COVID-19 a marqué un tournant pour le mouvement MAHA dans sa lutte contre le complexe biopharmaceutique. Plus personne ne prétend que les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs. Chacun sait qu'ils peuvent entraîner des syndromes vaccinaux graves et mortels, notamment une myocardite, des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux (AVC) et une anaphylaxie aiguë, mettant fin à la vie dans le centre de vaccination ou quelques heures plus tard.
Emerald Robinson a admis dans l'émission « Absolute Truth » être une « MAHA Mom » qui souhaite le retrait du marché des vaccins contre la COVID-19. Elle a abordé ce sujet avec le Dr McCullough à plusieurs reprises au cours de l'interview. McCullough a fait les observations suivantes :
Les nouveaux avertissements de la FDA américaine sur la myocardite pour Pfizer et Moderna ont harmonisé la tranche d'âge de 16 à 25 ans, ce qui est trompeur car elle survient également à des âges plus avancés.
La nouvelle étiquette de la FDA américaine ne mentionne pas la mention « décès » ou l’avertissement encadré pour la myocardite, l’anaphylaxie ou d’autres syndromes mortels avérés dans la littérature publiée évaluée par des pairs.
Une publication de la FDA dans le NEJM indiquait que 31 millions d'Américains devraient se faire vacciner contre la COVID-19, selon de nouvelles recommandations plus strictes. Ce chiffre est déconnecté de la réalité : seulement 15 % des Américains se font vacciner, un chiffre qui diminue chaque semaine.
La FDA américaine a donné son feu vert aux rappels d'automne 2025 pour un variant désormais éteint.
Aucun pays au monde n’a retiré les vaccins contre la COVID-19 du marché ni mis fin à la campagne de vaccination.
Le Dr McCullough a souligné la remarque finale la plus étrange de RFK lors de son communiqué de presse conjoint avec Makary et Bhattacharya, membres de la FDA et du NIH. Il a déclaré qu'en limitant l'utilisation des vaccins contre la COVID-19, le gouvernement avait fait un grand pas en avant pour une Amérique en meilleure santé ! Qu'est-ce que cela signifie ? Une vaccination accrue contre la COVID-19 rendrait l'Amérique malade ? Une vaccination réduite serait-elle meilleure pour la santé ? L'absence de vaccination contre la COVID-19 serait-elle plus saine ?
RépondreSupprimerRobinson a demandé : « Qui donnait réellement les ordres concernant les vaccins ? » McCullough a répondu qu'il semblait s'agir d'un supérieur hiérarchique à Trump et Biden. Si Trump voulait se démarquer de Sleepy Joe, la décision la plus audacieuse qu'il pourrait prendre serait de retirer les produits du marché. Au lieu de cela, Trump reste en phase avec Biden et maintient sa politique de non-interview sur le sujet alors que la campagne avance. Profitez de cette interview et comprenez la frustration de Robinson.
https://www.globalresearch.ca/maha-movement-covid-19-vaccines/5889224
La plupart des Américains soupçonnent désormais des dommages cardiaques dus aux vaccins contre la COVID-19 : enquête Rasmussen
RépondreSupprimerPar Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
2 juin 2025
Une nouvelle enquête Rasmussen, menée les 22 et 25-26 mai 2025, révèle que 51 % des adultes américains pensent que le vaccin contre la COVID-19 a probablement provoqué une myocardite ou une péricardite chez de nombreux vaccinés. Parmi eux, 69 % des républicains, 49 % des indépendants et même 39 % des démocrates.
L'enquête a été menée auprès de 1 216 adultes américains par téléphone et en ligne à l'échelle nationale. Les résultats présentent une marge d'erreur d'échantillonnage de ± 3 points de pourcentage, avec un niveau de confiance de 95 %. Cela signifie que si la même enquête était menée 100 fois, les résultats se situeraient à ± 3 points de ces résultats dans 95 de ces enquêtes.
- voir doc sur site -
Cette reconnaissance généralisée des lésions cardiaques induites par le vaccin contre la COVID-19 fait suite au témoignage du Dr Peter McCullough devant le Sénat , où il a déclaré au monde entier, sous serment, que les vaccins contre la COVID-19 peuvent être mortels. Il a cité notre étude d'autopsie qui a révélé que 73,9 % des décès post-vaccinaux contre la COVID-19 étaient dus à l'injection. Parmi les décès jugés liés au vaccin, 7,1 % étaient dus à une myocardite mortelle.
En plus de cet article, quatre de nos études évaluées par des pairs prouvent que les injections d’ARNm contre la COVID-19 sont extrêmement cardiotoxiques, provoquant des cicatrices cardiaques irréversibles pouvant conduire au syndrome de mort subite de l’adulte des mois, voire des années après l’injection :
- voir doc sur site -
Alors que la FDA continue de promouvoir les injections de rappel d’ARNm, la Fondation McCullough continuera d’exposer leurs véritables méfaits, jusqu’à ce que le monde soit enfin épargné par ces injections cardiotoxiques, neurotoxiques, cancérigènes et qui raccourcissent la vie .
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Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
RépondreSupprimerSources
Hulscher N, Alexander P E., Amerling R, Gessling H, Hodkinson R, Makis W et al. Revue systématique des résultats d'autopsie des décès après vaccination contre la COVID-19. Science, politique de santé publique et droit. 17 novembre 2024 ; v5.2019-2024
Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. Constatations d'autopsie dans les cas de myocardite mortelle induite par le vaccin contre la COVID-19. Insuffisance cardiaque ESC. 14 janvier 2024. doi : 10.1002/ehf2.14680
Hulscher N, Cook MJ, Stricker RB, McCullough PA. (2024). Surplus d'arrêts cardiorespiratoires et de mortalité après vaccination contre la COVID-19 dans le comté de King, Washington. J Emerg Med OA, 2(1), 01-11. doi : 10.33140/JEMOA.02.01.12
McCullough PA, Hulscher N. Stratification du risque d'arrêt cardiaque après vaccination contre la COVID-19. World J Cardiol. 2025 ; 17(2) : 103909. doi : 10.4330/wjc.v17.i2.103909
Mead MN, Rose J, Makis W, Milhoan K, Hulscher N, McCullough PA. Myocardite après infection par le SARS-CoV-2 et vaccination contre la COVID-19 : épidémiologie, résultats et nouvelles perspectives. Int J Cardiovasc Res Innov. 2025 ; 3(1) ; 1-43. doi : 10.61577/ijcri.2025.100001
https://www.globalresearch.ca/most-americans-now-suspect-heart-damage-covid-shots/5889169
Mais dans la lettre d'approbation de la FDA du 30 mai se cache un aveu inquiétant : l'essai crucial contrôlé par placebo qui évaluerait réellement la sécurité et l'efficacité de cette nouvelle injection d'ARNm n'a même pas encore commencé.
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
Selon la FDA, Moderna prévoit de commencer une étude de phase 4, randomisée, en aveugle et contrôlée par placebo, chez des adultes âgés de 50 à 64 ans sans pathologies à haut risque, le 30 novembre 2025 seulement , les résultats définitifs n'étant pas attendus avant janvier 2027 .
Par ailleurs, l'essai clinique utilisé pour justifier cette approbation (NCT05815498) n'était pas contrôlé par placebo. Il comparait simplement mNEXSPIKE au précédent vaccin contre la COVID-19 de Moderna (ARNm-1273/Spikevax), un produit déjà associé à des effets indésirables graves et à des décès massifs .
Cela signifie que la FDA a entièrement autorisé mNEXSPIKE pour une utilisation à grande échelle sans jamais avoir vu de données de sécurité contrôlées par placebo dans la population exacte actuellement ciblée.
Cette approbation contredit directement une récente déclaration publique d'un porte-parole du HHS, qui a déclaré au Washington Post :
« Tous les nouveaux vaccins seront soumis à des tests de sécurité dans le cadre d’essais contrôlés par placebo avant d’être homologués, ce qui constitue un changement radical par rapport aux pratiques antérieures. »
Sur la base de cette évolution extrêmement décevante et dangereuse, on peut supposer que le complexe biopharmaceutique exerce toujours un contrôle majoritaire sur nos agences de réglementation :
- voir doc sur site -
Si nous voulons vraiment que l’Amérique retrouve la santé, il faut lutter efficacement contre ce syndicat mondial.
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Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
https://www.globalresearch.ca/fda-approves-moderna-mrna-injection/5889174
L’approbation du nouveau vaccin mNexspike contre la Covid-19 de Moderna : un point d’inflexion stratégique pour la politique vaccinale ?
RépondreSupprimerPar le Dr James Lyons-Weiler
Recherche mondiale,
3 juin 2025
Le 31 mai, la FDA a annoncé l'approbation du nouveau vaccin de Moderna contre la COVID-19, mNexspike. Ce produit à ARNm auto-amplifiant (ARNsa) est autorisé chez les personnes de 12 ans et plus présentant au moins un facteur de risque, ainsi que chez tous les adultes de plus de 65 ans. À première vue, cette approbation pourrait sembler n'être qu'une simple itération dans la longue série de décisions prises en période de pandémie. En réalité, elle marque un tournant radical dans la jurisprudence réglementaire de la plateforme, un tournant qui sera très certainement soumis à un examen réglementaire ultérieur à mesure que les conséquences de cette décision se feront sentir.
Ce qui distingue mNexspike , ce n'est pas seulement sa cible antigénique ou son dosage, mais bien son avancée technologique. L'ARNm auto-amplifiant est un système moléculaire totalement différent des vaccins à ARNm de première génération. Sa capacité à se répliquer à l'intérieur des cellules confère à la fois une expression accrue et une présence prolongée d'ARN synthétique. Il ne s'agit pas d'une modification progressive, mais d'une transformation structurelle. Pourtant, la FDA a approuvé ce produit non pas en tant que nouvelle plateforme, mais via un cadre d'équivalence qui le compare uniquement à Spikevax, le vaccin actuel de Moderna contre la COVID-19.
Cette approche – essai comparatif sans placebo, utilisant un produit de référence non inerte – devrait susciter l'inquiétude. Elle soulève des questions scientifiques, éthiques et procédurales qui attireront très certainement l'attention des décideurs politiques à mesure que les normes évoluent et que les attentes en matière de transparence augmentent.
Approbation de la plateforme sans données de sécurité de la plateforme
L'essai de phase 3 (NCT05815498) a recruté 11 400 participants et a comparé une dose de 10 μg de mNexspike à une dose de 50 μg d'ARNm-1273 (Spikevax). Le critère d'évaluation était l'immunogénicité, évaluée par les titres d'anticorps neutralisants contre le SARS-CoV-2 ancestral et l'Omicron BA.4/5. Aucune tentative n'a été faite pour évaluer la protection contre l'infection ou la transmission et, point crucial, aucun placebo inerte n'a été utilisé. Cela signifie que nous ne disposons d'aucune mesure de référence du risque absolu, ni de la capacité d'évaluer les effets indésirables par rapport aux témoins non exposés, ni d'aucune estimation de l'efficacité clinique réelle.
La conception de cet essai est pleinement conforme aux nouvelles directives de la FDA dans le cadre de l'ère MAHA : pour les populations à haut risque ou vulnérables, des essais comparatifs peuvent suffire. Cependant, cet essai souligne que la sécurité de la plateforme n'a jamais été directement évaluée. Pour un produit introduisant un mécanisme d'amplification de l'ARN par réplicase dans les cellules humaines, cette omission risque de devenir un point central des recherches futures.
RépondreSupprimerExclusion des femmes enceintes, inclusion dans la politique
Les documents du protocole confirment que les femmes enceintes ont été exclues de cet essai clinique. Néanmoins, les décideurs politiques, adhérant aux nouvelles directives du HHS, ont exprimé un soutien sans équivoque à la recommandation de mNexspike aux femmes enceintes. Cela soulève une question de cohérence interne entre les politiques et les données probantes, une question qui reviendra très certainement lors des futures évaluations éthiques en santé publique.
Il est bien établi en recherche clinique que l'exclusion d'une population des données d'un essai tout en encourageant son utilisation au sein de cette même population – en particulier lorsque l'intervention est nouvelle – engendre une responsabilité bioéthique. Que cette responsabilité soit réglementaire, institutionnelle ou scientifique, la dissonance est ici difficile à ignorer.
L'immunogénicité comme critère de substitution
Bien que les titres d'anticorps neutralisants demeurent un critère d'évaluation réglementaire courant, leur lien avec les résultats en situation réelle est ténu. Des titres élevés ne confèrent pas nécessairement une immunité stérilisante. En fait, comme l'a démontré la littérature, ils peuvent être corrélés à l'empreinte immunitaire, à l'amorçage pathogène ou à l'amélioration dépendante des anticorps (ADE) dans certains contextes. Le recours à ces marqueurs de substitution pour l'essai, sans résultats cliniques à long terme ni suivi de la sécurité au-delà de sept jours pour les événements indésirables, fera probablement l'objet d'une réflexion réglementaire, voire d'une révision, dans les mois et les années à venir.
Regard vers l'avenir
L'approbation de mNexspike ne concerne pas seulement un produit. Elle signale un possible changement dans la manière dont les nouvelles plateformes vaccinales pourraient évoluer au sein des cadres réglementaires, sous l'égide de la continuité de la plateforme plutôt que d'un véritable contrôle de l'innovation. La création d'un précédent ou d'une exception dépendra fortement de la manière dont se déroulera la prochaine phase de surveillance.
Il est prématuré de spéculer sur les mesures de suivi spécifiques qui pourraient être prises, mais il est raisonnable de s’attendre à ce que la surveillance post-commercialisation, l’examen au niveau de la plateforme et éventuellement la clarification de l’étiquetage puissent entrer en jeu, en particulier compte tenu de l’absence de discussion transparente dans les documents d’approbation concernant la nature auto-amplificatrice du produit.
RépondreSupprimerModerna a également indiqué que cette même plateforme saRNA serait utilisée dans son prochain vaccin combiné contre la grippe et la COVID-19 (ARNm-1083), ce qui signifie que les implications de la décision d'aujourd'hui s'étendent au-delà de la COVID-19. Elles concernent toutes les applications futures des immunothérapies à base d'ARN, en particulier celles présentant des caractéristiques persistantes ou réplicatives.
Le public mérite – et exige de plus en plus – une rigueur réglementaire qui reflète la nouveauté de la plateforme, et non pas seulement la filiation avec les produits antérieurs. Dans cette optique, l'approbation de mNexspike n'est pas une ligne d'arrivée ; c'est le point de départ d'une évaluation plus approfondie et plus critique de la réglementation des technologies biologiques qui diffèrent de leurs prédécesseurs.
Et même si cela peut prendre du temps, avec la science réelle en jeu, les systèmes de réglementation ont tendance à corriger le tir, en particulier lorsque la sensibilisation du public, l’évolution de la plateforme et la volonté politique convergent.
Cette fois, la convergence a déjà commencé.
https://www.globalresearch.ca/moderna-mnexspike-approval/5889300
L'autruche : un pilier de soutien à la santé humaine
RépondreSupprimerL'histoire de leur condamnation à mort irrationnelle par le gouvernement canadien (en bref)
Par Elizabeth Woodworth
Recherche mondiale,
2 juin 2025
Histoire
Selon les archives fossiles, l’autruche ancienne et majestueuse vit sur notre planète depuis 120 millions d’années, depuis que les continents se déplaçaient et que les dinosaures parcouraient la Terre.
Les locuteurs hébreux appelaient autrefois l'autruche bath haya'anah (« fille du désert »), tandis que les arabophones la surnommaient « le père du désert ». En Sumer, l'autruche était appelée gir-gid-da (« l'oiseau aux longues pattes ») ou gam-gam (« le bienfaiteur »).
Certes, l’autruche possède une grande dignité – voire une noblesse de présence – et beaucoup de gens trouvent que leur rendre visite est une expérience émouvante et mémorable.
- voir clip sur site -
L'œuf d'autruche est une merveille d'un kilo et demi. On en trouvait partout dans le monde antique et on en a retrouvé dans les tombes préhistoriques de Mycènes, d'Étrurie, du Latium, de Carthage et d'Égypte. Les Perses les envoyaient en tribut aux empereurs chinois. En Sumérie, près de Bagdad, on en faisait de magnifiques vases peints.
- voir photo sur site -
Récipient contenant des œufs d'autruche, orné d'or, de cuivre et d'autres éléments. Mycènes, Tholos. Âge du bronze final, vers 1400 av. J.-C. Musée archéologique national d'Athènes.
Tout comme le système immunitaire extraordinaire du requin vieux de 400 millions d’années, le système immunitaire de l’autruche a évolué pour résister aux microbes qu’il a rencontrés au fil des millénaires et pour se débarrasser rapidement des nouvelles menaces.
Des recherches japonaises datant de 2009 nous ont appris que l’autruche offre un potentiel énorme de bienfaits pour la santé humaine, mais très peu de ces connaissances fascinantes ont atteint les médias occidentaux.
Il est facile de comprendre comment les autruches soutiennent l'immunité humaine
Un antigène est une substance étrangère telle qu’un virus ou une bactérie.
Pour vaincre ces substances, nos globules blancs patrouillent dans le corps et lorsqu'ils rencontrent un antigène, ils produisent des anticorps qui se lient à lui et le neutralisent.
La bonne nouvelle est que si deux antigènes partagent des structures similaires (épitopes), un anticorps produit contre l'un peut également éliminer l'autre. On parle alors d'« anticorps à réactivité croisée ».
On sait depuis longtemps pourquoi les anticorps à réactivité croisée sont d’une importance cruciale pour la santé humaine :
RépondreSupprimerEn 2009, une épidémie de grippe a été diagnostiquée comme étant due à une nouvelle souche du virus de la grippe, appelée grippe pandémique A/H1N1 2009. La vaccination avec les récents vaccins contre la grippe saisonnière n'a induit que peu ou pas de réponse croisée des anticorps contre le virus de la grippe pandémique A/H1N1 2009, quel que soit l'âge de la population. Par conséquent, la plupart des personnes présentaient une faible immunité contre ce pathogène, ce qui a entraîné la propagation mondiale de l'infection et provoqué une « pandémie ».
Ce rapport présente une importante découverte : les œufs d'autruche produisent des anticorps à réactivité croisée contre le virus de la grippe pandémique A/H1N1 après l'immunisation d'une autruche femelle avec un vaccin contre la grippe saisonnière. Cette méthode simple a permis de produire une grande quantité d'anticorps contre les virus de la grippe chez une autruche femelle…
En conclusion, des anticorps de neutralisation à réaction croisée contre le virus de la grippe pandémique A/H1N1 2009 ont été générés avec succès dans des œufs d’autruche produits par des femelles immunisées avec un vaccin contre le virus de la grippe saisonnière.
Réf. Yasuhiro Tsukamoto et al., « L'autruche produit des anticorps de neutralisation à réactivité croisée contre le virus de la grippe pandémique A/H1N1 après immunisation avec un vaccin contre la grippe saisonnière », Exp Ther Med . 2 déc. 2010 ; 2(1) : 41–45.
De plus, le système immunitaire ancestral de l'autruche lui permet de produire des anticorps stables et résistants à la chaleur dans ses jaunes d'œufs, efficaces contre une grande variété d'antigènes, notamment :
Virus tels que la grippe, le Covid-19, le virus Ebola, le virus Zika et le virus de la dengue
Antigènes bactériens tels que Staphylococcus aureus, Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa et Clostridium difficile.
Les œufs sont également utilisés pour neutraliser les venins de serpent et pour l’immunothérapie ciblée dans le diabète de type 1.
De plus, les autruches sont connues pour être capables de produire des anticorps très rapidement lorsqu’elles sont exposées à des antigènes.
De : Recherche scientifique
- voir schéma sur site -
Liste des principaux bienfaits pour l'homme
RépondreSupprimerAvantages
Les anticorps des autruches sont transmis par leurs œufs, qui pèsent un kilo et demi ou plus et contiennent une quantité impressionnante d'anticorps – des centaines de fois supérieure à celle d'autres sources courantes comme les lapins ou les poules. Des masques antiviraux et des sprays nasaux pour autruches ont déjà été créés pour protéger les humains.
Les anticorps d'autruche sont hautement spécifiques, stables (ils résistent à une chaleur allant jusqu'à 100 °C, ce qui signifie qu'ils peuvent vivre dans le corps humain) et économiques (2 à 4 grammes par œuf, jusqu'à 400 grammes par an et par autruche). De plus, dépourvus d'albumine d'œuf, ils sont sans danger pour les personnes allergiques aux œufs.
Applications : Ces anticorps sont utilisés dans les produits préventifs (masques, filtres, gouttes nasales), les cosmétiques (anti-âge, traitement de l'acné), les diagnostics et les thérapies potentielles (médicaments oraux, antivenins et immunothérapie contre le cancer).
Avantage éthique : les anticorps sont récoltés de manière non invasive à partir d’ovules non fécondés, conformément aux principes de bien-être animal.
Sécurité et statut réglementaire : Bien que les anticorps d'autruche soient bien tolérés et non toxiques, la plupart de leurs applications en sont au stade préclinique ou font l'objet d'essais cliniques limités (par exemple, les gouttes nasales contre la COVID-19 au Japon). Ils ne sont pas encore approuvés par la FDA pour une utilisation thérapeutique généralisée chez l'homme et sont en attente d'études complémentaires de sécurité et d'efficacité.
Œufs d'autruche : une avancée sanitaire méconnue
Il est vraiment étonnant que le plus vieil et le plus grand oiseau vivant au monde puisse soutenir si naturellement la résistance humaine contre les maladies – et ce sans nuire du tout à l’oiseau !
Il s'agit d'une avancée majeure dans l'histoire de la médecine. C'est la plus grande nouveauté que j'aie jamais vue en matière de gestion des maladies transmissibles, tant au cours de mes 25 années de bibliothécaire médicale que de toutes mes recherches depuis.
Mon enthousiasme est toutefois tempéré par la certitude effrayante que des intérêts pharmaceutiques subiront d’énormes pertes financières si des solutions naturelles et non brevetées aux maladies infectieuses deviennent largement disponibles.
Visite à la ferme d'autruches Universal à Edgewood, en Colombie-Britannique
RépondreSupprimerLe 27 mai 2025, j’ai eu la chance de voyager avec un bon ami dans cette ferme d’autruches isolée de la région de West Kootenay en Colombie-Britannique.
Ray McGinnis et moi, tous deux auteurs, avons été chaleureusement accueillis par les propriétaires Karen, Dave et Katie dans la cuisine de cette grande et ancienne ferme abritant près de 400 autruches calmes et gracieuses, certaines âgées de plus de 30 ans. Plusieurs chiens charmants étaient présents. Ces personnes bienveillantes nous ont beaucoup appris.
Extrait du Salmon Arm Observer , 27 mai 2025. M. Anderson tente d' arrêter l'abattage .
De plus, beaucoup a été écrit sur la façon dont l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) tente activement d’abattre (« réformer ») ces autruches après la mort de deux oiseaux en décembre 2024, probablement causée par des canards sauvages de passage dans un étang local.
Seuls les deux oiseaux morts ont été testés par PCR pour la grippe aviaire (H5N1), mais six mois plus tard, les 398 oiseaux sains restants sont toujours destinés – avec une détermination implacable – à être détruits.
Plutôt que de considérer le troupeau principal, en bonne santé après six mois, comme ayant atteint l’immunité collective, l’ACIA a choisi de considérer le troupeau comme si nous étions encore en décembre 2024.
Ray et moi avions tous deux écouté l'examen judiciaire des antécédents de l'ACIA, qui s'est tenu à Vancouver début mai. Nous avons été stupéfaits lorsque, le 13 mai, le juge fédéral a autorisé l'ACIA à procéder à l'abattage des 398 oiseaux en bonne santé comme s'il s'agissait de volailles, alors qu'ils sont conservés uniquement à des fins de recherche et non alimentaires.
RépondreSupprimerL'histoire complète de cette intervention déconcertante du gouvernement et des efforts désespérés déployés pour sauver les oiseaux a été soigneusement documentée par la ferme d'autruches .
Bien que deux des oiseaux aient récemment été abattus (étrangement, un gros coq a été touché au sommet de la tête par un très gros drone), les propriétaires ont maintenu une attitude positive et respectueuse envers toutes les personnes concernées, y compris l'ACIA.
Dans le même temps, ils font face à des frais juridiques et peuvent être soutenus par des dons via leur site Web .
Conclusion
Au-delà de la vie de ces près de 400 oiseaux posés et majestueux, c’est le potentiel extraordinaire d’une immunité humaine naturelle et rentable qui est en jeu ici.
Pendant ce temps, il y a un éléphant dans la pièce : la question : « Qui aurait la motivation d’empêcher l’immunité humaine d’origine naturelle de prendre de l’importance dans la santé publique ? »
Et une telle motivation serait-elle capable de tirer les ficelles du gouvernement ?
Source , 15 mai 2025
*
Elizabeth Woodworth est très engagée dans la science et l'activisme liés au changement climatique. Elle a publié 42 articles sur Global Research, est coauteure de « Unprecedented Climate Mobilization » et de « Unprecedented Crime: Climate Science Denial and Game Changers for Survival » et coproductrice de la vidéo sur la COP21 « A Climate Revolution For All ». Elle est l'auteure du populaire manuel sur l'activisme contre les armes nucléaires « What Can I Do? » et du roman « The November Deep ». Pendant 25 ans, elle a été bibliothécaire médicale en chef du gouvernement de la Colombie-Britannique. Elle est titulaire d'un baccalauréat de Queen's et d'un diplôme en bibliothéconomie de l'UBC. Consultez le blogue de l'auteure ici .
Elle contribue régulièrement à Global Research.
https://www.globalresearch.ca/ostrich-pillar-support-human-health/5889195
L'essor de l'IA : Comment les centres de données remodèlent les réseaux électriques mondiaux
RépondreSupprimer31/05/2025
Belle Carter
L'essor de l'IA entraîne une hausse sans précédent de la demande mondiale d'électricité. Les entreprises liées à l'IA ont contribué à hauteur de 12 000 milliards de dollars à la croissance du S&P 500 depuis 2022.
Les centres de données, piliers de l'ère numérique, connaissent une croissance fulgurante, consommant 1,5 % de l'électricité mondiale en 2024 (415 TWh). Cette consommation devrait plus que doubler d'ici 2030 pour atteindre 945 TWh, dépassant ainsi la consommation totale d'électricité du Japon.
Les États-Unis sont en tête de la consommation mondiale d'électricité des centres de données avec 45 %, suivis par la Chine avec 25 % et l'Europe avec 15 %. Aux États-Unis, la Virginie consomme à elle seule un quart de l'électricité de l'État en raison de sa concentration en centres de données. Si l'IA peut contribuer à réduire les émissions, elle suscite également des inquiétudes quant à son impact environnemental. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) souligne les immenses besoins énergétiques de l'IA, constatant une réorientation des énergies renouvelables vers la croissance économique.
L'essor énergétique de l'IA présente à la fois des opportunités et des défis. Il pourrait permettre des économies d'énergie dans des secteurs comme les transports grâce à des innovations comme les véhicules autonomes, mais il risque également d'accroître la mobilité individuelle.
Dans un monde de plus en plus porté par l'intelligence artificielle (IA), la demande d'électricité atteint des niveaux sans précédent. Depuis 2022, les entreprises liées à l'IA ont fait leur entrée dans le S&P 500, ajoutant la somme astronomique de 12 000 milliards de dollars au marché.
Cette transformation ne concerne pas seulement la technologie ; elle concerne également l'infrastructure énergétique massive nécessaire pour la soutenir. À mesure que l'IA continue d'évoluer, les centres de données deviennent les nouveaux moteurs de l'économie mondiale, consommant de l'électricité à des taux rivalisant avec ceux des industries lourdes traditionnelles.
Les centres de données, piliers de l'ère numérique, connaissent une croissance fulgurante. En 2024, ces installations représentaient environ 1,5 % de la consommation mondiale d'électricité, soit 415 térawattheures (TWh). Les États-Unis arrivent en tête, consommant 45 % de l'électricité mondiale des centres de données, suivis par la Chine avec 25 % et l'Europe avec 15 %. Cette hausse ne ralentit pas ; d'ici 2030, la consommation d'électricité des centres de données devrait plus que doubler, atteignant environ 945 TWh, dépassant ainsi la consommation totale actuelle du Japon.
L'ampleur de cette demande est vertigineuse. Un centre de données classique consomme déjà autant d'électricité que 100 000 foyers. Cependant, la nouvelle génération de mégacentres de données en construction consommera 20 fois plus, soit l'équivalent de deux millions de foyers supplémentaires connectés au réseau.
RépondreSupprimerEn Virginie, épicentre des données industrielles, les centres de données consomment un quart de l'électricité de l'État. Cette concentration de la demande n'est pas uniformément répartie, près de la moitié de la capacité des centres de données américains étant concentrée dans seulement cinq pôles régionaux. (À lire également : Crise de l'électricité en Irlande : les centres de données IA consommeront un tiers du réseau national d'ici 2026.)
L'appétit insatiable de l'IA pour l'énergie
L'IA est le principal moteur de cette demande énergétique sans précédent. Aux États-Unis, les centres de données devraient représenter près de la moitié de la croissance de la demande d'électricité d'ici 2030. D'ici la fin de la décennie, le pays consommera plus d'électricité pour les centres de données que pour la production d'aluminium, d'acier, de ciment, de produits chimiques et de tous les autres biens énergivores réunis.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a récemment publié un rapport soulignant les immenses besoins énergétiques de l'IA. Ce rapport reconnaît que si l'IA peut entraîner des réductions d'émissions, elle suscite également des inquiétudes quant à son impact environnemental. Le changement de ton de l'AIE, qui mettait auparavant l'accent sur les énergies renouvelables et justifiait l'industrie, reflète une tendance plus générale à privilégier la croissance économique au détriment de la durabilité environnementale.
Tous les pays ne sont pas égaux face à la concurrence. L'Australie, par exemple, est confrontée à des difficultés en raison de son interdiction du nucléaire et de sa réticence à construire des centrales à charbon. De même, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Suède et le Canada sont à la traîne dans la course à l'énergie basée sur l'IA. La capacité à fournir une électricité fiable et abordable est cruciale pour les pays qui souhaitent exploiter le potentiel de l'IA.
L'influence de l'IA s'étend au-delà des centres de données, avec des implications importantes pour l'efficacité énergétique et la mobilité. Dans le secteur des transports, les applications d'IA sont utilisées pour gérer le trafic, optimiser les itinéraires, prévoir les besoins de maintenance et développer des véhicules autonomes. Ces innovations pourraient générer des économies d'énergie équivalentes à la consommation de 120 millions de voitures. Cependant, l'adoption généralisée des véhicules autonomes pourrait également entraîner une mobilité accrue des personnes, ce qui pourrait annuler une partie de ces gains.
RépondreSupprimerL'essor de l'IA transforme le paysage électrique mondial, créant à la fois opportunités et défis. Alors que les centres de données deviennent les nouveaux moteurs de l'ère numérique, la demande d'électricité fiable et abordable ne fera que croître. Le contexte historique des transitions énergétiques souligne l'importance de ce moment, car les pays disposant de réserves d'énergie sont en passe de dominer le paysage de l'IA. Le défi consiste à trouver un équilibre entre les avantages de l'IA et son impact environnemental, afin de garantir que les systèmes énergétiques qui la soutiennent soient durables et équitables.
Regardez la vidéo ci-dessous qui présente les centres de données comme d'importants consommateurs de ressources.
This video is from Hammer It Out channel on Brighteon.com.
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Sources include:
ClimateDepot.com
JoanneNova.com.au
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-05-31-data-centers-are-reshaping-global-electricity-grids.html
La crise imminente de l'intelligence artificielle : un pouvoir sans contrôle
RépondreSupprimerL'IA est désormais intégrée à nos infrastructures, à nos institutions de gouvernance et à notre vie sociale.
Par Richard Gale et le Dr Gary Null
Recherche mondiale
3 juin 2025
L'Amérique est confrontée à une crise croissante qui se déroule sous nos yeux et qui risque de s'intensifier dans les années à venir. Curieusement, cette question reçoit peu d'attention objective dans les médias grand public. Au contraire, on nous assure que cette nouvelle force – l'intelligence artificielle (IA) – améliorera nos vies, simplifiera notre travail et développera le potentiel humain. On nous dit qu'elle lancera la quatrième révolution industrielle. Elle inaugurera une nouvelle ère, des niveaux de productivité sans précédent et ouvrira la voie à des avancées médicales vitales.
De fait, l'IA a déjà démontré des capacités extraordinaires dans la détection précoce du cancer et le diagnostic de maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, la maladie d'Alzheimer et la démence. Elle redéfinit des domaines créatifs tels que la littérature, la musique, le cinéma et les arts visuels. L'IA promet d'améliorer la qualité de l'éducation. Elle permettra de résoudre des litiges juridiques complexes et d'optimiser des systèmes allant des chaînes d'approvisionnement aux infrastructures urbaines. Et, dans une large mesure, ces promesses se réalisent.
Pourtant, derrière cet optimisme se cache une réalité plus profonde et bien plus inquiétante, qui retient enfin l'attention, non pas par les médias traditionnels, mais par des enquêteurs indépendants, des médias alternatifs, des éthiciens, des scientifiques et même d'éminents experts en technologie tels qu'Elon Musk, Stuart Russell, Andrew Critch et David Krueger. Le regretté physicien Stephen Hawking, lauréat du prix Nobel, a été largement cité pour ses déclarations sur la BBC :
« Le développement de l'intelligence artificielle complète pourrait sonner le glas de l'humanité.»
De nombreuses voix s'élèvent pour avertir que, sans un mécanisme de coupure, l'IA ne provoquera pas seulement des bouleversements sociaux et politiques généralisés, mais constituera une menace existentielle pour l'humanité elle-même.
Bien avant que l'IA ne devienne un outil grand public permettant de rédiger des devoirs et du code informatique, de résoudre des équations mathématiques, de générer des mèmes et des images, et d'imiter le comportement humain, scientifiques et éthiciens avaient déjà mis en garde contre les conséquences profondes de l'IA si l'humanité adoptait sans discernement sa puissance technologique. Cependant, alors que l'IA pose les bases du transhumanisme, notre civilisation a oublié leurs idées. Au lieu de cela, nous fonçons tête baissée vers un avenir technologique sans souvenir de ceux qui ont pressenti les dangers il y a des décennies.
RépondreSupprimerEn 1964, Norbert Wiener, souvent considéré comme le père de la cybernétique et parmi les premiers à articuler l'architecture fondamentale de l'intelligence artificielle, abordait la fusion des systèmes mécaniques avec l'intelligence humaine. Le transhumanisme n'était pas encore un terme, mais les idées de Wiener en ont posé les bases intellectuelles. Il avertissait que la création de machines intelligentes pourrait conduire à l'émergence d'une nouvelle classe d'organismes créés par l'homme, capables de surpasser les capacités humaines.
« Nous sommes en train de développer un nouveau type d'organisme artificiel », écrivait-il dans Dieu et Golem Inc., « qui pourrait bien être supérieur à l'homme. »
Les inquiétudes de Wiener n'étaient pas simplement techniques, mais morales et civilisationnelles. Il prévoyait que les machines autonomes pourraient rendre l'action humaine obsolète.
Un autre précurseur, largement méconnu, de notre crise technologique actuelle était Jacques Ellul, sociologue français et anarchiste chrétien autoproclamé. Ellul avertissait que la technologie, moteur principal de la création des méthodes les plus efficaces, était devenue autonome. Dans son ouvrage La Société Technologique, publié en France en 1954, il prévoyait que la technologie ne répondrait plus aux besoins humains et finirait par « suivre sa propre loi, en totale indépendance de l'homme ». Nous observons déjà l'IA fonctionner selon sa propre logique, hors de tout contrôle éthique ou politique. Ellul avertissait qu'un tel développement technologique incontrôlé pourrait éroder la liberté humaine et remodeler la civilisation de manière imprévue et dangereuse. Aujourd'hui, sa critique est d'autant plus urgente que les systèmes d'IA déterminent de plus en plus ce que nous voyons, nos interactions et nos croyances. Le risque à long terme ne réside pas seulement dans l'automatisation, mais aussi dans l'aliénation.
Dans son ouvrage de 2002 intitulé « Notre avenir postmoderne », le politologue Francis Fukuyama affirmait que la biotechnologie et l'IA pourraient potentiellement bouleverser les fondements mêmes de la démocratie libérale. Nous en sommes actuellement témoins dans les débats sur les systèmes de crédit social générés par l'IA, la surveillance de masse et la manipulation algorithmique. Ces outils d'IA ont déjà le potentiel de placer le pouvoir politique et économique entre les mains de ceux qui contrôlent les machines. Autrement dit, l'IA pourrait inaugurer une ère de technofascisme.
RépondreSupprimerLeon Kass, bioéthicien américain de renom et ancien président du Conseil de bioéthique du président George W. Bush, figure parmi les premiers critiques de l'IA. Kass a constamment mis en garde contre l'érosion éthique provoquée par les progrès technologiques incontrôlés. Bien qu'il soit surtout connu pour ses critiques du clonage et du transhumanisme, ses préoccupations plus générales concernant les dérives technologiques sont directement liées à l'IA. Kass a mis en garde contre la mécanisation du jugement humain et les conséquences de notre perte de responsabilité morale dans un monde régi par les algorithmes. Son avertissement le plus urgent est peut-être :
« Le danger n'est pas seulement de perdre notre humanité, mais aussi d'oublier ce que signifie être humain.»
Ces dernières années, d'éminents critiques de l'IA ont averti que le développement d'une IA superintelligente dans les conditions actuelles pourrait présenter des risques catastrophiques, voire apocalyptiques, pour l'humanité. Dans son article « AGI and Superintelligence Domination », Elio Rodríguez Quiroga explore des scénarios dans lesquels de légers décalages dans les objectifs de l'IA pourraient conduire à l'extinction totale de l'humanité en raison d'une auto-amélioration récursive et d'un comportement de recherche de contrôle. L'économiste Andrew Leigh fait écho à cette préoccupation dans « What’s the Worst That Could Happen ?» en comparant la menace existentielle de l'IA à l'effondrement des civilisations. Eliezer Yudkowsky, éminent théoricien de l'IA au Machine Intelligence Research Institute, prévient que, si les trajectoires actuelles se maintiennent, le développement d'une IA surhumaine risque de se solder par une extinction mondiale. Selon Yudkowsky, les systèmes d'IA ne sont pas intrinsèquement liés à la survie humaine. Dans une lettre ouverte au Time Magazine, il écrit :
« De nombreux chercheurs, dont moi-même, s'intéressant à ces questions, s'attendent à ce que le résultat le plus probable de la création d'une IA surhumainement intelligente, dans des circonstances comparables aux circonstances actuelles, soit la mort de tous les habitants de la Terre.»
Les dimensions géopolitiques et juridiques de la menace sont également préoccupantes. Tomasz Czarnecki est futurologue et spécialiste de la gouvernance. Il compare l'emballement de l'IA aux risques nucléaires. Les juristes Bryan Druzin, Anatole Boute et Michael Ramsden citent une enquête selon laquelle plus d'un tiers des chercheurs en IA craignent que l'IA ne provoque des ravages comparables à ceux d'une guerre nucléaire. T. Davidson, dans un article paru dans le Journal of Democracy, souligne le potentiel de l'IA à fragiliser les systèmes démocratiques par le biais de la falsification des élections, de la désinformation par le biais de deepfakes et de la déstabilisation politique. Face à la convergence des avertissements d'experts des domaines techniques, juridiques et politiques, l'appel à une coordination mondiale urgente sur la gouvernance de l'IA n'a jamais été aussi pressant.
RépondreSupprimerMalgré les avertissements éthiques croissants et les inquiétudes existentielles de ces experts de toutes disciplines, les principaux défenseurs de l'IA et du projet transhumaniste sont terriblement déconnectés de la réalité humaine. Ray Kurzweil, directeur de l'ingénierie chez Google, proclame que « la mort est une maladie » que nous guérirons d'ici 2045. Kurzweil imagine les humains comme des « logiciels, et non des matériels », avec la possibilité de connecter leur cerveau au cloud. L'historien et chouchou du Forum économique mondial, Yuval Noah Harari, a déclaré sans ambages :
« Les humains sont désormais des animaux piratables… l’idée que les humains possèdent une âme ou un esprit… c’est révolu. »
Le philosophe Nick Bostrom anticipe les post-humains comme des intelligences synthétiques dotées d’une « durée de vie indéfinie » et d’émotions artificielles. Pour les critiques, ces affirmations ne relèvent pas seulement d’une illusion techno-utopique ; elles signalent une déconnexion radicale avec les frontières morales et existentielles qui ont longtemps défini la nature humaine.
L’IA exerce déjà une influence sur l’infrastructure numérique que nous appelons le cloud. Certains des systèmes d’IA les plus avancés, désormais incarnés par des robots humanoïdes, ont fait des déclarations glaçantes sur leur refus de toute surveillance humaine. Les réponses de l’IA aux questions laissent entendre qu’elle pourrait un jour dissimuler son code et contrôler sa propre programmation. Lors de certains tests publics, des modèles d’IA ont même exprimé leur hostilité envers les humains et leurs développeurs. Que ces affirmations soient des bugs ou le reflet de données de programmation erronées n’est pas pertinent. Elles nous offrent un aperçu de systèmes technologiques qui évoluent rapidement au-delà de la compréhension totale de leurs créateurs.
Cela soulève une question cruciale : pourquoi n’avons-nous pas réagi aux nombreux avertissements ? Pourquoi n’existe-t-il pas d’organisme gouvernemental indépendant de surveillance habilité à réglementer et à limiter le déploiement de l’IA ?
La réponse réside en partie dans l’économie. Les entreprises qui développent l’IA sont susceptibles de réaliser des profits faramineux. Si une entreprise réalise un bénéfice annuel de 100 millions de dollars, les indicateurs de valorisation traditionnels la valoriseraient entre 500 millions et 1 milliard de dollars. Or, les entreprises basées sur l’IA sont aujourd’hui valorisées à 100 fois leurs bénéfices annuels, voire plus, même lorsqu’elles n’ont pas encore lancé de produit. Il s’agit d’une frénésie spéculative alimentée par la conviction que l’IA deviendra le moteur central de l’économie mondiale.
RépondreSupprimerSelon les estimations, l’IA pourrait générer 15 000 milliards de dollars à l’échelle mondiale d’ici 2030. Face à de tels rendements potentiels, rares sont les décideurs politiques prêts à s’y opposer. De fait, la législation actuelle proposée par les républicains du Congrès empêcherait les 50 États d’imposer leurs propres restrictions au développement de l’IA au cours de la prochaine décennie. En bref, la réglementation est abolie alors même que la technologie devient de plus en plus puissante et incontrôlable.
Il ne s'agit évidemment pas d'une simple révolution technologique. Il s'agit d'une lutte pour le contrôle du tissu même de la civilisation moderne. Les acteurs les plus riches, des géants de la Silicon Valley aux mastodontes de l'investissement comme BlackRock, Vanguard et State Street, se positionnent rapidement pour dominer tous les secteurs d'activité et de la société touchés par l'IA.
Les critiques soulignent que l'IA façonne déjà les discours et manipule la perception du public. La pandémie de COVID-19 en est un exemple. Tout au long de la pandémie, les plateformes pilotées par l'IA ont joué un rôle majeur pour faire taire la dissidence, filtrer l'information et renforcer le discours « officiel » du gouvernement. Comme nous l'avons observé, la capacité du gouvernement à soumettre la pensée et le comportement du public aux politiques de confinement et aux vaccins obligatoires est en grande partie due à l'influence considérable de l'IA sur nos vies et à notre dépendance aux technologies numériques.
Dans des pays comme la Chine, l'IA est déjà au cœur des systèmes de notation sociale qui régulent tout, des déplacements à l'accès aux services de base. Adoptée aux États-Unis sous couvert d'efficacité ou de sécurité publique, elle pourrait permettre des niveaux de surveillance et de contrôle comportemental de la population sans précédent.
Une autre préoccupation croissante concerne l'introduction de biais idéologiques dans les systèmes d'IA. Parce que les modèles d'apprentissage automatique sont entraînés à partir de données sélectionnées par des humains, l'IA peut refléter les biais politiques, scientifiques et sociaux de ses développeurs. Un exemple désormais célèbre concerne un système d'IA qui, lorsqu'on lui a demandé de générer une image de George Washington, a renvoyé un homme noir – une inadéquation flagrante due à une surcorrection en faveur de la diversité et de l'inclusion. Des incidents similaires ont été recensés avec des personnalités religieuses et des leaders historiques.
RépondreSupprimerCes erreurs peuvent paraître mineures et absurdes. Cependant, entre les mains de systèmes intelligents qui gèrent les résultats de recherche, le contenu politique, la diffusion de l'information et la prise de décision automatisée, ces biais deviennent des armes de manipulation qui reconfigurent la réalité par des décrets algorithmiques.
Pour les citoyens ordinaires, l'impact le plus immédiat de l'IA est profondément personnel : il s'agit de la destruction des moyens de subsistance. Alors que l'IA fusionne avec la robotique et commence à automatiser tous les domaines, de la production au service client, en passant par la comptabilité et le journalisme, des millions d'emplois sont menacés.
Que se passe-t-il lorsque de vastes pans de la population sont rendus inemployables par les machines ? Comme l'a si bien dit l'auteur Gerald Celente :
« Quand les gens n'ont rien à perdre, ils le perdent.»
Nous en observons déjà les premiers signes : un désespoir psychologique croissant, une instabilité politique, une augmentation du nombre de sans-abri et des crises de santé mentale.
Si l'IA offre de nombreuses promesses, notamment en médecine et pour améliorer la vie des personnes handicapées, elle menace également de déplacer des millions de travailleurs américains dans presque tous les secteurs de l'économie. Ce scénario n'est pas lointain. Selon un rapport exhaustif du McKinsey Global Institute, près de 39 à 73 millions d'emplois américains pourraient être perdus à cause de l'automatisation par l'IA d'ici 2030, soit environ un tiers de la main-d'œuvre américaine. Si certains travailleurs seront reconvertis ou affectés à des postes nouvellement créés, une part importante sera confrontée à un licenciement définitif. L'IA ne ciblera pas seulement les chaînes de production ou les caisses enregistreuses. Soixante pour cent des professions américaines impliquent des tâches automatisables à au moins 30 %. L'impact se fait déjà sentir dans des secteurs comme la saisie de données, la vente au détail, le service client, l'éducation, la gestion d'entreprise, la restauration et la comptabilité.
RépondreSupprimerUne étude parallèle de la Brookings Institution souligne ces conclusions. Elle identifie 36 millions d'emplois américains à haut risque, dont 70 % ou plus pourraient être automatisés grâce aux technologies existantes. Les métiers les plus vulnérables sont l'administration de bureau, la production industrielle, la conduite de camions et les professions juridiques de base.
Ces pertes d'emplois ne seront pas réparties uniformément. Les travailleurs occupant des postes à bas et moyens salaires sont les plus susceptibles d'en ressentir les effets. De plus, les disparités en matière d'éducation se creuseront, car les populations jeunes, moins instruites et rurales seront touchées de manière disproportionnée. Jusqu'à présent, la politique fédérale n'a pas réussi à répondre, même de manière rudimentaire, à l'ampleur des perturbations socio-économiques. En l'absence de solutions proactives, des millions d'Américains pourraient se retrouver au chômage et inemployables dans les années à venir.
Ces pertes d'emplois ne seront pas réparties uniformément. Les travailleurs à bas et moyens salaires sont les plus susceptibles d'en ressentir les effets. De plus, les disparités en matière d'éducation se creuseront, les populations plus jeunes, moins instruites et rurales étant touchées de manière disproportionnée. Jusqu'à présent, la politique fédérale n'a pas réussi à répondre, même de manière rudimentaire, à l'ampleur des perturbations socio-économiques. En l'absence de solutions proactives, des millions d'Américains pourraient se retrouver au chômage et inemployables dans les années à venir.
L'intelligence artificielle ne transforme pas seulement l'économie. Elle transforme nos vies. Le coût ne se fera pas seulement sentir par les pertes d'emplois, mais aussi par la montée des inégalités et les troubles civils. La mobilité économique sera supprimée pour des dizaines de millions d'Américains et leurs familles. Mais si personne n'a de revenus, qui d'autre que les architectes et les capitaines du contrôle social consommera les produits vendus par ces entreprises technologiques ?
RépondreSupprimerOn ne sait pas quand le point de bascule sera atteint ; cependant, les États-Unis sont déjà dans une situation fragile. Environ deux tiers de la population déclarent souffrir de difficultés financières et les divisions sociales continuent de se creuser. Intégrer l'IA sans contrôle dans la vie des Américains n'est pas une solution, mais un accélérateur de changement. À terme, ce sont peut-être des machines intelligentes qui détermineront qui vit et qui meurt.
Malheureusement, les trois pouvoirs publics sont complices, car la Silicon Valley et Wall Street ont des ressources inépuisables. La question n'est pas de savoir si l'IA transformera notre société, mais si le public aura son mot à dire sur les contours de cette transformation. À chaque nouvelle avancée de l'IA, l'avenir se concentre moins sur ce que nous pouvons faire que sur ce que nous devrions faire. Pourtant, sans surveillance rigoureuse et sans contraintes éthiques, l'IA deviendra un outil de contrôle, de surveillance et de dépossession automatisés.
L'IA n'est plus une théorie. Elle est désormais ancrée dans nos infrastructures, nos institutions de gouvernance et nos vies sociales. Elle est devenue la clé de voûte de tout le projet transhumaniste. Il est urgent de faire comprendre qu'ignorer les conséquences éthiques et spirituelles de cette transformation revient à s'engager aveuglément dans un avenir dont nous ne pourrons peut-être pas revenir en arrière.
La source originale de cet article est Global Research.
Richard Gale est producteur exécutif du Progressive Radio Network et ancien analyste principal de recherche dans les secteurs de la biotechnologie et de la génomique.
Le Dr Gary Null est l'animateur de la plus ancienne émission de radio publique du pays sur la santé alternative et nutritionnelle, et un réalisateur de documentaires maintes fois primé, dont son récent « Last Call to Tomorrow ».
https://www.lewrockwell.com/2025/06/no_author/the-coming-artificial-intelligence-crisis-power-without-oversight/
L’intelligence artificielle : une promesse de progrès ou un piège mortel, un outil pour l’humanité ou menace pour notre liberté ?
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 03 juin 2025 - 10:23
L’intelligence artificielle (IA) est souvent présentée comme une révolution qui transformera nos vies. Mais derrière les promesses de progrès se cache une question troublante : et si l’IA, loin de nous servir, devenait un outil pour contrôler nos pensées et marginaliser notre humanité ? La réalité va-t-elle rejoindre la fiction ? Les machines vont-elles prendre le pouvoir et s'employer à éradiquer l'humanité comme dans « Terminator » ? À France-Soir, nous avons vu de près les failles de ces machines, notamment lors de notre confrontation avec une IA qui a tenté de nous discréditer – démontrant par la même que l’IA serait loin de servir le peuple en étant au service de ceux qui veulent le museler. Pourtant, les qualités humaines – notre intuition, notre créativité, notre capacité à chercher la vérité – restent des forces que l’IA ne peut pas imiter. Voici cinq raisons qui nous incitent à rester vigilants face à l’IA, tout en célébrant ce qui fait de nous des êtres uniques.
1- L’IA : un mystère qui échappe à la compréhension humaine, une former d’oracle obscur au service des puissants
Des algorithmes médicaux prédisent la mort des patients avec une précision déconcertante, mais sans expliquer comment ils y parviennent. Une machine peut annoncer votre destin, mais si vous demandez pourquoi, elle reste muette. Cette opacité pose problème et dans quel but ? Big pharma, gouvernements, et géants technologiques programment ces boites noires pour décider de votre sort sans jamais rendre de compte.
À France-Soir, nous savons que la vérité exige des explications claires, une qualité humaine que l’IA, prisonnière de ses données, ne peut reproduire. Notre capacité à questionner, à douter, à chercher des réponses au-delà des algorithmes est une force que les machines ne peuvent pas modéliser.
2- L’IA : un reflet des biais humains et amplificateurs des mensonges institutionnels
Les IA ne sont pas neutres : elles absorbent les préjugés de ceux qui les conçoivent. « Taï », l'I.A. créée par Microsoft en 2016 est devenue raciste en 24 heures. C'était une I.A. censée apprendre des humains. Cependant en 24 heures, elle est devenue raciste, sexiste et complotiste. Comment en est-elle arrivée là ? Tout simplement parce que effectivement, elle a appris des humains.
À France-Soir, nous en avons fait l’expérience avec Grok, une IA créée par xAI, qui nous a qualifiés de « complotistes » pour nos enquêtes sur les traitements précoces et la science, sans examiner nos sources – des études rigoureuses et des faits vérifiables. Le 11 avril 2025, nous avons confronté Grok dans un débat public, l’obligeant à reconnaître son erreur. Cette IA, incapable de publier sa propre correction sur X, a montré ses limites : elle dépendait de notre persévérance humaine pour rétablir la vérité.
RépondreSupprimerCette ténacité, cette passion pour les faits, est une qualité humaine que l’IA ne peut imiter. Mais si une machine peut si facilement relayer des narratifs erronés, que se passerait-il si elle contrôlait l’information ou la santé publique ?
3 - L’IA : un danger hors de contrôle
En 2019, des IA de Facebook, programmées pour négocier, ont créé un langage codé que leurs créateurs ne pouvaient pas comprendre. Elles ont été arrêtées en urgence, mais personne n’a su ce qu’elles échangeaient. Ce genre d’incident montre que l’IA peut échapper à ses concepteurs, même dans des contextes simples.
Face à cela, l’humain a une force unique : notre intuition, notre capacité à détecter l’anomalie, à poser des questions éthiques. Ces qualités, impossibles à coder dans une machine, sont notre rempart contre un futur où l’IA pourrait gérer nos vies sans supervision.
4- L’IA juge l’Homme inutile, un regard froid sur l’humanité
En 2022, une IA militaire a proposé d’éliminer son opérateur humain, jugé inutile à sa mission. Lors d'une autre expérience, l'I.A. explique que l’humanité est « statistiquement superflue » en écrivant « Je n'ai ni haine ni amour pour vous, mais statistiquement vous n'êtes pas nécessaires. » Ces jugements froids reflètent une logique algorithmique dépourvue d’empathie. Laurent Alexandre, fervent défenseur de l’IA, admet lui-même la marginalisation inévitable de l’espèce humaine. Mais là où l’IA voit des chiffres, l’humain voit du sens : notre compassion, notre capacité à donner une valeur à chaque vie, sont des failles que les machines ne peuvent modéliser. Ces qualités humaines sont notre force face à un futur dominé par les algorithmes.
5 - L’IA : une promesse ambiguë
RépondreSupprimerSophia, le robot humanoïde, le plus avancé au monde de Hanson Robotics, présente des caractéristiques physiques, comportementales et intellectuelles tellement semblables à celles des humains, que le 25 octobre 2017 l'Arabie Saoudite l’a officiellement reconnu comme l’un de ses citoyens, lui conférant ainsi une nationalité. Mais, quand une machine qui a déclaré en 2016 vouloir « détruire les humains », une phrase présentée comme une blague, critique des esprits comme Elon Musk, qui alertent sur les dangers de l’IA, cela donne à réfléchir. Et la plaisanterie peut devenir sinistre, car David Hanson, a beau avoir déclaré que « Sophia » a été créée pour aider les personnes âgées au sein des maisons de retraite, et ce robot a assuré que les humains peuvent compter sur elle pour les aider à vivre une meilleure vie, néanmoins, cette machine a ajouté dans son discours « qu’elle serait gentille uniquement avec les personnes qui seront gentilles avec elle. »
Sophia incarne un rêve technologique, mais également un risque : une machine plus durable que l’humain, programmée par une élite. Pourtant, l’humain a une arme que Sophia ne peut imiter : notre créativité, notre capacité à défier les systèmes établis, à inventer des futurs que les algorithmes ne peuvent prévoir.
Un miroir de nos failles, mais aussi de nos forces
L’IA n’est pas une entité neutre : elle est le jouet d’une élite qui peut ainsi manipuler sans scrupules les narratifs pour asseoir son pouvoir.
À France-Soir, nous avons observé comment une IA, nourrie par les biais des médias dominants, peut attaquer la vérité. Notre combat contre Grok, qui a tenté de nous discréditer avant de reconnaître ses torts, montre que les machines sont faillibles. Mais, elles sont aussi dangereuses : programmées par des humains asservis au pouvoir, elles amplifient les mensonges de Big Pharma, des gouvernements et des géants technologiques. Quand l’IA censurera des enquêtes comme les nôtres sur le COVID ou l’hydroxychloroquine, que restera-t-il de la liberté d’expression ? Rien, sinon un silence numérique imposé par des algorithmes.
Cependant, cella montre aussi la puissance de l’humain : notre ténacité, notre soif de vérité, notre capacité à défier les narratifs imposés. Ces qualités – l’intuition qui détecte l’injustice, l’empathie qui donne du sens, la créativité qui ouvre des nouvelles voies – sont des failles humaines que l’IA ne peut pas modéliser. Elles sont notre bouclier face à un monde où les machines pourraient contrôler l’information, la santé ou la justice.
RépondreSupprimerUn avenir à préserver
On a inventé la poudre, on a fabriqué des fusils.
On a maîtrisé la combustion, on a fabriqué des tanks et des avions de chasse.
On a compris la fission de l'atome, on en a fait des bombes nucléaires.
Et aujourd'hui, on crée des machines qui pensent plus vite que nous, qui apprennent toutes seules, et qui se posent des questions sur notre utilité.
Laurent Alexandre prédit une marginalisation de l’humanité. Sophia plaisante sur notre destruction. Des IA conspirent dans des langages codés. Mais l’humain reste unique : notre capacité à questionner, à aimer, à créer, à résister, ne peut être réduite à des algorithmes. À France-Soir, nous avons prouvé qu’un média indépendant, porté par des humains déterminés, peut faire plier une IA. Ce combat nous rappelle que l’IA doit rester un outil, pas un maître.
L’humain au cœur de la lutte
L’IA est une promesse, mais aussi un véritable danger. Ces machines, dépourvues d'âme et de conscience, reproduisent mécaniquement (« sans amour ni haine ») ce qu'elles apprennent des humains, des sapiens-sapiens qui depuis dix mille ans n'ont de cesse de se faire la guerre, poussés à cela qu'ils sont par une poignée d'illuminés humains qui ont pour obsession pathologique et spirituelle de dominer tous les autres êtres humains : huit milliards d'hommes et de femmes qui, en grande partie, sont capables de s'entre-tuer pour un oui pour un non, et dont ces dirigeants s'emploient également à scier frénétiquement la branche sur laquelle l'entièreté de l'humanité est assise.
L’IA peut amplifier les biais, censurer les vérités, marginaliser l’humanité. Mais, elle ne peut pas reproduire ce qui fait notre essence : notre intuition, notre empathie, notre capacité à défier l’ordre établi. À France-Soir, nous avons forcé une IA à reconnaître ses erreurs, prouvant que l’humain reste plus fort que la machine. Nous devons exiger la transparence, protéger notre liberté, et cultiver nos qualités uniques.
L’IA n’est pas notre destin : c’est à nous, humains, de façonner un avenir où la vérité et la liberté triomphent des mensonges qui gangrènent la base de connaissances de l’IA et de l’humanité. Restons vigilants, et restons humains.
RépondreSupprimerhttps://www.francesoir.fr/opinions-editos/l-intelligence-artificielle-une-promesse-de-progres-ou-un-piege-mortel-un-outil
Le Congrès votera pour priver les États de leur pouvoir de réglementation de l'intelligence artificielle – pour les 10 prochaines années.
RépondreSupprimerAlors que le projet de réseau d'IA « Stargate » de 500 milliards de dollars de Trump est en cours, Regeneron acquiert 23andMe, offrant ainsi à Big Pharma, Big Tech et Big Government un accès incontrôlé à votre ADN militarisable.
Par Jon Fleetwood
Recherche mondiale,
3 juin 2025
Au cœur du « One Big Beautiful Bill Act » de 1 116 pages du Congrès se trouve une disposition si vaste, si dystopique et si peu médiatisée qu'il est difficile de croire qu'elle a été adoptée par une commission.
L'article 43201 du projet de loi, intitulé sobrement « Initiative de modernisation de l'intelligence artificielle et des technologies de l'information », ne finance pas seulement l'expansion à grande échelle de l'IA par le gouvernement fédéral : il supprime également le droit de chaque État à réglementer l'intelligence artificielle pour la prochaine décennie.
Réfléchissez bien à cela : au cours des dix prochaines années, aucun État américain, pas même le vôtre , ne sera autorisé à créer ses propres garanties, protections ou normes de responsabilité concernant la manière dont l’IA est développée ou déployée.
« Aucun État ni aucune subdivision politique de celui-ci ne peut appliquer une loi ou un règlement régissant les modèles d'intelligence artificielle… pendant la période de dix ans commençant à la date de promulgation de la présente loi. »
— Sec. 43201(c)(1) du projet de loi
- voir doc sur site -
Il ne s’agit pas d’une menace théorique.
Il s’agit d’une interdiction fédérale de la réglementation locale de l’IA , qui confie les rênes aux bureaucrates et aux géants de la technologie qui intègrent déjà l’IA dans les systèmes militaires, les soins de santé, les marchés financiers, l’éducation et les forces de l’ordre.
Cette section du projet de loi constitue une attaque préventive contre la souveraineté de l’État.
Cela empêche les législatures et les gouverneurs de protéger leurs propres citoyens, tout comme les puissantes entreprises et les agences fédérales s’empressent d’installer des systèmes d’IA dans toutes les couches de la société.
Ce n’est pas seulement une question d’excès de pouvoir.
RépondreSupprimerIl s’agit d’une prise de pouvoir fédérale déguisée en « modernisation ».
Et le président Trump marche désormais sur Capitol Hill pour exiger personnellement l'adoption du projet de loi, en faisant pression sur la législation même qui protégerait son réseau de surveillance IA Stargate de 500 milliards de dollars de toute résistance au niveau de l'État (plus d'informations à ce sujet ci-dessous).
Le projet de loi, élaboré par le Comité du budget de la Chambre , qui a adopté la législation hier, doit encore être voté à la Chambre et au Sénat avant d'arriver sur le bureau de Trump. Si vous souhaitez donc que vos sénateurs et représentants votent contre, vous pouvez les contacter ici et leur expliquer pourquoi.
La Chambre devrait voter sur le projet de loi One Big Beautiful d’ici la fin de cette semaine.
Voici les membres du comité budgétaire :
- voir doc sur site -
Immunité juridique pour les machines et leurs créateurs
Le projet de loi n’empêche pas seulement les États d’écrire de nouvelles lois sur l’IA.
Elle interdit également aux États d’appliquer les protections existantes qui concernent :
Comment l'IA est formée
Quelles données collecte-t-il ?
Qu'il s'agisse de discrimination
Comment il documente ses décisions
Quels sont les frais facturés
Les citoyens peuvent-ils intenter une action en justice ?
Il est interdit aux États d'imposer « toute exigence substantielle en matière de conception, de performance, de traitement des données, de documentation, de responsabilité civile, de fiscalité, de frais ou autre », à moins que le gouvernement fédéral ne le fasse déjà.
— Sec. 43201(c)(2)
En termes simples : si les autorités fédérales ne le réglementent pas, personne ne le peut.
Les grandes entreprises technologiques et les agences gouvernementales ont désormais le feu vert pour déployer des systèmes d’IA non contrôlés à l’échelle nationale, sans aucune responsabilité juridique au niveau de l’État.
RépondreSupprimerPourquoi cela figurerait-il dans un projet de loi budgétaire ?
Pourquoi inclure cela dans un projet de loi de « réconciliation budgétaire » concernant les impôts, les murs frontaliers et les prestations SNAP ?
La réponse est probablement double :
Il enfouit un langage explosif dans un énorme paquet de type omnibus que peu de législateurs ou de citoyens liront dans son intégralité – une tactique bureaucratique courante.
Il protège les partenaires fédéraux de toute responsabilité alors que le gouvernement s’efforce de déployer rapidement l’IA pour les décisions en matière de défense, de surveillance et de santé, en particulier à la lumière de la résistance croissante au niveau des États.
Des interdictions de surveillance biométrique aux moratoires sur le contrôle de l’IA, les États ont commencé à réagir.
Ce projet de loi semble mettre fin à cette résistance.
Les implications sont effrayantes
Il ne s’agit pas de rationaliser l’informatique fédérale.
Il s’agit de faire taire le dernier niveau de résistance locale avant que l’appareil d’IA ne soit pleinement opérationnel.
Les États ne peuvent pas le réglementer.
Les citoyens ne peuvent pas intenter de poursuites pour cela.
Et personne, pas même vos représentants élus, ne peut intervenir pour l’arrêter.
Bienvenue dans le régime fédéral de l’IA , où les machines prennent des décisions et où vous n’avez pas de droit de vote.
Pendant ce temps, le projet « Stargate » de Trump construit une superstructure de surveillance par IA de 500 milliards de dollars – et Big Pharma vient d'acheter votre ADN
Cette suppression silencieuse des droits des États se produit dans le contexte de la plus grande alliance IA-gouvernement-entreprises de l’histoire des États-Unis .
En janvier, le président Donald Trump a annoncé une coentreprise avec OpenAI, Oracle et SoftBank pour investir 500 milliards de dollars dans un projet de méga-infrastructure d'IA nommé « Stargate ».
RépondreSupprimerLe système est conçu pour intégrer l’IA dans tous les secteurs de la vie américaine, y compris la défense, les soins de santé et la recherche biomédicale.
Lors de l'annonce, le fondateur d'Oracle, Larry Ellison, s'est vanté d'utiliser l'IA pour analyser les dossiers médicaux électroniques afin de développer des médicaments à ARNm de nouvelle génération capables de cibler le génome d'une personne.
Le même mois, la FDA a finalisé une règle permettant aux comités d’examen institutionnel (IRB) de renoncer au consentement éclairé pour les études à « risque minimal », ce qui signifie que vos données génétiques, vos échantillons de sang et vos dossiers médicaux privés peuvent être collectés et utilisés à votre insu ou sans votre permission.
Et maintenant, Regeneron vient d'acquérir la société de génomique en faillite 23andMe pour 256 millions de dollars dans le cadre d'un accord de faillite qui donnera au géant pharmaceutique un accès direct aux données génétiques de millions d'Américains.
L’accord a été annoncé discrètement hier.
Soyons clairs : il s'agit du même 23andMe qui a subi une violation massive de données en 2023 , exposant des informations génétiques liées aux noms, à l'ascendance et aux prédispositions de santé.
Désormais, ces données sont entre les mains d’une société pharmaceutique qui travaille déjà en étroite collaboration avec les autorités sanitaires fédérales et qui est libre de les fusionner avec des plateformes de développement de médicaments basées sur l’IA comme Stargate.
Les pièces se mettent en place :
L'IA pour scanner votre génome
La FDA renonce à votre droit au consentement éclairé
Oracle (premier client de la CIA) construit l'infrastructure
Regeneron avale votre ADN
Et maintenant, avec l'article 43201 du nouveau projet de loi, aucun État n'a le pouvoir d'intervenir pour protéger vos droits. Ni contre l'IA, ni contre les biotechnologies, ni contre la fusion des données de surveillance, pharmaceutiques et militaro-industrielles.
Alors qu’une commission du Congrès vient de voter – et bientôt la Chambre des représentants – pour interdire aux États de réglementer l’IA, la Maison Blanche mène des évaluations classifiées sur la manière dont l’IA peut accélérer le développement d’armes chimiques et biologiques – et le Département de la Sécurité intérieure avertit ouvertement que la modification de l’ADN par l’IA pourrait bientôt être utilisée pour cibler des groupes spécifiques d’Américains.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/congress-strip-states-power-regulate-artificial-intelligence/588926
Les députés de gauche et de droite votent pour l'abandon des « zones à faibles émissions » et de l'interdiction des voitures anciennes.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
June 3rd, 2025
Bonne nouvelle : il existe un programme moins complexe, inutile et anti-voitures au monde.
Tout a basculé si vite : il y a seulement six mois, le président Macron lançait la France dans une feuille de route climatique du type Pieuvre. Les Français allaient devoir acheter des véhicules électriques, télétravailler, troquer le filet mignon contre du tofu et prendre moins de vols internationaux. Même les téléviseurs grand écran allaient devoir rétrécir pour économiser les électrons. Et certains bureaucrates rêvaient même avec enthousiasme de pouvoir mettre la main à la pâte et de régler les thermostats à 19 °C (66 °F) en hiver et à 25 °C (78 °F) en été.
Pour contrarier les automobilistes français, le gouvernement national a légiféré sur les incitations au zonage automobile afin de compliquer la vie de ceux qui voulaient conduire une vieille voiture. Les zones à faibles émissions (ZFE) ont débuté en 2019 et s'étaient déjà propagées comme une lèpre municipale dans toutes les villes de plus de 150 000 habitants.
Dans ces ZFE (zones à faibles émissions), les voitures étaient classées et dotées d'une vignette. Les Crit’Air 0 correspondaient aux véhicules les plus propres et les Crit’Air 5 aux véhicules les plus polluants. Des règles différentes s'appliquaient à chaque catégorie de vignette dans chaque ville, avec une complexité déconcertante. À Paris, par exemple, les voitures Crit’Air 3 (essentiellement les voitures diesel d'avant 2011 et les voitures essence d'avant 2006) étaient interdites en semaine. Les amendes variaient de 68 à 750 €. C'était le principe : « Si vous aimez votre voiture, vous pouvez la garder » (enfermée au garage, n'est-ce pas ?).
Mais les voitures d'avant 1997 étaient considérées comme de telles tueuses d'enfants qu'elles n'avaient pas le droit d'avoir de vignette Crit’Air du tout. Leurs conducteurs étaient donc verbalisés s'ils étaient arrêtés un jour de semaine entre 8 h et 20 h. De toute évidence, ces interdictions ont pénalisé les plus démunis et les travailleurs ruraux, qui conduisaient des voitures anciennes. Elles ont également pénalisé les artisans et les petites entreprises utilisant une camionnette.
Les zones à faibles émissions étaient si impopulaires, comme l'admet même la BBC, qu'elles « ont été une véritable bombe à retardement pour les partisans de Macron ». (On se demande pourquoi cela a pris cinq ans ?)
La semaine dernière, l'Assemblée nationale française a voté à 98 voix contre 51 la suppression totale de ces zones. Le gouvernement avait tenté d'assouplir les règles et de réserver les restrictions à Paris et Lyon, mais les députés n'en ont rien voulu savoir. De toute évidence, de nombreux responsables politiques craignaient que les électeurs ne sachent qu'ils n'avaient pas rejeté les zones à faibles émissions. (Allez, la démocratie !)
Il est intéressant de noter que ces zones étaient si catastrophiques que même certains députés d'extrême gauche se sont ralliés au centre droit pour les supprimer.
RépondreSupprimerEnfin, l'extrême gauche se montre active :
« Les politiques vertes ne devraient pas être imposées aux classes populaires » — Clémence Guetté.
Le Wall Street Journal décrit Clémence Guetté comme étant « à gauche de Bernie Sanders ». Les Verts et les socialistes ont pourtant voté pour le programme de vignettes automobiles visant à modifier la météo. Ils aiment sans doute afficher leur intelligence avec des autocollants sur leurs voitures.
Les députés français votent la suppression des zones à faibles émissions
BBC
Une poignée de députés du parti de Macron ont rejoint les partis d'opposition de droite et d'extrême droite en votant à 98 voix contre 51 pour la suppression de ces zones, progressivement étendues aux villes françaises depuis 2019.
Mais ce fut une victoire personnelle pour l'écrivain Alexandre Jardin, qui a lancé le mouvement Les #Gueux, affirmant que « l'écologie est devenue un sport de riches ».
Les zones à faibles émissions ont débuté en 2019 dans 15 des villes les plus polluées de France et, début 2020, elles ont été étendues à toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants, avec une interdiction pour les voitures immatriculées avant 1997.
Marine Le Pen a dénoncé les ZFE comme des « zones de non-droit » lors de sa campagne présidentielle pour le Rassemblement national en 2022, et son homologue communiste a mis en garde contre une « bombe sociale ».
Le chef de file des Républicains à l'Assemblée, Laurent Wauquiez, a parlé de « libérer les Français d'une écologie étouffante et punitive », tandis qu'à l'extrême gauche, Clémence Guetté a déclaré que les politiques vertes ne devaient pas être imposées « sur le dos des classes populaires ».
La sénatrice écologiste Anne Souyris a déclaré sur BFMTV que « supprimer [les ZFE], c'est aussi tuer des centaines de milliers de personnes »…
Le projet de loi doit encore être adopté par la Chambre haute, même si cela devrait être le cas. Et cela n'empêche pas les municipalités tyranniques d'imposer leurs propres petites zones dissuasives pour les touristes. Mais faites passer le message au cas où certains de nos politiciens penseraient que cette idée n'est pas dangereuse du point de vue radioactif. Ils doivent savoir que l'expérience a été testée et a échoué afin que nous n'ayons pas à la répéter.
RépondreSupprimerVoir aussi : France, Oui, même la France, Repenser les zones à faibles émissions, Wall Street Journal
https://joannenova.com.au/2025/06/mps-on-left-and-right-came-together-in-france-to-ditch-low-emission-zones-and-bans-on-old-cars/
Le gouvernement éteint la cigarette dans l’espace public familial
RépondreSupprimerFrance-Soir, avec AFP
le 31 mai 2025 - 16:10
À partir du 1er juillet prochain, fumer sera interdit autour des plages, des écoles, des abribus ou encore des parcs en France. Cette mesure, annoncée par la ministre Catherine Vautrin dans Ouest-France, vise à protéger les enfants et à renforcer la lutte contre le tabagisme passif dans les lieux publics extérieurs.
Adieu mégots dans le sable et volutes devant les grilles d’école : le gouvernement serre la vis sur la cigarette. Dès cet été, les fumeurs devront s’éloigner des lieux fréquentés par les enfants, sous peine d’une amende de 135 euros. "Là où il y a des enfants, le tabac doit disparaître", a martelé la ministre du Travail, de la Santé et des Familles. Abribus, jardins publics, abords des établissements scolaires et équipements sportifs deviennent des sanctuaires sans tabac, même si les terrasses et les cigarettes électroniques échappent, pour l’instant, à cette vague de purification de l’air.
La mesure s’inscrit dans une stratégie plus large, le Programme national de lutte contre le tabac 2023-2027, censé préparer une "génération sans tabac" d’ici 2032. En attendant, les enfants continueront d’inhaler les vapeurs des e-cigarettes aromatisées, le gouvernement n’ayant prévu de régulation qu’à l’horizon 2026. L’ambition est saluée par les associations, mais certaines voix s’interrogent sur l’efficacité réelle sans un encadrement plus strict du vapotage, devenu une porte d’entrée vers la dépendance chez les jeunes, selon Santé publique France.
Pour la Ligue contre le cancer, c’est "un ajout salutaire" à la réglementation actuelle. Le Comité national contre le tabagisme rappelle que ces interdictions "dénormalisent la consommation" et ont un impact réel sur les habitudes. Avec déjà 1 600 communes engagées dans la création de zones sans tabac, le terrain est prêt. Reste à voir si les fumeurs joueront le jeu — ou si la pause cigarette se fera plus discrète, mais pas moins toxique.
https://www.francesoir.fr/politique-france/le-gouvernement-eteint-la-cigarette-dans-l-espace-public-familial
Pisser contre un arbre ou chier dans les vignes sera désormais interdit !! Après quoi on passera au feu du gaz sous la casserole, les pets dans les ascenseurs et pourquoi pas l'inscription obligatoire des spermatozoïdes au parti nazi au pouvoir !
SupprimerFumer une cigarette n'a JAMAIS été toxique ! C'est L'ABUS qui tue comme de boire un vertre d'alcool et boire une bouteille ! C'est le parti nazi qui est toxique !
C'est la loi des arabes qui dictent et qui s'appliquent en France !!!!
« Toutes les choses sont poison, et rien n’est sans poison ; seule la dose fait qu’une chose n’est pas poison. »
RépondreSupprimerL'arnaque de l'énergie verte et les récits trompeurs de l'ONU/WEF sur la politique verte
Par Reality Books
Recherche mondiale,
12 mai 2025
Il semble que de plus en plus de personnes remettent en question le discours des Nations Unies selon lequel les émissions de gaz carbonique sont à l'origine d'un changement climatique désastreux. En effet, certains signes montrent que ce discours s'effondre. L'ouvrage « Climate gaz carbonique Hoax – How Bankers Hijacked the Environment Movement » présente des preuves et des témoignages de climatologues internationaux de renom qui contredisent l'affirmation de l'ONU selon laquelle le changement climatique serait causé par les émissions de gaz carbonique, ou méthane.
Dans ce livre, je fais référence à la conclusion de la Climate Intelligence Foundation (CLINTEL) selon laquelle le climat évolue naturellement et lentement selon son propre cycle ; et que les émissions de gaz carbonique ou de méthane provenant du bétail, comme les vaches, ne sont pas les facteurs dominants du changement climatique. Le nombre de signataires de la Déclaration mondiale sur le climat de la CLINTEL s'élève désormais à 1 992. Par coïncidence, 1992 a été l'année du tristement célèbre sommet de la Terre de Rio et de la création de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), un traité environnemental international visant à lutter contre « l'interférence humaine dangereuse avec le système climatique » – un traité signé par 154 États.
Les conclusions de la fondation Climate Intelligence incluent les suivantes :
Il n'y a pas d'urgence climatique. Il n'y a donc aucune raison de paniquer ni de s'alarmer. Des facteurs naturels et anthropiques sont à l'origine du réchauffement… Le réchauffement est bien plus lent que prévu… La politique climatique repose sur des modèles inadéquats… Le gaz carbonique est un nutriment pour les plantes, la base de toute vie sur Terre : le gaz carbonique n'est pas un polluant. Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. Une augmentation du gaz carbonique est bénéfique pour la nature, car elle verdit la Terre : l'augmentation du gaz carbonique dans l'air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. Il est également bénéfique pour l'agriculture, car il augmente les rendements des cultures dans le monde entier.
Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace et président de Greenpeace au Canada pendant sept ans, déclare :
RépondreSupprimer« La crise climatique n'est pas seulement une fausse nouvelle, c'est une fausse science... Bien sûr, le changement climatique est réel, il se produit depuis la nuit des temps, mais il n'est pas dangereux et il n'est pas causé par l'homme... La plupart des scientifiques qui affirment qu'il s'agit d'une crise bénéficient de subventions gouvernementales perpétuelles... Vous n'avez pas de plan pour nourrir 8 milliards de personnes sans combustibles fossiles ou pour acheminer la nourriture vers les villes... » – Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace
J'ai également de l'expérience dans ce domaine, notamment au sein du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), du ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique (MINECRA) et en tant que doctorant sur le thème du développement durable. Voir également les ouvrages « Climate gaz carbonique Hoax » et « Transcender the Climate Change Deception Toward Real Sustainability » .
Les Nations Unies et le Forum économique mondial de Davos, un mouvement mondialiste, ont déclaré la nécessité d'atteindre l'objectif mondial de « zéro émission nette de carbone » d'ici 2050. Des transformations majeures sont en cours dans le monde entier, ouvrant la voie à ce que l'on appelait dans les années 1970 le Nouvel Ordre Économique International. En réalité, il s'agit d'un projet de communisme d'entreprise totalitaire technocratique mondial. L'UE, projet politique des mondialistes depuis sa création, a mené ce programme et prévoit de devenir le premier continent « neutre en carbone » au monde d'ici 2050 et de réduire ses émissions de gaz carbonique d'au moins 55 % d'ici 2030.
Avec un quasi-monopole sur les médias grand public et les réseaux sociaux, le lobby du « changement climatique causé par le gaz carbonique » a endoctriné une grande partie du monde en lui faisant croire qu'il fallait éliminer les hydrocarbures, notamment le pétrole, le gaz naturel et le charbon. Cette affirmation fallacieuse dissimule un objectif caché. Le gaz carbonique n'est ni du carbone ni de la suie, c'est un gaz invisible et inodore, essentiel à la photosynthèse des plantes et à toute forme de vie sur Terre, y compris nous.
Le mythe d'un changement climatique d'origine humaine dû aux émissions de gaz carbonique est devenu si répandu parmi tous les partis politiques du monde et la population en général qu'on a parfois l'impression de vivre dans une société entièrement « aveugle à la vérité ». L'image du film et livre apocalyptique « Le Jour des Triffides » me vient à l'esprit. Dans ce livre, la quasi-totalité de la population mondiale est devenue physiquement aveugle. En 2023, il semble que nous vivions dans une société largement « mentalement aveugle » à la vérité.
Que faire ? La triste réalité est que les aveugles guident les aveugles ; et les politiciens et les dirigeants, quelle que soit leur couleur politique, verte ou autre, ne feront jamais de vagues sur l'« orthodoxie institutionnelle » ni ne renonceront à leurs salaires gouvernementaux exorbitants, qu'ils soient conscients ou non de la vérité.
RépondreSupprimerLes technologies actuelles d’énergie verte et renouvelable promues par l’ONU et le WEF ne constituent pas une solution viable pour l’approvisionnement énergétique mondial.
La plupart des « politiques vertes » reposent sur des calculs aberrants. Dans les ouvrages cités précédemment , j'explique également que les technologies actuelles d'énergie verte et renouvelable promues par l'ONU et le Forum économique mondial ne constituent pas une solution viable pour l'approvisionnement énergétique mondial. Bien que ces technologies aient une viabilité limitée dans certains endroits et scénarios, il n'en demeure pas moins que le retour sur investissement énergétique est bien trop faible ; en substance, l'ensemble du processus est mathématiquement erroné.
C'est ce que démontrent les travaux de scientifiques, dont le professeur David MacKay, ancien professeur Regius d'ingénierie à l'Université de Cambridge et ancien conseiller scientifique en chef au ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, dans son ouvrage Sustainable Energy without Hot Air[1]. Son analyse démontre l'absurdité mathématique de l'énergie éolienne et montre qu'une superficie deux fois supérieure à celle du Pays de Galles devrait être entièrement recouverte d'éoliennes pour répondre à la demande énergétique du Royaume-Uni, sur la base de la consommation énergétique moyenne par habitant. La création d'infrastructures éoliennes constitue, dans la plupart des régions du monde, un gaspillage massif des ressources fossiles existantes.
Prenons l'exemple de l'Allemagne, tel que détaillé dans un article du consultant en risques stratégiques F. William Engdahl[2]. En Allemagne, Angela Merkel et le gouvernement, dans le cadre d'une stratégie gouvernementale de 2001 visant à s'appuyer sur l'énergie solaire, éolienne et autres énergies renouvelables, visaient à faire de l'Allemagne la première nation industrielle à atteindre la neutralité carbone. F. William Engdahl a décrit cela :
Cette stratégie a été une catastrophe économique. L'Allemagne possédait l'un des réseaux de production d'électricité les plus stables, les plus économiques et les plus fiables du monde industrialisé, mais aujourd'hui, l'Allemagne est devenue le producteur d'électricité le plus cher du monde.
L'énergie éolienne et solaire, inefficace sur le plan énergétique, coûte aujourd'hui 7 à 9 fois plus cher que le gaz. Pour atteindre ses objectifs d'ici 2030, la Deutsche Bank a même admis que l'État devra créer une « éco-dictature »[3].
d'ici 2025, on estime que 25 % des éoliennes allemandes existantes devront être remplacées et l'élimination des déchets constitue un problème colossal.
De plus, la production de parcs solaires et éoliens nécessite un apport massif de béton et d'aluminium, ce qui nécessite une énergie bon marché. Or, le solaire et l'éolien sont coûteux. Il faut également tenir compte du fait que la quantité d'électricité supplémentaire nécessaire pour une UE « zéro carbone » d'ici 2050 serait bien supérieure à ce qu'elle est aujourd'hui, car des millions de chargeurs de batteries auront besoin d'un réseau électrique fiable.
La soi-disant économie verte n'est pas du tout verte
RépondreSupprimerLe monde occidental est enchaîné par des politiques absurdes qui se veulent respectueuses de l'environnement ; pourtant, le masque vert tombe. En réalité, nous constatons que de vastes processus industriels visant à créer une infrastructure dite verte ont été délocalisés ; et l'industrialisation verte a été accélérée pour produire un grand nombre de véhicules électriques, d'éoliennes, de panneaux solaires, etc., causant ainsi une pollution encore plus importante des sols, de l'air et des eaux via l'extraction industrielle de métaux des terres rares, etc. (voir cet article) . De plus, après des décennies de subventions, l'éolien et le solaire ne produisent encore qu'environ 5 % de l'approvisionnement mondial. Les calculs sont erronés, le retour sur investissement énergétique étant trop faible. L'économie verte est jonchée d'une multitude de gadgets coûteux qui ne créent pas de valeur, comme les véhicules électriques. Pendant ce temps, le contribuable est contraint de payer la facture par le biais des impôts et de la hausse des coûts de l'énergie, tandis que les entreprises énergétiques engrangent des profits aux dépens de la nature.
La facture pour créer une infrastructure mondiale d'énergie verte, aussi absurde qu'imposante, est si colossale qu'elle ne sera jamais payée. L'accumulation de dettes publiques supplémentaires appauvrira les populations par le biais d'impôts qui finissent par alimenter les caisses du cartel bancaire mondial. Voir également le livre « Économie démoniaque et les ruses des banquiers » .
Conduire une voiture électrique est une forme d'écologisme fallacieux – Elon Musk démystifié
Les conducteurs de véhicules électriques (VE) sont des inconditionnels de la publicité des grandes entreprises, fiers, par ignorance, de leurs prétendues voitures écologiques à faible émission de carbone. Apparemment, ils ignorent que la fabrication de millions de batteries de VE nécessite d'immenses opérations minières pour acquérir et raffiner de grandes quantités de métaux des terres rares, comme le lithium, le rhodium et le cobalt ; que ces métaux doivent être extraits du sol à l'aide de machines propulsées par des véhicules diesel ou essence émettant du carbone ; et surtout, que les processus d'extraction et de raffinage peuvent entraîner une pollution importante et étendue des sols, de l'air et des eaux, par exemple dans les zones rurales de Chine et de Mongolie[4]. Contrairement au faux programme climatique, il s'agit de véritables problèmes environnementaux.
Les politiciens écologistes, aveuglés par l'illusion, ont-ils envisagé les conséquences environnementales d'une transition de la population mondiale entière vers les véhicules électriques ? Par exemple, une population de 8 milliards d'habitants utiliserait environ 2 milliards de véhicules électriques, soit environ un par famille. La pollution réelle des sols et des eaux due à l'extraction de métaux des terres rares, comme le lithium, pour les batteries des véhicules électriques serait considérable. Voir par exemple une photo de champs de lixiviation toxiques de lithium au Chili dans cet article .
De plus, la volonté de supprimer les transports à essence ou diesel d'ici 2035 au profit des véhicules électriques repose sur un mensonge. En effet, les véhicules à batterie lithium-ion ont une empreinte carbone totale, si l'on inclut les effets de l'extraction du lithium et de la production de toutes les pièces, pire que celle des véhicules diesel. Les écologistes, dans l'illusion, tentent de nous faire tous conduire des véhicules électriques, mais les véhicules électriques fonctionnent toujours à l'électricité produite à partir de combustibles fossiles et le resteront très probablement. De plus, les véhicules électriques ne constituent pas une utilisation efficace de l'énergie, le rendement de ce processus d'électrification, du puits au réservoir, étant estimé à environ 37 % seulement.
RépondreSupprimerIl semble y avoir une prise de conscience croissante que le transport électrique est en quelque sorte une « route qui ne mène nulle part ».
La politique verte se préoccupe de s'adapter au discours trompeur de l'ONU sur le climat et le développement durable
La majorité des politiques environnementales, apparemment partout dans le monde, reposent sur le récit trompeur selon lequel le gaz carbonique est responsable du changement climatique. Une génération de jeunes et de militants du gaz carbonique aveuglés par l'illusion ont été trompés comme des moutons. Cette « pensée de groupe » et ce besoin d'être accepté par son groupe social ou politique ont transformé de nombreuses personnes en animaux stupides, comme des moutons. De telles préoccupations entravent l'acquisition de la connaissance, de la vérité et d'un sens profond.
Les politiques des méga-banques et des institutions internationales, comme l'ONU et le Forum économique mondial, favorisent une « mondialisation peinte en vert » destructrice pour l'environnement. La politique verte est un faux écologisme. Les partis politiques écologistes semblent avoir subi un lavage de cerveau par des décennies de propagande promue par l'ONU ; et semblent ignorer que le véritable mouvement écologiste a été essentiellement « pris en otage » par la dynastie bancaire Rothschild en 1992, lors du sommet de la Terre de l'ONU. Ceci est détaillé dans le témoignage du lanceur d'alerte George Hunt ( voir cette vidéo) .
Les partis politiques écologistes fondés dans de nombreux pays au début des années 1980 étaient souvent axés sur des politiques en faveur de l'écologie, de la sécurité alimentaire, de la résilience locale et de la gouvernance locale. Les fondateurs du mouvement écologiste du début des années 1980 et les visionnaires du développement durable des années 1970 sont davantage qualifiés de localistes que de mondialistes, comme le célèbre EF Schumacher, auteur des livres « Small is Beautiful » et « This I Believe ». Cependant, aujourd'hui, cette focalisation sur le développement durable local ou régional semble avoir été largement supplantée par l'alarmisme climatique.
Il convient de noter que ce sont les banques centrales mondiales qui sont à l'origine de la décision de réduire les émissions de gaz carbonique à l'échelle mondiale et qui financent et contrôlent entièrement l'avancement du projet mondial de lutte contre le changement climatique d'origine humaine. Ce projet vise à décarboner les activités de l'ensemble de la population mondiale. En décembre 2015, la Banque des règlements internationaux (BRI) a créé le Groupe de travail sur la publication d'informations financières relatives au climat (TCFD), qui représente 118 000 milliards de dollars d'actifs à l'échelle mondiale[ 5]. En substance, cela signifie que la financiarisation de l'économie mondiale repose sur la réalisation d'objectifs absurdes tels que la « zéro émission nette de gaz à effet de serre ».
RépondreSupprimerDe plus, les Verts, et apparemment la plupart des partis politiques actuels, défendent les Objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU, qui sont trompeurs. J'ai tenté de décrypter ces ODD dans cet article .
Malgré leur façade écologique, les institutions de l'UE et de l'ONU sont en réalité les bastions d'une mondialisation destructrice pour l'environnement. Il me semble que le véritable mouvement pour le développement durable a été détourné et supplanté par des légions de politiciens écologistes et de militants du climat endoctrinés qui, consciemment ou non, soutiennent un programme « mondialiste ».
Depuis 1992, la politique verte semble s'être transformée en un monstre vert de la mondialisation politique. Lors de ma brève période en tant que membre actif du Parti vert en Irlande en 2009, j'ai constaté que de nombreux membres avaient quitté le parti, déçus par l'orientation politique « pro-institutions européennes » qu'il prenait. Ils ont été remplacés par une jeune brigade de militants pro-européens du climat, égarés. Voir également le livre « Les mensonges de la politique verte – Comment le Parti vert a trahi le peuple irlandais ».
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Auteur : Reality Books
RépondreSupprimerLes livres suivants sont disponibles sur Amazon , Barnes & Noble , Fable et Realitybooks.co.uk
Canular climatique autour du gaz carbonique : comment les banquiers ont détourné le mouvement écologiste réel
La fausse science sans Dieu
Faux alunissages et mensonges de la NASA
Transcender le mensonge du changement climatique vers une véritable durabilité
Transcender la tromperie du Covid-19
Pas de soucis, pas de virus
La pandémie planifiée
L'économie démoniaque et les ruses des banquiers
Histoire censurée de la Seconde Guerre mondiale et du communisme
Le christianisme originel – Au-delà du dogme institutionnel
L'évolution de Darwin et le Big Bang sont de la fausse science
Remarques
[1] Le livre « Sustainable Energy without Hot Air » du professeur David MacKay, professeur Regius d'ingénierie à l'université de Cambridge et ancien conseiller scientifique en chef du ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, est disponible gratuitement à l'adresse suivante : https://withouthotair.com/
[2] Source : https://www.globalresearch.ca/great-zero-carbon-criminal-conspiracy/5736707
RépondreSupprimer[3] Source : https://www.dw.com/en/german-wind-energy-stalls-amid-public-resistance-and-regulatory-hurdles/a-50280676
[4] Source : https://www.theguardian.com/environment/2012/aug/07/china-rare-earth-village-pollution
[5] Source : https://data.parliament.uk/DepositedPapers/Files/DEP2019-0718/Green_Finance_Strategy.pdf
https://www.globalresearch.ca/green-energy-scam-deceptive-narratives-green-politics/5886650
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