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Nous avons désormais des preuves claires que les injections d’ARNm contre le COVID-19 ont dévasté la capacité de reproduction de l’humanité
le 26 juin 2025 par pgibertie avant l’autorisation, aucun essai clinique n’a évalué la réserve ovarienne. Les essais de phase III (par ...

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Par le Dr Lewis Coleman Recherche mondiale, 13 juin 2025 Le bon sens devrait avertir tout le monde que les « vaccins » à ARNm sont une arna...
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Pétition en ligne adressée au Parlement suisse jusqu'au 29 juin 2025 : « Pas de modification du Règlement sanitaire international (RSI) »
RépondreSupprimer24.06.2025
www.kla.tv/38046
Pétition en ligne "Pas de modification du RSI" - PROLONGÉE jusqu'au 29 juin 2025 !
La communauté d'intérêts "Opting-out RSI" demande : "Le Conseil fédéral doit immédiatement exercer son droit d'opposition selon l'art. 59 du RSI et déclarer son refus des modifications (ce qu'on appelle l'opting-out) !"
Découvrez maintenant un extrait du texte original de la campagne "Opting-out RSI" de l'"Alliance pour une Suisse libre" - abrégé en "ABF Suisse" :
"Lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé, qui s'est tenue du 27 mai au 1er juin 2024, des modifications importantes du Règlement sanitaire international (RSI) ont été adoptées. Contrairement à l'avis du Conseil fédéral et de l'OFSP, ces modifications ne contiennent nullement que des "adaptations de nature technique et de faible portée". En effet, ce qui nous attendrait si nous ne pouvions pas empêcher l'entrée en vigueur : Surveillance et numérisation, contrôle de l'information (censure), Déclaration unilatérale de confinement par le directeur général de l'OMS - par exemple à cause du changement climatique, certificat de test et certificat de vaccination, vaccination obligatoire, quarantaine et isolement, traçage de contacts et autres. Tout cela aurait de graves conséquences sur la liberté des individus et limiterait considérablement nos droits.
Le fait que le 19 septembre 2025, le RSI modifié s'appliquera automatiquement à la Suisse si le Conseil fédéral ne s'y oppose pas d'ici le 19 juillet 2025 au plus tard est d'une importance capitale !
Le Parlement doit donc demander au Conseil fédéral d'exercer son droit d'opposition dans le délai imparti et de déclarer son refus des modifications (ce qu'on appelle l'Opting-out).
En signant cette pétition d'ici au 29 juin 2025 au plus tard, exigez que le Parlement, en tant que haute autorité de surveillance, incite le Conseil fédéral à fournir les explications nécessaires. Ce n'est qu'ainsi que ces modifications ne s'appliqueront pas automatiquement à la Suisse. Et c'est la seule façon de garantir que le RSI suivra la procédure prescrite au niveau national pour la Suisse. Signez dès aujourd'hui ! Vos données ne seront pas utilisées à d'autres fins sans votre accord.
Toute personne - indépendamment de son âge, de sa nationalité et de son lieu de résidence - peut signer la pétition."
Le texte de la pétition adressée à l'Assemblée fédérale est le suivant :
Règlement sanitaire international : Le Conseil fédéral doit exercer sans délai son droit d'opposition conformément à l'art. 59 du RSI.
Pétition à l'Assemblée fédérale
Le Conseil fédéral doit immédiatement - au plus tard le 19 juillet 2025 - exercer son droit d'opposition et déclarer à l'OMS son refus des modifications (ce qu'on appelle l'Opting-out).
Le Parlement demande au Conseil fédéral d'exercer son droit d'opposition dans le délai imparti et de rejeter les modifications, ainsi que de soumettre le RSI modifié au Parlement.
Si vous souhaitez empêcher l'entrée en vigueur du RSI adapté pour la Suisse et l'adoption d'un nouveau traité sur les pandémies, demandez à vos politiciens de s'y opposer. A cet effet, l'Alliance pour une Suisse libre a préparé pour vous neuf modèles de lettres actualisés et un "répertoire d'adresses de politiciens". Vous trouverez le lien vers les modèles dans la "boîte bleue" en dessous de l'émission. L'action "Lettres aux politiques" se déroule jusqu'au 19 juillet 2025 au plus tard.
RépondreSupprimerVous trouverez d'autres informations et actions - comme le sponsoring de l'envoi de flyers - sur le site d'ABF Suisse : https://opting-out-igv.ch/
Diffusez cette émission et contribuez à faire pression sur le Parlement, qui exerce la haute surveillance sur le Conseil fédéral. Le Parlement doit demander au Conseil fédéral d'exercer son droit d'opposition et de déclarer le droit de refus.
de dd.
Sources/Liens :
Creative Commons Lizenzen
https://www.creativecommons.org/licenses/
Pétition en ligne « Pas de changement du RSI » jusqu'au 29 juin 2025
https://opting-out-igv.ch/petition-en-ligne-pas-de-modification-du-rsi/
Site web de l'ABF Schweiz: https://opting-out-igv.ch/home-franzoesisch/
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=38046&date=2025-06-24
Comment les statistiques trompent la médecine : des erreurs simples expliquées avec des exemples concrets et une plongée dans les critiques du Pr Greenland
RépondreSupprimerLe Collectif Citoyen, France-Soir
le 24 juin 2025 - 14:30
Imaginez que vous voulez savoir s’il fait soleil aujourd’hui ce 24 juin 2025, mais que vous décidez de ne pas regarder par la fenêtre. À la place, vous consultez des données sur internet qui disent : « En moyenne, il fait soleil 60 % du temps en juin à cet endroit. » Vous concluez donc que c’est probablement ensoleillé, sans vérifier la météo réelle ou tenir compte d’un nuage qui pourrait passer juste maintenant. C’est un peu comme ça que les statistiques sont parfois utilisées en médecine : on se fie à des chiffres moyens ou à des outils compliqués sans regarder la réalité de près, et ça peut mener à des décisions absurdes.
Cet article, inspiré des articles du Pr Sander Greenland illustrés dans une série de tweets de Fred Stalder va vous expliquer ces erreurs avec des exemples simples, et montrer pourquoi elles posent problème, surtout quand on décide de la santé de millions de personnes.
Mirage optique - DR
Pourquoi les statistiques peuvent nous tromper
En médecine, les chercheurs utilisent des outils comme la p-values, une mesure utilisée pour évaluer la force des preuves dans les tests statistiques et les « intervalles de confiance » pour dire si un traitement marche ou si une maladie est dangereuse. Mais ces outils ne sont pas magiques. Ils reposent sur des suppositions, comme l’idée que les données sont parfaites et que personne ne triche. Le Pr Sander Greenland, épidémiologiste et statisticien à l’Université de Californie à Los Angeles, un expert en statistiques, dit que ces suppositions sont souvent fausses.
Comme Greenland l’écrit :
« Les méthodes statistiques sont remplies d’hypothèses implicites dont la violation peut avoir des conséquences mortelles lorsqu’elles sont utilisées pour établir des politiques ». Ces hypothèses incluent l’idée que les données sont générées, gérées, analysées et rapportées avec une impartialité, une compétence et une intégrité absolues – des conditions rarement réunies dans la réalité. Par exemple, il raconte l’histoire de 21 études sur des médicaments qui n’existaient même pas, mais qui ont été publiées et utilisées pendant des années (Rubinstein, 2009).
Ça montre que les chiffres peuvent mentir si les données sont mal collectées ou manipulées.
Fred Stalder, dans ses tweets, critique aussi les scientifiques qui demandent d’« avoir confiance » en la science, comme le physicien Étienne Klein dans une vidéo. Mais si les outils qu’ils utilisent sont biaisés, cette confiance peut être dangereuse. Par exemple, pendant le Covid-19, certaines études ont conclus que des traitements comme l’hydroxychloroquine ne marchaient pas, juste parce que leurs p-values n’étaient pas significatives, mais ces études ignoraient des erreurs dans les données, comme des dosages inappropriés, voire toxiques dans Recovery, des patients mal choisis ou des moments d’administrations contraire aux recommandations.
Efficacité des vaccins : tout est une question de présentation !
RépondreSupprimerDes exemples concrets pour comprendre
L’histoire du soleil et des moyennes : reprenons l’exemple du soleil. Si vous vous fiez à la moyenne de 60 % de soleil en juin, vous pourriez sortir sans parapluie, même s’il pleut aujourd’hui. En médecine, c’est pareil : une étude peut dire qu’un vaccin réduit le risque de maladie de 50 % en moyenne, mais si les données viennent de groupes très différents (jeunes et vieux, sains et malades), cette moyenne cache la vérité. Peut-être que le vaccin marche bien pour les vieux, mais pas du tout pour les jeunes. Ou encore on regarde les risques relatifs qui donnent des ratios élevés (90-95%) qui ont un effet psychologiques positifs d’efficacité, alors que le risque absolu est faible. Sans regarder les détails, on prend une décision qui ne convient à personne.
Noyer les bons élèves dans la masse : imaginez une classe où il y a des élèves brillants, mais aussi beaucoup d’élèves moyens. Si on calcule la moyenne des notes, les excellents résultats des meilleurs sont « noyés » et on ne les remarque pas. En médecine, c’est comme ça qu’on peut rater des traitements qui marchent pour un petit groupe de patients. Par exemple, une étude sur un médicament pourrait montrer qu’il n’a « pas d’effet » en moyenne, parce qu’il ne marche que pour 10 % des gens. Si on s’arrête à la moyenne, on jette un traitement utile et on ne voit pas les « excellents élèves » qui en bénéficient.
Décider sans regarder dehors : pendant le Covid-19, des décisions comme les confinements ont été basées sur des modèles statistiques qui prédisaient des morts massives. Mais ces modèles ignoraient des faits simples, comme le fait que beaucoup de gens guérissaient naturellement ou que les hôpitaux avaient des capacités hétérogènes. C’est comme décider qu’il pleut partout en France parce qu’il pleut à Paris, sans vérifier Bordeaux ou Marseille. Résultat : des mesures trop dures pour certains, inutiles pour d’autres. Cela a pu aussi être observé dans l’étude frauduleuse Pradelle Lega, aujourd’hui rétractée, qui prétendait que 17000 personnes seraient décédées de la prise d’hydroxychloroquine sans pouvoir montrer le début d’un décès sur les pays pris en considération. Ou encore en utilisant un facteur de risque issu du Royaume Uni sans regarder si ce facteur de risque s’appliquait au pays !
Torus de Penrose - Pixabay
Les aberrations des décisions basées sur de mauvaises statistiques
Ces erreurs mènent à des choix absurdes qui peuvent coûter des vies ou de l’argent : Traitement forcé qui ne marche pas : Si une étude dit qu’un médicament est « efficace » parce que son p-value est bas, mais que les données sont truquées (par exemple, en cachant les effets secondaires), des milliers de patients peuvent le prendre sans bénéfice, voire avec des risques. Pendant le Covid-19, certains traitements comme les vaccins ont été poussés alors que les essais sur les traitements précoces étaient mal faits ou par des tests de non infériorité plutôt que sur des valeurs absolues de reduction des risques.
Ignorer les exceptions : en se basant sur des moyennes, on peut ignorer des cas où un traitement sauve des vies. Par exemple, une étude sur un cancer pourrait dire qu’un médicament « n’a pas d’effet » en moyenne, mais il pourrait guérir 5 % des patients les plus graves. Sans creuser, on prive ces patients d’une chance.
Confinements inutiles : les modèles statistiques ont prédit des morts massives sans tenir compte des différences locales. Résultat : des villes où il y avait peu de cas ont été confinées, perturbant des vies pour rien, pendant que d’autres régions manquaient de soutien.
RépondreSupprimerPourquoi on fait ces erreurs : un problème d’apprentissage
Le vrai problème, c’est que beaucoup de chercheurs ne comprennent pas vraiment les statistiques. Ils apprennent à appuyer sur des boutons dans des logiciels comme Excel ou R, qui crachent des p-values ou des intervalles de confiance, sans savoir ce que ça veut dire. Greenland dit que même avec une bonne formation, les gens tombent dans des pièges comme penser qu’un p-value petit prouve quelque chose de sûr. Mais si les données sont mauvaises ou les suppositions fausses, ces chiffres ne valent rien.
Comme Greenland l’écrit : « Les malentendus sur les p-values, les niveaux alpha et les intervalles de confiance proviennent de biais cognitifs humains innés, que même la formation mathématique la plus avancée semble incapable de corriger ». Cette observation pointe un problème systémique : une éducation statistique souvent superficielle, axée sur l’application mécanique plutôt que sur une compréhension critique.
Une formation inadéquate - dans de nombreux programmes universitaires, les cours de statistiques pour les non-statisticiens se concentrent sur l’application de tests standards (t-tests, ANOVA, régressions) sans insister sur les hypothèses qui les sous-tendent, comme l’indépendance des observations ou l’absence de biais dans la collecte des données. Par exemple, un p-value < 0,05 est souvent enseigné comme une preuve de « significativité », sans expliquer qu’il ne mesure qu’une divergence sous des conditions spécifiques. Cette approche produit des utilisateurs qui appliquent des méthodes sans en saisir les limites.
La culture du « prêt-à-l’emploi » - l’avènement des logiciels statistiques modernes a amplifié ce problème. Ces outils, bien qu’utiles, favorisent une approche « boîte noire » où les chercheurs génèrent des p-values et des intervalles de confiance sans réfléchir aux modèles sous-jacents. Par exemple, un chercheur peut sélectionner des covariables dans une régression en fonction des résultats statistiques (une pratique appelée data dredging), sans documenter ce processus, ce qui fausse les interprétations. Cette mécanisation de l’analyse statistique, encouragée par un manque de formation critique, contribue à la crise de la reproductibilité.
Un manque de formation continue- même les chercheurs expérimentés manquent souvent d’opportunités pour mettre à jour leurs compétences statistiques. Les approches plus nuancées, comme les analyses de sensibilité ou les méthodes bayésiennes, sont rarement enseignées dans les formations continues. Cela laisse les chercheurs dépendants de paradigmes dépassés, comme le seuil de p < 0,05, qui, comme Greenland le note, a été regretté par Fisher lui-même pour son usage abusif.
Conséquences sur la recherche et les politiques - cette compréhension limitée des statistiques ne se limite pas aux chercheurs. Les décideurs politiques, les journalistes et le public, souvent dépourvus de formation statistique, s’appuient sur des conclusions mal interprétées. En 2020, l’article « Covid-19 : la médecine biaisée par les statistiques » illustrait ce problème dans le contexte du Covid-19, où des études avec des p-values faibles étaient utilisées pour justifier des politiques publiques, sans considérer les incertitudes contextuelles, comme les biais dans la sélection des participants ou les conflits d’intérêts.
RépondreSupprimerLes statistiques peuvent être comme des illusions d'optiques si elles ne sont pas calibrées au réel - Pixabay
Comment éviter ces pièges
Pour arrêter de se tromper avec les statistiques, voici des idées simples :
Regarder la réalité, pas juste les chiffres : comme pour le soleil, vérifiez les détails. Une étude doit montrer qui a été testé et dans quelles conditions, pas juste une moyenne.
Ne pas noyer les exceptions : si un traitement marche pour quelques patients, il faut le remarquer, même si la moyenne est faible. Par exemple, tester séparément les groupes (jeunes, vieux) pour voir qui bénéficie vraiment.
Apprendre à douter : les chercheurs doivent être formés pour questionner leurs outils. Des cours simples pourraient leur apprendre que p < 0,05 ne veut pas dire « c’est vrai », mais « ça mérite un deuxième regard ».
Travailler avec des experts : ajouter des statisticiens ou des scientifiques de d’autres domaines dans les équipes médicales pour éviter les erreurs.
Partage des données : publier toutes les données brutes pour que d’autres puissent vérifier, comme une météo ouverte à tous.
Réformer l’éducation statistique : dans les curricula universitaires, il faut intégrer des cours sur l’épistémologie des statistiques, en insistant sur les limites des p-values et des intervalles de confiance, ainsi que sur l’importance du contexte causal. Par exemple, enseigner comment les hypothèses implicites (comme l’absence de biais de sélection) conditionnent les résultats.
Afin de réduire ou de sensibiliser au biais cognitifs, il est nécessaire d’inclure des modules sur la dichotomania, le nullisme et la réification statistique pour sensibiliser les étudiants aux pièges de l’interprétation statistique.
L’approche interdisciplinaire devient clé et doit être encouragée en favorisant la collaboration entre statisticiens et chercheurs en médecine pour garantir des analyses bien conçues et interprétées.
La codification d’études de cas afin de bien comprendre la différence entre modélisation, analyse et l’observation du réel en utilisant des exemples réels, comme les études biaisées pendant la crise du Covid-19, pour illustrer les conséquences d’une mauvaise utilisation des statistiques.
RépondreSupprimerIl devient donc clé d’offrir des ateliers pour les chercheurs expérimentés, axés sur des méthodes modernes comme les analyses de sensibilité ou les approches bayésiennes, pour combler les lacunes de leur formation initiale.
*** Conclusion ***
Les critiques de Sander Greenland et les préoccupations soulevées dans l’article de FranceSoir de 2020 convergent vers une conclusion alarmante : les outils statistiques, bien qu’indispensables, sont souvent mal compris et mal utilisés, ce qui biaise la recherche médicale et ses applications. Ce problème est aggravé par une éducation statistique inadéquate, qui produit des utilisateurs mécaniques se cachant derrière des termes comme « significativité » ou « confiance » sans en saisir les limites. En adoptant une terminologie plus prudente, en mettant l’accent sur le contexte causal, en reconnaissant les limites des statistiques et en réformant leur enseignement, la communauté scientifique peut renforcer la fiabilité de ses conclusions.
Comme Greenland le souligne, il est temps de « déglamouriser » les statistiques et de les ramener à leur rôle véritable : des résumés imparfaits de l’évidence, qui ne prennent sens qu’à la lumière d’une compréhension approfondie du contexte réel et d’une formation rigoureuse. Ces erreurs ont conduit à des décisions absurdes, surtout pendant des crises comme le Covid-19.
En apprenant à mieux comprendre ces outils et en regardant les faits de près, on peut éviter de prendre des chemins dangereux. Alors, la prochaine fois qu’on vous parle d’une étude « significative », demandez : « Qui a été testé ? Comment ? »
Et peut-être, jetez un œil par la fenêtre avant de sortir !
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/comment-les-statistiques-trompent-la-medecine-des-erreurs-simples-expliquees
(...) Décider sans regarder dehors : pendant le Covid-19, des décisions comme les confinements ont été basées sur des modèles statistiques qui prédisaient des morts massives. (...)
SupprimerCes statistiques sont: gouvernementales.
Donc, comme il n'y a pas de 'virus covid' dehors ce putain de poison certifié mortel ne peut qu'être que dans la seringue. Le fait d'enfermer les condamnés afin que les corps qui joncheraient les rues ne se voient pas est d'une évidence: cacher ces cadavres qui puent !
Ne rejetons pas la faute sur les chercheurs ! mais plutôt sur les censures sur l'internet où certains osent publier LA vérité ! (voir LE VERT BAVOIR qui existait depuis 15 ans avec ses 60 articles publiés chaque jour: Pchitt ! censuré ! interdit ! effacé du net !).
17 mécanismes par lesquels les injections d'ARNm peuvent induire le cancer, selon plus de 100 études
RépondreSupprimerUne revue de la littérature exhaustive révèle comment les injections d'ARNm peuvent induire, accélérer ou réactiver le cancer par 17 voies distinctes.
Nicolas Hulscher, MPH
25 juin 2025
Une revue de la littérature exhaustive réalisée par Mathilde Debord, intitulée « Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes, selon plus de 100 études », vient d'être publiée dans Le Point Critique. S'appuyant sur plus de 100 études évaluées par des pairs, elle décrit 17 mécanismes biologiques distincts par lesquels les injections peuvent initier, accélérer ou réactiver des processus malins.
Voici un résumé des 17 mécanismes identifiés (les références étayant ces affirmations se trouvent dans l'article) :
1. Instabilité du génome
L'ARNm peut être rétrotranscrit et intégré dans l'ADN de l'hôte, déclenchant des mutations à l'origine du cancer.
2. Échappement immunitaire
La protéine Spike se lie aux gènes suppresseurs de tumeurs comme p53 et BRCA1 et les inhibe, protégeant ainsi les cellules cancéreuses de la destruction immunitaire.
3. Altération du mécanisme de réparation de l'ADN
La protéine Spike interfère avec les enzymes essentielles à la réparation de l'ADN, augmentant le risque de mutations incontrôlées.
4. Inflammation chronique
Les nanoparticules lipidiques et la protéine Spike provoquent une inflammation persistante, un facteur bien connu du cancer.
5. Dysrégulation du système immunitaire
La suppression des lymphocytes T et de l'interféron de type I affaiblit la surveillance du cancer et favorise l'évasion immunitaire.
6. Perturbation de l'ARN
L'optimisation des codons perturbe les réseaux de microARN, déstabilisant ainsi la régulation de la croissance cellulaire et l'apoptose.
7. Activation des voies oncogènes
La protéine Spike active indirectement la signalisation MAPK et PI3K/mTOR, favorisant ainsi la croissance tumorale et les métastases.
8. Altération du microenvironnement tumoral
Les nanoparticules lipidiques s'accumulent dans les tumeurs, augmentant leur perméabilité et potentiellement accélérant leur propagation.
9. Réactivation des cancers dormants
L'inflammation et la perturbation immunitaire post-vaccinales peuvent déclencher une récidive chez des patients auparavant en rémission.
10. Altération de la surveillance immunitaire
L'ARNm modifié bloque les récepteurs Toll, rendant les cellules tumorales « invisibles » pour le système immunitaire.
11. Erreurs de décalage du cadre de lecture
L'ARNm synthétique produit parfois des protéines aberrantes et non souhaitées, contribuant au risque oncogène.
12. Injections multiples
RépondreSupprimerDes doses répétées épuisent le système immunitaire et induisent un changement de classe vers les IgG4, favorisant ainsi la tolérance aux tumeurs.
13. Contamination de l'ADN
L'ADN plasmidique résiduel présent dans les flacons de vaccin est capable de se répliquer et pourrait s'intégrer aux génomes de l'hôte.
14. Séquences d'ADN oncogènes du SV40
Les séquences promotrices du SV40 présentes dans les flacons Pfizer pourraient faciliter l'insertion génomique ; ce même élément est utilisé pour induire des tumeurs chez les animaux de laboratoire.
15. Dérégulation du système rénine-angiotensine (SRA)
L'activation de l'AT1R induite par le gène Spike favorise le stress oxydatif et la prolifération cellulaire incontrôlée.
16. Destruction du microbiote
Les injections épuisent les bifidobactéries, affaiblissant l'équilibre immunitaire et altérant les réponses anticancéreuses.
17. Résistance accrue aux traitements
L'exposition au gène Spike prolonge la survie des cellules cancéreuses pendant la chimiothérapie, ce qui pourrait favoriser la résistance aux traitements.
Ces données contribuent à expliquer la surmortalité de 110 750 décès par cancer enregistrés aux États-Unis depuis le lancement de la campagne d'injection massive d'ARNm contre la COVID-19. L'analyse des données officielles des CDC révèle que la surmortalité par cancer a non seulement persisté, mais qu'elle continue de s'accélérer en 2025 :
Continuer à ignorer cette catastrophe rendra impossible un véritable rétablissement de la santé en Amérique.
Nicolas Hulscher, MPH
Épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
www.mcculloughfnd.org
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à suivre la Fondation McCullough et mon compte personnel sur X (anciennement Twitter).
https://www.thefocalpoints.com/p/17-ways-mrna-shots-may-cause-cancer?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=166766295&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
RépondreSupprimerAugmentation d’au moins dix pour cent de la mortalité toutes causes confondues dans les pays à forte vaccination
le 23 juin 2025
par pgibertie
Des analyses menées dans 39 pays de plus d’un milliard d’habitants montrent que les doses de vaccination contre le coronavirus par habitant expliquent près de 57 % de la variation de la surmortalité toutes causes confondues, avec une valeur bêta de 0,75 (1 étant une corrélation parfaite). Une estimation prudente fait état d’un taux de mortalité supérieur de 10 % dans les pays à forte vaccination par rapport aux pays à faible vaccination.
- voir graph sur site -
Les doses de vaccination et la surmortalité sont les moyennes hebdomadaires depuis début mars 2022, à peu près au moment où le déploiement s’est stabilisé, et jusqu’en 2023. Les analyses sont pondérées en fonction des différences de taille de population.
Existe-t-il d’autres explications ? Non. L’étude a pris en compte la surmortalité cumulée, le développement socioéconomique, l’âge médian et la taille de la population des pays.
Lors du déploiement, vers le second semestre 2021 et début 2022, la vaccination a peut-être procuré une certaine protection, la mortalité étant relativement faible dans les pays où les taux de vaccination étaient élevés. Cependant, la tendance était similaire pour la mortalité, hors décès liés au coronavirus, et il y a donc lieu de s’interroger sur cette protection temporaire.
Version norvégienne ici .
Avant l’aplatissement du taux de vaccination
Le graphique 1 montre les associations hebdomadaires entre la couverture vaccinale par habitant transformée en logarithme et le pourcentage de surmortalité toutes causes confondues dans 39 pays du 10 janvier 2021 à 2023 (1). La ligne horizontale rouge a été incluse pour mettre en évidence les valeurs supérieures et inférieures à zéro. La ligne verticale rouge indique le moment où le déploiement du vaccin s’est à peu près stabilisé vers le 6 mars 2022, c’est-à-dire que la variation avec un décalage d’une semaine était inférieure à 1 % (2).
Au tout début du déploiement du vaccin, où la priorité était donnée aux personnes âgées et aux personnes présentant des comorbidités, nous avons observé une mortalité plus élevée dans les pays ayant administré le plus de doses par habitant. Cette tendance concorde avec les conclusions d’une étude norvégienne concluant que, pour les résidents des maisons de retraite, le vaccin « a pu, dans certains cas, contribuer à accélérer un processus de décès en cours » (traduction de ma traduction).
À partir du second semestre 2021 et du début 2022 environ, nous constatons que la surmortalité était nettement et significativement plus faible à mesure que le taux de vaccination était élevé (3). Cela pourrait indiquer un effet protecteur du vaccin, mais le graphique 2, qui ajoute des données excluant les décès liés au coronavirus (surlignés en violet), montre une coïncidence assez importante avec la surmortalité toutes causes confondues (4). Étant donné que le vaccin contre le coronavirus ne protège pas contre les décès non liés au coronavirus, je conclus que les associations négatives observées pendant la période concernée ne peuvent en grande partie pas être attribuées au vaccin. Cependant, l’association négative est légèrement moindre pour la mortalité non liée au coronavirus et pourrait donc indiquer une certaine protection temporaire.
RépondreSupprimerÀ partir du 6 mars 2022 environ, marqué par la ligne verticale, c’est-à-dire lorsque le déploiement vaccinal a quasiment stagné, nous observons systématiquement une association positive entre la couverture vaccinale et la surmortalité, significative la plupart des semaines. Le constat est le même pour la surmortalité, hors décès liés au coronavirus. Cette période fait l’objet d’analyses que je détaillerai ci-dessous.
Graphique 1.
- voir graph sur site -
Graphique 2.
- voir graph sur site -
Après l’aplatissement du taux de vaccination
Le graphique 3 (illustré en haut) montre la relation entre la surmortalité moyenne toutes causes confondues des 39 pays et le taux de vaccination moyen par habitant. Les valeurs moyennes sont mesurées à partir du 6 mars 2022, date à laquelle, comme je l’ai souligné, le déploiement du vaccin s’est stabilisé, jusqu’en 2023. La ligne de régression rouge, pondérée par la taille de la population (par exemple, les États-Unis sont plus pondérés dans les analyses que l’Islande), a un coefficient de régression de 0,076 (5). Autrement dit, une augmentation d’un point de pourcentage de la vaccination par habitant entraîne une mortalité supérieure de 0,076 point de pourcentage. Une estimation prudente fait état d’une mortalité supérieure de 10 % dans les pays à forte vaccination que dans les pays à faible vaccination entre début mars 2022 et fin 2023, soit près de deux ans.
La valeur p, c’est-à-dire la valeur de signification, est bien inférieure à 0,001 (où 0,05 est généralement considéré comme « significatif »). Les différences de taux de vaccination entre les pays expliquent près de 57 % de la variation de la surmortalité toutes causes confondues. La valeur bêta est proche de 0,75 (1 étant une corrélation parfaite).
Existe-t-il d’autres explications ? Non. L’étude a pris en compte la surmortalité cumulée, le développement socioéconomique, l’âge médian et la taille de la population des différents pays (6).
RépondreSupprimerGraphique 3.
- voir graph sur site -
Notes
1. Les données utilisées pour les analyses proviennent de Our World in Data . Cet ensemble de données est vaste, mais présente des lacunes majeures dans de nombreux pays. On peut également supposer que la qualité des données, notamment pour certains pays en développement, est relativement médiocre. Comparer des pays dont le développement socio-économique est très différent peut également s’avérer problématique. J’ai donc pris comme point de départ des pays classés « très haut » sur l’échelle de l’Indice de développement humain (IDH) par l’ONU en 2019. Cela indique une qualité de données relativement bonne, ainsi que des données relativement homogènes. Our World in Data contient des données cohérentes au fil du temps pour 39 de ces pays, que j’ai donc utilisées dans les analyses (pour les autres pays, aucune donnée n’était disponible dans les analyses présentées dans le graphique). Trente-deux sont européens, tandis que les autres sont le Canada, les États-Unis, le Chili, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud et Israël (où j’ai collecté des données après le déclenchement de la guerre). La population totale de ces 39 pays s’élève à un peu plus d’un milliard d’habitants.
Certains pays ont communiqué leurs données hebdomadaires à des jours différents et, pour synchroniser, j’ai arrondi au dimanche le plus proche. Le taux de vaccination est le nombre de doses pour 100 habitants par pays. Par exemple, si le taux de vaccination d’un pays à la semaine 10 était de 50 et de 56 à la semaine 13, le taux de vaccination à la semaine 11 a été estimé à 52 et à 54 à la semaine 12 en cas d’observations manquantes. La dernière observation sur le taux de vaccination d’un pays a été utilisée dans les analyses restantes. Dans toutes les analyses, le taux de vaccination a été inclus avec un décalage d’une semaine. La transformation logarithmique du taux de vaccination fournit de meilleures informations sur l’évolution de la vaccination au cours du déploiement. Par exemple, des changements de 10 à 10,1 et de 100 à 101 donnent tous deux une augmentation de 1 % du taux de vaccination. La transformation logarithmique réduit également les problèmes de multicolinéarité . Karlinsky et Kobak fournissent des informations détaillées sur la façon dont la surmortalité est mesurée. Plus précisément, j’utilise une régression robuste avec des termes d’erreur ajustés par cluster , c’est-à-dire que la méthode tient compte de la dépendance entre les termes d’erreur au sein des pays. Ceci est pertinent car le même pays est inclus au fil du temps. L’analyse inclut les termes d’interaction entre le taux de vaccination et la variable temporelle (variables muettes). Bien que la multicolinéarité ne puisse être exclue, des mesures hebdomadaires distinctes aboutissent à la même conclusion, comme le montre le graphique. Toutes les analyses ont été réalisées dans Stata .
2. Sauf une semaine plus tard, où nous avons observé une augmentation d’un peu plus de 1 %. Pour visualiser le déploiement du vaccin, voir le graphique ci-dessous. Les variations anormales observées à la fin sont dues à l’absence de pays pendant certaines semaines.
RépondreSupprimer3. Les valeurs hebdomadaires inférieures à zéro présentent des associations négatives. Cela signifie que la surmortalité tend à diminuer avec le taux de vaccination. Significatif signifie que l’ intervalle de confiance à 95 % supérieur (inférieur) est inférieur (supérieur) à zéro pour les associations négatives (positives). Le graphique visualise les intervalles de confiance à 95 % avec des « étiquettes ». Le taux de vaccination étant transformé en logarithme, cela signifie que si l’axe des Y indique –50, par exemple, une augmentation de 1 % du taux de vaccination est associée à une réduction d’environ 0,5 % de la mortalité.
4. J’ai estimé (a) la surmortalité hors décès liés au coronavirus en utilisant (b) les variations hebdomadaires de la surmortalité cumulée par million, (c) la courbe lissée des décès liés au coronavirus par million par semaine, et (d) la mesure initiale de la surmortalité selon l’équation suivante : a=d*(b–c)/b. Pendant deux semaines, la relation entre le taux de vaccination et la surmortalité non liée au coronavirus a donné des résultats largement négatifs. La raison en est le suivi des décès liés au coronavirus et de la surmortalité cumulée signalés certaines semaines. Sans cela, la possible protection vaccinale temporaire à laquelle j’ai fait allusion aurait été d’une ampleur moindre.
5. Les intervalles de confiance à 95 pour cent avec des erreurs standard robustes vont de 0,047 à 0,104.
6. La taille variable de la population est transformée en logarithme, car un changement de population de, par exemple, 10 000 personnes est plus important dans un petit pays que dans un grand pays.
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Certains ont tenté de réfuter mes conclusions précédemment rapportées sur le lien entre vaccination contre la Covid et surmortalité, affirmant qu’elles ne tenaient pas compte des différences de tendances observées chez les personnes âgées en Europe de l’Ouest et de l’Est. Une fois la surmortalité calculée par rapport à la tendance de mortalité toutes causes confondues avant la Covid, la corrélation s’inverse, indiquant l’efficacité du vaccin, selon cet argument (la discussion peut être suivie à mi-chemin sur cette page web ).
Cependant, tout d’abord, les données de surmortalité utilisées pour réfuter mes conclusions datent de 2022. Cette année-là, j’ai montré que l’association était négative au cours des trois premiers mois, mais qu’elle est devenue positive en avril. Autrement dit, une association négative en début d’année dégonfle l’association positive observée ultérieurement lorsque les données sont appliquées à l’année entière. De plus, j’ai contrôlé la surmortalité accumulée avant 2022, c’est-à-dire la mortalité en 2020-2021 par rapport à la mortalité pré-Covid de 2016-2019.
RépondreSupprimerMais plus important encore, grâce à Our World in Data, j’ai récemment mis à jour mes analyses en étudiant une fenêtre temporelle d’environ trois ans, soit environ 150 observations hebdomadaires. J’inclus également un bassin plus large de 39 pays comptant environ un milliard d’habitants (des pays à revenu élevé, selon l’ONU, fournissant des données cohérentes et de haute qualité permettant des analyses au fil du temps). Concernant la mesure de la surmortalité toutes causes confondues, Our World in Data a utilisé des estimations de régression sur des calculs antérieurs à la COVID-19 entre 2015 et 2019, capturant des tendances linéaires et hebdomadaires comme base de référence pour les analyses. Cette approche tient compte des « variations saisonnières de la mortalité et d’une tendance annuelle au cours des dernières années, dues à l’évolution de la structure démographique ou à des facteurs socio-économiques » (toutes les références sont disponibles ici ). De plus, j’ai contrôlé l’âge médian des pays, la surmortalité cumulée et d’autres facteurs (tableau 1).
Je conclus donc que mes conclusions sur le lien entre la vaccination contre la Covid et la surmortalité ne peuvent être réfutées.
https://pgibertie.com/2025/06/23/augmentation-dau-moins-dix-pour-cent-de-la-mortalite-toutes-causes-confondues-dans-les-pays-a-forte-vaccination/
Augmenter les niveaux de magnésium pourrait ralentir le vieillissement cérébral et réduire le risque de démence, selon une étude
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
25 juin 2025
Des niveaux de magnésium faibles ou élevés augmentent le risque de démence, tandis que des niveaux optimaux soutiennent la santé du cerveau en réduisant l'inflammation et en préservant la fonction neuronale
Les personnes qui consomment plus de magnésium ont un cerveau sensiblement plus grand avec moins de zones endommagées ; celles qui en consomment le plus ont des structures cérébrales qui semblent presque un an plus jeunes que la moyenne
Le magnésium agit en synergie avec la vitamine D pour des bienfaits cognitifs, des études montrant une meilleure mémoire et une meilleure vitesse de traitement chez les personnes qui ont des niveaux suffisants des deux nutriments.
L'épuisement moderne des sols a réduit le magnésium dans les aliments, et seulement 30 à 40 % du magnésium alimentaire est absorbé ; cela rend la supplémentation bénéfique pour la plupart des gens.
Le glycinate et le malate de magnésium sont des formes de suppléments recommandées ; les noix et les graines doivent être évitées comme sources de magnésium en raison de leur teneur élevée en acide linoléique.
*
Votre cerveau a besoin de magnésium pour réguler l'énergie, la fonction nerveuse et la circulation sanguine, mais la plupart des gens ne réalisent pas à quel point ils sont souvent en manque. Même si votre alimentation paraît saine sur le papier, l'épuisement des sols, le stress et les troubles intestinaux courants perturbent discrètement l'absorption du magnésium, créant un déséquilibre entre ce que vous mangez et ce que votre corps peut utiliser.
Ce qui est inquiétant, c'est que la carence en magnésium se manifeste rarement. Vous pourriez remarquer un brouillard cérébral ou des trous de mémoire, mais les prendre pour un signe de vieillissement normal. En réalité, sous la surface, votre cerveau pourrait subir des changements structurels qui augmentent votre risque de déclin cognitif. Un indice majeur provient d'une étude publiée dans Advances in Nutrition, où des scientifiques ont établi un seuil précis de magnésium dans le sang lié au risque de démence .
Si de nombreuses personnes ne consomment pas suffisamment de magnésium, en abuser crée également des problèmes, créant une courbe de risque en U qui remet en cause l'approche « plus, c'est mieux ». Votre cerveau n'a pas seulement besoin de magnésium ; il en a besoin dans les bonnes proportions, de façon constante. Et lorsque cet équilibre est rompu, votre système nerveux en paie le prix. Examinons les conclusions des chercheurs et leur lien avec la santé cérébrale à long terme.
Trop ou trop peu de magnésium augmente le risque de démence
RépondreSupprimerL’analyse des progrès en nutrition a exploré comment le magnésium — mesuré par le biais de suppléments, de l’alimentation et des niveaux sanguins — est lié au déclin cognitif, à la démence et au vieillissement cérébral global . 2
L'étude a porté sur les données de trois essais contrôlés randomisés et de 12 études de cohorte, regroupant les observations de diverses populations adultes du monde entier. Les chercheurs ont utilisé plusieurs modèles statistiques pour déterminer s'il existait une corrélation claire entre le taux de magnésium et le déclin mental. Leurs conclusions étaient frappantes.
• Des taux de magnésium sanguin faibles et élevés ont été associés à un risque accru de démence — Au lieu d’un simple résultat « plus c’est mieux », les résultats ont montré une courbe en U. Cela signifie que les deux extrémités du spectre, trop peu ou trop de magnésium, sont liées à un risque accru de démence.
Selon les chercheurs, la fourchette la plus sûre se situe autour d'un taux de magnésium sérique de 0,85 mmol/L. Comparé à ce seuil, les personnes présentant un taux de magnésium inférieur présentaient un risque accru de 43 % de troubles cognitifs, tandis que celles dont le taux se situait au-dessus de la limite supérieure présentaient un risque accru de 30 %.
• Le « point idéal » de magnésium dans l'organisme protège votre cerveau — Les personnes dont le taux de magnésium se situait entre 0,75 et 0,95 mmol/L présentaient le risque le plus faible de démence. Les chercheurs pensent que cela s'explique par le fait qu'un taux optimal de magnésium favorise des processus protecteurs essentiels du cerveau, comme la réduction de l'inflammation et la protection contre les lésions des cellules cérébrales.
• Le magnésium contribue à prévenir les troubles neurologiques par de multiples voies — Les chercheurs ont identifié plusieurs façons dont le magnésium maintient la stabilité et le fonctionnement du cerveau. Il contribue au maintien de la barrière hémato-encéphalique, qui agit comme un système de sécurité pour le cerveau en le protégeant des substances nocives.
Il préserve également la structure de la myéline, la gaine graisseuse qui entoure les nerfs et qui permet une communication rapide et précise, et empêche la surstimulation nerveuse qui, si elle n'est pas contrôlée, conduit à l'épuisement des neurones.
• Le magnésium affecte également vos vaisseaux sanguins, et pas seulement les neurones. L'étude a également souligné le rôle du magnésium dans la régulation de la pression artérielle et du tonus vasculaire, deux facteurs étroitement liés au risque de démence. Un faible taux de magnésium déclenche des changements hormonaux et augmente la production d'agents coagulants, ce qui augmente le risque d'accident vasculaire cérébral et de lésions cérébrales, en particulier chez les personnes âgées.
RépondreSupprimer• Les scanners cérébraux confirment les bienfaits structurels d'un taux optimal de magnésium. Dans une cohorte de 1 466 adultes, les personnes présentant un taux de magnésium sérique plus élevé présentaient un volume cérébral plus important et moins d'infarctus des petits vaisseaux (ces minuscules accidents vasculaires cérébraux qui détruisent silencieusement les tissus cérébraux). Ces personnes présentaient 56 % moins de risques de présenter des lésions cérébrales profondes que celles présentant les taux de magnésium les plus faibles.
Un apport plus élevé en magnésium signifie un cerveau plus jeune et plus sain
Une étude à grande échelle publiée dans l'European Journal of Nutrition a examiné l'influence de l'apport alimentaire quotidien en magnésium sur le volume cérébral et la santé de la substance blanche. 3 Les chercheurs ont utilisé des scanners cérébraux de 6 001 participants âgés de 40 à 73 ans. L'objectif était de déterminer si les niveaux de magnésium, et leur évolution au fil du temps, correspondent aux différences de vieillissement cérébral, des décennies avant que le déclin cognitif ou la démence ne soient diagnostiqués.
• Les personnes ayant un apport plus élevé en magnésium présentaient un volume cérébral plus important et moins de lésions cérébrales. En moyenne, les participants ayant consommé plus de magnésium présentaient un volume de matière grise plus important et des régions hippocampiques plus saines, les zones du cerveau responsables de l'apprentissage et de la mémoire. Ces personnes présentaient également moins de lésions de la substance blanche, signes de microlésions cérébrales souvent liées à des troubles de la mémoire, à une réduction de la vitesse de traitement et à un risque accru de démence.
• Un apport accru en magnésium prédit une augmentation du volume cérébral au fil du temps — Comparés aux personnes ayant un apport normal, les sujets du quartile supérieur de consommation de magnésium (environ 550 milligrammes (mg) par jour) avaient un cerveau qui paraissait presque un an plus jeune, d'après le volume tissulaire. Cette augmentation de 41 % de l'apport en magnésium était corrélée à une augmentation de 0,20 % de la matière grise et de 0,46 % du volume de l'hippocampe droit, un marqueur clé de la résilience cérébrale.
RépondreSupprimer• Les bienfaits du magnésium étaient liés au tissu cérébral, et non à la pression artérielle — Bien que le magnésium soit connu pour abaisser la pression artérielle , les chercheurs ont été surpris de constater que son impact sur la santé cérébrale n'était pas dû à des effets cardiovasculaires. Au contraire, la protection provenait d'actions anti-inflammatoires et neuro-soutenables dans le cerveau lui-même. Les lésions de la substance blanche ont été réduites même lorsque la pression artérielle est restée inchangée.
• Les habitudes d'apport en magnésium à long terme étaient plus importantes que les pics à court terme. L'étude a réparti les participants en groupes selon leur « trajectoire » de magnésium au fil du temps : stable, en hausse ou en baisse. Les personnes dont l'apport était constamment élevé, surtout si elles avaient commencé avec un apport élevé et avaient légèrement diminué, présentaient néanmoins une forte protection cérébrale. Cela suggère que des habitudes d'apport en magnésium adéquat tout au long de la vie préservent les bénéfices cérébraux structurels, même si l'apport fluctue plus tard dans la vie.
• Le magnésium préserve les neurones et leurs systèmes de soutien. Il protège le volume cérébral en améliorant la communication entre les cellules cérébrales, en réduisant le stress oxydatif et en ralentissant les processus inflammatoires qui endommagent les tissus cérébraux. Ces mécanismes sont à l'origine de la maladie d'Alzheimer et des pertes de mémoire liées à l'âge, ce qui fait du magnésium un outil précieux pour la santé cérébrale à l'âge mûr et au-delà.
Le statut en vitamine D influence la façon dont le magnésium affecte votre mémoire
Une recherche publiée dans Alzheimer's & Dementia a analysé les données de 2 508 adultes âgés de 60 ans et plus qui ont participé à l'enquête nationale sur la santé et la nutrition (NHANES) entre 2011 et 2014.4 L' étude visait à déterminer si l'apport total en magnésium, c'est-à-dire provenant à la fois de l'alimentation et des suppléments, était lié aux performances cognitives des personnes âgées.
RépondreSupprimer• Un apport plus élevé en magnésium était lié à une meilleure performance cérébrale globale — Après avoir contrôlé des facteurs tels que l’âge, le revenu, l’éducation et la consommation de calcium, les adultes ayant l’apport le plus élevé en magnésium ont montré de meilleures performances cognitives globales que ceux ayant l’apport le plus faible, avec un avantage de 0,15 point sur les tests standardisés de mémoire et d’attention.
Cela peut sembler une petite différence, mais dans de grandes données démographiques comme celles-ci, cela suffit à signaler un changement significatif dans la clarté mentale et la force de la mémoire.
• Le bénéfice était le plus fort chez les personnes ayant des niveaux de vitamine D « suffisants » — Parmi les personnes ayant des niveaux de vitamine D de 20 ng/mL (50 nmol/L) ou plus, un apport élevé en magnésium a conduit à des résultats encore meilleurs.
Ces participants ont obtenu de meilleurs résultats aux tests cognitifs globaux et ont montré une plus grande précision aux tests de mémoire, notamment pour nommer rapidement les animaux, un marqueur de la mémoire verbale et de la vitesse de traitement. Idéalement, visez un taux de vitamine D compris entre 60 et 80 ng/mL (150 à 200 nmol/L).
• Le magnésium est également bénéfique pour le cerveau en améliorant les performances de la vitamine D. Il existe une relation à double sens : la vitamine D stimule l’absorption du magnésium dans l’intestin, tandis que le magnésium contribue à convertir la vitamine D inactive en sa forme active. Cela signifie qu’un faible taux de magnésium empêche la vitamine D de fonctionner correctement, et inversement. Cette interaction explique probablement pourquoi les améliorations cognitives les plus marquées ont été observées chez les personnes ayant consommé suffisamment de ces deux nutriments.
Le magnésium et la vitamine D agissent en synergie avec la vitamine K2. L'association de ces trois compléments réduit significativement l'apport en vitamine D nécessaire au maintien d'une santé optimale. Une étude menée auprès de 2 920 personnes a montré que parmi celles ne prenant pas de magnésium ni de vitamine K2, un apport oral en vitamine D supérieur de 244 % à celui de celles prenant du magnésium et de la vitamine K2 était nécessaire pour atteindre des niveaux sains similaires .
Pourquoi je recommande les suppléments de magnésium plutôt que la nourriture seule
RépondreSupprimerSi votre cerveau est embrouillé ou que votre mémoire est altérée, vous n'êtes pas seul. De nombreuses personnes manquent de magnésium, même celles qui suivent une alimentation complète et riche en végétaux. Et ce n'est pas dû à une mauvaise alimentation. C'est plutôt à cause de la dégradation de nos sols. Grâce à l'agriculture industrielle, les niveaux de magnésium dans les légumes ont considérablement diminué.
De plus, seulement 30 à 40 % du magnésium ingéré est réellement absorbé. 6 Bien que je recommande généralement de privilégier l'alimentation pour un apport suffisant en nutriments, le magnésium fait exception. Les aliments complets sont toujours importants, mais lorsque votre objectif est de protéger votre cerveau et de ralentir le déclin lié à l'âge, des compléments alimentaires sont souvent nécessaires pour combler ce manque. Voici comment je vous recommande de commencer.
1. Comparez votre apport à vos symptômes — Si vous souffrez de déprime, de fatigue mentale, de troubles du sommeil ou d'oublis, il y a de fortes chances qu'un manque de magnésium soit en partie à l'origine du problème. Ce sont tous des signes d'un système nerveux défaillant. Un test de laboratoire standard ne le détectera pas toujours. L'essentiel est de savoir comment vous vous sentez et ce que vous mangez. Suivez votre apport quotidien moyen et soyez attentif aux signes de stress ou de ralentissement cognitif.
2. Évitez les noix et les graines, même si elles sont riches en magnésium. De nombreux nutritionnistes vous recommandent de consommer des graines de courge ou des amandes pour booster votre taux de magnésium. En réalité, ces aliments sont également riches en acide linoléique (AL), un acide gras polyinsaturé qui perturbe les mitochondries et augmente l'inflammation. Si votre intestin ou votre métabolisme est déjà en difficulté, ces « bonnes graisses » vous feront perdre du temps. Je déconseille donc de consommer des noix ou des graines comme source de magnésium.
3. Privilégiez le glycinate de magnésium, le malate de magnésium ou le L-thréonate de magnésium à long terme. Ces formes sont bien tolérées et pénètrent efficacement dans vos tissus, là où elles sont essentielles. Le glycinate est apaisant, ce qui le rend idéal en cas de stress ou de troubles du sommeil.
Le malate favorise la production d'énergie, ce qui est utile en cas de fatigue constante. Le L-thréonate est fréquemment recommandé pour le sommeil, la mémoire et la concentration. Je déconseille l'oxyde de magnésium ; il passe généralement inutilisé dans l'organisme.
4. Utilisez le magnésium comme un outil, pas comme une béquille. Prendre des compléments alimentaires est judicieux, mais ne vous arrêtez pas là. Le magnésium est plus efficace lorsque vous réduisez votre stress, marchez quotidiennement, dormez profondément et consommez une grande variété d'aliments complets. Considérez-le comme une base, pas comme une solution. Soyez attentif aux signaux de votre corps et ajustez-le si nécessaire. Mais n'oubliez pas qu'une santé cérébrale optimale nécessite un mode de vie sain et complet .
RépondreSupprimerFAQ sur le magnésium et votre cerveau
Q : Que fait le magnésium pour votre cerveau ?
R : Le magnésium contribue à réguler les fonctions cérébrales en renforçant la barrière hémato-encéphalique, en réduisant l'inflammation et en protégeant les neurones de la surstimulation. Il joue également un rôle essentiel dans le maintien de la mémoire, de la concentration et de l'apprentissage en contribuant à stabiliser la signalisation nerveuse et à prévenir les dommages causés par un excès de calcium.
Q : Comment savoir si j’ai un faible taux de magnésium ?
R : Les signes courants incluent des troubles de la mémoire, un brouillard cérébral, de l'anxiété, des troubles du sommeil et de la fatigue. Bien qu'il existe des analyses sanguines pour vérifier le taux de magnésium sérique, elles ne sont pas toujours fiables, car la majeure partie du magnésium est stockée dans les tissus, et non dans le sang. De nombreuses personnes souffrent d'une carence en magnésium, et si vous êtes très stressé ou avez des problèmes intestinaux, vous n'en consommez probablement pas suffisamment.
Q : Puis-je obtenir suffisamment de magnésium uniquement à partir de l’alimentation ?
R : En théorie, oui, mais en réalité, ce n'est pas le cas pour la plupart des gens. L'épuisement des sols modernes signifie que même les aliments riches en magnésium en contiennent beaucoup moins qu'auparavant. De plus, seulement 30 à 40 % du magnésium ingéré est réellement absorbé. De nombreuses sources de magnésium, comme les noix et les graines, sont riches en acide linoléique, ce qui provoque un stress mitochondrial ; je ne les recommande donc pas. Pour ces raisons, une supplémentation en magnésium est bénéfique pour de nombreuses personnes.
Q : Quel est le meilleur type de magnésium à prendre ?
RépondreSupprimerR : Le glycinate de magnésium, le malate de magnésium et le L-thréonate de magnésium sont hautement assimilables et faciles à digérer. Le glycinate est idéal pour apaiser le système nerveux ou améliorer le sommeil. Le malate est plus efficace en cas de baisse d'énergie. Le L-thréonate est fréquemment recommandé pour le sommeil, la mémoire et la concentration. Commencez par trouver la dose idéale de citrate de magnésium, jusqu'à ce qu'il provoque des selles légèrement molles, puis passez à l'un de ces produits à long terme.
Q : Quelle quantité de magnésium dois-je prendre chaque jour ?
R : La plupart des adultes ont besoin d'au moins 400 mg par jour, mais la dose idéale varie selon les individus. La meilleure façon de déterminer votre dose personnelle est d'augmenter progressivement la dose de citrate de magnésium jusqu'à ce que vos selles commencent à se fluidifier, puis de la réduire légèrement. Ce niveau reflète le point de saturation de votre corps et est plus fiable que de se fier uniquement aux étiquettes.
*
Remarques
1, 2 Progrès en nutrition Août 2024, Volume 15, Numéro 8, Discussion
3 Revue européenne de nutrition 10 mars 2023
4 Maladie d'Alzheimer (NY). 1er février 2022 ; 8(1) : e12250
5 GrassrootsHealth 10 mars 2020
6 Instituts nationaux de la santé, Bureau des compléments alimentaires, Magnésium
https://www.globalresearch.ca/magnesium-slow-brain-aging-dementia-risk/5892667
Dernière minute : des scientifiques japonais confirment que les vaccins contre la COVID-19 provoquent un « turbocancer »
RépondreSupprimerPar Frank Bergman
Recherche mondiale,
25 juin 2025
Une nouvelle étude majeure menée par des scientifiques japonais de haut niveau a révélé que les « vaccins » à ARNm contre la Covid provoquent une propagation plus rapide et plus agressive des cancers tout en réduisant considérablement le taux de survie des patients.
L’étude confirme que les injections d’ARNm provoquent des « cancers turbo » – un phénomène que les responsables de la santé, les médias d’entreprise et les « vérificateurs de faits » louches tentent depuis longtemps de présenter comme une « théorie du complot » ou une « désinformation ».
Les chercheurs à l’origine de l’étude ont étudié les résultats des patients atteints de cancer dans les hôpitaux japonais.
Ils ont comparé les résultats des patients non vaccinés à ceux de ceux qui avaient reçu une injection contre la Covid.
L’étude a révélé que les patients vaccinés avaient un pronostic bien plus sombre, la gravité et l’accélération de la propagation du cancer augmentant avec les doses répétées.
Ils ont notamment constaté une aggravation spectaculaire du pronostic chez les patients atteints d’un cancer du pancréas (CP).
Dirigée par le Dr Makoto Abue du Miyagi Cancer Center de Natori, l'équipe de chercheurs renommés a publié les résultats de l'étude dans la revue PrePrints.
L’équipe a mené une étude majeure pour étudier les poussées de cancers à propagation rapide et très agressifs chez les personnes ayant reçu des vaccins à ARNm contre la Covid.
L’étude a révélé que le pronostic des patients atteints de cancer s’aggravait après chaque dose du « vaccin ».
L’étude a évalué les résultats cliniques et les marqueurs immunitaires chez 272 patients diagnostiqués entre 2018 et 2023.
Les chercheurs rapportent que les patients ayant reçu trois doses ou plus de vaccins à ARNm ont présenté une survie globale significativement plus courte.
De manière inquiétante, les chercheurs ont constaté que la période de survie moyenne était divisée par deux chez les personnes ayant reçu des « vaccins » contre la Covid.
La période de survie moyenne après un diagnostic de cancer du pancréas a chuté à 10,3 mois chez les patients vaccinés contre 20,8 mois chez les patients non vaccinés.
Cette découverte confirme que la durée de survie des patients « vaccinés » a été réduite de plus de 50 %.
RépondreSupprimerLes chercheurs notent également que les résultats de survie au cancer du pancréas se sont considérablement détériorés après 2021, coïncidant avec le déploiement du « rappel » Covid.
Parmi les « vaccinés », l’étude a révélé des taux sériques élevés d’IgG4 et une infiltration accrue de cellules T régulatrices Foxp3-positives (Tregs) dans le tissu tumoral.
Les chercheurs expliquent que ce profil immunologique suggère une immunité antitumorale supprimée.
Certains des meilleurs oncologues américains ont surnommé ce phénomène « cancer turbo ».
Les chercheurs ont mené une analyse rétrospective de 272 patients atteints d’un cancer du pancréas (cohorte A).
Un sous-ensemble de 96 patients a subi un test sérique d'IgG4 et une immunohistochimie Foxp3.
Une deuxième cohorte de 79 patients (cohorte B) a été utilisée pour évaluer les réponses des sous-classes d'IgG spécifiques aux pics.
La régression multivariée de Cox a confirmé que ≥ 3 vaccinations étaient un facteur pronostique négatif indépendant (HR 4,08, p < 0,001), aux côtés de variables connues telles que le stade avancé de la tumeur et l'absence de chirurgie.
Des niveaux élevés d’IgG4 étaient significativement associés à la fois à la fréquence de vaccination et à de mauvais résultats et corrélés aux niveaux d’IgG4 spécifiques aux pics (R² = 0,38).
L’étude a également observé une infiltration accrue de Treg (cellules Foxp3+) dans les tumeurs de patients hautement vaccinés ou à forte teneur en IgG4.
Cette découverte renforce un lien mécaniste entre la modulation immunitaire et la progression du cancer.
L’étude soulève des inquiétudes majeures concernant la vaccination à ARNm contre la Covid et la tolérance immunitaire chez les patients atteints de cancer.
Les chercheurs appellent désormais à une recherche plus approfondie sur les effets immunomodulateurs à long terme des vaccins à ARNm chez les patients atteints de cancer.
Nicolas Hulscher, épidémiologiste de renom de la Fondation McCullough, a donné son avis sur les conclusions de l'étude.
Il a analysé les résultats montrant l’écart de survie significatif entre les groupes de doses de vaccin, les résultats IgG4 et Treg, et l’utilisation de modèles multivariés et appariés par score de propension.
Hulscher prévient que l’étude a confirmé « un risque de décès accru de 300 % » pour les patients atteints de cancer vaccinés contre le Covid.
Il s’agit d’une étude provocatrice et techniquement sophistiquée qui soulève des préoccupations biologiquement plausibles.
L'étude fait suite à un aveu récent de la Food and Drug Administration (FDA) américaine concernant les « vaccins » contre le Covid.
RépondreSupprimerComme l’ a rapporté Slay News , la FDA a fait l’aveu explosif que les « vaccins » à ARNm contre le Covid sont remplis de contaminants qui ont déclenché une augmentation mondiale des cancers.
L'agence fédérale a fait cet aveu après qu'une étude de la FDA a confirmé que le « vaccin » à ARNm Covid de Pfizer contient des niveaux dangereux de contamination excessive de l'ADN.
D’éminents scientifiques avertissent depuis un certain temps que la recrudescence des cancers mortels parmi les personnes vaccinées contre le Covid était causée par des fragments d’ADN contenus dans les injections d’ARNm.
Ces avertissements ont maintenant été confirmés par une étude explosive menée dans le laboratoire de la FDA.
Des tests effectués sur le campus de White Oak de la FDA dans le Maryland ont révélé des niveaux choquants de contamination de l'ADN dans les « vaccins ».
Les niveaux d’ADN résiduel dépassaient jusqu’à 470 fois les limites de sécurité réglementaires.
Pendant ce temps, l’un des plus grands oncologues du monde tire la sonnette d’alarme après avoir lié « l’épidémie mondiale de cancers terriblement agressifs » à la protéine de pointe des « vaccins » à ARNm contre la Covid.
Le Dr Patrick Soon-Shiong , un chirurgien qui a gagné des milliards en inventant des médicaments contre le cancer, a lâché la bombe lors d'une nouvelle interview avec Tucker Carlson.
Soon-Shiong a expliqué que les cancers agressifs à développement rapide ont commencé à monter en flèche pendant la pandémie.
Il a décrit à Carlson comment la protéine de pointe du COVID-19 – et les « vaccins » à ARNm censés l’arrêter – pénètrent dans chaque cellule sanguine du corps humain, provoquant le cancer.
Carlson a noté de manière alarmante que des milliards de personnes dans le monde ont reçu des « vaccins » à ARNm contre la Covid.
Le Dr Soon-Shiong a répondu en révélant que cette pensée « me tient éveillé la nuit ».
« Cela me fait très peur », a-t-il ajouté.
- voir clip sur site -
Soon-Shiong a déclaré qu’il pensait que la recrudescence des cancers pourrait être l’une des plus grandes crises sanitaires de l’histoire de l’humanité.
https://www.globalresearch.ca/japan-confirms-covid-vaccines-cause-turbo-cancer/5892566
Des rapports publics font état d'un carnage généralisé de l'ARNm, de blessures massives et de décès dans les nouveaux sondages X
RépondreSupprimerPar Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
24 juin 2025
La semaine dernière, j'ai mené deux sondages indépendants sur X (anciennement Twitter) afin d'évaluer la perception du public concernant la campagne d'injection d'ARNm contre la COVID-19. Les résultats sont profondément inquiétants :
- voir doc sur site -
Dans un sondage réalisé sur mon compte X ( @NicHulscher ), 81,3 % des 1 229 répondants ont répondu « Oui » à la question :
« Avez-vous ou l’un de vos proches subi une blessure grave, un handicap ou un décès après avoir reçu une injection d’ARNm contre la COVID-19 ? »
Seulement 18,7 % ont répondu « Non ».
79 % pensent que les injections d'ARNm ont causé plus d'un million de décès
- voir doc sur site -
Un deuxième sondage X organisé par la Fondation McCullough (@McCulloughFund ) demandait :
« Selon vous, combien de décès sont survenus directement à la suite des programmes d’injection massive d’ARNm contre la COVID-19 ? »
Des 1 279 électeurs :
79 % ont répondu « Plus d’un million »
18 % ont répondu « 100 000 à 1 million »
Seuls 3 % des personnes interrogées estiment que le nombre de décès est inférieur à 100 000.
Cela implique que 97 % des personnes interrogées estiment que le programme d’injection massive d’ARNm contre la COVID-19 a causé au moins 100 000 décès , l’écrasante majorité estimant le bilan à plusieurs millions.
*
Bien qu’il s’agisse de sondages sur les réseaux sociaux et non d’enquêtes scientifiques randomisées, les résultats ne peuvent pas être simplement rejetés.
RépondreSupprimerNos gouvernements, nos agences de santé publique et nos sociétés pharmaceutiques doivent tenir compte d’une vague croissante d’Américains qui ne gardent plus le silence sur ce qu’ils ont vécu ou dont ils ont été témoins.
Trump, RFK et Makary partagent la responsabilité des vaccins contre la COVID-19 laissés sur le marché : voir ceci .
Il s'agit d'une crise nationale. Les Américains méritent reconnaissance, réparation et justice pour leurs souffrances.
- voir doc sur site -
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Nicolas Hulscher, MPH , épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
https://www.globalresearch.ca/public-reports-widespread-mrna-carnage-mass-injury-death/5892413
Le travail de fond de Robert Kennedy pour sauver la santé des américains
RépondreSupprimerle 25 juin 2025
par pgibertie
La réforme de l’assurance maladie
RFK Jr. a obtenu un accord historique avec les assureurs couvrant 257 millions d’Américains pour réviser le système d’autorisation préalable.
Six réformes majeures ont été promises :
normaliser les soumissions électroniques, réduire les services nécessitant une approbation d’ici à 2026, honorer les autorisations en cas de changement de régime, améliorer la transparence, étendre les décisions en temps réel d’ici à 2027 et veiller à ce que les refus cliniques soient examinés par des professionnels de la santé.
Contrairement aux efforts passés, cet accord comprend des mesures claires, des échéances et une surveillance de la CMS afin de responsabiliser les assureurs. « Nous avons des normes… et nous avons une surveillance », a déclaré M. Kennedy.
M. Kennedy a qualifié cet accord de « réalisation monumentale » et de solution attendue depuis longtemps pour remédier à un système défaillant.
La réforme du prix des médicaments
La représentante Dingell pensait avoir mis Kennedy dans le collimateur sur la question du prix des médicaments, puis il a démantelé son argument d’un seul coup. Mais la véritable tempête a éclaté lorsqu’il a dénoncé le représentant démocrate qui avait reçu plus d’argent de Big Pharma que n’importe quel autre membre du comité.
Avant de réparer un système défaillant, il faut être honnête quant à son état réel.
C’est ainsi que le secrétaire au HHS, Robert F. Kennedy Jr., a ouvert son témoignage devant le Congrès en dressant un bilan brutal de la crise sanitaire américaine.
C’était un avertissement.
« Les États-Unis restent le pays développé le plus malade », a-t-il déclaré.
« Et pourtant, nous dépensons 4 500 milliards de dollars par an pour la santé, soit deux à trois fois plus par habitant que les pays comparables. »
Kennedy a tiré la sonnette d’alarme : ce n’est pas seulement du gaspillage, c’est intenable.
C’est à ce moment-là que Kennedy a dévoilé sa proposition historique de budget en sept parties, un plan de réforme radical destiné à bouleverser le système de soins de santé.
RépondreSupprimerS’attaquer de front à la santé mentale et à la toxicomanie
« Ces problèmes rivalisent désormais avec les maladies chroniques en termes d’impact… Le HHS luttera énergiquement contre la crise des opioïdes, en particulier contre la propagation de drogues synthétiques telles que le fentanyl. »
Donner la priorité à la nutrition et aux modes de vie sains
« Le budget du président demande 94 milliards de dollars en fonds discrétionnaires pour soutenir ces priorités, y compris l’administration pour une Amérique saine. »
Assainir le système alimentaire américain
Nous donnerons à la FDA les moyens d’éliminer les substances chimiques nocives des aliments et des emballages et de combler le vide juridique concernant les substances GRAS (« généralement reconnues comme sûres »).
Réorienter les priorités de recherche des NIH et des CDC
« Nous mettrons fin aux expériences de gain de fonction et éliminerons le financement de la recherche basée sur l’idéologie radicale du genre. Au CDC, nous revenons à nos missions essentielles : suivre les maladies, enquêter sur les épidémies et réduire les gaspillages. »
Éliminer le financement de l’IED et lutter contre la pauvreté réelle
« Nous ne nous contenterons pas de belles paroles à l’égard des communautés de couleur, mais nous prendrons des mesures significatives pour répondre à leurs besoins.
Moderniser la cybersécurité et l’informatique de santé
« La révolution de l’IA est arrivée… Nous l’utilisons pour gérer les données de santé en toute sécurité et accélérer l’approbation des médicaments. »
Rétablir la confiance du public
« Une confiance qui s’est érodée au fil des années de captation de l’industrie, de gaspillage et de priorités mal placées. »
Les coûts de la santé augmentent plus vite que l’économie, et pourtant, les résultats se dégradent.
Les Américains paient plus cher pour rester malades.
RépondreSupprimer« Si nous n’enrayons pas cette tendance, nous condamnerons nos enfants à la faillite, à la servitude et à des conséquences sanitaires désastreuses. »
« Nous ne résoudrons pas ce problème en y investissant davantage », a-t-il ajouté.
« Nous devons dépenser plus intelligemment. »
Son objectif ?
Supprimez la bureaucratie, réorganisez les incitations et réorientez les fonds vers des choses qui améliorent réellement la santé, et pas seulement vers la gestion des maladies.
Le plan de Kennedy a fait l’effet d’un coup de tonnerre et les réactions négatives ont commencé presque immédiatement.
La corruption des politiques
Tout le monde dans la salle n’a pas accueilli favorablement la vision de M. Kennedy.
La députée Diana DeGette s’est concentrée sur la crainte que les scientifiques des NIH ne fassent l’objet de représailles s’ils s’expriment.
Elle a insisté auprès de M. Kennedy pour qu’il s’engage sans équivoque à ce qu’aucune mesure disciplinaire ne soit prise à l’encontre des signataires d’une lettre remettant en cause son leadership.
« La réponse devrait être facile, car c’est illégal », a-t-elle déclaré.
M. Kennedy a insisté sur le fait que son objectif était tout le contraire, à savoir que le ministère de la santé, sous sa direction, « s’engage à dépolitiser la science au sein des NIH pour la première fois ».
Il a ensuite dénoncé la politisation de la science à l’ère Biden dans toutes les agences.
C’est ce dont il s’efforçait de se débarrasser.
« L’administration Biden….Mme la présidente, l’administration Biden a politisé la science et je viens de vous donner trois des milliers d’exemples de la façon dont elle l’a fait.
Interrogé directement sur la lettre, il a répondu que c’était la première fois qu’il en entendait parler.
Puis, le représentant Frank Pallone est intervenu. Il était visiblement ébranlé par la position de Kennedy sur les vaccins.
Il s’est lancé dans une tirade, accusant le secrétaire Kennedy d’exclure le public des décisions politiques en matière de vaccins.
RépondreSupprimer« Vous avez pris un certain nombre de décisions importantes concernant les vaccins », a-t-il lancé.
« Il n’y a eu aucune consultation publique. Aucune responsabilité. »
Puis vint l’explosion : « De quoi avez-vous peur ?! Avez-vous seulement peur de recevoir des commentaires publics sur vos propositions ?! »
Kennedy, imperturbable, répondit fermement : « Nous disposons d’un processus public de réglementation des vaccins. Il s’agit du comité ACIP, et c’est un comité public. »
C’est à ce moment-là que Pallone a perdu le fil.
« Vous avez viré le comité ! Vous avez viré l’ACIP ! » a-t-il crié.
Mauvais mouvement.
Kennedy a répliqué sans sourciller : « J’ai licencié des gens qui étaient en conflit avec l’industrie pharmaceutique. »
Puis il a prononcé la phrase qui a mis fin à tout cela.
« Ce comité est un modèle en matière de faute médicale depuis 30 ans. »
Pallone a essayé de récupérer, mais il a continué à bégayer.
« Je… je… regarde, je, je… je ne peux pas… »
Et c’est ainsi que le manque de crédibilité a été mis à nu.
« Si je peux prendre une minute pour répondre à quelque chose que le député Pallone a dit… »
Il a rappelé à Pallone une conversation qu’ils avaient eue il y a 15 ans, lorsque Pallone était un ardent défenseur des familles lésées par les vaccins.
RépondreSupprimer« Vous avez été très catégorique à ce sujet », a déclaré Kennedy.
« Vous étiez le membre le plus influent du Congrès sur cette question. »
Puis vint la révélation choc :
« Depuis lors, vous avez accepté 2 millions de dollars de contributions de la part de sociétés pharmaceutiques, soit plus que tout autre membre de ce comité. »
Kennedy n’a pas accusé. Il a simplement souligné ce qui avait changé.
« Et votre enthousiasme à soutenir l’ancien comité de l’ACIP, qui était complètement envahi par les conflits pharmaceutiques, semble être le résultat de ces contributions. »
La salle s’est effondrée. Les démocrates ont tenté de le gronder .
Le président Buddy Carter a rappelé à l’ordre et a demandé à Kennedy de retirer ses propos.
Kennedy n’a pas protesté. Il a simplement souri et dit : « Ils se sont rétractés. »
Mais le mal était fait. Le chat était déjà sorti du sac.
Le scandale des enfants perdus
Puis vint un sujet sur lequel peu de gens à Washington aiment revenir : les plus de 340 000 enfants migrants non accompagnés perdus sous l’administration Biden.
Ce que l’administration précédente a permis au ministère de la santé et des services sociaux de faire est vraiment déchirant.
La députée Kat Cammack ne s’est pas retenue.
RépondreSupprimerElle a expliqué en détail comment le ministère de la santé et des services sociaux n’avait pas contrôlé correctement les sponsors et comment les forces de l’ordre s’étaient vu refuser l’accès à des données essentielles.
« Ces enfants ont été envoyés à des adresses peu sûres, voire inexistantes.
« Ils ont été exposés au trafic et à l’exploitation.
M. Kennedy n’a pas cherché à rejeter la faute sur les autres, mais il a expliqué ce qui n’allait pas.
« Ils ont privilégié la rapidité au détriment de la sécurité », a-t-il déclaré.
« Il y avait des raisons politiques à cela. Ils voulaient des centres de détention vides ».
Avec des détails horribles, il a décrit des trafiquants qui prenaient des dizaines d’enfants avec de fausses cartes d’identité et les envoyaient dans des parkings, des clubs de strip-tease et des parcs à conteneurs.
« Une personne a envoyé 42 enfants à une seule adresse », a déclaré M. Kennedy.
Il a promis d’y mettre un terme.
Sous sa direction, le ministère de la santé et des services sociaux exige désormais des tests ADN, des contrôles d’identité, des vérifications de revenus et des vérifications d’antécédents pour chaque parrain.
Aucune exception n’est tolérée.
Voilà à quoi ressemble l’obligation de rendre des comptes lorsque les caméras ne sont plus là.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
https://pgibertie.com/2025/06/25/le-travail-de-fond-de-robert-kennedy-pour-sauver-la-sante-des-americains/
Pouvons-nous vraiment rendre l'Amérique à nouveau saine ?
RépondreSupprimerDr McCullough sur scène à Temecula, Californie
Peter A. McCullough, MD, MPH
25 juin 2025
Appréciez cette présentation du Dr McCullough lors d'un événement MAHA à Temecula, en Californie. L'introduction est provocatrice. Les Américains étaient-ils vraiment en meilleure santé il y a quelques décennies ? Prenons les années 1960 comme point de référence, en prenant d'abord les adultes, puis les enfants.
Dans les années 1960, plus de 50 % de la population fumait. L'Américain adulte moyen ne faisait pas de choix alimentaires sains en toute conscience et aucun effort public n'était enregistré en matière d'exercice physique. Pourtant, le taux d'obésité était de 13 %. En 1960, l'espérance de vie moyenne aux États-Unis était d'environ 69,77 ans. Plus précisément, l'espérance de vie des hommes était d'environ 66,6 ans, tandis que celle des femmes était d'environ 73,1 ans.
En 2025, des secteurs entiers s'appuient sur une alimentation saine, les salles de sport, le yoga, les clubs de course à pied, les courses, etc. Grâce aux soins de santé modernes, l'espérance de vie moyenne des Américains devrait être d'environ 79,4 ans. Il s'agit d'une légère augmentation par rapport aux 79,25 ans estimés pour 2024. Cependant, certaines sources prévoient également une moyenne légèrement inférieure de 78,6 ans pour 2025, en baisse par rapport aux 78,8 ans de 2024. Et ce, malgré un taux d'obésité qui a grimpé en flèche à 43 %. Environ 70 % des Américains ont été entièrement vaccinés contre la COVID-19, la plupart en 2021, ce qui suscite de vives inquiétudes quant à l'apparition de maladies futures.
- voir clip sur site -
Par conséquent, pour les adultes, l'objectif MAHA devrait être remplacé par l'objectif « Make America More Healthy » (MAMH), notamment en matière de perte de poids. Il est important de noter que les adultes n'étaient pas en meilleure santé en 1960 qu'aujourd'hui. La plupart d'entre nous ne consultent pas leurs parents pour obtenir des conseils en matière de régime alimentaire ou d'exercice physique. Qu'en est-il des enfants ?
Dans les années 1960, le taux de maladies allergiques était mal connu. Cependant, on estime que les troubles allergiques et neuropsychiatriques (troubles du déficit de l'attention avec hyperactivité, troubles du spectre autistique, tics, etc.) étaient bien inférieurs à 1 %. En 1970, le taux d'obésité infantile était estimé à 5 %.
RépondreSupprimerEn 2025, selon les CDC, le taux d'asthme est de 7 %, celui de TDAH de 11 % et celui d'autisme de 3,2 %. Aux États-Unis, environ 19,7 % des enfants et adolescents âgés de 2 à 19 ans sont touchés par l'obésité, selon les CDC. Environ 32 % des enfants âgés de 5 à 11 ans ont été entièrement vaccinés contre la COVID-19, ce qui engendre de nombreux problèmes de santé et de fertilité.
Par conséquent, pour les enfants, MAHA devrait être remplacé par Make America’s Children Healthier Again (MACHA), car les enfants étaient réellement en meilleure santé il y a des décennies.
Nous vous invitons donc à profiter du discours d'ouverture du Dr McCullough lors de la Conférence MAHA 2025 sur la liberté médicale, qui s'est tenue à l'église 412 de Temecula Valley le 21 juin 2025. Avec l'aimable autorisation du Dr Syliva Gisi, de Rod Gisi et du pasteur Tim Thompson. Pour accéder à l'intégralité de la conférence, y compris la table ronde, cliquez sur ce LIEN.
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Peter A. McCullough, MD, MPH
Président, Fondation McCullough
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Le charme puissant des armes et des vaccins
RépondreSupprimerLes drames fascinants de la guerre contre les étrangers et de la lutte contre les maladies infectieuses sont ancrés dans la même psychologie.
John Leake
25 juin 2025
La deuxième strophe de l'Iliade informe le lecteur qu'il s'agira d'une histoire de combats entre humains. Étonnamment, le conflit principal n'est pas la guerre entre les Grecs et les Troyens, mais entre Agamemnon et Achille. À ce conflit destructeur s'ajoute la peste, qui frappe l'armée grecque.
L'histoire commence par l'affrontement entre Agamemnon, le seigneur de guerre grec, et le divin Achille.
Lequel des immortels a mis ces deux-là à la gorge ?
Apollon… offensé par le seigneur de guerre.
Agamemnon avait déshonoré
Chrysès, le prêtre d'Apollon, alors le dieu
a frappé le camp grec de peste,
et les soldats en mouraient.
Ainsi, nous constatons que le premier grand récit de la littérature occidentale met en scène des humains en lutte les uns contre les autres, frappés simultanément par une maladie infectieuse.
Dans notre nouvel ouvrage, Vaccins : Mythologie, idéologie et réalité, nous démontrons que, dès les débuts de l’industrie vaccinale au XVIIIe siècle, les vaccins ont été conceptualisés comme des armes de lutte contre les maladies infectieuses, tandis que ces dernières ont été assimilées à une armée d’invasion.
Pour comprendre la fascination fascinante que les armes exercent sur l’esprit humain, il faut savoir que les États-Unis dépensent aujourd’hui près de mille milliards de dollars par an en armement. Faire la guerre et développer des armes a toujours été l’une des principales occupations et motivations de l’homme.
La caractéristique la plus frappante et la plus étonnante de la condition humaine est que, malgré tous nos progrès dans le développement de civilisations qui nous protègent des éléments hostiles de la nature, nous n’avons rien fait pour surmonter notre nature combative, au lieu de développer des moyens plus sophistiqués de résolution des conflits.
RépondreSupprimerLes joutes verbales inutiles que nous observons en Europe de l'Est et au Moyen-Orient sont identiques à l'inimitié destructrice entre Achille et Agamemnon. En matière de résolution de conflit, l'humanité n'a rien appris depuis le VIIIe siècle avant J.-C.
Au contraire, nos avancées technologiques en matière d'armement – notamment les avions, les missiles et les drones – nous ont permis de dépersonnaliser l'ennemi bien plus que les hommes du passé qui luttaient au corps à corps.
Je me souviens que mon grand-père me racontait, vers 1985, qu'il était encore hanté par la vision des très jeunes soldats allemands qu'il avait tués alors qu'il servait comme fantassin dans le nord de l'Italie en 1945.
« Certains d'entre eux étaient encore complètement imberbes », disait-il.
Comme ils se battaient avec des fusils et des grenades plutôt qu'avec des bombes larguées d'avions, ils se voyaient réellement.
Au lieu de développer des moyens plus sophistiqués de coopération et de résolution des conflits, les humains préfèrent développer des armes toujours plus destructrices pour intimider, détruire et soumettre leurs semblables.
L'histoire de la lutte de l'homme contre les maladies infectieuses est plus complexe et paradoxale. En effet, alors que la profession médicale s'est focalisée sur le développement de vaccins, les véritables vainqueurs des maladies infectieuses sont les avancées majeures suivantes, réalisées en Occident entre 1870 et 1943 environ :
1) La nutrition (augmentation significative de la disponibilité alimentaire et de la teneur en nutriments) a considérablement amélioré la santé publique et la résistance aux maladies. L'enrichissement du lait en vitamine D dans les années 1930 a renforcé la santé immunitaire des enfants. La gravité de la malnutrition par le passé, catastrophique pour la santé immunitaire, est attestée par le fait que le scorbut et le rachitisme étaient encore fréquents chez les pauvres jusqu'au XXe siècle.
2) L'assainissement public, grâce à des réseaux d'égouts modernes installés pour évacuer les effluents des villes et de leur eau potable, a largement éradiqué le choléra et la fièvre typhoïde dès 1900. Aux États-Unis, des campagnes d'assainissement public contre les gîtes larvaires des moustiques ont largement éliminé la fièvre jaune dès 1906. Dans le Sud des États-Unis, une campagne agressive d'assainissement public visant à construire des latrines a permis d'éradiquer en grande partie l'ankylostome dès 1955.
RépondreSupprimer3) Des infrastructures d'approvisionnement et de traitement de l'eau (filtration et chloration) sécurisées.
4) La pasteurisation, la réfrigération et d'autres mesures d'hygiène pour la production, le transport et le stockage du lait et d'autres produits alimentaires ont été mises en place.
5) L'amélioration des logements (chauffage, ventilation et plomberie améliorés) pour les travailleurs urbains pauvres. Les toilettes, le savon, l'eau chaude et la lessive pour le linge de lit et les vêtements sont devenus des équipements ménagers courants.
6) Le droit du travail a réduit les conditions de travail dangereuses et stressantes, notamment les horaires de travail excessifs.
7) L'introduction des sulfamides dans les années 1930, de la pénicilline en 1943 et de l'érythromycine en 1952 a réduit la mortalité due aux infections bactériennes, notamment la diphtérie, la coqueluche et le tétanos.
Comme nous le soulignons dans notre livre :
Dans son ouvrage de 1988, « Les origines des maladies humaines », le médecin, épidémiologiste et chercheur en médecine britannique
https://www.thefocalpoints.com/p/the-potent-charm-of-weapons-and-vaccines?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=166792943&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Faut-il " trader" la vie humaine avec des programmes d'immunisation ?
RépondreSupprimerLes Américains ont demandé de risquer leur vie avec l'aiguille pour « économiser des millions »
Peter A. McCullough, MD, MPH
24 juin 2025
Récemment, sur la scène de l'église 412 à Temecula, en Californie, j'ai fait une déclaration qu'aucun fonctionnaire du gouvernement n'a prononcé depuis le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19 : « Aucune personne en bonne santé ne devrait abandonner sa vie avec la vaccination pour la protection théorique de la population. » Les têtes se baladèrent de haut en bas dans le public. USA Facts a récemment révélé que seulement 70 % de la population américaine à une époque a été complètement vaccinée (2 injections d'ARNm, 1 ADN adénoviral) contre le SARS-CoV-2. Donc la protection théorique au mieux était de six mois pour 70%. Cela valait-il ne serait-il qu'une seule vie américaine perdue ? Qui décide ?
State of Maine Follows Updated U.S. CDC Recommendations For Face Coverings In Indoor Public Settings – York County Community Action Corp.
État du Maine, message de santé publique 2 août 2021
C'est un thème central dans notre nouveau livre : Vaccins : Mythologie, Idéologie et Réalité.
Le mot vaccin fait référence à diverses technologies d'intervention dans la biologie complexe de l'organisme pour induire une immunité contre divers agents pathogènes. Nous évaluons les vaccins les plus célèbres au cas par cas; nous ne rejetons pas l'ensemble du concept. Prévenir toute souffrance, tout handicap et tout décès est une excellente entreprise, et nous prenons dûment en considération la protection vaccinale contre des conditions terribles telles que la poliomyélite paralytique et le syndrome de la rubéole congénitale. Cependant, la valeur des vaccins est clairement diminuée s'ils ont des effets secondaires à l'origine de l'invalidité et de la mort. Il est là de l'importance cruciale de déterminer et de peser les avantages et les risques des vaccins, en particulier lorsqu'ils sont chargés de fréquenter l'école et la fréquentation scolaire.
Dès le début de la vaccinologie, les principaux acteurs impliqués ont été rapidement pris dans des revendications audacieuses, un orgueil, de la richesse et un pouvoir énorme. En ce qui concerne la santé publique, c'est un mauvais breuvage. L'orthodoxie médicale et le public se sont habitués à accepter des vaccins basés sur la foi, et non sur des tests d'hypothèses scientifiques formels, des analyses et des déductions statistiques. Il n’est pas étonnant que la campagne de vaccination contre le Covid-19 soit devenue une atrocité mondiale. S'il vous plaît, prenez votre exemplaire de notre livre maintenant. Il deviendra essentiel à votre collection sur ce sujet avec des chronologies, et des chiffres colorés que vous n'oublierez pas.
S'il vous plaît, abonnez-vous à FOCAL POINTS en tant que membre payant (5 dollars par mois) ou à un membre fondateur afin que nous puissions continuer à vous apporter la vérité.
RépondreSupprimerPeter A. McCullough, MD, MPH
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L'USDA se prépare à vacciner massivement les volailles contre la grippe aviaire, ignorant les avertissements scientifiques et publics.
RépondreSupprimerMalgré l'opposition publique de RFK Jr., l'USDA prévoit de vacciner massivement les volailles, une mesure susceptible de provoquer des mutations et de déclencher une pandémie humaine. Nicolas Hulscher, MPH
24 juin 2025
Par Nicolas Hulscher, MPH
Malgré les assurances données par RFK Jr. il y a quelques mois à peine, selon lesquelles son administration rejetterait les campagnes dangereuses de vaccination contre la grippe aviaire en raison de préoccupations liées aux mutations…
INFO - RFK Jr. et les agences fédérales de santé s'opposent judicieusement à la vaccination animale massive contre le virus H5N1 en raison de préoccupations liées aux mutations
INFO - RFK Jr. et les agences fédérales de santé s'opposent judicieusement à la vaccination animale massive contre le virus H5N1 en raison de préoccupations liées aux mutations
Nicolas Hulscher, MPH
7 mars
Lire l'article complet
« Mes trois agences de santé – le NIH, les CDC et la FDA – et leurs directeurs par intérim – ont toutes recommandé de ne pas utiliser le vaccin contre la grippe aviaire.»
… le ministère de l'Agriculture des États-Unis (USDA) élabore actuellement un plan de vaccination massive des volailles contre la grippe aviaire H5N1.
Reuters a révélé l'information le 20 juin 2025, confirmant que l'USDA élabore actuellement un plan écrit pour vacciner la volaille, tout en tentant d'apaiser les craintes de ses partenaires commerciaux concernant les exportations de viande vaccinée. Ce plan devrait être finalisé en juillet.
Les producteurs d'œufs et de dindes, dévastés par des abattages massifs inconsidérés, font pression pour l'approbation du vaccin. Les producteurs de viande de poulet s'y opposent, avertissant que les pays pourraient suspendre complètement les importations de volaille américaine.
Un désastre sanitaire en perspective
RépondreSupprimerLes vaccins proposés (qu'ils soient à ARNm ou à base d'antigènes) ne sont pas stérilisants, ce qui signifie qu'ils n'empêchent ni l'infection ni la transmission.
Cela ouvre la voie à un glissement antigénique : le virus évolue rapidement sous la pression immunitaire, devenant plus virulent et potentiellement transmis à l'homme.
Une étude récente de Li et al. a révélé que la vaccination massive des volailles contre le virus H5N1 avec un vaccin non stérilisant lors d'une pandémie animale généralisée peut accélérer l'évolution virale, conduisant à des souches plus virulentes et augmentant le risque de pandémie humaine.
Read et al. ont constaté qu'une vaccination imparfaite peut favoriser la transmission d'agents pathogènes hautement virulents, démontrant que des vaccins non étanches chez les volailles ont permis la survie et la propagation de souches hyperpathogènes du virus de la maladie de Marek.
Problèmes de toxicité et de transparence
Cuits ou non, les résidus de vaccin peuvent survivre et contaminer les aliments.
Aucune exigence d'étiquetage n'existe pour indiquer aux consommateurs si les volailles ont été vaccinées.
Les Américains consommeront sans le savoir de la viande vaccinée, sans aucun test de sécurité ni données à long terme.
Avec autant de risques connus et de conséquences inconnues, le projet de vaccination massive de notre alimentation ne devrait même pas être envisagé.
J'aborde tout cela et bien plus encore sur Brannon Howse Live.
RépondreSupprimerNicolas Hulscher, MPH
Épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough
www.mcculloughfnd.org
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à suivre la Fondation McCullough et mon compte personnel sur X (anciennement Twitter).
https://www.thefocalpoints.com/p/usda-preparing-to-mass-vaccinate?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=166737727&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Énergie; la position de bon sens d’Henri Proglio pour éviter la catastrophe ,les politiques auront ils l’intelligence de comprendre ?
RépondreSupprimerle 24 juin 2025
par pgibertie
« Il faut revenir à un système intégré d’EDF, avec un prix national et un prix pour l’export », assure-t-il, s’appuyant sur la décision de l’Espagne, pendant la crise énergétique, de sortir partiellement du modèle européen de fixation des prix.
https://www.bfmtv.com/economie/arreter-les-eoliennes-et-sortir-du-marche-europeen-de-l-electricite-les-propositions-chocs-de-l-ancien-pdg-d-edf_AN-202506240066.html?at_brand=BFMTV&at_compte=bfmbusiness&at_plateforme=twitter&at_campaign=Fan_pages&at_medium=Community_Management
A la question du « juste prix de l’électricité », Henri Proglio a expliqué que lors de son mandat à la tête d’EDF (2009-2014), le coût de production du nucléaire était estimé à 60 €/MWh, démantèlement des centrales compris, et une « petite marge » pour EDF.
Il a pointé du doigt la politique du PDG sortant, Luc Rémont, dont la vision de tirer les prix à la hausse pour maximiser les profits d’EDF n’était pas compatible avec les missions de services publics de l’entreprise. Il n’a pas tardé à exposer sa vision à son successeur, Bernard Fontana qui l’a rencontré la semaine dernière.
Henri Proglio n’est pas non plus tendre avec les dirigeants politiques. « Ils ont sacrifié le nucléaire alors que sa compétitivité est un élément clé de notre économie », a-t-il ajouté.
Il estime qu’Emmanuel Macron n’a « aucune vision » de politique énergétique. Les deux hommes n’ont jamais entretenu de bonnes relations. Lorsqu’il était ministre de l’Economie, entre 2014 et 2016, Emmanuel Macron avait contribué à ne pas renouveler Henri Proglio à la tête d’EDF et l’avait ensuite chassé de la présidence de Thales.
Très radical, il estime qu’il « faut arrêter les énergies renouvelables dont les subventions pèsent trop sur le prix de l’électricité ». Mais plus étonnant pour celui qui avait signé la construction des deux EPR britanniques d’Hinkley Point, il milite désormais pour cesser le programme des nouveaux réacteurs, dits « EPR2 ».
« Ce modèle n’est pas prêt et l’EPR est un modèle de réacteur inconstructible », assure Henri Proglio qui a toujours critiqué l’EPR. Il pousse pour repartir de zéro pour qu’EDF conçoive un nouveau réacteur, plus petit, d’environ 1000 MW contre 1600 MW pour l’EPR.
« Les réacteurs de cette taille sont plus faciles à construire, moins chers et s’exportent mieux », argumente-t-il.
RépondreSupprimerUn discours qui circule très largement chez EDF depuis quelques mois. Une partie des dirigeants de l’entreprise assurent, sous couvert d’anonymat, que la filière nucléaire n’est pas en ordre de marche pour relancer un nouveau parc. L’ancien PDG d’EDF juge que la France doit prolonger les réacteurs actuels vingt ans de plus, au-delà de la limite actuelle de 60 ans d’exploitation. Cette prolongation de 20 ans donnerait du temps à EDF de concevoir et construire ce nouveau réacteur de moyenne puissance.
Le discours d’Henri Proglio ressemble mot pour mot aux propositions du Rassemblement national exprimé lors du débat parlementaire sur la politique énergétique.
« Je parle avec tout le monde », nous confirme-t-il sobrement. L’ancien PDG d’EDF assure ne pas connaitre le président du RN, Jordan Bardella, manière de souligner qu’il connait en revanche très bien Marine Le Pen qu’il a rencontrée à plusieurs reprises ces dernières années. Son discours est largement repris par le député de la Somme, Jean-Philippe Tanguy, qui traite les questions énergétiques au RN.
« Il faut arrêter les éoliennes car elles ne fonctionnent pas et coûtent très cher […] et la facture d’électricité a explosé depuis que les énergies intermittentes se sont déployées, a déclaré le député RN jeudi dernier sur BFM Business. Il faut mieux utiliser les centrales et augmenter leur taux d’exploitation ».
Reprenant les idées d’Henri Proglio, Jean-Philippe Tanguy a également déposé à l’Assemblée nationale un amendement proposant un « prix national correspondant au prix moyen pour le consommateur, calculé en fonction du coût de production ».
Le député RN s’appuie aussi sur les préconisations de l’ancienne présidente d’Areva. Anne Lauvergeon estime qu’EDF peut augmenter la productivité de ses réacteurs de 30 % dans son livre « Un secret si bien gardé » (Grasset). Le Rassemblement national réalise l’exploit de réunir les pires ennemis de la filière nucléaire, l’ancien PDG d’EDF et l’ex-présidente d’Areva.
https://pgibertie.com/2025/06/24/energie-la-position-de-bon-sens-dhenri-proglio-pour-eviter-la-catastrophe-les-politiques-auront-ils-lintelligence-de-comprendre/
Pourquoi Anne Lauvergeon (en poste en 2011) n'a t-elle jamais avoué la véritable cause de la catastrophe de Fukushima le (11 Mars 2011) ?
SupprimerPourtant il était si simple de dire la vérité ! Un tremblement de terre ('Tsunami' en japonais) en océan Pacifique à l'Est du Japon a secoué toute l'île. Cette secousse (magn.9) a fait casser/déboîter les tuyaux d'approvisionnement en eaux des réacteurs. Donc: plus d'eau aux réacteurs = hausse intérieure des températures passant au fil des heures de 300°C à 3000°C ! TOUT a fondu ! Les crayons verticaux de 4 m (contenant 400 pastilles d'Uranium de 7 gr chacune) ont fondu avec le contenant en zirconium. Ce corium a fondu le cuvier pour passer sous terre. Cette fonte a libéré de l'hydrogène... et boum ! le couvercle a sauté libérant des milliards de nano-particules radioactives dans l'atmosphère.
Puis, les nano-particules se sont éloignées de Daiichi vers le Pacifique avec le Jet-Stream Ouest-Est. Le vent est passé au Nord des USA et Sud du Canada puis l'Atlantique. Puis arrivées en Europe du Nord jusqu'en Autriche ou le vent effectue alors une boucle vers le sud Grèce-Italie pour finir en Espagne-Nord-Maroc.
Pourquoi tour ce 'remue-ménage' ?
Les tuyaux d'approvisionnement en eaux étaient... au sol !! NON-MONTÉS SUR VÉRINS !!
LA boulette ! des 'ingénieurs de la TEPCO japonaise !
21ème conférence AZK le samedi 26 juillet 2025 – Ensemble, brisons le mur de la censure - INSCRIVEZ-VOUS DÈS AUJOURD'HUI
RépondreSupprimer24.06.2025
www.kla.tv/38048
Notez en grand la date du 26 juillet 2025 dans votre calendrier.
Ce jour-là, l'AZK écrira pour la 21ème fois l'histoire de notre temps - et vous pourrez y assister en direct !
21ème AZK
depuis 2008, l'une des plus grandes plates-formes d'Europe pour le dévoilement.
Inscrivez-vous auprès de nous ! Nous vous dirons où vous pourrez participer près de chez vous !
INSCRIVEZ-VOUS ICI : www.anti-zensur.info/azk21/#fr [ br]
Des lanceurs d'alerte courageux et des experts de haut niveau dévoilent à l'AZK des faits qui sont occultés par le système - mais seulement jusqu’à ce que l’AZK, avec nous, brise le mur de la censure !
Comme d'habitude, le choix des intervenants est une surprise. Ivo Sasek, le fondateur de l'AZK, dirigera la conférence. Un programme musical varié accompagnera la journée.
Traduction simultanée en diverses langues.
Se déroule sur toute la journée - tout est offert, y compris la restauration.
Participant à l'AZK :
Une telle énergie !
Et les gens sont géniaux.
C'est comme une grande famille - j'ai toujours la chair de poule...
J'ai également adoré le fait que nous ayons pu nous mettre en réseau entre personnes ayant les mêmes idées. Oui, c'était un vrai effet WAOUH.
Ivo Sasek a ému mon cœur parce qu'il ne s'adresse pas seulement à l'homme, c'est-à-dire à la corporalité, mais aussi à l'esprit et à l'âme. Et bien sûr, la musique, la musique aussi est fantastique !
Un collaborateur de l'AZK de votre région vous informera sur les possibilités de participation et vous fournira de plus amples informations ! Rencontrez des personnes de votre région qui partagent les mêmes idées que vous lors de la 21ème AZK ! 21ème AZK - une opportunité unique - un temps fort international ! Inscrivez-vous dès aujourd'hui sur www.anti-zensur.info/azk21/#fr
de es.
Sources/Liens :
https://www.kla.tv/fr
La censure a toujours été un problème mondial quant à la liberté d'expression. Il est interdit de parler, d'exprimer SES idées, de contredire la dictature en place. Parce que VOUS ÊTES PRIS POUR DES CONS ! et, SEULE la dictature des trisomiques hégémonistes en place se dit (plus intelligente que vous ! (8 milliards de cervelles).
SupprimerFinalement une éolienne c’est comme Macron, on trouve ça d’abord nouveau, puis que c’est inutile, que ca brasse du vent, que ca coûte un pognon de dingue
RépondreSupprimerle 25 juin 2025
par pgibertie
Protéger la facture du peuple des délires politiciens GAUCHOS MACRONIENS est notre honneur ! 300milliards à économiser , et si on écoutait Louis Gallois ?
@dupontaignan
Tout est dit ! Sauf que certains le disent depuis le début, en essuyant tous les mots en « istes » du vocabulaire ! Finalement une éolienne c’est un peu comme Macron, on trouve ça d’abord nouveau, puis on se rend compte que c’est inutile, que çà brasse du vent, que ca coûte un pognon de dingue et que c’est lié à plein d’intérêts financiers opaques…
M. Louis Gallois. La prochaine PPE est pour le moins surprenante. Aucune modification n’a été apportée à ce que l’on a connu par le passé. Certes, le nucléaire est mentionné – c’est déjà un progrès –, mais on continue de vouloir développer les énergies renouvelables dans des conditions financières qui n’ont pas été appréciées ; leur coût complet n’est pas mis sur la table. Nous savons que 40 des 100 milliards que Réseau de transport d’électricité (RTE) doit investir dans les nouveaux réseaux sont affectés aux éoliennes offshore. Or cet investissement est pris en compte, non pas dans le coût des énergies renouvelables, mais dans celui des réseaux : c’est le tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité (Turpe) qui assurera son financement. Cette PPE mériterait donc d’être davantage travaillée, si je puis me permettre, et ne devrait pas être publiée trop rapidement.
Sur EDF, j’apporterai une petite nuance à ce qu’a dit mon voisin. L’Arenh a joué son rôle pour les électro-intensifs, mais c’était un mécanisme infernal pour ce qui était de sa partie réservée aux producteurs d’électricité dits nouveaux, lesquels n’étaient en fait que des intermédiaires qui prenaient leur marge. De fait, ils achetaient le mégawattheure 42 euros et le revendaient au prix du marché, qui pouvait atteindre 60 ou 70 euros. Il a fallu que, dans son immense sagesse, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) s’aperçoive de cette difficulté pour prendre quelques sanctions. J’ajoute que, pour abonder l’Arenh, EDF était obligé d’acheter de l’électricité sur le marché et de le revendre 42 euros le mégawattheure ! Un tel mécanisme ne pouvait pas perdurer.
M. Louis Gallois. Par ailleurs, je ne crois pas qu’à ce jour, nous ayons pris un retard très important sur le programme nucléaire puisque l’avant-projet détaillé du réacteur de type Evolutionary Power Reactor 2 (EPR2) n’est pas encore achevé. C’est un projet très complexe : il s’agit de simplifier l’EPR pour qu’il soit moins coûteux. Le travail administratif se poursuit. Je souhaite que lorsqu’EDF annoncera que le programme est prêt, il puisse être lancé immédiatement. Les opérations de génie civil ont débuté sur le site de Penly, mais il ne faut pas que les obstacles administratifs ou les lenteurs du processus de décision paralysent le chantier. Encore une fois, tant qu’EDF n’a pas achevé l’avant-projet détaillé et remis son devis, le programme ne peut pas être lancé.
M. Alexandre Loubet, rapporteur. Non seulement la PPE, qui nous sera imposée par décret, va dilapider des dizaines de milliards d’euros dans des énergies intermittentes qui fragilisent le parc nucléaire existant – puisque les corrosions sous contrainte seraient dues précisément à l’intermittence –, mais celles-ci ne garantissent pas la sécurité de l’approvisionnement électrique du pays en toutes circonstances.
RépondreSupprimerMonsieur Gallois, vous préconisez, dans votre rapport, de mener des recherches sur l’exploitation des gaz contenus dans notre sous-sol. Ceux-ci pourraient produire une rente intéressante, qui assurerait des recettes à l’État et permettrait, pourquoi pas, de financer l’industrie nationale. Un rapport commandé en 2012 par M. Montebourg évaluait à 100 milliards sur trente ans le montant de la rente qu’offrirait l’exploitation – bien entendu, par des méthodes très écologiques – des gaz de schiste français.
M. Louis Gallois. Je ne suis pas contre les énergies renouvelables ; j’estime qu’elles n’ont plus besoin d’être subventionnées. Par ailleurs, la question de leur priorité d’accès au réseau doit être abordée d’une manière très simple : il s’agit de mettre sur le réseau l’électricité au coût marginal le plus faible, qu’elle soit issue d’énergies renouvelables ou non. Il arrive que ce soit le solaire, mais c’est très souvent le nucléaire – surtout si l’on prend en compte le véritable coût marginal.
S’agissant des gaz de schiste, la formule que j’ai employée était ambiguë – elle contenait une certaine dose d’hypocrisie : j’ai indiqué qu’il fallait relancer non l’exploitation, mais la recherche, pour savoir si ces gaz existaient. Cela m’a valu une avalanche de coups de trique sur le dos. Mais nous aurons encore besoin de gaz pendant trente ans. Si nous sommes capables de l’exploiter dans des conditions écologiquement acceptables sur le sol national, pourquoi ne pas le faire ?
Mme Florence Goulet (RN). L’ancien État stratège, doté d’une vision de l’aménagement du territoire, a cédé la place à des baronnies qui se sont constituées à la faveur de la décentralisation et sont directement branchées, si je puis dire, sur l’Union européenne. Cette complexité territoriale n’est-elle pas elle-même un frein à la réindustrialisation ?
M. Louis Gallois. L’État stratège ne peut pas être celui qu’il était dans les années 1960 ou 1970 : la mondialisation s’est développée, nos industries sont davantage exposées à la compétition internationale… J’ai connu l’époque où M. Monod pouvait imposer à une entreprise d’implanter une usine à un endroit donné. En tant que directeur général de l’industrie, j’aurais rêvé de pouvoir faire cela, mais nous n’en sommes plus là.
Cela ne signifie pas pour autant que l’État n’ait aucun rôle à jouer. Il a une responsabilité en matière d’aménagement du territoire : il doit créer les conditions propices à l’accueil des industries. Nous avons étudié les raisons pour lesquelles certains territoires attirent les industries, et nous nous sommes aperçus que ces territoires vont bien parce que des personnes ont relayé leurs énergies : MM. Vitrat et Malvy à Figeac ou M. Méhaignerie à Vitré, par exemple. Je pense également à la Vendée militaire ou au bassin d’Oyonnax. Il faut les accompagner, notamment en veillant à ce que le territoire dispose de logements, d’écoles, de services publics, de transports… À Castres, par exemple, l’autoroute A69 est nécessaire. Je suis également favorable au contournement de Nîmes, pour permettre au bassin d’Alès d’avoir un accès direct à l’autoroute. Telle est, selon moi, la nouvelle responsabilité de l’État : il doit faire en sorte que les conditions d’accueil de l’industrie soient bonnes, notamment en assouplissant davantage les règles applicables au foncier car, actuellement, le préfet qui prend une mesure d’assouplissement reçoit une volée de bois vert dans les médias. L’État doit également jouer un rôle en matière d’innovation et de recherche. BPIFrance est une émanation de l’État.
RépondreSupprimerM. Pierre-André de Chalendar. La commande publique est également un outil précieux.
M. André Gallois. J’ose à peine le dire devant mon voisin : l’État doit planifier son action, de manière que les industriels aient une visibilité sur ses projets, tout en laissant vivre les énergies des territoires.
M. Alexandre Loubet, rapporteur. Monsieur de Chalendar, vous avez évoqué le fameux MACF. Dans une de ses études, La Fabrique de l’industrie précise qu’en taxant les matières premières, les utilités comme l’acier ou l’aluminium, on pénaliserait l’industrie européenne et qu’il faudrait donc taxer plutôt les produits finis ou semi-finis pour éviter d’inciter les industriels à aller construire des voitures en Turquie, par exemple. Qu’en pensez-vous ? Quels pourraient être, selon vous, les mécanismes intelligents de protectionnisme économique ?
Proglio (ex patron EDF), Accoyer (ex Pdt AN), Gallois (ex patron SNCF&Airbus), André Merlin (fondateur RTE, transport électrique fr.) et l’Academie des Sciences SONT TOUS PRO – #gueux : pour l’arrêt de la folie ruineuse des renouvelables voulues par Macron, pour le MORATOIRE rejeté hier par 377 députés dont les macronistes qui, sur ordre du président, ont sabordé la PPE afin que la technocratie reprenne la main par décret.
RépondreSupprimerCe sabordage dans les règles du parlement est une forme de coup d’Etat de la bureaucratie qui veut agir par décret, en roue libre, pour imposer sa vision qui fera doubler votre #factureselectricite SAMEDI PROCHAIN LES #gueux avec les gueux des Mers et de la Terre (#artisanspecheurs
@coordinationrur ) commencent la résistance de la nation dans 4 ports. Protéger la facture du #peuple des délires politiciens est notre honneur !
https://pgibertie.com/2025/06/25/finalement-une-eolienne-cest-comme-macron-on-trouve-ca-dabord-nouveau-puis-que-cest-inutile-que-ca-brasse-du-vent-que-ca-coute-un-pognon-de-dingue/
L'agence la plus anarchique des États-Unis : l'ICE, prototype de la tyrannie
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead et Nisha Whitehead
Recherche mondiale,
25 juin 2025
Alors que les États-Unis mènent une guerre à l’étranger – en bombardant l’Iran , en intensifiant les conflits et en organisant un spectacle de puissance à des fins politiques – un autre type de guerre est mené ici, chez eux.
Cette guerre intérieure est plus silencieuse, mais non moins destructrice. Les victimes ne se trouvent pas dans des déserts lointains ou des villes étrangères. Ce sont nos libertés, nos communautés et la Constitution elle-même.
Et les agents de cette guerre intérieure ? Des voyous masqués. Des fourgons banalisés. Des raids. Des rafles.
Détentions sans procédure régulière. Représailles contre ceux qui osent remettre en question ou défier l'autorité gouvernementale. Des personnes contraintes de disparaître dans des geôles bureaucratiques. Campagnes de peur ciblant aussi bien les communautés immigrées que les dissidents politiques. Surveillance instrumentalisée pour surveiller et réprimer les activités légales.
Présentée sous le couvert de la sécurité nationale – comme c'est souvent le cas pour toutes les prises de pouvoir – cette brutalité sanctionnée par le gouvernement et se faisant passer pour la loi et l'ordre est le visage de la soi-disant guerre de l'administration Trump contre l'immigration illégale.
Ne tombez pas dans le piège de la propagande qui prétend que nous sommes envahis par des criminels ou poussés vers la pauvreté par des immigrants sans papiers vivant de l'aide sociale .
La véritable menace qui pèse sur notre mode de vie ne vient pas d’envahisseurs extérieurs, mais de l’intérieur : une agence de contrôle non élue et non responsable, opérant au-dessus de la loi.
Le président Trump insiste sur le fait que l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) se concentre sur les criminels violents , mais les faits racontent une histoire différente (les arrestations non criminelles de l’ICE ont augmenté de 800 % en six mois) – et ce mythe est précisément ce qui permet l’érosion des droits de chacun.
En présentant l’application de la loi comme étant étroitement ciblée, l’administration occulte un filet beaucoup plus large qui s’attaque aussi bien aux résidents légaux qu’aux citoyens naturalisés et aux Américains de naissance.
Ce qui commence avec les immigrants s’arrête rarement là.
Selon l'Institut Cato, 65 % des personnes arrêtées par l'ICE n'avaient aucun casier judiciaire et 93 % n'avaient aucun casier judiciaire pour violence .
Il ne s’agit pas d’une répression ciblée, mais d’une purge indiscriminée.
Ce que l’ICE – une agence qui ressemble de plus en plus à une Gestapo moderne – fait aux immigrants aujourd’hui, elle peut et fera aux citoyens demain : ce sont les premiers signes avant-coureurs d’un système déjà en marche.
RépondreSupprimerLes mécanismes sont en place. Les abus se poursuivent. Et les garanties constitutionnelles sur lesquelles nous comptons sont ignorées, démantelées ou totalement contournées.
Lorsque des résidents légaux, des citoyens naturalisés et des Américains de naissance sont arrêtés lors des raids de l'ICE, détenus sans motif et soumis à des traitements qui défient toute protection constitutionnelle contre les excès du gouvernement, il ne s'agit pas d'immigration.
Il ne s'agit pas de danger, mais de pouvoir, absolu et sans contrôle.
Il s’agit d’un autoritarisme intentionnel.
Cela reflète une stratégie délibérée de peur et de domination par des agents de l'ICE agissant comme une armée d'occupation, dans le but d'intimider la population pour la soumettre tandis que l'administration Trump redessine les limites de la Constitution pour tous à l'intérieur des frontières de l'Amérique, citoyens et immigrants.
C’est ainsi que l’on démantèle une république constitutionnelle : non pas en un instant dramatique, mais par l’érosion constante des droits, de la responsabilité et de l’État de droit, d’abord pour les marginalisés, puis pour tous.
Lorsque les garanties constitutionnelles deviennent conditionnelles et que le contrôle est systématiquement éludé, tous les Américains, quel que soit leur statut, se retrouvent vulnérables face à un régime qui gouverne par la peur plutôt que par la liberté.
Les perquisitions de l'ICE se déroulent souvent sans mandat. Les agents arrêtent fréquemment des personnes non inculpées. Domiciles, écoles, hôpitaux, lieux de travail et palais de justice sont autant de cibles. Des agents en civil s'attaquent à des individus sans méfiance, les arrêtent sans explication et séparent les familles sous prétexte de sécurité nationale. Dans de nombreux cas, les agents masqués refusent de s'identifier, créant un climat de terreur où le public ne peut distinguer une intervention légale d'un enlèvement illégal.
Ce n'est pas de la justice. C'est de l'intimidation. Et c'est devenu la norme.
Des troupes sur le terrain aux données stockées dans le cloud, le pouvoir incontrôlé de l'ICE reflète une évolution plus large vers l'autoritarisme, alimentée par une surveillance de pointe, l'indifférence du public et un contrôle judiciaire minimal. L'agence gère un vaste réseau numérique : reconnaissance faciale, lecteurs de plaques d'immatriculation, localisation des téléphones portables et partenariats avec des géants de la technologie comme Amazon et Palantir alimentent d'immenses bases de données, souvent sans mandat ni surveillance.
Ces mêmes outils, caractéristiques d’un État de surveillance croissant, sont désormais discrètement réutilisés dans d’autres agences fédérales, ouvrant la voie à un régime intégré de surveillance et de police qui menace les droits constitutionnels de chaque Américain.
RépondreSupprimerCe n'est pas une question de sécurité, c'est une question de contrôle.
Ces outils ne ciblent pas seulement les immigrants sans papiers : ils posent les bases numériques d’un avenir dans lequel tout le monde est surveillé, noté et soumis à la suspicion de l’État.
Les garanties constitutionnelles sont remplacées par la suspicion numérique.
Le changement de position de Trump sur les industries qui dépendent de la main d'œuvre migrante - un moment en menaçant de prendre des mesures répressives, le moment suivant en annonçant des exemptions pour les hôtels, les fermes et la construction - révèle l'objet réel de cette campagne : non pas la sécurité, mais le théâtre politique.
Il ne s’agit pas de danger, mais de domination et d’application autoritaire des règles.
Et ce phénomène ne se limite pas aux immigrants. Il s'infiltre dans tous les aspects de la vie américaine.
Lorsqu'un gouvernement peut détenir ses propres citoyens sans procédure régulière, punir la dissidence politique et cibler des individus en raison de leurs convictions ou de leur apparence, il n'est plus régi par la loi. Il est régi par la peur.
La Constitution a été conçue pour empêcher cela. Mais les droits sont dénués de sens si personne n'est tenu responsable de leur violation.
C’est pourquoi la solution doit aller au-delà des urnes.
Nous devons démanteler la machine d’oppression qui permet à l’ICE d’agir comme juge, jury et geôlier.
Le Congrès doit interdire les perquisitions sans mandat, mettre fin au profilage prédictif et prohiber la surveillance de masse. Il doit instaurer une véritable surveillance et révoquer les protections juridiques qui protègent les agents abusifs de toute conséquence.
Nous devons réaffirmer l'État de droit, non seulement par la législation, mais aussi par un réengagement culturel envers les valeurs constitutionnelles. Cela inclut la transparence, la démilitarisation et l'égalité de protection pour tous, citoyens comme non-citoyens.
RépondreSupprimerIl ne s'agit pas seulement d'un combat pour la politique d'immigration. C'est une bataille pour l'âme de notre nation.
L'ICE n'est pas une exception. C'est le prototype.
Comme je l’explique clairement dans mes livres Battlefield America: The War on the American People et A Government of Wolves: The Emerging American Police State , le même modèle est appliqué à l’ensemble du paysage fédéral : surveillance des manifestations, suppression de la dissidence et surveillance prédictive basée sur les données.
Si nous ne parvenons pas à démanteler le modèle ICE, nous le normaliserons et risquons de le reproduire partout ailleurs.
L’ICE est devenu le test bêta, perfectionnant la fusion de la technologie, de la police et du pouvoir exécutif qui pourrait bientôt définir la gouvernance américaine dans son ensemble.
Si nous n’agissons pas rapidement, nous risquons de constater que la Constitution sera la prochaine à être mise en échec.
Lorsque l’ICE agit comme un exécuteur, un geôlier et un juge pour le président, ces craintes ne sont plus théoriques : elles constituent la réalité quotidienne d’innombrables personnes à l’intérieur des frontières américaines.
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John W. Whitehead, avocat constitutionnel et auteur, est le fondateur et président du Rutherford Institute . Ses ouvrages les plus récents sont le best-seller Battlefield America: The War on the American People , le primé A Government of Wolves: The Emerging American Police State , et son premier roman dystopique, The Erik Blair Diaries . Vous pouvez contacter Whitehead à l' adresse staff@rutherford.org .
Nisha Whitehead est la directrice générale de l'Institut Rutherford. Des informations sur l'Institut Rutherford sont disponibles sur www.rutherford.org .
RépondreSupprimerIls contribuent régulièrement à Global Research. Visitez leur site web à l'adresse The Rutherford Institute .
https://www.globalresearch.ca/america-ice-prototype-tyranny/5892529
"La grande prise": un risque systémique important dans le système financier ?
RépondreSupprimerLe cinéaste James Patrick explique comment les banques peuvent utiliser vos titres pour garantir LEUR contrat dérivés, créant ainsi un risque systémique massif.
John Leake
24 juin 2025
Ces dernières années, je me suis souvent demandé si le drame constant - souvent délibérément produit et amplifié par des gouvernements corrompus et ineptes - était un moyen de détourner notre attention du fait que ceux qui travaillent dans le secteur financier sont devenus astronomiquement riches depuis la crise financière de 2009, alors que les classes moyennes et professionnelles ont lutté pour maintenir le coût de la vie.
À cet égard, les évanouissements sans fin du racisme et de la Russie, qui sont diffusés depuis plusieurs années, sont particulièrement méfiants à cet égard.
Parler des racistes et des Russes derrière chaque buisson a été un moyen facile de détourner l'attention du fait que l'administration Obama n'a pas poursuivi un seul grand dirigeant de Wall Street pour fraude, alors même que de preuves solides d'une vaste fraude à Wall Street ont émergé au cours des premières années de son administration.
Les mêmes personnes qui étaient principalement responsables de la crise financière ont ensuite été renflouées par le programme « Avertissement quantitatif » de la Réserve fédérale. Ce bail en plein air était si éhonté que l'homme qui a été chargé de gérer le programme - Andrew Huszar - s'est finalement senti obligé d'écrire un mea culpa à ce sujet dans le Wall Street Journal (voir « Confessions of a Quantitative Easer », Andrew Huszar, WSJ, Nov. 11, 2013.)
À ce moment-là, nous étions sans relâche fouettés avec de la propagande « L'Amérique est raciste », nous conditionnant de ne pas remarquer que nous - les gens qui travaillent dans la vraie économie de rue principale - avons été pillés. Au lieu de penser au banditisme institutionnel, nous avons été formés pour nous détester pour notre « racisme institutionnel ».
Peu d'Américains savent qu'en octobre 2008, un dirigeant de la Citibank nommé Michael Froman a présenté une liste de candidats pour le premier cabinet d'Obama - y compris des individus qui ont par la suite contribué à annuler la Citibank - au gestionnaire de campagne John Podesta.
Comme l'a noté David Dayen à la Nouvelle République :
Il a correctement identifié Eric Holder pour le ministère de la Justice, Janet Napolitano pour la sécurité du territoire, Robert Gates pour la défense, Rahm Emanuel pour le chef de cabinet, Peter Orszag pour le Bureau de gestion et du budget, Arne Duncan pour l'éducation, Eric Shinseki pour les anciens combattants, Kathleen Sebelius pour la santé et les services sociaux, Melody Barnes pour le Conseil de la politique intérieure, et plus.
Pour le Trésor, trois possibilités étaient sur la liste: Robert Rubin, Larry Summers et Timothy Geithner ».
Geithner a fini par devenir le secrétaire du Trésor d’Obama, tandis que Summers était l’un des principaux auteurs de la réponse à la récession de 2008 en tant que directeur du Conseil économique national d’Obama. Et ces hommes ont veillé à ce que Froman’s Citigroup continue à bénéficier du plus grand renflouement que le gouvernement fédéral ait donné pendant la crise financière.
L'e-mail de Froman a été publié dans le cadre des divulgations de Wikileaks à l'été et à l'automne 2016. Beaucoup de courriels de Clinton et de Podesta ont révélé une corruption si choquante que le parti démocrate a demandé à changer de sujet.
Et donc, comme un magicien faisant une fausse erreur, le Parti a fourni ses laquais aux agences de presse avec l'histoire inventée de la collusion Trump-russe. L'ensemble des circonstances suggère fortement que, parce que le personnel de la DNC Seth Rich savait que les e-mails étaient divulgués par un initié du DNC et non piratés par les Russes, il ne pouvait pas être autorisé à vivre pour raconter l'histoire.
RépondreSupprimerAu risque de paraître arrogant, j'étais, à l'époque, étonné que tant d'Américains tombent pour cette astuce. Je pensais certainement que c'était l'expression ultime de la crédulité enfantine du peuple américain.
Quatre ans plus tard, la même cohorte qui est tombée pour le choléra Trump-Russin a embrassé la religion vaccinale contre le COVID-19 avec une ferveur égale.
C'est là que mon cercle d'amis s'est réduit à une poignée de gars et de filles qui, d'une manière ou d'une autre, avaient conservé leur capacité de pensée critique. Pour autant que je sache, une grande partie du pays souffrait de la STUPIDITÉ induite sur laquelle Dietrich Bonhoeffer a écrite dans son essai de 1943.
Avec tout le drame que nous avons connu depuis 2009 – et l’inexorable montée du marché boursier, soutenu par un océan de liquidités de banque centrale – la plupart ont oublié le risque systémique sur le marché des produits dérivés qui a abouti à la crise financière de 2008.
Récemment, j'ai eu une conversation avec le réalisateur de documentaires James Patrick à propos de son nouveau film STOP IT: The Great Taking. Selon James :
Vous ne saviez pas que vos économies de vie ont été enregistrées comme garantie sur des paris spéculatifs qui ont été établis dans le système.
Lors du prochain effondrement financier, les banques « Too Big To Fail » ont la priorité sur vos actions et vos obligations devant vous.
La propriété directe d'une sûreté a été remplacée par une créance contractuelle sur une garantie dans la révision de 1994 de l'article 8 du Code de commerce uniforme. Les créanciers garantis aux contrats dérivés ont reçu la priorité juridique à vos actifs devant vous, au cas où ces contrats seraient insolvables.
Les États d'État à travers les États-Unis modifient l'article 8 de l'UCC pour rétablir les droits de propriété sur les titres AVANT le prochain effondrement.
Si vous avez aimé écouter notre conversation, regardez la bande-annonce du film et envisagez de faire un don à la société de production de James, BIG PICTURE, afin qu'il puisse continuer ses reportages, sans intérêt commercial.
- voir clip sur site :
https://www.thefocalpoints.com/p/the-great-taking-vast-systemic-risk?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=166708457&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email