Trump veut mettre fin à l'impôt sur les successions agricoles

 

 le 03 juillet 2025 - 14:15

 

Début juillet, le Sénat américain a voté en faveur du "Big, Beautiful Bill Act" de Donald Trump, prolongement de son "Tax Cuts and Jobs Act" de 2017. Entre beaucoup d'autres réductions de taxes, il y met fin à l'impôt sur les successions agricoles, plus connue sous le nom de "Death Tax" aux États-Unis. Alors que le fisc américain (IRS) a laissé exsangues de nombreuses familles en capitalisant sur la mort, les terres fermières pourront désormais demeurer de génération en génération.

96 % des deux millions de fermes du pays appartiennent à des familles, et pendant longtemps, lorsqu'un propriétaire décédait, les héritiers devaient faire face à une taxation de 40% sur la valeur transmise. Il fallait alors choisir entre la peste et le choléra : vendre une partie des terres pour payer la dette, ou s'endetter auprès des banques. Ces exploitations, souvent modestes, n’ayant ni les marges ni les avocats fiscalistes des grands groupes, cette passation était souvent synonyme de fin de l'exploitation.

Désormais, les terres resteront dans la famille : "Avec ce projet de loi, nous ferons en sorte que les exploitations familiales puissent rester dans la famille pour de nombreuses générations à venir", a expliqué le président américain. Ce n'est pas la première fois qu'il prouve son soutien aux agriculteurs : pendant la crise sanitaire du Covid-19, la Maison-Blanche avait débloqué 19 milliards de dollars pour venir en aide au secteur qui faisant face à une baisse drastique de la demande.

Le texte en question, qui contient d'autres mesures fiscales, une réduction des programmes sociaux du Medicaid et une augmentation du plafond de dette, entre autres choses, doit encore être définitivement validé par la Chambre.

https://www.francesoir.fr/politique-monde/trump-veut-mettre-fin-l-impot-sur-les-successions-agricoles

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BLOG n°115

60 commentaires:

  1. Le président Trump a compris que l'Amérique doit se nourrir pour vivre et que ce sont les farmers qui tiennent la marmite. Il faut trois génération de paysans pour faire un paysan car, c'est un métier très difficile et sans vacances, se lever au soleil et se coucher au soleil ou parfois aussi travailler la nuit avec les phares pour récolter avant une pluie annoncée. C'est mal, très mal payé mais on est libre. Libre loin des villes et des routes/autoroutes. On vit dans le silence et le champs des oiseaux et des cigales.

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  2. Elle n’a jamais eu le covid mais son corps produit de la protéine spike 4 ans après sa 3eme dose Moderna , elle est malade à en crever depuis


    le 4 juillet 2025
    par pgibertie


    Ainsi, l’étude Yale Listen a indiqué que 709 jours après leurs tests, les personnes vaccinées avaient encore une production continue de pics (à laquelle je participe dans cette étude) et montraient un épuisement des lymphocytes T, etc.En fait, c’est plus long que ça :Ma première injection a eu lieu le 23/12/2020 et je n’ai pas arrêté de produire du spike et nous sommes maintenant le 21/02/20258 mois après mes 2 injections de Moderna, j’avais encore de grandes quantités de spike détectées par test antigénique – et je n’ai jamais eu de Covid (résultats ci-dessous)Cela représente 1 521 jours de production continue de protéines de pointe SANS ARRÊT depuis ma première injection et TOUJOURS dans mon corps à ce jourLaissez cela pénétrer !(3 ans de panels de cytokines 14 et de panels de sous-ensembles immunitaires S1 ci-dessous)

    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2025.02.18.25322379v1

    https://pgibertie.com/2025/07/04/elle-n-a-jamais-eu-le-covid-mais-son-corps-produit-de-la-proteine-spike-4-ans-apres-sa-3eme-dose-moderna-elle-est-malade-a-en-crever-depuis/

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    1. (...) Elle n’a jamais eu le covid mais son corps produit de la protéine spike 4 ans après sa 3eme dose Moderna (...)

      Et bêh SI ! Elle se l'est faite inoculer profond et grâce à son niveau intellectuel elle l'a ! HOURRA !

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  3. ÇA PUE LA CORRUPTION ! *


    Plus de 700 études revues par les pairs : la bibliothèque des risques des vaccins à ARNm contre la COVID-19 est en ligne


    Le Collectif Citoyen, France-Soir
    le 03 juillet 2025 - 18:45


    Le 1 juillet 2025 une librairie d’études scientifiques revues par les pairs intitulée « effets néfastes du vaccin à ARNm contre la COVID-19 », compilée par une équipe d’experts incluant le Dr Martin Wucher, le Dr Byram Bridle, le Dr Steven Hatfill, Erik Sass, et d’autres chercheurs a été publiée. Cette compilation, accessible via Zenodo (DOI: 10.5281/zenodo.15787612), regroupe plus de 700 études évaluées par des pairs, suggérant des dangers biologiques fondamentaux liés à la technologie des vaccins à ARNm. Cet article explore le contenu de ce post et de la librairie, en mettant en lumière les implications potentielles pour la santé publique.

    https://zenodo.org/records/15787612

    Exploration de la Librairie sur Zenodo
    La librairie, mise à jour le 1er juillet 2025 (version 2), est une ressource exhaustive hébergée sur Zenodo que les autorités scientifiques et sanitaires peuvent donc consulter. Voici un aperçu des sections clés :

    Pathogénicité de la protéine spike (375 études) : cette section compile des preuves que la protéine spike, initialement conçue comme un antigène de surface du SARS-CoV-2, devient pathogène lorsqu’elle est produite en grande quantité par les vaccins. Les dommages incluent des atteintes cardiovasculaires (comme la myocardite) et neurologiques, un point illustré par les images de cœurs et de cerveaux dans le post.

    Biodistribution (61 études) : ces recherches montrent que l’ARNm et la protéine spike ne restent pas localisés au site d’injection, mais se propagent dans des organes comme le cœur, le foie et les ovaires, soulevant des questions sur la sécurité à long terme.

    Persistance de l’ARNm et de la protéine spike (41 études) : des études animales et humaines confirment que l’ARNm et la protéine spike persistent bien au-delà des quelques jours initialement estimés, parfois plus d’un an, comme suggéré par les articles ouverts dans l’image.

    Toxicité des nanoparticules lipidiques (LNP) (80 études) : Les LNP, essentielles pour encapsuler l’ARNm, sont associées à des réactions inflammatoires et allergiques, notamment via le PEG, un allergène connu.

    Imprinting immunitaire (140 études) : ce phénomène, connu sous le nom de "péché antigénique original", indique que les vaccins pourraient limiter l’adaptabilité du système immunitaire face à de nouveaux variants.

    Variants viraux ou émergence de variants (70 études) : les données suggèrent que les vaccins ont pu accélérer l’évolution de variants échappant à l’immunité induite.

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  4. Implications et Réactions

    Le post de Nicolas Hulscher, accompagné d’une image frappante d’un livre intitulé COVID-19 mRNA Vaccine Harms, détaille ces six catégories avec des commentaires percutants : « Ces études indiquent que la protéine spike cause des dommages vasculaires, neurologiques, cardiaques et immunologiques », « les ingrédients des vaccins se dispersent dans tout le corps, s’accumulant dans des organes vitaux », et « ces éléments persistent dans l’organisme pendant des années, contrairement aux affirmations initiales ».

    Cette publication a suscité un éventail de réactions sur X, allant de demandes urgentes de retrait des vaccins à des appels pour intégrer ces données dans des systèmes d’IA comme Grok 3, ou ChatGPT, souvent critiqués pour leur alignement sur un « consensus scientifique » établi. Certains utilisateurs expriment une frustration face à l’absence de responsabilité, tandis que d’autres insistent sur l’urgente nécessité de réévaluer les politiques de santé publique.

    Bien que la librairie n’établisse pas une causalité définitive, elle répond aux critères d’observation prolongée et de transparence, remettant en question les protections légales actuelles contre la responsabilité.

    Perspective Critique

    Cette compilation représente un effort remarquable pour centraliser des données critiques, répondant directement aux objections des autorités sanitaires qui invoquaient souvent un manque d’études de référence, préférant s’appuyer sur les données des fabricants. Les thérapies géniques à ARNm, développées rapidement sous des autorisations d’utilisation d’urgence (EUA), ont fait l’objet d’études post-autorisation, mais les décisions initiales ont parfois ignoré les principes de prudence habituels.

    Par exemple, la vaccination des femmes enceintes a été recommandée malgré un manque initial de données, imposant des contraintes significatives à ce groupe vulnérable lors de visites médicales. Des études récentes (Manniche et al., Guetzkov et al) suggèrent une toxicité et un impact sur le fœtus, renforçant les inquiétudes.

    Cependant, cette librairie met en lumière des lacunes dans les premières évaluations de sécurité, ce qui en soit pose un réel problème dans la prise de décision des autorités sanitaires. Certains appellent d’ores et déjà à une validation indépendante et une analyse contextuelle par des organismes de santé comme l’OMS ou la FDA, alors que ces mêmes entités, ayant approuvé ces vaccins en urgence et parfois en contournant des règles élémentaires de précaution, pourraient se trouver en conflit d’intérêts pour réévaluer ces données ex post ! Un point sur lesquels les chercheurs indépendants seront sans nul doute particulièrement attentifs laissant la question en suspens :

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  5. « Comment des organismes ayant approuvé ces produits en urgence, parfois en enfreignant certaines règles élémentaires de précaution vont-ils pouvoir prendre en cause des études ex post qui viendraient contredire certaines de leurs décisions ou recommandations ? »

    La boucle est-elle sur le point de se refermer avec les enjeux de la perte de chance
    Cette publication marque un tournant dans le débat sur la sécurité des vaccins à ARNm. Avec plus de 700 études peer-reviewed, cette librairie offre une ressource précieuse pour les chercheurs, les décideurs et le public. Elle appelle à un dialogue immédiat et équilibré, afin d’intégrer ces nouvelles données aux preuves d’efficacité contre les formes graves de COVID-19 et ainsi avoir une balance bénéfice risque réelle et indépendante. Si la toxicité venait à dépasser les bénéfices, une suspension des autorisations pourrait être envisagée. Mais comment en est-on arrivé là ?

    La boucle pourrait bien se boucler en revenant à la question des traitements précoces, délibérément écartés ou discrédités lors de la pandémie. Comme le souligne un article de France-Soir d’aout 2020, (Guerre du vaccin : États-Unis, Russie, Chine, UE – Il faut éliminer le soldat hydroxychloroquine), l’élimination systématique des thérapies précoces (comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine) par les autorités et l’industrie pharmaceutique aurait servi à imposer les vaccins comme seule solution viable, maximisant les profits et consolidant un contrôle narratif. Cette stratégie aurait pu être motivée par des intérêts économiques et géopolitiques, où la rapidité de développement des vaccins à ARNm a primé sur une évaluation rigoureuse des alternatives.

    Le professeur Christian Perronne déclare : "cette marginalisation a entraîné une perte de chance significative pour les patients. Des milliers d’individus, privés d’options thérapeutiques précoces potentiellement efficaces, ont vu leur état se dégrader, augmentant les hospitalisations et les décès. Si les données de la librairie confirment des risques majeurs, cette perte de chance pourrait être considérée comme une tragédie évitable, exacerbée par une focalisation unilatérale sur les vaccins.

    Les autorités sanitaires ont le devoir de prendre en considération cette compilations d'études. Ne pas le faire serait accentuer plus encore la perte de chance éventuelle des patients"

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/plus-de-700-etude-peer-reviewed-sur-les-dangers-des-vaccins-arnm

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    1. *ÇA PUE LA CORRUPTION ! C'est vrai ! Avant même de se lancer dans des discours du comment lutter contre les composants, les 'chercheurs' devraient lire les rapports scientifiques publiés par les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej !

      Grâce aux nano particules d'oxyde de graphène* injectées le corps est dévoyé, ce ne sont plus votre cerveau qui commande mais les messages envoyés vers VOS nano particules qui circulent dans VOTRE sang via VOTRE téléphone portable qui se charge de la transition. VOTRE corps ne vous appartient plus ! VOUS recevez des ordres: VOUS les exécutez ! "Roulez à gauche ! Roulez à gauche ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Sautez par la fenêtre ! Sautez par la fenêtre !"

      ET VOUS LE FEREZ !

      * Ces nano particules d'oxyde de graphène ont été découvertes dès leurs sorties de laboratoires nazis par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables.

      1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
      a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
      b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !

      2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
      Par contre existe une expérimentation génique d'essais.

      3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:

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    2. Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!

      + des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).

      + des spikes !!

      + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!

      4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!

      5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !

      6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.

      7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
      Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.

      8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
      Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!

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  6. Le système de santé américain est désormais une arnaque financière structurée


    2 juillet 2025


    L'escroquerie, la corruption, la fraude et les escroqueries financières dans le secteur de la santé vont ruiner le pays.

    J'écris sur le système de santé américain depuis 18 ans, en insistant sur deux thèmes récurrents : 1) notre mode de vie est malsain, avec des conséquences prévisibles ; et 2) le système de santé, tel qu'il est actuellement configuré, va ruiner le pays à lui seul.

    Cet article récent, expliquant comment avoir un bébé sans complications coûte désormais plus de 44 000 dollars, ajoute un troisième thème : la folie tragi-comique et l’absurdité du système de santé, normalisé comme si c’était la seule façon d’organiser les soins de santé.

    « Et ils se demandent pourquoi le taux de natalité est en baisse » : Une mère a fait le buzz en révélant le coût d’une grossesse aux États-Unis.

    Enfin, Kayla révèle que son bébé a également reçu une facture, qui s’élevait à 12 761,30 dollars sans assurance. Pour leur famille de cinq personnes, le coût mensuel de l’assurance s’élève désormais à 2 500 dollars, soit une augmentation de près de 400 dollars par rapport à l’époque où ils n’étaient que quatre. « Nous attendons toujours qu’il soit pris en charge par notre assurance », explique-t-elle, « donc, pour l’instant, voilà le coût sans assurance.»

    Un utilisateur a déclaré : « Le système de santé américain est une blague… comment un nouveau-né peut-il avoir une facture de 12 000 dollars ? »

    C'est plus qu'une plaisanterie : c'est la parodie d'un système factice qui améliore réellement la santé. Il y a un aspect encore plus sombre : la prise de contrôle du système par des financiers et des fraudeurs, qui, à vrai dire, est une supercherie.

    Nous pouvons maintenant ajouter un quatrième thème : privé de son opacité intentionnelle, le système de « santé » américain n'est rien d'autre qu'une escroquerie financière structurée. Avant d'approfondir ce sujet, voici quelques-uns des nombreux articles que j'ai écrits sur les « soins de santé » depuis 2008 :

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  7. Mode de vie américain + « soins de santé » = faillite (19 juin 2008)

    La solution « impossible » pour les soins de santé : le retour aux paiements en espèces (29 juillet 2009)

    Pourquoi la « réforme des soins de santé » n'est pas une réforme, partie 2 (29 décembre 2009)

    Les soins de santé vont ruiner le pays – et bientôt (21 mars 2011)

    Comment les soins de santé sont devenus des soins de santé (18 mars 2022)

    Commençons par le coût d'un accouchement à l'époque où les soins de santé étaient payés en espèces. Voici le coût d'un accouchement en 1952 dans l'un des meilleurs hôpitaux de la côte ouest, l'hôpital de Santa Monica : 30 $.

    Selon le calculateur d'inflation du BLS, 1 $ en 1952 équivaut à 12,13 $ aujourd'hui. Ainsi, après ajustement de l'inflation, les 30 $ pour un accouchement s'élèveraient à 363 $ aujourd'hui. Voici les tarifs de maternité de 1952 :

    Une chambre privée coûtait 19 $, soit 230 $ aujourd'hui. Certes, nous disposons aujourd'hui d'équipements plus sophistiqués, de personnel plus nombreux, etc., mais est-ce vraiment la raison pour laquelle ce qui coûtait autrefois moins de 1 000 $ aujourd'hui – payé en espèces, sans assurance – coûte aujourd'hui 44 000 $ ? Non. Voici pourquoi : des fraudes financières structurées.

    Dutch Rojas (@DutchRojas) est une source incontournable pour expliquer la manière opaque dont le secteur de la santé détourne des centaines de milliards de dollars de l'argent des contribuables. Voyez ces X publications :

    Pourquoi les soins de santé sont-ils chers ?
    Vous consultez votre médecin.
    Même bâtiment, même service.
    Mais maintenant, c'est trois fois plus cher, car ils ont été vendus à un système de santé.

    Le secret ?
    Des « frais d'établissement » ont été ajoutés.
    Medicare et les payeurs privés les cèdent tout simplement.

    Ce n'est pas pour de meilleurs soins.
    C'est pour la propriété.

    Chaque accord de consolidation est un pari contre le patient, et c'est vous qui payez la facture.

    Et les politiciens adorent tout ça…

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  8. Taxes sur les prestataires : l'arnaque la plus élégante du secteur de la santé américain
    Ce n'est pas une taxe.

    C'est une opération de blanchiment.

    Voici comment cela fonctionne :

    Les systèmes de santé « à but non lucratif » de Caroline du Nord gèrent une opération de fonds spéculatifs de plus de 40 milliards de dollars, déguisée en soins de santé.
    Ils s'enrichissent de centaines de millions de dollars en exonérations fiscales tout en versant des dizaines de millions de dollars à leurs PDG.

    Il s'agit du plus important système de transfert de richesse du système de santé américain.

    Cela n'inclut même pas la fraude pure et simple à Medicare/Medicaid, la surfacturation, les examens, médicaments et procédures inutiles, ni une liste quasi infinie d'autres stratagèmes d'enrichissement présentés comme des « soins ». Ces milliards vont aux « propriétaires », et non aux professionnels de santé en première ligne.

    Enfin, examinons quelques graphiques. Voici mon diagramme de 2008 illustrant les éléments constitutifs d'un mode de vie malsain :

    Le coût des assurances continue d'augmenter, devenant de plus en plus lourd et inabordable :

    Certes, le nombre de retraités augmente, mais cette hausse parabolique des coûts de Medicare dépasse largement l'augmentation du nombre de retraités.

    On peut en dire autant de Medicaid.

    L'escroquerie, la corruption, la fraude et les escroqueries financières dans le domaine des soins de santé mèneront le pays à la faillite. L'opacité délibérée des flux de financement complexes nous empêche de distinguer les véritables « soins » des simples escroqueries.

    Notre point de départ devrait toujours être le suivant : ce n’est pas la seule façon d’organiser les « soins de santé ». Nous pourrions avoir un système rationnel, transparent, compétitif et abordable. Mais pour y parvenir, nous devons d’abord démanteler complètement le système actuel, et tous ceux qui amassent des milliards se battront avec leurs milliards de contributions électorales pour empêcher cela. En conséquence, la nation sera ruinée par la cupidité.

    *

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  9. Mes livres récents :

    Avertissement : En tant que Partenaire Amazon, je réalise un bénéfice sur les achats éligibles effectués via des liens vers des produits Amazon sur ce site.

    La Vie Ultra-Transformée (version imprimée) 16 $ (Kindle 7,95 $, livre relié 20 $ (129 pages, 2025). Lisez l'introduction et le premier chapitre gratuitement (PDF).

    La mythologie du progrès, l'anti-progrès et une mythologie pour le XXIe siècle (version imprimée) 16 $ (Kindle 6,95 $, livre relié 24 $ (215 pages, 2024). Lisez l'introduction et le premier chapitre gratuitement (PDF).

    L'Autonomie au XXIe siècle (version imprimée) 15 $ (Kindle 6,95 $, livre audio 13,08 $ (96 pages, 2022). Lisez le premier chapitre gratuitement (PDF).

    Quand on ne peut plus continuer : Épuisement professionnel, jugement et renouveau (version imprimée) 15 $ (Kindle 6,95 $, livre électronique Kindle ; livre audio). Lisez la première partie gratuitement (PDF).

    Crise mondiale, renouveau national : Une grande stratégie (révolutionnaire) pour les États-Unis États (Kindle 6,95 $, version imprimée 16 $, livre audio) Lisez gratuitement le premier chapitre (PDF).

    La téléologie d'un hacker : Partager les richesses de notre planète en déclin (Kindle 6,95 $, version imprimée 15 $, livre audio 17,46 $) Lisez gratuitement la première partie (PDF).

    Serez-vous plus riche ou plus pauvre ? : Profit, pouvoir et IA dans un monde traumatisé
    (Kindle 3,95 $, version imprimée 12 $, livre audio) Lisez gratuitement la première partie (PDF).

    Les aventures du philosophe consultant : La disparition de Drake (roman) 3,95 $, version Kindle, 12 $, version imprimée ; lisez gratuitement les premiers chapitres (PDF).

    https://www.oftwominds.com/blogjuly25/healthcare-skim-scam7-25.html

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  10. Selon une étude sur 710 malades de covid long tous vaccinés on trouve une forte proportion de malades n’ayant jamais eu la covid mais 4 doses de vaccin


    le 3 juillet 2025
    par pgibertie


    parmi les 710 participants initiaux, deux groupes comparés , le premier avant Omicron , le second après. Même après Omicron plus de 40 % n ‘ont pas eu de covid mais souffrent de covid long

    ÉTRANGE

    Aspects neurologiques et psychiatriques de la COVID longue chez les professionnels de santé vaccinés : une évaluation de la prévalence et des biais de déclaration

    Yi-Chun Chen a b
    https://doi.org/10.1016/j.jmii.2025.06.002

    Aperçu de l’étude

    Taille de l’échantillon et population : L’étude a porté sur 710 patients diagnostiqués avec une COVID longue, tous entièrement vaccinés avec quatre doses d’un vaccin contre la COVID-19 (probablement à base d’ARNm, comme Pfizer-BioNTech ou Moderna, bien que les vaccins spécifiques ne soient pas détaillés dans le résumé).

    Principale constatation : Une proportion significative de ces patients ont signalé des symptômes de COVID longue, sans antécédents documentés d’infection par le SRAS-CoV-2. Cela suggère que des symptômes évoquant une COVID longue peuvent survenir chez certaines personnes après la vaccination, sans antécédents confirmés d’infection par la COVID-19.

    Symptômes : L’étude note que des symptômes tels que fatigue, confusion mentale et autres troubles neurologiques ou systémiques (correspondant aux symptômes courants de la COVID longue) ont été observés chez ces patients. La prévalence exacte de chaque symptôme n’est pas précisée dans le résumé.

    Objectif : L’étude visait à étudier l’apparition de symptômes de type COVID long chez des individus vaccinés sans infection préalable, indiquant potentiellement des effets liés au vaccin ou d’autres mécanismes sous-jacents.

    Analyse critique

    Interprétation de « Aucune infection antérieure » : L’absence d’infection antérieure par le SRAS-CoV-2 repose sur l’absence de tests positifs documentés (par exemple, tests PCR ou antigéniques). Cependant, cela n’exclut pas les infections asymptomatiques ou non diagnostiquées, car la couverture et la sensibilité des tests varient. Certains patients peuvent avoir eu des infections non détectées contribuant à leurs symptômes.

    Effets liés au vaccin : L’étude soulève la possibilité que des symptômes de type COVID longue soient associés à une vaccination répétée (quatre doses). Cela pourrait être dû à de rares réactions immunitaires, telles que des réponses inflammatoires prolongées ou une auto-immunité déclenchées par le vaccin, bien que l’étude n’établisse pas de lien de causalité. Des recherches antérieures ont identifié des effets secondaires rares du vaccin, tels qu’une myocardite ou des symptômes neurologiques, mais ceux-ci sont distincts de la COVID longue dans la plupart des cas.

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  11. Limites :

    Le résumé de l’étude ne fournit pas de méthodologie détaillée, comme la durée du diagnostic de la COVID, le délai entre la vaccination et l’apparition des symptômes ou le profil démographique des patients.
    Sans groupe témoin (par exemple, des personnes non vaccinées ou ayant reçu moins de doses), il est difficile d’attribuer les symptômes uniquement au vaccin.
    Le recours aux diagnostics autodéclarés ou cliniques de la COVID longue peut introduire un biais, car cette maladie ne dispose pas d’une norme diagnostique universelle.
    Contexte avec une littérature plus large : La plupart des études, telles que celles résumées par les CDC et l’OMS, indiquent que la vaccination réduit le risque de COVID longue durée de 50 à 70 % chez les personnes infectées. Cependant, cette étude met en évidence un sous-ensemble potentiel de personnes vaccinées présentant des symptômes persistants sans infection confirmée, ce qui justifie une investigation plus approfondie.

    Implications

    Santé publique : Bien que l’étude ne nie pas les avantages de la vaccination (par exemple, réduction des complications graves et des hospitalisations), elle souligne l’importance de surveiller les symptômes rares post-vaccination et d’affiner les critères de diagnostic de la COVID longue.

    Cette étude a évalué la prévalence et la gravité des symptômes neurologiques et psychiatriques de la COVID longue chez les professionnels de la santé (PS) en fonction de leur statut COVID-19, dans le but de démêle

    Pertinence clinique : Cette étude suggère que les symptômes de type COVID long ne sont pas toujours liés à une infection antérieure par le SRAS-CoV-2, ce qui soulève des questions sur les réponses immunitaires induites par le vaccin ou d’autres facteurs (par exemple, effets psychosomatiques, problèmes de santé sous-jacents ou diagnostic erroné).

    Besoins de recherche : Des études complémentaires sont nécessaires pour :

    Confirmez ces résultats avec des cohortes plus grandes et contrôlées.

    Clarifier les mécanismes à l’origine de ces symptômes (par exemple, dysrégulation immunitaire, mimétisme moléculaire ou autres facteurs).

    Différencier les effets liés au vaccin des infections non diagnostiquées ou d’autres affections imitant la COVID longue.

    les complexités associées aux séquelles post-aiguës de l’infection par le SRAS-CoV-2.
    Méthodes
    Une cohorte de 467 professionnels de santé d’un hôpital universitaire du nord de Taïwan, ayant reçu au moins trois doses de vaccins contre la COVID-19, a été interrogée sur les symptômes de la COVID longue.

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  12. Les participants ont été classés en groupes symptomatiques (n = 224), asymptomatiques (n = 21) et absents de la COVID-19 (n = 222) sur la base de critères diagnostiques incluant les réponses à des questionnaires, les dossiers médicaux et les données sur les anticorps antinucléoprotéines. Grâce à un ensemble complet de questionnaires, les symptômes, les troubles de la mémoire, l’anxiété et la dépression ont été rigoureusement évalués et analysés statistiquement pour permettre des comparaisons entre les groupes.

    Résultats

    Malgré une collecte de données rigoureuse, l’étude n’a révélé aucune différence statistiquement significative quant à la gravité des symptômes neurologiques et psychiatriques de la COVID-19 longue selon le groupe de patients présentant un statut COVID-19 ayant eu ou non le covid

    Des tendances notables ont été observées, notamment une augmentation des cas de troubles de la mémoire s’aggravant avec le temps, une anxiété accrue chez les patients symptomatiques et des indicateurs subtils d’une aggravation de la dépression dans ce sous-groupe.

    Ces résultats ont souligné le caractère multifactoriel des manifestations de la COVID-19 longue et l’impact des antécédents de COVID-19 sur les symptômes rapportés.

    Conclusion

    L’étude a mis en évidence des biais potentiels dans la déclaration des symptômes, susceptibles de gonfler les estimations de la prévalence de la COVID longue. Si la méthodologie robuste a mis en lumière la diversité des profils de santé des professionnels de santé, les recherches futures devraient se concentrer sur des études longitudinales et des mesures diagnostiques objectives afin de fournir des évaluations plus précises du fardeau de la COVID longue.

    Introduction​

    L’un des principaux défis de l’étude de la COVID longue réside dans la diversité des symptômes et du vécu des patients. Ces derniers signalent un large éventail de symptômes, notamment fatigue, essoufflement, douleurs articulaires et troubles cognitifs, souvent appelés « brouillard cérébral ». Cette diversité nécessite des critères d’inclusion larges dans la recherche, introduisant par inadvertance une variabilité difficile à contrôler.

    Taïwan est resté relativement peu touché par la pandémie de COVID-19 jusqu’à l’émergence du variant Omicron en avril 2022. La réponse rapide et efficace des autorités de santé publique, renforcée par un système de santé résilient et de vastes campagnes de vaccination, a joué un rôle essentiel dans la réduction du nombre de cas graves et des complications associées. 13 , 14 Compte tenu des circonstances uniques sur cette île, l’impact de la COVID longue sur la population de Taïwan reste incertain. Nous avons mené une enquête pour examiner la prévalence et la gravité de 19 symptômes neurologiques et psychiatriques de la COVID longue, notamment des problèmes de mémoire, de l’anxiété et de la dépression chez les professionnels de la santé (PS) pendant l’épidémie d’Omicron à Taïwan

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  13. Méthodes​

    2.1 . Déclaration d’éthique

    Le protocole de l’étude a été examiné et approuvé par le Comité d’éthique de la recherche du Chang Gung Memorial Hospital en 2021 (n° 202100410B0C602). Un consentement éclairé écrit a été obtenu des participants lors de leur inscription à cette étude. Toutes les expériences de cette étude ont été réalisées conformément aux directives et réglementations en vigueur.

    2.2 . Conception de l’étude

    Pendant la pandémie de COVID-19, nous avons conçu une étude prospective visant à évaluer la réponse sérologique et la réactogénicité de la vaccination contre le SRAS-CoV-2 dans un hôpital universitaire du nord de Taïwan. Quinze vaccins contre la COVID-19 de différentes plateformes, administrés selon des schémas homologues ou mixtes, ont été administrés à 710 professionnels de santé. Avant le début de l’épidémie d’Omicron en avril 2022, tous les participants avaient reçu trois doses de vaccins contre la COVID-19, et certains ont commencé à recevoir la quatrième dose. Six mois après le début de l’épidémie d’Omicron, nous avons étudié la prévalence et la gravité de divers symptômes liés à la COVID longue à partir de cette cohorte. Un entretien par questionnaire a été mené auprès des participants afin de recueillir des informations sur les symptômes potentiellement liés à la COVID longue.

    2.3 . Participants

    Parmi les 710 participants initialement inscrits à l’étude, un questionnaire valide était disponible auprès de 467 (65,8 %) sujets entre octobre 2022 et février 2023. Comparés aux 243 sujets sans questionnaire, les sujets inscrits à l’enquête COVID longue présentaient des incidences plus élevées de diagnostic de COVID-19 (57,4 % contre 35,3 %, P < 0,0001, tableau supplémentaire 1 ) et d’immunisation avec une dose supplémentaire (4e dose) de vaccins COVID-19 (49,0 % contre 25,5 %, P < 0,0001). Aucune différence significative n’a été identifiée dans la répartition du sexe, de l’âge et des calendriers des trois principales doses de vaccins COVID-19.

    2.4 . Statut COVID-19 des participants

    Le statut COVID-19 des participants a été déterminé par une combinaison de réponses à un questionnaire, d’examens de dossiers médicaux et de données sur les anticorps anti-nucléoprotéines (anti-N). Le diagnostic de laboratoire de COVID-19 a été confirmé par des tests antigéniques rapides positifs, des tests de réaction en chaîne par polymérase ou des résultats de culture virale. Dans le cadre d’une enquête d’immunogénicité surveillant plusieurs doses de vaccination contre la COVID-19, des échantillons de sang ont été prélevés avant chaque administration de dose de vaccin et 30 jours après la vaccination. Le test d’anticorps anti-N sérique a été utilisé pour identifier l’infection par le SRAS-CoV-2 car aucun des vaccins COVID-19 déployés à Taïwan ne contenait de nucléoprotéine ou de son acide nucléique ( Tableau 1 ).

    Tableau 1. Données démographiques et antécédents de vaccination contre la COVID-19 parmi 467 professionnels de la santé classés selon leur statut COVID-19.

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  14. Cellule vide Absence de COVID-19

    N = 222 COVID-19 asymptomatique
    N = 21 COVID-19 symptomatique
    N = 224 P
    Sexe féminin, n (%) 158 (71,2) 16 (76,2) 160 (71,4) 0,8873
    Âge en années, moyenne ± écart type 42,2 ± 11,1 48,9 ± 9,31 42,5 ± 10,9 0,0265
    Catégorie d’emploi 0,6209
    Personnel infirmier 64 (28,8) 5 (23,8) 66 (29,5)
    Médecins 45 (20,3) 4 (19.1) 49 (21,9)
    Technologues et thérapeutes médicaux 34 (15,3) 2 (9,52) 37 (16,5)
    Personnel de recherche 32 (14,4) 1 (4,76) 20 (8,93)
    Personnel administratif et de direction 21 (9,46) 5 (23,8) 21 (9,38)
    Personnel de soutien 14 (6.31) 3 (14,3) 20 (8,93)
    Sous-traitants et entrepreneurs externes 7 (3.15) 1 (4,76) 6 (2,68)
    Pharmacien 5 (2,25) 0 (0) 5 (2.23)
    Jours après le diagnostic de la COVID-19 0,3245
    Moyenne ± écart type 137,2 ± 44,2 126,5 ± 68,6
    Médiane (plage) 141,0 (28–204) 117,0 (3–274)
    a 3 doses primaires de vaccins contre la COVID-19, n (%) 0,3431
    AAB 19 (8,56) 0 (0) 17 (7,59)
    AAG 7 (3.15) 0 (0) 13 (5,80)
    AAM 79 (35,6) 11 (52,4) 96 (42,9)
    AMB 5 (2,25) 0 (0) 5 (2.23)
    AMG 7 (3.15) 0 (0) 4 (1,79)
    AMM 58 (26.13) 5 (23,8) 60 (26,8)
    MMB 0 (0) 0 (0) 2 (0,89)
    MMG 3 (1,35) 0 (0) 2 (0,89)
    MMM 44 (19,8) 5 (23,8) 25 (11.2)
    4e dose de vaccin contre la COVID-19, n (%) 0,0012
    Médigen 15 (6,76) 0 (0) 6 (2,68)
    Moderne 77 (34,7) 7 (33,3) 43 (19,2)
    Moderna BA1 b 11 (4,95) 2 (9,52) 17 (7,59)
    Novavax 4 (1,80) 1 (4,76) 8 (3,57)
    Pfizer-BioNTech 23 (10.36) 1 (4,76) 14 (6,25)
    Non immunisé 92 (41,4) 10 (47,6) 136 (60,7)

    Abréviations : ET, écart type.
    a
    Les lettres majuscules représentent les fabricants de vaccins contre la COVID-19 : A pour le vaccin à vecteur adénoviral AstraZeneca, B pour le vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech, G pour le vaccin à base de protéines sous-unitaires Medigen et M pour le vaccin à ARNm Moderna.
    b
    Vaccin bivalent Moderna.
    Les participants ont été classés en trois groupes en fonction de leur statut COVID-19.

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  15. 1.
    COVID-19 symptomatique : Les individus ont été classés comme symptomatiques si leur diagnostic était signalé via les questionnaires et/ou documenté dans leur dossier médical.
    2.
    COVID-19 asymptomatique : Cette catégorie comprenait les personnes qui n’avaient pas signalé de symptômes de COVID-19 et qui n’avaient pas de diagnostic enregistré dans leur dossier médical, mais qui avaient des anticorps anti-N positifs dans leur sérum, indiquant une infection par le SRAS-CoV-2.
    3.
    Absence de COVID-19 : Les participants ont été classés comme n’ayant aucun antécédent de COVID-19 s’ils n’avaient aucun diagnostic de COVID-19 documenté dans leur dossier médical, n’avaient signalé aucune maladie COVID-19 dans le questionnaire et présentaient des résultats d’anticorps anti-N négatifs dans tous les échantillons de sérum disponibles.

    2.5 . Questionnaires

    L’étude a utilisé un ensemble complet de questionnaires pour évaluer l’impact à long terme de la COVID-19 sur les participants. Ces questionnaires comportaient quatre parties principales, détaillées dans le tableau supplémentaire 2 .

    2.5.1 . Partie 1 : évaluation des symptômes généraux

    Cette section comprenait 19 items évaluant les symptômes neurologiques et non neurologiques fréquemment rapportés par les personnes atteintes de COVID longue. La gravité de chaque symptôme a été évaluée sur deux périodes distinctes : les trois derniers mois et les trois mois précédents. Les participants ont évalué la gravité des symptômes sur une échelle de 0 à 10, où 0 correspondait à l’absence du symptôme et 10 à la forme la plus grave, perturbant significativement les activités quotidiennes et nécessitant une assistance.

    2.5.2 . Partie 2 : évaluation des troubles de la mémoire

    La deuxième partie comprenait une série de 19 questions à choix multiples visant à identifier d’éventuels troubles de la mémoire. Ces questions visaient à évaluer la fréquence et l’impact des troubles de la mémoire associés à la COVID longue.

    2.5.3 . Partie 3 : évaluation de l’anxiété

    Pour mesurer la gravité de l’anxiété, l’étude a utilisé l’échelle du trouble d’anxiété généralisée à 7 items (GAD-7). 16 , 17 Cet outil largement reconnu et validé est utilisé pour dépister, diagnostiquer et évaluer la gravité du trouble d’anxiété généralisée chez les participants.

    2.5.4 . Partie 4 : évaluation de la dépression

    La quatrième section portait sur l’évaluation de la dépression à l’aide du Questionnaire de santé du patient-9 (PHQ-9). 18 Cet instrument diagnostique est couramment utilisé pour évaluer la présence et la gravité de la dépression. Le PHQ-9 facilite l’identification des troubles dépressifs grâce à l’auto-évaluation des participants, couvrant l’humeur, l’intérêt pour les activités et le fonctionnement général.

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  16. 2.6 . Analyse statistique

    Lors de l’analyse des données démographiques et de la vaccination contre la COVID-19 parmi trois groupes de sujets, les différences entre les groupes pour les variables catégorielles ont été testées à l’aide de tests du khi carré, et pour les variables continues, une ANOVA a été utilisée. Pour l’analyse de la gravité des symptômes, la gravité de chaque symptôme a été classée comme nulle (0), légère (1 à 5) et sévère (6 à 10), et les fréquences ont été comparées entre les groupes à l’aide de tests du khi carré. Un modèle mixte pour mesures répétées a été appliqué pour comparer les scores numériques des symptômes ajustés au temps (immédiat versus il y a trois mois). L’incidence des problèmes de mémoire a été tabulée pour l’analyse des dysfonctionnements de la mémoire, et les différences entre les groupes ont été analysées à l’aide de tests du khi carré afin d’identifier les variations significatives des problèmes de mémoire. Pour l’analyse de la gravité de l’anxiété et de la dépression, les scores GAD-7 et PHQ-9 ont été respectivement utilisés pour évaluer la gravité de l’anxiété et de la dépression. Les scores moyens ont été calculés et comparés entre les groupes à l’aide d’une ANOVA, tandis que la distribution des catégories de gravité de l’anxiété (minimale, légère, modérée, sévère) a été comparée à l’aide de tests du khi carré. Toutes les analyses statistiques ont été réalisées à l’aide de SAS version 9.4 (SAS Institute Inc., Cary, NC, États-Unis), et une valeur p < 0,05 a été considérée comme statistiquement significative.

    Résultats​

    3.1 . Caractéristiques des sujets ( Tableau 1 )

    Sur 467 professionnels de la santé (PS) qui ont rempli des questionnaires valides, 224 (47,1 %) sujets avaient une COVID-19 symptomatique, 21 (4,41 %) avaient une COVID-19 asymptomatique et 222 (47,5 %) n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19. La majorité des sujets étaient des femmes (334, 71,5 %). L’âge moyen était significativement plus élevé dans le groupe asymptomatique par rapport aux deux autres groupes ( P = 0,0265). Les sujets atteints de COVID-19 asymptomatique et symptomatique avaient des intervalles similaires depuis le diagnostic de COVID-19 ( P = 0,3245). Quant à la primovaccination avec trois doses, il n’y avait pas de différence significative entre les groupes ( P = 0,3431), bien que divers calendriers mixtes (par exemple, AAM, AMM, MMM) aient été rapportés différemment. Cependant, il y avait des variations significatives entre les groupes pour la quatrième dose du vaccin contre la COVID-19 (P = 0,0012), avec un pourcentage notable du groupe symptomatique restant non immunisé (60,7 %).

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  17. 3.2 . Gravité de certains symptômes de la COVID longue ( tableaux 2 et 3 )

    Nous avons examiné la gravité de 19 symptômes rapportés par les sujets. Tout d’abord, la gravité de chaque symptôme a été classée comme nulle (score 0), légère (score 1 à 5) ou sévère (score 6 à 10), et la fréquence de ces catégories a été comparée entre les trois groupes de sujets ( Tableau 2 ). L’analyse a démontré que même si les personnes présentant des symptômes avaient tendance à avoir des symptômes plus sévères, ces différences n’étaient pas statistiquement significatives pour la plupart des symptômes. Cependant, la fatigue sévère et les difficultés de concentration étaient nettement plus élevées chez les personnes symptomatiques (8,48 % et 1,34 %, respectivement), bien que cela ne soit que marginalement significatif (P = 0,0557 et 0,0613, respectivement). D’autres symptômes comme les maux de tête (P = 0,9019), la faiblesse musculaire (P = 0,1460) et l’incontinence ou la constipation ( P = 0,9054) n’ont pas montré de différences significatives.

    Tableau 2. Incidences et gravité de 19 symptômes de la COVID longue parmi les professionnels de la santé classés selon leur statut COVID-19.

    Article Score de gravité Absence de COVID-19
    N = 222 COVID-19 asymptomatique
    N = 21 COVID-19 symptomatique
    N = 224 Pas de covid
    Fatigue 1–5 33,3 % 33,3 % 31,7 % 0,0557
    6–10 2,25 % 4,76 % 8,48 %
    Vertiges 1–5 16,2 % 9,52 % 19,6 % 0,7278
    6–10 2,25 % 0 1,79 %
    Mal de tête 1–5 23,9 % 19,1 % 25,0 % 0,9019
    6–10 1,80 % 0 2,68 %
    Perte d’odorat 1–5 2,70 % 4,76 % 6,25 % 0,3775
    6–10 0,90 % 0 1,34 %
    Perte de goût 1–5 2,25 % 0 6,70 % 0,1322
    6–10 0,45 % 0 0,89 %
    Sensation de picotement ou de fourmillement 1–5 4,95 % 9,52 % 8,93 % 0,4478
    6–10 1,35 % 0 1,34 %
    Sens du toucher réduit 1–5 4,05 % 0 5,80 % 0,5849
    6–10 0 0 0
    Douleurs musculaires 1–5 11,3 % 14,3 % 13,0 % 0,4678
    6–10 1,80 % 4,76 % 4,02 %
    Faiblesse musculaire 1–5 8,11 % 9,52 % 9,82 % 0,1460
    6–10 0 4,76 % 0,45 %
    Trouble de l’équilibre 1–5 6,31 % 0 5,80 % 0,6986
    6–10 0 0 0
    Incontinence ou constipation 1–5 3,15 % 0 4,02 % 0,9054
    6–10 0 0 0
    Se sentir déprimé ou anxieux 1–5 17,1 % 9,52 % 15,2 % 0,4585
    6–10 0,90 % 0 3,13 %
    Hallucination 1–5 0,90 % 0 1,34 % 1,0000
    6–10 0 0 0
    Tremblement/Mouvement involontaire 1–5 2,25 % 0 2,68 % 0,9343
    6–10 0,45 % 0 0
    Dysfonctionnement cognitif (capacité de réflexion, mémoire, organisation, traitement) 1–5 0 0 1,79 % 0,2166
    6–10 8,56 % 4,76 % 13,4 %
    Dysfonctionnement de la communication cognitive 1–5 3,15 % 0 1,79 % 0,5442
    6–10 0 0 0,89 %
    Problèmes de parole ou d’écriture 1–5 4,50 % 0 5,36 % 0,6058
    6–10 0 0 0,89 %
    Difficile de se concentrer 1–5 9,46 % 0 15,6 % 0,0613
    6–10 0,45 % 0 1,34 %
    Déclin de la mémoire 1–5 15,8 % 9,52 % 21,4 % 0,3509
    6–10 1,35 % 0 2,23 %

    Tableau 3. Comparaison des scores de gravité de 19 symptômes de COVID long chez 467 professionnels de santé, classés selon leur statut COVID-19. Les estimations ont été ajustées en fonction de la variable temporelle à l’aide d’un modèle mixte à mesures répétées.

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  18. Élément de symptôme Infection asymptomatique vs. infection symptomatique à la COVID-19 Absence de COVID vs. COVID-19 symptomatique Variable temporelle, Présent vs. trois mois plus tôt
    Estimation Erreur standard t P Estimation Erreur standard t P Estimation Erreur standard t P
    Fatigue −0,2289 0,4323 −0,53 0,5967 −0,3002 0,1794 −1,67 0,0949 0,0139 0,0039 3,54 0,0004
    Vertiges −0,4258 −0,4258 −1,44 0,1519 −0,0427 0,1232 −0,35 0,7291 0,0107 0,0034 3.17 0,0016
    Mal de tête −0,4444 0,3184 −1,40 0,1635 −0,0256 0,1323 −0,19 0,8468 0,0137 0,0038 3,57 0,0004
    Perte d’odorat −0,2317 0,2548 −0,91 0,3638 −0,1177 0,1057 −1,11 0,2663 0,0064 0,0028 2,25 0,0246
    Perte de goût −0,2128 0,1873 −1,14 0,2564 −0,1236 0,0777 −1,59 0,1124 0,0060 0,0030 2.01 0,0453
    Sensation de picotement ou de fourmillement −0,0457 0,2059 −0,22 0,8244 −0,0378 0,0854 −0,44 0,6584 0,0038 0,0038 1.01 0,3152
    Sens du toucher réduit −0,1326 0,1335 −0,99 0,3213 −0,0394 0,0554 −0,71 0,4780 0,0058 0,0019 3,00 0,0028
    Douleurs musculaires 0,1262 0,3151 0,40 0,6889 −0,1515 0,1308 −1,16 0,2471 0,0186 0,0058 3.19 0,0015
    Faiblesse musculaire 0,2270 0,1859 1.22 0,2226 −0,0276 0,0771 −0,36 0,7207 0,0085 0,0042 2.03 0,0432
    Trouble de l’équilibre −0,1438 0,1545 −0,93 0,3525 0,0063 0,0641 0,10 0,9224 0,0036 0,0018 2.01 0,0449
    Incontinence ou constipation −0,1032 0,1041 −0,99 0,3219 −0,0566 0,0432 −1,31 0,1903 0,0040 0,0028 1.43 0,1526
    Se sentir déprimé ou anxieux −0,4418 0,2943 −1,50 0,1341 −0,1175 0,1221 −0,96 0,3368 0,0195 0,0069 2,81 0,0051
    Hallucination −0,0179 0,0455 −0,39 0,6950 0,0034 0,0189 0,18 0,8581 0,0000 0,0011 0,00 1,0000
    Tremblement/Mouvement involontaire −0,0350 0,1117 −0,31 0,7543 0,0566 0,0463 1.22 0,2223 0,0007 0,0014 0,55 0,5854
    Dysfonctionnement cognitif (capacité de réflexion, mémoire, organisation, traitement) −0,1997 0,2222 −0,90 0,3692 −0,1267 0,0922 −1,37 0,1699 0,0330 0,0081 4.06 <0,0001
    Dysfonctionnement de la communication cognitive −0,3013 0,2294 −1,31 0,1897 −0,0390 0,0952 −0,41 0,6826 0,0871 0,0169 5.15 <0,0001
    Problèmes de parole ou d’écriture −0,1354 0,1587 −0,85 0,3938 −0,0573 0,0658 −0,87 0,3842 0,0208 0,0082 2,55 0,0111
    Difficile de se concentrer −0,2946 0,2039 −1,44 0,1491 −0,0874 0,0846 −1,03 0,3020 0,0670 0,0216 3.10 0,0020
    Déclin de la mémoire −0,3318 0,2559 −1,30 0,1954 −0,0300 0,1063 −0,28 0,7776 0,2197 0,0443 4,96 <0,0001

    Abréviation : Std., erreur standard.

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  19. La deuxième méthode d’analyse consistait à comparer les scores numériques à l’aide d’un modèle mixte de mesures répétées ajustées en fonction du temps ( tableau 3 ). Il est important de noter qu’aucune différence significative n’a été observée dans les scores de gravité des 19 symptômes entre le groupe symptomatique atteint de la COVID-19 et les deux autres groupes. Cependant, de nombreux symptômes ont montré des effets temporels significatifs, indiquant des symptômes plus graves au moment de répondre au questionnaire qu’il y a trois mois.

    3.3 . Plaintes liées à la mémoire ( tableau 4 )

    Français Les données du tableau 4 révèlent l’incidence des plaintes liées à la mémoire parmi les professionnels de la santé classés selon leur statut COVID-19 au cours des trois derniers mois. Malgré des tendances indiquant des rapports de problèmes de mémoire plus élevés chez les personnes symptomatiques, la plupart des différences n’ont pas atteint la signification statistique. La seule exception était que des problèmes de mémoire s’aggravant au fil du temps ont été observés chez 24,6 % des personnes symptomatiques contre 11,7 % dans le groupe sans COVID-19 et 14,3 % dans le groupe asymptomatique (P = 0,0015). Cependant, il n’y avait pas de différence de prévalence en ce qui concerne les problèmes de mémoire au cours des trois derniers mois (P = 0,0762). Aucun autre domaine cognitif n’a montré de différence de prévalence chez les personnes symptomatiques, comme la difficulté à se souvenir d’événements récents, la difficulté à reconnaître des personnes familières et à se perdre, la difficulté à reconnaître des personnes familières et à se perdre dans le quartier .

    Tableau 4. Incidence de diverses plaintes liées à la mémoire chez les sujets ayant différents statuts de COVID-19.

    Répondre « oui » aux problèmes suivants Absence de COVID
    N = 222 COVID-19 asymptomatique
    N = 21 COVID-19 symptomatique
    N = 224 P

    Avez-vous des problèmes de mémoire ? 15,8 % 0 17,9 % 0,0762
    Vos problèmes de mémoire se sont-ils aggravés avec le temps ? 12,2 % 4,76 % 12,5 % 0,7299
    Votre mémoire est-elle pire que lorsque vous étiez étudiant ? 46,9 % 38,1 % 51,3 % 0,3928
    Votre mémoire est-elle pire qu’il y a dix ans ? 45,5 % 42,9 % 53,6 % 0,1917
    Votre mémoire est-elle pire qu’il y a cinq ans ? 38,7 % 33,3 % 42,9 % 0,5753
    Votre mémoire est-elle pire qu’il y a deux ans ? 25,2 % 19,1 % 31,7 % 0,2155
    Votre mémoire est-elle pire qu’il y a six mois ? 11,7 % 14,3 % 24,6 % 0,0015
    Votre mémoire est-elle moins bonne que celle des autres personnes du même âge ? 9,01 % 4,76 % 11,6 % 0,5716
    Éprouvez-vous des difficultés dans la vie quotidienne en raison d’une perte de mémoire ? 8,11 % 4,76 % 8,04 % 1.000
    Avez-vous du mal à vous souvenir des événements récents ? 6,31 % 0 11,6 % 0,0635
    Avez-vous du mal à vous souvenir des conversations d’il y a quelques jours ? 12,2 % 4,76 % 13,0 % 0,6884

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  20. Avez-vous du mal à vous souvenir des rendez-vous d’il y a quelques jours ? 6,76 % 0 8,93 % 0,3633
    Avez-vous du mal à reconnaître des personnes familières ? 6,31 % 0 2,23 % 0,0951
    Avez-vous du mal à vous souvenir où vous avez placé les objets ? 9,01 % 4,76 % 12,5 % 0,4497
    Perdez-vous des objets plus facilement qu’avant ? 10,8 % 4,76 % 13,8 % 0,4209
    Vous vous perdez dans votre quartier ? 1,80 % 4,76 % 0,45 % 0,0953
    Avez-vous du mal à vous souvenir de deux ou trois articles à acheter lorsque vous faites vos courses ? 3,60 % 0 5,80 % 0,4779
    Avez-vous du mal à vous souvenir d’éteindre le gaz ou les lumières ? 5,86 % 0 3,57 % 0,4412
    Avez-vous du mal à vous souvenir des numéros de téléphone de vos enfants (ou des membres de votre famille) ? 5,41 % 0 5,36 % 0,8193

    3.4 . Anxiété ( Tableau 5 )

    La gravité de l’anxiété a été mesurée à l’aide de l’échelle GAD-7. Les scores moyens indiquaient des niveaux d’anxiété légèrement plus élevés chez les personnes symptomatiques (2,13 ± 3,02) par rapport à celles sans COVID-19 (2,09 ± 3,32) et au groupe asymptomatique (1,10 ± 1,64) ; cependant, ces différences n’étaient pas statistiquement significatives ( P = 0,3437). Les niveaux d’anxiété stratifiés par scores ont montré que la plupart des participants ressentaient une anxiété minimale (80,8 % symptomatiques, 79,3 % absents, 90,5 % asymptomatiques ; P = 0,9107). Des éléments d’anxiété spécifiques, tels que se sentir nerveux et s’inquiéter excessivement, n’ont également révélé aucune différence significative (p. ex., se sentir nerveux, anxieux ou à cran, P = 0,9292 ; ne pas être capable d’arrêter ou de contrôler ses inquiétudes, P = 0,2051) .
    Tableau 5. Gravité de l’anxiété parmi 467 professionnels de santé ayant différents statuts de COVID-19 à Taiwan en utilisant le trouble d’anxiété généralisée à 7 éléments (GAD-7).

    GAD-7 Absence de COVID
    N = 222 COVID-19 asymptomatique
    N = 21 COVID-19 symptomatique
    N = 224 P

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  21. Somme des scores, moyenne ± écart type 2,09 ± 3,32 1,10 ± 1,64 2,13 ± 3,02 0,3437
    Somme des scores ≥8, n (%) 14 (6.31) 0 (0) 11 (4,91) 0,5908
    Niveaux d’anxiété, stratifiés par scores additionnés 0,9107
    Minimal (score 0–4), n (%) 176 (79,3) 19 (90,5) 181 (80,8)
    Léger (score 5–9), n (%) 37 (16,7) 2 (9,52) 36 (16.1)
    Modéré (score 10–14), n (%) 6 (2,70) 0 (0) 6 (2,68)
    Sévère (score ≥ 15), n (%) 3 (1,35) 0 (0) 1 (0,45)
    Article respectif
    Se sentir nerveux, anxieux ou à cran 0,9292
    Pas du tout, n (%) 142 (64,0) 12 (54,1) 143 (65,8)
    Plusieurs jours, n (%) 68 (30,6) 9 (42,9) 72 (32,1)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 7 (3.15) 0 (0) 5 (2.23)
    Presque tous les jours, n (%) 5 (2,25) 0 (0) 4 (1,79)
    Ne pas être capable d’arrêter ou de contrôler ses inquiétudes 0,2051
    Pas du tout, n (%) 170 (76,6) 21 (100) 177 (79,0)
    Plusieurs jours, n (%) 42 (18,9) 0 (0) 40 (17,9)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 6 (2,70) 0 (0) 6 (2,68)
    Presque tous les jours, n (%) 4 (1,80) 0 (0) 1 (0,45)
    S’inquiéter trop de choses différentes 0,7148
    Pas du tout, n (%) 159 (71,6) 17 (81,0) 1477 (65,6)
    Plusieurs jours, n (%) 49 (22.1) 4 (19.1) 63 (28,1)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 10 (4,50) 0 (0) 11 (4,91)
    Presque tous les jours, n (%) 4 (1,80) 0 (0) 3(1.34)
    Difficulté à se détendre 0,9683
    Pas du tout, n (%) 146 (65,8) 16 (76,2) 143 (63,8)
    Plusieurs jours, n (%) 58 (26,1) 5 (23,8) 61 (27,2)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 13 (5,86) 0 (0) 14 (6,25)
    Presque tous les jours, n (%) 5 (2,25) 0 (0) 6 (2,68)
    Être si agité qu’il est difficile de rester assis 0,9283
    Pas du tout, n (%) 178 (80,2) 19 (90,5) 181 (80,8)
    Plusieurs jours, n (%) 38 (17,1) 2 (9,52) 39 (17,4)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 4 (1,80) 0 (0) 3 (1,34)
    Presque tous les jours, n (%) 2 (0,90) 0 (0) 1 (0,45)
    Devenir facilement agacé ou irritable 0,7153
    Pas du tout, n (%) 169 (76,1) 18 (85,7) 159 (71,0)
    Plusieurs jours, n (%) 41 (18,5) 3 (14,3) 55 (24,6)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 7 (3.15) 0 (0) 6 (2,68)
    Presque tous les jours, n (%) 5 (2,25) 0 (0) 4 (1,79)
    Avoir peur comme si quelque chose de terrible pouvait arriver 0,7934
    Pas du tout, n (%) 180 (81,1) 20 (95,2) 184 (82,1)
    Plusieurs jours, n (%) 33 (14,9) 1 (4,76) 33 (14,7)
    Plus de la moitié des jours, n (%) 6 (2,70) 0 (0) 6 (2,68)
    Presque tous les jours, n (%) 3 (1,35) 0 (0) 1 (0,45)
    Scores : Pas du tout (0) ; Plusieurs jours (+1) ; Plus de la moitié des jours (+2) ; Presque tous les jours (+3).

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  22. 3.5 . Dépression ( tableau 6 )

    La gravité de la dépression, évaluée à l’aide des scores PHQ-9, n’a montré aucune différence significative entre les groupes asymptomatique, sans COVID-19 et symptomatique de la COVID-19 ( P = 0,1632). Cependant, certaines tendances notables ont été observées. Une proportion plus élevée de personnes asymptomatiques ont été classées comme ayant des scores de dépression normaux (52 %) par rapport à celles sans COVID-19 (45,5 %) et aux personnes symptomatiques (36,6 %). Alors qu’une dépression minimale était courante dans tous les groupes, des catégories légères à sévères étaient plus fréquemment signalées chez les personnes symptomatiques. Notamment, la dépression modérée était absente dans le groupe asymptomatique mais présente chez 5,86 % des personnes sans COVID-19 et 4,02 % du groupe symptomatique. La seule différence significative a été identifiée dans l’élément « difficulté à s’endormir ou à rester endormi, ou à dormir trop » entre les groupes ( P = 0,0377), les personnes symptomatiques signalant ces problèmes plus fréquemment. D’autres symptômes, comme le manque d’intérêt ou de plaisir à faire des choses et le sentiment de déprime, de tristesse ou de désespoir, ont montré des tendances de plus grande gravité chez les personnes symptomatiques, mais n’étaient pas statistiquement significatifs .
    Tableau 6. Gravité de la dépression parmi 467 professionnels de santé ayant différents statuts de COVID-19 à Taiwan en utilisant l’élément du questionnaire de santé du patient-9 (PHQ-9).

    PHQ-9 score COVID-19 asymptomatique
    N = 21 Absence de COVID
    N = 222 COVID-19 symptomatique
    N = 224 P

    Somme des scores, moyenne ± écart type 1,10 ± 1,51 2,62 ± 4,14 2,78 ± 3,74 0,1632
    Normale 0 52.% 45,5 % 36,6 % 0,3833
    Dépression minimale 1–4 42,9 % 33,3 % 41,1 %
    Dépression légère 5–9 4,76 % 14,0 % 16,1 %
    Dépression modérée 10–14 0 5,86 % 4,02 %
    Dépression modérément sévère 15–19 0 0,45 % 1,79 %
    Dépression sévère 20–27 0 0,9 % 0,45 %

    Article respectif

    Peu d’intérêt ou de plaisir à faire les choses 0 81,0 % 70,3 % 66,5 % 0,8590
    1 19,1 % 23,9 % 28,1 %
    2 0 1,35 % 0,89 %
    3 0 4,50 % 4,46 %

    Se sentir déprimé, déprimé ou désespéré 0 85,7 % 72,1 % 75,0 % 0,8511
    1 14,3 % 25,2 % 23,2 %
    2 0 0,90 % 0,45 %
    3 0 1,80 % 1,34 %

    Difficulté à s’endormir ou à rester endormi, ou sommeil excessif 0 76,2 % 71,6 % 61,6 % 0,0377
    1 23,8 % 18,9 % 31,3 %
    2 0 2,25 % 3,57 %
    3 0 7,21 % 3,57 %

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  23. Se sentir fatigué ou avoir peu d’énergie 0 66,7 % 52,3 %. 48,2 % 0,6509
    1 33,3 % 36,0 % 40,6 %
    2 0 2,70 % 3,57 %
    3 0 9,01 % 3,13 %

    Manque d’appétit ou suralimentation 0 90,5 % 82,0 % 73,7 % 0,3687
    1 9,52 % 14,9 % 21,9 %
    2 0 0,90 % 0,89 %
    3 0 2,25 % 3,57 %

    Se sentir mal dans sa peau, avoir l’impression d’être un échec ou d’avoir laissé tomber sa famille ou soi-même 0 100,0 % 78,8 % 82,1 % 0,4187
    1 0 17,12 % 14,7 %
    2 0 1,35 % 1,34 %
    3 0 2,70 % 1,79 %

    Difficulté à se concentrer sur certaines choses, comme lire le journal ou regarder la télévision 0 95,2 % 84,2 % 82,6 % 0,8802
    1 4,76 % 13,5 % 15,2 %
    2 0 0,90 % 0,89 %
    3 0 1,35 % 1,34 %

    Bouger ou parler si lentement que d’autres personnes auraient pu le remarquer OU être si agité ou agité que vous bougez beaucoup plus que d’habitude 0 95,2 % 88,7 % 88,4 % 0,6374
    1 4,76 % 7,66 % 9,82 %
    2 0 0 1,79 %
    3 0 0 0

    Pensées selon lesquelles vous seriez mieux mort ou que vous vous feriez du mal 0 100,0 % 94,6 % 94,2 % 1.000
    1 0 4,05 % 4,46 %
    2 0 0,45 % 0,45 %
    3 0 0,90 % 0,89 %

    Score.
    0 Pas du tout.
    1 Plusieurs jours.
    2 Plus de la moitié des jours.
    3 Presque tous les jours.
    Abréviation : SD, écart type.

    3.6 . Corrélation entre le moment du diagnostic de la COVID-19 et la gravité des symptômes ( tableau 7 )

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  24. Les corrélations entre le nombre de jours écoulés depuis le diagnostic de COVID-19 et la gravité de divers symptômes de la COVID longue, dont l’anxiété (GAD-7) et la dépression (PHQ-9), ont été déterminées chez 224 sujets présentant des symptômes de la COVID-19. Les résultats ont révélé qu’à l’exception des « troubles de la parole ou de l’écriture », aucune corrélation significative n’a été identifiée. Il est à noter que ces « troubles de la parole ou de l’écriture » ​​présentaient une corrélation positive statistiquement significative, indiquant une association potentielle entre ce symptôme et la durée écoulée depuis le diagnostic initial de COVID-19.

    Tableau 7. Corrélations entre les jours écoulés depuis le diagnostic de la COVID-19 et la notation de divers symptômes de la COVID longue, de l’anxiété (GAD-7) et de la dépression (PHQ-9) chez 224 sujets atteints de la COVID-19 symptomatique.

    Symptôme Méthode Spearman méthode Kendall
    r valeur p r valeur p

    Fatigue −0,03678 0,5840 −0,02813 0,5796
    Vertiges −0,10511 0,1176 −0,08351 0,1150
    Mal de tête 0,00473 0,9440 0,00429 0,9346
    Perte d’odorat −0,06556 0,3287 −0,05316 0,3261
    Perte de goût −0,01952 0,7714 −0,01445 0,7899
    Sensation de picotement ou de fourmillement −0,03616 0,5904 −0,02910 0,5898
    Sens du toucher réduit −0,09262 0,1671 −0,07438 0,1712
    Douleurs musculaires −0,10518 0,1165 −0,08396 0,1143
    Faiblesse musculaire −0,02846 0,6718 −0,02153 0,6903
    Trouble de l’équilibre −0,07924 0,2375 −0,06473 0,2332
    Incontinence ou constipation 0,02361 0,7253 0,01859 0,7330
    Se sentir déprimé ou anxieux −0,01690 0,8014 −0,01391 0,7931
    Hallucination −0,02106 0,7540 −0,01721 0,7536
    Tremblement/Mouvement involontaire −0,07188 0,2841 −0,05897 0,2820
    Dysfonctionnement cognitif (capacité de réflexion, mémoire, organisation, traitement) 0,06332 0,3455 0,05135 0,3373
    Dysfonctionnement de la communication cognitive 0,01840 0,7842 0,01482 0,7861
    Problèmes de parole ou d’écriture 0,14730 0,0275 0,11993 0,0276
    Difficile de se concentrer −0,02289 0,7333 −0,01703 0,7501
    Déclin de la mémoire −0,01909 0,7768 −0,01294 0,8066
    Score GAD-7 −0,00120 0,9858 −0,00113 0,9817
    Score PHQ-9 0,01671 0,8036 0,01196 0,8049

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  25. Discussion​

    Cette étude visait à évaluer la prévalence et la gravité des symptômes de la COVID longue chez les professionnels de santé, en les classant selon leur statut COVID-19 : symptomatique, asymptomatique et sans antécédents de COVID-19. Malgré la méthodologie rigoureuse employée, l’absence d’association significative entre le diagnostic de COVID-19 et des taux plus élevés de la plupart des symptômes de la COVID longue dans notre base de données soulève des questions intéressantes. Cette observation remet en question l’hypothèse selon laquelle le diagnostic de COVID-19 à lui seul est inévitablement corrélé à des taux élevés de symptômes de la COVID longue.

    En analysant les données, l’étude n’a révélé aucune différence statistiquement significative dans la gravité des symptômes courants de la COVID longue entre les différents groupes de statut COVID-19. Bien que les personnes symptomatiques aient signalé des cas légèrement plus élevés de fatigue intense et de difficulté à se concentrer, ces résultats étaient légèrement inférieurs à la signification statistique ( P = 0,0557 et 0,0613, respectivement, Tableau 2 ). De plus, la majorité des symptômes, y compris les maux de tête, la faiblesse musculaire et l’incontinence, ne présentaient aucune variation substantielle entre les groupes ( P > 0,05). L’absence d’association entre le diagnostic de COVID-19 et la COVID longue a été confirmée par la constatation que la durée depuis le diagnostic de COVID-19 n’affectait pas la gravité de la plupart des symptômes de la COVID longue.

    Un aspect essentiel pour comprendre l’impact complet de la COVID-19 est l’identification des cas asymptomatiques. Ces personnes, qui ne présentent pas de symptômes notables pendant la phase aiguë de l’infection, représentent un segment crucial dans l’étude de la COVID longue. Plus précisément, comprendre la prévalence et la nature des symptômes de la COVID longue chez les cas asymptomatiques peut fournir des informations sur le véritable fardeau de la maladie et les biais potentiels dans la déclaration des symptômes. Dans notre étude, nous avons observé une incidence relativement plus faible de multiples symptômes de la COVID longue chez les personnes asymptomatiques que chez leurs homologues symptomatiques. Bien que le nombre de cas soit relativement faible pour les infections asymptomatiques, cet écart suggère que la prévalence et la gravité de la COVID longue peuvent être surestimées en raison de biais de déclaration. Les personnes ayant présenté une COVID-19 symptomatique pourraient être plus conscientes de la persistance des symptômes et plus susceptibles de la signaler, du fait de leur connaissance de leurs antécédents de COVID-19. À l’inverse, les personnes asymptomatiques pourraient ne pas attribuer des symptômes vagues ou légers à une infection antérieure, ce qui entraîne une incidence plus faible de symptômes de la COVID longue déclarés au sein de ce groupe.

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  26. Malgré le cadre robuste utilisé, comprenant des questionnaires détaillés et des tests sérologiques objectifs, les résultats de l’étude suggèrent que l’interprétation des symptômes de la COVID longue est complexe. La similitude des plaintes liées à la mémoire et des niveaux d’anxiété parmi les différents groupes d’antécédents de COVID-19 a confirmé l’idée que les biais de déclaration peuvent influencer la prévalence perçue de la COVID longue. Parmi les résultats notables, on peut citer la faible importance des troubles du sommeil chez les participants symptomatiques ( p = 0,0377) et les tendances montrant des symptômes dépressifs plus graves, soulignant la difficulté de comprendre les manifestations de la COVID longue à partir de rapports subjectifs.

    Dans cette étude portant sur 467 participants, les taux d’incidence des symptômes de la COVID longue ont été méticuleusement évalués. Compte tenu d’une incidence présumée de la COVID longue supérieure à 10 % dans la littérature, 11 , 19, la taille de l’échantillon de 224 et 222 sujets dans les deux bras principaux (symptomatiques et sans antécédents de COVID-19) devrait théoriquement offrir une puissance suffisante pour détecter des différences significatives, si elles existaient. Par conséquent, la taille relativement modeste de l’échantillon ne devrait pas rendre les comparaisons insignifiantes en soi, en particulier compte tenu de la collecte méticuleuse des données et de l’ampleur présumée de l’effet des incidences de la COVID longue.

    Néanmoins, l’impact apparemment limité de la COVID longue au sein de cette cohorte justifie une interprétation prudente. Il est crucial de considérer que cette cohorte particulière peut différer considérablement des populations étudiées dans les recherches précédentes sur la COVID longue. Notamment, tous les participants à cette étude étaient des professionnels de la santé qui avaient reçu un minimum de trois doses de vaccins contre la COVID-19 (certains ayant même reçu quatre doses) avant le début de l’épidémie du variant Omicron à Taïwan. Les recherches suggèrent que le variant Omicron a tendance à provoquer une maladie moins grave que la souche originale du SRAS-CoV-2. 20 , 21 La couverture vaccinale étendue et la nature plus bénigne des infections à Omicron peuvent expliquer la similitude observée dans les taux de symptômes de la COVID longue dans divers groupes d’antécédents de COVID-19.

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  27. 4.1 . Limites de l’étude

    Malgré les points forts de notre étude, plusieurs limites doivent être prises en compte. Premièrement, le recours aux données autodéclarées pourrait introduire un biais de rappel, en particulier pour les symptômes évalués rétrospectivement. La disparité des caractéristiques des participants entre les sujets inclus et exclus pourrait introduire un biais de sélection, impactant la représentativité des résultats et pouvant fausser les résultats de l’étude. Deuxièmement, l’échantillon comprenait des professionnels de santé d’un seul hôpital universitaire du nord de Taïwan, ce qui pourrait limiter la généralisation des résultats à d’autres populations. De plus, la conception transversale fournit un instantané plutôt qu’une perspective longitudinale, ce qui nous empêche d’établir un lien de causalité entre la COVID-19 et les symptômes de la COVID longue. Enfin, l’absence de groupe témoin composé de personnes non professionnelles de santé signifie que les facteurs professionnels influençant la prévalence des symptômes déclarés ne peuvent être distingués.

    Conclusion​

    Bien que notre étude corrobore la présence de symptômes de COVID longue chez les professionnels de santé, les résultats mettent en évidence des biais importants susceptibles de surestimer la prévalence. Cette étude souligne la nécessité d’une évaluation critique des déclarations subjectives et souligne l’importance d’utiliser des méthodologies robustes et standardisées pour déterminer avec précision le véritable fardeau de la COVID longue. Les recherches futures devraient intégrer des études longitudinales avec des protocoles de suivi standardisés et utiliser des critères diagnostiques subjectifs et objectifs afin de fournir des estimations plus précises de la COVID longue. La prise en compte de ces considérations sera cruciale pour générer des données fiables afin d’éclairer les stratégies cliniques et de santé publique.

    Déclaration de contribution d’auteur CRediT
    Yi-Chun Chen : Rédaction – brouillon original, méthodologie, analyse formelle. Cheng-Hsun Chiu : Rédaction – relecture et édition, investigation, conceptualisation. Chih-Jung Chen : Rédaction – relecture et édition, administration de projet, investigation, analyse formelle, conservation des données, conceptualisation.
    Disponibilité des données
    Les données brutes des questionnaires du COVID-19 long des participants peuvent être téléchargées à partir de https://1drv.ms/f/s!Aoh-bMMfe01QhuMGg0PW5obtMfdabg?e=fyl8SD .
    Déclaration d’intérêts concurrents
    Les auteurs ne déclarent aucun conflit d’intérêts.
    Reconnaissance
    Les auteurs remercient le Chang Gung Memorial Hospital de Taoyuan, Taïwan, pour son soutien financier. Les numéros de subvention sont CORPG3L0171 et CORPG3L0172 . L’étude a également été partiellement financée par le National Science and Technology Council de Taïwan. Les numéros de subvention sont NBRPG3M0011 et NBRPG3M0012 .
    Annexe A. Données supplémentaires
    Les données suivantes sont complémentaires à cet article.
    Télécharger : Télécharger le document Word (44 Ko)
    Composante multimédia 1 .

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  28. Références
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  30. Les « décès excédentaires » dus au vaccin contre la COVID-19 ciblent les personnes âgées et les personnes à faibles revenus.


    Par Richard C. Cook et Jeff Childers
    Recherche mondiale,
    4 juillet 2025


    Les preuves s’accumulent chaque jour selon lesquelles le « vaccin » contre la COVID était/est une arme biologique à visée génocidaire.

    Dans un article publié dans C&C News, l'avocat Jeff Childers se montre extrêmement prudent quant aux conclusions à tirer sur de tels sujets. Mais les faits ne peuvent plus être cachés. Utilisation équitable revendiquée.

    ***

    « Soudain et inattendu »
    Par Jeff Childers, C&C News , 3 juillet 2025

    Je vais maintenant m'écarter des pratiques habituelles de C&C et me lancer dans une spéculation calculée aux implications potentiellement considérables. Mais des données récentes l'exigent. Hier, ZeroHedge a publié un article intitulé : « Centene enregistre sa plus forte chute jamais enregistrée, provoquant une vente massive des actions du secteur des soins de santé. » Ce n'est pas une bonne nouvelle. Cela pourrait être terrible .

    - voir graph sur site -

    Le secteur des soins gérés a été bombardé hier, après que Centene Corporation, l'un des plus grands assureurs santé aux États-Unis, a subi la pire chute de son action en une seule journée de son histoire, s'effondrant jusqu'à 40 % après avoir retiré ses prévisions pour 2025. Ce krach a été provoqué par de nouvelles données actuarielles dévastatrices montrant que les personnes inscrites à l'Affordable Care Act (Obamacare) de Centene sont plus malades, plus coûteuses et moins nombreuses que prévu, en particulier dans 22 États où Centene détient une part de marché significative.

    L'entreprise fait désormais face à une baisse inattendue de 1,8 milliard de dollars de ses bénéfices pour 2025, ce qui a immédiatement provoqué des révisions à la baisse des notations de Wall Street et une panique des investisseurs du secteur. UnitedHealth avait déjà revu à la baisse ses prévisions quelques semaines plus tôt et remplacé son PDG. Aujourd'hui, les analystes avertissent que le pool de risques Obamacare est en train de se déliter, la flambée des coûts de Medicaid et les primes mal évaluées pénalisant l'ensemble du secteur. En clair, les assureurs avaient misé sur une croissance saine, mais se retrouvent au contraire confrontés à une perte de patients.

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  31. Centene Corporation est l'un des plus grands assureurs maladie des États-Unis, spécialisé dans les programmes publics tels que Medicaid, Medicare Advantage et les régimes d'assurance maladie de l'Affordable Care Act (ACA). Basée à Saint-Louis, Centene compte plus de 28 millions de membres (environ un dixième du pays), principalement des populations à faibles revenus et vulnérables. Son essor rapide est dû à son expansion dynamique dans le secteur des contrats de santé publique dans des dizaines d'États, ce qui en fait un acteur de référence pour le secteur des soins de santé gérés. En bref, Centene est un pilier essentiel du système de sécurité sanitaire fédéral américain.

    Mais les explications de l'entreprise m'ont fait dresser les cheveux sur la tête. Ils ont évoqué deux évolutions « inattendues ». Premièrement, la morbidité (maladie et invalidité permanente) grimpe en flèche. Deuxièmement, dans le même temps, leurs bassins d'assurés se réduisent. La perte d'adhérents est probablement due à une surmortalité. Sinon, pourquoi des personnes très malades seraient-elles exclues des assurances gratuites ou fortement subventionnées ?

    Les clients de Centene ne sont pas des bénéficiaires habituels du MAHA, susceptibles de fuir l'ACA pour des soins de santé non traditionnels. Ce sont des personnes prises au piège par le système de santé public.

    Les clients de Centene sont probablement les populations les plus fortement vaccinées au monde. Sa clientèle principale comprend les bénéficiaires de Medicaid, les bénéficiaires de l'ACA Exchange et les membres de Medicare Advantage. Il s'agit donc de personnes âgées et de personnes à faibles revenus en âge de travailler. Ce sont précisément ces populations qui ont été les plus durement touchées par la campagne de vaccination, les plus soumises aux mandats et incitations institutionnels, et qui ont eu le moins de possibilités de résistance ou de refus.

    Les bénéficiaires de Medicaid étaient souvent contraints , ou soumis à de fortes pressions, de se faire vacciner pour conserver leur emploi, accéder aux soins ou participer à d'autres programmes publics. Les bénéficiaires de l'ACA, dont beaucoup appartiennent à la catégorie des travailleurs pauvres, ont été fortement ciblés par les campagnes menées au niveau des États. Les membres de Medicare Advantage – principalement des personnes âgées – ont été les premiers à être vaccinés, avec une couverture quasi-totale chez les plus de 65 ans.

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  32. Si un signal d'effet indésirable à long terme était associé à la vaccination de masse, le groupe de risque de Centene y serait nécessairement exposé de manière disproportionnée. Il faut savoir qu'avec une morbidité en hausse rapide , une diminution des inscriptions et un choc actuariel de 1,8 milliard de dollars (c'est-à-dire des prévisions futures identiques ou pires ), les implications deviennent inconfortablement plausibles.

    Le fait que Centene ait dû soudainement retirer ses prévisions – non pas les réviser, ni les ajuster, mais les supprimer complètement – ​​et annoncer un déficit prévisionnel dévastateur de 1,8 milliard de dollars, basé sur de nouvelles données de ses auditeurs, suggère que la tendance était récente et marquée , et non progressive. Son ampleur était inattendue – peut-être exponentielle. Leurs hypothèses antérieures ont été soudainement démenties en un laps de temps étonnamment court.

    Cela signifie que le paysage des risques sous-jacents a changé de manière significative et rapide .

    Mais même cette nouvelle troublante ne m'a pas refroidi. C'est un autre point qui s'est immédiatement mis en place. Le 29 juin, j'ai publié un autre article, décrivant à l'époque une heureuse réussite du DOGE. Il s'agissait du nouveau plan du gouvernement fédéral visant à récupérer 50 % des trop-perçus frauduleux de la Sécurité sociale , une évolution bienvenue. Le problème : les récupérations n'avaient pas encore commencé . Mais, dans mon optimisme, j'ai agrémenté l'article de ce graphique, qui montrait la plus forte baisse des versements de la Sécurité sociale de l'histoire, à partir de cette année :

    - voir graph sur site -

    Ce matin, en réfléchissant au désastre de Centene, mon cerveau d'avocat m'a automatiquement ramené à ce graphique surprenant de la Sécurité sociale. Ne vous méprenez pas. Il pourrait absolument s'agir d'un meilleur suivi du gaspillage, de la fraude et des abus, comme je l'avais supposé le 29 juin. Mais… je ne faisais que deviner. L'administration n'a pas fait de discours de victoire en affirmant que les baisses historiques des paiements de la Sécurité sociale étaient le fruit du travail du DOGE. Ni officiellement, ni même officieusement. J'essayais simplement de relier les points.

    Mais… et s’il y avait une autre explication ? Et si la baisse historique des prestations de la Sécurité sociale était due au fait qu’il y a soudainement beaucoup moins de seniors ?

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  33. Je ne veux pas faire ce genre de rapprochements. Mais après des années de formation en contentieux, je n'y peux rien. Le graphique de la Sécurité sociale est une preuve qui renforce l'effet de surprise de Centene : une révélation massive, fondée sur des données actuarielles, d'une morbidité soudaine et inattendue, et d'une diminution des populations assurées dans les échanges Medicaid et ACA. Deux systèmes totalement distincts. Deux populations différentes. Une tendance indéniable : la diminution rapide du nombre de personnes dépendantes de l'État, au moment même où les coûts de santé explosent soudainement.

    Si un grand nombre de clients de Centene disparaissent et que les prestations de sécurité sociale chutent simultanément, il est non seulement plausible, mais même probable que les mêmes personnes disparaissent des deux systèmes simultanément . Contrairement au marché de l'assurance maladie, Service Corporation International (SCI), le plus grand fournisseur américain de services funéraires, de crémations et de cimetières, a progressé de plus de 109 % depuis 2021, et la dernière tendance indique une nouvelle hausse en 2025.

    - voir graph sur site -

    Carriage Services (CSV), un autre acteur majeur du secteur des soins funéraires, a enregistré une hausse vertigineuse de 163 % depuis le début du déploiement du vaccin.

    - voir graph sur site -

    Si nous cherchions les premiers signes avant-coureurs d’une catastrophe iatrogène à l’échelle nationale, c’est exactement à cela que cela ressemblerait.

    En d'autres termes, si une part significative de la population souffrait de lésions subcliniques ou d'une déstabilisation durable de son état de santé suite à une intervention médicale (par exemple, inflammation, coagulation, dérèglement immunitaire), on s'attendrait à un décalage. Non pas à une mort immédiate, mais à un effondrement progressif sur plusieurs années, avec des points d'inflexion poignardant lorsque les systèmes les plus fragiles commencent à céder.

    Les années 2 à 4 après l’intervention constituent le moment idéal pour que ce type de morbidité commence à se traduire en mortalité, en particulier dans les populations déjà vulnérables comme les personnes âgées, handicapées et immunodéprimées.

    Ainsi, la baisse soudaine des versements de la Sécurité sociale sur six mois, aujourd'hui, en 2025, est cohérente avec les décès de la première vague qui commencent à se manifester massivement. Elle correspond également à l'annonce soudaine et inattendue de Centene, et au comportement des actions du secteur des soins de santé funéraires comme si elles avaient trouvé le filon.

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  34. De nombreux observateurs indépendants de la santé publique (moi y compris) ont constaté une récente augmentation des décès et des invalidités soudains et inattendus. Hier encore, l'une de mes médiations les plus médiatisées, en dehors de la ville, avec un hôpital de 100 milliards de dollars, a été annulée au pied levé, car l' avocat de l'hôpital, responsable de l'immeuble, a eu un grave problème cardiaque. Ce genre de chose ne m'était peut-être arrivé qu'une fois dans ma carrière pré-Covid. Maintenant, tout le monde se dit : « OK, vérifions nos agendas pour la reprogrammation. »

    Voici quelques titres étrangement similaires publiés au cours des deux derniers jours, sans même essayer :

    - voir graph sur site -

    Mes amis, ces quatre exemples ne sont rien. Il serait même injuste de les utiliser, car n'en montrer que quatre suggère une sorte de limite. Il n'y a pas de limite .

    Avant la pandémie, l'expression « Mort subite » portait une charge narrative forte et terrifiante. C'était de l'herbe à chat médiatique . Ce n'était pas une simple expression passive ; c'était une accroche. Un mystère. Le début d'une histoire, et non la fin d'un événement tragique mais ennuyeux.

    Rappelez-vous comment les médias traitaient autrefois ces affaires. On voyait des titres en deux parties, comme :

    « Une tragédie frappe une petite ville : un entraîneur bien-aimé s'effondre pendant sa course matinale. La communauté exige des réponses . »
    « Un jeune banquier décède subitement des suites d’une maladie pseudo-grippale : la famille cherche la cause . »
    « La mort inattendue d'une étoile montante suscite des questions médicales . »
    Mais maintenant, les mêmes gros titres sont coupés, ne contenant que la première partie : Untel est mort subitement. La fin.

    Avant, il y avait une suite. Un angle humain. Parfois une explication médicale. Souvent, une analyse médicale spéculative. Et dans la presse pré-Covid, l'expression « mort subitement » était généralement accompagnée de détails , ou du moins approfondie par le journaliste. C'était une véritable perturbation, et les perturbations incitaient à l'investigation.

    Mais désormais, « Mort subite » est la solution. Le point à la fin d'une phrase de SADS. Le rejet des communautés exigeant des réponses, la déconnexion des familles en quête de causes, et le terminus de la curiosité médicale. Ni pourquoi, ni comment, ni résultats d'autopsie. Juste une vague déclaration – c'est encore SADS, attention à la chaleur en jardinant – et puis le fil d'actualité continue de défiler.

    Les médias sont passés d’ Agatha Christie Investigates à Kafka Press Release.

    - voir graph sur site -

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  35. Le manque persistant d'intérêt des autorités et des médias pour ces signaux d'alarme de la population (Centene, Sécurité sociale, actions des services funéraires) est terriblement frustrant. Mais quelques signes d'espoir apparaissent. D'abord, après une mystérieuse interruption rhétorique de deux ans, les expressions « décédé subitement » et « décédé de manière inattendue » sont revenues dans le vocabulaire journalistique. Pendant près de deux ans, ces expressions ont été vidées de leur sens, remplacées par des euphémismes stériles comme « événement médical », « décédé paisiblement » ou, très populaire, « aucune cause de décès fournie ».

    Peut-être pensent-ils que nous nous y sommes habitués, comme à un bruit de fond ; mais quoi qu'il en soit, les événements sont plus faciles à trouver maintenant. (À un moment, c'était tellement grave que nous en étions réduits à chercher sur les pages GoFundMe.) Au moins, cette période est révolue. C'est juste plus difficile d'en parler maintenant, car les morts subites sont devenues si inquiétantes et courantes.

    Je ne peux m'empêcher de penser que nous approchons rapidement d'un point d'inflexion indéniable où quelqu'un sera obligé de se rendre à l'évidence. La disparition des bénéficiaires de la Sécurité sociale et des bénéficiaires de l'ACA n'est pas un phénomène facile à dissimuler. Il s'agit d'argent réel ; même pas d'argent de la pandémie. Voyez plus grand. Beaucoup plus grand.

    Et, que le ciel me vienne en aide pour avoir simplement mentionné cela, mais mon esprit ne cesse de revenir au tristement célèbre rapport Deagle de 2010 sur Internet, cette feuille de calcul terrifiante et mystérieuse prédisant froidement en chiffres concrets un événement de dépeuplement massif cette année — 2025 — un document sans source mais lié au MIC qui a fait l’objet de plus d’obscurcissement, de désinformation, de fausses informations, de fausses bannières, de légendes urbaines, de bavardages imprudents et de démentis plausibles que peut-être tout autre document dans l’histoire.

    J'ai un jour plongé dans ses méandres, et le rapport Deagle est à la fois beaucoup moins intéressant et aussi beaucoup plus intéressant que ne le laissent entendre les critiques les plus virulentes.

    C'est un peu fou. Nous voici en 2025, confrontés à une diminution soudaine et inexpliquée de la population dans les pays les plus avancés médicalement, à des données d'assurance (Centene) criant à la morbidité, à des programmes de transferts fédéraux (Sécurité sociale) purgeant discrètement leurs bénéficiaires, à une surmortalité statistiquement élevée mais invisible, à des taux de fécondité en chute libre, à des cancers turbo, à des caillots sanguins blancs et à des anomalies innommables signalées par les croque-morts, à une explosion de preuves anecdotiques, et le plus accablant : l'apathie officielle.

    Pour ceux d'entre vous qui ont une idée de ce dont je parle, n'hésitez pas à me dire dans les commentaires si vous souhaitez une édition spéciale « Conspirationnisme » du rapport Deagle et si vous pensez que cela pourrait intéresser tout le monde. Attention, cela va occuper tout un article.

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  36. En conclusion, nous qui restons vivons pour combattre un jour de plus. C'est à nous, les plus chanceux, qu'incombe le devoir indésirable de témoigner, de parler quand d'autres se taisent et de veiller à ce que les architectes de ce désastre en cours soient enfin tous jetés à terre et pendus aussi haut qu'Haman ( après des procès équitables, bien sûr ). Nous devons veiller à ce que cette lente catastrophe iatrogène ne soit ni oubliée ni mythifiée.

    La vérité sera le prix à payer.

    https://www.globalresearch.ca/excess-deaths-covid-jab-target-elderly-low-income-victims/5893908

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  37. Comment les suspensions lestées renforcent les tendons et libèrent une force cachée. Dr Mercola


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    3 juillet 2025


    Les suspensions mortes reconstruisent vos tendons et ligaments plus rapidement que la plupart des entraînements, aidant à prévenir les blessures et à améliorer la stabilité des articulations avec un minimum de temps et d'équipement.

    Commencer par de simples suspensions au poids du corps entraîne votre système nerveux à engager les muscles stabilisateurs qui améliorent la posture, la force de préhension et le contrôle des épaules.

    Les poignées épaisses et les serviettes enroulées activent davantage de muscles sans ajouter de poids, ce qui rend vos mains plus fortes tout en réduisant le risque de douleur ou de déchirures cutanées.

    Les suspensions lestées offrent un remodelage puissant des tendons, mais ne doivent être ajoutées qu'après que vous puissiez vous suspendre en toute sécurité pendant 60 à 90 secondes avec une forme correcte.

    La pratique de suspensions courtes et régulières tout au long de la journée renforce la force et la résilience de tout le corps sans épuisement, en particulier lorsqu'elle est combinée à des mouvements spécifiques au poignet et à la prise en main.

    *

    La plupart des gens entraînent leurs muscles. Beaucoup moins pensent aux tissus qui maintiennent tout ensemble : tendons, ligaments et fascias. Mais si vous avez atteint un plateau de force, si votre prise lâche trop vite ou si vous souffrez de raideurs chroniques aux épaules, ce ne sont pas vos muscles qui vous freinent. C'est l'échafaudage sur lequel ils s'appuient et la façon dont votre système nerveux sait l'utiliser.

    C'est là qu'intervient la suspension lestée. Simple, court et terriblement efficace, ce mouvement ne se limite pas à développer la force de préhension. Il reprogramme la façon dont votre corps se stabilise sous l'effort. Et contrairement à la musculation conventionnelle, il cible les tissus les plus lents à s'adapter, que la plupart des entraînements négligent complètement.

    Cet exercice, souvent négligé, suscite un regain d'intérêt auprès des chercheurs, des entraîneurs et des athlètes de haut niveau pour sa capacité à améliorer la posture, à réduire la douleur et à développer durablement la force de tout le corps. Les experts en préhension et les entraîneurs de force militaires l'utilisent désormais comme un outil essentiel pour développer la résilience des mains.

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  38. Les Dead Hangs renforcent les tendons sans entraînement intensif

    Nul besoin d'une salle de sport ou d'une barre pour commencer à reconstruire le tissu conjonctif qui soutient vos épaules, votre colonne vertébrale et votre force de préhension. Un simple exercice de suspension au poids du corps – en se tenant simplement à une barre et en laissant son corps s'étirer – est l'un des moyens les plus efficaces de renforcer les tendons et les ligaments qui protègent vos articulations.

    Au fil du temps, ces exercices simples et à fort impact aident votre corps à remodeler le collagène, à améliorer votre posture et à prévenir les blessures dues à la faiblesse des stabilisateurs. Et contrairement à la musculation intensive, vous pouvez les pratiquer quotidiennement sans vous épuiser.

    • Les suspensions au poids du corps stimulent le remodelage du collagène sans poids supplémentaire. Lorsque vous vous suspendez à une barre, votre corps ressent l'étirement et réagit en renforçant les tissus sous tension. Ce processus, appelé mécanotransduction, aide vos tendons à s'épaissir et à gagner en résilience. Pas besoin de résistance supplémentaire pour en bénéficier : il suffit d'une pratique régulière et d'une bonne technique.

    • Les véritables gains viennent de la régularité, et non de l'intensité. Une suspension quotidienne de 30 à 60 secondes au poids du corps signale à votre corps qu'il est temps de renforcer ses tissus conjonctifs. Avec le temps, cela s'accumule. Vos épaules gagnent en stabilité, votre prise en main se renforce et vous bougez avec un meilleur alignement. Inutile de viser l'échec ou de courir après l'épuisement. Votre objectif est d'obtenir des répétitions répétables et de qualité qui développent progressivement votre force.

    • Une fois que vous serez capable de rester suspendu pendant 60 à 90 secondes, plusieurs options s'offriront à vous. Si et seulement si vous avez développé cette base, commencez à expérimenter avec des poids supplémentaires. Commencez doucement avec un haltère de 2,2 ou 4,5 kg attaché à une ceinture de musculation ou rangé dans un sac à dos. L'objectif n'est pas d'atteindre son maximum, mais d'appliquer juste assez de charge pour renforcer la réponse tendineuse, sans solliciter vos articulations.

    • Les suspensions lestées montrent ce qui est possible, mais ce n'est pas le point de départ. Une suspension de 20 secondes avec 45 kg supplémentaires déclenche un remodelage intense du collagène, mais ce n'est pas un point de départ, c'est une destination. Sans préparation, passer aux suspensions lestées risque de provoquer des blessures aux tendons et des tensions nerveuses. Maîtrisez toujours d'abord les suspensions au poids du corps.

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  39. • Vous entraînez les muscles qui protègent vos articulations, et pas seulement ceux que vous voyez. Même sans poids, les suspensions activent les muscles stabilisateurs profonds des épaules, du dos et de la colonne vertébrale. Ce sont ces systèmes de soutien qui maintiennent vos articulations alignées, améliorent votre posture et préviennent les douleurs chroniques. Des muscles stabilisateurs puissants ne sont pas seulement utiles pendant les entraînements ; ils modifient votre façon de bouger au quotidien.

    Les barres épaisses optimisent les résultats et protègent vos mains

    Passer d'une prise de 2,5 cm à une prise de 7,6 cm augmente considérablement la sollicitation musculaire des mains, des avant-bras et des poignets. Cela se produit car les doigts doivent s'écarter davantage et mobiliser davantage d'unités motrices, les paires nerf-muscle qui contrôlent la force et l'endurance. Ce diamètre plus large augmente également la tension passive des tendons, leur transmettant un signal adaptatif plus fort.

    • Une barre épaisse modifie la sensation du poids et sollicite davantage votre prise. Ce n'est pas seulement une question de taille. Comme votre main est plus éloignée du centre de la barre, l'effet de levier mécanique change. Cela augmente le couple, ce qui signifie que votre prise doit travailler plus fort pour stabiliser le même poids. Vous le ressentez instantanément dans vos avant-bras et vos articulations des doigts, même si le poids de la plaque n'a pas changé.

    • Des barres plus épaisses réduisent la douleur, ce qui vous permet de vous suspendre plus lourdement. La surface d'une barre de 7,5 cm est plus large, ce qui répartit la pression sur les paumes. Cela signifie moins de cisaillement cutané, moins de points chauds et moins de douleur. Pour beaucoup, c'est la douleur, et non la force, qui limite les suspensions. Ce changement subtil fait souvent la différence entre atteindre un plateau d'entraînement et le dépasser.

    • N'ajoutez pas de poids immédiatement. Commencez avec le poids de votre corps jusqu'à ce que vous puissiez tenir une suspension pendant au moins une ou deux minutes avec une bonne posture. Ensuite, augmentez le poids par tranches de 4,5 à 7,8 kg. Se précipiter sur des suspensions de 45 kg est non seulement imprudent, mais cela augmente également le risque de contusions des tissus abdominaux, en particulier autour de la ceinture. Rembourrez toujours la ceinture et écoutez votre corps.

    • Un peu d'exercice chaque jour peut faire beaucoup — Inutile de planifier toute votre séance d'entraînement autour de cela. Le stimulus est si compact que vous pouvez l'intégrer à votre journée avec un minimum d'effort. Un effort soutenu le matin, un autre le soir — effectué régulièrement, cela seul pourrait restructurer la résistance de vos tissus conjonctifs sous la charge.

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  40. La force de préhension commence par la densité des tendons, pas par les muscles

    Dans la vidéo ci-dessus, l'entraîneur personnel Michael Eckert a décrypté le fondement souvent négligé de la force de préhension : la densité tendineuse . Alors que la plupart des gens associent la force de préhension à la force des muscles de la main, Eckert a souligné que « plus vos tendons sont forts et denses, plus vos muscles peuvent les solliciter pour créer de la force ».

    • Les tendons limitent la force de votre prise, à moins que vous ne les entraîniez directement. Eckert a souligné que votre corps limite naturellement la tension qu'il permet aux muscles de générer si les tendons auxquels ils s'attachent sont trop faibles. Cette limite vous protège des blessures, mais elle limite également la force que vous développez. « Votre corps reconnaît la faiblesse de vos tendons », a-t-il expliqué, c'est pourquoi développer des tendons denses et résistants est essentiel pour atteindre votre plein potentiel.

    • L'entraînement des tendons est lent, mais une charge constante est efficace. Les tendons ayant un flux sanguin limité, leur adaptation est beaucoup plus lente que celle des muscles . C'est pourquoi développer sa force de préhension ne se résume pas à solliciter ses avant-bras une fois par semaine. Eckert a plutôt souligné l'importance d'en faire « un peu chaque jour » pour obtenir des résultats à long terme. Il a déclaré : « Améliorer sa force de préhension prend du temps. Pour obtenir des résultats de qualité à long terme, il faut y consacrer beaucoup de temps. »

    • Les suspensions simples ont toujours leur place dans les entraînements avancés. Eckert les décrit comme « un exercice plutôt pour débutants », mais reconnaît également que même les grimpeurs et athlètes d'élite y reviennent régulièrement. Lorsque ses mains sont fatiguées ou qu'il cherche à préserver la santé de ses tendons en minimisant les contraintes, les suspensions simples deviennent sa solution de prédilection. « On peut toujours revenir aux bases pour tirer le meilleur parti de son entraînement », explique-t-il.

    • La forme compte plus que la complexité — Au lieu de courir après de nouveaux gadgets ou des techniques avancées, Eckert encourageait à s'en tenir à des mouvements fondamentaux avec une excellente forme. Il construit une grande partie de sa routine autour d'exercices isométriques simples (des prises statiques), car ils sont faciles à répéter, à adapter et à intégrer dans un programme quotidien sans se ruiner. Son message était simple : complexité n'est pas synonyme d'efficacité.

    • Pas besoin de salle de sport pour travailler sa prise — L'accessibilité fait partie de la stratégie d'Eckert. Il a montré comment il a construit sa propre poutre à ressorts en utilisant du bois, des bandes de résistance et un équipement minimal. Vous pouvez reproduire le même effet avec un morceau de bois posé sur une barre de traction, quatre litres d'eau ou tout autre objet lesté qui sollicite votre prise. L'objectif n'est pas un équipement parfait, mais une pratique régulière.

    Les dispositifs sans suspension offrent un moyen puissant de charger directement les tendons
    L'une des techniques les plus remarquables de la vidéo était le « no-hang » : il s'agit de s'agripper à un rebord et de soulever simplement un poids avec les doigts, sans se suspendre complètement à une barre. « Il s'agit simplement, » explique-t-il, « de s'agripper à un rebord, de ressentir une certaine résistance et de la maintenir pendant une durée aléatoire ou déterminée. » Cette méthode évite la sollicitation totale du poids du corps tout en appliquant une charge puissante aux tendons.

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  41. • Ces exercices peuvent être adaptés à votre niveau de force. Les exercices sans suspension fonctionnent, que vous soyez débutant ou confirmé. La résistance et la taille du rebord sont adaptées à votre capacité actuelle. Il a présenté des options allant d'un bord de 38 mm (facile) à un bord de 15 mm (très difficile), chacune présentant des difficultés de préhension. Cela vous permet de progresser progressivement et de suivre vos progrès au fil du temps.

    • Des séances courtes réparties sur la journée sont plus efficaces qu'une seule séance intensive. Eckert explique que la force de préhension s'améliore plus rapidement lorsqu'on l'entraîne tout au long de la journée plutôt que de tout concentrer sur une seule séance. « Je ressens beaucoup plus de bénéfices grâce à cela et à un effort constant qu'en consacrant une fois par semaine à un entraînement de force de préhension », a-t-il déclaré. Cela correspond à ce que nous savons sur le remodelage tendineux : une charge constante et faible est gagnante.

    • Il ne suffit pas de serrer — Selon Eckert, la force de préhension ne se limite pas à écraser des objets avec toute la main. Elle implique tous les mouvements possibles du poignet et des doigts : pincer, tirer, fléchir, tourner. « Chaque mouvement exerce une traction musculaire », explique-t-il. Pour développer pleinement sa force de préhension, il est important de travailler chaque action de la main.

    • Des mouvements comme la pronation et la supination sont souvent ignorés, mais essentiels. Eckert a démontré deux mouvements clés : la pronation (rotation de la main paume vers le bas) et la supination (rotation paume vers le haut). Ces mouvements sollicitent les muscles profonds de l'avant-bras qui stabilisent la prise, notamment sous des charges contraignantes ou rotatives. Il a montré comment les entraîner à l'aide d'élastiques ou même d'un marteau pour appliquer un couple pendant que le poignet riposte.

    • La force de pincement et de sertissage sont deux compétences distinctes. Eckert a souligné que même les athlètes expérimentés présentent des asymétries des mains. Son point faible se situait au niveau de l'index et du pouce, essentiels au pincement et au sertissage. Pour y remédier, il a présenté un exercice où il saisit une plaque de poids calibrée de 11 kg par la lèvre et effectue des micro-répétitions, en ciblant son pouce et son index avec une précision chirurgicale. « Cela permet d'augmenter la force globale de la main et c'est une flexion incroyable de l'avant-bras », a-t-il déclaré.

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  42. Entraînez-vous comme un soldat, bougez comme un athlète

    Dans une interview entre l'auteur et podcasteur Tim Ferriss et l'expert en force Pavel Tsatsouline, il explique les principes qui sous-tendent ses protocoles de force minimalistes mais très efficaces, ainsi que des stratégies pratiques pour développer la force de préhension et de base sans routines d'haltérophilie conventionnelles. 2 Tsatsouline, à qui l'on attribue l'introduction de l'entraînement au kettlebell aux États-Unis, est un ancien instructeur d'entraînement physique pour les forces spéciales soviétiques et entraîne des unités militaires d'élite, des athlètes et des civils.

    Tsatsouline souligne que la plupart des gens complexifient excessivement l'entraînement, privilégiant des astuces et des routines épuisantes au détriment d'un renforcement musculaire basé sur des principes. « Le monde du fitness est très confus », explique-t-il à Ferriss. Son approche se résume aux fondamentaux : un entraînement à faible répétition et à haute fréquence, axé sur le système nerveux, qui développe la puissance sans épuisement.

    • Ses stratégies sont conçues pour des environnements où l'échec n'est pas envisageable. Contrairement aux athlètes qui peuvent se permettre une récupération à temps plein et des repas soigneusement programmés, les soldats doivent s'entraîner pour développer une force capable de résister à une pression extrême. Tsatsouline affirme que ses méthodes sont « antifragiles » : elles s'améliorent sous le stress, car une programmation efficace doit continuer à fonctionner lorsque la nutrition, le sommeil et le confort s'effondrent.

    • Vous pouvez instantanément soulever plus de poids grâce à cette astuce. Tsatsouline partage une technique pour amplifier votre force pendant n'importe quel mouvement : la tension musculaire. Lorsqu'un mouvement devient difficile, serrez la barre ou le poids dans votre main aussi fort que possible. Cela sollicite davantage de fibres musculaires grâce au principe d'irradiation, où la tension musculaire d'une zone se propage aux muscles voisins, augmentant ainsi la force totale. Vous ferez plusieurs répétitions de plus, promet-il.

    • Contractez vos abdominaux et vos fessiers pour encore plus de puissance — Une fois la tension de la poignée maîtrisée, Tsatsouline ajoute deux éléments supplémentaires : contractez vos abdominaux comme si quelqu'un allait vous donner un coup de poing et vos fessiers comme si quelqu'un allait vous donner un coup de pied. En effectuant les trois exercices simultanément (poignée, fessiers, abdominaux), vous optimisez la puissance de tout votre corps.

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  43. • Entraînez votre prise et votre ceinture abdominale pour améliorer tout le reste — Si vous ne savez pas sur quoi vous concentrer, Tsatsouline vous conseille d'entraîner votre prise et votre ceinture abdominale. Pourquoi ? Parce que ces deux zones ont un impact considérable sur la force corporelle totale. Votre prise est étroitement connectée à votre cerveau et, lorsqu'elle est sollicitée, tout votre corps suit. Votre ceinture abdominale amplifie votre force en augmentant la pression intra-abdominale, comme si vous augmentiez le volume des signaux de votre système nerveux.

    • Utilisez la méthode « graisser le sillon » pour devenir plus fort sans vous fatiguer — Pour la force de préhension, Tsatsouline recommande d'utiliser une méthode qu'il appelle « graisser le sillon », inspirée des protocoles d'entraînement olympiques soviétiques. Utilisez une charge ou une variante qui semble difficile, mais contrôlée, et effectuez seulement la moitié du nombre de répétitions que vous pourriez faire à l'effort maximal.

    Reposez-vous ensuite et répétez le même mouvement plus tard, idéalement toutes les heures ou toutes les deux heures. L'essentiel est de rester régulier sans fatigue, ce qui permet de développer sa force au fil du temps sans risquer l'épuisement ou les blessures.

    Commencez par des suspensions au poids du corps et développez à partir de là

    Si vous cherchez à corriger une prise faible, une mauvaise posture ou une raideur persistante des épaules, le meilleur point de départ est de renforcer les tendons et de réentraîner votre système nerveux. C'est là la véritable cause du problème : non pas la taille des muscles, mais la fragilité du tissu conjonctif et un faible recrutement moteur qui limitent la force que votre corps vous permet d'utiliser. Le moyen le plus rapide d'inverser ces deux problèmes est d'utiliser des techniques de suspension et de stimulation nerveuse. Mais la façon de les réaliser est importante.

    Pas besoin de salle de sport ni d'équipement coûteux. Juste un support, une pratique régulière et un programme adapté à votre force actuelle. Voici les étapes que je recommande pour obtenir de vrais résultats : des mains plus fortes, une meilleure posture et des mouvements sans douleur, sans blessure ni épuisement. Dans la vidéo ci-dessus, Pat Chadwick, coach de callisthénie, vous explique également comment maîtriser le dead hang et utilise quatre variantes puissantes pour améliorer votre prise, votre posture et votre gainage, et soulager vos douleurs aux épaules.

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  44. 1. Commencez par des suspensions au poids du corps pendant 30 à 60 secondes par série. Si vous n'êtes pas encore à l'aise avec le poids du corps, augmentez progressivement votre niveau en utilisant des bandes de résistance ou en effectuant des suspensions partielles, pieds au sol. L'objectif est de solliciter vos articulations, et non de solliciter vos muscles au maximum.

    Deux séries par jour, matin et soir, suffisent. Et arrêtez-vous toujours avant l'échec. Maintenez la tension dans vos épaules en les tirant légèrement vers le bas et en sollicitant vos grands dorsaux. Cela stimule votre système nerveux et protège vos rotateurs.

    2. Utilisez une prise plus épaisse pour activer davantage de nerfs et protéger vos mains — Enroulez une serviette ou un coussin en mousse autour de votre barre de traction. Cela permet d'étendre davantage votre main et d'activer davantage de muscles sans ajouter de poids supplémentaire. Une prise épaisse répartit également la pression sur la paume et les doigts, réduisant ainsi le risque d'ampoules ou de compression nerveuse. Cela correspond au principe d'irradiation de Tsatsouline : l'activation d'une zone (votre prise) répartit la tension sur les muscles voisins, créant ainsi une force corporelle complète.

    3. Une fois que vous pouvez tenir 60 secondes, commencez à ajouter du poids, mais limitez les répétitions à des intervalles courts. Attachez 2,5 à 4,5 kg à une ceinture de musculation ou utilisez un sac à dos. Gardez une charge légère et une posture rigoureuse : épaules contractées, gainage, respiration régulière. Visez des suspensions de 20 à 30 secondes. Contracter les fessiers et les abdominaux pendant la suspension, comme le recommande Tsatsouline, amplifiera votre force et protégera votre colonne vertébrale.

    4. Entraînez- vous plus intelligemment, pas plus intensément. Inutile de vous entraîner jusqu'à l'épuisement. Entraînez-vous en effectuant des séries sous-maximales fréquentes tout au long de la journée, juste assez pour signaler une adaptation, sans pour autant provoquer de la fatigue. Par exemple, si vous pouvez tenir une suspension pendant 60 secondes, faites des séries de 20 à 30 secondes espacées d'une heure ou deux. Avec le temps, votre prise, vos épaules et votre système nerveux s'adapteront, sans avoir besoin de récupérer après l'entraînement.

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  45. 5. Entraînez tous les mouvements de votre main et de votre poignet, pas seulement la préhension. Des mains fortes ne se limitent pas à serrer fort. Il est essentiel de contrôler vos poignets dans toutes les directions. Utilisez des bandes de résistance, un seau rempli de riz sec ou des outils simples comme des marteaux pour entraîner vos mains et vos poignets dans toutes les directions. Ces mouvements ciblés développent une force équilibrée, réduisent les risques de blessures et vous aident à bouger avec plus de puissance lors de vos activités sportives, d'entraînements ou de tâches quotidiennes.

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    FAQ sur Dead Hangs
    Q : Que sont les suspensions mortes lestées et comment aident-elles ?

    R : Les suspensions lestées sont des prises courtes et à haute tension où l'on se suspend à une barre, parfois avec un poids supplémentaire. Elles ciblent les tendons et les ligaments, et pas seulement les muscles, déclenchant le remodelage du collagène et renforçant les tissus conjonctifs qui soutiennent les articulations et la posture.

    Q : Dois-je ajouter du poids immédiatement ?

    R : Non. Commencez toujours par des suspensions au poids du corps jusqu'à ce que vous puissiez tenir confortablement pendant 60 à 90 secondes. Commencer avec un poids supplémentaire trop tôt augmente le risque de déchirure tendineuse ou de compression nerveuse. Construisez d'abord des fondations solides.

    Q : Pourquoi les suspensions mortes sont-elles plus efficaces que les entraînements longs pour la santé des tendons ?

    R : Les suspensions profondes appliquent une contrainte ciblée que vos tendons perçoivent comme un signal de reconstruction. Ce processus, appelé mécanotransduction, ne nécessite pas de longs entraînements ; il suffit d'un effort court et constant auquel votre corps s'adapte progressivement sans s'épuiser.

    Q : Quels outils renforcent ma prise et mes poignets à la maison ?

    R : Des objets simples comme des bandes de résistance, un seau rempli de riz sec ou même un marteau peuvent entraîner différents mouvements du poignet et de la main. Ces outils aident à renforcer la préhension dans toutes les directions – pincer, tordre, tirer –, créant ainsi de la résilience et prévenant les blessures.

    Q : À quelle fréquence dois-je faire des dead hangs ou des exercices de préhension ?

    R : Une pratique quotidienne est idéale. Essayez une méthode comme « grease the groove », qui consiste à effectuer des séries courtes et sous-maximales tout au long de la journée. Une ou deux séries, matin et soir, permettent de gagner en force durablement, sans fatigue ni courbatures.

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    Remarques

    1 YouTube, Michael Eckert 15 janvier 2025

    2 The Tim Ferriss Show, épisode 55

    https://www.globalresearch.ca/dead-hangs-build-stronger-tendons-strength/5893751

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  46. Préoccupations croissantes concernant les vaccins pour enfants présentés en association
    Matt Gaetz demande comment peuvent-ils être étudiés ?


    Peter A. McCullough, MD, MPH
    Juillet 04, 2025


    Matt Gaetz a sondé Dr. McCullough sur la possibilité d'une couverture CDC et de l'agence gouvernementale sur les effets indésirables des vaccins uniques et combinés, y compris les maladies allergiques et neuropsychiatriques. Gaetz a laissé entendre que « partir de zéro » semble si grand pour les parents qui cherchent des informations justes sur les vaccins. McCullough a dit en termes de bon sens que s'il a prescrit 16 médicaments en une seule fois à un patient, il y aura probablement un effet secondaire. Pourquoi ne nous attendrions-nous pas à ce que le même concept tienne avec une grosse batterie de coups de feu chez un bébé ou un petit enfant?

    McCullough a déclaré à Gaetz que ces principes semblaient être soutenus par la littérature: 1) des vaccins uniques plus sûrs que les combinaisons, 2) les vaccins sont plus sûrs s'ils sont donnés plus tard dans la vie au-delà de la fenêtre du développement neurologique, 3) une charge cumulative plus faible de la vaccination entraînera probablement de meilleurs résultats. En d’autres termes, l’avenir de la vaccination des enfants n’est peut-être pas un programme unique, mais plutôt adapté au risque individuel. S'il vous plaît, profitez de l'avant-garde sur One America News, le Matt Gaetz Show, le 30 juin 2025.

    https://www.thefocalpoints.com/p/growing-concerns-about-childhood?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=167389881&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  47. MANIA de l'ARNm: Complexe bio-pharmaceutique se convoque pour faire progresser le programme de manipulation génétique mondiale

    À l’intérieur du Forum mondial du vaccin 2025, où les « vaccins », les réplicons, les injections conçues par l’IA et les injections conçues par l’IA ont été dévoilés – et les plans visant à accélérer l’ARNm dans le monde entier ont été dévoilés.


    Nicolas Hulscher, MPH
    Juillet 04, 2025


    Le 19 juin 2025, plus de 180 agents mondiaux du complexe biopharmaceutique se sont réunis à Séoul pour le Forum mondial des afin de discuter de « Présent et d’avenir des technologies de la plateforme de recherche et d’autres ARNm ». Les principaux sujets abordés incluaient les injections d'ARNm de réplicon auto-amplificateurs, les « vaccins » des patchs à micro-aiguilles, les injections génétiques conçues par l'IA et la course à accélérer le développement d'ARNm.

    Parrainé par EuBiologics, co-organisé par l'International Vaccine Institute (IVI) et le CDC coréen (KDCA), le forum a consisté en des profiteurs pandémiques, des colporteurs de la thérapie génique et des bureaucrates de la santé mondiale. On trouvera ci-après une ventilation session par session de ce qu'ils prévoient ensuite :
    Séance d'ouverture: L'endoctrinement commence

    Intervenants : Dr. Dokeun Kim, Directeur général du Centre de recherche sur les vaccins de l'Institut national de la santé de la Corée, sous la direction de KDCA et du Dr. Sanjay Singh, PDG de Gennova Biopharmaceutique

    Mettez le ton : « l'ARNm est l'avenir » - pas seulement pour les pandémies, mais pour tout (maladie auto-immune, cancer, etc.).

    Sanjay Singh a fortement promu la plateforme de réplique auto-ampliquante d'ARNm (ARNsa) .

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    Session 1: Plan de domination de l’ARNm de la CEPI

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  48. Intervenants : Dr. Martina Ochs, chef de projet du programme d'ARNm à la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et Prof. Dan Baroucha, professeur de médecine au château de William Bosworth à la faculté de médecine de Harvard,

    Martina Ochs de la CEPI a révélé des plans d'utilisation d'ARNm pour « préparer » à de futures épidémies - c'est-à-dire des vaccins génétiques pré-autorisés en attente de la prochaine urgence déclarée. Il a été souligné « le besoin de vitesse » lors du développement de plans d'ARNm.

    Dan Barouch de Harvard a faussement affirmé que les vaccins contre la COVID-19 « ont sauvé 20 millions de vies en 2021 », puis ont établi des corrélats de protection pour affiner les futures mises à jour d'ARNm pour les virus respiratoires, y compris le potentiel d'injections intranasales ou génétiques saisonnières de routine.

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    Deuxième séance : Vaccins et usines mobiles à ingénierie humaine

    Intervenants : Dr. Robert Paris, vice-président et chef de la zone thérapeutique à Moderna, professeur. Minkyung Baek de l'Université nationale de Séoul, et M. Sang Hwan Seo, directeur de l'IVI

    Vaccins conçus par l'IA - fusionnant l'intelligence artificielle avec la biologie synthétique pour concevoir des plans en quelques jours, pas des années.

    Robert Paris de Moderna a poussé l'altitude à l'augmentation de l'ARNm aux maladies chroniques, une autre expansion du marché de masse.

    Les projets de fabrication d'ARNm mobiles (« DeCAFx ») ont présenté la « décentralisation » - mais vraiment un modèle mondial pour la production de grenailles de gènes à la demande dans toutes les régions.

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    Session 3: Patchs de micro-aiguilles et ARN auto-amplificateur

    Intervenants: Prof. Gerald McInerney de l'Institut Karolinskat, Dr. Hae-Jin Hu, directeur de recherche chez QuadMedicine, et Prof. Hyukjin Lee de l'Université nationale de Séoul

    L'ARN auto-amplificateur (ARNsa) est plus efficace.

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  49. Le patch de micro-aiguilles (MAP) a promu un vaccin « favorable à l'équité » sans douleur, mais c'est un pas vers une thérapie génique à domicile non contrôlée, contournant la surveillance médicale. La Fondation Gates a financé une méthode d'implantation de boîtes quantiques permanentes pour vérifier l'état de la vaccination à l'aide de la technologie MAP.

    Les nouvelles nanoparticules lipidiques présentées comme des moyens de pénétrer plus de tissus, plus efficacement. Ce qui n'est pas dit: une pénétration plus facile signifie également une plus grande biodistribution - y compris pour le cerveau et les organes reproducteurs.

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    Séance 4: La race coréenne à l’ARNm de production de masse

    Intervenants: Prof. Jae-Hwan Nam, PDG de SML Biopharm, Dr. Younchul Shin, responsable du développement chez GC Biopharma, et Dr. Yongwook Park, premier vice-président de la Saka bioscience de la Sakout

    Le panel d'exec de biotechnologies discutent de la production de masse, des partenariats public-privé et des modèles de déploiement à l'échelle de la pandémie.

    L'ordre du jour est clair

    Il s’agissait d’une réunion de coordination mondiale pour la normalisation de la manipulation génétique, organisée par les agences et les entreprises qui ont profité de la COVID-19. Comme on pouvait s'y attendre, il n'y a pas eu de discussion sur les immenses dangers de la technologie de l'ARNm, malgré plus de 700 études évaluées par révélant leurs graves risques biologiques.

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  50. Ils veulent :

    Des thérapies géniques conçues, rapidement autorisées et non testées par l'IA.

    SaRNA et MAP pour permettre une administration silencieuse et répétée.

    Les usines mobiles sont prêtes à lancer le prochain tour sur commande.

    Infrastructure permanente pour la modulation génétique à l'échelle de la population.

    Vous pouvez assister à la réunion complète du complexe bio-pharmaceutique ici:

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et Administrateur de la Fondation McCullough

    www.mcculloughfnd.org

    https://www.thefocalpoints.com/p/mrna-mania-bio-pharmaceutical-complex?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=167476623&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  51. États-Unis - Le Comité Judiciaire de la Chambre intensifie son enquête sur un présumé retard du vaccin pfizer avec une assignation


    le 03 juillet 2025 - 11:43


    Le 30 juin 2025, le Comité Judiciaire de la Chambre des Représentants, dirigé par le président Jim Jordan (R-OH), a émis une assignation à l’encontre du Dr Philip Dormitzer, ancien cadre de Pfizer, dans le cadre d’une enquête approfondie sur des allégations selon lesquelles l’entreprise aurait délibérément retardé les résultats des essais cliniques du vaccin contre la COVID-19 pour influencer l’élection présidentielle de 2020. Cette démarche fait suite au refus de Dormitzer de coopérer volontairement à des demandes antérieures de témoignage et de documents, comme détaillé dans une lettre qui lui a été adressée à la même date.

    L’enquête du comité repose sur des allégations selon lesquelles de hauts responsables de Pfizer, y compris Dormitzer, ancien vice-président et directeur scientifique des vaccins à ARN et viraux, auraient ralenti les tests cliniques pour éviter de publier des résultats positifs avant l’élection de novembre 2020. Selon la lettre, le comité a reçu des informations de GSK, où Dormitzer a ensuite travaillé, suggérant qu’il aurait admis à un cadre juridique senior que « les trois personnes les plus haut placées dans la R&D de Pfizer étaient impliquées dans une décision de ralentir délibérément les tests cliniques » pour influencer l’issue de l’élection. Dormitzer aurait précisé qu’il ne s’agissait pas de retarder la divulgation des résultats, mais de ralentir le processus avant que cette divulgation ne devienne nécessaire.

    Des demandes initiales de coopération ont été formulées le 15 mai 2025, priant Dormitzer de fournir quatre catégories de documents et de participer à un entretien transcrit. Cependant, son avocate, Susan Brune, a informé le comité le 29 mai 2025 qu’il refusait de témoigner, a restreint la portée des demandes de documents et a affirmé qu’il ne possédait aucun document pertinent. Brune a également suggéré que Pfizer fournirait d’autres détails, une position que le comité a rejetée, affirmant l’obligation indépendante de Dormitzer de se conformer.

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  52. Sommation à comparaître

    L’assignation exige la comparution de Dormitzer pour une déposition le 22 juillet 2025 à 10h00 et la production des documents demandés d’ici le 18 juillet 2025. Le président Jordan a souligné l’importance de l’enquête, notant qu’elle touche des intérêts fédéraux majeurs et pourrait conduire à des réformes législatives, telles qu’une transparence accrue dans l’approbation des vaccins ou des sanctions pénales pour la rétention d’informations de santé publique dans l’intention d’influencer une élection.

    Pfizer et Dormitzer ont nié ces allégations. Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a précédemment rejeté toute motivation politique derrière le calendrier du vaccin, annoncé le 9 novembre 2020, quelques jours après l’élection. Dormitzer a également contesté le récit de GSK, affirmant que son équipe avait travaillé à accélérer l’autorisation de la FDA. Malgré ces démentis, le comité, soutenu par des publications sur X de @JudiciaryGOP et des reportages de CNN, reste déterminé à faire la lumière sur cette affaire. Cette initiative a suscité des réactions variées, certains utilisateurs de X exprimant leur indignation face à une supposée ingérence des entreprises, tandis que d’autres remettent en question les motivations politiques de l’enquête. Les communiqués de presse du Comité Judiciaire et les articles de CNN soulignent la tension persistante entre les efforts de contrôle et les défenses des entreprises, préparant le terrain pour une audience controversée plus tard ce mois-ci.

    Parallèle avec la France : l’affaire Kohler

    Cette affaire contraste fortement avec la situation en France, où des commissions d’enquête parlementaires, bien qu’investies de pouvoirs importants, hésitent souvent à contraindre la comparution de hauts responsables. Un exemple notable est celui d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, qui a refusé de se présenter devant une commission d’enquête sénatoriale récemment dans le cadre de l’affaire Nestlé Waters. Son refus de témoigner prive les Français de réponses cruciales. Malgré les soupçons, aucune assignation formelle n’a été émise, reflétant une réticence à utiliser les pouvoirs coercitifs disponibles. Cette différence illustre un contraste frappant entre les États-Unis, où le Comité Judiciaire n’hésite pas à émettre des subpoenas pour garantir la transparence, et la France, où les commissions, même dotées de prérogatives similaires, semblent plus réticentes à imposer la comparution de figures influentes, mettant en lumière une divergence dans l’approche de la reddition de comptes publiques.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/etats-unis-le-comite-judiciaire-de-la-chambre-intensifie-son-enquete-sur-un-presume

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  53. L’Etat indien du Karnataka subit une vague de décès cardiaques parmi les jeunes ,les autorités accusent les vaccins covid


    le 4 juillet 2025
    par pgibertie


    Bengaluru : Le ministre en chef du Karnataka, Siddaramaiah, a déclaré mardi que les vaccins Covid « approuvés à la hâte » pourraient être une raison de la vague de crises cardiaques signalées dans l’État. Siddaramaiah a fait cette déclaration dans un communiqué, alors que plus de 20 décès dus à des crises cardiaques ont été signalés à Hassan le mois dernier. « Le gouvernement prend cette affaire très au sérieux », a-t-il déclaré.

    « On ne peut nier que l’approbation et la distribution hâtives du vaccin Covid au public pourraient également être une raison de ces décès, car plusieurs études dans le monde ont récemment indiqué que les vaccins Covid pourraient être une cause du nombre croissant de crises cardiaques », a-t-il déclaré. Un comité d’experts a été formé sous la direction du Dr Ravindranath, directeur de l’Institut Jayadeva des sciences et de la recherche cardiovasculaires..« …ils ont reçu pour instruction de soumettre un rapport d’étude dans les 10 jours », a-t-il déclaré.

    Read more at: https://www.deccanherald.com/india/karnataka/cant-deny-covid-vaccine-link-to-heart-attacks-in-karnataka-cm-siddaramaiah-3611389.

    - voir clip sur site :

    https://pgibertie.com/2025/07/04/letat-indien-du-karnataka-subit-une-vague-de-deces-cardiaques-parmi-les-jeunes-les-autorites-accusent-les-vaccins-covid/

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  54. Au cours des trois derniers mois la température moyenne de la planète a fortement baissé , ce n’est pas le gaz carbonique mais Nino et Nina


    le 4 juillet 2025
    par pgibertie


    Si l’anomalie est effectivement de +0,2 °C le 1er juillet 2025 par rapport à la moyenne 1979-2000, cela représenterait une baisse notable par rapport aux niveaux de 2024 (autour de +1,0 °C à +1,2 °C selon d’autres sources comme NOAA ou Copernicus).

    Les estimations quotidiennes des anomalies de température à la surface du globe issues de la réanalyse du Système de prévisions climatiques (CFSR) et basées sur les mesures d’initialisation du Système mondial de prévisions (GFS) quatre fois par jour sont présentées sous forme de graphique ci-dessous. Depuis début 2017, les estimations quotidiennes sont directement dérivées des données fournies par les Centres nationaux de prévision environnementale (NCEP) des États-Unis et, avant cette date, par le Climate Change Institute (CCI) de l’Université du Maine (UM). Les graphiques ci-dessous doivent être mis à jour la plupart du temps avant 03h00 UTC jusqu’au jour calendaire UTC précédent. Le premier graphique présente les anomalies quotidiennes de température à la surface du globe estimées par le CFSR au cours des 14 derniers mois, ainsi que la moyenne mobile sur 365 jours.

    Mis à jour jusqu’au 02/07/2025

    Le graphique suivant présente les anomalies de température zonales quotidiennes, où « NH » correspond à l’hémisphère nord (0-90 N) et « SH » à l’hémisphère sud (0-90 S). La zone tropicale (30 N-30 S) couvre environ 50 % de la surface mondiale centrée sur l’équateur, tandis que les zones NH et SH couvrent chacune 50 % de la surface mondiale et atteignent en moyenne la moyenne mondiale. La zone tropicale chevauche la moitié de l’hémisphère nord et la moitié de l’hémisphère sud, mais couvre la même superficie que chaque hémisphère. Les zones arctique (60 N-90 N) et antarctique (60 S-90 S) ne couvrent chacune qu’environ 7 % de la surface mondiale, mais exercent parfois une influence bien plus importante sur la moyenne mondiale en raison de très importantes anomalies de température par rapport aux autres zones.

    - voir graph sur site -

    Le graphique ci-dessous donne un aperçu plus détaillé des tendances des anomalies de température dans l’hémisphère Nord et dans l’hémisphère Sud cette année jusqu’à présent et inclut également les régions mondiales et tropicales à des fins de comparaison.

    - voir graph sur site -

    Mis à jour jusqu’au 02/07/2025 (cliquez pour agrandir)

    150 glaciers himalayens sont en pleine expansion. Le réchauffement climatique n’est pas mondial. https://mdpi.com/2073-4441/15/18/3215

    https://pgibertie.com/2025/07/04/au-cours-des-trois-derniers-mois-la-temperature-moyenne-de-la-planete-a-fortement-baisse-ce-nest-pas-le-co2-mais-nino-et-nina/

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  55. Sacrés escrologistes, après le gaspillage de 10milliards dans la Seine, ils inventent les pistes cyclables dans les tunnels routiers, et des gares four à pizza


    le 4 juillet 2025
    par pgibertie


    @JCGRELET
    🇫🇷 Lyon. Encore une « excellente » initiative de la municipalité écologiste : des pistes cyclables à deux voies ont été aménagées dans les tunnels, sur l’emprise de la chaussée. Résultat : une ville engorgée, polluée par des embouteillages artificiels… et des pistes cyclables désertes. Voilà le sens de l’action des écologistes au pouvoir.

    - voir docs sur site :

    https://pgibertie.com/2025/07/04/sacres-escrologistes-apres-le-gaspillage-de-10milliards-dans-la-seine-ils-inventent-les-pistes-cyclables-dans-les-tunnels-routiers-et-des-gares-four-a-pizza/

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  56. Les normes escrologiques sanctionnent les murs de pierre épais protecteurs de la canicule au profit de doubles cloisons inconfortables


    le 3 juillet 2025
    par pgibertie


    La double cloison est une catastrophe pour le confort d’une habitation Ce qui la rend confortable: l’inertie thermique de ses murs , le »secret » de ces vieilles batisses On en reste au sacro-saint DTU Curieux qu’aucun profession ne s’interroge sur le bien-fondé de certaines normes

    Canicule : le paradoxe des bâtisses anciennes Les maisons anciennes sont plus fraîches mais ces bâtisses centenaires qui résistent à la chaleur sont aussi les + sévèrement notées par les normes idéologiques, bête noire du diagnostic de performance énergétique, les murs en pierre deviennent des havres de fraîcheur. Faut il choisir entre écologie technocratique punitive et bon sens?

    Renoncer à l’application uniforme du DPE. Or, tel que conçu, le diagnostic de performance énergétique se fonde sur des normes aveugles aux qualités énergétiques propres du bâti ancien : ni le système constructif, ni les matériaux, ni les usages, ni l’inertie ne sont pris en considération. En l’état, l’application généralisée du DPE ne peut qu’uniformiser ou condamner ce qui fait « la cohérence architecturale, l’identité et la typicité » des paysages de la France. A quoi le rapport ajouter que les modalités de travaux généralement préconisées pour améliorer la qualité énergétique du bâti « peuvent générer des pathologies (humidité, moisissures) susceptibles de rendre sa dégradation irréversible et son occupation impossible ». D’où une première exigence fondamentale : créer un diagnostique de performance énergétique spécifique pour les bâtis anciens, ce qui permettra déjà, dans un premier temps, de minimiser les interventions nécessaires et, au-delà, de bonifier le parc immobilier d’avant 1948 au bénéfice de l’habitabilité des centres anciens d’un très grand nombre de villes, bourgs et villages. Une mesure qui, cependant, nécessite de repenser la formation de l’ensemble de la filière professionnelle du bâtiment, de l’architecte aux artisans, en accordant une place accrue à la rénovation.

    https://pgibertie.com/2025/07/03/les-normes-escrologiques-sanctionnent-les-murs-de-pierre-epais-protecteurs-de-la-canicule-au-profit-de-doubles-cloisons-inconfortables/

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    1. LA solution est ici:

      https://forum.communspaysans.org/viewtopic.php?t=4346&sid=98e3cf7893dce4dd8bcb4c7cf3d62c41

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