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Ivo Sasek esquisse une issue à la folle spirale de l'armement
RépondreSupprimer02.08.2025
www.kla.tv/38395
Le sujet de la guerre est sans cesse alimenté. Aucune paix en vue. Au contraire, réarmement et mobilisation sont les mots d'ordre actuels. À la mi-juillet, les États-Unis et l'OTAN ont convenu de fournir à l'Ukraine des quantités massives d'équipements militaires. Ce sont les Européens qui paieront la totalité de la facture, comme l'a déclaré le président Trump. Avec toujours, toujours plus de dettes. Depuis 1967, aucun gouvernement fédéral n'a eu un budget militaire plus important que celui du chancelier Merz. Le bruit des sabres se fait de plus en plus fort et se rapproche de plus en plus. Au Danemark, à partir de 2026, le service militaire obligatoire sera également applicable aux femmes. En Suède, on veut relever l'âge de la conscription pour les anciens officiers de 47 à 70 ans.
À la question de savoir si, en cas d'attaque de Moscou contre un État membre de l'OTAN, les soldats allemands seraient prêts à tuer des soldats russes, le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, répond OUI !
Il n'y a plus de mots pour qualifier ce bellicisme insensé.
Nous avons pourtant été avertis à temps par des personnes critiques et sincères et par de nombreux mouvements pacifistes à travers le monde. En premier lieu, Ivo Sasek, qui s'oppose depuis des années à ces tromperies. C'est pourquoi il a fondé Kla.TV et l'AZK. Il a dévoilé les mensonges à maintes reprises et encouragé les gens à se poser des questions et à se lever. Pour cela, il emprunte parfois des voies assez radicales :
Regardez cette courte émission. Elle date de 2023, mais elle est d'une actualité brûlante. Seuls quelques personnages ont déjà été remplacés par d'autres. Mais le principe reste le même.
[= Emission d’Ivo : https://www.kla.tv/25788]
On dit oui au Great Reset, mais d'abord, on va tester ça sur eux pendant 20 ans. Oui à la surveillance totale, mais on va d'abord tester ça sur ceux qui ont l’développé, qui le veulent mettre en pratique sur nous. D'abord, on fait le Truman Show avec eux, et on les observe.
L'obligation vaccinale, on dit oui, mais d'abord sur tous ces gens qui nous ont obligés à dire oui à ces vaccins, Lauterbach, Karl Lauterbach, ministre de la Santé allemand, toute leur clique, tous ces politiciens qui ont encouragé cela. D'abord, on les vaccine avec ce qu’ils ont développé. Et après, on voit si on veut ça.
Ils veulent la guerre, on dit oui aux guerres. Alors, c'est quoi le « mais » ? On dit oui aux guerres, mais ce ne seront que ceux qui attisent les guerres, qui profitent des guerres, etc., qui devront, homme contre homme s'attaquer mutuellement, pas des pères et fils innocents. Alors les terrains de foot pourraient suffire, ou les arènes de l'Antiquité romaine devraient suffire pour cette minorité. Vous ne pensez pas ?
Oui, de manière très pratique, tu sais. D'un côté, le clan d'Olaf Scholz, chancelier allemand avec ses sorcières bellicistes. C'est Jürgen Elsässer qui a dit, dans son édition du journal Compact, il les a nommés « sorcières bellicistes ». Donc le clan d'Olaf Scholz. De l'autre côté, Poutine qui combat avec son ours rouge et son dragon. D'un côté, Annalena Baerbock, une politicienne allemande. Puis Ursula von der Leyen et compagnie, en coalition avec Volodymyr Zelensky, avec tous ses commanditaires et ses profiteurs de guerre. L'arène sera bientôt pleine avec tous ces gens ! Tous ces gens, politiciens et ministères de tous les pays de l'UE, qui sont en train de pousser des fils et pères innocents dans les guerres, qui développent des choses où les femmes enceintes peuvent rouler avec des chars de guerre. Nous disons non, on ne va plus aller en guerre pour eux, mais eux, ils ont le droit de se battre l'un contre l'autre. D'un côté, ce camp-là, et de l'autre côté, l'autre camp. Allez, on applaudit pour ça.
RépondreSupprimerUne décision mondiale, un tribunal mondial doit décider de cela. Alors, ceux-là devront combattre dans l'arène, Poutine et son ours rouge, les uns contre les autres, jusqu'à la dernière goutte de sang. Et nous nous regardons, et bien sûr. Il y a les tireurs de ficelles nord-américains dans les tribunes. Ça va devenir visible, parce que eux, ils vont se retirer de cette guerre et ne viennent qu'à la fin pour prendre le butin. Mais eux aussi, ils peuvent participer, et aussi ceux qui les dirigent, ils regardent depuis les derniers rangs de la tribune, mais à la fin, les peuples qui disent non, on ne va pas entrer en guerre pour vous.
Maintenant, c'est vous, de l'administration américaine qui voulez la guerre, qui désirez la guerre contre Poutine et son ours rouge. C'est vous qui allez dans l'arène maintenant, nous allons vous mettre là-dedans !
[Voix Off :]
Oui à la guerre, mais seulement Merz, Poutine, Trump & Co. dans l'arène de combat !
Les politiciens qui prônent la guerre doivent marcher en première ligne !
Stoppez les profiteurs de guerre, alors toutes les guerres prendront fin !
Toutes les guerres sont identiques : ce sont les peuples qui paient avec leur sang et leur argent !
Ceux qui veulent la paix ne livrent pas d'armes !
BlackRock-Merz : 1 semaine au pouvoir – quatre cents milliards d’euros pour l'industrie de la guerre !
Le gagnant de chaque guerre s'appelle BlackRock !
Merz, le fraudeur électoral, devant le tribunal populaire !
Chaque guerre commence par un mensonge – Kla.TV l'avait prédit !
Sans propagande de guerre, il n'y a pas de guerre – Finissons-en avec les médias mensongers !
Guerres, guerres économiques, mensonges, manipulations, peur – ces techniques de manipulation sont diffusées par les médias de masse. Ivo Sasek nous apprend à nous en libérer – grâce à sa foi inébranlable et à sa relation avec le Dieu vivant, il a pu libérer d'innombrables personnes de la peur et des griffes des médias mensongers depuis 1977. Aujourd'hui, beaucoup soutiennent Ivo Sasek et partagent sa vision de la paix, bénévolement et gratuitement. Vous aussi, vous pouvez le faire ! Rejoignez-nous !
www.ivo-sasek.ch
de is. jma.
RépondreSupprimerSources/Liens :
L'OTAN et les États-Unis s'accordent sur des livraisons d'armes à l'Ukraine
https://www.zeit.de/politik/ausland/2025-07/nato-usa-waffenlieferungen-ukraine
Les États de l'UE couvrent les coûts de la guerre en Ukraine et achètent les armes aux États-Unis
https://anti-spiegel.ru/2025/die-eu-uebernimmt-den-ukraine-krieg-und-steht-nun-alleine-gegen-russland/
Le budget allemand de la défense devrait atteindre 150 milliards d'euros d'ici 2029
https://www.zeit.de/politik/deutschland/2025-06/bundeswehr-wehretat-ruestungsausgaben-verteidigung-nato
Le Danemark prévoit d'introduire le service militaire obligatoire pour les femmes à partir de 2026.
https://www.tagesschau.de/ausland/europa/daenemark-wehrpflicht-frauen-militaer-100.html
En Suède, on souhaite relever l'âge de la conscription pour les anciens officiers des forces armées de 47 à 70 ans.
https://deutsch.news-pravda.com/world/2025/07/14/424904.html
L'armée allemande est prête à tuer des soldats russes
https://www.heute.at/s/bundeswehr-ist-bereit-russische-soldaten-zu-toeten-120119378
https://www.kla.tv/fr
Qu'est-ce qu'une guerre ?
SupprimerC'est avant tout un spectacle ! Un spectacle local, puis national, pis international !
C'est un lieu, une arène où se déroulaient des combats mortels entre deux homme armés d'épées ou lâchés aux lions devant les yeux spectateurs éblouis des chefs.
Voilà du sanglant devant vos yeux.
Puis, lassés de ces spectacles qui ne faisaient plus le buzz, ils ont (les criminels au pouvoir) lancé des campagnes pour mêler plus de combats, plus de victimes, plus de sang, plus de morts. C'était la guerre entre pays !
Résultats: x milliers, millions de morts. Les chefs (indemnes) applaudissent.
Çà, çà s'appelle dorénavant la guerre.
Mais au fait... Pourquoi cette 'course à l'armement' entre des peuples paisibles souhaitant la paix éternelle ?
LE SPECTACLE !!
Le spectacle est sensationnel ! Il est intercontinental ! (comme le '11 Septembre' !). On arrête tout sur la télé pour voir un accident d'avion ! Si un train chargé de 5000 personnes tombe au ravin en Chine... Pfitt ! L'info dure une minute. Mais là... Là, elle prendra DES jours ! DES années ! Whôaw !
Motif: Faut éliminer le Peuple ! Le Peuple est trop abondant ! Le Peuple est trop intelligent aujourd'hui ! Donc, les motifs ne manquent pas. Voir l''Attaque de nouveau virus !', voir 'La famine qui est à nos portes !', voir 'Le réchauffement climatique' ! Whôaw ! Çà c'est du spectacle ! ET de plus... tous les cons participent ! (Que demande le Peuple ?).
Non, il ne s'agit pas de guerre entre deux dictateurs, mais seulement une guerre où le Peuple disparaîtra.
Que peuvent nous apprendre les vaccins contre la variole sur les blessures liées à la COVID ?
RépondreSupprimerRetour sur les leçons cruciales, mais largement oubliées, des pionniers de la médecine naturelle
UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
1er AOÛT 2025
Lorsqu'on étudie l'histoire, il est toujours frappant de constater la fréquence à laquelle les cycles dysfonctionnels se répètent. C'est pourquoi nombre d'entre nous ont pu prévoir une grande partie des conséquences désastreuses des vaccins contre la COVID-19. La médecine a son lot de croyances erronées (souvent peu ou pas étayées par des preuves). Malheureusement, ma profession s'y est accrochée fermement pendant des siècles, malgré les problèmes qu'elles engendrent, et je pense que le mythe de la vaccination est l'un des plus néfastes.
Tout cela ayant commencé avec les vaccins contre la variole, qui ont « mis fin » au fléau de la variole, je pense qu'il est essentiel de revenir sur ce qui s'est réellement passé :
• Le mythe des vaccins contre la variole a servi de justification à toutes les autres atrocités liées à la vaccination qui ont suivi.
• De nombreux problèmes sont apparus pendant cette campagne (entraînant une immense réaction publique), presque identiques à ceux que nous avons observés à maintes reprises depuis (y compris pendant la COVID-19). Par conséquent, pour briser ce cycle dysfonctionnel qui a englouti notre culture, il est essentiel de comprendre ce qui s'est réellement passé.
• Je crois que les vaccins contre la variole ont marqué un tournant dans la santé de l'humanité, car après eux, une ère de maladies chroniques (notamment auto-immunes et neurologiques) a commencé, et n'a cessé de croître depuis. En fait, nombre des complications inhabituelles des vaccins contre la COVID-19 sont très similaires à celles observées avec le vaccin contre la variole il y a plus d'un siècle.
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Le cycle de rétroaction positive des vaccins
On attribue à Edward Jenner l'idée que les laitières exposées à la vaccine n'attrapaient jamais la variole, et que la variole pouvait donc être évitée grâce à une infection à vaccine survivable. En réalité, il s'agissait d'une croyance populaire de longue date que la communauté médicale avait rejetée (la vaccine ne parvenant souvent pas à prévenir la variole). Au fil des ans, de nombreuses personnes ont affirmé que Jenner était un charlatan changeant constamment de position pour protéger son escroquerie (détaillée ici).
C'est pourquoi, lorsque le vaccin contre la variole fut créé en 1796, il fut initialement accueilli avec un scepticisme généralisé par la profession médicale, car il manquait presque de données probantes et était tout simplement inefficace. Néanmoins, les gouvernements du monde entier l'ont rapidement adopté, car il offrait une solution simple et directe (ce que les gouvernements préfèrent toujours) contre la variole, et la profession médicale l'a progressivement adopté, grâce au pouvoir politique et aux fonds qu'elle tirait de la vaccination.
De nombreux médecins continuaient de s'opposer au vaccin, nombre d'entre eux fournissant des données solides pour étayer leurs objections (par exemple, de larges cohortes ont montré que le vaccin ne prévenait pas la variole et que l'érysipèle, une infection cutanée douloureuse et parfois mortelle, était fréquemment observé chez les personnes vaccinées !). Malheureusement, ces médecins dissidents sont devenus une minorité de plus en plus réduite, et des rapports existent depuis l'époque où des médecins des premiers hôpitaux falsifiaient des dossiers médicaux afin de dissimuler les dangers du vaccin et son inefficacité à prévenir la variole (ce qui s'est produit depuis avec de nombreux autres vaccins, au nom de la « santé publique »).
RépondreSupprimerCependant, le principal problème du vaccin antivariolique résidait dans sa tendance à augmenter l'incidence de la variole plutôt qu'à la diminuer.
Remarque : de nombreux autres exemples d'augmentation de la vaccination entraînant une augmentation des épidémies de variole sont disponibles ici.
Lorsque cela s'est produit, les gouvernements ont eu tendance à réagir à cette urgence en la considérant comme le résultat d'un nombre insuffisant de personnes vaccinées et en faisant tout leur possible pour augmenter les taux de vaccination. La classe ouvrière étant parfaitement consciente des dangers du vaccin contre la variole et de son inefficacité, des mesures de plus en plus strictes ont dû être mises en place pour maintenir les quotas de vaccination.
Alors que la situation s'aggravait, des agressions contre les agents chargés de faire respecter la vaccination se sont produites et des émeutes ont éclaté périodiquement. Cette citation de 1874 du professeur émérite F. W. Newman résume bien l'état d'esprit de l'époque :
« Le langage convenable et acceptable me manque, car il évoque ce qui aurait pu paraître incroyable il y a trente ans : ordonner la vaccination du deuxième enfant d'une famille, alors que la vaccination a tué le premier ; et envoyer ensuite le père en prison pour refus.»
Remarque : Pour remédier aux échecs généralisés de leur vaccin, la profession médicale a modifié ses objectifs : le vaccin ne conférait plus une immunité « parfaite » à vie, mais garantissait simplement une « maladie moins grave », une stratégie qui perdure encore aujourd’hui (par exemple, elle a été utilisée pour les vaccins contre la COVID-19).
Alors que des mesures de plus en plus draconiennes étaient mises en place, de nombreux militants de la première heure affirmaient que la variole et de nombreuses autres maladies infectieuses étaient principalement dues à la misère noire des gens ordinaires (il est difficile de décrire à quel point leurs conditions de vie étaient déplorables, en particulier pour les enfants). Après des décennies de travail, les militants ont pu améliorer les conditions de vie de base de la classe ouvrière (par exemple, grâce à des installations sanitaires publiques permettant aux gens de ne plus dormir à proximité de microbes infectieux), et un bénéfice considérable a été constaté : la réduction de la mortalité due à toutes les maladies infectieuses.
Remarque : ce graphique et bien d’autres sont disponibles sur dissolvingillusions.com.
RépondreSupprimerLa profession médicale a cependant récupéré le travail de l'activiste et affirmé que la réduction de la mortalité était due à l'introduction de la vaccination, une affirmation totalement démentie par les données (par exemple, la scarlatine, la maladie la plus meurtrière de l'époque, aujourd'hui presque oubliée, n'a jamais été vaccinée). Depuis, la croyance selon laquelle la médecine nous a sauvés de l'âge des maladies infectieuses et que toutes les infections peuvent être prévenues par la vaccination est devenue l'un des mythes centraux sur lesquels repose la pratique médicale moderne.
Remarque : J'appelle tout cela un cycle de rétroaction positive, car normalement, lorsqu'un problème survient (par exemple dans l'organisme), un signal s'active pour l'arrêter (on parle de rétroaction négative). Les systèmes de rétroaction positive sont beaucoup plus rares (car intrinsèquement instables), mais grâce à la foi de notre société dans la vaccination, il en existe un ici.
En réaction aux obligations vaccinales de plus en plus draconiennes, une manifestation massive (à laquelle ont participé des citoyens de toute l'Europe) a éclaté à Leicester (Angleterre) en 1885. Elle a abouti à l'abrogation des lois de vaccination obligatoires de Leicester et à leur remplacement par des mesures visant à améliorer l'hygiène publique et à mettre en quarantaine les personnes atteintes de variole (ainsi que leurs contacts malades). Lorsque cette approche a été proposée par Leicester, le corps médical a attaqué les citoyens, proclamant haut et fort que leur politique entraînerait des décès massifs et affirmant que Leicester servirait de leçon au monde entier pour ne jamais abandonner la vaccination. Au contraire, Leicester a vaincu la variole, et ses méthodes (souvent associées à la vaccination) ont ensuite été copiées, nous permettant enfin d'éliminer la maladie.
Comme vous l'avez peut-être remarqué, il existe de nombreux parallèles entre ces événements survenus il y a plus d'un siècle et ce que nous avons tous observé ces dernières années.
Remarque : un résumé plus détaillé du comportement frauduleux de Jenner ainsi que d'autres échecs documentés du vaccin antivariolique sont disponibles ici.
Les premières écoles de médecine américaines
Au début des années 1900, il existait quatre principales écoles de médecine aux États-Unis : l’allopathie (médecine conventionnelle), l’homéopathie, la naturopathie (appelée à l’époque « école éclectique ») et l’ostéopathie. L’allopathie perdait de sa popularité, ses traitements étant souvent inefficaces et hautement toxiques.
Au même moment, deux des personnes les plus riches de l’histoire (Andrew Carnegie et John D. Rockefeller) comprirent qu’il leur faudrait diversifier leurs activités au-delà de leurs secteurs respectifs (acier et pétrole) après que Theodore Roosevelt eut décidé de briser leurs monopoles. La médecine allopathique fut identifiée comme une voie prometteuse pour générer des profits importants et divers investissements furent réalisés pour faire passer l’allopathie de la défaveur à la principale forme de médecine aux États-Unis (par exemple, le rapport Flexner, publié en 1910, fut utilisé pour fermer la plupart des écoles de médecine non allopathiques concurrentes aux États-Unis). De ce fait, la médecine allopathique est devenue une « médecine » et le terme « allopathie » a disparu. Par conséquent, bien que la médecine allopathique ait considérablement progressé depuis cette époque, elle conserve encore bon nombre des mêmes problèmes fondamentaux que l'allopathie, ce qui entraîne régulièrement des préjudices pour les patients ou l'échec de la guérison de leurs maladies.
RépondreSupprimerNote : L’ouvrage « Les Barons voleurs », qui détaille précisément comment Rockefeller a monopolisé l’industrie pétrolière, offre un éclairage éclairant sur ce qu’il semble avoir également fait avec l’industrie médicale.
Depuis la monopolisation de la médecine américaine, l’allopathie a eu le mérite remarquable de coûter toujours plus cher au pays chaque année que l’année précédente, tout en échouant lamentablement à résoudre nombre des problèmes de santé majeurs auxquels notre pays est confronté : nous dépensons plus que le reste du monde en soins de santé, alors que nos résultats nationaux en matière de santé sont pires que ceux de la quasi-totalité du monde développé.
À l’époque, la plupart des écoles de médecine non allopathiques étaient fermement opposées à la vaccination en raison des dommages qu’elles y voyaient. Malheureusement, pour se faire accepter au sein de cette lucrative industrie médicale, elles ont, une à une, adopté sans réserve le discours sur la vaccination. Par exemple, Bastyr, la principale école de médecine naturopathique des États-Unis, a rendu obligatoire la vaccination contre la COVID-19 ! pour ses étudiants. Cette décision a suscité le dégoût de nombreux naturopathes plus traditionnels, car cette obligation allait à l'encontre de tout ce que la naturopathie avait défendu. De même, la profession ostéopathique les a pleinement soutenus et fréquemment défendus.
En effectuant ces recherches, j'ai exploré les rapports de chacune de ces premières écoles de médecine à l'époque, leurs premières publications étant beaucoup plus enclines à critiquer la vache sacrée de la vaccination. Il convient de noter que toutes décrivaient des événements similaires, mais différaient principalement en raison de la perspective unique de leur modèle de médecine sur le corps.
RépondreSupprimerRemarque : J'aurais également souhaité inclure dans ce qui suit le point de vue ayurvédique (Gandhi, par exemple, s'opposait fermement à la vaccination) et les observations japonaises (les Japonais ont énormément souffert des vaccins contre la variole). Malheureusement, je n'ai trouvé aucune référence pertinente pour ces deux points de vue.
Homéopathie :
En homéopathie, il existe un principe connu sous le nom de loi de guérison de Hering. Ce principe postule que les maladies pénètrent superficiellement dans l’organisme, puis peuvent être expulsées à la surface (par exemple, à travers la peau) ou pénétrer en profondeur. Lorsque la maladie reste superficielle, des réactions aiguës telles que des éruptions cutanées et de la fièvre surviennent, tandis que si elle pénètre dans le corps, diverses maladies chroniques invalidantes sont susceptibles de se développer. De même, l’esprit et l’âme sont considérés comme plus profonds que les émotions ; ainsi, dans de nombreux cas, refouler un problème émotionnel peut engendrer un problème physique permanent.
Remarque : De nombreux opposants aux vaccins antivarioliques estimaient qu’il n’était pas judicieux d’introduire le vaccin directement dans la circulation sanguine, car cela permettrait au virus de la vaccine de s’implanter en profondeur dans l’organisme !
La loi de Hering soutient donc que l'objectif du traitement devrait être de faciliter l'expulsion de la maladie, contrairement à l'école de pensée allopathique (aujourd'hui) dominante, qui s'efforce de supprimer ces expulsions symptomatiques. Par exemple, traiter une fièvre désagréable accompagnant une maladie aggrave souvent le pronostic à long terme (par exemple, les blessures infantiles invalidantes dues aux vaccins sont souvent précédées de fièvres « traitées » au paracétamol !). Malheureusement, les médecins prescrivent des médicaments contre la fièvre de manière réflexe, ce qui a été extrêmement problématique pendant la COVID-19, car la suppression d'une fièvre aggravait fréquemment le pronostic de la maladie (alors qu'à l'inverse, je constate fréquemment que réchauffer des patients mécontents et fiévreux les soulage et les fait guérir plus rapidement). Un médecin homéopathe de l'époque, le Dr J. Compton Burnett, écrivit en 1884 « La vaccination et sa guérison par le thuya, avec remarques sur l'homéoprophalaxie », qui constitue l'une des meilleures illustrations de la loi de Hering que je connaisse.
Dans son ouvrage, Burnett avançait l'argument selon lequel la médecine avait établi une corrélation erronée avec la causalité dans les programmes de vaccination antivariolique. Le vaccin n'était considéré comme efficace que s'il prenait après la vaccination, c'est-à-dire qu'une importante éruption cutanée apparaissait au site de vaccination. En revanche, si le vaccin ne prenait pas, cela impliquait qu'il devait être réadministré, ou que la personne n'était pas vaccinée !
RépondreSupprimerBurnett et d'autres ont soutenu que la prise du vaccin était le signe d'un système immunitaire fort, et que si le système immunitaire était suffisamment fort pour « prendre » le vaccin, il était également suffisamment fort pour repousser une infection par la variole et n'avait donc pas besoin d'être vacciné. En discutant des points de vue contradictoires entre les publications pro-vaccination et anti-vaccination (le terme « anti-vaccin » étant plus que centenaire), il a soutenu que l'immunocompétence préexistante de la personne vaccinée pouvait expliquer les observations divergentes en matière de mortalité de chaque côté du débat.
À l'inverse, il a constaté que la quasi-totalité des cas de maladie chronique grave post-vaccinale (appelée vaccinose) survenaient chez des personnes vaccinées contre la variole, mais que le virus n'avait pas pris et s'était propagé plus profondément dans l'organisme, créant une pathologie chronique. L'un de ses arguments les plus convaincants était son observation selon laquelle les préparations homéopathiques à base de thuya traitaient fréquemment les affections qu'il avait corrélées temporellement à la vaccination.
Remarque : le problème découvert par Burnett et d’autres semble être partagé par les vaccins contre la COVID-19. Dans une étude récente (dont il est question ici), des adolescents et des jeunes adultes ayant développé une myocardite post-vaccinale ont été comparés à ceux qui n’en avaient pas développé. Il a été découvert que les personnes atteintes de myocardite présentaient dans leur sang une protéine Spike libre contre laquelle leur système immunitaire ne pouvait pas développer d’anticorps neutralisants (et ne développerait probablement pas non plus de maladie suite à une infection à la COVID-19) !
Lorsque j’ai appris cela, je me suis souvenu que l’un des seuls traitements dont j’avais vu l’efficacité dans les groupes de soutien pour les lésions vaccinales liées à la COVID-19 était les premiers anticorps monoclonaux développés pour lutter contre les variants originaux de la COVID-19 (qui utilisaient la même protéine Spike que celle présente encore dans le vaccin). Malheureusement, l’administration Biden a retiré du marché ces anticorps monoclonaux « obsolètes », de sorte qu’il est désormais presque impossible de s’en procurer (alors qu’elle a continué à imposer ces vaccins « obsolètes »).
L'ouvrage de Burnett commence par une description de la vaccinose et se compose principalement de cas notables de vaccinose, dont je vais partager quelques-uns.
RépondreSupprimerL'état pathologique engendré par ce pus vaccinal, par la vaccination, est donc la vaccinose ; il exclut toute autre maladie dont les causes pourraient être accidentellement ou fortuitement contenues dans le pus vaccinal, comme la scrofulose, la syphilis ou la tuberculose.
Remarque : de nombreux autres se sont également plaints des conséquences de vaccins contaminés ou mal produits.
Selon moi, nombre des symptômes chroniques rapportés par Burnett et d'autres médecins (en particulier les diverses « névralgies » mentionnées à plusieurs reprises) étaient la conséquence d'une « stase sanguine », un diagnostic de médecine chinoise que je corrèle à une altération du potentiel zêta.
La vaccinose se présente comme une maladie aiguë redoutable, pouvant être fatale, ou se manifester par une affection chronique. Les formes courantes de vaccine doivent être incluses dans la catégorie des vaccinoses aiguës. (p. 6-7) La vaccinose chronique, plus particulièrement, échappe totalement à la médecine ordinaire et, bien qu'elle apparaisse parfois dans la littérature sous le nom d'« effets néfastes de la vaccination », elle n'en reste pas moins une maladie négligée, au grand désavantage de l'humanité souffrante et de la science médicale. À quelques exceptions près, elle n'a pas encore été suffisamment étudiée pour être facilement définie ; son existence même n'est généralement pas admise, sauf en termes de causalité. L'étude des cas suivants démontrera amplement que ses symptômes sont très proches de ceux pathogéniques du Thuja occidentalis.
Certains diront peut-être que la vaccinose est identique à la vaccine ; il n'en est rien ; la vaccinose est la vaccine et bien plus encore, car si une personne est vaccinée sans succès, elle n'a pas contracté la vaccine, alors que certains des cas de vaccinose les plus graves que j'ai rencontrés concernaient précisément des personnes chez qui la vaccination n'a pas « pris », comme on dit. Je dois donc attirer l'attention sur ce que je crois être un fait, à savoir que cette maladie s'installe souvent profondément dans la constitution sans provoquer de phénomènes locaux, et, non seulement cela, mais de tels cas peuvent même être très graves dans leur développement interne, se manifestant par la survenue de divers symptômes morbides après la vaccination.
Arrêtons-nous un instant sur cette affirmation inédite, j'allais dire un fait, mais très peu de gens admettront probablement qu'il s'agit d'un fait, mais seulement d'une lubie personnelle, puisque tout le monde soutient que si le vaccin ne « prend » pas, l'individu n'a pas été influencé par le processus d'insertion du vaccin. Autrement dit, lorsqu'une personne vaccinée ne se fait pas vacciner, mais est, en réalité, vaccinée sans succès, on considère qu'elle est invulnérable à la vaccination, et nous le certifions. Chacun estime que la personne vaccinée sans succès n'a subi aucune altération ni modification du fait de la vaccination.
- Placebo -
RépondreSupprimerUne observation attentive et minutieuse m'apprend cependant que tel n'est pas nécessairement le cas, car de nombreuses personnes attribuent leur mauvaise santé à une soi-disant vaccination infructueuse. Ma conception personnelle est la suivante : la personne vaccinée est empoisonnée par le virus vaccinal ; ce qu'on appelle « prise » est, en réalité, la réaction constitutionnelle par laquelle l'organisme se libère plus ou moins du virus inséré.
Si la personne ne prend pas le vaccin et que le virus a été absorbé, la prise devient chronique : parésie, névralgie, céphalée, boutons et acné. Moins une personne prend le vaccin, plus elle risque de souffrir de vaccinose chronique, c'est-à-dire de la véritable maladie vaccinale sous sa forme chronique, très souvent une névralgie ou une parésie.
La plupart des praticiens s'accordent à dire que les névralgies sont plus fréquentes que jamais à notre époque, et l'expérience m'a obligé à attribuer de nombreux cas de ce type à la vaccinose.
Burnet a cité le cas d'un bébé de 10 semaines, en bonne santé, qui s'est soudainement retrouvé en danger de mort, la cause de sa maladie étant impossible à identifier. Après enquête, il a découvert que la nourrice (qui fournissait le lait maternel de substitution) du nourrisson (qui était en bonne santé) avait reçu un rappel antivariolique la veille de la maladie et qu'elle avait signalé une légère douleur au site d'injection. Burnett a également cité un autre cas d'enfant allaité, tombé malade à cause du vaccin contre la variole, et un autre enfant ayant développé de l'eczéma et une éruption cutanée chronique :
J'ai donc donné du Thuja 6, en comprimés, au bébé et à la nourrice, mais je ne me souviens plus si c'était toutes les demi-heures ou toutes les heures. En passant plus tard dans la soirée, j'ai remarqué que le bébé dormait et avait l'air un peu moins mal en point. Le lendemain matin, il était effectivement toujours pâle, mais pratiquement rétabli ; les vésicules vaccinales sur le bras de la nourrice s'étaient flétries et avaient complètement séché, au lieu de devenir pustuleuses. Ce bébé n'a jamais regretté son geste et est maintenant un bel enfant. (p. 17-18)
Remarque : il y a également eu des problèmes d'excrétion des vaccins contre la COVID-19 dans le lait maternel.
Le cas suivant de Burnett illustre un autre aspect clé de la vaccinose :
Le sujet, une dame de très haut rang, âgée de plus de cinquante ans, avait consulté, à tour de rôle et pendant de nombreuses années, presque tous les ophtalmologistes les plus réputés de Londres pour une névralgie oculaire, c’est-à-dire une douleur intense au fond des yeux, survenant par crises, la contraignant à rester dans sa chambre pendant plusieurs jours d’affilée ; certaines crises duraient jusqu’à six semaines. Cependant, certaines douleurs névralgiques persistaient constamment. Ses yeux avaient été examinés par presque tous les ophtalmologistes londoniens réputés, et aucun n’avait décelé d’anomalie structurelle. Il fut donc unanimement admis qu’il s’agissait d’une névralgie du cinquième nerf optique.
Depuis des années, elle n’avait rien tenté ; chaque fois qu’une crise survenait, elle restait dans sa chambre obscure, la tête bandée, se lamentant sur son sort. Elle s’exclama : « Mon existence est une véritable crucifixion ! » J'aurais dû préciser que la névralgie avait été précédée et accompagnée d'une grippe.
Au total, ces crises de grippe et de névralgie post-orbitaire l'ont confinée à sa chambre près de la moitié de l'année. Elle semblait en bonne santé, bien nourrie, un peu trop embonpointée et assez vigoureuse. Une de ses amies avait bénéficié de l'homéopathie que j'avais administrée, et elle est donc venue me voir « au désespoir le plus complet ».
RépondreSupprimer…
J'ai raisonné ainsi : cette dame me dit avoir été vaccinée cinq ou six fois, et étant donc très vaccinée, elle souffre peut-être simplement d'une vaccinose chronique, dont l'un des principaux symptômes est une céphalée comme la sienne. J'ai donc immédiatement prescrit du Thuja (30). Il a guéri, et la guérison a duré jusqu'à présent. La névralgie a disparu lentement ; au bout d'environ six semaines (14 février 1882), j'ai écrit dans mon carnet : « Les yeux vont bien ! »
Remarque : les altérations du potentiel zêta physiologique peuvent être cumulatives, et il arrive qu’une infection grippale (qui diminue également le potentiel zêta) suffise à faire basculer une personne présentant une altération du potentiel zêta (fréquemment observée chez les personnes âgées) au-delà de son seuil critique.
Après un suivi plus approfondi de cette patiente, elle a indiqué que sa maladie chronique, qui la rongeait depuis 20 ans, était toujours complètement guérie trois ans plus tard, au moment de la mise sous presse du livre de Burnett.
Burnett détaille ensuite le cas d’une enfant de 12 ans qui a commencé à perdre ses cheveux après une vaccination qui n’a pas fonctionné, et dont la chute a régressé après l’administration de Thuja :
Cela pourrait être le cas, car les cheveux sont fortement influencés par l’intoxication vaccinale.
Remarque : la perte de cheveux est également fréquente chez les personnes atteintes de la COVID-19 et survient parfois après la vaccination contre la COVID-19 ! Je soupçonne que cela soit dû à une mauvaise circulation ou au déclenchement de la réponse cellulaire dangereuse (RCD), car la perte de cheveux répond aux traitements de ces pathologies.
Burnett détaille ensuite le cas d'un homme souffrant de rhumes récurrents, de furoncles, de boutons, de verrues, de violentes céphalées frontales, de douleurs thoraciques et d'une fatigue chronique l'empêchant de travailler au bureau :
La grippe chronique, les céphalées frontales chroniques, la peau boutonneuse et la sensation de malaise général suggèrent, d'après mon expérience, une vaccinose. Mais le patient avait-il été vacciné ? Oui. Quatre fois, et il n'avait pas pris les trois dernières… Ce cas fit sensation dans le cercle nombreux du cabinet de cet homme, en partie parce que le changement de son état fut si soudain et complet, et en partie parce qu'il s'était tourné vers l'homéopathie à contrecœur, et suite aux sollicitations pressantes de son chef de bureau.
Burnett détaille ensuite le cas d'une femme qui avait été vaccinée trois fois :
RépondreSupprimerLe 22 décembre 1882, une jeune femme de 26 ans m'a été soignée pour un état lamentable des ongles. Naturellement, une femme de son âge ne serait pas indifférente à l'état de ses ongles. Ces ongles sont profondément enfoncés, et en plus de ces enfoncements, on observe des taches noires sous les ongles, atteignant le vif… Il a continué le Thuja 30 pendant environ trois mois, ce qui a permis à la patiente de voir ses taches noires disparaître quinze jours plus tard, et il n'en reste plus aucune trace.
Burnett détaille ensuite le cas d'une jeune femme souffrant de divers problèmes, dont une paupière tombante. Elle avait consulté deux homéopathes compétents avant lui. Comme eux, Burnett n'a obtenu qu'une amélioration partielle des symptômes jusqu'à ce qu'il utilise le Thuja :
Elle se plaignait toujours de ptôsis du côté gauche, de somnolence, de vacillement vers la droite en sortant, d'une tendance à tomber vers la droite… sa langue était craquelée… Ces remèdes, plus ou moins bien choisis, ont apporté un grand changement chez la patiente, mais le 29 juillet 1882, elle se plaignait toujours d'un problème à l'œil gauche. Elle avait le mal de mer en lisant ; les douleurs à l'œil gauche s'aggravaient au petit matin ; elle présentait une ptose de la paupière supérieure gauche ; le globe oculaire était raide, avec une douleur transversale et transversale au front, et elle était étourdie en marchant.
Le cas étant ainsi au point mort, j'ai cherché des approches étiologico-thérapeutiques et j'ai ainsi appris qu'elle avait été vaccinée quatre fois au total ; la dernière fois, il y a trois ans, elle n'avait eu que des effets faibles.
Le Thuja 30 a rapidement guéri la ptose et les autres symptômes décrits.
Le cas suivant peut être résumé par la conclusion de Burnet :
La perte de virilité est souvent due à la vaccination, et lorsque la faiblesse locale est due à cette cause, il est vraiment étonnant de constater à quel point le cas est amélioré par quelques doses de Thuja.
Il souffrait d'une légère hémiplégie du côté droit et présentait encore quelques symptômes de paralysie, comme une faiblesse du bras droit, des jambes traînantes occasionnelles, des pertes de mémoire, des troubles de la vision et une perte générale de puissance. Sa virilité effective était éteinte depuis deux ou trois ans, ce qui, naturellement, ne l'a pas remonté le moral. Je l'ai soigné pendant quelques mois, sans grand bénéfice, lorsqu'un jour il s'est plaint d'une céphalée frontale qui m'a immédiatement rappelé la céphalée due au thuya. Je lui ai administré 30 doses de thuya occidentalis (4 sur 24) et, en quelques jours, il a constaté une nette amélioration, se sentant mieux qu'il ne l'avait été depuis trois ans. Ayant reçu ce rapport lors de sa visite suivante, je me suis mis à l'interroger sur la vaccination, que je n'avais jamais faite auparavant… « Combien de fois avez-vous été vacciné ? » « J'ai été vacciné six ou sept fois. » « Est-ce que ça a pris à chaque fois ? » « Non, jamais. »
RépondreSupprimerAprès les quatre doses de Thuja, il a également connu une « résurrection hypopubienne d'une grande importance » et, après une dose supplémentaire de Thuja, « il est devenu, selon les mots de sa femme, un homme complètement différent ; tous les symptômes de paralysie avaient disparu et le mal de tête n'était pas revenu à la fin de 1883, lors de ma dernière visite. »
Remarque : la dysfonction érectile est un autre effet secondaire dont j'entends régulièrement parler chez les patients vaccinés.
Le cas d'une femme partiellement handicapée, vaccinée cinq fois, dont une seule n'avait pas été vaccinée, est ensuite décrit. Elle n'avait tiré qu'un bénéfice minime des soins médicaux jusque-là, un bénéfice mineur d'autres traitements homéopathiques, et a connu une guérison complète grâce à Thuja :
Ses symptômes étaient légion ; elle était courbée en avant, pouvait à peine marcher, sa colonne vertébrale était très sensible et douloureuse ; elle souffrait de secousses ; de douleurs dans tout le dos ; et de frissons, plus intenses la nuit. Son foie était nettement hypertrophié et elle ressentait des douleurs du côté droit… Je ne me sens pas aussi bien depuis trois ou quatre ans ; je me sens forte et je peux tout faire.
Un autre cas complexe concerne une patiente vaccinée trois fois, dont la dernière n'a pas été prise. La patiente a connu une amélioration partielle grâce à des traitements homéopathiques ciblés sur ses symptômes, puis une guérison complète après la prise de Thuja :
…se plaignait de battements épigastriques importants, de douleurs du côté gauche, de frissons intenses et d'une crampe de l'écrivain du côté droit. Un examen a révélé une hypertrophie de la rate et un gonflement de l'ovaire gauche de la taille d'un œuf de poule. Son souffle est lourd et elle a des vertiges. Elle souffre de céphalées frontales intenses presque quotidiennement depuis longtemps… Interrogée le 16 novembre sur le médicament qui avait soulagé ses maux de tête et ses crampes, elle a immédiatement répondu que c'était les poudres (c'est-à-dire le Thuja).
Un autre cas concerne une jeune fille de 16 ans présentant un retard de développement et une paralysie partielle présente presque toute sa vie. Elle est née de parents en bonne santé et dotés d'un intellect élevé (ce qui exclut une cause héréditaire de son handicap). Elle a reçu un vaccin contre la variole à 3 mois, qui n'a pas fonctionné, mais qui a été administré à 6 mois, lorsque ses deux bras ont été vaccinés ultérieurement.
RépondreSupprimerVoici son état : palais très bombé ; côté gauche du visage tiré vers la gauche, ce qui provoque une bouche de travers. Elle parle très mal ; articule mal et est très sourde. Elle l'a toujours été. Elle présente un polype dans la narine gauche ; ses amygdales sont extrêmement hypertrophiées ; elle respire très fort. Le sein gauche est plus petit que le droit ; le côté gauche du thorax est généralement plus petit que le droit. Langue craquelée ; douleurs du côté gauche depuis des années ; céphalées frontales depuis douze mois.
Suite à Thuja, ses maux de tête, son articulation, son audition et ses paralysies faciales se sont considérablement améliorés. Un deuxième médicament homéopathique, le Ceanothus Americanus, lui fut également administré après le Thuya, ce qui rétablit la croissance ralentie de son côté gauche.
Naturopathie :
Benedict Lust, diplômé de chacune des facultés de médecine de l’époque, est considéré par beaucoup comme l’un des fondateurs de la naturopathie. Il fut rédacteur en chef de l’Universal Naturopathic Encylopedia Directory and Buyer’s Guide Yearbook of Drugless Therapy pour la période 1918-1919. Cet ouvrage fait de nombreuses références aux effets néfastes des vaccinations et à leur affaiblissement de la vitalité humaine, bien que, contrairement à d’autres auteurs, Lust ne fournisse pas ici autant de détails sur les effets spécifiques de la vaccination. Voici quelques citations :
La science médicale a toujours cru à la superstition selon laquelle l’utilisation de substances chimiques nocives et destructrices pour la vie humaine constituerait un substitut efficace à la violation des lois. Elle encourage ainsi la croyance qu’un homme peut aller jusqu’au bout de ses excès, affaiblissant et détruisant son organisme, et espérer ensuite être soulagé de ses maux en avalant quelques pilules, ou en se soumettant à une injection de sérum ou de vaccin, censés agir comme des rédempteurs indirects de l’organisme et contrecarrer des pratiques de longue date, toxiques et totalement destructrices pour le bien-être du patient.
Suite à ce diagnostic et à cette méthode de traitement pseudo-scientifiques, est venue la phase médicamenteuse, où les symptômes de la maladie étaient impitoyablement attaqués par toutes sortes de médicaments, bases, acides et poisons censés étouffer les symptômes de la maladie et étouffer leur énergie destructrice, renforçant ainsi la vitalité de l’individu. Toutes ces cures ont connu leur origine, leur période d'application intensive, puis leur désuétude certaine. La mode actuelle pour soigner les maladies est celle des sérums, des inoculations et des vaccins. Loin d'être une amélioration par rapport aux faux médicaments d'autrefois, ces derniers sont inefficaces pour guérir les maladies, mais au contraire introduisent dans le corps humain des lésions extrêmement pénibles et mortelles.
RépondreSupprimerTout citoyen a un droit inaliénable à la liberté dans sa quête du bonheur. Pourtant, les véritables sauveurs de l'humanité sont persécutés par l'oligarchie médicale, responsable de la vaccination obligatoire, de l'inspection médicale obligatoire des enfants des écoles publiques et des exigences des services de santé des États et du gouvernement fédéral, tout cela pour le bien apparent du peuple, mais en réalité pour le bien du Medical Trust. (p. 23)
Seuls ceux dont l'organisme est déjà suffisamment encombré de matières étrangères sont exposés au risque d'infection par une maladie aiguë : ou, comme on le dit communément, ceux qui sont prédisposés à une telle maladie. Jusqu'à présent, on ignorait en quoi consistait cette prédisposition. La différence de fonctionnement entre cette inoculation naturelle de matières morbides et le processus artificiel d'inoculation par la vaccination à la lancette réside dans la différence de matière inoculée et de dilution.
L'homéopathie enseigne que toutes les substances sont plus efficaces lorsqu'elles sont diluées, raison pour laquelle la matière morbide en fermentation est si efficace dans sa dilution naturelle, lorsqu'elle trouve un terrain propice.
À doses allopathiques, le virus vaccinal, comme tous les remèdes allopathiques, a un effet paralysant sur la force vitale ; c'est-à-dire qu'il prive l'organisme de la vigueur nécessaire pour se débarrasser des corps étrangers présents lors d'une maladie aiguë (crise curative, fièvre). Il augmente également la quantité de matière morbide et engendre ainsi un état beaucoup plus chronique, comme le prouve clairement l'augmentation constante de toutes les maladies chroniques depuis l'introduction de la vaccination.
Tous les autres remèdes contre la fièvre, tels que la quinine, l'antipyrine, l'antifibrine, la morphine, etc., ont le même effet. Ils paralysent simplement les efforts de l'organisme pour recouvrer la santé et réduisent, voire arrêtent, la fermentation des corps étrangers, sans jamais les expulser. De là naissent des maladies autrefois rares, comme le cancer, la nervosité intense, la folie, la paralysie, la syphilis, la tuberculose, la scrofule, etc. L'organisme est de plus en plus encombré par des corps étrangers, mais il est incapable de rassembler les forces nécessaires pour s'en débarrasser par une crise curative aiguë.
L'encombrement atteint son paroxysme dans ces maladies, et un soulagement complet n'est alors généralement plus possible. Ce sont précisément les médicaments qui possèdent la propriété de supprimer le plus rapidement la fièvre, comme la quinine, l'antifébrine, l'antipyrine, la pliénacétine, etc., qui sont devenus les remèdes préférés des médecins contre la fièvre. Nous sommes fermement convaincus que ce sont précisément les moyens les plus dangereux pour la santé.
RépondreSupprimerLa patiente était une dame de 41 ans, en parfaite santé jusqu'à sa deuxième année de vaccination ; c'est à partir de cette date que date son état de détresse. Après la vaccination, une éruption cutanée tenace est apparue, qui, à l'âge de dix ans, s'est transformée en lupus facial. Depuis plus de trente ans, cette dame souffrait de cette maladie douloureusement défigurante, sans trouver de soins, malgré les consultations de nombreux médecins renommés. Son visage était horrible à regarder ; en fait, elle ne pouvait aller nulle part sans que les gens ne la regardent avec dégoût. C'est dans cet état d'impuissance qu'elle est venue me consulter, tous les médecins ayant déclaré sa maladie incurable. Mon diagnostic montrait une position extrêmement favorable de la lésion, ce qui me permettait de lui assurer de bonnes perspectives de guérison rapide. Cette opinion fut confirmée. Au bout de quinze jours seulement, les zones lupoïdes défigurantes du visage avaient considérablement changé et n'étaient plus aussi repoussantes. Sa digestion, en particulier, qui n'avait jamais été soignée jusque-là, s'était également remarquablement améliorée. Il en résultait des évacuations anormales, éliminant les humeurs morbides. En sept semaines, la peau de la patiente avait retrouvé sa couleur normale.
La vaccination a pour effet d'affaiblir considérablement la vitalité ; c'est pourquoi les maladies morbides qui se sont progressivement accumulées dans l'organisme ne se manifestent plus par des épidémies de variole, mais par des maladies bien plus horribles, persistantes et souvent incurables, telles que la tuberculose, le cancer, la syphilis, l'épilepsie et la folie. Malheureusement, l'école orthodoxe n'a pas suffisamment saisi la nature de la vitalité. S'il en était autrement, les effets nocifs des poisons contenus dans les médicaments administrés aux patients, que ce soit par inoculation ou par onction, ne resteraient pas cachés à ses disciples, même si ces effets n'apparaissent souvent qu'après de nombreuses années.
La pratique de la vaccination et de l'inoculation est une erreur fatale, comme l'histoire en a rarement relaté.
Ostéopathie :
AT Still a constaté les profondes lacunes de l'allopathie et a développé l'ostéopathie pour la remplacer. Pour cet article, j'ai décidé de passer en revue son dernier texte, « Recherche et pratique », et je soupçonne que d'autres écrits sur le sujet ont été publiés.
Le préambule de Still exprime clairement son opinion sur la vaccination.
RépondreSupprimerIl est important de connaître la position de l'ostéopathie et ses valeurs. Un parti politique dispose d'une plateforme permettant à chacun de connaître sa position sur les questions d'intérêt public, ses valeurs et les principes qu'il défend. L'ostéopathe doit exprimer sa position tout aussi clairement auprès du public. Il doit lui faire connaître, dans sa plateforme, les principes qu'il défend dans sa campagne contre la maladie. Notre position peut être résumée succinctement en ces points :
… « Troisièmement : nous sommes opposés à la vaccination. »…
Je ne souhaite absolument pas contrarier les efforts de Jenner. Ses efforts étaient louables, mais des substances plus efficaces et moins dangereuses peuvent être utilisées que les composés putrides de la variole.
Bien que le prétendu traitement préventif se soit avéré pire que la variole elle-même dans des milliers de cas, les médecins se sont contentés de suivre les enseignements de Jenner. Rien n'indique qu'une quelconque tentative ait jamais été faite pour s'écarter de la leçon, enseignée depuis longtemps et fidèlement pratiquée, consistant à injecter le virus de la vaccine et ses impuretés cachées dans le bras d'un homme pour l'immuniser contre la variole.
Je suis convaincu que le temps est proche où la vaccination obligatoire ne sera plus nécessaire, car une meilleure méthode, efficace et sans effets indésirables, comme c'est le cas pour la vaccination avec des poisons pour vaches, chevaux ou autres animaux, a été trouvée. La crainte de la maladie et de la mort qui suivent la vaccination fait hésiter les gens à se faire administrer du vaccin par la force, ou à leurs enfants. Lorsqu'ils apprendront qu'une ampoule de la taille d'une pièce de cinquante cents ou d'un dollar éloigne systématiquement la variole, alors il n'y aura plus de crainte ni d'inquiétude concernant la variole ni la vaccination.
Je ne voudrais pas contredire la croyance populaire quant à l'efficacité de la vaccination, mais je m'oppose avec la plus grande fermeté à l'introduction de chair putride d'un animal dans le corps humain. Convaincu de la nécessité de la vaccination comme moyen de prévention de la variole, et compte tenu des risques de contracter d'autres maladies auxquelles les vaches et les chevaux sont exposés, si probables et bien prouvés par le grand nombre de personnes vaccinées et handicapées à vie, j'en ai conclu qu'il était temps pour les Américains de s'intéresser à la prévention et de comparer leurs compétences à celles de Jenner en Angleterre.
On m'a souvent demandé ce que je pensais de la vaccination. Je n'en ai aucune utilité et je n'y crois plus depuis que j'ai été témoin de son action meurtrière. Elle a décimé nos armées dans les années 1960 [en référence à la guerre de Sécession] et continue de torturer nos anciens soldats, sans parler de ses victimes plus récentes, dont le nombre se chiffrera en dizaines de milliers. Je crois qu'au lieu d'adopter des lois rendant la vaccination obligatoire, une loi interdisant cette pratique et prévoyant de lourdes sanctions en cas d'infraction constituerait une expérience salutaire.
Retirez les cinquante centimes de cette pratique « sale » et elle disparaîtra spontanément, tous les médecins ayant une connaissance moyenne des dommages qu'elle cause.
RépondreSupprimerRemarque : il s'agit d'une référence aux médecins qui privilégient les profits aux patients.
Je crois que la découverte de Jenner n'a rien apporté au monde, si ce n'est l'histoire d'un remède accidentel ou d'un prétendu moyen de prévention contre la variole. Il n'a fourni aucune raison pour laquelle un poison immuniserait une personne contre un autre poison. Les médecins ont simplement accepté, essayé et adopté le prétendu pouvoir curatif de la vaccine, c'est-à-dire les talons douloureux ou chancreux du cheval. Ils ne nous ont donné aucun avertissement ni aucune indication que les talons graisseux du cheval pourraient être une maladie vénérienne propre au cheval. Ils ne nous ont rien dit sur la vaccine, qu'elle soit ou non vénérienne par nature. Comme l'adoption de la plupart des « remèdes » que le médecin utilise ou a utilisés, sa découverte a été fortuite.
Still a également observé un large éventail de maladies chroniques résultant de la vaccination :
Lorsque je suis confronté à un cas d'hypertrophie glandulaire, je demande à mes patients de retrousser leurs manches et, comme je m'y attendais, ils me montrent des cicatrices vaccinales généralement larges et profondes, et le rapport indique qu'ils ont beaucoup souffert au cours de leur développement [ce point a également été évoqué plus haut par Burnett]. D'après mes observations, je conclus que le virus vaccinal, ou poison, encore présent dans l'organisme, manifeste dans ces cas ses effets liés à l'hypertrophie glandulaire et contribue à affaiblir les capacités de renouvellement de l'ensemble du système glandulaire.
[Concernant l'hydrose] Étiologie : J'ai toujours recherché la cause des effets observés lors d'une transpiration insuffisante ou abondante des mains, des pieds, des aisselles, d'une partie du corps ou de l'ensemble de celui-ci, et je les considère comme le résultat d'une paralysie temporaire ou continue des nerfs qui contrôlent les glandes sudoripares de tout ou partie du corps. Dans de nombreux cas, je pense que cet état fait suite à la vaccination, à la coqueluche, à la rougeole, à l'amygdalite, à la pneumonie et à toutes les maladies qui perturbent temporairement ou définitivement l'irrigation sanguine et nerveuse des vaisseaux lymphatiques du fascia superficiel.
En conclusion, je dirai que nombre de mes patients rapportent n'avoir jamais retrouvé leur force physique depuis leur vaccination avec une substance vaccinale impure. Nous devons donc combattre les effets, et notre seul espoir est d'ajuster et de maintenir la structure osseuse en bon état afin que toutes les impuretés puissent s'évacuer.
Comme alternative au vaccin, Still proposa l'utilisation de la catharidine, un agent vésicant relativement sûr dont Still avait découvert par inadvertance qu'il prévenait la variole. Le bouton de fièvre semblait agir en provoquant l'expulsion des agents à travers la peau (facilitant ainsi la loi de guérison de Hering) et en restaurant la capacité d'expulsion chez les personnes qui l'avaient perdue. Still rapporta l'avoir utilisé à titre prophylactique sur des milliers de patients et avoir toujours réussi à prévenir la variole, même lors d'épidémies. Malheureusement, personne ne connaît cette approche et je ne l'ai apprise qu'en cherchant des références sur la variole dans l'ouvrage de Still.
Chiropratique
RépondreSupprimerD.D. Palmer, le fondateur de la chiropratique, qualifiait également les vaccins de poisons et de source fréquente de maladies. Par exemple, dans son livre de 1921 :
Les poisons absorbés par l’organisme via des aliments et de l’eau pollués, ou par l’inhalation d’effluents nocifs provenant de matières végétales ou animales en décomposition, ou encore par la pratique scandaleuse d’un médecin qui injecte un vaccin toxique à une personne en bonne santé, affectent les nerfs, lesquels agissent sur les muscles au point de déplacer des vertèbres et de comprimer des nerfs, provoquant des troubles que nous appelons maladies. Les écoles californiennes sont ouvertes aux enfants malades et malades ; mais un garçon propre, indemne de maladie, doit être empoisonné avant d’être autorisé à entrer à l’école. Pourquoi ? Parce qu’il n’a jamais été empoisonné par le virus vaccinal.
Un médicament est un médicament utilisé pour guérir une maladie. Le virus vaccinal et le sérum toxique ne sont pas utilisés pour guérir une maladie, mais pour la créer ; par conséquent, ce ne sont pas des médicaments, ce sont des poisons !
Une maladie produite par l’inoculation du virus vaccinal. De nombreuses maladies, cependant, ont été introduites par la vaccination et de nombreux décès en ont été causés.
De même, de nombreux chiropracteurs des premiers temps étaient des opposants déclarés à la vaccination (par exemple, dans le livre de Lust, les chiropracteurs F.W. Collins et E.W. Ferguson D.C. ont détaillé des perspectives médicales fortement opposées à la vaccination).
Médecine chinoise
En médecine chinoise, il existe une affection appelée stase sanguine. Cette stase entraîne divers troubles circulatoires : le cœur ne peut pomper efficacement le sang plus visqueux, et le sang plus visqueux, issu de cette stase, ne peut circuler dans les vaisseaux sanguins plus petits. Cela entraîne une atrophie tissulaire, des accidents vasculaires cérébraux (AVC) ou des micro-AVC, des douleurs au site d'obstruction et diverses maladies auto-immunes (dont je pense qu'elles sont dues à une congestion concomitante de la circulation lymphatique).
Remarque : La stase sanguine a été découverte indépendamment il y a environ 50 ans par des scientifiques américains et européens. Après l'avoir observée directement dans les vaisseaux sanguins, ils l'ont appelée « sludge ». Dans ce phénomène, les globules rouges s'agglutinent, au lieu d'être séparés et de circuler librement. Des chercheurs ont ensuite conclu que ces changements étaient dus au fait que les cellules sanguines n'avaient plus une charge électrique (répulsive) suffisante pour rester séparées les unes des autres.
Je crois maintenant que la stase sanguine explique en partie la « loi de guérison de Hering » :
La médecine chinoise a largement décrit comment les pathologies pénètrent d'abord dans les plus petits canaux énergétiques du corps, puis, à mesure qu'elles s'aggravent, pénètrent dans les canaux plus profonds et plus larges, et que la guérison nécessite leur expulsion par les canaux superficiels.
Lorsque le potentiel zêta s'aggrave (par exemple, suite à une infection), la formation de boues sanguines augmente, les plus petits vaisseaux sanguins étant obstrués en premier (car ils n'ont pas l'espace nécessaire pour faire passer les boues), tandis que lorsque la maladie est sur le point d'être mortelle, les gros vaisseaux sont perturbés par des caillots plus gros. Par exemple, les chercheurs sur la formation de boues sanguines ont découvert que les infections paludéennes finissaient par devenir mortelles car la VCI (la plus grosse veine du corps) s'engorgeait. Pierre Kory m'a confié que des années d'échographie au point d'intervention en soins intensifs lui avaient appris qu'une fois que des réflexions ultrasonores apparaissaient dans la VCI (probablement à cause de gros caillots), les patients mouraient rapidement, quel que soit leur état clinique.
RépondreSupprimerEn 1830, Wang Qingren écrivit un célèbre manuel de médecine, le Yi Lin Gai Cuo, qui tentait de réformer la médecine chinoise en corrigeant ce qu'il considérait comme des croyances erronées au sein de la profession. Bien que controversé, l'ouvrage de Wang Qingren fut finalement bien accueilli et a fortement influencé l'orientation de la médecine chinoise. La variole y fut également abordée.
Avant Wang Qingren, il existait plusieurs écoles de pensée concurrentes sur les causes principales des maladies (les principales étant l'invasion du froid, l'invasion de la chaleur, le déficit du yin du rein et le déficit du qi de la rate). Si la stase sanguine était reconnue en médecine chinoise, pendant ses 1800 premières années, elle n'avait jamais été considérée comme une cause majeure de maladie par aucune école de pensée. Wang Qingren soutenait que la stase sanguine était souvent la cause profonde des maladies et le traitement le plus important pour les guérir.
Ses idées ont été progressivement adoptées par la médecine chinoise, et la stase sanguine a commencé à être considérée comme une cause sous-jacente de maladies, ce qui a conduit à l'adaptation des formules classiques à base de plantes médicinales pour y inclure des plantes mobilisant le sang stagnant. Mes collègues estiment que depuis la fin des années 1980 et 1990, les meilleurs médecins chinois se sont concentrés sur la stase sanguine, et qu'avec le temps, ils considèrent qu'il est de plus en plus important de la traiter en priorité. La stase sanguine est également devenue une priorité de recherche nationale du Parti communiste chinois, et des données importantes sur le lien entre ce phénomène et divers problèmes de santé se sont accumulées, tant dans les modèles de médecine traditionnelle chinoise que dans les cadres scientifiques plus modernes.
S'il est possible que la stase sanguine ait été totalement ignorée pendant 1 800 ans avant Wang Qingren, mes collègues de la médecine chinoise pensent que quelque chose a fondamentalement changé à l'époque où il élaborait ses théories. Par exemple, un médecin chinois qui connaît un immense succès dans le traitement des maladies cardiaques aux États-Unis (et qui y consacre un important cabinet) les traite presque exclusivement selon un modèle de stase sanguine.
De même, les scientifiques américains et européens qui ont étudié ce phénomène dans les années 60 et 70 ont constaté que les maladies cardiaques étaient fortement influencées par le degré de formation de boues sanguines et ont fréquemment constaté que la restauration du potentiel zêta du sang pouvait traiter les troubles circulatoires. Depuis la publication de cet article, de nombreux lecteurs m'ont indiqué que cet article avait traité leur fibrillation auriculaire.
RépondreSupprimerRemarque : les maladies cardiaques sont une maladie relativement récente, car au cours des siècles passés, les crises cardiaques étaient beaucoup plus rares.
La première référence que j'ai trouvée concernant l'introduction du vaccin contre la vaccine en Chine indiquait :
La vaccination a été introduite pour la première fois à Canton et Macao [provinces chinoises] en 1805 par la célèbre expédition Balmis Salvany organisée par le roi Charles IV d'Espagne. Cependant, cette pratique n'a pas été adoptée d'emblée et ne s'est répandue en Chine que dans la seconde moitié du XIXe siècle. De fait, la vaccination en Chine était totalement inadéquate jusqu'au lancement de la campagne en 1950.
À mon avis, cela suggère qu'il existe une corrélation temporelle entre l'adoption de la vaccination antivariolique et l'afflux de stase sanguine au sein de la population chinoise.
Remarque : une corrélation pourrait également exister avec la pratique de la variolisation (administrer la variole à quelqu'un pour prévenir une variole ultérieure, une pratique antérieure à la vaccination contre la vaccine).
Je vais maintenant partager quelques observations pertinentes tirées de l'ouvrage de Gunter R. Neeb, « Stase sanguine : un concept classique de la médecine moderne en Chine ». Chacun des passages suivants s'inspire des observations de Wang Qingren, rédigées il y a 192 ans dans le Yi Lin Gai Cuo. En lisant ces lignes, vous remarquerez qu'elles ressemblent à de nombreuses observations mentionnées tout au long de cet article (notamment celles de Burnett) :
Les infections comme le Shang Han, les maladies fébriles, la variole et les tumeurs abdominales contribuent toutes à « chauffer » le sang (on dirait aujourd'hui qu'elles contribuent à la libération de facteurs inflammatoires et à l'augmentation de la viscosité). Cette stase sanguine donne à la gencive une teinte bleu-violet. Lorsque le sang est mort (nécrose), la gencive noircit et les dents tombent. Comment peut-on continuer à vivre dans cet état ? Même si le patient prend des médicaments refroidissants, le sang coagule et la mort survient encore plus rapidement.
Les enfants peuvent-ils également être atteints de paralysie unilatérale ? Je peux vous rapporter ce qui suit : un nombre considérable d'enfants, âgés d'un an à une enfance plus avancée, sont soudainement atteints de cette maladie. Dans la plupart des cas, il s'agit de la conséquence du Shang Han, du Wen Bing, de maladies infectieuses de type variole, de maladies de type dysenterie, etc. Après la maladie, le Yuan Qi est endommagé, le teint est cyanosé et pâle, les mains et les pieds perdent progressivement leur mobilité et, dans les cas graves, des crampes apparaissent dans les membres. Les membres eux-mêmes sont raides comme de l'argile. Tout cela est dû au fait que le Qi n'atteint pas les membres.
RépondreSupprimerLe sang nécrotique obstrue les vaisseaux, empêchant l'évacuation des toxines de l'infection fébrile par la peau et attaquant ainsi les organes internes. Lorsque les organes sont irrités par la toxine de la chaleur, une pathologie correspondante et défavorable se développe dans chaque organe.
Si la sécrétion à l'intérieur des pustules ne régresse pas, cela est dû au fait que le sang ne reflue pas dans les vaisseaux ; et ce, parce que la toxine infectieuse continue de générer de la chaleur fébrile dans les vaisseaux, ce qui provoque la coagulation du sang et l'obstruction des voies vasculaires. Une fois la stase sanguine vasculaire éliminée, il n'y a pas lieu de craindre une régression tardive des sécrétions dans les pustules.
En résumé, en cas d'infection bénigne par une maladie infectieuse fébrile (Wen Yi), celle-ci se manifestera par des éruptions cutanées (exanthème). Après l'exanthème, le pronostic est favorable. Si l'infection par la maladie infectieuse fébrile est grave, elle restera à l'intérieur et ne sera pas expulsée avec l'exanthème de la variole. Ceci indique un danger. Si l'infection par la maladie infectieuse fébrile est extrêmement grave, elle générera des agents pathogènes de la chaleur interne dans le sang et provoquera sa coagulation. Le sang coagulé est violet et le sang nécrotique est noir. L'identification de la pathologie dépend de la présence de sang violet ou noir avec la variole.
Remarque : La vaccine partage de nombreuses propriétés avec la variole ; des cas similaires de stase sanguine ont donc été observés, car elle a pu pénétrer plus profondément dans l'organisme. Bien que la MTC moderne ait dû adopter une position plus conciliante envers les vaccinations pour être acceptée dans le domaine médical, elle maintient toujours le point de vue selon lequel les vaccinations créent une chaleur latente dans le corps (qui peut ensuite se transformer en stase sanguine).
Recherches modernes sur la stase sanguine :
RépondreSupprimerLe diagnostic médical standard le plus fréquemment associé à la stase sanguine est l’hypercoagulabilité et le concept de « microcoagulation » (qui existe depuis le déploiement du vaccin contre la COVID-19). J’ai rencontré quelques agents qui provoquent fréquemment une stase sanguine et une hypercoagulabilité importantes, comme le paludisme, l’aluminium, la protéine Spike du SARS-CoV-2 et les cancers. Par conséquent, de nombreux processus pathologiques communs peuvent survenir entre ces agents (chacun entraînant souvent des problèmes de santé importants pour les patients). Comme indiqué précédemment, je constate souvent que mes patients nécessitent un traitement pour leur stase sanguine (en restaurant le potentiel zêta de l’organisme, action réalisée par chacun de ces agents).
Les infections virales (par exemple, celles dues à un vaccin contre la variole), comme la protéine Spike du SARS-CoV-2, sont reconnues par la communauté scientifique comme créant un état d’hypercoagulabilité en endommageant l’endothélium :
Une interaction directe entre les micro-organismes et les cellules endothéliales peut également se produire, notamment en cas d’infections virales. La perturbation des cellules endothéliales est une caractéristique courante des infections virales et peut altérer l'hémostase de manière directe et indirecte. Les cellules endothéliales peuvent être directement infectées par plusieurs virus (par exemple, le virus de l'herpès simplex, l'adénovirus, le virus parainfluenza, le poliovirus, l'échovirus, le virus de la rougeole, le virus des oreillons, le cytomégalovirus, le virus du lymphome T humain de type I et le VIH). En particulier, une infection virale des cellules endothéliales a été démontrée dans les fièvres hémorragiques (par exemple, le virus de la dengue, le virus de Marburg, le virus Ebola, le virus Hantaan et le virus de Lassa).
Remarque : J&J, Astrazeneca et le vaccin russe contre la COVID-19 Spoutnik V sont des adénovirus génétiquement modifiés pour contenir la protéine Spike.
Après le 11 septembre, l'armée a mené une campagne de vaccination contre la variole, qui a été associée à de nombreux cas de myocardite et à des crises cardiaques parfois mortelles. À l'époque, les principaux médias affirmaient que l'inflammation provoquée par la vaccination rendait le lien entre la vaccination et les maladies cardiaques « biologiquement plausible ». De nombreux reportages télévisés ont été diffusés sur les dangers du programme de vaccination et de nombreux organismes faisant autorité, comme l'American Heart Association, ont appelé à la prudence. Au moins une subvention de recherche a été approuvée pour étudier le lien entre les lésions endothéliales et les vaccins antivarioliques, mais, à ma connaissance, leurs résultats n'ont jamais été publiés (un défi majeur en médecine factuelle est le refus de publier des études qui remettent en cause le récit).
Une fois de plus, je suis sûr que vous pouvez voir les parallèles entre hier et aujourd'hui. Malheureusement, la science était alors beaucoup moins convaincue, si bien que des voix dissidentes ont émergé dans le courant dominant.
RépondreSupprimerRemarque : les vaccins antivarioliques ultérieurs, bien que toxiques, étaient beaucoup moins dangereux que les premiers vaccins antivarioliques fortement contaminés (qui causaient fréquemment un large éventail de troubles neurologiques documentés dans la littérature médicale ancienne).
Conclusion :
La médecine chinoise croit que différentes époques sont caractérisées par différentes maladies. De nombreuses pathologies décrites dans les textes médicaux anciens sont quasiment inexistantes aujourd'hui, tandis que d'autres, jusqu'alors ignorées, sont apparues.
Avec les progrès technologiques de notre espèce, nous semblons avoir remplacé un taux élevé de maladies infectieuses souvent mortelles par une épidémie croissante de maladies neurologiques et auto-immunes chroniques, ainsi que par une augmentation continue de toutes les formes de cancer. D'après ce que je sais, cette tendance a débuté il y a 150 à 200 ans, au moment de l'introduction de la variolisation, puis de la vaccination contre la variole (l'utilisation généralisée du mercure en médecine a peut-être également joué un rôle clé).
Outre les nombreux témoignages écrits étayant cette théorie, j'ai discuté avec de nombreux médecins qui ont observé une dégradation progressive mais continue de l'état de santé de la population au cours de leur carrière. Dans de nombreux cas, ces médecins m'ont confié avoir demandé à leurs mentors s'ils avaient eux aussi observé le même phénomène, et c'est effectivement le cas (et dans certains cas, ils ont constaté que leurs mentors avaient entendu la même chose lorsqu'ils interrogeaient leurs propres mentors).
En fin de compte, j'ai pu retracer cette tendance jusqu'à environ 150 ans et observer que, si l'augmentation est généralement progressive, elle connaît périodiquement de fortes hausses. Un exemple classique s'est produit lorsque la loi nationale sur les blessures liées aux vaccins infantiles de 1986 a immunisé les fabricants de vaccins contre les blessures liées aux vaccins, encourageant ainsi l'ajout d'un grand nombre de vaccins dangereux au calendrier vaccinal infantile !
Sous la direction du Dr Fauci, les maladies allergiques, auto-immunes et chroniques que le Congrès avait spécifiquement chargé le NIAID d'enquêter et de prévenir ont proliféré, touchant désormais 54 % des enfants, contre 12,8 % lorsqu'il a pris la direction du NIAID en 1984. La maladie de Graves et la maladie de Crohn, pratiquement inconnues avant 1984, sont soudainement devenues épidémiques sous sa direction. L'autisme, que de nombreux scientifiques considèrent désormais comme une maladie auto-immune, a explosé, passant de 2 à 4/10 000 Américains lorsque Tony Fauci a rejoint le NIAID, à un sur 34 aujourd'hui. Les maladies neurologiques comme le TDA/TDAH, les troubles de la parole et du sommeil, la narcolepsie, les tics faciaux et le syndrome de Gilles de la Tourette sont devenues courantes chez les enfants américains.
Comme cette leçon n'a pas été retenue, nous avons continué à la répéter, notamment avec la campagne mondiale catastrophique de vaccination contre la COVID-19, qui a déclenché une vague de maladie sans précédent dans le monde. Cependant, elle a également fait tant de mal à de nombreuses personnes et a été menée avec une telle cruauté que le sort dans lequel nous étions piégés est enfin rompu (par exemple, elle a donné naissance au mouvement « Make America Healthy Again » et aujourd'hui, seulement 37 % des Américains font pleinement confiance aux recommandations vaccinales des CDC, contre presque tous il y a 25 ans). C'était incroyable d'assister à un changement aussi rapide dans un paradigme auparavant monolithique et immuable, et je suis immensément reconnaissant de pouvoir assister à son démantèlement avec chacun d'entre vous.
RépondreSupprimerRemarque : en 2022, lorsque j'ai lancé ce Substack, en plein mandat, je voulais simplement que l'histoire de la variole soit connue. Les mandats n'avaient aucune intention de devenir auteur (d'où le choix d'un nom d'utilisateur précis, mais facile à oublier). Cependant, Steve Kirsch, sans savoir qui j'étais, m'a encouragé à écrire ici en publiant mon article et en invitant ses abonnés à me suivre. Rapidement, l'effet a fait boule de neige, et cette newsletter compte aujourd'hui 250 000 abonnés. En retour, votre soutien m'a permis de commencer à aborder nombre des problèmes persistants que j'ai observés tout au long de ma vie et que j'ai été impuissant à résoudre. Une histoire comme la mienne devrait normalement être impossible, mais elle s'est produite. J'attribue tout cela à l'époque incroyablement unique dans laquelle nous vivons, où de nombreux problèmes persistants sont enfin devenus malléables et peuvent évoluer rapidement.
https://www.midwesterndoctor.com/p/what-can-the-smallpox-vaccines-teach?utm_source=post-email-title&publication_id=748806&post_id=169782798&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
AVANT DE PARLER DE MALADIE, DE PARALYSIE OU DE MORT IL FAUT SE DEMANDER D’OÙ ELLE VIENT !!
SupprimerSerait-ce un microbe ou une poussière totalement inoffensive (appelée 'virus') extraterrestre ?
NON. Aucun des deux.
Cette poussière est-elle radioactive ?
NON !
Mais alors... D'où qu'elle vient-elle ???
C'est se qu'on fait des scientifiques qui ont examiné les flacons injectables dès leurs sorties de laboratoires nazis.
Les Dr Astrid Stuckelberrger et Dr Cazrrie Madej se sont attelées à la tâche:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animes et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE
OVNIS : « Nous ne sommes pas seuls dans le cosmos »
RépondreSupprimerBrice Louvet
sciencepost.f
jeu., 14 nov. 2024 16:20 UTC
Ce mercredi 13 novembre, le Congrès américain a tenu une nouvelle audience au Rayburn House Office Building à Washington, intitulée « Phénomènes anormaux non identifiés : révéler la vérité ». Cette rencontre reflète une évolution de l'approche officielle vis-à-vis des OVNIS, désormais officiellement nommés phénomènes anormaux non identifiés (PAN). L'audience, marquée par des témoignages d'anciens militaires, de responsables gouvernementaux et de lanceurs d'alerte bien informés, a insisté sur la nécessité de lever le voile sur ces phénomènes mystérieux et d'adopter une politique plus transparente. L'un d'eux confirme : « nous ne sommes pas seuls dans le cosmos ».
Un sujet encore tabou mais aux enjeux colossaux
Depuis plusieurs années, les PAN ou OVNIS sont revenus au centre des préoccupations des élus américains. En mai 2022, le Congrès américain avait tenu sa première audience publique sur le sujet depuis des décennies, suite aux récentes images capturées par des pilotes, dont certaines ont été publiées en 2017 par le New-York Times.
Il y a deux ans, le Pentagone a également mis en place le All-Domain Anomaly Resolution Office (AARO), une entité dédiée à la collecte de données sur les PAN. Cependant, des élus comme la représentante Nancy Mace (Caroline du Sud) ont exprimé leurs doutes quant à la transparence de cette agence. Un rapport de cette dernière publié il y a quelques mois avait notamment frustré beaucoup d'intervenants et de témoins, arguant que bon nombre des observations rapportées n'étaient probablement que des drones de surveillance, pour la plupart chinois. D'autres ne seraient que des déchets aéroportés, tels que des ballons météo.
Dans ce contexte, le Congrès américain a décidé de mener une deuxième audience.
Des témoignages de lanceurs d'alerte aux profils prestigieux
Un des aspects les plus frappants de cette audience a été la crédibilité des témoins appelés à partager leurs expériences et connaissances sur les phénomènes anormaux non identifiés (PAN).
Parmi eux, Luis Elizondo, ancien agent de contre-espionnage au Pentagone, a affirmé que le gouvernement américain aurait non seulement collecté des informations sur des technologies non humaines, mais aussi conduit des programmes secrets visant à rétroconcevoir des OVNIS récupérés. Elizondo, figure de proue dans le débat public sur les OVNIS, a révélé que ces technologies, si elles étaient bien d'origine extraterrestre, surpasseraient largement celles de toute nation connue, suggérant même que certains de ces PAN semblent capables de manœuvrer de façon à défier nos lois physiques actuelles.
Toujours selon Elizondo, le secret excessif tenu autour de ces question aurait également « conduit à de graves méfaits contre des fonctionnaires loyaux, du personnel militaire et le public — tout cela pour cacher le fait que nous ne sommes pas seuls dans le cosmos. »
Cependant, Elizondo a évité de fournir des détails sensibles en raison de contraintes de sécurité nationale, soulignant que le secret qui entoure ces projets nuit à la sécurité publique et à la transparence démocratique.
RépondreSupprimerUne possible intelligence non humaine
Cet ancien agent de contre-espionnage n'était pas seul dans cette démarche. Le contre-amiral Tim Gallaudet, à la retraite, ancien directeur du Service météorologique et océanique des États-Unis (NOAA), a également témoigné en faveur d'une plus grande transparence. Selon lui, les PAN représentent une prise de conscience cruciale pour l'humanité : « Nous ne sommes probablement pas la seule intelligence avancée de l'univers. »
Gallaudet a également mis en avant la possibilité que certains de ces PAN soient contrôlés par une intelligence non humaine (INH), une notion qui va au-delà de simples engins expérimentaux. Dans son témoignage, il a insisté sur le besoin de démystifier le phénomène et de le considérer comme un enjeu scientifique et sécuritaire d'envergure. Pour lui, cette reconnaissance d'une « intelligence supérieure non humaine » devrait inciter à une collaboration internationale, car les phénomènes observés pourraient représenter des risques ou des opportunités pour l'ensemble de l'humanité.
La demande pour une approche scientifique et interdisciplinaire
Un autre témoin, Michael Gold, ancien administrateur associé de la NASA, a plaidé pour que l'agence spatiale américaine mette ses ressources scientifiques au service de la recherche sur les PAN. Gold a expliqué que l'agence dispose d'immenses archives de données spatiales qui pourraient contenir des indices sur ces phénomènes. Selon lui, il serait crucial d'utiliser l'intelligence artificielle et les algorithmes d'apprentissage automatique pour analyser ces données massives.
Gold a également insisté sur l'importance de combattre la stigmatisation qui entoure les recherches sur les PAN : « La science est notre meilleur outil pour percer ce mystère, mais l'enquête ne peut être menée si la stigmatisation empêche les experts de se pencher sérieusement sur le sujet. » L'ancien cadre de la NASA a ainsi suggéré que l'agence développe des instruments spécialisés et une équipe de recherche dévouée aux OVNIS, afin d'étudier les phénomènes de manière rigoureuse et publique.
Commentaire : M. Gold a dit que « la NASA est l'agence la plus transparente et qu'elle ne cache rien à la population ». Nous avons de forts doutes sur la véracité de cette affirmation et M. Gold donnait l'impression de vouloir à tout prix que ce dossier soit géré par la NASA. Et notons que la NASA a publié un rapport en septembre 2023 ou la conclusion était :
Néanmoins, l'administrateur de la NASA, Bill Nelson, déclare lors de la publication du rapport : « Le principal point à retenir de l'étude est qu'il y a encore beaucoup à apprendre. L'équipe d'étude indépendante de la NASA n'a trouvé aucune preuve que les PAN ont une origine extraterrestre, mais nous ne savons pas de quoi il s'agit ». Source : trustmyscience
La question de la sécurité nationale et des intérêts cachés
L'audience a également mis en lumière les implications de sécurité nationale soulevées par les OVNIS, en particulier lorsqu'ils apparaissent près d'installations militaires sensibles aux États-Unis. Plusieurs élus ont souligné les risques potentiels si des entités inconnues contrôlaient des technologies capables d'échapper à la surveillance militaire et de manœuvrer dans des espaces aériens restreints.
Dans ce contexte, le représentant Jared Moskowitz (D-FL) a interrogé Luis Elizondo au sujet d'un accord de non-divulgation qu'il aurait signé, l'empêchant de révéler au public des détails précis sur les programmes militaires américains visant à récupérer et analyser des OVNIS.
RépondreSupprimerElizondo, tout en restant discret sur le contenu de cet accord, a laissé entendre que les technologies et programmes secrets liés aux PAN sont protégés par un niveau de confidentialité si élevé qu'ils échappent même à la supervision des responsables élus et des agences de surveillance. En comparant le manque de transparence autour de ces OVNIS à un possible échec de renseignement à l'échelle des attentats du 11 septembre, certains représentants ont exprimé leur inquiétude que ces phénomènes, s'ils étaient exploités par des puissances étrangères, pourraient constituer une menace bien plus grande que tout ce que le pays a connu en termes de vulnérabilité sécuritaire.
Le journaliste d'investigation Michael Shellenberger a également contribué à cet aspect de l'audience en évoquant un programme militaire supposé nommé « Constellation Immaculée ». Selon Shellenberger, ce programme secret serait dédié à la collecte et au stockage de rapports militaires et de données de capteurs sur les PAN, sans que ces informations ne soient partagées avec les autorités civiles ou même certaines branches du gouvernement. Bien que le Pentagone ait publiquement nié l'existence de ce programme, Shellenberger a rappelé plusieurs précédents où des informations militaires liées aux PAN ont d'abord été niées par le gouvernement avant d'être confirmées ultérieurement.
Vers une nouvelle ère de transparence ?
L'audience du 13 novembre représente donc une étape supplémentaire dans le débat public autour des PAN, marquée par des révélations de plus en plus précises et des témoignages de figures crédibles. Les élus ont insisté sur le droit du peuple américain à être informé des découvertes scientifiques et technologiques sur ces phénomènes inexpliqués. De plus, l'accent a été mis sur l'importance d'une approche interdisciplinaire, impliquant la NASA, les experts en sécurité et le Congrès, pour établir une stratégie nationale sur les OVNIS, ou PAN.
En demandant des comptes au gouvernement et en l'encourageant à adopter une approche scientifique plus rigoureuse, le Congrès espère démystifier un sujet encore largement stigmatisé. Que ces phénomènes soient d'origine humaine ou non, ils posent des questions cruciales sur notre compréhension de l'univers, sur notre sécurité et sur la gestion éthique de l'information. Alors que les secrets continuent de planer autour des PAN, l'audience a clairement souligné la nécessité d'une plus grande transparence pour percer, un jour peut-être, les mystères de ces phénomènes anormaux non identifiés.
https://fr.sott.net/article/44110-OVNIS-Nous-ne-sommes-pas-seuls-dans-le-cosmos
(...) OVNIS : « Nous ne sommes pas seuls dans le cosmos » (...)
SupprimerHAHAHA ! La belle incertitude !
Voir des millions d'étoiles = boules de feu.
Voir des planètes (éteintes comme la Terre et la lune entr'autres) relève de l'imagination. Car, même s'il peut y avoir d'autres civilisations extraterrestres... (à des milliards de km/lumière) en sont-elles à leur 'préhistoire' ? à leur renaissance ou à leur année 56 000 ? Toujours est-il que les composés des planètes sont structurellement identiques à la notre. Mais de là à se déplacer en... en soucoupes volantes... HAHAHA ! (Aucun avionneur sur Terre ne l'a copier ! Çà alors !).
Bref, c'est carnaval à tous les étages ! Les premières apparitions de 'soucoupes volantes' datent de... 1960 environ. Donc, les 'États-Unis' avaient déjà inventé l'holographie (représentée plus tard le 11 Septembre où les avions braquaient en angles droits ! et... et entraient dans des tours bardes de poutrelles d'acier verticales sans ralentir ! Çà alors !! Levée de bouclier chez les pilotes de ligne et chez les avionneurs qui criaient à l'arnaque !).
Ces holographies (images projetées en 3D) ont fait l'étonnement bien avant l'an 2000 et ont été poursuivies dans les galeries de supermarchés aux USA (voir clips sur YT) où étaient montrés un tigre se promenant ! et dauphin qui surgissait du carrelage et retombait dessous ! L'animation 3D ne s'arrêtait pas là ! une fillette a marché et à même traversé le tigre qu'elle comptait caresser !
Bref, donc, posons-nous la question... pourquoi des extraterrestres voudraient nous attaquer ? (voir 'Mars Attacks' avec Jack Nicholson, Glenn Close et Michael J.Fox) pour nous voler des salades ? Du pétrole pour leurs soucoupes ou kidnapper de belles jeunes filles ?
Le nouvel accord commercial de Trump est un « accord colossal » qui profitera à l'agriculture
RépondreSupprimer1 Août 2025
AGDAILY Reporters*
L'article source est du 30 juillet 2025. C'est en grande partie la régurgitation de la propagande officielle. Il est toujours intéressant de la connaître.
À l'approche de la date limite du 1er août pour l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane, l'administration Trump a annoncé une vague de nouveaux accords commerciaux avec des pays clés. Ces accords devraient aider les agriculteurs, les éleveurs et les fabricants américains en ouvrant les marchés internationaux et en évitant des droits de douane élevés.
Selon un communiqué de presse de l'administration [du gouvernement], les États-Unis ont conclu des accords commerciaux avec le Royaume-Uni, le Vietnam, l'Indonésie, le Japon et l'Union Européenne. Des négociations sont également en cours avec d'autres pays, comme l'Inde et la Corée du Sud.
« Cet accord colossal permettra aux agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et fabricants américains d'augmenter les exportations américaines, d'élargir leurs opportunités commerciales et de contribuer à réduire le déficit commercial avec l'Union Européenne », écrit la Maison Blanche.
Sans ces accords, les exportations américaines pourraient être soumises à des droits de douane pouvant atteindre 50 %, ce qui, selon les experts en économie agricole, pourrait nuire aux agriculteurs et entraîner des mesures de rétorsion de la part d'autres pays. Il existe également une suspension temporaire des droits de douane avec la Chine, mais les tensions persistent et pourraient avoir des répercussions sur les agriculteurs si les négociations échouent après le 9 août.
Le commerce est vital pour l'agriculture américaine. Plus de 20 % de la production des agriculteurs américains est vendue à l'étranger. Selon l'American Farm Bureau Federation, chaque dollar d'exportation agricole génère 2 dollars d'activité économique supplémentaire aux États-Unis, ce qui soutient l'emploi, les revenus et les économies rurales.
En 2023, les exportations agricoles américaines ont été évaluées à 175,5 milliards de dollars. Ces exportations ont généré 187 milliards de dollars supplémentaires en activité économique connexe, pour un total de plus de 362 milliards de dollars.
« Le commerce est essentiel au succès des agriculteurs et des éleveurs américains », a déclaré M. Zippy Duvall, président de l'AFBF. « Des accords solides et durables contribuent à relier les agriculteurs américains aux marchés mondiaux, et le Farm Bureau milite depuis longtemps en faveur de l'égalité des chances pour les produits cultivés aux États-Unis. »
Donald Trump, candidat républicain à la présidence en 2024. (Image : Sir. David, Shutterstock)
Accord majeur avec l'Union Européenne
L'un des accords les plus importants annoncés est celui conclu avec l'Union Européenne. Cet accord est décrit comme une avancée majeure dans les relations commerciales entre les États-Unis et l'Europe. Les principaux éléments de l'accord sont les suivants :
L'UE achètera pour 750 milliards de dollars de produits énergétiques américains jusqu'en 2028.
L'UE investira 600 milliards de dollars dans l'économie américaine.
Tous les droits de douane de l'UE sur les produits industriels américains seront supprimés.
RépondreSupprimerLes agriculteurs et les fabricants américains bénéficieront d'un meilleur accès aux marchés européens.
Les deux parties sont convenues de simplifier les règles commerciales, de réduire les barrières et de soutenir le commerce numérique.
L'accord maintient également des droits de douane élevés sur l'acier, l'aluminium et le cuivre à 50 %, mais d'autres secteurs bénéficieront de conditions commerciales améliorées.
Ces accords commerciaux s'inscrivent dans une stratégie plus large visant à renforcer et à sécuriser l'économie américaine. Ils devraient aider les entreprises américaines de toutes tailles, encourager la relocalisation de la production et améliorer les chaînes d'approvisionnement.
Le secrétaire au Commerce Howard Lutnick a confirmé que les nouveaux droits de douane entreront en vigueur le 1er août et que des lettres ont été envoyées à plus d'une vingtaine de pays pour expliquer les nouvelles règles.
L'administration Trump affirme que ces accords commerciaux s'inscrivent dans un plan à long terme visant à corriger les pratiques commerciales déloyales et à réduire le déficit commercial. Elle estime que les nouveaux accords aideront les agriculteurs, les éleveurs, les producteurs d'énergie et les fabricants à atteindre davantage de clients et à développer leurs activités.
« Pas de prolongation, pas de délai supplémentaire. Le 1er août, les droits de douane seront fixés », a déclaré M. Lutnick dans une interview accordée à Fox News Sunday.
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* Source : Trump’s new trade agreement is 'colossal deal' for ag | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2025/08/le-nouvel-accord-commercial-de-trump-est-un-accord-colossal-qui-profitera-a-l-agriculture.html
À propos de l'importance de la protection des végétaux
RépondreSupprimer1 Août 2025
Willi l'agriculteur*
Lors d'un événement organisé par TopAgrar, le professeur A. v. Tiedemann a prononcé un discours dans lequel il a abordé l'importance de la protection des végétaux. En voici le texte.
Ma note : Remarquable !
« L'agriculture en dialogue », TopAgrar Berlin, le 15 avril 2025
Protection des végétaux : en toute sécurité !
Discours du professeur Andreas von Tiedemann, Université de Göttingen
Version écrite du discours :
https://dlvr.t-online.de/dlvr?p[dtkn]=kr-qsldPOm1EGYRw86aNhBxqSOlAsvy5
Le débat sur l'ampleur et la nécessité de réglementer l'utilisation des produits phytosanitaires porte essentiellement sur une évaluation objective des avantages et des risques de la protection des végétaux.
Dans cette présentation, les faits concernant les avantages et les risques de la protection des végétaux seront brièvement présentés et nous en déduirons à quoi devrait ressembler une politique phytosanitaire moderne. Il apparaîtra clairement que la réglementation actuelle de la protection phytosanitaire chimique repose sur des prémisses dépassées.
Les avantages et les risques peuvent être décrits objectivement à l'aide de méthodes scientifiques. Sur cette base, il convient d'évaluer quelle protection phytosanitaire est nécessaire et justifiable. Cette évaluation doit être effectuée de manière responsable et impartiale par les décideurs politiques.
Il est remarquable que les avantages de la protection phytosanitaire soient souvent négligés dans les articles de médias généraux. Voici les faits : selon une étude réalisée en 2019 par l'Université de Louvain pour le Parlement Européen, la protection phytosanitaire à base de substances actives sécurise entre 20 et 40 % des rendements des principales cultures vivrières mondiales. La perte de cette technologie ferait passer le nombre de personnes sous-alimentées d'environ 800 millions actuellement à 2,9 milliards et le taux de famine dans le monde de 10 % actuellement à plus de 30 %. Nous retrouverions ainsi le niveau de famine de 1960, qui était déjà considéré comme extrêmement alarmant à l'époque.
Selon la FAO, environ un quart de tous les aliments destinés à la consommation humaine et animale dans le monde sont contaminés par des mycotoxines, ce qui entraîne des dommages considérables pour la santé humaine, en particulier dans les pays en développement et émergents. L'une des raisons en est le manque d'accès aux produits phytosanitaires.
Les cultures saines préservent davantage les ressources. Par unité de récolte, elles nécessitent moins d'eau, moins de nutriments, moins d'énergie et moins de surface.
Le désherbage chimique permet des systèmes de culture préservant les sols et favorise les rotations avec des cultures intermédiaires écologiquement précieuses.
Les produits phytosanitaires sont également des composants essentiels du système de protection intégrée des cultures, car ils freinent également l'érosion de la résistance des variétés. Il en va de même pour l'usure des substances actives.
RépondreSupprimerTout compte fait, les produits phytosanitaires permettent précisément ce que tout le monde souhaite : une agriculture durable, productive et respectueuse des ressources.
Passons maintenant aux risques. Le débat actuel sur les risques liés aux produits phytosanitaires nous ramène aux années 1960 ou 1970, lorsque des produits phytosanitaires aussi dangereux que le mercure, le DDT, l'E605, le lindane ou l'atrazine étaient utilisés. En ce qui concerne les deux domaines de risque que sont la toxicité environnementale et la toxicité pour les animaux à sang chaud, nous vivons aujourd'hui dans un monde différent.
Rien qu'entre 1970 et 2008, le risque de toxicité des produits phytosanitaires dans l'UE a diminué de plus de 95 %. Aujourd'hui, on ne peut plus parler de risque de toxicité pour les utilisateurs ou les consommateurs, ne serait-ce que parce qu'aucun produit phytosanitaire toxique pour l'homme n'est plus autorisé.
Toutes les institutions qui contrôlent la qualité sanitaire des denrées alimentaires en Allemagne parviennent à la même conclusion, à savoir que les denrées alimentaires (y compris celles issues de l'agriculture conventionnelle) ne présentent aucun risque pour la santé des consommateurs. Il en va de même pour l'eau potable, qui est systématiquement jugée sans problème dans les rapports sur l'eau potable de l'Agence Fédérale de l'Environnement.
Le risque écologique lié à l'utilisation des produits phytosanitaires qui fait actuellement l'objet de discussions est principalement le déclin de la biodiversité. Un malentendu notable s'est développé dans l'opinion publique à propos de ce risque. Il ne fait aucun doute que les produits phytosanitaires ont des effets quantitatifs tant sur les populations d'organismes cibles que sur celles d'organismes non cibles. Cette régulation quantitative est l'objectif de leur utilisation et doit avoir un effet bénéfique sur les cultures. Cependant, la régulation quantitative ne signifie pas la perte d'espèces. Et c'est précisément ce qui est malheureusement confondu non seulement dans le débat, mais aussi dans la justification de nouvelles restrictions. Pour être tout à fait clair : il n'existe aucune preuve scientifique démontrant que la protection chimique actuelle des cultures entraîne directement la perte d'espèces.
Ce qui nous ramène au problème déjà évoqué des prémisses erronées.
Dans une situation où les produits phytosanitaires ne présentent plus de risque toxicologique et où il n'existe aucune preuve d'une menace pour des objectifs importants de protection de la nature tels que la biodiversité, une politique réglementaire qui n'a d'autre objectif que de réduire davantage la protection phytosanitaire est une approche erronée qui, même dans l'optique de la réalisation des objectifs de protection, ne peut qu'échouer car elle ignore l'absence de causalité.
D'un point de vue scientifique, les prémisses d'une politique de réduction qui étaient peut-être encore valables il y a 40 ans doivent aujourd'hui être remises en question.
RépondreSupprimerUne réglementation essentiellement axée sur les risques ne peut pas non plus être justifiée par des études qui semblent impliquer de tels risques. Il n'est pas sérieux que les écotoxicologues continuent d'assimiler la présence de quantités extrêmement faibles de substances, quel que soit le compartiment environnemental, à un risque. Sachant pertinemment que des analyses de plus en plus performantes permettent aujourd'hui de détecter pratiquement n'importe quelle molécule n'importe où, il est nécessaire de compléter les mesures pures par des études d'activité afin de pouvoir évaluer le risque réel. Or, cela n'est pas fait, car dans la plupart des cas, cela ne donnerait aucun résultat positif.
Les études agroécologiques sans lien avec la pratique ou dont la conception expérimentale est inadéquate méritent également d'être critiquées. Citons à titre d'exemple l'étude de Krefeld [Hallmann et al.], qui a suscité un vif intérêt en 2017 en affirmant une baisse de 75 % du nombre d'insectes en 27 ans, une étude qui a été critiquée dès sa publication par des collègues spécialistes en raison de sa conception insuffisante et qui, après réévaluation des données par Jörg Müller et al. a été totalement réfutée s'agissant de sa conclusion principalle.
L'étude de Krefeld a donné une image erronée d'un déclin généralisé des insectes, qui n'est confirmé par aucune autre étude dans le monde. Une politique qui se réfère à des études non valides de ce type n'est pas fondée sur des données scientifiques.
Du point de vue de l'agriculture, l'impact injustifié de l'étude de Krefeld n'est pas négligeable. Récapitulons donc : l'étude de Krefeld ne prouve ni un déclin général des insectes, ni un lien avec la protection des végétaux. Elle a néanmoins donné lieu à une législation sur la protection des insectes qui contribue considérablement à la déconstruction actuelle de la protection phytosanitaire chimique qui, que nous le voulions ou non, continue de jouer un rôle prépondérant dans la préservation de la santé des cultures et constitue donc sans aucun doute une technologie garantissant la prospérité.
Une conséquence particulièrement critique est la diminution de la disponibilité des substances actives. Ce n'est pas le nombre total de substances actives autorisées qui est déterminant, mais la disponibilité de différents modes d'action. Voici à nouveau les faits : sur les quelque 5.600 cas d'utilisation de produits phytosanitaires chimiques dans l'agriculture, la sylviculture et l'horticulture, seuls 36 % étaient encore couverts par la disponibilité d'au moins 3 classes de résistance lors de la dernière enquête en 2019. Cela signifie que deux tiers des mesures phytosanitaires chimiques ne seront déjà plus efficaces à long terme en raison du risque de résistance. Cela concerne en particulier les insecticides et les herbicides, ainsi que la protection des cultures dans l'agriculture, la culture fruitière et la culture maraîchère.
RépondreSupprimerTout cela se produit dans un contexte d'augmentation spectaculaire des problèmes phytosanitaires dans la pratique. En effet, la menace que représentent les organismes nuisibles pour la production alimentaire reste une réalité et l'évolution de ces organismes se poursuit, renforcée par l'invasion de nouveaux organismes nuisibles et le changement climatique. Voici à nouveau les faits : les espèces envahissantes, en particulier les insectes, tels que la chrysomèle des racines du maïs, la cicadelle à ailes transparentes, le charançon de la betterave, le scarabée du Japon ou la drosophile, de nouveaux agents pathogènes tels que le Stolbur et le SBR, des virulences modifiées comme dans le cas de la rouille jaune et l'agressivité croissante des agents pathogènes déjà présents ne pourront être maîtrisés qu'avec une protection phytosanitaire plus efficace et non avec une protection encore réduite.
Il convient de mettre en garde contre les attentes largement exagérées concernant les alternatives à la protection phytosanitaire chimique. Malgré des décennies de recherche, les produits phytosanitaires biologiques ne couvrent qu'environ 1 % des indications en matière de protection phytosanitaire. Les techniques phytosanitaires numériques permettant une application précise, telles que la pulvérisation localisée, nécessitent toujours de bons principes actifs. Leur utilisation se limitera à la lutte contre les mauvaises herbes. Tant les produits biologiques [biologicals] que la robotique ne seront que des solutions de niche dans un avenir prévisible. Les robots permettent peut-être de lutter contre les mauvaises herbes, mais certainement pas contre les bactéries, les champignons ou les insectes.
Les nouvelles biotechnologies suscitent des espoirs, mais elles en sont encore à leurs balbutiements, comme la technique ARNi, ou sont bloquées par l'absence de cadre juridique, comme les nouvelles méthodes de sélection. Même si les conditions nécessaires sont créées dès maintenant, il faudra attendre de nombreuses années avant qu'elles ne se concrétisent dans la pratique.
D'un point de vue scientifique, les prémisses de la politique phytosanitaire menée jusqu'à présent sont dépassées. Si on les examine sérieusement, on constate que la politique de réduction dominante de ces dernières années n'a plus de justification factuelle et qu'un changement de politique est urgent.
Compte tenu des problèmes urgents qui se posent dans la pratique, la future politique phytosanitaire doit passer d'une politique de réduction à une politique de facilitation. Cela implique avant tout une évaluation réaliste des risques basée sur des études valides et une prise en compte appropriée des avantages de la protection phytosanitaire. Cela devrait par exemple se traduire par l'égalité des deux autorités d'évaluation des risques, le BfR et l'UBA.
RépondreSupprimerUn exemple très simple de politique de facilitation serait la réautorisation du traitement insecticide par enrobage des semences, une fois que les raisons pour lesquelles il avait été interdit ont été éliminées.
La politique de facilitation implique également une application plus restrictive du principe de précaution, en particulier lorsqu'il existe des doutes quant à sa pertinence pour les consommateurs et les utilisateurs.
Une nouvelle politique d'autorisation doit également remettre en question la procédure d'autorisation afin de permettre à nouveau les innovations urgentes et nécessaires. Le renforcement des conditions d'autorisation, qui ne sert plus qu'à empêcher et non plus à améliorer la protection des végétaux, n'a aucun sens.
Il semble également y avoir ici une marge de manœuvre pour réduire la bureaucratie. La forte augmentation des autorisations d'urgence montre que, compte tenu de l'urgence des mesures phytosanitaires, les risques qui justifiaient auparavant l'interdiction d'une application sont apparemment acceptables. Si la nécessité de l'usage, c'est-à-dire son utilité, avait été davantage prise en compte dans la décision d'autorisation, celle-ci aurait peut-être été différente et l'on se serait épargné le détour par l'autorisation d'urgence.
Il est urgent de changer de mentalité : la protection phytosanitaire moderne basée sur des substances actives est une technologie de prospérité pour le bien de tous. La protection des plantes alimentaires devrait être une tâche de l'État, au même titre que la protection de la santé, de la nature ou des animaux.
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* Source : Über die Bedeutung des Pflanzenschutzes - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2025/08/a-propos-de-l-importance-de-la-protection-des-vegetaux.html
(...) La perte de cette technologie ferait passer le nombre de personnes sous-alimentées d'environ 800 millions actuellement à 2,9 milliards et le taux de famine dans le monde de 10 % actuellement à plus de 30 %. Nous retrouverions ainsi le niveau de famine de 1960, qui était déjà considéré comme extrêmement alarmant à l'époque. (...)
SupprimerL'abandon de remèdes ! Seuls les médicaments nous sauvent de la famine projetée !
Nouvelle offensive de désinformation contre l’agriculture conventionnelle
RépondreSupprimer27 juillet 2025
Aymeric Belaud
Ces dernières semaines, l’agriculture conventionnelle a subi une violente campagne de désinformation médiatique, dans la presse, à la télévision et sur les réseaux sociaux. Une manipulation de l’opinion publique scandaleuse, disons-le d’emblée, qu’il est nécessaire de dénoncer : car les faits scientifiques eux, ne mentent pas.
La campagne, d’une rare virulence, vise l’irrigation des cultures et les retenues d’eau appelées « bassines », le glyphosate et la loi Duplomb adoptée récemment à l’Assemblée nationale. Celle-ci poserait un problème majeur de santé publique ; en cause, la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, néonicotinoïde pourtant autorisé partout en Europe et dans le monde. Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts, parle de la loi « poison ». Le 8 juillet, sur X, elle estimait que « tous les députés qui voteront pour la loi Duplomb voteront pour l’empoisonnement de vos enfants et la destruction de la biodiversité ».
Une nouvelle étude au protocole bancal pour dénigrer le glyphosate
Le 12 juin dernier, la presse relaye abondamment une nouvelle étude italienne qui démontrerait « qu’une exposition prolongée au glyphosate, dès la vie prénatale, entraîne une augmentation significative des cas de leucémies et de nombreux autres types de tumeurs ». Le journal Charente Libre, qui ne rate pas une occasion de vilipender l’agriculture et la viticulture, estime que c’est un « scandale sanitaire en puissance » ignoré par les autorités sanitaires. Dans son article, le journaliste mentionne uniquement les propos de membres d’ONG écologistes anti-glyphosate. Un article très partial donc, comme beaucoup. L’institut Ramazzini, qui a mené cette étude, est connu pour son engagement contre de nombreuses matières actives utilisées en agriculture. Son impartialité peut donc légitimement être remise en cause, tout comme les résultats douteux de son étude.
Le protocole a consisté à suivre 1 020 rats de race Sprague-Dawley, exposés dès la gestation à trois doses de glyphosate (0,5 mg/kg/j, 5 mg/kg/j et 50 mg/kg/j). Les auteurs annoncent une augmentation « significative » de tumeurs bénignes et malignes à toutes les doses : leucémies, hémangiosarcomes, cancers du foie, de la thyroïde, du système nerveux… Mais, comme le constate le média scientifique les électrons libres, l’étude présente des failles importantes. Jérôme Barrière, médecin oncologue, explique pourquoi : un, les rats utilisés pour cette recherche développent déjà spontanément des tumeurs avec l’âge. Deux, certaines données sont incohérentes. Par exemple, pour la dose la plus faible de Roundup Bioflow (un herbicide contenant du glyphosate), aucun lymphome n’est détecté alors que le taux de lymphome est de 10 % dans le groupe témoin (sans exposition au glyphosate). Cela voudrait donc dire que le Roundup Bioflow, à dose faible, évite le développement de lymphomes, ce qui est ridicule. Trois, on observe que dans certains cas, les rats développent plus de tumeurs en recevant des doses faibles qu’avec les doses les plus fortes : un résultat incohérent. Quatre, les conclusions de l’étude ne reposent que sur un ou deux cas par groupe de rats, ce qui est trop peu pour démontrer quoi que ce soit. Cinq, le glyphosate est administré aux rats de façon continue dans l’eau, ce qui n’a rien à voir avec l’exposition humaine, qui elle « se fait par l’alimentation, à petites doses, par pics, et à des niveaux des milliers de fois inférieurs. » Jérôme Barrière conclut sans ambigüité que l’étude de l’institut Ramazzini « ne prouve pas un danger immédiat pour l’humain. »
RépondreSupprimerDernier point, accablant : elle utilise les mêmes rats Sprague-Dawley que l’étude Séralini de 2012, du biologiste du même nom qui affirmait avoir observé une hausse de tumeurs mammaires chez des rats exposés au Roundup. Cette étude a été contestée, puis retirée un an plus tard par la Food and Chemical Toxicology, qui l’avait publiée. A l’époque, les médias s’étaient empressés de la faire connaître et de la citer comme preuve irréfutable de la dangerosité du glyphosate.
Aucune preuve, nulle part, que le glyphosate soit toxique
Il est indubitablement plus éclairant de se référer aux organismes indépendants qui n’ont pas manqué d’étudier sérieusement le glyphosate. L’EFSA, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, a relevé dans son évaluation de la molécule en 2023 qu’il n’y a aucune zone de préoccupation critique sur le glyphosate, ni pour l’homme, ni pour les animaux ni pour l’environnement. Cette évaluation est la plus complète et la plus robuste que l’Agence ait jamais remise et elle corrobore les conclusions de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) en 2022 : aucun critère scientifique ne permet de classer le glyphosate dans la catégorie des substances cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques.
Ailleurs dans le monde, les agences nationales disent la même chose. Pour l’autorité de protection de l’environnement de Nouvelle-Zélande, « Il est peu probable que le glyphosate soit cancérogène pour l’homme ». Pour le FSC (agence japonaise), « Aucune cancérogénicité n’a été observée ». Pour l’OSAV (Office fédéral suisse de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires), « L’exposition par le biais de l’alimentation ne présente pas de danger pour la santé ». Pour l’Environmental Protection Agency (Etats-Unis), l’Agence canadienne de réglementation de la lutte antiparasitaire, l’Autorité australienne des pesticides et médicaments vétérinaires ou encore l’Administration du développement rural de la république de Corée (du Sud), il n’y a pas de risque cancérogène. Aucune preuve scientifique tangible ne justifie donc l’interdiction du glyphosate.
La loi Duplomb ne provoquera pas de cancers…
RépondreSupprimerLa loi Duplomb, dont les sénateurs Laurent Duplomb et Franck Menonville sont à l’origine, a été adoptée à l’Assemblée nationale par 316 voix pour et 223 voix contre. Elle a pour objectif de lever les contraintes qui pèsent sur les agriculteurs. Elle comprend notamment la réintroduction, à titre dérogatoire et sous conditions, de l’acétamipride, un néonicotinoïde interdit en France mais autorisé partout ailleurs en Europe. Cette réintroduction est notamment une demande des producteurs de betteraves et de noisettes, qui n’ont aucune autre solution contre les ravageurs et qui subissent de fait la concurrence des autres pays européens qui, eux, ont le droit d’utiliser ce produit.
Les militants écologistes ont donc mis la machine à désinformer en marche : les députés et sénateurs qui ont voté pour la « loi poison » seront responsables de millions de cancers et autres maladies ! Là encore, la réalité n’est pas celle que vendent les marchands de peur. Géraldine Woessner, rédactrice en chef au Point, rappelle les faits. En 2022, l’EFSA a conclu qu’aucune donnée ne démontrait que l’acétamipride est susceptible de constituer un risque grave pour la santé humaine, la santé animale ou l’environnement ; c’est pour cette raison que cette substance est autorisée au sein de l’Union européenne et que tous les pays membres, sauf la France jusqu’au 8 juillet dernier, permettent son utilisation.
Les militants écologistes mettent en avant plusieurs études qui en prouveraient la toxicité. L’EFSA les a analysées, et en a conclu en mars 2024 que leur qualité méthodologique est « très inégale », qu’elles présentent « un haut risque de biais », qu’elles « manquent d’évaluation détaillée de l’exposition » et « utilisent des points finaux non pertinents pour l’évaluation des risques ». Certaines testent des concentrations non appropriées, ce qui fausse les résultats.
L’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, dans un rapport de 2018, estime qu’après « examen des données disponibles sur les dangers pour la santé humaine présentés par les six substances actives de la famille des néonicotinoïdes autorisées dans le cadre des règlements relatifs aux produits phytopharmaceutiques et/ou biocides et/ou médicaments vétérinaires (acétamipride, clothianidine, imidaclopride, thiaclopride, thiaméthoxame et dinotéfurane) », ces travaux « ne mettent pas en évidence d’effet nocif pour la santé humaine, dans le respect des conditions d’emploi fixées dans les autorisations de mise sur le marché. »
… et n’empêchera pas les abeilles de butiner
Un autre grand argument écologiste est la toxicité de l’acétamipride envers les abeilles. Là encore, Géraldine Woessner rappelle que l’EFSA et l’Anses ont estimé qu’aucun effet notable n’a été observé sur elles après une exposition chronique. L’EFSA considère que l’acétamipride présente un risque faible pour les abeilles et les bourdons. Et la journaliste du Point d’exhorter ses collègues à cesser de « relayer des études qui ont été écartées par les meilleurs spécialistes pour biais scientifiques majeurs ».
Enfin, et toujours pour faire peur à l’opinion publique, le journaliste du service public audiovisuel Hugo Clément, dont nous reparlerons plus bas, a publié une vidéo sur X dans laquelle il dénonce la loi Duplomb qui « empoisonne la nature et nos enfants », et explique que les « pesticides » de façon générale sont responsables de cancers pédiatriques et de malformations sur les nouveaux nés. Argument dénoncé par la professeure Virginie Gandemer, présidente de la Société française de lutte contre les cancers et les leucémies de l’enfant et de l’adolescent. Dans une interview accordée au Point en juin 2024, elle s’alarme des contrevérités qui polluent le débat public et explique que « personne n’a jamais pu démontrer de cause environnementale entraînant directement un cancer pédiatrique. »
RépondreSupprimerLes « bassines » toujours dans le viseur des écologistes
La loi Duplomb ne fait pas que réintroduire l’acétamipride, elle devrait également permettre de faciliter le stockage de l’eau, via notamment les retenues. Un collectif appelé « DU PLOMB » a donc décidé, durant le week-end du 5 au 6 juillet (avant le vote de la loi) de saboter des retenues d’eau, en Vendée, en Charente-Maritime et en Charente, en lacérant au cutter des bâches d’étanchéité en haut de digue, causant des dizaines de milliers d’euros de dégâts. Ce ne sont pas les premières dégradations de « bassines » par l’extrême-gauche, et malheureusement pas les dernières non plus. Ces actes de vandalisme sont soutenus par des élus. La députée écologiste de la Vienne Lisa Belluco avait publié sur Facebook le 29 juin une vidéo dans laquelle elle déclarait qu’elle trouvait « légitime que des militants écologistes aient recours au sabotage ».
Hugo Clément est un très bon relais de la propagande contre les retenues d’eau et l’irrigation. Dans son émission « Sur le front » diffusée sur France 5 à la mi-juin, il traitait de la culture du maïs et de l’irrigation. Il a déroulé une suite d’éléments trompeurs, de déformations voire de mensonges, le tout sans aucun contradicteur. Bien que de nombreux comptes sur les réseaux sociaux d’agriculteurs, de spécialistes, de coopératives, d’interprofessions, et de journalistes qui connaissent leur sujet aient apporté démentis et précisions, le mal était déjà fait auprès du grand public… et avec l’argent du contribuable qui plus est. Après cela, des journalistes de France Télévisions, interrogeant un militant « anti-bassines » proche d’une retenue d’eau dégradée, s’offusquent d’être mal reçus par les agriculteurs !
Les retenues sont pourtant essentielles pour permettre à notre agriculture de s’adapter aux sécheresses de l’été et de fournir l’eau nécessaire aux cultures. Qui plus est, une étude de 2022 du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a démontré un impact positif sur les nappes phréatiques et les cours d’eau, loin de la « privatisation de l’eau » dont s’indignent si fort les militants d’extrême-gauche.
Le maïs n’est pas un soiffard
RépondreSupprimerTraitons maintenant du maïs, que n’aime pas non plus M. Clément. Dans un article publié sur le site des électrons libres, Stéphane Varaire, professeur agrégé en sciences de la vie et de la terre et vulgarisateur scientifique, a démonté pièce par pièce les fausses informations à l’encontre de cette plante et de ses besoins en eau. Par exemple, en 2020, 34 % des cultures de maïs grain étaient irriguées contre 51 % pour le soja, 59 % pour les légumes frais, 60 % pour les vergers et même 100 % pour les agrumes ! Il explique aussi que la culture du maïs est écologique grâce à sa productivité : elle a les plus hauts rendements céréaliers de France. « Cette forte productivité permet une meilleure rentabilité économique, mais pas seulement : elle permet aussi des gains écologiques. Une meilleure efficience des terres agricoles permet en effet de limiter les impacts liés à l’usage des sols. […] Une forte productivité permet aussi de stocker du carbone dans les sols, donc de limiter le réchauffement climatique. Le maïs est capable de fixer jusqu’à 22 tonnes de gaz carbonique par hectare et par an, soit plus qu’une forêt tropicale (environ 15 t gaz carbonique/ha/an) ! » Le maïs n’est donc pas la culture destructrice de l’environnement comme l’a prétendu Hugo Clément dans son émission à charge.
Ce sont les écologistes qui sont toxiques
Cette désinformation fait beaucoup de dégâts. Une bonne partie de l’opinion publique est convaincue que l’agriculture conventionnelle empoisonne l’organisme humain… mais achète néanmoins des produits venant de l’étranger qui ne respectent pas les normes environnementales et sanitaires françaises. Dans le même temps, notre agriculture continue de vaciller. La France a perdu 10% de ses fermes en quatre ans, soit autant que pendant la décennie 2010-2020 ! La production végétale a baissé de 10 % en 2024 (- 27% pour le blé tendre, – 15% pour les oléagineux). Les aléas climatiques y sont pour quelque chose, mais la réduction des surfaces cultivées a aussi de tout autres causes. L’agriculture en France souffre d’un Etat et d’une Union européenne qui imposent, réglementent et taxent à tout va. L’agribashing médiatique constant contre ce secteur qui nous nourrit ne fait qu’accentuer les problèmes de nos éleveurs et cultivateurs, complique leur travail vis-à-vis de la population, et les décourage dans leur vocation.
Les écologistes mettent en avant des études tronquées, partielles et partiales pour servir leur agenda idéologique de lutte contre la chimie de synthèse et l’agriculture conventionnelle. Ils appellent à suivre la science, mais ce n’est en réalité que leur science à eux, un lyssenkisme du XXIème siècle, vert et non plus rouge, c’est-à-dire une science corrompue par l’idéologie où les faits sont dissimulés ou interprétés de manière scientifiquement erronée.
https://contrepoints.org/nouvelle-offensive-de-desinformation-contre-lagriculture-conventionnelle/
Les merdias portent bien leur nom ! Télé, radios et journaux glorifient et montent aux sommets des nano groupuscules de mercenaires anti paysans qui veulent voir le monde crever !!
SupprimerIls s'en prennent tantôt au désherbant le plus utiliser dans le monde depuis des décennies jusqu'aux lacs, marres ou 'bassines' qui servent gratuitement de réserves d'eau pour toutes les cultures. A près ils s'en prennent aux projections brumisantes de médicaments pour les plantes malades qui seraient responsables du manque d'abeilles alors que leurs putains d'éoliennes vertes de merde tuent des millions d'oiseaux et d'abeilles chaque jour !
Bref, ils veulent faire prendre des vessies pour des lanternes en défendant la délinquances allant jusqu'à soutenir les criminels qui veulent empêcher les populations d'exister en supprimant leur nourriture ! C'est l'application à la lettre du Plan Dépopulation21.
L’Argentine, entre cinq siècles de turbulences et le pari Milei
RépondreSupprimer30 juillet 2025
IREF
Dans un article publié le 21 décembre 2024 dans le Journal des Libertés, Nathalie Janson, professeure associée à Neoma Business School et enseignante à Sciences Po, s’intéresse à l’Argentine, pays d’Amérique latine riche en ressources naturelles, et souligne l’importance capitale des institutions dans le destin d’une nation. L’histoire de l’Argentine, qui s’étend sur plus de cinq siècles, est marquée par une succession de périodes de prospérité et de phases de déclin, dont la qualité des institutions constitue souvent la clé d’explication.
Dès le XVIe siècle, avec la colonisation européenne, l’Argentine fut un territoire stratégique, mais son organisation institutionnelle demeurait rudimentaire. Ce n’est qu’après la déclaration d’indépendance en 1816 que le pays tenta de bâtir un système politique propre. Cette tentative fut rapidement compromise par des luttes internes, notamment sous la domination du caudillo Juan Manuel de Rosas, qui dirigea un régime autoritaire entre 1829 et 1852. Ces décennies d’instabilité freinèrent la construction d’institutions solides, pourtant indispensables au développement économique.
La Constitution de 1853, largement inspirée du modèle américain, représenta un tournant majeur. L’influence intellectuelle de Juan Bautista Alberdi, fervent défenseur de la liberté économique et politique, contribua à poser les bases d’un système stable. Ce cadre institutionnel favorisa les investissements étrangers, notamment britanniques, permettant à l’Argentine de devenir l’une des économies les plus dynamiques du monde à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. La croissance soutenue encouragea la montée d’une classe moyenne et une amélioration notable du niveau de vie, plaçant le pays parmi les nations les plus prometteuses de son temps.
Pourtant, cette stabilité institutionnelle et économique s’éroda progressivement dès les années 1930. Une série de coups d’État militaires, conjuguée à la montée de politiques populistes, fragilisa les fondements mêmes de la démocratie. Le péronisme, en particulier, incarna cette époque : il contribua aussi à affaiblir les institutions, à multiplier les interventions étatiques dans l’économie et à creuser les déséquilibres budgétaires.
Ce cycle infernal se perpétua tout au long du XXe siècle, avec des crises économiques récurrentes, hyperinflation, dévaluations et endettement croissant. Les institutions démocratiques furent fréquemment suspendues ou affaiblies, ce qui entraîna une perte de confiance des citoyens et des investisseurs. La période 2013-2023 symbolise tragiquement ce déclin : la pauvreté explosa, passant d’environ 10 % à plus de 45 %, tandis que l’inflation atteignit des sommets hyperinflationnistes, dépassant 300 %. La fragmentation institutionnelle et le clientélisme aggravèrent ce cercle vicieux.
Dans ce contexte de crise profonde, l’élection en décembre 2023 de Javier Milei est une tentative de rupture. Sa promesse de reconstruction repose sur une réforme radicale des institutions et de l’économie, incluant une réduction drastique des dépenses publiques, une dérégulation importante et la proposition audacieuse de dollariser l’économie afin de restaurer la stabilité monétaire. Si ces mesures séduisent certains partisans en quête de changement profond, elles suscitent bien sûr des interrogations quant à leur faisabilité et leurs conséquences sociales. Mais elles sont porteuses de grandes promesses.
RépondreSupprimerL’Argentine illustre combien la qualité des institutions est un pilier fondamental de la prospérité et de la stabilité d’un pays. La réussite économique et sociale ne peut être durable sans un cadre institutionnel solide, transparent et respecté. La trajectoire argentine constitue un exemple saisissant des risques liés à la fragilité institutionnelle : une promesse de grandeur vite contrariée par la décadence, et un défi permanent pour chaque nouvelle génération de dirigeants. Pour le moins, Milei semble avoir conscience des enjeux.
https://contrepoints.org/largentine-entre-cinq-siecles-de-turbulences-et-le-pari-milei/
Argentine: 23° Sud 65
Supprimer52° Sud 70
France: (Calais) 50° Nord 60
(frontière Espagne) 42° Nord 26
Accord États-Unis/UE : quelles conséquences pour les entreprises européennes ?
RépondreSupprimer30 juillet 2025
Lorenzo Delpech
En annonçant un droit de douane de 15 % sur les importations européennes, Donald Trump présente sa rencontre de dimanche avec Ursula von der Leyen comme une victoire stratégique. Le pire a sans doute été évité : une taxe de 30 % aurait possiblement provoqué une riposte de l’Union européenne. Mais le protectionnisme n’apporte pas de solution ; il aggrave les déséquilibres qu’il prétend corriger. Pendant ce temps, plusieurs secteurs clés de l’économie européenne, comme la sidérurgie et l’automobile, subissaient déjà depuis le printemps 2025 des droits de douane de respectivement 50 % et 25 %, imposés par Washington. Donald Trump s’enorgueillit aussi d’un « accord gagnant », incluant 750 milliards de dollars d’achats d’énergie américaine et 600 milliards d’investissements directs sur le sol américain.
Pourtant, les chiffres sont sans appel. Ensemble, les États-Unis et l’Union européenne concentrent 30 % du commerce mondial de biens et services, et représentent 43 % du PIB mondial. En 2024, le commerce transatlantique a pesé 1 680 milliards d’euros et chacun était le principal partenaire commercial de l’autre pour les échanges de biens. Cet équilibre est aujourd’hui menacé.
L’Europe n’est pas à l’abri de cette dérive protectionniste. Les droits de douane décidés au printemps frappent déjà des filières stratégiques. Le secteur automobile, pilier industriel de l’UE, en est l’exemple le plus frappant. Depuis l’entrée en vigueur des mesures, Volkswagen a enregistré 1,3 milliard d’euros de pertes. « Les droits de douane américains de 15 %, qui s’appliquent aussi aux produits automobiles, coûteront des milliards chaque année aux constructeurs allemands », alerte Hildegard Mueller, présidente de la VDA (Union de l’industrie automobile).
Même constat dans la sidérurgie, touchée par des taxes allant jusqu’à 50 % sur le marché américain. Selon un rapport d’EUROFER, l’association européenne de l’acier : « En 2025, contrairement aux attentes antérieures qui tablaient sur des perspectives industrielles plus favorables et une amélioration de la demande d’acier, la consommation apparente d’acier devrait à nouveau diminuer (-0,9 %). Cette révision à la baisse est en grande partie attribuable à l’incidence prévue, bien que difficile à quantifier, des tarifs douaniers américains et à l’incertitude et aux perturbations commerciales qui en découlent ».
La France ne sera pas épargnée. En 2024, selon une étude du service statistique ministériel des douanes, près de 14 700 entreprises françaises ont exporté pour 48,6 milliards d’euros vers les États-Unis. Parmi elles, 2 000 réalisent plus de 10 % de leur chiffre d’affaires sur ce marché. Toujours selon cette étude, une augmentation de 10 % des droits de douane réduirait le taux de marge de 0,6 point en moyenne et de 2 points pour les entreprises indépendantes.
Des secteurs comme les parfums, la maroquinerie et les produits en cuir, jusqu’ici exonérés de taxes depuis avril, seront désormais concernés par les nouveaux tarifs. L’industrie cosmétique pourrait également être durement touchée. Dans un communiqué de presse de la Fédération des entreprises de beauté, Emmanuel Guichard, son Délégué général, alerte : « On pourrait perdre 300 millions d’euros de chiffre d’affaires et mettre en péril jusqu’à 5 000 emplois en France ».
RépondreSupprimerIl est vrai que certains secteurs, comme l’aéronautique et la pharmacie, bénéficient d’exemptions, pour l’instant. Mais comme le rappelle Jean-Philippe Feldman, ce protectionnisme, en affaiblissant l’économie européenne, nuira aussi aux consommateurs américains.
https://contrepoints.org/accord-etats-unisue-quelles-consequences-pour-les-entreprises-europeennes/
La superficie des États-Unis représente 17 fois celle de la France.
SupprimerUSA: 340 millions d'habitants.
France: 68,52 millions d'hab.