Par Frank Bergman
Recherche mondiale,
1er août 2025
Le gouvernement canadien a commencé à intensifier les tests pour un nouveau vaccin à ARNm contre la Covid, « AeroVax » , qui cherche à surmonter « l’hésitation à se faire vacciner » en utilisant des aérosols pour « vacciner » le grand public.
Contrairement aux « vaccins » traditionnels qui sont administrés par injection, le nouvel AeroVax est un spray atomisé qui est inhalé.
Les nouveaux « vaccins » sont pulvérisés sous forme d’aérosol et respirés par les receveurs.
L'AeroVax a été développé par des chercheurs de l' Université McMaster au Canada, financée par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Selon les chercheurs , les Instituts de recherche en santé du gouvernement canadien (IRSC) ont maintenant investi 8 millions de dollars provenant des fonds publics dans le projet AeroVax, alors que les scientifiques se préparent pour la prochaine série de tests cliniques.
Les scientifiques qui développent le « vaccin » expérimental à ARNm contre la Covid « Serova » insistent sur le fait qu’il sera administré sous forme de spray nasal.
Cependant, le développement de « vaccins » inhalés pourrait permettre de « vacciner » un grand nombre de personnes à la fois si l’AeroVax était pulvérisé dans l’atmosphère.
Si l’AeroVax était déployé dans l’atmosphère, il pourrait « vacciner » des villes entières en une seule fois, sans tenir compte du consentement individuel.
Les populations pourraient être « vaccinées » à leur insu dans le cadre d’un tel programme.
Ces inquiétudes ont déjà été soulevées par de nombreux experts dans le cadre des efforts continus visant à développer des « vaccins » inhalés.
« Lorsque vous assemblez les pièces du puzzle, une image inquiétante émerge », a averti le Dr Joseph Mercola lorsque la technologie est apparue pour la première fois en 2023.
Slay News a fait état pour la première fois des « vaccins » à ARNm inhalés en 2023, lorsqu'il a commencé ses essais de phase 1.
Suite à une première étude sur des souris, les résultats ont conduit les chercheurs à déclarer que cette « nouvelle méthode d’administration pourrait radicalement changer la façon dont les gens sont vaccinés ».
Les premiers essais sur l’homme ont vu 36 personnes participer à l’expérience.
Selon les chercheurs, aucun effet secondaire grave n’a été observé lors des essais de phase 1.
Les chercheurs font désormais progresser rapidement les essais de phase 2.
Ils recrutent actuellement 350 volontaires pour des essais randomisés en double aveugle.
Au total, 75 % des participants recevront la vraie version du vrai « vaccin », tandis que les autres recevront des placebos.
Deux versions de « vaccins » Covid « inhalés » ont été développées en 2021.
Ils ont été nommés « Tri:ChAd » et « Tri:HuAd ».
Comme les injections d’ARNm, les deux « vaccins » AeroVax utilisent une forme de la protéine de pointe présente dans le virus Covid.
Les deux versions ont été réalisées avec des lignées cellulaires fœtales HEK293.
« Tri:HuAd a été conditionné et récupéré dans des cellules HEK293 grâce à un système de co-transfection à deux plasmides », peut-on lire dans un résumé complet du vaccin.
Les lignées cellulaires fœtales HEK293 ont été dérivées de tissus rénaux prélevés sur un bébé avorté aux Pays-Bas dans les années 1970.
Selon McMaster, les essais précliniques sur les animaux ont « déjà » montré que « le vaccin en aérosol inhalé est beaucoup plus efficace pour induire des réponses immunitaires protectrices que les injections traditionnelles ».
McMaster affirme que cela est dû à une version inhalée du « vaccin » ciblant les voies respiratoires supérieures, où les « virus respiratoires pénètrent en premier dans le corps ».
Entre-temps, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a accordé la désignation Fast Track pour un nouveau « vaccin » à ARNm auto-amplifiant « réplicon » censé lutter contre le virus de la grippe A H5N1 (grippe aviaire).
La voie rapide a été accordée à Arcturus Therapeutics, une société financée par Bill Gates et spécialisée dans les produits pharmaceutiques à base d'ARNm, pour son « vaccin » à ARNm ARCT-2304
L'un des conseillers principaux d'Arcturus Therapeutics, le Dr Peter A. Patriarca , ancien fonctionnaire du CDC et de la FDA , conseille également la Fondation Gates.
Comme Slay News l’a déjà rapporté , les injections d’ARNm « auto-amplificatrices » ou « réplicon » contiennent l’équipement nécessaire pour se fabriquer davantage une fois qu’elles pénètrent dans les cellules.
Les injections ont été surnommées vaccins « réplicons » car elles sont capables de se répliquer à l’intérieur du corps humain pour produire davantage d’ARNm au fil du temps.
Cette nouvelle technologie a provoqué une réaction négative à l’échelle mondiale de la part des experts et des citoyens concernés .
Pourtant, malgré les inquiétudes généralisées concernant les nouveaux « vaccins », les responsables fédéraux de la santé précipitent le développement des nouvelles injections de « réplicon ».
https://www.globalresearch.ca/canadian-government-begins-testing-inhaled-covid-mrna-aerovax/5896600
Rappel qu'il n'EXISTE PAS et NE PEUT EXISTER de vaccin anti poussières ! (car le virus est une POUSSIÈRE et non un microbe !).
RépondreSupprimerCette nano poussière n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT INJECTÉE !
L’hôpital public est malade de la bureaucratie
RépondreSupprimer31 juillet 2025
Philbert Carbon
La revue Acteurs publics, dans sa livraison de mai-août 2025, consacre un dossier à l’hôpital, et plus précisément à sa « tentation bureaucratique ». Un diagnostic partagé par les patients et le personnel soignant qui laisse espérer la mise en œuvre rapide d’un remède. C’est sans compter sur les « administratifs » qui défendent bec et ongles leur pré carré.
Selon une enquête Acteurs publics/EY - pour l’Observatoire des politiques publiques, réalisée par l’Ifop, - 94% des sondés considèrent que les hôpitaux publics souffrent du poids des tâches administratives. Et parmi les 80 % de répondants qui se sont rendus dans un hôpital public au cours des cinq dernières années, 74 % disent avoir eu l’impression que les équipes passaient plus de temps à gérer l’organisation qu’à soigner.
« A l’hôpital, on se cache derrière les procédures jusqu’à l’épuisement »
Les Français interrogés mettent principalement en cause la complexité du système de santé (déterminant pour 69 %), les normes de sécurité et de traçabilité (59 %), les règles imposées de l’extérieur (52 %), la volonté des agents de se protéger juridiquement (48 %) et le manque de confiance entre services ou institutions (45 %).
Ce constat est partagé par les salariés des hôpitaux à 94% également. Les témoignages recueillis par Acteurs publics sont édifiants. Mathias Wargon, chef des urgences du centre hospitalier Delafontaine (Seine-Saint-Denis) affirme que « ce qui tue réellement tout, c’est le reporting et plus précisément l’excès de reporting. Chaque service va demander aux autres services, et notamment aux soignants, un reporting différent avec des indicateurs différents et, fatalement, on ne s’en sort pas. On perd un temps incroyable sur l’administratif ». Pour lui, « A l’hôpital, on se cache derrière les procédures jusqu’à l’épuisement ».
Un travail administratif d’autant plus pénible que le matériel à disposition est vétuste. « Le temps passé à des tâches administratives de traçabilité ou de codage doit être mis en parallèle avec des outils informatiques qui aggravent la charge administrative », dit Philippe Juvin, chef des urgences à l’hôpital européen Georges Pompidou, et député LR. Il ajoute qu’il serait satisfait de pouvoir travailler avec un ordinateur qui ne mette pas vingt minutes à s’allumer et des logiciels qui ne fassent pas perdre du temps.
Le sénateur Bernard Jomier, qui a présidé en 2022 la commission d’enquête sur la situation de l’hôpital et le système de santé, rapporte que, selon un syndicat de directeurs d’hôpital, les établissements de santé publics recevaient pratiquement une consigne ou demande de reporting par jour ouvré de la part de leurs tutelles.
RépondreSupprimerL’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, ne partage pas l’avis de ses confrères. Elle défend par exemple les agences régionales de santé (ARS) qui assurent « un pilotage étroit de la qualité des soins et des résultats obtenus par les établissements hospitaliers ». Elle dit se méfier des discours simplificateurs et populistes « selon lesquels il y aurait trop de normes ». Pour elle, « on ne peut pas se permettre de déréguler trop facilement » dans le secteur de la santé.
Quoi qu’il en soit, il est difficile de nier l’inflation normative : entre 2002 et 2021, le Code de la santé publique est passé de 4 931 articles à 12 372 (+151 %) et de 552 088 mots à 1 653 610 (+200%).
Combien de divisions administratives ?
Ce poids de de la norme se traduit-il dans les effectifs ? Les fonctions « support » croissent-elles au détriment des « médicales » ?
Vincent Prévoteau, président de l’Association des directrices et directeurs d’hôpital (ADH) critique les chiffres « parfois stratosphériques qui sortent de nulle part. On ne le répétera jamais assez, il n’y a pas 70 % de personnel administratif dans un hôpital. La moyenne se situe à 6 % ».
Un chiffre qui est similaire à celui de l’Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH) pour qui « le personnel administratif ne représente que 12 % des effectifs ». Et parmi ces 12 %, la moitié sont des « personnels administratifs au sens strict », l’autre moitié étant composée de « secrétaires médicaux qui sont des appuis indispensables aux médecins et soignants, de personnels chargés de la logistique, de personnels médico-techniques, sans oublier les personnels en charge de l’informatique ».
L’OCDE, qui n’aborde pas la question de la même manière, fait état de 14 % d’agents administratifs, auxquels s’ajoutent 10% de personnels techniques et 9% d’agents de service. Au total, il y aurait donc 33 % de personnels non-soignants. « C’est moins qu’en Belgique (36%), mais plus qu’en Allemagne (25%), en Italie (25 %) et en Espagne (24 %). L’OCDE précise que cette différence peut être expliquée par le fait que des fonctions administratives et techniques sont plus souvent externalisées dans les autres pays ».
Quant à la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé qui vient de publier ses données sur les établissements de santé, elle mentionne 27% de « personnel non médical non soignant », soit au total 291 363 personnes en 2023, dont 114 597 dans la filière administrative (10,61%). Bien plus tout de même que les 6% avancés plus haut.
Il ne faudrait cependant pas oublier que l’administratif touche tout le monde. Comme le précisent les experts d’EY, « des études estiment que jusqu’à 40% du temps des médecins et infirmiers est absorbé par des formulaires, doubles saisies et procédures diverses ». Quant à la Cour des comptes, elle évalue que la « bureaucratie hospitalière » mobilise environ « 15% des dépenses des établissements – soit 15 milliards d’euros par an ». Si ce fardeau était allégé de 20% ou 30%, cela permettrait de « redéployer l’équivalent de 6 000 soignants à temps plein vers le soin ».
RépondreSupprimerQuelles solutions ?
Alléger la charge administrative des hôpitaux apparaît, quoi qu’en pensent certains, une nécessité vitale.
Un responsable hospitalier, interrogé par Acteurs publics, rêve d’un retour à la période du covid-19 pendant laquelle de nombreuses procédures ont été simplifiées « pour accélérer la réponse à la pandémie ». Selon lui, ce fut alors « Une parenthèse enchantée en matière de réglementation et de contraintes procédurales ».
A cet égard, il est désolant de constater qu’aucun retour d’expérience n’a été mené sur cet intermède. Il aurait pourtant été intéressant de regarder comment les établissements hospitaliers ont réagi et d’en tirer des enseignements pour simplifier, de manière pérenne, certaines procédures.
La multiplicité des acteurs (SPF, HAS, ARS, ASNR, ANSM, ANSES, Sécurité sociale, les différentes directions du ministère de la Santé, etc.) contribue indéniablement à la complexité du système et à la multiplication des instructions, démarches, reportings et autres réglementations. Comme le dit Philippe Juvin, chaque opérateur « crée quasiment sa norme et sa contrainte qu’il impose aux autres ». Une réduction du nombre d’agences, de directions et d’organismes en tout genre apparaît donc plus que nécessaire.
Il faudrait également arrêter le « harcèlement textuel », comme le demande Julien Husson, titulaire de la chaire Santé-management à l’Université de Lorraine. En effet, explique-t-il, on ne supprime jamais aucune règle quand on en crée de nouvelles. Il critique aussi le regroupement des hôpitaux qui n’aboutit que rarement aux économies d’échelle et, au contraire, augmente les temps de coordination et donc les « coûts de transaction ».
Davantage d’autonomie des équipes au sein même de l’hôpital, à l’instar de ce que pratique celui de Valenciennes, souvent donné en exemple, est également une piste à suivre. Le sénateur Bernard Jomier plaide même pour une décentralisation, « y compris d’un point de vue financier ».
RépondreSupprimerDes outils informatiques dernier cri, comme le réclame Philippe Juvin, devraient aussi permettre de simplifier la tâche des soignants. C’est aussi l’opinion des experts d’EY qui proposent de faire la chasse au manque d’interopérabilité entre les systèmes et les logiciels, et de faciliter les échanges automatisés de données. Agnès Buzyn croit beaucoup au développement de l’intelligence artificielle (IA) pour simplifier certaines tâches et « donner davantage de temps médical au personnel soignant ».
C’est, par exemple, ce que veulent faire les Pays-Bas qui ont lancé un plan pour « diviser par deux la charge administrative des médecins grâce à l’IA », avec notamment des « outils de reconnaissance vocale et d’assistants numériques » pour saisir les comptes rendus médicaux « sans intervention manuelle ».
On déplore qu’Acteurs publics n’ait pas été regarder du côté du privé. Certes, la revue s’adresse aux décideurs publics, mais ce tropisme publico-public n’est-il pas aussi un des maux dont souffre l’hôpital public ? La manière dont les cliniques, qui sont soumises aux mêmes tutelles, se dépêtrent avec des règles qui sont largement les mêmes, aurait été intéressante à examiner. Et plus largement, il est regrettable que la solution de la privatisation n’ait même pas été mentionnée.
https://contrepoints.org/lhopital-public-est-malade-de-la-bureaucratie/
Un hôpital public (contraire de l'hôpital privé) N'est PAS un 'bureau' !
SupprimerIls veulent massacrer 250 000 bovins contre le dermatose nodulaire, une maladie qui se guérît facilement dont le virus est utilisé pour fabriquer le vaccin contre le sida
RépondreSupprimerle 31 juillet 2025
par pgibertie
Des troupeaux décimés, des familles bouleversées, des fermes vidées, dans le silence. Depuis des semaines, des agriculteurs assistent, impuissants, à l’abattage total de leur cheptel, malgré toutes les précautions prises.
Autant de décisions imbéciles , la maladie se soigne et son virus est tellement dangereux pour l’homme qu’il est utilisé comme vecteur dans les futurs vaccins contre le sida, il sera donc …injecté
Faut peut être expliquer au public que des chercheurs travaillent sur des vaccins contre le sida (gp120) avec comme vecteur, le virus de la dermatose nodulaire (poxvirus).
https://patentscope.wipo.int/search/en/WO2009101604https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC3579898/https://biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1.full.pdf+html
Dans cette revue sur la dermatose nodulaire il n’est jamais question d’abattage des troupeaux. Seuls sont euthanasiés les animaux gravement malades. L’abattage ne doit pas être pratiqué pour le contrôle de l’épidémie. Rapport épidémiologique sur la dermatose nodulaire IV : collecte et analyse des données EFSA (European Food Safety Authority), Calistri P, De Clercq K, Gubbins S, Klement E, Stegeman A, Cortiñas Abrahantes J, Marojevic D, Antoniou SE and Broglia A, 2020. Scientific report on the lumpy skin disease epidemiological report IV: data collection and analysis. EFSA Journal 2020;18(2):6010, 36 pp. https://doi.org/10.2903/j.efsa.2020.6010
Alexandra Henrion-Caude
@CaudeHenrion
Question3⃣: Face à la dermatose nodulaire des bovins, y a t il des solutions type SimplissimA?
Réponse: Oui, par exemple
👉disparition des nodules en 3 jours avec 100% de guérison si traitées par PROPOLIS (contre 13% à la tetracycline)
ou
👉amélioration dans les 2h qui suivent une perfusion intraveineuse d’une solution aqueuse à 5 % de bicarbonate de sodium à raison de 1 ml pour 1 kg
ou
👉disparition de fièvre, léthargie, manque d’appétit en 1-3 jours avec un spray à base d’huiles essentielles et plantes LUMPY-Nil (voir composants dans l’article)
https://pgibertie.com/2025/07/31/ils-veulent-massacrer-250-000-bovins-contre-le-dermatose-nodulaire-une-maladie-qui-se-guerit-facilement-dont-le-virus-est-utilise-pour-fabriquer-le-vaccin-contre-le-sida/
Alexandra Henrion-Caude est pour les injections létales humaines !
SupprimerAlexandra Henrion-Caude n'a JAMAIS parlé de l'examen attentif de la composition des flacons injectables !!
Seules les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej ont examiné ces flacons mortels dès leurs sorties des laboratoires nazis ! Seules les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej ont osé publier sur Internet leurs rapports à la vue de milliards de personnes dans le monde !
Au prix de leur santé, des Philippins démontent des ordinateurs pour s'offrir à manger
RépondreSupprimerFrance-Soir avec AFP
le 31 juillet 2025 - 12:02
Dexter Barsigan a passé ces 13 dernières années à gagner sa vie à la force de ses mains et d'une pince pour extraire le métal de déchets électroniques et le revendre, une activité répandue aux Philippines, mais dangereuse pour la santé, avertissent les experts.
Depuis trois ans, sa vue baisse et ses mains lui font mal. Au point que, parfois, l'homme de 47 ans ne fait que regarder son épouse et son neveu travailler à sa place.
Ce père de trois enfants est un "mambabaklas", un terme aux Philippines qui désigne les démonteurs d'appareils jetés aux ordures qui en revendent les composants en nickel, aluminium et cuivre.
"Le démontage nous aide à mettre de quoi manger sur la table" et "apporte l'argent nécessaire pour scolariser mes enfants", raconte à l'AFP M. Barsigan, exerçant dans la rue Onyx de la capitale, Manille, comme des centaines de ses pairs.
Leur travail implique souvent de brûler les gaines des câbles, ce qui dégage des fumées toxiques de plomb, mercure et cadmium.
Ces déchets "présentent de graves menaces pour la santé humaine et l'environnement", explique Irvin Cadavona, responsable du traitement des déchets dangereux au ministère de l'Environnement. Les experts citent des risques accrus de cancer, maladies neurologiques, affections respiratoires et malformations congénitales.
"Il est très difficile de recycler ces (composants). Quand on démonte (des déchets électroniques), on doit le faire avec soin. Cela peut être très dangereux", dit à l'AFP Gelo Apostol, spécialiste de la santé à l'Université Ateneo de Manille.
Les Philippines sont l'un des principaux producteurs de déchets électroniques en Asie du Sud-Est, selon un rapport de l'ONU, avec quelque 540 000 tonnes en 2022.
Des règles de sécurité strictes encadrent le travail des démonteurs des établissements accrédités. Ce dont sont privés ceux qui, comme Dexter Barsigan, exercent cette activité de manière informelle et manquent aussi de formation et d'équipement de protection.
- Air toxique -
Sans masque, Dexter Barsigan démonte avant tout les circuits imprimés d'ordinateurs: ils contiennent de l'aluminium et du cuivre, vendus jusqu'à 470 pesos philippins (7 euros) le kilogramme.
Ces circuits renferment aussi des concentrations élevées de métaux toxiques responsables de lésions nerveuses en cas d'inhalation, alerte Gelo Apostol.
Et les ferrailleurs de la rue Onyx brûlent souvent des câbles pour en extraire le cuivre - un procédé plus rapide qu'en enlevant leur gaine à la main, mais illégal et dangereux. Le centre de santé Pedro Gil de Manille a diagnostiqué des troubles respiratoires à la moitié des 12 000 habitants de cette rue, essentiellement parmi les enfants, raconte la médecin Rosana Milan.
"C'est très risqué pour les bébés, les tout-petits et mêmes les écoliers (...) ils s'assoient à côté de leur père pendant qu'il (...) brûle" des câbles, explique à l'AFP Rosana Milan, mentionnant de nombreux cas de pneumonie.
RépondreSupprimerC'est ce dont souffre un des petits-enfants de Sammy Oligar. Le lien avec la pollution de l'air a été établi par un médecin, raconte le démonteur. "La fumée rentrait par notre fenêtre et l'enfant l'inhalait", dit-il à l'AFP.
- "Qu'attendons-nous ?" -
L'ONG Médecins du monde fournit gants, masques et conseils en matière de sécurité aux travailleurs de la rue Onyx. Elle appelle les autorités à reconnaître ceux qui exercent cette activité de façon informelle.
"La santé n'est pas du tout leur priorité. Leur priorité, c'est d'avoir à manger à table", explique à l'AFP Eva Lecat, coordinatrice générale de l'ONG aux Philippines. "Si (leur travail) était légal, reconnu et réglementé, il y aurait des moyens de protéger" les personnes concernées, ajoute-t-elle.
Gelo Apostol souligne que "beaucoup des produits chimiques que l'on retrouve dans les déchets électroniques ont déjà fait l'objet d'études approfondies quant à leurs effets sur la santé". "Qu'attendons-nous? D'avoir des données nationales sur des personnes mortes (...) avant de prendre des mesures?", s'interroge l'universitaire.
Dexter Barsigan dit à l'AFP être inquiet de ne pas être en mesure de se soigner. Il explique éviter les médecins et, à la place, appliquer de la pommade sur ses mains et prendre un analgésique sans ordonnance. En ayant toujours pour objectif de continuer à travailler.
"Si j'arrête de démonter, c'est comme si j'abandonnais aussi l'espoir (d'offrir) une meilleure vie à mes enfants."
https://www.francesoir.fr/societe-sante/au-prix-de-leur-sante-des-philippins-demontent-des-ordinateurs-pour-s-offrir-manger
Les médecins charlatans de l'American Medical Association (AAP) veulent mettre fin aux exemptions de vaccination religieuses pour tous les enfants, car les enfants malades et vaccinés sont leurs vaches à lait.
RépondreSupprimer31/07/2025
S.D. Wells
Le complexe industriel des vaccins veut éliminer toute excuse pour ne pas se faire vacciner contre la dépopulation, surtout pendant les pandémies de Covid-19. Prenons l'exemple de l'Académie américaine de pédiatrie (AAP) : elle a publié une nouvelle déclaration de principe appelant à la suppression des exemptions de vaccination religieuses et philosophiques pour les enfants scolarisés en garderie et à l'école aux États-Unis.
Publiée dans la revue Pediatrics, la position de l'AAP souligne que seules les exemptions médicales légitimes devraient être autorisées, invoquant la nécessité de maintenir des environnements scolaires sûrs et des taux de vaccination élevés. L'organisation soutient que l'autorisation d'exemptions non médicales porte atteinte à la santé publique et contribue à la baisse des taux de vaccination à l'échelle nationale.
L'Académie américaine de pédiatrie (AAP) a appelé à la suppression des exemptions vaccinales pour raisons religieuses et philosophiques concernant la fréquentation scolaire et de la garderie, arguant que seules les exemptions médicalement nécessaires devraient être autorisées pour protéger la santé publique.
La déclaration de politique actualisée de l'AAP fait état de préoccupations concernant la baisse des taux de vaccination et souligne que les exemptions non médicales compromettent l'immunité collective ; actuellement, 45 États américains autorisent les exemptions religieuses et 15 les exemptions philosophiques.
Les critiques, notamment des professionnels du droit et de la santé, affirment que cette mesure viole les libertés religieuses constitutionnelles et les droits parentaux, citant l'arrêt Mahmoud c. Taylor de la Cour suprême des États-Unis de 2025, qui a confirmé un examen rigoureux des politiques portant atteinte aux croyances religieuses. L'opinion publique évolue : un sondage réalisé en 2025 montre que le soutien aux exemptions religieuses a presque doublé depuis 2019, tandis que la position de l'AAP a relancé les débats sur le consentement éclairé, la sécurité des vaccins et la confiance dans les institutions de santé publique.
L'Académie américaine de pédiatrie veut mettre fin aux exemptions religieuses pour les vaccins
RépondreSupprimerLe Dr Jesse Hackell, auteur principal de la déclaration, a affirmé que la participation à l'éducation publique devrait être conditionnée à la vaccination, assimilant le refus de se faire vacciner à une exclusion volontaire de ces établissements. Tout en reconnaissant que l'exclusion des enfants non vaccinés de l'école présente des défis, il a soutenu que la santé et la sécurité publiques l'emportent sur ces préoccupations.
Actuellement, les 50 États américains, le District de Columbia et Porto Rico exigent la vaccination pour fréquenter l'école ou la garderie, les exemptions médicales étant universellement reconnues. Cependant, 45 États autorisent les exemptions religieuses et 15 autorisent les objections philosophiques ou de conscience. Seuls cinq États – la Californie, le Connecticut, le Maine, New York et la Virginie-Occidentale – ont supprimé les exemptions non médicales. Le Massachusetts envisage actuellement une législation similaire.
L'AAP affirme que les exemptions médicales, telles que les allergies graves ou les troubles du système immunitaire, n'ont pas d'impact significatif sur la couverture vaccinale globale. En revanche, les larges exemptions pour raisons religieuses ou de convictions personnelles en ont un, contribuant à la baisse des taux de vaccination.
Les critiques affirment que la proposition de l'AAP porte atteinte aux libertés religieuses, protégées par la Constitution. Kim Mack Rosenberg, avocate générale de Children's Health Defense, soutient que cette politique constituerait une discrimination effective à l'encontre des familles religieuses. Elle a souligné que contraindre les familles à choisir entre l'éducation et les valeurs religieuses viole leurs droits.
Le Dr Michelle Perro, pédiatre et auteure, a défendu la nécessité de maintenir les exemptions religieuses et philosophiques. Elle a évoqué des préoccupations éthiques concernant les ingrédients des vaccins dérivés de lignées cellulaires de fœtus avortés et a souligné les risques potentiels pour la santé liés aux adjuvants vaccinaux tels que l'aluminium et le polysorbate 80. Perro a également critiqué le Programme national d'indemnisation des victimes de vaccins (VICP), qui exonère les fabricants de toute responsabilité, laissant les familles sans recours juridique.
Le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., a fait écho à ces préoccupations dans une publication sur les réseaux sociaux, s'engageant à réformer le VICP et à garantir une indemnisation équitable des personnes victimes de vaccins.
L'AAP a cité des décisions judiciaires historiques pour justifier la vaccination obligatoire, notamment des affaires de 1905, 1922 et 1944. Cependant, l'avocate spécialisée dans les droits civiques, Sujata Gibson, a rappelé l'arrêt Mahmoud c. Taylor de la Cour suprême des États-Unis de 2025, qui a réaffirmé le droit fondamental des parents à élever leurs enfants conformément à leurs convictions religieuses. En vertu de cet arrêt, toute politique gouvernementale portant atteinte à ces droits doit faire l'objet d'un examen rigoureux, une norme que la politique proposée par l'AAP pourrait ne pas respecter.
Le soutien du public aux exemptions religieuses a augmenté ces dernières années. Une enquête de l'Annenberg Public Policy Center de 2025 a montré que ce soutien avait doublé depuis 2019 : 39 % des Américains soutiennent désormais les exemptions religieuses et seulement 52 % soutiennent la vaccination obligatoire pour la scolarité.
RépondreSupprimerL'AAP a reconnu qu'aucune grande religion mondiale n'interdit explicitement la vaccination, mais a admis que de nombreuses personnes ont des croyances sincères ancrées dans des interprétations religieuses indépendantes ou non traditionnelles. Néanmoins, l'organisation a jugé ces affirmations trop complexes pour être interprétées efficacement dans les politiques publiques, affirmant que la santé publique doit primer.
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Sources for this article include:
Pandemic.news
NaturalNews.com
ChildrensHealthDefense.org
https://www.naturalnews.com/2025-07-31-quack-doctors-want-end-vaccine-exemptions-children.html
L'ivermectine réduit les cas de paludisme de 26 % chez les enfants kenyans, prouvant ainsi son innocuité et son efficacité tout en dévoilant les mensonges des médias.
RépondreSupprimer31/07/2025
Cassie B.
Une nouvelle étude montre que l'ivermectine réduit les cas de paludisme de 26 % chez les enfants kenyans, prouvant ainsi son innocuité et son efficacité.
L'essai, mené auprès de 20 000 participants, a révélé que l'ivermectine tue les moustiques vecteurs du paludisme lorsqu'ils piquent les personnes traitées.
Les agences de santé et les médias ont faussement qualifié l'ivermectine de dangereuse pendant la COVID-19, malgré son bilan de sécurité récompensé par un prix Nobel.
La résistance des moustiques aux insecticides fait de l'ivermectine un nouvel outil crucial dans la prévention du paludisme.
L'étude met en lumière les fausses informations du passé tout en soulignant le potentiel de l'ivermectine pour sauver des vies à l'échelle mondiale. Une étude révolutionnaire publiée dans le New England Journal of Medicine a confirmé que l'administration massive d'ivermectine réduit de 26 % les cas de paludisme chez les enfants kenyans, sans effets secondaires graves.
L'essai randomisé, mené auprès de plus de 20 000 participants, démontre que ce médicament antiparasitaire tue les moustiques vecteurs du paludisme lorsqu'ils se nourrissent sur les individus traités, offrant ainsi un nouvel outil puissant contre une maladie qui fait près de 600 000 victimes chaque année. Cette révélation met en lumière l'hypocrisie des agences gouvernementales de santé et de leurs alliés, qui ont qualifié à tort l'ivermectine de « dangereuse » pendant la pandémie de COVID-19, tout en occultant ses bienfaits avérés et vitaux.
L'étude qui a fait taire les sceptiques
L'essai BOHEMIA, mené par l'Institut de Barcelone pour la santé mondiale (ISGlobal), a permis d'administrer de l'ivermectine (400 µg/kg) mensuellement pendant trois mois aux communautés du comté de Kwale, au Kenya, une région où la transmission du paludisme est élevée et où l'utilisation de moustiquaires est répandue. Les résultats étaient indéniables : les enfants du groupe traité à l'ivermectine ont constaté une réduction de 26 % des infections palustres par rapport au groupe témoin ayant reçu de l'albendazole.
« Nous sommes ravis de ces résultats », a déclaré le Dr Carlos Chaccour, co-investigateur principal de l'étude. « L'ivermectine s'est révélée très prometteuse pour réduire la transmission du paludisme et pourrait compléter les mesures de lutte existantes. Grâce à des recherches continues, l'administration massive d'ivermectine pourrait devenir un outil efficace de lutte contre le paludisme et même contribuer aux efforts d'élimination.»
RépondreSupprimerAucun effet indésirable grave n'a été signalé, ce qui déconstruit le mythe selon lequel l'ivermectine serait dangereuse, un mensonge perpétué par l'administration Biden et ses complices médiatiques lorsque les Américains cherchaient à obtenir ce médicament contre la COVID-19.
La tromperie des médias et du gouvernement dévoilée
Pendant la pandémie, l'ivermectine a été diabolisée comme un « vermifuge pour chevaux » par des médias comme CNN et le Washington Post, tandis que la FDA a absurdement mis en garde les Américains contre son utilisation, malgré son historique de médicament humain sûr, récompensé par un prix Nobel. Pendant ce temps, les grandes entreprises pharmaceutiques ont fait la promotion de vaccins coûteux et inefficaces, ainsi que du remdesivir, un médicament aux effets secondaires mortels.
Ce même médicament, dont elles se moquaient, s'avère aujourd'hui révolutionnaire dans la lutte contre le paludisme. « Cette recherche a le potentiel de façonner l'avenir de la prévention du paludisme », a déclaré le Dr Regina Rabinovich, directrice de l'Initiative pour l'élimination du paludisme d'ISGlobal.
Les résultats de l'étude concordent avec les critères de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour les nouvelles interventions contre le paludisme. Pourtant, les mêmes organismes de santé mondiaux qui ont rejeté l'ivermectine pour la COVID-19 sont désormais contraints de reconnaître son potentiel salvateur.
Une arme contre la résistance aux insecticides
La lutte contre le paludisme est en crise. Les moustiques sont devenus résistants aux insecticides utilisés dans les moustiquaires et les sprays d'intérieur, ce qui rend les outils traditionnels moins efficaces. L'ivermectine offre une solution innovante : lorsque les moustiques piquent les personnes traitées, le médicament les tue, brisant ainsi le cycle de transmission.
Au-delà du paludisme, l'ivermectine a apporté des bénéfices inattendus en matière de santé publique, réduisant les infestations de gale, de poux et de punaises de lit dans les communautés traitées. Pourtant, alors que l'Afrique récolte ces bénéfices, les élites occidentales continuent de réprimer le médicament pour préserver les profits de l'industrie pharmaceutique.
Les mêmes médias qui ont diffamé l'ivermectine ignorent désormais cette étude. Pourquoi ? Parce qu'elle révèle que leur propagande de l'ère de la COVID-19 est une fraude.
La science a donné raison à l'ivermectine... une fois de plus. Alors que les gouvernements et les médias corrompus ont menti, des preuves concrètes prouvent son innocuité et son efficacité. Cette étude n'est pas seulement une avancée majeure dans la lutte contre le paludisme ; c'est une condamnation accablante de la tyrannie médicale qui a privé les patients de l'accès à un médicament vital.
RépondreSupprimerLa question est maintenant de savoir si l'OMS, les CDC et la FDA présenteront des excuses pour leur tromperie mortelle. Ne retenez pas votre souffle !
Sources de cet article :
TheEpochTimes.com
Cidrap.UMN.edu
SciTechDaily.com
ScienceDaily.com
https://www.naturalnews.com/2025-07-31-ivermectin-cuts-malaria-kenyan-children-safety-efficacy.html
Retombez-vous l'un de ces pièges cachés de l'eau ?
RépondreSupprimerLa plupart des gens se font berner par au moins un.
26 juillet 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwestern Doctor. Les principaux détails ont été rationalisés et éditorialisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport initial ici.
Toutes les eaux ne sont pas égales. Certains te guérissent. Certains vous empoisonnent silencieusement.
Si votre santé se sent bien que tout a été « juste », le problème pourrait être dans votre eau.
La plupart des gens tombent pour au moins un de ces pièges à eau cachés.
Es-tu tout en train de faire tout ?
Ces informations proviennent du travail de chercheur en médecine. Un Docteur du Midwest
. Pour toutes les sources et tous les détails, lire le rapport complet ci-dessous.
Quelle eau devez-vous boire ?
Toutes les eaux ne sont pas égales. Ce rapport expose la science oubliée avec une clarté choquante. Lire plus..
Au fil des ans, les « experts » de l’eau ont vendu des filtres miracles, des erergizers, des ioniseurs, des cruches alcalines, et bien plus encore.
Mais la plupart d'entre eux ne sont qu'un battage publicitaire, parfois assez cher.
La vérité est simple : de l'eau guérit, et de l'eau endommage.
Après des décennies à travailler en médecine holistique, Un Docteur du Midwest
l'a bouilli jusqu'à ce qui fonctionne réellement - et ce qui pourrait causer plus de dommages que vous ne le pensez.
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Commençons par les meilleurs : Osmose inverse (RO)
Pourquoi RO est-il le meilleur ? Parce qu'il enlève les choses que vous ne voulez jamais boire - le fluorure, le chlore, l'aluminium, et beaucoup d'autres toxines.
Et le plus important, c'est qu'il aide à restaurer quelque chose dont tout le monde a besoin, mais la plupart des gens n'ont même jamais entendu parler de...
Potentiel zêta.
Le potentiel zêta est le champ de force électrique de votre corps.
Il maintient les fluides qui s'écoulent librement au lieu de s'aggluter dans ce qui est essentiellement de boue.
Perdez votre potentiel en zêta et vous présentez un risque :
- Caillots sanguins
- Accidents vasculaires cérébraux
Microcours
- Inflammation chronique
Brouillard de cerveau
Maladies mystérieuses
Je ne sais pas pour vous, mais j'ai le sentiment que beaucoup de gens ont besoin d'améliorer leur potentiel zêta.
RépondreSupprimerMais au lieu d'apporter des changements simples comme l'amélioration de l'eau qu'ils boivent, ils font sauter des pilules.
Devinez ce qui détruit le potentiel zêta ?
Aluminium.
Devinez qu'est-ce qui peut souvent contenir de l'aluminium ?
Eau. Eau en conserve et eau de source avec trop de minéraux dissous, pour être précis.
Nous sommes également exposés à l'aluminium via des vaccins, des ustensiles de cuisine, des additifs dans le sel de table, le déodorant, et plus encore.
Les gens ont littéralement souffert d'accidents vasculaires cérébraux après avoir mangé de la nourriture cuite en aluminium. Ensuite, ils se rétablissent après avoir changé d'eau potable et d'ustensiles de cuisine sûrs.
Si vous cherchez des conseils sur le type de filtre à eau à acheter, quel type d'eau acheter quand vous voyagez, et même quel ustensile de cuisine vous devez utiliser, souscrivez-vous Un Docteur du Midwest
pour tous les détails.
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Le potentiel zêta n'est pas la seule raison pour laquelle l'osmose inverse est le gagnant en matière d'eau.
Il élimine également les toxines comme le fluor et l'aluminium, et il désionise l'eau, ce qui améliore l'hydratation des cellules.
Les buveurs d'eau RO rapportent qu'il fait juste bien de boire.
Bien sûr, l'industrie de l'eau déteste cela. Oui, l'industrie de l'eau.
Les systèmes RO ne sont ni flashy ni à la mode.
Au lieu de cela, l'industrie pousse toutes sortes de choses à vous garder dépenser de l'argent tout en ne comprenant jamais ce dont vous avez besoin - des bouteilles d'eau en aluminium (qui lixivient des métaux nocifs), de l'eau alcaline (qui peuvent perturber la digestion) et des dispositifs d'eau hydrogénée qui surpromettent et sous-répartissent.
L'eau de l'hydrogène a un certain mérite.
Certains athlètes jurent par elle – et il y a une vraie science derrière ses avantages.
Mais si vous voulez commencer simplement par RO.
Rien d'autre ne s'approche.
Vous dites probablement, mais qu'en est-il de l'eau de source, n'est-ce pas le meilleur ?
Non. Il est préférable de le sauter complètement.
Vous avez bien lu.
L'eau de source douce peut être bonne, mais à long terme, elle pose souvent des problèmes.
L'eau de printemps contient des niveaux élevés de minéraux chargés positivement qui font exploser votre potentiel zêta.
Certaines personnes ont développé des arythmies cardiaques simplement en buvant trop longtemps d'eau de source.
L’eau de source peut sembler « naturelle », mais la qualité varie énormément, et les risques sont réels.
Le stockage de l'eau de source dans le plastique ruine sa vitalité.
Et le stocker dans de l'aluminium est encore pire.
RépondreSupprimerMême stocker de l'eau pendant trop longtemps la tue.
Si vous allez acheter ou stocker votre eau, allez avec du verre.
Filtrer votre eau potable est un excellent moyen de prendre soin de votre santé.
Mais ce n'est pas seulement votre eau potable qui est importante.
Voici quelque chose que presque personne ne vous dit : votre douche pourrait faire plus de dégâts que vous savez.
Lorsqu'elle est chauffée, l'eau chlorée libère du gaz que vous inspirez Il irrite vos poumons, votre gorge et votre peau.
Et votre peau absorbe ce qu'elle touche. Le faire la faire prendre en eau moins qu'idéale chaque jour pourrait faire des ravages.
Un filtre à chlore pour votre douche est une solution super bon marché et facile. Chaque maison devrait en avoir un.
Les patients sensibles, en particulier les chanteurs, signalent un soulagement massif après le passage à des douches déchlorées.
Leurs symptômes disparaissent. Leurs voix reviennent. Leur peau s'améliore.
C'est l'un des piratages de santé les plus sous-estimés, et ça ne coûte presque rien.
Parce que le RO enlève les minéraux de l'eau, vous aurez envie de compléter le magnésium.
En plus de cela, la plupart des aliments modernes sont déficients en magnésium. Perdre encore plus d'eau par l'eau RO peut provoquer des douleurs musculaires, des arythmies cardiaques et de la fatigue.
Les meilleures formes de magnésium sont le thréonate, le malate, l'orotate ou le citrate.
Sauver l'oxyde.
Si vous avez déjà fait des recherches sur la filtration de l'eau, vous avez probablement remarqué que RO a quelques critiques.
Alors qu'en est-il des grandes revendications « gotcha » contre elle ?
"Il gaspille de l'eau" - Eh bien, la plupart des systèmes RO gaspillent environ 10 L par jour. C'est égal à environ un bouffon d'une toile. C'est un problème non.
« Il chasse les toxines à partir de plastique » - C'est vrai, tout comme des bouteilles d'eau. Alors, stockez-le dans du verre. Simple.
Ne tombez pas dans la tactique de la peur.
Le concept unique qui lie tout cela est le potentiel zêta.
C'est comme ça que votre corps maintient l'écoulement des fluides, les cellules chargées et la circulation claire.
Selon le médecin, la protéine du pic de COVID est remplie de séquences chargées positivement, causant des ravages sur le potentiel zêta.
Ce n'est pas un hasard.
RépondreSupprimerLes vaccins contiennent également des adjuvants en aluminium qui endommagent le potentiel zêta.
Cela peut expliquer :
Microcours
- Problèmes liés aux nerfs du visage
- Fatigue chronique
- Blessures neurologiques post-vax
Restaurer le potentiel zêta - et les symptômes s'améliorent souvent.
En plus de l'eau RO, qu'est-ce qui soutient le potentiel zêta sain?
- Mise à la terre (à la terre)
- Éviter l'aluminium
- Se débarrasser de la malbouffe positivement de votre régime alimentaire
- Minimiser le stress sur vos reins (qui régulent l'équilibre des charges)
Tout est connecté.
Le rapport complet expose cette science oubliée avec une clarté choquante.
Apprenez pourquoi certaines eaux vous font vous sentir incroyable - et pourquoi d'autres épuisent discrètement votre santé.
Vous ne regarderez plus jamais l'eau en bouteille de la même façon.
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Parlons maintenant de la tendance de l'eau en conserve.
Ces boîtes sont poussées durement sur des « marchés captifs » - comme les aéroports et les avions - où vous ne pouvez pas apporter votre propre eau.
Southwest Airlines ? Toutes les bouteilles en aluminium. La plupart des aéroports ? C'est la même histoire.
Les risques pour la santé ? Non examiné. Pas même un coup de poing.
Alors, pourquoi font-ils ça ?
L'eau en aluminium est vendue comme une option écologique « de luxe », comme beaucoup de choses en ce moment.
Mais en coulisses, la production d'aluminium consomme beaucoup d'énergie, elle s'infiltre dans l'eau, et elle met en place des gens pour les catastrophes sanitaires - en faisant des clients tout au long de la vie de Big Pharma.
Personne ne met en garde le public.
Voulez-vous la décomposition complète de ce qu'il faut boire, quoi éviter et quels produits il utilise réellement?
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Les interdictions liquides dans les aéroports font toutes partie d'un programme plus approfondi.
Ils ont poussé les ventes de boissons, renforcé la conformité et normalisé les restrictions et la surveillance.
Près de 20 ans plus tard, les gens pensent que les bouteilles en aluminium sont « premium ».
Mais ils sont peut-être l'option la plus toxique sur l'étagère.
L'eau que vous buvez façonne votre santé plus que vous ne le pensez.
RépondreSupprimerL'osmose inverse est la meilleure
- L'eau de printemps et d'alcaline présente des risques
Les filtres de douche sont un must - et ils sont bon marché
L'aluminium est une menace silencieuse, en particulier dans les bouteilles, les ustensiles de cuisine et les vaccins.
Protégez votre potentiel zêta. Cela pourrait vous sauver la vie.
https://www.vigilantfox.com/p/are-you-falling-for-one-of-these?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=168826542&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Prestations familiales : des dépenses en forte hausse pour des résultats incertains
RépondreSupprimer25 juillet 2025
Lorenzo Delpech
Selon une étude du 21 juillet 2025 d’Eurostat, en 2022, les pays membres de l’Union européenne ont consacré en moyenne 830 euros par habitant aux prestations familiales. Cela représente une hausse de 46,7 % en dix ans, puisque ce montant s’élevait à 566 euros en 2012. En France, cette dépense est supérieure à la moyenne européenne, avec environ 850 euros par habitant. En comparaison, l’Allemagne affiche un effort budgétaire bien plus important, atteignant environ 1 900 euros par habitant, ce qui en fait le troisième pays le plus généreux de l’Union européenne en la matière.
L’INSEE définit les prestations familiales de la manière suivante : « les prestations familiales sont des prestations sociales dont l’objet est d’apporter aux familles une aide compensant partiellement les dépenses engagées pour la subsistance et l’éducation des enfants ».
Pourtant, cette ambition se heurte à une réalité plus complexe. Toujours selon Eurostat, un quart des enfants européens (25 %) étaient menacés de pauvreté ou d’exclusion sociale en 2022, un taux qui n’a pratiquement pas évolué depuis 2012. Et bien que les Pays-Bas, Chypre et le Portugal soient les trois pays consacrant la plus faible part de leurs dépenses sociales aux prestations familiales en Europe (4,6 % pour Chypre, 4,7 % pour les Pays-Bas et 5,3 % pour le Portugal), le niveau de menace de pauvreté infantile y demeure largement inférieur à la moyenne européenne (environ 17 % pour Chypre, 8 % pour les Pays-Bas et 21 % pour le Portugal).
En France, la proportion d’enfants menacés de pauvreté ou d’exclusion sociale est plus élevée que la moyenne de l’Union européenne, atteignant environ 28 %, contre environ 24 % en Allemagne. Quant aux familles monoparentales françaises, qui représentent aujourd’hui 25 % des foyers, elles sont particulièrement vulnérables : selon l’Observatoire des inégalités, le taux de pauvreté des familles monoparentales est passé de 17,3 % à 19,2 % entre 1996 et 2022. De plus, selon l’INSEE, le niveau de vie des familles monoparentales est 29 % plus faible que la moyenne française, « en dépit des prestations familiales spécifiques qui leur sont attribuées » (citation INSEE).
Autre objectif traditionnel des prestations familiales : soutenir la natalité. Force est de constater que, là aussi, en France, l’objectif n’est pas atteint. En mai 2025, la France a franchi un seuil historique : selon une étude de François Geerolf, basée sur des chiffres de l’INSEE, le nombre de décès a dépassé celui des naissances pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale. Plus précisément, sur 12 mois, le nombre de décès est de 651 200 en France, contre un nombre de naissances de 650 400.
Alors qu’Emmanuel Macron évoquait récemment un « réarmement démographique », il faut se rendre à l’évidence : malgré leur coût croissant pour les finances publiques, les ^prestations sociales ne remplissent que partiellement leur promesse sociale et n’encouragent guère la natalité. Encore un exemple qui montre que l’État-nounou pro-égalitariste n’est pas une solution pour sortir les gens de la pauvreté. L’IREF propose depuis des années un recentrage des prestations pour une meilleure efficacité.
https://contrepoints.org/prestations-familiales-des-depenses-en-forte-hausse-pour-des-resultats-incertains/
L'indice de pauvreté est dépassé par les immigrants qui ont fait des milliers de kilomètres en avion, train ou voiture pour venir voler et tuer la population locale.
SupprimerLes décès viennent de dépasser les naissances en France, une première depuis la Seconde Guerre mondiale
RépondreSupprimerle 30 juillet 2025
par pgibertie
« C’est une nouveauté que de basculer du côté négatif », note auprès de l’Agence Radio France Julien Damon, démographe et ancien directeur des études de la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf). « Il y a eu une accélération du changement démographique, poursuit-il. Cette bascule était prévue par l’Insee pour 2035, donc on a pris dix ans d’avance. C’est dire combien la baisse de la fécondité est importante. » La France hexagonale connaissait déjà depuis quelques années un déficit de naissances par rapport aux décès. « La transformation, c’est que, désormais, cela concerne la France au total, en comptant les Outre-mer », selon Julien Damon.
Silencer radio sur les causes:
la propagande escrologiste et wokiste sur les malheurs de la planète
l’appauvrissement provoqué par les normes , les impôts de la transition escrologiste
la pénurie de logement provoquée par les normes escrologistes
l’insécurité et la peur de danger géopolitique
les dégâts de l’ARNm
l’épidémie d’autisme post vaccinal
la crise de l’école
- voir graph sur site :
https://pgibertie.com/2025/07/30/les-deces-viennent-de-depasser-les-naissances-en-france-une-premiere-depuis-la-seconde-guerre-mondiale/
La Ceinture de Feu s'éveille : Un séisme géant dans le Pacifique a déclenché un tsunami, puis le plus haut volcan d'Eurasie entre en éruption.
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 31 JUILLET 2025 - 5H00
Un tsunami déclenché par un violent séisme sous-marin au large de la côte est de la Russie, qui a touché Hawaï, l'Alaska et la côte ouest des États-Unis dans la nuit, a provoqué l'éruption du volcan le plus haut et le plus actif d'Eurasie, situé sur la péninsule du Kamtchatka.
Le média russe Tass News a déclaré que le séisme de magnitude 8,7 qui a frappé le Kamtchatka en Russie était le « plus fort séisme depuis 1952 ». Il a cité l'Académie des sciences de Russie, qui a indiqué que le volcan Klyuchevskaya Sopka était entré en éruption peu après le séisme.
« En ce moment même, le volcan Klyuchevskaya Sopka est en éruption », a écrit l'agence fédérale russe dans un message accompagné d'une photographie de l'éruption.
Informations clés sur le Klyuchevskaya Sopka :
Altitude : 4 750 mètres (15 580 pieds)
Type : Stratovolcan (à flancs abrupts et symétrique)
Localisation : Kamtchatka oriental, partie de la « ceinture de feu » du Pacifique
Activité volcanique : L'un des volcans les plus actifs au monde, avec de fréquentes éruptions enregistrées depuis le XVIIe siècle
Dernière éruption : L'activité volcanique est constante, les éruptions les plus récentes se produisant généralement à quelques années d'intervalle
Formation : Sa formation remonterait à environ 7 000 ans
Plus d'images de l'éruption :
🚨🇷🇺 🌋 UN VOLCAN ENTRE EN ÉRUPTION AU KAMCHATKA, EN RUSSIE, APRÈS LE PLUS PUISSANT SÉISME
L'éruption du Klyuchevskaya Sopka a commencé peu après un puissant séisme qui a frappé le Kamtchatka, dont les répliques secouent encore la région. pic.twitter.com/JsSmE4Sa0B
— Sputnik (@SputnikInt) 30 juillet 2025
Suite à un tremblement de terre au Kamtchatka, le volcan Klyuchevskaya Sopka est entré en éruption.
Le Klyuchevskaya Sopka est le plus haut et l'un des volcans les plus actifs d'Eurasie (4 750 m), situé au Kamtchatka. pic.twitter.com/hwGSwrdPpD
— Visegrád 24 (@visegrad24) 30 juillet 2025
Le séisme déclencheur du tsunami et l'éruption volcanique résultent tous deux de mouvements tectoniques le long de la ceinture de feu du Pacifique, notamment de la subduction de la plaque Pacifique sous la plaque d'Okhotsk. Cela suggère un important phénomène de relâchement des contraintes dans la croûte terrestre.
Ce type d’événements se succédant rapidement pourrait indiquer une redistribution régionale plus importante des contraintes, augmentant le risque de séismes ou d’éruptions supplémentaires dans les failles ou les volcans adjacents (par exemple, dans les îles Aléoutiennes, les îles Kouriles ou même au Japon).
https://www.zerohedge.com/weather/ring-fire-awakens-pacific-megaquake-first-sparked-tsunami-now-eurasias-tallest-volcano
Fallait s'y attendre ! Si çà sorte par ici çà sort là-bas ! C'est ainsi que fonctionne la masse ferrique incandescente appelée magma qui est une 'cocotte-minute' qui dégaze de temps à autre.
SupprimerDonc, si la chaleur sort à ce volcan Pacifique elle n'est plus tentée de sortir en Méditerranée où les courants maritimes apportes des remontées d'eau froide à la côte d'azur.
10 exemples qui montrent que notre société est en train de sombrer dans la folie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 30 JUILLET 2025 - 22H45
Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
On dit qu'il n'existe aucun remède contre la folie. Si c'est vrai, nous sommes dans une situation très délicate. Quand j'étais enfant, les fous étaient en marge de notre société. Aujourd'hui, ce sont les gens normaux qui sont mis à l'écart. Si vous pensez que j'exagère, regardez autour de vous. Une grande partie de la population se comporte littéralement comme des fous. Nous avons tous ri à la sortie d'« Idiocracy » en 2006, tellement il était absurde, mais rétrospectivement, ce film était avant tout un avertissement sur ce qui allait arriver. Ces 20 dernières années, notre société a été complètement bouleversée. Les fous dirigent l'asile, et nombre d'entre eux se déchaînent de manière sauvage et imprévisible.
Si vous pensez que je suis trop dur, veuillez lire la suite de cet article. J'aimerais vraiment exagérer, mais ce n'est pas le cas. Voici 10 exemples qui montrent que notre société est en train de sombrer dans la folie…
#1 Rejoindriez-vous un « club de cris » ? À Chicago, un très grand groupe de personnes progressistes se réunit même le dimanche soir à 19 h pour hurler à tue-tête…
Le Scream Club Chicago a trouvé une façon originale de se défouler et de se simplifier la vie.
Le groupe se réunit sur la jetée de North Avenue Beach tous les dimanches à 19 h, où les participants respirent profondément et hurlent collectivement à l'air libre au-dessus du lac Michigan.
Le groupe a été créé par Manny Hernande, un coach en respiration profonde qui cherchait un exutoire pour gérer son stress. Il a invité d'autres personnes à se joindre à lui pour ce rituel de cris sur les réseaux sociaux. Aujourd'hui, ces séances de thérapie hebdomadaires gagnent en popularité.
#2 Aux États-Unis aujourd'hui, le fou violent qui marche à côté de vous peut craquer à tout moment. Dans un Walmart du Michigan, un homme qui faisait ses courses au rayon épicerie a soudainement sorti un couteau et a commencé à poignarder les gens…
« C'était un homme armé d'un couteau ; les gens criaient et couraient dans tous les sens », a raconté Tasha Nash, une employée de Walmart. « J'ai vu quelqu'un poignardé à l'œil. »
Amber Paull, une autre cliente, a décrit l'agresseur comme un étranger qui a « perdu les pédales » et a commencé à attaquer au hasard les gens au rayon fruits et légumes. « Un Afro-Américain a fait un geste héroïque : il a dégainé son pistolet et a tenté d'arrêter l'agresseur », a raconté Paull. « Mais les gens ont alors commencé à crier, et le suspect a réussi à se faufiler dans la foule.»
#3 On compte plus d'un demi-million de victimes de maltraitance infantile aux États-Unis. Un cas récent en Floride a été particulièrement horrifiant…
RépondreSupprimerQuatre adultes ont été arrêtés après avoir été accusés d'avoir abusé de neuf enfants à leur domicile en Floride, les enfermant dans du contreplaqué sous un lit superposé et les aspergeant de vinaigre au visage en guise de punition, ont annoncé les autorités vendredi.
Le couple Brian et Jill Griffeth, ainsi que Dallin, 21 ans, et Liberty Griffeth, 19 ans, ont été arrêtés et inculpés de maltraitance aggravée sur enfant, a indiqué le bureau du shérif du comté de Columbia dans un communiqué vendredi.
Les quatre adultes sont soupçonnés d'avoir abusé de cinq enfants biologiques et quatre enfants adoptés, âgés de 7 à 16 ans, à leur domicile de Fort White, en Floride, à environ 56 kilomètres au nord-ouest de Gainesville, a indiqué le bureau du shérif.
#4 Certains districts scolaires paient désormais les enfants pour qu'ils viennent à l'école, car l'absentéisme chronique est devenu si répandu…
Les enseignants tentent d'inciter les élèves à venir à l'école, certains districts allant même jusqu'à rémunérer les élèves pour leur présence.
D'autres ont encouragé les enseignants à prendre en compte la présence dans les notes ou à limiter le nombre de devoirs réalisables en ligne, rapporte le Boston Globe.
Selon les derniers chiffres du Département de l'Éducation (DoE), vingt États ont signalé que plus de 30 % de leurs élèves avaient manqué au moins trois semaines de cours en 2022-23.
#5 Les savants fous se croient en droit de « jouer à Dieu » sans notre permission. Par exemple, il n'y a pas si longtemps, un groupe de savants fous de la côte ouest a tenté de mener une expérience de géo-ingénierie non autorisée dans la baie de San Francisco, visant à atténuer l'intensité du soleil…
RépondreSupprimerLes détails contenus dans les demandes de financement, courriels, SMS et autres documents obtenus par E&E News de POLITICO soulèvent de nouvelles questions sur une initiative secrète, soutenue par des milliardaires, qui a supervisé la brève expérience de géo-ingénierie solaire menée l'année dernière dans la baie de San Francisco.
Elles offrent également un aperçu rare de l'ampleur des recherches visant à trouver des solutions au réchauffement climatique, des travaux qui se sont souvent déroulés à l'abri des regards. Ces recherches suscitent un intérêt croissant à l'heure où les efforts visant à s'attaquer à la cause profonde du changement climatique – l'utilisation des énergies fossiles – connaissent des revers aux États-Unis et en Europe. Mais l'idée d'une intervention humaine sur la météo et le climat a suscité des réactions politiques négatives et alimenté des théories du complot, ce qui complique la mise en place de tests, même à petite échelle.
L'expérience de l'année dernière, menée par l'Université de Washington et prévue pour durer des mois, a duré une vingtaine de minutes avant d'être interrompue par les autorités municipales d'Alameda, qui ont objecté que personne ne les en avait informés au préalable.
#6 On prévoit que le Canada euthanasiera 15 millions de ses citoyens d'ici 2047, et les États-Unis suivent exactement la même voie…
Dans une vidéo récente, Kelsi Sheren, ancienne combattante canadienne, animatrice de l'émission The Kelsi Sheren Perspective et farouche opposante aux politiques canadiennes d'aide médicale à mourir (AMM), a expliqué comment le système de santé canadien, contrôlé par le gouvernement, prévoit euthanasier environ 15 millions de Canadiens entre 2027 et 2047, un chiffre ahurissant justifié par des économies.
Bien que le suicide médicalement assisté aux États-Unis n'ait pas encore atteint les extrêmes alarmants observés au Canada, le mouvement pour une « mort dans la dignité » s'efforce activement de changer la situation. En attendant la signature du gouverneur Hochul sur le projet de loi récemment adopté par l'État de New York, 11 États et Washington D.C. autoriseront cette pratique odieuse et immorale.
#7 Les pires crimes se produisent souvent dans les quartiers les plus aisés. Par exemple, un riche couple chinois de Los Angeles a réussi à séquestrer et à maltraiter 21 enfants avant que les autorités ne finissent par les repérer…
RépondreSupprimerUne maison d'un quartier huppé de Los Angeles a été perquisitionnée par le FBI, ce qui a conduit les autorités à secourir 21 jeunes enfants, dont beaucoup auraient été victimes de maltraitance.
Guojun Xuan, 65 ans, et Silvia Zhang, 38 ans, ont été initialement arrêtés en mai, soupçonnés de mise en danger et de négligence d'enfants, après qu'un bébé de deux mois dont ils avaient la garde a été transporté à l'hôpital local avec un traumatisme crânien.
Les médecins ont constaté que les blessures s'étaient produites environ deux jours auparavant, déclenchant une enquête policière.
#8 Partout aux États-Unis, les grandes villes se transforment en enfers délabrés. Pouvez-vous deviner de quelle grande ville américaine il s'agit dans ces paragraphes ?…
S'exprimant lors d'une réunion publique du Conseil des commissaires de police mardi, Frank Sereno, un habitant de la ville, s'est dit préoccupé par le niveau de criminalité.
Selon KMBC, il aurait déclaré : « Des atteintes aux biens, des véhicules volés, des adolescents qui courent dans le quartier, armés, tirant avec des armes à feu.»
« Ce ne sont pas des délits mineurs innocents. Ce sont des individus très violents qui cherchent à nous faire du mal. Et nous en avons assez de cela », a-t-il ajouté.
Ce n’est pas Los Angeles.
Ce n’est pas San Francisco.
Ce n’est pas New York.
Ce n’est pas Chicago.
La ville décrite dans ces paragraphes est en fait Kansas City.
Je suis assez vieux pour me souvenir de l’époque où Kansas City était encore une ville très civilisée.
#9 Les experts admettent aujourd’hui que plus d’un quart de notre population souffre de troubles mentaux. Selon l'Université Johns Hopkins, environ 26 % des Américains souffrent d'un trouble mental diagnostiquable au cours d'une année donnée…
RépondreSupprimerLes troubles mentaux représentent plusieurs des principales causes d'invalidité dans les économies de marché établies, comme les États-Unis, et dans le monde entier. Ils comprennent : la dépression majeure (également appelée dépression clinique), la maniaco-dépression (également appelée trouble bipolaire), la schizophrénie et le trouble obsessionnel-compulsif.
On estime que 26 % des Américains de 18 ans et plus, soit environ un adulte sur quatre, souffrent d'un trouble mental diagnostiquable au cours d'une année donnée.
De nombreuses personnes souffrent de plusieurs troubles mentaux à la fois. En particulier, les troubles dépressifs ont tendance à coexister avec des troubles liés à la toxicomanie et des troubles anxieux.
Environ 9,5 % des adultes américains de 18 ans et plus souffriront d'un trouble dépressif (dépression majeure, trouble bipolaire ou dysthymie) chaque année.
#10 De nos jours, de nombreux Américains « idéalisent l'apocalypse » simplement parce qu'ils souhaitent que toute cette folie cesse enfin…
Si vous pouviez revenir en arrière et faire revenir l'Amérique à ce qu'elle était dans les années 1950 et 1960, le feriez-vous ?
Même s'il fallait renoncer à nos gadgets électroniques et à une grande partie de nos commodités modernes, beaucoup de gens normaux choisiraient de le faire sans hésiter.
Pourquoi ?
Parce que la vie était tellement plus simple à cette époque, et que les gens étaient vraiment connectés les uns aux autres.
Aujourd'hui, la plupart des gens peuvent compter leurs vrais amis sur les doigts d'une main.
Nous ne sommes pas faits pour rester 10 heures par jour devant un écran.
Et la valeur de nos vies n'a jamais été déterminée par le nombre de « j'aime » que nous obtenons sur Facebook ou Instagram.
Notre mode de vie moderne n'est pas sain.
En fait, il rend littéralement fous nombre d'entre nous.
J'espère que nous choisirons de changer de direction avant qu'il ne soit trop tard.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/10-examples-show-our-society-going-completely-insane
Les sceptiques se rassemblent alors que l'espoir grandit pour la quatrième année consécutive de records coralliens sur la Grande Barrière de Corail
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 1ER AOÛT 2025 - 00H25
Rédigé par Chris Morrison via DailySceptic.org,
Dans les prochains jours, l'Institut australien des sciences marines (AIMS) publiera son rapport annuel sur l'état de la Grande Barrière de Corail (GBR). Pour les alarmistes qui prônent le fantasme du « zéro émission nette », les nouvelles sont désastreuses depuis trois ans, avec des records coralliens enregistrés sur le plus grand récif du monde.
Le désespoir est tel que même des excuses absurdes suggérant qu'il s'agit du mauvais type de corail ont été entendues.
Face à des faits dérangeants, la stratégie habituelle des médias grand public consiste à lancer de terribles avertissements sur un possible effondrement imminent, puis à se taire lorsque les chiffres sensationnels font surface.
Récemment, la BBC nous a offert son « feu de brousse sous-marin » qui ravage les récifs australiens. Hélas, l'Autorité australienne des récifs coralliens (AER) est moins cataclysmique dans ses rapports, notant en juin dernier qu'il n'y avait « aucun stress thermique actuel sur le récif ». Entre le 14 avril et le 31 mai, 342 inspections d'impact ont été réalisées, révélant un blanchissement corallien sur seulement trois des 34 récifs étudiés.
Il faudra attendre un aperçu plus complet de la prochaine étude AIMS 2024/25, mais les détails disponibles laissent présager une nouvelle année prospère pour la Grande Barrière de corail. L'agit-prop de la BBC a fait état de conditions désastreuses sur le récif de Ningaloo, au large de la côte nord-ouest de l'Australie, mais a lié la Grande Barrière de corail à un « superlatif inquiétant ». Des récifs des deux côtés du continent ont blanchi pour ce qui serait la première fois. « C'est comme un violent feu de brousse qui dure depuis des mois maintenant, causant des dégâts sur toute la côte », a déclaré Paul Gamblin, directeur de l'Australian Marine Conservation Society. « C'est un événement absolument dévastateur et les gens sont sous le choc. C'est énorme. C'est sans précédent. C'est absolument anormal. »
On ne comprend pas immédiatement comment la BBC peut être témoin d'un « feu de brousse » sous-marin qui fait rage dans la Grande Barrière de corail. On ne comprend pas non plus comment la BBC peut signaler un blanchissement pour la première fois sur tous les principaux récifs coralliens australiens alors que ce processus est naturel et s'est certainement produit au cours de centaines de millions d'années de développement corallien. La BBC rapporte que les « vagues de chaleur » en Australie font partie de ce que l'on appelle le « quatrième épisode mondial de blanchissement » qui, selon les experts, a balayé de vastes zones du globe, affectant plus de 80 % des récifs coralliens de la planète.
Par ailleurs, dans le monde de l'observation scientifique, la Reef Authority rapporte qu'en juin 2025, la plupart des blanchissements coralliens observés dans la Grande Barrière de corail se situaient à de faibles niveaux, de 1 à 10 %, et se limitaient à la région nord. Aucun blanchissement n'a été observé dans les régions centrale et méridionale. La plus grande menace actuelle semble être l'étoile de mer couronne d'épines, toujours présente sur le récif, dont les infestations touchent plusieurs régions. Les opérations d'abattage se poursuivent. Des baisses de température de l'océan ont été signalées sur l'ensemble du récif, bien qu'elles soient toujours supérieures à la moyenne – une moyenne, bien sûr, basée sur quelques décennies de mesures seulement. Des hausses de température à court terme peuvent provoquer le blanchissement des coraux, mais ceux-ci semblent se rétablir rapidement. Les coraux tropicaux poussent dans des eaux entre 24 °C et 32 °C, et leur croissance est généralement plus rapide dans les mers plus chaudes. Les pics naturels à court terme sont intermittents, laissant derrière eux une traînée de gros titres politisés.
RépondreSupprimerL'enquête annuelle de l'AIMS se déroule généralement jusqu'en juin ; il est donc intéressant d'observer les rapports de l'Autorité du récif au cours de l'année. En février, les températures estivales de la mer ont chuté sur la majeure partie du récif, les enquêtes d'impact ayant montré de faibles niveaux de blanchissement sur la quasi-totalité de la zone. En septembre 2024, les études ont révélé que la plupart des 31 récifs observés « ne présentaient aucun signe de blanchissement corallien, avec très peu de cas de blanchissement mineur signalés dans chaque région ». En octobre, on a constaté que les températures dans le parc marin étaient supérieures d'environ 0,6 °C à la moyenne, mais qu'elles n'atteignaient pas « les niveaux qui provoquent généralement des impacts tels que le blanchissement corallien ».
Le toilettage généralisé des coraux de la Grande Barrière de Corail, autrefois symbole de la psychose climatique de masse, est désormais évident. À l'approche de la troisième année de croissance record de 2024, un faux-semblant opportun est paru dans Nature, affirmant que le « changement climatique » représentait une « menace existentielle » pour la Grande Barrière de Corail. « La science nous dit que la Grande Barrière de Corail est en danger – et nous devons nous en inspirer », a déclaré la professeure Helen McGregor de l'Université de Wollongong à Victoria Gill de BBC News. La menace existentielle est désormais « avérée », a rapporté le Guardian, qui a bredouille. En fait, l'article de Nature s'est appuyé sur des températures indirectes et des modèles climatiques pour suggérer que les températures autour de la vaste zone récifale étaient les plus élevées enregistrées depuis 400 ans.
Votre correspondant a peut-être manqué les articles ultérieurs du Guardian et de la BBC sur les trois années record de croissance corallienne. J'ai demandé de l'aide à Grok, qui m'a répondu : « Je n'ai trouvé aucun article du Guardian et de la BBC indiquant spécifiquement que la Grande Barrière de Corail avait enregistré trois années record de croissance.» Grok a également souligné qu'aucun article n'avait été publié sur les performances de l'année dernière, mais plutôt sur les défis liés au « réchauffement climatique ». Quatre mois seulement avant l'annonce de l'année dernière, le Guardian signalait que la Grande Barrière de Corail traversait son pire été jamais enregistré, avec un blanchissement généralisé.
RépondreSupprimerS'agira-t-il d'une quatrième année record de silence médiatique sur l'incroyable résilience de l'une des plus grandes merveilles du monde naturel ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/mainstream-naysayers-gather-hopes-rise-4th-year-record-coral-great-barrier-reef
Ni le froid actuel depuis des années ni le chaud de l'ancien temps ne peuvent venir à bout des coraux qui se régénèrent au fil des lames de fonds et des courants océaniques qui leurs apportent leurs nutriments.
SupprimerLe gouvernement publie son plan par décret passant outre le parlement, augmente la tva annonce un gaspillage de 8MDS pour 2026 (énergies intermittentes)
RépondreSupprimerle 1 août 2025
par pgibertie
ILS ONT OSÉ déclarer la guerre à notre société. Ils ont osé décider de publier un 1er août, en douce, la feuille de route du décret d’application de la #PPE3 AVANT que le parlement se prononce. En acceptant de fait de doubler VOTRE facture d’électricité. Ils osent gouverner contre les intérêts de la France, contre notre économie, avec mépris. La rupture avec la nation est actée. NOUS ALLONS TOUT OSER – nous les #gueux et nos alliés et les élus se tenant droit – pour imposer un moratoire et le respect de notre République. La société se soude, s’unifie et va retrouver son panache victorieux dès le retour des vacances. Si ce gouvernement de rencontre et sans majorité avait l’idée de signer le moindre contrat au nom de notre peuple, qu’il sache que la colère sera brutale. Fini de rire. Fini de piller. Au boulot 👉🏻 http://lesgueux.fr
@FabienBougle
EFFROYABLE La
@CRE_energie
publie les charges des énergies intermittentes Solaire 211 euros le MWh Éoliennes en mer 185 euros le MWh Éoliennes terrestres 100 euros le MWh Total ENR : 7,8 milliards en hausse de 30% en 2026 La facture va augmenter… Source
@CRE_energie
- voir doc sur site -
https://t.co/AusDt2Kvfu
D’après la Commission européenne l’augmentation de la TVA n’a pas été exigée par elle a la France.
Ce serait donc le gouvernement 🇨🇵 qui aurait décider d’augmenter la facture électrique des français.
https://pgibertie.com/2025/08/01/le-gouvernement-publie-son-plan-par-decret-passant-outre-le-parlement-augmente-la-tva-annonce-un-gaspillage-de-8mds-pour-2026-energies-intermittentes/
Le taux de pauvreté en France augmente, les dépenses de protection sociale également
RépondreSupprimer31 juillet 2025
Jean-Philippe Feldman
Comment se fait-il que le taux officiel de pauvreté s’accroisse dans notre pays, alors même que les dépenses de protection sociale sont au plus haut ?
Libération s’indigne en une des « politiques de restrictions budgétaires annoncées par le gouvernement Bayrou ». Dans les pages qui suivent, Stéphane Troussel, le président socialiste du département de Seine-Saint-Denis, déroule le discours maintenant bien rôdé de la gauche et de l’extrême gauche sur « l’austérité la plus injuste »… qui se traduira par une augmentation des dépenses cette année par rapport à l’année dernière et de l’année prochaine par rapport à cette année !
Mais ce qui retient particulièrement l’attention, c’est le tableau qui illustre l’article intitulé « Face à l’explosion des inégalités, une flopée de mesures insensées ». Il s’agit de l’évolution du taux de pauvreté, à savoir le pourcentage de la population dont le niveau de vie est inférieur à 60 % de la médiane des niveaux de vie, de 1970 à 2023 en France métropolitaine. Le lecteur peut constater que ce taux, à hauteur de 18,2 % en 1970, était inférieur à 15 % à la fin du mandat Giscard, puis jusqu’en 1984, avant d’opérer une remontée au-delà des 16 % en 1996. Les comparaisons sont ensuite délicates car la méthode de calcul a changé pour inclure les revenus financiers et certaines prestations sociales non prises en compte jusque-là. Le taux en 1996 est donc descendu à 14,3 % selon le nouveau mode de calcul, mais il est remonté à 15,4 % en 2024. Il serait évidemment plus important encore avec l’ancienne méthode de calcul.
Il s’agit en fait des données de l’Insee qui ont été dévoilées le 7 juillet dernier sous le titre « Niveau de vie et pauvreté en 2023. Taux de pauvreté et inégalités s’accroissent fortement » (Insee première, n° 2063). Il est toutefois regrettable que Libération ne corrèle pas ces statistiques avec l’étude (23 décembre 2024, mise à jour le 7 mai 2025) de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) qui a pour titre « Les dépenses de protection sociale accélèrent en 2023 en France ». Il en ressort que les dépenses de protection sociale s’élevaient à 31,5 % du PIB en 2023. Sur les 888 milliards d’euros de dépenses, 35 étaient destinées à « la pauvreté et l’exclusion sociale », soit 1,2 % du PIB. La moyenne de l’Union européenne s’élevait à 26,6 % du PIB pour les dépenses de protection sociale, donc presque 5 points de moins que dans notre pays, et à 0,6 % pour les dépenses liées à « la pauvreté et l’exclusion sociale », donc deux fois moins.
Question : comment est-il imaginable que la France, au firmament des dépenses sociales, compte, selon les chiffres officiels, autant de pauvres ? Ne serait-ce pas parce que notre « modèle social que le monde entier nous envie » est un désastre et qu’il faudrait y mettre fin en appliquant les recettes défendues depuis des années par l’Iref (concurrence, privatisation, liberté de choix…) ?
https://contrepoints.org/le-taux-de-pauvrete-en-france-augmente-les-depenses-de-protection-sociale-egalement/
Pa de chahut ! L'immigration de dizaines de millions d'analphabètes 'réfugiés climatiques'.
SupprimerLe climat demande plus d’impôts et de réglementations
RépondreSupprimer31 juillet 2025
Philbert Carbon
L’Institut de l’économie pour le climat (I4CE) est un think tank militant en faveur de « politiques publiques d’atténuation et d’adaptation au changement climatique », largement subventionné par l’État et ses appendices (Caisse des dépôts, Agence française de développement, SNCF, ADEME, etc.). Tout ce qui est étatiste et liberticide a ses faveurs, comme la création d’un service public de l’adaptation au changement climatique.
Ces derniers jours, l’I4CE s’est ému, avec son panorama des financements climats, que pour la première fois « depuis 10 ans, hors crise sanitaire, le montant des investissements “climat” réalisés par les entreprises, les ménages, les collectivités et l’État » ait reculé, en France, de 5% (entre 2023 et 2024). Le think tank s’attend à une stagnation en 2025, à 103 milliards d’euros (Md€) tout de même. Une paille !
Pour Benoît Leguet, le directeur général de l’I4CE, cela est inquiétant car, à ce rythme, la France n’arrivera pas à financer sa neutralité carbone prévue pour 2050. Il a calculé qu’à l’horizon 2030, « les investissements climat doivent progresser de 87 Md€ par rapport au niveau de 2024 », dont 52 Md€ de dépenses publiques.
L’esquisse de budget pour 2026 présenté récemment par le Premier ministre ne doit pas rassurer M. Leguet. La tendance est, en effet, plutôt au ralentissement de la progression des dépenses.
Mais n’oublions que l’I4CE est un think tank. Il a donc des idées. Et il a trouvé la solution pour que l’État ne dépense que 18 Md€ sur les 52 supplémentaires censés être nécessaires « pour répondre au déficit d’investissement climat », soit une économie de 65%.
Comment cela est-il possible ? En agissant sur la fiscalité et la réglementation, pardi ! Certaines dispositions fiscales et autres crédits d’impôts peuvent ainsi être supprimés, les aides peuvent être réservées aux plus modestes, le volume des certificats d’économie d’énergie (CEE) peut augmenter en relevant les niveaux d’exigence exigés des entreprises, les taxes sur le gaz peuvent être alignées sur celles de l’électricité, les obligations pesant sur les entreprises en matière de flotte automobile électrique peuvent être alourdies, etc.
Il s’agit tout simplement de reporter les dépenses de l’État et des collectivités locales vers les ménages et les entreprises. Un tour de passe-passe digne de François Bayrou qui pourrait faire rire si ce n’était aussi affligeant. Car, quel que soit le bout par lequel le problème est pris, il aboutit toujours à ponctionner les Français.
La solution n’est pas dans l’accroissement des dépenses publiques, ni dans l’alourdissement de la fiscalité et de la réglementation, elle est dans l’abandon d’objectifs climatiques déraisonnables et dans la liberté laissée aux Français de s’adapter à leur rythme, comme ils le font déjà en matière d’efficacité énergétique des logements, aux changements en cours et à venir.
RépondreSupprimerEt si l’on veut vraiment dépenser moins d’énergie, supprimons l’I4CE qui nous coûte tout de même 5 millions d’euros par an.
https://contrepoints.org/le-climat-demande-plus-dimpots-et-de-reglementations/
Préavis de grève : Force Ouvrière, le syndicat parasite
RépondreSupprimer31 juillet 2025
Élodie Messéant
À peine présenté, le budget 2026 provoque déjà la levée de boucliers de Force Ouvrière (FO). Le syndicat a déposé un préavis de grève du 1er septembre au 30 novembre et appelle à la « mobilisation » contre ce qu’il décrit comme des « politiques d’austérité qui font payer les travailleuses et les travailleurs, les précaires, les demandeurs d’emploi ou encore les retraités ». Il dénonce « la suppression de deux jours fériés, la remise en cause de la 5ème semaine de congés payés, la remise en cause du droit du travail, une énième réforme de l’assurance chômage », la désindexation des pensions de retraite et le doublement des franchises médicales. La solution serait toute trouvée : taxer davantage les plus hauts revenus, comme s’ils ne contribuaient pas suffisamment aux prélèvements obligatoires, notamment en matière d’impôt sur le revenu.
De quoi parle-t-on ? Le plan Bayrou, présenté le 15 juillet, vise à réduire les dépenses publiques de 43,8 milliards d’euros, mais dans les faits, il ne fait que ralentir leur augmentation (30 milliards de plus en 2026). Comme nous l’avons écrit dans nos colonnes, même si le plan était appliqué, la dette poursuivra sa progression en atteignant 117,2 % du PIB en 2029. Quant au déficit, il devrait être ramené à 4,6 % du PIB en 2026 (contre 5,8 % en 2024). L’annonce de 3 000 suppressions de postes de fonctionnaires (sur 5,7 millions) tient davantage de la communication que d’une réelle volonté de réduire les dépenses publiques.
Cette réaction de FO illustre la capacité de nuisance d’un syndicat archaïque, largement financé par la puissance publique, peu représentatif des Français et opposé par principe à toute réforme de fond. Comme la plupart des autres syndicats, il défend un modèle étatiste où le rôle de l’État est d’arroser sans compter et de défendre des prétendus « acquis sociaux » (un concept qui ne veut rien dire), indépendamment de la soutenabilité budgétaire. Ce qu’il appelle « austérité » n’est qu’un timide retour au bon sens. Ralentir la dépense n’est pas suffisant. Il faut la réduire de manière structurelle, en supprimant les agences et les ministères inutiles, en coupant les subventions aux associations, aux syndicats et aux partis politiques, en instaurant un système de retraite par capitalisation, en privatisant l’audiovisuel public, la Sécurité sociale et l’assurance chômage, en supprimant le statut de la fonction publique. La France a besoin d’un État recentré sur ses missions régaliennes, d’une fiscalité limitée et d’une économie libérée de toute entrave interventionniste.
https://contrepoints.org/preavis-de-greve-force-ouvriere-le-syndicat-parasite/
Mais où est "Arlette Laguiller' (85 ans) ?? (chez 'Alzheimer' !)
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RépondreSupprimerUn éclair de 829 km bat un record mondial aux États-Unis
France-Soir avec AFP
e 01 août 2025 - 11:15
Un nouveau record du plus long éclair a été validé jeudi par l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et établi à 829 kilomètres, dans la zone des Grandes Plaines aux Etats-Unis.
Ce méga éclair a été observé le 22 octobre 2017, lors d'un épisode orageux de grande envergure. "S'étendant de l'est du Texas jusqu’aux alentours de Kansas City, il a couvert une distance équivalente à celle qui sépare les villes européennes de Paris et de Venise", a souligné l'OMM dans un communiqué.
Un comité de 11 experts basés aux États-Unis, au Brésil, en Allemagne, en Espagne, au Népal et en Israël a certifié le nouveau record.
Le précédent record (768 km), également observé aux États-Unis, a eu lieu entre le Mississippi et le Texas le 29 avril 2020, et a été certifié en 2022. Ces records ont une marge d'erreur de plus ou moins 8 km.
L'éclair distingué jeudi "n'avait pas été repéré lors de l'analyse initiale de l'orage en 2017, mais a été découvert lors d’une réévaluation de celui-ci", a expliqué l'OMM.
Cet épisode avait été "l'un des premiers orages au cours duquel le tout nouveau satellite géostationnaire d'exploitation pour l'étude de l'environnement (GOES-16) de l'Administration américaine pour les océans et l'atmosphère (NOAA) a recueilli des données sur les +méga éclairs+, c'est-à-dire des décharges orageuses dont la longueur spatiotemporelle est extrême", a ajouté l'OMM.
Pour l'agence météorologique des Nations unies, de tels méga éclairs soulignent la puissance de la foudre et sa dangerosité.
"La foudre peut parcourir de très longues distances loin de l'orage d'origine", a déclaré Randall Cerveny, rapporteur de l'OMM pour les extrêmes météorologiques et climatiques, à l'AFP. "C'est pourquoi certaines personnes parlent d'un +éclair bleu+, un éclair qui semble surgir d'un ciel clair".
- Source d'émerveillement et danger majeur -
Professeur de sciences géographiques à l'Arizona State University, M. Cerveny a créé les Archives mondiales des extrêmes météorologiques et climatiques de l'OMM en 2007.
Elles consignent les records mondiaux de température, pression, précipitation, grêle, aridité, vent, foudre et mortalité liée aux phénomènes météorologiques.
La cartographie de la foudre par satellite est opérationnelle depuis 2016 seulement, un délai trop court pour déterminer des schémas ou des tendances en termes d'intensité, de localisation ou de fréquence. "Donnez-nous encore une décennie environ de données et nous pourrons commencer à aborder cette question", a déclaré M. Cerveny à l'AFP.
Michael J. Peterson, du Centre de recherche sur les tempêtes violentes aux États-Unis, a déclaré qu'à mesure que les données s'étofferont, "nous serons en mesure d'observer même les types de foudre extrême les plus rares sur Terre, et d'étudier les impacts larges de la foudre sur la société".
RépondreSupprimerL'OMM plaide pour que toute la planète soit couverte par des systèmes d'alarme précoce, qui couvrent tous les événements météorologiques dangereux.
"La foudre est une source d'émerveillement mais aussi un danger majeur qui coûte de nombreuses vies à travers le monde chaque année", a déclaré Celeste Saulo, cheffe de l'OMM.
Selon les chiffres records liés à la foudre et validés par l'OMM, la plus longue durée d'un éclair est de 17,102 secondes (18 juin 2020, Uruguay-nord de l'Argentine), l'éclair direct le plus meurtrier a tué 21 personnes abritées dans une hutte (1975, au Zimbabwe) et l'impact indirect le plus dévastateur est le déversement de carburant en feu après un impact sur un dépôt, tuant 469 personnes (1994, Dronka en Egypte).
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/un-eclair-de-829-km-bat-un-record-mondial-aux-etats-unis
Les 'éclairs' sont comme tout autre phénomène météorologique photographiés par les satellites géostationnaires (qui tournent comme la Terre) et non par des putains de satellites à défilement ! (qui photographie la Terre toute les 3 heures en en faisant le tour). Ces derniers sont d'usages en météorologie !! qui présente une 'photo' d'un nuage toute les 3 heures et qui évalue leur déplacement ! HAHAHAHA !
SupprimerLes éditos de l'été - Une escroquerie méga XXL à l’échelle européenne (partie II)
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 31 juillet 2025 - 10:23
Me revoilà pour plonger dans le scandale qui incarne l’escrologie moderne qui peut être opérée par la Commission européenne : une arnaque à 723 milliards d’euros, révélée en juillet 2025 par Angéline Furet, eurodéputée du Rassemblement national, dans une vidéo cinglante.
- voir clip sur site -
Le ton est un tantinet sarcastique, mais le message est sans équivoque avec un langage populaire que tout le monde comprend. Celui que nous aurions tous utilisé, citoyens français qui concourons à l'impôt, pour, conformément à l'article 17 de la Déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen, exiger de ceux qui le dépensent, l'argent de l'impôt, qu'ils nous fassent connaître quelle est l'utilisation exacte qui en a été faite. À savoir dans les poches de qui il a atterri, notre argent, et pourquoi et comment.
Ce scandale concerne la « Facilité pour la Reprise et la Résilience » (FRR), la dénomination donnée par la Commission au programme censé relancer l’économie européenne post-Covid tout en finançant la transition écologique. Madame Furet a déclaré :
« Ils sont passés dans la poche de qui, les 723 milliards d'euros que les contribuables européens ont payés, sur décision de la Commission européenne, pour financer « la Facilité pour la Reprise et la Résilience » ? Ou plus exactement la facilité laissée à des escrocs en col blanc de s'en mettre plein les poches. En effet, voici les conclusions de la Cour des comptes européenne concernant l'utilisation qui a été faite de ces 723 milliards : l'argent a été distribué on ne sait pas à qui, pour faire on ne sait pas trop quoi, pour la réalisation de projets qui n'ont aucunement été budgétés, et pour lesquels on ne sait pas non plus s'ils ont été menés à leur terme. Oui. Si tant est que ces 723 milliards d'euros n'ont pas été détournés, comme hélas, en l'état, on est en droit de le soupçonner. Car voilà ce que la Cour des comptes a relevé à ce sujet : « des risques évidents de fraudes, et des systèmes de contrôle absents dès le début du programme. Or, excusez-moi de devoir insister. Étant donné que dès le départ madame von der Leyen et ses amis ont opté pour une absence totale de contrôle concernant l'utilisation de ces 723 milliards d'euros, et qu'en plus, de ce fait, nous, Parlement européen, nous n'avons nullement la possibilité de savoir si, finalement, oui ou non cette dépense de 723 milliards d'euros a servi un tant soit peu à quelque chose, cette histoire, pardon, sent l'arnaque à plein nez. L'escroquerie à grande échelle. »
Puis immédiatement après, elle a ajouté ceci :
« Aussi, avant même d'envisager une quelconque prolongation, je déclare ici solennellement, au nom des Français, que j'exige de voir la compta. La vraie ! L'authentique. Des comptes clairs, nets et précis, qui indiquent exactement et pour chacun des euros dépensés, ils sont passés où ces 723 milliards d'euros. ».
Car, non contente d’en avoir collé pour 723 milliards, von der Leyen voulait une rallonge. Une petite rallonge de quelques 200 milliards
RépondreSupprimerCes 723 milliards ont été décidés d’initiative par la présidente von der Leyen, visée par une plainte pénale dans le cadre des contrats d’acquisition des vaccins Pfizer. Sans contrôle, sans savoir à qui, pour quoi, ni si les projets ont vu le jour. Ursula von der Leyen a donc contracté un emprunt de 723 milliards sur 15 ans, à 10 % d’intérêt, ce qui portera la facture à 1 400 milliards d’euros. Et qui paie ? Nous, les contribuables.
Ce fiasco s’inscrit dans un système plus vaste, permis par le Traité sur l’Union européenne (TUE), une machine à gaz qui donne à la Commission des pouvoirs quasi monarchiques. Adopté en 2008 contre le « non » des Français au référendum de 2005, le TUE permet à von der Leyen d’engager des dépenses colossales sans l’accord du Parlement européen ni des États membres. Le Parlement n’a qu’un rôle consultatif, et les chefs d’État, souvent complices, se contentent de protestations symboliques. Pourquoi ? Parce que ce système profite aux grandes banques et aux élites financières, qui orchestrent ces emprunts et s’enrichissent sur notre dos.
La FRR n’est qu’un exemple parmi d’autres.
Prenons le PfizerGate, encore lui. Les 35 milliards d’euros négociés par SMS entre von der Leyen et Bourla, sans mandat ni transparence, montrent comment l’escrologie s’étend à la santé publique. Les SMS disparus, recherchés par Frédéric Baldan et Me Protat, sont devenus un symbole de l’opacité européenne. La condamnation de la Commission en 2024 pour manque de transparence pour ne pas avoir archivé les SMS, suivie de la « disparition » de son avocat, renforce les soupçons d’une dissimulation organisée. Pendant ce temps, les contribuables paient pour des vaccins dont l’efficacité et la nécessité sont toujours débattues.
Mais, l’escrologie va plus loin. Les dettes européennes, cumulées à 8 000 milliards d’euros, financent des projets opaques via des niches fiscales.
En France, Emmanuel Macron a offert, 221 milliards d’euros en avantages fiscaux à ses soutiens, selon des estimations relayées sur les réseaux sociaux. Pendant ce temps, le gouvernement demande aux Français, souvent au SMIC, de « se serrer la ceinture » pour combler un déficit de 40 milliards dans le budget 2026, présenté par François Bayrou. L’article 40 de la Constitution de 1958 interdit aux parlementaires de proposer des amendements réduisant les dépenses publiques, garantissant que le budget gonfle encore avec des compromis politiques.
Et l’écologie dans tout ça ? C’est le summum de l’hypocrisie. Les voitures électriques, vendues comme « zéro émission », en sont l’emblème. Un engin comme le CAT994A consomme 1 000 litres de gasoil en 12 heures pour extraire les 250 tonnes de terres nécessaires à une seule batterie Tesla.
Pendant que les élites en jets privés prônent la « transition verte », les citoyens ordinaires sont frappés par des taxes carbone et des interdictions d’accès aux centres-villes. Cette discrimination – règles strictes pour les pauvres, impunité pour les riches – est au cœur de l’escrologie.
Le pire est à venir. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, parle de « mobiliser l’épargne privée » pour éviter une crise financière. En clair : confisquer les 7 000 milliards d’euros d’épargne des Européens, fruit de décennies de travail. Ce projet, soutenu par une Union européenne au service des grandes banques, s’appuie sur la dette publique pour justifier des mesures liberticides. Car l’escrologie n’est pas qu’une arnaque financière : c’est une atteinte à nos libertés. Sous prétexte de « sauver la planète » ou de « garantir notre sécurité », on nous impose taxes, restrictions et un contrôle numérique croissant. Comme le disait Klaus Schwab : « Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. » Sérieusement ?
RépondreSupprimerMais ce contrôle ne s’arrête pas là. Regardons le projet REARM, proposé par von der Leyen en mars 2025. Ce plan, censé renforcer les capacités militaires européennes, prévoit un emprunt commun de 150 milliards d’euros, censé générer jusqu’à 800 milliards d’investissements. Sous couvert de sécurité, von der Leyen pousse pour un endettement massif, financé par les citoyens, alors que les bénéfices iront à l’industrie de défense et aux élites. Ce n’est pas un hasard si ce projet coïncide avec une rhétorique anxiogène sur les menaces extérieures, culpabilisant les citoyens pour justifier des lois et règlements toujours plus contraignants. Tout semble bon pour faire peur, puis imposer des restrictions : taxes, surveillance, contrôle des mouvements. Cette tendance au contrôle total des citoyens est flagrante, et l’euro numérique en est l’outil ultime.
L’euro numérique, prévu pour 2026, n’est plus un simple moyen de paiement, mais un instrument de contrainte. Présenté comme une avancée pour protéger la planète et moderniser l’économie, il s’agit en réalité d’un carcan numérique qui traque, programme et contrôle chaque transaction. Ce n’est plus un Green Deal au sens où l’on protège la planète en fournissant des faits clairs pour que les citoyens puissent juger, mais un « deal » arbitraire qui impose des règles sans transparence. Avec l’euro numérique, la Banque centrale européenne (BCE) et les technocrates bruxellois pourront décider qui paie quoi, quand, et pour quoi, sous prétexte de critères écologiques ou sociaux. Refuser de respecter ces règles arbitraires ? Vous serez sanctionné, votre compte bloqué, votre vie numérique paralysée. C’est la fin des libertés publiques et privées.
Cette logique de contrôle s’étend à tous les domaines. Les zones à faibles émissions, les taxes carbone, les restrictions de voyage sous prétexte climatique, tout converge vers un système où les citoyens sont culpabilisés, puis contraints. On nous dit : « Vous polluez, vous devez payer. » Mais qui décide de ce qu’est la pollution ? Qui fixe les règles ? Pas les citoyens, mais une élite technocratique qui agit en coulisses, protégée par des textes comme le TUE. Et pendant ce temps, les vrais pollueurs – ceux qui prennent des jets privés, qui financent des projets opaques – échappent aux sanctions.
Alors, que faire ? Exigeons la transparence ! Comme Angéline Furet, demandons des comptes précis : où sont passés ces 723 milliards ? Où sont les SMS du PfizerGate ? Soutenons les initiatives comme celles de Baldan et Protat, qui traquent la vérité. Signons des pétitions pour un audit indépendant des fonds européens. Mobilisons-nous dans nos communautés, sur les réseaux sociaux, dans les urnes, pour protéger notre épargne et nos libertés. Car si nous ne réagissons pas, l’escrologie nous enfermera dans un monde où les citoyens ne sont plus que des « consommateurs » dociles, au service des technocrates.
RépondreSupprimerComme le disait Coluche (1) : « Les politiciens, ils magouillent, ils mettent le pognon de côté. Bien mal acquis ne profite qu’après. » Mais nous, citoyens, ne sommes pas condamnés à être les dindons de la farce. Réveillons-nous, informons-nous, agissons. L’addition est déjà salée – à nous de refuser de la payer plus longtemps.
1) « Alors, l’homme politique, c'est un mec qui s'occupe d'abord de sa carrière.
Et une fois qu'il est arrivé à un poste assez important, alors à ce moment-là, il met du pognon de côté.
Il commence à magouiller dans des affaires de gouvernement, avec des tierces personnes, hommes de paille qu'on appelle, et ils s' mettent le pognon de côté.
Parce que ça dure pas, homme politique.
Mais ils récupèrent l'argent après : bien mal acquis ne profite qu'après. »
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/les-editos-de-l-ete-une-escroquerie-mega-xxl-l-echelle-europeenne-partie-ii
(...) Le pire est à venir. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, parle de « mobiliser l’épargne privée » pour éviter une crise financière. En clair : confisquer les 7 000 milliards d’euros d’épargne des Européens, fruit de décennies de travail. (...)
SupprimerVous avez (encore) de l'agent en 'banques' ???!! PCHITT ! Y A PLUS ! "Vous êtes ruiné", Vous êtes ruiné", Vous êtes ruiné" !
Les Alpes-Maritimes coupent les aides sociales pour les dealers
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 31 juillet 2025 - 15:05
Distribuer de l’argent public à ceux qui en gagnent illégalement ? Les Alpes-Maritimes disent stop. Depuis fin juin, les trafiquants de drogue condamnés dans le département verront leurs allocations familiales fondre, voire disparaître. Cette mesure, actée par un protocole entre la CAF, les parquets de Grasse et de Nice, la police et la gendarmerie, entend priver les trafiquants de la manne sociale qu’ils percevaient parallèlement à leurs revenus criminels.
C’est un coup de tournevis administratif, faute d'actions juridiques. « La lutte contre le narcotrafic doit être totale », insiste le maire de Cannes David Lisnard, soutien fervent de l’initiative. Elle s’appliquera dans toute la région, et vise aussi à recouvrer les sommes indûment versées. Selon Damien Savarzeix, procureur de la République de Grasse, l’objectif est d’« améliorer le recouvrement des sommes dues à la CAF » en croisant les fichiers et les condamnations. Une idée calquée sur l’expérience grenobloise, où 55 trafiquants ont vu leurs prestations sociales réduites ou supprimées depuis l’application du même principe.
Mais la portée de la mesure reste discutable. « Ce n’est pas ce qui va arrêter le trafic de stupéfiants demain ! » tempère Me Michèle Girot-Marc, bâtonnière du barreau de Grenoble, interrogée par France Info. Elle concède cependant un intérêt symbolique et financier : « Il n’y a pas de raison que des trafiquants puissent bénéficier aussi des allocations familiales. » Profiter du système tout en le gangrenant ne sera plus toléré, même si ce n’est qu’une pièce du puzzle sécuritaire.
La guerre contre la drogue ne se gagnera pas à coups de formulaires, mais priver les délinquants de la complicité passive de l’État social est, à tout le moins, une manière de reprendre la main.
https://www.francesoir.fr/politique-france/les-alpes-maritimes-coupent-les-aides-sociales-pour-les-dealers
La grande guerre des minéraux : les États-Unis défient la mainmise de la Chine sur les terres rares du Congo
RépondreSupprimer31/07/2025
Lance D Johnson
Pendant des décennies, la Chine a exercé une domination quasi totale sur les vastes richesses minérales de la République démocratique du Congo (RDC) – cobalt, cuivre et lithium – des ressources qui alimentent tout, des véhicules électriques aux technologies militaires de pointe. Mais aujourd’hui, les États-Unis lancent une contre-offensive féroce, exploitant la pression politique, la puissance des entreprises et les accords militaires pour reprendre le contrôle. Cette bataille aux enjeux considérables ne se résume pas à une question de profits ; c’est un combat pour la sécurité nationale, la suprématie technologique et l’avenir de l’énergie mondiale. Tandis que Washington avance, Pékin s’accroche, déterminé à ne pas perdre son emprise sur la chaîne d’approvisionnement en minéraux la plus critique au monde.
Points clés :
Les États-Unis s’attaquent activement aux réserves de cobalt, de cuivre et de lithium du Congo, remettant en cause le monopole de longue date de la Chine. Un consortium américain, composé d'entreprises dirigées par d'anciens cadres militaires, est en lice pour le rachat de Chemaf Resources, un important opérateur de cobalt et de cuivre.
KoBold Metals, soutenu par Bill Gates et Jeff Bezos, a obtenu les droits d'exploration du gisement de lithium de Manono, malgré des litiges juridiques.
Un accord « minéraux contre sécurité » négocié par les États-Unis entre le Congo et le Rwanda vise à stabiliser la région tout en accordant aux entreprises américaines un accès aux ressources minières.
La Chine, profondément ancrée dans le secteur minier congolais, riposte, réaffirmant sa politique de « non-ingérence » et ses engagements économiques.
Les analystes avertissent que les États-Unis tentent de rattraper leur retard après des années de cession d'actifs miniers critiques à la Chine.
La ruée vers le cobalt : un champ de bataille pour la suprématie
Le cobalt est l'élément vital des technologies modernes : essentiel aux batteries de véhicules électriques, aux smartphones et aux systèmes de défense. La RDC détient environ 70 % de l'approvisionnement mondial. Pendant des années, des entreprises chinoises comme China Molybdenum (CMOC) ont dominé le marché, rachetant des mines clés aux entreprises occidentales qui les contrôlaient autrefois. En 2016 et 2020, l'entreprise américaine Freeport-McMoRan a vendu les projets Tenke Fungurume et Kisanfu à CMOC, remettant ainsi les clés du royaume à la Chine.
Mais aujourd'hui, l'administration Trump fait marche arrière, passant d'une gestion environnementale passive à des stratégies de sécurité nationale agressives. « Plutôt que de se concentrer sur les critères ESG ou la “croissance verte”, l'accent est désormais mis sur la défense nationale et l'autosuffisance en matière d'accès aux minéraux critiques », a déclaré Chris Berry de House Mountain Partners. Les États-Unis ne se contentent plus de dépendre de la Chine pour les matières premières nécessaires à leur armée et à leur économie. Ils déploient désormais des alliances commerciales, des pressions politiques et même des accords liés à l'armée pour regagner le terrain perdu.
RépondreSupprimerLa contre-offensive américaine : accords, diplomatie et désespoir
L’année dernière, Washington aurait fait pression sur Kinshasa pour empêcher l’acquisition de Chemaf Resources par la société chinoise Norin Mining, un acteur majeur du secteur du cuivre et du cobalt au Congo. Aujourd’hui, un consortium américain, composé d’entreprises liées à d’anciens chefs militaires, se porte candidat pour les opérations de Chemaf, notamment le projet Mutoshi, un actif crucial dans le cobalt et le cuivre. Parallèlement, KoBold Metals, soutenu par des milliardaires du secteur technologique, a obtenu les droits d’exploration du gisement de lithium de Manono, malgré un âpre litige avec l’australien AVZ Minerals.
Ces mesures font suite à un accord « minéraux contre sécurité » négocié par les États-Unis entre le Congo et le Rwanda, officiellement destiné à stabiliser le conflit qui dure depuis longtemps dans l’est du Congo. Mais ses détracteurs affirment que cet accord est une manœuvre à peine voilée pour l’accès aux ressources minières, offrant la paix en échange de profits pour les entreprises américaines. Joseph Cihunda, professeur de droit à l'Université de Kinshasa, prévient que le Congo risque de devenir un pion dans une lutte géopolitique plus vaste. « Même l'opinion publique congolaise refuse une telle confrontation », a-t-il déclaré.
La riposte de la Chine : diplomatie et défiance
Pékin ne recule pas. L'ambassadeur de Chine, Zhao Bin, a récemment démenti les accusations selon lesquelles la Chine aurait négligé le Congo, déclarant : « Nous n'avons ni traité la RDC comme une monnaie d'échange ni imposé de mesures discriminatoires à son encontre.» Il a insisté sur la politique de « non-ingérence » de la Chine, tout en mettant en avant l'aide militaire, le soutien économique et les partenariats commerciaux.
Mais derrière la rhétorique diplomatique, la Chine lutte pour maintenir son monopole. Avec des milliards investis dans les mines, les infrastructures et les alliances politiques congolaises, perdre du terrain face aux États-Unis serait un coup dévastateur. Sun Yun, du Stimson Center, note que si les États-Unis rattrapent leur retard, l'ancrage profond de la Chine dans le secteur minier congolais ne disparaîtra pas du jour au lendemain. « La Chine est fortement présente en RDC, et je ne pense pas que cela s'atténuera de sitôt », a déclaré Berry.
La bataille pour les minéraux du Congo est loin d'être terminée. Alors que les États-Unis intensifient leurs efforts, la Chine redouble d'efforts, veillant à ce que son emprise sur les ressources les plus précieuses du monde reste intacte. Pour le Congo, pris entre deux superpuissances, l'enjeu est existentiel. Deviendra-t-il un champ de bataille pour des intérêts étrangers, ou pourra-t-il exploiter ses richesses pour asseoir sa véritable souveraineté ?
Une chose est sûre : l'ère de la domination chinoise sans partage touche à sa fin. Les États-Unis sont de retour dans la course, et ils jouent pour gagner.
RépondreSupprimerSources include:
Zerohedge.com
SCMP.com
Enoch, Brighteon.ai
https://www.naturalnews.com/2025-07-31-us-challenges-chinas-stranglehold-congos-rare-earth-minerals.html
(...) La grande guerre des minéraux (...)
SupprimerN'employons pas le mot de 'guerre' pour faire le buzzz sur la toile mais expliquons juste qu'il s'agit là de concurrences.
Si un pays à du pétrole il n'en achètera pas ailleurs. Si un pays n'en a pas il devra l'acheter.
(...) Deviendra-t-il un champ de bataille pour des intérêts étrangers, ou pourra-t-il exploiter ses richesses pour asseoir sa véritable souveraineté ? (...)
HAHAHA ! Ses ressources sont PAYÉES !
Le député Benjamin Lucas veut mettre les patrons au garde-à-vous devant les députés
RépondreSupprimer25 juillet 2025
Jean-Philippe Feldman
Lorsque vous n’avez pas terminé vos études, que vous n’avez aucune expérience du monde de l’entreprise, que vous êtes encarté depuis votre plus jeune âge, que vous devenez rapidement un homme politique professionnel, que vous êtes élu député à seulement 31 ans, quelle est votre activité favorite ? Donner des leçons aux entrepreneurs.
En effet, c’est un entretien lunaire que Benjamin Lucas a donné à L’Humanité. Ancien président du Mouvement des jeunes socialistes, proche de Benoît Hamon, député Génération·s issu d’une scission avec le Parti socialiste (un parti trop modéré pour lui sans doute), membre du Groupe écologiste à l’Assemblée nationale, Benjamin Lucas a été désigné le 5 mars dernier rapporteur de la commission d’enquête sur les défaillances des pouvoirs publics face à la multiplication des plans de licenciements. Un objet qui dit bien où les députés concernés veulent en venir…
Dans son entretien, notre député vert-rouge veut :
rendre plus difficiles les licenciements pour motif économique ;
créer une haute autorité de contrôle des aides publiques ;
mettre en place une commission permanente sur les aides publiques aux entreprises ;
et permettre les nationalisations temporaires dans des secteurs stratégiques.
Autrement dit, il ne supporte pas que des entreprises puissent toucher des aides de l’État sans contrepartie, mais il ne dit mot du tombereau de charges, d’impôts et de taxes qui pèse sur elles. Et pour résoudre les problèmes qu’il pose, il entend accroître le capitalisme de connivence par le truchement de l’interventionnisme !
Il faut surtout relever les perles qu’enfile Benjamin Lucas, dont on se demande s’il fait preuve de démagogie, d’une ignorance crasse du monde de l’entreprise ou des deux :
Les syndicalistes? Ils ont un « grand courage », et « une très grande expertise de la situation et de l’économie en général » ;
La gauche ? Son rôle « est d’encadrer et d’affronter le capitalisme français quand c’est nécessaire. Sinon à quoi sert la gauche ? » ;
Les patrons ? « Des gens qui font preuve de nonchalance ». « Je distingue les grands capitalistes, actionnaires, des vrais (sic) chefs d’entreprise qui se battent au côté des salariés ».
Dans le prolongement de ce dernier point, nous ne saurions conclure sans citer (sans avoir besoin de les commenter) ces deux phrases condescendantes de notre étatiste distingué : « Quand vous êtes patron, il est normal de venir de temps en temps devant le Parlement » ; « Les directions d’entreprise doivent apprendre à être redevables devant la puissance publique et les Français ».
https://contrepoints.org/le-depute-benjamin-lucas-veut-mettre-les-patrons-au-garde-a-vous-devant-les-deputes/
La réussite des entreprises en Amérique est que le patron peut supprimer des postes en trop quand il veut sans devoir passer par lettre recommandée avec accusé de réception et devoir continuer à payer un salaire à la personne qui ne travaille pas. Les employés américains sont travailleurs et comprennent que si les affaires vont mal ils ne doivent pas ajouter la ruine à l'entreprise. Ils se retirent et vont chercher du travail ailleurs. C'est ainsi que l'entreprise en mauvaise passe va peu à peu remonter la pente et réembaucher.
SupprimerCe qui fait la Grandeur d'un pays est son intelligence. C'est ce qui se passe en Suisse comme en Chine, on comprend.
Rénovation énergétique : près de 120 ans pour amortir les travaux
RépondreSupprimer30 juillet 2025
Philbert Carbon
L’Insee vient de publier la première étude évaluant l’impact des travaux d’isolation thermique réalisés dans les maisons individuelles sur la consommation réelle d’électricité et de gaz, à partir de données issues des compteurs communicants (Linky, Gazpar) d’un échantillon d’un million de ménages.
Le moins que l’on puisse dire est que la baisse de la consommation d’énergie résultant des travaux est modeste : -5,4% pour les logements chauffés à l’électricité et -8,9% pour ceux chauffés au gaz. Pour les logements ayant une consommation énergétique élevée avant travaux, les gains sont plus importants : 9,2% de consommation en moins pour l’électricité et 16,6% pour le gaz.
En tout cas, on est loin des promesses des professionnels du secteur : les économies réalisées ne représentent que 36% des gains estimés pour l’électricité et 47% pour le gaz.
Les ménages ayant réalisé les travaux économisent, en moyenne, 114 € par an s’ils se chauffent à l’électricité et 91 € s’ils se chauffent au gaz.
L’Insee indique dans son étude qu’il n’est « pas possible de mettre directement en regard cette économie avec le coût des travaux pour l’ensemble des logements rénovés, car cette information n’est pas disponible pour ceux ayant bénéficié du certificat d’économie d’énergie (CEE). Elle l’est en revanche pour les ménages ayant bénéficié du dispositif MaPrimeRénov’ (MPR). Dans ce cadre, les ménages chauffés à l’électricité ont réalisé, en moyenne, 14 300 € de travaux d’isolation pour économiser, en moyenne toujours, 120 € par an. Comme l’écrivent les auteurs de l’étude, « Cela signifie que l’investissement nécessaire pour la réalisation des travaux n’est rentabilisé financièrement qu’à très long terme ». C’est-à-dire un peu plus de 119 ans. Pour les ménages chauffés au gaz, le coût moyen de l’isolation a été de
RépondreSupprimer13 700 € et le gain annuel moyen sur la facture est estimé à 150 €. Les travaux sont donc amortis au bout de 91 ans et quelques mois.
Dans ces conditions, est-il pertinent de subventionner des travaux d’isolation thermique, qui pourraient coûter, comme nous l’avons récemment indiqué, 169 milliards d’euros (Md€) aux contribuables ?
La réponse à cette question est, bien évidemment, « non ». Car, comme l’IREF l’a montré, il serait plus raisonnable de laisser le rythme naturel d’amélioration du parc venir à bout des passoires énergétiques, notamment en libérant du foncier pour permettre davantage de constructions. Cela ne coûterait pas un centime aux contribuables.
https://contrepoints.org/renovation-energetique-pres-de-120-ans-pour-amortir-les-travaux/
L'isolation thermique - telle qu'elle est définie - n'apporte RIEN ! SEULE l'étanchéité d'air peut protéger unj lmogisd du froid et de la chaleur.
SupprimerVoir plus simple en exemple:
https://forum.communspaysans.org/viewtopic.php?t=4346
Fabuleux ! 118 138 visites à ce jour ! Fallait le faire !
Ou plutôt copier: Fin du 19 è siècle a été inventée la brique alvéolée en terre cuite. Révolution qui faisait passer les murs de pierres de 80 cm à moindre. Mais ils étaient friables. Début du 20 è siècle ont été fabriquées les parpaings en béton alvéolés toujours avec espaces d'air, LA solution était arrivée !
Les murs ne mesuraient que 20 cm !
Devant cet état de faits a été montée la première serre plastique doublée: 2 serres en une ! Séparée de 10 cm d'air. LA solution était trouvée ! Des bananiers (avec régimes de bananes) poussaient même en hiver ! (Vaucluse) La serre protégeait aussi des plants de tomates productives et plants de caoutchouc et bougainvillier !
Quelles maisons sont aujourd'hui bâties avec un espace d'air entre parpaings ? (proche de zéro !!).
Les maisons en pierres: Il fait froid dehors: il fait froid dedans ! Il fait chaud dehors il fait froid dedans !!
Regardez les châteaux construits aux siècles d'avant: des murs d'x mètres et... il fait froid dedans !