Peter A. McCullough, MD, MPH
Août 08, 2025
La gonorrhée communément appelée « coup » est une maladie sexuellement transmissible facilement diagnostiquée qui est facilement traitée. La gonorrhée est causée par la bactérie Neisseria gonorrhoeae. Le terme « applaudissement » est un terme d'argot qui est né au XVIIIe siècle, peut-être parce que l'infection peut provoquer un bruit de bourdonnement lorsqu'il urine en raison de l'inflammation de l'urètre. Le Royaume-Uni a annoncé la mise en œuvre du premier « vaccin contre la gonorrhée » en rebaptisant un vaccin contre le méningocoque plus ancien.
Un examen de 2019 sur les vaccins contre la gonorrhée par Russell et al n'était pas encourageant:
Seuls deux candidats vaccins ont été testés sur le terrain chez l'homme. Le premier était un vaccin à cellules entières partiellement lysés, morteux par voie de chaleur, administré par voie parentérale, qui induisait des titres d'anticorps sériques chez 90 % des sujets, mais n'a montré aucune protection basée sur un nombre similaire d'individus infectés dans les 12 mois suivant la vaccination (52, 53). Le deuxième vaccin contre la gonorrhée testé chez l'homme était un vaccin purifié de piline qui a été administré par voie commerciale à l'aide d'un schéma thérapeutique en deux doses, séparé de 2 semaines à plus de 3 000 militaires américains en Corée. Aucune différence n'a été constatée entre les groupes ayant reçu le vaccin et un placebo, avec respectivement 108 et 102 sujets, acquérant de la gonorrhée 2 semaines après l'inoculation 54(54).
L'aluminium, les vaccins et les garçons sauvages du Danemark
RépondreSupprimerLouis Conte
Août 08, 2025
Par Louis Conte, rédacteur en chef de la liberté de la santé, le rapport MAHA
Une guerre contre l'aluminium dans les vaccins est en cours.
Selon l'ancienne Food and Drug Administration (FDA), l'aluminium est utilisé dans les vaccins pour stimuler une réponse immunitaire à l'antigène injecté. L'aluminium contenu dans les vaccins se présente sous forme de divers composés chimiques - l'hydroxyde d'aluminium, le phosphate d'aluminium, l'alun (sulfate d'aluminium de potassium) ou les sels mixtes d'aluminium.
Lors d'une interview sur CNBC en juin, l'ancien commissaire de la FDA, M. Scott Gott Gottlieb s'est dit préoccupé par le fait qu'après avoir retiré du mercure des vaccins, le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr. et sa Commission consultative des pratiques de vaccination (ACIP) s'en allaient ensuite après les adjuvants en aluminium. « Ils veulent forcer les fabricants à reformuler ces vaccins. Ce serait un problème majeur... vous verriez que beaucoup de vaccins soient sortis du marché... cela créerait une véritable dislocation sur le marché... »
Gottleib, qui s’est opposé à la nomination de Kennedy au poste de secrétaire du HHS, estime que le secrétaire est anti-vax et met en place ce qu’il appelle une « entreprise de littérature » pour déclarer un lien entre l’aluminium et l’autisme. Il craint que l'entreprise ouvre la porte à des litiges dans le cadre du Programme d'indemnisation des blessures liées aux vaccins (VICP), créant une vague de procès qui, selon lui, « ramèneront les fabricants de vaccins hors du marché ».
Gottleib néglige de mentionner que les fabricants de vaccins ne sont pas les répondants au VICP ; Kennedy l'est.
Gottleib pense que Kennedy est en train d'éveiller un sinistre complot judiciaire pour se faire poursuivre en justice. C'est l'une des idées les plus stupides que j'aie jamais entendue d'un fonctionnaire de la santé publique.
Les fabricants de vaccins sont à l'abri de la responsabilité civile en raison de la loi nationale de 1986 sur les blessures liées aux vaccins contre l'enfance. Gottleb le sait, mais il fait des insensations en filindre parce qu'il craint que l'industrie ne soit plus en mesure de dissimuler les dommages causés par l'aluminium dans les vaccins.
Gottleib craint que le public n'exige la responsabilité.
Il a dit la partie discrète à haute voix : Big Pharma craint que lorsque Kennedy commencera à publier des recherches sur l'autisme en septembre, les études en révéleront trop.
Big Pharma et leurs pupins de banque de média payants sont-ils en mode panique ?
À la mi-juillet, un article danois sur l'aluminium dans les vaccins et les maladies chroniques a fait l'objet d'une large couverture médiatique. NBC a rapporté que «l'étude ne trouve aucun lien entre l'aluminium dans les vaccins et l'autisme et l'asthme». L'étude a fait que d'autres médias ont saisi l'occasion pour attaquer ce qu'ils qualifient de « fausses allégations de Faux Claims on Aluminum in Vaccines » de la catégorie «RFK Jr.
RépondreSupprimerComme on pouvait s'y attendre, les médias hérités du passé n'ont pas réussi à examiner l'étude danoise. Au lieu de creuser profondément dans la recherche comme les journalistes scientifiques l'ont fait, ils lisent des communiqués de presse et ont gonflé des copies et des titres qui ont soutenu aveuglément leur récit souhaité : l'aluminium dans les vaccins ne provoque pas d'autisme ou aucune autre maladie majeure.
Les médias hérités du passé ont joué la conclusion de l'étude danoise sur l'aluminium parce qu'elle correspondait à leurs propres connaissances.
Kennedy a répondu sur X: « Les médias traditionnels financés par la pharmacie ont vanté une étude récente du registre de santé danois - Andersson, et al. - qui prétend montrer que les vaccins contenant de l'aluminium ne sont pas associés à des lésions neurologiques, y compris l'autisme et Asperger. »
En outre, dans un éditorial de Trial Site News intitulé « Flawed Science, Bought Conclusions: The Aluminum Vaccine Study the Media Won’t Question », le secrétaire a écrit : « Les architectes de cette étude l’ont conçu méticuleusement pour ne pas trouver de mal. Dès le début, Andersson et al. ont exclu les plus susceptibles de révéler les blessures associées à des expositions élevées d'adjuvants d'aluminium dans les vaccins infantiles. L'exclusion s'est incluable, tous les enfants décédés avant l'âge de deux ans, ceux qui ont été diagnostiqués tôt avec des affections respiratoires et 34 547 enfants, soit 2,8 % de la population étudiée, dont les dossiers de vaccination ont montré les taux d'exposition à l'aluminium les plus élevés... Ces choix suggèrent une intention d'exclure les enfants les plus exposés au risque de préjudice. »
Kennedy a ensuite cloué l'article sur d'autres gymnastiques statistiques conçues pour diluer tout signal préoccupant dans les données. Il a noté que l'éditeur du document «n'a pas réussi à partager des données brutes essentielles pour la transparence et la reproductibilité».
À l'avenir, Kennedy promet que les données dans les études financées par le HHS seront transparentes et reproductibles. Kennedy a également souligné les conflits d’intérêts que personne dans les anciens médias ne le pensait que « trois des auteurs de l’étude sont affiliés au Statens Serum Institute (SSI) du Danemark, une société gouvernementale de vaccins qui développe un certain nombre de vaccins contenant de l’aluminium. »
Les conflits n'ont pas pris fin là-bas.
RépondreSupprimerKennedy écrit : « L’auteur principal, Anders Hviid, a rapporté un financement provenant de sources, dont la Fondation Novo Nordisk, qui est directement liée au géant pharmaceutique Novo Nordisk et maintient une importante empreinte d’investissement dans l’industrie. »
Hviid a répondu sur Trial Site News avec quelques points et a affirmé que « les chercheurs danois accrédités et leurs collaborateurs internationaux peuvent avoir accès aux registres sources pour l'étude et mener leurs propres analyses ».
En d'autres termes, les seules personnes qui peuvent examiner les données dans les recherches produites par les garçons au Danemark sont d'autres Danois.
Nos médias ont-ils pensé à le révéler? Bien sûr que non.
En outre, Hviid n'a pas fourni de science ou de données dans sa réponse à Kennedy – comme l'a noté le Dr. James Lyons-Weiler et Dr. Brian Hooker dans la publication de la Défense de la santé des enfants, Defender.
« La réponse d’Anders Hviid ne répond à aucun des défauts méthodologiques fondamentaux. » écrit Lyons-Weiler. « Ce que Hviid offre au public n’est pas une défense, mais une performance. La presse ne devrait pas se tromper en posture pour réfuter scientifiquement. »
Dr. Hooker écrit de la même manière que « Hviid n’offre aucun argument scientifique contre les observations du secrétaire Kennedy ». Hooker a cité le Dr. Christopher Exley, PhD., l'un des plus éminents experts mondiaux sur les effets de l'exposition à l'aluminium sur la santé, a souligné que la réponse de Hviid n'avait « aucune science ».
Je me suis demandé où j'ai entendu le nom d'Anders Hviid auparavant. Il s'avère qu'il est co-auteur, avec le Dr. Poul Thorsen, d'un document épidémiologique sur le vaccin ROR et l'autisme.
Qui est Poul Thorsen ? Eh bien, il se trouve d'abord qu'il soit aussi danois.
Vous vous souviendrez peut-être que Poul Thorsen est recherché par le Bureau de l'Inspecteur général du HHS pour avoir volé plus d'un million de dollars à des contribuables américains. Thorsen est sur le lam depuis quatorze ans.
Thorsen était l'un des garçons d'origine du Danemark. Il a dirigé un groupe de recherche appelé North Atlantic Neuro-Epidemiology Alliance (NANEA) et a aspiré en millions de dollars du CDC parce qu'ils étaient prêts à payer quoi que ce soit pour utiliser les données du Danemark – et non les données des États-Unis – pour prouver que les vaccins ne causent pas l'autisme.
Et maintenant nous savons pourquoi.
RépondreSupprimerThorsen a acheté des voitures, des motos, une maison à Atlanta, avait des relations inappropriées avec le personnel féminin des CDC, a lancé des fêtes sauvages pour ses employés de la NANEA dans les châteaux médiévaux (pas de plaisanterie), buvait des liqueurs coûteuses et vivaient la haute vie d'un raideur viking.
En 2011, j'ai parlé à une personne du CDC familière avec les excès de Thorsen. Il m'a dit : « Thorsen n'a pas organisé de fêtes – il a lancé des orgies romaines. »
L'auteur James Ottar Grundvig a écrit sur l'ampleur de la corruption de Thorsen dans son livre, Master Manipulator.
Thorsen et Hviid sont de vieux amis. En plus du document MMR, ils ont également travaillé sur ce document ensemble pendant l'âge d'orchestre sauvage de NANEA.
Vous n'avez pas besoin de regarder loin pour trouver de la saleté sur Thorsen. Selon le Bureau de l'Inspecteur général, « en avril 2011, Thorsen a été inculpé de 22 chefs de fraude par virement télégraphique et de blanchiment d'argent ». Entre 2004 et 2010, Thorsen « a détourné plus d'un million de dollars de l'argent de la subvention de CDC à son propre compte bancaire personnel. Thorsen a soumis des factures frauduleuses sur papier à en-tête CDC aux installations médicales aidant à la recherche pour le remboursement des travaux qui seraient couverts par les subventions. »
Cet argent volé a été utilisé pour produire des recherches entachées. Cette recherche entachée a été utilisée pour couvrir les dommages causés à toute une génération d'enfants.
Lorsque Big Pharma a besoin de « recherche » pour exonérer les vaccins, ils appellent les garçons du Danemark et leurs bases de données secrètes.
Si les données danoises étaient bonnes, les auteurs les partageraient.
À partir de septembre, Kennedy a l'intention de partager ses données sur l'autisme.
Qui croirez-vous ?
Chez l'évincissement :
Big Pharma craint que les vaccins ne soient trouvés comme un facteur important de l'augmentation de l'autisme lorsque Kennedy commence à publier des données en septembre sur les études actuellement entreprises pour déterminer les causes de l'autisme.
Un article récent, publié au Danemark selon lequel l'aluminium est sûr dans les vaccins, est riche en maniérateurs statistiques, de conflits d'intérêts et de données que les auteurs disent qu'ils ne peuvent pas partager. Le partage des données brutes est essentiel pour la transparence et la reproductibilité, note Kennedy. En septembre, le Secrétaire commencera à publier des études du HHS sur l'augmentation de l'autisme.
https://theofficialmahareport.substack.com/p/aluminum-vaccines-and-the-wild-boys?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=170436126&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Grande nouvelle : le monstre de préparation aux pandémies aux États-Unis est en train d'être grenaillé
RépondreSupprimerMeryl Nass
7 août 2025
Plus tôt cette semaine, le secrétaire du HHS Kennedy a mis fin à près de 500 millions de dollars de contrats pour des projets d'ARNm gérés par BARDA, la réponse du HHS à la DARPA, une agence dont la tâche était d'identifier les « contre-mesures » en phase de démarrage et de les financer parce que l'industrie ne le ferait pas et nous en avions désespérément besoin.
Tout cela faisait partie des lettres post 9/11/2001 de l'anthrax peur-mal de peur pour justifier d'énormes dépenses pour le matériel de biodéfense dont nous pourrions n'avoir jamais besoin ou que nous voulons, et inaugure une ère de recherche de fonctions (bio-infractions) financée par les contribuables.
- voir doc sur site -
En outre, mais discrètement, le bureau relativement nouveau (2023) de la préparation et de la réaction aux pandémies de la Maison Blanche semble avoir été discrètement démantelé également.
Au milieu de janvier 2025, les félicitations de l'industrie de la biodéfense selon lesquelles l'ancien commandant du fort Detrick Gerald Parker (un vétérinaire de l'armée à la retraite) a été placé dans le poste il y a six mois, il semble qu'il n'ait jamais été confirmé, et qu'il soit maintenant parti.
C'est drôle comment son rôle de premier plan chez Fort Detrick est omis de cette biographie, même si c'est son expérience la plus pertinente. Ils ont inclus le fait qu'il était doyen pour Global One Health. C'était un whisky mondialiste. Et donc un groupe de réflexion mondialiste (ci-dessous) est très malheureux à propos de son départ, et nous dit que le bureau a maintenant été épuisé de tout son personnel. Excellentes nouvelles.
Ce n’est pas en train de s’amenuiser ; ils sont tous partis, selon « la santé mondiale ». Bravo, Secrétaire Kennedy. Nous apprécions le démantèlement de la bête BioOffense, qui réduit le risque de futures pandémies de laboratoire et d'escroqueries vaccinales.
https://merylnass.substack.com/p/great-news-the-us-pandemic-preparedness?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=170362936&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
L'ADNm japonais Bombshell: 21 millions de vaccins révèlent des mois de surtension de la mort après l'injection
RépondreSupprimerUn ensemble de données inédites du Japon montre que les événements indésirables fatals retardés sont réels – Masako Ganaha se joint à lui pour discuter des résultats de son équipe.
Nicolas Hulscher, MPH
Août 06, 2025
Le groupe japonais United Citizens for Stopping mRNA Vaccines a obtenu plus de 21 millions de dossiers de vaccination officiels par le biais de demandes de la FOIA - l'un des plus grands ensembles de données du genre du genre.
L'analyse menée par le professeur Yasufumi Murakami (Université des sciences de Tokyo) révèle un pic de mort caché massif survenant 90 à 120 jours après l'injection d'ARNm, avec plus de doses liées à des décès antérieurs.
- voir clip sur site -
Il y a quelques semaines, leur équipe a tenu une conférence de presse décrivant ces conclusions inquiétantes :
Aujourd'hui, j'ai été rejoint par le chercheur indépendant et journaliste , du Japon, membre des United Citizens for Stopping mRNA Vaccines, pour discuter de leurs données révolutionnaires, du rejet par le public des tirs d'autoamplification de l'ARNm, et de la lutte en cours pour exposer les dommages aux vaccins au Japon.
Comment les données ont-elles été collectées?
Le gouvernement japonais ne fournit pas ouvertement de données détaillées sur la vaccination et la mort au niveau de la personne. Pour briser le secret, 350 volontaires à travers le Japon ont déposé des demandes de type «FOIA» locales adressées aux bureaux municipaux, obtenant des registres officiels qui lient les numéros de lot, les dates de vaccination et les registres de décès (mortalité toutes causes confondues).
Total des relevés obtenus à ce jour: 25 millions (à l'heure actuelle)
Les champs comprennent : la date de vaccination, la marque du vaccin, le numéro de lot, le groupe d'âge et la question de savoir si la personne est décédée (toute cause).
La collecte des données est en cours car certaines municipalités continuent de publier des dossiers, tandis que d'autres s'y opposent.
Vous pouvez visualiser la base de données ici: https://stop-mrna.sakura.ne.jp/db/lot-totalization.php
- voir clip sur site -
Principales conclusions
RépondreSupprimer1. Peinte de décès retardé : 3-4 mois après la vaccination
Au lieu des décès se regroupant immédiatement après l'injection, le taux de mortalité le plus élevé s'est produit 90 à 120 jours après la capture.
Dans les groupes non vaccinés, aucun pic de ce type n'a été observé.
2. Plus de doses et pic de mort plus tôt
Dans les données de la ville de Sagamihara, plus les injections sont reçues, plus le pic de mort apparaîtra plus tôt. Les patients avec des doses de 4 à 5 fois plus avaient des pics de mortalité apparaissant bien avant la barre des 90 jours.
- voir graph sur site -
3. Variabilité par lots
Les données confirment des différences massives de lot à lot dans les résultats négatifs, corroborant la littérature examinée par les pairs.
Pfizer Batch Code Starting with"E" Means "Everyone is Potentially at Risk"
Peter A. McCullough, MD, MPH
29 octobre 2024
Read full story
Replicon mRNA Shot Rejeté par le public
- voir doc sur site -
Alors que le ministère japonais de la Santé a approuvé l'auto-injection d'ARNm auto-amplifiante de Meiji Seika Pharma (développé en partenariat avec CSL Seqirus et Arcturus Therapeutics), l'absorption a été microscopique - seulement 15 000 doses administrées en avril 2025. La prise de conscience par le public de leurs dangers, mue par le groupe United Citizens, a probablement empêché une adoption massive.
Attaque des répliques
Nicolas Hulscher, MPH
7 novembre 2024
Le fabricant poursuit maintenant Kazuhiro Haraguchi, membre du Congrès, qui a développé un lymphome après trois injections d'ARNm et a trouvé des protéines de pointe dans ses cellules lymphatiques longtemps après sa récupération. Il a été l'un des rares législateurs à exiger la fin de la vaccination contre l'ARNm.
Le gouvernement japonais admet la mort
- voir doc sur site -
Depuis le 2 juin 2025, le gouvernement japonais a admis que plus de 1 000 décès étaient dus à la vaccination contre la COVID-19, mais les produits à base d'ARNm restent sur le marché.
RépondreSupprimerLes données du Japon prouvent que la mortalité post-vaccination retardée est réelle – et largement invisible pour les systèmes actuels de surveillance de la sécurité. Comme de nombreux décès surviennent des mois après l'injection, ils sont rarement liés au vaccin, masquant la véritable portée des dommages. Cet angle mort a de profondes implications pour les programmes d'injection d'ARNm de masse.
Le retrait immédiat de ces injections mortelles est absolument impératif.
Nicolas Hulscher, MPH
Épidémiologiste et Administrateur de la Fondation McCullough
www.mcculloughfnd.org
https://www.thefocalpoints.com/p/japans-mrna-bombshell-21-million?utm_source=cross-post&publication_id=1119676&post_id=170219678&utm_campaign=1053235&i
sFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Harmonisation de l'autorité de réglementation des médicaments et des vaccins se poursuit rapidement à l'OMS
RépondreSupprimerIl s'agit de déployer des produits médicaux si rapidement que le monde entier les obtient avant que les effets indésirables ne soient identifiés.
Meryl Nass
7 août 2025
Le programme de préparation à la pandémie mondiale, c'est-à-dire la biosécurité, comprend l'approbation ou l'autorisation rapides de médicaments et de vaccins par des autorités autres que les gouvernements nationaux. Il s’agit de convaincre les pays africains et d’autres pays en développement, qui n’ont pas leurs propres ADH, d’utiliser les régulateurs de l’OMS/Portes, ou les régulateurs d’autres pays, pour approuver rapidement les vaccins et les médicaments, au moins en cas d’urgence. Il y a un désir désespéré d'être sûrs que les nations les moins développées se font vacciner aussi vite que tout le monde. Il s'agit d'équité, souvenez-vous ? Nous ne pouvons pas voir les Africains être les seuls laissés debout si les vaccins génocidaires sont en cours la prochaine fois.
Jeudi 7 août 2025
LIBÉRATION DES NOUVELLES
L'OMS désigne de nouvelles autorités désignées par l'OMS, renforçant l'accès mondial à des produits médicaux de qualité garantis
https://www.who.int/news/item/07-08-2025-who-mark-new-q-comtes-commis--forcening-global-to-quality-assure-medical-products/
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement désigné Santé Canada, l'Agence japonaise des médicaments et des produits de santé (MHRA) du Ministère de la santé, du travail et de la protection sociale et des dispositifs médicaux (MHLW/PMDA) et l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) du Royaume-Uni en tant qu'autorités cotées en OMS (WLA), un statut accordé aux autorités nationales qui satisfont aux normes réglementaires internationales les plus élevées pour les produits médicaux.
Avec ces dernières désignations, l'OMS élargit la liste croissante des WLA, qui font désormais intervenir 39 organismes dans le monde, en soutenant un accès plus rapide et plus large à des produits médicaux de qualité, en particulier dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.
En outre, le ministère de la restauration et de la sécurité des médicaments (MFDS) de la République de Corée – l’une des premières autorités de réglementation à achever l’évaluation WLA pour les médicaments et les vaccins en octobre 2023 – a vu sa portée de la liste élargie avec succès, couvrant désormais toutes les fonctions de réglementation.
«Cette reconnaissance reflète le profond engagement de ces autorités en faveur de l’excellence réglementaire», a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. « Leur désignation d’autorités inscrites à l’OMS témoigne non seulement de leurs systèmes de réglementation solides, mais aussi d’une contribution essentielle à la santé publique mondiale. Des régulateurs forts et fiables contribuent à faire en sorte que les gens du monde entier aient accès à des produits médicaux sûrs, efficaces et de haute qualité. »
Environ 70 % des pays du monde sont encore confrontés à d'importants défis en raison de la faiblesse ou de l'inadéquation des systèmes de réglementation pour l'évaluation et l'autorisation des produits médicaux. Le cadre de l'Initiative encourage la convergence de la réglementation, l'harmonisation et la collaboration internationale, permettant aux autorités de mise en place du Programme de présélection et de réglementation de l'OMS, en particulier celles des pays à faible revenu, de s'appuyer sur les travaux de confiance et les décisions des organismes désignés. Cette collaboration soutient l'utilisation efficace de ressources limitées, permettant un accès meilleur et plus rapide à des produits médicaux vitaux de qualité garantie pour des millions de personnes.
RépondreSupprimer«Le principe de confiance est au cœur de l’approche de l’OMS en matière de renforcement des systèmes de réglementation et est la pierre angulaire d’une surveillance réglementaire efficace, efficiente et intelligente des produits médicaux», a déclaré le Dr Yukiko Nakatani, sous-directeur général de l’OMS pour les systèmes de santé, l’accès et les données. « Les autorités ordonnateurs de l’OMS sont des facteurs clés pour promouvoir la confiance, la transparence et un accès plus rapide aux produits médicaux de qualité, en particulier dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.
Dans un monde où les menaces pour la santé, y compris les produits médicaux de qualité et les produits médicaux falsifiés, ne connaissent pas de frontières, les WLA servent également de piliers essentiels de préparation et d'équité, rendant les produits qui sauvent des vies plus largement, plus rapidement et plus efficacement.
Les désignations suivent un processus rigoureux d'évaluation des performances mené par l'OMS à l'aide de ses outils d'évaluation et d'évaluation reconnus au niveau mondial. Ces évaluations ont été examinées par le Groupe consultatif technique sur les WLA (TAG-WLA), qui s'est réuni en juin 2025.
Le Canada, le Japon et les autorités de réglementation du Royaume-Uni étaient auparavant reconnus comme des autorités réglementaires strictes (ASA). Leur désignation dans le cadre WLA marque une étape importante pour aller au-delà de l'ancien système SRA, tout en assurant la continuité et la stabilité dans les processus d'approvisionnement mondiaux de produits médicaux de qualité.
Lancée en 2022 pour remplacer le modèle SRA précédent, l'initiative WLA offre une voie transparente et fondée sur des données probantes pour la reconnaissance mondiale des autorités de réglementation afin de faciliter la convergence et la confiance en matière de réglementation. Il s'appuie sur des décennies de dirigeants de l'OMS pour aider les pays à collaborer plus étroitement à la réglementation des produits médicaux, en accélérant l'accès à des produits médicaux sûrs, efficaces et de qualité pour les populations du monde entier.
https://merylnass.substack.com/p/globalization-aka-harmonization-of?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=170385856&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Au sein de la réunion de pouvoir de MAHA: le sénateur Rand Paul, Dr. Drew, Russell Brand, Cheryl Hines et plus encore
RépondreSupprimerAoût 08, 2025
Par Emilie Hagen, contributrice, rapport MAHA
À un moment où la confiance dans les institutions de santé gouvernementales s'effondre et où le public a faim de réponses, MAHA Action a lancé sa dernière réunion Media Hub pour discuter des questions qui façonnent l'avenir de la politique de santé américaine. « Nous avons tellement de bonnes choses qui se passent en ce moment, mais vous ne les lisez pas à leur sujet dans les journaux, vous ne les voyez pas à la télévision », a déclaré Tony Lyons, président de MAHA Action, qui a ouvert l’appel du 6 août.
Le rapport MAHA est une publication soutenue par le lecteur. Recevoir de nouveaux postes et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
L'événement, intitulé Get the Facts. Agir. Fix Our Food System, a présenté une formation de premier public : le sénateur Rand Paul, le Gouverneur Patrick Morrissey, Cheryl Hines, Russell Brand, Dr. Drew Pinsky, et plus encore. Ensemble, ils ont abordé des sujets urgents allant des additifs toxiques et de la sécurité des vaccins à la réforme de la SNAP et à l'étranglement bureaucratique de l'innovation en matière de santé publique.
« Si vous vous souciez de quelque chose, vous le faites vous-même », a déclaré Lyons aux participants. « Nous avons le pouvoir. Nous pouvons changer radicalement le monde. » Il a exhorté les téléspectateurs à s'emparer de ce qu'il a appelé un rare moment dans l'histoire - un moment où la confiance du public dans le gouvernement s'est érodée et où l'appétit de changement est plus fort que jamais.
Lyons a attiré l'attention sur plusieurs victoires récentes, qui, selon lui, n'étaient en grande partie pas communiquées par les médias traditionnels, dont Robert F. L'annulation de 500 millions de dollars de contrats d'ARNm de Kennedy Jr. et un nouvel effort pour éliminer le mercure des vaccins contre la grippe. Il a également crédité Brooke Rollins d'étendre les dérogations SNAP à six États supplémentaires, portant le total à douze.
Intervenants Dr. Eric Berg et Gary Brekka se sont joints à la réunion et ont soutenu la mission de Lyon pour se réunir et travailler plus dur pour amplifier le message MAHA à une époque rencontrée avec critique et censure.
Berg a dit que le moment est venu d'aider RFK Jr. « dominer le récit », avertissant que « des millions de dollars sont dépensés en ce moment pour la propagande noire » pour arrêter la réforme.
« Nous devons amplifier ces messages... et nous pouvons tous collectivement apporter un énorme changement », a déclaré Berg.
« Il ne s’agit pas de construire nos plateformes individuelles », explique Brekka. « Il s’agit de construire le message de MAHA et de contourner le récit des médias afin que nous puissions aller directement au monde. »
Lyon souhaite la bienvenue aux États-Unis Le sénateur Rand Paul sur la scène virtuelle, qui a commencé par avertir le public des dangers de la pensée scientifique de groupe.
« Partout où je vais, ma femme veut la porter Chapeau de Make America Healthy Again », a plaisanté Paul, avant de passer à une critique sérieuse de la façon dont la science est gérée aux États-Unis. Citant le Dr de Stanford. Jay Bhattacharya, Paul s’est fait l’écho de la préoccupation selon laquelle « la pensée de groupe est un danger réel pour la science », ajoutant : « La science exige le scepticisme et la pensée créative individuelle ».
RépondreSupprimerPaul a fait valoir que la structure de financement actuelle pour la recherche - dominée presque entièrement par les agences fédérales - limite la dissidence et supprime l'originalité. « Lorsque le financement de la science provient du gouvernement fédéral, comme c’est le cas aujourd’hui, la science risque d’écraser la dissidence et l’originalité », a-t-il déclaré. "Et c'est ce qui s'est passé jusqu'à ce que nous ayons Bobby Kennedy au HHS."
Dessiner des parallèles avec des personnages historiques comme Galileo, Ignaz Semmelweis et Dr. Il a rappelé aux participants que de nombreux pionniers de la science autrefois cyclistes étaient confrontés à des réactions institutionnelles. « Pour cette idée », a-t-il déclaré à propos de la découverte de Semmelweis selon laquelle le lavage des mains réduisait les décès maternels, « il a été arrêté, il a été placé dans un asile, il a été battu et finalement mort. »
S'agissant du présent, Paul a déclaré que l'humilité est essentielle pour rétablir la confiance du public et assurer une évaluation honnête des politiques de santé. « Dans le débat actuel sur les vaccins, j’admets volontiers que je n’ai pas toutes les réponses. Cette humilité, cependant, doit être considérée comme un avantage et non comme un obstacle », a-t-il déclaré. « Les Américains auraient tous été mieux lotis si Anthony Fauci avait fait preuve d’un peu d’humilité. »
Dr. Drew Pinsky a sauté dans la conversation en rappelant les pressions sociales de l'ère pandémique - quand le scepticisme n'a pas été confronté à la discussion, mais à la honte.
« Dans leur signal de vertu, ils veulent que vous sachiez qu’ils auraient combattu Hitler en 1939 », a-t-il déclaré. « Quand, en fait, ils auraient été les gardiens de prison. Ils auraient été des chemises brunes. C'est en fait la pratique vertueuse du moment présent. »
Il a comparé la censure actuelle de la dissidence scientifique à la persécution de Galilée, avertissant que nous avons « perdu le cap autour de cet instrument délicat que Francis Bacon nous a apporté... qui est le fondement de la science ».
Pinsky a exprimé son ferme soutien à Kennedy, Jay Bhattacharya et Marty Makary, qualifiant leur travail de « processus redoutable », mais nécessaire pour restaurer l’intégrité scientifique. « J’ai besoin d’une bonne recherche, non altérée, et non frelatée par l’argent, l’influence ou la politique. »
Suivre le Dr. Le fait remarquer par Drew, le gouverneur de Virginie-Occidentale, Patrick Morrissey, a pris la scène virtuelle pour souligner les récents gains de santé publique de West Virginie, à commencer par une dérogation SNAP nouvellement approuvée qui élimine les achats de sodas subventionnés par les contribuables. « Nous voulons remettre le ’N’ dans le SNAP », a-t-il déclaré. « Soda ne qualifie pas de rien ressemblant à la nutrition à distance. »
Il a souligné l'importance de la prévention par rapport au traitement, faisant écho aux objectifs plus larges de MAHA. « Mettons un peu plus d’argent dans la prévention », a déclaré Morrissey. "Peut-être, juste peut-être que vous n'aurez pas besoin de tout l'argent pour les gens qui sont malades à l'arrière de celui-ci."
RépondreSupprimerMorrissey a également fait l'éloge de la relance par Trump du Presidential Fitness Test et de l'investissement détaillé de la Virginie-Occidentale dans le bien-être communautaire : « Nous avons des sentiers de promenade de milles dans tous nos parcs d'État et nous traversons chacun des comtés. Il y a de l'élan avec des gens qui sortent et marchent. Pouvez-vous imaginer que les gens commencent à marcher un mile ou deux miles par jour, chaque petit nombre ? »
Gray Delaney, directeur de la mise en œuvre de MAHA et des affaires extérieures au HHS, a rejoint l'appel et a souligné les tensions évidentes dans le mouvement.
« Il y a eu beaucoup d’avant en arrière au sein du mouvement, en particulier sur la question des vaccins, a-t-il déclaré. « Et j’espère simplement que nous pourrons rester unis en tant que mouvement parce que je pense qu’il y a un effort actif pour nous diviser. »
Delaney a souligné l'importance de la récente décision du secrétaire Kennedy d'arrêter tout financement de la recherche sur l'ARNm à BARDA. « C’est une réinitialisation vraiment historique », a déclaré Delaney. «C'est une reconnaissance que les vaccins contre l'ARNm... n'ont pas réussi à prévenir l'infection. Ils n’ont pas réussi à empêcher la transmission... et ils n’ont pas réussi à réduire la gravité de la COVID-19. »
Il a souligné que ce pivot n'était pas anti-vaccin, mais plutôt un retour aux normes scientifiques fiables. « Nous allons compter sur des vaccins sûrs et efficaces qui ont fait leurs preuves et utiliser la technologie en laquelle nous avons confiance », a déclaré Delaney. « Le secrétaire, bien sûr, n’est pas anti-vaccin. Il s’est engagé à mettre en place des vaccins sûrs et efficaces. »
Lyons a accueilli Russell Brand sur scène, l'introduit en tant que «siège de la vérité» charismatique et voix vitale dans le mouvement MAHA.
« Nous devrions être libres de mener une vie saine », a déclaré Brand, en présentant la campagne comme un « conflit de style David contre goliath » entre les citoyens ordinaires et les puissants intérêts gouvernements-corporats.
Il a exhorté les auditeurs à embrasser la clarté morale dans la lutte pour la liberté de la santé, en invoquant l'armure spirituelle : « Placez sur la ceinture de la vérité... et le cuir de la justice ».
Brand s'est refermée avec un signe de tête effacée à la figure de proue de MAHA : « Regardons les choses en face, Bobby Kennedy, notre chef et notre archétype héros, passe la plupart de son temps sans chemise. »
Brand a fait le commentaire effronté tout en apparaissant à la caméra avec sa propre chemise vert olive presque déboutonnée.
RépondreSupprimerCheryl Hines, s'exprimant au nom de son mari RFK Jr., a remercié les panélistes et le public pour leur engagement continu. « Je sais pertinemment que Bobby aime travailler avec vous tous », a-t-elle déclaré. « J’en entends parler tout le temps de très bonne manière. »
Elle a souligné qu'il importait de contrôler le texte explicatif en dehors des médias traditionnels. « Nous ne pouvons pas nous fier aux nouvelles, aux télégrammes pour couvrir une histoire ou couvrir les nouvelles qui sont avec MAHA d’une manière qui est juste et qui est nécessairement vraie », a-t-elle déclaré. « Ou bien ils mettent en évidence ce qu’ils veulent, ou ne le signalent pas du tout. »
Hines a rappelé aux auditeurs leur impact collectif. « Tony me disait que les gens que nous avons ici en ce moment... vous pouvez atteindre plus de 400 millions de personnes », a-t-elle déclaré. « C’est beaucoup d’esprit MAHA. »
Lyons a fermé l'appel en accord avec Delaney, en appelant à l'unité au-delà du mouvement : « Nous devons tous travailler en équipe. Nous devons tous trouver des moyens de nous connecter les uns aux autres et de ne pas essayer de chercher des moyens d'être en désaccord les uns avec les autres.»
Il a dit aux participants de regarder un e-mail avec « les avions de Gary Brekka, Eric Berg, Russell Brand... afin que vous puissiez les republier », soulignant : « C'est de là que vient vraiment notre pouvoir... nous ne pouvons le faire que si vous vous y impliquez ».
Il a également rappelé à tout le monde de s'abonner au rapport MAHA sur Substack et de « commencer à se préparer pour les guerres de protection responsabilité de l'immunité des pesticides qui arrivent ».
Le prochain webinaire de MAHA est prévu pour le 27 août, avec des réunions hebdomadaires en retour à l'automne.
« C’est une guerre », a affirmé Lyons. « Nous pouvons le gagner, mais nous avons besoin que vous en partiez.
Inscrivez-vous dès maintenant au rapport MAHA. Partagez les articles avec vos amis et votre famille. La seule façon de gagner la guerre est de répandre les nouvelles que vous ne verrez pas à la télévision. La victoire commence ici.
https://theofficialmahareport.substack.com/p/inside-mahas-power-meeting-senator?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=170401943&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) met fin aux contrats de vaccins anti-tueurs à ARNm. « Le jugement qui s'impose »
RépondreSupprimerPar Ben Bartee
Recherche mondiale,
8 août 2025
Plus tôt cette semaine, la FDA dirigée par RFK Jr. a annoncé l’annulation de dizaines de contrats fédéraux – un euphémisme pour les subventions inutiles des sociétés les plus rentables de la planète, qui ne sont même pas américaines mais multinationales – avec des sociétés comme Moderna et Pfizer.
Via The Guardian
« Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a déclaré mardi qu'il mettrait fin à 22 contrats fédéraux pour des vaccins à base d'ARNm , remettant en question la sécurité d'une technologie reconnue pour avoir contribué à mettre fin à la pandémie de Covid et à sauver des millions de vies.
L'unité, Biomedical Advanced Research and Development Authority, aide les entreprises à développer des fournitures médicales pour répondre aux menaces pour la santé publique et a fourni des milliards de dollars pour le développement de vaccins pendant la pandémie de Covid-19.
Le HHS a déclaré que la réduction progressive des activités comprenait l'annulation d'un contrat attribué à Moderna pour le développement à un stade avancé de son vaccin contre la grippe aviaire destiné aux humains et le droit d'acheter les vaccins, comme indiqué précédemment en mai.
L'agence sanitaire américaine a déclaré qu'elle rejetait ou annulait également plusieurs appels d'offres préalables à l'attribution, notamment des propositions de Pfizer, Sanofi Pasteur, CSL Seqirus, Gritstone et d'autres .
Au moins une branche de la vaste bureaucratie fédérale ne sera plus complice de la paralysie et du massacre massifs du peuple américain qu’elle est censée protéger.
Les gens rationnels pourraient considérer cela comme une victoire.
Les médias traditionnels, qui dépendent fortement des revenus publicitaires de l’industrie pharmaceutique, ne sont pas d’accord.
Le Dr Peter Hotez , un agent pharmaceutique gonflé et grossier, qui a déjà dénoncé les « anti-vaccins » comme des terroristes et exhorté le gouvernement à les cibler comme tels , est sorti du bois pour condamner cette décision dans une campagne de diffamation classique de CNN contre RFK Jr.
Le partenaire de Hotez, le Dr Paul Offit, a rejoint le chœur des suspects habituels, en proposant une affirmation pseudoscientifique incroyablement effrontée — pseudoscientifique en raison de tout ce que nous savons maintenant sur les dangers de la soi-disant thérapie à ARNm dans sa forme expérimentale actuelle — selon laquelle les vaccins contre la COVID étaient « remarquablement sûrs » et « efficaces ».
Via CNN :
RépondreSupprimer« Le Dr Peter Hotez , pédiatre qui dirige le Centre de développement de vaccins du Texas Children's Hospital, a déclaré que l'annonce du HHS de mardi « favoriserait leur programme de pseudoscience et affaiblirait la biosécurité de notre nation ».
« La technologie de l'ARNm, comme toutes les biotechnologies, présente des avantages et des faiblesses, mais elle présente des avantages certains en cas de pandémie impliquant un agent pathogène nouveau et jusqu'alors inconnu, ou pour les vaccins contre le cancer et les immunothérapies », a déclaré Hotez. « Le HHS, sous la direction de M. Kennedy, nous incite à ne plus compter sur le gouvernement fédéral pour l'innovation en biomédecine. Les États sont livrés à eux-mêmes. »…
Le Dr Paul Offit , scientifique spécialisé dans les vaccins à l'hôpital pour enfants de Philadelphie et conseiller externe en matière de vaccins auprès de la FDA, a critiqué Kennedy pour avoir pris « une décision politique qui contredit à nouveau les données scientifiques ».
« Il a affirmé que les vaccins à ARNm étaient inutilement dangereux », a déclaré Offit. « C'est tout simplement faux. En réalité, ils sont remarquablement sûrs et efficaces. »
« Une décision basée sur la réduction de tout ce financement sur la base de fausses déclarations est tout simplement difficile à regarder », a ajouté Offit.
Si une nouvelle pandémie survient, « nous serons à nouveau à la traîne », sans recherches supplémentaires sur les vaccins à ARNm. « Cela ne fera que nous exposer à des risques inutiles, sans raison valable et avec quelques mauvaises raisons en plus », a déclaré Offit.
Malgré l'hystérie de l'establishment, la décision du HHS de retirer le financement fédéral fasciste des projets de recherche favoris des sociétés pharmaceutiques privées est, au mieux, un début mitigé de la prise de conscience qui doit avoir lieu.
Les questions demeurent :
A.) Pourquoi les dirigeants de l’industrie pharmaceutique qui ont manifestement commis une fraude pour accélérer la mise sur le marché des vaccins ne font-ils pas l’objet de poursuites judiciaires agressives ?
B.) Pourquoi la disposition spéciale immorale accordant une immunité générale aux fabricants de vaccins pour les dommages causés par leurs produits est-elle toujours en vigueur ?
Les réponses évidentes sont respectivement que a.) la procureure générale Pam Bondi ne travaille clairement pas pour le peuple américain, comme en témoigne sa désastreuse dissimulation de l'affaire Epstein ; et b.) le Congrès actuel, l'entité qui annulerait le National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 (NCVIA), est tout aussi acheté par des intérêts particuliers que les Congrès précédents - aucun des deux, pour être juste envers RFK Jr., n'étant sous son contrôle direct.
RépondreSupprimerAlors rendons à César ce qui appartient à César.
https://www.globalresearch.ca/usual-suspects-knives-out-maha-following-federal-mrna-contract-cuts/5897248
DERNIÈRES NOUVELLES : Le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) américain, sous la direction de Robert F. Kennedy Jr., va « réduire » les injections d'ARNm.
RépondreSupprimerRFK JR : « Les données montrent que ces vaccins ne parviennent pas à protéger efficacement contre les infections des voies respiratoires supérieures comme la COVID et la grippe. »
Par Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
8 août 2025
Dans une victoire majeure, le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé qu'il mettrait fin à toutes les activités de développement d'injections d'ARNm dans le cadre du BARDA, annulant ou réduisant la portée de 22 projets d'une valeur de près de 500 millions de dollars.
Regardez ici
Le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy, Jr., a déclaré que cette décision fait suite à une étude scientifique montrant que les injections d'ARNm ne protègent pas efficacement contre les infections des voies respiratoires supérieures comme le COVID et la grippe , et que le financement sera désormais réorienté vers des plateformes plus sûres et plus larges avec une durabilité prouvée contre les mutations virales.
Cependant, il a omis de mentionner que les injections d’ARNm ont provoqué des niveaux catastrophiques de blessures et de décès : voir ceci .
Voici les principales mesures décrites par le HHS :
Annulation de l'attribution de BARDA à Moderna/UTMB pour un vaccin H5N1 à base d'ARNm.
Résiliation des contrats avec l'Université Emory et Tiba Biotech.
Délimitation des travaux liés à l'ARNm dans les contrats existants avec Luminary Labs, ModeX et Seqirus.
Rejet ou annulation de plusieurs appels d'offres préalables à l'attribution , y compris des propositions de Pfizer, Sanofi Pasteur, CSL Seqirus, Gritstone et d'autres, dans le cadre du Rapid Response Partnership Vehicle (RRPV) et du VITAL Hub de BARDA.
Restructuration des collaborations avec DoD-JPEO , affectant les projets de vaccins à base d'acide nucléique avec AAHI, AstraZeneca et HDT Bio.
Certains contrats en phase finale prendront fin afin de préserver l'investissement antérieur des contribuables, mais aucun nouveau projet basé sur l'ARNm ne démarrera . BARDA Ventures a également reçu l'ordre de cesser tout investissement en capital dans l'ARNm.
Malheureusement, l' injection accélérée de samRNA H5N1 contre la grippe aviaire « pandémique » d'Arcturus Therapeutics (ARCT-2304), financée par Bill Gates/BARDA et bénéficiant du soutien de la FDA, n'a PAS été annulée.
- voir doc sur site -
Même si nous avons toujours besoin du retrait immédiat du marché des vaccins à ARNm contre la COVID-19 et de la responsabilité des dommages causés, il est agréable de voir certaines mesures positives.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/hhs-terminate-22-barda-mrna-shot-projects-worth-500m/5897256
La FDA ordonne aux fabricants de vaccins contre la COVID-19 Pfizer et Moderna d'avertir le public des risques de lésions cardiaques
RépondreSupprimerPar Frank Bergman et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
7 août 2025
Note d'introduction
« La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ordonné aux géants pharmaceutiques Pfizer et Moderna d'émettre des avertissements selon lesquels leurs « vaccins » à ARNm contre le Covid [août 2025] comportent un risque élevé de lésions cardiaques, en particulier pour les jeunes hommes.
Les nouvelles recommandations soulignent le risque mortel de myocardite lié aux injections d'ARNm. (Frank Bergman, voir article ci-dessous)
Ce risque mortel était connu de la FDA et des CDC dès le départ. Ils n'ont rien fait. Le vaccin à ARNm a été pleinement approuvé et imposé, aux niveaux national et international.
Le vaccin à ARNm de Pfizer a été lancé à la mi-décembre 2020.
Pfizer avait commandé une étude confidentielle et classifiée portant sur les effets de son vaccin sur une période de deux mois et demi (de mi-décembre 2020 à fin février 2021). Ce rapport, rendu public en octobre 2021 au titre de la loi sur l'accès à l'information (FOI), a confirmé le caractère mortel de l'injection d'ARNm (mortalité et morbidité).
Ce rapport de Pfizer était disponible auprès de la FDA début mars 2021.
D'ici fin février 2021 :
« Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 signalements de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques. »
Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer.
Ces résultats étaient connus de la FDA et des CDC. Ils ont fermé les yeux. Le vaccin à ARNm a été lancé et distribué dans le monde entier, provoquant des millions de décès et d'effets indésirables. Ce phénomène a été largement documenté par de nombreuses études.
Plus de 75 % de la population mondiale, soit plus de 8 milliards de personnes, ont été vaccinées.
Ce rapport confidentiel de Pfizer a fourni des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu'à la fin février 2021, soit une période très courte (au plus deux mois et demi).
Les données de la mi-décembre 2020 à la fin février 2021 confirment sans équivoque l’homicide involontaire.
RépondreSupprimerSi la FDA avait agi dès le départ pour empêcher la commercialisation de ce « vaccin » mortel, des millions de vies auraient été sauvées.
Sur la base des preuves confirmées par son étude classifiée, Pfizer avait la responsabilité d'annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ». Cette décision n'a pas été mise en œuvre.
La FDA était complice. Elle savait pertinemment que le vaccin à ARNm contre la Covid-19 de Pfizer-BionTech entraînerait une hausse de la mortalité et de la morbidité.
La commercialisation et la distribution mondiales du vaccin Covid-19 par Pfizer au-delà du 28 février 2021 ne constituaient plus un « acte d'homicide involontaire »
Le meurtre, par opposition à l'homicide involontaire, implique une « intention criminelle ». Leur propre étude leur avait permis de comprendre que le vaccin à ARNm entraînerait la mort. Tout cela est amplement documenté. De nombreux rapports évalués par des pairs confirment la nature du prétendu « vaccin ».
Le vaccin contre la Covid-19 de Pfizer constitue un acte criminel. D'un point de vue juridique, il s'agit d'un « acte de meurtre » appliqué à l'échelle mondiale à une population cible de 8 milliards de personnes .
Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer.
Ce qui est requis à ce stade (Mest l' ANNULATION inconditionnelle du vaccin à ARNm qui a entraîné une mortalité et une morbidité au niveau de la planète entière).
Une enquête devrait également être ouverte.
Depuis le début de la crise du Covid, Global Research a publié des centaines de rapports concernant les impacts du « vaccin » à ARNm.
Les médias grand public avaient la responsabilité d'informer le public. La censure était appliquée. Les scientifiques et les médecins qui révélaient la vérité étaient pris pour cible.
Il est pertinent de se demander si les autorités sanitaires américaines ont informé le public que Pfizer avait un casier judiciaire auprès du ministère de la Justice américain (2009). Il s'agit de la seule grande entreprise pharmaceutique à avoir un casier judiciaire aux États-Unis.
Il ne s'agissait pas d'un procès civil. Pfizer a été placé en probation.
Pour consulter la décision historique du ministère de la Justice, cliquez sur la capture d'écran ci-dessous
Nos remerciements à Frank Bergman pour cet article remarquable.
RépondreSupprimerMichel Chossudovsky , Global Research, 7 août 2025
La FDA ordonne aux fabricants de « vaccins » contre la COVID-19 Pfizer et Moderna
pour avertir le public du risque de lésions cardiaques
par Frank Bergman
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ordonné aux géants pharmaceutiques Pfizer et Moderna d'émettre des avertissements selon lesquels leurs « vaccins » à ARNm contre le Covid comportent un risque élevé de lésions cardiaques, en particulier chez les jeunes hommes.
Les nouvelles directives soulignent le risque mortel de myocardite lié aux injections d’ARNm.
La myocardite est une inflammation d’origine immunitaire du muscle cardiaque, appelé myocarde.
Cette maladie peut réduire la capacité du cœur à pomper le sang.
La myocardite peut provoquer des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux, un arrêt cardiaque et, finalement, une mort subite.
Les médecins avertissent depuis un certain temps que la myocardite agit comme une bombe à retardement, car elle est souvent asymptomatique, ce qui signifie que les personnes qui en souffrent peuvent ne pas être conscientes qu'elles sont atteintes de cette maladie jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
La nouvelle décision de la FDA a suscité un nouvel examen minutieux des politiques de sécurité des « vaccins » contre le Covid.
Selon un rapport de CBS News , les nouvelles directives signalent un examen fédéral croissant de la sécurité des « vaccins » contre la Covid.
La FDA a désormais officiellement demandé à Moderna et Pfizer-BioNTech d'étendre les avertissements basés sur l'âge concernant les dommages cardiaques causés par leurs vaccins à ARNm.
Dans des lettres adressées aux grandes sociétés pharmaceutiques, la FDA a cité des données récentes sur la myocardite et la péricardite (une autre forme d'inflammation cardiaque) qui relient ces affections aux injections d'ARNm.
Les deux fabricants ont reçu l’ordre de mettre à jour les étiquettes de leurs produits afin de refléter le risque accru chez les hommes âgés de 16 à 25 ans, par rapport aux tranches actuelles de 12 à 17 ans (Pfizer) et de 18 à 24 ans (Moderna).
Les lettres ont été signées par Richard Forshee , directeur par intérim du Bureau de biostatistique et de pharmacovigilance de la FDA, au sein du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques.
La décision de l'agence fait suite à une étude financée par la FDA en 2024 montrant une augmentation des cas de myocardite après la deuxième dose de vaccin chez les jeunes hommes.
L'étude soutenue par la FDA, publiée dans The Lancet, montre des anomalies persistantes dans les scanners cardiaques chez certains patients des mois après avoir souffert d'une myocardite post-vaccinale.
Les données citées par Forshee montrent que près de 60 % des patients d’une cohorte de 333 personnes présentaient encore des marqueurs de lésion myocardique cinq mois après le diagnostic.
RépondreSupprimer« La signification clinique et pronostique de ces résultats n’est pas connue », a-t-il écrit.
La nouvelle directive exige que les fabricants de vaccins informent les patients que la signification à long terme de ces résultats d’IRM est inconnue.
Cependant, les anomalies cardiaques pourraient refléter une lésion cardiaque non résolue.
Le ministère a également souligné que la sensibilisation du public à ces événements indésirables doit être une priorité pour les produits à ARNm Pfizer et Moderna .
Dans un communiqué, un porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux a déclaré :
« Les Américains méritent une transparence radicale sur la sécurité et l’efficacité des vaccins contre la Covid, et la FDA tient sa promesse de faire exactement cela. »
Cette maladie d’origine immunitaire a suscité un débat houleux.
L’ampleur de la crise a été amplifiée par une récente audition au Sénat sur la sécurité des « vaccins » et par des voix dissidentes au sein de l’agence.
Entre-temps, le commissaire de la FDA, le Dr Marty Makary, et le responsable de la politique vaccinale, le Dr Vinay Prasad, ont annoncé cette semaine que les recommandations de « rappel » Covid seront désormais limitées aux personnes de plus de 65 ans ou à celles présentant des conditions à haut risque.
Les nouvelles règles continuent de modifier le paysage politique en matière de « vaccins ».
https://www.globalresearch.ca/fda-covid-vaccine-makers-warn-public-heart-damage/5897246
Connaissances pour l'université
RépondreSupprimerfinancement pour les mannequins: quand vous subventionnez quelque chose, vous obtenez plus de
el gato malo
Août 08, 2025
d'un moment soudain, l'internet semble une fois de plus inondés d'idées telles que celles-ci:
vous pouvez entendre l'indignation et l'incompréhension de la femme crème des singes muraux.
« 118 000 dollars pour l'emprunt de 41 000 dollars ? Il est clair qu'il s'agit d'une sorte de vol posté sans précédent. »
C’est un point de discussion populiste parfait : facile à répandre parmi les analphabètes.
il « semble » juste si vous ne comprenez pas comment quelque chose (en particulier en maths) fonctionne.
Laissez-moi faire éclater la bulle ici:
C'est ainsi que tous les prêts fonctionnent.
les prêts hypothécaires sont exactement les mêmes. au moment où vous payez un prêt hypothécaire de 30 ans, vous avez généralement payé 2 à 3 fois le prix de la maison.
Au fur et à mesure que les taux augmentent et que le temps s'étend, ce multiple augmente. à 13,5 % (un taux généreux pour la dette non garantie d'une personne avec un crédit moyen), plus de 20 ans, vous finirez par payer environ 3 fois votre emprunt total.
3 minutes avec l'une des 100 calculatrices de prêts disponibles auraient rendu cela clair, et ce n'est pas comme ces termes ou la fonction de base de l'intérêt dans le temps était des concepts cachés.
Il n'y a pas de ruse ici, juste des maths.
Il n'y a rien de particulièrement sinistre ou prédateur dans ces prêts étudiants. ils fonctionnent comme n'importe quel type de voiture ou de emballage.
Bien sûr, à la minute où vous dites cela en ligne, le public éclate dans des protestations. « Non, » dit-il, « ce ne sont pas comme les autres prêts. Ils sont exceptionnellement punitifs parce qu'ils ne peuvent pas être libérés en banque. vous gardez cette dette pour toujours, comme les bagages ou une sorte d'herpès financier.
Nous avons eu une discussion à ce sujet sur X l'autre jour, donc les réponses sont assez fraîches dans mon esprit. C'est un exemple représentatif d'un individu apparemment sophistiqué dont la bio le décrit comme actif dans la politique du GOP dans l'AP. J'aimerais l'utiliser comme base de discussion.
il semble qu'il s'agisse d'idées fausses et d'incompréhensions populaires concernant la nature de la dette en général et la dette des étudiants en particulier.
RépondreSupprimerdes idées comme "le taux devrait être nul s'il n'y a aucun risque" ignore le concept de base de la valeur temporelle de l'argent. l'argent aujourd'hui est plus précieux que l'argent dans un an à partir d'aujourd'hui parce que la consommation à court terme est plus précieuse que la consommation dans un an. pour voir comment c'est évidemment le cas, envisager une simple expérience de pensée:
Je vous demande de me prêter 1 million de dollars pour 20 ans. Je promets de le payer à l'époque, en temps réel. Dans l'intervalle, je garderai l'argent sur un compte dont il ne peut pas être retiré dans une banque garantie au niveau fédéral. il n'y a aucun risque. vous pourrez voir et vérifier l'argent à tout moment.
Voulez-vous me le prêter pour un intérêt nul?
Bien sûr que vous ne le ferez pas.
Personne ne le ferait.
C'est la valeur du temps de l'argent.
Mais la question la plus importante (et plus populaire) à assumer avec la dette étudiante est que « elle ne peut pas être compensée en faillite » ou peut-être « elle est surévaluée ».
Mais cela se termine par une évaluation partielle au point d'être complètement faux.
premièrement, quiconque contracte le prêt sait (ou devrait savoir) les dispositions relatives à la faillite. 5 minutes sur Internet vous diraient. Ce n'est pas comme si c'était un fait caché.
Mais les prêts eux-mêmes sont très favorables aux emprunteurs.
Je dirais qu'il n'est pas surévalué et qu'en réalité, c'est un terrible morceau de papier du point de vue d'un prêteur en raison de sa structure mandatée, construite en termes impossibles pour eux de gagner de la certitude et un transfert intégré de richesse/subvention des pires emprunteurs par les meilleurs.
premièrement, ces prêts ne sont pas à risque nul et comportent un risque de défaillance significatif.
Les paiements ont été suspendus pendant des années pendant les temps de covidien pour masquer cela, mais tout est en plein essor maintenant. C'est un naufrage.
1 sur 6 (17%), les emprunteurs fédéraux pour prêts étudiants sont en déliul t. (plus de 270 jours délinquants) et 31 % sont maintenant en retard de paiement de 90 jours.
Les prêts automobiles fonctionnent à 5 % de défaut (en utilisant des normes beaucoup plus strictes), les prêts hypothécaires à 4 %.
RépondreSupprimerDonc, les prêts étudiants sont quelques-uns des prêts les plus risqués. Compte tenu des taux de défaut, on s'attendrait à des taux d'intérêt similaires à ceux des cartes de crédit (actuellement de 24%). ajoutent au problème ici, ces prêts contiennent un ensemble de conditions intégrées qui non seulement limitent le paiement de l'emprunteur, mais éteignent automatiquement la dette à certains délais, que la dette ait été remboursée ou non.
et cela doit être pris en compte.
les taux de remboursement ont été plafonnés à 10 % (soit 15 % avant 2014) de revenus disponibles (après impôt) et durée limitée à 20 ans.
Image
Tenir compte de cette situation:
Gagner 60 000 dollars, appelez 50 000 dollars de revenu disponible. 10% par an est de 5k. max payé sur 20 ans est de 100 000 dollars. Votre paiement global sera à peu près le triple de ce que vous empruntez, donc tout emprunt d'environ 34 000 euros finira par être passé par profits et pertes. Ils récupéreront leur argent mais le taux d'intérêt effectif va chuter.
C'est une période de prêt bizarrement favorable, en particulier si vous avez emprunté gros (par exemple, 200 000 dollars, ou les 400 000 dollars que vous tomberiez sur une école supérieure ou universitaire)
Vous pouvez alors aller prendre un travail piddly ou pas travailler du tout, et le prêteur est dans le livre et ne récupérera même pas le principal.
en offset, "ne peut être libéré en cas de faillite" est insignifiant par rapport à ce risque.
Les prêts étudiants fédéraux (comme sallie mae) sont également des prêts NINJA. (pas de revenu, pas d'emplois, d'actifs). ils sont offerts sans chèques de crédit. Les gens pensent-ils sérieusement, étant donné à quel point d'autres programmes fédéraux sont agementés par d'autres programmes fédéraux qu'il n'y aurait pas de ceinture entière de transport de la ceinture de papier "BK le jour de la graduation" (après avoir accumulé d'énormes factures de cartes de crédit) pour sauter la dette étudiante si facilement?
Si donc, j'ai des programmes sociaux dans lesquels j'aimerais que vous fassiez financer ma participation.
C’est un autre exemple classique (comme le contrôle de la rente ou les prêts hypothécaires à risque) où des populistes bien intentionnés ont brisé un marché pour « protéger les gens » et accusent maintenant la rupture de « capitalistes prédateurs ».
RépondreSupprimerIl suffit d'en faire un prêt régulier sans plafonds de paiement, sans renonciation et déchargable en BK, et appliquer les normes de crédit de base et le taux chuterait.
Il en serait de même du coût de l'université.
ces prêts ont pour prêt à prêter aux inqualifiés et à financer leur carrière universitaire. Les collèges les aiment parce qu'ils augmentent massivement la demande et donc le prix. La spirale des coûts des collèges est alimentée par la dette.
réduire les prêts, faire chuter la demande. baisse la demande, faire baisser le prix. baisser le prix, faire baisser le besoin de prêts.
Fonctionne comme les hypothèques sub-prime. Ce sont les mêmes agences qui gèrent le même livre de jeu de charrette pour dire à tout le monde qu'ils ont besoin du succès en renvoyant l'idée de « le marqueur vous fait réussir » et « le genre de personnes qui obtiennent ce marqueur ont les autres traits liés au succès ».
Ce ne sont que des gens qui tombent pour ce graphique stupide, encore et encore :
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« les diplômes de collège causent le succès » ou « la propriété d'une maison fera de la classe moyenne » une affirmation aussi stupide que « la crème glacée provoque des attaques de requin ».
Ce sont tous des facteurs qui déterminent tous les troisièmes facteurs. Certains traits produisent le succès : l'intelligence, la dilgence, la détermination, la conscience, le talent, etc., ils produisent aussi des choses comme les « diplômes de collège » et « propriété de maison. » mais la relation d'averse ne tient pas. donner à quelqu'un sans ces caractéristiques une maison et une hypothèque n'est pas utile ; c'est dommageable.
les prêts étudiants ne sont pas différents. C'est un tas de dette mal structurée entassée sur le non-original en leur vendant une facture de marchandises (qu'un degré est la voie vers un avenir meilleur) dont la réalité est quelque chose de tout à fait différent. C'est un piège de la dette vendu comme une opportunité commerciale.
le fait qu'il s'agisse d'une surprise pour les gens, en particulier les emprunteurs eux-mêmes, en dit long.
RépondreSupprimerIl semble que la question clé ici est que nous envoyons des gens à l'université qui ne comprennent pas comment fonctionnent les intérêts, les prêts ou les conditions de prêt.
Et vous connaissez mon point de vue sur l'éducation des midwits.
L'université était autrefois pour les 3 à 5 % des intellects, une entreprise sérieuse et très difficile, adaptée et à la compléter, n'était que par un très petit groupe de personnes dont le seuil de QI était probablement d'environ 125. les normes étaient rigides et de nombreux aspirants aux peaux de mouton sont rentrés chez eux les divindes.
Des universités brouillées pleines de 100 et 110 cassaient le système, le forçaient à s'éteindre, et l'ont chassé des idées de logique et de pensée critique et dans la doctrine et la régurgitation parce que le "client" n'était plus capable du premier et devait donc être servi le second.
toute idée de ce qu'elle entendait autrefois être éduquée avait été perdue et remplacée par un fugazy non seulement incapable et déraisonnable de se repérer comme un faux, mais désespérément désireux de se marier comme l'article authentique.
Il n'y a littéralement personne sur terre aussi stupide que le sage fou endoctriné en dogme qu'il s'est trompé pour la compréhension et l'érudition.
Alors que la mafia peut vous imposer « une offre que vous ne pouvez pas refuser », le complexe industriel moderne de financement-fédéral vous vend dur sur « une offre que vous ne comprenez pas » et élargit considérablement les critères d'acceptation et de performance au point de briser le produit et de le transformer en jonque.
en même temps, les prix ont grimpé en flèche et donc ceux qui ont été trompés par ce pitchman ont été vendus de plus en plus de produits dégradés à des prix de plus en plus gonflés.
la femme ci-dessus parle de dépenser plus de 40 000 dollars pour un an d'enseignement. Comment faites-vous cela sans envisager de revenir ou comprendre comment les composés d'intérêt?
Si vous ne parvenez pas à faire ces choses, est-ce que « l'université » est vraiment la place pour vous ?
Imaginez ce qui inonde les écoles.
RépondreSupprimerBien sûr, il a cassé.
Et ça a brisé l'université.
l'ensablement de l'étudiant à la fois rendait les universités inaptes à l'amiable et leur a rendu fertiles pour des moniteurs idéologues demi-wit que les étudiants n'avaient pas les facultés critiques à appeler. toute insitution qui n'est pas une méritocratie consciente deviendra une anti-méricordiaire comme celle de B louant C et les deux cherchent à chasser la concurrence de A.
Cela a fait des universités une combinaison puissante de chaudirs de culture arrogantes, incapables et dogmatic annuler des chaudrons sans critique pour exporter les pires idées qu'elles pourraient conjurer au service de leurs payeurs et idéologies politiques.
puis les paymasters se sont retournés et beaucoup de choses ont changé.
Comme c'est souvent le cas, maher a un point valable ici, mais la partie que lui et beaucoup de gens intelligents semblent manquer est la suivante :
le définancement de la « science » n'est pas une erreur ou une erreur.
Nous avions désespérément besoin de définancer la « recherche scientifique » parce que ce n'était pas une recherche scientifique, c'était un tas d'idéologues qui lavaient des pseudo- et anti-sciences dangereuses tout en portant les skins arçangés d'une discipline autrefois august. ils dansaient autour du bûcheron brûlant de la « méthode scientifique », en houle comme des lords des mouches.
C'est là que vont les universités parce qu'une fois que vous êtes dépendant de l'argent du gouvernement, l'orthodoxie gouvernementale suit rapidement.
La science n'est pas faite de cette manière.
esclaves le sont.
propogada l'est.
c'est une écriture de capture institutionnelle importante et, au milieu d'institutions dépouillées de ce qui aurait dû être leur système immunitaire intellectuel, elle s'est amogène.
l'éducation est devenue politique.
C'était une peur bien fondée et au premier plan à l'époque où j'étais à l'université.
Considérez cette missive de derek bok, avocat, ancien doyen de la loi harvard, et président du harvard de 1971-91. (et, ironiquement, encore une fois comme une brève température lorsque les étés ont été abattus par l'anti-science annulent les foules culturelles). on ne peut s'empêcher de le faire à la politique ouverte et consciente du leadership ultérieur (comme la fraude en série et la plagariste gay)
Il a prédit ce qui allait arriver si les universités choisissaient cette voie avec des présciences et de la clarté remarquables, et maintenant vient la paupière. La capture interne d'une faction de gouvernement a conduit l'accent académique sur toutes sortes de sujets politiquement pertinents, allant des théories de la race critique au genre en passant par la science du climat en passant par la médecine factice et même l'oppression.
RépondreSupprimerMontrez-moi la politique des donneurs d'or, et je vais vous montrer la politique des pipers qu'ils paient.
l'escargot est la rupture de l'uniparty. l'amour l'emporter, le détester, ou essayer d'adopter une vue nuancée, le seul fait reste: il se présente comme ennemie, l'avaarisme élu un peuple malade à mort d'orgueil et désireuse de placer la fierté basse. il n'a pas commencé cette chute d'idéologiucoal, il a été élu parce que cette chute avait commencé.
il y a une simple maxime en économie:
Si vous subventionnez quelque chose, vous en obtenez plus.
Nous avons subventionné l'enfer de l'enseignement supérieur, vantant les grandes quantités étonnées des universités et finançant le fourrage pour les mauves béants de leurs moulins à diplômes de plus en plus dangereux et usines idéologiques. tout est devenu politique, puis riché, et maintenant le retour de fonds est en train d'éclater en force.
la lutte bénéfique de l'idée contre l'idée a été englobée par les sessions de lutte des idéologues imposant des tests de pureté idéologiques et attaquant ceux qui ne s'y conformeraient pas.
Bien sûr, il doit brûler.
Mais si vous voulez qu'un feu s'éteigne et reste à l'écart, vous devez arrêter de le nourrir.
Et cela signifie «arrêter de donner aux personnes qui n'ont pas d'affaires dans les universités subventionnées pour aller à l'université».
Les gens parlent du « grand beau projet de loi » comme s'il s'agissait d'une solution majeure ici, mais ce n'était pas le cas. À bien des égards, il a aggravé ces prêts et a aggravé la subvention intrinsèque du pire par les meilleurs.
Il limite la prolongation de « parent plus » à la limite de prêt de 57 000 dollars pour les diplômés de l'enseignement secondaire, mais c'est toujours 80 000 dollars sur 4 ans plus les 57 000 dollars et les conditions d'amortissement ont été plus permissives.
C'est encore 137 000 dollars par enfant et maintenant vous pouvez payer une somme déri pour le chemin si vous ne gagnez pas.
l'expression «inscription séparée» pourrait avoir un impact énorme à cet égard.
Et obtenez toujours vos prêts libérés après 30 ans, quel que soit votre succès à payer.
Il s'agit simplement d'obtenir un diplôme cher et coûteux et de prendre un emploi stupide (ou pas du tout) qui ne peut pas le payer.
Ces nouveaux plans sont en train de peindre au-dessus de la rouille.
Si vous voulez que les universités redeviennent saines et que leurs prix et leurs programmes soient rationalisés, l'argent facile de NINJA doit être éteint. Les prêteurs fédéraux ne devraient rien fournir ici. Tout ce qu'ils font, c'est du mal.
RépondreSupprimerLaisser le marché revenir à l'équilibre. laisser la demande des étudiants atténuer, laisser l'offre de « colege » chuter, laisser la qualité de l'université augmenter, laisser ceux qui ne peuvent pas la pirater échouer, et laisser les facultés venir une fois de plus à enseigner la pensée critique et l'évaluation.
Laisse les collèges tranquilles.
entièrement seuls.
Plus d'accréditation, plus strict, ni oligopole, plus d'argent gratuit, de subventions, de statut d'impôt, ou de soutien et de subventions fédéraux sans fin. plus de rôle fédéral dans les prêts ou les règles fédérales spéciales à prêter aux étudiants.
retirer des prêts fédéraux et des bons cadeaux et des subventions exonérés d'impôts du système universitaire serait comme rendre les loups à la pierre jaune.
C'est la seule façon dont la nature commencera à guérir.
- voir docs sur site :
https://boriquagato.substack.com/p/knowledge-for-college?utm_source=post-email-title&publication_id=323914&post_id=170359337&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Guerres économiques mondiales - Les entrées au capital ou collaborations de sociétés US /UK qui posent question
RépondreSupprimerAnne Philippe pour France-Soir
le 08 août 2025 - 13:18
Ce mois d’août, nous vous proposons une série quotidienne consacrée à un enjeu majeur mais souvent méconnu : la guerre économique mondiale avec les stratégies d’espionnage qui l’accompagnent.
Anne Philippe nous dévoile les logiques de domination économique à l’œuvre entre grandes puissances, avec un éclairage particulier sur les relations troubles entre les États-Unis et Israël, l’influence croissante des services de renseignement dans les décisions économiques, et l’effacement préoccupant de l’Union Européenne face à cette dynamique.
À travers les faits et une lecture géopolitique rigoureuse, cette série vise à dévoiler les rouages d’un affrontement invisible, où les intérêts économiques, les technologies sensibles et les données stratégiques deviennent des cibles.
Retrouvez-nous chaque jour de la semaine de ce mois d’août pour une nouvelle publication éclairante.
Suite des parties 1 (L’explosion des Nord Streams et la crise financière de 2008), 2 (la déstabilisation d'Atos), 3 (La cession du pôle énergie d’Alstom à General Electric) et 4 (le cas Airbus et la prise de contrôle de Gemplus)
Partie 5 - Les autres entrées au capital ou collaborations de sociétés US /UK qui posent question
On notera que Bercy a autorisé 135 rachats d’entreprises sensibles par des étrangers en 2024 et qu’à travers Alstom, Technip, Doliprane, l’agence de notation ESG Vigeo… En dix ans, les États-Unis se sont offerts plus de 130 milliards de dollars de fleurons français. À titre d’exemples sur les ventes et collaborations récentes qui peuvent interpeler, on peut citer les sociétés suivantes :
La course dans l’informatique quantique bat actuellement son plein. Pasqual, une start up française crée en 2019 par une solide équipe de scientifiques, qui développe un ordinateur à partir d’atomes neutres est présent dans ce secteur si convoité, et à décider de s’allier en mars 2025 à Microsoft. Le groupe US de Redmond a une double stratégie dans le quantique. Il mène des recherches en interne via un procédé original (les qubits topologiques) d’une part et, d’autre part, il distribue des solutions de spécialistes du secteur (IonQ, Quantinuum, Rigetti) via la plateforme Azure Quantum.
Le processeur de Pasqual est une machine de 100 qubits, l’unité de base utilisée dans le quantique. Concrètement, des entreprises ou des développeurs pourront ainsi acheter des heures de calcul en ligne afin de mener des premières expérimentations. C’est la première machine de ce type qui est disponible sur le cloud Microsoft.
Il est à noter que Microsoft travaille déjà avec un autre acteur phare de la « French Tech », Mistral AI, afin que ses différents modèles soient accessibles dans l’offre Microsoft Azure AI Foundry et que cette licorne tricolore bénéficie de la puissance de calcul du groupe US pour entraîner sa technologie.
Dans une logique de plateforme, Microsoft collabore avec de jeunes pousses à gros potentiel afin de rester à l’affut des dernières innovations et nouer des liens intenses avec des écosystèmes à travers le monde. Une manière aussi pour le géant US de pousser ces pépites à développer leurs applications sur son cloud, et de s’approprier les outils de ces sociétés, créant une forme de dépendance pour l’avenir, alors que la bataille de cloud fait rage entre les géants américains Azure, AWS et Google.
RépondreSupprimerDébut 2025, le fonds US Fortuna est entré au capital du sous-traitant industriel ACI qui avait préalablement acquis les Fonderies de Sougland, les plus anciennes de France encore en activité. ACI fournit des pièces détachées aux champions tricolores de l’aéronautique, de la défense, du nucléaire et de l’énergie.
LMB Aerospace / Loar Group ?
Nous ne savons pas ce qu’il en est publiquement à aujourd’hui du projet de la vente de LMB Aerospace. Contrôlé depuis 2021 par le fonds aéronautique porté par Airbus, Safran, Dassault et Thales lancé sur initiative publique, après le Covid, l’équipementier des hélicoptères Tigre et du Rafale (ventilateurs de haute performance) a-t-il discrètement basculé sous giron US (Loar Group) ?
Il est à noter que Loar Group est également un fabricant de composants pour la défense de l’état de New York entre autres.
Le 30 juillet 2025, Servier a remis en vente sa filiale Biogaran. Le laboratoire pharmaceutique français annonce avoir entamé des négociations exclusives avec BC Partners. Le fonds, basé à Londres, était déjà candidat l'an dernier avec son partenaire Bpifrance pour ravir la branche génériques du groupe, également convoitée par les indiens Torrent Pharmaceuticals et Aurobindo Pharma.
Mais Servier avait abandonné la vente à l'automne sous la forte pression politique, le gouvernement de l'époque et les syndicats redoutaient des conséquences sociales trop lourdes. Cette fois, il semble que le dossier soit passé. Le fonds est revenu à la charge, il y a quelques semaines, auprès de la banque Lazard qui conseille Servier, et a convaincu le laboratoire de rouvrir les discussions autour d'une fourchette de prix plus raisonnable que l'an dernier, entre 800 millions et un milliard d'euros. Il offrirait aussi à priori des garanties solides sur l'emploi et le développement de l'entreprise en Europe.
RépondreSupprimerCette opération s'inscrit dans un mouvement général des grands laboratoires qui cèdent peu à peu leurs fabricants de médicaments à bas prix, pour se concentrer sur des activités à plus forte marge dans les thérapies innovantes.
Sanofi a ainsi bouclé cette année la cession partielle d'Opella, filiale grand public bien connue pour son Doliprane au fonds américain CD&R.
Biogaran ne compte que 250 salariés, mais réalise la moitié de sa production dans l'Hexagone en faisant travailler une quarantaine de sous-traitants. Il y écoule 320 millions de boîtes par an, un huitième de la consommation hexagonale. C'est devenu la plus grande marque de génériques en France avec 900 millions d'euros de chiffre d'affaires.
La préservation de la commande aux sous-traitants français est donc un enjeu social et industriel fort du dossier à suivre de près.
*
Partie 6 à venir
L'auteur, Anne Philippe, est spécialiste en intelligence économique et en relations internationales et diplômée de l’Université Panthéon-Assas. Elle a beaucoup voyagé notamment en Europe dans le cadre de ses activités professionnelles. Economiste et financière de formation, elle s’est intéressée très tôt au droit international et aux crises financières en particulier celle de 2008.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/guerres-economiques-mondiales-les-entrees-au-capital-ou-collaborations-de
Qui donne aux pauvres prête à Dieu, qui donne à l’État prête à rire
RépondreSupprimer7 août 2025
Jean-Philippe Feldman
Compte tenu de la dégradation de nos finances publiques, la fiscalité dite volontaire serait-elle la panacée ?
Le Figaro consacre un long article à la fiscalité volontaire (sur ce sujet voir le commentaire du livre Le Cens de l’État) sous le titre « « On peut tous agir à notre niveau » : Ces Français qui font des dons à l’État pour réduire la dette publique ». Il expose que des citoyens envoient de l’argent à l’État sans attendre de contrepartie sous forme de déduction fiscale. Le fondement textuel est à trouver dans l’article L 1121-1 du code général de la propriété des personnes publiques (l’un des 80 codes, ou à peu près, que compte notre ordonnancement juridique !) qui dispose qu’un particulier peut faire un don ou un legs à l’État, en l’occurrence par un arrêté du ministre de l’Economie et des Finances.
Le quotidien cite ce contribuable qui a envoyé en novembre 2024 un chèque du montant mirifique de 150 euros ou tel autre qui avait envoyé en 2021 un chèque de 40.000 euros tout de même (soit environ 0,00001 % du montant de la dette de l’État de l’époque…). Philbert Carbon avait rappelé dans une pendule (23 juin 2025) qu’un contribuable avait vu son don de 45 euros accepté par un arrêté du ministre de l’Economie et des Finances… six mois après !
Rien n’empêcherait la situation des finances publiques d’empirer de nouveau
Pour la petite histoire, nous avions, il y a de nombreuses d’années, fait un don à la Sécurité sociale. En effet, nous avions changé nos lunettes pour un coût de plusieurs centaines d’euros et la Sécurité sociale nous avait remboursé de quelque chose comme… un euro. Nous lui avions donc écrit pour la remercier de sa générosité et pour lui retourner la somme dans la mesure où, tout bien considéré, il était préférable que les contribuables ne « voient » pas le trou de la Sécurité sociale. Nous avions reçu en réponse une charmante lettre d’un fonctionnaire pince-sans-rire qui acceptait avec émotion notre don. Cette facétie nous avait été inspirée par le regretté Pierre Desproges qui avait reçu en son temps un chèque de quelques Francs de la part de l’administration fiscale et qui avait chaudement remercié « (son) Trésor » en précisant que cette somme lui servirait à acheter des carambars…
Trêve de plaisanterie : il y a deux manières d’interpréter ces dons de contribuables plus ou moins charitables. D’un côté, on peut se réjouir que ces derniers aient compris la gravité de la situation financière de leur pays. Mais, d’un autre côté, on peut se demander s’ils ont bien conscience des causes de cette situation. En effet, à supposer même qu’une telle initiative permette un assainissement des finances publiques, rien n’empêcherait la situation d’empirer de nouveau, plus encore à la suite de l’arrivée au pouvoir d’hommes politiques incompétents ou démagogiques.
En contrepoint, l’opération préalable est de limiter l’État. Lorsque ce dernier aura été réduit pour l’essentiel à ses missions régaliennes, il ne sera plus question de finances en capilotade.
https://contrepoints.org/qui-donne-aux-pauvres-prete-a-dieu-qui-donne-a-letat-prete-a-rire/
TOUT EST FAUX ! TOUT !
SupprimerTOUTES les Matières Premières affichent un FAUX prix publié chaque jour par un 'bureau'. Chaque année il y a plus de fruits et de légumes et céréales de cultivés/récoltés. Le tout est de plus en plus mécanisé. Donc, comme l'offre dépasse largement la demande, les prix devraient baisser aux supermarchés. Bêh non ! Ils augmentent !!
Comme les emplois sont de plus en plus aidés par des machines ou remplacés par elles qui travaillent 24/24 h et 7/7 jours donc, le prix des produits fabriqués devraient baisser et, les salaires non-versés aux machines et robots devraient régaler le Peuple... Bêh non !
Faut dire que ce sont des propres-à-rien qui errent et gèrent les ministères qui reçoivent mille fois trop d'argent et ils affichent... ils affichent des dettes !!
Çà, c'est le mot magique ! LA dette ! Elle permet donc de justifier la hausse des impôts, des taxes et de tous les frais en plus rencontrés chaque jour !
Regardez les banques ! Elles affichent 'la clé sous la porte' tant elles n'ont d'argent et doivent en prêter de plus en plus ! (essayez de faire pareil et vous vous retrouvez en taule !).
France : 354 000 euros de dette en plus chaque minute
RépondreSupprimer5 juillet 2025
Lorenzo Delpech
Selon l’INSEE, entre le premier trimestre 2024 et le premier trimestre 2025, la dette publique française est passée de 3 159,7 milliards d’euros à 3 345,8 milliards, soit une hausse de 186,1 milliards d’euros en un an. Ce chiffre impressionnant équivaut à une augmentation de la dette d’environ 5 900 euros par seconde, 354 000 euros par minute, sans interruption, jour et nuit.
Cette évolution, marquée par une hausse de la dette de près de 5,9 % en un an, appelle à un sursaut de responsabilité budgétaire, alors que chaque minute, chaque seconde, alourdit un fardeau financier dont les conséquences pèseront durablement sur la souveraineté économique du pays et sur ses générations futures.
https://contrepoints.org/france-354-000-euros-de-dette-en-plus-chaque-minute/
Pourquoi la Grande-Bretagne arrête 30 personnes chaque jour pour avoir tenu des propos
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 8 AOÛT 2025 - 12h30
Rédigé par Steve Watson via Modernity.news,
Dans cette interview captivante de Triggernometry, Lord Toby Young, fondateur de la Free Speech Union, aborde la loi britannique sur la sécurité en ligne et ses implications pour la liberté d'expression.
Il retrace l'origine de cette loi : une panique morale face à l'exposition des enfants à des contenus en ligne préjudiciables, tels que des sites d'automutilation et de pornographie. Initialement introduite sous le gouvernement de Theresa May, elle a été élargie sous Boris Johnson.
Young critique sa portée excessive, qui conduit à la suppression excessive de contenus par les plateformes, craignant des amendes colossales ou des peines de prison pour leurs dirigeants. Il souligne comment elle a conduit à limiter l'accès à des contenus anodins, tels que des discours sur les réseaux de manipulation psychologique ou des articles de blog historiques, sous couvert de protection de l'enfance, sans pour autant inclure de garanties solides en matière de liberté d'expression.
Pourquoi la Grande-Bretagne arrête 30 personnes chaque jour pour des propos tenus
Regardez l'épisode complet avec Lord Toby Young @toadmeister, ici même sur X. pic.twitter.com/qOcoC1siuX
— TRIGGERnometry (@triggerpod) 6 août 2025
Young affirme que cela crée un effet dissuasif, les entreprises censurant excessivement pour se conformer, et craint que le gouvernement travailliste, dirigé par des personnalités comme Peter Kyle, ne renforce davantage cette mesure plutôt que de l'abroger.
Young met en garde contre des menaces plus larges pour la liberté d'expression, notamment plus de 30 arrestations quotidiennes pour des propos tenus pour des propos tenus pour des délits et un quart de million d'incidents haineux non criminels enregistrés ces dernières années, souvent pour des publications en ligne remettant en cause le discours du gouvernement sur l'immigration ou les questions de genre.
Il aborde les risques pour l'anonymat et les applications cryptées comme WhatsApp, le potentiel retour en force de la loi sur le blasphème via des mesures anti-islamophobie, et les nouvelles lois sur l'emploi qui pourraient interdire les « plaisanteries » sur le lieu de travail afin de prévenir le harcèlement perçu.
Soulignant le rôle de l'Union pour la liberté d'expression dans la défense des causes, principalement celles des femmes critiques en matière de genre, il constate une forte augmentation du nombre d'adhérents depuis l'élection du Parti travailliste, soulignant le malaise croissant de l'opinion publique.
RépondreSupprimerDans l'ensemble, Young dépeint le Royaume-Uni comme glissant vers une censure autoritaire, privilégiant la « sécurité » à la liberté et étouffant le débat public.
Votre soutien est crucial pour nous aider à vaincre la censure de masse. N'hésitez pas à faire un don via Locals ou à découvrir nos produits uniques. Suivez-nous sur X @ModernityNews.
https://www.zerohedge.com/political/why-britain-arrests-30-people-every-day-speech
Pour le Conseil Constitutionnel le principe de précaution ne s’applique pas aux produits dangereux importés librement
RépondreSupprimerle 7 août 2025
par pgibertie
#Richard_FERRAND s’adresse aux députés et aux #Riens : 1/ vos votes ne servent à RIEN ! 2/ la Charte de l’Environnement de 2004 (interprétée par NOUS, Conseil constitutionnel) vaut PLUS que tous les Français et leurs élus ! 3/ donc la loi # Duplomb : à la POUBELLE !! (En plus, ça fait plaisir à mon pote, Macron…) Si, avec ça, vous n’avez pas compris qu’il FAUT UN RÉFÉRENDUM CONSTITUTIONNEL DÈS 2027 !!…
@MLP_officiel
@J_Bardella
@eciotti
@BrunoRetailleau
…
Nous sommes donc le seul pays de l’UE à interdire l’#acetamipride. Et rien ne changera dans les assiettes des Français, puisqu’on importe des aliments produits avec ce #neonicotinoide. L’extrême gauche anti-science qui a fait croire que ce produit répandait le cancer peut être fière de sa campagne de propagande : ce sont les agriculteurs français qui vont trinquer.
Nous aurions aimé que le 5 aout 2021, le Conseil Constitutionnel ait le même « courage » !
Que dit l’article 3 de la constitution ? Que le peuple est souverain. Que dit le conseil constitutionnel ? Qu’on peut s’asseoir sur la volonté du peuple, et ce n’est pas la première fois qu’il le dit!
https://pgibertie.com/2025/08/07/pour-le-conseil-constitutionnel-le-principe-de-precaution-ne-sapplique-pas-aux-produits-dangereux-importes-librement/
Une plongée dans la psychologie d’un président « hors normes », analyse de Michel Fize sur Emmanuel Macron
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 08 août 2025 - 12:30
Michel Fize, sociologue, politologue, ancien chercheur au CNRS, ancien élu municipal et régional, et défenseur de la cause animale, est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment sur l’adolescence. Dans son dernier livre, Un président a-normal : essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron (Éditions Perspectives Libres, novembre 2024) dont une réédition augmentée vient de sortir, il propose une analyse inédite de la personnalité d’Emmanuel Macron, Président de la République française.
À travers divers entretiens – dont celui avec Jean-François Gross pour son livre, Fize développe une réflexion croisée entre psychologie et politique, centrée sur le concept de « mégalothymia ». Les principaux axes de son analyse, sont explorés dans cet article en s’appuyant sur ces entretiens et en intégrant, lorsque pertinent, les perspectives complémentaires offertes par des articles et une interview publiés dans France-Soir.
Michel Fize et les origines de « Un président a-normal »
Michel Fize est un intellectuel dont le parcours académique s’est largement concentré sur l’étude de l’adolescence, un thème exploré dans une dizaine d’ouvrages. Cette expertise en sociologie et en psychologie des comportements juvéniles a influencé son regard sur Emmanuel Macron, qu’il perçoit comme un individu aux traits « adolescents attardés ».
Dans son entretien avec Jean-François Gross, Fize explique que l’idée de cet ouvrage est née de « réminiscences inconscientes » liées à son intérêt pour les comportements adolescents, réveillées par les attitudes de Macron, marquées par une puérilité, une arrogance, une quête de toute-puissance et une tendance à la transgression. Ces caractéristiques, souvent associées à l’adolescence, ont conduit Fize à s’intéresser à la psychologie de ce président controversé.
Fize précise que son intérêt ne se limite pas à une curiosité psychologique. Il évoque un « effet-repoussoir » : les valeurs d’égocentrisme, de manipulation, d’exhibitionnisme et d’arrogance qu’il attribue à Macron s’opposent radicalement à ses propres principes, issus d’une éducation chrétienne prônant l’humilité, la sincérité et l’altruisme. Cet écart moral et comportemental l’a motivé à explorer l’univers mental d’un personnage politique qu’il juge « inédit en France ». Son ouvrage se distingue des analyses classiques en croisant le prisme psychologique avec le politique, posant l’hypothèse que chez Macron, « tout est mental » : ses choix politiques seraient avant tout dictés par sa psychologie
La mégalothymia, un concept clé pour comprendre Macron
RépondreSupprimerAu cœur de l’analyse de Fize se trouve le concept de « mégalothymia », emprunté à l’historien américain Francis Fukuyama (« La Fin de l’Histoire », 1992). Fize définit la mégalothymia comme un « besoin irrésistible de voir reconnue sa supériorité sur les autres », une forme de super-mégalomanie. Contrairement à la mégalomanie classique, qui se limite à une affirmation exagérée de soi, la mégalothymia implique une quête constante de validation extérieure, où l’individu cherche à se positionner comme supérieur à « tous ceux qui ne sont pas lui ». Ce trait, selon Fize, est au centre de la personnalité d’Emmanuel Macron et explique ses comportements, ses discours et ses décisions politiques.
Fize illustre cette mégalothymia par une série de citations et d’actions emblématiques du président. Par exemple, des phrases comme « une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien » ou « je traverse la rue et je vous trouve un travail » traduisent, selon lui, un mépris pour autrui et une volonté de se placer au-dessus des autres. De même, l’insistance de Macron à prononcer un discours politique à l’intérieur de Notre-Dame en décembre 2024, en violation des principes de laïcité, ou sa revendication d’avoir « réussi » les Jeux olympiques et la reconstruction de Notre-Dame contre l’avis général, témoignent de ce besoin de prouver sa supériorité.
Fize souligne aussi que cette mégalothymia s’accompagne d’une incapacité à reconnaître ses erreurs. Lors de son discours sur la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, Macron n’a pas exprimé de véritable mea culpa, affirmant simplement que sa décision « n’a pas été comprise ». Pour Fize, cette absence de remords ou de culpabilité est symptomatique d’un individu enfermé dans une logique narcissique, où autrui n’existe que comme un miroir de sa propre grandeur.
Une personnalité marquée par un complexe d’infériorité et un possible traumatisme
Fize s’appuie sur des analyses psychologiques existantes, notamment celle du psychiatre italien Adriano Ségatori (2017), qui attribue les comportements de Macron à un possible traumatisme adolescent lié à sa relation avec Brigitte Trogneux, sa professeure de théâtre, de 24 ans son aînée. Selon Ségatori, cette liaison aurait généré un « sentiment de toute-puissance infantile » et un narcissisme malveillant, marqués par une absence de limites, une ambition démesurée et un besoin constant d’admiration pour compenser un complexe d’infériorité. Fize, tout en restant prudent sur ces diagnostics psychiatriques, reconnaît que cette relation a pu jouer un rôle dans la construction psychologique de Macron, notamment dans son rapport complexe aux femmes, illustré par ses tensions avec Marine Le Pen, qu’il percevrait comme une figure antagoniste à son image de « mère nourricière ».
Fize évoque également un complexe d’infériorité sous-jacent, peut-être lié à des échecs personnels, comme celui de l’École normale supérieure, qui aurait laissé une « cicatrice profonde ». Ce sentiment d’infériorité alimenterait, selon lui, la mégalothymia de Macron, qui chercherait à compenser par une affirmation constante de sa supériorité.
RépondreSupprimerCette hypothèse est renforcée par des comportements théâtraux, comme ses mises en scène lors de la commémoration du débarquement en Normandie ou de la réouverture de Notre-Dame, où il se positionne au centre de l’attention, tel un acteur sur la scène mondiale.
Une relation problématique avec autrui et la réalité
Un autre aspect central de l’analyse de Fize est l’incapacité d’Emmanuel Macron à établir des relations authentiques avec autrui. Fize affirme que Macron « n’aime ni la France ni les Français », non par malveillance, mais parce qu’il est « enfermé dans un moi qui lui mange les entrailles ». Autrui, pour Macron, n’existerait que comme un instrument ou un faire-valoir, un miroir destiné à refléter sa propre grandeur. Cette absence de relation véritable se manifeste dans son mépris pour les corps intermédiaires, son refus de la concertation et son incapacité à dialoguer avec ceux qui contestent sa supériorité.
Fize souligne également un détachement de la réalité sociale. Lors de la clôture des Jeux olympiques de 2024, Macron a déclaré que « la vraie vie, c’est ce qu’on a vécu pendant les JO », une affirmation déconnectée des crises économiques, sociales et politiques qui secouent la France (dette publique de 3 200 milliards d’euros, mouvement des gilets jaunes, faillites d’entreprises). Pour Fize, Macron vit dans une « réalité psychologique » qui l’isole des réalités sociales et économiques, le rendant incapable de reconnaître ses échecs, qu’il attribue systématiquement à des forces extérieures (crise des gilets jaunes, COVID-19, guerre en Ukraine) ou à l’incompréhension des Français.
Les risques d’une présidence mégalothymique
Fize met en garde contre les dangers d’une telle personnalité à la tête de l’État. Reprenant les conclusions de Ségatori, il note que la mégalothymia, combinée à des traits narcissiques et autoritaires, peut rendre Macron « dangereux » pour la société française, non par une folie clinique, mais par un fonctionnement psychologique qui le pousse à des décisions impulsives et à une quête de pouvoir absolu. Cette idée est renforcée par l’hypothèse d’un possible recours à l’article 16 de la Constitution, qui confère au président des pouvoirs exceptionnels en cas de crise grave. Fize souligne que cet article, utilisé par de Gaulle en 1961 dans des conditions contestables, pourrait être activé par Macron dans un contexte de blocage politique, ce qui équivaudrait à une « dictature temporaire ».
Les articles de France-Soir (« Je suis malade » et « Macron a-t-il aussi rendu malade ses concitoyens ? ») complètent cette analyse en explorant l’impact de la présidence de Macron sur la société française. Le premier article, signé par Xavier Azalbert, suggère que les comportements de Macron, qualifiés de « pathologiques » par certains experts, reflètent une forme de « maladie mentale » qui se manifeste dans ses décisions erratiques, comme la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024. Le second article va plus loin, affirmant que les politiques de Macron, marquées par une « maltraitance institutionnelle » (notamment lors de la crise du COVID-19), ont eu un effet délétère sur la santé mentale des Français, exacerbant les tensions sociales et la défiance envers les institutions. Ces analyses convergent avec celle de Fize, qui voit dans la mégalothymia de Macron une source de désordre politique et social.
RépondreSupprimerUne critique politique du macronisme - L’analyse psychologique de Fize trouve un écho dans l’interview, en mai 2020, de Chris Bickerton, professeur de politique à l’université de Cambridge, (« Le macronisme n’est pas encore la réponse aux problèmes »). Bickerton critique le macronisme comme un projet hyper-personnalisé, centré sur la figure « jupitérienne » de Macron, qui cherche à transformer la France et l’Europe mais échoue à maintenir un consensus social. Il pointe la déconnexion de Macron avec les classes populaires, illustrée par le mouvement des gilets jaunes, et sa gestion mitigée de la crise du COVID-19, qui n’a pas renforcé son leadership contrairement à d’autres dirigeants européens. Cette perspective politique complète la thèse de Fize : la mégalothymia de Macron, qui le pousse à se placer au-dessus des autres, se traduit par un pouvoir vertical et autoritaire, incapable de répondre aux attentes des Français et aggravant les fractures sociales.
Perspectives et limites du changement
Fize se montre pessimiste quant à la capacité de Macron à changer. Dans l’entretien avec Gross, il cite Nietzsche : « Il faut se perdre de vue pour un temps si l’on veut apprendre quelque chose des êtres que nous ne sommes pas nous-mêmes. » Or, Macron semble incapable de sortir de son « corset cérébral ». Ses tentatives de mea culpa, comme après la crise des gilets jaunes, restent superficielles, car il ne peut admettre ses erreurs sans remettre en question sa supériorité.
Cette rigidité psychologique, selon Fize, rend la démission impensable pour Macron, qui se voit comme le « maître des horloges », déterminé à aller au bout de son mandat, voire à envisager des scénarios pour prolonger son influence (par exemple, via l’article 16 ou une ambition européenne post-mandat).
Fize nuance son propos en reconnaissant les limites des grilles psychologiques. Il cite Freud pour rappeler que les types psychologiques « purs » (psychopathe, pervers narcissique, psychorigide) sont rares, et que Macron présente un mélange de traits, dominé par un « type libidinal narcissique » avec des éléments obsessionnels. Il met également en garde contre le risque de réduire l’individu à un déterminisme psychologique, soulignant que le libre arbitre reste possible, même si Macron semble incapable de l’exercer en raison de son enfermement dans la mégalothymia.
RépondreSupprimerL’analyse de Michel Fize dans « Un président a-normal » offre une lecture originale et provocante de la personnalité d’Emmanuel Macron, en croisant psychologie et politique autour du concept de mégalothymia. En décrivant un président prisonnier d’un besoin irrépressible de supériorité, incapable de relations authentiques avec autrui et détaché de la réalité sociale, Fize met en lumière les ressorts profonds d’un pouvoir qui, selon lui, frôle le danger pour la démocratie française. Les entretiens et les articles de France-Soir, complétés par l’interview de Chris Bickerton du 8 mai 2020, soulignent l’impact de cette psychologie sur la société, marquée par une défiance croissante et des crises à répétition.
Si Fize reste prudent sur les diagnostics psychiatriques, son ouvrage, enrichi par la perspective politique de Bickerton, invite à réfléchir aux implications d’une présidence dominée par un ego surdimensionné, dans un contexte politique déjà fragilisé. Alors que Macron semble déterminé à « durer », l’avenir de sa présidence, selon Fize, dépendra moins de stratégies politiques que de son incapacité à sortir de son propre enfermement psychologique.
Un président A-normal est disponible sur amazon.
https://www.francesoir.fr/culture-livres/une-plongee-dans-la-psychologie-d-un-president-hors-normes-analyse-de-michel-fize
Le Département de l'Énergie des États-Unis publie un rapport accablant sur l'alarmisme climatique et le programme « zéro émission nette »
RépondreSupprimer08/07/2025
Lance D Johnson
Tout ce qu'on nous a dit sur le changement climatique n'est qu'un mensonge élaboré. Un rapport choc du Département de l'Énergie des États-Unis, rédigé par cinq éminents scientifiques, vient de réduire à néant des décennies de science bidon politisée colportée par les alarmistes du climat. Si les médias grand public ont censuré ces conclusions, la vérité demeure : le gaz carbonique n'est pas l'ennemi. Cette molécule miraculeuse de la vie reverdit la planète, stimule la croissance des cultures et maintient la vie. Pourtant, les élites continuent de promouvoir le programme « zéro émission nette », un plan de dépopulation déguisé en « environnementalisme ».
Points clés :
Le rapport du Département de l'Énergie est une réfutation historique des modèles climatiques de l'IPCC
Les modèles de l'IPCC sont des exagérations flagrantes, démenties par des données réelles.
Le gaz carbonique atmosphérique dynamise en réalité le développement agricole.
La croissance des plantes a bondi de 25 à 50 % à l'échelle mondiale, les combustibles fossiles étant devenus la norme. (Ignoré par l'IPCC)
Aucune accélération des phénomènes météorologiques extrêmes aux États-Unis ne peut être directement liée au gaz carbonique, et pourtant les médias sèment la peur en utilisant les ouragans, les sécheresses et les inondations comme exemples du changement climatique et de l'augmentation des émissions de gaz carbonique d''origine humaine'.
L'activité solaire et les cycles naturels sont minimisés dans le discours sur le réchauffement climatique : les modèles climatiques « surchauffent » et échouent aux tests de précision.
Les politiques de zéro émission nette reposent sur une science bidon – un scénario catastrophe ridicule utilisé pour justifier la tyrannie énergétique.
Verdissement mondial : le miracle du gaz carbonique que vous n'avez pas le droit de connaître
Le rapport du Département de l'Énergie confirme ce que des chercheurs indépendants affirment depuis des années : le gaz carbonique ne condamne pas la Terre, il la revitalise. En 2016, Zhu et al. ont découvert que 25 à 50 % des terres végétalisées de la Terre ont connu un verdissement significatif, soit l'équivalent d'un deuxième territoire continental des États-Unis. Mais où est la célébration ? Au lieu de cela, les médias présentent les ouragans et les incendies de forêt comme des conséquences du changement climatique.
Pourquoi ? Parce que reconnaître la croissance des plantes et la robustesse des cycles agricoles compromet les politiques fondées sur la peur que les élites veulent imposer. L'IPCC mentionne à peine la fertilisation par le gaz carbonique, un fait profondément enfoui et jamais présenté dans les rapports de synthèse. Même les récifs coralliens ont rebondi, défiant les prophètes de malheur de l'acidification.
RépondreSupprimerModèles climatiques : des outils de contrôle pour les élites, pas pour la science
Pendant quatre décennies, les bureaucrates du climat se sont appuyés sur des simulations apocalyptiques pour susciter la peur dans l'opinion publique. Pourtant, la plupart de ces projections étaient basées sur le RCP8.5, un scénario d'émissions longtemps discrédité, mais toujours instrumentalisé par les militants pour justifier le rationnement énergétique. Le rapport rend un verdict accablant : les modèles climatiques sont en triple désaccord sur les prévisions de réchauffement, ce qui les rend inutilisables pour l'élaboration des politiques.
Les failles sont plus profondes. Les modèles dits « chauds » échouent aux vérifications de la réalité de base, exagérant considérablement le réchauffement tout en négligeant la variabilité naturelle du climat. L'activité solaire, les cycles océaniques et l'histoire observable du climat déconstruisent complètement les discours alarmistes.
Tout aussi trompeurs sont les efforts incessants du Green Blob pour imputer au gaz carbonique les catastrophes naturelles. Les données américaines ne montrent aucune tendance concernant les ouragans, les tornades ou les inondations au fil du temps. Les incendies de forêt résultent principalement d'une mauvaise gestion forestière, et non du changement climatique, tandis que l'élévation du niveau de la mer ne montre aucune accélération alarmante.
Malgré cela, les poursuites judiciaires liées au climat, orchestrées par des groupes financés par des activistes comme World Weather Attribution (WWA), reconnaissent leur véritable motivation : une « guerre juridique » idéologique, et non la vérité scientifique. (Il est à noter que le Dr Friederike Otto de l'Imperial College, une figure emblématique de la BBC, supervise ce système d'attribution défaillant.)
Zéro net : un masque pour l'autoritarisme
RépondreSupprimerLe rapport expose la réalité derrière l'hystérie. Le gaz carbonique est bénéfique pour les écosystèmes, les modèles restent peu fiables, et le « zéro net » n'est pas une politique scientifique, mais un mécanisme de contrôle. NaturalNews dénonce ce phénomène depuis des années. Aujourd'hui, le ministère de l'Énergie reconnaît enfin cette conspiration et prend des mesures proactives pour démystifier le programme climatique. Les élites de gauche favorisent la précarité énergétique, le dépeuplement et l'effondrement économique, tandis que la Chine, l'Inde et les BRICS rejettent le dogme climatique, s'assurant ainsi une domination industrielle tandis que l'Occident s'autodétruit.
La mascarade est terminée. L'alarmisme climatique n'a jamais eu pour but de sauver la planète, mais plutôt de faire pression sur le pouvoir. Les médias vont-ils enfin révéler la vérité ? Ou continuer à mentir pour le pouvoir ?
Sources :
DailySkeptic.org
Energy.gov [PDF]
Enoch, Brighteon.ai
ClimateScienceNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2025-08-07-doe-report-tackles-climate-change-alarmism.html
Nouvelle offensive de désinformation contre l’agriculture conventionnelle
RépondreSupprimer27 juillet 2025
Aymeric Belaud
Ces dernières semaines, l’agriculture conventionnelle a subi une violente campagne de désinformation médiatique, dans la presse, à la télévision et sur les réseaux sociaux. Une manipulation de l’opinion publique scandaleuse, disons-le d’emblée, qu’il est nécessaire de dénoncer : car les faits scientifiques eux, ne mentent pas.
La campagne, d’une rare virulence, vise l’irrigation des cultures et les retenues d’eau appelées « bassines », le glyphosate et la loi Duplomb adoptée récemment à l’Assemblée nationale. Celle-ci poserait un problème majeur de santé publique ; en cause, la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, néonicotinoïde pourtant autorisé partout en Europe et dans le monde. Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts, parle de la loi « poison ». Le 8 juillet, sur X, elle estimait que « tous les députés qui voteront pour la loi Duplomb voteront pour l’empoisonnement de vos enfants et la destruction de la biodiversité ».
Une nouvelle étude au protocole bancal pour dénigrer le glyphosate
Le 12 juin dernier, la presse relaye abondamment une nouvelle étude italienne qui démontrerait « qu’une exposition prolongée au glyphosate, dès la vie prénatale, entraîne une augmentation significative des cas de leucémies et de nombreux autres types de tumeurs ». Le journal Charente Libre, qui ne rate pas une occasion de vilipender l’agriculture et la viticulture, estime que c’est un « scandale sanitaire en puissance » ignoré par les autorités sanitaires. Dans son article, le journaliste mentionne uniquement les propos de membres d’ONG écologistes anti-glyphosate. Un article très partial donc, comme beaucoup. L’institut Ramazzini, qui a mené cette étude, est connu pour son engagement contre de nombreuses matières actives utilisées en agriculture. Son impartialité peut donc légitimement être remise en cause, tout comme les résultats douteux de son étude.
Le protocole a consisté à suivre 1 020 rats de race Sprague-Dawley, exposés dès la gestation à trois doses de glyphosate (0,5 mg/kg/j, 5 mg/kg/j et 50 mg/kg/j). Les auteurs annoncent une augmentation « significative » de tumeurs bénignes et malignes à toutes les doses : leucémies, hémangiosarcomes, cancers du foie, de la thyroïde, du système nerveux… Mais, comme le constate le média scientifique les électrons libres, l’étude présente des failles importantes. Jérôme Barrière, médecin oncologue, explique pourquoi : un, les rats utilisés pour cette recherche développent déjà spontanément des tumeurs avec l’âge. Deux, certaines données sont incohérentes. Par exemple, pour la dose la plus faible de Roundup Bioflow (un herbicide contenant du glyphosate), aucun lymphome n’est détecté alors que le taux de lymphome est de 10 % dans le groupe témoin (sans exposition au glyphosate). Cela voudrait donc dire que le Roundup Bioflow, à dose faible, évite le développement de lymphomes, ce qui est ridicule. Trois, on observe que dans certains cas, les rats développent plus de tumeurs en recevant des doses faibles qu’avec les doses les plus fortes : un résultat incohérent. Quatre, les conclusions de l’étude ne reposent que sur un ou deux cas par groupe de rats, ce qui est trop peu pour démontrer quoi que ce soit. Cinq, le glyphosate est administré aux rats de façon continue dans l’eau, ce qui n’a rien à voir avec l’exposition humaine, qui elle « se fait par l’alimentation, à petites doses, par pics, et à des niveaux des milliers de fois inférieurs. » Jérôme Barrière conclut sans ambigüité que l’étude de l’institut Ramazzini « ne prouve pas un danger immédiat pour l’humain. »
RépondreSupprimerDernier point, accablant : elle utilise les mêmes rats Sprague-Dawley que l’étude Séralini de 2012, du biologiste du même nom qui affirmait avoir observé une hausse de tumeurs mammaires chez des rats exposés au Roundup. Cette étude a été contestée, puis retirée un an plus tard par la Food and Chemical Toxicology, qui l’avait publiée. A l’époque, les médias s’étaient empressés de la faire connaître et de la citer comme preuve irréfutable de la dangerosité du glyphosate.
Aucune preuve, nulle part, que le glyphosate soit toxique
Il est indubitablement plus éclairant de se référer aux organismes indépendants qui n’ont pas manqué d’étudier sérieusement le glyphosate. L’EFSA, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, a relevé dans son évaluation de la molécule en 2023 qu’il n’y a aucune zone de préoccupation critique sur le glyphosate, ni pour l’homme, ni pour les animaux ni pour l’environnement. Cette évaluation est la plus complète et la plus robuste que l’Agence ait jamais remise et elle corrobore les conclusions de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) en 2022 : aucun critère scientifique ne permet de classer le glyphosate dans la catégorie des substances cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques.
Ailleurs dans le monde, les agences nationales disent la même chose. Pour l’autorité de protection de l’environnement de Nouvelle-Zélande, « Il est peu probable que le glyphosate soit cancérogène pour l’homme ». Pour le FSC (agence japonaise), « Aucune cancérogénicité n’a été observée ». Pour l’OSAV (Office fédéral suisse de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires), « L’exposition par le biais de l’alimentation ne présente pas de danger pour la santé ». Pour l’Environmental Protection Agency (Etats-Unis), l’Agence canadienne de réglementation de la lutte antiparasitaire, l’Autorité australienne des pesticides et médicaments vétérinaires ou encore l’Administration du développement rural de la république de Corée (du Sud), il n’y a pas de risque cancérogène. Aucune preuve scientifique tangible ne justifie donc l’interdiction du glyphosate.
RépondreSupprimerLa loi Duplomb ne provoquera pas de cancers…
La loi Duplomb, dont les sénateurs Laurent Duplomb et Franck Menonville sont à l’origine, a été adoptée à l’Assemblée nationale par 316 voix pour et 223 voix contre. Elle a pour objectif de lever les contraintes qui pèsent sur les agriculteurs. Elle comprend notamment la réintroduction, à titre dérogatoire et sous conditions, de l’acétamipride, un néonicotinoïde interdit en France mais autorisé partout ailleurs en Europe. Cette réintroduction est notamment une demande des producteurs de betteraves et de noisettes, qui n’ont aucune autre solution contre les ravageurs et qui subissent de fait la concurrence des autres pays européens qui, eux, ont le droit d’utiliser ce produit.
Les militants écologistes ont donc mis la machine à désinformer en marche : les députés et sénateurs qui ont voté pour la « loi poison » seront responsables de millions de cancers et autres maladies ! Là encore, la réalité n’est pas celle que vendent les marchands de peur. Géraldine Woessner, rédactrice en chef au Point, rappelle les faits. En 2022, l’EFSA a conclu qu’aucune donnée ne démontrait que l’acétamipride est susceptible de constituer un risque grave pour la santé humaine, la santé animale ou l’environnement ; c’est pour cette raison que cette substance est autorisée au sein de l’Union européenne et que tous les pays membres, sauf la France jusqu’au 8 juillet dernier, permettent son utilisation.
Les militants écologistes mettent en avant plusieurs études qui en prouveraient la toxicité. L’EFSA les a analysées, et en a conclu en mars 2024 que leur qualité méthodologique est « très inégale », qu’elles présentent « un haut risque de biais », qu’elles « manquent d’évaluation détaillée de l’exposition » et « utilisent des points finaux non pertinents pour l’évaluation des risques ». Certaines testent des concentrations non appropriées, ce qui fausse les résultats.
L’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, dans un rapport de 2018, estime qu’après « examen des données disponibles sur les dangers pour la santé humaine présentés par les six substances actives de la famille des néonicotinoïdes autorisées dans le cadre des règlements relatifs aux produits phytopharmaceutiques et/ou biocides et/ou médicaments vétérinaires (acétamipride, clothianidine, imidaclopride, thiaclopride, thiaméthoxame et dinotéfurane) », ces travaux « ne mettent pas en évidence d’effet nocif pour la santé humaine, dans le respect des conditions d’emploi fixées dans les autorisations de mise sur le marché. »
RépondreSupprimer… et n’empêchera pas les abeilles de butiner
Un autre grand argument écologiste est la toxicité de l’acétamipride envers les abeilles. Là encore, Géraldine Woessner rappelle que l’EFSA et l’Anses ont estimé qu’aucun effet notable n’a été observé sur elles après une exposition chronique. L’EFSA considère que l’acétamipride présente un risque faible pour les abeilles et les bourdons. Et la journaliste du Point d’exhorter ses collègues à cesser de « relayer des études qui ont été écartées par les meilleurs spécialistes pour biais scientifiques majeurs ».
Enfin, et toujours pour faire peur à l’opinion publique, le journaliste du service public audiovisuel Hugo Clément, dont nous reparlerons plus bas, a publié une vidéo sur X dans laquelle il dénonce la loi Duplomb qui « empoisonne la nature et nos enfants », et explique que les « pesticides » de façon générale sont responsables de cancers pédiatriques et de malformations sur les nouveaux nés. Argument dénoncé par la professeure Virginie Gandemer, présidente de la Société française de lutte contre les cancers et les leucémies de l’enfant et de l’adolescent. Dans une interview accordée au Point en juin 2024, elle s’alarme des contrevérités qui polluent le débat public et explique que « personne n’a jamais pu démontrer de cause environnementale entraînant directement un cancer pédiatrique. »
Les « bassines » toujours dans le viseur des écologistes
RépondreSupprimerLa loi Duplomb ne fait pas que réintroduire l’acétamipride, elle devrait également permettre de faciliter le stockage de l’eau, via notamment les retenues. Un collectif appelé « DU PLOMB » a donc décidé, durant le week-end du 5 au 6 juillet (avant le vote de la loi) de saboter des retenues d’eau, en Vendée, en Charente-Maritime et en Charente, en lacérant au cutter des bâches d’étanchéité en haut de digue, causant des dizaines de milliers d’euros de dégâts. Ce ne sont pas les premières dégradations de « bassines » par l’extrême-gauche, et malheureusement pas les dernières non plus. Ces actes de vandalisme sont soutenus par des élus. La députée écologiste de la Vienne Lisa Belluco avait publié sur Facebook le 29 juin une vidéo dans laquelle elle déclarait qu’elle trouvait « légitime que des militants écologistes aient recours au sabotage ».
Hugo Clément est un très bon relais de la propagande contre les retenues d’eau et l’irrigation. Dans son émission « Sur le front » diffusée sur France 5 à la mi-juin, il traitait de la culture du maïs et de l’irrigation. Il a déroulé une suite d’éléments trompeurs, de déformations voire de mensonges, le tout sans aucun contradicteur. Bien que de nombreux comptes sur les réseaux sociaux d’agriculteurs, de spécialistes, de coopératives, d’interprofessions, et de journalistes qui connaissent leur sujet aient apporté démentis et précisions, le mal était déjà fait auprès du grand public… et avec l’argent du contribuable qui plus est. Après cela, des journalistes de France Télévisions, interrogeant un militant « anti-bassines » proche d’une retenue d’eau dégradée, s’offusquent d’être mal reçus par les agriculteurs !
Les retenues sont pourtant essentielles pour permettre à notre agriculture de s’adapter aux sécheresses de l’été et de fournir l’eau nécessaire aux cultures. Qui plus est, une étude de 2022 du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a démontré un impact positif sur les nappes phréatiques et les cours d’eau, loin de la « privatisation de l’eau » dont s’indignent si fort les militants d’extrême-gauche.
Les merdias portent bien leur nom ! Télé, radios et journaux glorifient et montent aux sommets des nano groupuscules de mercenaires anti paysans qui veulent voir le monde crever !!
RépondreSupprimerIls s'en prennent tantôt au désherbant le plus utiliser dans le monde depuis des décennies jusqu'aux lacs, marres ou 'bassines' qui servent gratuitement de réserves d'eau pour toutes les cultures. A près ils s'en prennent aux projections brumisantes de médicaments pour les plantes malades qui seraient responsables du manque d'abeilles alors que leurs putains d'éoliennes vertes de merde tuent des millions d'oiseaux et d'abeilles chaque jour !
Bref, ils veulent faire prendre des vessies pour des lanternes en défendant la délinquances allant jusqu'à soutenir les criminels qui veulent empêcher les populations d'exister en supprimant leur nourriture ! C'est l'application à la lettre du Plan Dépopulation21.
L’Argentine, entre cinq siècles de turbulences et le pari Milei
RépondreSupprimer30 juillet 2025
IREF
Dans un article publié le 21 décembre 2024 dans le Journal des Libertés, Nathalie Janson, professeure associée à Neoma Business School et enseignante à Sciences Po, s’intéresse à l’Argentine, pays d’Amérique latine riche en ressources naturelles, et souligne l’importance capitale des institutions dans le destin d’une nation. L’histoire de l’Argentine, qui s’étend sur plus de cinq siècles, est marquée par une succession de périodes de prospérité et de phases de déclin, dont la qualité des institutions constitue souvent la clé d’explication.
Dès le XVIe siècle, avec la colonisation européenne, l’Argentine fut un territoire stratégique, mais son organisation institutionnelle demeurait rudimentaire. Ce n’est qu’après la déclaration d’indépendance en 1816 que le pays tenta de bâtir un système politique propre. Cette tentative fut rapidement compromise par des luttes internes, notamment sous la domination du caudillo Juan Manuel de Rosas, qui dirigea un régime autoritaire entre 1829 et 1852. Ces décennies d’instabilité freinèrent la construction d’institutions solides, pourtant indispensables au développement économique.
La Constitution de 1853, largement inspirée du modèle américain, représenta un tournant majeur. L’influence intellectuelle de Juan Bautista Alberdi, fervent défenseur de la liberté économique et politique, contribua à poser les bases d’un système stable. Ce cadre institutionnel favorisa les investissements étrangers, notamment britanniques, permettant à l’Argentine de devenir l’une des économies les plus dynamiques du monde à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. La croissance soutenue encouragea la montée d’une classe moyenne et une amélioration notable du niveau de vie, plaçant le pays parmi les nations les plus prometteuses de son temps.
Pourtant, cette stabilité institutionnelle et économique s’éroda progressivement dès les années 1930. Une série de coups d’État militaires, conjuguée à la montée de politiques populistes, fragilisa les fondements mêmes de la démocratie. Le péronisme, en particulier, incarna cette époque : il contribua aussi à affaiblir les institutions, à multiplier les interventions étatiques dans l’économie et à creuser les déséquilibres budgétaires.
Ce cycle infernal se perpétua tout au long du XXe siècle, avec des crises économiques récurrentes, hyperinflation, dévaluations et endettement croissant. Les institutions démocratiques furent fréquemment suspendues ou affaiblies, ce qui entraîna une perte de confiance des citoyens et des investisseurs. La période 2013-2023 symbolise tragiquement ce déclin : la pauvreté explosa, passant d’environ 10 % à plus de 45 %, tandis que l’inflation atteignit des sommets hyperinflationnistes, dépassant 300 %. La fragmentation institutionnelle et le clientélisme aggravèrent ce cercle vicieux.
RépondreSupprimerDans ce contexte de crise profonde, l’élection en décembre 2023 de Javier Milei est une tentative de rupture. Sa promesse de reconstruction repose sur une réforme radicale des institutions et de l’économie, incluant une réduction drastique des dépenses publiques, une dérégulation importante et la proposition audacieuse de dollariser l’économie afin de restaurer la stabilité monétaire. Si ces mesures séduisent certains partisans en quête de changement profond, elles suscitent bien sûr des interrogations quant à leur faisabilité et leurs conséquences sociales. Mais elles sont porteuses de grandes promesses.
L’Argentine illustre combien la qualité des institutions est un pilier fondamental de la prospérité et de la stabilité d’un pays. La réussite économique et sociale ne peut être durable sans un cadre institutionnel solide, transparent et respecté. La trajectoire argentine constitue un exemple saisissant des risques liés à la fragilité institutionnelle : une promesse de grandeur vite contrariée par la décadence, et un défi permanent pour chaque nouvelle génération de dirigeants. Pour le moins, Milei semble avoir conscience des enjeux.
https://contrepoints.org/largentine-entre-cinq-siecles-de-turbulences-et-le-pari-milei/
Argentine: 23° Sud 65
Supprimer52° Sud 70
France: (Calais) 50° Nord 60
(frontière espagne) 42° Nord 26
La Grande Barrière de corail est en pleine forme, mais le changement climatique détruit les institutions scientifiques
RépondreSupprimerPar Jo Nova
August 8th, 2025
Le récif le plus grand et le mieux étudié au monde se porte bien.
Malgré des émissions record de dioxyde de carbone et des températures record, la Grande Barrière de corail a de nouveau connu l'une de ses meilleures années. En 40 ans d'étude par l'AIMS, les quatre dernières années ont été particulièrement fructueuses.
D'après les données, les coraux résistent bien à la chaleur et au CO2 actuels. Mais plus nous dépensons d'argent pour identifier une crise climatique, plus nos institutions scientifiques se dégradent. L'argent unilatéral et la science monopolistique peuvent transformer n'importe quel institut en une machine à s'accaparer des impôts, au service du Blob, et non des citoyens. C'est le cas.
L'enquête annuelle de l'AIMS sur les récifs pour 2025 indique que la Grande Barrière de corail a subi « un déclin brutal après une vague de chaleur record ». Pire encore, le blanchissement massif des coraux devient plus fréquent avec le réchauffement climatique, et l'intervalle entre les événements se réduit, ce qui laisse aux coraux moins de temps pour se reconstituer.
Peter Ridd a donc utilisé les mêmes données et a créé le graphique que l'AIMS, avec 90 millions de dollars de fonds publics, n'a pas pu réaliser, afin que nous puissions tous apprécier pleinement la catastrophe. Le voici :
- voir graph sur site -
Grande Barrière de Corail, GBR, couverture corallienne. Peter Ridd.
L'AIMS nous indique également que le récif est « plus volatile » et a subi la tragédie d'un déclin depuis des sommets records jusqu'à des « tendances moyennes à court terme », ce qui semble horrible, enfin, « normal ». Comme une régression vers la moyenne. Même si le graphique à long terme, qu'AIMS ne souhaite pas vous montrer, ne semble pas très « moyen ».
Les médias Blob ont rapidement adopté le communiqué de presse partial et politiquement opportun de l'AIMS, n'ont enquêté sur aucune affirmation, n'ont posé aucune question difficile et ont produit la pire interprétation possible d'un bon résultat. Apparemment, c'est exactement ce à quoi l'AIMS s'attendait, car ils ne se sont pas plaints.
L'ABC, avec un budget d'un milliard de dollars, aurait pu réaliser le graphique réalisé par Peter Ridd. Ils auraient pu le demander à l'AIMS. Ils auraient même pu téléphoner à Peter, qui le leur aurait donné, avec le sourire. Au lieu de cela, ils ont appuyé sur le bouton « Alarme climatique : donnez-nous votre argent ».
ABC | BBC | The Guardian
Il est clair que l'Institut australien des sciences marines (AIMS) ne cherche même pas à fournir aux Australiens les informations les plus pertinentes possibles sur le récif. Lorsque les médias exagèrent la crise, les experts s'en réjouissent. L'AIMS n'appelle pas les journalistes pour les corriger. Il n'explique pas la perspective globale.
Les chercheurs de l'AIMS le savent certainement, mais ils ne mentionnent pas des aspects comme l'extraordinaire adaptabilité génétique des récifs : les coraux possèdent déjà les gènes nécessaires pour survivre à 250 ans supplémentaires de changement climatique. Ils peuvent utiliser des astuces épigénétiques pour s'adapter à des eaux plus chaudes et plus acides, et la Grande Barrière de corail compte 112 zones protégées et résistantes qui survivent et se reconstituent après le blanchissement.
RépondreSupprimerLe blanchissement des coraux remonte à 1862, avant la première centrale à charbon et bien avant la Ford T. Il est fort probable que les coraux aient blanchi par intermittence pendant des millions d'années ; il est juste qu'il n'y avait pas beaucoup de plongeurs pour prendre une photo ou obtenir une subvention ARC en 2 millions avant J.-C.
Après des millions d'années d'astéroïdes, de volcans, de variations brutales de température et de variations spectaculaires des gaz atmosphériques (plus des variations de 125 m du niveau de la mer), il serait surprenant que les coraux ne disposent pas de tous les outils nécessaires pour faire face à un léger changement climatique.
RÉFÉRENCES
Étude annuelle des récifs de l'Institut australien des sciences marines (AIMS)
Peter Ridd, Reef Rebels
https://joannenova.com.au/2025/08/great-barrier-reef-in-great-health-but-climate-change-is-killing-science-institutions/
Ce cycle infernal se perpétua tout au long du XXe siècle, avec des crises économiques récurrentes, hyperinflation, dévaluations et endettement croissant. Les institutions démocratiques furent fréquemment suspendues ou affaiblies, ce qui entraîna une perte de confiance des citoyens et des investisseurs. La période 2013-2023 symbolise tragiquement ce déclin : la pauvreté explosa, passant d’environ 10 % à plus de 45 %, tandis que l’inflation atteignit des sommets hyperinflationnistes, dépassant 300 %. La fragmentation institutionnelle et le clientélisme aggravèrent ce cercle vicieux.
RépondreSupprimerDans ce contexte de crise profonde, l’élection en décembre 2023 de Javier Milei est une tentative de rupture. Sa promesse de reconstruction repose sur une réforme radicale des institutions et de l’économie, incluant une réduction drastique des dépenses publiques, une dérégulation importante et la proposition audacieuse de dollariser l’économie afin de restaurer la stabilité monétaire. Si ces mesures séduisent certains partisans en quête de changement profond, elles suscitent bien sûr des interrogations quant à leur faisabilité et leurs conséquences sociales. Mais elles sont porteuses de grandes promesses.
L’Argentine illustre combien la qualité des institutions est un pilier fondamental de la prospérité et de la stabilité d’un pays. La réussite économique et sociale ne peut être durable sans un cadre institutionnel solide, transparent et respecté. La trajectoire argentine constitue un exemple saisissant des risques liés à la fragilité institutionnelle : une promesse de grandeur vite contrariée par la décadence, et un défi permanent pour chaque nouvelle génération de dirigeants. Pour le moins, Milei semble avoir conscience des enjeux.
https://contrepoints.org/largentine-turbulences-pari-milei/