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La prétendue « dette nationale de 37 000 milliards de dollars » sert de couverture à la bombe de 151 000 milliards de dollars.
RépondreSupprimer08/04/2025
Lance D Johnson
La bombe à retardement qui pèse sur l'économie américaine ne se limite pas aux 37 000 milliards de dollars de dette nationale qui font la une des journaux : ce sont les 151 000 milliards d'obligations cachées qui couvent discrètement dans les rapports du Trésor. Alors que les politiciens se chamaillent au sujet des restes budgétaires, la véritable menace plane : une catastrophe de passifs non financés, alimentée par des programmes sociaux démesurés et des dépenses inconstitutionnelles qui ont précipité le pays dans une spirale d'endettement inexorable. D'ici mi-2025, les États-Unis seront confrontés à une situation financière si grave que même un défaut de paiement sous l'impulsion de Trump pourrait être inévitable. Mais le peuple américain se réveillera-t-il avant qu'il ne soit trop tard ?
Points clés :
La dette nationale officielle de 37 000 milliards de dollars est un écran de fumée ; Les obligations réelles des États-Unis dépassent 151 000 milliards de dollars, y compris la Sécurité sociale, Medicare et les retraites fédérales non financées.
Les artifices comptables fédéraux masquent la crise : les dépenses obligatoires absorbent désormais 73 % du budget, contre 34 % en 1965.
La Sécurité sociale et Medicare seront en faillite d’ici 2033, entraînant des réductions automatiques des prestations de 23 %. Pourtant, le Congrès ignore la catastrophe imminente.
Les paiements d’intérêts sur la dette dépasseront les dépenses de défense d’ici 2024 et éclipseront les coûts de la Sécurité sociale d’ici 2042, accélérant ainsi l’effondrement économique.
La Réserve fédérale et le Trésor pourraient « liquider » la dette par le biais de l’hyperinflation – un défaut implicite – plutôt que d’admettre l’échec budgétaire. Le mensonge de 151 000 milliards de dollars : comment Washington dissimule sa faillite
Le rapport financier 2024 du Trésor américain, enfoui sous un jargon bureaucratique, révèle la vérité : la fortune nette des États-Unis est négative de 143 000 milliards de dollars. Cela représente 85 % de toute la richesse privée jamais accumulée dans l’histoire des États-Unis. Pourtant, au lieu de la comptabilité d’exercice (utilisée par les entreprises pour suivre les passifs dès leur origine), Washington utilise la comptabilité de caisse – un tour de passe-passe qui ignore les obligations futures jusqu’à l’échéance. « C’est une comptabilité à la Enron », prévient James Agresti, président de Just Facts. « Si un PDG faisait cela, il serait poursuivi pour fraude.»
La majeure partie de cette tromperie provient des programmes sociaux. La Sécurité sociale et Medicare représentent à elles seules 105 800 milliards de dollars de passifs non capitalisés, soit plus de 700 % du PIB annuel. Contrairement aux retraites privées, qui sont légalement tenues de constituer des réserves, ces programmes fonctionnent comme des pyramides de Ponzi : les cotisations sociales actuelles financent les retraités d’hier, laissant les générations futures payer le prix fort. Avec seulement 2,7 travailleurs par bénéficiaire (contre 5,1 en 1960), le système est mathématiquement condamné. Pourtant, les politiciens de carrière continuent de mentir aux électeurs, prétendant que la réforme n’est pas urgente.
Dépenses obligatoires : le pilotage automatique vers la ruine
RépondreSupprimerLes manœuvres théâtrales du Congrès concernant les coupes budgétaires se concentrent sur les dépenses discrétionnaires (défense, infrastructures), mais le véritable monstre, ce sont les dépenses obligatoires : les prestations sociales et les paiements d’intérêts auxquels on ne peut rien sans un bouleversement législatif. Depuis que la Grande Société de Lyndon Johnson a gonflé l’État-providence dans les années 1960, les dépenses obligatoires ont explosé, passant de 34 % à 73 % des dépenses fédérales. Le résultat ? Une spirale budgétaire mortelle qui s'auto-entretient :
Paiements d'intérêts 2024 : 1 000 milliards de dollars, soit plus que la défense (800 milliards de dollars) ou Medicare (755 milliards de dollars).
Intérêts prévus 2030 : 2 000 milliards de dollars, soit l'équivalent des déficits fédéraux actuels.
Prévisions 2042 : Les intérêts deviennent le poste budgétaire le plus important, dépassant la Sécurité sociale.
Comme Ron Paul l'a dit sans détour à David Lin : « Ils ne peuvent pas payer la dette ; ils la liquideront avec de la fausse monnaie.» La frénésie d'impression monétaire de la Fed (officiellement « assouplissement quantitatif ») érode déjà la valeur du dollar, mais l'hyperinflation à venir – un défaut de paiement de facto de l'État – anéantira l'épargne et plongera l'Amérique dans une instabilité digne du tiers-monde.
Trahison constitutionnelle : comment Washington a creusé sa propre tombe
La racine de cette crise n'est pas seulement mathématique, c'est l'anarchie. La Constitution n'a jamais autorisé la Sécurité sociale, Medicare, les prêts étudiants fédéraux ni le ministère de l'Éducation. De tels programmes ont été inventés unilatéralement par des décisions de la Cour suprême des années 1930, transformant la clause commerciale en un chèque en blanc pour les excès de pouvoir du gouvernement fédéral. Résultat ? Les dépenses ont explosé, passant de 3 % du PIB en 1930 à 23 % aujourd’hui.
Aujourd’hui, chaque ménage américain doit effectivement 1,08 million de dollars pour couvrir les dettes du gouvernement. Pourtant, au lieu de réduire les programmes anticonstitutionnels, Washington continue de voler l’avenir. Lorsque l’effondrement surviendra, la classe politique paniquera : soit elle réduira les prestations sociales (déclenchant des émeutes), soit elle hyper-inflationnera la monnaie (anéantissant la classe moyenne).
La survie exige une révolution, et pas seulement une réforme.
Comme le soutient Ron Paul, la crise pourrait galvaniser un renouveau des libertés constitutionnelles. Mais d'abord, les Américains doivent rejeter les mythes suivants :
« La Sécurité sociale, c'est votre argent » (Faux : c'est une pyramide de Ponzi financée par l'impôt).
RépondreSupprimer« Le Congrès peut régler ce problème par des ajustements. » (Délirant : le système est structurellement défaillant).
« Le défaut de paiement est impensable. » (Inévitable : la seule question est de savoir à quel point il sera désordonné.)
La solution ? Supprimer les agences inconstitutionnelles, transférer les droits vers des comptes privés et rétablir une monnaie saine, avant que la réinitialisation financière ne nous soit imposée. Car lorsque 151 000 milliards de dollars de dette arriveront à échéance, aucune manœuvre politique ne sauvera une nation qui a refusé de vivre selon ses moyens.
Sources include:
Zerohedge.com
Heartland.org
CMS.zerohedge.com
https://www.naturalnews.com/2025-08-04-alleged-national-debt-cover-for-bigger-debt-bomb.html
😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
Supprimerjeudi 23 octobre 2014
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-22/it-will-take-398879561-years-pay-us-governments-debt
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
Les éditos de l’été 2025 - La fin ou la limitation de l'usage de l’argent liquide : une menace sur l’autonomie et les droits fondamentaux ?
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 04 août 2025 - 10:23
Depuis de nombreuses années, la détention de liquide chez soi, pour partir en voyage, régler des achats, est de plus en plus limitée.
En France, il n'y a pas de limite légale à la détention d'argent liquide chez soi, mais des justificatifs de l'origine des fonds peuvent être requis en cas de contrôle pour des sommes importantes (souvent au-delà de 10 000 €). Les retraits d'espèces ne sont pas plafonnés par la loi, mais les banques imposent des limites (300 € à 3 000 €/semaine selon la carte) et peuvent demander des explications pour des montants élevés (supérieurs à 1 000 € par transaction ou 10 000 €/mois). Les paiements en espèces sont limités à 1 000 € pour un particulier à un professionnel (15 000 € si domicile fiscal à l'étranger) et 300 € aux finances publiques. Voyager avec plus de 10 000 € dans l'UE ou hors UE nécessite une déclaration aux douanes. Tout montant inhabituel peut déclencher un signalement à Tracfin.
Les restrictions liées à la détention ou l’usage de liquide ont été décrétés sans consultation populaire ni référendum, et la digitalisation de l’économie, et l’intention de mettre en place l’euro numérique marquent des étapes supplémentaires dans la disparition progressive du cash.
L’argent liquide, symbole tangible de la confiance des citoyens dans le système économique, est en train de s’effacer au profit d’une dématérialisation imposée. Cette évolution soulève des questions profondes : que représente réellement l’argent liquide ? Pourquoi sa fin suscite-t-elle autant d’inquiétudes ? Et surtout, qui a décidé de sacrifier nos libertés fondamentales sans notre consentement ?
Qu’est-ce que l’argent liquide et pourquoi est-il essentiel ?
L’argent liquide – billets et pièces – est bien plus qu’un simple moyen de paiement. Il est une incarnation physique de la confiance entre les citoyens, l’État et le système bancaire. Tenir un billet dans sa main, c’est détenir une promesse concrète, utilisable sans dépendre d’une infrastructure numérique, d’une banque ou d’un réseau électrique. Le cash permet d’acheter un pain au marché, de donner un pourboire ou de régler une transaction entre particuliers sans laisser de trace numérique.
Historiquement, il a été le socle de la liberté économique individuelle, offrant une autonomie immédiate face aux incertitudes économiques ou aux crises systémiques. Il est un rempart contre l’arbitraire, une garantie que l’individu peut agir sans être constamment surveillé ou contrôlé. Dans un monde où tout devient traçable, le cash reste un espace de liberté, un lien direct avec le réel.
Les justifications officielles : efficacité ou contrôle ?
Les partisans de la dématérialisation mettent en avant des arguments séduisants : efficacité, simplification des transactions, lutte contre la fraude et le blanchiment d’argent. La dématérialisation de certains actes peut se justifier dès lors que l’on en perçoit une utilité pour le citoyen liée à une efficacité quantifiable et mesurable. Les paiements électroniques facilitent les échanges complexes, accélèrent les flux financiers et permettent une traçabilité accrue.
Mais, ces justifications masquent une réalité inquiétante. La création monétaire électronique, libérée des contraintes physiques de l’impression de billets, a ouvert la voie à des dérives colossales. En France, la dette publique, qui dépasse les 3 000 milliards d’euros en 2025, illustre cette perte de contrôle. Comme je l’ai écrit dans un post sur X, une telle fraude en col blanc aurait été difficilement possible avec du liquide, car il n’y aurait tout simplement pas eu assez de billets et de pièces pour accompagner une telle inflation de la masse monétaire !
RépondreSupprimerCette dérive révèle l’incapacité des élites à inspirer confiance, préférant un système opaque qui profite à quelques-uns au détriment de l’autonomie des citoyens.
Le cash : une classe d’actifs pour l’autonomie
L’argent liquide n’est pas seulement un outil de transaction ; c’est une classe d’actifs à part entière, au même titre que le riz ou le sucre stockés dans une armoire pendant la guerre. Comme je l’ai exprimé dans un post, il offre des « degrés de liberté » pour se prémunir contre les risques – qu’il s’agisse d’une panne bancaire, d’une crise économique ou d’une restriction arbitraire imposée par des normes successives.
En limitant l’usage du cash, les autorités réduisent sa « valeur » et l’autonomie fondamentale des individus. Cette érosion se fait sans débat démocratique, sans « décision souveraine ». Les citoyens n’ont jamais voté pour aliéner leur droit à gérer librement leurs ressources dans la classe d’actif qu’il le désire. Chaque transaction numérique est traçable, enregistrée, analysée, transformant l’individu en un acteur surveillé en permanence. Le cash, en revanche, échappe à ce contrôle omniprésent. Il permet de préserver un espace de liberté, un lien avec le réel dans un monde de plus en plus virtualisé.
Une perte de repères : l’aliénation par le numérique
Nous avons perdu le sens des relativités, non seulement vis-à-vis de l’argent, mais aussi des libertés et des droits fondamentaux. Depuis l’abolition de l’esclavage et la fin des grandes guerres, nos acquis – chèrement gagnés à la sueur de notre front et au prix de notre sang – sont aujourd’hui menacés par une forme d’aliénation moderne.
Cette aliénation, portée par le numérique et la surconsommation virtuelle, nous enferme dans un espace artificiel où le réel s’efface peu à peu. Les restrictions sur l’argent liquide s’inscrivent dans cette logique : elles nous poussent vers un monde où chaque geste est contrôlé, où l’autonomie individuelle s’érode au profit d’un système centralisé.
Ce « 1984 » grandeur nature, où l’espace virtuel devient une prison invisible, va à l’encontre de nos droits fondamentaux. Le cash, tout comme la liberté d’expression ou le droit à la vie privée, est un rempart contre cette dérive. Aucun d’entre nous n’a voté pour la fin du cash, pas plus que pour l’abandon de nos droits fondamentaux.
La dépendance technologique : un risque pour l’autonomie
RépondreSupprimerLa fin de l’argent liquide s’apparente à un phénomène plus large : la perte de compétences fondamentales par une dépendance accrue aux outils numériques - c’est comme ne plus savoir compter sans calculatrice. Cette dépendance fragilise les individus et les sociétés, les rendant vulnérables aux pannes, aux crises ou aux abus de pouvoir.
Historiquement, le traitement précoce contre la pauvreté a toujours été l’instruction, non l’intervention excessive de l’État. L’intervention de l’état permettant de réduire d’autres inégalités dans un système où les valeurs sont partagées et respectées par tous.
Pourtant, les restrictions sur le cash s’inscrivent dans une logique d’hyper-régulation, où l’État impose des règles qui finissent par proscrire des droits fondamentaux. En privant les citoyens de l’accès au liquide, on les rend moins résilients, moins capables de faire face aux incertitudes. L’autonomie, pourtant, est un droit inaliénable, jamais aliéné par un vote des Français. La défendre, c’est aussi défendre notre capacité à rester ancrés dans le réel, à résister à l’enfermement dans un monde virtuel.
Qui veut la fin du cash et pourquoi ?
La question centrale reste : qui orchestre la fin de l’argent liquide ? Les gouvernements, soucieux de maximiser leur contrôle sur les flux financiers ? Les banques, qui tirent profit des transactions numériques ? Les institutions internationales, sous prétexte de modernité ? Les motivations semblent multiples : surveillance accrue, profits des intermédiaires financiers, ou encore dissimulation des dérives de la création monétaire.
Mais, une chose est certaine : cette transition se fait sans le consentement des citoyens. La fin du cash n’est pas une simple question technique ; elle touche au cœur de la liberté individuelle et de la souveraineté populaire. Elle s’inscrit dans une dynamique plus large d’aliénation, où les droits fondamentaux sont peu à peu sacrifiés au nom d’une prétendue efficacité.
Défendre le cash et son usage, c’est défendre nos libertés
L’argent liquide est bien plus qu’un moyen de paiement : il est un pilier de l’autonomie individuelle, un symbole de la confiance et de la liberté. Sa disparition progressive, illustrée par les contraintes successives que les diverses lois et régulations imposent, n’ont jamais été validées par les Français. Ce droit à l’autonomie, tout comme nos autres droits fondamentaux, n’a jamais été aliéné par un vote.
Face à la dématérialisation galopante et à l’enfermement dans un espace virtuel, il est urgent de nous interroger : voulons-nous un monde où chaque transaction est surveillée ? Où la liberté individuelle s’efface au profit d’un contrôle centralisé ?
RépondreSupprimerLa fin du cash n’est pas une fatalité. Elle appelle une mobilisation collective pour défendre nos libertés fondamentales, chèrement acquises, et pour préserver notre ancrage dans le réel. Car défendre le cash, c’est défendre notre droit à l’autonomie, un droit que personne ne devrait pouvoir nous retirer.
(Ni le gouvernement, ni le Parlement , ni encore moins ce petit comité d'escrocs en col blanc, hommes et femmes non-élus qui sévissent au sein de l'institution qu'est la Commission européenne).
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/les-editos-de-l-ete-2025-la-fin-de-l-argent-liquide-une-menace-sur-l-autonomie-et
La valeur de l''argent' n'existe plus depuis belle lurette ! Les billets de mille sont tirés à des milliards d'exemplaires face aux machines et robots qui travaillent gratis 24/24 h !
SupprimerAujourd'hui, cette ombre de papier-cul est remplacée par la carte de crédit !
C'est-à(dire que DEMAIN votre monnaie-papier N'EXISTERA PLUS. Et, 'votre' 'argent' en banque AUSSI ! PCHITT ! PCHITT Y A PLUS !
'Votre compte est à zéro ! Votre compte est à zéro ! Votre compte est à zéro ! etc !"
IMPRESSIONNANT n'est-ce pas ?
Vous - DU JOUR AU LENDEMAIN - vous-vous retrouvez avec... des provisions pour une semaine dans le placard ! HOULALA !
C'est COMME ÇA ! 'Aïe-aïe-aïe !)
- "Vous avez des graines pour semer les radis 15 jours ? NON ! Et des patates ? Des tomates ? Des courgettes ou des melons ?... NON ! (HAHAHA !)
Là, vous gagnez (à pieds/pétrole) les campagnes à la recherche de brins d'herbes. ET après...
Glyphosate : Bayer augmente ses provisions pour les litiges judiciaires
RépondreSupprimerFrance-Soir avec AFP
le 04 août 2025 - 09:02
Le géant allemand de la chimie et de la pharmacie Bayer a annoncé jeudi soir une nouvelle provision de 1,2 milliard d’euros pour faire face aux litiges judiciaires aux États-Unis liés au glyphosate, l’herbicide controversé de sa filiale Monsanto.
Cette enveloppe s'ajoute au 5,7 milliards d'euros de provisions mis de côté par Bayer pour les litiges relatifs au glyphosate.
Le groupe a également annoncé une nouvelle provision de 530 millions d'euros pour des affaires concernant les polychlorobiphényles (PCB), des produits chimiques interdits dans de nombreux pays depuis les années 1980, a précisé Bayer dans un communiqué, portant à 1,7 milliard les nouvelles provisions pour des litiges.
Malgré ce fardeau judiciaire, Bayer a relevé légèrement ses prévisions annuelles de résultats, en raison de performances meilleures que prévu dans sa division pharmaceutique, car ne l'oublions pas Bayer d'un côté rend malade aux dires de ces détracteurs, mais de l'autre côté vous soigne...
Le groupe de Leverkusen a par ailleurs annoncé la conclusion d'un accord important avec un cabinet de plaignants, réduisant le nombre de dossiers non réglés à 61.000, sur un total initial de 192.000 réclamations outre-Atlantique, selon le communiqué.
Depuis le rachat du groupe américain Monsanto en 2018, Bayer a déjà déboursé plus de 10 milliards de dollars pour régler des litiges liés au glyphosate, accusé d’être cancérigène, ce que Bayer conteste.
Le Vietnam a banni l'usage du glyphosate et plusieurs pays européens en interdisent l'usage par les particuliers ou dans les espaces publics.
Plusieurs ONG environnementales européennes ont appelé mi-juin à interdire le glyphosate après la publication d'une étude d'une ampleur sans précédent qui montre chez des souris un lien entre l'apparition de cancers et l'exposition à cet herbicide.
Au printemps, Bayer a publiquement douté de l'avenir commercial du désherbant, en raison des poursuites en cours, mais il espère toujours que la Cour suprême américaine réexamine le dossier.
Le groupe table désormais sur un résultat opérationnel ajusté (EBITDA) hors éléments exceptionnels compris entre 9,7 et 10,2 milliards d'euros (contre 9,5 à 10 milliards d'euros précédemment). En 2024, il avait dégagé 10,1 milliards d'euros d'EBITDA.
Le secteur chimique allemand est sous pression, confronté à des coûts énergétiques élevés, à une concurrence asiatique accrue et à des surcapacités mondiales.
Bayer est engagé dans un vaste plan de restructuration de sa division agrochimique en perte de vitesse, sa principale source de revenus, qui menace plusieurs centaines d'emplois en Allemagne.
Le groupe présentera mercredi ses résultats définitifs pour la première moitié de l'année.
RépondreSupprimerhttps://www.francesoir.fr/societe-environnement/glyphosate-bayer-augmente-ses-provisions-pour-les-litiges-judiciaires
Le remède désherbant 'Round'Up' est FABULEUX !
SupprimerCe médicament exceptionnel débarrasse des mauvaises herbes toutes les parcelles ensemencées !
Donc: L'agriculture de demain dépendra UNIQUEMENT des pays qui ont la liberté de nourrir la planète !
Fongicide 1.01 : Éviter les maladies qui réduisent le rendement des cultures commerciales
RépondreSupprimer4 Août 2025
Ryan Tipps, rédacteur en chef d'AGDAILY*
Les fongicides modernes pour le maïs et le soja, tels que Miravis Neo, vont au-delà du simple contrôle des maladies et offrent des avantages supplémentaires pour la santé des plantes.
Ma note : Il y a des publireportages qui méritent aussi d'être lus.
Votre exploitation risque de prendre du retard si vous n'intégrez pas de fongicide dans vos programmes de gestion du maïs et du soja.
Un fongicide favorisant la santé des plantes « vous aide à avoir l'esprit tranquille, quel que soit le temps qu'il fera, qu'il soit humide ou sec, il a une valeur certaine », a déclaré M. Don Boehm, un agriculteur du nord-ouest de l'Ohio. « Il n'y a jamais eu une année où je n'ai pas pensé que le fongicide serait rentable. »
Les fongicides sont un outil essentiel qui aide les agriculteurs américains à lutter contre les agents pathogènes responsables des maladies foliaires dans leurs champs de maïs et de soja. Leur application – associée à un timing judicieux, à des conditions environnementales favorables et à l'activité fongique – contribue à leur efficacité pour aider les plantes à atteindre un remplissage optimal des grains.
Le coût lié au fait de ne pas utiliser de fongicide est trop élevé pour être ignoré. L'année dernière, les maladies ont réduit le rendement du maïs d'environ 6 % à travers les États-Unis, entraînant une perte estimée à près de 23 millions de tonnes. Pour le soja, la perte cette année-là a été estimée à 5,4 %, soit un total de 6,8 millions de tonnes.
De nombreuses maladies limitant le rendement peuvent affecter les champs américains. Chez les plantes, les maladies fongiques sont plus fréquentes que les maladies virales ou bactériennes, qui sont plus couramment associées aux humains et aux animaux.
Les maladies fongiques peuvent être difficiles à traiter une fois qu'elles apparaissent dans la plante, c'est pourquoi les meilleurs fongicides modernes comprennent un élément préventif.
La ferme de M. Boehm est généralement confrontée à au moins quelques maladies, notamment la tache goudronneuse ces dernières années, mais la brûlure des feuilles du maïs (helminthosporiose), la tache grise et la rouille ont également posé problème. Ce client de longue date de Syngenta s'appuie sur un fongicide pour l'aider à protéger son rendement, non seulement en réduisant le stress lié aux maladies, mais aussi en améliorant l'utilisation des nutriments et de l'eau par la plante et sa tenue à la récolte.
RépondreSupprimerIl a déclaré que la pulvérisation du fongicide Miravis® Neo l'avait aidé à protéger jusqu'à 17 à 20 quintaux de rendement de maïs certaines années, en particulier lorsque la tache goudronneuse, causée par le champignon Phyllachora maydis et identifiable par de petites taches circulaires ressemblant à du goudron présentes sur les feuilles, les tiges et les enveloppes du maïs, tente d'apparaître plus tard dans la saison.
Dans les champs de soja américains, la tache ocellée, la moisissure blanche et la tache brune (septoriose) font partie des maladies qui préoccupent le plus les producteurs.
Les fongicides sont généralement pulvérisés sur le soja au début des stades reproductifs (généralement R2 à R4), lorsque la plante commence à concentrer son énergie sur le remplissage des gousses et que les feuilles les plus importantes pour y contribuer sont exposées mais mieux protégées par l'application du fongicide. Dans le maïs, la pulvérisation a généralement lieu entre la fin du stade végétatif et le début du stade reproductif, lorsque la transpiration des plantes commence à s'accélérer et que les feuilles importantes de l'épi sont exposées.
Miravis Neo a une activité résiduelle robuste dans diverses conditions environnementales et protège efficacement les cultures de maïs et de soja pendant une grande partie de la saison de végétation.
« Les marges dans l'agriculture ne sont pas très élevées, nous avons donc besoin de chaque boisseau que nous pouvons obtenir », explique M. Boehm. « J'ai des amis et des voisins qui cherchent à réduire leurs coûts et qui veulent assurer leur prospérité, mais cela n'est pas possible en sacrifiant l'utilisation de fongicides. Je m'efforce de protéger le potentiel de rendement existant. »
Les fongicides sont plus efficaces lorsqu'ils sont utilisés à titre préventif, car même si ces types de produits peuvent stopper une infection active, ils ne peuvent pas réparer les dommages déjà causés aux plantes de maïs ou de soja, ni compenser les pertes de rendement qui en résultent.
Même si de plus en plus d'hybrides de maïs sont disponibles sur le marché, les maladies continuent de menacer les moyens de subsistance des agriculteurs. M. Tyler Harp, responsable technique des produits fongicides pour les cultures en rangs chez Syngenta, explique que si de nouveaux hybrides capables d'augmenter les rendements ont été développés, ils peuvent dans certains cas être plus sensibles à certaines maladies. Au fil du temps, certaines maladies peuvent devenir plus agressives et se propager, menaçant potentiellement davantage le potentiel de rendement que par le passé.
Cette situation peut s'aggraver dans les exploitations agricoles qui cultivent du maïs sur du maïs au fil des saisons, certaines maladies s'avérant suffisamment résistantes pour survivre à l'hiver dans les résidus de cultures infestés
RépondreSupprimerChez Syngenta, « nous aimons utiliser l'expression "plus propre et plus vert" pour nos fongicides haut de gamme », a fait remarquer M. Harp. « Plus propre » fait référence à l'important contrôle des maladies, mais bien sûr, c'est aujourd'hui un enjeu majeur pour les fongicides. « Plus vert » est le facteur distinctif d'un fongicide phytosanitaire, et fait référence aux avantages pour la santé des plantes. « Cela signifie essentiellement que non seulement vous bénéficiez d'une certaine activité fongicide, mais que vous obtenez également une atténuation du stress. »
Les plantes peuvent être affectées par deux types de stress : le stress biotique, causé par des organismes biotiques dans les maladies fongiques, et le stress abiotique, causé par des facteurs environnementaux tels que la chaleur ou la sécheresse. On estime que le stress des cultures peut voler jusqu'à 50 % du rendement potentiel.
Avec un fongicide phytosanitaire comme Miravis Neo, « vous préservez le rendement en présence de stress biotique et/ou abiotique », a fait remarquer M. Harp. « Nos données montrent que, même dans les cas où vous n'êtes pas confronté à une forte pression pathogène, mais où vous subissez un stress important lié à la chaleur et à la sécheresse, vous pouvez tout de même préserver votre rendement grâce à Miravis Neo. Ce produit est efficace pour prévenir les limitations de rendement dues au stress. »
Miravis Neo exploite les trois principaux modes d'action. Il y a la chimie triazole, qui a un mode d'action inhibiteur de la déméthylation (DMI) et qui est conçue pour arrêter toute maladie active qui aurait pu se développer avant l'application. Viennent ensuite les deux autres modes d'action : la technologie ADEPIDYN®, qui est une chimie carboxamide avec un mode d'action inhibiteur de la succinate déshydrogénase (SDHI), et la chimie strobilurine qui utilise le mode d'action inhibiteur extérieur de la quinone (QoI). Ces deux modes d'action sont de nature plus préventive, ce qui les rend particulièrement efficaces contre les infections précoces, protégeant la plante à long terme et inhibant la propagation de la maladie. Plus important encore, leur protection combinée contre le stress des cultures préserve le potentiel de rendement mieux que toute autre option disponible sur le marché.
- voir clip sur site -
https://www.youtube.com/watch?v=KLDxegCwCzM&t=68s
RépondreSupprimerGrâce à ces trois puissants composants réunis dans un seul produit, les agriculteurs qui ont utilisé Miravis Neo en 2024 ont constaté une augmentation moyenne de 3,4 q/ha du rendement des cultures de soja par rapport aux superficies non traitées1 et une augmentation moyenne de 11 q/ha du rendement du maïs par rapport aux superficies non traitées2. M. Harp a également souligné que dans 80 % des cas, l'application du fongicide était rentable.
Cela signifie que seulement une fois tous les cinq ans, vous seriez au niveau du seuil de rentabilité ou subiriez une légère perte.
« Mais voici le truc, a déclaré Harp, peu importe comment nous analysons les données, elles nous indiquent toujours la même chose : l'une de ces quatre années sera exceptionnelle, avec un rendement accru de 13,5 quintaux ou plus pour le maïs et de 6,7 quintaux ou plus pour le soja. Et cela suffirait à payer les cinq années d'utilisation du fongicide. »
C'est le genre d'année que M. Boehm a dit avoir connue en utilisant Miravis Neo, et d'autres agriculteurs font état de résultats tout aussi positifs.
« Nous avons obtenu les meilleurs rendements que nous ayons jamais eus cette année », a déclaré Mme Lisa Peterson, une agricultrice de l'Iowa qui a utilisé Miravis Neo en 2024. « Je plains ceux qui ont fait des impasses sur leurs cultures et qui n'ont pas terminé en beauté avec un fongicide. »
https://seppi.over-blog.com/2025/08/fongicide-1.01-eviter-les-maladies-qui-reduisent-le-rendement-des-cultures-commerciales.html
Protéger les plantes contre les maladies qu'elles subissent et les insectes destructeurs-affameurs est UN DEVOIR PAYSAN.
SupprimerLes paysans ont un savoir au-dessus de quiconque pour donner la vie et la préserver face aux tentatives retardataires 'bio' imagées par les merdias pour faire crever le monde !
Irrigation : maîtriser les aléas climatiques, c’est notre première assurance en agriculture !
RépondreSupprimer3 Août 2025
Nicolas Bats*
À l’heure où il est parfois plus simple de critiquer notre métier que de le comprendre, je veux apporter ici une vision de terrain. Celle d’un jeune agriculteur landais, engagé, inquiet pour l’avenir, mais plus motivé que jamais à faire grandir sa profession.
🌽 Sur mon exploitation, l’irrigation est indispensable.
Elle valorise ma culture de maïs dans des filières animales de qualité ou à destination humaine. Elle représente une double assurance :
✔️ Une qualité de grain recherchée par les filières, qui améliore la valorisation à la vente.
✔️Une quantité sécurisée, stockée à la ferme, qui stabilise mon revenu.
💡 Et NON, irriguer ne veut pas dire gaspiller !
OUI, l’irrigation est un levier essentiel pour la durabilité de mon exploitation.
🎯 C’est d’abord du bon sens paysan :
Je choisis des variétés adaptées au stress climatique, je travaille mes sols pour améliorer leur capacité de rétention d’eau, et j’observe quotidiennement mes parcelles.
🌱 Ensuite, ce sont des outils d’aide à la décision (OAD) précis et performants.
J’utilise Sendcrop, qui me permet d’adapter mes apports en eau grâce à un bilan hydrique complet :
besoins en eau des plantes,
réserves utiles dans le sol,
météo sur 7 jours,
évapotranspiration…
Objectif : rester autour de 50 % de réserve en eau pour sécuriser le rendement.
📷 Sur la dernière photo, mes maïs sont bien remplis, les épis sont beaux : c’est le fruit d’une gestion rigoureuse, surtout autour de la floraison, une étape clé.
🚜 Lors de mon installation, j’ai modernisé toutes mes installations.
Aujourd’hui, mes pivots OTECH sont équipés de GPS, pour un suivi en temps réel et une précision maximale.
Notre métier, c’est avant tout anticiper.
🤝 Ce message est un appel au dialogue : venez à notre rencontre, échangez avec nous, comprenez nos choix. Derrière chaque technique se cache une réflexion, une logique agronomique, une volonté de bien faire.
RépondreSupprimerMa ferme est ouverte à toute personne curieuse et respectueuse, qui souhaite comprendre ce métier passion.
Discutons, débattons… mais laissons-nous faire ce que nous faisons de mieux : produire une alimentation de qualité pour nourrir notre pays.
https://seppi.over-blog.com/2025/08/irrigation-maitriser-les-aleas-climatiques-c-est-notre-premiere-assurance-en-agriculture.html
AUCUNE plantes au monde comme aucun arbre ne peut vivre sans eau. C'est pourquoi il faut aborder les ressources. Soit le pompage des nappes phréatique inépuisables alimentées continuellement par les arrivées d'eau (sous forme de vapeurs) depuis le magma vers le quel s'infiltre les eaux sales des mers & des océans, soit faire arriver l'eau depuis des canaux adjacents aux fleuves et rivières.
SupprimerComment les oligarques volent les terres publiques de l'Amérique
RépondreSupprimerEt comment ils se déroulent pour le détruire
Août 03, 2025
Trump a éliminé l'impôt sur les successions pour les agriculteurs cette semaine. C'est un énorme coup de pouce pour leur survie et la célébration dans chaque township et comté se poursuivra pendant des années. La semaine dernière également, l'EPA a éliminé la mise en danger absurde de la découverte de gaz carbonique.
En avril, Lee zeeldin a lancé le plus grand programme de déréglementation de l'histoire, ce qui signifie que l'Amérique rurale peut maintenant croître à nouveau après cinquante ans de répression délibérée, Club of Rome.
Les actions de zeldin feront reculer des milliers de milliards de dollars de coûts réglementaires et de taxes cachées qui ont entraîné une augmentation artificielle artificielle du coût des voitures, des habitations, du carburant et des opérations commerciales. Une grande partie de cette réglementation était un fantasme plaqué or, qui profitait financièrement aux régulateurs et ruinait tout le monde.
En outre, compte tenu de ces réformes réglementaires, il sera beaucoup plus facile de créer des entreprises et de fabriquer dans les communautés locales. C'est énorme. Quand j'ai traversé l'Amérique rurale il y a dix ans, les hommes et les femmes qui ont fait courir ces comtés, vivaient dans une sorte de désespoir permanent. Ils étaient convaincus qu'ils, leur culture, leurs traditions, leur histoire et leurs villes allaient mourir de leur vivant et pas seulement que, être dissimulés, enterrés et oubliés.
Ce n'est plus le cas.
Mais, et bien sûr, il y a un mais:
Enfoui dans le Genius Act de Trump, se trouve une autre incursion fasciste sur les terres américaines.
Vous devez être riche pour vous soucier de la terre, sinon votre vie est trop lourde de s'en sortir pour y penser. Mais la propriété est tout, et le Canada et les États-Unis ont des milliards d'hectares à partir desquels faire des banques par et pour les riches sans conscience.
Jim Rickards, un WarRoom régulier, et savant, suggère que Trump planifie de tout monétiser, mais qui reçoit cet argent ? Un paiement unique pour... qui ? Dette publique ? Après quoi il est aliéné des Américains, et Wall Street le possède et le commerce. Ce qui veut dire l'ensemble international. Les pires personnes sur Terre.
La loi sur le génie instaure un autre programme gouvernemental destiné à mesurer les «actifs» sur les terres publiques et à les monétiser par le biais d'une «enquête scientifique». Ce n'est qu'une autre excuse pour la prise de terres. Chercher des terres fédérales à travers cela.
RépondreSupprimerCes programmes ne s'arrêtent jamais bien. Ils sont de plus en plus, de carrière et gérés en coulisses par des idéologues négligents.
Voici une brève description, mais saillante, de la façon dont cela se produit et de qui et de ce qu'elle ruine. Les oligarques et les bureaucrates essaient de se transformer en machine quelque chose vivant que seuls les gens de la campagne comprennent. Les gens de la campagne qu'ils traitent inévitablement comme de la saleté. Et la ruine. C'est ainsi que la terre, l'eau, la culture traditionnelle et la racine de notre humanité. Sans parler de notre nourriture et de notre eau.
La guerre contre les agriculteurs poursuivie par le consortium de voleurs WEF/UN/EU/ONG/DeepState a aidé Trump à propulser Trump dans le mandat, mais MAGA a commencé au cœur des États-Unis, bien avant que Trump ne le trouve et ne l'a allumée en feu. Le combat des gens qui nous nourrissent, nous habillent et nous abritent sont absolument fondamentaux pour notre bien-être. Quand la terre qu'ils ont tendance, que l'on améliore et qu'elles aident à produire est agrégée en un fonds de richesse pour certains idiots, cela signifie la ruine ; elle est aussi destructrice que l'IA est pathogène.
L’héritage de Trump, s’il comprend plus de misère pour l’Amérique rurale, sera empoisonné.
« Écoutez la fragilité. »
C'est l'ordre que John Sawhill, ancien président de l'Université de New York, alors chef de la Nature Conservancy, a donné à des milliers d'anciens agents de la jeunesse dans les années 1990. Envoyé dans les communautés rurales, ils devaient trouver un moyen d'acquérir un atout - une rivière, une zone humide, une vallée fertile ou une forêt - que le Conservancy voulait. Rejoignez des clubs, faites du bénévolat, aidez, soyez un voisin, jouez avec leurs enfants. Et écoutez la fragilité.
Mais souvent, cette vallée ou cette forêt n'était pas tout ce qu'ils voulaient. Quand Harry Reid voulait l'eau de la vallée de Lahontan pour Las Vegas, la seule façon pour lui d'obtenir était de passer par John Sawhill, qui a envoyé Graham Chisholm, maintenant directeur exécutif d'Audubon California, pour acheter ces droits. La thèse du maître de Chisholm était sur le développement du Parti vert en Allemagne, et au cours des cinq années qu'il a passées à romancer les citoyens du Lahontan, Chisholm a démontré la pouliche de fer habillée dans le suedé de Robin des Bois de « la plus grande organisation environnementale au monde ».
Chisholm est arrivé juste après le 101e Congrès, lors du dernier acte de sa dernière session, a donné à Harry Reid quelque chose qu'il avait été après pendant très longtemps.
RépondreSupprimer« La loi sur le règlement a donné à Reid le droit de « régler » le différend entre la Californie et le Nevada au sujet de l'eau qui se scindait des flancs de l'ouest et du sud de la Sierra Nevada. La vallée de Lahontan a été le site du premier projet de revendication occidentale de Teddy Roosevelt en 1906, quand il a promis de « faire fleurir le désert ». Ranchers et agriculteurs avaient des droits d'eau dans la vallée qui remontaient encore plus loin que 1905. Mais dès que la loi a été signée, les agriculteurs de la vallée de Lahontan ont été assaillis par de nouvelles exigences réglementaires et des procès.
Comme elles ont enduré sept années de sécheresse, la réglementation signifie que de nombreuses familles se sont désagrégées au bord de la survie, ce qui est exactement là où Reid et TNC les voulaient.
Voici ce qu'il y a à propos des gens de la campagne. Ils vivent selon les rythmes de la nature ; certaines années, certaines cultures s’épanouissent et d’autres ne s’épanouissent pas. Il peut y avoir de longues périodes de sécheresse ou trop de pluie. Ou trop de froid. Ou de la chaleur. Vous devez être capable d'allumer un centime et de saisir des occasions avant qu'elles ne disparaissent. Vous n'avez pas le temps d'acheter un permis, embauchez des professionnels de l'environnement enregistrés pour faire une étude, puis attendre des mois, sinon des années, pour les bureaucrates à un millier de kilomètres pour vous donner l'autorisation. Vous créez une entreprise, vous gagnez de l'argent, vous vous en terminez dans huit mois, et commencez une autre. Vous vendez un morceau de terre un an et vous l'achetez en arrière ou dix ans plus tard. Vous tolèvez une superficie pour un enfant qui veut cultiver ou faire du ranch ou construire une maison pour un parent vieillissant. Vous construisez des cabanes pour les travailleurs saisonniers qui sont utilisés pendant dix ans, puis vous les détruisez ou les utilisez pour WWOOF (Willing Workers on Organic Farms) ou des agritouristes ou un motel simple pour les travailleurs des ressources parce qu'une mine ou un gisement de gaz a été ouvert dans la région. Vous gagnez votre vie à partir d'une demi-douzaine de sources différentes, et presque chaque année, les sources changent. Une réglementation qui contrôle tout, de la hauteur et de l'empreinte d'une grange, des revers de ruisseau, et du nombre de dépendances au nombre de personnes que vous pouvez employer, comment vous devez les payer, la profondeur et le flux de votre système d'irrigation, et la poussière et le bruit que vous pouvez augmenter rendent la vie assez proche de l'ingestion.
Mais pour Chisholm et la vallée de Lahontan, les premières années ont été une lune de miel. Entrouement d'avoir un jeune enfant instruit qui emménage dans la vallée, en particulier avec de telles connexions étoilées, les résidents ont traité Chisholm comme une célébrité. Il n'a pas déçu; selon Findley, il a tout rejoint. Il s'est porté volontaire avec le comité du comité de l'Ag Center pour tester les puits locaux dans la sécheresse. Il a organisé un nouveau groupe pour défendre les droits locaux sur l'eau. Il était aux réunions du district d'irrigation et de la commission du comté. Il était à la fête du melon et à la foire du comté. Ce type de comportement est reproduit dans les 3 300 comtés des États-Unis, où des agents de la STN ou de l'un quelconque d'une prolifération de fondations ou d'ONG ENGO travaillent pour déterminer l'avenir de la communauté. Sur mes îles, des activistes du Montana, de Los Angeles, du New Jersey et une demi-douzaine d'autres États ont déménagé ici et dirigent maintenant une douzaine de comités d'action politique, qui produisent tous des rapports hystériques basés sur la « science » sur l'effondrement de nos écosystèmes qui s'effondrent. Nos activistes de Salt Spring sont dans les années 80 ; l'île est plus comme un camp de retraite pour les militants écologistes qui réussissent que dans un endroit où les jeunes peuvent gagner leur bordure. Mais dans n'importe quelle région, vous pouvez dire qui ils sont à cause des causes qu'ils épousent et des problèmes qu'ils pressent : l'eau, d'abord et toujours, puis un logement abordable, l'épargne de quelque caractéristique naturelle que ce soit domine la région et, bien sûr, le dormeur, l'atténuation du changement climatique.
RépondreSupprimerBien éduqués, bien parlés, et parlant toujours de « la communauté », avant qu’un port de plaisance ou un hôtel ou une installation de torréfiescence de café biologique puisse être construit, ils insistent sur des « études » qui coûteront au deniers publics plus de 100 000 dollars et prendront cinq ans. Je n'ai pas trouvé, en une décennie de recherches, une région authentiquement rurale à laquelle ils n'ont pas entraîné de déclin.
Ou le désastre. Au moment où Graham Chisholm a quitté la vallée de Lahontan, elle tendait déjà vers la poussière et le tombleweed, les maisons abandonnées et inutiles sans un ranch de travail les entourant. Et les gens ont trouvé qu'ils avaient perdu leur but aussi ; sans le lien avec la terre qu'ils avaient si longtemps, ils ne voulaient pas vraiment vivre. Alors que Timothy Findley de Range Magazine a commencé son histoire sur le sort des irriguateurs aux mains de Harry Reid, un rancher, le lendemain de la signature de tous les documents qui ont transféré les droits à son ranch à la Nature Conservancy, un chèque dans sa poche qui lui a permis de vivre partout où il voulait, et de se tirer une balle. Peut-être avait-il un cancer; peut-être sa femme venait-elle de le quitter; il n'y avait pas de note. Les faits saillants demeurent. Il venait de recevoir plus d'argent qu'il n'avait jamais eu ou même rêvé, mais il ne voulait pas vivre. Où que vous alliez dans un pays d'élevage, des histoires similaires prolifèrent. La plupart du temps, les gens travaillent si dur pour rester, à se conformer aux atténuations, aux règlements, aux auditions, aux procès qui les ont imposés, ils tombent malades.
RépondreSupprimerTout sonnait si bien. En entrant, Chisholm et TNC ont affirmé qu'ils voulaient simplement « restaurer » 25 000 acres de zone humide sur le fleuve Carson, ignorant le fait que les agriculteurs de Lahontan l'avaient gardée en tant que conserve de canards pendant des décennies. Mais c'était gagnant-gagnant. L'offre de Chisholm signifiait qu'ils pouvaient garder les marais et obtenir de l'argent dont ils avaient cruellement besoin. Compte tenu des coûts de la sécheresse et de la réglementation, les dirigeants communautaires ont reconnu qu'il fallait faire des sacrifices supplémentaires à l'avenir. Les terres marginales devraient être vendues. Chisholm a proposé de les acheter pour la Nature Conservancy. Le chef du district d'irrigation était le premier, puis une famille de premier plan, et il en a été ainsi. Les enfants vendent leur patrimoine, plus intéressés par l'argent qu'une vie de travail brutalement acharné et d'incertitude. Mais les terres n'étaient pas achetées à leur valeur ou à leur juste valeur, parce que seuls les droits de l'eau étaient vendus. Cela semblait assez beau pour les désespérés. Comme c'est typique dans ce jeu, une fois que les droits sur l'eau ont disparu, il ne lui restait plus qu'à vendre à un rabais considérable; TNC avait effectivement réduit la valeur des terres de la vallée de Lahontan à pratiquement zéro. Le dernier hold, poète cow-boy Georgie Sicking, a déclaré que le dernier étuve, je n'avais pas le choix, vraiment. Ils ont tout acheté autour de moi, y compris le fossé d'irrigation.
Mais Chisholm a obtenu son « épargne » marécageux et une promotion au directeur du chapitre le plus riche de la Nature Conservancy en Californie. Il a été loué et célébré et aujourd'hui est acclamé pour avoir « sauvé » d'innombrables « trésors », sans mentionner la destruction dans son sillage. Mais au moment de sa promotion, l'affection pour Chisholm dans la communauté de la vallée de Lahontan était morte depuis longtemps, surtout quand ils ont découvert que Chisholm fonctionnait en vertu d'un protocole d'accord entre la STN et le Fish and Wildlife Service pour acheter les droits de l'eau et les transférer au gouvernement, en laissant, comme l'a dit Tim Findley, « les fermes fantômes et les champs pâles et sans vie de terrain au sol au laser.
RépondreSupprimerInutile de dire que Harry Reid a eu son eau. Et plutôt que la nature abondante, prônée dans sa nature porno, la vallée de Lahontan, désertifiée, est un cadeau de conservation de la nature plus typique pour le futur.
Cela ne doit pas se reproduire.
https://elizabethnickson.substack.com/p/how-oligarchs-steal-americas-public?utm_source=post-email-title&publication_id=30495&post_id=168660126&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Les choses tombent à l'extérieur : une odyssée transatlantique
RépondreSupprimerLes ouvriers qualifiés sont ce qui maintient notre civilisation avancée. Nous nous en souvenons lorsque le matériel de transport essentiel se casse.
John Leake
01 août 2025
Ces dernières années, j'ai souvent pensé que nous, en tant que société, n'appréciions pas à quel point notre niveau de vie élevé - notre sécurité, notre confort de créature et nos commodités - est fourni par une armée invisible et méconnue d'ouvriers qualifiés.
Retournez un interrupteur et vous avez de la lumière, ouvrez un robinet et vous avez de l'eau propre, ajustez le thermostat et vous avez de la chaleur ou de l'AC, enfoncez un levier et affleurez les toilettes. Il n'y a pas si longtemps - un peu plus d'un siècle - que de telles commodités n'étaient pas disponibles même pour les rois et les empereurs. Aujourd'hui, la plupart des maisons du monde développé en sont équipées.
La plupart d'entre nous prennent ces conforts et commodités - et des centaines d'autres - pour être accordés. De même, nous ne pensons pas aux travailleurs qualifiés qui les entretiennent. Si notre civilisation veut se maintenir, nous devons avoir une main-d'œuvre importante, qualifiée et fiable.
Mon récent voyage d'Europe m'a amené à m'inquiéter du fait que les services de maintenance des compagnies aériennes ont du mal à maintenir leur flotte d'avions vieillissants. Pour moi, le résultat de problèmes mécaniques a été une expérience comique de tracas et d'inconvénients. Toutefois, je crains que si les services de maintenance des compagnies aériennes manquent effectivement de personnel qualifié et fiable, les conséquences ne seront finalement beaucoup plus graves.
Mon voyage a commencé à l'aéroport de Vienne, où j'ai réussi à travers la sécurité et j'ai rapidement pris mon vol BA. J'avais une connexion très serrée à Heathrow, mais il semblait que nous allions pousser à l'heure.
Puis le capitaine est venu sur l'AP. Avec un assez bon charme britannique Hugh Grant, il a expliqué que le capteur de porte cargo indiquait que la porte était entrouverte, même si elle semblait fermée.
"Mais pas les soucis, les dames et les gentlemans, l'ingénieur sera bientôt là, mettre un spray magique sur la chose, et ensuite nous partirons."
La prophétie du capitaine s'est avérée vraie, et nous sommes partis avec 25 minutes de retard. Cela me donnerait exactement 30 minutes au sol à Heathrow pour arriver à la porte de mon vol de correspondance avant que l'embarquement ne commence.
Nous avons atterri à Heathrow et nous sommes montés à notre porte. En regardant une fenêtre du port, j'ai vu le pont-jet. Pour une raison quelconque, l'avion s'en était garé à 70 mètres, et il semblait être le premier jour de l'opérateur de pont-aimé.
Evoltant si lentement et en s'arrêtant, avec de multiples corrections latérales faites avec chaque pied avançant vers l'avion, le pont-à-vis semblait être une éternité loin de nous atteindre. Le regarder en avant était une pure agonie. Il est enfin arrivé jusqu'à l'avion et je suis descendu et j'ai sprinté le pont-jet.
RépondreSupprimer« Suivez les signes de connexions pourpres », dit l'hôtesse de l'air comme je l'ai dit à Pheidippides allant de Marathon à Athènes.
Heathrow était apparemment mis en place par un fou ivre. Ma porte d'arrivée aurait pu être dans un autre comté, avec une série de couloirs interminables tournant à angle droit sur des couloirs encore plus interminables.
Enfin, je suis arrivé au point de contrôle de sécurité juste avant le tronçon international des départs du terminal 3. La ligne était longue, mais elle s'est déplacée assez vite - jusqu'à ce que j'arrive aux scanners. La dame en face de moi était dans les années soixante-dix et assise dans un fauteuil roulant. Quelques agents de sécurité l'ont aidée à sortir de sa chaise pour passer à travers le scanner, et elle a déclenché l'alarme.
Cela a conduit à une fouille extraordinaire des armes ou des explosifs de la femme pauvre et handicapée. La seule explication rationnelle à laquelle je pouvais penser était que la sécurité était préoccupée par le fait qu'elle était cognitivement altérée et avait été trompée d'avoir encastré C-4 sur sa personne. Plusieurs scanners de ses membres et écouvillonnage de ses mains pour le nitrate d'ammonium ou quoi que ce soit - tout ce qui est avec moi debout derrière elle, en attendant que mon tour passe à travers le scanner.
Enfin, je suis arrivé, mais le convoyeur à sac à main a saisi sans raison apparente. Deux minutes se sont écoulées, puis deux autres, et enfin la ceinture a commencé à bouger et ma mallette a émergé, mais s'est arrêtée à nouveau à la vue de tous, mais juste au-delà de ma portée - si proche et pourtant si éloignée.
Enfin, il s'est enfoncé vers l'avant, je l'ai attrapé et je suis parti sur le tronçon de la maison jusqu'à ma porte, qui s'est avéré être le plus éloigné de tout le terminal. J'ai couru plus d'un demi-mille avant que je ne l'atteigne enfin, un avant-coureur de roulage dans ma bouche de courir à la fréquence cardiaque maximale pendant environ 5 minutes.
Le vol était déjà à l'embarquement. Je suis allé chez moi et j'ai essayé de dormir pour le reste du processus d'embarquement.
Nous avons décollé à 11 heures précises. Environ quarante minutes dans le vol, la cabine était préparée pour le service de repas, et une agréable sensation de bien-être m'a balayé. J'avais hâte de déjeuner, car j'avais sauté le petit-déjeuner et j'avais faim. Après le déjeuner, une longue sieste et peut-être un peu de lecture. J'ai estimé que j'arrivais, en un peu plus de huit heures, à Dallas et dîner avec ma mère ce soir-là. C'était une pensée agréable.
RépondreSupprimerA 11 h 45, le capitaine est venu sur la PR et a dit :
Les gens, je suis désolé de vous déranger, mais en raison d'un problème mécanique, nous ne pouvons pas voler avec cet avion de l'autre côté de l'Atlantique, et nous devons retourner à Londres. Je peux vous assurer qu'il n'y a pas de danger, mais pour des raisons strictes et réglementaires, nous devons prendre cette précaution. Nous sommes à une trentaine de minutes de Londres, et dès que nous serons de retour sur le terrain, nous devrions avoir des informations supplémentaires pour vous.
Trente minutes se sont écoulées, puis quarante-cinq, et toujours l'avion était en vol de plus de 30 mille pieds. Il est clair que nous ne revenions pas à Londres, du moins pas directement. Une hôtesse de l'air est passée.
« Excusez-moi, madame, mais je ne pense pas que nous atterrirons à Londres. Où volons-nous ? » J'ai demandé.
« Nous nous dirigeons vers Londres, mais nous devons d’abord déverser du carburant parce que nous sommes trop lourds pour atterrir.
Finalement, nous avons atterri à Londres. Le capitaine est venu sur l'AP et a expliqué en anglais inhabituellement formel, suggérant un penchant littéraire, que les packs AC sur les deux moteurs - crucial pour maintenir une température et une pression confortables de la cabine - avaient échoué. En outre, les hôtesses de l'air avaient entendu des sons mécaniques inhabituels et détecté une odeur écrite. Bien que les moteurs aient continué à tourner, la perte des packs AC a obligé le capitaine à tourner le dirigeable.
Nous y étions, arrêtés sur le tarmac à Heathrow sans affectation de porte, en attendant qu'une équipe de maintenance évalue le problème et détermine combien de temps il faudrait pour le réparer. J'ai pensé qu'il n'y avait aucun moyen que deux packs AC cassés soient fixés de sitôt. L'avion devrait aller dans un hangar de service.
Il semblait que tout ce que nous pouvions faire était d'espérer que American pourrait brouiller un autre 777 - tout comme la compagnie aérienne l'avait fait sur mon vol aller de Dallas quand notre 777 premier 777 avait développé un problème de maintenance après avoir repoussé.
RépondreSupprimerPour moi, il semblait qu'hier, le légendaire "Triple 7" était entré en service en 1995. À l'époque, j'étais un amateur d'avions dans mes vingt et j'avais émerveillé de la nouvelle machine avec sa cellule stupéfiante et son énorme nouveau turboréacteur GE 90 - le plus grand jamais développé, produisant jusqu'à 115 000 livres de poussée. Maintenant, il semblait qu'un vieux cheval était toujours prêt à travailler, mais souvent blessé et qui avait constamment besoin de soins vétérinaires.
Premier Boing 777 entré en service en 1995.
Le capitaine est venu sur l'AP et a expliqué que l'avion ne pouvait pas être fixé avec nous à bord, donc nous devrions descendre et retourner au terminal. En outre, parce qu'il arrivait à la fin de sa limite de travail quotidienne légalement autorisée, il était en train de signer et nous a souhaité bonne chance.
Il a expliqué, il n'a pas été clair comment nous allions arriver à Dallas. Une « possibilité hypothétique », a-t-il expliqué, était qu'American Airlines pourrait nous amener sur un vol américain à JFK à un moment donné ce soir-là.
«De JFK, nous organiserons, par courtoisie, des vols sur d'autres compagnies aériennes vers votre destination finale», a-t-il expliqué.
Comme je pensais, je pensais. Après tout, j'aurais pu contrarier pour un vol de correspondance de JFK à Dallas sur une autre compagnie aérienne. American Airlines faisait vraiment un effort supplémentaire pour me faire du plaisir pour me faire venir de New York à Dallas.
Enfin, les bus sont arrivés et nous ont conduits au terminal, mais notre seule instruction était de « suivre les panneaux violet pour le transfert ». Transférer à quoi ?
Mon message texte d'alerte de vol AA s'est déclenché toutes les deux minutes avec des annonces différentes sur notre nouveau temps de vol. La première a dit que nous décollerions dans 30 minutes, la deuxième a dit 16 heures, la troisième a dit 2 heures du matin, puis un quatrième a dit 10 heures du matin, et puis une cinquième a dit que nous volions à JFK à 7 heures du matin.
Un groupe d'entre nous est arrivé à ce qui semblait être un bureau de transfert AA. Un agent nous a dit de nous aligner, puis un autre nous a dit de la suivre dans la direction d'où nous allions, puis un autre nous a demandé de passer par le contrôle des laissez-passer au Royaume-Uni et de récupérer nos sacs. C'est ce que nous avons fait, mais lorsque nous sommes arrivés à la réclamation des bagages, il n'y avait rien sur l'affichage numérique sur le carrousel qui distribuerait nos sacs.
Word s'est répandu parmi mes compagnons de passagers bloqués que l'AA avait un bureau spécial de récupération de bagages au bout du couloir. Nous avons gardé le cap sur le bureau et nous avons été accueillis avec une ligne d'une longueur excessive. Puis j'ai entendu parler que nos sacs arriveraient à Carousel 5. À ce moment-là, j'avais résidé à passer la nuit à Londres et je me suis connecté à mon ordinateur portable avec mon point d'accès pour téléphone portable pour chercher une chambre.
Puis j'ai entendu quelqu'un dire que l'AA distribuait des bons d'hôtel. Je me suis approché de l'homme et j'ai demandé : « Des garnitures pour quel hôtel ? »
RépondreSupprimer« L’IBIS à Heathrow », répondit-il.
J'ai pensé à la perspective de vérifier dans le Heathrow IBIS - même si nous n'avions toujours aucune idée de quand notre vol partait - et mon cœur a coulé. Je me suis imaginé dans une chambre moderne sinistre avec un tapis teinté désolé pour moi. Non, aussi fatigué que je fusse, j'étais déterminé à tirer le meilleur parti de ma nuit dans la capitale britannique.
J'ai réservé une chambre au Pelham à South Kensington - une charmante petite boutique dans une maison de ville victorienne.
« N'importe quelle idée quand les bagages vont sortir ? » Une voix féminine a dit. J'ai levé les yeux de mon ordinateur portable et j'ai vu une jeune femme blondiste.
« Non, » répondis-je. Personne ne sait quand les bagages apparaîtront ou s'ils apparaîtront un jour. Peut-être n'existe-t-il plus. »
Elle a ri et m'a donné ce que j'ai interprété comme un regard flirttique.
« Es-tu aussi coincé à Londres pour la nuit », demandai-je, me demandant si elle ressemblait à la sorcière Circe, qui persuade Olysse de rester sur l’île d’Aeaea.
« Fuck non », répondit la fille. « Je viens de téléphoner avec American f'ing Airlines et j'ai obtenu un vol différent qui part dans une heure. »
« À où ? J'ai demandé.
« À Los Angeles en direct. De là, il sera assez facile de rentrer chez lui à San Diego ».
« Bravo », dis-je.
« Lorsqu’il s’agit de faire fini, je peux faire en sorte qu’il se produise. Ce n'est que maintenant qu'en est la question, où est mon bagage ? »
Je me suis demandé quand il était devenu cool pour les jolies jeunes filles américaines de parler comme des tueurs à gages de la mafia basée dans le New Jersey.
J'ai appelé les réservations d'American Airlines et j'ai marqué un siège sur un vol de 16 heures le lendemain.
Les bagages ne sont pas venus. Un homme qui semblait être d'origine ouest-indienne s'est approché et a dit : « Pourquoi attendez-vous vos bagages ? Il peut s'écouler des heures avant qu'ils ne l'enlèvent cet avion cassé. "
« Que recommandez-vous de faire ? » J'ai demandé.
« Montrez à American Airlines votre numéro de réclamation de bagages et ils trouveront votre sac et le mettront sur votre vol. Avez-vous un nouveau vol ? »
"Oui, il part demain à 16 heures."
« Super. Parce que c'est maintenant dans moins de 24 heures, vous pouvez vous enregistrer maintenant au comptoir américain dans le terminal de départ et leur montrer votre étiquette de réclamation. Ils trouveront votre sac et le mettront sur votre vol demain. "
RépondreSupprimerJe l'ai fait, mais quand je suis arrivé au bureau d'enregistrement, le représentant n'a pas pu trouver mon vol de 16 heures dans son système.
« Je suis désolé monsieur, je n’ai aucune trace de votre réservation ni même de ce vol. En fait, je n'ai jamais entendu parler d'un vol de 16 heures à destination de Dallas. »
L'homme avait l'air d'un gentil garçon du sous-continent indien, mais ma patience était épuisée et j'ai pensé que je pourrais avoir à tuer quelqu'un. J'imaginais dire les mots - « Mon pote, ce n'est rien de personnel ; il se trouve que vous êtes au mauvais endroit au mauvais moment » - et ensuite faire quelque chose d'horrible. Heureusement, je me suis retenu et j'ai plutôt demandé comment on pourrait trouver ma réserve.
Je vais épargner au lecteur un récit de tout ce que j'avais à parcourir pour trouver un représentant de l'AA qui, pour trouver ma réservation, me vérifier et me donner une carte d'embarquement. Après que cela a finalement été accompli, je suis sorti du terminal pour prendre un taxi vide. Quelques minutes plus tard, un taxi a sorti et a déchargé un couple japonais âgé d'apparence patricienne.
"Serez-vous libre d'entrer dans la cabine, mon pote", a déclaré le conducteur. « J’ai juste besoin de régler le paiement avec ces adorables personnes. »
Quelque chose s'est mal américano sur la procédure de paiement. Le couple japonais âgé ne parlait pas anglais et leur carte de crédit ne fonctionnait apparemment pas. J'ai regardé par la fenêtre pour les regarder de plus près. C'était un couple vraiment ancien, probablement dans les années 90, et je les ai admirés pour rester dans le jeu de voyage si tard dans la lumière. Maintenant, si seulement ils pouvaient trouver comment payer leur billet de taxi jusqu'à l'aéroport.
Enfin, je suis arrivé au Pelham et je suis entré dans ma chambre. À cette époque, j'avais un mal de tête tellement fenêtré que je me demandais si j'avais un accident vasculaire cérébral hémorragique. J'ai pensé à mon vieux copain de l'armée britannique, Duncan, qui aimait à dire : « Chaque fois que tout va mal et que tout semble perdu, commence à boire. »
Et donc, je suis allé dans le charmant petit salon Pelham avec un bar ouvert, je me suis versé un gin raide et tonique, et j'ai entamé une conversation avec un couple délicieux sur mon âge - la femme d'Angleterre, l'homme d'Australie. Je leur ai dit que je venais d'écrire un livre sur la chicanerie vaccinale. Ils ont déclaré qu'ils connaissaient un nombre alarmant de personnes relativement jeunes qui étaient mortes de manière inattendue ces dernières années ou avaient des crises cardiaques ou développé des cancers agressifs, ce qui les avait amenés à s'interroger sur le vaccin contre le COVID-19.
Le gin et tonic ont considérablement aggravé mon mal de tête, alors j'ai décidé de me rendre dans ma chambre pour prendre une douche chaude et aller au lit. Hélas, comme de nombreux hôtels-boutiques à South Kensington et Chelsea, le Pelham possède un labyrinthe déconcertant d'escaliers et de petits couloirs qui s'allongent et se terminent. En m'installant dans ma chambre, je me suis senti soudainement emprisonné dans le M.C. La célèbre peinture de la « Relavine » d'Escher.
J'ai essayé de retourner à la réception, mais j'ai fini par descendre un escalier qui a conduit à une évasion de feu au niveau de la rue. J'ai fait marche arrière et je me suis enfui sur un nouvel escalier qui s'est arrêté à un incendie de rue. Après ce qui semblait être une éternité, j'ai trouvé mon chemin de retour à la réception et j'ai demandé des directions vers la salle 105. L'homme poli de l'Inde a expliqué que j'avais besoin de prendre l'ascenseur pour l'étage deux étages, puis aller à gauche et descendre un demi-escalier jusqu'à une sorte de niveau de mezzanine, où je trouverais ma chambre. Cela semblait assez simple, mais hélas, je me suis retrouvé à nouveau perdu.
RépondreSupprimerFinalement, j'ai trouvé ma chambre, pris une douche, grimpé au lit, et je me suis évanoui. Le lendemain matin, j'ai été réveillé par ce qui semblait être quelqu'un qui utilisait un broyeur de puissance pour voir un tuba. Heureusement, le bruit atroce n'a pas duré longtemps.
Je me suis levé et j'ai pris un bon petit déjeuner dans la salle à manger du sous-sol du Pelham, puis je me suis perdu à nouveau en retour dans ma chambre. Après l'avoir finalement trouvé, j'ai montré et vérifié.
Sans bagages à l'exception de ma mallette et de mon ordinateur portable, j'étais libre de marcher jusqu'à l'un de mes cafés préférés à South Kensington, un joli petit endroit appelé Guillam. C'était une journée d'été agréable à Londres - pas trop chaude - et encore une fois, j'ai senti un sentiment de bien-être balayé sur moi en passant devant le Musée de l'histoire naturelle - ce monument extraordinaire aux grands explorateurs et naturalistes de l'époque victorienne.
À Guillam, j'ordonna un double cappuccino et sentit une soudaine explosion d'optimisme. Je pensais que mon deuxième vol était aussi lisse que la soie. Je me suis connecté à la page d'état du vol d'AA, j'ai entré mon numéro de vol, et j'ai vu qu'il avait été retardé de deux heures.
Une petite étude a révélé que l'AA Boing 777 était originaire de la DFW, substitut de l'avion initial qui avait développé des problèmes de maintenance, et était donc arrivé à Heathrow avec plusieurs heures de retard. C'est précisément ce qui m'est arrivé sur mon vol aller de Dallas à Heathrow plusieurs semaines plus tôt.
J'ai pensé à mon jeune frère de Maui'a, l'entrepreneur général, qui a de plus en plus de mal à trouver de la main-d'œuvre qualifiée. Travailler sur des avions commerciaux n'est PAS un travail de merde. Soit vous savez ce que vous faites, soit vous ne le savez pas.
RépondreSupprimerVexed et sombre-quis, j'ai appelé un Uber du café Guillam pour me diriger à Heathrow.
À l’aéroport, j’ai fait quelques travaux d’ordinateur portable dans le salon du Club de l’Admiral pendant quelques heures, puis je me suis dirigé vers la porte pour prendre le vol de 18 heures.
L'embarquement a été achevé peu après 6 heures, mais . . nous n'avons pas repoussé.
J'ai demandé à un steward qui passait : « Ne repoussons-nous pas ? »
« Eh bien, » a-t-il dit, « il semble que le contrôle du trafic aérien britannique ait connu une défaillance majeure à l’échelle du système. Ils disent qu'ils ont maintenant mis leurs systèmes en service, mais nous sommes toujours en train de regarder un retard. La bonne nouvelle, c'est que la compagnie aérienne n'aurait pas été montée à bord seulement pour que vous vous asseyiez ici au sol pendant des heures et des heures. »
Finalement, le capitaine est venu sur l'AP, mais l'AP n'a pas amplifié sa voix, ce qui a fait sonner comme si elle murmurait sà on copilote. Personne ne pouvait entendre ce qu'il disait.
Et donc, comme les navires de la marine du XVIIIe siècle, ses mots ont été retransmis dans la cabine en passant par les intendants, qui ont expliqué que nous étions probablement en train de faire face à environ une heure de retard avant que nous puissions décoller.
« Passe le mot aux artilleurs d'après-feuille au fur et à mesure qu'elle roule »
J'ai pensé au Néerlandais volant - le capitaine marécageux coincé dans un maelstrom au large de la côte norvégienne qui est condamné à être coincé en mer pour toujours, n'atteignant jamais le port. Comme Wagner conçoit l'histoire, seul l'amour d'une bonne femme nommée Senta peut racheter et libérer le Néerlandais volant.
Le navire fantôme du Néerlandais volant coincé en mer
Dans mon cas, j'étais apparemment condamné à rester à jamais à l'aéroport de Londres, incapable de m'embarquer pour traverser l'Atlantique et rentrer chez moi. J'étais, semblait-il, le Texan Immobile. Qu'est-ce qui pourrait me libérer de ma malédiction ?
Après une heure, le capitaine est venu sur l'AP et murmura quelque chose, et les intendants ont rapidement répondu à la parole que nous avions notre créneau de décollage et repoussait. C'était vrai, nous avons commencé à reculer et j'ai entendu le bruit des moteurs se retourner.
« Capitaine éclaire les feux », ai-je envoyé un SMS à ma mère. « Ne retenez pas mon souffle cependant. »
Les moteurs se sont engagés et nous nous sommes précipités vers la piste de décollage. Enfin, nous étions le prochain dans la file, et j'ai entendu la gigantesque Bobine GE 90s et l'avion a fléchi vers l'avant. J'ai souri à la puissance des moteurs - vraiment l'une des plus grandes réalisations techniques de l'humanité. Beaucoup de passagers à bord étaient de mon vol condamné la veille, et nous avons simultanément fait irruption. Bravo
Nous sommes arrivés à Dallas vers 11 h 45 et j'ai finalement rampé dans le lit vers 1 h 30. Aussi irrité que je l'ai été pendant 36 heures, j'ai émerveillé qu'un avion m'ait fait voler en toute sécurité de Londres à Dallas en 9 heures et 40 minutes.
RépondreSupprimerPour mettre cette réalisation en perspective : mon arrière-grand-mère - que j'avais bien connue pendant mon enfance - était née à une époque où le voyage de Londres à Dallas aurait pris au moins deux semaines - c'est-à-dire Londres à Southhampton en train, puis un navire à vapeur de Southhampton à New York, puis un train de New York à Dallas.
Nous devrions toujours être reconnaissants pour l'extraordinaire ingéniosité, la diligence et la compétence qui ont rendu une telle merveille possible. Sans une main-d'œuvre qualifiée suffisante pour maintenir toutes ces merveilles techniques que nous tenons pour acquises, elles s'effondreront et notre niveau de vie diminuera précipitamment.
https://www.thefocalpoints.com/p/things-fall-apart-a-transatlantic?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=169648924&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
EXCLUSIVE : Le baignet milliardaire pourrait vider tranquillement votre 401(k) et pulse quotidien
RépondreSupprimerIl est encore temps d'arrêter cela, mais seulement si nous agissons maintenant.
Le renard glorieux
01 août 2025
Votre 401(k) pourrait bientôt être attaqué - et vous ne remarquerez pas qu'il ne sera pas trop tard.
Trump planifie un décret pour ouvrir 12 200 milliards de dollars d’épargne-retraite au capital-investissement.
Tiffany Cianci dit qu'il ne s'agit pas d'une question d'" opportunité" - c'est un plan de sauvetage milliardaire pour décharger les actifs toxiques qu'ils ne peuvent pas vendre.
Leur solution, prévient-elle, est simple : prenez votre retraite pour vous sauver.
« Ils seront frappés d’une enclume qu’ils n’ont jamais vue venir. »
La bonne nouvelle ? Il est encore temps d'arrêter cela, mais seulement si nous agissons maintenant.
Tiffany Cianci suit depuis un certain temps les vautours des fonds de capital-investissement. La dernière fois que Tiffany était dans notre émission, elle a expliqué comment BlackRock, Vanguard, State Street, et d'autres détruisaient les communautés en rachetant des entreprises pour les engager à s'endetter qu'elles ne paieraient jamais.
Tiffany vient avec un nouvel avertissement concernant un projet de décret du président Trump. Et c'est lié à votre retraite.
Tiffany avertit depuis des mois que le secteur du capital-investissement créait une bulle massive qui était sur le point de faire son apparition. Il vient de sauter.
Et en ce moment, leurs lobbyistes inondent Washington, DC, de mendier le gouvernement pour un plan de sauvetage. Et c'est ce qui se passe. Trump prévoit de publier un décret qui prendra 12 000 milliards de dollars de votre épargne-retraite. Pas l'argent des contribuables. Ton argent. Et il renflouera non seulement le secteur du capital-investissement, mais aussi leurs plus gros investisseurs.
Tiffany nous rejoint maintenant pour expliquer ce qui se passe, pourquoi cela se passe et ce que nous pouvons faire pour l'arrêter.
Tiffany s'ouvrit avec un coup de poing intestinal. Les sociétés de capital-investissement se noient dans leur propre dette téméraire – et elles « prient Donald Trump pour les aider ».
La crise est centrée sur un ordre exécutif imminent qui pourrait permettre à Wall Street un accès sans précédent à votre épargne-retraite. Après avoir chargé des entreprises avec une dette à taux ajustable, les géants du capital-investissement sont maintenant assis sur 3 000 milliards de dollars d'actifs toxiques que personne ne touchera - pas Harvard, pas Yale, pas même les grands fonds de pension.
RépondreSupprimerDésespérés pour une bouée de sauvetage, ils se sont tournés vers le président. Mais ce plan de sauvetage ne viendra pas du gouvernement. Cela viendra de votre 401(k).
« Il a annoncé qu’il se préparait à émettre un décret qui rendrait impossible pour les détenteurs de 401 000 de poursuivre leurs gestionnaires d’investissement s’ils investissent témérairement leur argent avec des fonds de capital-investissement », a déclaré Tiffany.
En d'autres termes, votre gestionnaire de fonds pourrait parier sur votre épargne, et vous n'auriez aucun recours juridique. « Ils ont accès à 12 000 milliards de dollars d’argent de 401 000 dollars », a averti Tiffany.
C'est ton argent. Votre avenir. Et si cet ordre passe, il pourrait être passé avant que vous ne le voyiez.
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Tiffany pense que le président Trump comprend probablement exactement ce qu’il est sur le point de faire.
Pour elle, ce n'est pas un changement de politique de dernière minute, c'est une partie d'un long jeu calculé. « Ce qui me fait le plus peur », explique Tiffany, « c’est que le capital-investissement a su que ce jour allait arriver. Ils ont vu l'écriture sur le mur il y a des années. Ils ont commencé à faire pression pour ce décret il y a sept ans. »
Depuis près d'une décennie, les sociétés de capital-investissement finissent discrètement les deux parties pour faire avancer cette chose. Il ne s'agit pas d'aider le public, c'est le pouvoir.
RépondreSupprimerTiffany a expliqué que le passage à bloquer les procès n'est pas un effet secondaire involontaire, c'est l'objectif dès le début.
Donc, quand le Congrès ne jouait pas, ils ont pivoté vers le pouvoir exécutif. Ce changement, selon Tiffany, rend l'agenda impossible à ignorer. « Je ne vois pas le fait qu’il ne le sait pas », a-t-elle dit à propos du Président. « Mais je ne pense pas qu’il sache que nous sommes assez avisés pour le comprendre et nous défendre. »
Son message aux téléspectateurs était urgent : parlez-en maintenant. Ce décret n'est pas de protéger les Américains. Il s’agit de protéger Wall Street contre la responsabilité. « Nous devons tendre la main... et exiger qu’il arrête cette fin avant de mettre l’encre sur le papier ».
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L'un des moments les plus choquants de l'entretien est venu quand Tiffany a poursuivi le PDG de BlackRock, Larry Fink, l'homme qui contrôle plus de 401(k) d'actifs que n'importe qui d'autre sur la planète.
Elle a révélé l'aveu hantable de Fink. Il ne croit pas que les Américains aient le droit de prendre leur retraite à 65 ans.
RépondreSupprimer« En fait, » dit Tiffany en le paraphrasant, « s’ils pensent avoir le droit de prendre sa retraite à 65 ans, c’est une idée basée dans l’Empire ottoman et ils sont absolument fous. »
Fink croit que les gens devraient continuer à travailler dans la soixantaine, voire dans la vingtaine.
Ce n'est pas seulement l'opinion scandaleuse de Fink, c'est un coup d'alerte et nous devons y prêter attention. Tiffany a déclaré que Fink fait activement pression pour le contrôle des fonds de retraite américains afin qu'il puisse les utiliser pour soutenir son empire de capital-investissement défaillant.
« C’est l’homme qui a besoin de son entreprise pour garder le contrôle de votre 401k », a-t-elle déclaré, soulignant le conflit d’intérêts flagrant.
« Il dit maintenant que les Américains ne devraient pas être autorisés à accéder à nos propres fonds de 401 000 à 65 ans », a-t-elle ajouté. « Il s’agit d’un système pyramidal massif... et nous ne devrions pas permettre ce niveau de contrôle dans aucun secteur de notre marché. »
Ils dominent déjà le système, a averti Tiffany - et maintenant, ils viennent pour votre avenir.
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Selon Tiffany, les signes avant-coureurs sont impossibles à ignorer, mais « Si vous avez besoin d’un néon clignotant, aujourd’hui, quelque chose de vraiment terrifiant s’est produit. »
Le président Trump vient de renvoyer deux des plus hauts procureurs du DOJ – des fonctionnaires de plus en plus nombreux qui menaient des procédures antitrust contre certains des monopoles les plus puissants du pays, y compris Google, Meta, Microsoft et les principales chaînes d’épicerie.
Et juste avant cela, Trump a levé trois des membres les plus agressifs de la FTC – Rebecca Slaughter, Alvaro Bedoya et Lina Khan, tous connus pour défendre les petites entreprises et faire face à la consolidation des entreprises.
« Il tire des gens que sa classe de donateurs exige qu’il tire », a déclaré Tiffany. C'est un modèle dangereux. Selon Tiffany, il s'agissait des seules personnes restantes à Washington qui sont insoutues et se battent en fait pour protéger les petites entreprises.
Et il ne cesse de les tirer.»
Avec des fonds de capital-investissement qui ont conduit à la monopolisation dans presque tous les secteurs - de la Big Tech aux hôpitaux en passant par les chaînes d'épicerie - la dernière ligne de défense est déchirée en temps réel.
« Cela m’effraie vraiment », a déclaré Tiffany.
Et si elle a raison, ça devrait aussi vous faire peur.
Tiffany conclut par un avertissement glacial. Si les garde-fous légaux sont enlevés, votre 401(k) pourrait être discrètement détournée vers des fonds de capital-investissement risqués, sans votre consentement, et sans que vous sachiez jamais que cela se produit.
Au début, tout semblerait normal. Votre équilibre pourrait même ressembler à une croissance. « Pendant 10 ans, ils croyaient que leur retraite était sûre », a averti Tiffany, « et tout à coup ces fonds s’achèveront... et ils seront frappés avec une enclume qu’ils n’ont jamais vue venir ».
Mais le véritable danger n’est pas seulement le choc – c’est l’ampleur de la perte. Les sociétés de capital-investissement siphonnent discrètement les bénéfices par le biais de frais cachés. « Vous leur donnez littéralement 60 % de vos retours », a-t-elle déclaré. "Et ils gagnent cet argent pendant toute la période."
RépondreSupprimerElle a souligné que le fonds de retraite de Yale était un point de mise en garde : 1,4 milliard de dollars d'honoraires chaque année, pour obtenir des rendements de 5,5 à 7 %, tandis que le S-P 500 a rapporté 65 % sur le même tronçon.
Cela ne s'est pas encore produit. Mais cela pourrait arriver rapidement. « S’il enlève cette garde de fer », a déclaré Tiffany à propos de Trump, « rien n’empêche les violations de leurs obligations fiduciaires envers vous. »
Son message ne pourrait pas être plus urgent : « Nous devons l’arrêter. » Maintenant.
Merci d'avoir fait le réglage. Si ces informations vous ont ouvert les yeux, ne manquez pas l'entretien complet ci-dessous, et assurez-vous de le partager avec un ami.
Nous reviendrons demain avec un nouvel épisode, soulignant ce que les médias refusent de couvrir. À ce moment-là.
https://www.vigilantfox.com/p/exclusive-billionaire-bailout-could?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=169776118&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
iconographie américaine
RépondreSupprimerl'idéologie de l'hallucination est en concurrence dans la réalité
el gato malo
02 août 2025
"Alors vous pensez être une icône, eh bien pourquoi est-ce ? Je me souviens quand les icônes signifiaient des classiques.
- voir docs et clips sur site -
-DJ 8ball, cow-boys de l'espace, san francisco, retour dans ma jeunesse râleuse.
la mode, la culture, les mèmes: tout cela peut être emblématique et emblématique est une idée importante. une icône est celle qui transcende, ce qui a une reconnaissance et un sens instantanés. un marqueur. une sorte de forme platonique ou de valeur de référence.
Pour toute personne de genre X ou plus âgée et beaucoup de jeunes qui sont plus jeunes, la pubil de sydney est une icône évidente, un rappel cultivé vers un genre qui était autrefois, la dernière prise moderne sur un salon chaise plus corbusier ou un hommage aux chemises de sport des années 1950. Il ressemble à 1 000 autres choses que vous avez vu toute votre vie, une pièce d'Amérique classique une fois comme un exemple.
je le présente ici comme l'exposition A.
à son niveau supérieur, cette marque a un sens profond car les styles de jeans changent, passant du paradigme des jeans skinny ajustés des 15 dernières années à un style plus lâche et baggy 80 et 90s. C'est tout un élément: un style ad à l'avant un style de vêtements de recul. il a attrapé le zeitgeist.
Alors, pourquoi l'internet et le malfaiteur du complexe industriel des médias ont-ils explosé dans une telle impasse au-dessus d'une publicité qui aurait été totalement banal lors de la plupart de la mémoire vivante ?
Il se résume à une ligne:
« Sydney sweeney a de grands jeans ».
C'est tout. une blague de papa enfouie qui a littéralement eu elle et un aigle américain appelé nazis, suprématistes blancs, eugénistes et incitoyens de lynchage. J'aimerais vous dire que je prends une licence à ce sujet et exagérer, mais, hélas, je ne le suis pas.
C'est une vidéo, mais il y a incalculable d'autres comme tout ce qui dit des choses similaires.
cette dame lacrymogène est directement convaincue que c'est un signe qu'elle risque d'être lynchée. (ou au moins voudrait semble le croire pour secouer de l'argent des gens)
les vestiges vestiges de la mafia de la culture d'annulation étaient tous en vigueur exigeant des boycotts et de la censure et jouant ce rôle préféré des enfants de théâtre partout : la victime.
Mais une chose drôle s'est produite en route pour la session de lutte :
Personne ne s'en souciait.
RépondreSupprimerLe monde universitaire s'est enveillé à la rage.
bâillement.
journaux ont fabriqué l'indignation à l'échelle de la presse à l'imprimerie.
bénage. Snork.
Internet a explosé dans des vagues de projection d'anxiété en larmes et a tenté de se villifier.
Et les jeans se sont vendus en un temps record.
Le même groupe qui a tenu un tel emprise au cours des 10 à 15 dernières années (et surtout les 5 derniers) s'est soudainement trouvé impuissant. vous ne pouvez pas avoir une culture annulation une fois que plus personne ne vous écoute. Vous devenez juste un comité de bébé à côto entassif pour attirer l'attention que tout le monde est trop épuisé et (de plus en plus) trop sage de vous donner.
Le monde a changé. Les gens en ont marre de mourir d'avoir à jouer en croire et à prétendre qu'un tas de crybullies hyper-agressifs se déchaînent dans la fleur pleine de leurs personnalités pathologiques et les choix de vie représentent « normaux » quand ce qui s'est passé ces dernières années n'a rien été du tout.
Il s'agit d'un gavage d'idées exotiques, voire insensées, traitant le public comme une sorte d'oies de pâté pour être poussés pleins de blé adventice, engraissés pour une mort à venir.
Il s'agissait de la propagande et de la démoralisation au niveau des inondations.
Très peu de gens pensaient que c'était une bonne idée.
Mais tout le monde a été forcé par des foules culturelles d'annuler de prétendre qu'ils l'ont fait.
Et cela vous montre à quel point les choses avaient dérivé.
Le but de la saturation des médias et de la lutte des rues annulent les cohortes est de déformer la réalité et de fabriquer un faux consensus. C'est un effort concerté pour créer et soutenir un paradoxe abilène dans lequel un groupe de personnes qui savent toutes bien ce qu'une femme doit faire comme si elles ne le font pas parce qu'elles croient toutes que c'est ce que le reste du groupe croit et craignent de s'effondrer le consensus et de faire face à l'annulation/ren.
c'est une fausse conscience autour d'un faux consensus.
RépondreSupprimerces structures sont intrinsèquement une fonction du contrôle des médias et du discours et de la peur. vous devez contrôler le message, et vous devez être capable de menacer des conséquences immédiates, prévisibles et graves pour exprimer une mauvaise attention.
C'est essentiellement un grand jeu de « nouveaux vêtements de l'empereur » joué à la casse des armes. Tous les enfants joyeux proférant des phrases comme « il est nu » vont directement au goulag.
Son son bien loin ?
Il n'y a pas si longtemps, « prétendez que c'est votre norme de beauté et d'autonomisation ou que oui » était la loi de notre jungle médiatique.
C'est aussi la raison pour laquelle ceux qui commandent une telle règle culturelle par le paradoxe abilène sont si désireux d'effacer et de remplacer l'histoire par des tas d'absurdités inventées, en tirant sur les vieux héros et les valeurs qu'ils ne peuvent pas être en train de mettre en accusation la doctrine qu'ils souhaitent nourrir la population.
L'idée même que votre société était toujours différente ou que cette différence était, dans la mesure où elle existait, tolérable doit être à la mémoire. Personne ne peut jamais douter que l'océania a toujours été en guerre avec Eastasia.
Si vous êtes autorisé à connaître votre propre histoire, il pourrait devenir douloureusement clair que ceci :
n’est même pas nouveau, pas même la blague papa sur les « grands jeans ».
C'est un rebouclage d'une toxine calvine ad des années 80 avec des boucliers de brooke.
Regardez cette publicité, qui a suscité (à ma connaissance) fondamentalement une controverse nulle à l'époque.
- voir docs et clips sur site -
Imaginez cette publicité aujourd'hui.
Maintenant, pour un peu de plaisir, imaginez la publicité CK avec le « homme enceinte » ci-dessus en 1980.
Voyez-vous la dérive ? C'est ce qui est défendu.
Et c'est tout simplement indéfendable.
C'est une chose de dire « je devrais être libre d'exprimer mon identité ».
C'est une discussion qui peut être eue et où je me rangerais de la plupart des comportements des gens pacifiques.
Mais « je suis la référence, le centre de la courbe, et vous êtes le problème et vous avez besoin d'être supprimé et atténué et vous ajuster à moi-même » est une proposition très différente.
Et c'est tout simplement indéfendable.
Vous ne pouvez pas simplement dire aux gens, « c'est normal », « l'obésité est saine », ou « si un homme (ou une femme) ne sortira pas avec une femme parce qu'elle a un pénis, c'est transphobe » (les gens le prétendent vraiment d'ailleurs et en désaccord avec lui ont été traités comme des discours haineux) et s'attendent à être cru ou à devenir une pierre de touche culturelle.
RépondreSupprimeret les gens sont épuisés par elle, désespérés de revenir à une époque différente et à un ensemble de normes plus conformes à leur expérience et à leurs préférences vécues (et biologiques).
les responsables du contenu du terrain hallucinatoire de l'abilène sont devenus assez fous et la vision a perdu la fidélité, devenant déformée et inhumaine au point où personne ne veut jouer.
le monde voudrait que le monde soit de retour comme le sens supplante les insensés.
Il est évident que ce n'est pas une nouvelle bienvenue à ceux qui ont eu un tel succès en dominant le monde et de l'obliger à danser à des mélodies discordantes. l'imposition involontaire d'une insolite obligatoire et les crises de santé mentale présentées comme des choix de mode de vie vertueux sont terminées, et elles ne sont pas déplorées.
Cela semble soudain aux gens qui avaient réussi à être à la charge de ce défilé et ils sont désorientés, perdus et effrayés.
Pour eux, le monde entier vient de se retourner.
Mais leur perspective est aussi dépourvue que leur logique.
Ce qui est incroyable, c'est qu'ils ne mentent pas. Ils pensent vraiment que c'est un « nazi propoganda » d'une échelle qui finira dans les livres d'histoire.
ils sont, en fait, désorientés et mal étalamisés.
Je vous ai dit que c'était le graphique le
Et c'est le cas.
Il est soigneusement construit auto-haut qui a été utilisé pour induire ce groupe à des niveaux de fidélité intenses en échange du droit d'habiller la main et cryhydrofuge les autres. dans leur désir désespéré de prendre la distance d'eux-mêmes, ils deviennent incroyablement externalisés. rien de ce qu'ils prétendent tourner leur vie ne possède de raison ou même de substance.
les causes qu'ils épousent sont fausses et accessoires. Ils ne se soucient pas de l'eugénisme ou du racisme, ils se soucient du pouvoir tribal et de leur capacité à en gérer une partie et à jouer à « pincer pas de punchbacks ».
RépondreSupprimerépreuve aisée:
Si vous aviez lancé une pub avec cette photo de beyoncé et que vous aviez de grands jeans. L'une des « plumes grufflées » de l'équipe aurait-elle tellement secoué leur plumage ?
nope.
Ils auraient aimé et ont attaqué quiconque n'était pas d'accord en tant que raciste.
L'objectif est que ces deux femmes ont de grands gènes.
cette position à peine semble controversée.
Alors pourquoi est-il normal de dire cela à propos de l'un d'entre eux et non de l'autre?
l'agitarène déclarera qu'il s'agit de race et de privilège structurel, mais ce n'est pas le cas.
Il s'agit du pouvoir.
Ils font l'expérience de l'autonomisation d'une femme comme un sydney comme une agression contre eux parce qu'ils considèrent le pouvoir comme un jeu à somme nulle.
Mais cette volonté est si intense au pouvoir qu'elle ne peut être admise, et encore moins à elle-même.
ils sont absolument sincères au point d'une illusion non ingrogative sur ce sujet.
Il les broie en poussière parce qu'aucun de tout cela ne fonctionne plus.
les mots magiques ont perdu leur pouvoir. Criez « racistes. Sexeliste. opprimeur structurel. » jusqu'à ce que vous entorsiculez vos amygdales.
en dehors de votre condamnation toujours en tribu de rage, personne ne s'en soucie.
Il y a un peu plus de deux ans, j'ai écrit sur « comment tuer un culte de mots magiques » et j'ai estimé que c'était au bout d'une minute où il est devenu normal de l'appeler.
votre discours est la haine et leur haine est la tolérance.
le monde entier a été créé un espace sûr pour des hallucinations opprimantes et dictatoriales se faisant passer pour des visions du monde et une tyrannie d'exclusion de l'autre partie faisant des affaires comme un grand amour inclusif le pluralisme des lapins fluffy.
Jusqu'à ce que cet édifice unifié commence à montrer des fissures, il a très bien réussi à agir essentiellement comme un conjoint violent: coercition, intimidation, abus physique et émotionnel, projection, vous faire sentir en sécurité tout en vous blâmant pour les avoir rendus dangereux, en les amplifiant et sans cesse en vous faisant exactement ce qu'ils prétendent lui faire et en revendiquant le statut de victime, alors qu'ils vous attaquent, c'est « voir ce que vous me faites ? »
Ce truc est un manuel.
RépondreSupprimerEt il se désagrége de la même façon.
le prendre à partir de kitty:
la picoseconde, il a commencé à être OK de l'appeler, réveillé était terminé.
Beaucoup en doutaient, mais nous sommes ici dans le grand démêlage.
le complexe industriel de l'oppression indigne est devenu un outil de marketing, un vecteur de diffusion pour les mèmes positifs. leur rage et leur affront est la validation de la marque.
J'ai vu des estimations que l'aigle américain a tiré 300 millions de dollars de ventes en une journée sur cette campagne et a obtenu 65 millions de dollars d'exposition gratuite aux médias.
Honnêtement, j'avais des brumeurs, ils étaient même une marque jusqu'à la semaine dernière.
Tout le monde se souvient maintenant.
Les arbys et les dunkies ont tous deux sauté.
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D'autres suivront. le déluge est ici.
Ce n’est pas « un déplacement culturel effréné vers la blancheur », c’est juste la fin d’un changement culturel effréné contre la blancheur.
Ce n'est qu'un retour à « être moi, c'est bien aussi. »
Cela ne fait que rendre plus intensément ceux qui perdent le contrôle narratif plus intensément dans leur impuissance et leur incompréhension.
Ils croient vraiment que le monde est sur le point d'être avec eux. Ils n'ont rien appris de la lumière des bourgeons, du jaguar, du kamala, du grand timyme walz, ou du petit harry sisson.
Ils sont tombés pour le consentement qu'ils ont fabriqué et ont supposé que c'était sincère. Ce n'était pas vrai. C'était juste la peur.
les cœurs et les esprits traditionnels n'ont pas été gagnés, simplement réduits au silence.
Mais la bulle de falsification préférée a éclaté.
Et la majorité culturelle s'est retrouvée à nouveau.
Il aime les jolies filles et les blagues de papa, la liberté et le rire, et être un peu offensant parce que c'est amusant et drôle et parce que les adultes réels peuvent le prendre et s'en connecter.
Il aime les modèles approchants et bas, « ressemble à une personne réelle » au lieu d'une vallée antisincère en plastique, un goblin à dos de canne à lèvres comme la lauren sanchez ou les morses ennuyeuses dans des maillots de bains en défaissance en chaussures de sport illustrés.
C'est toujours le cas.
Il peut juste le dire à nouveau.
Les frayeurs de réveil de la merveille offraient des choix vraiment difficiles, et personne n'a jamais vraiment acheté ce qu'elles vendaient.
le test A/B n'a jamais été un succès, mais la marque a mal pris en considération la dissidence pour avoir gagné.
RépondreSupprimerQuand on lui demande : « Hé, quelle image s'aligne le plus étroitement avec vos valeurs fondamentales ? » Tout le monde a toujours su la réponse.
Quand on dit « c'est l'avenir » et « c'est la voie à suivre », tout le monde craignait toujours que ce ne soit peut-être pas le cas, mais espérait que ce n'était pas le cas.
le relief est palpable.
Et personne ne revient.
(si vous pensez que ces deux sujets ne sont pas liés, vous n'avez pas prêté attention)
Et une fois qu'il est devenu OK de se moquer de ces gens
Tout leur pouvoir avait disparu.
La marque de « réveiller » et de « dictature, d’équité et d’intrusion » est devenue une anti-marque et les gens la vendent si abominables que tout ce qu’ils critiquent devient convoité et la hanche.
Ils sont à court de trucs dans le sac. ils n'ont pas pu convaincre, et maintenant ils ne peuvent plus forcer.
leurs « solutions » sont les problèmes.
Et le monde les a renvoyés dans la poubelle d'une idologie abandonnée,
Nous vivons un changement de phase où la société d'un siècle vient comme une fois de plus connaître son propre esprit et de réaliser que ce qu'elle pensait être la majorité n'était qu'une minuscule faction avec un monopole mégaphone.
dans le monde sous-jacent, peu de choses avaient vraiment changé.
C'était de la perception et de l'apparence.
Et finalement, il est devenu trop évident que nous nous sommes éloignés de la réalité, et que les gens se sont réveillés.
Et nous sommes ainsi en retour.
et « icônes » signifie toujours « classiques ».
Et nous choisirons une meilleure façon.
Parce que c'est comme ça que nous roulons.
ensemble.
https://boriquagato.substack.com/p/american-iconography?utm_source=post-email-title&publication_id=323914&post_id=169664186&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le Dominion démenté est dans une Lacet. Ils ne le savent pas encore, mais notre classe politique fait face à l'extinction
RépondreSupprimerIl ne peut pas venir assez tôt
02 août 2025
Absurdement flatté d'être inclus dans cette entreprise la semaine dernière
« Votre rapport met également en lumière des individus qui se sont déplacés de gauche à droite - Thomas Sowell, Elizabeth Nickson, Fredric Lederer - après avoir fait face à des preuves empiriques et à des contradictions morales. Cela reflète la thèse de Berkowitz : la vérité transcende l'idéologie ».
Trente-cinq pour cent ont atterri sur le Dominion dément hier et dang, si nous ne le méritions pas. Notre classe politique à 1000% avec l'agenda mondialiste et nous vendrons tout le pays aux pires oligarques, criminels et commies pour battre Trump parce que c'est à quel point nous sommes stupides.
Pour glacer le gâteau, nous avons décidé de « reconnaître » l'État terroriste de Palestine hier, ce qui a conduit Trump à dire que ce serait un vendredi glacial en enfer s'il avait jamais conclu un accord avec nous. Félicitations, imbéciles, vous venez de perdre votre plus gros client, ce qui signifie que 90% de nos exportations allaient aux États-Unis. Bonne chance pour renégocier l'USMCA.
Notre passivité et la vénalité de notre classe politique sont inégalées.
Voici comment un pays autrefois grand a été ruiné :
Si vous grandissez dans un pays chrétien, ce que j'ai fait et presque tout le monde que je connais, vous vous attendez à ce que les gens soient bons. Ennuyeux, digne, peut-être, mais bon. Et donc une partie de vous, une grande partie va dormir. Pendant que vous dormez, tout un tas de gens vous détestent et vous envient, que vous avez accueillis après les ravages de la Seconde Guerre en Europe, par exemple - et les migrations ultérieures de ceux qui ne sont pas en mesure d'acheter dans leurs pays non bons, pas ennuyeux, et prétendument progressistes, pour la plupart des pays, la plupart dur ou brutalistes (je me répète). Et, voilà, ils veulent ce que vous avez et ils feront n'importe quoi pour l'obtenir. Ils vont donc recréer leur mode de vie brutaliste.
- voir docs sur site -
C'est le Canada.
Voici cette vidéo. Une « femme autochtone » très motivée, remplit la haine, déclare en termes d'audace ce qu'elle veut et prévoit tous : la fin de nous. Pour de vrais. Regardez-la, c'est instructif. Dans toutes les villes, grandes et petites, à travers le Canada et les États-Unis, et tout à travers l'Europe de l'Ouest, les gens comme ça vivent. Presque tous vous vivent et passent leur temps à vous détester et à comploter pour prendre ce que vous avez. Je ne plaisante pas un peu.
Encore une fois, nous payons ces gens.
Une fois, j'ai eu un ami, lituanien, dont la famille a immigré après la seconde guerre. Ils ont lutté, son père avait été juge, mais bien sûr, ne pouvait pas s'entraîner ici. Les Canadiens les nourrissent et les abritent jusqu'à ce qu'ils se mettent à cheval, l'ont fait subir 19 années de scolarité, y compris en payant pour faire d'elle une architecte (les frais scolaires étaient originaux; les contribuables supportaient le fardeau). Elle a passé sa vie professionnelle dans le cinéma, ce qui signifie que son salaire luxuriant a été payé à 65 % par le contribuable canadien - parce que c'est ainsi que nous rouleons ; tous les médias/arts sont de la propagande financée par le gouvernement. Quand elle a eu un cancer, les Canadiens ont dépensé des millions pour la maintenir en vie, en utilisant un traitement de pointe après l'autre pendant près de 20 ans maintenant. Je pense 10 millions de dollars ? 20 dollars ? Cela ne lui a rien coûté. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi elle voulait qu’Obama/Trudeau, etc., gagne, elle a ricané, « venger. »
RépondreSupprimerLorsque le canular indigène a pris feu - aucun corps n'a été trouvé, mais de mauvais acteurs à travers le monde ont vanté le mensonge, y compris le dernier pape, le PCC et tous les avenus de gauche vivant - elle était pleinement à bord.
Elle ne peut pas être la peine de faire une heure d'enquête ; c'est de la haine et du ressentiment et de me donner plus. Je l’ai adorée, mais il est devenu clair qu’elle était amie avec moi parce qu’elle me considérait comme un «classe supérieure» (je ne suis pas) et voulait extraire ce que je sais. Elle pensait que mon enfance était toutes des fêtes de jardin et des robes de balle, ce n'était pas le cas. Il fait froid, de la discipline, du respect de soi, du respect des anciens, du travail, des modalités, de la responsabilité et de la répression et de la punition de toute infraction. Dans mon pensionnat, le shampooing a gelé en bouteilles sur les commodes pendant la nuit parce que les petites filles qui gèlent la nuit « vous fait forte ».
C'est ce qui a construit le Canada. Pas pleurnichant, protestant et allongé dans les sous-sols. Ou faire des courses sur Bloor Street pour Chanel.
Comme je le répète encore et encore en ce qui concerne les « autochtones » au Canada, dans ma famille, nous avons quatre tribus ou groupes indiens : Mohawk, Assiniboine, Blackfoot et Metis. Ma famille a quatre cents ans d'histoire avec les autochtones. Les parties de guerre ont été accueillies pour dormir sur nos chaussées de cuisine, et les parties de guerre ont essayé de nous brûler. Certains d'entre nous ont dû être sortis de prison parce que nous nous battions pour les droits des Indiens. C'est compliqué. Nous avons acheté des terres pour des manteaux et de l'argent. Nous les avons épousées. Les internats étaient difficiles, mais la pédagogie jusqu'aux années 60 était brutale partout. Dans les internats privés en même temps, nous avons depuis trouvé de nombreux auteurs d'abus sexuels sur enfants. Peinture sévère, isolement, critiques constantes. La séparation de la famille n'est pas l'exception. La moitié des diplômés des pensionnats sont reconnaissants. Demi-mère. Soyons clairs si la pédagogie était brutale en haut, en bas, c'était probablement horrifiant et la foule catholique enseignante au début du 20e siècle était notoirement cruelle. Mais une grande partie du jeu indien est un canular, s'affaiblissant pour les gens, ce qui en fait des enfants perpétuels, tandis que les avocats vénaux, les militants écologistes et les bureaucrates saisissent 90 % des paiements pour eux-mêmes.
C’est une parfaite illustration des cours professionnels du Canada.
(Les Indiens qui ont finalisé des revendications foncières sensées et qui élisent des dirigeants modernes qui chassent les écologistes de leurs terres font très bien et sont fiers d'être indépendants.)
Pour le répéter, aucun corps n'a été trouvé. C'est un mensonge dégoûteux inventé par la classe politique pour nous faire honte et nous faire taire. Soyons clairs, quand les colons sont arrivés au Canada, l'indigène n'avait pas la roue. Et plutôt que d'être intimidé dans le christianisme, le fait que la foi a interdit le sacrifice d'enfants a rendu la conversion facile pour la plupart d'entre eux, à l'exception bien sûr de leur classe de prêtre que les imbéciles d'aujourd'hui vénèrent et se tatouent pour montrer allégeance. Des tatouages ont été faits avant de tuer les leurs afin de s'habituer à la douleur. Cette vileté est ce que les enfants adorent, parce que tout ce qu'on leur enseigne est un mensonge. Notre système éducatif a été corrompu par des marxistes et des femmes déchirantes des libératrices.
RépondreSupprimerQuand il s'agit du retour terrestre, le plus souvent ridicule, je recommande vivement Not Stolen. Là aussi, avec l'éviscération du mythe des terres volées et un examen des droits de propriété ancestraux, vous trouverez les preuves abondantes et cachées que chaque religion, à court de judaisme et de christianisme, a pratiqué des sacrifices d'enfants et humains afin de propager leurs dieux sinistres. Aujourd'hui, nous sommes tombés dans le modernisme qui tue les bébés dans les cent millions, les personnes âgées gênantes, les malades mentaux, et les vaccins antipoison, la nourriture, l'air et l'eau.
L'arrière-grand-mère de Jamie était une Assiniboine de sang et avec son mari, ils ont installé le district de la Paix, ont institué l'agriculture dans un endroit où la faim était monnaie courante et a combattu la Baie d'Hudson, la version du 19e siècle des Rothschild. Ils étaient connus comme l'empereur et l'impératrice de la paix.
Quand la célèbre poétesse Mohawk du Canada, Pauline Johnson a contracté un cancer du sein pour la deuxième fois, sa cousine par l'intermédiaire de sa famille Mohawk - mon arrière-grand-mère - et ses amis l'ont nourrie à travers sa maladie, l'ont enterrée et lui ont élevé une grande statue à Stanley Park. Ce n'était pas le gouvernement, ce n'était pas un petit lingotisme vicieux d'Antif, c'était le Club canadien pour les femmes, les hauteurs de la société chrétienne de l'époque.
Racontez ces histoires que vous déconcertez Marxiste LIARS.
Que s'est-il passé ? L'école de Francfort est arrivée pour détruire notre culture et prendre tout ce que nous avons. Les marxistes européens ont sans doute payé par les familles brutales lucériennes européennes qui voulaient la terre, les ressources, pour nous planter, puis nous utiliser comme des serviteurs fiables. Et les Indiens étaient un outil principal. Les marxistes ont bougé entre eux, ont choisi les vulnérables, leur ont appris à se plaindre, à extraire et à protester et à nous faire preuve d'échouer et de nous en blâmer.
La classe politique du Canada existe pour nous faire honte et nous humilier, supprimer notre créativité et notre vitalité, puis nous récolter pour de l’argent.
Notre classe politique répulsive est à court de moyens d'humilier, de silence et de vol. Nous, d'où l'importation massive de migrants criminels dans les endroits les plus désespérés du monde. Jeudi, nous avons été informés que la police avait « perdu » la trace de 600 migrants criminels, condamnés pour les pires crimes et en vertu d'un arrêté d'expulsion.
RépondreSupprimerCe mois-ci, nous avons commencé à solliciter des personnes âgées dans les régions les plus dégradées du monde, et bien sûr, nous offrons maintenant une course complète pour les LGBTQ des migrants. Multiplier 10 millions de dollars de traitement contre le cancer multiplié par 500 000 personnes. Je n'exagère pas. Nous avons importé 800 000 au premier trimestre de 2025. Nous leur versons 82 000 dollars par an, alors que le salaire moyen au Canada est de 67 000 dollars.
Les aînés canadiens ne peuvent pas chauffer leur maison et manger pendant nos hivers très froids. Ils vivent avec 2 000 dollars par mois. Des centaines de milliers de vieilles dames racontent une existence, tandis que les migrants vivent dans des hôtels quatre étoiles. C'est un crime dans notre pays incroyablement riche; la richesse que la classe politique a enlevée de nous et a mise en banque, la vendant au coup par coup aux oligarques et aux régimes de concurrence les plus violents et les plus extracteurs du monde. Lorsqu'ils ont besoin d'argent supplémentaire, ils vendent une mine au PCC.
C'est ainsi que la classe politique fait la banque. Ils trouvent des clients, plus ils sont désespérés et passifs, mieux ils prennent une vig de ce qu'ils nous forcent à payer. C'est qui fait appel à nos médias et à nos arts. Tous les arts, les commentaires, les reportages, le théâtre, le cinéma, la musique sont remplis de messages de haine des Blancs, des hommes, du succès, de l'indépendance, de l'autodétermination, de l'action, de la vitalité, de nos générations fondatrices. Tout ce qu'ils font, disent ou institues, est destiné à nous faire du mal et à nous enlever. De briser notre culture, de briser notre esprit et de nous appauvrir.
C'est pourquoi le Canada n'a pas atteint le potentiel qu'il pourrait. Notre classe politique nous a battus, a délibérément rétréci les charges affaiblies et a réprimé notre créativité. Ils prennent tout notre argent, tout ça. Essayez de créer une entreprise en utilisant l'épargne. Vous ne pouvez pas. Si vous gagnez de l'argent, votre tranche d'imposition s'est abattue et votre argent disparaît dans leur voracité.
RépondreSupprimerLe Canada connaît les mêmes droits de viol, meurtre, chaos, sans-abri, violence que l'Europe, couplé à une fermeture écologique de l'économie qui dure depuis des décennies. Les enfants sont désespérés par l'emploi et le logement.
La seule raison pour laquelle nous ne sommes pas dans la rue, c'est que notre gouvernement permet à tout le monde d'abattre nos villes et de marcher et de crier et de menacer, mais nous. Les travailleurs canadiens sont mis en prison, en déclassés et entraînés pendant des années de procédures judiciaires coûteuses.
Sept ans recommandés pour la secrétaire Tamara Lich, qui s'est occupée de la logistique du convoi de camionneurs. Elle devrait obtenir l'ordre du Canada et siéger au Sénat. Mais notre système judiciaire déteste la culture fondatrice et déteste les Canadiens. Son destin est en jeu. Cette semaine, la Royal Bank, la huitième plus grande banque du monde, a déclassé Eve Chipiuk, l'avocate du convoi de camionneurs.
Les rumeurs et les assassins ont moins. Condamné à l'agression et vous êtes brun ? Laisse-le sortir le jour suivant. Condamné à plusieurs reprises? Admis.
Le week-end dernier, le maire de Montréal a annulé un concert chrétien parce que « il ne représente pas nos valeurs ». Vous vous êtes misérable en tapissant LIAR, la ville de Montréal a été construite sur le catholicisme. La raison pour laquelle vous mangez régulièrement est à cause du christianisme.
Tout ce qui sort de nos capitales (à l'exception de l'Alberta) est un mensonge. Si un homme politique au Canada ouvre la bouche, il ou elle ment.
J'ai grandi avec la soi-disant Elite Laurentienne qui dirige toujours l'endroit. Habitués à privilégier et incapables d'être à la hauteur des exploits et de la bravoure de ceux qui sont venus devant eux, ils se sont mis à rude épreuve envers les Canadiens comme le chemin du pouvoir et la richesse. Tout homme fort qui vient les posséder. Aujourd'hui, les marxistes de la migration, la dernière décennie, les marxistes verts, avant que les m'emportent sur les marxistes, et les honteux et les humiliés jusqu'à ce qu'ils cessent d'essayer les marxistes culturels. Et surtout, ils dansent sur la mélo des banquiers et des aristocrates européens, les courtisans obséquieux qui rampent parfaitement. Chaque fois, ils encaissaient et nous perdions.
RépondreSupprimerJ'espère que Trump les embrasse tous à l'enfer.
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Elizabeth Nickson a été formée en tant que journaliste au bureau londonien de Time Magazine. Elle est devenue chef du Bureau européen du magazine LIFE dans ses dernières années de publication mensuelle, et pendant cette période, elle a acquis les droits sur les mémoires de Nelson Mandela avant sa sortie de Robben Island. Elle a ensuite écrit pour Harper's Magazine, The Guardian, the Observer, the Independent, the Sunday Telegraph, the Sunday Times Magazine, le Telegraph, le Globe and Mail et le National Post.
RépondreSupprimerSon premier livre The Monkey Puzzle Tree est une enquête du programme de contrôle de l'esprit MKULTRA de la CIA et a été publié par Bloomsbury et Knopf Canada. Son prochain livre, éco-fascistes, How Radical Environmentalists Are Desting Our Natural Heritage, a été un aperçu de la façon dont l'environnemental, très pratiqué, détruise l'économie rurale et la culture rurale aux États-Unis et dans le monde entier. Il a été publié par Adam Bellow sur Harper Collins US. Elle est Senior Fellow au Frontier Center for Public Policy, fcpp.org. Vous pouvez lire en détail des documents de politique générale sur différents éléments de la junte environnementale ici: https://independent.academia.edu/ElizabethNickson.
Son essai sur les échecs catastrophiques de la CBC du Canada est inclus dans Against the Corporate Media de Michael Walsh, 42 Ways the Press Hates You.
https://elizabethnickson.substack.com/p/the-demented-dominion-is-in-a-lather?utm_source=post-email-title&publication_id=30495&post_id=169574874&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Pas d'orge, pas de bière
RépondreSupprimer3 Août 2025
Billie Lentz, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Votre bière préférée provient peut-être de ma ferme dans le Dakota du Nord.
Sa production dépend aussi des brasseurs mexicains, mais derrière chaque bière dans le monde se cache un agriculteur comme moi, qui produit un ingrédient essentiel.
La première chose que vous verrez en entrant dans le bureau de ma ferme est un autocollant sur notre réfrigérateur, sur lequel est inscrit en lettres grasses « Pas d'orge, pas de bière ».
Gardons cela à l'esprit à l'approche de la Journée Internationale de la Bière, qui aura lieu le 1er août cette année.
Je suis une agricultrice de cinquième génération qui vit à seulement 16 kilomètres de la frontière canadienne. Outre l'orge, nous cultivons du soja, du blé et du colza. Nous produisons ces cultures en quantités égales et les alternons afin de protéger le sol et de le maintenir en bonne santé.
Mais pour moi, l'orge est la plus intéressante, car elle entre dans la composition de la bière que nous aimons tant.
De loin, un champ d'orge ressemble à un champ de blé. Il est vert au printemps et devient doré à maturité, créant ce que la chanson patriotique appelle « les vagues ambrées de céréales ».
Nous nous efforçons de produire un excellent ingrédient pour un produit délicieux. Les deux marques que notre orge soutient sont Modelo Especial, qui est aujourd'hui la bière la plus vendue aux États-Unis, et Corona Extra, une bière blonde populaire connue pour son goût frais et ses publicités sur la plage. Lorsque la plupart des gens ouvrent ces bières, ils imaginent peut-être un moment à la plage ou sur un bateau. Quand je déguste la mienne, je repense aux heures passées dans mon tracteur, à l'investissement que j'ai fait dans les semences, à l'équipe de ma ferme qui a pris le temps de s'occuper des cultures, et à mes projets pour la prochaine année agricole afin de recommencer tout cela.
Peu importe ce que vous imaginez, lorsque vous allez au magasin et que vous choisissez l'une de ces bières, vous savez exactement ce que vous achetez. Vous l'avez déjà goûtée et vous allez la déguster à nouveau. Vous êtes sûr que vous l'aimerez.
RépondreSupprimerSa saveur constante et fiable est le résultat d'un travail acharné et de la gestion des défis de la ferme qui rendent chaque jour différent.
Il y a tout d'abord la météo, mon principal collaborateur qui ne me dévoile jamais ses intentions et ne tient pas compte des miennes. Il peut faire chaud ou froid, humide ou sec. Ces conditions peuvent durer un jour seulement ou s'étendre sur une semaine ou un mois. Tous les types de temps ont une incidence sur la croissance de nos cultures, et nous nous adaptons à ce que Mère Nature nous réserve.
Pour semer, nous avons besoin de températures chaudes et de champs secs. Lorsque nous avons de la chance, nous pouvons commencer début mai. Lorsque nous n'avons pas de chance, nous attendons, et parfois, nos semis ne sont pas terminés avant juin. C'est toujours une course contre la montre, car la saison de végétation est courte dans le Dakota du Nord. La récolte a lieu en septembre. La blague selon laquelle nous avons neuf mois d'hiver est basée sur la vérité.
Au fur et à mesure que nos plantes poussent, nous les nourrissons avec des engrais et les protégeons des menaces. Les parasites ne sont pas un problème majeur dans notre région, mais la fusariose, une maladie fongique, peut nuire à la qualité et réduire les rendements. Nous consultons des spécialistes pour nous assurer de la combattre de manière efficace et durable.
Une bonne façon de garantir une bonne récolte d'orge est de préparer le sol pour qu'il soit fertile. Nous labourons nos champs le moins possible, car le fait de retourner la terre l'expose à l'érosion. Une grande partie de notre exploitation est en fait sans labour, mais certaines zones accumulent beaucoup d'humidité. Nous labourons ces endroits pour les assécher lorsque nous préparons le champ pour les semis. Cette pratique mixte est ce que beaucoup appellent le « labour minimal ».
De nombreux agriculteurs pratiquant le semis direct et le labour minimal utilisent des cultures de couverture pour protéger leurs champs lorsqu'ils ne portent pas de cultures commerciales. Notre climat ne le permet pas, car notre sol gèle généralement une à deux semaines après la récolte, ce qui empêche la croissance d'une autre culture pendant les mois d'hiver.
Chaque été, notre objectif est de cultiver de l'orge qui pousse bien dans les champs et qui contient la bonne quantité de protéines avant d'être maltée. Nous parvenons généralement à respecter les normes élevées fixées par nos partenaires brasseurs, mais si la récolte ne répond pas aux critères de qualité stricts, nous recherchons d'autres options pour vendre ce grain, par exemple comme aliment du bétail.
RépondreSupprimerMon objectif, bien sûr, est que toute notre orge soit transformée en bière. C'est le meilleur résultat possible. C'est ce que je souhaite en tant qu'agricultrice.
C'est aussi ce que je souhaite en tant que buveuse de bière.
Avant de retourner à la ferme, j'ai développé mon amour pour les bières artisanales dans les brasseries des villes où j'ai vécu. Et, comme le font souvent les membres de la génération Z, j'ai même créé un compte sur les réseaux sociaux dédié à mon hobby : Billie's Brew Book, sous forme de blog et sur Instagram.
Cependant, depuis que je suis revenue à la ferme et dans ma petite ville, je n'ai plus la possibilité d'explorer les brasseries comme je le faisais auparavant. Je me concentre désormais sur le partage de mon histoire et de mes expériences en tant que jeune femme dans le domaine agricole sur un autre compte : découvrez-en plus sur Lentz Farms sur Instagram.
La prochaine fois que vous ouvrirez une bière fraîche, qu'il s'agisse d'une bière artisanale entre amis ou d'une grande marque que vous appréciez en famille, j'espère que vous penserez aux agriculteurs qui rendent votre bière possible.
Et puis savourez-la, car c'est bien sûr la raison pour laquelle vous la buvez. Santé, Salud, Prost, ou quelle que soit la façon dont vous célébrez votre happy hour, en cette Journée Internationale de la Bière et tous les autres jours.
*
* Billie Lentz
RépondreSupprimerJe suis une agricultrice de cinquième génération originaire de Rolla, dans le Dakota du Nord, aux États-Unis, à seulement 16 kilomètres de la frontière canadienne, où je cultive du soja, de l'orge brassicole, du canola et du blé. J'ai récemment repris la part de mon grand-père dans notre ferme familiale et je travaille désormais aux côtés de mon père, Doyle, également membre du Réseau Mondial d'Agriculteurs (Global Farmer Network – GFN), pendant que je prends progressivement possession de la propriété. Je suis fière d'être la première femme de ma famille à gérer la ferme.
Avant de revenir à la ferme, j'ai travaillé dans le marketing d'entreprise chez John Deere, où j'ai acquis une expérience précieuse en matière de stratégie de marque et de communication numérique. Ce poste m'a aidée à mieux comprendre l'agriculture, tant du point de vue de l'industrie que des producteurs.
Je siège actuellement au conseil d'administration de la North Dakota Soybean Growers Association et j'ai fait partie de la promotion 2024 du programme Young Leader de l'American Soybean Association. Je suis titulaire d'un diplôme en économie agricole de l'Université d'État du Dakota du Nord (promotion 2022).
En dehors de la ferme, je travaille à temps plein en tant que responsable du marketing, de la communication et du recrutement pour Legacy Cooperative, une entreprise agricole qui soutient nos communautés rurales. Je suis passionnée par la défense des jeunes dans l'agriculture et je fais régulièrement du bénévolat dans le cadre des programmes locaux 4-H et FFA.
Source : No Barley, No Beer – Global Farmer Network
https://seppi.over-blog.com/2025/08/pas-d-orge-pas-de-biere.html
Voici les 50 entreprises privées les plus valorisées au monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 5 AOÛT 2025 - 11H45
La course à la création de la prochaine génération de géants mondiaux est lancée.
Alors que les marchés boursiers sont sous le feu des projecteurs, les entreprises privées accumulent discrètement des valorisations colossales et façonnent l'avenir des industries.
Cette visualisation, réalisée par Marcus Lu de Visual Capitalist, classe les 50 entreprises privées les plus valorisées au monde en 2025, mettant en avant les géants émergents de différents pays et secteurs.
Données et discussion
Les données de cette visualisation proviennent de CB Insights. Ce classement classe les entreprises privées à l'échelle mondiale selon leurs valorisations les plus récentes.
Rang Entreprise Pays Valorisation (Milliards de dollars)
1 🚀 SpaceX États-Unis 350 $
2 📱 ByteDance Chine 300 $
3 🧠 OpenAI États-Unis 300 $
4 💳 Stripe États-Unis 70 $
5 👗 SHEIN Singapour 66 $
6 📊 Databricks États-Unis 62 $
7 🤖 Anthropic États-Unis 62 $
8 🌌 xAI États-Unis 50 $
9 💱 Revolut Royaume-Uni 45 $
10 🎨 Canva Australie 32 $
11 🏈 Fanatics États-Unis 31 $
12 🛡️ Safe Superintelligence États-Unis 30 $
13 🏦 Chime États-Unis 25 $
14 🎮 Epic Games États-Unis 23 $
15 🧭 Miro États-Unis 18 $
16 📸 Xiaohongshu Chine 17 $
17 🧾 Rippling États-Unis 17 $
18 📚 Yuanfudao Chine 16 $
19 📷 DJI Innovations Chine 15 $
20 💬 Discord États-Unis 15 $
21 🛍️ Gopuff États-Unis 15 $
22 🥤 Yuanqi Senlin Chine 15 $
23 💸 Ripple États-Unis 15 $
24 🛒 Klarna Suède 15 $
25 🛰️ Anduril États-Unis 14 $
26 🧪 Scale États-Unis 14 $
27 🌊 OpenSea États-Unis 13 $
28 ⚙️ Celonis Allemagne 13 $
29 💼 Ramp États-Unis 13 $
30 ✍️ Grammarly États-Unis 13 $
31 ❤️ Devoted Health États-Unis 13 $
32 🌍 Deel États-Unis 13 $
33 🛒 Faire États-Unis 13 $
34 🏢 Brex États-Unis 12 $
35 🚬 JUUL Labs États-Unis 12 $
36 🪙 Bitmain Technologies Chine 12 $
37 🌱 GoodLeap États-Unis 12 $
38 🧺 Xingsheng Selected Chine 12 $
39 📋 Airtable États-Unis 12 $
40 🚗 ZongMu Technology Chine 11 $
41 🌐 Global Switch Royaume-Uni 11 $
42 💳 Checkout.com Royaume-Uni 11 $
43 ⚡ Bolt États-Unis 11 $
44 🔮 Alchemy États-Unis 10 $
45 🧬 Colossal États-Unis 10 $
46 🚛 Huolala Chine 10 $
47 🧠 Thinking Machines Lab États-Unis 10 $
48 👥 Gusto États-Unis 10 $
49 🚘 Chehaoduo Chine 10 $
50 📞 Talkdesk États-Unis 10 $
Remarque : Le récent accord entre Scale AI et Meta n’a pas été pris en compte dans les données sources. Scale est désormais valorisée à environ 29 milliards de dollars, ce qui la placerait au 14e rang de ce classement.
L’intelligence artificielle prend le dessus
Les startups d’IA occupent de plus en plus le top 10, OpenAI se classant troisième (300 milliards de dollars), Anthropic septième (62 milliards de dollars) et xAI huitième (50 milliards de dollars). Ces trois entreprises ont produit certains des modèles d’IA les plus intelligents au monde ces dernières années.
Plus bas dans le classement, on retrouve Safe Superintelligence (30 milliards de dollars), créée par d’anciens employés d’OpenAI et d’Anthropic, et Scale AI, dont Meta a récemment acquis 49 % des parts.
Cet accord n'a pas été pris en compte dans les données sources, mais il signifie que Scale est désormais valorisé à 29 milliards de dollars, ce qui le propulserait à la 14e place.
Enfin, de nombreuses entreprises proposent des applications d'IA, mais pas nécessairement comme produit phare. Parmi elles, on trouve des noms comme Databricks (une plateforme d'analyse de données), Grammarly (qui utilise l'IA générative pour son assistant d'écriture) et Colossal (une entreprise de biotechnologie de dé-extinction).
Si vous avez apprécié l'article d'aujourd'hui, découvrez le comparatif « Les entreprises les plus valorisées de l'histoire » avec les « 7 magnifiques » sur Voronoi, la nouvelle application de Visual Capitalist.
https://www.zerohedge.com/markets/these-are-worlds-50-most-valuable-private-companies