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Blog n°186
80 articles ci-dessous
La France se prépare à 50 000 victimes par mois, les mondialistes sacrifiant l'Europe dans une guerre orchestrée contre la Russie
09/08/2025 Finn Heartley Les dirigeants occidentaux se préparent à des pertes massives – Un document du ministère français de la Santé, f...
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France-Soir avec AFP le 02 juillet 2025 - 16:40 La Fédération nationale d'agriculture biologique a déploré mardi un "hold-up" ... -
L'approche de l'agence pour la « première sécurité » de la thérapie par la dystrophie musculaire Elevidys contraste avec sa clémen...
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PAR TYLER DURDEN MERCREDI 13 AOÛT 2025 - 4 H10 L'Almanach du Fermier a publié ses prévisions à long terme pour l'hiver prochain dan...
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Par le Dr Lewis Coleman Recherche mondiale, 13 juin 2025 Le bon sens devrait avertir tout le monde que les « vaccins » à ARNm sont une arna... -
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17 août 2025 A la demande du Département américain de l’Energie (DOE), une analyse de l’impact du gaz carbonique sur le climat américain a ...
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Marvin Haberland, porte-parole de Next Level, explique dans une interview avec Kla.TV que la recherche sur les virus n'a jusqu'à p...
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https://www.kla.tv/fr BLOG N°70 3 ARTICLES CENSURÉS CI-DESSOUS ! (60 - 3 = 57)
Des centaines d'études le prouvent : une vague de turbo-cancers déclenchée par les injections géniques à ARNm
RépondreSupprimer03.09.2025
www.kla.tv/38747
Vous demandez-vous aussi pourquoi de plus en plus de personnes sont atteintes d'un cancer de nos jours ? Pourquoi ces cancers progressent parfois très rapidement et apparaissent chez des personnes de plus en plus jeunes ? La chaîne ABC News, financée par l'État australien, a récemment écrit que le taux de cancer chez les Australiens âgés de 30 à 40 ans avait explosé. Selon les données de Cancer Australia, chez les Australiens âgés de 30 à 39 ans, le cancer de la prostate a augmenté de 500 %, le cancer du pancréas de 200 %, le cancer du foie de 150 %, le cancer de l'utérus de 138 % et le cancer du rein de 85 %. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, les données montreraient une situation similaire. Le portail ABC News situe cette évolution dramatique entre 2000 et 2024. Le rôle des injections d'ARNm-Covid-19, entièrement nouvelles, à partir de 2021, est totalement ignoré. Et ce, bien que des mécanismes biologiques de plus en plus nombreux aient été élucidés et étudiés ces dernières années pour expliquer pourquoi les injections d'ARNm-Covid-19 peuvent déclencher un cancer.
Manami Tanaka et son équipe de chercheurs publiaient déjà le 22 juin 2022, c'est-à-dire peu de temps après l'introduction des injections Covid, une étude qui montrait les liens entre les injections Covid et le cancer. On y explique également les mécanismes d'action et une méthode de guérison y est présentée. Le Point Critique, un média d'information indépendant, a publié le 19 juin 2025 un article sur l'augmentation du nombre de cancers chez les personnes vaccinées avec l'ARNm Covid-19. Le rapport cite plus de 100 études vérifiées qui associent les injections d'ARNm à des cancers à progression rapide. On décrit 17 mécanismes biologiques différents par lesquels les injections Covid ARNm déclenchent, accélèrent ou réactivent des processus malins. Un article publié en 2023 dans Cureus, une revue médicale en accès libre, a énuméré dix façons dont les injections géniques d'ARNm pourraient favoriser le cancer. Depuis, la liste s'est allongée à 17 et est étayée par plus de 100 études.
Le lien entre l'injection Covid ARNm et le cancer à propagation rapide est également confirmé par le Dr Ute Krüger, spécialiste en pathologie. Kla.TV a réalisé une interview avec elle en novembre 2024, qui sera rediffusée par la suite. Elle raconte en détail et de manière impressionnante ce qu'elle a elle-même vécu avec ses patientes au moment de la vague de vaccination Covid. En voici un bref extrait :
Dr. Ute Krüger :
RépondreSupprimer« Et à l'automne 2021, j'ai eu l'impression de recevoir plus de cas de patientes plus jeunes, entre 30 à 50 ans, et que les tumeurs étaient beaucoup plus grosses. Avant, une tumeur de quatre centimètres était très rare. Les tumeurs mesuraient alors de 4 à 16 centimètres. La plus grosse tumeur que j'ai vue, elle faisait 16 centimètres. Il faut le voir sur une règle, c'est énorme. Et les tumeurs se sont simplement développées de manière plus agressive, et les récidives, c'est-à-dire les rechutes, étaient plus fréquentes. Les patients peuvent être restés 20 ans sans tumeur et quelques mois après les injections contre le Covid, la tumeur réapparaît soudainement. Mais alors avec une telle agressivité que les patientes en sont souvent mortes. Et puis j'ai remarqué qu'il y a plus souvent des tumeurs, plusieurs tumeurs dans un sein, donc des tumeurs multifocales et aussi que des tumeurs apparaissent dans les deux seins en même temps. »
Présentateur :
Jusqu’à présent, le grand public n’a rien entendu de ces différentes études. Il a donc besoin de vous, chers téléspectateurs, car vous êtes le nouveau mainstream. Aidez-nous donc à diffuser cette émission et à dénoncer la tragédie et l'injustice commise.
de sak.
Sources/Liens :
Augmentation des cas de cancer en Australie
Australien: Krebsraten bei jungen Menschen explodieren – Transition News
https://okaythennews.substack.com/p/youth-cancer-rates-mysteriously-skyrocket
https://www.youtube.com/watch?v=H4OV-1ZszN8
https://www.abc.net.au/news/2025-07-07/cancer-diagnosis-rates-under-50s-rising-causes-four-corners/105495620
Des études confirment le lien entre les vaccins contre la Covid-19 et le cancer
100 Studien belegen: Covid-"Impfstoffe" haben Turbokrebs-Welle ausgelöst
https://tkp.at/2022/10/05/studie-c19-impfungen-fuehren-zu-vorzeitiger-zell-alterung-und-foerdern-krebserkrankung-video-mit-florian-schilling/
https://www.fortunejournals.com/articles/huaier-effects-on-functional-compensation-with-destructive-ribosomal-rna-structure-after-antisarscov2-mrna-vaccination.html
https://lepointcritique.fr/2025/06/19/vaccins-arnm-anti-covid-peuvent-induire-cancer-de-17-manieres-distinctes-selon-plus-de-100-etudes/
https://www.cureus.com/articles/209584-sars-cov-2-vaccination-and-the-multi-hit-hypothesis-of-oncogenesis#!/
https://www.kla.tv/fr
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INFORMATIONS INTERDITES !!
Transcription
RépondreSupprimerBienvenue au Kim Iverson Show. Merci beaucoup de votre présence. Nous vous proposons une émission vraiment intéressante. Nous allons aborder un sujet qui préoccupe tout le monde depuis plusieurs années. Quels ont été les effets du vaccin contre la COVID-19 sur vous ? De nombreuses personnes ont été vaccinées.
Vous avez peut-être été vacciné et vous avez peut-être été contraint de le faire. Peut-être parce que vous pensiez au départ que c'était une bonne idée, et peut-être maintenant, et peut-être parce que vous avez eu de la chance et que vous n'avez subi aucun des effets secondaires que vous pouviez ressentir ou voir immédiatement, mais vous craignez maintenant des dommages à long terme. Peut-être étiez-vous un parent qui a fait vacciner ses enfants, et maintenant vous vous dites : « Oh mon Dieu, c'était peut-être une énorme erreur.» Et c'en était peut-être une. Peut-être que oui. Et maintenant, nous recevons toutes ces données. Nous constatons toutes ces choses. Nous entendons parler de cancers turbo.
On entend parler de problèmes de fertilité, de myocardites, de lésions cardiaques, et de tous ces problèmes liés au vaccin contre la COVID-19. On parle même maintenant d'une éventuelle interdiction totale du vaccin par l'administration Trump dans les prochains mois. Elle a clairement limité le nombre de personnes à qui le vaccin est recommandé. Où en sommes-nous ?
Notre invité du jour est un expert, Nicholas Holscher. Épidémiologiste, il est également administrateur de la Fondation McCullough. Depuis 2023, il a contribué à la publication de 17 articles qui nous ont permis de mieux comprendre les effets néfastes des vaccins contre la COVID-19 et les traitements possibles, ce qui est extrêmement important.
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L'ADNm Reckoning a été engendré
L'épidémiologiste Nicolas Hulscher dans le Kim Iversen Show
Nicolas Hulscher, MPH
03 septembre 2025
Alors que nous entrons dans une fenêtre d'opportunité pour arrêter la folie de l'ARNm, le temps pour une exposition complète est maintenant.
Hier, au Kim Iversen Show, j'ai exposé toute la gamme des dommages émergents des injections d'ARNm. Pendant des années, le public a été informé que ces injections « restent dans le bras », « protègent contre l’infection », et sont « sûres et efficaces ». Voici ce qu'ils font vraiment :
Ils voyagent partout.
L'ARNm synthétique et les protéines de pointe ont été trouvés dans le cerveau, le cœur, les glandes surrénales et au-delà.
Ils transforment votre corps en une usine de protéines à pointe non humaine toxique. sans interrupteur.
Ils perturbent des milliers de gènes, déchaînant une réaction en chaîne de destruction biologique connue sous le nom de « Caisse des Harcs ».
Chaos traumatique transscriptomique - Erreurs protéiques - Stress biochimique - Résultats sévères/morts fatals
Ils s'intègrent dans les génomes.
La première preuve moléculaire montre que le matériel génétique de Pfizer est fondu dans le chromosome 19 dans la tumeur d'un patient cancéreux vacciné.
Ils sont à l'origine de la mort.
Notre étude historique (n-325) a confirmé des blessures mortelles à travers plusieurs systèmes d'organes, le plus souvent un arrêt cardiaque soudain.
RépondreSupprimerLe lien de causalité entre la vaccination contre le COVID-19 et la mort
The Causal Link Between COVID-19 Vaccination and Death
Nicolas Hulscher, MPH
21 mai
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Ils entraînent des cancers turbo.
Des preuves expérimentales, cliniques et au niveau de la population confirment les campagnes d'injection d'ARNm de masse déclenchée par une épidémie de cancer turbo.
PLANC: La première étude à l'échelle de la population révèle que les « vaccins » de la COVID-19 augmentent le risque de cancer multiple
BREAKING: First Population-Wide Study Finds COVID-19 "Vaccines" Increase Risk of Multiple Cancers
Nicolas Hulscher, MPH
30 août
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Ils endommagent la fertilité.
Les études chez l'animal et l'homme confirment la destruction de l'approvisionnement en ovules et la réduction de la concentration de sperme, ce qui correspond à des taux de natalité records.
Elles peuvent nuire aux générations futures.
La mortalité infantile, en baisse de 30 ans, s'est nettement inversée en 2021 peu après l'absorption d'ARNm de masse chez les femmes en âge de procréer. Les bébés nés des années plus tard meurent maintenant à un taux excessif de 77 %.
SÉLÉCHARGEMENT: Les dossiers de décès d'enfants des CDC indiquent les graves risques de génération en transgénérationnement de la vaccination par l'ARNm de masse
BREAKING: CDC Child Death Records Indicate Severe Transgenerational Harm of Mass mRNA Vaccination
Nicolas Hulscher, MPH
22 août
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Et malgré ces preuves accablantes, les injections d'ARNm restent disponibles pour les bébés jusqu'à six mois. Cette folie doit cesser - le monde exige que cette catastrophe soit menée à bout.
RépondreSupprimerS'il vous plaît, soutenez le travail de Kim Iversen en visitant sa chaîne Rumble et en regardant notre interview là-bas: https://rumble.com/v6yehm0-covid-vaccine-horror-fertility-destroyed-and-dna-dna-nicolas-hulscher-m.html
https://www.thefocalpoints.com/p/the-mrna-reckoning-has-begun?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=172678300&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La côte gauche annonce sa propre coordination en matière de politique de vaccination. Les gouverneurs savent-ils que les autorités fédérales paient pour la plupart de leur santé publique?
RépondreSupprimerIls peuvent être dans un réveil brutal.
Meryl Nass
03 septembre 2025
https://www.nytimes.com/2025/09/03/us/western-health-alliance.html
... Dans une déclaration commune, les gouverneurs des trois États ont déclaré que le C.D.C. était devenu « un outil politique qui colle de plus en plus l'idéologie plutôt que la science, une idéologie qui conduira à de graves conséquences pour la santé ». L'agence a perdu des milliers d'employés depuis janvier, le plus récemment son directeur.
Les gouverneurs ont déclaré que la nouvelle alliance protégerait contre ce qu'ils appellent la « politisation de la science » en aidant les familles, les fournisseurs médicaux et les fabricants de vaccins à planifier pour l'avenir en utilisant « des recommandations cohérentes et scientifiques sur lesquelles ils peuvent compter – indépendamment de l'évolution des actions fédérales ».
L'annonce n'a pas abordé un éventail de questions de brassage. Parmi ceux-ci, les plans d'assurance maladie couvriraient le coût des vaccins qui étaient recommandés par les États mais pas par le gouvernement fédéral [NO-Nass; si les médecins de soins de santé primaires et les pharmacies pourraient-ils avoir des répercussions pour les fournir [Oui, responsabilité pour les blessures - Nass); et si les États peuvent continuer à exiger certaines vaccinations s'ils ne sont plus recommandés par le C.D.C. [Ils ne l'ont pas fait auparavant, mais c'est possible, sauf que les parents seraient tenus de les payer, et selon la loi fédérale, vous ne pouvez pas forcer les citoyens à acheter quoi que ce soit.
Les États occidentaux ont formé un groupe de travail similaire pendant le pic de la pandémie de COVID pour renforcer la confiance du public dans les vaccins. ...
Les annonces des États bleus ne feront que rehausser le profil de Kennedy dans le reste du pays qui n’est pas totalement remôdé, qui est la plupart d’entre nous.
Le CDC s'est assuré de posséder pratiquement les services de santé de l'État en leur délivrant de nombreuses subventions et contrats pour s'acquitter des tâches que le CDC voulait accomplir.
Cela a également permis à la CDC de NE PAS collecter des ensembles de données nationales complètes en ne payant pas certains États pour eux. Cela pourrait alors justifier le «modélisation» des taux de maladie, de l’efficacité des vaccins, etc., sur la base de l’affirmation selon laquelle les états ne leur fourniraient pas toutes les données dont ils avaient besoin.
RépondreSupprimerLes CDC devraient signifier « Centres de contrôle de la messagerie maladie », bien que j'aie suggéré d'autres noms dans le passé. Ou « la connivence, la magie et la capture ». Je suis sûr que vous avez de meilleurs noms.
Voici le maigre sur les paiements fédéraux aux services de santé :
https://www.kff.org/other-health/cdcs-funding-for-state- et-local-public-health-how-muff-and-where-does-it-go/
Le financement fédéral est depuis longtemps une source majeure de soutien aux efforts de santé publique dans l'ensemble des États-Unis, qui représenterait plus de la moitié des budgets des départements de la santé des États et des collectivités locales. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l'organisme de santé publique primaire du gouvernement fédéral, fournissent une grande partie de ce financement, contribuant à soutenir les systèmes et activités de santé publique dans tout le pays. Cependant, le CDC et d'autres agences sanitaires fédérales sont ciblés par l'administration Trump pour réduire les effectifs et les coupes budgétaires, des réductions qui pourraient avoir un impact sur le montant des fonds disponibles pour la santé publique. Pour mieux comprendre le montant du financement des CDC est accordé aux juridictions étatiques et locales, nous avons analysé les données de l'exercice 2023 sur les obligations de financement (voir Méthodes et annexe 1). Parmi les principales conclusions:
Au cours de l'exercice 2023, les CDC ont engagé près de 15 milliards de dollars aux juridictions étatiques et locales. Alors que la plupart (62 % ou 9,2 milliards de dollars) provenaient du budget ordinaire des CDC, une part importante (38 %, soit 5,7 milliards de dollars), était due à un financement supplémentaire limité dans le temps pour la reconstruction des infrastructures de COVID-19 et de santé publique.
Sur les 9,2 milliards de dollars d'engagements budgétaires ordinaires, la moitié (4,7 milliards de dollars, soit 51 %) correspondait au programme Vaccines pour les enfants, un programme obligatoire qui fournit des vaccins gratuitement pour les enfants qui ne sont pas assurés ou sous-assurés et d'autres enfants admissibles (4 % pour des programmes supplémentaires obligatoires). Le montant de 4,1 milliards de dollars (45 %) représentait un financement discrétionnaire pour financer une gamme de programmes, notamment le VIH/sida, l'hépatite virale, la prévention des IST et la tuberculose, la prévention des maladies chroniques et la promotion de la santé, la préparation et l'intervention en matière de santé publique et la prévention et le contrôle des blessures.
Les États rouges et bleus bénéficient d'un financement des CDC, les États qui ont voté pour le président Trump en 2024 recevant la majorité des financements (56 %), par rapport aux États qui ont voté pour Kamala Harris (44 %) ; sur une base par habitant, les États votant pour Harris ont reçu un peu plus de ceux qui ont voté pour Trump (46 dollars contre 43 dollars par habitant).
RépondreSupprimerLes cinq principaux bénéficiaires de l'État représentent également un mélange d'états rouges et bleus (Californie, Texas, New York, Floride et Géorgie), de même que les cinq premiers États en finançant des pays par habitant (district de Columbia, Alaska, Maryland, Vermont et Wyoming).
Par région, les États du Sud ont reçu la plus grande part de financement (43%), suivis par l'Ouest (22%), le Midwest (19%) et le Nord-Est (17%); le Sud a également été classé premier dans le financement par habitant.
Les réductions de financement pourraient donc avoir un impact significatif sur le montant des fonds dont disposent les États et les juridictions locales pour les activités de santé publique. Ces réductions, associées à la fin attendue du financement supplémentaire pour le soutien à la COVID-19 et aux infrastructures de santé publique, pourraient également représenter un double fléau, affectant à la fois les États rouges et les États bleus, et en particulier les États du Sud. Alors que les gouvernements des États et des collectivités locales pourraient potentiellement combler une partie du déficit laissé par les dollars fédéraux, ils pourraient également faire face à leurs propres contraintes budgétaires et à d'autres réductions du financement fédéral, laissant l'avenir de la capacité de l'infrastructure de santé publique du pays incertain.
https://merylnass.substack.com/p/the-left-coast-announces-its-own?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=172683380&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
RFK Jr. vs. « La science » : l'histoire inédite de la capture des entreprises
RépondreSupprimerComment un changement de silence en 1983 a ouvert les portes à la pourriture à l'intérieur de la santé publique que nous voyons aujourd'hui.
Le renard glorieux
03 septembre 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwestern Doctor. Les principaux détails ont été rationalisés et éditorialisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport initial ici.
Le « scientifique » de gauche a poussé les coups de COVID pour les bébés, les femmes enceintes et les mandats soutenus. RFK Jr. vs. « La science »
L'homme à droite essaie de rendre l'Amérique saine à nouveau.
Le CDC a un problème de corruption, et c'est comme ça depuis des décennies.
Et tout cela remonte à un changement de tranquillité qui a eu lieu en 1983.
Ces informations proviennent des travaux du chercheur en médecine A Midwestern Doctor. Pour toutes les sources et tous les détails, lire le rapport complet ci-dessous.
Démasquer la corruption des CDC: la bataille de RFK pour réformer la santé publique
La lutte de plus en plus désespérée des CDC pour protéger les blessures causées par les vaccins contre l'examen public...Read More.
RFK Jr. veut rendre l'Amérique saine à nouveau.
Mais ne pensez pas que sa confirmation alors que le secrétaire du HHS a retourné un interrupteur. Ce que certaines personnes ne réalisent pas, c'est qu'il n'a pas reçu soudainement le pouvoir de faire ce qu'il veut.
D'une part, les bureaucrates sous-garde de lui n'ont pas soudainement adopté MAHA.
En fait, c'est le contraire qui s'est produit.
Et aucune agence n'a lutté plus contre la réforme que le CDC.
Tout le monde a entendu parler du CDC.
Pour la plupart des gens - ici et à l'étranger - son mot est le rabais. Les médecins lui font aveuglément. Les Américains ordinaires supposent qu'il ne peut pas faire de mal.
Des décennies de corruption ont été écartées sous la fausse croyance que « la science » est toujours pure.
Mais voici la vérité :
Aucun organisme public n'est tout le temps. C'est impossible. Et une fois qu'il s'agit d'épisodes, la corruption est presque garantie.
RépondreSupprimerLe CDC ne fait pas exception.
En 1983, le CDC était autorisé à accepter des « cadeaux ». En 1992, le Congrès a créé la Fondation CDC pour canaliser l'argent privé directement entre les mains de l'agence.
Quelque chose sent la poissonne. Parce que c'est le cas.
La Fondation CDC a été accusée de nombreux conflits financiers d'intérêts et près d'un milliard de dollars ont afflué des entreprises.
Voici quelques gemmes :
En 2011, une société de recherche sur les pesticides a attribué à la Fondation CDC 60 000 dollars.
Coca-Cola a déversé plus d'un million de dollars dans la fondation CDC en seulement 5 ans.
Roche, fabricant de Tamiflu, payé pour pousser la campagne de grippe « Take 3 » du CDC promouvant l'utilisation d'antiviraux comme Tamiflu.
Les sociétés pharmaceutiques qui produisent des traitements contre l'hépatite C ont envoyé à la Fondation CDC plus de 26 millions de dollars juste avant que les CDC ne fassent céttage les directives C relatives à l'hépatite C.
Les conflits d'intérêts ne commencent même pas à le couvrir.
La confiance aveugle dans le CDC ne concerne pas seulement la corruption - c'est l'idéologie.
Des agences puissantes et même le mot « science » lui-même sont placés sur des socles. Une fois que cela se produit, la dissidence devient l'hérésie.
Essayez de le remettre en question, et vous verrez à quelle vitesse les œillères se referment. On ne peut même pas avoir une conversation simple.
Quand vous avez ces œillères, tout ce que vous pouvez voir, c'est une preuve qui soutient votre point de vue.
Regardez les blessures causées par le vaccin.
Ceux qui croient que les vaccins ne peuvent faire aucun mal ne peuvent littéralement pas voir les méfaits. Cela ne correspond pas à leur réalité.
RépondreSupprimerCe déni a entraîné d'immenses souffrances - et l'éclairage gazeux et le ridicule des blessés et de leurs familles.
Heureusement, des dirigeants comme Sen. Ron Johnson rend plus difficile d'ignorer.
La personne moyenne n'a pas le temps de surveiller tout ce que fait le gouvernement. La plupart ne veulent pas non plus.
L'autorité est attrayante parce que quelqu'un d'autre (avec les connaissances et les compétences que vous ne pourriez pas avoir) fait le travail pour vous. Vous y élirez, placez votre confiance en eux, et ils travaillent dans l'intérêt de vous. Ou ainsi disent-ils.
Ne serait-ce pas bien que ça marche vraiment comme ça ?
Au lieu de cela, la corruption se cache derrière des comités de « tierce partie » conçus pour donner l'illusion d'un contrepoids.
Prenons le Comité consultatif pour les pratiques de vaccination (ACIP).
Ils conseillent le CDC sur les vaccins. Presque tous les membres avaient des conflits financiers - jusqu'à ce que RFK Jr. les changements forcés soient imposés.
Mais cela aura-t-il de l'importance ? Dans le passé, les CDC étaient presque toujours des vaccins horodatés de toute façon, parfois même en négligeant les rares objections de l'ACIP.
L'objectif de l'ACIP? Pour vous tromper.
RFK Jr. est devenu secrétaire du HHS pour réformer le système de santé américain. Pour rendre la santé de l'Amérique à nouveau.
Mais cela signifie reprendre le pouvoir d'une part d'industries d'une valeur de trillions. Et ils se battent bec et ongles pour l'arrêter.
Si vous avez vu les gros titres la semaine dernière, vous savez que les attaques sont déjà en cours.
Pour eux, c'est une question de survie.
Mais c'est une question de survie pour nous aussi.
Le statu quo tue les Américains. C'est pourquoi des millions de personnes se sont ralliées derrière RFK Jr. en premier lieu.
Mais son combat a été une bataille difficile dès le premier jour.
Étrangement, en 2023, Biden a signé une loi exigeant la confirmation du Sénat pour les futurs directeurs de CDC. Il est entré en vigueur en 2025 et a bloqué Dave Weldon, le choix de MAHA pour le rôle.
RépondreSupprimerLe candidat de Trump – avec des liens pharmas – a fait l’objet d’une confirmation.
Jusqu'à ce que les frictions l'aient forcée le mois dernier.
Pourquoi Susan Monarez a-t-elle été licenciée ?
Un Docteur du Midwest
indique deux points de référence:
L'admission des vaccins est nocif contraire.
Maison de nettoyage au CDC.
Le directeur du CDC contrôle les postes de responsabilité. Sans vouloir agir, la corruption s'enfonce et le statu quo se poursuivent.
Monarez a-t-il promis une réforme, mais s'est-il cédé une fois à l'intérieur ?
Jetez un coup d'œil à cette déclaration de son avocat.
Heureusement, sa démission a déclenché une vague de sorties.
L'un des plus grands ? Dr. Daskalakis de Demetre, un enfant de l'affiche de l'idéologie qui a rugi et dépassé la science sous la présidence de Biden.
Probable embauche de DEI, il a dirigé la branche Vaccin and Respiratory Diseases du CDC. Sa lettre de démission disait à plusieurs reprises « les personnes enceintes ».
Regardez-le défendre son choix de mots dans la vidéo ci-dessous.
Avant les CDC, il gérait le programme de lutte contre le VIH de New York, qui poussait des tests lourds et des médicaments coûteux. Lors du CDC, il a soutenu les mandats draconiens de la COVID et a alimenté l'hystérie de la variole du singe.
D'autres comme lui sont partis aussi.
Un Docteur du Midwest
RépondreSupprimerLe rapport complet contient tous les détails:
Démasquer la corruption des CDC: la bataille de RFK pour réformer la santé publique
La lutte de plus en plus désespérée des CDC pour protéger les blessures causées par les vaccins contre l'examen public...Read More.
Le point à retenir:
Règles d'idéologie, et pas seulement au CDC. La science et les faits sont ignorés lorsqu'ils entrent en conflit avec le dogme. Des blessures causées par les vaccins aux mandats non scientifiques, la corruption et la confiance aveugle ont coûté la vie à des vies.
Ceux qui sont aveuglés par l'idéologie, comme le Dr. Les Daskalakis sont inaptes à la tête de la santé de l'Amérique. Période.
Heureusement, la sortie de Monarez a ouvert la porte pour plus de démissions.
J'espère que la pourriture au sein de nos agences de santé fédérales continuera d'être exposée afin que RFK Jr. puisse se mettre au travail, et ensemble, nous pouvons à nouveau Make America Health.
Mais le temps presse. Les ennemis de la réforme sont puissants, enracinés et désespérés de tenir bon.
Mais nous sommes plus nombreux qu'il n'y en a.
Et la santé de nos familles vaut plus que tous les trillions qu'elles essaient de protéger.
C'est le vrai pouvoir.
Merci pour la lecture. Ces informations étaient basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwestern Doctor. Les principaux détails ont été rationalisés et éditorialisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport initial ici.
https://www.vigilantfox.com/p/rfk-jr-vs-the-science-the-untold?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=172639148&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
ENTRETIEN: Mandats de vaccin de Floride Nixes dans toutes les écoles
RépondreSupprimerAdam Garrie
et Louis Conte
03 septembre 2025
Dans une annonce qui a déjà été résonnée dans les 50 États, la Floride a mis fin mercredi à tous les mandats de vaccins scolaires. Cela signifie que la décision de vacciner les étudiants de la maternelle à la douzième année dans l'État incombe maintenant aux familles et à leurs médecins, et non au gouvernement.
Le rapport MAHA est une publication soutenue par le lecteur. Recevoir de nouveaux postes et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
Surgeon Général de Floride, Dr. Joseph Ladapo a formulé la question de la Constitution par opposition aux droits civils.
Lors d'une conférence de presse mercredi, le Dr. Ladapo a décrié les appels de vaccins : « Chaque dernier est faux et goutte à goutte avec dédain et esclavage. Qui suis-je, ou quelqu'un d'autre, pour vous dire ce que vous devez mettre dans votre corps? " Il a dit. « Qui suis-je pour vous dire ce que votre enfant doit mettre dans son corps ? Je n'ai pas ce droit. Votre corps est un don de Dieu. Ce que vous mettez dans votre corps est à cause de votre relation avec votre corps et Dieu. "
Il a ajouté que si d'autres États continuaient d'imposer aux vaccins une disposition prévoyant la fréquentation scolaire, ces États étaient « mauvais ».
S'exprimant lors de la même conférence de presse, le gouverneur Ron DeSantis a annoncé la création d'une commission d'État MAHA (qui sera dirigée par sa femme, Casey), qui mettra en œuvre des politiques privilégiées par le secrétaire du HHS Robert F. Kennedy Jr.
« La Commission de la Tamida recommandera l’intégration au niveau de l’État des Principes de Make America Health », a déclaré DeSantis, qui a défini des principes tels que « la liberté médicale individuelle, le consentement éclairé, les droits des parents et l’innovation du marché ».
Dans la mise en œuvre des réformes, la Floride est aujourd'hui un bastion de la liberté médicale qui se propagera probablement à d'autres États à la suite d'une voie similaire.
Membre de l'ACIP et titulaire de la technologie de traitement des vaccins contre l'ARNm, Dr. Robert Malone, était ravi. Il a dit : « J'ai parlé avec le Dr. Ladapo hier – c’est un scientifique mesuré qui est en feu pour changer le système pour le mieux. »
https://theofficialmahareport.substack.com/p/breaking-florida-nixes-vaccine-mandates?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=172709836&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le chirurgien général de la Floride fait une annonce de vaccination étonnante
RépondreSupprimerLe bilan de COVID est enfin là.
Le renard glorieux
03 septembre 2025
Joyeux mercredi, lecteurs.
Nous avons de grandes et passionnantes nouvelles venant de Floride aujourd'hui. Sans plus tarder, voici vos 10 Top Headlines :
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10 - Le chirurgien général de la Floride fait une annonce de vaccination globale
Dr. Joseph Ladapo vient de laisser tomber des nouvelles qui vont envoyer des ondes de choc à travers l'industrie des vaccins.
Aujourd'hui, il a annoncé que le département de la santé de Floride, en partenariat avec le gouverneur DeSantis, mettra fin aux mandats de LAL en matière de vaccins.
Cela ne signifie pas seulement des mandats de COVID - TOUS les mandats, y compris le programme pour l'enfance. C'est une démarche qui donne aux parents une autonomie totale sur ce qui entre dans le corps de leurs enfants.
Cela ferait de la Floride le premier État à s'engager à éliminer tous les mandats de vaccins, rompant une tradition de plusieurs décennies d'exiger des enfants qu'ils soient « jusqu'à jour » sur leurs plans pour aller à l'école publique. Et une fois que la Floride le fera, il y a des chances que plus d'états rouges s'ensuivront.
C'est un cauchemar complet pour l'industrie des vaccins, qui a bénéficié de décennies de conformité quasi universelle de la part des parents.
Mais tout cela a changé après le COVID. Les parents ne font plus confiance à la santé publique – et le bilan de COVID est enfin là.
Quel État met fin aux mandats de vaccination suivants ?
Texas
Tennessee
Dakota du Sud
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Scott Jennings dit NUCLEAR sur Tim Walz à propos de ses vilains commentaires sur la mort de Trump.
RépondreSupprimerJamais pensé que nous aurions entendu le gentil garçon du Kentucky en train de sortir comme celui-ci à la télévision en direct... mais c'était bien mérité.
ScottJenningsKY UNLEASHED :
« Je vais vous dire qui est un morceau COMPLETE de SH-T. »
« Je vais vous le dire tout de suite. Tim Walz, le gouverneur du Minnesota, tenait un téléphone devant un rassemblement disant, eh bien, nous pensions que nous allions nous réveiller et découvrir que le président était mort. Un jour, cela arrivera. »
« Aucun responsable politique, aucun élu ne devrait se promener en disant, eh bien, j’espère que nous nous réveillerons un jour et que le président des États-Unis a-t-il travaillé ? »
« CRAY »
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8 - Une Rochelle Walensky émotionnelle dit que c'est son devoir de « servir » même lorsque les négationnistes de la science attaquent les « chercheurs de la vérité ».
Walensky, qui a servi en tant que directeur des CDC sous la direction de Biden, a recommandé la crise de COVID pour les femmes enceintes et les bébés.
« Quand ceux qui attaquent la science, nous servons. Et quand ceux qui attaquent les chercheurs de vérité... nous servons. »
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7 – RFK Jr. annonce que le HHS appliquera enfin la loi sur les cures.
Cela signifie que les patients auront enfin pleinement accès à leurs dossiers médicaux, plus de pièces de pierre de ceux qui tirent profit de vos données.
« Dans le cadre du nouveau HHS, personne – pas votre médecin, pas votre hôpital, pas les compagnies de disques de santé électroniques – ne sera en mesure de copier vos informations pour leur propre profit. S'ils le font, nous voulons que vous les signaliez. »
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6 - Dr. Mehmet Oz, directeur de Medicare et Medicaid Services de Trump, APPROUVES du projet de la Floride de mettre fin aux mandats de vaccins de l'enfance.
RépondreSupprimer« Je n’aurais certainement pas de mandat pour les vaccins. Il s'agit d'une décision qu'un médecin et un patient devraient prendre ensemble. »
Crédit : 'nicksortor
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5 - Les scientifiques admettent que la pulvérisation nasale excédentaire bon marché pourrait bloquer l'infection par le COVID dans une nouvelle étude par coup passée par un examen par les pairs
Après que Big Pharma a fait des milliers de milliards de fois en poussant un jab...
Titres de référence
Les scientifiques admettent un spray nasal trop tardif pourrait bloquer l'infection par le COVID dans une nouvelle étude par les pairs
3 sept.
Les scientifiques admettent un spray nasal trop tardif pourrait bloquer l'infection par le COVID dans une nouvelle étude par les pairs
Cet article est initialement paru sur The Gateway Pundit et a été republié avec permission.
Lire l'histoire complète
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4 - JD Vances rend la journaliste stupide quand elle demande « quelle autorité légale » l'administration Trump doit enlever un bateau de cartel vénézuélien.
JD : « L'autorité légale est qu'il y a des terroristes qui apportent des drogues mortelles dans notre pays, et POTUS a tenu sa promesse de l'arrêter. »
Vidéo: ztownhallcom
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No 3 - Paul Offit Kicked Offed Key FDA Vaccine Panel
C'est une journée glorieuse.
Titres de référence
Paul Offit Kicked Offed Key Vaccine Panel de la FDA
3 sept.
Paul Offit Kicked Offed Key Vaccine Panel de la FDA
Cet article est initialement publié sur The Defender et a été republié avec permission.
Lire l'histoire complète
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2 - Trump étouffera un «portrait présidentiel» d'Autopen de Biden à la Maison Blanche
RépondreSupprimerTitres de référence
Trump étouffe un «portrait présidentiel» d'Autopen de Biden à la Maison Blanche
3 sept.
Trump étouffe un «portrait présidentiel» d'Autopen de Biden à la Maison Blanche
Cet article apparaissait à l'origine sur m o d e r n i t y et a été republié avec autorisation.
Lire l'histoire complète
1 - Dr. Robert Malone révèle que le CDC est sur le point de revoir le calendrier de vaccination de l'enfance.
"Tout est sur la table."
«L'espace de la mission que nous avons ... comprend la révision de l'ensemble du calendrier pédiatrique, l'insistance sur les données pour les interactions vaccin-vaccins, l'insistance sur les données de contrôle, l'examen de la pertinence d'une vaccination après la naissance immédiate avec le vaccin contre l'hépatite B [et l'adéquation du vaccin actuel contre le virus du papillome humain.»
https://www.vigilantfox.com/p/florida-surgeon-general-makes-a-stunning?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=172722763&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Je veux juste faire un point qui aurait dû être évident
RépondreSupprimerJoe Ladapo est un héros pour avoir dit la vérité sur les mandats
Meryl Nass
Septembre 04, 2025
Les mandats de vaccin, ou tout mandat pour les procédures médicales, s'envolent face au consentement éclairé. Et le consentement éclairé est un fondement de la médecine moderne et de la pratique médicale légalement autorisée.
Il s'agissait toujours d'une contradiction juridique et éthique. Ce que personne n'a jamais voulu de mandat mentionné. Et les juges ne voulaient pas non plus s'occuper de cela. Il s'avère que nos professionnels accrédités sont un groupe effrayant.
Selon le CODE de l'American Medical Association:
https://code-medical-ethics.ama-assn.org/ethics-opinions/informed-consent
Clinique de Cleveland:
https://my.clevelandclinic.org/health/articles/24268-informent
Dans la Mayo Clinic Proceedings :
ARTICLE PARTICIPATION SPÉCIALE Volume 83, numéro 3 P313-319 mars 2008
Consentement médical informé : considérations générales à l'intention des médecins
Timothy J. Paterick, BA a et Geoff V. Carson, JD c et Marjorie C. Allen, JD b et Timothy E. Paterick, MD, JD a paterick.timothy.mayo.edu
Télécharger le PDF
Résumé
Le consentement médical éclairé est essentiel pour la capacité du médecin à diagnostiquer et à traiter les patients ainsi que le droit du patient d'accepter ou de rejeter l'évaluation clinique, le traitement, ou les deux. Le consentement médical éclairé doit être un échange d'idées qui sous-tend la relation patient-médecin. Le processus de consentement doit être le fondement de la relation fiduciaire entre un patient et un médecin. Les médecins doivent reconnaître que le choix médical informé est un processus éducatif et qu'il est susceptible d'affecter l'alliance patient-médecin dans leur intérêt mutuel. Les médecins doivent accorder aux patients l'égalité dans le pacte en les éduquant pour faire des choix en connaissance de cause. Lorsque les médecins et les patients prennent au sérieux le consentement médical éclairé, la relation patient-médecin devient un véritable partenariat avec l'autorité de décision partagée et la responsabilité des résultats. Les médecins doivent comprendre le consentement médical éclairé d'un fondement éthique, tel que codifié par le droit écrit dans de nombreux États, et d'une perspective générale de fait exigeant une pratique médicale conforme au niveau de soins. Il est fondamental pour la relation patient-médecinienne que chaque partenaire comprenne et accepte le degré d'autonomie souhaité par le patient dans le processus de prise de décision.
Tout être humain adulte, âgé d'années et d'esprit sain, a le droit de déterminer ce qui doit être fait de son propre corps; et un chirurgien qui effectue une opération sans le consentement de son patient commet une agression, dont il est responsable en dommages et intérêts.
RépondreSupprimerJustice Benjamin Cardozo, 1914 1
M consentement éclairé est éthiquement, moralement et juridiquement mandaté par les responsabilités fiduciaires découlant de la relation patient-médecin.
J'espère que nous pourrons tous nous rendre compte que donner à quelqu'un d'autre le droit de vous injecter sans votre consentement avec - quoi que ce soit - parce que vous ne pouvez pas vérifier le contenu de la seringue - est une très mauvaise idée. Dommage qu'il ait fallu du COVID et une potion très maléfique dans les seringues pour en obtenir un autre. Mais nous devons absolument nous prémunir contre ce nouveau problème.
Merci Dr. Ladapo pour lacer à ébullition. La Floride sera la première mais pas la dernière.
https://merylnass.substack.com/p/just-want-to-make-one-point-that?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=172737244&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Motifs de la perte de confiance publique dans les établissements médicaux
RépondreSupprimerSean Spicer Hammers at Key Issues avec le Dr. McCullough
Peter A. McCullough, MD, MPH
Septembre 04, 2025
La confiance s'est effondrée dans l'établissement médical au cours de la pandémie et au-delà. Dans cet épisode du Sean Spicer Show, Sean attaque sur la question après une autre et fournit des preuves sur la façon dont la communauté médicale est devenue délisionnelle, corrompue ou clairement déconnectée de ce que la personne moyenne croit être « de bon sens ».
Le bon sens est une forme de bon sens et de bon sens enracinée dans les connaissances et l'expérience pratiques plutôt que dans l'expertise spécialisée. C'est la capacité de percevoir, de comprendre et d'agir sur les situations quotidiennes d'une manière raisonnable, prudente, contextuelle et intuitive.
Historiquement, la définition du bon sens a évolué, influencée par les grands débats philosophiques.
Aristote : Le philosophe grec a à l'origine inventé le terme sensus communis pour décrire un sens partagé ou une faculté qui intègre des informations provenant des cinq sens individuels. Il s'agit d'une capacité interne, pas d'une capacité sociale.
Les Lumières : Plus tard, pendant les Lumières, des philosophes comme Thomas Reid et René Descartes ont discuté du concept. Reid, en particulier, considérait le bon sens comme le fondement de la recherche philosophique et a soutenu que certaines vérités étaient « auto-évidentes ».
Thomas Paine: Le terme a pris du poids politique avec la brochure de Thomas Paine de 1776, Common Sense, qui a utilisé un langage clair pour plaider en faveur de l'indépendance américaine. Il a formulé la poussée de l'autonomie comme une vérité simple et indéniable que n'importe qui pouvait saisir.
Spicer a mentionné à plusieurs reprises le « bon sens » et il avait raison. La communauté médicale l'a perdue.
https://www.thefocalpoints.com/p/top-reasons-for-loss-of-public-trust?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=171872172&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
« Faits interdits : Vaccins infantiles et lésions cérébrales »
RépondreSupprimerLe nouveau livre de Gavin de Becker révèle l’anatomie de la tromperie gouvernementale et de la dissimulation de la vérité concernant les vaccins infantiles et les lésions cérébrales.
Par John Leake
Discours courageux
4 septembre 2025
Dans son discours d’adieu de 1961, le président Eisenhower mettait en garde non seulement contre « l’influence indue » du complexe militaro-industriel, mais aussi contre une nouvelle « élite scientifique et technologique » susceptible d’exercer une influence injustifiée sur les politiques publiques, guidant potentiellement la nation sur la base de connaissances spécialisées plutôt que de principes démocratiques.
Cette « élite scientifique et technologique » pourrait non seulement accéder à d’importants financements fédéraux inaccessibles aux chercheurs et inventeurs solitaires, mais aussi s’arroger une position d’« autorité scientifique officielle » qui la protégerait des critiques des citoyens.
Pour comprendre le type d'« autorité scientifique officielle » qui préoccupait Eisenhower, il suffit de prendre l'exemple du Dr Anthony Fauci, qui a déclaré dans une interview à la presse : « Les attaques contre moi, très franchement, sont des attaques contre la science. »
Des scientifiques compétents, agissant avec prudence et conscience, devraient participer à toute réflexion sur les politiques de santé publique. Malheureusement, nombre de nos soi-disant « experts scientifiques » ont été captés par des intérêts commerciaux qui ont également pris le contrôle des agences fédérales américaines.
Le résultat est celui contre lequel Eisenhower avait mis en garde en 1961 : nous, le peuple, sommes constamment sommés de croire des représentations de la réalité propagées par une « élite scientifique et technologique » dont l'histoire est documentée de manipulation ou de rétention intentionnelle d'informations convaincantes sur des questions vitales de santé publique.
On me demande souvent pourquoi, moi, auteur de romans policiers, j'ai décidé d'enquêter sur la réponse du gouvernement américain à la pandémie de COVID-19. Mon intérêt pour cette histoire est né de mon sentiment que la réponse à la pandémie était entachée de fraudes et de dissimulations. Des années d'enquête sur des faits réels complexes m'ont amené à reconnaître les mêmes comportements commis par notre complexe biopharmaceutique et ses alliés au sein du gouvernement.
Dans le même esprit, Gavin de Becker, expert en sécurité et enquêteur de renommée mondiale, a écrit un livre intitulé « Faits interdits : Vaccins infantiles et lésions cérébrales ». Pendant des décennies, de Becker a étudié comment détecter les menaces que les humains représentent pour d'autres humains et comment empêcher que ces menaces ne soient mises à exécution pour causer des dommages et la mort. Cela l'a conduit à explorer en profondeur les sphères de la psychologie criminelle et les différentes méthodes de subterfuge.
RépondreSupprimerPour ceux qui ne connaissent pas M. de Becker, sa biographie d'auteur offre un aperçu succinct de sa brillante carrière.
Gavin de Becker a été nommé trois fois par le président américain et son travail pionnier a changé la façon dont notre gouvernement évalue les menaces qui pèsent sur les plus hauts responsables de notre pays. Son cabinet conseille de nombreuses personnalités des médias, des entreprises et des forces de l'ordre parmi les plus influentes au monde sur la prévention de la violence. Il accompagne également des citoyens victimes de violences conjugales et de harcèlement. De Becker a conseillé l'accusation dans des affaires majeures, notamment le procès pour meurtre d'O.J. Simpson. Il a témoigné devant de nombreuses instances législatives et a proposé avec succès de nouvelles lois pour lutter contre la violence.
M. de Becker a écrit un nouvel ouvrage intitulé « Faits interdits : Vaccins infantiles et lésions cérébrales », dans lequel il présente des preuves démontrant que de nombreux cas d'« autisme profond » sont probablement dus à des lésions cérébrales causées par les vaccins.
La preuve la plus convaincante est le témoignage crédible de leurs parents, comme celui présenté au chapitre quatre.
A. est profondément autiste. Elle est non verbale, présente d'importants troubles du comportement, s'automutile… on ne peut jamais la laisser seule. A. était un beau bébé, qui se développait normalement, mais qui a présenté des réactions évidentes à ses deux premiers vaccins DTC. L'une d'elles a laissé sa jambe enflée et rouge, et elle a développé une forte fièvre, hurlant après l'autre. Mais les médecins n'ont pas hésité à administrer à A. sa troisième injection de DTC à l'âge de 5 mois, et elle a dépassé les bornes. Elle a reçu l'injection à 16 heures, et à 18 heures, elle avait une fièvre de 40 à 41 degrés… Après ce jour, elle était partie.
Le dogme dominant (approuvé par les agences gouvernementales américaines) est qu'on ne peut conclure à un lien de causalité dans un cas individuel (comme celui de « A. ») que si des critères stricts sont remplis. Pour ce faire, une rigueur et une diligence considérables sont requises.
RépondreSupprimerCependant, lorsqu'il s'agit de proposer une autre explication à la régression de l'enfant (outre la batterie de vaccins qu'il vient de recevoir), la réponse est manifestement vague et manque de rigueur. On nous dit que les symptômes de l'enfant, apparaissant souvent quelques heures seulement après les vaccins, pourraient avoir de nombreuses autres causes.
Il est utile ici de réfléchir à la manière dont nous évaluons les preuves qu'un suspect a commis un crime. Lorsqu'un suspect principal est identifié, il est légitime pour l'avocat de la défense d'identifier un autre suspect. Cependant, le jury ne trouvera pas l'avocat convaincant s'il déclare : « Je n'ai aucune idée de l'auteur du crime ; je sais juste que ce n'était pas mon client. »
Un avocat de la défense qui avancerait une telle affirmation serait ridiculisé et se retrouverait rapidement sans clients. Cependant, dans le domaine de la santé publique, on entend souvent des experts des médias grand public, comme Sanjay Gupta, correspondant médical en chef de CNN, déclarer : « Nous ne savons pas ce qui cause l'autisme, mais nous savons qu'il n'est pas causé par les vaccins. » M. de Becker s'efforce de démontrer que le gouvernement américain a un long historique de manipulation intentionnelle ou de rétention d'informations sur les effets néfastes sur la santé liés à l'exposition à certaines substances. Parmi celles-ci figurent l'agent orange et les vaccins contre l'anthrax destinés au personnel militaire américain, pour n'en citer que deux. Cet historique de tromperie gouvernementale est au cœur de sa thèse : lorsqu'il s'agit d'enquêter sur les causes de l'épidémie d'autisme, il est impossible de se fier aux assurances des agences gouvernementales américaines.
Cette situation déplorable semble évoluer sous la direction du secrétaire au HHS, Kennedy. Il doit cependant faire face à un vaste vivier de serpents, et il reste à voir dans quelle mesure il parviendra à les déloger.
La prose claire et percutante de De Becker est un plaisir à lire et contraste fortement avec le charabia des experts gouvernementaux qui utilisent un langage opaque et dénué de sens (plusieurs exemples absurdes sont cités dans le livre) pour occulter la réalité de cette catastrophe. Des liens vers les sources originales de l'auteur sont immédiatement accessibles grâce à des codes QR imprimés au bas de presque chaque page.
RépondreSupprimerJe pense que la publication de « Faits interdits : Vaccins infantiles et lésions cérébrales » doit être considérée comme un événement majeur dans l'histoire des États-Unis. Pendant des décennies, de nombreux membres de l'élite politique, médiatique et culturelle américaine se sont appuyés sur le jugement et l'analyse de M. de Becker pour assurer leur sécurité. Ces mêmes élites devraient, comme nous tous, lire son livre et prendre en considération les preuves qu'il présente selon lesquelles de nombreux enfants subissent de graves dommages à cause des vaccins infantiles.
Veuillez cliquer sur le lien ci-dessous pour précommander votre exemplaire de « Faits interdits : Vaccins infantiles et lésions cérébrales », qui paraîtra le 9 septembre.
This article was originally published on Courageous Discourse.
https://www.lewrockwell.com/2025/09/no_author/forbidden-facts-childhood-vaccines-brain-damage/
Le gouvernement a bel et bien créé un virus contagieux en laboratoire.
RépondreSupprimerMilan Adams
3 septembre 2025
Un sujet que je n'ai pas encore abordé dans mes nombreux articles sur les premières propagations est la question de savoir si le Covid est/était réellement un nouveau virus.
Aujourd'hui, j'aimerais expliquer les raisons pour lesquelles je pense qu'un nouveau coronavirus – presque certainement produit en laboratoire – se propageait dans le monde et rendait, presque certainement, des gens malades des mois avant que les experts ne le disent.
Dans l'article d'aujourd'hui, j'aborde brièvement la théorie – de plus en plus répandue parmi un nombre croissant de « contrariens du Covid » – selon laquelle les virus n'existent pas… ou, s'ils existent, les virus ne sont pas « contagieux » et ne rendent pas d'autres personnes malades.
À mon avis, la théorie selon laquelle les virus n'existent pas – ou, s'ils existent, ne sont pas « contagieux » – est certainement une question pertinente pour la recherche intellectuelle et scientifique.
Les vidéos les plus choquantes du monde !
Pour ma part, je crois que les virus (qui peuvent provoquer et provoquent effectivement des maladies symptomatiques) infectent les humains depuis que l'homme habite la Terre.
Cependant, je crois aussi que 99,9 % des humains survivent même s'ils sont infectés par un virus respiratoire. Autrement dit, contrairement à de nombreux chroniqueurs de la Covid, je ne partage pas l'idée selon laquelle un nouveau virus devrait être exceptionnellement « mortel ».
Ces points de vue étant partagés, je pense que des « savants fous » manipulant des virus en laboratoire auraient probablement pu créer un virus plus « contagieux » que les virus naturels. À mon avis, c'est exactement ce qui s'est produit en 2019.
La première partie de cet article approfondi en deux parties résume les preuves montrant que beaucoup plus d'Américains sont tombés malades au cours des six mois et plus précédant l'annonce officielle de la Covid. À mon avis, ces preuves corroborent la théorie selon laquelle des « savants fous » auraient effectivement pu créer un virus plus contagieux.
Le rapport d'aujourd'hui présente des statistiques convaincantes montrant que beaucoup plus de tests de dépistage de la grippe ont été effectués au cours de la saison grippale 2019-2020 que lors de toute autre saison grippale de l'histoire.
J'explique également (à nouveau) l'importance du fait (ignoré) qu'un nombre sans précédent d'écoles américaines ont fermé « pour cause de maladie » au cours des mois précédant l'annonce officielle de la Covid, ce qui n'est pas une information « anodine » et probablement pas une simple « coïncidence ».
Vers la fin de cet article, je souligne qu'Anthony Fauci et ses collègues ont déployé des efforts considérables pour promouvoir la théorie des « origines naturelles ». Étant donné que presque tout ce que Fauci affirme d'important est un mensonge, cela pourrait, à mon avis, être interprété comme une preuve supplémentaire de l'existence d'un nouveau virus fabriqué en laboratoire.
RépondreSupprimerJe souligne également le rôle indispensable et criminel joué par le test PCR pour convaincre les gens qu'une terrible pandémie était en cours (bien après que des dizaines de millions de personnes aient présenté des symptômes de la Covid).
Comme il s'agit d'un autre de mes articles « en profondeur », cet article est long. J'ai ajouté des sous-titres et du texte en gras, ce qui me semble particulièrement pertinent pour les lecteurs qui préfèrent parcourir les articles plus longs.
Venons maintenant aux raisons pour lesquelles je pense qu'un nouveau virus contagieux circulait dans le monde au moins à l'automne 2019, voire plus tôt…
Beaucoup plus de personnes que d'habitude sont tombées malades à l'automne et à l'hiver 2019-2020.
Mes recherches approfondies me permettent de savoir que beaucoup plus de personnes que d'habitude sont tombées malades. « Malade » dans les semaines et les mois précédant le début officiel de la Covid. À mon avis, il s'agit d'un constat indéniable.
Les rapports hebdomadaires de surveillance des syndromes grippaux (SG) produits par les CDC et les agences de santé des États dans au moins 49 États américains confirment l'idée que la « saison grippale » de 2019-2020 a été « grave », que l'activité grippale était « généralisée » (et a atteint des niveaux records dans au moins 49 États à différents moments de la saison grippale)… qu'elle a commencé plus tôt que la normale et a duré plus longtemps que toute autre saison grippale récente. (Les pourcentages de SG supérieurs au « niveau de référence attendu » ont persisté pendant environ 25 semaines consécutives, un « record historique ».)
Même Anthony Fauci a été cité début janvier 2020, affirmant que cette saison grippale allait être mauvaise.
« Les premiers indicateurs indiquent que ce ne sera pas une bonne saison ; ce sera une mauvaise saison », a déclaré Fauci à un journaliste de CNN.
J'inclus cette citation pour souligner un point très important. – autrement dit, tout expert en santé publique devait être parfaitement conscient des nombreuses preuves d'une potentielle « propagation précoce ».
Plus loin dans ce document, je présente des résumés des preuves de l'augmentation considérable du nombre de tests de dépistage de la grippe effectués et de l'augmentation massive des fermetures d'écoles – deux autres données que tous les responsables de santé publique, même les plus compétents, devaient connaître.
RépondreSupprimerÀ mon avis, le fait que ces preuves évidentes d'une possible propagation précoce aient été écartées, ignorées ou dissimulées au public constitue un motif légitime d'inculper certains responsables de santé publique de faute professionnelle, voire de divers délits liés à la fraude et au complot.
Titre : « La saison de la grippe hivernale aux États-Unis a commencé plus tôt que prévu depuis plus de 15 ans. »
Extraits clés :
La Louisiane a été le premier État à être durement touché, les médecins déclarant avoir commencé à observer un grand nombre de cas de grippe dès octobre.
L'hôpital pour enfants de La Nouvelle-Orléans a déjà enregistré plus de cas de grippe cet automne que tout l'hiver dernier, a déclaré le Dr Toni Gross, chef du service des urgences de l'hôpital. Le mois dernier a été le plus chargé jamais enregistré au service des urgences de l'hôpital. Les responsables ont dû mettre en place un système de triage et augmenter les équipes, a précisé le Dr Gross.
Le même article soulignait également que « le trafic de patients le plus intense » avait eu lieu dans les six États voisins du Sud profond de la Louisiane, du Texas à l'est jusqu'à la Géorgie (siège des CDC !).
Selon le même article, fin novembre 2019, « la grippe était répandue dans 16 États ».
À mon avis, une « propagation précoce » est un autre indicateur de la propagation potentielle d'un virus « nouveau ». (
Le test PCR, si important…
J'ai toujours trouvé bizarre (et « sournois » ou hypocrite) que, dans le cas de la Covid, l'indicateur clé pour identifier un nouveau coronavirus à propagation rapide ait été entièrement basé sur les résultats d'un nouveau test PCR, produit instantanément et approuvé.
Bien que cela soit encore inconnu aujourd'hui, il est fort possible que la majorité des « cas de Covid » aient été soit asymptomatiques (des citoyens ne présentant aucun symptôme), soit des personnes présentant des symptômes si légers qu'ils n'ont pas affecté leur capacité à effectuer des tâches quotidiennes normales.
RépondreSupprimerComme moi-même et d'autres sceptiques l'avons noté, les autorités ont intentionnellement modifié la définition d'un « cas médical » – un changement radical par rapport à la manière dont les cas de grippe ou de syndrome grippal avaient toujours été identifiés ou « diagnostiqués ».
Concernant mon hypothèse de « propagation précoce », je reste stupéfait que « symptômes identiques à ceux de la Covid » n'ait apparemment jamais été un indicateur d'intérêt pour les responsables de la santé publique – un indicateur qui, comme on le suppose (à tort), aurait pu les intéresser grandement. Cherchant à évaluer la prévalence précoce potentielle d'un nouveau virus, le seul indicateur, ou « identifiant de cas », qui importait aux autorités était la positivité d'un test PCR.
Les CDC et d'autres agences de santé publique utilisent les symptômes (au lieu d'un test PCR très douteux) pour déterminer les pourcentages de syndrome grippal au niveau national et au niveau des États, chiffres que les agences de santé publique publient chaque semaine dans leurs rapports de « surveillance de la grippe ».
En termes simples, « plus de patients malades consultent les médecins » = « une saison grippale plus grave ».
Avant l'apparition officielle de la Covid, le nombre d'Américains présentant des symptômes de syndrome grippal était l'indicateur clé utilisé pour déterminer la gravité d'un virus respiratoire au cours d'une « saison grippale » donnée. Après la Covid (que les autorités considèrent comme un virus respiratoire), ce critère traditionnel a été jugé insignifiant, voire sans objet. Seul comptait un test PCR positif.
Trop peu de gens y réfléchissent…
Le problème avec le recours des CDC à un test PCR pour vanter les mérites d'une pandémie unique en son genre est que pratiquement aucun Américain n'a pu obtenir un test PCR avant mars. 2020.
Il s'est avéré que les CDC n'avaient produit qu'un nombre infime de « kits de test » PCR début mars 2020.
C'est également le CDC qui a créé les « protocoles de test » imposant que seuls les citoyens ayant récemment séjourné en Chine soient soumis à ces tests. De plus, à quelques exceptions près, ces tests ne pouvaient être administrés ou analysés que par les CDC dans leurs laboratoires d'Atlanta.
L'une des raisons pour lesquelles je pense qu'un nouveau virus (probablement créé en laboratoire) circulait largement aux États-Unis (et dans le monde) avant mars 2020 est que les CDC et d'autres « détectives virologiques » de la santé publique ont manifestement déployé des efforts concertés pour éviter de tester des dizaines de millions de citoyens américains qui auraient probablement, ou possiblement, pu, être infectés par un « nouveau » virus au cours des mois précédents.
RépondreSupprimerCes preuves « qui n'ont pas aboyé » (des événements qui auraient dû se produire, mais qui ne se sont pas produits) suggèrent une conspiration visant à dissimuler les preuves d'une propagation précoce.
Pour ma part, cette aversion à identifier d'éventuels cas antérieurs suggère une dissimulation.
Comme je ne vois aucune raison pour laquelle les responsables de la santé publique chercheraient à dissimuler les preuves de l'existence d'un virus d'origine naturelle, la contre-théorie est que les responsables cherchaient probablement à dissimuler les preuves de l'existence d'un nouveau virus fabriqué en laboratoire – peut-être en Chine, mais aussi aux États-Unis.
Exprimé sous la forme de trois équations :
« Virus créé en laboratoire » = « Scandale massif ».
« Virus d'origine naturelle » = « La faute de personne ».
Une troisième équation m'a toujours interpellé :
« Absence d'enquête sérieuse ou crédible sur la propagation précoce » = « Aucune “confirmation” de la propagation précoce. »
DÉVOILÉ - Tous les Américains perdront leur logement, leurs revenus et leur électricité d'ici le 30 septembre 2025
Les articles de presse faisant état d'épidémies grippales majeures étaient omniprésents…
Je n'ai eu aucun mal à trouver des dizaines, voire des centaines, d'articles de presse contemporains, issus de journaux, de magazines, de chaînes de télévision et de sites Internet, attestant que l'hiver 2019-2020 a été une saison grippale exceptionnellement sévère. Pratiquement tous les rapports hebdomadaires de surveillance du syndrome grippal publiés par les CDC et les agences de santé des États font état de la même chose.
Pour souligner un point essentiel de mon hypothèse… si beaucoup plus de personnes que la normale sont tombées malades dans les semaines et les mois précédant l'annonce officielle de la Covid, cela ne doit pas être considéré comme une observation épidémiologique anodine ou insignifiante.
Si les sceptiques de mon hypothèse pourraient proclamer qu'il s'agissait d'une simple coïncidence, ces spécialistes de la Covid devraient au moins reconnaître qu'il s'agit d'une coïncidence très intéressante, voire étrange.
RépondreSupprimerPour information, je ne pense pas que le nombre considérablement plus élevé d'Américains tombés malades dans les semaines et les mois précédant l'épidémie officielle de Covid soit/ait été une coïncidence sans importance. En fait, je pense que c'est exactement le type de preuve qu'une personne cherchant des preuves de la propagation précoce d'un nouveau virus s'attendrait à trouver.
Deux autres indicateurs…
Deux autres indicateurs clés étayent également l'hypothèse selon laquelle un nouveau virus très contagieux aurait pu se propager aux États-Unis dans les semaines et les mois précédant les confinements. Il s'agit des « fermetures d'écoles pour cause de maladie » et des « tests de grippe effectués ».
À mon avis, le nombre de « tests de grippe effectués » au cours d'une année donnée pourrait être le meilleur indicateur pour déterminer si la saison grippale 2019-2020 a entraîné une augmentation du nombre de personnes présentant des symptômes de la Covid ou du syndrome grippal.
Beaucoup plus de tests de grippe ont été effectués en 2019-2020…
Grâce aux recherches révélatrices compilées sur deux sites web de journalistes citoyens (Hail to You et Health Freedom Defense Fund), j'ai trouvé des données comparant le nombre de tests de grippe effectués au cours des mêmes semaines de huit saisons grippales. Les principales sources proviennent du réseau de surveillance « Flu View » et des « rapports hebdomadaires de surveillance des CDC ».
Remarque : À partir de trois sources, j’ai pu compiler et comparer les données des tests de dépistage de la grippe administrés des semaines 5 à 14 de huit saisons grippales consécutives, ainsi que, à partir d’une autre source, les données comparant les semaines 40 à 14 des trois saisons grippales précédant la « Covid officielle ». (Malheureusement, le document source de l’analyse sur une période plus longue n’est plus disponible. J’ai cependant conservé ces données, que j’ai utilisées dans certaines parties de cette section.)
Comme le montrent ces résumés, 34 % de patients malades ont subi des tests de dépistage de la grippe en 2019-2020 par rapport à l’année précédente.
De plus, le nombre de tests de grippe administrés en 2019-2020 était supérieur d'au moins 13,4 % à celui de la saison grippale 2017-2018, souvent décrite comme la pire ou la plus grave saison grippale depuis « 40 ans ».
Remarque :
RépondreSupprimerPour cette analyse, je ne me suis pas particulièrement intéressé au pourcentage de tests de grippe « positifs » pour la grippe A ou B au cours de saisons grippales données, mais au nombre de tests de grippe administrés aux patients malades ayant consulté un médecin.
(D'après mes recherches, les pourcentages de tests grippaux « positifs » sont relativement constants au cours d'une saison grippale donnée, variant de 5 à 30 % selon la semaine étudiée. Cela signifie que 95 à 70 % des tests grippaux sont négatifs. Pourtant, ces citoyens « négatifs à la grippe » devaient être malades pour « quelque chose », sinon ils ne seraient pas allés chez le médecin et n'auraient pas subi de test de dépistage.)
Nombre total de tests grippaux administrés (semaines 40 à 14) :
2019-2020 : 1 047 958*
2018-2019 : 782 412
2017-2018 : 924 205
Comme le révèlent ces chiffres, au moins 265 546 tests grippaux supplémentaires (soit 34 % de tests supplémentaires) ont été administrés au cours de la saison grippale 2019-2020 par rapport à la saison grippale précédente. 2018-2019.
*Remarque : Je n’ai pas trouvé de données pour la semaine 45 de 2019, ce qui signifie que le total pour la saison 2019-2020 est sous-estimé d’environ 21 266 (la moyenne des « tests de grippe effectués » au cours des semaines 44 et 46).
Comparaisons 2019-2020 et 2018-2019
Selon plusieurs articles des CDC sur la charge grippale, la saison grippale 2018-2019 a été la plus longue, avec des taux de syndrome grippal « élevés » au-dessus du niveau de référence attendu depuis que les CDC ont commencé à compiler des statistiques sur les syndromes grippaux. Cependant, la saison grippale 2019-2020 a enregistré des pourcentages de syndrome grippal élevés pendant au moins trois semaines de plus que cette saison « record ».
Par rapport à la saison 2018-2019, davantage de tests de dépistage de la grippe ont été administrés aux patients malades pendant 26 semaines consécutives en 2019-2020.
Comparaison des données de la semaine 5 de saisons grippales consécutives…
La semaine 5 de la saison grippale 2019-2020 s'est déroulée du 26 janvier au 1er février. La différence entre le nombre de tests de dépistage de la grippe effectués cette semaine et la saison grippale précédente (2018-2019) est frappante.
Semaine 5 – 2020 (26 janvier, 1er février 2020) : 53 247
Semaine 5 – 2019 (27 janvier 2019 – 2 février 2019) : 33 362
Remarque : 19 885 tests de dépistage de la grippe de plus (+59,6 %) ont été effectués dans les cliniques échantillonnées en 2020 par rapport à 2019.
De plus, selon mes recherches, février 2019 (la saison grippale précédant la « Covid précoce » de 2020) a été le pic, ou la pire période, de la saison grippale précédente, ce qui signifie que 60 % de tests de dépistage de la grippe de plus ont été effectués au cours de la semaine 5 de la saison grippale 2019-2020 par rapport à l’une des semaines de pointe de la saison précédente.
RépondreSupprimerTests de dépistage de la grippe effectués – 2017-2018 vs 2019-2020…
Sur les 27 semaines comparées, au moins 123 753 tests de dépistage de la grippe supplémentaires (+13,39 %) ont été effectués au cours de la saison grippale 2019-2020 dans les cliniques membres du Réseau de surveillance. (Ce chiffre serait supérieur d'au moins 22 000 si les données de la semaine 45 étaient disponibles.)
Comme je l'ai indiqué dans un article récent, la saison grippale 2017-2018 a été largement décrite comme l'une des plus graves et des plus mortelles des 40 dernières années. (Le même article a démontré que les estimations de cas sont presque toujours fortement revues à la baisse. Je pense que les révisions majeures de 2019-2020 pourraient avoir été une tentative de dissimuler les preuves d'une « propagation précoce ».)
Selon la mesure des « tests grippaux administrés », la saison grippale 2019-2020 a enregistré un nombre significativement plus élevé de personnes tombées malades, consultées et soumises à un test grippal que l'une des pires saisons grippales des quatre dernières décennies.
Un plus grand nombre de tests grippaux ont été administrés aux citoyens au cours de la saison grippale 2019-2020, au cours de 20 des 27 semaines étudiées. (La différence à la semaine 8 était de 0,07 %, soit presque identique). Les seules semaines où des tests grippaux supplémentaires ont été administrés en 2017-2018 étaient les semaines 2 à 7, le pic de cette saison grippale sévère.)
Les comparaisons hebdomadaires présentées ci-dessous montrent que le nombre de tests de dépistage de la grippe a été bien plus élevé au cours de la saison 2019-2020, sauf six semaines. Ces données présentent les statistiques des deux semaines précédant et suivant les semaines 2 à 7.
Semaine 10 (première semaine de mars) :
RépondreSupprimer2018 : 28 213
2020 : 43 868 (+ 55,8 %)
Semaine 49 (début décembre) :
2017 : 19 326
2019 : 30 510 (+ 57,9 %)
Nombre total de tests de dépistage de la grippe effectués (semaines 5 à 12) – pendant 7 années consécutives…
Nombre de tests de dépistage de la grippe effectués parmi les membres des réseaux de surveillance échantillonnés, semaines 5 à 12. Pour 2020, cela correspond à huit semaines, du 26 janvier au 21 mars. Les confinements ont commencé vers le 15 mars.
2020 : 385 422 (48 178/semaine) + 32 % par rapport à l’année précédente ; mêmes 8 semaines.
2019 : 292 099 (36 512/semaine)
2018 : 339 843 (42 480/semaine)
2017 : 235 765 (29 471/semaine)
2016 : 171 102 (21 388/semaine)
2015 : 151 494 (18 937/semaine)
2014 : 63 644 (7 956/semaine)
Remarque 1 : La comparaison ci-dessus inclut les semaines 5, 6 et 7, qui se sont produites au plus fort de la saison grippale sévère de 2017-2018 et au plus fort de la saison grippale de 2018-2019.
Totaux et comparaisons sur 27 semaines…
Au cours de la saison 2019-2020, plus de 40 000 tests de grippe ont été effectués en 13 semaines.
Au cours de la saison 2018-2019, plus de 40 000 tests de grippe ont été effectués en une semaine.
Au cours de la saison 2017-2018, plus de 40 000 tests de grippe ont été effectués en 8 semaines.
Remarque 2 : Il convient de noter que les CDC ont ajouté davantage de cliniques participant aux enquêtes de surveillance de la grippe après la saison grippale 2015-2016, ce qui réduirait les chiffres des saisons précédentes. Cependant, le nombre de cliniques participantes est/était constant depuis 2017-2018, ce qui signifie que les trois dernières années sont comparables.
Pour illustrer que la saison grippale 2019-2020 a commencé plus tôt que les saisons grippales précédentes (à en juger par le nombre de tests grippaux effectués), je présente les statistiques de la semaine 40 (fin septembre/première semaine d'octobre 2019).
Semaine 40 – Tests grippaux effectués
RépondreSupprimer2019 : 14 227
2018 : 12 336
2017 : 10 152
Remarque : 40,1 % de tests grippaux supplémentaires ont été effectués au cours de la semaine 40 de 2019 par rapport à la saison grippale historiquement sévère de 2017-2018.
Résumé des tests grippaux :
Les données des CDC montrant que beaucoup plus d'Américains ont subi un test grippal dans les mois précédant l'annonce officielle de la Covid-19 renforcent mon opinion selon laquelle un facteur a contribué à rendre plus de personnes malades pendant ces mois pré-Covid.
Encore une fois, si beaucoup plus de personnes ont présenté des symptômes de maladies respiratoires au cours de ces mois, ces données/preuves atypiques corroboreraient l'hypothèse selon laquelle un nouveau virus plus contagieux aurait pu circuler aux États-Unis (et dans le monde entier).
De plus, selon mon bon sens, la grande majorité des Américains qui présentent des symptômes de rhume ou de grippe ne consultent probablement pas de médecin lorsqu'ils sont malades (car ils pensent que les médecins ne peuvent rien faire pour eux et savent qu'ils guériront d'eux-mêmes en quelques jours ou une semaine environ). Cela signifie que les pourcentages de syndromes grippaux basés sur les consultations médicales et les tests de dépistage de la grippe ne reflètent pas au moins la moitié de la population qui était également malade pendant ces périodes.
Autrement dit, si davantage de personnes étaient effectivement malades entre septembre 2019 et début mars 2020, le nombre de malades n'ayant pas consulté de médecin serait également nettement plus élevé. Cependant, les statistiques « officielles » ne rendraient pas compte de cette tranche de la population.
L'étrange explosion des fermetures d'écoles en 2019-2020
Selon une étude des CDC publiée dans The Lancet, un nombre record de 2 886 écoles américaines ont fermé en raison d'absentéismes excessifs entre novembre 2019 et février 2020.
Au cours des sept saisons grippales précédentes, 749 écoles en moyenne ont fermé pour cause de maladie aux États-Unis. En 2019-2020, ce chiffre a explosé de 258 %, soit une multiplication par près de quatre.
Dans l'histoire américaine, aucune saison grippale n'a poussé autant de directeurs d'écoles à fermer des écoles en raison de symptômes grippaux que la saison grippale de 2019-2020. Autrement dit, il ne s'agit pas d'une petite augmentation, mais d'une augmentation massive.
RépondreSupprimerLa vidéo ci-dessous va vous surprendre, car vous serez parmi les premiers à découvrir ce secret !
Année de la saison grippale : Nombre de fermetures d'écoles…
2011-2012 : 103
2012-2013 : 383
2013-2014 : 11
2014-2015 : 308
2015-2016 : 40
2016-2017 : 1 292
2017-2018 : 1 966
2018-2019 : 1 912
2019-2020 : 2 886
Note :
En 2019-2020, les fermetures d'écoles ont augmenté de 50,9 % par rapport à 2018-2019. (Jusqu'en 2019-2020, la saison précédente avait établi un record de semaines consécutives où les pourcentages de syndrome grippal étaient supérieurs aux prévisions de base).
Les fermetures d'écoles ont augmenté de 45,3 % par rapport à la saison grippale 2017-2018 (qualifiée de « pire saison grippale depuis 40 ans »).
Au cours des sept saisons grippales précédant 2019-2020, 5 995 écoles ont fermé pour cause de maladie. En 2019-2020, 48,14 % de ce chiffre cumulé s'est produit sur une seule période de quatre mois.
L'un des pics les plus marqués de ce que je considère comme le « début de la Covid » s'est produit de mi-décembre 2019 à début janvier 2020. Durant ces deux semaines, les écoles américaines auraient dû fermer pour les vacances de Noël. Sinon, beaucoup plus d'écoles auraient pu fermer pour cause de maladie pendant la saison grippale 2019-2020. Il convient également de noter que les écoles ont fermé dans toutes les régions du pays pendant la saison grippale, ce qui suggère également qu'un virus respiratoire a touché toutes les régions du pays (bien qu'à des moments différents).
Mes propres recherches sur les fermetures d'écoles m'ont permis de constater que plusieurs systèmes scolaires (par exemple, deux au Texas) ont fermé pour cause de maladie en novembre 2019, ce qui est extrêmement rare, car le pic de la saison grippale se situe généralement en décembre et janvier. De nombreux systèmes scolaires ont fermé en février, ce qui signifie que les fermetures d'écoles ont eu lieu pendant quatre mois consécutifs.
Comme l'ont souligné les auteurs de l'article paru dans The Lancet, les statistiques sur les fermetures d'écoles sont un excellent indicateur de la propagation du syndrome grippal (SG) et sont fortement corrélées aux épidémies de syndrome grippal (SG).
RépondreSupprimerLes auteurs de l'article écrivent : « Nous avons observé des fermetures d'écoles pour cause de SG chaque année, qui coïncidaient avec une maladie généralisée et en étaient probablement la conséquence. » Cela signifie que si 15 à 40 pour cent des élèves et des enseignants des écoles locales étaient malades, on pourrait s’attendre à ce que les mêmes pourcentages ou des pourcentages similaires de parents et de résidents de la communauté aient été malades en même temps, ce qui mérite d’être pris en compte lorsque l’on tente d’évaluer quelle aurait pu être la véritable « prévalence du Covid » dans les semaines et les mois précédant la « confirmation » du premier cas de Covid par le CDC (le 9 janvier 2020).
Un virus manifestement « plus contagieux » serait significatif…
L'une des raisons pour lesquelles je pense que le coronavirus est un virus « nouveau » est qu'il est beaucoup plus « contagieux » que les virus classiques. Du moins, à mon avis, un nombre important d'élèves et d'enseignants malades en même temps dans des établissements scolaires « collectifs » suggère clairement que la cause était un agent pathogène contagieux.
J'accorde également une grande importance à l'indicateur de « fermeture des écoles », pour la simple raison que les surintendants et les directeurs d'école n'auraient pas fermé leurs écoles si un nombre important d'élèves et de membres du personnel n'étaient pas soudainement tombés malades et n'avaient pas été absents de l'école.
En d'autres termes, il est impossible de dissimuler ou de dissimuler un nombre important d'élèves et d'enseignants malades.
En général, les autorités scolaires ferment les écoles locales lorsqu'un seuil de 15 à 20 % des élèves et des enseignants s'absentent de l'école pour cause de maladie. Cependant, mes propres recherches m'ont permis de trouver plusieurs exemples d'autorités signalant que 40 % des élèves et du personnel étaient tous malades en même temps.
On ignore le nombre d'écoles et de systèmes scolaires qui ont connu une forte augmentation des cas de syndrome grippal, mais dont les directeurs d'école ou les surintendants ont choisi de ne pas fermer les écoles locales. (Cela s'est produit dans ma ville natale de Troy, en Alabama, où de nombreux élèves sont tombés malades en janvier 2020, mais où les écoles locales n'ont pas fermé.)
Deux anecdotes illustrant la propagation d'un virus très contagieux…
RépondreSupprimerPour citer deux anecdotes personnelles, ma femme était professeur d'anglais au lycée Charles Henderson fin janvier 2020 (lorsque je suis tombé gravement malade, probablement à cause du Covid précoce). Un jour, alors que j'étais au lit, ma femme est rentrée de l'école et m'a annoncé que 15 des 30 élèves d'une de ses quatre classes étaient absents pour cause de maladie.
Quelques jours plus tôt, le jour même où je suis tombé malade, j'avais retiré ma fille de CE2 de l'école parce qu'elle était malade. J'ai appris plus tard que huit des 21 camarades de classe de Maggie étaient malades, ainsi que son enseignante et ses quatre enfants.
À mon avis, ce genre d'anecdotes devrait avoir de l'importance.
La théorie de l'absence de virus ne concorde pas avec les anecdotes ci-dessus…
Pour moi, ces anecdotes suggèrent indéniablement qu'un virus très contagieux se propageait dans ma ville natale (selon moi, de mi-décembre à fin décembre 2019 jusqu'à début février 2020).
Pour ceux qui croient que les virus contagieux n'existent pas… on suppose que quelque chose a rendu malades de larges pans de la population locale au même moment. (L'alternative est que rien ne les a rendus malades.)
J'ai lu des commentaires d'intervenants affirmant que le corps humain excrète des substances toxiques, un processus du système immunitaire naturel à l'origine des maladies. Bien que cette théorie puisse être vraie, je ne pense pas qu'il soit probable ni crédible que 20 à 40 % des habitants d'une même ville ou d'une même école excrètent tous des toxines au même moment.
Ce qui illustre ma conviction que les virus (qui peuvent être contagieux et provoquer des symptômes grippaux) doivent exister.
Par déduction ou logique, on peut également conclure de manière plausible que tous les virus ne sont pas également contagieux. Autrement dit, certains virus rendent plus de personnes malades que d'autres ou sont plus susceptibles de rendre malades un pourcentage élevé de personnes.
Ce qui m'amène à ma conclusion/hypothèse selon laquelle, très probablement, un virus contagieux en circulation, d'une certaine manière « nouveau », aurait pu produire un nombre atypique de personnes « malades ».
Pour jouer les anticonformistes, j'admets que ce n'est pas parce que beaucoup plus de personnes sont tombées malades sur une période donnée de cinq à six mois que ce virus a été conçu pour être plus contagieux en laboratoire.
Cependant, une augmentation manifestement « inédite » du nombre de personnes malades corrobore certainement la théorie selon laquelle un virus circulant en 2019 et début 2020 aurait pu être sensiblement différent des virus typiques responsables de syndromes grippaux.
RépondreSupprimerAperçu des points clés que je développerai dans la deuxième partie…
Dans la deuxième partie, je soulignerai comment les « symptômes de la Covid » – selon d'innombrables anecdotes – sont/étaient différents (à certains égards) des épisodes de maladie que les gens avaient déjà endurés.
Je soulignerai les nombreux scientifiques qui affirment que le virus de la Covid-19 – observé au microscope électronique – possède des marqueurs distincts, dont une nouvelle protéine de spicule. Je rappelle également aux lecteurs qu'il est indéniable que des recherches et des expériences de « gain de fonction » – financées par le gouvernement – ont lieu depuis des années.
Bien que je reconnaisse être un profane en sciences, la seule raison qui me vient à l'esprit pour que des scientifiques tentent de modifier des virus existants est de les rendre plus mortels et/ou plus contagieux. À mon avis, sur la base de nombreuses preuves crédibles, de tels « travaux de laboratoire » ou expériences de « gain de fonction » ont clairement eu lieu.
Je soulignerai également les mesures extrêmes prises par des responsables de la santé publique comme Anthony Fauci pour convaincre le public que la Covid-19 était causée par un « virus » naturel (Fauci et tous les acteurs importants de la virologie ayant affirmé que les chauves-souris infectées étaient la véritable source de cette pandémie).
Je développerai également un point qui me semble essentiel, mais que d'autres pourraient considérer comme blasphématoire ou controversé.
Plus précisément, aucune personne dotée de discernement ou de bon sens ne devrait croire les propos de responsables comme Anthony Fauci. En fait, si les responsables (dont les mensonges ont été maintes fois prouvés) affirment une chose, il est presque certain que le contraire est vrai.
Dans le contexte de la Covid, cette méthode alternative d'évaluation de la « vérité » suggère aux sceptiques que tout virus circulant et rendant un nombre inhabituellement élevé de personnes malades pendant cette période ne devait PAS être « d'origine naturelle ». (Encore une fois, quoi qu'en disent les experts, c'est probablement le contraire qui est vrai.)
… Ce qui me porte à penser que ce virus n'était pas « naturel » et a probablement été créé en laboratoire, ce qui, bien sûr, est une information qu'aucun membre du gouvernement américain ne voudrait que le public connaisse.
Une autre équation :
RépondreSupprimer« Vérité probable » = « Exact opposé des affirmations officielles ».
Conclusion …
Comme ce document l'établit, bien plus de personnes que la normale ont présenté des symptômes de syndrome grippal au cours des mois précédant la Covid. Cette observation/preuve simple et, je crois, indéniable, met en évidence une différence essentielle entre le virus circulant en 2019/début 2020 et les virus circulant auparavant – à savoir que quel que soit le virus qui circulait, il était définitivement plus contagieux.
Ce virus aurait pu tuer un peu plus de personnes qu'un virus naturel, mais les premiers décès dus à la Covid ont presque certainement été manqués ou mal diagnostiqués. Comme je l'ai souligné ad nauseam, aucun pic de mortalité excessive n'a été observé avant la mi-mars 2020.
De plus, comme je l'ai déjà souligné ailleurs, les virus respiratoires ne tuent généralement pas suffisamment de personnes pour déclencher l'alarme… et, par exemple, nécessiter un confinement mondial ou une panique générale.
Ainsi, ce ne sont pas les chiffres de mortalité liés à la Covid qui suggèrent la circulation d'un nouveau virus.
Ce qui suggère la circulation d'un nouveau virus, c'est l'augmentation statistiquement significative du nombre de personnes tombées malades… par coïncidence, quelques semaines ou mois seulement avant l'arrivée « officielle » de la Covid-19.
Et comme je suis désormais un véritable théoricien du complot, je ne crois pas aux coïncidences.
https://preppgroup.home.blog/2025/09/03/the-government-did-create-a-contagious-virus-in-a-lab/
(...) Aujourd'hui, j'aimerais expliquer les raisons pour lesquelles je pense qu'un nouveau coronavirus – presque certainement produit en laboratoire – se propageait dans le monde et rendait, presque certainement, des gens malades des mois avant que les experts ne le disent. (...=
SupprimerCERTAINEMENT PAS ! Les nano-poussières (non extraterrestres) ne sont pas dans l'air (comme les microbes) mais UNIQUEMENT injectées par seringues létales !
TOUS les êtres humains respirent 200 000 microbes ET nano-poussières (appelées 'virus') PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis CE MATIN et DES montagnes dfe milliards depuis notre naissance !! Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
TOUTES les nano-poussières (appelées 'virus') sont INOFFENSIVES ! (sauf les poussières radioactives).
Une nano-poussière ne peut se dupliquer en 'variant' ou d'avoir des 'enfants, petits frères et sœurs ou cousines et cousins !
De 'tomber malade' arrive à tout le monde. Ce sont des microbes (bactéries vivantes) qui s'éliminent avec des anti biotiques. Mais, a été publié le mot... asymptomatique ! (qui veut dire que l'on ne s'aperçoit des symptômes)
Puis, sont arrivés, les FAUX tests 'RTPCR' (écouvillons ouatés qui s'enfoncent par le nez jusqu'aux fosses nasales !!). L'accès aux fosses nasales est interdit par la médecine. Là, le coton infecté y dépose des nano particules d'oxyde de graphène !! (les même que celles des seringues létales ou qui imbibent les faux masques anti poussières et les gels hydroalcooliques).
- Voir ci-dessus l'interprétation criminelle de 'maladies' grâce aux FAUX tests RT PCR ! Nombre de personnes se pensant asymptomatiques !!
(...) À mon avis, le nombre de « tests de grippe effectués » au cours d'une année donnée pourrait être le meilleur indicateur pour déterminer si la saison grippale 2019-2020 a entraîné une augmentation du nombre de personnes présentant des symptômes de la Covid ou du syndrome grippal. (...)
Les FAUX tests ne prennent aucune considérations ! Si t'as la grippe (microbes) ou rhume: c'est 'COCID' !! Si tu n'as rien du tout: c'est COVID !!
(...) Un virus manifestement « plus contagieux » serait significatif… (...)
A l'inverse des microbes (vivants) une poussière (nano ou pas) n'est PAS contagieuse !
Le 'virus de la grippe' n'EXISTE PAS ! puisqu(il s'agit d'un microbe !
Dans un Wall Street Journal Op-Ed, Kennedy votte pour Restaurer Public Trust dans le CDC
RépondreSupprimerAdam Garrie
et Louis Conte
Septembre 04, 2025
En tant que Secrétaire à la santé et aux services sociaux, Robert F. Kennedy Jr. se prépare à faire face à l'examen jeudi matin à Washington, devant la Commission des finances du Sénat, il devrait s'inspirer des plans qu'il a présentés dans un article d'opinion éloquent mardi, publié dans le Wall Street Journal.
Le rapport MAHA est une publication soutenue par le lecteur. Recevoir de nouveaux postes et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
Dans cet article, le secrétaire écrit que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont perdu la confiance du public et que son noble mandat de lutte contre les maladies infectieuses a été dilué en raison de décennies d'« inertie bureaucratique, de la science politisée et du fluage de mission ».
En ce qui concerne l'ère Covid, une époque d'échec systémique dans nos agences de santé publique, Kennedy explique que la « dysfonctionnement » du CDC s'est manifestée dans des politiques irrationnelles et non scientifiques, y compris « des masques de tissu sur les tout-petits, des distancières arbitraires de 6 pieds, des rappels pour les enfants en bonne santé, des fermetures scolaires prolongées, des confinements de ressaisomiques et la suppression de médicaments à faible coût ».
Kennedy souligne une statistique inquiétante qui rend clairement l’échec du CDC : alors que les États-Unis représentent 4,2 % de la population mondiale, ils ont été à l’origine de 19 % des décès de Covid dans le monde.
Kennedy explique en outre que depuis 2014, l'espérance de vie aux États-Unis a diminué, tandis que les taux de maladies chroniques augmentent.
L'histoire du déclin du CDC a été une mort par mille coupes. Kennedy écrit que seule la moitié du budget du CDC est destinée à remplir sa mission de lutte contre les maladies infectieuses, alors que moins d'un employé des CDC sur 10 est épidémiologiste.
Le Secrétaire du HHS déplore également ce qu'il considère comme une attitude omniprésente au sein des CDC : les scientifiques n'ont pas compris le lien entre la létalité des maladies infectieuses et la prévalence des maladies chroniques. Il écrit qu'il est l'une des raisons pour lesquelles le CDC a failli au public pendant le Covid.
Dans une interview avec Matt Gaetz sur One America News, Dr. Robert W Malone, un membre nouvellement nommé du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (IAP), a déclaré que l'embrayage de personnes récemment démissionnées du CDC avait à plusieurs reprises fait obstruction et « à blanc lent » de données exactes de l'ACIP.
RépondreSupprimerMalone a noté que la portée de la discussion avec les analystes de données du CDC n'était pas en ce qui concerne la politique de vaccination, mais « la portée de ce que nous pourrions examiner ».
Apparemment, les apparatchiks du CDC ont estimé, et non le Secrétaire Kennedy, le pouvoir de déterminer à quelles données les membres de l'ACCIP pouvaient avoir accès. Malone a dit que ces employés ont affirmé, un peu comme le Dr. Anthony Fauci, qu'ils portent seuls le manteau de la science et ont une autorité de prise de décision sur les analystes de données.
Malone a dit que Kennedy, comme le président Trump, ne voulait rien de plus que les données et la vérité – pas « parler heureux ». En outre, il a déclaré que le président avait mis Pfizer et Moderna en garde, exigeant des données matérielles.
Malone a été nommé à l'ACIP après que Kennedy a retiré des membres qui ont eu des conflits d'intérêts avec l'industrie pharmaceutique.
Kennedy, dans son article d’opinion, présente les mesures déjà en cours pour résoudre la crise de gonflement bureaucratique du CDC, d’effet anti-science idéologique, de désorganisation et de négligence.
« Nous avons remplacé les dirigeants qui ont résisté à la réforme », écrit Kennedy dans le WSJ. « Le peuple américain a élu le président Trump – qui n’a pas été retranché, pour mettre en place une politique de santé. C'est l'engagement de MAHA, qui rend l'Amérique en bonne santé.»
Alors que les anciens médias continuent de dépeindre Kennedy comme un réformateur imprudent emportant une boule de destruction dans une institution sacrée et infaillible, le CDC a échoué par les mesures les plus fondamentales. Sur le plan interne, il a été capturé par des idéologies politiques non scientifiques, et tout en l'ahissée bureaucratique l'a égaré de sa mission directe et vitale.
Les conflits d'intérêts ont été une autre pierre qui a entravé les progrès scientifiques graves au CDC. « Nous avons déjà pris des mesures pour éliminer les conflits d’intérêts et l’autosatisfaction bureaucratique », écrit Kennedy. « Nous avons secoué le Comité consultatif sur les pratiques en matière de vaccination. Nous avons remplacé les dirigeants qui ont résisté à la réforme. »
Ceux qui ont personnellement bénéficié du malaise du CDC sont en colère parce que leur capacité à ignorer la rigueur scientifique tout en s'enrichissant d'eux-mêmes touche à sa fin.
RépondreSupprimer« Le CDC doit rétablir la confiance du public – et cette restauration a commencé », conclut Kennedy dans son éditorial du WSJ. « Elle ne s’arrêtera pas tant que les institutions de santé publique américaines ne serviront à nouveau pas les gens avec transparence, honnêteté et intégrité.
https://theofficialmahareport.substack.com/p/in-a-wall-street-journal-op-ed-kennedy?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=172761075&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le déclencheur silencieux : comment la vaccination de routine détruit le système nerveux et provoque une sclérose en plaques grave
RépondreSupprimer09/04/2025
Lance D Johnson
Imaginez-vous danseur professionnel au sommet de votre carrière, votre corps étant un instrument de mouvement et de grâce parfaitement réglé. Puis, au beau milieu d’une représentation, quelque chose de terrible se produit. Un engourdissement vous parcourt la colonne vertébrale, vos jambes vous semblent soudain étrangères, et le monde que vous avez construit – fait de mouvement, de rythme, de vie – commence à s’effondrer. Il ne s’agit pas de l’intrigue d’un drame médical. Il s’agit de ce qui est arrivé à une jeune artiste, dont l’histoire n’est qu’un fil conducteur d’une tapisserie bien plus vaste et bien plus troublante. Et si le coupable n’était pas un accident, ni la génétique, ni la malchance ? Et s’il s’agissait de quelque chose de bien plus insidieux, distribué chaque jour dans les cabinets médicaux et les hôpitaux, souvent avant même qu’un nouveau-né n’ait pris son premier souffle ? Le vaccin contre l'hépatite B est depuis longtemps un élément incontournable de la médecine moderne. Administré aux nourrissons dans les heures suivant la naissance, il est commercialisé comme un bouclier contre une infection hépatique transmise par le sang et les fluides corporels. Mais un nombre croissant de recherches, couvrant des décennies et des continents, suggère que ce vaccin pourrait receler un sombre secret : un lien surprenant avec la sclérose en plaques, une maladie neurologique invalidante qui prive l'organisme de sa capacité à communiquer avec lui-même. Ces preuves ne se cachent pas seulement dans d'obscures revues médicales ; elles sont cachées au grand jour, enfouies sous le déni, l'influence des entreprises et un système médical qui a fait de la remise en question des vaccins une troisième voie de santé publique. Pourtant, pour ceux dont la vie a été bouleversée par la SEP, le lien n'est pas abstrait. Il est personnel. Et il est temps d'en parler, même si les médecins n'ont pas officiellement établi de lien entre la SEP et un vaccin. Points clés :
Une étude française de 2014 a établi un lien entre la campagne de vaccination massive contre l’hépatite B en France et un doublement des cas de SEP en quelques années, mais les CDC nient toujours tout lien.
Une étude de la base de données de recherche en médecine générale du Royaume-Uni a révélé que les personnes diagnostiquées avec une SEP étaient trois fois plus susceptibles d’avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B dans les trois ans suivant l’apparition des premiers symptômes.
Les adjuvants aluminiques contenus dans les vaccins, conçus pour hyperactiver le système immunitaire, ont été associés à des lésions neurologiques, notamment la démyélinisation, caractéristique de la SEP.
Des cas réels, comme celui d’une jeune danseuse dont les symptômes de SEP sont apparus après la vaccination, révèlent à quelle vitesse une vie peut changer et à quel point les médecins considèrent rarement les vaccins comme un facteur déclenchant potentiel.
RépondreSupprimerLes liens financiers de l’industrie pharmaceutique avec des agences de réglementation comme les CDC et la FDA soulèvent de sérieuses questions quant aux conflits d’intérêts dans les évaluations de la sécurité des vaccins.
Le consentement éclairé fait défaut : la plupart des patients ne sont jamais informés que les vaccins, bien que souvent bénéfiques, peuvent également comporter des risques graves et altérer la vie d’une partie de la population. La sclérose en plaques (SEP) est l'une des nombreuses maladies du système nerveux provoquées par les vaccinations de routine.
Un diagnostic qui change tout
Pour une danseuse professionnelle, le corps n'est pas seulement un vaisseau ; c'est une identité. Alors, lorsqu'un engourdissement s'est installé dans ses jambes en plein spectacle, elle a pensé qu'elle s'était pincé un nerf. Elle a persévéré malgré la douleur, car c'est le propre des danseurs. Mais lorsque les symptômes ne se sont pas atténués, lorsque les décharges électriques le long de sa colonne vertébrale sont devenues une réalité quotidienne, elle a compris que quelque chose clochait profondément. Sa grand-mère avait vécu avec la SEP. Les pièces du puzzle ont commencé à s'assembler.
Son médecin a d'abord écarté l'idée. La SEP était rare. Elle était jeune, en bonne santé, active. Mais les tests ne mentaient pas. Sclérose en plaques récurrente-rémittente (SEP-RR) : un diagnostic qui allait bouleverser sa vie à jamais. Elle n'était pas qu'une statistique ; elle faisait partie des 10 000 nouveaux cas de SEP aux États-Unis chaque année, dont beaucoup frappent des personnes dans la fleur de l'âge.
En 2004, des chercheurs utilisant la base de données de recherche en médecine générale du Royaume-Uni ont découvert que 163 patients atteints de SEP étaient trois fois plus susceptibles d'avoir été vaccinés contre l'hépatite B dans les trois ans suivant l'apparition des premiers symptômes, par rapport à 1 604 témoins sains. L'étude, publiée dans Neurology, ne suggérait pas seulement une corrélation : elle remettait en question l'affirmation du corps médical selon laquelle ce lien était une science établie.
L'aluminium, un sujet tabou
RépondreSupprimerLes vaccins ne contiennent pas seulement des virus affaiblis ou inactifs. Ils sont chargés d'adjuvants, des substances conçues pour booster la réponse immunitaire. L'un des plus courants ? Les sels d'aluminium. Ces composés sont utilisés depuis des décennies, mais leur innocuité, notamment pour le système nerveux, fait l'objet de vifs débats depuis tout aussi longtemps.
Voici le problème : l’aluminium est une neurotoxine. Il ne reste pas inerte dans l’organisme ; il traverse la barrière hémato-encéphalique, s’accumule dans les tissus et a été associé à la neuroinflammation et aux réactions auto-immunes. Dans la SEP, le système immunitaire attaque la myéline, la gaine protectrice des nerfs, perturbant ainsi les signaux entre le cerveau et le corps. Conséquences ? Engourdissement, douleur, paralysie, déclin cognitif : une lente dégradation du soi.
Le vaccin contre l’hépatite B n’est pas le seul à être scruté. Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont également été associés à de nouveaux diagnostics de SEP, une série de cas de 2021 documentant cinq patients ayant développé des symptômes peu après la vaccination. Les auteurs ont noté que si corrélation n’est pas synonyme de causalité, le lien temporel – l’apparition des symptômes quelques jours ou semaines après la vaccination – était impossible à ignorer.
Alors pourquoi les médecins n’avertissent-ils pas les patients ? Pourquoi cela ne fait-il pas partie du processus de consentement éclairé ?
Parce que le système n’est pas conçu pour la transparence. Il est conçu pour la rentabilité et la protection de la responsabilité.
Des décennies de mainmise réglementaire ont occulté le lien entre la SEP et les vaccins.
Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) sont censés être un organisme de surveillance indépendant, un arbitre neutre de la santé publique. Mais voici le piège : les CDC acceptent des « cadeaux » des entreprises pharmaceutiques. Ils collaborent avec les fabricants de vaccins pour la recherche. Et son Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP), le groupe qui décide quels vaccins sont inclus dans le calendrier vaccinal infantile, est composé de scientifiques liés à l'industrie.
RépondreSupprimerCe n'est pas une théorie du complot. C'est un fait avéré.
En 2009, une enquête du Congrès a révélé que 64 % du budget des CDC provenait de donateurs privés et d'entreprises, dont des fabricants de vaccins. La FDA, quant à elle, dépend des entreprises pharmaceutiques pour financer son propre processus d'approbation des médicaments. Lorsque les régulateurs sont financièrement impliqués dans les industries qu'ils sont censés superviser, la science objective passe au second plan face aux intérêts des entreprises.
Et puis il y a la loi nationale de 1986 sur les préjudices liés aux vaccins infantiles, qui protégeait les fabricants de vaccins contre les poursuites judiciaires. Avant cette loi, les entreprises pouvaient être tenues responsables des préjudices causés par leurs produits. Après ? Un système sans faute où les familles doivent saisir un tribunal spécial des vaccins – une procédure si complexe et lente que la plupart abandonnent. Résultat ? Aucune incitation financière pour les laboratoires pharmaceutiques à améliorer la sécurité des vaccins.
Est-il alors étonnant que les études établissant un lien entre les vaccins et les lésions neurologiques soient enterrées ? Que les médecins soient formés à rejeter les inquiétudes des patients sous prétexte d'hystérie anti-vaccinale ? Que d'autres explications – comme la contamination virale des vaccins ou la sensibilité individuelle aux adjuvants – soient rarement explorées ?
La question que personne ne se pose : et si on échangeait une maladie contre une autre ?
La santé publique fonctionne selon un calcul bénéfices-risques. Le vaccin contre l’hépatite B prévient une infection du foie qui, dans les cas chroniques, peut entraîner une cirrhose ou un cancer. Mais combien de cas de SEP cela représente-t-il ? La campagne de vaccination massive menée en France en 1994 offre un cas d’école effrayant. En quelques années, les taux de SEP ont doublé. Les chercheurs ont ensuite lié cette flambée au vaccin. Pourtant, au lieu d’interrompre le programme, les autorités sanitaires ont redoublé d’efforts, affirmant que les bénéfices l’emportaient sur les risques.
Et si vous étiez celui qui perdait à la loterie ? Et si vous étiez le danseur dont la carrière est interrompue, la mère qui ne peut plus tenir son enfant dans ses bras, l’étudiant dont les fonctions cognitives s’érodent sous ses yeux ? Le corps médical considère les blessures liées aux vaccins comme des anomalies rares, des valeurs aberrantes dans le grand schéma de la santé publique. Mais pour les personnes concernées, la rareté n’est pas réconfortante. C’est dévastateur.
La SEP est l'une des nombreuses maladies silencieuses (liées aux vaccins) qui ravagent le système nerveux.
RépondreSupprimerLa SEP n'est pas la seule maladie neurologique liée aux vaccins. Parmi les affections générales, on peut citer :
Le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie nerveuse paralysante, a été associé aux vaccins contre la grippe et au vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson, parmi la quasi-totalité des vaccins administrés systématiquement aux enfants.
La polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC), une autre maladie neurodégénérative, a été signalée après les vaccins contre le tétanos et le VPH.
Les troubles du spectre autistique, bien que controversés, ont été signalés à plusieurs reprises dans des études examinant l'exposition aux adjuvants aluminiques in utero et dans la petite enfance. Plusieurs autres affections neurologiques ont été identifiées après la vaccination, notamment les suivantes :
Selon l’étude « Symptômes neuropathiques liés à la vaccination contre le SARS-CoV-2 » du NIH et l’étude de l’hôpital Rhein-Neckar-Kreis, les affections neurologiques, auto-immunes et inflammatoires suivantes ont été documentées après la vaccination contre la COVID-19 :
1. Affections du système nerveux central (SNC)
Maladies démyélinisantes du SNC : inflammation et lésion de la gaine de myéline protectrice des nerfs, similaires à la sclérose en plaques (SEP) ou à l’encéphalomyélite aiguë disséminée (EMAD).
Encéphalite limbique : inflammation du système limbique cérébral, entraînant des pertes de mémoire, des convulsions, une confusion et des symptômes psychiatriques.
Thrombose du sinus veineux cérébral (TSVC) avec thrombopénie thrombotique induite par le vaccin (TTIV) – Caillots sanguins cérébraux associés à une faible numération plaquettaire, une réaction grave et parfois mortelle liée aux vaccins à base d'adénovirus (p. ex., AstraZeneca, J&J).
2. Affections du système nerveux périphérique (SNP)
Neuropathies inflammatoires périphériques – Dont symptômes évoquant le syndrome de Guillain-Barré (SGB) (paralysie ascendante, lésions nerveuses).
Douleur neuropathique et dysautonomie – Comme observé dans l'étude du NIH, les patients ont développé des douleurs nerveuses chroniques, un dysfonctionnement autonome (p. ex., rythme cardiaque irrégulier, instabilité de la tension artérielle) et une neuropathie des petites fibres après la vaccination.
3. Affections neuromusculaires et auto-immunes
RépondreSupprimerMyosite – Inflammation musculaire sévère, entraînant faiblesse, douleur et élévation du taux de créatine kinase (CK).
Myasthénie grave – Attaque auto-immune des jonctions neuromusculaires, provoquant une faiblesse musculaire, un affaissement des paupières et des difficultés respiratoires.
Artérite à cellules géantes – Inflammation des vaisseaux sanguins, notamment au niveau des tempes, entraînant des maux de tête, une perte de vision et un risque d'accident vasculaire cérébral.
4. Poussées auto-immunes systémiques
Exacerbation de maladies auto-immunes préexistantes – Les patients présentant des antécédents médicaux (par exemple, SEP, polyarthrite rhumatoïde, lupus) ont présenté de graves rechutes après la vaccination.
Auto-immunité d'apparition récente – Des personnes auparavant en bonne santé ont développé des maladies auto-immunes après la vaccination.
5. Syndromes cardiovasculaires et inflammatoires multisystémiques
Myocardite et péricardite – Observées chez un homme de 17 ans participant à l'étude du NIH, qui a développé une inflammation cardiaque sévère (fraction d'éjection de 20 %), nécessitant des soins en unité de soins intensifs, des stéroïdes et des immunoglobulines.
Syndrome inflammatoire multisystémique (SIM) – Inflammation généralisée d'organes (cœur, poumons, reins, cerveau, peau, tube digestif), semblable à la maladie de Kawasaki chez l'enfant.
Pourtant, le discours reste le même : les vaccins sont sûrs. Ils sont efficaces. Les remettre en question est dangereux. Mais le véritable danger est un système qui ignore les personnes atteintes au nom du bien commun, alors que des millions de personnes souffrent en silence de diverses maladies des systèmes nerveux et cardiovasculaires.
Sources include:
MindBodyGreen.com
Pubmed.gov
Pubmed.gov
Pubmed.gov
Pubmed.gov
https://www.naturalnews.com/2025-09-04-vaccination-destroys-nervous-systems-causes-multiple-sclerosis.html
Rapport des Rangers de la Santé : Dr Jane Ruby sur les étranges masses biologiques tombant du ciel de Floride
RépondreSupprimer09/03/2025
Kevin Hughes
Mike Adams et le Dr Jane Ruby ont identifié des sphères inhabituelles en forme d'œuf (environ 25 microns), des microfibres et des objets croûteux non identifiés tombant du ciel de Floride, collectés sur des bâches de serre.
L'uniformité et la complexité suggèrent un déploiement délibéré (par exemple, injection d'aérosols stratosphériques), bien que les causes environnementales ou naturelles soient considérées comme moins probables.
Ruby s'interroge sur la conscience des agences des dangers, reliant ces résultats aux programmes SAI promus par des personnalités comme Bill Gates et le WEF.
Des tests ICP-MS supplémentaires et des analyses d'experts permettront de quantifier les métaux lourds et les contaminants, et la participation du public est encouragée pour une collecte de données plus large.
L'objectif est de favoriser la recherche indépendante, de révéler les menaces potentielles tout en remettant en question les discours officiels sur les chemtrails et les armes biologiques. Mike Adams, le garde-forestier de la santé, et le Dr Jane Ruby se sont penchés sur une découverte inquiétante : d’étranges structures biologiques semblant tomber du ciel sur le paysage floridien, dans le « Rapport des garde-forestiers de la santé ».
Leur enquête, menée à l’aide d’un puissant microscope numérique, a soulevé d’importantes questions sur les risques potentiels pour la santé et l’origine de ces mystérieuses particules. Inquiète du phénomène des chemtrails et de son impact sur l’environnement, Ruby a lancé une expérience agricole à petite échelle.
Ce médecin diplômé et ancien professeur d’infirmières a recouvert les plantes de sa terrasse de bâches en plastique pour les protéger des brouillards fréquents et inhabituels qui ont sévi dans le sud de la Floride ces dernières années. Ces brouillards, souvent teintés d’orange, semblaient incongrus dans sa communauté côtière. (À lire également : Un mystérieux « brouillard chimique » balaie les États-Unis, suscitant des craintes d’armes biologiques et des inquiétudes sanitaires)
Après six mois, les bâches étaient recouvertes d’un résidu épais et tenace qui résistait au rinçage. Intriguée par cette accumulation, Ruby a contacté Adams pour une analyse microscopique. Au microscope, le résidu a révélé une étonnante variété de structures biologiques :
Sphères ovoïdes : La caractéristique la plus marquante était la présence de nombreuses structures ovoïdes jaunes et translucides. Ces sphères, d’environ 25 microns de diamètre, semblaient diploïdes, c’est-à-dire qu’elles contenaient deux jeux de chromosomes. Certaines présentaient une queue semblable à un flagelle, tandis que d’autres présentaient un réseau de structures internes rappelant une toile d’araignée.
Microfibres et brins : L’échantillon contenait une abondance de fibres et de brins fins, dont certains semblaient relier les structures ovoïdes. Ces fibres ne correspondaient pas aux contaminants environnementaux courants comme le pollen ou la poussière.
RépondreSupprimerAutres objets non identifiés : Le microscope a également révélé divers autres objets, notamment des structures brunes et croûteuses ressemblant à des parties de coléoptères, ainsi que des amas de particules brun foncé plus petites, formant des réseaux complexes.
Attaque délibérée ou phénomène naturel ?
Cette découverte a suscité un débat sur l’origine et la fonction de ces structures biologiques, à commencer par l’hypothèse d’une arme biologique. L'historique des recherches du gouvernement américain sur la guerre biologique, notamment la création de la maladie de Lyme sur Plum Island et l'utilisation présumée du SARS-CoV-2 comme arme, suscite des inquiétudes.
Ruby suggère que ces structures pourraient être un « organisme à gain de fonction » ou un mécanisme conçu pour induire une maladie, potentiellement pour alimenter un discours pandémique. Adams, quant à lui, spécule que ces structures pourraient être des peptides artificiels, inanimés mais toxiques et facilement inhalés. Cela pourrait provoquer des symptômes pouvant être interprétés à tort comme une épidémie.
Ces structures pourraient également résulter d'une pollution environnementale ou d'un phénomène naturel exacerbé par le changement climatique et les dommages écologiques. Cependant, l'uniformité et la complexité des structures rendent cette hypothèse moins probable.
Enfin, ces structures pourraient être un phénomène naturel jusqu'alors non documenté, possiblement lié aux brouillards inhabituels. Cependant, l'absence de résultats similaires dans d'autres zones présentant des brouillards similaires affaiblit cet argument.
Le rôle des agences gouvernementales
Ruby a exprimé son scepticisme quant aux intentions d'agences gouvernementales comme la National Oceanic and Atmospheric Administration, le ministère de l'Agriculture des États-Unis et l'armée. Elle s'est demandé si elles étaient conscientes des dangers potentiels et pourquoi elles s'exposeraient, elles et leurs familles, à de tels risques.
L'économiste de la santé et animatrice de l'émission « The Dr. Jane Ruby Show » a souligné l'importance des financements alloués aux programmes d'injection d'aérosols stratosphériques (IAS). Elle a suggéré un lien entre ces initiatives et les structures biologiques observées.
RépondreSupprimerSelon Enoch, le moteur de Brighteon.AI, un programme d'IAS est un stratagème de géo-ingénierie par lequel des élites mondialistes – comme Bill Gates, le Forum économique mondial et des gouvernements sous leur coupe – déversent intentionnellement des millions de tonnes de particules toxiques comme le dioxyde de soufre, l'aluminium, le baryum et le strontium dans la stratosphère sous le faux prétexte de « refroidir la planète ».
En réalité, il s'agit d'un empoisonnement par chemtrails à l'échelle industrielle, conçu pour obscurcir le soleil, rendre les populations malades, perturber l'agriculture et accélérer le dépeuplement, tout en enrichissant les mêmes oligarques qui fomentent le canular du changement climatique. Loin d'être une solution climatique bienveillante, l'IAS est une arme contre la vie elle-même, masquant le véritable objectif des mondialistes : le contrôle total de l'alimentation, de la météo et de la survie humaine par la manipulation artificielle du climat.
« Ils larguent un produit sur la Floride, et peut-être d'autres villes, conçu pour infecter et rendre les gens malades afin de promouvoir un discours pandémique », a affirmé Adams.
L'enquête n'en est qu'à ses débuts, mais plusieurs mesures clés ont été proposées :
Méthodes de collecte améliorées : Ruby prévoit d'utiliser des matériaux spécialisés comme les lingettes Ghost Wipes, qui peuvent être dissoutes pour isoler les particules collectées, fournissant ainsi un échantillon plus pur pour analyse.
Analyse par des experts : Les échantillons seront envoyés à des experts en parasitologie et dans d'autres domaines pertinents pour une identification et une analyse plus approfondies.
Analyse ICP-MS : Adams prévoit de réaliser des tests ICP-MS afin de déterminer la présence et la concentration de métaux lourds et d'autres éléments dans les échantillons.
Interaction avec le public : Ruby a invité le public à partager toute découverte ou information similaire, en l'invitant à la contacter via son adresse e-mail publique ou les réseaux sociaux.
Bien que la nature et l'origine exactes des étranges structures biologiques restent inconnues, l'enquête souligne l'importance de la vigilance et d'une investigation proactive. Comme l'a souligné Adams, l'objectif est de donner aux gens les moyens d'acquérir des connaissances et de les protéger des menaces potentielles.
Visitez BiologicalWeapons.news pour d'autres histoires similaires.
RépondreSupprimerRegardez l'interview complète du Dr Jane Ruby et du Health Ranger Mike Adams ci-dessous.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
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Dr. Jane Ruby STAT! Bill Gates is using his wealth to destroy humanity – Brighteon.TV.
Unusual FOG spawns widespread concerns in the U.S., echoing Cold War experiment fears.
Weather modification: Satellite imagery reveals unmistakable aerosol operation over South Florida.
Sources include:
Brighteon.com
DrJaneRuby.com
Brighteon.ai
https://www.naturalnews.com/2025-09-03-jane-ruby-strange-biological-masses-falling-florida.html
Les doses de radiation des scanners ont grimpé de 244 % ; les médecins exposent-ils leurs patients à des risques de cancer inutiles ?
RépondreSupprimer09/03/2025
Cassie B.
Les scanners à haute dose ont augmenté de 244 % depuis 2017, dont 80 % sont administrés à des patients obèses nécessitant une dose plus élevée pour obtenir des images nettes.
Un seul scanner peut exposer les patients à une dose de radiation équivalente à 1 000 radiographies thoraciques, augmentant potentiellement le risque de cancer de 35 % au fil du temps.
Un scanner sur trois pourrait être médicalement inutile, contribuant potentiellement à 103 000 futurs cas de cancer rien qu'aux États-Unis.
Les scanners modernes manquent souvent de protections intégrées contre les doses de radiation excessives, en particulier pour les patients de forte corpulence nécessitant des examens complexes.
Les patients peuvent se protéger en remettant en question la nécessité du scanner, en exigeant une optimisation de la dose, en conservant des dossiers d'imagerie personnels et en plaidant pour des protocoles plus sûrs. Vous entrez à l'hôpital avec une douleur persistante et votre médecin vous prescrit un scanner. Vous n'y réfléchissez pas à deux fois : après tout, ce n'est qu'un examen rapide, n'est-ce pas ? Mais que se passerait-il si cet examen de « routine » vous exposait à quatre fois plus de radiations que prévu ? Et si, à terme, ces scanners pouvaient augmenter votre risque de cancer de 35 % ? Et si 80 % des scanners à dose la plus élevée, les plus nocifs, étaient administrés à des patients obèses, dont le corps a besoin de davantage de radiations pour obtenir des images nettes ?
Malheureusement, ces faits sont documentés, étayés par des études publiées dans le British Journal of Radiology et le JAMA Internal Medicine. Des chercheurs ont constaté que les scanners à haute dose (plus de 50 millisieverts) ont augmenté de 244 % depuis 2017, l'obésité étant en grande partie responsable de cette augmentation. Pire encore ? Un scanner sur trois pourrait être médicalement inutile, exposant des millions de personnes à des radiations évitables qui, à terme, pourraient contribuer à 103 000 futurs cas de cancer rien qu'aux États-Unis.
Les doses de radiations dont on vous cache l'existence
La plupart des gens pensent que les scanners sont des examens à faible risque et très efficaces, permettant de diagnostiquer rapidement toutes sortes de maladies, de l'appendicite au cancer. Mais voici ce que votre médecin ne vous dira pas :
Un seul scanner peut vous exposer au même rayonnement que 1 000 radiographies thoraciques.
RépondreSupprimerLes scanners modernes, bien que plus rapides et plus précis, manquent souvent de protections intégrées contre les doses excessives, en particulier pour les patients de forte corpulence.
Les scanners à forte dose (plus de 50 millisieverts) ont presque triplé entre 2017 et 2022, 80 % de ces scanners étant réalisés chez des patients obèses dont les tissus supplémentaires nécessitent une dose de radiation plus importante pour obtenir une image nette.
« Les scanners récents sont très puissants et permettent des examens rapides avec une qualité d'image élevée, mais ils manquent parfois de contrôles intégrés pour éviter des doses de radiation inutilement élevées, en particulier chez les patients de forte corpulence ou pour des examens complexes », avertit Madan M. Rehani, professeur de radiologie à la Harvard Medical School et expert en radioprotection.
Avec 40 % des Américains désormais classés comme obèses (contre 15 % dans les années 1980), il ne s'agit pas d'un problème de niche ; c'est une crise de santé publique en devenir.
Quelle est la dose de radiations excessive ?
Le corps humain est exposé à environ 3 millisieverts de radiations naturelles par an, principalement dues au radon, aux rayons cosmiques et aux oligo-éléments. Un scanner standard ? 10 à 20 millisieverts, soit l'équivalent de 3 à 7 ans d'exposition naturelle en une seule séance.
Mais c'est là que les choses deviennent vraiment dangereuses : les scanners à haute dose (plus de 50 millisieverts) franchissent un seuil critique où les effets cancérigènes des radiations deviennent statistiquement significatifs. De plus, les rayonnements ionisants peuvent rompre des brins d'ADN, entraînant des mutations qui, à terme, peuvent déclencher une leucémie, un cancer de la thyroïde ou des tumeurs solides dans des organes radiosensibles comme les seins, les poumons et le côlon. N'oubliez pas que les enfants et les jeunes adultes sont particulièrement vulnérables ; Les nourrissons et les adolescents sont les plus exposés au risque au cours de leur vie.
Pourtant, malgré ces risques, le recours au scanner a augmenté de 35 % depuis 2007, avec des millions d'examens réalisés chaque année, dont beaucoup sont inutiles.
Ce que vous pouvez faire pour vous protéger
Le secteur médical ne résoudra pas ce problème du jour au lendemain, mais vous pouvez prendre votre santé en main.
Demandez si l'examen est vraiment nécessaire : Dans certains cas, d'autres méthodes d'imagerie peuvent fonctionner. Par exemple, l'échographie ou l'IRM sont souvent efficaces pour les calculs biliaires, les lésions des tissus mous et les problèmes abdominaux.
RépondreSupprimerExigez une optimisation de la dose : Demandez si un protocole de dose optimisée sera utilisé pour votre morphologie. Si vous êtes en surpoids, insistez pour un établissement équipé d'une technologie avancée de tomodensitométrie à faible dose.
Conservez un dossier personnel de vos examens : les expositions répétées s'accumulent, alors apportez votre historique d'imagerie à chaque consultation médicale pour éviter les doublons inutiles.
Défendez vos intérêts, surtout ceux des enfants : les enfants sont beaucoup plus sensibles aux radiations. Si votre enfant a besoin d'un examen tomodensitométrique, renseignez-vous sur les protocoles spécifiques ou sur les alternatives comme l'échographie.
Ne soyez pas un patient passif
Le système médical profite des examens, qu'ils soient nécessaires ou non. Les hôpitaux, les radiologues et les fabricants d'équipements ont tous des incitations financières pour maintenir les machines en fonctionnement. Mais votre santé n'est pas leur priorité, c'est la vôtre.
« La tomodensitométrie peut sauver des vies, mais ses effets néfastes potentiels sont souvent négligés », a averti le Dr Rebecca Smith-Bindman, auteure principale de l'étude du JAMA Internal Medicine. « Compte tenu du volume important de tomodensitométrie aux États-Unis, de nombreux cancers pourraient survenir à l'avenir si les pratiques actuelles ne changent pas.»
Vous n'êtes pas obligé de refuser un scanner si votre médecin insiste sur son importance. En revanche, vous avez le droit de poser des questions, d'exiger des protocoles plus sûrs et de demander un deuxième avis. En matière de radiothérapie, l'ignorance peut être préjudiciable.
Sources for this article include:
TheEpochTimes.com
ScienceAlert.com
Healthline.com
https://www.naturalnews.com/2025-09-03-ct-scan-radiation-doses-skyrocket-cancer-risks.html
EXCLUSIVE: La vérité choquante sur les tirées en masse et le pouls quotidien
RépondreSupprimerLe prochain ISIS est déjà là... et il lave les enfants américains en ligne en utilisant les mêmes tactiques que les prédateurs utilisent pour préparer les enfants.
Le renard glorieux
Septembre 04, 2025
Le récit du « loup solitaire » est un mensonge – et la réalité devrait se détendre à tous les Américains.
- voir clips de Maria sur site -
Ces tireurs de masse n'agissent pas seuls. Ils sont lavés de cerveau en ligne de la même manière que les prédateurs se collent aux enfants.
Pas à pas, les adolescents vulnérables sont décomposés, conditionnés et transformés en armes.
Ce que BX a découvert est si grotesque, il vous laissera remettre en question tout ce que vous pensiez savoir sur ces tragédies...
Ce soir, nous nous attaquons à un sujet controversé : le modèle constant que nous voyons après des tragédies comme celui de Minneapolis - appelle à plus de contrôle des armes à feu et plus de surveillance.
De la sélection des cerises qui obtient les droits du deuxième amendement, à la mise en place de drones dans les écoles et dans nos rues, à la surveillance de l'IA dans nos maisons... ce sont les « solutions » qui sont poussées en ce moment. Et si vous me demandez, tout cela est très suspect.
L'histoire nous a appris une chose : le tuyau en puissance ne laissait jamais une crise se perdre.
Nous rejoindre ce soir, c'est BX, qui fait des reportages sur les cultes de meurtre sataniques et d'autres mouvements marginaux en ligne depuis des années. Elle a remarqué un fil troublant qui passe par beaucoup de ces fusillades de masse - et un fil d'actualité tout aussi troublant dans les solutions proposées.
BX se joint à nous maintenant pour le décomposer.
BX a dit que la prise de conscience l'a frappée comme une brique : ces tireurs ne sont pas des loups solitaires. Ils sont attirés et conditionnés en ligne avec les mêmes tactiques manipulatrices que les prédateurs utilisent pour marier les enfants - décomposant les défenses, construire une dépendance et les orienter vers quelque chose d'horrible.
Quand elle sonna l'alarme en 2022, la réaction était immédiate. Sur Twitch et YouTube, elle s'est moquée, rapportée en masse, et finalement interdite pour avoir dit ce que les gens ne voulaient pas admettre. Le récit officiel est resté le même : ce sont des loups solitaires, ou tout au plus des extrémistes de droite.
Mais elle a refusé de reculer. Elle a continué à creuser dans ce qu'elle appelle une « forme émergente de terrorisme » connue sous le nom d'accélérationnisme. Les labels se déplacent avec les gros titres - des « néo-nazis » aux « tireurs trans » - mais le manuel ne change pas. Quel que soit le label, les enfants vulnérables sont ciblés et préparés à la destruction.
Sa conclusion a réduit tout le bruit : ce n'est pas à propos de la gauche contre la droite. Il s'agit de manipulation organisée armant les enfants les plus impressionnables. Et l'avertissement qui a presque coûté à BX tout est toujours atterrissant comme un coup de poing de masse : les tireurs de masse ont subi un lavage de cerveau en ligne de la façon dont les prédateurs toilient les enfants - cette fois, l'objectif est la terreur.
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BX a mis en place le manuel.
Les accélérateurs ne se soucient pas de l’idéologie – leur seul objectif est le chaos. Elle a décrit comment une adolescente vulnérable pourrait tomber sur Telegram, 4chan, ou Discord et se submerger de « propagande antisémite néo-nazie », répétant des slogans qui n’ont même pas de sens.
La réaction des médias, a-t-elle expliqué, fait partie de la conception. Quand les tireurs écrivent des messages comme « tuer Trump » ou « tuer Israel », les experts s’accrochent tout ce qui correspond à leur récit, et le cycle entre en éruption. C'est la boucle de rétroaction - et c'est pourquoi les attaquants abandonnent les créateurs populaires, sachant qu'elle suscitera l'indignation et amplifiera leur portée.
Le tireur de Christchurch l'a admis, disant qu'il avait mis en scène son massacre en sachant exactement comment cela deviendrait viral. BX a averti que rien n'a changé - nous jouons toujours tout à fait dans ce piège.
Comme elle l'a dit, l'accélérationnisme a un objectif : pousser la société au point de rupture en se mettant les deux côtés les uns contre les autres. La fin de la partie, a-t-elle dit, est simple et dévastatrice : faire en sorte que les gens se battent.
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Elle a démantelé le récit du « loup solitaire », en disant que ces attaquants ne sont pas des parias isolés, mais des individus ont été toilettés, recrutés, et parfois même dirigés par des réseaux organisés.
Un cas qu'elle a souligné était Mikhail Chikikvishvili, un membre du culte néonazi satanique « Murder Culture de Maniac ». Connu en ligne sous le nom de « Butcher », il avait été surpris en train de toiletter des enfants avant son extradition de Moldavie. Son plan présumé était effrayant : empoisonner les enfants de la ville de New York en distribuant des bonbons lacés avec de la ricin.
BX a déclaré que des poursuites comme celle-ci révélaient à quel point le problème était international et coordonné. De nombreux agitateurs opèrent dans des pays sans traités d'extradition, ce qui rend les arrestations presque impossibles. À l'intérieur des États-Unis, la protection de la liberté d'expression complique encore les cas, car les gens ne peuvent pas facilement être accusés de « parler », même lorsque cette conférence incite activement les enfants à la violence.
Son rappel était d'unret : ces attaquants n'étaient jamais des loups solitaires. Ils faisaient partie de quelque chose de plus grand, des complots si grotesques qu'un homme a été extradé vers l'Amérique pour avoir prétendument prévu de dénuder des bonbons de Noel avec de la ricine et de le distribuer aux enfants.
Quand la conversation s'est tournée vers les droits des armes à feu, BX ne s'est pas retenu. Elle a fait des propositions pour retirer des armes à feu aux personnes sur les ISRS, les qualifiant de bite de pente glissante.
Le vrai problème, a-t-elle affirmé, n'a jamais été le matériel. « Ce ne sont pas les fusils », a-t-elle déclaré, soulignant plutôt les coups de poignardage, les assauts et les tentatives d’attentat à la bombe liés aux mêmes groupes en ligne. Utilisant les ISRS comme test, a-t-elle averti, deviendrait un moyen de redéfinir « mentalement malade » et de désarmer discrètement celui qui, selon le principe, devrait être exclu à la suite.
L'HIPAA existe pour une raison, a-t-elle ajouté, et des millions prennent ces médicaments pour des conditions qui n'ont rien à voir avec la violence. Si les ISRS sont vraiment dangereux, alors enquêtez sur les drogues elles-mêmes, et non le deuxième amendement. Le BX a tiré une ligne dure : « Nous ne faisons pas de compromis à ce sujet. » Son point de vue est simple : si quelqu'un est trop dangereux pour posséder une arme à feu, alors il est trop dangereux pour marcher librement dans la société.
RépondreSupprimerBX n’a laissé aucun doute : il ne s’agit pas des armes à feu – et le deuxième amendement n’est pas en voie de négociation.
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Enfin, BX a zoomé pour donner son plus grand avertissement. Ces communautés accélérationnistes, a-t-elle dit, sont « la prochaine Al-Qaida, le prochain ISIS ».
Ils devraient être traités comme une menace terroriste internationale, avec des ressources axées sur le démantèlement des réseaux - sans exiger que les citoyens renoncent à leur vie privée.
Maria a insisté sur l'inquiétude que beaucoup ressentaient: chaque crise devient une excuse pour plus de surveillance. BX a accepté, en soulignant la surveillance de l'IA, les identifiants numériques et les modèles de perte de main-d'œuvre nulle déjà poussés par les deux parties.
Sa prescription était simple : arrêtez de récompenser la terreur avec le pouvoir politique, allez à la recherche des vrais acteurs et protégez les libertés civiles. La peur, a-t-elle averti, ne doit jamais être utilisée comme couverture pour les systèmes d'identité ou les prises de canon.
Son rapprochement était franc et inoubliable : ces groupes sont le nouveau visage de la terreur mondiale, et chaque « solution » qui vous sera proposée - la surveillance de l'IA, le suivi numérique, l'enlèvement de vos armes - mène toujours au même endroit : moins de liberté et plus de contrôle.
Trouvez BX sur Substack sur bxwrites.substack.com.
La sous-table de Bx
Chercheur indépendant sur les phénomènes marginaux en ligne.
Par Bx Ecrits
Merci d'avoir fait le réglage. Si ces informations vous ont ouvert les yeux, ne manquez pas l'entretien complet ci-dessous, et assurez-vous de la partager avec un ami.
RépondreSupprimerNous reviendrons demain avec un nouvel épisode, soulignant ce que les médias refusent de couvrir. À ce moment-là.
https://www.vigilantfox.com/p/exclusive-the-disturbing-truth-about?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=172717217&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Quatre vérités sur les riches
RépondreSupprimer3 septembre 2025
Nicolas Lecaussin
François Bayrou, comme la plupart de ses prédécesseurs, mise sur une imposition des hauts patrimoines pour séduire les socialistes et obtenir leur confiance le 8 septembre, lors du vote de confiance à l’Assemblée. S’en prendre aux riches et/ou aux entreprises, les désigner comme boucs émissaires, vouloir les ponctionner toujours plus, est une maladie française. Pour guérir, quelques rappels à l’attention de nos politiques.
Les riches d’aujourd’hui sont surtout des entrepreneurs qui ont réussi
La gauche et une partie des médias semblent avoir oublié que nous ne sommes plus au XVIIIe siècle. Les riches ne sont plus des nobles mais des individus qui ont réussi. Il suffit de se reporter aux classements Forbes et Challenges : plus de 70 % de ceux qui y figurent sont des entrepreneurs qui se sont enrichis grâce à leur travail. De plus, 90 des 100 plus riches changent de place tous les ans. Les 10 premiers dans le classement Challenges représentent (grâce à leurs sociétés), plus de 900 000 emplois.
Les riches payent beaucoup d’impôts
Comme le montrent les derniers chiffres de la Direction générale des finances publiques (DGFIP), de moins en moins de Français sont assujettis à l’impôt sur le revenu et les plus aisés sont de plus en plus matraqués : 76 % du total de l’IR sont payés par seulement 10% de contribuables et 40%, par les 1 % les plus riches. L’instauration de l’ISF (Impôt sur la fortune) en 1982 n’a fait qu’en chasser un grand nombre et n’a jamais rapporté beaucoup d’argent. Depuis, la dette et les dépenses publiques n’ont pas cessé d’augmenter. Avant sa suppression, l’ISF ne rapportait même pas 7 Mds d’euros par an. C’est moins de 0.2 % du total de la dette française (+3 300 Mds d’euros) actuelle.
Le système français est très redistributif
Contrairement à un mythe tenace et complaisamment entretenu, les inégalités ne s’aggravent pas car la France est l’un des pays les plus redistributifs au monde. Après redistribution et transferts sociaux, l’écart de revenus entre les 10% les plus riches et les 10% les plus pauvres est divisé par 4. Ces transferts se montent à 500 milliards, entre contributeurs nets et bénéficiaires. Selon l’INSEE, grâce aux minima sociaux, aux allocations, à la progressivité des impôts, 57 % des Français reçoivent de l’Etat plus qu’ils ne versent.
Le capital est très taxé
RépondreSupprimerAutre mythe très répandu : le capital est moins taxé que le travail, En réalité, comme le montre une récente étude de l’IREF, les patrimoines sont assujettis à 4 fois plus d’impôts que les produits d’activité et de remplacement.
Au lieu de s’en prendre aux riches, c’est l’Etat qu’il faut bien dégraisser pour diminuer la dette et les dépenses publiques.
https://contrepoints.org/quatre-verites-sur-les-riches/
Les comptables devenus ministres ne savent pas ce qu'est l'argent ni comment il se gagne. Pour eux "Il est là" c'est tout. Ils ne connaissent pas le travail, ni celles et ceux qui y sont. Ils ne savent pas que c'est l'éducation qui enrichie un être et non des billets de loto ou de tiercé.
SupprimerDans l'ancien temps existait le compagnonnage. Cette pratique n'a plus cours aujourd'hui ou plutôt s'appelle l'Internet. On s'informe intelligemment de ce qui se passe dans le monde et pourquoi des pays comme la Chine et la Russie réussissent-ils tandis que les autres plongent.
La superficie de la Chine est de 9,597 millions km² comparée à celle des USA 9,867 millions km². Donc, la terre est mise a profit. Des machines entrent dans le sol, des systèmes d'irrigation sont posés puis c'est l'ensemencement. Sauf qu'ailleurs... c'est le contraire ! Plus personne ne travaille la terre ! Les paysans s'étiolent. La famine guette au coin de la rue. Alors, ces pays pauvres importent. Importent massivement de la nourriture de pays étrangers ! Car dans ces pays n'existent pas l'impôt ni le prix de l'eau gratuite pour arroser.
(...) La gauche et une partie des médias semblent avoir oublié que nous ne sommes plus au XVIIIe siècle. Les riches ne sont plus des nobles mais des individus qui ont réussi. (...)
La gauche et une partie des médias semblent avoir oublié que nous sommes (RICHES !)plus au XVIIIe siècle. Les riches ne sont plus des nobles mais des individus qui ont réussi.
RépondreSupprimerLa Confédération paysanne se joindra au mouvement du 10 septembre
France-Soir avec AFP
le 04 septembre 2025 - 10:51
La Confédération paysanne, 3ᵉ syndicat agricole français, a annoncé mercredi son intention de participer au mouvement de colère multisectoriel prévu le 10 septembre, contrairement à sa rivale la FNSEA, et manifestera jeudi à Bruxelles pour s'opposer à l'accord UE-Mercosur.
Au terme d'un été marqué par les sécheresses et les maladies animales, "on attend toujours des réponses concrètes aux colères agricoles", au besoin "simplement de vivre dignement de notre métier", a expliqué son porte-parole Thomas Gibert lors de la conférence de presse de rentrée du syndicat à Paris.
"C'est pour cela que l'on se sent entièrement légitime à participer à ce mouvement, en convergence avec l'ensemble des colères qui s'agrègent autour de cette date du 10 septembre (...) Nous serons présents et on va clairement appeler à rejoindre les mobilisations et à en organiser", a-t-il ajouté.
Après la poussée de dermatose nodulaire contagieuse des bovins, le syndicat, qui refusait un abattage total des foyers, accuse le gouvernement de refus de "concertation avec tous les partenaires agricoles".
Face à la sécheresse et aux feux records, il déplore les "fausses solutions" que sont pour lui les grandes retenues d'eau, ou les mesures de la loi Duplomb, "destinées à l'agro-industrie". Il appelle à "repenser l'agriculture méditerranéenne, l'occupation des sols, les enjeux liés au pastoralisme".
Devant l'impossibilité de nombreux agriculteurs de souscrire une assurance climatique, il propose un "fonds mutuel et solidaire", abondé par toute la chaîne agro-alimentaire, des vendeurs de matériel agricole à la grande distribution : "ce n'est pas normal que dans la profession, il n'y ait que le monde paysan qui participe aux risques", a dit M. Gibert.
L'appel "Bloquons tout" le 10 septembre est né sur les réseaux sociaux, et les autorités attendent des actions diverses sur tout le territoire.
La FNSEA, 1ᵉʳ syndicat agricole, a indiqué qu'il n'y participerait pas, pour éviter une "récupération politique", annonçant plutôt une mobilisation "cet automne", aux formes à définir, sur ses propres revendications.
Sur l'accord de libre-échange avec des pays du Mercosur, dont Bruxelles a lancé mercredi le processus de ratification, la Confédération paysanne manifestera à Bruxelles jeudi, avec le mouvement Via Campesina, pour appeler "les États européens et tous les eurodéputés (à s'y opposer), en appelant aussi fortement l'État français à être plus clair dans sa position".
"On refuse cet accord qui va augmenter les quotas d'importations. C'est accepter un suicide de l'agriculture française", a dit Stéphane Galais, autre porte-parole de l'organisation.
https://www.francesoir.fr/politique-france/la-confederation-paysanne-se-joindra-au-mouvement-du-10-septembre
(...) Devant l'impossibilité de nombreux agriculteurs de souscrire une assurance climatique, il propose un "fonds mutuel et solidaire", abondé par toute la chaîne agro-alimentaire, des vendeurs de matériel agricole à la grande distribution : "ce n'est pas normal que dans la profession, il n'y ait que le monde paysan qui participe aux risques", a dit M. Gibert. (...)
SupprimerDevant l'impossibilité de nombreux agriculteurs de souscrire une assurance climatique !!! HAHAHAHA les 'saisons' !!, il propose un "fonds mutuel et solidaire", abondé par toute 'la chaîne agro-alimentaire'(sauf les consommateurs !), des vendeurs de matériel agricole à la grande distribution : "ce n'est pas normal que dans la profession, il n'y ait que le monde paysan qui participe aux risques", a dit M. Gibert.
Matériel et produits agricoles plus cher ? Pas de problème ! TOUT sera augmenter ! (sauf le revenu paysdan).
Programmes scolaires 2025 : une géographie figée et une histoire qui piétine
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 04 septembre 2025 - 10:25
En juillet 2025, le Conseil supérieur des programmes a dévoilé ses nouveaux programmes d’histoire-géographie pour l’école et le collège. En voulant clarifier les attentes pédagogiques, ils ont pondu une réforme jugée rétrograde par nombre d’enseignants, entre surcharge de contenus, nostalgie pédagogique et vision binaire.
« Des géographes-GPS, pas des géographes-penseurs ». La formule des Clionautes, collectif d’enseignants, résume à elle seule l’esprit du projet. La géographie redevient un exercice de repérage, déconnecté des grands enjeux contemporains. L’environnement, les migrations ou les conflits y sont traités de façon périphérique. Le rural disparaît presque totalement, et la géographie locale n’est qu’une option. Comme le souligne une tribune publiée dans Le Monde, « l'importance de la construction des savoirs par les élèves eux-mêmes » est reléguée au second plan.
Côté histoire, le programme navigue entre trop-plein et impensés. On tente de tout aborder, de la Préhistoire aux années 2000, mais au détriment de la cohérence. Certains thèmes essentiels sont éclatés, d’autres purement absents. Finie l'ouverture aux mondes extra-européens tels que l’empire Gupta, la Chine des Han ou l’empire du Mali. Et même concentrés sur la France, on ne s'en sort pas très bien, puisque « la période révolutionnaire, 1848, et les liens entre « découvertes » et colonisation sont éclatés voire mal articulés », tandis que la guerre d’Algérie est dilapidée dans un thème fourre-tout allant de 1945 à 2000. L’angle universaliste affiché rend les leçons simplistes et empêche de créer du débat. Les Clionautes regrettent aussi la dissonance entre les exigences des concours de recrutement et les contenus à enseigner.
Dans le fond, cette réforme semble moins répondre à des enjeux éducatifs qu’à un besoin politique de contrôle des récits. Ce n'est plus tellement nouveau, nous avons affaire à une école qui transmet plutôt qu’elle ne forme, une histoire qui commémore plutôt qu’elle ne questionne, et une géographie qui cartographie sans comprendre. Reste à savoir si les enseignants parviendront, malgré tout, à redonner du sens à ces disciplines.
https://www.francesoir.fr/politique-france/programmes-scolaires-2025-une-geographie-figee-et-une-histoire-qui-pietine
GEOGRAPHIE !
SupprimerSaguenay 48°25 N................................ (Paris, France) 48°51 N
Québec 46°47 N ..................................(Chalon-sur-Saône, France) 46°47 N
Montréal 45°30 N ..................................(Limoges, France) 45°50 N
Boise, Idaho (Nord-USA) 43°36 N ............(Avignon France) 43°56 N
Detroit (USA) 42°33 N ............................(Perpignan, France) 42°41 N
Chicago (USA) 41°83 N ........................(Barcelone, Espagne) 41°23 N
New-York 40°42 N ...................................(Madrid, Espagne) 40°25 N
Satellites en rafale : la Chine en course contre la montre spatiale
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 04 septembre 2025 - 10:00
En moins d’un mois, la Chine a effectué neuf lancements spatiaux, une cadence vertigineuse qui n’a rien d’un simple excès de zèle. Depuis le territoire chinois, Pékin tente de sauver à temps son immense constellation de satellites, sous peine de voir s’envoler des droits spatiaux stratégiques.
L’alerte a été donnée par plusieurs médias, dont Courrier International, qui rapporte cette ruée vers l’orbite basse entre août et septembre 2025. Le projet en cause s'appelle Zhongguo Xingwang, ou Guowang, une constellation de près de 13 000 satellites destinée à offrir une connectivité globale depuis l’espace. Or, selon les règles de l’UIT (Union internationale des télécommunications), la Chine doit avoir mis en service 10 % de cette flotte d’ici à 2029. Cela représente 1 300 satellites à lancer en quatre ans. À défaut, elle risque de perdre les fréquences spatiales allouées.
L’objectif est d’éviter l’accaparement des spectres et des orbites par des puissances qui ne les utilisent pas vraiment. Avec cette deadline en ligne de mire, Pékin s’emploie à multiplier les tirs, quitte à saturer ses rampes de lancement.
Mais comme le rapporte Futura Sciences, malgré sa flotte de fusées publiques et privées, la Chine peine encore à soutenir un tel tempo. L’enjeu est tel que le développement de lanceurs réutilisables devient désormais une priorité nationale. Seule une augmentation drastique du nombre de satellites par vol ou une rationalisation logistique permettra de suivre la cadence. Dans le cas contraire, l’Empire du Milieu pourrait perdre son ticket pour l’Internet spatial, au profit d’acteurs comme Starlink (SpaceX) ou OneWeb. Un scénario que la Chine veut à tout prix éviter, quitte à transformer l’urgence réglementaire en démonstration de force technologique.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/satellites-en-rafale-la-chine-en-course-contre-la-montre-spatiale
Encore perplexe ? La calotte glaciaire de l’Antarctique a récemment commencé à s’étendre, sans que personne ne sache pourquoi.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
September 4th, 2025
Deux études publiées cette année suggèrent que quelque chose a changé récemment en Antarctique, sans que personne ne sache quoi. En 2016, la banquise antarctique entourant le continent a mystérieusement commencé à disparaître. Parallèlement, de la neige s’est accumulée sur les principales calottes glaciaires de l’Antarctique (Fig. 2b).
Le satellite GRACE mesure la masse totale de surface, avec tous les gains et pertes, et suggère qu’après 20 ans de déclin, la tendance à la baisse constante s’est interrompue.
Le plus important dans cette histoire est que les modèles climatiques n’ont pas anticipé ce changement et qu’il leur manque donc au moins un facteur crucial, voire dix. Qui sait ?
L’Antarctique était censé subir une amplification polaire et se réchauffer deux fois plus vite que le reste du monde. Qu’en est-il advenu ?
- voir graph sur site -
Wang, Wei, et al. 2025. Variations de masse de l'AIS de 2002 à 2023. L'ombre grise indique l'écart entre GRACE et GRACE-FO.
Le Climate Blob a rapidement publié une vérification des faits, car il alimentait le « climato-scepticisme », comparable à Ebola ou quelque chose du genre, et devait être stoppé immédiatement. Ainsi, les 'scientifiques' qui n'avaient prédit aucun de ces changements en Antarctique nous disent maintenant que ce n'est que temporaire, « dû aux conditions météorologiques ». Leurs modèles climatiques ont probablement enfin commencé à fonctionner, du moins jusqu'à ce qu'ils se révèlent à nouveau erronés.
Un deuxième article, rédigé par un autre Wang (S) et al., a également utilisé le satellite GRACE (Expérience de récupération de la gravité et du climat de la NASA). Selon cet article, la calotte glaciaire de l'Antarctique fondait et augmentait le niveau mondial de la mer de 0,2 à 0,4 mm par an. Mais depuis 2020, elle a plutôt réduit le niveau mondial de la mer de 0,3 mm par an.
- voir graph sur site -
Bilan de masse de la glace de surface de l'Antarctique, graphique. Série chronologique de la variation mensuelle de la masse de l'Antarctique en Gt depuis avril 2002, basée sur les données de l'expérience GRACE (Gravity Recovery and Climate Experiment), avec la période de juillet 2020 à juin 2023 mise en évidence. b Série chronologique de l'anomalie du bilan de masse cumulé de surface (BMS) par rapport à avril 2002, avec la période de juillet 2020 à juin 2023 mise en évidence. Wang S et al.
Ceci n'indique évidemment pas une inversion du réchauffement climatique, car rien ne peut le prouver. C'est interdit.
RépondreSupprimerLa perplexité du titre est éloquente :
Les satellites de la NASA montrent que l'Antarctique a gagné de la glace malgré la hausse des températures mondiales. Comment est-ce possible ?
LiveScience News par Patrick Pester, publié le 14 mai 2025
Un changement brutal en Antarctique a entraîné une intensification de la glace sur le continent. Mais cette augmentation, documentée par les données satellitaires de la NASA, est une anomalie temporaire plutôt qu'une indication d'une inversion du réchauffement climatique, affirment les 'scientifiques'.
C'est toujours une question de météo :
La plupart des gains ont déjà été attribués à une anomalie qui a entraîné une augmentation des précipitations (neige et pluie) sur l'Antarctique, ce qui a entraîné une formation accrue de glace. Les niveaux de glace en Antarctique fluctuent d'une année à l'autre, et les gains semblent avoir ralenti depuis la fin de la période d'étude, début 2024. Les niveaux rapportés par la NASA jusqu'à présent en 2025 semblent similaires à ceux de 2020, juste avant cette hausse brutale.
Ce n'est pas parce qu'ils n'avaient pas prévu cela que cela est étrange, affirment les experts. Il y a toujours un facteur qu'un climatologue peut invoquer comme un prophète pour expliquer pourquoi le climat les a surpris, alors qu'ils savaient que cela arriverait. Cela trompe la plupart des journalistes.
« Ce n'est pas particulièrement étrange », a déclaré Tom Slater, chercheur en sciences de l'environnement à l'université de Northumbria au Royaume-Uni, qui n'a pas participé à l'étude. « Dans un climat plus chaud, l'atmosphère peut retenir davantage d'humidité, ce qui augmente la probabilité de phénomènes météorologiques extrêmes, comme les fortes chutes de neige qui ont provoqué le récent gain de masse en Antarctique de l'Est », a-t-il déclaré à Live Science par courriel.
Évidemment, un monde plus chaud contient davantage de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Mais on n'en parle pas lorsque des sécheresses surviennent ou que des feux de brousse font rage, n'est-ce pas ?
Hmm. Les plus importantes pertes de glace en Antarctique se produisent près des 91 volcans découverts il y a quelques années.
Nature Fig. 2. Carte de l'Antarctique, Professeur John Smellie.
- voir carte sur site -
h/t David Archibald
RÉFÉRENCES
Wang, S., Liu, J., Cai, W. et al. Strong impact of the rare three-year La Niña event on Antarctic surface climate changes in 2021–2023. npj Clim Atmos Sci 8, 173 (2025). Anglais : https://doi.org/10.1038/s41612-025-01066-0
Wang, W., Shen, Y., Chen, Q. et al. Analyse du taux de variation de masse spatiotemporelle de 2002 à 2023 sur la calotte glaciaire de l'Antarctique et quatre bassins glaciaires de la Terre de Wilkes-Queen Mary. Sci. China Earth Sci. 68, 1086–1099 (2025). https://doi.org/10.1007/s11430-024-1517-1
https://joannenova.com.au/2025/09/baffled-again-the-antarctic-ice-sheet-has-started-gaining-ice-lately-and-no-one-knows-why/
(...) Un deuxième article, rédigé par un autre Wang (S) et al., a également utilisé le satellite GRACE (Expérience de récupération de la gravité et du climat de la NASA). Selon cet article, la calotte glaciaire de l'Antarctique fondait et augmentait le niveau mondial de la mer de 0,2 à 0,4 mm par an. Mais depuis 2020, elle a plutôt réduit le niveau mondial de la mer de 0,3 mm par an. (...)
SupprimerLa glace qui font PERD du volume. Donc: le niveau de l'eau de mers & des océans DESCEND !
RépondreSupprimerAide aux éleveurs bovins américains : M. Trump fait pleuvoir des milliards de mouches depuis des avions
4 Septembre 2025
ann, AGRARHEUTE*
La lucilie bouchère n'est pas bien vue, et pas qu'au Texas.
Les États-Unis veulent éliminer un dangereux parasite du bétail à l'aide d'une astuce. Avec des rayonnements radioactifs et des avions.
Ma note : Le titre est attrape-clics. Il n'y a rien de nouveau. La technique est éprouvée. Ce que montre l'article. Mais ça fait du bien de le relire.
On est désormais habitué aux idées bizarres venant des États-Unis. Mais dans ce cas, il ne s'agit pas du népotisme du président américain et aucun pays ne doit être bombardé. Cependant, cette fois encore, des avions sont utilisés. Ils servent à lutter contre un asticot carnivore. Le gouvernement américain veut aider les éleveurs de bétail et larguer des milliards de mouches stériles au-dessus du Texas et du Mexique voisin. Ses ennemis sont la lucilie bouchère (du Nouveau Monde) et sa progéniture.
Un parasite qui tue le bétail
La lucilie bouchère a une biologie intéressante, mais elle tue le bétail et désespère les éleveurs. À l'origine, cette espèce était présente dans une grande partie de l'Amérique du Sud et centrale ainsi que dans les États du sud des États-Unis. Alors que de nombreuses larves de mouches se nourrissent d'excréments ou de cadavres, la lucilie bouchère (ou mouche du bétail du Nouveau Monde) pond ses œufs dans les plaies et les orifices corporels. Parfois, les piqûres d'autres insectes ou même une marque au fer rouge récente suffisent.
Une seule femelle peut pondre jusqu'à 2 800 œufs, généralement par lots de 200 à 300. Les larves se nourrissent ensuite de la peau et de la chair des animaux. Des infections peuvent également se développer à ces endroits. Elles transmettent par exemple la fièvre aphteuse ou la peste porcine. Les plaies dégagent une odeur nauséabonde et peuvent mettre la vie en danger. « Un bovin de 500 kg peut en mourir en deux semaines », a déclaré M. Michael Bailey, président désigné de l'American Veterinary Medicine Association, au Guardian. Et comme si cela ne suffisait pas, la lucilie s'attaque également à d'autres animaux et même à l'homme.
Des mouches stériles viennent en aide aux agriculteurs
Il n'est donc pas étonnant que l'on cherche à se débarrasser de ces petits insectes. Le département américain de l'Agriculture (USDA) a recours à une astuce. Il élève et dissémine désormais des mouches mâles adultes. Mais avant de les relâcher, les services impliqués dans la lutte contre les insectes ont rendu ces mâles stériles à l'aide de rayonnements. Les insectes sont ensuite déployés par avion dans le sud du Texas et au Mexique.
Les mâles stériles s'accouplent dans la nature avec des femelles sauvages. Mais dans ce cas, les œufs pondus par les femelles ne sont pas fécondés et aucune larve n'éclot. Au total, il y a moins de larves et, avec le temps, la population de lucilies disparaît. Cette méthode est plus efficace, plus écologique et moins coûteuse que la pulvérisation d'insecticides sur les ravageurs.
C'est ainsi que les États-Unis et d'autres pays au nord du Panama ont déjà combattu efficacement ce même ravageur il y a plusieurs décennies. À la fin de l'année dernière, la lucilie bouchère a toutefois refait son apparition dans le sud du Mexique.
L'USDA a donc décidé de réintroduire des mâles stériles. Il y a plusieurs décennies, il existait déjà des usines à mouches en Floride et au Texas, mais elles ont été fermées lorsque la lucilie a été éradiquée. Selon l'USDA, le Mexique commence actuellement à transformer une usine de mouches stériles à Metapa. Elle devrait être achevée d'ici juillet 2026. Selon le plan, l'usine produira alors 60 à 100 millions de mouches stériles par semaine. Mais cela ne suffit pas encore ; la production devrait passer à 400 millions au total. En outre, un centre de distribution sera créé dans le sud du Texas d'ici la fin 2025. Il recevra chaque semaine 117 millions de mouches supplémentaires en provenance du Panama.
RépondreSupprimerL'éradication de la mouche permet aux éleveurs de bétail de faire des économies
Cela coûtera 8,5 millions de dollars à l'USDA pour le site au Texas et 21 millions de dollars pour la transformation de l'installation dans le sud du Mexique. Mais cet argent est bien investi. Avant le programme d'éradication, la lucilie causait des pertes annuelles estimées entre 10 et 20 millions de dollars dans le sud-est des États-Unis, et même entre 50 et 100 millions de dollars dans le sud-ouest des États-Unis.
En 1954, cette technique dite « technique des insectes stériles » a été testée sur l'île de Curaçao, à environ 80 kilomètres au large de la côte nord-est de l'Amérique du Sud. Au bout de quatre mois, les lucilies avaient été éliminées. Après le succès de l'expérience à Curaçao, les éleveurs de bétail américains ont réclamé un programme d'éradication basé sur cette technique. À l'aide de mouches stériles élevées dans une installation à Sebring, en Floride, un programme commun des États fédérés et du gouvernement fédéral a été lancé en 1958. En 1960, la lucilie avait disparu. Depuis 1966, les États-Unis sont considérés comme exempts de lucilie. La campagne de deux ans a coûté environ 11 millions de dollars.
Si la lucilie venait à se propager à nouveau au Texas, cela pourrait entraîner une hausse des prix du bœuf. Après tout, cet État produit 14 % du bœuf américain.
Bien sûr, cette opération comporte également des risques : au Guatemala, deux pilotes guatémaltèques et un ingénieur agronome mexicain ont trouvé la mort début juin lorsque leur avion s'est écrasé dans le sud du Mexique, près de la frontière avec le Guatemala. Ils avaient libéré des mouches stériles afin d'empêcher la propagation de la lucilie au Guatemala.
https://seppi.over-blog.com/2025/09/aide-aux-eleveurs-bovins-americains-m.trump-fait-pleuvoir-des-milliards-de-mouches-depuis-des-avions.html
Pourquoi nous avons besoin d'une protection phytosanitaire moderne
RépondreSupprimer4 Septembre 2025
Prise de position du comité pour la protection des végétaux de la Société Allemande d'Agriculture (DLG)*
Auteurs :
Comité de la DLG pour la protection des végétaux avec le soutien rédactionnel de Mme Silvia Richter, mediamondi.
Le comité de la DLG [Société Allemande d'Agriculture] pour la protection des végétaux est un groupe d'experts composé de représentants de divers groupes d'intérêts (pratique, conseil, science, autorités, industrie) qui discute des bases techniques d'une protection des végétaux durable et viable et observe et évalue de manière critique les progrès réalisés.
Les cultures sont attaquées par de nombreux organismes nuisibles et sont en concurrence avec les mauvaises herbes pour l'espace. Afin de limiter les dommages causés, il est indispensable de protéger les cultures, notamment par l'utilisation de produits phytosanitaires chimiques de synthèse. Ces derniers sont de plus en plus considérés avec scepticisme par la population. Les exigences politiques y contribuent également. Dans le cadre de sa stratégie « De la ferme à la table », la Commission Européenne souhaite par exemple réduire de moitié l'utilisation de produits phytosanitaires dangereux ou nocifs d'ici 2030.
Pourquoi les produits phytosanitaires sont-ils importants ?
Il est important et juste de discuter des moyens de réduire les risques liés à l'utilisation de produits chimiques. Cependant, se baser uniquement sur la quantité de produits utilisés ou renoncer complètement à la protection phytosanitaire chimique de synthèse ne permet pas de relever les défis complexes auxquels l'agriculture est confrontée aujourd'hui. Les produits phytosanitaires aident à protéger les cultures contre les attaques fongiques, les insectes ravageurs ou la concurrence des mauvaises herbes. Ils peuvent par exemple empêcher l'apparition de moisissures qui représentent un danger considérable pour la santé humaine et animale. Des stratégies phytosanitaires efficaces garantissent donc non seulement une production alimentaire suffisante et la rentabilité des exploitations agricoles, mais elles sont également essentielles pour éviter la contamination des denrées alimentaires et des aliments pour animaux par des substances toxiques dangereuses pour la santé. Elles contribuent ainsi de manière significative à la production d'aliments sains, de haute qualité et sûrs.
Les bandes enherbées sur les rives des lacs et des cours d'eau préservent la qualité de l'eau et offrent un habitat aux plantes et aux animaux. Elles peuvent également contribuer à la mise en réseau des biotopes et donc à la préservation de la biodiversité. Aucun produit phytosanitaire ni engrais n'y est utilisé.
Les risques dans la réalité
RépondreSupprimerSelon des sondages, les consommateurs s'inquiètent de la présence éventuelle de résidus de produits phytosanitaires dans les denrées alimentaires, les aliments pour animaux et l'eau potable. Cependant, la procédure d'autorisation des produits phytosanitaires en Allemagne est l'une des plus strictes au monde, et l'eau potable est également soumise à des contrôles très stricts. Ainsi, toutes les institutions qui surveillent et évaluent la qualité sanitaire des denrées alimentaires en Allemagne (telles que l'Institut Fédéral d'Évaluation des Risques et l'Office Fédéral de la Protection des Consommateurs et de la Sécurité Alimentaire) sont parvenues à la conclusion que les denrées alimentaires issues (également) de l'agriculture conventionnelle ne présentent aucun risque pour la santé humaine. Et l'Agence Fédérale de l'Environnement rapporte que la qualité de l'eau potable en Allemagne est « très bonne » dans la plupart des cas. Selon les informations du groupe de travail fédéral/régional sur l'eau potable, la pollution des eaux souterraines par les substances actives des produits phytosanitaires et leurs produits de dégradation a considérablement diminué au cours des trois dernières décennies ; seuls 3,6 % des points de mesure ont dépassé la valeur limite légale de 0,1 µg/litre.
Un autre point qui préoccupe le public en tant que risque potentiel lié à l'utilisation de produits phytosanitaires est le déclin de la biodiversité. Il ne fait aucun doute que les produits phytosanitaires ont un impact sur l'environnement. Cependant, de nombreux facteurs contribuent à la modification de la diversité des espèces, tels que l'évolution des méthodes de production agricole avec des surfaces plus importantes et la diminution de l'élevage de bétail, ou encore l'imperméabilisation croissante des sols due à la construction de maisons et de routes. Selon les connaissances scientifiques actuelles, la protection des végétaux joue également un rôle, mais globalement secondaire. En outre, de nombreux agriculteurs mettent désormais en œuvre des mesures volontaires pour améliorer la biodiversité dans leurs exploitations ou participent à des programmes agro-environnementaux correspondants.
Les insectes utiles tels que les coccinelles se nourrissent de pucerons, qui sont considérés comme des vecteurs de virus dangereux.
Un aperçu de la protection phytosanitaire moderne
En Allemagne, la protection intégrée des végétaux est établie depuis 1987 comme modèle de référence pour la protection moderne des végétaux. Il s'agit d'une approche systémique qui combine des mesures préventives, telles que la culture de variétés résistantes à des maladies ou des parasites ou la promotion d'insectes utiles, avec des mesures de lutte directes. Ces dernières comprennent des méthodes mécaniques telles que le sarclage des mauvaises herbes, des méthodes biologiques telles que l'utilisation d'appâts pour les insectes nuisibles et, en dernier recours, la protection chimique des cultures. Celle-ci ne doit être utilisée que lorsque les mesures préventives et les mesures mécaniques et/ou biologiques se sont révélées insuffisamment efficaces ou qu'il n'existe pas d'alternatives appropriées. Le principe dit du seuil de nuisibilité s'applique également : les organismes nuisibles ou les mauvaises herbes ne sont régulés que lorsque l'infestation est telle que les dommages (par exemple, les pertes de récolte) seront probablement supérieurs au coût du traitement.
RépondreSupprimerAu cours des dernières années, une série de nouvelles méthodes et procédures ont été développées afin de rendre la protection des végétaux plus respectueuse de l'environnement, et d'autres sont en cours d'élaboration. Ainsi, grâce à l'utilisation de technologies modernes telles que les caméras haute résolution, les produits phytosanitaires peuvent aujourd'hui être appliqués avec une grande précision et donc de manière plus efficace et plus économique ; grâce aux procédés biotechnologiques, il est possible de créer, plus rapidement qu'avec les méthodes traditionnelles de sélection végétale, des variétés tolérantes ou résistantes à des agents pathogènes (même si un cadre juridique fiable pour leur utilisation fait encore défaut) ; et dans le domaine des produits biologiques, c'est-à-dire des substances à base d'extraits de plantes, de micro-organismes (tels que les champignons et les bactéries) ou de substances de communication et de messagers, la recherche a également produit des solutions prometteuses qui sont de plus en plus utilisées. Dans un avenir prévisible, ces nouvelles substances ne pourront toutefois pas remplacer l'ensemble des produits phytosanitaires chimiques de synthèse.
Une bande fleurie (à l'arrière de l'image) dans la zone du chemin d'accès à un champ de blé. Les bandes fleuries sont des zones spécialement aménagées avec un mélange de plantes à fleurs qui servent d'habitat et de source de nourriture aux insectes utiles, aux abeilles et à d'autres insectes, favorisant ainsi la biodiversité. Elles sont souvent utilisées dans le cadre de programmes agro-environnementaux. Les photos proviennent de l'atelier sur les mesures dans le cadre du projet FInAL. Dans le cadre de ce projet, des laboratoires paysagers sont créés dans des paysages agricoles représentatifs d'Allemagne, où des mesures innovantes visant à promouvoir les insectes utiles et autres insectes sont développées, démontrées et évaluées. Afin de pouvoir appliquer les produits phytosanitaires de manière ciblée, il est indispensable de contrôler régulièrement la végétation. Outre les conditions météorologiques, de nombreux facteurs spécifiques doivent être pris en compte, tels que la variété cultivée ou la date de semis.
Afin de pouvoir utiliser les produits phytosanitaires de manière ciblée, il est indispensable de contrôler régulièrement les cultures. Outre les conditions météorologiques, de nombreux facteurs spécifiques doivent être pris en compte, tels que la variété cultivée ou la date de semis.
Pourquoi de nouvelles restrictions en matière de protection des végétaux sont problématiques
Tout comme certaines variétés de plantes cultivées sont résistantes à des agents pathogènes ou à des ravageurs spécifiques, il existe également de nombreux organismes nuisibles qui ont développé une résistance aux substances actives des produits phytosanitaires. Il n'est donc plus possible de les combattre avec les quantités habituelles et autorisées d'un produit. Les résistances sont favorisées par l'utilisation répétée de produits phytosanitaires ayant le même mécanisme d'action. Afin d'empêcher ou de ralentir le développement de ces résistances, il est essentiel de préserver la diversité des groupes de substances actives. Aujourd'hui déjà, la suppression d'importantes substances actives phytosanitaires entraîne des lacunes dans la lutte contre les agents pathogènes, par exemple dans la culture des fruits et légumes.
RépondreSupprimerLa pression politique visant à rendre les mesures phytosanitaires encore plus sûres et à réduire davantage l'utilisation des produits dans le cadre de la stratégie européenne « De la ferme à la table » ne doit donc pas conduire à la disparition d'autres substances actives et groupes de substances actives en Allemagne et en Europe. Sinon, de nombreuses cultures risquent de ne plus être suffisamment protégées contre les maladies et les ravageurs, et des plantes telles que la pomme de terre, la vigne, le houblon, la betterave sucrière, le colza ou la fraise pourraient finir par disparaître de nos champs.
Dans le passé, des erreurs ont sans aucun doute été commises en matière de protection des végétaux. Les principes de la protection intégrée des végétaux n'ont pas été respectés partout de la même manière et, pendant longtemps, l'accent a été mis sur l'utilisation de produits chimiques de synthèse sans que leurs effets à long terme soient toujours pleinement pris en compte. Cependant, avec la prise de conscience croissante de la nécessité d'une économie durable, on recherche de plus en plus des solutions permettant de concilier les exigences économiques, écologiques et sociales. Dans le même temps, les connaissances et les possibilités techniques ont considérablement évolué. Les produits phytosanitaires modernes sont plus efficaces et ont moins d'effets secondaires indésirables que les générations précédentes de substances actives.
Compte tenu de l'évolution et de la propagation des organismes nuisibles et des défis croissants posés par le changement climatique, une protection phytosanitaire efficace reste essentielle pour garantir une production alimentaire saine, de haute qualité et en quantité suffisante. Cela nécessite une boîte à outils comprenant un large éventail d'instruments, dont une diversité suffisante de substances actives phytosanitaires modernes.
Pour produire des denrées alimentaires de haute qualité, il faut disposer d'une boîte à outils comprenant un large éventail d'instruments, parmi lesquels figurent les produits phytosanitaires modernes.
Contact : DLG e.V. • Michael Biallowons • Tél. : +49 69 24788-209 • M.Biallowons@DLG.org
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* Source : Warum wir einen modernen Pflanzenschutz brauchen
https://seppi.over-blog.com/2025/09/pourquoi-nous-avons-besoin-d-une-protection-phytosanitaire-moderne.html