Nicolas Hulscher, MPH
17 septembre 2025
Maintenant que la majorité des Américains pensent que les « vaccins » du COVID-19 ont causé des morts massives (enquête Rasmussen), le cartel du vaccin s’est articulé.
La majorité des Américains suspectent maintenant le COVID-19 « Vaccines » ont causé des morts massives
Majority of Americans Now Suspect COVID-19 "Vaccines" Caused Mass Deaths
Nicolas Hulscher, MPH
11 sept.
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Ne pouvant plus refuser les dommages, ils recourent à une nouvelle défense : l’affirmation frauduleuse selon laquelle le COVID a « sauvé des vies ». Ce point de discussion est conçu pour passer outre aux preuves et faire taire la responsabilité. Mais elle s'effondre sous contrôle. Un nouvel article à comité de lecture, Une évaluation étape par étape de la revendication selon laquelle les vaccins COVID-19 ont sauvé des millions de vies, montre en détail pourquoi cette affirmation est scientifiquement sans fondement et fabriquée par tromperie :
Étape 1 - L'escroquerie de modélisation
Le cœur de la réclamation « millions sauvés » réside dans des modèles informatiques, pas de preuves observées. L'audition du Sénat a même cité un billet de blog du Commonwealth (Dec 2022) affirmant que 3,2 millions de décès américains ont été évités. Mais ce n'était pas le seul.
Le document passe en revue plusieurs études très médiatisées :
Watson et al. (2022, Lancet Infectious Diseases)): projeté 14-20 millions de vies dans le monde au cours de la première année, sur la base d'hypothèses d'un risque élevé de blocage des infections et de mortalité sans vaccination.
Meslé et al. (2021, Eurosurveillance)): on estime à 470 000 vies sauvées en Europe, ignorant à la fois l'immunité naturelle et les options de traitement précoce.
Commonwealth Fund (2022 blog et mises à jour) : a fait état de morts massives aux États-Unis évitées, avec peu de transparence méthodologique.
Sur l'ensemble, les problèmes étaient les mêmes :
Hypothèses empilées sur les hypothèses (taux fixes de létalité des infections, pas de décroissance, vaccins cessent de se propager).
FécAREmisme contrefactuel : « ce qui se serait passé sans vaccins » projeté avec des initiales gonflées.
Dommages exclus : aucun décès ou effet indésirable n'a jamais été pris en compte par la vaccination.
Les auteurs concluent : ces nombres « sauvés » sont des constructions politiques et des simulations conçues pour créer l'illusion de l'avantage.
Étape 2 - Le mensonge « Stop the Spread » était l'intrant de base
Les nombres « Vivantes économisées » ont dû supposer que les vaccins ont arrêté la propagation. Le Fonds du Commonwealth, Watson, Meslé - tous ont explicitement traité la vaccination comme la prévention des chaînes d'infection, ce qui signifie que chaque jab aurait rompu des liens qui auraient conduit à des hospitalisations et à des décès.
Mais la réalité est indéniable : les coups de fruits n’ont jamais empêché l’infection ou la transmission. Les cas de rupture sont apparus dans les semaines suivant le déploiement et, en 2022, les populations les plus vaccinées et les plus stimulées ont conduit les grandes vagues.
Cela signifie que le fondement même des modèles « épargne » - blocage de la transmission durable - n'a jamais été réel. Le math a été construit sur un mensonge.
Étape 3 - Une preuve zéro qu'ils ont empêché les décès
Une fois qu’il était indéniable que les vaccins n’arrêtaient pas l’infection, le cartel a changé : « D’accord, mais ils ont quand même évité des millions de décès dus à des maladies graves. » C'est là que le papier s'enfonce dans les preuves:
Essais randomisés : Les ECR Pfizer et Moderna n'ont pas été alimentés pour démontrer le bénéfice de la mortalité. Les données de Pfizer à six mois ont montré plus de décès dans le bras vaccinal (15 vs. 14). Aucune preuve de décès n'a été évitée.
Études d'observation: Les études israéliennes du NEJM et des rapports similaires étaient méthodologiquement défectueuses. L'analyse de probabilité conditionnelle du document a montré que la réduction apparente des résultats sévères n'était qu'un artefact de la prévention des infections à courte durée de vie, et non une protection indépendante contre la mort.
Tableau de bord : Les tableaux de bord nationaux de la santé ont été largement cités pour «prouver» moins de décès parmi les personnes vaccinées. Mais ils ont présenté des comptages bruts et non ajustés. Lorsque des contrôles appropriés ont été appliqués, le bénéfice de la mortalité supposée a disparu, parfois même en reculant.
Les auteurs montrent clairement qu'il n'existe aucune preuve empirique que les vaccins aient permis d'éviter les décès.
Étape 4 - Comment le mythe « millions sauvé » a été fabriqué
Si les preuves de « millions sauvés » étaient aussi faibles, comment est-ce devenu l'histoire officielle ? L'étude montre qu'il ne s'agissait pas d'un accident - il a été fabriqué et appliqué par des fonctionnaires, des institutions et des médias:
Astuces méthodologiques : Des études ont été conçues pour flatter les vaccins - coupant le suivi avant de paraître caduques, classer à tort les décès dus au vaccin comme « non vaccinés », et ignorant complètement les événements indésirables.
Motif des immergés dans l'infection ont été vendus comme preuve permanente de la prévention du décès.
Rendementinterprétation: Le nombre de tableaux de bord bruts était traité comme un fait scientifique, même s'ils ignoraient l'âge, les comorbidités et les différences de risque.
Censure : Les scientifiques qui ont émis des alarmes ont été réduits au silence, déplaqués ou étalés comme des « informations erronées ».
Grâce à ces tactiques, une affirmation fragile et axée sur l'hypothèse a été transformée en un consensus frauduleux - répété lors d'auditions du Sénat, de communiqués de presse du Gouvernement et de sondes médiatiques comme s'il était incontestable.
Conclusion
La réclamation « des millions de vies sauvées » est la dégressivité frauduleuse de l'entente sur les vaccins. Il s'effondre quand vous :
Voir les modèles (Watson, Meslé, Commonwealth Fund) sont spéculatifs, hypothèses et partials.
Reconnaissons que le blocage des infections sur lequel ils comptaient n'était pas basé sur la réalité.
Notez que les essais, les études et les tableaux de bord ne présentent aucun bénéfice indépendant en matière de mortalité.
Comprenez que le récit a été fabriqué par parti pris, fausse déclaration et censure.
Ce n'est pas de la science. C'est de la propagande. Et les Américains ne l'achètent plus.
*
70 articles ci-dessous
Grâce aux nano particules d'oxyde de graphène* injectées le corps est dévoyé, ce ne sont plus votre cerveau qui commande mais les messages envoyés vers VOS nano particules qui circulent dans VOTRE sang via VOTRE téléphone portable qui se charge de la transition. VOTRE corps ne vous appartient plus ! VOUS recevez des ordres: VOUS les exécutez ! "Roulez à gauche ! Roulez à gauche ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Sautez par la fenêtre ! Sautez par la fenêtre !"
RépondreSupprimerET VOUS LE FEREZ !
* Ces nano particules d'oxyde de graphène ont été découvertes dès leurs sorties de laboratoires nazis par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables.
1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus (actifs - radioactifs - ou inactifs depuis des mois !!), nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules métalliques qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
Public Health Gone Awry: Dose de naissance du vaccin contre l'hépatite B (carrés de l'IOM en l'absence de bonnes données vaccinales)
RépondreSupprimer3 de mes vieux postes concernant l'hépatite B et les risques et avantages réels du vaccin
Meryl Nass
18 septembre 2025
Public Health Gone Awry: Dose de naissance du vaccin contre l'hépatite B (carrés de l'IOM en l'absence de bonnes données vaccinales)
L'hépatite B est une maladie grave. Il est très répandu dans de nombreux pays d'Asie (près de 10 % des Chinois ont parlé de la maladie en 1992), mais heureusement est de faible prévalence aux États-Unis. Selon les CDC, le taux d'incidence global des États-Unis pour 2013 était de 1,0 cas pour 100 000 habitants. Après ajustement pour tenir compte de la sous-évaluation et de la sous-déclaration, environ 19 764 cas d'hépatite B aigus se sont produits aux États-Unis en 2013.
L'hépatite B est due à un virus transmis par sexe, à la transmission verticale de la mère au nouveau-né, à partir de produits sanguins et de l'abus de drogues iv principalement. Il n'y a pas de transmission occasionnelle. Les graphiques ci-dessous montrent que les taux de maladie dans tous les groupes d'âge étaient en baisse avant même la recommandation de vaccin contre l'hépatite B pour les enfants sans facteurs de risque, à la fin de 1991.
Les cas d'hépatite B aigus chez les enfants sont aujourd'hui extraordinairement bas : selon les CDC, ils sont passés de 1,2 cas pour 100 000 habitants en 1990 à 0,02 cas pour 100 000 habitants en 2007 ou un nouveau cas aigu pour 5 millions d'enfants par an. (Le même rapport des CDC note qu'il y a eu 87 cas périnatals ont été signalés dans 22 États en 2007, soit une incidence plus élevée. Je suppose que les cas périnatals ont été détectés par le biais d'un dépistage maternel, alors que l'estimation précédente était dérivée de nouveaux cas cliniques chez les enfants plus âgés.)
La réduction de l'incidence des maladies est fantastique. La recommandation des CDC selon laquelle toutes les femmes enceintes doivent faire l'objet d'un dépistage de l'hépatite B en 1988, et qu'elles et leurs nouveau-nés soient traitées, est probablement la principale raison de la diminution du nombre de cas de pédiatre et de jeunes adultes.
Mais les CDC ne se sont pas arrêtés là. Les CDC ont formulé des recommandations par étapes pour la vaccination contre l'hépatite B pour tous les enfants (qui étaient en âge à la plus faible risque d'hépatite B) au cours des années 1990 et ont spécifié une dose à la naissance pour tous les nouveau-nés en 2002, même si le risque pour les nouveau-nés atteints d'hépatite B était proche de zéro, même à l'époque. (Une controverse bien médiatisée en France sur la sclérose en plaques induite par le vaccin contre l'hépatite B au milieu des années 1990 avait ici affecté l'acceptation de la vaccination. Le problème de la sclérose en plaques n'a jamais été complètement résolu, tandis que la dose de naissance du vaccin contre l'hépatite B pourrait avoir contribué à une plus grande absorption vaccinale aux États-Unis, selon le CDC.)
RépondreSupprimerQue font les autres pays à faible prévalence de la maladie en ce qui concerne la vaccination des nouveau-nés, une stratégie qui n'aide que ceux des familles infectées par l'hépatite B? Les données sur la politique vaccinale de tous les pays d’Europe peuvent être consultées sur le site web du CEPCM.
Seuls 6 des 31 pays d'Europe recommandent une dose de vaccin contre l'hépatite B pour les nouveau-nés dont les mères sont hypopathes-B : Bulgarie, Lituanie, Pologne, Portugal, Roumanie et Espagne.
Incidence de l'hépatite B, par groupe d'âge et par année --- États-Unis, 1990--2007
Incidence de l'hépatite B, par groupe d'âge et par année --- États-Unis, 1990--2007
- voir graph sur site -
:: Pour 100 000 habitants.
Incidence de l'hépatite B, par sexe et par année --- États-Unis, 1990--2007
Incidence de l'hépatite B, par sexe et par année --- États-Unis, 1990--2007
:: Pour 100 000 habitants.
Les barres indiquent le taux pour 100 000 (axe des y-axi de gauche) par sexe; la ligne est le rapport (axe des ordonnées à droite) du taux d'incidence chez les hommes par rapport à celui des femmes.
Mais voici le truc :
RépondreSupprimerLes décisions de santé publique doivent trouver un équilibre entre les risques et les avantages pour l'ensemble de la population lorsqu'il s'agit de définir une politique. Dans le cas des vaccinations, il peut être diaboliquement difficile de déterminer la causalité vaccinale: les taux réels, les types et la sévérité des effets indésirables restent discutables, car ils peuvent être retardés de semaines, de mois, voire de jours après une vaccination. (Les réactions locales, rarement sévères, telles qu'une rougeur, un gonflement ou une sensibilité au site d'injection, sont faciles à affecter à un vaccin, alors que les réactions systémiques ne le sont pas.)
Lorsqu'une maladie est fréquente dans la population, afin de réduire son incidence par le biais de vaccinations, on peut accepter un certain degré d'événements indésirables (estimés) dus aux vaccinations.
Lorsqu'une maladie est rare, mais que vous vaccinez toujours le même nombre de personnes, le nombre d'événements indésirables induits par le vaccin ne diminue pas - mais le bénéfice de votre population est réduit, puisque vous prévoyez moins de cas. Compte tenu de la réduction du bénéfice, les effets indésirables peuvent ne plus être contrebalancés par le bénéfice de la population. Mais les professionnels de la santé publique des CDC ont-ils réévalué leur politique de vaccination contre l'hépatite B à la lumière des taux actuels de maladie ?
Il y a un gros problème au cœur des politiques de vaccination: il n'existe tout simplement pas de données fiables sur les effets indésirables. Dans le cas spécifique du vaccin contre l'hépatite B, un nouveau-né est vacciné le premier jour de sa vie, et comme les parents n'ont pas d'expérience préalable avec ce bébé, il est particulièrement difficile d'identifier un effet indésirable systémique à la dose initiale de vaccin.
Une revue «non systématique» a rapporté: «Après avoir examiné la littérature, nous avons observé que les complications observées après la vaccination contre l'hépatite B sont le syndrome de mort subite du nourrisson, la sclérose en plaques, le syndrome de fatigue chronique, le purpura thrombopénique idiopathique, la vascularite, la névrite optique, l'anaphylaxie, le lupus érythémateux disséminé, le lichen plan et le trouble neuromusculaire.» Observé. Non mesuré. Qui sait ce que cela signifie ?
The L'étiquette du vaccin Engerix-B de Glaxo est vague en ce qui concerne la causalité et la sévérité des événements indésirables. Une fiche d'information de l'OMS sur les effets indésirables de l'hépatite B est tout aussi troublante, car la littérature qu'elle cite est pleine de contradictions. L'agitation manuelle par l'OMS pour rejeter les résultats indésirables n'est pas convaincante, lorsqu'une politique de vaccination appropriée pour réduire la transmission de l'hépatite B aux nouveau-nés dans les zones à faible ressource du monde (zones sans dépistage assuré pendant la grossesse) a été imposée aux États-Unis à notre population de mères et de nourrissons hautement dépistée.
RépondreSupprimerJe sais que ce que j'écris semble difficile à croire. Comment les vaccins pourraient-ils être autorisés par la FDA sans de bonnes données sur les effets indésirables? Mais le fait est que lorsqu'ils sont sous licence, toutes les données évaluées par la FDA ont été générées par le fabricant. Par la suite, il n'est généralement pas utile pour le fabricant de rechercher activement des preuves de dommages.
Le gouvernement américain demande l'avis de l'Institut de médecine (fondé en 1970 et partie de l'Académie nationale des sciences, agréée par le Congrès en 1863) sur les questions de santé publique.
En 2012, un institut de médecine qui avait été chargé d'étudier la littérature sur les effets indésirables de l'hépatite B et d'autres vaccins a publié ce rapport :
Effets indésirables des vaccins : preuves et causalité
Rédacteurs
RépondreSupprimerComité chargé d'examiner les effets indésirables des vaccins; Institut de médecine; Stratton K, Ford A, Rusch E, Clayton EW, éditeurs. Washington (DC): National Academies Press (États-Unis); 2012.
Les conclusions du rapport sont les suivantes:
La commission reconnaît que certains lecteurs peuvent s'inquiéter de deux aspects du rapport. Tout d'abord, la commission ne donne pas de conclusions sur la fréquence à laquelle les événements indésirables du vaccin se produisent. Deuxièmement, la commission a conclu, pour la plupart des analyses, que les éléments de preuve étaient insuffisants pour accepter ou rejeter une relation de cause à effet et certains lecteurs pourraient interpréter le langage de la commission de manières différentes et inexactes. Le Comité formule des observations finales pour examiner ces deux questions.
Ce rapport n'a pas pour objet de répondre à la question « Les vaccins sont-ils sûrs? ». La commission n'a pas été chargée de répondre à cette question. D'autres organismes prennent cette décision et contribuent à la surveillance continue de la sécurité, y compris les organismes gouvernementaux, les prestataires de soins et l'industrie, car ils déterminent les avantages et les risques de la commercialisation d'un produit. À tous les niveaux, la détermination des politiques de l'utilisation des vaccins nécessite un équilibre entre les risques et les bénéfices. Comme indiqué au chapitre 1 et à la préface, c'est-à-dire en dehors des limites de la mission de ce comité. Il convient également de noter que lorsque le comité a trouvé des preuves d'un lien de causalité, il ne tire pas de conclusions sur le taux ou l'incidence de ces effets négatifs.
Il est difficile de déterminer le taux d'événements indésirables spécifiques après la vaccination, dans la population générale ou dans un sous-groupe de celle-ci. Il serait possible, par exemple, d'estimer un taux de survenue d'un effet indésirable spécifique dans une population vaccinée ou un sous-groupe d'intérêt sensible. Cela pourrait être fait en utilisant un risque relatif récapitulatif ou une différence de risque absolu (par exemple, estimé à partir d'un ensemble de rapports cohérents examinés par le comité) s'il y avait d'importantes études de population sur la survenue de l'événement indésirable chez des individus non vaccinés (par exemple, dans la population générale ou les sous-groupes d'intérêt sensibles) qui ne diffèrent pas substantiellement de ceux vaccinés sur tout facteur de confusion connu et important (par exemple, l'âge et l'exposition à d'autres médicaments ou autres médicaments). Aucune de ces conditions préalables n'est pleinement remplie pour les événements indésirables examinés dans le présent rapport.
La commission note également ici que de grandes études épidémiologiques qui ne signalent aucun cas d'événement indésirable d'intérêt pour les participants à l'étude vaccinées, si elles sont incluses dans nos analyses, soulèvent des préoccupations particulières. Si au moins certains cas de l'événement indésirable se sont produits dans la population de comparaison non vaccinée d'une étude, une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 95 % (IC) pour le risque relatif ou la différence de risque absolu de l'étude pourrait être estimée, mais l'on ne pourrait pas exclure un risque potentiel accru à moins que le vaccin ne soit significativement protecteur contre cet effet indésirable particulier. En outre, l'inclusion de telles études peut avoir exacerbé les problèmes avec les biais de détection, à moins que des précautions ne soient prises pour assurer une surveillance égale de l'événement indésirable dans les populations non vaccinées et vaccinées comparées...
RépondreSupprimerDonc voilà. En l'absence de bonnes données, il est difficile de prendre de bonnes décisions en matière de santé publique, mais elles sont néanmoins prises, et la prise de décision est fondée sur la population, indépendamment du profil bénéfice risque unique de tout individu.
Mais pour un individu, vous pouvez faire une évaluation qui inclut vos facteurs de risque pour la maladie, l'efficacité du vaccin (très bonne pour le vaccin contre l'hépatite B, bien que la durée de la protection soit incertaine) et voir comment cela équilibre le degré de risque (inconnu) de la vaccination. Si vous êtes plus que le risque innalimale de la maladie, incluez un facteur pour les risques considérables inhérents à la maladie, si vous la développez en l'absence de vaccination. Caveat emptor.
Dimanche 26 avril 2015
Pourquoi vaccineriez-vous un nouveau-né contre l'hépatite B ?
Mon grand-père maternel est mort en 1968 de ce qui était presque certainement une infection fulminante de l'hépatite B (construisant une insuffisance hépatique rapide, survenant dans seulement 1 % des cas aigus). Il l'a probablement acquise en travaillant à temps partiel dans une charrue, en trancheant de la viande. À l'école secondaire quelques années plus tard, j'ai appris que les bouchers avaient un risque accru. Vous obtenez l'hépatite B du sang (aiguilletage, aiguilles) et le sexe. Et très rarement à cause d'activités où le sang d'une personne infectée peut contaminer une nouvelle coupure. Un nouveau-né peut aussi l'attraper de sa mère.
Quand j'étais stagiaire, j'ai traité un jeune prisonnier qui avait été un toxicomane intraveineux et avait à la fois une endocardite bactérienne avec une valve mitrale aigue et l'hépatite B active. Nous l'avons appris quand une infirmière a eu un bâtonnet. Sa terrible insuffisance cardiaque a conduit à des décharges pulmonaires sanglantes sur nous tous. Nous avons eu la chance de le garder en vie, en lutte pour lui toute la nuit, jusqu'à ce qu'il ait une opération pour un remplacement de valve le lendemain.
RépondreSupprimerSon équipe de traitement s'est vu offrir le nouveau vaccin contre l'hépatite B, élaboré à partir de sang poolé (qui n'est plus utilisé) et d'immunoglobuline de l'hépatite B (également fabriquée à partir de sang poolé, encore utilisé occasionnellement). J'ai accepté les deux. Après tout, je pourrais avoir une prédisposition génétique à l'Hépatite B fulminante. J'ai même payé de l'argent pour le vaccin. J'ai pesé le bénéfice et le risque, et le vaccin a gagné.
Nous sommes en 2015 et j'attends des petits-enfants jumeaux, un garçon et une fille, en juillet. Si un projet de loi est adopté par la Maison du Vermont (il a déjà été adopté par le Sénat), ils recevront tous deux une dose de vaccin contre l'hépatite B le jour de la naissance... s'ils espèrent fréquenter les garderies, ou n'importe quelle école publique ou privée dans le Vermont.
Puisque nous ne nous attendons pas à ce qu'ils utilisent une trancheuse de viande, aient des rapports sexuels ou jouent avec des aiguilles sales, quelle pourrait être la raison de la vaccination à cet âge? Toutes les mamans sont examinées (taux de dépistage à 99 % dans le New Hampshire pour les femmes enceintes), de sorte qu'une mère infectée est peu susceptible de glisser à travers les fissures. Une mère et son nouveau-né infectés ont besoin non seulement du vaccin, mais aussi de l'immunoglobuline, et peut-être d'un médicament antiviral. La vaccination de tous les bébés ne permet pas un traitement adéquat à ceux qui en ont vraiment besoin.
Lorsque de nouveaux vaccins contre l'hépatite B sont devenus disponibles, ils n'ont été recommandés que pour les personnes à haut risque. Mais de nombreuses personnes à haut risque n'ont pas choisi d'être vaccinées.
RépondreSupprimerIl a donc été décidé de vacciner les nourrissons. Les nourrissons peuvent être à risque infime, mais ils finiront par atteindre un âge où leur risque augmente. Ils sont captifs. Les nourrissons ne peuvent pas dire "non" à un vaccin, comme leurs parents le peuvent, et le font. Il est logique, je suppose, si votre objectif est de réduire le nombre de cas en utilisant la route la plus facilement imposée. Cela a un sens au niveau de la population. Il est logique qu'il n'y ait pratiquement aucun effet indésirable du vaccin.
Mais que se passe-t-il s'il y a des effets indésirables ? Les bébés ne peuvent pas vous dire s'ils ressentent un effet indésirable. Que se passe-t-il si la dose de naissance contribue aux problèmes neurologiques de l'enfance plus tard chez les personnes sensibles?
Lorsque votre nouveau-né est vacciné le jour de la naissance, vous ne savez pas à quoi cet enfant aurait pu être, sans être vacciné. Vous ne pouvez pas comparer "avant" et "après". Vous ne pouvez pas facilement déterminer quel est l'effet indésirable de cette dernière première dose de vaccin. Un de mes collègues, qui avait accès à de grandes quantités de données non publiées sur ce vaccin en tant qu'expert pour le gouvernement français, a écrit sur la difficulté de reconnaître et de comprendre les effets indésirables du vaccin, alors que tant d'informations importantes n'ont jamais été publiées.
Ci-dessous, le CDC cartographie la chronologie du retournement de sa mission de 20 ans de son programme de vaccination contre l'hépatite B, des recommandations pour ceux qui en avaient vraiment besoin, à ceux qui ne le font clairement pas :
- voir cadre sur site -
Tableau 1
Avant même que les CDC n'aient recommandé que tous les bébés soient vaccinés, en 1990, il y avait moins de 2 nouveaux cas d'hépatite B pour 100 000 par an, chez les enfants américains de moins de 15 ans. D'après les CDC :
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Figure 1
Nous vaccinons 4 millions de nouveau-nés chaque année pour prévenir une maladie qui survient chez moins de 25 enfants âgés de 0 à 12 mois chaque année. En fait, la grande majorité des enfants vaccinés sont à risque zéro de la maladie. Selon le CDC, parmi tous les enfants américains âgés de 0 à 19 ans, il n'y avait en 2002 que 3 nouveaux cas par million d'enfants par an. Mais il y a peut-être beaucoup moins de cas que ce nombre. En UpToDate2007, l'incidence de l'hépatite B chez les enfants de moins de 15 ans était tombée à 1 sur 5 millions par an. En outre, UpToDate nous dit : « La majorité des enfants atteints d'infection chronique par le VHB sont des immigrants, ont des parents immigrés ou sont exposés par d'autres contacts familiaux ». Et la majorité des nouveaux cas dans l'enfance sont des enfants qui ne naissent pas aux États-Unis.
L'objectif de santé publique, on peut supposer, est de faire en sorte que les enfants soient à l'abri des enfants lorsqu'ils deviennent sexuellement actifs ou à risque à cause d'aiguilles. Pourtant, une étude des CDC a montré que la moitié des enfants vaccinés à la naissance, avec 3 doses, ont perdu l'immunité après 15 ans.
Une méta-analyse de Cochrane a montré que « la prévalence de la séroconversion anti-HBs par vaccination rapide (0, 1, et 2 mois) était significativement inférieure à celle de la vaccination standard (0, 1, et 6 mois). Si l'administration de la troisième dose de vaccin contre l'hépatite B entraîne plus tard une meilleure immunité, il est probable que donner les 2 premières injections plus tard améliorerait l'immunité. Deux études (ici et ici) ont montré des taux d'anticorps anti-hépatite B non détectables 6 à 10 ans plus tard chez près de 50 % des enfants qui ont été vaccinés à la naissance, bien que la plupart aient montré des preuves de mémoire immunitaire lorsqu'on a reçu une dose de rappel. Mais il serait préférable d'avoir des taux d'anticorps persistants, en plus des lymphocytes immunitaires, si les enfants vaccinés étaient par la suite exposés au virus de l'hépatite B. Il serait probable que cela serait mieux réalisé en lançant des vaccins chez les enfants à faible risque à un âge plus âgé, ou pas du tout, comme le font de nombreux autres pays.
La vaccination à la naissance est illogique pour les bébés à faible risque, si vous cherchez à maintenir l'immunité jusqu'à l'adolescence et à l'âge adulte. Pour cela, ils doivent être vaccinés plus tard.
RépondreSupprimerMISE À JOUR: L'administration de la dose de vaccin contre l'hépatite B le jour de la naissance d'un enfant est-il atteint, à des enfants dont la mère est négative et n'a pas de facteurs de risque, une procédure standard dans d'autres pays? Bien sûr que non. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies dresse la liste du programme de vaccination de chacun des pays d'Europe. Seuls 5 des 31 pays européens (Estonie, Lituanie, Pologne, Portugal et Roumanie) recommandent une vaccination contre l'hépatite B, même à la naissance, même à l'égard des bébés à faible risque.
En l'absence d'une mère infectée (moins de 0,5 % des nouvelles mamans), il n'a aucun sens scientifique de vacciner chaque bébé le premier jour de sa vie. Et parce que les bébés ne peuvent pas se propager un virus entre eux (il n'y a pas de propagation orale-fécale pour ce type de virus de l'hépatite), vous ne pouvez pas justifier la vaccination de ceux qui présentent un risque extrêmement faible de la maladie pour protéger les autres enfants.
MISE À JOUR: La seule justification juridique et éthique possible d'un mandat est de protéger le public: dans ce cas, d'autres enfants. Sinon, des lois seraient-elles promulguées pour empêcher les enfants non infectés mais non vaccinés d'aller à l'école? (Rappelez-vous que les enfants infectés ne sont pas empêchés d'aller à l'école) Étant donné que le vaccin contre l'hépatite B ne répond pas à cette norme, il semble que la protection principale offerte par le vaccin contre l'hépatite B soit aux bénéfices des fabricants de vaccins.
Samedi 2 mars 2019
Vaccins pour enfants soumis à juste titre
Meryl Nass, MD
3 mars 2019
Seize vaccins différents sont recommandés pour tous les enfants américains par le CDC. Le programme d'administration de doses multiples de chacune d'elles peut être trouvé ici.
Trois d'entre eux sont utilisés pour des maladies ont été anéantis, et il y a moins d'une chance sur 50 millions qu'un enfant aux États-Unis pourrait être exposé à ces maladies.
Ces maladies sont la polio, la rubéole et la diphtérie.
RépondreSupprimerDeux autres vaccins sont destinés à des maladies qui ne sont pas transmises entre les enfants : le tétanos et l'hépatite B. Ils ne peuvent pas être propagés par un contact occasionnel.
Le programme de vaccination contre les hommes Un million d'enfants doivent être vaccinés pour prévenir un cas de maladie.
Pourtant, la plupart des États ont demandé que les enfants reçoivent ces vaccins pour aller à l'école. La justification de déni d'une éducation aux enfants qui ne reçoivent pas ces six vaccins - l'affirmation selon laquelle ils mettraient en danger d'autres enfants susceptibles d'être sensibles aux maladies - est fausse. Alors pourquoi sont-elles nécessaires ?
Et quelle est la poussée à donner à tous les adolescents gardasil ? Il est nécessaire d'aller à l'école à Rhode Island, en Virginie et à DC. Le gouverneur Perry a essayé d'ajouter Gardasil par fiat au programme de l'enfance du Texas, mais les Dems ont arrêté cela, et ses connexions Merck ont été exposées. Les enfants répandent-ils vraiment le VPH à l'école ? La Floride essaie de l'ajouter cette saison. 180 dollars/dose, 3 doses, dans le monde, c'est un blockbuster de 2 milliards par an. Pourtant, cela peut provoquer une insuffisance ovarienne, des POTS, des troubles neurologiques et des fausses couches, mais cela en vaut vraiment la peine, alors que vous sautez quelques sèmex papa ici et là, n'est-ce pas ?
NON Vous devez encore obtenir vos frottis de PAP malgré vos vaccins, alors que personne ne sait à quel point le vaccin est efficace pour prévenir les cancers. Rappelez-vous, il y a plus de 100 souches d'HPV, mais chaque vaccin ne contient que des antigènes contre 9 ou moins. Vous avez donc encore besoin de préservatifs, ainsi que de frottis PAP.
Polio : Le dernier cas de poliomyélite aux États-Unis en raison du type « sauvage » ou de la poliomyélite naturelle date de 1979. Depuis lors, plusieurs affaires ont été introduites aux États-Unis depuis l'extérieur. La dernière fois que cela s'est produit, c'était en 1993, selon le CDC. Au cours des 20 dernières années, la poignée de cas de poliomyélite qui se sont produits aux États-Unis sont dus à des infections à partir de virus dérivés de vaccins antipoliomyélitiques vivants.
RépondreSupprimerPour cette raison, les enfants américains ont cessé de recevoir des vaccins antipoliomyélitiques vivants et reçoivent maintenant un vaccin antipoliomyélitique ou inactivé. Mais s’ils ne quittent pas les États-Unis, la probabilité d’être exposée à la polio est pratiquement nulle. Pourquoi doivent-ils avoir quatre doses de vaccin contre la polio et de rappels s'ils se rendent dans un pays où la polio persiste? La poliomyélite naturelle de type sauvage ne s'est produite que dans seulement 3 pays en 2016-7, mais la polio dérivée de la souche vaccinale a été identifiée dans 15 pays, selon l'OMS.
Rubéole: Sept cas ont été signalés aux États-Unis en 2017. Selon le CDC, "Aujourd'hui, moins de 10 personnes aux États-Unis ont signalé avoir des rubéoles chaque année. Depuis 2012, tous les cas de rubéole ont prouvé qu'ils étaient infectés lorsqu'ils vivaient ou voyageaient en dehors des États-Unis."
Diphtérie : C'est la troisième maladie qui a été anéantie aux États-Unis. "Au cours de la dernière décennie, moins de cinq cas de diphtérie aux États-Unis ont été signalés aux CDC."
Pourtant, les enfants américains reçoivent six doses de vaccin contre la diphtérie à l'âge de 12 ans, 5 à partir du vaccin DTaP et 1 du vaccin Tdap [vaccins diphtérie, tétanique et coquelucheux.
Hépatite B : Il s'agit d'une maladie qui ne survient pratiquement jamais chez les jeunes enfants, à moins que leurs parents n'aient une hépatite B transmissible. 31 nouveaux cas ont été signalés chez les bébés de moins de 2 ans en 2017 aux États-Unis. Les CDC répertoriont les sources d'infection de l'hépatite B, qui impliquent une activité sexuelle ou un contact entre le sang et le sang, le plus souvent à partir de l'utilisation d'aiguilles sales:
"L'hépatite B se propage lorsque le sang, le sperme ou un autre liquide corporel infecté par le virus de l'hépatite B pénètre dans le corps d'une personne qui n'est pas infectée. Les personnes peuvent être infectées par le virus par:
· Naissance (un bébé dont la mère est infectée peut être infecté à la naissance ou après cette naissance)
RépondreSupprimer· Partage d'articles tels que des rasoirs ou des brosses à dents avec une personne infectée
- · Contact avec le sang ou les plaies ouvertes d'une personne infectée
· Sexe avec un partenaire infecté
· Partage d'aiguilles, de seringues ou d'autres équipements d'injection de médicaments
- Exposition au sang provenant de piqûres d'aiguilles ou d'autres instruments pointus"
Moins de 1 % des parents américains sont contagieux pour l'hépatite B, et les femmes enceintes recevant des soins prénatals sont universellement testées pour l'hépatite B. Il est toutefois recommandé à tous les nouveau-nés aux États-Unis de recevoir le vaccin contre l'hépatite B le premier jour de la vie, que leurs parents soient infectés ou contagieux.
Il n'y a tout simplement aucune raison de délivrer un any vaccin à un nouveau-né le premier jour de sa vie, souvent quelques minutes après la naissance, et avant que vous en sachiez beaucoup sur votre enfant. Pourquoi soumettre un système immunitaire inconnu et extrêmement immature à des substances toxiques inutiles, qui incluent, en plus de l'antigène de surface de l'hépatite B, des protéines de levure, de l'aluminium et du formaldéhyde? Il n'y a aucune raison médicale ou de santé publique d'accorder aux nouveau-nés qui ne présentent aucun risque d'infection un vaccin le premier jour de la vie.
- À moins que la raison en soit à ce que tout effet indésirable du vaccin contre l'hépatite B sera très probablement considéré comme ayant été préexistant à la naissance.
- Insuffler à un nouveau-né des substances qui ne peuvent pas aider, mais qui peuvent certainement lui nuire, est la santé publique à l'envers.
Tétanos : Bien que le tétanos soit une maladie neurologique très grave causée par une bactérie qui pousse dans une plaie contaminée, il ne se propage jamais d'une personne à l'autre. Il y a environ 30 cas de tétanos par an aux États-Unis. La vaccination contre le tétanos est généralement une bonne idée. Cependant, le vaccin antitétanique ordinaire (Tetanus Toxoid Adsorbed by Sanofi) a été arrêté l'année dernière aux États-Unis. Le vaccin tétatanien n'est désormais disponible que sur le vaccin contre la diphtérie, ou sur les vaccins contre la diphtérie et la coqueluche. Pourquoi ?
Neisseria meningitidis: Il s'agit d'un type de bactéries avec au moins 12 sérotypes différents, dont six sont connus pour provoquer des épidémies. Neisseria meningitidis peut provoquer des cas graves de méningite ou de septicémie. Étonnamment, ces bactéries vivent dans le nez ou la gorge de 1 à 25 % de la population, mais la grande majorité des personnes qui abritent la bactérie ne tombent jamais malades.
RépondreSupprimerAux États-Unis, il existe un vaccin contre le méningocoque pour 4 sérotypes (A,C,W,Y) et un deuxième vaccin pour le sérotype B. Ces vaccins sont appelés Men A et Men B. Seul le vaccin Men A (A,C,W,Y) est systématiquement recommandé pour les enfants âgés de 12 et 16 ans aux États-Unis. Le vaccin Men B peut être utilisé si désiré. L'immunité n'est pas durable de l'un ou l'autre vaccin.
Au fil du temps, bien avant qu'un vaccin contre la méningite infantile de l'enfance soit disponible, les infections à la méningite de Neisseria sont devenues rares aux États-Unis, pour des raisons totalement inconnues. En 2017, il n'y a eu que 107 cas de méningite ACWY dans tous les groupes d'âge, dans l'ensemble des États-Unis - dont seulement huit cas se sont produits dans le groupe cible de 11 à 23 ans qui auraient pu être prévenus par le vaccin. Les CDC recommandent que 8 millions d'enfants reçoivent chaque année ce vaccin; il faudrait vacciner un million d'enfants pour prévenir un cas. C'est-à-dire si le vaccin est très efficace. Mais parce qu'il y a si peu de cas, son efficacité dans la population américaine reste inconnue.
Le vaccin Hommes A ne contient que 4 de sérotypes, alors qu'il existe au moins 12 sérotypes de méningite Neisseria. Des vaccins supplémentaires pourraient être recommandés à l'avenir pour couvrir des sérotypes supplémentaires. Les taux de maladie des autres sérotypes ont également chuté de façon spectaculaire, même si nous n'y vaccinons pas.
La vaccination n'empêche pas le transport de bactéries méningococciques dans le nez et la gorge. En fait, plusieurs études ont montré que les enfants vaccinés contre la méningite ont un taux de transport bactérien (nez et gorge) plus élevé que les enfants non vaccinés.
Bien que l'on ne sache pas à quel point le vaccin Hommes ACWY est utile pour les enfants, il est clair qu'il présente un risque de préjudice significatif. La marque Menactra du vaccin ACWY contient de l'anatoxine diphtérique (vaccin) et du formaldéhyde. L'étiquette Menactra note:
RépondreSupprimer"Chez les adolescents âgés de 11 à 18 ans et les adultes âgés de 18 ans à 55 ans, les EEP (événements indésirables graves) sont survenus à un taux de 1,0 % après Menactra et à un taux de 1,3 % après Menomune – A/C/Y/W-135. Chez les adolescents et les adultes, des EIG sont survenues à un taux de 1,3 % après la vaccination de rappel avec Menactra..."
C'est ce que vous devez savoir: un événement indésirable grave est vraiment très grave. La FDA lui a donné une définition spécifique : il s'agit d'un décès, d'un événement mettant en jeu le pronostic vital, d'une invalidité permanente, d'une hospitalisation ou d'une prolongation d'une hospitalisation existante. Voici ce à quoi vous pouvez vous attendre chez 1 % des enfants qui reçoivent ce vaccin. Pourquoi faisons-nous cela ?
https://merylnass.substack.com/p/public-health-gone-awry-birth-dose?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=173932553&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
L'audition de Monarez était un gros ni gros ni bourre
RépondreSupprimerLouis Conte
et Adam Garrie
18 septembre 2025
Par Louis Conte et Adam Garrie, le rapport MAHA
Le sénateur Rand Paul a demandé à l'ancienne directrice du CDC, Susan Monarez, : « Le vaccin Covid réduit-t-il l'hospitalisation pour les enfants de moins de 18 ans? »
- voir clip sur site -
Monarez répondit en souriant agréablement : « Il le peut. »
Le sénateur Paul a répondu : « Ce n’est pas le cas. Les statistiques ne sont pas concluantes et la raison en est que si peu de personnes de moins de 18 ans vont à l'hôpital [pour la Covid. Les chiffres sont extraordinairement faibles. »
Quelques instants plus tard, le sénateur Paul a demandé à Monarez : « Le vaccin Covid réduit-t-il le taux de mortalité des enfants de moins de 18 ans? »
Monarez répondit, souriant encore agréablement, « Il le peut. »
Le sénateur Paul a répondu avec stupéfaction : « C'est possible ? C'est une réponse ridicule.. »
Et c'est ainsi qu'il a été fait pour Monarez lors de l'audition du Sénat de mercredi, «Restaurer le confiance à travers la transparence radicale: passer en revue les événements récents aux centres de contrôle et de prévention et d'implications pour la santé des enfants».
Les sénateurs, pour la plupart démocrates alimentés par les grosses dollars des pharmacies, ont basculé pour les clôtures et ont été frappés. S'il y avait un certain atrocité, ce Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux Robert F. Kennedy Jr. s'était engagé, cet événement ne l'a pas révélé.
Ce n'était pas vraiment une audition du Sénat. C'était plus comme un procès d'exposition soviétique.
Mais il s'est retourné contre lui. Au lieu de jeter le doute sur la direction de Kennedy, l'audience a placé Monarez sur le devant de la scène. Son intégrité était en jeu, en particulier lorsqu'elle a échappé à des questions directes, comme elle voulait le faire.
Nous avons appris, plus ou moins, comment Monarez avait été licencié et, comme l'a souligné le sénateur Mullin, le Président des États-Unis a le droit de le faire à des personnes qui ne sont pas alignées sur ses politiques.
RépondreSupprimerMonarez a exsudé toute l'énergie d'une poupée de chou pendant ses quatre heures de « témoignage ». Fait intéressant, elle n'a jamais prêté serment.
Monarez atterira bientôt sur ses pieds quelque part sous la protection du Parti démocrate. Je peux le dire avec confiance parce que Monarez a conservé les services de Mark zaid, un avocat cher et de haut rang qui est un opposant connu du président Trump. Elle a également retenu l'avocat Abbe Lowell, un avocat qui a représenté des clients très en vue des deux côtés de l'allée. Les deux gros fusils lui chularrent l'oreille et passèrent ses notes alors qu'elle s'assiait, souriant agréablement.
Cependant, dans l'un des moments les plus étranges que j'ai jamais vus lors d'une audition au Congrès, Monarez a refusé de prononcer l'un ou l'autre de leurs noms à haute voix et ne pouvait pas se souvenir exactement quand elle l'a retenu.
La sénatrice de Floride Moody, une ancienne procureure générale, a été sidérée et atteignait des points abondants alors que Monarez ne pouvait pas et n'expliquait pas pourquoi elle refusait d'indiquer les noms de son procureur - quelque chose que son co-défendeur, Debra Houry, était prêt à le faire.
La sénatrice Banks a interrogé Monarez sur la façon dont elle en était venue à retenir le zaid. Les banques ont noté qu'il s'agissait avec force d'un attentat anti-Trump, un homme qui a manifestement besoin de classes de gestion de la colère, toujours amer à propos du président qui annule son habilitation de sécurité en mars.
Peut-être que la raison pour laquelle Monarez était si résistante au nom de zaid est qu'elle montrerait sa main : elle avait embauché quelques bouffées de taureaux pour prendre en charge les comme Trump et Kennedy.
Perdu dans tout cela, le personnel de Monarez a refusé d'avoir accès au site de sécurité du vaccin, à chaque demande faite par Kennedy et à son chercheur, en nevoyant que chaque demande faite par Kennedy et son chercheur.
Pourquoi le CDC cache-t-il toujours ou dissimule-t-il toujours l'accès aux données de sécurité des vaccins?
C'est une audition qui devrait avoir lieu, mais ce n'est pas l'audition que nous avons eue jusqu'à mercredi.
RépondreSupprimerPour m'aider à surmonter cela, mon partenaire du rapport MAHA (et co-conspirateur occasionnel) Adam Garrie a pris des notes. J'ai pris des bêtabloquants.
Monarez s'est opposé à ce que Kennedy demande l'approbation préalable des CDC pour les décisions prises par le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP). Cependant, nous n'avons trouvé aucun cas où le CDC différait de l'ACIP dans le cadre d'administrations antérieures. Quoi que les anciens membres de l'ACIP influencés par l'industrie aient voté, le CDC a approuvé.
Soudain, nous avions un directeur du CDC qui voulait l'autorité d'annuler les recommandations de l'ACIP.
Monarez a affirmé qu'elle avait été licenciée pour ne pas avoir accepté de pré-approuver les décisions de l'ACIP sans voir la science. Mais au cours de la procédure, Monarez n'a pas impressionné d'avoir une femme ayant une bonne compréhension de la science des vaccins de base; son témoignage indiquait qu'elle manquait de connaissances sur les vaccins de base pour les enfants Covid et qu'elle ne pouvait pas expliquer au sénateur Paul pourquoi le vaccin contre l'hépatite B était administré aux enfants dont les mères n'avaient pas d'hépatite B.
Kennedy a décidé de prendre la retraite des membres de l'ACIP il y a quelques mois parce qu'il craignait que ces personnes soient capturées par des intérêts de sociétés. Monarez a affirmé qu'elle n'avait pas consulté Kennedy au sujet des remplaçants de l'ACIP. Le CDC est subordonné aux décisions du HHS et de Kennedy sur les membres de l'ACIP avant que Monarez ne soit approuvé par le sénat.
Monarez a affirmé qu'elle était « détériorée » au sujet des décisions à venir de l'ACIP qui pourraient inverser les recommandations précédentes pour une pléthore de vaccins – et mettre les Américains en grave risque. Pourtant, Monarez n’a pas exprimé sa compréhension des limites des vaccins ; elle croit plutôt en bois en ce qu’elle peut faire. Compte tenu de cet état d'esprit, Monarez semblait convaincu que les précédentes itérations de l'ACIP étaient plus «honcs». Quelles preuves possède-t-elle pour le montrer ? Rien du tout.
RépondreSupprimerN'est-ce pas cher Monarez que Kennedy essaye de nettoyer l'ACIP contre le fait d'être une cabale institutionnelle de shills pour Big Pharma – et, en défendant le statu quo, elle se déclare pro-Big Pharma ?
Il n'est pas étonnant que Monarez ait rejeté l'idée que le programme de vaccination infantile actuel du CDC, avec plus de 70 jabs, doit être réévalué. De l'avis de Monarez, Moses est descendu de la montagne avec les Dix Commandements et un schéma de vaccination obligatoire de l'enfance - tous gravés dans la pierre.
Monarez a dit qu'elle était « censurée » quand Kennedy lui a donné des conseils sur la façon d'interagir avec le Congrès, mais était vague sur la conversation autour de son tir.
Un point important ici : la conversation n'a pas d'importance.
Monarez a été renvoyé par le président Trump et est toujours renvoyé par le président Trump. Elle était évasive quand on lui demandait si elle disait à Kennedy qu'elle n'était pas digne de confiance. Monarez affirme qu'elle a dit à Kennedy : « Si vous me trouvez indigne, vous pouvez me virer. »
Monarez semble être d'accord pour dire qu'on lui a demandé de violer son serment de serment, mais qu'on lui demandait de la violer.
La chose «comment» est en fait importante et si l’on va faire une telle déclaration. La réponse doit être juste là sur le bout de la langue si un supérieur vous ordonne de violer un serment. Peut-être que cette information a été perdue à Monarez, dans le même trou de lapin de mémoire où elle a oublié le nom de son avocat.
RépondreSupprimerMonarez a déclaré que Kennedy avait qualifié le CDC de l'agence fédérale la plus corrompue du monde. Et je crois que Kennedy a 100% raison. Nous vous invitons à examiner les articles que nous avons publiés ces dernières semaines sur la corruption au CDC. Tenez l'annonce de mardi de l'arrestation du Dr. Poul Thorsen, le chercheur en vaccins racistes en fuite. Thorsen est un autre exemple de corruption institutionnelle de longue date au CDC.
Monarez a affirmé que Kennedy a déclaré que les employés de la CDC tuaient des enfants sans remords, qu'ils appartenaient à des médicaments pharmaceutiques et ont forcé les gens à porter des masques comme dans une dictature. Eh bien, quand les CDC recommandent aux enfants de prendre des vaccins qui n'ont aucun bénéfice médical pour eux et que le vaccin leur donne une myocardite (parmi d'autres questions), la déclaration de Kennedy est exacte.
La question du masquage et d'autres politiques de confinement de Covid qui ont échoué à la tête du CDC et d'autres agences de santé publique fédérales est une plaie ouverte pour de nombreux Américains. Le CDC n'a pas présenté d'excuses. Monarez n'a pas parlé de ces questions.
Monarez a nié qu'elle ait refusé les demandes de Kennedy de supprimer des pages web du CDC des "bachthing people".
Le sénateur Marshall a décrit Monarez - et non Kennedy - comme le problème du CDC.
La sénatrice Husted a encouragé Monarez à cesser d'effrayer les gens et à rechercher la transparence et le choix concernant sa position sur les vaccins.
Le sénateur Mullin a suggéré qu'il existe un enregistrement de la réunion au cours de laquelle Monarez a été licencié. Les sénateurs Cassidy et Sanders ont cherché à clarifier l'existence, l'origine et la disponibilité de cet enregistrement. Cassidy a déclaré plus tard que le sénateur Mullen a déclaré aux journalistes qu'il s'était trompé au sujet de l'existence de cet enregistrement.
Qu'il ait été enregistré ou non, Monarez a été renvoyé par le président Trump. Fin de l'histoire.
RépondreSupprimerOh, j'ai oublié. La directrice adjointe du CDC, Debra Houry, qui était également «signée», était présente - nous ne savons pas pourquoi - et elle a dit peu. Houry a déclaré qu'elle ne craignait pas que des vaccins ne conduisent potentiellement à l'autisme de l'enfance et a appelé Kennedy à démissionner.
En d'autres termes, l'audition du Sénat n'a rien fait. Son seul but était d'attaquer le secrétaire Kennedy et de semer la division. Les problèmes se posent : beaucoup de sénateurs contraints d'attaquer Monarez continuent de vivre dans le monde précovide où la parole de l'establishment de la santé publique était l'Évangile. Ces journées sont terminées. Le voile a été levé sur une série de décisions des CDC qui ont échoué.
Lorsque la sénatrice Marshall a demandé à Monarez si chaque enfant devait avoir « les 70 à 80 jabs », elle a répondu : « Le calendrier des vaccins pour l’enfance a été examiné et validé par la science et les preuves. » Lorsqu'on lui a demandé si les vaccins devaient être prescrits, Monarez a déclaré que le CDC ne prescrit pas de vaccins et que le CDC avait toujours pris des décisions sur la base des données disponibles.
Mais Monarez, qui à un certain moment de l'audition n'était plus souriant, a été licencié pour ne pas avoir fourni au secrétaire Kennedy les données de sécurité des vaccins.
Pourquoi un directeur du CDC retenait-il des données s'il validait la sécurité des vaccins? La réponse est évidente - les données de sécurité des vaccins montrent qu'il y a de gros problèmes.
Le statu quo du vaccin ne fonctionne plus. Le statu quo de la santé publique n'est pas non plus.
Kennedy et Trump tentent de réparer le CDC et l'establishment de la santé publique, tout en rendant l'Amérique en bonne santé.
L'audition de mercredi n'était pas l'affrontement du Far West entre la science de l'équipe et l'anti-science d'équipe. Il s'agissait d'un essai de spectacles où le dernier bastion du statu quo de santé publique en dôme s'est rallié contre l'amélioration de la sécurité vaccinale, le choix individuel et familial, le consentement éclairé et une «science» qui cherche constamment à s'améliorer, plutôt que de rester coincé dans le passé.
RépondreSupprimerNous voulons une infrastructure de santé publique efficace, mais le vieux gardien doit s'en aller ou être licencié afin que des changements positifs puissent commencer.
Le Sénat aurait dû tenir une audience sur ce point.
https://theofficialmahareport.substack.com/p/the-monarez-hearing-was-a-big-fat?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=173927926&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Rand Paul Démantèle l'ancien chef du CDC à la sortie du Sénat brutal
RépondreSupprimerL'objectif de l'audition d'aujourd'hui était de donner une impulsion pour forcer RFK Jr. à démissionner. Mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévu.
Le renard glorieux
17 septembre 2025
Ex-CDC Directeur Dr. Susan Monarez a témoigné aujourd'hui devant la commission HELP du Sénat dans une tentative désespérée de salir le nom de RFK Jr. et de pression pour qu'il démissionne.
Mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Le sénateur Rand Paul n'était pas sur le point de laisser cela se produire. Après que Monarez a reçu quelques questions de softball de Bernie Sanders et d'autres, Paul est intervenu avec les questions difficiles.
Il a commencé avec les bases, en demandant si les vaccins contre la COVID cessent réellement la transmission.
PAUL : « Le vaccin contre la COVID empêche-t-il la transmission ? »
« Le vaccin contre la COVID peut réduire la charge virale chez les personnes qui le sont. »
PAUL : « Est-ce qu'il empêche la transmission ? »
MONARE : « Lorsque vous aurez une charge virale réduite... vous aurez une transmission réduite. »
PAUL: «Mais en d'autres termes, il n'empêche pas la transmission. Vous pouvez toujours transmettre le virus si vous avez eu le vaccin. »
Paul se tourna alors vers les enfants. Il a demandé à Monarez si le vaccin contre la COVID était indiqué chez les enfants.
Elle a répété la même phrase, à savoir que « cela peut » réduire l'hospitalisation et le décès. Mais Paul ne le laissait pas glisser.
PAUL : « Le vaccin contre la COVID réduit-t-il l’hospitalisation pour les enfants de moins de 18 ans ? »
MONARE : « C'est possible. »
Paul a ri. « Ce n’est pas le cas. Les statistiques ne sont pas concluantes. Et la raison pour laquelle vous ne pouvez pas prouver que c'est le cas est qu'il y a tellement de personnes de moins de 18 ans qui vont à l'hôpital. Les chiffres sont extraordinairement faibles. »
Lorsqu’il a insisté sur la question de savoir si les vaccins réduisent la mort chez les enfants, Monarez a de nouveau répondu : « Cela peut être le cas. »
C'est là que Paul l'a fermé. Il a souligné que les enfants sont réellement confrontés au risque, non pas au COVID, mais à la myocardite.
«Vous trouve qu'il y a un risque de myocardite, un événement important [chez les jeunes hommes et les garçons). C'est entre 6 et 8 sur 10 000. Mais c'est bien plus grand que le risque d'hospitalisation ou de décès, qui ne sont même pas mesurables parce qu'ils sont si petits ».
RépondreSupprimerDe là, Paul est passé au vaccin contre l'hépatite B. Monarez a essayé de pivoter, mais Paul ne la laissait pas tomber du crochet. Elle ne pouvait pas trouver un seul argument en faveur de donner l'Hep B le premier jour de la vie, ressemblant à un cerf dans les phares quand Paul lui a posé la question.
Paul a également exposé la vraie raison pour laquelle elle a été licenciée. Monarez a affirmé qu'elle avait résisté à la mise en fusillage de ce qu'elle a appelé « des scientifiques respectés ». Mais comme Paul l’a souligné, ces mêmes scientifiques poussaient toujours les vaccins contre la COVID pour les bébés de 6 mois.
PAUL : « Vous avez donc résisté aux personnes qui ont cette idée que le vaccin contre le COVID devrait être à six mois. C'est de cela qu'il s'agit. Vous n'avez pas résisté au licenciement des beaux scientifiques qui sont des gens de carrière et qui ne sont pas objectifs et sans polarisation.
« Vous ne licenciez pas les gens qui disent que nous devons vacciner nos enfants à l’âge de six mois. C'est vous qui refusez de tirer».
« Cette affirmation n'est donc pas à la mesure de l'expérience que j'ai vécue avec les personnes identifiées pour être licenciées. »
PAUL : « Est-ce que l'une des personnes que vous avez refusé de licencier a-t-elle cru que nous devrions changer le calendrier des vaccins et ne pas forcer les enfants de six mois à le prendre ?
« Chacun d’entre eux était inflexible, nous devrions le garder à six mois. »
RépondreSupprimerCNN a malheureusement diffusé tout l'échange pour son public, mais ils ont rapidement ouvert la couverture, expliquant aux téléspectateurs ce que Monarez MIGHT a dit après avoir gelé sous les interrogatoires de Paul. Le spin était évident.
« Paul était testé. »
«Monarez a été très calme et a essayé de répondre à ses questions.»
« Il (Paul) demandait, par exemple, l'hépatite B. Et je pense que là où elle a commencé à répondre mais a continué à être coupée, c'est qu'il y a ce risque d'avoir une hépatite B, généralement une transmission de la mère à l'enfant. Les mères peuvent être dépistées pour l'hépatite B à l'avance, mais, vous savez, parfois ces écrans, environ 10 % du temps, vous obtiendrez de faux négatifs... »
Et c'est pourquoi les gens les appellent de fausses nouvelles.
https://www.vigilantfox.com/p/rand-paul-dismantles-ex-cdc-chief?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=173863502&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Exclusif: David Geier a d'abord refusé l'accès au lien de données de sécurité des vaccins CDC. Pourquoi ?
RépondreSupprimerLe rapport MAHA
17 septembre 2025
Selon le rapport MAHA
Dans une heure à peine les États-Unis. Le Comité sénatorial de la santé, de l'éducation, du travail et des pensions (HELP), qui supervise les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), tiendra une audition sur les événements récents du CDC.
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Debra Houry
Alors que les sénateurs et les témoins font leurs derniers préparatifs, le rapport MAHA (TMR) a obtenu des informations suggérant une corruption des CDC. Plus précisément, la TMR a obtenu une partie du témoignage que l'ancien directeur adjoint du CDC pour le programme et la science, Debra Houry, devrait tenir mercredi lors de l'audience.
Houry témoignera que le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr. et le chercheur qu'il a envoyé à Atlanta ont été invités à briser le protocole CDC et à fournir un accès au lien de sécurité des vaccins (VSD), qui contient plus de vingt ans d'informations sur les blessures de vaccin, y compris les blessures causées par les vaccins Covid. Houry expliquera qu'on lui a dit de ne pas divulguer ces données – et ne l'a pas fait.
À la suite du licenciement de Susan Monarez, directrice des CDC, Houry a démissionné.
David Geier
Le chercheur envoyé par Kennedy était David Geier, embauché en mars pour diriger l'étude du HHS sur les données contenues dans le VSD.
Kennedy a expliqué il y a des mois qu'il avait contracté David Geier pour déterminer si le VSD avait été modifié. David, et son père, feu le Dr. Mark Geier, les derniers civils ont obtenu l'accès au VSD lorsqu'ils tentaient d'étudier le lien possible entre les vaccins et l'autisme.
Pourquoi Houry, probablement l'ancienne directrice des CDC, Susan Monarez, et d'autres membres du CDC ne veulent-ils pas accorder à Geier l'accès au lien de données sur la sécurité des vaccins? Et pourquoi le VSD, une base de données financée par les contribuables, a-t-il été limité à l'accès public par le CDC? De plus, quelles données se trouvent dans le VSD qui exige qu'il soit gardé comme s'il s'agissait de Fort Knox?
RépondreSupprimerCes questions sont cruciales parce qu'elles peuvent révéler des informations clés sur une culture CDC de suppression des données, de dissimulation, de rapports sélectifs et d'intimidation systémique des personnes cherchant des ensembles de données complètes. Ces révélations sont essentielles pour permettre des analyses empiriques et favoriser une meilleure compréhension par le public.
Le CDC a des antécédents d'amener des chercheurs d'autres pays, y compris le chercheur danois Poul Thorsen, dont l'arrestation a été annoncée cette semaine, pour mener des recherches sur la sécurité des vaccins à l'aide de données étrangères.
Comment la décision de travailler avec Thorsen a-t-elle évolué? Pourquoi y a-t-il toujours un problème avec les données de sécurité des vaccins américains ?
Tout au long de ses premiers mois en tant que secrétaire du HHS, Kennedy a régulièrement fait face à des demandes de données qui sont lents par les employés des CDC et insubordination de fonctionnaires du CDC. Pour une raison ou une autre, les responsables des CDC ne veulent pas que le plus important fonctionnaire de la santé publique dans le monde, le Secrétaire Kennedy, ait accès à une collecte de données dont il est légalement responsable et qu'il a autorisé, par sa position, l'accès.
La déclaration divulguée de Houry, si elle est exacte, soulève encore plus de questions sur la culture de dissimulation des données du CDC. Les différences évidentes que de nombreux CDC ont cherché à dissimuler des données font qu’il est difficile pour ces fonctionnaires de proposer qu’ils aient agi de manière responsable en refusant les ordres de Kennedy de donner accès au VSD.
Selon une source, Houry prévoit de montrer à la commission HELP ce qui suit :
«De nouveau sujets de préoccupation ont été signalés lorsque le personnel des CDC a reçu pour instruction d'avoir accès au lien de données sur la sécurité des vaccins à un fournisseur travaillant en tant qu'agent direct du Secrétaire. Un dirigeant du Haut-Commissariat, du Secrétaire, s'est rendu à Atlanta et s'est entretenu avec moi et a rencontré plusieurs hauts responsables de la CDC pendant une période de deux jours jusqu'à ce que l'on puisse parvenir à l'accès aux données, qui comprenait des informations personnellement identifiables. Alors que le personnel du CDC suivait les directives juridiques, on nous a dit à la science de l'étalon-or autour des assurances de confidentialité, et un protocole d'étude transparent, ne s'appliquait pas à ce chercheur ».
RépondreSupprimerLors de son audition au début du mois, Kennedy a déclaré que Geier n'avait pas accès aux données du vaccin. Pourquoi pas ?
Houry est un critique virulent de la part de Kennedy, écrivant dans le numéro du Washington Post du 3 septembre, « Lors de la dernière réunion du Comité consultatif des CDC sur les pratiques de la vaccination, des présentations qui n’avaient pas été examinées par l’agence, dont une qui avait fait des références sur le thimérosal. Et le document de l'agence lui-même a été extrait du site web de la CDC ».
Secrétaire Kennedy
Le secrétaire Kennedy a ordonné l'élimination du thimérosal, un conservateur à base de mercure, de tous les vaccins. Le mercure est une neurotoxine connue.
De nombreux membres de la communauté de la santé publique ont protesté contre sa décision, même s'ils affirmaient avoir retiré la neurotoxine des vaccins des années auparavant. Cependant, le journaliste d'investigation, Sharyl Attkisson, a rapporté en mars que les déclarations du gouvernement au cours des vingt dernières années indiquaient que le thimérosal dans les vaccins restait dans de nombreux vaccins, y compris des vaccins pour enfants.
Pourquoi tant de vaccinologues et d'experts de la santé publique insistent-ils pour maintenir le mercure dans les vaccins? Comment quelqu'un dans la santé publique peut-il aider à injecter une neurotoxine chez les enfants?
Dans son article d'opinion de la poste, Houry poursuit :
« Le public doit savoir que l’orientation des CDC est fondée sur la meilleure science disponible et qu’elle communique ouvertement et honnêtement, même lorsque la science évolue. Cela signifie que les données doivent être partagées rapidement, que l'incertitude est directement reconnue et que la pression politique résiste. Sans cela, la confiance s'érode - et avec elle, la capacité de sauver des vies dans les moments de crise. Ces trois questions - sur la santé, la préparation et la transparence - ne sont pas abstraites. C'est le test par lequel l'histoire nous jugera. Si la réponse est oui aux trois, l'Amérique sera une nation plus saine, plus sûre et plus forte. Sinon, la confiance continuera de s’éroder, et davantage de vies seront perdues ».
RépondreSupprimerComment ces déclarations du Dr. Une correspondance horaire avec le refus absolu du CDC de communiquer des informations VSD à une personne désignée par le secrétaire pour enquêter sur l'ensemble de données?
Qui exactement est le Dr. Houry ?
Elle est médecin urgentiste et, avant qu'elle n'ait démissionné, elle était médecin-chef et directrice adjointe du programme et de la science au CDC.
Alors, que sait-elle de la sécurité des vaccins ?
Il semble que Houry ne soit devenue une experte en matière de sécurité des vaccins que si ses opinions s'alignaient sur les intérêts pharmaceutiques. De 2014 à 2021, elle a dirigé le National Center for Injury Prevention and Control du CDC, qui se concentre sur les suicides, les surdoses et les traumatismes de l'enfance.
Où les vaccins s'intègrent-ils dans son profil ?
Daniel Jernigan, ancien directeur du National Center for Emerging and zoonotic Diseases, dont le Bureau de la sécurité de la vaccination supervise la sécurité des vaccins dans le CDC a également démissionné. Pourquoi ? Selon une source, il craignait que l'enquête menée par Geier et l'ancien président de la Défense des enfants pour la santé, L'Asseigneur, sur le lien entre les vaccins et l'autisme ne soit « scientifiquement solide », selon Reuters, un avis auquel Jernigan serait parvenu sans fournir aucune preuve à l'appui.
À quel point est-ce « sonnant scientifiquement » de restreindre d'autres investigateurs de vos données afin que des recherches puissent être menées?
RépondreSupprimerIl ressort de l'interrogation de Jernigan avec ABC News qu'il a finalement fourni les données à Geier - même si le secrétaire Kennedy a fustigé le CDC dans un échange avec le sénateur Ben Ray Lujan pour avoir refusé de fournir ces données à Geier il y a seulement deux semaines. Jernigan a exprimé son scepticisme quant à la façon dont Geier utiliserait les données, toujours sans fournir de preuves qui remettraient en question les capacités d'analyse des données de Geier.
Jernigan a admis en NPR qu'il a démissionné avec les connaissances qu'il allait être licencié. Il semble que quinze minutes de gloire - plutôt qu'une position de principe soutenue par des preuves - étaient les motivations les plus susceptibles de quitter le CDC.
Si nous étions aux États-Unis au rapport MAHA. Les sénateurs, que nous ne sommes manifestement pas, voici quelques choses que nous voudrions demander à Houry :
Avez-vous autorisé le contractant, Geier, à accéder aux données – ou avez-vous désobéi au secrétaire du HHS ?
Comment et quand avez-vous obtenu l'expertise pour comprendre la sécurité des vaccins dans la mesure où vous pouvez préjuger des résultats d'un comité consultatif qui ne s'est même pas encore produit?
Pouvez-vous fournir des preuves qui remettraient en question la capacité de Geier à analyser des données complexes ?
Pourquoi avez-vous empêché Geier d'accéder au lien de données de sécurité des vaccins?
Qu'en est-il des données du VSD qui sont si terrifiantes que le Secrétaire à la santé et aux services sociaux soit empêché de les voir?
Enfin, il faut se demander de quoi il s’agit vraiment de l’audition de mercredi.
Des sources disent à la RMC que Houry et Monarez peuvent ne pas apparaître car leur témoignage pourrait avoir un impact sur les litiges futurs.
RépondreSupprimerProjet de loi Cassidy
Qu’est-ce que le président de HELP, le sénateur Bill Cassidy, espère gagner de cette « audition » autre que d’autoriser les adversaires de Kennedy à prendre du temps d’antenne sur C-Span et d’autres réseaux pour lancer leur rate ?
Le rôle des États-Unis Le Congrès chargé de contrôler doit être respecté. Mais l’audition est-elle en l’espace de quelques heures un exemple de cet oubli, ou est-ce quelque chose de plus sinistre – la surveillance que vous a apportée Big Pharma ?
https://theofficialmahareport.substack.com/p/exclusive-david-geier-was-initially?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=173844808&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Relation entre la graisse saturée alimentaire et le cholestérol LDL
RépondreSupprimerStimulation de la production de cholestérol prouvée, encore ignorée par le céto-céréum
Peter A. McCullough, MD, MPH
18 septembre 2025
Récemment, lors d'un événement de MAHA, quelqu'un m'a interrogé sur les maladies coronariennes, le LDL-cholestérol et le régime alimentaire. Je suis tombé dans ma réponse de routine en m'appliquant la question en disant que j'essayais de garder ma graisse saturée alimentaire en dessous de 10 grammes par jour. Quelqu'un à ma table, que j'ai appris plus tard, était un expert en kéto-diètes, a dit : « ce qui n'est pas vrai » « quelles preuves avez-vous ? » Ne pas être préparé avec un chariot de manuscrits pour ce dîner élégant, j'ai laissé le conversationniste kéto-courien d'entrer plus tard consolider ma compréhension après pour ce billet.
Il existe environ 1 500 manuscrits à comité de lecture qui prouvent que l'apport de graisses saturés stimule directement la production hépatique de cholestérol. L'augmentation du cholestérol entraîne à son tour une augmentation des maladies coronariennes (CHD). Cela est largement reconnu comme un talon d'Achille potentiel à la nature extrême du régime céto. Personnellement, je pense que le bénéfice des régimes alimentaires céto est l'élimination absolue du sucre et des amidons. En conséquence, le poids est perdu, et il y a toute une série de changements métaboliques qui se produisent.
https://www.thefocalpoints.com/p/relationship-of-dietary-saturated?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=173843918&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Je pars-ballage en direct de la réunion de l'ACIP demain et vendredi sur CHD-TV.
RépondreSupprimerIl commence demain à 10 heures et 8 h 30 le vendredi. Je posterai le lien dans le am.
Meryl Nass
18 septembre 2025
Les liens pour les téléspectateurs sont les suivants:
Jeudi
https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events-cd-acip-meetings/cdc-acip-meeting-sept-18/
Vendredi
https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/events-cdc-acip-meetings/cdc-acip-meeting-sept-19/
Excusez-moi d'être parti pendant les 5 derniers jours. J'ai assisté à deux événements privés merveilleux hors de l'état d'esprit et je viens juste d'arriver à la maison. Je posterai le nouveau pont de diapositives dès que possible, mais je meSNs en ce moment.
La réunion de l'ACIP devrait être très intéressante, après que les membres de l'ACIP ont appris qu'ils avaient été saccadés par les auteurs du CDC la dernière fois. L'un des deux anciens dirigeants du CDC qui a témoigné devant la commission HELP du Sénat aujourd'hui a affirmé qu'ils devaient faire en sorte que les CDC fassent connaître l'ACIP demain parce qu'après le tournage des CDC, les petits gars ont peur de mettre leurs noms dans le domaine public. En fait, on a dit que ces petits scientifiques du CDC enlevent leurs noms des articles en publication en raison de cette peur extrême de représailles de la part du public.
Quelle façon impressionnante de regagner la confiance. Maintenant que les membres de l'ACIP sont en alerte pour les mensonges et la mauvaise direction, j'attends avec impatience de voir un vrai don scientifique et prendre demain. Alors s'il vous plaît, accordez-vous.
Je n'ai entendu l'audition qu'aujourd'hui dans la voiture, mais il semble que le Dr. L'avocat de Monarez, Mark zaid, était immédiatement assis derrière elle dans le public et lui a même transmis des notes. Son témoignage regorgeait de son ardent désir de « transparence, de science, de preuves et de données » (sur et par-dessus - l'implication de Kennedy n'était pas - sans preuve à l'appui de l'implication) mais elle n'avait pas de pépites juteuses à partager avec les sénateurs. Elle avait fui Sec. Le mécontentement de Kennedy à l'égard de ses actions envers le sénateur Cassidy (et probablement d'autres) de sorte que Kennedy lui dit qu'il ne pouvait pas lui faire confiance semble justifié. Et elle lui a dit que s'il ne pouvait pas lui faire confiance, il pouvait la virer. (C'est ce qu'elle a dit aujourd'hui sous serment.). Alors il l'a virée.
RépondreSupprimerEt puis elle a refusé de partir. Je ne vois pas où elle a une jambe sur laquelle se tenir.
Elle a également « oublié » exactement quand elle a tendu la main à Mark zaid, ou s'il lui tendait la main... ni comment elle l'a choisi comme avocat. Elle n'était pas un témoin crédible. Et. Dr. Cassidy n'était pas un bélier heureux en écoutant son témoignage.
Curieusement assez (et vous vous souvenez peut-être de moi dire à mes lecteurs tout à l'heure que j'ai eu un talent particulier pour me heurter ou être ami avec beaucoup de gens qui sont devenus connus depuis le début du COVID) - Mark zaid était l'un de nos deux principaux avocats sur le cas du vaccin contre le charbon il y a plus de 20 ans. Je connais Mark depuis 1998 et lui et sa famille ont visité mon ancienne maison et moi sommes allés chez lui. Nous n’avons pas été associés depuis au moins une douzaine d’années et je suis mort contre le travail qu’il accomplit contre le président Trump depuis un certain nombre d’années, y compris au centre de la première destitution de Trump en concoctant un cas de tissu entier. Il s'agissait de l'appel téléphonique où Trump avait tenté d'enquêter sur la menace de Biden pour ne pas contenir un milliard de dollars au gouvernement ukrainien - à moins qu'il ne l'écoutât immédiatement enquêtant sur Burisma (où son fils avait une sinéculière très rentable au bord de son conseil d'administration), et Biden s'en vanta à une réunion du CFR où il a été filmé.
Il est clair que le coupable était Biden (et peut-être aussi Hunter et Burisma), mais le zaid et d'autres ont revendiqué la tentative de Trump d'interroger les autorités ukrainiennes à ce sujet, c'est le crime réel. Parlez de projection. Il représente le reportage anonyme de l'appel téléphonique de Trump. Compte tenu du lien ténu de l'égard de la doctrine juridique solide dans cet épisode, il n'est pas étonnant que son transporteur de malversations l'ait abandonné à la suite de cette activité.
RépondreSupprimerSon habilitation de sécurité a été révoquée récemment par l'administration. Et il représente John Bolton et d'autres qui ont obtenu leur enlèvement.
Je dois dire que je me suis toujours demandé ce qu'il impliquait dans notre cas. Il était au début de la trentaine à l'époque, mais il était incroyablement sûr et connecté. Il semblait être une sorte d'agent, mais OTOH il a fait du bon travail pour nous.
Je ne sais pas qu'il a aidé le Dr. Monarez beaucoup aujourd'hui. Elle n'était pas la croquise qu'elle était en train d'être. Le docteur non plus. Houre a brainiac. Ils sont sortis comme seulement 2 piratages bureaucratiques sans rien à offrir. Ils connaissent probablement aussi peu les vaccins que le Dr. Jake Scott, qui aurait dû être si embarrassé après ses performances pitoyables et sa collection ignorante d'études de vaccins qu'il a disparu de la vie publique. Mais non, il est en retard aujourd'hui, avec un compte Twitter rétabli. Pas de honte. Je pense que ces deux filles aujourd'hui sont dans la même catégorie. Pas de honte. Pas rien. Ne rien savoir.
- voir doc sur site -
Et juste au cas où vous auriez besoin d'une confirmation, qu'est-ce que le Dr. Jake Scott republiant mais un tweet par Demetre (Satanist) Daskalakis. Vous ne pouvez vraiment pas inventer ce truc.
Et au-dessus, ce dumbkopf a la témérité pour aller après l'étude Henry Ford. Il ne sait pas que ses méandres de la science de la pièce ne couperont plus la moutarde.
Plus demain. Ne manquez pas la réunion de l’ACIP.
RépondreSupprimerhttps://merylnass.substack.com/p/li-will-be-live-blogging-the-acip?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=173902246&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Pourquoi chaque nouveau-né est-il forcé d'obtenir le dangereux vaccin contre l'hépatite B ?
RépondreSupprimerL'histoire supprimée derrière le vaccin contre l'hépatite B et les risques et avantages réels dont nous ne nous sommes jamais informés.
Un Docteur du Midwest
17 septembre 2025
Regards sur un coup d'oeil:
«Le vaccin contre l'hépatite B est entaché de controverses depuis sa création, d'autant plus qu'il est maintenant administré à tous les nouveau-nés, bien qu'un avantage minimal soit attribuable à cette politique.
« Remarquablement, une grande partie de cette controverse (par exemple, les auditions du Congrès, les programmes d'information traditionnels et les préoccupations de contamination par les vaccins contre le VIH) a été largement oubliée.
«Le vaccin contre l'hépatite B est depuis longtemps associé à des maladies auto-immunes, en particulier des maladies démyélinisantes. Alors que la communauté médicale insiste depuis plus de 50 ans sur le fait que ce lien n'a pas encore plus de preuves et exige des « recherches plus poussées », des preuves démontrent effectivement que ce processus se produit.
«Bien que le vaccin contre l'hépatite B ait réduit les cas aigus de toxicité démographique (par exemple, les toxicomanes par voie intraveineuse), il n'y a aucune preuve qu'il ait fait la même chose chez les nouveau-nés (les circonstances applicables étant incroyablement rares) et aucune preuve de réduction de l'hépatite chronique (ce qui justifie l'ensemble du programme).
«En conséquence, la raison officielle pour laquelle chaque nouveau-né reçoit un vaccin contre l'hépatite B infantile n'est pas la véritable raison pour laquelle les parents et les médecins du pays ont été soumis à des pressions pour l'administrer à chaque nouveau-né.
«Demain, la politique générale de donner à chaque nouveau-né sera enfin réévaluée. Pour soutenir ce moment crucial, cet article tentera d'établir les risques et les bénéfices réels du vaccin contre l'hépatite B, tout en exposant l'histoire oubliée derrière le vaccin, qui nous a amenés là où nous en sommes aujourd'hui.
RépondreSupprimerPour avoir une vie saine et significative, les gens doivent avoir un but unificateur derrière tout ce qu'ils font. Reconnaissant l'importance de cela à un jeune âge (comme j'ai vu beaucoup d'autres sans une lutte beaucoup), j'ai décidé de me consacrer à la recherche de la vérité, quel que soit l'endroit où elle m'a apporté. J'en ai vite compris à quel point cela était difficile, car sur pratiquement tous les problèmes, il y a une énorme quantité d'ambiguité, ce qui vous amène inévitablement à trouver de fausses conclusions produites à partir de vos biais existants.
Pour cette raison, chaque fois que j'essaie de comprendre pourquoi quelque chose de « mauvais » se passe, je prends en considération de nombreuses possibilités (souvent plus d'une douzaine) et je ne m'engage souvent jamais entièrement à y faire car je n'ai pas l'intention d'un cas définitif pour l'un d'entre eux - une approche qui se trouve en contraste frappant avec ceux qui rencontrent une explication et s'engagent immédiatement à l'adopter (comme « fait sens »). Au contraire, j'attends patiemment et j'ai la foi, je finirai par découvrir le fil qui lie toutes les pièces disparates (qui, quand finalement révélé, est une immense source de joie).
Remarque: c'est la raison pour laquelle, bien que je prétende parfois que les choses sont vraies, je suis également tout à fait délibéré en préfaçant d'autres déclarations avec « Je soupçonne » ou « je crois ».
Le vaccin contre l'hépatite B, par exemple, est l'un des vaccins les plus controversés du calendrier de vaccination, car certains des arguments les plus forts en faveur et contre la vaccination existent pour son utilisation actuelle. J'ai donc passé des décennies à essayer de comprendre pourquoi nous le donnons à chaque nouveau-né en Amérique, et j'ai entendu de nombreuses explications convaincantes pour en rendre compte, mais je n'en ai jamais trouvé une qui semblait tout expliquer.
Heureusement, il y a deux semaines, un lecteur a finalement fourni la réponse à cette question - une réponse que j'avais l'obligation de faire connaître, comme demain jeudi 18-2025), l'ACIP (le comité consultatif indépendant qui décide quels vaccins sont « recommandés » aux États-Unis), après des décennies, va enfin redescever sérieusement l'opportunité de le donner à tous les nouveau-nés.
RépondreSupprimerUn récent clip de Highwire, à son tour, souligne à quel point ce sujet est controversé, car les individus des deux côtés se sont exprimés de manière agressive en faveur ou en opposition de modification de la recommandation existante sur l'hépatite B :
- voir clip sur site -
Remarque: lors d'une audition controversée d'aujourd'hui, le directeur du CDC (le patron de Daskalakis), lorsqu'il a été pressé à plusieurs reprises par le sénateur Rand Paul de le faire, n'a pas été en mesure de justifier pourquoi nous donnons à chaque nouveau-né le vaccin contre l'hépatite B, bien qu'il ait largement réprimé toute tentative de le renverser - en illustrant le sol qui s'abat.
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Hépatite B Préoccupations en matière de sécurité
Depuis son entrée sur le marché, le vaccin contre l'hépatite B a été gâché par des problèmes de sécurité, en particulier après qu'il ait été administré à tous les enfants d'Amérique. On trouvera ci-après un bref résumé de certaines de ces préoccupations :
•Dès 1976, un chercheur a averti que, comme l'auto-immunité est impliquée dans la pathogenèse des infections par le virus de l'hépatite B, elle pourrait également être provoquée par des vaccins de l'hépatite B similaires. Depuis lors, de nombreux autres articles ont montré que le vaccin provoque un large éventail de disordes auto-immunes1, 2,2,2,3,4,4,5.
•Un chercheur, Bohn Dunbar (un chercheur respecté en matière de vaccins qui était professeur d'école de médecine), après que son frère et son assistant de recherche ont tous deux développé des blessures auto-immunes et neurologiques du vaccin en 1994, se sont dévoués à exposer le schéma fréquent de complications auto-immunes du vaccin (par exemple, « Dr. Dunbar a également été en contact avec de nombreux médecins et chercheurs de plusieurs pays qui ont décrit indépendamment des milliers de réactions sévères identiques survenant chez les receveurs du vaccin encaucasiens). À son tour, en raison à la fois de son prestige et de sa capacité à naviguer dans le système d'édition académique, elle a attiré une attention particulière sur ce sujet (par exemple, voir cet article du Washington Post de 1999).
RépondreSupprimer«Un article de 1998 a Scientistmis en évidence des préoccupations croissantes menaçant de faire dérailler le programme de vaccination contre l'hépatite B, comme de plus en plus de personnes affirmant qu'il était à l'origine de graves maladies auto-immunes (par exemple, la polyarthrite rhumatoide [RA, la névrite optique et la sclérose en plaques), qu'un médecin avait collecté plus de 600 cas de ce type de maladie en cours, et qu'en juillet, les avocats représentant 15 000 personnes ont poursuivi le gouvernement français pour exagérer le vaccin.
- voir clip sur site -
Peu de temps après, la France a suspendu les vaccinations contre l'hépatite B dans les écoles (pour évaluer si elle pouvait provoquer des maladies démyélinisantes), que l'OMS, l'ACIP et les associations médicales françaises ont toutes fermement condamnés en raison de l'affaiblissement de la confiance du public dans le vaccin.
•En janvier 1999 (l'un des derniers grands réseaux d'information a encore diffusé des programmes critiques à l'égard des intérêts pharmaceutiques, car Clinton a récemment légalisé les sociétés pharmaceutiques qui les ont achetés), ABC a organisé un programme presque entièrement oublié sur le vaccin contre l'hépatite B, qui mettait en vedette un chef CDC et un responsable de Merck (qui affirmait que la vaccination de masse justifiait la prévention de quelques cas d'hépatite et qu'aucun préjudice attribué au vaccin n'a été causé).
Peu de temps après, lors d'une audition au Congrès de mai 1999, sur les avantages de la vaccination universelle des nouveau-nés par l'hépatite B, outre de nombreux survivants, les objections suivantes ont été soulevées dans les témoignages d'experts et de parties blessées par des témoins contre cette pratique :
RépondreSupprimerEffets indésirables sévères : De nombreux effets indésirables graves ont été discutés, notamment la mort du nourrisson, les crises convulsives, l'autisme, la dysautonomie, la SEP, le diabète de PR et de rares cas de cancer du foie chez les enfants après la vaccination (ainsi que les mécanismes établis pour les réponses auto-immunes). Les données VAERS ont à leur tour indiqué plus de 8 000 réactions, dont 43 décès chez les enfants de moins de 2 ans en 1997. En revanche, il n'y avait que 95 cas annuels d'hépatite B dans cette population (avec des nombres comparables ou inférieurs observés dans d'autres ensembles de données) - les blessures dont l'interruption a été largement supérieure aux cas d'hépatite évitées (en particulier puisque moins de 1 % des blessures sont généralement signalées à VAERS et que les décès de nourrissons dus à l'hépatite étaient pratiquement inexistants dans l'ère pré-vaccinale).
Remarque: à chaque moment où la sécurité du vaccin contre l'hépatite B a été remise en question, le même schéma de blessures (par exemple, les maladies auto-immunes caractéristiques et les décès infantiles) dans VAERS a été cité, le nombre total d'entre eux n'ayant cessé d'augmenter au fil des ans.
Insuffisance de la surveillance et de la recherche en matière de sécurité: Les rapports de réactions indésirables ont souvent été ignorés ou rejetés, avec de courtes durées d'essai (4 à 5 jours), des réactions retardées manquantes telles que la SEP ou le diabète, qui peuvent apparaître des années plus tard. Aucune étude ne s'est concentrée sur les nouveau-nés ou les prédispositions génétiques, et la sous-déclaration était fréquente en raison du refus du médecin.
Manque de consentement éclairé et de contrainte: Les parents ont reçu des informations sur les risques insuffisants, les CDC supplantant les effets indésirables graves énumérés dans les notices du fabricant. Les nouveau-nés ont été vaccinés sans le consentement des parents, et certains ont été soumis à la contrainte, y compris aux menaces d'intervention des services sociaux.
RépondreSupprimerMandat discutable: La vaccination des nouveau-nés à faible risque pour une maladie associée à un adulte est inappropriée, en particulier parce que l'immunité peut s'ancêtre avant l'adolescence et 10 à 30 % des personnes ne pas produire d'anticorps, ce qui remet en question l'efficacité.
Conflits d'intérêts: L'influence pharmaceutique sur les agences de santé a émis des doutes quant à l'objectivité de l'étude.
Questions d'indemnisation des accidents dus aux vaccins : Le Programme national d'indemnisation des blessures liées aux vaccins a refusé la plupart des demandes d'indemnisation, laissant les victimes sans soutien malgré un fonds d'affectation spéciale d'un milliard de dollars, avec des restrictions limitant les demandes d'inscription pour les blessures causées par le vaccin contre l'hépatite B.
Remarque: la plupart des éléments ci-dessus ont également été informés de nombreux autres vaccins au cours des dernières décennies. De même, dans un témoignage de 1999 devant la législature de l'Ohio, un autre médecin a noté que la plupart des décès après l'hépatite B étaient classés dans la catégorie des petits États insulaires en développement (une condition abondante montre que les preuves sont fortement liées à la vaccination), mais les petits États insulaires en développement étaient presque toujours définis comme se produisant entre 1 mois et 1 an, et qu'avant d'être administré aux nouveau-nés, il touchait rarement ou jamais les enfants âgés de moins de 2 mois. En outre, une étude relativement inconnue de 2004 a révélé que le vaccin contre l'hépatite B augmentait le risque de l'âge de 7-12 mois de 1,81X (bien que cela puisse en partie être dû à une immunosuppression induite par la vaccination, ce qui rendait les enfants africains plus vulnérables aux infections existantes).
L'un des témoins du Congrès, à son tour, a produit un excellent résumé (référencé) des principaux problèmes avec le vaccin contre l'hépatite B qui comprenait deux cas qu'il l'avait observé à l'encéphalomyélite (résultant dans un coma de deux semaines pour l'une, un coma de quatre semaines pour l'autre, ainsi qu'une névrite optique et un handicap neurologique important pour les deux, et aucune explication conventionnelle claire pour ce qui s'était produit) ainsi que de nombreux cas de syndrome chronique. Il a ensuite compilé une liste de dizaines d'études démontrant que le vaccin contre l'hépatite B était lié à une myriade de maladies auto-immunes, comme l'ont fait deux autres au cours de laquelle il a fait plusieurs décennies plus tard (par exemple, dans un manuel de 2015 sur le sujet ou dans une base de données sur la santé naturelle). Ces études (qui ne sont probablement que la partie émergée de l'iceberg) sont les suivantes :
RépondreSupprimerSclérose en plaques,1,1,2,3,3,4,5,5,6,7,7,8,99,1010,11,,13,12,12, myéloite,1,1,2,3,4,5,3,4,,7,,910,,7,812,,10,10,11,13,14 encéphalite ,1 encéphalomyélite 12,,4, ,1 névrite optique,1,2,31,,3,5,78, 1,3,,4,5 syndrome de Guillain-Barré,1,2,3,4,5,6,7,8,9 neuropathie5,6,7,,9,10 myopathy,1,2,3,4,5,6,7,8 ,1,2,3,4,3,71,2,3 APMPPE (an eye disease), uveitis1,
Arthrite,1,1,2,3,3,4,5,5,6,7,7,8,99,1010,11,12,13,Lupus,1,1,2,3,,3,45,,5,6,7,7,8,99,1010,11,11,,13,14,15,,16,17,18,,19,20,20,,22 juvéniles,11,2,2,3,4,4,5 myofasciite macrophagique,1 polyarthralgie,1 maladie de Still 1
Vascitite (large,1,1,2,3,3,3,4, poumon et cutané,1,1,2 Churg-Strauss,1,1,2 Henoch-Schonlein purpura,1 maladie de Kawasaki 1 polyartérite nodosa 11), anémie hémolytique,1 thrombopénie,11,2,2,3,4,4,5, 6,6, antiphospholipides 1,21,2
Lichen planus,1,1,2,3,3,4,5,5,6,7,7,8,9,1010,10,11,1212,,,14,15,15,,17,18,19 lichen striatus,1 pemphigoide bulleuse,1,1,2 érythème polymorphe,11,2,2,3 érythème nodosum 1 syndrome de Gianotti-Crosti,1,1,2 alopecia,1,2aphtère buchal 1
Syndrome de fatigue chronique,11,2,2,3,4,4,5 Fibromyalgie,1 maladie des tombes,1,1,2 syndrome de Sjogren 1
Hépatite,1,1,2,3,3,4 glomérulonéphrite1, 1pancréatite 1 pneumonie 1
RépondreSupprimerRemarque: le vaccin contre l’hépatite B a également été associé à une variété d’autres troubles non classiquement classés comme des maladies auto-immunes telles que les crises 1, convulsives1,2, paralysie 1,de , 1,2 ataxie cérébelleuse ,1 les 1 troubles du tic, l’anorexie1, 1 l’angiome tudé1, l’angiome touffe 1 et l’augmentation des maladies infantiles courantes (par exemple, une étude a montré une augmentation de 1,6X des infections de l’oreilles aigues et une augmentation de 1,41X).
Comme mentionné ci-dessus, depuis le début, il a été largement estimé que les affections auto-immunes causées par le vaccin contre l'hépatite B étaient dues à un antigène ayant un chevauchement significatif avec la myéline humaine (en particulier, de nombreuses maladies auto-immunes associées au vaccin se produisaient également parfois à cause d'une infection par le virus de l'hépatite B).
Le mimétisme moléculaire du vaccin, à son tour, était un sujet très controversé que toutes les autorités médicales niaient. Comme il n'était pas possible d'évaluer avec la technologie de l'époque, l'absence de preuves pour cela a été traitée comme une preuve qu'elle ne l'a pas fait.
Remarque: un rapport définitif de l'Institut de médecine de 1994 a noté que s'il existait des données préliminaires sur de nombreuses des blessures attribuées au vaccin contre l'hépatite B, aucune recherche supplémentaire n'avait jamais été effectuée, de sorte qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves pour prouver ou réfuter un lien entre ces conditions, et a conclu son rapport sur la sécurité des vaccins pour l'enfance en déclarant que l'absence de données adéquates concernant de nombreux événements indésirables à l'étude.).
- voir cadre sur site -
Cependant, bien qu'il n'ait pas été possible d'évaluer à l'époque, une étude de 2005 a montré que le vaccin contre l'hépatite B avait, en effet, un chevauchement significatif avec la myéline et, plus important encore, que 60 % de ses receveurs ont également développé une réactivité immunitaire au myéline qui coule leurs nagere (qui, dans la majorité des cas, ont persisté pendant plus de 6 mois). Malheureusement, au moment où cela a été découvert, l'utilisation du vaccin contre l'hépatite B avait été normalisée et le débat public sur son risque de sécurité ou d'auto-immunité avait pris fin depuis longtemps.
RépondreSupprimerRemarque: une revue de 2001 a également mis en évidence le risque que ce mimétisme provoque la SEP, tandis qu'un autre article a mis en évidence que le vaccin chevauche le virus d'Epstein-Barr d'une manière qui pourrait provoquer des troubles démyélinisants chez les receveurs présentant des infections EBV.
De même:
Une étude VAERS de 2005 comparant les adultes ayant reçu un vaccin contenant du tétanos à un vaccin contre l'hépatite B a montré qu'ils étaient beaucoup plus susceptibles de développer une variété de maladies auto-immunes (5,2 fois pour la SEP, 18X pour la PR, 14 fois pour la névrite optique, 9,1 fois pour le lupus, 7.2X pour l'alopécie, 2,6X pour la vascularite et 2,3X pour la thrombopénie). Une étude similaire de 2002 a révélé une augmentation de 6,1 X pour l'arthrite chronique (persistant pendant au moins un an), qui a affecté les femmes 3,5 fois plus que les hommes, et qui est en moyenne survenue 16 jours après la vaccination.
Une •étude de 2002 a montré que les personnes ayant reçu un vaccin contre l'hépatite B au cours des deux mois suivants, étaient 1,8 fois plus susceptibles de subir un événement démyélinisant.
Une étude de 2015 a révélé que les cas de SEP en France ont augmenté de 65 % au cours des années suivant une campagne nationale agressive visant à augmenter les taux de vaccination contre l'hépatite B, et qu'il existait une corrélation statistiquement significative entre le nombre de doses de vaccin contre l'hépatite B administrées et le nombre de cas de SEP 1 à 2 ans plus tard.
RépondreSupprimerUne étude de 2004 a analysé les dossiers de soins primaires de toute l'Angleterre pour comparer 163 patients atteints de SEP avec 1 604 témoins appariés au hasard sans SEP. Il a constaté que les patients atteints de SEP étaient trois fois plus susceptibles d'avoir reçu le vaccin contre l'hépatite B dans les trois ans suivant l'apparition des symptômes, sans risque similaire lié aux vaccins antitétaniques ou grippal, ce qui indiquait qu'il s'agissait d'un problème spécifique avec le vaccin contre l'hépatite B.
Une •étude de 2009 chez les enfants a révélé que le vaccin contre l'hépatite B de la GSK, qui contient cinq fois plus d'antigène protéique de levure que d'autres marques, était associé à un risque accru de 2,77X de développer une SEP chez les enfants vaccinés. Une augmentation plus faible (1,5X) a été observée pour d'autres troubles démyélinisants inflammatoires du SNC chez les enfants qui ont adhéré aux schémas de vaccination recommandés.
De plus, le vaccin contre l'hépatite B a également été lié à plusieurs reprises à l'autisme et à d'autres handicaps du développement:
Dans une interview de juin avec Tucker Carlson, le secrétaire Kennedy a révélé qu'en 1999, le CDC a mené une étude qui a révélé que l'obtention d'un vaccin contre l'hépatite B au cours des 30 premiers jours de la vie a entraîné une augmentation de 12,35X de l'autisme. Comme cela était inacceptable, ils ont mené de nombreuses tentatives pour ajuster les données afin de dissimuler le risque, mais n'ont pas été en mesure de faire disparaître le lien, ont renoncé et ne l'ont jamais publié.
Un résumé d'une étude de 1999 (qui est probablement ce à quoi RFK faisait référence) a ensuite été mis à la disposition d'un membre du Congrès de Floride qui avait travaillé avec des dénonciateurs de vaccins, qui a montré (via la base de données privée du CDC sur les DTS) que lorsque les nourrissons recevaient les plus fortes doses de vaccins contenant du mercure (par rapport à ceux qui n'avaient pas été vaccinés), il y a eu une augmentation de 1,8X des troubles du développement neurologique,
- Une étude de 2007 portant sur 1 824 enfants ont montré que les garçons qui recevaient le vaccin contre l'hépatite B (avant 2000 lorsqu'il utilisait encore du thimérosal) étaient 9 fois plus susceptibles d'avoir un trouble du développement.
•Une étude de suivi de 2010 a révélé que la vaccination contre l'hépatite B néonatale (par rapport à l'absence de vaccination contre l'hépatite B ou simplement l'obtention plus tard dans la vie) avait rendu les enfants 3 fois plus susceptibles de développer l'autisme. Enfin, une étude de 2017 a révélé que les vaccins contre le mercure contenant de l'hépatite B au début de la vie augmentaient le risque d'autisme de 4,6 à6,7X (ainsi qu'une étude de 2015 qui a révélé qu'ils augmentaient le risque de retards de développement de 1,6X-1,7% ainsi qu'un suivi de 2016 qui a estimé que cela équivalait à plus de billions de coûts de soins de santé).
RépondreSupprimerDes résultats similaires ont également été observés chez l'animal:
•Une étude de 2010 sur les singes a déterminé que le vaccin a causé un retard important dans l'acquisition des racines, des museaux et des réflexes aspirés (processus critiques pour le développement).
Une •A étude de 2016 sur la souris a révélé que le vaccin nuisait à la neurogénèse, aux performances comportementales et à la potentialisation à long terme de l'hippocampe qui augmentait simultanément l'inflammation cérébrale (qui était proportionnelle aux dommages neurologiques survenus). Une étude de suivi de 2018 a déterminé que beaucoup de ces effets (en particulier dans l'hippocampe) étaient le résultat d'une élévation de l'IL-4.
En revanche, les études d'autorisation pour les vaccins n'ont surveillé les effets indésirables que lors d'une courte fenêtre bien avant l'apparition de ces effets indésirables (typiquement 4-5 jours), n'ont pas utilisé de véritables placebos (par exemple, les essais initiaux utilisés en aluminium ou en aluminium et en albumine 11,2,2,3, tandis que les derniers ont comparé le vaccin à d'autres vaccins « sûrs »).
La notice du vaccin Merck a noté qu’au cours des 5 premiers jours, 17 % des adultes ont rapporté des réactions au site d’injection (par exemple, douleur, douleur, ecchymoses, formation de nodules), tandis que 15 % des adultes et 10,4 % des enfants ont rapporté des effets indésirables systémiques (par exemple fatigue/faiblesse, maux de tête, fièvres supérieures à 100 F, malaise, nausées, diarrhée, pharyngite, infection des voies).
RépondreSupprimerL’emballage du vaccin GSK a noté après 4 jours, 22 % des receveurs avaient des douleurs au site d’injection, 14 % de fatigue et entre 1 et 10 % ont rapporté des vertiges, des maux de tête, et soit une rougeur, une induration, soit un gonflement au site d’injection. De plus, une variété d'affections plus sévères ont été rapportées dans plus de 1 % des injections (par exemple anorexie, somnolence, hypotension, large gamme d'affections gastro-intestinales, urticaire, irritabilité et faiblesse). Enfin, chez les adultes diabétiques, 3,8 % ont eu des effets indésirables systémiques graves (contre 1,6 % des témoins).
Remarque: le seul essai fabricant que je connaisse qui évaluait les effets à long terme de la vaccination contre l’hépatite était un essai assez récent pour un vaccin contre l’hépatite (approuvé en 2017) qui a révélé après 7 mois, 6,2 % de ses receveurs avaient un événement indésirable grave (contre 5,8 % de ceux qui recevaient le vaccin GSK), qui, bien que très inquiétant, étaient «insignifiants» puisqu’ils étaient comparables à un vaccin «ssafe»1.1,2,3
En bref, bien que la plupart des recherches qui auraient dû être menées à bien n'aient jamais été, il est juste de dire que le profil de risque de ce vaccin suggère qu'il doit en être évalué un bénéfice significatif pour justifier son administration à chaque nouveau-né.
Détermination des risques et des avantages des vaccins
Avec les médicaments standard, le calcul de leur rapport bénéfice/risque nécessite de comparer la probabilité de traiter une maladie existante avec la sévérité de la maladie non traitée à la probabilité d'un traitement de traitement blessant le receveur. Dans de nombreux cas, il s'agit d'un calcul étonnamment difficile à faire, d'autant plus que, aux deux extrémités, il faut rendre compte de la fréquence relative des blessures mineures, modérées, graves et mortelles et de celles qui se produisent immédiatement, dans un avenir proche, et des années en aval.
Ainsi, alors que dans de nombreux cas, les risques et les bénéfices sont assez clairs, avec de nombreux autres médicaments, nous ne savons tout simplement pas (ou il faut des décennies pour les comprendre) - d'autant plus que l'industrie pharmaceutique trouvera toujours la façon la plus favorable et la plus trompeuse de représenter les risques et les avantages de leurs produits de manière positive.
RépondreSupprimerAvec les vaccinations, ce calcul devient beaucoup plus difficile à faire car le bénéfice est tout sauf certain (car vous ne pouvez jamais attraper la maladie et les vaccins échouent souvent à prévenir leur maladie cible), tandis que, contrairement à ce qui précède, car les vaccins fonctionnent en modifiant de façon permanente le système immunitaire, de nombreux effets secondaires de ce phénomène apparaissent longtemps après que les essais cliniques pour les vaccins évalués des cohortes vaccinées et non vaccinées.
Remarque: le graphique ci-dessus reste une simplification excessive car il doit être fait pour chaque cohorte (par exemple, les différents patients présentent des risques plus élevés de maladie infectieuse, les complications de la maladie, et de même, beaucoup ont des réponses différentes au vaccin). De même, ce calcul doit être effectué pour chaque gravité d'une réaction de maladie (les patients légers, modérés, sévères ou mortels) pendant combien de temps ils persistent (par exemple, ils sont à court, moyen terme ou permanents) et à quel point ils sont difficiles à traiter, puis à trouver un type de méthode pour les comparer avec précision aux risques de chaque vaccin (qui, contrairement au risque potentiel d'une maladie, sont une exposition garantie puisque chacun reçoit le vaccin, quelle que soit la maladie). En outre, dans de nombreux cas, le bénéfice potentiel d'un vaccin est si faible que le coût économique de l'octroi de millions d'unités à elle seule l'emporte sur tout avantage potentiel qu'il peut offrir, il n'est peut-être même pas nécessaire de procéder au calcul complexe des avantages pour le rapport bénéfice/risque (qui, rarement, voire jamais, tiendra compte des coûts financiers des blessures).
De ce fait, il est extrêmement difficile de calculer avec précision les risques et les bénéfices des vaccins, et au lieu de cela, nous recevons soit des images extrêmement sélectives du profil risque/bénéfice (qui se concentrent sur les aspects qui en sont l'induisent les ventes de vaccins), soit simplement on dit robotiquement « sûr et efficace » sans que cette expression soit-elle, autant d'images, ce qui illustre encore une fois de plus souvent un sujet complexe qui sera distillé en un simple son qui exclut la plupart des points pertinents.
RépondreSupprimerDans le cas du vaccin contre l'hépatite B, à la surface, des vaccins sur le marché existent certains des arguments les plus forts pour lui:
«Un grand nombre de personnes reçoivent une hépatite B chaque année.
«L'hépatite B chronique est une maladie qui peut avoir un impact grave sur la qualité de vie de quelqu'un, et il n'y a pas de bon remède pour elle.
«Le vaccin prévient l'hépatite B.
Remarque: il n'y a qu'un seul autre vaccin sur le schéma de CDC auquel tous les points ci-dessus s'appliquent (bien que la gravité de la maladie qu'il prévient n'est pas comparable à l'hépatite B chronique).
À son tour, une fois que le vaccin contre l'hépatite B est sorti, les taux d'hépatite B ont chuté à travers le pays, et les CDC (et la profession de santé publique) ont longtemps considéré ce vaccin comme l'une de leurs réalisations de couronnement et donc quelque chose qu'ils se battront jusqu'à la mort pour protéger.
Malheureusement, quand vous regardez sous le microscope, de nombreux aspects du récit ci-dessus s'effondrent, en particulier lorsqu'il est administré aux nouveau-nés - c'est pourquoi le vaccin est si controversé.
Remarque: parce que tous les vaccins sont « sûrs et efficaces », le public apprend rarement que le rapport bénéfice/risque des vaccins varie considérablement, certains étant défendables, tandis que d'autres sont sans aucun doute susceptibles de distribuer des masses à nos enfants. C’est pourquoi j’ai fourni ici une comparaison des risques et des bénéfices de chaque vaccin recommandé.here.
RépondreSupprimerDistribution de l'hépatite B
Remarque: le virus de l'hépatite B produit quelques protéines clés qui sont produites par infection ou par vaccination. Dans presque toutes les études sur l'hépatite B, la présence de ces antigènes et d'anticorps contre ceux-ci (par exemple, la protéine de surface utilise l'hépatite B pour infecter les cellules) est supposée déterminer si une personne ayant déjà eu une infection par le virus de l'hépatite B, a été vaccinée, est immunisée ou présente une infection chronique par le virus, et s'il s'agit d'une infection à forte charge virale (qui est souvent plus sévère). Dans cet article, je considérerai ces hypothèses comme correctes. De même, j'ai essayé de présenter des données courantes ici (qui sont probablement biaisées en faveur du vaccin) car elles sont plus que suffisantes pour illustrer les graves problèmes avec le vaccin.
La transmission de l'hépatite B nécessite un contact sang-sang, et se produit généralement par l'un des moyens suivants:
- Les rapports sexuels non protégés - ce qui est une racine significative de transmission dans les zones à faible prévalence modérée (ce qui signifie que beaucoup de personnes ont l'hépatite B), le risque le plus élevé étant généralement attribué au sexe anal (en raison du sang d'un rectum déchiré dans l'urètre) - bien que je n'aie trouvé aucune étude qui compare directement la transmission vaginale et anale.
«Les échanges de sang accidentels (par exemple, partage d'aiguilles, utilisation d'équipements dentaires ou médicaux contaminés, travailleurs de la santé se piquant accidentellement avec une aiguille contaminée ou des transfusions sanguines contaminées). Parmi ceux-ci, le partage d'aiguilles est le plus fréquent, les blessures par piqûre d'aiguille comportent un risque réel pour les travailleurs de santé non vaccinés, tandis que les deux autres ne sont plus un problème aux États-Unis.
«La transmission mère à l'enfant (verticale) pendant l'accouchement, car il y a un important échange de sang au cours de ce processus (alors que dans l'utérus, l'hépatite B ne traverse généralement pas le placenta et n'infecte pas le nourrisson - ce qui n'arrive que vers 4 à 16 % du temps 1,1,2,3,3,4,5,5,6). Il s'agit du principal mode de transmission dans les zones à forte prévalence.
RépondreSupprimerRemarque: l'hépatite B peut également être transmise par contact avec d'autres liquides infectés, partageant des objets pointus non stériles (par exemple, rasoirs, ou matériel de tatouage et de perçage), ou dans des zones à forte prévalence, un contact étroit avec des enfants infectés (en raison de ruptures de peau et de contact avec les muqueuses). Cependant, il s'agit de voies de transmission beaucoup plus rares.
Le monde occidental (par exemple, l'Australie, l'Amérique et l'Europe occidentale) est à son tour considéré comme une zone de « faible prévalence » (avec des taux d'hépatite B généralement inférieurs à 2 %). En revanche, d'autres régions (par exemple, l'Afrique subsaharienne, l'Asie de l'Est, l'Asie du Sud-Est, le Pacifique occidental et certaines îles du Pacifique) sont des zones de prévalence élevée, avec des taux parfois supérieurs à 15 %. En bref, comme la transmission de l'hépatite B varie considérablement en fonction de sa fréquence, son faible taux aux États-Unis risque de compromettre la justification de la vaccination de masse contre elle.
Toutefois, bien qu'il soit généralement faible aux États-Unis, la prévalence la plus élevée est fréquemment observée dans quelques communautés:
Immigrants dans les zones où les taux élevés d'hépatite B sont élevés.
« Hommes qui ont des rapports sexuels non protégés avec de nombreux hommes. Par exemple, une étude de 1982 portant sur cinq cliniques de MST a constaté que 6,1 % des homosexuels avaient une hépatite B active, et 52,4 % y avaient été exposés auparavant, le bras placebo de l'étude sur le vaccin contre l'hépatite B a constaté que 28 % d'entre eux sans qu'il ait développé l'hépatite B dans les 18 mois suivants, dont une petite fraction (6,1 %) a développé une hépatite B chronique, et un médecin dans les années 1970.
RépondreSupprimerRemarque: des données récentes à ce sujet sont beaucoup plus difficiles à trouver, la seule étude que j'ai trouvée (issue d'un essai américain de vaccination contre le VIH) déterminant 0,11 % d'infections chroniques par le virus de l'hépatite B, et au cours des 1 à 2 prochaines années, 0,22 % d'une infection par le virus de l'hépatite B précédemment éliminée.
Les toxicomanes (avec des études sur l'hépatite B chronique à des taux compris entre 3,5 et 20 % dans ces communautés, et un échantillonnage de Baltimore en 1989, la découverte de 80 % des utilisateurs avaient des preuves d'une exposition passée à l'hépatite B).
«Les jeunes de la ville centrale et les jeunes adultes qui se sont livrés à des comportements à risque (par exemple, les rapports sexuels non protégés, la prostitution et les aiguilles pour la drogue partagées). Ce contexte était un énorme problème dans les années 80 (par exemple, un échantillon de 1989 de résidents de San Francisco âgés de 20 à 44 ans a révélé que 14 % avaient déjà été exposés à l'hépatite B), bien que la plupart des documents que j'ai trouvés ont mis en évidence la question à certaines sous-sections fréquemment trouvées dans les centres-villes (par exemple, les utilisateurs de drogues injectables, les travailleurs du sexe et les sans-abri) plutôt que dans l'ensemble de la population.
Remarque: un échantillon de 2005 d'un quartier à forte consommation de drogues à New York a révélé que 8 % avaient des preuves d'une infection antérieure par le virus de l'hépatite B (6 %, 12,1 % chez les toxicomanes), tandis que 19,6 % avaient des preuves de vaccinations passées (22,6 % dans l'ensemble, 13,4 % de l'échantillon ciblé).
Efficacité du vaccin contre l'hépatite B
Compte tenu de la répartition de l'hépatite, il existe essentiellement quatre stratégies qui peuvent être mises en œuvre avec elle: la donner à tout le monde lors de l'accouchement, la donner aux enfants dans le cadre de vaccinations de routine, le donner aux adolescents ou aux jeunes adultes, et le donner à des groupes à haut risque (par exemple, les individus partageant des aiguilles), dont chacune est plus susceptible que les précédentes de réduire l'hépatite B dans des groupes « à haut risque ».
RépondreSupprimerCommençons par regarder les maths derrière une dispute bien médiatisée entre deux médecins sénateurs :
Dans ce contexte, la vaccination est justifiée par la logique selon laquelle si une mère n'a pas été testée pour l'hépatite B avant l'accouchement et si elle l'a fait, recevoir le vaccin dans les 48 heures suivant la naissance réduit son risque de capturer l'hépatite B et de développer un cas chronique, ce qui laisse la place à des problèmes de santé chroniques. Toutefois :
«Le dépistage de l'hépatite B est une routine pour les nourrissons, mandatée par de nombreux États, et systématiquement effectuée dans les hôpitaux si le statut n'est pas connu - rendant impossible de savoir combien de nourrissons ne sont pas réellement testés (tout le nombre de personnes que j'ai interrogées croit qu'il est bien inférieur à 1 % - mais ici, je suppose qu'il est compris entre 0,1 et 5 %). De même, il est assez rare qu'une mère devienne soudainement positive par rapport à la grossesse.
«Deuxièmement, le pourcentage de mères américaines atteintes d'hépatite B n'est pas connu (et varie considérablement d'une communauté à l'autre), mais une source faisant autorité indique 0,09 %, alors que le CDC dit 0,2 à 0,5 %
«Avec l'hépatite B, vous pouvez être soit HepEAg (plus sévère), soit HepEAg- (moins sévère). Environ 10 % des mères du monde développé sont des HepEAg (contre environ 25 % dans les pays pauvres).
«Pour les références des CDC, si HepEAg, il y a 70 % à 90 % de chances d'infection périnatale par le VHB, et 85 à 90 % à 90 % de devenir un vecteur chronique. Si l'hépatite -, les données sont moins claires, mais normalement environ 10 % de chances de transmission sont citées, certaines devenant alors chronique.
RépondreSupprimerRemarque: chez les patients plus âgés, en raison de leur capacité à présenter une réponse immunitaire plus robuste, le risque qu'une infection aigue devienne chronique est beaucoup plus faible (par exemple, le CDC affirme 30 % pour les enfants de moins de 5 ans et plus de 1 % à 12 % pour les adultes).
«On estime généralement que le vaccin contre l'hépatite B est réduit le risque de transmission de la mère à l'enfant d'environ 75 % (par exemple, ces publications montrent 68 %, 72 % et 82-86 %). Généralement, le vaccin est plus efficace chez les mères d'HepEAg (par exemple, 10 % de plus), mais toutes les comparaisons que j'ai trouvées ont également donné des immunoglobulines.
Remarque: étant donné que le vaccin contre l'hépatite B n'est pas efficace à 100 %, il est généralement administré avec des immunoglobulines coûteuses chez les enfants de parents atteints d'hépatite B - mais comme cette justification de la vaccination de masse est de capter les enfants qui ont été oubliés par le dépistage, cela ne s'applique pas au scénario de plaidoyer pour lequel Cassidy plaide.
Parmi •les personnes atteintes du VHB chronique, environ 15 à 25 % peuvent évoluer vers le développement de maladies graves comme le cancer du foie ou l'échec plus tard dans la vie à l'âge adulte (par exemple, une étude a constaté 9,26 % des nourrissons nés d'une mère d'HapEAg qui ont été vaccinées et ayant reçu une immunoglobuline ont finalement développé une hépatite chronique).
Si vous, à votre tour, prenez la valeur moyenne de chacun de ces chiffres (et en qui ils ne sont pas gonflés), cela permet de vacciner environ un million d'enfants pour prévenir un cas de transmission de l'hépatite B de la mère à l'électricité, et plus de 6,5 millions pour prévenir une issue grave d'une infection chronique. Inversement, comme je l'ai montré plus haut, les réactions sévères (sans parler de toutes les réactions mineures) sont beaucoup plus fréquentes après la vaccination.
Remarque: pendant des décennies, les parents ont demandé à être exemptés de donner ce vaccin à leurs enfants s'ils testent un taux négatif à l'hôpital pour la lutte contre l'hépatite B, mais, dans de nombreux cas, le mandat est toujours respecté, la notion d'hépatite B non détectée, bien que présenté comme tel, ne soit pas en fait la principale motivation de la vaccination.
RépondreSupprimerLe deuxième avantage fréquemment cité pour la vaccination contre l'hépatite B est qu'il peut prévenir les enfants d'expositions à l'hépatite B, soit à des contacts répétés avec des membres de la famille infectés, soit à des expositions accidentelles (par exemple, toucher les aiguilles contaminées sur la cour de récréation). Bien que chacun d'entre eux soit assez rare, je ne sais pas exactement comment calculer les chances de celui-ci. Par exemple, alors que j'ai pu trouver un cas où cela s'est produit à un garçon de 4 ans en Espagne, à l'inverse :
Une étude de 19 ans portant sur 274 enfants canadiens, dont beaucoup n'étaient pas vaccinés et n'avaient pas reçu de prophylaxie post-exposition, n'a constaté aucun d'entre eux développé d'hépatite B, C ou VIH à partir d'aiguilles abandonnées avec lesquelles ils ont ramassé et se sont piqués, y compris ceux dont les personnes connues pour être infectées.
•Un examen de 16 études portant sur 1 565 expositions à piqûre d'aiguilles communautaires a rapporté qu'un seul cas de transmission du VHB - où l'enfant n'a pas reçu de prophylaxie post-exposition, et d'autres voies d'infection n'ont pas pu être exclues.
Le troisième avantage cité est que la vaccination des nouveau-nés peut prévenir l'infection plus tard dans la vie (lorsque les enfants sont censés être suffisamment âgés pour être exposés à des médicaments contre l'IV ou à une activité sexuelle à risque). Malheureusement :
«Tous les enfants vaccinés ne développent pas d'anticorps contre l'hépatite B après la vaccination (séroconversion), les références existantes indiquant entre 90 et 98 % le font, les chiffres étant les plus faibles pour les adolescents (par exemple, dans une étude de 2012 sur la jeunesse urbaine, entre 5,4 et 12,8 % des jeunes urbains n'ont pas formé de réponse anticorps au vaccin contre l'hépatite B). En outre, les prématurés ont des réponses beaucoup plus faibles à la vaccination (par exemple, des chiffres compris entre 11 % et 84 % ont été rapportés en fonction de leur taille de 1,1,2,3,3,4).
RépondreSupprimerRemarque: de nombreuses études montrent également que les petits enfants sont également beaucoup plus vulnérables aux blessures causées par la vaccination (à la fois les maladies chroniques et la mort subite) - remettant en question à nouveau la sagesse de vacciner les nouveau-nés.
«Dans de nombreux cas, ces anticorps diminuent bien avant l'exposition potentielle à l'hépatite. Par exemple, une étude a révélé qu'environ 50 % d'immunité aux anticorps perdus à l'âge de 5 ans, une autre a trouvé qu'environ 22,9 % l'avait perdue après environ 5 ans, une autre l'avait perdue à l'âge de 9 ans et 76 % l'avait perdue à l'âge de 13 ans, une autre a constaté que 56 % l'avait perdue à l'âge de 20 ans et un autre 49 % l'avait perdue. De plus, chez les prématurés, la perte est plus rapide (par exemple, 84,1 % l'ont perdue en moins de 3 ans, 73,5 % après 4-7 ans, 27,7 % après 8 à 11 ans et 20 % après 12 ans), tandis que, au contraire, chez les adultes, elle est plus lente (par exemple, chez les personnes vaccinées avec 3 ou 4 doses chez les adultes, 20 à 30 ans plus tard seulement 9,9% avaient perdu une immunité en anticorps).
«La séroconversion ne garantit pas l'immunité, mais on suppose généralement qu'elle équivaut à une protection de 90 à 100 %. Cependant, un article astucieux a noté que les données du monde entier montraient après la vaccination des nourrissons, 1,5 % à -35% des personnes âgées de 3 à 15 ans avaient développé une infection par le virus de l'hépatite B (ils se remettaient souvent de l'hépatite B), avec des chiffres plus élevés après la cible de 15 ans (par exemple, 4,9 % en Corée, jusqu'à 5,5 % chez les étudiants de l'Université de Hong Kong, 8 % à Taiwan, 11 à 19 % dans les communautés abori. De même, au Pakistan, les taux étaient de 13,39 % après 11-20 ans et de 34,93 % après 21 à 30 ans.
Toutes ces données à leur tour me rappellent l'une des premières leçons de la vaccination. Le vaccin original de la variole a été administré en le grattant dans le bras, et peu de temps avant, le domaine médical s'est rendu compte que s'il n'y avait pas d'éruption cutanée importante au site d'application, le vaccin « n'a pas pris » et ne fonctionnerait donc pas (nécessitant une vaccination répétée par la variole jusqu'à ce qu'il le fasse). Finalement, les praticiens de la médecine naturelle ont remarqué que les complications graves du vaccin se sont produites chez ceux qui n'avaient pas cette réaction cutanée (parfois rapidement, parfois longtemps après), ce qui les a conduits à formuler des lois fondamentales de la guérison naturelle et à proposer que plutôt que le vaccin contre la variole préventive par la variole, était simplement un indicateur pour un système immunitaire intact, de sorte que ceux dans lesquels le vaccin contre la variole aurait « pris » en mesure d'une petite.
RépondreSupprimerRemarque: de la même manière, l'une des études les plus importantes sur les lésions du vaccin contre la COVID a montré que les adolescents qui ont développé une myocardite à partir du vaccin, contrairement à leurs pairs, étaient incapables de développer des anticorps neutralisants contre la protéine de pointe de vaccin (en l'emportant à détruire des ravages dans tout leur corps) - ce qui les aurait presque certainement rendus beaucoup plus vulnérables à une infection par le COVID.
Étant donné qu'environ 5 % des cas d'hépatite B deviennent chroniques (plutôt que le corps qui la combattent), un chiffre est conforme au pourcentage de personnes pour lesquelles le vaccin « ne fonctionne pas », cela m'a fait me demander si un problème similaire se produit ici, la réponse au vaccin étant simplement un indicateur du fonctionnement du système immunitaire plutôt que protecteur de manière indépendante (en particulier, puisque les mêmes facteurs qui prédisposent quelqu'un à un mauvais répondeur de vaccin, comme les gènes immunes). Plus important encore, alors que la vaccination de masse contre l'hépatite B a considérablement diminué, entre 1976 et 2016, comme l'admet le CDC, la prévalence de l'hépatite chronique (0,003%) n'a pas changé aux États-Unis1,2.1,2
La justification finale (et la plus substantielle) est de l'accorder aux adultes à haut risque d'exposition (par exemple, lorsque j'ai commencé à la médecine, mes mentors, qui étaient très opposés à la vaccination, ont déclaré que le vaccin dont j'avais besoin était l'hépatite B pour être protégé contre l'exposition future à la piqûre d'aiguille). À leur tour, de nombreux ensembles de données démontrent que la vaccination des adultes réduit considérablement les taux d'hépatite B dans la population adulte à risque. Par exemple:
RépondreSupprimerDes études des années 80 et 90 ont montré que jusqu'à 28 % du personnel de santé (PPH) avait des preuves sérologiques d'une infection par le VHB passée ou actuelle (qui ne se soutirait généralement pas de la source de l'exposition), alors qu'après des décennies de politiques visant à s'assurer qu'ils étaient complètement vaccinés contre l'hépatite B, les cas annuels sont tombés de 10 000 en 1982 à 304 en 2004.
«Beaucoup d'essais cliniques pour les vaccins contre l'hépatite B ont montré qu'ils réduisaient significativement les cas d'hépatite B chez les homosexuels de sexe masculin (par exemple, un essai de 1981 sur 1 083 hommes a montré que 1,4 % des vaccins ont développé l'hépatite B au cours des 18 mois suivants, tandis que 18,1 % du groupe placebo l'ont constaté, un essai de 1982 a montré qu'après 24 mois, 3,2 % des patients vaccinés, tandis que 25,6 % du groupe placebo). De même, des études communautaires ultérieures ont trouvé la même chose (par exemple, en 1993, 359 hommes de San Francisco ont été testés pour l'hépatite B, et parmi ceux qui avaient été précédemment vaccinés, seulement 2,7 % l'avaient).
•Une revue systématique a montré que la vaccination contre l'hépatite B réduisait les cas d'hépatite B aigus de 25 % à 15,7 % chez les toxicomanes par voie intraveineuse et a créé une réduction de 31,89% dans le passé ou la résolution des infections par le virus de l'hépatite B, mettant en évidence le fait que toutes les personnes de cette population ne répondent pas pleinement à la vaccination contre l'hépatite B. De même, en Écosse, l'octroi de vaccins contre l'hépatite B à tous les prisonniers a joué un rôle clé dans l'augmentation des taux de vaccination parmi les toxicomanes par voie intraveineuse (passant de 16 % à 77 %), ce qui était en corrélation avec une réduction significative de leurs taux d'hépatite B et une réduction de 40 % de leur risque individuel d'hépatite.
•De 1982 à 1998, dans quatre comtés des États-Unis, l'incidence des hépatites graves B a diminué de 76,1 %, passant de 13,8 cas pour 100 000 en 1987 à 3,3 cas pour 100 000 en 1998. Les cas associés à l'usage de drogues injectables (UDI) ont diminué de 90,6 %, chez les hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes (MSH) de 63,5 % et avec une activité hétérosexuelle de 50,7 %.
RépondreSupprimerDes •tendances similaires dans les nouveaux cas d'hépatite B ont également été observées dans d'autres groupes à risque :
Remarque: de manière critique, cependant, la diminution des nouveaux cas d'hépatite n'a pas été observée dans les cas d'hépatite B chronique (qui est restée pour l'essentiel inchangée par rapport à 1976 1,1,2 ).
Tout cela met en lumière une question déconcertante. Pourquoi le groupe (les enfants) qui ont reçu le plus petit avantage de cette campagne a-t-il été le plus agressif? Pour comprendre cela, nous devons examiner toute l'histoire du vaccin.
Conception du vaccin contre l'hépatite B
Les vaccins nécessitent la production de grandes quantités d'un antigène cible, qui, dans le cas de l'hépatite B, était difficile car il ne pouvait se développer que chez l'homme et les chimpanzés et ne pouvait être collecté que dans le sang. À son tour, ce qui s'est passé exactement au cours des premiers jours du vaccin contre l'hépatite B est un sujet de débat important. Selon la plupart des sources, le vaccin provenait de personnes atteintes d'infections chroniques de l'hépatite B et occasionnellement testées dans des chimpanzés. Toutefois, à l'inverse, de nombreuses autres sources indiquent qu'il y a eu des échanges de sang directs entre les humains et les chimpanzés, soit pour développer le vaccin, soit pour le produire dans un premier temps, soit pour le produire à un moindre coût pour les marchés à faible revenu.
Cette histoire oubliée (et les preuves qui le soutiennent), à son tour, est détaillée dans ce fil Twitter, ces quatre articles de Substack,1,1,2,3,3,4 et ce bref documentaire :
RépondreSupprimerRemarque: les détails de l'histoire ci-dessus sont assez troublants, s'ils sont vrais, impliquent de nombreux hauts responsables de la santé publique (à ce point, il est plausible qu'ils agiraient en phase pendant des décennies pour se protéger eux-mêmes) et peuvent également s'appliquer aux produits de coagulation du sang précoce fournis aux hémophiles (qui ont été établis pour être contaminés par le VIH).
Cela a été fortement justifié car le VIH est considéré comme provenant d'un virus chimpanzé connexe, et l'apparition du sida et les essais initiaux de vaccination contre l'hépatite B ont eu lieu à New York (avec San Francisco et Los Angeles1,2).1,2
Pour plus de contexte, les amis homosexuels d'un collègue dans les essais d'hépatite B initiaux dans les villes ont partagé avec lui qu'ils ont remarqué au cours des essais qu'il y avait un grand degré de surveillance sur eux (comme si les chercheurs s'attendaient ou s'inquiétaient quelque chose de mauvais, et qu'ils soupçonnaient des hommes homosexuels ont été choisis pour le procès car ils étaient moins susceptibles d'avoir des membres de la famille qui se plaignaient s'ils passaient de manière inattendue.
Comme je peux le mieux le constater, ce problème de contamination a incité Merck à résoudre le problème en créant le premier vaccin recombinant (généré génétiquement modifié), qui impliquait de faire croître l'antigène dans la levure de boulangerie modifiée. Ce vaccin est entré sur le marché en 1986. Bien que je ne puisse pas prouver cela, je crois que la chronologie explique à la fois pourquoi le leadership de la santé publique a été investi dans le nouveau vaccin contre l'hépatite B (car il a résolu un problème massif qu'ils avaient créé, et comme le vaccin suivant sur l'ARNm, représentait également une nouvelle technologie révolutionnaire qui ferait progresser le champ des vaccins).
De même, je pense que cela explique pourquoi le vaccin contre l'hépatite B était initialement si cher (car le vaccin produit au plasma était coûteux, en fixant un prix maximum, et initialement la technologie des OGM était relativement nouvelle et donc plus coûteuse) - bien que maintenant dans les régions du monde avec moins de ressources financières, le vaccin contre l'hépatite B soit toujours produit à partir du plasma humain pour économiser des coûts.
Note : il a également été émis l'hypothèse (et dans le principal « démystifié ») que la propagation du sida suivait les campagnes orales de vaccination contre la poliomyélite (en raison de la culture du vaccin sur des reins de singe contaminés). De même, en 1990, le Times of London a publié un article (en consultation avec l'OMS et un médecin militaire qui est devenu plus tard le directeur des CDC de Trump) qui a noté que la propagation du sida à travers le monde reflète les campagnes de vaccination contre la variole de l'OMS - qui les ont amenés à conclure qu'elle a déclenché une suppression immunitaire qui a provoqué une infection latente du VIH pour se transformer en SIDA (la suppression immunitaire étant un problème fréquemment observé).
RépondreSupprimerL'histoire du vaccin contre l'hépatite B
Remarque: une grande partie de ce qui suit est d'une thèse qui, tout en ayant une forte concentration de DEI, fournit de loin le résumé le plus détaillé (et bien référencé) des événements que j'ai rencontrés quant à ce qui s'est passé avec le vaccin contre l'hépatite B.
Imagined Futures and Shifting Conceptions of Risk in hepatitisitis B Immunization Policy in the United States, 1982 1999
3,67 Mo et fichier PDF
L'hépatite est depuis longtemps un défi pour la médecine (par exemple, comme je l'ai détaillé ici, les lots de vaccins chauds contaminés par le virus de l'hépatite ont été un problème récurrent avec la vaccination), au point que le chercheur (Blumberg) qui a découvert l'antigène de surface de l'hépatite B en 1965 a remporté un prix Nobel. Une fois découvert, les tests sanguins pour il ont été rapidement développés avec Blumberg, au début des années 1970, proposant le vaccin d'origine plasmatique (et ensuite inactivé par la chaleur) et le développement entre 1971 et 1975.
Remarque: au-delà de la nécessité (par exemple, en raison de l'augmentation des taux d'hépatite B et d'une capacité toujours croissante à la détecter en raison du nouveau test), l'hépatite B était une maladie idéale pour fabriquer un vaccin contre, au-delà d'un grave préoccupation pour la profession médicale, elle avait une transmission limitée et n'a pas rapidement évolué vers des variantes résistantes aux vaccins (en lui faisant en théorie l'éliminer avec la vaccination de masse).
Dès le début, le vaccin était destiné à cibler les groupes à haut risque, et comme l'hépatite B était un problème important au sein de la communauté gay, et au milieu des années 1970, le développement du vaccin s'était considérablement accéléré grâce à l'assistance de la communauté gay (par exemple, ils ont souvent fait don de plasma et ont participé aux deux essais d'efficacité et au premier grand essai - qui a été mené par le New York Blood Center).
RépondreSupprimerLe succès du NYBC a été achevé, puis publié en 1980, recevant immédiatement des éloges de la part de personnalités américaines. L'année suivante, Merck a libéré Heptavax-B (qui a été fortement commercialisé auprès de la communauté gay - un mouvement ressenti très stigmatisant en raison de son lien entre la promiscuité et la mort - mais néanmoins la communauté gay s'est engagée dans un activisme généralisé pour augmenter la disponibilité et l'adoption des vaccins). L'année suivante (1982), l'ACIP l'a ensuite recommandé à des groupes à haut risque (par exemple, les hommes homosexuels ou bisexuels, les toxicomanes IV et les professionnels de la santé). Cependant, l'utilisation du vaccin reste faible (le prix du vaccin à raison de 145 pour trois doses (alors que d'autres vaccins coûtent environ 2 dollars), ce qui le rend assez inabordable, d'autant plus que de nombreuses assurances et programmes de l'État ne le couvriraient pas et qu'à l'époque, il n'était pas politiquement viable de mettre en place une couverture à large assise pour les hommes homosexuels (qui leur demandant de payer leur vaccin avec leurs propres fonds) - offrant une incitation à l'ajout au calendrier de vaccination infantile).
Remarque : en 1985, le vaccin a également été recommandé pour les hétérosexuels avec des partenaires sexuels multiples ou une MST récente.
En 1984, l'ACIP a ensuite recommandé un dépistage de l'hépatite chez les femmes enceintes à haut risque afin que leurs nourrissons puissent recevoir le vaccin et les immunoglobulines empêchant la transmission verticale (maternelle à ininfantile). Par la suite (au milieu des années 80), des tests approfondis ont révélé des taux d'hépatite B plus élevés que prévu (qui, dans les années 80, ont augmenté de façon alarmante de 37%), après quoi, en 1988, l'ACIP a recommandé de contrôler toutes les femmes enceintes (les données montrant uniquement que les mères « à risque » n'ont pas oublié 35 à 65 % de celles atteintes d'hépatite B).
Remarque: l'ACIP a attribué cette augmentation à 85 % du vaccin ne s'adressant qu'à trois groupes « à risque », tels que les travailleurs de santé (plutôt que ceux qui en ont le plus besoin). Cependant, je soupçonne qu'une partie de cette augmentation a été un artefact de l'augmentation des tests plutôt qu'une augmentation réelle étant donné que les taux d'hépatite B chroniques n'ont jamais augmenté.
Bien que l’ACIP ait précédemment favorisé une plus grande sensibilisation aux adultes à haut risque, Margolis (chef de la division de l’hépatite CDC) a plaidé en faveur d’un nouvel accent sur la vaccination des jeunes parce qu’ils pouvaient « être accessibles par des programmes de prévention avant que les modes de vie à haut risque ne soient initiés ». Même si les adolescents étaient plus proches de l'âge typique d'exposition à l'hépatite B, les parents étaient plus susceptibles de prendre leurs enfants pour des rendez-vous réguliers chez le médecin, ce qui rendait prévisible la vaccination des nourrissons. Margolis a rappelé que le taux élevé d'infection chronique chez les nourrissons était également un facteur important dans la décision de l'ACIP de passer à une stratégie basée sur le nourrisson. L'ACIP a convenu avec Margolis que la vaccination des nourrissons était le meilleur moyen de contrôler l'hépatite B, même s'il pouvait prendre 15 à 20 ans pour voir les effets sur la santé publique.
RépondreSupprimerEn 1990, l'ACIP a ensuite recommandé de vacciner tous les enfants de mères à haut risque (par exemple, les réfugiés des zones où les taux d'hépatite sont élevés). Puis, en 1991, citant la nécessité d'un accès prévisible aux nourrissons par le biais de visites de routine chez le médecin et de taux élevés d'infection chronique par le virus de l'hépatite B chez la petite enfance, a recommandé le vaccin contre l'hépatite B à tous les nouveau-nés tout en conseillant la vaccination des adolescents à haut risque (avec le déni de responsabilité selon lequel « la vaccination des personnes se livrant à des comportements, des modes de vie ou des professions à haut risque avant qu'elles ne soient infectées généralement). Enfin, en 1995, l'ACIP a étendu la recommandation à la vaccination de routine de tous les adolescents âgés de 11 à 12 ans et, en 1999, à tous les sujets non vaccinés âgés de 0 à 18 ans.
La thèse, à son tour, indique que les facteurs suivants ont joué un rôle clé dans la justification de l'administration du vaccin aux enfants de manière universelle :
« Comme on l'a vu plus haut, l'ACIP a noté que la vaccination des adultes était «généralement impossible» en raison des obstacles liés aux coûts et à la logistique.
«Le CDC a conclu (sur la base de recherches épidémiologiques montrant qu'un tiers des personnes atteintes d'hépatite B ont nié avoir des facteurs de risque pour elle) que les gens ne signalaient tout simplement pas leurs comportements à risque - d'où la rendre d'approches ciblées basées sur le risque qui n'étaient pas viables.
RépondreSupprimer«Au début des années 90, les adolescents (11 à 21 ans) et les jeunes adultes (22 à 39 ans) avaient les taux les plus élevés d'hépatite B, ce qui les a attribués, ce qui leur a été attribué le plus souvent, le cas pour le partage de l'aiguille par sexe non protégé.
Remarque: de nombreuses références à l'époque ont montré qu'il s'agissait de la question la plus importante au sein des communautés homosexuelles, bisexuelles et afro-américaines (en particulier celles qui se chevauchent) - une fois que la peur généralisée du VIH avait balayé à travers l'Amérique, ce qui a probablement conduit le CDC à conclure qu'il était au-delà de leur capacité à mener des activités de sensibilisation ciblées à ces grandes caractéristiques démographiques.
Ces actions, à leur tour, ont été très controversées car:
«Les membres du public ont estimé qu'une campagne de vaccination ne devrait pas leur être étendue pour les questions dont ils faisaient partie au sein d'une communauté (par exemple, lorsque la législature du New Jersey débattait d'un projet de loi finalement infructueux pour l'exiger pour l'entrée à l'école, un sénateur de l'État a déclaré: «Ils essaient de traiter les mauvaises personnes avec ce vaccin... Ils ne peuvent pas atteindre les adultes par l'éducation, donc c'est leur solution. Je pense qu'il s'agit d'un pauvre).
De nombreux pédiatres se sont montrés réticents à accepter les recommandations de l'ACIP selon lesquelles tous les nourrissons américains soient vaccinés contre l'hépatite B (en raison des nombreuses raisons pour lesquelles elle n'avait pas de sens), à leur tour, nécessitant environ cinq années d'efforts globaux pour « éduquer » les fournisseurs et les parents de la nécessité du vaccin, à l'époque, les pédiatres américains l'ont pleinement adopté.
«Les membres de la communauté gay ont estimé qu'une plus grande portée ciblée aurait pu résoudre le problème (par exemple, en travaillant avec le réseau existant de cliniques gays et de centres de santé communautaires - quelque chose que le CDC n'a jamais fait malgré les financements existants et les partenariats de recherche précédents).
Ou pour citer le médecin qui a témoigné en 1999 devant la législature de l'Ohio sur le soin de rendre le vaccin :
RépondreSupprimerLa raison d'être de la vaccination universelle des nourrissons aux États-Unis découlait de l'échec des stratégies actuelles de contrôle de cette maladie et non d'essais qui ont démontré l'efficacité ou la sécurité d'un programme universel de vaccination contre l'hépatite B.
Pourquoi le vaccin est-il donné ?
Étant donné que la raison officielle de la vaccination des nourrissons (prévenir la transmission de la mère au fœtus) est sur un sol extrêmement fragile, au fil des ans, j'ai entendu diverses théories pour expliquer cette politique. Parmi celles que j'ai entendues présenter avec la plus grande certitude (et parfois partagée par les «initiés») sont les suivantes :
«Étant donné que la caractéristique démographique cible du vaccin contre l'hépatite B est un segment relativement restreint de la population, la vaccination universelle était nécessaire pour augmenter les ventes à un niveau rentable et durable.
«Bien que la loi nationale sur les blessures par vaccins contre l'enfance accorde une immunité juridique aux fabricants qui blessent les personnes avec leurs produits, elle ne le fait que pour les vaccins qui sont inscrits sur la liste des CDC pour les enfants et les adolescents. En tant que tel, en raison du taux élevé de blessures du vaccin, il n'était pas financièrement viable de le vendre à moins qu'il ne soit « conseillé » pour tous les enfants américains et exempté de sa responsabilité.
«En faisant vacciner les parents à l'hôpital, ils doivent venir pour leur rendez-vous de vaccination de deux mois et donc être des patients qui obtiennent régulièrement des médicaments et des services médicaux.
«Étant donné que des blessures dues aux vaccins néo-nés se produiront avant que les parents aient une idée claire de ce qui est « normal » pour leur enfant, il leur est beaucoup plus difficile de reconnaître les dommages subtils qui se produisent fréquemment après la vaccination, ce qui rend encore une fois plus facile d'augmenter l'observance des patients.
RépondreSupprimerEn guise de bien, mais finalement incertain, pourrait être rédigé pour chacun d'entre eux, j'ai toujours été indifférent à la raison principale, ou alternativement, à un « avantage supplémentaire » qui a aidé à recueillir l'appui nécessaire à la mise en œuvre du programme.
Récemment, un collègue proche de l'un des membres de l'ACIP en 1991 qui a voté pour tous les nouveau-nés en Amérique pour recevoir le vaccin m'a contacté pour partager le membre de l'ACIP en 1991 :
Il m'a expliqué en toute confiance que le vaccin n'a pas été ajouté pour empêcher la transmission verticale [de la mère à l'enfant) mais d'amener le vaccin administré à un « audience captive » avant qu'ils ne puissent quitter l'hôpital. Ils craignaient que ce ne soit la seule occasion de prévenir l'infection à l'hépatite B plus tard dans la vie aux populations de jeunes des centres-villes les plus à risque.
Remarque: comme cela était partagé en toute confiance avec moi (vraisemblablement en partie parce que leur collègue de l'ACIP voulait que les choses restent confidentielles - ce qui, je soupçonne, était dû au retour public, ils savaient que leur décision serait excelle), j'ai modifié la déclaration que j'ai reçue pour préserver l'anonymat du lecteur. Dans la déclaration initiale, ils ont fourni des informations détaillées supplémentaires qui corroboraient leurs demandes.
À mon tour, je suis enclin à croire que l'incapacité des CDC à prendre en charge l'hépatite dans les communautés à risque était leur raison ultime de vacciner chaque nouveau-né, tandis que le « bénéfice pour les mères » était une excuse créée pour le justifier, en particulier lorsque vous considérez tout le contexte supplémentaire présenté tout au long de cet article et que le fait qu'il n'est pas considéré comme une raison valable de ne pas sauter la vaccination des nouveau-nés.
RépondreSupprimerConclusion
À mon avis, la saga du vaccin contre l'hépatite B illustre la façon dont le gouvernement adopte souvent une approche descendante pour s'attaquer à un problème difficile, même lorsque cette approche ne convient pas aux circonstances. À son tour, la pression subie par le CDC pour faire quelque chose contre l'hépatite B (étant donné que chaque tentative successive avait échoué) leur a fait conclure qu'ils n'avaient pas d'autre choix que d'ordonner universellement le vaccin, puis de surmonter la résistance publique à cela, insistent pour que le vaccin soit miraculeux et complètement sûr. Pour cette raison:
«Cens d'autres informations fondamentales nécessaires pour justifier la politique n'ont jamais été étudiées, ou si elles sont largement diffusées par le public (à leur tour, illustrant pourquoi le sénateur Cassidy a de fortes croyances en faveur du vaccin qui sont entièrement en contradiction avec les données réelles à ce sujet) - ce que je crois explique pourquoi malgré des décennies de vaccination des nouveau-nés - l'objectif ultime du programme (infections chroniques par hépatite B) reste inchangé.
Remarque: de la même manière, j'ai passé quelques semaines à essayer de comprendre comment les infections grippales mortelles (pour les comparer aux infections par le COVID) et j'ai fini par découvrir à ma grande surprise que personne ne connaît réellement «malgré le risque de mourir de la grippe» chaque année dans tous les médias pour commercialiser le tir annuel de la grippe.
«Toutes les inquiétudes concernant la sécurité du vaccin ont été balayées sous le tapis (ou préfacées de déclarations telles qu'il y a des preuves « insuffisantes » de dommages), toutes les recherches qui auraient dû être effectuées pour évaluer cette situation ne jamais être menées.
«Il est très probable qu'un vaccin plus sûr contre l'hépatite B (qui ne déclenche pas l'auto-immunité à la myéline humaine) ait pu être développé. Toutefois, étant donné qu'un monopole sans responsabilité a été créé, il n'y a jamais eu d'incitation à le faire.
RépondreSupprimerHeureusement, une occasion est enfin venue de corriger cette catastrophe de longue date, car demain, l'ACIP (qui est composée pour la première fois de membres indépendants) réévaluera enfin de manière critique le vaccin et évaluera si chaque nouveau-né devrait le recevoir. Il s'agit d'une occasion unique pour chaque personne que beaucoup ont consacré leur vie à la correction, et c'est pour cette raison que j'ai passé les deux dernières semaines à rédiger cet article afin que le public puisse mieux comprendre ce qui est réellement à débattre.
À ce titre, j’espère sincèrement que vous pourrez aider à attirer l’attention sur la question avant l’audition de demain (par exemple, en contactant votre sénateur pour exprimer son soutien en vue d’un changement des recommandations relatives à l’hépatite B ou en assistant à la réunion de l’ACIP). De même, je remercie chacun d'entre vous pour le soutien qui nous permet de réaliser ce type de travail.
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