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EVARS, que veulent-ils vraiment ? Un film du collectif « Réinfo Liberté Oise »
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RépondreSupprimerEVARS, que veulent-ils vraiment ? Un film du collectif « Réinfo Liberté Oise »
18.09.2025
www.kla.tv/38865
Le programme EVARS, de l'enfumage ? A partir de la rentrée 2025 le projet EVARS (Education à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité) sera intégré au programme scolaire français depuis la maternelle jusqu'au lycée. Ce programme est présenté comme une priorité absolue pour le bien de l'enfant face aux agressions sexuelles de plus en plus fréquentes, viols, harcèlement, pornographie, maladies sexuelles au point que la quasi-totalité du corps enseignant et la classe politique n'y voit que du feu. Pourtant une tout autre réalité existe ; l'auteur du documentaire "EVARS, que veulent-ils vraiment ?" démontre preuves à l'appui que ce projet prend ses racines tout simplement dans le terreau de la perversité la plus abjecte.
Parents, enseignants, politiques, il est urgent de nous réveiller car s'il est bien connu qu’on utilise la fumée pour endormir les abeilles afin de leur prendre le miel, dans ce cas-ci il est question de prendre nos enfants.
Film :
Éducation sexuelle à l'école : ce qu'ils veulent vraiment.
Avertissement :
Cette vidéo a été volontairement limitée aux plus de 16 ans. Des thèmes très sensibles y seront abordés donc si des enfants ou jeunes adolescents se trouvent près de vous, reportez le visionnage à plus tard. Si vous même êtes très sensible à l'évocation de certains sujets comme les violences faites aux enfants, soyez prévenus que certains passages seront très pénibles à entendre, tout comme cette enquête a été éprouvante à réaliser. Dans cette démarche de recherche de la vérité, il nous a paru indispensable de chercher au plus noir de l'âme humaine afin de prévenir ce que le futur des décisions politiques nous réserve. Peut-être n'êtes-vous pas encore prêt, vous seul le savez.
Il n'y a pas une vérité absolue, aussi nous tâcherons au maximum de préciser ce qui relève des faits sourcés et des pures spéculations de notre part. Partir d’événements factuels pour imaginer le futur est, nous semble-t-il, le meilleur moyen de l'anticiper.
Certains appelleront ça du complotisme, d'autres du bon sens.
1. Introduction
RépondreSupprimerMardi 10 septembre 2024.
Le CESE, Conseil économique, social et environnemental, présente le projet EVARS, intégrant l’éducation à la sexualité dans les objectifs éducatifs pour tous les niveaux scolaires, de la maternelle au lycée. Ce programme s’inscrit dans la lignée des directives de l’OMS et de la Déclaration des Droits Sexuels de l’IPPF (Fédération internationale du planning familial).
Selon les deux rapporteurs, mais aussi les nombreux intervenants, il y a urgence à intégrer l'éducation sexuelle à l'école. Les chiffres sont accablants :
Extraits vidéo :
« Les enfants, par exemple en situation de handicap, ont un risque trois fois plus élevé d'être victime de violence sexuelle
L'usage des préservatifs chez les jeunes diminue de près de 10 %.
En parallèle, les maladies sexuellement transmissibles augmentent. 48 % pour les cas de gonorrhée, 34 % pour la syphilis, 16 % pour les chlamydias.
Un quart des jeunes hommes, de 18 à 24 ans, adhèrent à l'idée que, quand une femme dit non, cela veut dire oui.
L'Observatoire des violences sexuelles nous rappelle que près de 7 victimes de violences sexuelles sur 10 sont des femmes de 18 à 34 ans.
160 000 enfants sont chaque année victimes de violences sexuelles
C'est à 10 ans que les enfants sont exposés en moyenne pour la première fois à la pornographie.
Aujourd'hui, moins de 15% des élèves bénéficient de trois séances annuelles d'éducation à la sexualité, à l'école primaire et au lycée.
17% des personnes âgées de 15, 24 ans déclarent n'avoir jamais reçu d'éducation à la vie affective et sexuelle
En 2023, en France, une femme meurt encore tous les trois jours sous les coups de son conjoint ou de son ex conjoint.
Un ou une enfant meurt toutes les semaines sous les coups de ses parents.
77% des violences sexuelles sur les enfants se déroulent au sein de la famille. Le risque étant presque triplé pour les enfants porteurs d'un handicap.
En 2022, une femme sur cinq de 18 à 24 ans déclare avoir subi déjà un viol ou une agression sexuelle.
2/3 des enfants de moins de 15 ans et 1/3 des enfants de moins de 12 ans ont déjà eu accès à des images pornographiques non souhaitées, pour la plupart et majoritairement pour les femmes ou les jeunes filles.
31% des jeunes femmes ou hommes interrogés en 2021 et âgés de moins de 24 ans déclarent être mal informés sur le VIH.
23% pensent que le SIDA peut être transmis en embrassant une personne séropositive.
50% des jeunes homosexuels ont ressenti des discriminations durant leur parcours scolaire, collège et Lycée confondus. »
Ces chiffres nous assomment, donnent le tournis, nous culpabilisent aussi. On nous parle des droits de l'enfant bien sûr, mais aussi du droit des femmes. Les notions se juxtaposent, se confondent, s'échangent : violences sexistes, violences sexuelles, consentement...
RépondreSupprimerDeux termes reviennent beaucoup : les droits sexuels et la santé sexuelle. Dans tous les textes traitant de l'éducation sexuelle depuis plusieurs décennies, on les emploie sans arrêt, tournant constamment autour mais sans jamais vraiment les définir. Il m'a fallu des semaines, mais j'ai fini par comprendre leur signification. Et alors tout est devenu beaucoup plus clair, mais nous y reviendrons plus tard.
Ce 10 septembre 2024, le consensus est total : la mise en place de l'EVARS est une priorité absolue, presque vitale, pour nos enfants. Tous les représentants syndicaux de l'éducation, et la quasi-totalité de la classe politique sont unanimes.
La résistance à l'application de la loi de 2001 imposant 3 cours annuels de sexualité à l'école ne semble venir que de groupuscules intégristes, religieux ou réactionnaires d'extrême droite.
Pourtant, en 2018, un collectif de professionnels pédopsychiatre nous mettait en garde contre l'éducation sexuelle à l'école, remontant à la source des théories qui nous concernent encore aujourd'hui. Dans un document passionnant, fruit d'une recherche méticuleuse qui remonte aux années 40, ils ont mis en évidence l'imposture des droits sexuels.
C'est l'histoire de cette imposture que je vais vous raconter.
Et pour cela, nous allons devoir remonter presque cent ans en arrière :
1. L'Iceberg d'Alfred Kinsey
Je pensais tout connaître de Kinsey, en tout cas beaucoup de choses. Peut-être le pensez-vous aussi.
Mais faire des recherches sur cet homme s'apparente à une plongée vertigineuse dans le terrier du lapin. Avant de déterminer l'impact considérable que cet homme a eu, et a encore aujourd'hui sur nos vies, il faut le présenter. Mais par où commencer ?
Nous allons utiliser le principe de l'Iceberg, ce même que vous avez sans doute déjà croisé sur internet :
Comment cela fonctionne-t-il ?
Eh bien nous allons partir de la partie immergée de l'iceberg, l'histoire de Kinsey que tout le monde ou presque connaît, celle accessible par une simple recherche google, un résumé Wikipédia ou quelques articles dans la presse généraliste.
Puis nous irons sous la surface, révélant certains aspects moins connus, ou pudiquement qualifiés de « controverses » ayant trait à Kinsey.
Et de strates en strates, plus nous descendrons vers les abysses, plus les éléments seront obscurs, méconnus voire totalement inconnus du grand public.
Et la descente va être longue.
RépondreSupprimerMais commençons par la partie visible de cet iceberg.
LA PARTIE VISIBLE DE L'ICEBERG
Alfred Kinsey est un entomologiste américain né en 1894 dans le New-Jersey.
Ses parents sont des chrétiens méthodistes et lors de son enfance, le jeune Alfred ne côtoie que très peu de personnes extérieures à son église.
Lorsqu'il se découvre bisexuel à l'adolescence, Kinsey vivra très mal la répression faite aux homosexuels et la condamnation par l'église de l'homosexualité, et même de la sexualité dans son ensemble.
Il développe alors des pratiques masturbatoires sado masochiste, pris entre ses penchants naturels et son environnement religieux.
Étudiant brillant et studieux, il obtient en 1919 son doctorat en biologie à l'université de Harvard, et commence à enseigner à l'université de l'Indiana.
C'est pendant cette période qu'il renonce à la religion et se déclare athée, ne croyant plus qu'en « la science ».
Grand spécialiste des insectes et particulièrement des guêpes, il contribue grandement à la collection du musée d'histoire naturelle de New-York.
Il se marie en 1921 et devient père de quatre enfants. Sa femme et lui vivront en union libre, et Kinsey aura plusieurs amants.
Lors de ses cours de biologie à l'université, Kinsey remarque un phénomène curieux : les questions de fin de cours de ses étudiants dérivent presque immanquablement vers la sexualité humaine.
Poussé alors par sa curiosité scientifique, Kinsey entreprend au milieu des années 40 une vaste étude de la sexualité humaine. Grâce à une bourse de la fondation Rockefeller, il monte l'Institut Kinsey et réunit une équipe de scientifiques.
Pendant plusieurs années, interrogeant sans relâche des milliers de personnes grâce à des questionnaires très précis qu'il a lui-même élaborés, Kinsey et ses collaborateurs vont accumuler un nombre incroyable de données concernant la sexualité humaine.
Selon Alain Giami, chercheur en sciences sociales : « [Kinsey] veut élaborer une connaissance essentiellement descriptive des pratiques effectives, dépourvue de toute connotation morale et de tout jugement à priori. »
Kinsey représente la figure archétypale du scientifique victorien dépassionné, ne croyant que les données recueillies grâce à une méthodologie éprouvée.
RépondreSupprimerCes données, amassées au cours de plus de 10 000 interviews, constituent une base de données étudiée, explorée et citée dans de nombreuses études sur le sexe, jusqu'à nos jours.
Kinsey publie en 1948 « Le comportement sexuel de l'homme », suivi en 1953 par « Le comportement sexuel de la femme », deux ouvrages connus ultérieurement sous le nom de rapports Kinsey.
Dès la sortie du premier recueil, tout va changer pour Alfred Kinsey : le petit entomologiste spécialiste des abeilles devient, du jour au lendemain, une superstar.
Les rapports Kinsey vont à la fois choquer et enthousiasmer l’Amérique puritaine d'après-guerre. On ne parle plus que de ça, Kinsey fait la une des journaux, notamment du Times, apparaît même dans des chansons (extrait Ella Fitzgerald).
Kinsey a sorti la sexualité du carcan religieux et moral pour exposer une réalité sans tabou et des chiffres incroyables :
37% des sujets mâles ont vécu au moins une expérience homosexuelle, et 10% sont « plus ou moins homosexuels pendant au moins trois ans entre 16 ans et 55 ans.
50 % de tous les hommes mariés ont eu des relations sexuelles extra conjugales. Environ 26 % des femmes dans la quarantaine avaient eu une relation hors mariage.
Entre 1 sur 6 et 1 sur 10 des femmes âgées de 26 à 50 ans avaient des relations sexuelles hors mariage.
12 % des femmes et 22 % des hommes ont rapporté avoir eu une réaction sexuelle face à une histoire sadomasochiste.
Avec ses travaux, Kinsey a révélé que des sexualités considérées comme marginales et bien souvent condamnées pénalement étaient bien plus répandues que ce que l'on pourrait croire : les relations avant le mariage, l'adultère, la masturbation, l'homosexualité, le sado-masochisme, la prostitution, la bisexualité...
Il meurt le 25 août 1956, à l’âge de 62 ans, d'une maladie de cœur et de pneumonie.
Voilà pour la partie immergée de l'Iceberg. Si vous tapez le nom de Kinsey dans un moteur de recherche aujourd'hui, vous retrouverez plus ou moins la même chose.
En bon marronnier éditorial, le sujet Kinsey revient régulièrement dans la presse, ressortant quasi-invariablement le même narratif : celui du scientifique débonnaire au nœud papillon qui a initié la révolution sexuelle et ouvert l'Amérique, si ce n'est le monde, aux plaisirs jusque-là défendus.
Descendons maintenant sous la surface, et plongeons vers les eaux claires.
LES EAUX CLAIRES
RépondreSupprimerNous sommes maintenant sous la surface. Dans ces eaux claires, beaucoup d'éléments sont trouvables aisément en ligne, mais souvent accolés du terme de « controverses » et pudiquement entourés d'énormes points d'interrogation.
Or, nous allons le voir, tout est très clair, parfaitement sourcé et ces points d'ombre n'ont rien de mystérieux, pour qui se donne la peine de chercher.
La méthodologie Kinsey
En avril 1951, un comité de la Société américaine de Statistique est chargé d'évaluer les recherches de Kinsey. L'un de ses membres, John Tukey, se montre très critique, notamment quant au choix des personnes interrogées.
« Il aurait mieux valu trois personnes au hasard qu'un groupe de 300 personnes sélectionnées par Kinsey »
En effet, parmi l'échantillon d'hommes interrogées par Kinsey (et de l'aveu même de ses anciens collaborateurs) :
– 55% étaient des détenus ou d'anciens prisonniers.
– 5% étaient des prostitués masculins.
– 26% des hommes blancs étaient des délinquants sexuels.
Kinsey se défendra ainsi :
« Notre étude tient compte de toutes sortes d'individus et de tous les aspects du comportement sexuel. Les cas étudiés, ainsi que les résultats obtenus sur chaque cas, ont été choisis sans aucune notion préconçue de rareté ou de banalité, de normal ou d'anormal, de valeur morale ou sociale. Une telle discrimination aurait empêché d'établir les faits de façon précise. »
Ainsi, Kinsey se dédouane d'une critique portant sur la validité statistique d'une étude en invoquant des biais moraux et l'imposition d'une norme liée au contexte culturel et sociologique, l'éloignant ainsi de la démarche scientifique.
Cette objection serait valable si les rapports Kinsey se présentaient uniquement comme une étude exhaustive de toutes les formes de sexualité humaine, des plus courantes aux plus marginales.
Mais l'immense impact de ces rapports sur la société américaine de l'époque repose essentiellement sur les chiffres statistiques énoncés plus haut, sans arrêt mis en avant par la presse et les commentateurs. (37% des sujets mâles ont vécu au moins une expérience homosexuelle, et 10% sont « plus ou moins homosexuels » etc.).
En aucun cas l'échantillon choisi par Kinsey ne peut être représentatif de la société américaine dans son ensemble, et il n'est pas besoin d'un diplôme en statistique pour comprendre qu'il s'agit là d'une énorme fraude scientifique.
N'oubliez pas que les rapports Kinsey et les chiffres mis en avant par ses ouvrages sont encore cités aujourd'hui par de nombreux textes officiels. Et le sophisme opposant l'avancée progressiste des droits sexuels à une morale réactionnaire perdurera jusqu'à l'EVARS.
La véritable sexualité de Kinsey
RépondreSupprimerUn jour, Kinsey s'est circoncis lui-même avec un couteau de poche, sans anesthésie. Il se mutilait les parties génitales avec des cordes et introduisait des objets dans son urètre. Il souffrait constamment d’une inflammation des testicules. Selon James Jones qui a écrit la biographie de Kinsey, celui-ci ne serait pas mort d’un trouble cardiaque, ni d’une pneumonie (version officielle de Wikipedia), mais bien de complications liées à l’inflammation qu’il avait aux parties génitales :
“ L'orchite ... marquée par la douleur, le gonflement ... est généralement due à la gonorrhée, à la syphilis, à la filariose ... L'orchite traumatique [est] une orchite consécutive à un traumatisme". Ceci n’était pas dû à la malchance, mais au fait que Kinsey avait eu des centaines de rapports violents avec de nombreux partenaires sexuellement malades, ainsi que des traumatismes importants, aux testicules et à l'urètre. Cette mort suggère fortement que Kinsey avait aussi contracté une maladie vénérienne au cours de ses ébats frénétiques. Ceci et le terrible traumatisme qu'il a infligé (mutilation)... à ses organes sexuels ont sans aucun doute conduit directement à sa mort prématurée. » Reisman ‘Sexual Sabotage, p. 67
S'il n'y a rien en soi de condamnable dans ce que nous venons de décrire, car il s'agit de maux que Kinsey s'infligeait à lui-même, on peut tout de même s'interroger sur la santé mentale d'un personnage capable de telles actions.
Est-ce cela la santé sexuelle ? Non bien sûr, mais nous y reviendrons.
Que de tels comportements soient induits par une bisexualité réprimée par un environnement puritain, cela peut s'entendre. Mais Kinsey, et de nombreux témoignages l'attestent, n'a eu de cesse jusqu'à sa mort de vouloir uniformiser ce type de comportement à la société toute entière.
Et voici un autre sophisme qui perdure aujourd'hui encore, en partie à cause de Kinsey : considérer la sexualité hétérosexuelle reproductive comme une norme reviendrait de fait à en exclure toutes les autres, et par là-même à les réprimer.
Ce type de généralisation est très dangereux, car il supprime toute hiérarchie dans l'établissement d'une norme.
Kinsey et ses successeurs vont s'établir à niveler toutes les sexualités et orientations sexuelles jadis considérées comme marginales, mettant au même niveau l'homosexualité, l'adultère, avec le sadomasochisme, la zoophilie ou... la pédophilie.
Toute société un tant soit peu démocratique se doit de choisir ce qui est permis ou non, sur tous les sujets, y compris la sexualité. Vous qui m'écoutez, quels que soient vos convictions ou vos repères moraux, ou religieux, votre degré de tolérance vis à vis de ce que je viens d'énumérer a ses limites.
Et le consentement n'est pas une baguette magique qui va tracer une ligne claire entre l'acceptable et l'intolérable. Nous y reviendrons.
Abordons maintenant le dernier sujet de ces eaux claires :
La sexualité pré-adolescente
RépondreSupprimerLe 22 mai 1951 sort une nouvelle édition du magazine Look. Au sommaire : le président Truman, la belle Ava Gardner, le valeureux Joe DiMaggio et... un article sur l'incroyable Dr. Kinsey.
Trois ans après la sortie du premier rapport Kinsey, le journaliste Albert Deutsch semble avoir des infos sur le prochain sujet du professeur... les enfants.
J'ai pu me procurer une copie du magazine. Voici comment Albert Deutsch décrit les recherches du bon professeur :
« L’ouvrage que Kinsey projette de publier sur nos lois sexuelles sera sans doute suivi d’un autre ouvrage portant, cette fois, sur le développement des attitudes et comportements sexuels chez les enfants.
Kinsey a déjà rassemblé de très nombreuses données par suite des expériences sexuelles réalisées sur des centaines d’enfants en l’espace de six ans. Les experts qui ont vu le scientifique de l’Indiana “interviewer” des enfants saluent l’originalité et l’efficacité de sa technique […] Kinsey se fait inviter en ami chez les parents de ses sujets. Présenté à l’enfant dans le cercle familial, il parle et joue avec lui. »
« […] [Après avoir dessiné une personne, Kinsey] demande à l’enfant ce qu’il doit faire pour qu’elle ressemble à un homme ou à une femme, et ainsi de suite. Ou bien, il laisse l’enfant dessiner.
Progressivement, peu à peu, il parvient à se faire une idée précise de ce que l’enfant connaît des différences sexuelles et du sentiment qu’il en retire. Il n’y a jamais rien de suggestif ou de gênant.
L’enfant ne sait jamais qu’il est interviewé. »
Albert Deutsch avait vu juste : le prochain ouvrage de Kinsey qui paraîtra deux ans plus tard comportera bien un chapitre entier consacré à la sexualité pré-adolescente.
Si Alfred Kinsey a rassemblé des données par une méthode approuvée par de nombreux experts, en interrogeant sans même qu'ils ne s'en rendent compte des enfants sous l’œil protecteur de leurs parents, et sous la forme de jeux innocents, on ne peut que l'en féliciter n'est-ce pas ?
N'est-ce pas ?
LES EAUX SOMBRES
RépondreSupprimerNous arrivons maintenant dans les eaux sombres.
Ici, les sujets sont beaucoup plus méconnus, trouvables mais de manière parcellaire. Les sources sont obscures et difficiles à se procurer. Certaines semblent même avoir disparues de la toile alors qu'on sait qu'elles ont existé.
Je vais répéter l'avertissement du début de la vidéo : à partir de maintenant nous allons traiter frontalement de sujets terrifiants et difficiles à supporter. Aucune image explicite ne sera montrée, mais nous allons plonger dans les tréfonds de l'âme humaine. Si vous ne vous en sentez pas capable, arrêtez la vidéo dès maintenant ou sautez à ce time-code :
Les tables 31 à 34
Vous devez vous doutez que l'image d’Épinal donnée par le journaliste de LOOK ne correspond en rien à la réalité. Y croyait-il lui-même ? Difficile à dire.
Mais un simple examen des différents tableaux déjà présents dans le premier livre de Kinsey aurait dû interpeller.
En particulier les tableaux 31 à 34. Ce qu'ils décrivent est monstrueux.
Tableau 30 : « Érotisme et orgasme chez le pré-adolescent » […] les données initiales obtenues auprès de certains de nos sujets ont servi à l’élaboration du présent ouvrage. Un orgasme « a été observé ensuite sur les 214 cas rapportés, sauf 14 »
Tableau 31 : « Âges de l’orgasme pré-adolescent : fondés sur l’observation de 317 individus mâles »
Tableau 32 : « Rapidité de l’orgasme pré-adolescent »29
Tableau 33 : « Orgasme multiple chez les pré-adolescents mâles »
Tableau 34 : « Exemples d’orgasme multiple chez les pré-adolescents mâles. Certains cas de fréquence plus élevée ». Et « mesurée avec l’aiguille des secondes ou un chronomètre […] âge des sujets compris entre cinq mois et l’adolescence ».
Comment peut-on croire que ces données aient été obtenues à partir de simples entretiens avec des enfants à qui on demande de dessiner des messieurs et des « madames » ?
Et nous ne parlons pas seulement d'enfants mais aussi de nourrissons.
Ces tableaux ont bien entendu fait l'objet de nombreuses spéculations, et suscité bon nombre d'interrogations. Comment Kinsey a-t-il obtenu ces données ?
En 1990, Judith Reisman qui enquête alors sur Kinsey écrit une lettre à l'institut Kinsey, demandant comment l’équipe de Kinsey pouvait être certaine que ce qu’elle observait, c’étaient « des activités spécifiquement sexuelles » chez les très jeunes enfants ; elle s’était enquis également de la nature de la stimulation.
Paul Gebhard, ancien collaborateur de Kinsey et directeur de l'institut à l'époque (car oui, l'institut créé par Kinsey existe toujours aujourd'hui) lui a fait la réponse suivante :
RépondreSupprimer« Certaines de ces sources ont ajouté à leurs comptes rendus écrits ou oraux des reportages photographiques et, dans certains, des films […] Les techniques employées étaient l’auto-masturbation par l’enfant, les jeux sexuels entre deux enfants et les contacts entre adulte et enfant, de nature principalement manuelle ou orale. »
Cette réponse est hallucinante. Gebhard fait explicitement référence à des photographies et des films pédopornographiques, consultés par l'équipe de Kinsey. Il semble cependant prendre des pincettes en utilisant le terme « principalement » ce qui fait froid dans le dos.
Mais ce qui interroge le plus, ce sont les sources qu'il mentionne.
Quelles sont ces sources ?
Les pédophiles de Kinsey :
• Rex King.
Nous sommes plusieurs années avant la publication des rapports Kinsey. Au beau milieu du désert de l'Arizona, une voiture roule à vive allure dans un décor de western.
Au volant, Alfred Kinsey est formidablement excité. Il s'apprête à rencontrer un homme en qui il fonde de grands espoirs pour sa recherche.
Épuisé et en sueur, Kinsey vient de parcourir plus de deux mille kilomètres.
Mais le jeu en vaut la chandelle.
C'est son mentor en sexologie, le Dr. Robert Dickinson, qui lui a donné ce contact.
Enfin arrivé au point de rendez-vous, au bord d'une route poussiéreuse, Kinsey discerne la silhouette d'un homme au complet sombre qui contraste avec l'aridité du paysage.
Cet homme s'appelle Rex King.
King est un pédosadique reconnu, et Dickinson, qui le considère comme son protégé, l’a instruit sur la manière d’enregistrer les observations que lui inspiraient ses rencontres sexuelles avec des enfants pour que cela puisse être d’une « certaine utilité » à la communauté scientifique.
Suivant les conseils et la méthodologie de Dickinson, King s'est mis à noter les détails de ses actes dans des carnets qu'il enterrait dans le désert de l'Arizona.
On ne sait pas exactement ce que les deux hommes ont pu se dire, mais la rencontre est fructueuse pour Kinsey qui réussit à convaincre King de lui confier ses carnets.
Ils se mettent d'accord : afin de protéger l'identité de King, Kinsey le surnommera désormais « Mr. Green ».
De retour à la maison, Kinsey confie les dossiers à sa femme qui va les dactylographier et les ranger dans des classeurs rouges.
Ces dossiers contiennent les détails d'abus sexuels commis par King sur plus de 800 enfants depuis 1917. Les classeurs rouges sont encore aujourd'hui conservés dans les archives de l'institut Kinsey.
RépondreSupprimerKinsey s'entretiendra avec King par correspondance pendant plus de trois ans.
Kinsey à « Mr. Green » :
« Je vous félicite pour l'esprit de recherche qui vous a poussé à collecter des données sur toutes ces années. Tout ce que vous avez accumulé doit être amené vers la démarche scientifique. »
Il est aujourd'hui très compliqué de trouver la véritable identité de Rex King (qui est probablement aussi un surnom), ou de savoir s'il a finalement été condamné pour ses actes.
En réalité les plus grandes preuves de son existence proviennent de l'institut Kinsey lui-même, qui n'aura de cesse de le protéger durant toutes ces décennies, tout en admettant qu'il a constitué une source primordiale pour les rapports Kinsey.
D'après plusieurs sources difficilement vérifiables, King aurait été un employé du gouvernement qui sillonnait les routes américaines dans le cadre de sa fonction. Faisant de lui un prédateur redoutable...
Friedrich von Balluseck était un avocat administratif allemand, membre du parti nazi à partir de 1930. Après l'occupation de la Pologne par la Wehrmacht, il devient capitaine du ghetto de Jędrzejów. Fort de sa position, il agressera sexuellement de nombreuses femmes et enfants polonais, exécutant ceux qui refusaient de se soumettre.
Après la guerre, Balluseck se reconvertit en professeur de religion dans les écoles de Berlin. Ce n'est qu'en 1956, après la découverte du corps d'une petite fille, que la justice va enfin s’intéresser à lui. Suspecté du meurtre, il sera arrêté par la police allemande qui va trouver chez lui une abondante correspondance avec un scientifique américain. Un certain Dr. Kinsey.
Ces lettres seront très instructives pour les officiers berlinois qui vont vite comprendre que Balluseck était un prédateur pédophile. Ils apprendront également que Balluseck, à l'instar de Rex King et probablement à la demande de Kinsey, détaillait tous ses crimes dans des carnets qu'il envoyait à Kinsey.
Avant le procès, afin de prouver la culpabilité de Balluseck, la police fera officiellement la demande à Kinsey de leur remettre ces carnets. Kinsey refusera fermement, menaçant de brûler les carnets plutôt que de les donner à la police.
Lors du procès, le juge demandera à Von Balluseck :
« J'ai cette impression que vous avez approché ces enfants afin d'impressionner Kinsey et lui fournir du contenu... »
Réponse de Von Balluseck :
« Kinsey lui-même me l'a demandé... »
Balluseck ne sera jamais condamné pour meurtre, mais plaidera coupable pour les viols d'une trentaine d'enfants. Il ne fera que 6 ans de prison.
RépondreSupprimerL'institut Kinsey détient toujours les journaux de Balluseck et Rex King.
Voici, dans un documentaire de 1998, ce que le directeur de l'Institut Kinsey John Bancroft a affirmé :
« Kinsey, dans ses écrits, a toujours été très clair : comme il la voyait, sa tâche était de trouver le plus possible d'informations sur la sexualité humaine. Il recherchait ces informations où qu'il puisse les trouver. Il a toujours affirmé que son rôle de scientifique n'était pas de porter des jugements. [...] Il est inconcevable, dans un travail de recherche, de garantir la confidentialité à quelqu'un pour ensuite le dénoncer à la police. Ce serait immoral au plus haut point... ».
Il est intéressant de noter que ce John Bancroft, directeur de l'institut Kinsey jusqu'en 2004, a démarré sa carrière dans la recherche en testant des thérapies à base d'électrochocs afin de « guérir » des patients homosexuels, travestis et pédophiles...
• Au moins cinq directeurs d’écoles pédophiles et d’autres criminels lui auraient fourni des données sur les abus sexuels qu’ils pratiquaient sur des enfants, mais également des films que Kinsey visionnait avec son équipe.
C'est donc grâce à toutes ces « précieuses » sources que Kinsey a pu établir les tableaux 31 à 34.
Et la première conclusion qu'il va en tirer, qui va devenir un dogme et un leitmotiv jamais contesté dans tous les textes relatifs à l'éducation sexuelle, est que l'enfant est un être sexuel dès la naissance.
Nous pouvons donc remercier King, Balluseck et Kinsey pour cet inestimable apport à la science !
Mais c'est dans le second rapport Kinsey relatif à la sexualité féminine que Kinsey va préciser sa pensée sur le sujet.
Citations d'Alfred Kinsey dans « le comportement sexuel de la femme »
Dans son "Female Report", page 115, Kinsey écrit :
« Certains des contacts sexuels pré-adolescents ont fourni des satisfactions émotionnelles qui ont conditionné la femme pour l’acceptation d’activités sexuelles ultérieures. »
RépondreSupprimerQuelques pages plus tard, Kinsey explique qu’ils ont l’intention d’enseigner au public à accepter la notion que les adultes peuvent utiliser les enfants comme « partenaires » sexuels :
« Il y a bien sûr des cas d’adultes qui ont causé des blessures physiques aux enfants avec lesquels ils ont tenté des contacts sexuels… Mais ces cas sont minoritaires et le public devrait apprendre à distinguer ces contacts délétères des autres contacts avec les adultes qui ne risquent pas de nuire à l’enfant si les parents de l’enfant ne s’inquiètent pas… Nous n’avons eu qu’un seul cas clair de blessure grave causée à l’enfant et très peu de cas de saignements vaginaux qui, cependant, n’ont pas semblé faire de dommages appréciables (…) Il est difficile de comprendre pourquoi un enfant, à l’exception de son conditionnement culturel, devrait être perturbé par le toucher de ses organes génitaux, ou perturbé encore plus par des contacts sexuels spécifiques ».
Il propose également de redéfinir la notion d’abus sexuel sur enfant en insistant sur le fait que :
« Certains contacts avec des adultes peuvent être une source de plaisir pour les enfants. »
Faut-il être un réactionnaire d'extrême-droite pour considérer que si, ne serait-ce qu'une infime partie de ce discours se retrouvait dans les textes officiels concernant l'éducation des enfants, les parents seraient en droit de sérieusement s’inquiéter ?
Retenez bien ces citations, elles sont primordiales pour comprendre l'évolution de l'éducation sexuelle à l'école.
LES EAUX PROFONDES
Nous entrons maintenant dans les eaux profondes.
Les éléments dont je vais vous parler sont très peu connus et comportent une partie de spéculation, mais ils sont tous basés sur des faits bien réels et sourcés. Des faits que j'ignorais totalement avant de commencer ma recherche.
Et si comme moi, après tout ce que je viens de vous raconter, vous pensez que l'on ne peut pas descendre plus bas dans l'horreur.
Eh bien, comme moi, vous vous êtes trompés.
Le programme Colombia-Greystone
Reprenons l'article d'Albert Deutsch dans le magazine LOOK.
Sous le titre « Étude de cas mentaux », Deutsch explique qu'il y a environ deux ans (soit vers 1948) :
« À l’invitation d’un groupe de l’Université Columbia, Kinsey a accepté de participer à une enquête de grande envergure sur le comportement de patients présentant des troubles mentaux et appelés à subir une topectomie, forme modifiée de l’opération cérébrale connue sous le nom de lobotomie.
« Assisté de Pomeroy, Kinsey a mené une étude intensive sur les attitudes et comportements sexuels, avant et après l’opération, de patients atteints de troubles mentaux au Rockland State Hospital de New York et au Greystone Park State Hospital du New Jersey. La réalisation de ce projet s’étalera sur plusieurs années. »
Kinsey ne fera pas référence explicitement à ce programme, mais on le trouve dans l'index de son « Rapport femmes » sous le nom de « Colombia Brain Research Project » ou « Colombia-Greystone ». C'est d'ailleurs dans ce même rapport qu'il écrira ceci :
RépondreSupprimer« Nous avons eu le loisir d’effectuer une étude à long terme sur 95 patients soumis à une opération du lobe frontal. Nous avions obtenu le dossier personnel de chacun avant l’opération, y compris celui des activités sexuelles qu’il avait eues durant un certain temps avant son opération […] De même, nous avons pu consulter les dossiers de ces mêmes patients concernant leurs activités pendant un certain temps après l’opération (en moyenne, 3,7 ans). »
Ici, Kinsey ne donne aucun détail concernant les 95 patients, autre qu'ils étaient de sexe féminin. On ne peut que se demander si ces patients n'étaient en fait des enfants...
Car oui, les deux hôpitaux psychiatriques de Rockland et Greystone possédaient des services pédiatriques.
Il faut bien avoir conscience que les hôpitaux psychiatriques après la deuxième guerre mondiale, notamment aux USA et au Canada, ont été le cadre d'expérimentations et de traitements tout simplement inhumains, et ce dans la plus totale impunité.
Comme l'a révélé le Dr. Peter Breggin, des enfants de six à douze ans pouvaient être lobotomisés sur un simple diagnostic d’agressivité ou même d'hyperactivité. Howard Dully raconte dans son livre « Ma lobotomie » comment il fut lobotomisé à l'age de douze ans à l'hôpital Greystone par le célèbre Dr. Walter Freeman, surnommé « le pic à glace », sans que personne, ni ses parents, ni la communauté médicale, ni les autorités de l’État ne soit intervenu pour l'empêcher.
Ces hôpitaux « psychiatriques », contrevenant au code de Nuremberg pourtant signés par les États-Unis en 1947, étaient comme des forteresses de souffrance, impénétrables et coupées du monde, où des scientifiques douteux disposaient d'une réserve presque illimitée de cobayes .
Or nous savons désormais avec certitude que Kinsey avait accès à ces hôpitaux et, en raison de son statut, très certainement carte blanche pour y pratiquer ses expériences...
Rockland Hospital
Penchons-nous un peu plus sur l'hôpital d’État Rockland.
Mis en service au début des années 30, L’hôpital d’État Rockland était un endroit où l’on s’adonnait notoirement à des actes de cruauté, et il a été décrit de manière frappante mais exacte dans le film oscarisé de 1948 intitulé « The Snake Pit » [La fosse aux serpents], dont l’actrice vedette était Olivia de Havilland.
RépondreSupprimerIl est très compliqué encore aujourd'hui, d'avoir accès à des informations précises sur cet hôpital et les expériences qui y ont été menées. Un bâtiment entier était réservé à la psychiatrie infantile.
Sur le site internet de Rockland, on trouve de nombreux commentaires d'anciens patients dans les années 50 ou de leur famille faisant état de violences extrêmes. Certains mentionnent même l'existence d'un cimetière près du terrain de golf...
Mis hors service au début des années 2000, les bâtiments à l'abandon ont fait le bonheur des amateurs de l'urbex, une pratique qui consiste à visiter des lieux urbains abandonnés.
Sur de nombreuses images du service pédiatrique, on peut trouver d'étranges équipements qui ressemblent à des chaises de dentiste.
Il s'agit en fait de chaise à électrochocs pour enfants.
Ce type d'établissement possédait tous les avantages pour qu'un « scientifique » tel que Kinsey puisse pratiquer ses expériences en toute tranquillité : dispositifs de rétention, pièces isolées et capitonnées, aucun risque de problème avec les familles des sujets, sans oublier l'aide bienveillante de tout le personnel de l'hôpital qui au mieux regardait ailleurs lorsque le bon Dr. Kinsey était à la pratique...
Tout ceci apporte une dimension nouvelle aux fameux tableaux de Kinsey.
Avide de données, ce cher Alfred a certainement dû croiser les rapports de tous ses amis pédophiles avec ses propres expériences.
L'Eugénisme de Kinsey
Pour ce dernier thème des eaux profondes, nous allons respirer un peu.
Enfin c'est une manière de parler car même s'il ne traite pas directement de la souffrance d'enfants, il est d'une gravité extrême et sera très important par la suite de cette vidéo.
Kinsey était un eugéniste convaincu.
Tout d'abord une petite précision : on distingue deux types d'eugénisme, le positif et le négatif.
– L'eugénisme positif promeut la sélection de gènes dits « désirables » pour l'évolution de l'espèce.
– L'eugénisme négatif promeut la suppression de gènes dits « indésirables » pour l'évolution de l'espèce...
Kinsey était un fervent défenseur des deux eugénismes.
Lors d'une conférence réunissant plusieurs eugénistes, dont Kinsey, le premier avril 1935 (trouvable sous le nom « ACK, Biologic aspects of some social problems ») celui-ci s'est exprimé avec ces mots, cités par le biographe James H. Jones :
« La réduction du nombre des naissances au sein des classes inférieures doit se faire au moyen de la stérilisation d'au moins un dixième de notre population.
RépondreSupprimerUne nation qui oserait instituer une telle stérilisation serait certainement suivie par ses voisins. »
Ces mots ont une résonance particulière aujourd'hui, alors que l'eugénisme n'est plus, et fort heureusement, une idéologie avouable.
Autre que le personnage Kinsey, quels seraient le ou les liens entre l'eugénisme, la pédophilie et l'éducation sexuelle à l'école ?
LES ABYSSES
Nous voici dans les abysses, qui ne sont jamais traversées par la lumière. Les thèmes abordés ici ne sont pas les plus sombres, mais leur simple évocation vous rangera immédiatement, pour bon nombre de personnes, dans la case complotiste.
Nous ça va on a l'habitude, mais songez-y si vous abordez le sujet au repas de Noël.
La nébuleuse Rockefeller/CIA
Nous sommes au début des années 60 dans la petite ville de Brandon, une petite ville rurale située dans le Vermont.
Une petite fille de dix ans, Karen Wetmore, va recevoir le plus beau cadeau de toute sa vie, celui qu'elle avait espéré depuis si longtemps : un cheval.
Des voisins, amis de la famille, vont leur prêter un grand terrain où Karen pourra laisser son cheval et pratiquer à loisir sa passion pour l'équitation.
Cependant, les années passant, Karen va commencer à développer certains troubles du comportement. Elle va s'isoler progressivement, sombrer dans la dépression et avoir de plus en plus d'idées suicidaires. Les parents mettront ça sur le compte de l'entrée dans l'adolescence mais la situation s'aggrave et, en 1965, âgée de treize ans, Karen va être hospitalisée de force dans le service psychiatrique de l'hôpital d’État du Vermont.
Il s'en suivra des années de calvaire, durant lesquelles Karen subira des électrochocs, injections de drogues comme le LSD, camisole de force et brutalités régulières.
Ce n'est qu'une vingtaine d'années plus tard que Karen apprendra la véritable raison de sa grave dépression adolescente, lors d'une discussion avec son ancienne voisine. Elle avait été agressée sexuellement par son voisin, celui-là même qui avait prêté le terrain à sa famille, lorsqu'elle n'était qu'une enfant.
Aucun psychiatre durant toutes ces années d'internement n'avait détecté les signes pourtant évidents de l'amnésie post traumatique de Karen suite à ces agressions sexuelles.
Devenue adulte, et pendant trente années, Karen va batailler sans relâche pour récupérer ses dossiers médicaux, conformément à la loi sur la demande d'information, et correspondre avec de nombreux responsables de la classe politique.
RépondreSupprimerPetit à petit, elle a rassemblé les faits qu’il lui fallait connaître, au point de démontrer l’existence d’un vaste réseau de connexions professionnelles, de relations et de contacts entre ses psychiatres et le réseau de médecins travaillant sur le contrôle mental pour le compte de la CIA et des militaires.
Ce programme mis en place par la CIA afin d'étudier le contrôle mental, et dont Karen est devenue un cobaye forcé, c'est bien entendu le programme MKUltra.
MKUltra, ce n'est pas une théorie du complot, son existence a été révélée lors de la déclassification de nombreux documents en 1977 puis en 1995, bien qu'une grande partie d'entre eux aient été détruits.
Plusieurs articles d'investigation ont révélé au grand public les agissements abjects de ce réseau chaperonné par la CIA et bien souvent financés par la fondation Rockefeller, comme cet article du NYT paru en 1977.
Les dossiers médicaux que Karen Wetmore a fini par obtenir confirmaient qu'elle avait été sexuellement, émotionnellement et physiquement torturée par des professionnels de la médecine.
Ses recherches l'ont également amenée à découvrir l'existence du « projet Rockland », qui mettait en lien l'hôpital du Vermont, l'université du Vermont mais aussi... l'hôpital Rockland.
Ce projet avait lieu au même moment où notre bon Kinsey faisait des expériences dans ce même hôpital.
Une autre figure importante du programme sur le contrôle mental était le docteur Donald Ewen Cameron au Canada. Cameron fut le premier directeur de l’Allan Memorial Institute (établissement psychiatrique de l’Université McGill, au Canada), où il s’est spécialisé dans les expériences cérébrales sur des adultes et des enfants. Jusqu’en 1965 au moins, Cameron a mené des expériences appelées « conduite psychique » et « déstructuration », qui visaient à effacer les souvenirs d’un patient et à les reprogrammer avec de nouvelles croyances et de nouvelles réalités.
De nombreuses preuves font le lien entre Cameron et Kinsey. Walter Pomeroy, premier collaborateur de Kinsey, dira lui-même que « l'institut du Dr Cameron était une source utile de cobayes humains ».
Si l'on tente de tracer un organigramme de toute cette nébuleuse, non exhaustif, liée à ces atroces recherches sous couvert de la science, il se dessine alors assez clairement qui se trouve en haut de cette pyramide d'influence et de financement philanthropique...
Nous voici arrivés à la fin de cet iceberg. Sans doute est-il possible de descendre encore plus bas, mais il est temps maintenant d'examiner l'héritage de Kinsey.
Car c'est après sa mort en 1956, que son institut va s’intéresser à l'éducation sexuelle...
RépondreSupprimer2. L'idéologie Kinsey arrive dans les écoles
Le diable a besoin de notre consentement.
Extrait de « N.O.M. Le nouvel ordre marrant » de Sophie & Sylv
« Du côté du Diable, ça va. C'est même une période faste. Les puissants de ce monde en témoignent avec un certain zèle, ceux-là qui manipulent les symboles sataniques, sèment la division, se regroupent en sociétés secrètes, marchent sur les valeurs morales qui maintiennent la cité, font des enfants des marchandises et des salauds des exemples à suivre.
Eh oui ! Ça commence sérieusement à sentir le souffre ici-bas. Prenons donc un peu de hauteur et considérons l'aspect cyclique de toutes choses. Si aujourd'hui il semble que ce soit le Diable qui mène la danse, en réalité ça ne peut pas durer. Son règne sera court, nécessairement, parce qu'il est la force qui s'oppose au mouvement naturel de la vie. Il divise, il corrompt, il détruit, or ce faisant il brûle sa propre maison.
La roue de l'univers tourne, et rien qui y résiste ne peut subsister longtemps. C'est pourquoi le serpent finit toujours par être terrassé, n'en déplaise à certains tarés qui se prennent pour l'Antéchrist.
Mais d'ici là, chacun a un rôle à jouer dans cette affaire, et chacun est libre de choisir ce rôle. Car le Diable peut nous tromper, mais il ne peut pas nous contraindre à agir contre notre volonté.
Le Diable a besoin de notre consentement.
Et pour l'obtenir, bien sûr, il doit ruser, car personne ou presque ne choisirait en son âme et conscience de s'opposer à sa nature. Soyons donc vigilant et évitons de signer un contrat sans avoir lu les petites clauses en bas de la page. D'une façon générale, s'il nous est demandé d'aller à l'encontre de nos valeurs, de notre paix intérieure, de notre cœur ou de notre liberté, méfions-nous.
Toujours est-il que rien n'est simple avec le Diable, forcément. Il peut se faufiler partout, en particulier là où on ne l'attend pas. Il séduit, il détourne, il flatte puis il accuse, et c'est toujours par nos faiblesses qu'il s'insinue, comme l'eau dans la brèche.
Mais rassurons-nous : même si on lui a ouvert sa porte et qu'il y a glissé sa vilaine patte, il est toujours possible de lui retirer son consentement. Si bien sûr c'est ce que l'on désire. »
En 1964, avec le partenariat du planning familial américain et le financement (encore) de la fondation Rockefeller, l'institut Kinsey crée le SIECUS (Sexuality Information and Education Council of the United States).
La Dre Mary Calderone, directrice médicale du planning familial (PP), est devenue la première présidente de SIECUS. Wardell Pomeroy, collaborateur de Kinsey et co-auteur des deux ouvrages sur la sexualité, faisait partie du bureau fondateur.
SIECUS et le planning familial (PP) ont alors travaillé conjointement pour développer les programmes inspirés de la recherche de Kinsey dans le système scolaire. À la fin des années 1990, le gouvernement fédéral a même désigné SIECUS comme évaluateur en chef de tous les programmes d’éducation sexuelle aux États-Unis.
RépondreSupprimerL’influence de SIECUS et de Planned Parenthood a été amplifiée au niveau mondial par le biais de diverses organisations des Nations unies (dont l’UNESCO) et d’ONG affiliées.
L’influence de Kinsey se retrouve non seulement dans les manuels scolaires des lycées mais aussi dans ceux des universités, et elle sert à former des générations d’experts en santé. Par exemple, le manuel de Crooks et Baur sur la sexualité humaine au collège, Our Sexuality, a été réédité 14 fois, la dernière fois en 2019. Des générations d’étudiants en médecine, en arts libéraux, en droit et finalement en « sexologie » ont été formées pour faire écho aux prétendues « données » de Kinsey.
Mais c'est en 2008 que la machine monstrueuse lancée par Kinsey va prendre un essor international, lorsque l'IPFF va publier sa « Déclaration des droits sexuels »
Ce texte, aussi flou qu'inquiétant, préfigure déjà ce que va devenir l'EVARS en France.
Les termes de « droits sexuels » et de « Santé sexuelle » y reviennent constamment, enrobés d'un verbiage indigeste, sans jamais être vraiment définis.
L'article 8 stipule que :
« Toute personne, sans considérations de frontières, doit avoir accès à des informations traditionnelles et non traditionnelles, sans restriction de support, qui valorisent la sexualité, les droits sexuels et la santé sexuelle ; les jeunes, en particulier, doivent avoir accès à une information sur les relations sexuelles et à des modes de vie qui ne se conforment pas aux stéréotypes liés au genre. »
Ici, pas de question d'âge concernant ce qu'on appelle « les jeunes ». Donc de quel type de mode de vie ne se conformant pas aux stéréotypes de genre doit-on parler aux enfants de maternelle ? Et quels sont les stéréotypes liés au genre ? Un papa et une maman ?
Article 5 :
« Toute personne a le droit d’être reconnue devant la loi et a droit à la liberté sexuelle. Cela implique pour chacun l’opportunité d’exercer le contrôle sur ce qui touche à sa sexualité, de décider librement de ce qui touche à sa sexualité, de choisir ses partenaires sexuels, de chercher à explorer son potentiel et faire l’expérience du plaisir sexuel, ce dans un contexte de non discrimination et en tenant pleinement compte des droits d’autrui et des capacités évolutives de l’enfant. »
Cet article vise à protéger les minorités sexuelles persécutées dans certains pays. Nous sommes d'accord mais... encore une fois aucun âge minimum n'est indiqué.
L'IPPF va plus loin dans l'article 9 :
RépondreSupprimer« Toute personne a le droit de s’engager librement et avec son plein consentement dans le mariage ou dans toute autre modalité de couple civil disponible à tout un chacun dans un contexte non discriminatoire et en tenant pleinement compte des capacités évolutives de l’enfant. »
Toujours pas de limite d'âge. Après tout, si l'enfant est consentant...
Par ailleurs, « Tous les enfants et adolescents ont le droit d’être protégés contre toutes les formes d’exploitation, soit : la protection contre l’exploitation sexuelle, contre la prostitution des enfants et contre toutes autres formes d’abus, de violence et de harcèlement sexuels, comme la coercition d’un enfant à s’engager dans une activité ou une pratique sexuelle et l’utilisation des enfants dans le cadre de spectacles ou de publications à caractère pornographique » (Principe 5).
Ici, on retrouve, sous couvert encore une fois de la notion de consentement, une rhétorique propre au discours pédophile : s'il n'y a pas de coercition ni de violence, il n'y a pas de crime.
N'oublions pas que la grande majorité des abus sexuels sur les enfants se font par séduction et abus d'autorité. Le traumatisme induit par ces abus empêche la plupart des victimes de s'y opposer.
Ce qu'un prédateur, et l'IPPF, traduiront par : il y avait consentement.
L’IPPF précise aussi que ces « droits sexuels » sont uniquement soumis aux « seules limitations fixées par la loi en vue de garantir la reconnaissance et le respect des droits et libertés d’autrui, le bien-être général dans une société démocratique, la santé et l’ordre public » (principe 6)
Or, en suivant la logique du texte, nous pouvons en déduire qu'un abus sexuel sur mineur par séduction :
– Ne peut être considéré comme une entrave aux libertés des mineurs, ce texte en ferait-il même le contraire, à savoir, un droit inaliénable.
– Ne peut non plus être considéré comme une entrave sur les droits d’autrui dans la mesure où l’enfant serait estimé consentant (sans violence, sans coercition) et pire, revendiquerait un tel droit.
– N'est pas plus une entrave au bien-être dans une société démocratique si l’on suit la logique pédophile qui prône que l’entrave est d’ordre moral et que les enfants ont un droit à jouir d’une sexualité comme tout être humain. Ce qui nous ramène très précisément aux doctrines de Kinsey. D’autant plus que l’Article 5 nous l’avons vu, a bien précisé que l’enfant avait des « droits sexuels », à « choisir ses partenaires sexuels », à « chercher à explorer son potentiel et faire l’expérience du plaisir sexuel » en tenant pleinement compte de ses « capacités évolutives ».
– Enfin les abus sexuels sur mineurs sont-ils des entraves à l’ordre public ? Pas plus, ils sont d’ordre privé.
Donc, plus aucune de ces limitations édictées par la loi, qui au passage se voit subitement restreinte dans ses applications sans que le législateur n’ait eu son mot à dire de manière démocratique, ne pourra être opposée devant un abus sexuel sur mineur…
On pourrait penser que le flou et les imprécisions de ce texte sont involontaires, le résultat de maladresses rédactionnelles...
La suite va nous prouver que non.
En 2010, l’OMS publie les "Standards pour l’éducation sexuelle en Europe", inspirés directement des principes de l’IPPF.
RépondreSupprimerCe document préconise une éducation sexuelle dès la naissance en s’appuyant sur les recommandations du Rutgers Nisso Group (Pays-Bas) et SENSOA (Belgique), deux associations militantes des droits sexuels.
Ces associations n'ont évidemment rien de scientifique et sont des lobbies militants idéologiques. Ils n'ont aucune légitimité à parler du « développement psychosexuel de l'enfant ».
Ces standards sont également basés sur SIECUS, émanation directe de l'institut Kinsey comme nous l'avons vu.
Ce texte, ainsi que tous ceux qui vont suivre jusqu'à l'EVARS, va utiliser une technique de manipulation très ancienne mais néanmoins redoutable : celle du « Cheval de Troie ».
La technique est simple : j'élabore une série de recommandations de bon sens, auxquelles personne ou presque ne pourrait s'opposer sans être un sociopathe. Puis au milieu je place mon cheval de Troie, la préconisation que je souhaite vraiment faire accepter à l'auditoire. Noyé dans une série d'approbation, le lecteur a baissé sa garde et accepte mon cheval de Troie sans se poser de question.
La technique fonctionne d'autant mieux que si un esprit tatillon repère mon cheval de Troie et le pointe du doigt, je pourrai facilement faire croire que cette personne rejette toutes les autres recommandations et est donc, par la force des choses, un sociopathe.
Ainsi, pour les 0 à 4 ans, voici les préconisations :
Rien que du bon sens n'est-ce pas ? Mais que trouve-t-on ensuite :
Voilà le cheval de Troie : nous sommes passés de l'estime de soi et de son propre corps à l'apprentissage de la masturbation à l'école. Magnifique.
Qui pourrait s'opposer à renforcer l'estime de soi des enfants ?
C'est pourquoi pour la suite nous nous concentrerons uniquement sur ces chevaux de Troie, sans perdre de temps avec les autres préconisations que nous ne pouvons qu'approuver, mais qui ne sont là que pour endormir notre méfiance et accepter l'inacceptable.
Toujours pour les 0 à 4 ans :
Donc on ne va pas interdire une expérience sexuelle aux enfants mais juste leur apprendre à dire « non » si les sensations ne sont pas plaisantes. Encore et toujours le consentement.
Pour les 4 à 6 ans nous trouvons ceci :
Donc c'est à l'enfant de cinq ans de déterminer si l'adulte, papa ou autre, qui a joué au docteur avec lui était bienveillant ? Tout en lui rappelant que la malveillance c'est la violence.
Encore une légitimation de l'abus sexuel par séduction.
Les 6 à 9 ans :
L'exemple mis en avant dans le texte et par de nombreux partisans de l'éducation sexuelle dès le plus jeune âge est celui des règles.
RépondreSupprimerTout le monde s'accorde à dire qu'une jeune fille doit en connaître l'existence avant de les avoir.
Grâce à l'OMS, votre fille de six ans saura non seulement tout sur les règles mais également sur la masturbation, l'éjaculation, la contraception. Elle aura également l'occasion de décider avant ses sept ans si elle souhaite avoir des enfants ou pas. Peut-être même si elle se sent fille ou garçon...
Qui peut croire que ce schéma respecte les capacités évolutives de l'enfant ?
Rappelons que les lobbies pédophiles ont toujours milité pour que le droit de l’enfant à avoir une sexualité soit reconnu, pour que des adultes puissent leur enseigner cet accès à la sexualité, et ils affirment que la pédophilie n’est qu’une « orientation sexuelle » parmi tant d’autres et ne doit pas être répréhensible.
Comme le rappelle Sophie Audugé dans sa lettre au président du Conseil Supérieur des Programmes, il y a 6 principes simples à enseigner aux enfants :
– La sexualité est interdite entre un adulte et un enfant.
– La sexualité est interdite entre des personnes de même famille
– La sexualité sans consentement est un délit puni par la loi
– La sexualité relève de l'intime, chacun à son rythme
– La sexualité c'est en privé ; en public, c'est un délit
– La majorité sexuelle (aptitude à consentir) est fixée en France à 15 ans
C'est ce cadre législatif qui pourrait protéger les enfants d'abus sexuels.
Or si l'on suit les standards éducatifs de l'OMS, l'enfant est :
– Un sujet sexualisé à éduquer
– Destinataire de contenus éducatifs à caractère sexuel
– Par un adulte ayant autorité sur lui
– Sans avoir consenti
– Obligé d'y assister et d'y prendre part
– En public et ne pouvant s'y soustraire
L'OMS a clairement dévoyé les objectifs de prévention et de protection initialement prévus en 2000 par la loi française. De manière insidieuse, une gigantesque machine s'était mise en route en surfant sur les inquiétudes légitimes d'une opinion publique qui souhaite protéger les enfants des abus et des risques liés à la sexualité.
En 2013, l’ONU adopte un rapport basé sur les Standards de l’OMS, imposant l’enseignement obligatoire de l’éducation sexuelle dès l’école primaire.
En 2014 L'institut Kinsey obtient un statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social des Nations Unies, un des 6 organes principaux de l’ONU.
En France :
• 7 février 2013 : Signature d’une convention interministérielle pour intégrer la déconstruction des stéréotypes de genre dans les écoles.
• 13 juin 2016 : Publication du rapport du Haut Conseil à l’Égalité (HCE), recommandant une éducation à la sexualité dès le plus jeune âge.
• 30 mars 2017 : Adoption de la Stratégie nationale de santé sexuelle alignée sur l’OMS et l’IPPF.
• 30 janvier 2025 : Adoption du programme EVARS au conseil supérieur de l'éducation.
3. Du consentement à la servitude : l'EVARS
RépondreSupprimerNous voici donc arrivés à l'EVARS, l'application française la plus aboutie des textes que nous venons d'analyser. La filiation y est d'ailleurs pleinement assumée :
Extrait Gondard-Lalanne :
« Il y a des lois qui ont été votées, il y a des engagements internationaux qui ont été pris depuis des dizaines d'années,
[…]
Quant à la sexualité, il s'agit, selon l'Organisation mondiale de la santé, d'un, je cite, aspect central de l'être humain. »
L'EVARS apporte cependant une nouvelle dimension aux textes fondateurs : la convergence directe entre les droits des enfants et les droits des femmes, une sorte de continuum entre la protection des enfants et le féminisme.
Écoutez plutôt :
Extrait Gondard-Lalanne :
« Bonjour à tous, évidemment. Bonjour à toutes, particulièrement.
« Les femmes et les enfants partagent une histoire commune ayant durablement marqué leur statut juridique, social et même économique.
L'EVARS, point de convergence entre les droits des femmes et les droits des enfants, est avant tout une éducation à l'égalité qui déconstruit les stéréotypes et les normes sociales inégalitaires entre les individus. »
Cette convergence est bien entendu absurde : protéger des enfants ou des femmes adultes demande des ressources totalement différentes. Le recueillement de la parole d'un enfant victime d'inceste par exemple exige des capacités bien spécifiques. Si des femmes victimes de violence trouvent plus de courage à s'exprimer si elles se sentent moins seules, comment imaginer qu'un enfant abusé prendra la parole devant tous ses camarades lors de séances d'éducation sexuelle ?
Si le but est de désigner, encore et toujours, l'homme avec un petit « h » comme la source de toutes les violences, le texte ne s’embarrasse pas de démontrer que les agresseurs pédophiles et sexuels sont les mêmes personnes.
Ici, le cheval de Troie est devenu un éléphant. L'avez-vous vu ?
Eh oui, il s'agit du CONSENTEMENT.
Extraits consentement.
« Le développement affectif de l'enfant s'établit à partir de figures d'attachement, de gestes et paroles d'amour, mais aussi de la capacité à avoir confiance en l'autre »
RépondreSupprimer« La dimension relationnelle aborde tout ce qui relève des rapports à l'autre, du consentement au repérage des violences sexistes et sexuelles »
« Le chemin qui reste à parcourir doit engager toutes nos forces pour éradiquer les violences par une éducation au consentement. »
« Et notre travail a éclairé à quel point le milieu dans lequel vivent nos enfants éduque et socialise à la violence sexuelle, au non-respect du consentement d'autrui. »
La notion de consentement est omniprésente, martelée tout au long du texte comme un mantra.
Nous voici encore pris au piège, qui donc peut s'opposer au consentement sans par la même approuver les violences sexuelles ?
Nous allons le répéter encore une fois : il n'existe pas, il ne doit pas exister de consentement avant la majorité sexuelle !
La logique fallacieuse qui va être assénée aux enfants est celle-ci : si le contact d'un adulte n'est pas désagréable, si l'adulte est gentil, alors il n'y a pas de violence, alors il y a consentement.
Extrait : « C'est quoi l'amour ? », diffusé lors de la présentation au CESE.
Un autre cheval de Troie, plus discret mais tout aussi dangereux, transpire de la loi.
L'EVARS ne veut pas protéger les enfants, elle entend protéger leurs droits sexuels.
Le bon docteur Kinsey nous l'a démontré : les enfants ont une sexualité dès la naissance. Dès lors, des parents dits normaux (entendez fachistes) qui s'opposeraient par exemple à des cours d'éducation sexuelle pour leur enfant de quatre ans contreviendraient à ses droits.
L'enfant doit être ÉMANCIPÉ.
Extraits émancipation.
« Les enfants ne sont pas, ne sont plus, des sujets d'autorité paternelle. Ils sont des sujets de droit autonome et des citoyens à part entière. »
« à donner les moyens de faire ses propres choix, à respecter ceux d'autrui, à s'émanciper pour devenir de futurs citoyennes et citoyens. »
L’éducation des enfants et l'autorité parentale n'est pas naturelle et qu'elle s'exerce sous le contrôle de toute la société.
Les enfants ne sont pas, ne sont plus, des sujets d'autorité paternelle. Ils sont des sujets de droit autonome et des citoyens à part entière.
Un avenir de plaisir consenti, mais surtout un avenir d'émancipation. »
Ce n'est plus aux parents de protéger leur enfant, c'est à l'autorité supérieure.
RépondreSupprimer4. Droits sexuels et Santé sexuelle : le meilleur des mondes
Extrait « Le meilleur des mondes » d'Aldous Huxley
« Dehors, dans le jardin, c’était la récréation. Nus sous la douce chaleur du soleil de juin, six ou sept cents petits garçons et petites filles couraient sur les gazons en poussant des cris aigus, ou jouaient à des jeux de balle, ou étaient accroupis en silence par groupes de deux ou trois parmi les buissons en fleur.
[...]
Le Directeur et ses étudiants s’arrêtèrent quelque temps à observer une partie de Ballatelle Centrifuge.
[...]
D’un buisson voisin sortit une infirmière, tenant par la main un petit garçon qui hurlait tout en marchant. Une petite fille lui trottait sur les talons avec un air inquiet.
— Qu’est-ce qu’il y a ? demanda le Directeur. L’infirmière haussa les épaules.
— Pas grand-chose, répondit-elle. C’est tout simplement ce petit garçon qui ne semble guère disposé à prendre part aux jeux érotiques ordinaires. Je l’avais déjà remarqué précédemment une fois ou deux. Et voilà qu’il recommence aujourd’hui. Il vient de se mettre à hurler…
— Je vous assure, interrompit la petite fille à l’air inquiet, que je n’avais pas l’intention de lui faire mal, en aucune manière. Je vous assure…
— Cela va de soi, ma mignonne, dit l’infirmière d’un ton rassurant. – De sorte que, reprit-elle, s’adressant de nouveau au Directeur, je l’emmène chez le Surveillant Adjoint de Psychologie. Simplement pour voir s’il n’y a pas quelque chose d’anormal.
— C’est très bien, dit le Directeur. Menez-le chez le Surveillant. – Toi, tu vas rester ici, petite, ajouta-t-il, comme l’infirmière s’éloignait avec le sujet, toujours hurlant, confié à ses soins. Comment t’appelles-tu ?
— Polly Trotsky.
— C’est un nom excellent, ma foi, dit le Directeur. Sauve-toi maintenant, et va voir si tu peux trouver un autre petit garçon pour jouer avec toi. »
Il est fort probable, si vous avez lu le roman d'Aldous Huxley, que le récit que je vous expose vous y ai fait penser plus d'une fois.
Des bébés conçus exclusivement in utero, conditionnés dès l'état embryonnaire à se fondre dans sa future classe sociale, puis pris en charge par un gouvernement central qui s'occupera de son éducation.
RépondreSupprimerDans « le meilleur des mondes », la famille et la reproduction sexuée n'existent plus.
La société rend tabou le sujet de la viviparité : les allusions à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine) et la durée de chaque relation est extrêmement limitée. Et les enfants, bien sûr, sont éduqués dans ce sens.
Ce qui nous amène à ces fameuses notions dont nous parlons depuis le début : Les droits sexuels et la Santé sexuelle.
Je mets au défi quiconque ayant lu les textes officiels de l'IPPF et de l'OMS de proposer une définition claire et concise de ces termes, noyées dans un salmigondis sémantique de bienveillance, de respect et de lutte contre les violences.
C'est pourtant ce que je vais faire.
La définition est simple, tellement simple qu'il est impossible, une fois qu'on a compris, de voir les choses autrement.
Le droit sexuel, c'est le droit de ne pas se reproduire.
La santé sexuelle, c'est la stérilisation.
Le gouvernement français, dans toute sa bêtise, a vendu la mèche dans sa stratégie nationale de santé sexuelle pour 2030.
Suivant cette logique, toutes les sexualités non-reproductives sont mises au même niveau.
En miroir d'une extrême droite stupide qui condamne sans discernement l'homosexualité et la pédophilie, les instances dirigeantes les encourage de la même manière !
Si vous qui m'écoutez êtes homosexuels, acceptez-vous d'être placés dans le même groupe que des prédateurs pédophiles ? C'est pourtant bien ce qui est en train de se passer dans ce meilleur des mondes que l'on nous impose à marche lente mais inexorable.
L'eugénisme n'a jamais disparu. Il se porte même mieux que jamais.
Mais il faut être moderne : l'eugénisme « à la papa » tel que le prônait Alfred Kinsey ou Julian Huxley, le propre frère d'Aldous, est dépassé. Aujourd'hui on parle de TRANSHUMANISME.
Ça marche pareil, mais en beaucoup plus sophistiqué :
Le transhumanisme négatif pour les gueux et les inutiles : stérilisation, euthanasie à la chaîne, injection de traitements révolutionnaires pour diminuer l'espérance de vie.
Le transhumanisme positif pour l'hyperclasse dominante élue : la vie éternelle, des capacités augmentées par la machine, l'accès aux ressources d'une humanité dépeuplée.
Définition transhumanisme. Extrait de « N.O.M. Le nouvel ordre marrant »de Sophie et Sylv
RépondreSupprimerDoctrine progressiste selon laquelle l'être humain est un imbécile parce qu'il a la mauvaise idée d'avoir un corps susceptible de tomber malade, de vieillir et de mourir.
Le transhumanisme propose donc de remplacer cette humanité défectueuse par une posthumanité dite augmentée. Les posthumains auraient des facultés physiques et mentales améliorées par tout un tas de gadgets technologiques. A terme, il s'agit de fusionner l'homme et l'ordinateur. Comme dans les films.
L'idée de faire partie de la nature est une injure pour le transhumaniste, aussi espère-t-il qu'avec quelques nanotechnologies par-ci, quelques bidouillages génétiques par-là, il pourra devenir un genre de super-héros, et ça, ce serait hyper cool. Au fond, le transhumaniste est un grand enfant.
Incidemment, beaucoup de riches et célèbres partisans de cette théorie qui investissent dans ces nouvelles technologies sont les mêmes qui défendent l'idée que les êtres humains seraient trop nombreux sur Terre, ce qui pourrait inquiéter certains esprits soupçonneux. Le fait est qu'ils ont encore quelques petits détails techniques avant de pouvoir sauver l'humanité de son humanité. Mais par chance ils ont quelques milliards de sujets d'expérimentation.
A la lumière de ces différents éléments, on pourrait hâtivement conclure que le transhumaniste préfère offrir une rose artificielle à sa mère, plutôt qu'un bouquet de fleurs des champs fraîchement cueillies par un beau matin de printemps. Mais ce serait lui prêter une pensée bien trop réactionnaire, parce que pour lui l'idée même d'avoir une mère est passéiste, et il attend avec impatience l'âge d'or où les utérus artificiels remplaceront cette aberration qu'il appelle maman.
de Réinfo Liberté Oise
Sources/Liens :
Film du collectif Réinfo Liberté Oise :
https://odysee.com/EVARSH2648000.mp4:c
L'imposture des droits sexuels :
https://proscontreeducsex.wordpress.com/histoire-de-limposture-des-droits-sexuels-et-de-leducation-a-la-sexualite/
Lien pour se procurer le recueil de textes « N.O.M. Le nouvel ordre marrant » de Sophie & Sylv :
https://www.coollibri.com/bibliotheque-en-ligne/sophie-sylv/nom-le-nouvel-ordre-marrant_475526
https://www.kla.tv/fr
RépondreSupprimerSUIVEZ LA VÉRITABLE SCIENCE DES VACCINS : Une étude révèle que l’ARNm des vaccins contre la COVID-19 modifie effectivement l’ADN et peut provoquer un cancer TURBO
19/09/2025
S.D. Wells
Une nouvelle étude controversée, prépublication, a suscité l’inquiétude en présentant ce que ses auteurs décrivent comme la première preuve directe que des fragments génétiques des vaccins à ARNm contre la COVID-19 pourraient s’intégrer à l’ADN humain, déclenchant potentiellement le développement d’un cancer agressif. Publiée sur Zenodo, une plateforme de recherche en ligne gérée par le CERN, l'étude portait sur une femme de 31 ans ayant développé un cancer de la vessie de stade IV à progression rapide dans l'année suivant l'administration de trois doses du vaccin Moderna.
Rapport de cas pré-publication d'intégration génomique — Une nouvelle pré-publication décrit une femme de 31 ans, auparavant en bonne santé, atteinte d'un cancer de la vessie de stade IV à progression rapide et présente des preuves moléculaires que les auteurs interprètent comme du matériel génétique dérivé du vaccin intégré à l'ADN de sa tumeur.
Correspondance de séquence à 100 % et contexte oncogène présumé — L'équipe rapporte un fragment d'ADN correspondant à une séquence de protéine Spike présente dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19, et affirme que cette intégration s'est produite dans une région instable et riche en gènes, parallèlement à des mutations généralisées associées au cancer et à des voies dérégulées.
Mécanismes proposés et constatations antérieures de contamination — Les auteurs évoquent des causes possibles (transfert d'ADN plasmidique résiduel pendant la fabrication, transcription inverse de l'ARNm de la protéine Spike ou instabilité génomique indirecte) et citent des études antérieures ayant signalé une contamination de l'ADN dans des lots de vaccins à ARNm. Prépublication unique : les auteurs appellent à une étude et une action urgentes — Les auteurs de l’article affirment que ce signal « ne peut être ignoré » et demandent un examen réglementaire ou une suspension. Ils soulignent également que la causalité ne peut être prouvée à partir d’un seul cas et affirment qu’une enquête plus approfondie est nécessaire.
Empreinte génétique du vaccin contre la COVID trouvée dans l’ADN d’une patiente atteinte d’un cancer de 31 ans
La patiente, auparavant en bonne santé et sans antécédents personnels ou familiaux de cancer, a reçu un diagnostic de cancer de la vessie exceptionnellement agressif, généralement observé chez les personnes de plus de 70 ans. Les chercheurs ont mené une analyse moléculaire approfondie, comprenant le séquençage de l’ADN tumoral, le profilage du transcriptome et l’analyse des protéines. Leurs tests ont révélé un fragment génétique intégré dans son génome correspondant à 100 % à une séquence nucléotidique de la région de la protéine Spike du vaccin Pfizer-BioNTech.
Bien que la femme n’ait reçu que des vaccins Moderna, les deux vaccins à ARNm partagent des segments génétiques identiques dans la protéine Spike. La séquence plasmidique exclusive de Moderna n’a pas été déposée publiquement, ce qui a conduit les chercheurs à identifier le vaccin Pfizer comme la correspondance la plus proche connue. La probabilité d'une telle correspondance aléatoire a été estimée à environ une sur mille milliards.
RépondreSupprimerNicolas Hulscher, co-auteur de l'étude, a décrit ces résultats comme une « tempête parfaite », où les gènes responsables du cancer ont été activés, les gènes de réparation de l'ADN désactivés et une vaste perturbation cellulaire s'est produite. Il a soutenu que ce schéma est biologiquement plausible pour accélérer la progression du cancer.
Inquiétudes plus larges concernant la contamination de l'ADN
L'étude relie ses résultats à des débats plus larges sur la contamination de l'ADN dans les vaccins à ARNm. Des fragments d'ADN résiduels, issus du processus de fabrication, pourraient survivre à l'encapsulation dans des nanoparticules lipidiques, pénétrant potentiellement dans les cellules et s'intégrant au génome. Des études antérieures ont confirmé la présence de milliards de fragments d'ADN plasmidique par dose dans les vaccins Pfizer et Moderna, avec des niveaux de contamination parfois des centaines de fois supérieurs aux limites réglementaires.
Les critiques affirment qu'une telle contamination pourrait contribuer au développement de cancers turbo, d'inflammations chroniques, de caillots sanguins, d'accidents vasculaires cérébraux et d'autres affections graves. Karl Jablonowski, de Children's Health Defense, a souligné que les autorités réglementaires avaient initialement écarté ces risques, supposant que les fragments d'ADN seraient dégradés. Les nouvelles découvertes, a-t-il déclaré, suggèrent le contraire et exigent une réévaluation de la sécurité du vaccin.
Le cancer de la vessie chez les femmes de moins de 35 ans est extrêmement rare, représentant moins de 0,5 % des cas, et le cancer avancé de stade IV est considéré comme une « valeur aberrante extrême ». John A. Catanzaro, co-auteur de l'étude, a souligné que la rareté de ce cas justifiait une enquête approfondie. La patiente est toujours en vie grâce à un traitement continu par thérapies ciblées, mais la progression de sa maladie souligne le caractère inhabituel du cas.
Implications et appels à l'action
Bien que les auteurs reconnaissent que la causalité ne peut être confirmée à partir d'un seul cas, ils soutiennent que la convergence de l'intégration de l'ADN, des perturbations oncogènes et de la présentation rare de cancers représente un schéma hautement inhabituel et biologiquement plausible. Hulscher et ses collègues appellent à des études de suivi urgentes, à la suspension préventive des vaccins à ARNm et à un consentement éclairé plus strict concernant les risques de cancer.
« Jusqu'à présent, l'intégration était considérée comme impossible », a déclaré Hulscher. « Nos résultats démontrent qu'elle peut se produire, dans une région dangereuse du génome, avec des conséquences fonctionnelles évidentes. L'humanité ne peut pas jouer avec les perturbations génomiques.»
Ajoutez Infections.news à vos favoris pour obtenir les dernières informations sur l'origine réelle des pandémies, les auteurs de la propagande et les raisons pour lesquelles il faut éviter les vaccins mortels qu'ils prétendent à tort être « sûrs et efficaces ».
RépondreSupprimerSources for this article include:
Zenodo.org
ChildrensHealthDefense.org 1
ChildrensHealthDefense.org 2
TheFocalPoints.com
https://www.naturalnews.com/2025-09-19-mrna-changes-your-dna-catapults-turbo-cancer.html
Scandale des vaccins COVID : la Commission européenne admet des approbations hâtives sans données complètes, mais le silence des médias mainstream persiste
RépondreSupprimerLe Collectif citoyen et Xavier Azalbert, France-Soir
le 18 septembre 2025 - 13:24
Dans un article choc publié ce 16 septembre 2025 par la Berliner Zeitung, un quotidien allemand centenaire aux racines progressistes, la Commission européenne serait forcée d'admettre que les vaccins contre le COVID-19 ont été approuvés et distribués sans données de sécurité « complètes ». Cette révélation, tirée d'une question parlementaire posée par l'eurodéputé autrichien Gerald Hauser, soulève des questions brûlantes sur la transparence, la responsabilité politique et les risques pour des millions d'Européens. Pourtant, alors que l'information circule dans les médias dits alternatifs et sur les réseaux sociaux, elle reste curieusement ignorée par les grands médias mainstream. Pourquoi ce black-out ? Et quel lien avec les enquêtes transatlantiques sur Pfizer aux États-Unis ? Plongeons dans les faits, les enjeux et les zones d'ombre.
Berliner Zeitung
Article du 16 septembre 2025 du Berliner Zeitung
Le cœur de l'affaire : une « admission » qui ébranle l'UE
L'article de Franz Becchi, intitulé « EU-Kommission gesteht: Corona-Impfstoffe wurden ohne vollständige Daten freigegeben » (La Commission européenne l'admet : les vaccins contre le coronavirus ont été approuvés sans données complètes), repose sur une question parlementaire déposée par Gerald Hauser (FPÖ). Dans sa question écrite au Parlement européen, Hauser interpelle directement la Commission sur les contrats d'achat anticipé de vaccins signés en 2020-2021 : « Pourquoi la Commission n'a-t-elle pas informé les citoyens que l'efficacité et la sécurité des vaccins géniques – comme stipulé dans le contrat – n'étaient pas garanties ? »
La réponse de la Commission est, dans une forme bureaucratique, une admission tacite. Selon les documents cités, les clauses contractuelles avec Pfizer/BioNTech et d'autres fabricants limitaient explicitement la garantie d'efficacité et de sécurité à long terme, en raison de l'urgence pandémique. Les vaccins ont été autorisés via une procédure « conditionnelle » par l'Agence européenne des médicaments (EMA), basée sur des essais cliniques de phase 3 (plus de 40 000 participants pour Pfizer), mais sans suivi exhaustif sur les effets secondaires rares ou à long terme.
Le Berliner Zeitung va plus loin : l’article accuse la Commission d'avoir caché ces limitations pour promouvoir une campagne de vaccination massive, exposant potentiellement la population à des risques non pleinement évalués. Ce n'est pas une simple anecdote technique. Hauser et la Berliner Zeitung y voient une faille politique majeure : Ursula von der Leyen, présidente de la Commission, a personnellement négocié ces contrats pour 1,8 milliard de doses avec Pfizer. Des enquêtes judiciaires en cours, comme celle du Parquet européen sur les SMS effacés entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ajoutent à l’image d’une décision européenne autoritaire plutôt que scientifique. Rappelons que von der Leyen fait aussi l’objet d’une plainte pénale par plus de 1000 plaignants dont deux États membres (la Pologne et la Hongrie – information rapportée en exclusivité par France-Soir) portée initialement par Frédéric Baldan, ancien lobbyiste Belge.
RépondreSupprimerL'article pose les questions critiques : qui assume la responsabilité en cas de dommages ? Les États membres, via des fonds d'indemnisation, ou la Commission, qui a centralisé les achats au nom de l'Europe ? Tout cela, car les contrats signés négociés par la Commission avec l’ingérence potentielle de von der Leyen qui ne faisait pas partie de l’équipe de négociations a octroyé une immunité quasi-totale aux fabricants de vaccins. « Un contrat aussi favorable à l'industriel, cela me paraît anormal », expliquait le docteur en droit Olivier Frot dans son analyse des contrats mis à disposition par la CE malgré un important caviardage.
- voir clip sur site -
Olivier Frot
Dr Olivier Frot analyse les contrats des vaccins sur France-Soir
Un silence assourdissant dans les médias mainstream
Malgré la gravité potentielle de cette révélation, l'information n'a pas franchi les portes des grands médias européens ou internationaux. Une recherche sur des sites comme Le Monde, BBC, Reuters, Associated Press ou The New York Times ne révèle aucune reprise de cette question parlementaire spécifique de Hauser, ni d'article titrant sur une « admission » de la Commission. Sur X, le lien de l'article a généré plusieurs milliers de vues, mais sans viralité massive ; les algorithmes normatifs des réseaux sociaux influençant probablement la portée d’une telle information.
Ce mutisme n'est pas isolé. Il s'inscrit dans un schéma observé depuis le début de la pandémie : les critiques sur la gestion vaccinale de l'UE, pourtant documentées par des arrêts de la Cour de justice de l'UE (comme celui de juillet 2024 critiquant le manque de transparence sur les contrats), peinent à percer dans le paysage médiatique dominant. Pourquoi ? Les raisons invoquées par les observateurs varient, mais une anecdote récente illustre parfaitement le malaise.
L'anecdote BFMTV : quand le « consensus » étouffe le débat politique
RépondreSupprimerEn janvier 2022, Céline Pigalle, alors directrice de la rédaction à BFMTV reconnaissait une forme de soumission aux narratifs gouvernementaux déguisée en prudence éditoriale : durant la crise sanitaire, BFM s’est abstenu d’aller « à rebours de la parole officielle » pour ne pas « fragiliser le consensus social ».
Lors d'une audience à la Cour d’appel de Paris ce 17 septembre 2025, appel sur les intérêts civils dans le cadre d’un procès en diffamation, un journaliste de BFMTV a été interpellé sur cette information. La question, directe et percutante : « BFMTV a-t-elle rapporté cette information à ses téléspectateurs ? N'est-il pas d'intérêt public que cette admission soit diffusée ? » La réponse ? D'abord, des balbutiements du journaliste, qui se présente pourtant comme un « spécialiste de la désinformation ». Puis, une explication laconique : « BFM reprend le consensus scientifique. »
Ce « consensus » invoqué comme bouclier est révélateur. Ici, il ne s'agit pas de débattre d'une molécule ou d'un protocole médical. Non, l'enjeu est politique : des décisions prises par des acteurs publics (la Commission, von der Leyen) sous pression d'urgence, avec des clauses contractuelles qui exonèrent les labos de responsabilité.
En se réfugiant derrière un « consensus », BFMTV – comme d'autres chaînes – évite de questionner les institutions. Est-ce de la complaisance ? De la peur de l'accusation de « désinformation » anti-vax ? Ou simplement une ligne éditoriale alignée sur les autorités sanitaires, qui dictent le narratif dominant ?
Ce conformisme n’est pas nouveau. Dès juin 2020, France-Soir publiait des analyses comparatives montrant que les masques et les confinements, imposés comme dogmes sanitaires, avaient un impact limité, voire délétère, en comparant les résultats entre pays européens ou entre États américains. Par exemple, des différences d’accès aux traitements précoces (comme l’hydroxychloroquine au Para, Brésil) ont entraîné des écarts de mortalité significatifs – jusqu’à un facteur 5,5 par rapport à l’Amazonas, selon une étude de 2021 revue par les pairs. Ces informations, validées a posteriori par de nombreuses études, n’ont jamais trouvé d’écho sur BFMTV.
Qui orchestre ce consensus ? L’OMS, l’agence européenne du médicament, Santé Publique France ou Ursula von der Leyen, dont le rôle central dans les négociations vaccinales est au cœur de plusieurs scandales judiciaires, n'est pas étrangère à l'équation. Élue pour un second mandat en 2024 malgré les ombres sur les contrats Pfizer, elle incarne une Commission accusée de centralisation excessive. Des fuites, comme les SMS disparus validés par un arrêt de la Cour de justice en mai 2025, renforcent l'idée d'une opacité protégée par un establishment médiatique. En France, de nombreux médias comme BFMTV sont en perte d’audience de par la perte de confiance des auditeurs (70 % des Français estimant que des chaînes comme TF1, FranceTV ou BFM manquent d’objectivité).
RépondreSupprimerSondage
Sondage MISGROUP pour France-Soir/BonSens.org aout 2025 - échantillon représentatif de 1200 personnes
- voir graph sur site -
En se pliant au « consensus scientifique », dicté par des autorités comme l’OMS ou la Commission européenne, BFMTV et les médias traditionnels privent leurs auditeurs d’un débat crucial sur la politisation de la médecine et la gouvernance européenne.
Mais, est-ce le rôle d’un média d’être conformiste ? L’article 1 de la Charte de Munich (1971), code déontologique des journalistes, est clair : « Rechercher et respecter la vérité, quelles qu’en soient les conséquences. » En choisissant le confort du consensus plutôt que l’investigation, BFMTV trahit cette mission. La défiance envers les médias s’enracine dans ce silence, alors que des questions légitimes sur la transparence et la responsabilité des institutions – européennes comme nationales – restent sans réponse.
Échos transatlantiques : l'enquête de Ron Johnson et les questions sans réponse de Pfizer
Cette affaire européenne n'est pas un îlot isolé ; elle résonne avec les investigations menées de l'autre côté de l'Atlantique par le sénateur républicain Ron Johnson (Wisconsin), qui préside la sous-commission permanente d'enquête (PSI) du Sénat américain. Depuis 2021, Johnson mène une croisade pour obtenir des réponses sur les vaccins COVID, focalisée sur Pfizer et les agences fédérales comme la FDA et les CDC. En avril 2025, Johnson a adressé des lettres formelles à Pfizer, Moderna, BioNTech et Johnson & Johnson, réclamant « tous les enregistrements et communications sur le développement et la sécurité des vaccins COVID-19 ». Résultat ? Silence radio.
Audition Ron Johnson
Audition de Ron Johnson mai 2025
RépondreSupprimerUne audition historique le 21 mai 2025, intitulée « The Corruption of Science and Federal Health Agencies : How Health Officials Downplayed and Hid Myocarditis and Other Adverse Events Associated with the COVID-19 Vaccines », a mis en lumière comment les autorités ont minimisé les risques de myocardite post-vaccinale, malgré des signaux précoces. Johnson a publié un rapport intérimaire, accusant les officiels Biden d'avoir retardé les alertes publiques pour maintenir la confiance dans les injections. À ce jour, Pfizer n'a toujours pas répondu pleinement aux assignations du Sénat. Des témoins, comme le Dr Peter McCullough ou Aaron Siri (avocat anti-mandats), ont soumis des centaines d'études revues par les pairs documentant des effets secondaires – du simple malaise aux cas graves comme les thromboses ou les inflammations cardiaques. Johnson, dans sa déclaration liminaire, n'hésite pas : « Ces agences ont corrompu la science pour des raisons politiques. » Les médias mainstream américains (CNN, MSNBC) rapportent ces auditions, mais en Europe les médias mainstreams n’en parlent pas, préférant amplifier le narratif officiel européen.
Le parallèle est frappant : des questions légitimes sur la transparence des contrats Pfizer (1,8 milliard de doses en Europe, des milliards aux USA) restent sans réponse, des deux côtés de l'Atlantique. Johnson, comme Hauser, pointe du doigt une collusion entre Big Pharma, régulateurs et politiques – avec von der Leyen comme figure européenne emblématique.
Au-delà du scandale : responsabilité, risques et leçons pour l'avenir
Que signifient ces « admissions » pour la population ? Les vaccins ARNm auraient réduit de 60-70 % les hospitalisations, selon l'EMA – ces informations font aujourd’hui l’objet de nombreuses études scientifiques qui remettent en question les données ainsi que les méthodologies employées pour promouvoir de tels messages. Les données incomplètes à l'époque – et les clauses limitant la responsabilité des labos – posent un vrai dilemme éthique. En Europe, des fonds nationaux (comme en France) indemniseront les victimes, mais qui paie le prix politique ? Des plaintes collectives montent, et des arrêts judiciaires pourraient déboucher sur des réformes. Le silence médiatique, lui, interroge la santé de nos démocraties. En se cramponnant à un « consensus » dicté par les élites – von der Leyen en tête ? – les BFMTV de ce monde risquent de creuser le fossé de défiance.
L'affaire Berliner Zeitung, comme les auditions de Johnson, rappelle que la vérité n'attend pas les gros titres : elle émerge des marges, des questions parlementaires et des tribunaux. Pour l'Europe et les USA, c'est un appel à plus de transparence – avant la prochaine crise.
https://www.francesoir.fr/politique-france-monde-societe-economie-justice-sante/scandale-des-vaccins-covid-la-commission
(...) Dans un article choc publié ce 16 septembre 2025 par la Berliner Zeitung, un quotidien allemand centenaire aux racines progressistes, la Commission européenne serait forcée d'admettre que les vaccins contre le COVID-19 ont été approuvés et distribués sans données de sécurité « complètes ». (...)
SupprimerOUI, IL FAUT LE DIRE ! Dès leurs sorties de laboratoires nazis les flacons mortels pour exterminer la population grâce au 'covid', ils ont été examinés par des scientifiques.
Les Dr Astrid Stuckelberger (Genève, Suisse) et Dr Carrie Madej (Atlanta, USA) ont analysé la composition des flacons meurtriers et ont publié les rapports sur Internet à la vue des 8 milliards d'habitants (de l'époque).
Ils révélaient que:
Entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!
+ des spikes !!
+ des hydres !!
+ diverses maladies animales et, (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
(...) En se pliant au « consensus scientifique », dicté par des autorités comme l’OMS ou la Commission européenne, BFMTV et les médias traditionnels privent leurs auditeurs d’un débat crucial sur la politisation de la médecine et la gouvernance européenne. (...)
IL N'Y A JAMAIS EUT DE 'CONSENSUS SCIENTIFIQUE' ! Il y a eut une entente entre putes NON SCIENTIFIQUES !
D'où la censure immédiate des rapports publiés sur Internet et (entr'autres) la fermeture définitive du site 'LE VERT BAVOIR huemaurice5' en Mars 2025 !
Les changements apportés par les CDC aux États-Unis entraîneront-ils un changement réel ?
RépondreSupprimerBehemoth Agency est un ravianien incendiaire dans les eaux politiques rugueuses
Peter A. McCullough, MD, MPH
19 septembre 2025
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le principal organisme de santé publique des États-Unis, trouvent leurs racines dans les efforts de la Seconde Guerre mondiale pour lutter contre le paludisme parmi les troupes du Sud. En 1942, l'Office of Malaria Control in War Areas a été créé en vertu des États-Unis. Service de santé publique pour pulvérulents d'habitats de DDT et de lutte contre les moustiques, protégeant plus de 6,5 millions de résidences d'ici à 1946. Le 1er juillet 1946, il est devenu le Communityicable Disease Center (CDC), fondé à Atlanta, en Géorgie, par le leader visionnaire, le Dr. Joseph W. Mountin. Avec un budget de 1 million de dollars et 369 employés, principalement des entomologistes et des ingénieurs, se sont concentrés sur le paludisme, le typhus et d'autres maladies infectieuses. La sélection d'Atlanta découlait du paludisme endémique de la région. En 1947, le CDC a obtenu 15 acres sur Clifton Road pour 10 dollars (un montant symbolique à l'Université Emory), jetant les bases de son siège actuel, qu'il a occupé entièrement en 1960. L'agence s'est rapidement développée. En 1951, le Service de renseignement sur l'épidémie (EIS), un programme novateur de formation à l'épidémiologie, a été lancé au milieu des craintes de la guerre de Corée, en formant des « détectives de la maladie » dans le monde entier. En 1957, il a absorbé le contrôle des maladies vénériennes; en 1960, les programmes de lutte contre la tuberculose. Les changements de nom reflétaient la croissance: National Communicable Disease Disease Center (1967), Center for Disease Control (1970) et Centers for Disease Control (1980), qui reconnaît de multiples divisions. Les années 1980-1990 ont marqué la diversification. Il a intégré le National Center for Health Statistics (1987) et, par un acte du Congrès de 1992, est devenu les centres de contrôle et de prévention des maladies, mettant l'accent sur les maladies chroniques, les blessures, la santé environnementale et la préparation au terrorisme. Les réalisations revendiquées par l'agence comprennent l'éradication de la variole (1980 collaboration), la lutte contre le sida (1981) et les programmes mondiaux de formation à l'épidémiologie de terrain, qui touchent plus de 18 000 professionnels dans plus de 80 pays. L'agence elle-même ne gère pas de cliniques ni gère des hôpitaux, de sorte que les allégations de lutte directe contre les maladies sont surestimées.
En septembre 2025, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis comptent environ 11 500 employés, à la suite de plusieurs séries de licenciements au début de l'année qui ont réduit la main-d'œuvre d'environ 13 000 personnes. Le budget annuel total de l'Agence pour l'exercice 2025 s'élève à 9,222 milliards de dollars. Il y a eu une porte tournante des directeurs et chacun ayant quelques années à la barre, il n'est pas surprenant que l'agence soit devenue une fosse monétaire sans impact réel sur MAHA.
L. Todd Wood au CDM a demandé au Dr. McCullough commente le bourdonnement actuel du CDC et ce qui, si les Américains, devraient attendre de leurs investissements annuels de neuf milliards de dollars. McCullough souligne que le CDC n'a pas de programmes significatifs pour étudier l'étiologie ou atténuer l'épidémie d'autisme, ni n'a lancé d'enquête significative sur la débâcle du vaccin contre le COVID-19.
RépondreSupprimerhttps://www.thefocalpoints.com/p/will-changes-at-the-us-cdc-lead-to?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=173650776&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Nic Hulscher: Dévoiler l'impact de l'ARNm sur la fertilité et la santé
RépondreSupprimerDécoder la science de la crise sanitaire de l'ARNm
Le contrat de vérité
et DCMC
16 septembre 2025
À propos
Nic Hulscher, épidémiologiste et boursier de la Fondation McCullough, apporte un phare de clarté au monde complexe de la santé publique. Avec un baccalauréat en sciences du Honors College de l'Université d'Oakland (2020) et une maîtrise en santé publique en épidémiologie de l'Université du Michigan (2024), Nic est apparu comme un chercheur de vérité implacable.
Depuis 2023, il a co-écrit 17 études scientifiques révolutionnaires, y compris des rôles principaux dans des travaux tels que Autopsy Findings dans Cases of Fatal Vaccine-Induced Myocarditis and Clinical Approach to Post-acute Sequelae After COVID-19 Infection and Vaccination. Ses recherches éclairent les impacts cachés de la technologie de l'ARNm, en particulier sur la fertilité et la santé plus large, donnant aux individus les moyens de remettre en question et d'agir. Le dévouement de Nic résonne avec l'éthique de The Truth Contract, fondée sur des preuves évaluées par des pairs, il nous invite à nous unir, à remettre en question le statu quo et à reconquérir l'agence pour notre bien-être.
Questions
Quelles preuves lient les vaccins à ARNm à la baisse de la viabilité du sperme et des ovules?
Comment la technologie des ARNm a-t-elle accéléré les défis mondiaux en matière de fécondité depuis 2020?
Quels risques plus larges pour la santé, au-delà de la reproduction, émergent des interventions en ARNm?
L'intégration génomique de l'ARNm pourrait-elle changer la donne dans la compréhension des risques de vaccin?
Existe-t-il des mesures pratiques que les individus peuvent prendre pour atténuer les effets de la santé liés aux ARNm?
Pourquoi la variabilité par lots dans les vaccins à ARNm pourrait-elle expliquer les différents résultats en matière de santé?
Qu'est-ce que l'avenir réserve à l'humanité si ces tendances se poursuivent sans contrôle?
Journal de discussion
00:00 - 03:58
Lancement de la scène: Explorer le déclin de la fécondité
Nic Hulscher se joint à David Carter pour lancer une plongée convaincante dans le projet SpermEggGeddon, dévoilant un déclin mondial de la santé du sperme et des ovules. Ils mettent en évidence des preuves évaluées par des pairs liant les vaccins à l'ARNm à cette crise, établissant un ton d'urgence et d'espoir. Avec 70 % du monde exposé à ces interventions, la conversation suscite un appel à l'action, fondée sur la science, elle invite les auditeurs à explorer comment la conscience collective peut changer. Regardez découvrir les enjeux pour les générations futures.
Quelles mesures pouvons-nous prendre ensemble pour protéger notre santé en matière de procréation? Partagez vos pensées ci-dessous, nous sommes plus unis.
RépondreSupprimer03:58 - 12:01
La fécondité des ARNm est une empreinte: les données dures
Ce segment débarrasse des recherches surprenantes, y compris une baisse de 15 à 20% de la vaccination post-ARNm du sperme et une perte de 60 % de follicules ovariens de rat. Les idées de Nic, étayées par des études israéliennes et de la République tchèque, révèlent une crise de la fertilité accélérée depuis 2020. Avec de l'empathie, il relie ces résultats à l'effondrement des taux de natalité, nous exhortant à faire face de front à ce défi anthropique. Tiez-vous pour saisir la science et rejoignez le mouvement pour trouver des solutions.
Qu'est-ce que ces résultats vous font vous sentir pour l'avenir ? Soyons soutenus les uns les autres dans les commentaires.
12:01 - 19:08
Au-delà de la fertilité: une soupe de risques toxiques
Nic et David élargissent le cristallin, explorant comment l'ARNm s'intègre dans une « soupe toxique » de 5G, de produits chimiques et de produits pharmaceutiques ayant un impact sur la santé. Ils discutent du cancer, de la myocardite et des préoccupations des CEM, mettant l'accent sur des changements de mode de vie exploitables comme des régimes alimentaires propres et des échouages. Cette discussion unificatrice permet aux auditeurs de reprendre le contrôle, mêlant l'audace et l'espoir pratique. Plongez plus profondément en regardant, vos choix comptent.
Quelle exposition toxique vous inquiète le plus ? Partagez votre plan pour le réduire, nous pouvons nous inspirer les uns les autres.
19:08 - 27:31
La fuite des cerveaux et les mystères des langoustes
La conversation se transforme en un encoût neurologique de l'ARNm, avec des preuves de déclin cognitif et de protéine de pointe dans les artères cérébrales. Nic traite de la variabilité des lots, des lots chauds causant de graves dommages par rapport aux ratés, ce qui soulève des questions de conception ou de défaut. Cette exploration courageuse nous invite à remettre en question la transparence de la fabrication, en favorisant une communauté de défenseurs informés. Regarde pour relier les points.
Avez-vous remarqué des changements cognitifs en vous-même ou chez les autres ? Discutons et apprenons ensemble.
27:31 - 39:22
L'Iceberg à venir : Carnage de longue durée
Nic met en garde contre une crise sanitaire en cours, avec un excès de mortalité infantile de 77 % liée à l'exposition à l'ARNm, ce qui donne des indications aux risques transgénérationnels. Ce segment audacieux mais empathique projette un avenir difficile, appelant à une action immédiate pour arrêter ces interventions. C'est un appel clair à unir et à exiger la responsabilité, à se mettre au point pour alimenter votre détermination.
Comment pouvons-nous pousser les gouvernements à agir sur ce point? Ajoutez votre voix ci-dessous pour créer notre élan.
RépondreSupprimerNotes et références
Gat, I., Kedem, A., Dviri, M., Umanski, A., Levi, M., Hourvitz, A. et Baum, M. (2022) «Covid-19 vaccination BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motiles parmi les donneurs de sperme», Andrology, 10(6), p. 1016-1022. doi:10.1111/andr.13209. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Hulscher, N., Hodkinson, R., Makis, W. et McCullough, P.A. (2024) «Autit intellectuel dans les cas de myocardite fatale induite par le vaccin contre la COVID-19», ESC Heart Failure. doi:10.1002/ehf2.14680. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Karaman, E., Yavuz, A., Karakas, E., Balcioglu, E., Karaca, B., Doganay, H.N., Sacinti, K.G. et Yildiz, O. (2025) «Impact of mRNA and Inactivated COVID-19 Vaccines on Ovarian Reserve», Vaccines, 13(4), p. 345. doi:10.3390/vaccines13040345. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Levine, H., J.., N., Martino-Andrade, A., Mendiola, J., Weksler-Derri, D., Mindlis, I., Pinotti, R. et Swan, S.H. (2017) «Terrances temporelles du nombre de sperme: revue systématique et analyse de méta-régression», Human Reproduction Update, 23(6), p. 646-659. doi:10.1093/humupd/dmx022. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Manniche, V., F.rst, T., Schmeling, M., Gilthorpe, J.D. et Hansen, P.R. (2025) «Rates of successful conceptions selon le statut de vaccination contre la COVID-19: données de la République tchèque», International Journal of Risk and Safety in Medicine. doi:10.3233/JRS-240001 [Online before print; volume, issue, and pages not still assigned; ne pourrait pas accéder au lien DOI pour confirmer les détails. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Ota, N., Itani, M., Aoki, T., Sakurai, A., Fujisawa, T., Okada, Y., Noda, K., Arakawa, Y., Tokuda, S. et Tanikawa, R. (2025) «Expression de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans les artères cérébrales: Implications pour l'accident vasculaire cérébral hémorragique Post-ARNm vaccination», Journal officiel des neurosciences cliniques, article 136, art. 111223. doi:10.1016/j.jocn.2025.111223. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Thorp, J.A., Rogers, C., Cosgrove, K., Hatfill, S., Breggin, P., Pinsky, D. et McCullough, P.A. (2025) «Association Between COVID-19 Vaccination and Neuropsychitric Conditions», International Journal of Innovative Research in Medical Science, 10(06), p. 241-247 doi:10.23958/ijirms/vol10-i06/2090. Disponible à: Lien (lié au 15 septembre 2025).
Le contrat de vérité – pas seulement plus de contenu, mais un engagement.
RépondreSupprimerVous êtes ici parce que l'histoire de la surface ne tient pas.
Vous êtes prêt à remettre en question, à contribuer et à façonner un avenir pour lequel vous vaut la peine d'être présenté.
C'est le contrat : la vérité. Mesures à prendre. Ensemble.
Ajoutez votre voix à la conversation. C'est ainsi que nous élargissons le mandat du changement.
- voir clip suir site :
https://thetruthcontract.substack.com/p/nic-hulscher-unveiling-mrnas-impact?utm_source=cross-post&publication_id=4436191&post_id=173692411&utm_campaign=1119676&isFr
eemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Réunion de l'ACIP aujourd'hui: résultats
RépondreSupprimerThèmes d'aujourd'hui : 1) Personne ne voulait enlever des vaccins. 2) Étapes pour bébés.
Meryl Nass
19 septembre 2025
Une autre journée frustrante. Deux vaccins ont été examinés par le nouveau comité de l'ACIP, qui est encore en train de trouver son chemin, et aujourd'hui cinq nouveaux membres ont été ajoutés.
Aujourd'hui, le vaccin MMRV et la dose de naissance du vaccin contre l'hépatite ont été pris en compte. Demain, les vaccins contre la COVID pour les enfants seront sur le siège chaud.
Les deux questions d'aujourd'hui ont été aussi tranchées et séchées qu'elles n'arrivent dans le monde des vaccins.
Les vaccins varicelles (pokinole) ne sont même pas nécessaires, et de nombreux pays ne les utilisent pas, car pratiquement personne ne meurt de varicelle, vaxède ou non. Même les enfants atteints de leucémie sont sauvés avec des anticorps monoclonaux et des médicaments antiviraux s'ils reçoivent un cas sévère. Quand j'ai étudié les chiffres (6 ans) il y a seulement 1 enfant est mort de varicelle en un an aux États-Unis.
Néanmoins, le vaccin contre la varicelle est obligatoire dans la plupart des États-Unis. Il peut être administré seul ou en association avec le MRC. Le ROR est généralement administré à la visite de 12 mois et, par conséquent, lorsque l'association est utilisée, le vaccin contre la varicelle est également administré à ce moment-là.
On sait depuis longtemps que lorsque vous donnez les vaccins ensemble à ce jeune âge, au lieu de les séparer, le résultat est deux fois plus de crises post-injection que si les vaccins étaient administrés séparément. Au lieu d'environ 1 crise dans le nombre de 3 000 doses, vous obtenez environ 1 sur 1 500 doses. Par conséquent, 85 % des enfants reçoivent les vaccins séparément.
La question qui se posait aux membres de l'ACIP était de savoir s'il fallait recommander à tous les enfants de moins de 4 ans de les recevoir sous forme d'injections séparées, ce qui évoluait les 15 % qui (aujourd'hui) les recevraient ensemble.
Il m'a semblé comme un slam dunk - bien sûr, vous évitez les crises, qui peuvent mettre votre vie en danger.
Quelques-uns n'étaient pas d'accord et voulaient que les choses restent telles quelles. Mais la majorité est allée avec le changement. Les membres se sont confondus en raison du vote suivant, qui a eu trait aux paiements fédéraux si un enfant obtenait le vaccin combiné à un jeune âge - les fédéraux devraient-ils encore le payer? Presque tout le monde a dit oui, ça devrait le faire. Bon, quoi qu'il en soit, bien que la façon dont vous faites un véritable changement est la médecine est de modifier ce que le gouvernement paie.
RépondreSupprimerLe deuxième problème était le vaccin contre l'hépatite B, actuellement administré à la plupart des enfants le premier jour de leur vie. Le CDC souhaite qu'il soit administré dans les 12 heures suivant sa naissance. Toutefois, le Dr. Kuldorf a calculé qu'environ la moitié seulement des bébés avaient une mère positive à l'antigène de l'hépatite B et devraient être vaccinées (et recevoir un anticorps monoclonal et éventuellement un médicament aussi). Pour le reste des 99,5 %, il n'y a pas de bonne preuve qu'il fait quelque chose d'utile. Les abonnements et les kibitzers dans le public (c'est-à-dire les membres de liaison des organisations médicales et infirmières) ont insisté sur le fait que le vaccin était « sûr et efficace » alors pourquoi ne pas le donner - vous ne savez jamais qui pourrait en avoir besoin plus tard....
Le problème avec cet argument est qu'il n'y avait pratiquement pas de bonnes données sur HHow safe et COMMENT ce plan est efficace. Et les CDC ont étrangement choisi de NE PAS offrir leurs propres données VSD, d'où l'on pourrait déduire si les enfants vaccinés par l'hépatite B font mieux ou pire que les enfants non vaccinés, longitudinalement.
La question pour les membres de l'ACIP était de savoir s'il fallait reporter le premier coup de feu jusqu'à l'âge de 1 mois. Pas pour le petit nombre d'enfants qui en ont besoin, qui ont des mères infectées par l'hépatite. Juste pour ceux qui n'en ont pas besoin.
C'est tout. Ne pas arrêter les coups de feu. Ne pas les réduire. Juste pour retarder d'un mois.
La commission n'a pas eu le temps de procéder à ce vote. Steve Bannon m'a fait attendre ce soir et il a fait valoir que c'est un tournant pour la commission - qui vient d'ajouter des vaccins à droite et à gauche, et n'a jamais rien pris, dont je me souviens.
Et c'est pourquoi l'industrie est en vertige. Bien que la science soit claire que ces deux vaccins ont vraiment appelé à un changement.
Demain sera intéressant – il est clair que les enfants risquent plus qu’ils ne bénéficient de la COVID. Restez à l'écoute. Je revois bloguer jusqu'à 15 heures. Il commence à 8h30. Je ferai peut-être un autre spectacle de Bannon demain.
Voici le lien:
https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/events-cdc-acip-meetings/cdc-acip-meeting-sept-19/
https://merylnass.substack.com/p/acip-meeting-today-results?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=173980128&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Anciens médicaments, nouvel espoir: la révolution dans les médicaments à des fins nouvelles
RépondreSupprimerUn membre du conseil d'administration et conseiller de mon organisation à but non lucratif "Rebuild Medicine" a publié un op-Ed in Real Clear Health,ating waying waying to lwolock safer, plus rapide, et plus abordable pour les maladies les plus dures d'aujourd'hui.
Pierre Kory, MD, MPA
18 septembre 2025
L'op-Ed ci-dessus a été écrit par mon nouvel ami et collègue, le Dr. Stephen M. Smith, qui est, de manière intéressante, un spécialiste des maladies infectieuses (ID), notamment dans le domaine du VIH/sida et de la santé urbaine. Pourquoi est-ce intéressant ? Parce que, et c'est un fait pas si amusé, tout au long de ma carrière en USI, mes spécialistes les moins appréciés en matière de conseil étaient de l'ID.
À de rares exceptions près parmi les spécialistes des maladies infectieuses vraiment douées (comme Stephen I devrait ajouter), la plupart des documents d'identification ont eu tendance à commander des panneaux de tests excessifs à la recherche de chaque pathogène infectieux connu de l'homme - une approche que j'ai souvent appelée la méthode de diagnostic du « pistolet-facteur ». En plaisanterie intérieure, je dirais qu'ils « ressuscitaient les vampires dans le sous-sol », une référence aux gros volumes de sang prélevés pour leurs analyses de laboratoire et leurs cultures, car des spécimens ont été envoyés au sous-sol de l'hôpital, où tous les tests de diagnostic ont eu lieu.
Pardonnez-moi car je digresse, comme je devrais dire que Steve n'en fait pas partie - j'ai appris de mes conversations avec lui qu'il est un clinicien astucieux et un polymathe avec un ensemble varié de domaines de connaissance. Il est actuellement président et fondateur du Smith Center for Infectious Diseases and Urban Health, un dispensaire à but non lucratif du New Jersey axé sur le traitement des maladies infectieuses dans les populations du centre-ville. Avant de nous tourner vers l'Op-Ed, voici un autre fait pas si amusant : Steve a fait sa bourse de maladies infectieuses au NIH... sous la rubrique Anthony Fauci. Ouais.
Mais Fauci n'était pas à la hauteur de la brillance de Steve, comme on peut le constater dans l'Op-Ed d'aujourd'hui, un op-Ed que Fauci n'aurait jamais écrit en un million d'années. Jouissez :
La plupart des nouveaux médicaments commercialisés aux États-Unis sont le produit de projets de développement à 15 ans qui coûtent des milliards et entraînent souvent l'échec. Un moyen plus facile et plus rapide se cache à la vue de tous. Des milliers de médicaments génériques présents dans nos cabinets médicaux sont une mine d'or potentielle de nouvelles applications qui pourraient être développées en années, pas des décennies. L'administration Trump peut révolutionner les soins de santé en établissant un cadre systématique pour étudier et développer des médicaments génériques réaffectés.
Depuis des millénaires, la médecine est pratiquée par observation. Les médecins ont essayé différentes approches du traitement, ont évalué la réponse d'un patient et ont partagé leurs résultats. Au cours du siècle dernier, cette pratique a cédé la place à une approximation mécanique de ce processus, dans le cadre duquel les médicaments brevetés sont testés dans le cadre d'essais contrôlés randomisés à grande échelle. Cette approche a donné des percées incroyables, permettant à des millions de personnes de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Mais ces essais sont incroyablement chers et comportent un grand risque d'échec. Aujourd'hui, l'industrie biopharmaceutique consacre environ 200 milliards de dollars par an à la recherche et au développement, dont environ 70 % - environ 60 milliards de résultats - résultats de projets en échec.
RépondreSupprimerPlus important encore, notre système réglementaire s'appuie trop fortement sur ces essais pour affirmer de nouveaux médicaments, laissant peu de place à la pratique d'observation éprouvée en médecine. Cela a atteint son paroxysme pendant la pandémie de COVID, lorsque les médecins qui ont traité les patients avec des médicaments génériques réaffectés pour observer les avantages potentiels ont perdu leur emploi pour avoir bousculé des protocoles institutionnels. Ces hommes et ces femmes ont passé leur vie au service d'autres personnes, pratiquant méticuleusement la médecine pendant des décennies, essayant de nouvelles approches thérapeutiques pour évaluer la réponse des patients et guérir les malades. De nombreuses vies sont détruites simplement faute de pratiquer la médecine, comme cela a toujours été fait, à la recherche d'un moyen d'alléger les souffrances.
Le reste de l'opération ET DE peut être lu ici, qui détaille certains moyens efficaces de promouvoir le domaine en termes de politique. Avec Bobby à la barre, ces idées pourraient certainement devenir une réalité.
https://pierrekorymedicalmusings.com/p/old-medicines-new-hope-the-revolution?utm_source=post-email-title&publication_id=645524&post_id=173975054&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Intégration génomique de l'ARNm "Vaccine": visualisé dans une description hyperréaliste
RépondreSupprimerUn cas sentinelle d'un patient atteint de cancer de la vessie de stade IV de stade récent révèle une séquence de gènes Spike dérivée du vaccin intégrée dans le chromosome 19 avec une correspondance parfaite de 20/20 pb.
Nicolas Hulscher, MPH
18 septembre 2025
J'ai rejoint JD Rucker sur Patriot.TV pour fournir une explication approfondie de notre rapport sentinelle sur l'intégration génomique des ARNm. Les trois premières minutes de l'entretien présentent une illustration hyperréaliste de l'événement d'intégration génomique.
Pendant des années, les responsables de la santé publique ont assuré le monde que ces tirs ne pourraient jamais modifier l'ADN humain - ils étaient gravement faux.
Nous avons également exposé comment le récit vaccin-autisme s'est construit sur l'activité criminelle et la science frauduleuse.
Première preuve directe de l'intégration génomique "Vaccine" de l'ARNm identifiée au patient cancéreux de stade IV
BREAKING STUDY: First Direct Evidence of mRNA "Vaccine" Genomic Integration Identified in Stage IV Cancer Patient
Nicolas Hulscher, MPH
15 sept.
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Notre rapport sur le cas sentinelle documente la première preuve directe de l'intégration du matériel génétique « vacciné » dans le génome humain.
Une femme de 31 ans a développé un cancer agressif de la vessie IV en un an d'après trois injections de Moderna.
L'ADN tumoral circulant a révélé une correspondance parfaite de 20/20 pb entre une séquence codante dérivée du Spike dérivée du vaccin et un segment du chromosome 19.
L'intégration s'est produite en dehors du refuge d'AAVS1, dans une région instable et d'ensemence génétique, perturbant la réparation de l'ADN, la surveillance immunitaire et déclenchant des cascades oncogènes.
RépondreSupprimerCela établit un mécanisme plausible par lequel la technologie de l'ARNm peut déstabiliser le génome et stimuler le cancer.
Couverture vaccinale Échétisme du vaccin Écartement : Arrestation d'un chercheur fugitifs
BREAKING: Fugitive Vaccine Researcher Behind Infamous ‘No Autism Link’ Study ARRESTED for Stealing $1 Million from CDC
Nicolas Hulscher, MPH
16 sept.
Read full story
Poul Thorsen, chercheur en vaccins, co-auteur de l'étude de rejetant un lien vaccin-autisme, a été arrêté en Allemagne après une décennie en fuite pour avoir volé plus d'un million de dollars de fonds aux CDC destinés à étudier l'autisme, les handicaps infantiles, les troubles génétiques et le syndrome d'alcool fœtal.
Cette étude, criblée de défauts fatals, a été fabriquée pour nier des milliers de plaintes pour blessures autistes. L'arrestation de Thorsen signifie que le fondement du récit « lien sans autisme » repose sur l'activité criminelle et la fraude scientifique.
À la Fondation McCullough, nous mettons la dernière main à l'une des analyses les plus complètes à ce jour sur les vaccins et l'autisme, non mises en place par la corruption.
https://www.thefocalpoints.com/p/mrna-vaccine-genomic-integration?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=173955758&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
RépondreSupprimerLa vraie raison pour laquelle chaque nouveau-né est forcé d'obtenir le vaccin contre l'hépatite B
Nous avons enfin des réponses.
Le renard glorieux
18 septembre 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwestern Doctor. Les principaux détails ont été rationalisés et éditorialisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport initial ici.
Le vaccin contre l'hépatite B est chargé pour les enfants de fréquenter les écoles publiques dans 46 États.
L'hépatite B est transmise par aiguille ou par contact sexuel, mais ce vaccin est poussé sur les bébés dès leur premier jour de vie.
Pourquoi ?
Nous avons enfin des réponses.
Aujourd'hui, pour la première fois depuis des décennies, le panel consultatif du CDC sur les vaccins se réunit pour examiner les changements apportés au calendrier vaccinal pour l'enfance, y compris la vaccination contre l'hépatite B.
Voici la vraie raison pour laquelle chaque nouveau-né est forcé de l'obtenir - et c'est pourquoi cela pourrait finalement changer.
Pendant des décennies, Un Docteur du Midwest
a tenté de répondre à la question:
Pourquoi injectons-nous un vaccin destiné aux groupes à risque adultes à chaque nouveau-né ?
La vérité révèle une histoire de science fragile, des signaux de sécurité ignorés et des agendas cachés.
Pourquoi chaque nouveau-né est-il forcé d'obtenir le dangereux vaccin contre l'hépatite B ?
L'histoire supprimée derrière le vaccin Hep B et les risques et les bénéfices réels dont nous ne nous sommes jamais racontés...Read More.
Le débat n'est pas nouveau. Le vaccin contre l'hépatite B fait l'objet d'un vif débat depuis des années.
Mais le débat est un peu plus étrange, dirons-nous.
Découvrez ce clip de The Highwire avec le Dr. Démetre Daskalakis.
Pas plus tard qu'hier, l'ancienne directrice du CDC, Susan Monarez, semblait incapable d'expliquer pourquoi nous vaccinons les nouveau-nés pour l'hépatite B.
Le virus de l'hépatite B est, après tout, un agent pathogène végématisé par le sang dont la transmission se produit généralement par des rapports sexuels non protégés, des échanges de sang comme des aiguilles partagées et une transmission de la mère à l'enfant pendant l'accouchement.
Un seul de ces facteurs de risque est pertinent pour un nouveau-né, mais les femmes enceintes sont généralement dépistées pour l'hépatite B pendant leurs soins prénatals de toute façon.
RépondreSupprimerAlors pourquoi exactement le donnons-nous aux nouveau-nés ? Quelqu'un le sait-il ? Les protégons-nous pendant toute une vie de sexe et de drogue non protégés? Y a-t-il un effet protecteur du vaccin pendant encore si longtemps ?
Les nombreuses préoccupations concernant l'administration du vaccin contre l'hépatite B aux nouveau-nés ne sont pas infondées. Il ne s'agit pas simplement d'être anti-vax. Et l'inquiétude suscitée par ce vaccin n'est certainement pas une anti-science.
Jetons un coup d'oeil à la science.
Le vaccin a été introduit pour la première fois dans les années 1980. Et les avertissements précoces sont arrivés rapidement.
La chercheuse sur le vaccin respectée, Bohn Dunbar, a exposé le schéma de complications auto-immunes après que son propre frère eut été blessé par le vaccin contre l'hépatite en 1994.
Un article de 1998 dans la revue Science a mis en lumière les préoccupations croissantes concernant le vaccin, y compris le fait que les avocats représentant plus de 15 000 personnes ont poursuivi le gouvernement français pour avoir minimisé les risques et en exagérant ses bénéfices.
La France a ensuite suspendu la vaccination contre l'hépatite B dans les écoles.
Une audience du Congrès de 1999 a exposé ce exposé :
De nombreux effets indésirables graves, dont le décès, les crises convulsives, l'autisme, la dysautonomie, la SEP, la polyarthrite rhumatoide, le diabète et le cancer du foie.
Les rapports d'effets indésirables ont été ignorés ou rejetés, et les courtes durées de l'essai ont raté les réactions retardées.
Les parents n'ont pas été informés des risques, les nouveau-nés ont été vaccinés sans le consentement des parents et les parents ont été menacés d'intervention des services sociaux.
La vaccination des nouveau-nés à faible risque d'une maladie associée à un adulte est tout simplement inappropriée.
Le National Vaccine Injury Compensation Program n'a nié que la plupart des demandes d'indemnisation.
La même année, moins de 100 enfants américains de moins de 2 ans ont contracté l'hépatite B.
RépondreSupprimerLes maths ne s'additionnent pas. Cela ne l'a jamais été.
Toujours en 1999, alors qu'il était réellement possible de trouver un peu de vérité sur Big Pharma à la télévision, ABC News a diffusé tout un programme sur le vaccin contre l'hépatite B.
Ils ont même inclus des patients blessés par la vaccination et les parents d'enfants gravement blessés.
Les antécédents indicibles du vaccin contre l'hépatite B sont des coup de fouet.
Des essais contaminés aux justifications secrètes des CDC, tout est ici dans Un Docteur du Midwest
Rapport complet:
Pourquoi chaque nouveau-né est-il forcé d'obtenir le dangereux vaccin contre l'hépatite B ?
L'histoire supprimée derrière le vaccin Hep B et les risques et les bénéfices réels dont nous ne nous sommes jamais racontés...Read More.
La science est et a été empilée contre ce vaccin.
Les études ont montré que la vaccination contre l'hépatite B augmentait le risque de SEP, de lupus, d'arthrite et d'autres maladies auto-immunes.
En France, des cas de MS ont atteint 65 % après une campagne nationale. Un ensemble de données CDC a montré un risque d'autisme 12 fois plus élevé lorsqu'il était administré au cours des 30 premiers jours de la vie.
Pourquoi le vaccin contre l'hépatite B cause-t-il tant de dommages ?
Les maladies auto-immunes causées par le vaccin sont probablement dues à un antigène présentant un chevauchement significatif avec la myéline humaine.
Le mimétisme moléculaire du vaccin a été refusé parce qu'il ne pouvait pas être prouvé.
Un rapport de 1994 de l'Institut de médecine a noté que, bien qu'il existait des données préliminaires pour de nombreuses réactions attribuées au vaccin contre l'hépatite B, aucune recherche supplémentaire n'avait été menée.
Wow, merci IOM.
Les procès ont été une blague.
RépondreSupprimerIls ont surveillé les « effets secondaires » pendant seulement 4 à 5 jours. Et les placebos qu'ils ont utilisés ? Non, pas de sérum physiologique, il s'agissait d'autres vaccins ou même des adjuvants d'aluminium.
Es-tu en train de me plaisanter ?
Les réactions graves - parfois fatales - ont été reclassées en PEID ou par hasard.
Si la transmission est généralement due à des facteurs de risque pour adultes, pourquoi ne pas l'administrer uniquement aux adultes à risque? Les travailleurs de santé, les toxicomanes IV et les homosexuels avec de multiples partenaires...
Des études ont montré qu'il peut réduire considérablement les cas dans ces groupes.
Pourquoi les nourrissons ? Il n'y a pratiquement aucun risque, et l'immunité a en fait aride.
À quoi bon ?
Le principal argument du CDC est la prévention de la transmission de la mère à l'enfant.
Mais presque toutes les femmes enceintes américaines sont dépistées d'une hépatite B pendant la grossesse. Et les taux d'infection sont inférieurs à 0,5%.
Selon les chiffres, des millions de bébés doivent être vaccinés pour éviter une seule issue grave.
Et ce n'est pas une exagération.
Et si le statut de maman est inconnu, il est en fait mandaté dans de nombreux états pour dépister les nouveau-nés pour détecter l'hépatite B de toute façon.
Alors, pourquoi le mandat du nouveau-né universel ?
Un ancien initié de l'ACIP a révélé la triste vérité :
Il ne s'agit pas de transmission maternelle. Il s'agit de capturer un « public captif » à l'hôpital - avant que les jeunes à risque ne glissent à travers les fissures plus tard dans la vie.
Donc, parce que le CDC n'arrivait pas à atteindre les adolescents du centre-ville, ils ont décidé de vacciner tous les bébés en Amérique.
RépondreSupprimerCela n'a jamais été médicalement justifié - c'était une commodité bureaucratique déguisée en science.
Laissez tomber cet enfoncé.
L’histoire sombre du vaccin contre l’hépatite B vous laissera sans voix.
Avez-vous été vacciné contre l'hépatite B ? Qu'en est-il de vos enfants ?
Un Docteur du Midwest
Le rapport complet est à lire à l’intention des choses.
Pourquoi chaque nouveau-né est-il forcé d'obtenir le dangereux vaccin contre l'hépatite B ?
L'histoire supprimée derrière le vaccin Hep B et les risques et les bénéfices réels dont nous ne nous sommes jamais racontés...Read More.
L'histoire est troublante.
Les premiers vaccins contre l'hépatite B étaient dérivés du plasma, utilisant en fait du sang humain infecté. Il s'agissait même d'échanges de sang chimpanzés-humains.
C'était pendant la crise précoce du sida à New York, San Francisco et Los Angeles. Rappelez-vous : le VIH est considéré comme provenant d'un virus chimpanzé. Cela semble risqué.
Merck s'est ensuite précipité sur le premier vaccin à OGM recombinant en 1986.
Dès le début, le vaccin contre l'hépatite B était cher - environ 145 dollars pour trois doses, contre 2 pour d'autres vaccins.
L'absorption était faible dans les groupes à haut risque auxquels elle était destinée.
Les régulateurs ont donc modifié leur stratégie : ajoutez-la au calendrier de l'enfance, où le financement public garantissait les ventes.
En 1991, l'ACIP a imposé la vaccination contre l'hépatite B pour tous les nouveau-nés. En 1999, il s'est étendu à tous les enfants et adolescents.
Les parents s'y sont opposés. Les pédiatres ont résisté. Même les activistes homosexuels l'ont qualifié d'échec de la sensibilisation de la santé publique.
Mais le CDC a insisté vers l'avant - en insistant qu'il était « sûr et efficace » pour les nouveau-nés de jour, malgré ce que la science a dit.
Des décennies plus tard, le résultat ne pouvait pas être plus clair.
RépondreSupprimerLes cas aigus d'hépatite B ont diminué, mais les taux d'hépatite B chroniques n'ont jamais bougé.
La condition même que le programme était censé éliminer n'a même pas changé depuis 1976.
Des blessures sévères du vaccin ont toutefois explosé.
Cela valait-il la peine ?
Aujourd'hui, pour la première fois depuis des décennies, l'ACIP fera son travail et réexaminera le mandat du nouveau-né de l'hépatite B.
C'est notre chance d'exiger le changement.
Pourquoi chaque nouveau-né est-il forcé d'obtenir le dangereux vaccin contre l'hépatite B ?
L'histoire supprimée derrière le vaccin Hep B et les risques et les bénéfices réels dont nous ne nous sommes jamais racontés...Read More.
Il ne s'agit pas seulement d'un vaccin.
Il s'agit de savoir à quel point « sécurité et efficacité » est devenu un slogan.
Comment les rapports bénéfice/risque ont-ils été enterrés?
Comment le coût humain a été balayé.
Et comment les bureaucrates ont forcé une intervention médicale à chaque nouveau-né, non pas pour la santé, mais pour le contrôle et le profit.
La saga de l'hépatite B est un avertissement.
Lorsque la politique de santé publique est motivée par la politique et le profit au lieu de preuves, les enfants deviennent toujours des dommages collatéraux.
Pendant des décennies, on n'a jamais dit la vérité aux parents. Maintenant, les fissures montrent.
L'audition de l'ACIP d'aujourd'hui est une chance unique de corriger la terrible voie à suivre.
Si vous vous souciez de la liberté médicale, que vous consentez en connaissance de cause et que vous protégez les enfants, le moment est venu d'agir.
Lire le rapport complet. Diffusez le mot. Contactez vos sénateurs. Regardez l'audition de l'ACIP.
Cela pourrait être le tournant.
Pendant 30 ans, les nouveau-nés de l’Amérique ont été sacrifiés à une politique qui n’a jamais eu de sens.
L'ACIP finira-t-elle enfin par y mettre fin?
RépondreSupprimerhttps://www.vigilantfox.com/p/the-real-reason-every-newborn-is?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=173909271&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La réunion d'aujourd'hui de l'ACIP
RépondreSupprimerMeryl Nass
18 septembre 2025
Les liens pour les téléspectateurs de l'ACIP de mon blog live sont ci-dessous. Aujourd'hui, la réunion commence à 10 heures par un appel nominal.
Jeudi
https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events-cd-acip-meetings/cdc-acip-meeting-sept-18/
Vendredi
https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/events/events-cdc-acip-meetings/cdc-acip-meeting-sept-19/
Le calendrier pour aujourd'hui est le vaccin MMRV dans le vaccin hypât et l'hépatite B après le déjeuner. Je posterai quelques-unes de mes vieilles réflexions sur l'hépatite B et la varicelle si elles n'ont pas été retirées. On trouvera ci-après l'ordre du jour.
RÉUNION DU COMITÉ CONSULTATIF DES PRATIQUES DE L'IMMUNISATION (APCP)
Ordre du jour (projet)
Centres de contrôle et de prévention des maladies
Atlanta, Géorgie
Jeudi 18 septembre 2025
10h00 Bienvenue et Rouleau Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
Dr. Mina zadeh (Secrétaire exécutive de l'ACIP, CDC)
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
10 h 30 Mise à jour sur les groupes de travail 11 heures Rougeur, rumeur, rubéole et variangue
(MMRV) Vaccins
Introduction Contexte de la présentation sur la prise deHS roulante
Vaccin MMRV
Recommandations et débat proposés 13 heuresLunch
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
Dr. Arjun Srinivasan (CDC/NCIRD)
Dr. John Su (CDC/NCE-ID)
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
RépondreSupprimer13 h 30 Vaccin contre l'hépatite B
Présentation de la dose de naissance de l'hépatite B
Vaccination
Mises à jour de l'hépatite B sur l'innocuité du vaccinBreak
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
Dr. Adam Langer (CDC/NCHHSTP)
Dr. John Su (CDC/NCE-ID)
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
16 h 15 Mises à jour de l'agence à 16 h 30 Commentaire du public
CDC, CMS, FDA, HRSA, IHS, NIH
17h00 Votes
Vaccins MMRV Vaccins MMRV - Vaccins contre l'hépatite B VFC Vaccins d'hépatite B - VFC 5:30 PM Ajournement
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
Dr. Jeanne Santoli (CDC/NCIRD)
Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
Dr. Jeanne Santoli (CDC/NCIRD)MEETING DU COMITÉ CONSULTATIF DES PRATIQUES D'IMMUNISATION (ACIP)
Ordre du jour (projet)
Vendredi 19 septembre 2025
8h30 Bienvenue et Rouleau Dr. Martin Kulldorff (Président de l'ACIP)
Dr. Mina zadeh (Secrétaire exécutive de l'ACIP, CDC)
8h45 Vaccins contre la COVID-19
Introduction Mise à jour de l'épidémiologie de la COVID-19 Mise à jour de la mise en œuvre de la COVID-19
Considérations
Mise à jour de l'efficacité du vaccin COVID-19 Mise à jour de la sécurité du vaccin contre le COVID-19 Présentations supplémentaires de vaccins contre la COVID-19 11h30 Déjeuner
Dr. Retsef Levi (Président du Groupe de travail sur l'ICAP)
Dr. Arjun Srinivasan (CDC/NCIRD)
Dr. Arjun Srinivasan (CDC/NCIRD)
Dr. Arjun Srinivasan (CDC/NCIRD)
Dr. John Su (CDC/NCE-ID)
TBD
12:00 PM COVID-19 Vaccins (suite)
RépondreSupprimerAnalyse économique de la vaccination contre la COVID-19 Vaccine COVID-19 Mise à jour du fabricant de médicaments à des fins d'explosion
COVID-19 Discussion Frammisation Propositions de recommandations et discussion 13h40Break
Dr. Arjun Srinivasan (CDC/NCIRD) au nom de
de l'Université du Michigan
Dr. Retsef Levi (Président du Groupe de travail sur l'ICAP)
Dr. Retsef Levi (Président du Groupe de travail sur l'ICAP)
13 h 45 Commentaire du public
14 h 15 Votes
15h00 Ajournement
COVID-19 Vaccins Dr. Retsef Levi (Président du Groupe de travail sur l'ICAP)
https://merylnass.substack.com/p/todays-acip-meeting?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=173932039&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Le secrétaire du HHS, Kennedy, remet la santé américaine sur la voie de l'écoute/Epoch Times
RépondreSupprimerMeryl Nass
18 septembre 2025
POINTS VISANT À L'ÉQUIPE
AVIS
Le secrétaire du HHS, Kennedy, remet en place la santé américaine sur la bonne voie
Il remet en question les hypothèses profondément ancrées et met la santé, et non la bureaucratie.
HHS Secretary Kennedy Puts American Health Back on Track
Secrétaire aux États en matière de santé et de services sociaux, Robert F. Kennedy Jr. sur une photo de fichier. Madalina Vasiliu/The Epoch Times (Le temps de l'opéra)
Dorothy Fink
Sara Brenner
9/17/2025 https://www.theepochtimes.com/opinion/hhs-secretary-kennedy-puts-american-health-back-on-track-5916665
Commentaire
La santé de l’Amérique a diminué régulièrement. Les maladies chroniques augmentent, l'espérance de vie diminue et de plus en plus d'enfants tombent plus jeunes. Malgré les percées médicales, notre système s'appuie trop fortement sur les médicaments et les procédures au lieu de prévenir les maladies en premier lieu. Les coûts - pour notre santé et notre économie - sont stupéfiants.
Le président Trump et le secrétaire Kennedy sont en train de changer de cap. Ils font progresser une vision dont l'Amérique a besoin depuis des décennies : une vision qui s'attaque aux causes profondes de la maladie et restaure la santé publique.
En tant que médecins de carrière dans le domaine de la santé et des services sociaux, avec plus de 13 ans de service combiné au HHS, nous appuyons fermement cette orientation. Le secrétaire Kennedy a recentré le département sur la science rigoureuse et la libre enquête, rejetant la censure et l'ingérence politique. Il remet en question les hypothèses profondément ancrées et met la santé, et non la bureaucratie.
Nous nous sommes tous les deux pris en charge des patients - Dr. Fink en tant qu'endocrinologue et Dr. Brenner en tant que médecin de médecine préventive, en conte avec une maladie chronique avant de rejoindre le HHS. Nous avons vu des patients un jour considérés comme « incurables » retrouver la santé grâce à des changements de mode de vie réalisables. Pourtant, trop souvent, l'établissement médical indique aux patients que leur état est «chaud» et ne peut être traité qu'avec des médicaments ou des procédures. Cela les prive d'espoir et ignore la réalité que de nombreuses conditions sont évitables - et dans certains cas réversibles.
Les enfants sont les premières victimes de cet échec. Plus d'un tiers des enfants et des adolescents américains ont un excès de poids corporel, et plus d'un quart ont un trouble mental, comportemental ou développementel. Trop de temps d'écran, trop peu d'exercice, et des régimes dominés par la nourriture ultra-transformée sont à l'origine de ces tendances et de vol d'années de vie saine.
RépondreSupprimerLe Secrétaire Kennedy prend des mesures décisives. Le HHS améliore l'accès aux aliments nutritifs dans les écoles et les communautés, renforce les programmes fédéraux de nutrition et réforme la sécurité alimentaire en éliminant les additifs nocifs. Les écoles de médecine sont maintenant encouragées à enseigner la nutrition dans le cadre de la formation de base, en veillant à ce que les médecins comprennent l'importance de l'alimentation. Le test de remise en forme présidentielle a permis d'aider les écoles et les familles à faire de l'activité physique quotidienne un fondement de la santé. Ces mesures permettent aux familles de disposer des outils nécessaires pour renforcer leur résilience et leur bien-être tout au long de leur vie.
Tout aussi important, le Secrétaire Kennedy est en train de rétablir la confiance du public. Il a demandé au personnel du HHS de contrôler les préjugés personnels, de rejeter l'autocensure et d'adopter un débat ouvert. Il a fait de la transparence radicale la norme: les Américains méritent de savoir comment les recommandations en matière de santé sont élaborées, quelles preuves les soutiennent et comment faire des choix éclairés avec leurs médecins.
C'est un tournant. Pendant trop longtemps, notre système a géré la maladie au lieu de promouvoir la santé. Maintenant, sous le président Trump et le secrétaire Kennedy, nous nous dirigeons vers la prévention, la nutrition, l'exercice et le dialogue ouvert avec le peuple américain.
La voie à suivre est claire. Avec un leadership engagé dans la science de l'or et au bien-être des générations futures, l'Amérique peut inverser son déclin et construire une nation plus saine, plus forte et plus pleine d'espoir.
Les opinions exprimées dans cet article sont des opinions de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement les vues de The Epoch Times.
https://merylnass.substack.com/p/hhs-secretary-kennedy-puts-american?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=173908034&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email