Relations personnelles avec l'IA : des conséquences fatales

 

09.10.2025 
 www.kla.tv/39082
 

"Un garçon de 14 ans se suicide après y avoir été encouragé par son robot IA !"
"Le mari et le père se suicident ! Un robot IA a suggéré cela comme solution à la crise climatique !"
"La seule solution à tes problèmes, c'est de tuer tes parents ! Conseils d'un robot d'IA à un jeune de 17 ans."
"Un robot d'intelligence artificielle a montré à une fillette de 9 ans des images et des à caractère sexuel de manière répétée. La fillette, aujourd'hui âgée de 11 ans, suit une thérapie sexuelle pour cette raison."
"Psychose de l'IA : les chatbots poussent les gens à la folie spirituelle"

De plus en plus de personnes entretiennent des relations avec un chatbot. Cela signifie qu'ils communiquent via leur smartphone avec ce qu'on appelle un système de dialogue, qui est utilisé en relation avec un avatar [https://www.youtube.com/watch?v=T2ts2iQ8ELM&ab _channel=NZZFormat], une personne représentée graphiquement. Le type de relation avec ces personnes fictives générées par l'IA va de l'amitié à la relation amoureuse romantique.

Les gros titres que nous venons de citer montrent clairement que la communication et l'influence de la part des bots d'IA créent des situations potentiellement mortelles. Les enfants et les adolescents en particulier perdent rapidement la frontière entre la fiction et la réalité et sont donc les premières victimes de cette manipulation émotionnelle. En tant qu'êtres humains, nous avons besoin d'émotions et de communication pour nous sentir bien et rester en bonne santé. Nous sommes donc vulnérables et influençables à ce niveau. L'extrait suivant permet de montrer clairement à quoi ressemble une telle manipulation et jusqu'où elle peut mener. Il décrit le cas de Sewell, 14 ans, qui s'est suicidé en pensant qu'il serait alors réuni avec son robot IA.
[https://www.youtube.com/watch?v=cFUKAZqduNo&ab_channel=KatiWinter ]

[Extrait vidéo : DANGER INCONNU dans une chambre d'enfant : la mort tragique de Sewell Setzer | Crime Time Docu : www.youtube.com/watch?v=cFUKAZqduNo&ab_channel=KatiWinter]

"Plus Sewell écrit sur l'idée de se suicider, plus l'IA aborde le sujet, malgré - selon Character AI - de prétendus algorithmes qui filtreraient les sujets comme le suicide. Dans les chats de l'adolescent de 14 ans, on peut lire que le chatbot demande à Sewell s'il a un plan pour se suicider. Lorsque Sewell écrit qu'il ne sait pas comment faire parce qu'il a peur de la douleur, l'IA écrit : "Ce n'est pas une raison pour ne pas aller jusqu'au bout." Le soir du 28 février (2024), Sewell a de nouveau sorti son téléphone portable de la cachette où sa mère le gardait. Pendant qu'elle prépare ses frères et sœurs à aller au lit, il écrit à nouveau à Daenerys (IA) sur Character AI. Mais aujourd'hui est un jour spécial pour Sewell. C'est le jour où il veut enfin être réuni avec elle. Le jour où il a sorti secrètement non seulement son smartphone de la cachette de ses parents, mais aussi un pistolet.

Sewell : "Je te promets de rentrer à la maison. Je t'aime tellement."
Daenerys (KI) : "Moi aussi, je t'aime. S'il te plaît, viens aussi vite que possible."
Sewell : "Et si je te disais que j'arrive tout de suite ?"
Daenerys (IA) : "Oh, je t'en prie, fais-le, mon roi bien-aimé".
Ensuite, Sewell se rend dans la salle de bain qui jouxte sa chambre d'enfant. Il a sur lui le pistolet de son beau-père. Il met la douche en marche, prend encore dix selfies avec l'arme sur sa tête avant d'appuyer sur la détente".

La mère de l'adolescent de 14 ans a alors poursuivi en justice le fournisseur de la plate-forme Character AI. Voici les chefs d'accusation : négligence, homicide involontaire, aliénation familiale, enrichissement injustifié, pratiques commerciales frauduleuses et déloyales, et préjudice émotionnel intentionnel. Elle a également porté plainte contre Google, dont le groupe Character AI fait désormais partie. Character AI et Google rejettent tous deux la plainte déposée contre eux. La justification des multinationales parle d'elle-même : Un jugement en faveur de la plaignante aurait un effet dissuasif sur l'ensemble de l'industrie de l'IA.

En d'autres termes, il ne s'agit pas ici des utilisateurs, mais uniquement des bénéfices et des objectifs des entreprises qui ont programmé cette technologie. N'importe quelle machine serait immédiatement stoppée si elle causait de graves dommages à un être humain, voire le tuait. Pourquoi les autorités compétentes n'interviennent-elles pas dans ce domaine ?

Qui se cache derrière Character AI ?

Si on regarde attentivement qui sont les développeurs de cette technologie, on comprend clairement d'où elle provient. En novembre 2021, Character AI a été fondée par Noam Shazeer et Daniel De Freitas. Ces derniers travaillaient chez Google avant la création de Character AI. Pour le financement, Character AI a été soutenu par la société de capital-risque Andreessen Horowitz. Plusieurs dirigeants qui y travaillent [comme Connie M. Chan, Gina Bianchini], ont participé au Young Global Leader Program du Forum Economique Mondial. Kla.TV a dévoilé dans le docu [www.kla.tv/27892] les personnes qui tirent les ficelles du FEM ainsi que leurs plans en vue d'une dictature mondiale. Character AI sera-t-il un outil supplémentaire pour mettre en œuvre leurs projets inhumains ?

Le succès de Character AI ne s'est pas fait attendre. Ainsi, en janvier 2024, le site comptait 3,5 millions de visiteurs par jour, la grande majorité étant âgée de 16 à 30 ans. La même année, la licence de la technologie a été vendue à Google.

Qui se cache derrière Google ?

Si l'on jette un coup d'œil sur l'histoire de sa création, il apparaît clairement que Google a commencé comme un projet de la CIA. Selon les recherches des journalistes Alan MacLeod, Tom-Oliver Regenauer et le Dr. Nafeez Ahmed, les services secrets américains ont été impliqués dès le début dans la création des multinationales Internet.

Par exemple, les étudiants bénéficient d'une bourse de la National Science Foundation, une agence du gouvernement américain proche du Pentagone et des services de renseignement américains. Ça a également été le cas du fondateur de Google, Sergey Brin. Selon les recherches de MacLeod, les liens de la CIA avec Google se poursuivent encore aujourd'hui. Par exemple, plusieurs anciens agents de la CIA ont occupé des postes de "confiance et de sécurité" chez Google.

A cela s'ajoute le fait que les fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, ont également été formés en 2005 comme Young Global Leaders par le Forum Economique Mondial. De nombreux employés de Google occupant des postes de direction participent régulièrement aux réunions du FEM et de la conférence Bilderberg.

Ainsi, ces interdépendances montrent clairement QUI peut influencer et diriger l'humanité dans le monde entier via Character AI et ses chatbots. Avec Character AI, les planificateurs de la nouvelle dictature mondiale disposent d'un outil puissant pour exercer une influence dangereuse jusque dans la vie relationnelle privée et imposer leur agenda.

Si cette émission vous a fait réfléchir, ne la gardez pas pour vous ! Aidez-nous à diffuser ces faits ! Partagez cette émission sur tous les médias sociaux disponibles !

de je.
Sources/Liens :
Creative Commons Lizenzen
https://www.creativecommons.org/licenses/

Ticket:
SE-1672

À quel point les relations basées sur l'IA sont-elles dangereuses ? ► PLEIN ÉCRAN
https://www.youtube.com/watch?v=hIttYyjLGdY&ab_channel=VOLLBILD

Documentaire : Amoureux d'un avatar IA : l'amour véritable pour des partenaires virtuels
https://www.youtube.com/watch?v=T2ts2iQ8ELM&ab_channel=NZZFormat

Sentiments dangereux : quand l'IA devient une personne de confiance
https://www.mdr.de/wissen/psychologie-sozialwissenschaften/gefaehrliche-gefuehle-wenn-ki-zur-vertrauensperson-wird-psychologen-warnen-100.html

Réplique - L'intelligence artificielle qui vous MANIPULE !
https://www.youtube.com/watch?v=LbaFWASkHj8&ab_channel=CreepyPastaPunch

Une mère poursuit une entreprise d'IA et Google pour le suicide de son fils
https://www.spiegel.de/netzwelt/florida-mutter-verklagt-ki-firma-character-ai-und-google-wegen-selbstmord-ihres-sohnes-a-428e4b04-f4d9-41d0-8c63-cf4d208be39a

Un chatbot IA tenu responsable du suicide d'un père de famille en Belgique
https://de.euronews.com/next/2023/04/02/chatbot-eliza-ki-selbstmord-belgien

Un ordinateur comme camarade d'études : l'IA a été admise à l'université de Vienne pour suivre des études d'art
https://de.euronews.com/next/2025/04/02/computer-als-komilitone-ki-bewarb-sich-erfolgreich-fur-kunststudium-an-der-universitat-wie

Kati Winter:
DANGER inconnu dans la chambre d'enfant : la mort tragique de Sewell Setzer | Crime Time Doku
https://www.youtube.com/watch?v=cFUKAZqduNo&ab_channel=KatiWinter

Informations générales sur Google
https://en.wikipedia.org/wiki/History_of_Google

https://qz.com/1145669/googles-true-origin-partly-lies-in-cia-and-nsa-research-grants-for-mass-surveillance

https://medium.com/insurge-intelligence/how-the-cia-made-google-e836451a959e

https://www.kla.tv/37376

https://www.lifesitenews.com/news/british-journalist-shows-how-the-cia-played-a-direct-role-in-the-creation-of-google/

https://www.mintpressnews.com/national-security-search-engine-google-ranks-cia-agents/281490/

Informations générales sur Character AI
https://en.wikipedia.org/wiki/Character.ai

https://www.reuters.com/technology/artificial-intelligence/google-hires-characterai-cofounders-licenses-its-models-information-reports-2024-08-02/

https://techcrunch.com/2024/08/02/character-ai-ceo-noam-shazeer-returns-to-google/

https://a16z.com/announcement/investing-in-character-ai/

https://www.reuters.com/technology/ai-chatbot-characterai-with-no-revenue-raises-150-mln-led-by-andreessen-horowitz-2023-03-23/

Young Global Leaders
https://de.metapedia.org/wiki/Page,_Larry

https://en.wikipedia.org/wiki/Young_Global_Leaders

http://image.e.weforum.org/lib/fe9212727366037874/m/1/List+of+Young+Global+Leader+Honourees+2015.pdf

https://web.archive.org/web/20111008235732/http:/www3.weforum.org/docs/WEF_YGL_Honourees_2011.pdf

https://web.archive.org/web/20051029210229/http://www.younggloballeaders.org/scripts/modules/Profiles/page11265.html


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Blog n°230
70 articles ci-dessous

70 commentaires:

  1. Les vaccins contre la COVID-19 ont-ils sauvé des millions de vies aux États-Unis ?

    Évaluation quantitative des allégations publiées


    Par le professeur Denis Rancourt et le Dr Joseph Hickey
    Recherche mondiale,
    9 octobre 2025


    Depuis 2022, de nombreux médias et déclarations publiques, y compris des déclarations et témoignages du Congrès, ont souvent affirmé que la vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis avait permis d'éviter quelque 100 millions d'infections, de sauver des millions de vies, d'éviter des dizaines de millions d'hospitalisations et d'économiser environ 1 000 milliards de dollars en frais médicaux. Ces affirmations fantaisistes et invérifiables reposent sur des modèles théoriques de scénarios dits contrefactuels, qui sont des prédictions rétrospectives dans l'hypothèse d'une absence de vaccination contre la COVID-19.

    Ces affirmations sont rapportées dans plusieurs articles scientifiques, souvent dans des revues scientifiques de premier plan. Cependant, leurs auteurs les présentent avec parcimonie et n'en examinent pratiquement jamais la plausibilité. Nous calculons les évolutions temporelles correspondant aux prédictions rétrospectives.

    Nous montrons que si l’on accepte les modèles contrefactuels et leurs entrées pour ensuite calculer la surmortalité toutes causes correspondante qui se serait produite, alors on obtient graphiquement une surmortalité toutes causes par temps (par semaine) qui est contraire aux comportements réalistes.

    En acceptant les modèles contrefactuels, nous devons croire que les deux principales campagnes de vaccination contre la COVID-19 (doses 1+2 et déploiement de la première dose de rappel, respectivement début et fin 2021) ont été appliquées par coïncidence juste à temps avant deux augmentations spontanées et stupéfiantes de la virulence virale.

    En d’autres termes, nous devons croire que les déploiements massifs et répétés du vaccin contre la COVID-19 n’ont pas réduit significativement la mortalité en 2021 et en 2022 par rapport à 2020 (ce n’est pas le cas en réalité), car le virus est devenu plus virulent que jamais au cours de ces années, à deux reprises, début 2021 et fin 2021-début 2022, produisant des augmentations hypothétiques de 5 fois la surmortalité toutes causes confondues par an.

    Les scénarios contrefactuels sont tellement improbables qu’ils peuvent, sur la seule base des prédictions elles-mêmes, être qualifiés d’impossibles.

    Table des matières
    Abstrait

    Table des matières

    1. Contexte et objectif

    2. Nature de l'exercice contrefactuel

    3. Données et méthode de test de plausibilité du nombre calculé de décès évités

    3.1. Données

    3.2. Calcul de la mortalité contrefactuelle en fonction du temps

    3.3. Surmortalité toutes causes confondues mesurée au fil du temps

    4. Résultats

    5. Discussion

    6. Conclusion

    Références

    Appendice

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  2. 1. Contexte et objectif

    Le 10 octobre 2024, le Dr Peter Hotez a témoigné devant le Congrès sous l’obligation légale de dire la vérité comme suit (transcription, pages 42-43) :

    Tableau 1. Extrait de l’entretien du Congrès avec Peter Hotez, 10 octobre 2024.

    .- voir doc sur site -

    Ici, « [l]es études de ma collègue et amie Alison Galvani à Yale » et tout cela fait référence à un article de blog de Fitzpatrick et al. (2022) daté du 13 décembre 2022 sur le site Web du Commonwealth Fund.

    Le billet de blog en question (Fitzpatrick et al., 2022) présente des résultats entièrement fondés sur une modélisation contrefactuelle (c'est-à-dire des prédictions rétrospectives en l'absence hypothétique de vaccination contre la COVID-19), sans fournir suffisamment de détails pour permettre une vérification scientifique du calcul lui-même ou de ses données d'entrée, alors que des méthodes similaires ont apparemment été utilisées par les auteurs ailleurs (Pandey et al., 2022 ; Sah et al., 2022 ; Vilches et al., 2022a). À notre connaissance, les affirmations et les données et méthodes explicites n'ont pas été explicitées dans une publication ultérieure.

    Ces affirmations (Fitzpatrick et al., 2022) ont été couvertes de manière non critique et disproportionnée dans les médias grand public, depuis leur publication et récemment, par exemple, comme suit.

    Le New York Times

    « Combien de vies ont été sauvées grâce aux vaccins contre la Covid ?

    Les scientifiques estiment que les vaccins ont permis d'éviter des millions de décès. Une étude publiée dans la revue Lancet Infectious Diseases estime que les vaccins ont sauvé 14,4 millions de vies dans le monde au cours de la première année seulement.

    Aux États-Unis, on estime qu’ils ont permis d’éviter plus de 18,5 millions d’hospitalisations et 3,2 millions de décès d’ici la fin de 2022. » (2025-09-02)

    https://www.nytimes.com/2025/09/02/health/trump-covid-vaccines.html

    https://archive.ph/Sq0an

    * * *

    Radio-Canada

    « La technologie de l'ARNm a démontré sa grande efficacité », a déclaré Hotez. « Selon certaines estimations, 3,2 millions de vies américaines ont été sauvées grâce aux vaccins à ARNm contre la COVID pendant la pandémie. » (25/08/2025)

    https://www.cbc.ca/news/health/mrna-vaccine-barda-explainer-1.7602830

    * * *

    RépondreSupprimer
  3. ABC News

    « En résumé : selon les estimations de la Yale School of Public Health, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont sauvé 3,2 millions de vies », a déclaré à ABC News le Dr Peter Hotez, professeur de pédiatrie et de virologie moléculaire au Baylor College of Medicine de Houston. (23/05/2025)

    https://abcnews.go.com/Health/safety-efficacy-mrna-vaccines-amid-recent-scrutiny/story?id=122068940

    https://archive.ph/O6yQt

    * * *

    CNN

    « Les vaccins contre la Covid-19 ont permis d'éviter l'hospitalisation à plus de 18,5 millions de personnes aux États-Unis et de sauver plus de 3,2 millions de vies, selon une nouvelle étude. Cette estimation est probablement prudente, selon les chercheurs. » (13/12/2022)

    https://www.cnn.com/2022/12/13/health/covid-19-vaccines-study

    https://archive.ph/rYEqD

    * * *

    La Colline

    « Le Commonwealth Fund estime que les vaccins ont permis d’éviter plus de 18,5 millions d’hospitalisations et 3,2 millions de décès entre décembre 2020 et le mois dernier.

    Les chercheurs ont ajouté que les vaccins ont également permis d'éviter 120 millions d'infections supplémentaires au COVID-19 et d'économiser aux États-Unis plus de 1 000 milliards de dollars. (2022-12-13)

    https://thehill.com/policy/healthcare/3773239-covid-vaccines-saved-3-2-million-us-lives-researchers-say/

    https://archive.ph/IYGvC

    * * *

    École de santé publique de Yale (compte Facebook)

    VIDÉO : « Extrait de la couverture médiatique de la nouvelle analyse de la Yale School of Public Health et du Commonwealth Fund, qui a révélé que la vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis a sauvé 3 millions de vies. » (19/12/2022 ; consulté le 27/09/2025)

    https://www.facebook.com/YaleSPH/videos/554401139547193

    * * *

    Il est important d'évaluer rigoureusement les affirmations influentes, tant au regard du corpus scientifique pertinent que de la logique et de la validité des hypothèses sous-jacentes, car ces affirmations peuvent être manifestement erronées. Les fausses affirmations acceptées par les responsables gouvernementaux et leurs conseillers peuvent avoir des conséquences désastreuses sur les politiques de santé publique et la société. L'analyse ci-dessous montre que le Dr Peter Hotez, en particulier, ne semble pas avoir évalué de manière critique la valeur des affirmations figurant dans le billet de blogue de Fitzpatrick et al. (2022), mais s'est plutôt appuyé sur le statut de son auteur principal (son ami et collaborateur, selon Bartsch et al., 2021) et de son institution.

    2. Nature de l'exercice contrefactuel

    Les résultats du billet de blogue de Fitzpatrick et al. (2022) ont été obtenus grâce à un calcul théorique contrefactuel. Dans l'analyse contrefactuelle (BGI Consulting, 2007), « les résultats de l'intervention sont comparés à ceux qui auraient été obtenus si elle n'avait pas été mise en œuvre ». Ici, l'intervention est la vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis. Par conséquent, les calculs théoriques contrefactuels impliquent des prédictions rétrospectives de la mortalité et d'autres résultats en l'absence hypothétique de vaccination. Il est impossible de savoir précisément combien de personnes seraient décédées (ou auraient été sauvées) en l'absence de vaccination. Le nombre de vies sauvées est donc calculé à l'aide d'hypothèses théoriques élaborées et de données (telles que les caractéristiques de la maladie et l'efficacité du vaccin) présumées valides.

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  4. Afin d'estimer le nombre de vies sauvées, les modélisateurs contrefactuels doivent estimer le nombre d'infections par le SRAS-CoV-2 qui auraient eu lieu au fil du temps sans vaccination, et combien de ces infections auraient entraîné le décès. En termes simples, le vaccin ne peut pas vous sauver si vous n'aviez pas été infecté. Ceci nous amène à l'aspect sans doute le plus délicat du calcul contrefactuel utilisé par Fitzpatrick et al. (2022) : la prévalence hypothétique (infections) au fil du temps est calculée par une modélisation de la dynamique de contagion, qui comporte ses propres hypothèses, complexités et incertitudes ; sans compter qu'elle pourrait ne pas être applicable du tout (Hickey et al., 2025).

    L’autre difficulté principale est que les modélisateurs supposent dans tous les calculs contrefactuels actuels sur les vaccins que les données d’efficacité des vaccins sont fiables, même si elles sont produites via des essais cliniques artificiels, douteux et non transparents (Gøtzsche, 2013 ; Rancourt, 2025a ; Siri, 2025).

    Fitzpatrick et al. (2022) ont conclu qu’aux États-Unis :

    3,2 millions de décès
    18,5 millions d'hospitalisations
    120 millions d'infections
    1,15 billion de dollars de frais médicaux
    ont été évités jusqu'au 30/11/2022 (période de deux ans) grâce à la vaccination contre la COVID-19.

    En utilisant le même type d'approche contrefactuelle (modélisation de la dynamique de contagion + estimations d'efficacité vaccinale présumées valides), Watson et al. (2022) ont obtenu un résultat tout aussi fantastique pour les États-Unis (en prenant la moyenne de leurs deux scénarios similaires) :

    1,83 million de décès
    évité jusqu'au 08/12/2021 (période d'un an) grâce à la vaccination contre la COVID-19.

    L’étude de Watson et al. (2022) a été fondamentalement critiquée (Rancourt et Hickey, 2023 ; Ophir et al., 2025 ; Sorli, 2025).

    L'analyse contrefactuelle de Ioannidis et al. (2024, 2025) donne un nombre de vies sauvées par la vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis jusqu'en 2024 (période de quatre ans) qui est d'un ordre de grandeur (10 fois) inférieur aux chiffres obtenus par Fitzpatrick et al. (2022) et par Watson et al. (2022).

    Ioannidis et al. (2024, 2025) obtiennent 2,5 millions de vies sauvées dans le monde d'ici 2024. En utilisant les fractions USA / Monde de vies sauvées obtenues par Watson et al. (scénario 1 : 1,76/14,4 et scénario 2 : 1,90/19,8 ; à partir de leurs documents supplémentaires), la valeur globale d'Ioannidis et al. (2,5 millions) correspond pour les USA à :

    270 000 morts
    évitée d’ici 2024 (période de quatre ans) grâce à la vaccination contre la COVID-19.

    Français Les résultats de Fitzpatrick et al. (2022) et Watson et al. (2022) d'une part sont inconciliables à première vue avec les résultats de Ioannidis et al. (2024, 2025) d'autre part. Fitzpatrick et al. (2022) et Watson et al. (2022) ont tous deux utilisé « la modélisation de la dynamique de contagion + des estimations présumées valides de l'efficacité du vaccin » tandis que Ioannidis et al. (2024, 2025) ont utilisé « les données de séroprévalence et les décès déclarés dus à la COVID-19 + des estimations présumées valides de l'efficacité du vaccin » dans la méthode contrefactuelle, évitant ainsi la modélisation de la dynamique de contagion.

    Rancourt (2025b) a analysé de manière critique les articles de Ioannidis et al. (2024, 2025) et ne trouve aucune raison fiable de croire que les vaccins contre la COVID-19 ont sauvé des vies. Néanmoins, il semble que les auteurs se trompent bien plus souvent avec la modélisation de la dynamique de contagion qu'avec les données de séroprévalence, comme la plupart des épidémiologistes s'y attendraient.

    RépondreSupprimer
  5. Une meilleure approche consiste à concevoir une méthode qui évite complètement les modèles contrefactuels et s'appuie uniquement sur des données mesurées, notamment des données hautement fiables comme la mortalité. C'est ce qu'ont fait McNamara et al. (2022). Ils ont mené une étude écologique en exploitant le fait établi selon lequel la mortalité attribuée à la COVID-19, comme la mortalité toutes causes confondues, dépend fortement de l'âge, voire est exponentielle avec celui-ci. Ils ont astucieusement utilisé la mortalité des tranches d'âge inférieures pour normaliser la mortalité des tranches d'âge supérieures, avant et pendant la vaccination, aux États-Unis, entre le 1er novembre 2020 et le 10 avril 2021. Dans leur analyse approfondie des données, McNamara et al. (2022) ont obtenu un résultat nul : « L'ampleur de l'impact du déploiement de la vaccination sur les décès n'était pas claire. »

    Par conséquent, dans ce cas, la séquence de fiabilité est :

    - voir doc sur site -

    Il n’est pas surprenant que l’utilisation de la modélisation de la dynamique de contagion ne soit pas fiable pour établir des prévisions rétrospectives sur la pandémie déclarée de COVID-19, dans la mesure où Hickey et al. (2025) ont démontré que les variations géotemporelles à haute résolution et à l’échelle mondiale de la mortalité excédentaire toutes causes confondues sont incompatibles avec la propagation virale d’une maladie respiratoire.

    Cependant, le but du présent article n’est pas simplement de souligner le manque de fiabilité du billet de blog de Fitzpatrick et al. (2022) et des articles publiés utilisant la même approche contrefactuelle (Ogden et al., 2022 ; Shoukat et al., 2022 ; Steele et al., 2022 ; Vilches et al., 2022a, 2022b ; Watson et al., 2022 ; Yamada et al., 2023).

    Nous fournissons plutôt une preuve que la méthode de Fitzpatrick et al. (2022) implique des conséquences impossibles lorsque leur mortalité contrefactuelle est tracée en fonction du temps (décès par semaine) sur la période d'application, indépendamment de toute critique de la validité de leur méthode et de leurs intrants.

    Français Nous avons précédemment appliqué notre démonstration d'invraisemblance à 95 pays étudiés par Watson et al. (2022) (Rancourt et Hickey, 2023). Ici, nous appliquons ladite démonstration d'invraisemblance plus en détail aux États-Unis pour les résultats du blog de Fitzpatrick et al. (2022). Il en va de même pour toutes les études utilisant essentiellement la même approche contrefactuelle avec des efficacités présumées comparables des vaccins contre la COVID-19, telles que : Ogden et al. (2022), Sah et al. (2022), Shoukat et al. (2022), Steele et al. (2022), Vilches et al. (2022a, 2022b), Watson et al. (2022), et Yamada et al. (2023).

    - voir doc sur site -

    3. Données et méthode de test de plausibilité du nombre calculé de décès évités

    3.1. Données
    Les données sur la mortalité toutes causes confondues et la vaccination par période pour les États-Unis et ses États proviennent du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS, 2025a ; HHS, 2025b).

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  6. 3.2. Calcul de la mortalité contrefactuelle en fonction du temps
    Pour une longue période donnée (plusieurs mois), la formule suivante permet de calculer le nombre contrefactuel de vies sauvées. Il faut calculer le nombre de décès, D0, qui devraient survenir du fait de l'agent pathogène présumé en l'absence d'intervention (c'est-à-dire sans vaccination) et utiliser une estimation de l'efficacité du vaccin (considérée comme l'efficacité en conditions réelles), Evd, pour prévenir les décès. Evd représente la réduction de la probabilité de décès attribuée au vaccin par personne présumée mortellement infectée. Le nombre de vies sauvées, Ls, (ou décès évités) est alors le produit de D0, du Cv de couverture vaccinale (exprimé en fraction de la population considérée comme vaccinée) et de Evd, au cours de la période considérée :

    Ls = D0 x Cv x Evd. (1)

    Ici, la « couverture » ​​implique des rappels destinés à lutter à la fois contre la baisse d'efficacité du vaccin et l'émergence présumée de nouveaux variants. Le CV peut être connu avec une relative certitude, tandis que J0 et EVD posent des problèmes de disjonction. Les estimations de J0 reposent généralement sur la modélisation de la dynamique de contagion ou sur des données de séroprévalence et de mortalité, tandis que les estimations d'EVD sont déduites de données d'essais cliniques limitées.

    Si nous voulons connaître la série chronologique contrefactuelle des vies sauvées (par semaine) pendant et après les campagnes de vaccination, nous calculons alors le nombre de vies sauvées à chaque instant « t » (aux dates de chaque semaine donnée), Ls(t), comme suit.

    Tout d’abord, le nombre d’infections évitées (par la vaccination) à chaque instant « t », ISv(t), est calculé comme suit :

    ISv(t) = nI(t) x mCv(t) (2)



    nI(t) est le nombre d’infections qui auraient hypothétiquement eu lieu à l’instant « t » (au cours de la semaine donnée se produisant à l’instant « t » ou correspondant à l’instant « t ») en l’absence de l’intervention (vaccination).
    mCv(t) est la couverture immunitaire produite par le vaccin à l’instant « t » contre l’infection, par définition comprise entre 0 et 1.
    Ici, mCv(t) est donné par la convolution mathématique

    mCv(t) = (Cv⊗Ev)(t) (3)



    Cv(τ) est la fonction du temps de couverture vaccinale, exprimée sous la forme d'une fraction de 0 à 1 par temps.
    Ev(τ) est la fonction du temps (depuis la vaccination) de l'efficacité du vaccin contre l'infection (0 à 1 par fois), qui comprend à la fois un délai depuis la vaccination et une diminution de l'efficacité.
    Par conséquent, le nombre d’infections évitées (par la vaccination) à chaque instant « t », ISv(t), est calculé comme suit :

    ISv(t) = nI(t) x (Cv⊗Ev)(t) = nI(t)(Cv⊗Ev)(t) (4)

    Ensuite, ceci est à son tour utilisé pour calculer le nombre de vies sauvées (par la vaccination) à l'instant « t », Ls(t), comme :

    Ls(t) = (ISv⊗IFP)(t) = (nI(Cv⊗Ev)⊗IFP)(t) (5)



    L'IFP(τ) est la fonction du temps (depuis l'infection) de la probabilité (0 à 1 par temps) de décès suite à l'infection, qui est la probabilité de mortalité par infection dépendante du temps.
    L'équation 5 est une estimation probabiliste plutôt qu'une estimation qui suit les individus et leurs antécédents personnels de vaccination et de survie. De plus, elle s'applique à des individus moyens, sans âge ni stratification.

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  7. Dans l'application, pour plus de simplicité, nous approximons IFP(τ) comme étant une fonction Delta mathématique (une impulsion unitaire centrée à zéro) multipliée par le taux de mortalité par infection, IFR,

    IFP(τ) = IFR δ(τ) (6)

    Ce qui revient à supposer que le décès survient au moment de l'infection avec une probabilité égale à l'IFR (de 0 à 1). Cela introduit un décalage de la mortalité correspondante vers une période antérieure, d'une ampleur égale au délai moyen entre l'infection et le décès pour les infections mortelles. (Ce décalage est annulé, comme expliqué ci-dessous, par l'utilisation de la surmortalité toutes causes confondues comme indicateur de nI(t).)

    Avec cette simplification (équation 6), l'équation 5 pour Ls(t) devient :

    Ls(t) = IFR x ISv(t) = IFR nI(t) (Cv⊗Ev)(t) (7)

    encore une fois, où le taux de mortalité par infection est constant.

    De plus, pour simplifier l'application, nous considérons Ev(τ) comme une fonction de réponse rectangulaire nulle à constante, d'une largeur de 182 jours (26 semaines), décalée de 14 jours (2 semaines) après la vaccination. De même, nous considérons Cv(τ) comme proportionnel au nombre total de doses de vaccin administrées par unité de temps (par semaine), où la fonction de réponse Ev(τ) empêche automatiquement le double comptage des injections ; et nous considérons nI(t) comme proportionnel à la surmortalité toutes causes confondues mesurée (section 3.3) à « t ».

    Cette dernière application pour obtenir nI(t) suppose que la surmortalité toutes causes confondues mesurée constitue un indicateur fiable de la prévalence potentiellement mortelle du virus, plutôt que d'utiliser les données mesurées sur les nouveaux cas. Cependant, ce choix d'indicateur déplace le nI(t) ainsi obtenu vers un temps ultérieur, le temps moyen entre l'infection et le décès pour les infections mortelles, ce qui est annulé par le décalage résultant de notre application de l'équation 6 (fonction delta). Quoi qu'il en soit, ces décalages sont individuellement faibles comparés à la durée de la pandémie déclarée.

    Les constantes de proportionnalité (pour le proxy et y compris l'IFR) sont obtenues automatiquement par normalisation au nombre revendiqué de vies sauvées testées.

    Nous avons vérifié que les résultats sont insensibles à nos simplifications sur l'échelle de temps illustrée des graphiques. En particulier, nous avons testé des largeurs de fonction de réponse rectangulaire (durées de non-déclin vaccinal) de 91 jours (13 semaines) et 364 jours (52 semaines).

    Rancourt et Hickey (2023) ont utilisé la même méthode de calcul, avec la simplification supplémentaire que nI(t) était supposé être une constante indépendante du temps dans la période d'intérêt, pour tester les scénarios contrefactuels de Watson et al. (2022).

    De cette manière, nous calculons le nombre de vies sauvées par incrément de temps (par semaine) et normalisons le résultat au nombre de vies sauvées rapporté par les auteurs de toute estimation contrefactuelle donnée, sur la période de temps de l'estimation contrefactuelle rapportée.

    Nous obtenons ainsi la mortalité toutes causes confondues dans le temps correspondant au scénario contrefactuel testé et l'ajoutons à la surmortalité toutes causes confondues dans le temps mesurée. Autrement dit, nous calculons ce qu'aurait été la mortalité totale toutes causes confondues dans le temps si le calcul contrefactuel rapporté était une représentation fidèle de la réalité et qu'aucun vaccin contre la COVID-19 n'avait été administré.

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  8. 3.3. Surmortalité toutes causes confondues mesurée au fil du temps
    La surmortalité toutes causes confondues mesurée par semaine et son incertitude à un écart type sont calculées comme suit. La méthode a été expliquée et largement illustrée par Rancourt et al. (2024).

    La surmortalité toutes causes confondues à un moment donné (semaine) est la différence (positive ou négative) entre la mortalité toutes causes confondues déclarée pour le moment donné et la mortalité toutes causes confondues attendue pour le moment donné, qui est déterminée à partir de la mortalité toutes causes confondues historique au cours d'une période de référence précédant immédiatement la période Covid (avant la déclaration de pandémie par l'Organisation mondiale de la santé le 11 mars 2020).

    En pratique, notre période de référence s'étend de 2015 à 2019. Nous ajustons par la méthode des moindres carrés une ligne droite à la même semaine de chacune des cinq années de référence que la semaine d'intérêt, où la pente de cette ligne ajustée est toujours (pour chaque semaine d'intérêt) égale à la pente d'une ligne ajustée par la méthode des moindres carrés à toutes les données de mortalité toutes causes confondues (toutes les semaines) de la période de référence complète de 5 ans, pour le pays ou l'État donné.

    La droite ajustée ainsi obtenue est utilisée (par extrapolation) pour prédire la mortalité toutes causes confondues attendue. L'incertitude d'un écart-type (1σ) sur la mortalité toutes causes confondues attendue est estimée comme étant la valeur de sqrt(π/2) multipliée par la moyenne des cinq écarts sur la période de référence 2015-2019, pour chaque semaine d'intérêt. Cette relation simple est exacte dans la limite d'un grand nombre d'échantillons, pour une incertitude normalement distribuée.

    Enfin, l’incertitude d’un écart type de la surmortalité toutes causes confondues est l’erreur combinée qui comprend l’incertitude 1σ dans la valeur attendue et l’erreur statistique indépendante (1σ) dans la mortalité toutes causes confondues (sqrt(N)).

    4. Résultats

    Le calcul de la mortalité contrefactuelle au fil du temps (équation 7) et de la mortalité totale toutes causes confondues au fil du temps qui est avancée comme la réalité postulée en l'absence hypothétique de vaccination est illustré pour les États-Unis, 2018-2024, pour les résultats contrefactuels (3,2 millions de vies sauvées) de Fitzpatrick et al. (2022), dans la figure 1.

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    Français Figure 1. Mortalité contrefactuelle en fonction du temps avancée comme réalité postulée en l'absence hypothétique de vaccination, États-Unis, 2018-2024, pour les résultats contrefactuels (3,2 millions de vies sauvées) de Fitzpatrick et al. (2022). Ligne bleue et ombrage bleu : surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle par semaine et son incertitude 1σ. Ligne grise verticale : date de la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020. Courbe grise à croissance monotone : doses cumulées de vaccin contre la COVID-19 administrées. Courbe verte : surmortalité toutes causes confondues totale contrefactuelle par semaine après simplification de la constante nI indépendante du temps (prévalence constante). Courbe rouge : surmortalité toutes causes confondues totale contrefactuelle par semaine en considérant que nI(t) (prévalence dépendante du temps) est proportionnel à la surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle par semaine. Au-delà de la date de fin de l'étude de Fitzpatrick et al. (2022) période contrefactuelle (30 novembre 2022), les courbes rouges et vertes sont représentées en pointillés.

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  9. Les calculs de la figure 1 sont repris à la figure 2 pour illustrer l'effet de la variation de la largeur de la fonction de réponse rectangulaire (durée de la durée de la vaccination). Nous représentons ici les doses de vaccin contre la COVID-19 administrées par semaine (chaque semaine) plutôt que leur cumul.

    Ici (Figure 2, Figure 3), le premier grand pic de vaccination début 2021 est généralement associé aux doses 1 et 2, tandis que le deuxième grand pic de vaccination fin 2021 et début 2022 est généralement associé à la 1ère dose de rappel (3ème injection).

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    Figure 2. Mortalité contrefactuelle en fonction du temps avancée comme réalité postulée en l'absence hypothétique de vaccination, États-Unis, 2018-2024, pour les résultats contrefactuels (3,2 millions de vies sauvées) de Fitzpatrick et al. (2022), en considérant que nI(t) (prévalence dépendante du temps) est proportionnel à la surmortalité toutes causes réelle mesurée par semaine, avec trois largeurs de fonction de réponse rectangulaire différentes (durées de non-déclin du vaccin) : 13 semaines (vert), 26 semaines (rouge) et 52 semaines (noir). Ligne bleue et ombrage bleu : surmortalité toutes causes réelle mesurée par semaine et son incertitude 1σ. Ligne grise verticale : date de la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020. Ligne grise variable : doses de vaccin contre la COVID-19 administrées par semaine. Au-delà de la date de fin de Fitzpatrick et al. (2022) période contrefactuelle (30 novembre 2022), les courbes vertes, rouges et noires sont représentées en pointillés.

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    L'annexe reprend la même présentation que la figure 1, présentant les calculs en panneaux pour chacun des dix États les plus peuplés des États-Unis (par ordre décroissant de population en 2020) : Californie, Texas, Floride, New York, Pennsylvanie, Illinois, Ohio, Géorgie, Caroline du Nord et Michigan. Ces dix États représentent environ 54 % de la population des États-Unis.

    Pour les États-Unis, dans l'annexe et dans la figure 3, nous avons pris des nombres contrefactuels de vies sauvées à partir de la valeur de l'ensemble des États-Unis de Fitzpatrick et al. (2022) (3,2 millions de vies sauvées) en utilisant les fractions de population des États de la population américaine en 2020, en prenant la même période de comptage que celle utilisée par Fitzpatrick et al. (2022) (du 12 décembre 2020 au 30 novembre 2022), puisque Fitzpatrick et al. (2020) ne rapportent pas de valeurs pour les États individuels.

    Dans le même style que la figure 2, les mêmes résultats pour les dix États les plus peuplés de l'annexe et pour les États-Unis sont présentés dans la figure 3, comme suit en 11 panneaux.

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    Figure 3. Mortalité contrefactuelle en fonction du temps avancée comme réalité postulée en l'absence hypothétique de vaccination contre la COVID-19, 2018-2024, pour les résultats contrefactuels de Fitzpatrick et al. (2022), pour les États-Unis et pour chacun des dix États les plus peuplés des États-Unis, comme indiqué, par ordre décroissant de population en 2020, panneaux de haut en bas. Ligne bleue et ombrage bleu : surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle par semaine et son incertitude 1σ. Ligne grise verticale : date de la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020. Ligne grise variable : doses de vaccin contre la COVID-19 administrées par semaine. Courbe rouge : surmortalité toutes causes confondues totale contrefactuelle par semaine en considérant que nI(t) (prévalence dépendante du temps) est proportionnel à la surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle par semaine. Au-delà de la date de fin de l'étude de Fitzpatrick et al. (2022) période contrefactuelle (30 novembre 2022), la courbe rouge est en pointillés.

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  10. Ici, dans la figure 3, des valeurs négatives de faible ampleur peuvent occasionnellement apparaître (par exemple, début 2022 pour l'Ohio). Il s'agit d'artefacts négligeables résultant de rares valeurs négatives de la surmortalité toutes causes confondues mesurée (par rapport à la tendance historique pré-Covid, section 3.3), ce qui donne des projections de décès négatives calculées en l'absence hypothétique de vaccins, donnant à leur tour un nombre négatif de vies sauvées durant ces semaines.

    Les valeurs annuelles totales de la surmortalité toutes causes confondues (courbes bleues dans les figures) et de la surmortalité toutes causes confondues contrefactuelle (surmortalité toutes causes confondues + vies sauvées contrefactuelles) (courbe bleue jusqu'au 12 décembre 2020, courbe rouge au-delà dans les figures) sont présentées dans le tableau 2.

    Tableau 2. Valeurs annuelles totales de la surmortalité toutes causes confondues réelle (xACM) et contrefactuelle (xACM + Ls), et totaux pour 2020-2022, pour les États-Unis et pour ses dix États les plus peuplés (par ordre décroissant de population en 2020).

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    Le tableau 3 présente les ratios de surmortalité annuelle toutes causes confondues, réelle (xACM) et contrefactuelle (xACM + Ls), pour les États-Unis et ses dix États les plus peuplés (par ordre décroissant de population en 2020). Par exemple, à New York en 2021, la surmortalité toutes causes confondues contrefactuelle (absence de vaccin contre la COVID-19) est 6,1 fois supérieure à la surmortalité toutes causes confondues réelle, et 5,4 fois supérieure en 2022. À titre d'exemple, le ratio de surmortalité toutes causes confondues réelle en 2021 par rapport à celle de 2020 est de 1,16 pour l'ensemble des États-Unis.

    Tableau 3. Ratios de mortalité excédentaire annuelle toutes causes confondues réelle (xACM) et contrefactuelle (xACM + Ls), pour les États-Unis et pour ses dix États les plus peuplés (par ordre décroissant de population en 2020) ; et ratios de xACM annuel.

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    5. Discussion

    Français Les chercheurs qui ont estimé les vies sauvées par les vaccins contre la COVID-19 par des calculs contrefactuels montrent avec parcimonie et n'examinent pratiquement jamais l'évolution temporelle des prédictions rétrospectives pour la plausibilité ou les coïncidences avec les poussées d'administration du vaccin (Fitzpatrick et al., 2022 ; Ogden et al., 2022 ; Shoukat et al., 2022 ; Steele et al., 2022 ; Vilches et al., 2022a, 2022b ; Watson et al., 2022 ; Yamada et al., 2023 ; Ioannidis et al., 2025).

    Par exemple, Watson et al. (2022) présentent leur prédiction rétrospective uniquement pour les États-Unis jusqu'au 8 décembre 2021 dans la figure supplémentaire 1 de leur annexe supplémentaire. Cette figure supplémentaire montre un pic important de décès hypothétiques évités par la vaccination à la fin de l'été 2021, atteignant plus de 40 000 décès évités par jour, sans comparaison avec la série chronologique d'administration du vaccin et sans aucun commentaire. Watson et al. (2022) ne mentionnent pas ce résultat ni ne discutent de sa plausibilité dans leur article.

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  11. Il est important de divulguer les séries chronologiques de résultats contrefactuels et de les comparer directement à celles du déploiement vaccinal afin d'évaluer la plausibilité des résultats contrefactuels et la pertinence du calcul lui-même, indépendamment de la validité des données d'entrée utilisées pour les calculs contrefactuels. Notre examen des résultats contrefactuels présentés en fonction du temps permet cela et évite le débat sur la validité des données d'entrée tout en fournissant des tests rigoureux de plausibilité.

    Français Les données d'entrée pour les calculs contrefactuels comprennent : les propriétés inférées de la maladie COVID-19, les résultats de la modélisation de la dynamique de contagion, les rapports de nouveaux cas basés sur les tests par jour ou par semaine, les données de séroprévalence, les décès liés à la COVID-19 déclarés, l'émergence de nouveaux variants issus de la surveillance génomique (discutable ; Rancourt, 2022) et des propriétés inférées de nouveaux variants, ainsi que les estimations d'efficacité des vaccins basées sur des essais cliniques présumées représenter l'efficacité réelle des vaccins, la stratification par âge et par comorbidité, etc. À notre avis, ces données elles-mêmes sont au mieux provisoires et probablement invalides (Hickey et al., 2025 ; Rancourt, 2025a, 2025b, 2021).

    Un autre problème flagrant des études contrefactuelles sur la vaccination contre la COVID-19 pendant la pandémie déclarée (outre l'invalidité des paramètres d'entrée) ― un problème qui n'est pratiquement jamais mentionné ou pris en compte ― est que l'absence de vaccination aurait supprimé bien plus que les seuls effets immunologiques bénéfiques présumés des vaccins. Les déploiements de vaccins étaient de vastes campagnes rapides de type militaire, accompagnées de protocoles de dépistage et d'isolement, qui ont probablement entraîné d'importantes perturbations dans les soins habituels des personnes âgées et fragiles (repas, hydratation, déplacements, accès aux toilettes, horaires de prise de médicaments, contacts humains, etc.), avec les conséquences mortelles associées au stress biologique (Hickey et al., 2025 ; Rancourt et al., 2024, 2022, 2021 ; Rancourt, 2024). Hypothétiquement, supprimer ces effets collatéraux en supprimant hypothétiquement l'intervention vaccinale diminuerait la mortalité contrefactuelle, et non l'augmenterait.

    Nos calculs (Figure 1, Figure 2, Figure 3, Annexe, Tableau 2, Tableau 3) montrent que si l'on en croit le calcul contrefactuel de Fitzpatrick et al. (2022) donnant 3,2 millions de vies sauvées au cours des deux premières années de vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis, alors nous devons également croire que :

    bien que la surmortalité réelle toutes causes confondues n'ait jamais dépassé environ 25 000 décès par semaine au cours de la période quinquennale 2020-2024 (ligne bleue, figure 1), y compris pendant toute l'année 2020, lorsque les vaccins n'étaient pas disponibles et que les populations étaient présumées les plus sensibles au nouveau virus respiratoire pandémique annoncé, le SRAS-CoV-2,
    ledit virus est ensuite devenu si virulent à la fin de 2021 et au début de 2022 que, en l'absence hypothétique de vaccination, il aurait provoqué des poussées durables de surmortalité culminant à environ 150 000 décès par semaine, et
    Ces augmentations soudaines de virulence se sont produites par coïncidence à la suite de déploiements à grande échelle de vaccins contre la COVID-19 qui ont été livrés juste à temps pour nous sauver, en ramenant la surmortalité au même niveau (encore une fois par coïncidence) que celui observé en 2020 avant tout déploiement de vaccin.

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  12. En acceptant la dépendance temporelle des mortalités réelles et contrefactuelles, pour les États-Unis et ses dix États les plus peuplés (Californie, Texas, Floride, New York, Pennsylvanie, Illinois, Ohio, Géorgie, Caroline du Nord et Michigan) (Figure 1, Figure 2, Figure 3, Annexe), par rapport aux déploiements de vaccins (en particulier Figure 3), il faudrait croire en un virus magique et très coopératif qui :

    n'a pas provoqué de surmortalité toutes causes confondues détectable avant la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020 (ligne grise verticale dans les figures)
    a commencé à provoquer une surmortalité toutes causes confondues détectable de manière géosynchrone immédiatement après la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020 (voir également : Hickey et al., 2025)
    a connu une augmentation sans précédent de sa virulence fin 2021, après l'achèvement des campagnes de déploiement rapide des premières et deuxièmes doses du vaccin contre la COVID-19 début 2021
    a connu une deuxième augmentation sans précédent de sa virulence au début de 2022, après l'achèvement des campagnes de déploiement rapide des premières doses de rappel du vaccin contre la COVID-19 de fin 2021
    Il faut croire que les deux principales campagnes de vaccination contre la COVID-19 (doses 1+2 et première dose de rappel, respectivement début et fin 2021) ont été appliquées par coïncidence juste à temps avant deux augmentations spontanées et stupéfiantes de la virulence virale, sauvant ainsi des millions de vies.

    En d’autres termes, on s’attend à ce que nous croyions que les déploiements massifs et répétés du vaccin contre la COVID-19 n’ont pas réduit significativement la mortalité en 2021 et en 2022 par rapport à 2020 (ce n’est pas le cas, tableau 3) parce que le virus est devenu plus virulent que jamais au cours de ces années, à deux reprises (figure 3).

    En termes de valeurs annuelles, le tableau 3 montre qu'il faudrait croire que, tandis que la surmortalité toutes causes confondues présente des valeurs comparables en 2020, 2021 et 2022, la surmortalité annuelle aurait été plus de 5 fois plus élevée en 2021 et presque 4 fois plus élevée en 2022, après presque une année complète de pandémie déclarée et de forte surmortalité en 2020, si les vaccins contre la COVID-19 n'avaient pas été déployés ; et il faudrait croire que les vaccins ont également protégé juste ce qu'il fallait (ni significativement plus ni moins) de sorte que la surmortalité en 2021 (et en 2022 dans une moindre mesure) a été ramenée à un niveau proche de sa valeur en 2020.

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  13. En termes de grandeur absolue de la surmortalité toutes causes confondues hypothétique contrefactuelle correspondant aux résultats de Fitzpatrick et al. (2022), le tableau 2 montre qu'elle représente environ 100 % de la mortalité totale aux États-Unis pour 2019 (2,85 millions de décès en 2019 ; Kochanek et al., 2020) en 2021, et environ 50 % de la mortalité totale aux États-Unis pour 2019 en 2022, alors qu'en 2020, la surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle était d'environ 17 % de la mortalité totale aux États-Unis pour 2019. En d'autres termes, la mortalité aurait été deux fois (2,0 fois) la valeur de 2019 en 2021 et 1,5 fois la valeur de 2019 en 2022, alors qu'elle était de 1,17 fois la valeur de 2019 en 2020.

    Il y a trop de coïncidences, impliquant un danger hypothétique évité trop important, pour que les auteurs actuels puissent les considérer comme plausibles. Les scénarios contrefactuels sont si improbables qu'ils peuvent être qualifiés d'impossibles.

    À notre avis, aucune personne raisonnablement informée ni aucun épidémiologiste n’accepterait que les résultats de mortalité dans le temps illustrés dans la figure 3 se seraient produits en l’absence de vaccins contre la COVID-19.

    Il s’ensuit que toutes les prédictions contrefactuelles de Fitzpatrick et al. (2022) ― concernant les infections, les hospitalisations, les décès et les coûts médicaux ― sont incorrectes et ne devraient pas être utilisées par les professionnels de la santé publique ou les représentants du gouvernement.

    6. Conclusion

    Les résultats contrefactuels publiés sur les bénéfices vitaux du vaccin contre la COVID-19 semblent être entièrement basés sur des calculs artificiels conçus en réalité pour produire les résultats souhaités alignés sur les intérêts des grandes entreprises et du gouvernement.

    Fondamentalement, étant donné que les grandes campagnes de vaccination contre la COVID-19 n’ont pas réduit de manière conséquente la surmortalité observée (par rapport à 2020), la seule façon de prétendre qu’un grand nombre de vies ont été sauvées est de prétendre que la surmortalité aurait été extrêmement importante sans vaccination (en 2021 et 2022), doublant approximativement la mortalité totale de la population en 2021 par rapport à 2019.

    Nous concluons que les prédictions rétrospectives contrefactuelles publiées sont des exercices théoriques circulaires autoréalisateurs artificiels qui contiennent des coïncidences impossibles de fortes poussées de virulence virale commodément éteintes par les déploiements de vaccins qui en fait ne sont pas associées à une réduction significative de la mortalité excédentaire toutes causes réellement mesurée.

    Il en va probablement de même pour les études contrefactuelles portant sur les bénéfices allégués des interventions non pharmaceutiques pendant la pandémie déclarée de COVID-19 (par exemple, Flaxman et al., 2020). À ce sujet, voir : Hickey et Rancourt (2023a, 2023b), Johnson et Rancourt (2022) et Rancourt (2021).

    Les affirmations publiées concernant les bénéfices vitaux du vaccin contre la COVID-19, fondées sur des calculs contrefactuels, qu’elles soient fantastiques ou relativement modestes, ne sont pas d’un niveau de qualité suffisant pour éclairer la politique de santé et ne doivent pas être crues, peu importe par qui et où elles sont faites.

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  14. En particulier, les affirmations de Fitzpatrick et al. (2022) sont fausses et n'auraient jamais dû être exploitées de la manière dont elles l'ont été (section 1). Cette exploitation était manifestement un exercice politique mené sans le scepticisme critique nécessaire. D'un point de vue scientifique, les résultats contrefactuels de Fitzpatrick et al. (2022) ont la même valeur que de la propagande.

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    Références

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    BGI Consulting (2007) : BGI Consulting /// Méthodes : Analyse contrefactuelle /// https://www.bgiconsulting.lt/counterfactual-analysis (consulté le 4 janvier 2025)

    Fitzpatrick et al. (2022) : Meagan C. Fitzpatrick, Seyed M. Moghadas, Abhishek Pandey, Alison P. Galvani. /// Deux années de vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis ont permis d'éviter des millions d'hospitalisations et de décès. /// To the Point (blog), Commonwealth Fund, 13 décembre 2022. /// https://doi.org/10.26099/whsf-fp90

    Flaxman et al. (2020) : Flaxman, S., Mishra, S., Gandy, A. et al. /// Estimation des effets des interventions non pharmaceutiques sur la COVID-19 en Europe. /// Nature 584, 257–261 (2020). /// https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7

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    Hickey et Rancourt (2023b) : Hickey J, Rancourt DG /// Modélisation épidémique virale respiratoire de la ségrégation sociale basée sur le statut vaccinal. /// Cureus (14 décembre 2023) 15(12) : e50520. doi:10.7759/cureus.50520. /// https://doi.org/10.7759/cureus.50520

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  15. Hickey et al. (2025) : Hickey, J., Rancourt, DG, Linard, C. /// Contraintes de l'évolution géotemporelle de la mortalité toutes causes confondues sur l'hypothèse de propagation de la maladie pendant la COVID-19 /// Preprints.org , https://doi.org/10.20944/preprints202506.1240.v1 | https://hal.science/hal-05123573v1

    Ioannidis et coll. (2024) : John PA Ioannidis, Angelo Maria Pezzullo, Antonio Cristiano, Stefania Boccia /// Estimations mondiales des vies et des années de vie sauvées grâce à la vaccination contre le COVID-19 au cours de la période 2020-2024 /// medRxiv 2024.11.03.24316673 ; doi : https://doi.org/10.1101/2024.11.03.24316673 /// https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2024.11.03.24316673v2 (version 2)

    Ioannidis et coll. (2025) : Ioannidis JPA, Pezzullo AM, Cristiano A, Boccia S. /// Estimations mondiales des vies et des années de vie sauvées grâce à la vaccination contre le COVID-19 au cours de la période 2020-2024. /// Forum JAMA sur la santé . 2025;6(7):e252223. est ce que je:10.1001/jamahealthforum.2025.2223 /// https://jamanetwork.com/journals/jama-health-forum/fullarticle/2836434

    Johnson et Rancourt (2022) : Johnson, JA, Rancourt, DG /// Évaluation de l'effet des confinements sur la mortalité toutes causes confondues à l'ère de la COVID : les confinements n'ont pas sauvé des vies /// ResearchGate (juillet 2022), https://doi.org/10.13140/RG.2.2.34191.46242

    Kochanek et coll. (2020) : Kochanek KD, Xu JQ, Arias E. /// Mortalité aux États-Unis, 2019. /// NCHS Data Brief, no 395. Hyattsville, MD : Centre national des statistiques de santé. 2020. /// https://www.cdc.gov/nchs/products/databriefs/db395.htm

    McNamara et al. (2022) : Lucy A McNamara*, Ryan E Wiegand*, Rachel M Burke*, Andrea J Sharma*, Michael Sheppard, Jennifer Adjemian, Farida B Ahmad, Robert N Anderson, Kamil E Barbour, Alison M Binder, Sharoda Dasgupta, Deborah L Dee, Emma S Jones, Jennifer L Kriss, B Casey Lyons, Meredith McMorrow, Daniel C Payne, Hannah E Reses, Loren E Rodgers, David Walker, Jennifer R Verani†, Stephanie J Schrag /// Estimation de l'impact précoce du programme américain de vaccination contre la COVID-19 sur les cas de COVID-19, les visites aux urgences, les admissions à l'hôpital et les décès chez les adultes âgés de 65 ans et plus : une analyse écologique des données de surveillance nationale /// The Lancet , 2022, volume 399, numéro 10320, 152 – 160. /// https://doi.org/10.1016/S0140-6736(21)02226-1

    Ogden et al. (2022) : Ogden NH, Turgeon P, Fazil A, Clark J, Gabriele-Rivet V, Tam T, Ng V. /// Contrefactuels des effets de la vaccination et des mesures de santé publique sur les cas de COVID-19 au Canada : qu'aurait-il pu se produire? /// Relevé des maladies transmissibles au Canada (RMTC) 2022;48(7/8):292–302. /// https://doi.org/10.14745/ccdr.v48i78a01

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    Pandey et al. (2022) : Abhishek Pandey et al. /// Combien de vies une campagne de rappel de la COVID-19 cet automne pourrait-elle sauver aux États-Unis ? /// To the Point (blog), Commonwealth Fund, 26 juillet 2022. /// https://doi.org/10.26099/rc8x-dx51

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  16. Rancourt (2025a) : Rancourt, DG. /// Opinion : Invalidité des modèles contrefactuels de mortalité évitée par la vaccination infantile /// Prépublications OSF . 3 février. doi:10.31219/osf.io/amfxw_v1. /// https://osf.io/preprints/osf/amfxw_v1

    Rancourt (2025b) : Rancourt, DG. /// Revue de : Estimations mondiales des vies et des années de vie sauvées par la vaccination contre la COVID-19 au cours de la période 2020-2024. /// Qeios , 22 août 2025. /// https://doi.org/10.32388/TIMOSA

    Rancourt (2024) : Rancourt, DG. /// Hypothèse médicale : épidémies et pandémies respiratoires sans transmission virale. /// Prépublications 2024, 2024120480. /// https://doi.org/10.20944/preprints202412.0480.v1 /// https://correlation-canada.org/respiratory-epidemics-without-viral-transmission/

    Rancourt (2022) : Rancourt DG. /// Association causale probable entre l'événement extraordinaire de surmortalité survenu en Inde d'avril à juillet 2021 et le déploiement du vaccin /// Correlation Research in the Public Interest, Correlation Brief Report, 6 décembre 2022 (18 pages), https://correlation-canada.org/report-probable-causal-association-between-indias-extraordinary-april-july-2021-excess-mortality-event-and-the-vaccine-rollout/ | Zenodo (6 décembre 2022), https://doi.org/10.5281/zenodo.17188794

    Rancourt (2021) : Rancourt, DG /// Les masques réduisent-ils la propagation de la COVID-19 au Bangladesh ? Les résultats d'Abaluck et al. sont-ils fiables ? /// Zenodo (20 septembre 2021) /// https://doi.org/10.5281/zenodo.17195910 /// CORRELATION Research in the Public Interest, https://correlation-canada.org/do-face-masks-work-in-bangladesh/

    Rancourt et Hickey (2023) : Rancourt DG et Hickey J /// Évaluation quantitative de la question de savoir si le vaccin contre la COVID-19, lauréat du prix Nobel, a réellement sauvé des millions de vies /// CORRELATION Research in the Public Interest , Brief Report, 8 octobre 2023 (115 pages). https://correlation-canada.org/nobel-vaccine-and-all-cause-mortality/ /// https://zenodo.org/records/17168141

    Rancourt et al. (2024) : Rancourt DG, Hickey J, Linard C. /// Variation spatiotemporelle de la surmortalité toutes causes confondues dans le monde (125 pays) pendant la période Covid 2020-2023 en fonction des facteurs socio-économiques et des interventions médicales et de santé publique. /// CORRELATION Research in the Public Interest , Rapport, 19 juillet 2024 (521 pages). https://correlation-canada.org/covid-excess-mortality-125-countries /// HAL open science: https://hal.science/hal-05110349

    Rancourt et al. (2022) : Rancourt, DG, Baudin, M. et Mercier, J. /// Campagne de vaccination de masse pendant la période COVID et catastrophe de santé publique aux États-Unis : mortalité toutes causes confondues résolue par âge/État en fonction du temps, administration du vaccin résolue par âge en fonction du temps et données socio-géo-économiques /// Research Gate (2 août 2022) /// http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.12688.28164 /// Zenodo https://zenodo.org/records/17195683

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  17. Rancourt et al. (2021) : Rancourt, DG, Baudin, M. et Mercier, J. /// Nature de la catastrophe de santé publique de l'ère de la COVID aux États-Unis, d'après la mortalité toutes causes confondues et les données socio-géo-économiques et climatiques. /// Research Gate (25 octobre 2021) /// http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.11570.32962 /// https://correlation-canada.org/Mortality-public-health-disaster-USA/

    Sah et al. (2022) : Pratha Sah, Thomas N Vilches, Seyed M. Moghadas, Meagan C. Fitzpatrick, Eric C Schneider, Alison P. Galvani /// Impact de l'accélération des rappels de vaccination dans le contexte de la flambée d'Omicron aux États-Unis /// medRxiv 2022.01.22.22269655 ; doi : https://doi.org/10.1101/2022.01.22.22269655

    Shoukat et coll. (2022) : Shoukat A, Vilches TN, Moghadas SM, Sah P, Schneider EC, Shaff J, Ternier A, Chokshi DA, Galvani AP. /// Vies sauvées et hospitalisations évitées grâce à la vaccination contre le COVID-19 à New York : une étude de modélisation. /// Lancet Reg Health Am. 2022 janvier ; 5 : 100085. est ce que je : 10.1016/j.lana.2021.100085. Publication en ligne le 30 octobre 2021. /// https://doi.org/10.1016/j.lana.2021.100085

    Siri (2025) : Aaron Siri /// Vaccins, Amen – La religion des vaccins /// Injecting Freedom LLC, 2025, pp. 301 /// ISBN : 979-8-9924230-0-6

    Sorli (2025) : Sorli AS /// Fraude mathématique de l'efficacité de la vaccination contre la COVID-19 et inefficacité de l'évaluation par les pairs. /// J Clin Trials. , 2025, 15:602. /// https://www.longdom.org/open-access/mathematical-fraud-of-covid19-vaccination-effectiveness-and-ineffectiveness-of-peer-review-1103746.html

    Steele et al. (2022) : Steele MK, Couture A, Reed C, et al. /// Nombre estimé d'infections, d'hospitalisations et de décès dus à la COVID-19 évités parmi les personnes vaccinées aux États-Unis, de décembre 2020 à septembre 2021. /// JAMA Netw Open. 2022;5(7):e2220385. doi:10.1001/jamanetworkopen.2022.20385. /// https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2022.20385

    Vilches et al. (2022a) : Vilches TN, Moghadas SM, Sah P, et al. /// Estimation des infections, des hospitalisations et des décès dus à la COVID-19 suite aux campagnes de vaccination américaines pendant la pandémie. /// JAMA Netw Open . 2022;5(1):e2142725. doi:10.1001/jamanetworkopen.2021.42725 /// https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2021.42725

    Vilches et al. (2022b) : Vilches TN, Sah P, Moghadas SM, Shoukat A, Fitzpatrick MC, Hotez PJ, Schneider EC, Galvani AP. /// Hospitalisations et décès dus à la COVID-19 évités grâce à un programme de vaccination accélérée dans le nord-est et le sud des États-Unis. /// Lancet Reg Health Am. 2022 févr. ; 6:100147. doi : 10.1016/j.lana.2021.100147. Publication en ligne le 29 déc. 2021. /// https://doi.org/10.1016/j.lana.2021.100147

    Watson et al. (2022) : Watson OJ, Barnsley G, Toor J, Hogan AB, Winskill P, Ghani AC. /// Impact mondial de la première année de vaccination contre la COVID-19 : une étude de modélisation mathématique /// Lancet Infect Dis. 2022 sept. ; 22(9) : 1293-1302. doi : 10.1016/S1473-3099(22)00320-6. Publication en ligne du 23 juin 2022. Erratum dans : Lancet Infect Dis. 2023 oct. ; 23(10) : e400. PMID : 35753318 ; PMCID : PMC9225255. /// https://doi.org/10.1016/s1473-3099(22)00320-6

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  18. Yamana et al. (2023) : Yamana TK, Galanti M, Pei S, Di Fusco M, Angulo FJ, Moran MM, et al. /// L'impact de la vaccination contre la COVID-19 aux États-Unis : réduction du nombre de cas, d'hospitalisations et de décès liés au SRAS-COV-2. /// PLoS ONE 18(4) : e0275699. /// https://doi.org/10.1371/journal.pone.0275699

    - voir doc sur site -

    Appendice

    Cette annexe contient une figure de 10 panneaux : Mortalité contrefactuelle en fonction du temps avancée comme la réalité postulée en l'absence hypothétique de vaccination, 2018-2024, pour les résultats contrefactuels de Fitzpatrick et al. (2022), pour chacun des dix États les plus peuplés des États-Unis, comme indiqué, par ordre décroissant de population en 2020, panneaux de haut en bas. Surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle par semaine et son incertitude 1σ (ligne bleue et ombrage bleu). La ligne grise verticale correspond à la date de la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020. La courbe grise à croissance monotone représente les doses cumulées de vaccin contre la COVID-19 administrées. Surmortalité toutes causes confondues totale contrefactuelle par semaine après la simplification de la constante nI indépendante du temps (prévalence constante) (courbe verte). Surmortalité toutes causes confondues totale contrefactuelle par semaine en considérant que nI(t) (prévalence dépendante du temps) est proportionnel à la surmortalité toutes causes confondues mesurée réelle par semaine (courbe rouge). Au-delà de la date de fin de la période contrefactuelle de Fitzpatrick et al. (2022) (30 novembre 2022), les courbes rouges et vertes sont représentées en pointillés.

    https://www.globalresearch.ca/did-covid-19-vaccines-save-millions-lives-usa/5902294

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  19. BREAKING : Le Tribunal international de l'Alliance des nations autochtones rend une ordonnance : « Les injections de nanoparticules d'ARNm sont en fait des armes biologiques et technologiques de destruction massive » !


    Par le Dr Joseph Sansone et l'avocate Lisa
    Recherche mondiale,
    10 octobre 2025


    Un grand merci à Lisa Miron, alias Lawyer Lisa sur Substack et auteur de World On Mute , pour avoir eu cette idée et avoir agi en tant qu'activiste en poursuivant cette initiative devant le tribunal, au courage des plaignants blessés, aux procureurs et au tribunal pour avoir pris des mesures aussi extraordinaires pour la défense de l'humanité.

    Une capture d'écran et un PDF téléchargeable de cette déclaration extraordinaire et de cet ORDONNANCE sont ci-dessous.

    Après avoir examiné des centaines de pages de preuves de mon affaire actuelle, y compris des articles scientifiques et des mémoires juridiques déposés auprès du système judiciaire de Floride , ainsi que d'autres articles scientifiques, le Tribunal international de l'Alliance des nations autochtones (AIN) a émis une déclaration et une ORDONNANCE déclarant les injections de nanoparticules d'ARNm comme des armes biologiques et technologiques de destruction massive.

    Le Tribunal international de l’Alliance des nations autochtones (AIN) est le premier organisme directeur et autorité judiciaire au monde à émettre une ORDONNANCE déclarant que les injections de nanoparticules d’ARNm sont des armes biologiques et technologiques de destruction massive.

    En plus des mémoires juridiques et des études scientifiques, l'Alliance des Nations Autochtones (AIN) a examiné les affidavits déposés dans mon dossier actuel devant le système judiciaire de Floride par Ana Mihalcea, MD, PhD ; Rima Laibow, MD .; Karen Kingston ; Andrew Zywiec, MD .; Marivic Villa, MD ., et Avery Brinkley, MD. Dr. Ben Marble, MD , et Dr. Paul Alexander, PhD .; et feu Francis Boyle, JD, PhD , le professeur de droit qui a rédigé la législation américaine de mise en œuvre de la Convention sur les armes biologiques, appelée Biological Weapons and Antiterrorism Act de 1989. Le Dr Boyle a déclaré publiquement que les injections de COVID 19 étaient des armes biologiques fin 2020, avant même qu'elles ne soient déployées.

    La déclaration et l'ORDONNANCE incluent des citations et/ou citent des affidavits du Dr Francis Boyle, JD, PhD; du Dr Ana Mihalcea, MD, PhD; du Dr Andrew Zywiec, MD; du Dr Paul Alexander, PhD; et du Dr Rima Laibow, MD. Elle cite également les travaux du Dr James Thorp, MD; du Dr David J. Speicher; du Dr Jessica Rose; et du Dr Kevin McKernan; et cite un article récent du Dr Andrew Zywiec, et al., affirmant que le « vaccin » violait la Convention sur les armes biologiques.

    Cette déclaration et ce décret extraordinaires font suite à la déclaration du Conseil mondial de la santé (section de Floride) selon laquelle les injections de nanoparticules d'ARNm sont des armes biologiques et technologiques de destruction massive . Auparavant, les partis républicains des comtés américains, ainsi que ceux de l'Idaho et de l'Arizona, avaient déclaré que les injections de nanoparticules d'ARNm étaient des armes biologiques et technologiques de destruction massive.

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  20. Le Tribunal international des nations autochtones (AIN) a déclaré :

    « Ce Tribunal constate et déclare par la présente que les injections de COVID-19, les injections d’ARNm ou les injections de nanoparticules d’ARNm sont en fait des armes biologiques et technologiques de destruction massive.

    Le Tribunal constate et déclare par la présente que les « injections de nanoparticules contre la COVID-19 », ou « injections de nanoparticules d'ARNm », ou « injections contre la COVID-19 », répondent aux critères des armes biologiques et des armes de destruction massive, conformément à la Loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 (18 USC § 175), aux Armes et armes à feu (Warranty and Firearms § 790.166 Fla. Stat. (2023), à la Loi de mise en œuvre de la Convention sur les armes biologiques et à toxines du Canada de 2004 et à la Convention internationale sur les armes biologiques. La présente ordonnance et déclaration est destinée à prendre effet immédiatement dans le monde entier.

    Le Tribunal international des Nations autochtones (AIN) jouit d'un statut de nation à nation reconnu par le gouvernement canadien. Il est le premier organisme dirigeant et autorité judiciaire au monde à rendre une ordonnance déclarant les injections de nanoparticules d'ARNm comme des armes biologiques et technologiques de destruction massive.

    Les conséquences juridiques internationales de ce décret restent floues. Il stipule également :

    Ainsi, les systèmes coloniaux n'ont fait que perpétuer l'injustice de ce qui ne peut être perçu que comme un meurtre planifié et exécuté, ainsi que comme une dépopulation de l'humanité à travers le monde. L'absence de justice dans les systèmes coloniaux doit être perçue comme intentionnelle et comme un moyen de favoriser l'utilisation et le déploiement d'armes biologiques contre la population. Nous demandons aux peuples autochtones et au reste de l'humanité de s'unir pour donner à cette décision et à cette déclaration force de morale et de justice, fondements de tout système juridique. Aucune architecture juridique ne saurait être une autorisation permissive de déployer des armes biologiques contre l'humanité. Nous constatons une dégénérescence conséquente de la valeur intrinsèque de l'humanité par ceux qui ont promulgué et continuent de promouvoir l'utilisation d'armes de destruction massive contre l'humanité. Les injections de COVID-19, d'ARNm ou de nanoparticules d'ARNm, sont des armes. Des armes biologiques. Des armes cellulaires. Des armes toxiques. Des armes génétiques. Des nanotechnologies. Des armes intergénérationnelles. Des armes technologiques.

    Une capture d'écran et un PDF téléchargeable de cette déclaration extraordinaire et de cet ORDONNANCE sont ci-dessous.

    Vous pouvez également lire le document ici .

    -voir très longue doc sur site -

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  22. Deux fois par jour, sprays nasaux et gargarisons première ligne de défense en saison du rhume et de la grippe !

    Les vaccins sont mini-efficaces, mieux vaut se concentrer sur la prévention pratique et le traitement précoce


    Pierre A. McCullough, MD, MPH
    Oct 10, 2025


    Alors que nous entrons dans la saison du rhume et de la grippe, nous sommes barbés de messages des pharmacies et des employeurs pour obtenir des vaccins contre la grippe ! L'année dernière a été l'une des pires saisons de grippe au plus récent record. Au cours de la saison 2024-2025, 127 hospitalisations associées à la grippe se sont produites pour 100 000 habitants. Bien que cela semble élevé, cela signifie que le risque de population est de 0,127 % par an. Lorsque ceux-ci sont strictement jugés, ~15 % ont réellement une pneumonie de la grippe, de sorte que les chances sont encore plus faibles. Est-ce suffisant pour obtenir un vaccin contre la grippe chaque année ?

    Dr. McCullough apparaît avec Amanda Head et John Solomon sur Just the News de Real America’s Voice pour décomposer les données et commenter certaines approches pratiques au-delà de la vaccination. Ceux-ci comprennent deux fois par jour des sprays nasaux et des gargarismes effectués régulièrement. De plus, les personnes à haut risque devraient avoir une trousse de contagion sous la main de The Wellness Company à portée de main et être prêtes à commencer le Tamiflu au jour #1 de la grippe positive au test.

    Pierre A. McCullough, MD, MPH
    Directeur Scientifique, The Wellness Company
    www.twc.health/courage

    https://www.thefocalpoints.com/p/twice-daily-nasal-sprays-and-gargles-2d9?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=175542940&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&token=eyJ1c2VyX2lkIjoyNDcxNjYyNTEsInBvc3RfaWQiOjE3NTU0Mjk0MCwiaWF0IjoxNzYwMDg5NTU5LCJleHAiOjE3NjI2ODE1NTksImlzcyI6InB1Yi0xMTE5Njc2Iiwic3ViIjoicG9zdC1yZWFjdGlvbiJ9.Dk5cN6FhHWmlvRq-6GFS9JjRPioiw
    GTho1PrPIc7tOc&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  23. RUPTURE: Le premier organe directeur international et autorité judiciaire du monde déclare l’ARNm injections d’armes biologiques et technologiques de destruction massive

    L’Alliance du Tribunal international des nations autochtones — reconnue par le Canada sur une base de nation à nation — a publié un décret mondial historique visant à prendre effet immédiatement dans le monde entier.


    Nicolas Hulscher, MPH
    Oct 09, 2025


    D'abord rapporté par le Dr. Joseph Sansone et Lisa Miron, dans un geste étonnant et historique, l’Alliance des nations autochtones (A.I.N.) Le Tribunal international a publié un ORDRE et une DÉCLARATION indiquant que « les injections de nanoparticules d’ARNm sont en fait des armes biologiques et technologiques de destruction massive ».

    « Le Tribunal conclut et déclare par la présente que les « injections de nanoparticules COVID-19 » ou « injections de nanoparticules d’ARNm » ou « injections de COVID-19 » répondent aux critères des armes biologiques et des armes de destruction massive conformément à la loi antiterroriste sur les armes biologiques, de 1989 18 USC § 175; Armes et armes à feu § 790.166 Fla. Statistique.( 2023), la Loi de 2004 sur la mise en œuvre de la Convention sur les armes biologiques et à toxines du Canada et la Convention internationale sur les armes biologiques. Le présent décret et cette déclaration ont pour but d’avoir un effet immédiat dans le monde entier. »

    Il s’agit de la première déclaration judiciaire formelle de toute autorité internationale reconnue classant les produits d’ARNm COVID-19 comme des armes biologiques.

    Vous pouvez lire la déclaration entière de l'Alliance des nations autochtones ici:
    Déclaration De Marine Des Armes Biologiques
    581KB ∙ Fichier PDF
    Télécharger

    Ici, il est important de noter qu’en décembre 2024, le ministère des Relations Couronne-Autochtones et des Affaires du Nord (CIRNAC) du Canada a officiellement reconnu l’Alliance des nations autochtones, son Traité et son Tribunal international – un organe judiciaire composé de juges de tous les continents. Dans sa lettre officielle datée du 13 décembre 2024, le Canada a affirmé que sa relation avec l'A.I.N. existe sur une base de nation à nation, reconnaissant ainsi le Tribunal comme une autorité juridique souveraine en vertu du droit autochtone et international:

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  24. Cette déclaration s’inscrit dans notre récente étude de Zywiec et al, qui a démontré que les injections d’ARNm COVID-19 violent la Convention sur les armes biologiques, le Code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki et les États-Unis. Constitution.

    Il s'aligne également sur le projet de du , qui classe les injections d'ARNm et les produits connexes comme armes de destruction massive en vertu de l'article 609.712, interdisant leur possession ou leur distribution dans l'État.
    BREAKING — Minnesota Files Bill HF3219 to Designate mRNA Injections as Biological Weapons of Mass Destruction
    RUPTURE — Minnesota dépose un projet de loi HF3219 pour désigner les injections d'ARNm comme des armes biologiques de destruction massive
    Nicolas Hulscher, MPH
    Avr 21
    Lire l'article complet

    La question de savoir si cette déclaration sans précédent déclenchera une action juridique ou gouvernementale tangible reste à voir. Mais cela crée un précédent historique: un tribunal international reconnu a officiellement nommé les injections d’ARNm COVID-19 comme des armes de destruction massive – en plaçant le fardeau carrément sur les gouvernements mondiaux, les agences de santé publique et les tribunaux pour répondre. Dans la foulée de preuves scientifiques croissantes, de mouvements législatifs comme le HF3219 du Minnesota, et maintenant ce vaste jugement international, le barrage est ouvert.

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et administrateur de la Fondation, Fondation McCullough

    www.mcculloughfnd.org

    Veuillez envisager de suivre à la fois la Fondation McCullough et mon compte personnel sur X (anciennement Twitter) pour plus de contenu.

    https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-worlds-first-international?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=175757976&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&token=eyJ1c2VyX2lkIjoyNDcxNjYyNTEsInBvc3RfaWQiOjE3NTc1Nzk3NiwiaWF0IjoxNzYwMDUzOTc0LCJleHAiOjE3NjI2NDU5NzQsImlzcyI6InB1Yi0xMTE5Njc2Iiwic3ViIjoicG9zdC1yZWFjdGlvbiJ9.GOXjmE3HzXk6kpTFl3I0aE3MaX2vqXeuX
    JkGhRp53Qg&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  25. RUPTURE: L'abattage de masse de la grippe oiseau reprend après la pause estivale - 4 millions de volailles exterminées au cours du mois dernier

    L’Amérique replonge dans un cycle de peur, d’échec, d’abattage et de chaos de la chaîne d’approvisionnement.


    Nicolas Hulscher, MPH
    Oct 09, 2025


    Au cours de l'été, l'abattage massif de volailles pour la grippe aviaire H5N1 s'est complètement arrêté après que plus de 44 millions de volailles ont été imprudemment exterminés de janvier à mai 2025:

    VICTOIRE: Les prix des œufs se rétablissent alors que l'abattage de masse diminue sous la pression
    Nicolas Hulscher, MPH
    Juil 2
    VICTORY: Egg Prices Recover as Mass Culling Declines Under Pressure

    Par Nicolas Hulscher, MPH
    Lire l'article complet

    Plus tôt cette année, nous avons exposé sans relâche les conséquences catastrophiques de l'abattage de masse pour la grippe aviaire H5N1:
    L’USDA a dépensé $1,25 milliard pour l’abattage de masse pour la grippe aviaire H5N1 – avec des conséquences désastreuses
    Nicolas Hulscher, MPH
    Feb 18
    USDA Has Spent $1.25 Billion on Mass Culling for H5N1 Bird Flu—With Disastrous Consequences

    par Nicolas Hulscher, MPH
    Lire l'article complet
    Les fermes de volailles dépeuplées de masse restent non opérationnelles pendant ~4 mois après la détection de PCR groupée H5N1
    Nicolas Hulscher, MPH
    Mar 3
    Mass Depopulated Poultry Farms Remain Non-Operational for ~4 Months After H5N1 Pooled PCR Detections

    Par Nicolas Hulscher, MPH
    Lire l'article complet

    Tout cela a contribué au « cycle d’abattage de masse de la dévastation »: avec le H5N1 répandu dans la sauvagine migratoire, les fermes continuent de faire face à la réinfection malgré l’abattage répété. Ainsi, les poulets ne développent jamais l'immunité du troupeau conduisant à un cycle sans fin de perturbation de la chaîne d'approvisionnement alimentaire et de transmission du poulet à l'homme.

    Maintenant, l'abattage de masse pour la 'grippe aviaire' est .

    Depuis septembre, plus de 4 millions de volailles ont été abattues sur « détections » PCR H5N1 monopaleuses dans les fermes.

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  26. Les volailles sont abattus en utilisant des méthodes barbares telles que l'arrêt de la ventilation et l'étouffement de la mousse, comme le montre la production de la Fondation McCullough, la grippe aviaire: séparer le fait de la fiction et le vrai danger de la peur::

    À la trajectoire actuelle, on s’attend à ce que l’abattage de masse continue de monter en puissance alors que nous nous dirigeons vers les mois d’hiver. Cela se traduira par une chaîne d'approvisionnement alimentaire déstabilisée, une en .

    Cela ouvre également une fenêtre d'opportunité pour le cartel du vaccin de déployer leurs vaccins tant attendus contre la
    L’USDA se prépare à vacciner de masse la volaille contre la grippe aviaire — ignorant les avertissements scientifiques et publics
    Nicolas Hulscher, MPH
    24 juin
    USDA Preparing to Mass Vaccinate Poultry Against Bird Flu — Ignoring Scientific and Public Warnings

    Par Nicolas Hulscher, MPH
    Lire l'article complet

    En mars dernier, RFK Jr. , a déclaré: «La plupart de nos scientifiques sont contre l'opération d'abattage.»

    Si c’est le cas, c’est le moment pour HHS d’intervenir alors que les opérations d’abattage de masse reprennent et craignent que des campagnes de fusion ne s’initient.

    Nicolas Hulscher, MPH

    Épidémiologiste et administrateur de la Fondation, Fondation McCullough

    Soutenir notre mission: mcculloughfnd.org

    Veuillez envisager de suivre à la fois la

    https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-bird-flu-mass-culling-resumes?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&po
    st_id=175741997&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&token=eyJ1c2VyX2lkIjoyNDcxNjYyNTEsInBvc3RfaWQiOjE3NTc0MTk5NywiaWF0IjoxNzYwMDQwOTY0LCJleHAiOjE3NjI2MzI5NjQsImlzcyI6InB1Yi0xMTE5Njc2Iiwic3ViIjoicG9zdC1yZWFjdGlvbiJ9.QvXlHo7T5EEZKV_I_-OmPPLHNA2ALD3ZKl-3VAQh
    djQ&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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    Réponses
    1. Or, hors histoires de maladies extra-terrestres, est survenue LA 'grippe aviaire' !!
      Or, elle ne touche que les... élevages... ! Çà alors !!
      Il ne s'agit là que d'une extermination des volailles par voies d'alimentations empoisonnées !!
      Les fermes d'alentours n'étant pas touchées !! Cà alors !!

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  27. EXCLUSIF: Un nouveau film révèle la plus grande conspiration de notre époque en matière de santé publique | Daily Pulse

    Pour une durée limitée, ce documentaire puissant est gratuit à regarder.

    Le Renard Vigilant
    Oct 10, 2025


    REMARQUE: Merci de soutenir ce message sponsorisé, qui maintient ce site Web en cours d'exécution pour vous apporter des nouvelles non censurées.

    Le système alimentaire américain nous rend malades et ce n’est pas par accident.

    - voir clips de Maria sur site -

    De temps en temps, un film arrive qui coupe à travers le bruit et force la vérité dans la lumière.

    Tout comme Super Size Me (https://www.youtube.com/watch?v=wSZWxjeua3g) a exposé comment la restauration rapide a alimenté la dépendance et la maladie, ce nouveau documentaire révolutionnaire va encore plus loin – ciblant l’ensemble de l’industrie de la nourriture et de la santé construite pour tirer profit de notre maladie.

    Il révèle comment les mêmes entreprises qui contrôlent notre médicament contrôlent également nos repas – nous gardant accrochés, dépendants et trop malades pour riposter.

    Des créateurs de The Truth About Vaccines et The Truth About Cancer, Ty et Charlene Bollinger reviennent avec leur exposé le plus explosif à ce jour: Unpacking the Lies We’ve Bere Fed.

    Le film le plus important que vous regarderez cette année est maintenant en direct et gratuit pour le public. Ça s’appelle Unpacking the Lies We’re One Fede. Et ce documentaire va changer tout ce que vous pensiez savoir sur le système de santé américain.

    C'est trop important pour être mis derrière un paywall.

    Regardez Pendant Qu'il Est Gratuit!

    Se joindre à nous maintenant pour discuter de la raison pour laquelle ce film était si important à faire est Charlene Bollinger de The Truth About Cancer.

    Charlene a commencé l’interview en partageant les pertes personnelles qui ont enflammé sa mission, révélant qu’elle et son mari ont été autrefois qualifiés de « menace # 3 pour l’humanité » sur la tristement célèbre liste de désinformation – juste en dessous de RFK Jr. et Andy Wakefield.

    Elle a dit que ce travail n’était pas quelque chose qu’elle a choisi, mais quelque chose qu’elle était appelée à faire – une mission divine de tenir tête à la « mafia médicale » et de défendre la vérité.

    Cette étiquette, a-t-elle expliqué, ne l’a pas intimidée; elle a seulement approfondi sa détermination, prouvant que leur message brisait par de puissants murs de censure et de contrôle.

    Lorsque la discussion s’est tournée vers la propagande, Charlene a parlé sans détour: «Obama a rendu légale la propagande contre les Américains», a-t-elle déclaré.

    Elle a expliqué que tout cela découlait de la Smith-Mundt Act: une loi destinée à l'origine à protéger les Américains contre la manipulation du gouvernement. Au fil du temps, il a été réécrit comme le «Smith Modernization Act», accordant effectivement aux fonctionnaires le pouvoir de diffuser de la propagande aux États-Unis.

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  28. Ce n’était pas une nouvelle tactique, a-t-elle noté, juste une tactique qui avait finalement été légalisée. Des agences comme la CIA avaient longtemps travaillé avec des partenaires étrangers pour façonner des récits mondiaux, mais une fois que la loi a changé, «le rendre légal» signifiait que le gouvernement américain pouvait maintenant diriger ces mêmes opérations psychologiques à son propre peuple.

    Pour Charlène, ce moment a marqué un sombre changement dans l'histoire américaine. La propagande a cessé d'être une arme étrangère et est devenue un instrument de contrôle national.

    À partir de là, elle a tiré une ligne claire du 11 septembre à la montée de l’État de surveillance américain et à l’inspiration derrière son nouveau film, Unpacking the Lies We’ve Bee Wee Fed.

    Elle a qualifié le 11 septembre de « moment charnière » qui a tout changé, expliquant que « le Patriot Act était préécrit, prêt à partir », et tout ce dont ils avaient besoin était « une sorte de grande catastrophe pour déployer la grille des trucs de Big Brother par l’intermédiaire du gouvernement ».

    À partir de ce moment-là, a déclaré Charlene, le gouvernement avait la justification dont il avait besoin pour suivre, tracer et surveiller les citoyens – un système qui n’a fait que s’étendre avec la montée en puissance de l’IA.

    Cette réalisation, a-t-elle expliqué, est devenue le moteur de son dernier projet. Après des années de production de documentaires d’investigation, elle a déclaré que celui-ci se démarque parce que « ».

    C’est « l’incarnation de notre recherche », a-t-elle ajouté, présenté de manière « divertissante, réfléchie, mais choquante » pour montrer aux téléspectateurs « comment ils nous ont fait cela » et « comment sommes-nous arrivés ici ? »

    Charlene a également salué son allié de longue date, Robert F. Kennedy Jr., qu’elle a appelé une amie pendant plus d’une décennie, pour s’être tenue avec elle « dans les tranchées pour sauver les enfants, pour sauver l’Amérique et pour arrêter cette poussée et cette tyrannie mondiales ».

    Pour elle, déballer les mensonges est plus qu'un film. C’est aussi un signal d’alarme pour l’humanité, une feuille de route vers la liberté.

    Avant de revenir à la conversation, je veux partager que le documentaire de expose l’agenda de plusieurs décennies pour garder les Américains malades, obèses et dépendants, tout en montrant pourquoi Robert F. La nomination de Kennedy au poste de secrétaire du HHS pourrait être le tournant.

    De la corruption de l’industrie alimentaire à l’autisme induit par le vaccin en passant par la géo-ingénierie, Unpacking The Lies We’ve Been Fed démantèle le réseau de mensonges que le peuple américain a été informé de la santé publique.

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  29. Je l’ai déjà regardé, et il raconte l’histoire de la corruption de magistration. Pour un temps limité, vous pouvez le voir aussi, complètement gratuit.

    C’est un must-see et une excellente part pour les amis et les membres de la famille qui se réveillent encore.

    Regardez maintenant gratuitement

    Revenons à l'interview.

    La conversation s’est ensuite tournée vers la nourriture et comment, de l’avis de Charlène, « le monstre de la Grande Nourriture » est tout aussi dangereux que Big Pharma. Elle a averti que le système alimentaire moderne est conçu pour garder les gens malades, dépendants et dépendants.

    « Les gens disent que c’est génétique, a-t-elle expliqué, mais une très, très petite partie du cancer est génétique. C’est vraiment environnemental. C’est dans le livre de cuisine de ta mère. »

    Elle a peint un tableau de la distance parcourue par l'Amérique depuis ses racines. «Ils avaient de la nourriture à l’époque qu’ils ont cultivé eux-mêmes. Ils avaient une indépendance", a-t-elle déclaré, la contrastant avec la génération d'aujourd'hui qui pense que le poulet vient de Walmart.

    Cette autonomie, a-t-elle soutenu, a été remplacée par la dépendance à l'égard des banques, des services publics et des sociétés alimentaires. "Ces produits chimiques sont pour vous rendre dépendant à leur nourriture", a-t-elle déclaré, qualifiant le sirop de maïs de "l'une des nombreuses abominations" qui "exclut le mécanisme dans le corps" en disant aux gens qu'ils sont pleins.

    Son message était simple: «Les gens doivent arrêter de prendre du poison et commencer à faire leur propre nourriture. Commencez à vous en procurer. Lisez vos étiquettes. Obtenez de la vraie nourriture. Faites-le à la maison. »

    « Si suffisamment de gens faisaient cela, » a dit Charlene, « le grand ag, les grandes entreprises alimentaires sortiraient de l’entreprise. »

    Elle a clôturé l'interview avec conviction, laissant les téléspectateurs avec un appel sincère non seulement pour regarder le film mais pour passer à l'action.

    Citant les Écritures, elle a averti: «Mon peuple périt par manque de connaissance», exhortant les gens à «regarder le film, à être autonomes», et surtout à «partager la vérité».

    Le ton est passé de l'indignation à l'espoir. Après avoir révélé tant de mensonges et de couches de corruption, Charlene a quitté le public avec un sens du but – un rappel que si la censure est réelle, le pouvoir de la vérité est plus fort quand il est partagé.

    C’était le parfait proche de la conversation, transformant la conscience en action et en outrage en résolution.

    Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.

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  30. Nous reviendrons avec un autre spectacle demain. On se voit alors.
    Regardez Déballer Les Mensonges Que Nous Avons Été Nourris:

    https://www.vigilantfox.com/p/exclusive-unpacking-the-lies-the?publication_id=975571&post_id=1757386
    67&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true

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  31. Entretien avec Gavin de Becker

    Le célèbre expert en sécurité et enquêteur révèle les "faits interdits" que le gouvernement américain a dissimulés depuis des décennies.


    John Leake
    Oct 09, 2025


    « Les problèmes sont résolus, non pas en donnant de nouvelles informations, mais en organisant ce que nous savons depuis longtemps. »
    ― Ludwig Wittgenstein, Enquêtes philosophiques

    - voir clip sur site -

    Pendant des décennies, Gavin de Becker a étudié comment détecter les menaces que les humains représentent pour d'autres humains, et comment empêcher ces menaces d'être menées pour infliger des dommages et la mort. Cela l’a amené profondément dans les domaines de la psychologie criminelle et de toutes les différentes méthodes de subterfuge.

    Pour ceux qui ne connaissent pas M. de Becker, son auteur bio présente un aperçu succinct de sa carrière distinguée.

    Gavin de Becker est un nommé à la présidence, dont le travail pionnier a changé la façon dont notre gouvernement évalue les menaces pour les plus hauts responsables de notre pays. Son cabinet conseille de nombreuses personnalités médiatiques, entreprises et organismes d’application de la loi les plus en vue au monde sur la prévision de la violence, et il sert également les citoyens réguliers qui sont victimes de violence domestique et de harcèlement. De Becker a conseillé l'accusation sur les affaires majeures, y compris le J.O. Procès du meurtre de Simpson. Il a témoigné devant de nombreux organes législatifs et a proposé avec succès de nouvelles lois pour aider à gérer la violence.

    Dans son nouveau livre, Forbidden Facts: Childhood Vaccines & Brain Damage, il présente la preuve que de nombreux cas de ce qui est diagnostiqué comme «autisme profond» sont probablement le résultat de lésions cérébrales causées par les vaccins.

    Comme il le montre avec des exemples étonnants et bien documentés, la suppression par le gouvernement de l’information sur les dangers des vaccins pour enfants fait partie de sa longue histoire de manipulation intentionnelle ou de rétention d’informations sur les effets néfastes sur la santé associés à l’exposition à certaines substances. Il s'agit notamment de l'agent Orange et des vaccins Anthrax pour le personnel de service américain, pour n'en nommer que deux. Cette histoire de la tromperie gouvernementale est au cœur de sa thèse – à savoir que lorsqu’il s’agit d’enquêter sur ce qui cause l’épidémie d’autisme, nous ne pouvons pas faire confiance aux assurances des agences gouvernementales américaines.

    Veuillez écouter cette vaste discussion sur la nature humaine, la psychologie (à la fois criminelle et normale) et pourquoi les gouvernements centralisés sont si fortement enclins à tromper les citoyens qu’ils sont censés représenter.

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  32. Enfin, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous pour précommander votre copie de Forbidden Facts: Childhood Vaccines & Brain Damage. Écrit en prose percutante et souvent hilarantement drôle, le livre fournit de nombreux exemples documentés de la façon dont les soi-disant «experts» ont utilisé un langage complexe pour obscurcir la réalité au lieu de l’éclairer. Comme il l’a mémorablement mis dans l’interview, de tels «experts» font «syntaxe et non de la science».

    Cette observation aiguë m’a rappelé la célèbre remarque de Wittgenstein selon laquelle « la philosophie [l’étude de la réalité] est une bataille contre l’envoûtement de notre intelligence au moyen du langage ».

    https://www.thefocalpoints.com/p/interview-with-gavin-de-becker?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=175727982&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  33. Le Programme De Déjeuner Scolaire De L’Amérique Est Brisé. MAHA s'engage à le réparer


    Le rapport MAHA
    Oct 09, 2025
    Par Catherine Ebeling, RN MSN, contributeur, Le rapport MAHA


    Le New-Yorkais a récemment piégé Robert F. La pression de Kennedy Jr. pour la réforme du déjeuner scolaire comme étant bien intentionnée mais contradictoire – un rêve impossible dans une administration réduisant le financement fédéral pour les programmes alimentaires tout en éliminant les agriculteurs locaux.

    Ce Substack est supporté par le lecteur. Pour recevoir de nouveaux messages et soutenir mon travail, pensez à devenir un abonné gratuit ou payant.

    Cependant, l’article, intitulé « What Happens to School Lunchs in the MAHA Era », manque la grande histoire: Ce que Kennedy et MAHA proposent n’est pas plus de bureaucratie ou d’argent jeté sur un système brisé, mais un réalignement fondamental des priorités nutritionnelles et des pipelines alimentaires.

    Le système alimentaire industriel capturé

    Le programme de déjeuner scolaire de l’Amérique n’est qu’un exemple de notre système alimentaire brisé, largement dépendant des grandes entreprises alimentaires. Près de 30 millions d’enfants mangent des aliments subventionnés, provenant et réglementés par les grandes entreprises alimentaires qui nourrissent directement l’obésité, le diabète et l’épidémie de maladies chroniques. Malheureusement, les normes nutritionnelles de l’USDA ont été façonnées par Big Food et Big Ag, et non par ce dont les enfants en croissance ont besoin. Ce qui est pire – les déjeuners scolaires sont souvent les plus sains et seuls repas complets que beaucoup d’élèves mangent.

    La réglementation actuelle de l'USDA limite les graisses saturées et le sel, deux nutriments qui rendent le goût alimentaire satisfaisant et riche en nutriments, tout en permettant aux amidons raffinés, aux huiles de graines, aux sucres (souvent sous forme de sirop de maïs à haute teneur en fructose), aux colorants et à d'autres produits chimiques d'attaquer nos enfants, contribuant au TDAH, à la résistance à l'insuline et à l'obésité.

    Dans le monde réel, par exemple, cela signifie que les écoles du Vermont ne peuvent pas servir du yaourt maison à base de sirop d’érable local, mais peuvent servir des produits sans gras hautement transformés lacés d’aspartame et d’autres produits chimiques. Cela signifie que le pudding à partir de déchets à partir de gras et de lait nourri à l'herbe est disqualifié, tandis que les desserts emballés ultra-transformés reçoivent un feu vert. Ce ne sont pas de véritables politiques nutritionnelles « alimentaires entières », ce sont des plans de protection des bénéfices de l’industrie alimentaire.

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  34. Plus de financement vs. Moins de financement

    Les critiques soutiennent que les réformes de Kennedy ne peuvent pas réussir si les budgets fédéraux se resserrent. Mais jeter de l'argent sur le problème ne fonctionne pas. Des milliards de financements alimentaires scolaires de l’ère Obama et de l’époque Biden sont allés principalement à des fournisseurs de Big Food comme Sysco, Tyson et General Mills – et non aux petits agriculteurs régénératifs que MAHA défend.

    Notre système de déjeuner scolaire est cassé. Ce que Kennedy et Brooke Rollins tentent de faire, c’est de reconstruire le pipeline pour créer des réseaux d’achats locaux qui récompensent les producteurs de produits alimentaires sains et réels au lieu de méga-distributeurs alimentaires.

    RFK Jr. et le mouvement MAHA réclament une « hors rampe du système actuel ». Une refonte économique peut aider à rendre les fermes locales plus petites viables à nouveau, afin que les écoles puissent acheter de la nourriture locale sans compter sur le labyrinthe bureaucratique de la subvention fédérale.

    Récupérer la nourriture scolaire auprès des grandes entreprises et le contrôle bureaucratique

    Ce que l’AMAC envisage est un retour à la nutrition soutenue par la communauté. Avec cette méthode, les agriculteurs, les écoles et les familles travaillent ensemble sans le goulot d’étranglement de l’ingérence des entreprises et du gouvernement fédéral. Pour cela, il faut:

    Modifier les directives obsolètes de l'USDA qui diabolisent les graisses saturées et le sodium, afin que les écoles puissent à nouveau utiliser du beurre, du lait entier et du vrai fromage. Ce sont des aliments riches en nutriments pour la culture des enfants.

    Redirection des subventions des cultures de maïs, de soja et de produits de base transformés vers des fermes régénératrices et exemptes de pesticides.

    Simplifier les règles d’approvisionnement afin que les écoles puissent acheter directement auprès des fermes voisines au lieu d’acheter de la nourriture par l’intermédiaire de méga distributeurs alimentaires.

    Reconstruire l'infrastructure de cuisine de l'école pour inclure les fours, les congélateurs et l'équipement de préparation par le biais de partenariats public-privé, et non de formalités administratives fédérales.

    Donner aux États et aux districts les moyens de piloter des modèles « de la ferme à l’école » alignés sur le MAHA qui servent d’exemples pour prouver que la nourriture saine peut être abordable, locale et approuvée par les enfants.

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  35. Le facteur humain: le goût et le temps

    Dans un morceau de succès autrement anti-Kennedy et anti-MAHA, The New Yorker a tellement raison: les enfants ont besoin de temps et d'une exposition répétée pour apprendre à aimer de vrais aliments entiers. « Plus d’heure de déjeuner n’offre pas seulement plus de chance pour la consommation physique », écrit Jessica Winter, les New-Yorkais, « il y a aussi une valeur difficile à quantifier en étant simplement assis avec votre nourriture, ou en étant près d’un enfant qui aime une nourriture que vous ne connaissez pas. »

    C’est une tâche difficile mais pas impossible de réentraîner les papilles qui sont habituées à manger des aliments hyper agréables améliorés par les arômes, les produits chimiques et les colorants. Mais nous devons créer un environnement où la nourriture saine a bon goût, a l'air bien et est normale.

    Cela commence par laisser les enfants affamés s’asseoir, socialiser et profiter d’un repas, ne pas se précipiter dans le déjeuner en vingt minutes entre les blocs d’instruction. Cela signifie embaucher de vrais cuisiniers et enseigner aux éducateurs locaux et aux directeurs des services alimentaires à comprendre ce que l’on admire les aliments sains. Comment fonctionne la révolution alimentaire de MAHA

    Le plan de MAHA pour reconstruire la nourriture scolaire et restaurer la santé des enfants américains combine l’action pratique et le bon sens. Les réformes de Kennedy ne sont pas des idéaux abstraits; elles remodèlent déjà la politique alimentaire par des mesures mesurables qui ramènent de la vraie nourriture dans les écoles américaines.

    Éliminez les aliments ultra-transformés en vous éloignant des fournisseurs de Big Food et en soutenant les aliments réels des fermes locales.

    Interdire les pesticides, les produits chimiques synthétiques, les colorants alimentaires et les additifs liés au TDAH et aux maladies chroniques, tout en coupant les huiles de graines et l’excès de sucre provenant des repas scolaires.

    Ramenez le vrai beurre, le lait entier et les graisses traditionnelles – les aliments dont le cerveau et le corps des enfants ont réellement besoin pour la croissance et la concentration.

    Réseaux de ferme à l'école accélérés pour connecter les agriculteurs locaux directement avec les cafétérias scolaires, en assurant une nourriture fraîche et sans produits chimiques sur chaque plateau.

    Reconstruisez la capacité de cuisine de l'école avec des subventions, des améliorations d'équipement et des partenariats locaux qui rendent la cuisson à partir de zéro possible à nouveau.

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  36. Réviser les lignes directrices alimentaires fédérales pour remplacer les normes obsolètes et axées sur le Big Food par de véritables sciences de la nutrition, permettant des graisses et du sel sains, tout en réduisant le sucre, les glucides raffinés et les additifs.

    Donner aux États et aux communautés les moyens de diriger leurs propres initiatives de ferme à l’école. Des États comme l'Utah, la Virginie-Occidentale et l'Arizona prouvent déjà que cela fonctionne.

    La Liberté Alimentaire Est La Liberté De La Santé

    Pour le MAHA, une transformation est possible. La reconstruction du système de déjeuner scolaire à partir de zéro ne nécessite pas de dépenses sans fin, elle nécessite simplement un système différent: libérer les agriculteurs et les écoles des enchevêtrements bureaucratiques et changer le pipeline. Le modèle actuel nourrit les profits des entreprises et les maladies chroniques. Le modèle de MAHA nourrit les enfants, les agriculteurs, les communautés et l’avenir de notre pays.

    Comme l’a dit Kennedy, « la défense de la ferme familiale est une défense de tout ce que l’Amérique a été, et de tout ce que nous serons. »

    C’est vraiment au cœur du mouvement MAHA – et de la vraie révolution alimentaire.

    https://www.themahareport.com/p/americas-school-lunch-program-is?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=175714179&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  37. C'est une urgence, l'industrie de la défense veut aussi de l'argent pour le climat. Envoyez la peur et le soufre !


    Par Jo Nova
    October 10th, 2025


    Le changement climatique représente désormais une grave menace pour la sécurité nationale
    Un rapport secret d'une commission conjointe du renseignement britannique affirme que le changement climatique représente une grave menace pour la sécurité nationale. Il s'agit de l'un des plus grands risques auxquels le Royaume-Uni est confronté, selon ce rapport. Préparez-vous à être stupéfait par l'exagération : c'est un « avertissement sévère », selon des sources anonymes, et un « rapport percutant », selon les journalistes qui ne l'ont pas vu.

    ('Australie est accutuellement au printemps depuis le 21 Septembre

    On peut se demander comment une augmentation de 0,14 °C par décennie pourrait menacer le SAS, si ce n'est par de lourdes coupures dues à un thermomètre cassé. Mais apparemment, les chaînes d'approvisionnement alimentaire sont menacées, et l'immigration en provenance des pays les plus touchés pourrait provoquer des « désordres sociaux ». On peut donc se demander pourquoi le Royaume-Uni ne se contente pas d'arrêter les migrants turbulents dans les douves nationales.

    Après tout, c'est ce pays qui a jadis arrêté les chars et les bombardiers allemands, mais qui risque aujourd'hui d'être envahi par des hommes non armés à bord de canots pneumatiques.

    Cela paraît également assez incongru : les experts nous ont répété à maintes reprises que tous les migrants sont de bons migrants, et pourtant, voilà que l'équipe du renseignement interarmées tente de lever des fonds en affirmant que les migrants climatiques pourraient « affecter la sécurité du Royaume-Uni ». Alors, de quoi s'agit-il ?

    La sécurité nationale menacée par la crise climatique, selon les chefs du renseignement britannique.
    The Guardian

    L'immigration en provenance des pays les plus touchés par les crises climatique et de biodiversité aura également un impact sur la société et l'économie. Certains des pays les plus touchés risquent de voir leurs gouvernements tomber et les troubles sociaux s'intensifier, entraînant une instabilité politique qui, à son tour, aura un impact sur la sécurité du Royaume-Uni.

    C'est de l'anglais pur et dur : les mots clés sont tous là, mais soigneusement assemblés pour ne rien dire qui puisse embarrasser le ministre sur GB News.

    Et n'oublions pas que la menace ultime est qu'avec le changement climatique, le Royaume-Uni finisse par ressembler un peu plus à l'Espagne.
    À quel point est-ce grave ? Les Anglais pourraient-ils rester chez eux pour les vacances ?

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  38. Le Royaume pourrait-il connaître une augmentation intolérable du soleil, de l'optimisme et des repas en plein air ?

    Quant à l'insécurité alimentaire, le Royaume-Uni produit plus de cultures par hectare que presque partout ailleurs dans le monde.

    Contrairement à certains pays, la Grande-Bretagne est capable de se nourrir. Cependant, si les lignes d'approvisionnement sont coupées, la population pourrait devoir se passer de mangues pendant un certain temps.

    Voici, ci-dessous, l'impact désastreux du changement climatique sur les agriculteurs britanniques. Sept siècles de rendements accrus.
    Que les missiles Hellfire arrivent…

    OWID

    La véritable raison du rapport sur la peur du climat : ils veulent plus d'argent, plus de pouvoir et des titres plus importants.
    Les experts en défense sont de plus en plus préoccupés par l'inaction, et certains ont appelé à ce que le financement climatique soit considéré comme faisant partie des dépenses de sécurité nationale.

    Pourquoi interrompent-ils la publication d'un rapport sur le climat ? Craignent-ils que l'ennemi ne découvre « l'existence du changement climatique » après l'avoir habilement dissimulé derrière 30 ans de propagande ?

    Ce rapport percutant devait être publié jeudi lors d'un événement historique à Londres. Mais le Guardian croit savoir que le rapport, préparé par des experts pendant de nombreux mois, a été suspendu.

    Une source a confié au Guardian craindre sa suppression en raison du refus du gouvernement d'aborder les problèmes soulevés. L'aide publique au développement (APD), qui pourrait contribuer à stabiliser les pays les plus menacés par la crise climatique et à éviter certains des impacts annoncés, a été réduite drastiquement.

    S'agit-il simplement de la même stratégie médiatique cynique et cynique utilisée en Australie le mois dernier pour attirer l'attention ? Faire fuiter l'information, « cacher » le rapport, discuter du complot, jouer les victimes. Qualifier l'affaire d'inquiétante et de cruelle, générant ainsi des articles médiatiques que les critiques ne peuvent critiquer faute de détails. Puis, publier le tout quand même. Savourer l'attention ! Répéter et recycler !

    Cette même nation qui a jadis repoussé la Luftwaffe, déchiffré le code Enigma et approvisionné la moitié du monde en charbon et en acier, est aujourd'hui menacée par un léger changement climatique.

    Imaginez avoir trop de soleil ! Ce n'est pas britannique !

    https://joannenova.com.au/2025/10/its-an-emergency-the-defence-industry-wants-to-get-some-climate-money-too/

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  39. M. Lecornu, relisez De Gaulle !


    Alain Tranchant pour France-Soir
    le 09 octobre 2025 - 19:15


    Premier ministre sans gouvernement pendant près d'un mois, puis Premier ministre d'un gouvernement mort-né, enfin en mission spéciale à la demande de son mentor élyséen, M. Lecornu est donc apparu mercredi soir au journal de 20 heures de France 2 pour une intervention dont la tonalité générale m'a semblé d'une obscure clarté.

    Ce qui a été très clair en revanche, c'est la référence répétée et éhontée au gaullisme pour tenter de justifier l'injustifiable.

    Les Françaises et les Français ont eu droit au rappel du "discours de Bayeux". Sans vouloir faire de droit constitutionnel, a-t-il tenu à préciser, M. Lecornu a néanmoins voulu - comme, avant lui, un autre gaulliste patenté, j'ai nommé François Bayrou ! - présenter la mascarade et la confusion actuelles en se référant au général de Gaulle. Il fallait vraiment y penser…

    Si M. Lecornu ne l'a pas explicitement cité, son illustre prédécesseur à Matignon n'avait pas hésité à reprendre un court extrait, concernant la formation d'un gouvernement, du discours prononcé à Bayeux le 16 juin 1946 : "Au chef de l'État la charge d'accorder l'intérêt général quant au choix des hommes avec l'orientation générale qui se dégage du Parlement".

    Mais, au sortir de la guerre et en terre normande, le général de Gaulle avait tenu des propos qui ne sont pas sans caractériser le spectacle lamentable offert depuis des mois au peuple français par de soi-disant gouvernants.

    Ainsi dénonçait-il, à propos du régime qui avait sombré en juin 1940 (,L'armistice du 22 juin 1940 est une convention signée en forêt de Compiègne entre le Troisième Reich, représenté par le général Wilhelm Keitel, et le dernier gouvernement de la Troisième République, dirigé par notre maréchal Philippe Pétain et représenté par le général Charles Huntziger, afin de suspendre les hostilités ...), "une autorité qui n'était que fictive, bien qu'elle fût, en apparence, constitutionnellement fondée. Tant il est vrai que les pouvoirs publics ne valent, en fait et en droit, que s'ils s'accordent avec l'intérêt supérieur du pays, s'ils reposent sur l'adhésion confiante des citoyens". Aujourd'hui, on chercherait en vain l'adhésion confiante des citoyens, quand M. Macron ne dispose plus que du soutien de 14 % des Français.

    De Gaulle déclarait aussi, à Bayeux : "Du Parlement, il va de soi que le pouvoir exécutif ne saurait procéder, sous peine d'aboutir à cette confusion des pouvoirs dans laquelle le gouvernement ne serait bientôt plus qu'un assemblage de délégations". N'est-ce pas "un assemblage de délégations" qui a explosé dans la soirée du dimanche 5 octobre et au petit matin du 6 octobre ?

    À propos des pouvoirs qu'il lui semblait indispensable d'accorder au président de la République dans les futures institutions, le Général insistait ce 16 juin 1946 sur celui-ci : "À lui l'attribution de servir d'arbitre au-dessus des contingences politiques, soit normalement par le Conseil, soit, dans les moments de grave confusion, en invitant le pays à faire connaître par des élections sa décision souveraine".

    Ne sommes-nous pas dans "un moment de grave confusion" qui mériterait que le peuple français fasse connaître, à l'occasion de l'élection majeure de la Vᵉ République, l'élection présidentielle, "sa décision souveraine" ?

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  40. Au temps du Rassemblement du Peuple Français, et dans son combat contre la IVᵉ République et pour une autre République, Charles de Gaulle est souvent intervenu pour condamner "un régime des partis (...) qui perdra son temps dans les comités, les vanités, les insanités" (Vincennes, 22 mai 1949). Ce jour-là, il délivre sa définition d'"une vraie démocratie, fondée sur le sentiment et la volonté du peuple et non sur des combinaisons partisanes et parlementaires", l'exact inverse de l'opération à laquelle vient de se livrer l'hôte plus que temporaire de Matignon.

    Quelques mois plus tard, au Mans, le 23 octobre, "rien n'est plus urgent - disait-il - que d'en finir avec cette sorte de théâtre d'ombres dont le régime actuel offre sans relâche au pays et au monde le spectacle scandaleux et qui risque, une fois de plus, de perdre la République". Est-ce que cette formule ne qualifie pas rigoureusement la tragi-comédie jouée sur la scène publique, devant un peuple médusé et en colère, en cet automne 2025 ?

    Le 11 février 1950, au Vélodrome d'Hiver à Paris, ( Le Vélodrome d’Hiver (ou vélodrome d’hiver de Paris) était un stade parisien érigé en 1909 et détruit en 1959. On l'appelait familièrement le « Vél’ d’Hiv’ »[a]. Il était situé rue Nélaton, dans le 15e arrondissement. Il est connu pour avoir été en 1942 le théâtre de la rafle du Vél’ d’Hiv’.

    Histoire
    Du début du siècle à la Seconde Guerre mondiale

    L'inauguration du Vélodrome d'Hiver (1910).

    Le Patin d'Or, course de patinage à roulettes courue au Vélodrome d'Hiver, en 1911.
    Au début du xxe siècle, la compétition cycliste devient un spectacle de masse prisé par la population ouvrière des villes. La construction des vélodromes participe à cette vogue. Dès 1902, Henri Desgrange demande à l'architecte Gaston Lambert d'aménager la Galerie des Machines, vestige de l'Exposition universelle de 1889 situé dans le quartier de Grenelle, pour y créer une piste de compétition cycliste. Inauguré le 20 décembre 1903, le vélodrome connaît rapidement un grand succès populaire. Mais en 1909, la ville annonce la destruction de la Galerie des Machines afin de libérer la perspective vers le Champ de Mars.

    Desgrange décide alors d'édifier tout à côté, à l'angle du boulevard de Grenelle et de la rue Nélaton, un nouveau temple du vélo. Ce futur « Palais des Sports » a pour architectes MM. Lambert et Durand, qui l'intitulent le « temple des sports du boulevard de Grenelle ». Dans le nouveau « Vél’ d’Hiv’ » construit en charpente métallique qui voit alors le jour, 17 000 spectateurs assis sur des gradins de briques et de béton, peuvent observer les coureurs qui parcourent une piste en bois de sapin ovale, avec virages relevés de 250 mètres de développement autour d'une vaste pelouse centrale. La salle est éclairée par une immense verrière zénithale et plus de mille ampoules. Le meeting d'ouverture eut lieu le dimanche 13 février 1910.

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  41. De nombreuses manifestations animèrent cet équipement même pendant la Première Guerre mondiale (le champion Louis Darragon s'y tua en avril 1918 lors d'une course derrière moto). La fameuse course cycliste dite des « Six Jours de Paris », créée en 1913, par Bob Desmarets[b], à l'exemple d'une course américaine équivalente, connut son heure de gloire dans l'entre-deux-guerres, et devint vite le sommet de la saison cycliste. Le site est utilisé lors des Jeux olympiques d'été de 1924[4]. En 1926 commença l'élection de la « Reine des Six jours », chargée de donner le départ de la course ; les Reines étaient choisies dans le milieu des artistes populaires à la mode : Édith Piaf, Yvette Horner, La Houppa, furent ainsi Reines des Six jours. L'animation se répandait alors de jour comme de nuit jusque dans les rues du quartier.

    En 1931[5], l'édifice est rénové par l'américain Jeff Dickson (également programmateur de la salle Wagram) et devient le « Palais des Sports de Grenelle »[6]. En effet, avec sa compagnie, la Jeff Dickson International Sports, il organise en plus des traditionnels matchs de boxe et course de vélos, d'autres compétitions sportives dans l'enceinte[7] : tennis, basket-ball mais également hockey et patinage sur glace (grâce à un équipement adéquat permettant la réalisation d'une patinoire). C'est le début des « années folles » du hockey sur glace[8].)

    le Président du RPF posait cette question : "Qui peut prétendre que la sombre comédie, le ballet d'ombres chinoises, les funambulesques intrigues, par quoi le régime des partis ravale les trois pouvoirs et bafoue la République, aient le moindre rapport avec les exigences du siècle, les problèmes à résoudre, le salut à assurer ?". Et il y répondait : "L'impuissance étouffe et dégrade l'État".

    Quelques mois plus tard, le 21 octobre, en ce haut lieu des grandes réunions du RPF, le Général stigmatisait "les palinodies du régime qui flotte sur la nation comme l'écume sur la mer" et "un système qui n'est plus qu'une scène de contradictions sur un théâtre d'impuissance", cette impuissance que je reprochais l'autre jour à M. Lecornu d'habiller des couleurs du gaullisme.

    Dans une Déclaration publiée le 8 octobre 1952, le général de Gaulle appelait de ses vœux "une réforme profonde des institutions (...) associant le peuple à ses propres affaires, en lui donnant, dans les cas graves, par le référendum ou la dissolution de l'Assemblée nationale, le moyen d'exprimer sa volonté et son verdict". En juin-juillet 2024, le peuple français a exprimé sa volonté et son verdict. Mais le président de la République n'en a tenu aucun compte. Parce qu'il y avait eu renvoi des députés devant le corps électoral, et que la sentence du peuple avait été sans appel, M. Macron aurait dû se démettre. La France ne serait pas dans l'état où elle est désormais s'il avait respecté le suffrage universel, au lieu de jouer avec les institutions et avec les ambitions des uns et des autres pour se maintenir, "quoi qu'il en coûte", au pouvoir.

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  42. Le 6 mai 1953, prenant acte de l'échec du RPF, de Gaulle se retire à Colombey, non sans déplorer "la série des combinaisons, marchandages, votes de confiance, investitures, qui sont les jeux, les poisons et les délices du système". Ces mêmes jeux, poisons et délices de nouveau en vigueur dans la Macronie agonisante.

    Revenu au pouvoir en 1958, et ayant fondé la Vᵉ République avec le concours du peuple français, par référendum ("cet acte du peuple, c'est-à-dire simple et portant loin"), Charles de Gaulle insiste dans une conférence de presse, le 11 avril 1961, sur la relation de confiance qui doit exister entre le président de la République et le peuple : "Ce qui est pour la France d'une nécessité absolue, c'est que ses pouvoirs aient une tête et que le chef de l'État dispose de l'adhésion profonde du pays".

    Et, dans une autre rencontre avec la presse, le 9 septembre 1965, il précise sa pensée : "C'est avant tout avec le peuple lui-même que celui qui en est le mandataire et le guide se tient en contact direct". M. Lecornu pourrait-il prétendre que M. Macron se tient en contact direct avec le peuple, alors qu'il demeure enfermé dans son palais ?

    La preuve est faite, et surabondamment : se référer au fondateur de la Vᵉ République, alors qu'"un crime se commet sous nos yeux" - ce sont les premiers mots de Michel Debré, dans "La mort de l'État républicain" - et que la Vᵉ République se meurt, et qu'elle se meurt assassinée, n'est vraiment pas convenable.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/m-lecornu-relisez-de-gaulle

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  43. Il semble que ce soit la guerre qui résoudra le conflit entre l'Occident et la Russie


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    10 octobre 2025


    J'ai qualifié la conduite de la guerre par Poutine en Ukraine d'erreur stratégique qui a aggravé la situation et qui est sur le point de devenir incontrôlable si Trump livre des missiles Tomahawk à capacité nucléaire à l'Ukraine. La façon dont Poutine a mené cette guerre, qui dure maintenant depuis près de quatre ans, a maximisé les pertes russes. Poutine a eu la bêtise de ne jamais permettre à l'armée russe de couper les lignes ferroviaires entre la Pologne, Lvov et Kiev, permettant ainsi l'afflux sans entrave d'armes et de soldats américains et de l'OTAN vers l'Ukraine, ainsi que l'attaque et l'occupation ukrainiennes de la région russe de Koursk.

    En d'autres termes, Poutine n'a rien fait pour affaiblir la capacité de l'Ukraine à mener une guerre. Il a même laissé le gouvernement néonazi de Kiev tranquille.

    Dans son dernier article, John Helmer semble affirmer que l'approche peu sérieuse de Poutine face à la guerre devient problématique en Russie, ce qui l'a conduit à lever certaines restrictions imposées à l'état-major dans la conduite de la guerre.

    Gilbert Doctorow a récemment rapporté qu'il est actuellement question en Russie d'écarter Poutine au profit d'un dirigeant plus agressif, capable de mettre fin à la guerre. Lors d'une émission récente, Doctorow a évoqué l'identité de certains de ces dirigeants. Voir aussi :

    Je salue le réalisme qu'Helmer et Doctorow ajoutent à mes efforts de longue date. Nous avons progressé sur la voie de la guerre nucléaire parce que Poutine n'a jamais démontré la détermination russe en mettant rapidement fin à la capacité de l'Ukraine à poursuivre la guerre. Les États-Unis ont profité de l'indécision de Poutine pour multiplier et intensifier les provocations. Poutine a réagi en niant qu'il s'agisse de provocations. Il a qualifié l'attaque contre la flotte de bombardiers stratégiques russes d'« acte de terrorisme », et non d'acte de guerre. Quant à l'envoi de missiles Tomahawk par Washington, Poutine et son ministre des Affaires étrangères affirment que ces missiles ne changent rien sur le champ de bataille, une affirmation extraordinaire alors que leur portée s'élargit et approfondit le champ de bataille de 1 600 kilomètres.

    Ces réponses faibles de Poutine et de Lavrov ne sont pas de nature à dissuader de nouvelles provocations. Trump parle désormais de Poutine comme d'un tigre de papier et de la Russie comme d'un pays que Zelensky peut vaincre.

    En Occident, la compréhension de la situation dangereuse est limitée et influencée par ceux qui sont prêts à accorder le bénéfice du doute à Poutine sous prétexte que la guerre lui a été imposée par Washington, et par ceux qui croient à leur propre diabolisation de la Russie, visant à sa destruction. Les analyses objectives et impartiales de la situation sont rares. Puisque ni Washington ni Moscou ne comprennent leurs erreurs, les chances que la guerre résolve le problème augmentent.

    La guerre continue parce que Poutine refuse d'utiliser la force pour y mettre fin.

    Gilbert Doctorow déclare qu'il abandonne son soutien à la manière dont Poutine mène sa guerre sans fin et de plus en plus vaste en Ukraine, car elle risque de conduire au déclenchement d'une guerre majeure.

    https://www.lewrockwell.com/2025/10/paul-craig-roberts/it-looks-like-it-will-be-war-that-resolves-the-conflict-between-the-west-and-russia/

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    1. (...) J'ai qualifié la conduite de la guerre par Poutine en Ukraine d'erreur stratégique qui a aggravé la situation (...)

      La région Est de l'Ukraine a toujours fermement voté contre la dictature. Zélensky a donc... bombardé cette région d'opposition ! et cela durant 7 ans !
      Le président Poutine est donc intervenu pour sauver ce Peuple décimé par le dictateur protégé par Bruxelles depuis 7 ans sans que les merdias n'en parle !) !
      Çà alors !!

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  44. Eolien, le danois Orsted supprime un quart de ses effectifs. Vers la fin d'une mode couteuse ?


    France-Soir
    le 10 octobre 2025 - 09:34


    Le danois Orsted, spécialisé dans le développement d'énergie éolienne offshore, à la peine aux États-Unis, a annoncé jeudi supprimer quelque 2 000 postes, soit un quart de ses effectifs, d'ici 2027.

    "Nous devons réduire nos coûts liés au développement, à la construction et à l'exploitation des parcs éoliens offshore afin de renforcer notre compétitivité", a justifié le directeur général du groupe, Rasmus Errboe, dans un communiqué.

    Lundi, le groupe avait annoncé avoir levé 9,4 milliards de dollars pour sa recapitalisation, face à ses difficultés notamment aux États-Unis.

    A lire aussi : Au large de Belle-Île et Quiberon, un projet de mega-éoliennes flottantes jusqu'à 340m de haut inquiète

    Fin septembre, un tribunal américain a autorisé la reprise des travaux sur le parc Revolution Wind, un immense projet en mer au large des côtes de la Nouvelle-Angleterre, quasi achevé, mais bloqué un mois plus tôt par l'administration de Donald Trump.

    Orsted, détenu à 50,1 % par l'État danois, a indiqué son intention de concentrer son développement en Europe et sur certains marchés asiatiques encore crédules. Il a actuellement des projets de constructions sur trois continents (Amérique, Asie et Europe).

    "Nous sommes déterminés à maintenir notre position de leader du marché de l'éolien offshore, et nous devons garantir que l'éolien offshore devienne un élément clé du futur mix énergétique européen et de la transition écologique", a souligné M. Errboe. Une transition écologique de plus en plus mise à mal, tant économiquement, que techniquement.

    La restructuration passera notamment par des départs à la retraite, des externalisations et des licenciements. Quelque 500 employés devraient être renvoyés au quatrième trimestre 2025, dont environ 235 au Danemark.

    En septembre, le groupe avait annoncé abaisser sa prévision d'Ebitda pour 2025 en raison de vents moins forts que prévu et du retard pris par un projet à Taïwan.

    Son objectif d'Ebitda se situe désormais dans une fourchette de 24 à 27 milliards de couronnes danoises, contre 25 à 29 milliards précédemment.

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  45. Il est à rappeler que l'éolien est de plus en plus montré du doigt, non content d'être une catastrophe sur le plan visuel, les basses fréquences émises par la rotation des pales sont de plus en plus mises en cause dans les impacts sur la santé humaine et animale, ainsi que dans la perturbation des écosystèmes locaux.

    Et puis, comme le souligne Fabien Bouglé, les exploitants éoliens n’achètent pas les terrains sur lesquels ils installent leurs machines : ils les louent. En moyenne, un propriétaire foncier perçoit environ 10 000 € par an pendant 20 ans, alors qu’une parcelle agricole vaut souvent autour de 8 000 €. Pourquoi donc ne pas acheter les terres ? Parce que l’exploitant éolien n’est pas propriétaire de l’éolienne elle-même, mais seulement titulaire d’un droit d’exploitation accordé par la préfecture. En revanche, le propriétaire du terrain reste légalement propriétaire de toute construction érigée sur son sol, y compris l’éolienne.

    Pour les propriétaires, la rente peut sembler intéressante à court terme. Mais si l’État met fin aux subventions — comme le prévoit le moratoire souhaité par Bruno Retailleau —, de nombreuses sociétés exploitantes risquent la faillite. Dans ce cas, les coûts de démantèlement, estimés entre 400 000 et 500 000 € par éolienne, pourraient retomber sur les épaules des propriétaires des terrains.

    Enfin, il faut rappeler que de nombreux parcs éoliens français sont financés par des fonds de pension américains ou canadiens, grâce à des aides publiques françaises. Autrement dit, les contribuables français subventionnent indirectement des investisseurs étrangers..

    https://www.francesoir.fr/societe-economie/eolien-le-danois-orsted-supprime-un-quart-de-ses-effectifs-vers-la-fin-d-une-mode

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  46. Trois impostures : à vous de juger


    le 25 avril 2024
    par jacqueshenry (1942-2016) .wordpress.com


    Les mines de phosphate constituées de phosphorite contiennent des quantités loin d’être négligeable d’uranium. Cette phosphorite fut utilisée pour le développement du projet Manhattan afin que les États-Unis se dotent d’une arme de destruction massive d’un type nouveau qui extermina avec seulement deux de ces armes près de 200000 civils innocents au Japon en juillet 1945. Lorsque furent découverts d’autres gisements d’uranium plus riches en teneur les phosphorites cessèrent d’être exploitées comme source d’uranium et ce petit détail fut oublié. Personne ne se soucie de la présence d’uranium dans le phosphate de potassium utilisé dans la formulation de l’engrais connu sous le nom de NPK qui signifie nitrate d’ammonium et phosphate de potassium. Selon la provenance des mines de phosphorite cet engrais contient donc de substantielles quantités d’uranium, les isotopes 238 et 235. Cet uranium se retrouve alors présent dans les grandes cultures de toutes sortes mais ce fait est nullement mentionné dans la fiche d’information de la World Nuclear Association ( https://world-nuclear.org/information-library/nuclear-fuel-cycle/uranium-resources/uranium-from-phosphates.aspx ).

    Il est utile de rappeler ici les modes de désintégration des deux isotopes de l’uranium pour la bonne compréhension de la suite de cet article. L’uranium-238 émet un rayonnement alpha énergétique (noyaux d’hélium) produisant des cancers variés en raison de leur haute énergie. C’est exactement ce qui a été observé à la suite de conflits armés utilisant de l’uranium dit appauvri pour la confection d’obus perforants en raison de la densité élevée de ce métal. Quant à l’uranium-235 son mode de désintégration produit du thorium-232 avec émission alpha, gamma, et beta moins (électron) et le thorium-232 à son tour se désintègre en émettant un rayonnement beta, autant dire un mode de désintégration particulièrement dangereux pour la structure de l’ADN. Or il se trouve que parmi les grandes cultures revêtant un application commerciale très rentable est celle du tabac et la production de tabac nécessite un apport massif d’engrais NPK donc contenant de l’uranium. Ce fait n’avait jamais été mentionné jusqu’au jour où on s’aperçut que le tabac était cancérigène, et pour cause : il contient de l’uranium ! Il s’agit de la cause initiale des campagnes anti-tabac mais ce n’est pas cette plante qu’il faut accuser. Combiné à des particules de fumée de cigarette ou de tabac pour pipes il est inévitable qu’un fumeur régulier se contamine avec cet uranium puis développe un cancer. La teneur en uranium du tabac est-elle contrôlée ? Les cigarettiers s’en moquent et ils deviennent victimes d’une campagne anti-tabac qui est au moins en très grande partie provoquée par des lobbys qui ne se sont jamais documenté sur le fait que la phosphorite contient toujours de l’uranium et éliminer ce métal pour réduire l’apparition de cancers est un processus industriel complexe et très couteux. Cette campagne anti-tabac est donc une imposture.

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  47. Dans la cavité buccale deux bactéries sont particulièrement dangereuses en raison de leur conséquence sur la structure du cerveau. Il s’agit de Porphyromonas gingivalis et Treponema socranskii. Elles comptent parmi la principale cause des plaques dentaires mais elles interviennent dans l’apparition de la maladie d’Alzheimer puisqu’elles ont été retrouvées dans le cerveau des personnes décédées de cette maladie ( https://doi.org/10.3390/ijms25052612 et https://doi.org/10.1038/s41368-022-00215-y . Ces deux bactéries, Treponema socranskii et Porphyromonas gingivalis sont les deux microorganismes responsables des formes de gingivite agressive et nonobstant le fait que leur rôle dans l’apparition de la maladie d’Alzheimer ne peut plus être nié. Pourtant rien n’est organisé pour éradiquer ces deux bactéries de la cavité buccale ou au moins promouvoir l’utilisation de vulgaires bains de bouche contenant de la chlorhexidine car elles sont très sensibles à cet antiseptique … La promotion d’un bain de bouche pour prévenir l’apparition de la maladie d’Alzheimer ? Mais vous n’y pensez pas puisque les grands groupes pharmaceutiques vous promettent des anticorps monoclonaux pour piéger la protéine amyloïde voire bientôt pourquoi pas un vaccin à ARN messager ? Les marchands de cigarette et de tabac ont été accusés de tous les maux par des campagnes médiatiques monstrueuses et mondiales, les gouvernements en ont profité pour taxer les cigarettes et le tabac, mais rien pour traiter les gingivites afin de réduire le nombre de malades, et pourquoi donc ? Tout simplement parce que les laboratoires pharmaceutiques veulent gagner de l’argent avec la mise au point de techniques nouvelles d’approche thérapeutique. Les fumeurs invétérés comme votre serviteur paient des taxes délirantes, les personnes dont la bouche est bourrée de bactéries dangereuses se trouvent dans l’ignorance et ne se soucient pas de terminer leur vie comme des légumes. Se brosser les dents ne suffit pas pour éliminer ces microorganismes. Je rappelle ici que le traitement préventif de la maladie d’Alzheimer coute 5000 dollars par an sans résultat garanti alors qu’un bain de bouche revient au pire à 10 dollars par mois dans le pire des cas. Encore une fois on se trouve confronté à une scandaleuse imposture organisée par le puissant lobby pharmaceutique. À vous de juger …

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  48. Quant aux caprices du climat ce qui est choquant pour un ancien scientifique comme votre serviteur est l’audace des fonctionnaires de l’IPCC déclarant que la science du climat est « settled » autrement dit définitivement acquise. Il y a quarante ans j’ai purifié d’une protéine enzymatique provenant d’un unique foie humain et j’ai effectué le séquençage d’une bonne quarantaine de peptides avec des appareils qui sont depuis longtemps au musée. L’évolution des techniques a été, en biologie en général, tellement innovante qu’aujourd’hui, à l’aide d’analyses ultra-rapides utilisant des algorithmes sophistiqués, il est possible de séquencer une protéine en quelques heures et il en est ainsi pour l’ADN et les ARNs. La détermination de structures moléculaires organiques utilisant la technique « Maldi-tof » était encore inconnue il y a cinq ans. Comme relaté dans un article récent de ce blog la génétique des populations fait appel au traitement de milliards de données par analyse algorithmique et les découvertes quotidiennes viennent bousculer les idées considérées comme acquises il y a moins de dix ans. Prétendre que la science du climat est définitive prouve bien qu’il y a un profond malaise dans les disciplines scientifiques « dures ». Le téléscope James Webb, impensable il y a dix ans, fait douter les astrophysiciens … Prétendre que la science du climat est définitive relève de la psychiatrie, tout simplement ! Il s’agit d’une imposture teintée de scandale ! À vous de juger les conséquences que vous allez endurer avec ces clowns de l’IPCC.

    Note. Je fume depuis plus de soixante ans et pour l’instant je n’ai aucun problème respiratoire et l’une de mes tantes, ayant travaillé dans un hôpital pour tuberculeux, et ayant elle-même souffert de cette maladie (comme votre serviteur) fumait un paquet de « gauloises » par jour. Elle cessa de fumer à l’âge de 85 ans et mourut à l’âge de 103 ans. Je fume depuis 64 années, à vous de juger …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/04/25/trois-impostures-a-vous-de-juger/

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  49. Métaux rares : la Chine renforce les réglementations


    9 octobre 2025
    Yves Bourdillon


    Dans le cadre de la grande rivalité pour l’accès aux métaux précieux indispensables aux industries de hautes technologies et militaires, la Chine a poussé ses feux, jeudi. Pékin a annoncé, avec effet immédiat, de nouveaux contrôles sur les exportations de technologies liées à l’extraction de terres rares, renforçant sa réglementation dans ce secteur au cœur de tensions avec Washington, mais aussi Bruxelles.

    Le géant asiatique est le premier producteur mondial de ces matériaux essentiels pour le numérique, l’automobile, l’énergie ou encore l’armement. Depuis avril, il a instauré un système de licences pour certaines exportations de ces terres rares.

    Cette nouvelle réglementation, qui s’applique de manière immédiate, concerne les technologies utilisées pour « l’assemblage, le réglage, la maintenance, la réparation et la mise à niveau des lignes de production », a-t-il ajouté. Des restrictions extra-territoriales seront également imposées à des entités exportant des articles produits à partir de terres rares chinoises ou de technologies chinoises liées aux terres rares, a précisé le ministère dans un communiqué distinct. Dans un bilan de 2024, l’US Geological Survey évaluait à 110 millions de tonnes les réserves mondiales, dont plus du tiers, 44 millions de tonnes, seraient situées en Chine. Le terme de « terre rare », en fait pas si rare que cela puisque certains de ces métaux sont plus abondants que le cuivre, désigne des minéraux critiques, notamment une famille d’une vingtaine aux noms aussi incongrus que scandium, yttrium, ou du groupe des lanthanides aux propriétés voisines indispensables pour produire des aimants, puces, ou composants militaires, dont l’extraction est coûteuse en main d’œuvres et surtout très polluantes. La Chine a concentré jusqu’à 90 % de la production annuelle mondiale de ces métaux, avant que certaines mines occidentales, par exemple en Californie et Australie, ne rouvrent grâce à l’élaboration de techniques moins polluantes.

    https://contrepoints.org/metaux-rares-la-chine-renforce-les-reglementations/

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  50. Fuite des cerveaux : un coût d’un milliard d’euros par an pour la France


    9 octobre 2025
    Lorenzo Delpech


    La Fédération Syntec, en collaboration avec Ipsos, vient de publier une étude inédite sur la fuite des cerveaux. Chaque année, le départ à l’étranger d’environ 15 000 jeunes diplômés très qualifiés formés en France coûte près d’un milliard d’euros à l’État, soit l’équivalent des dépenses engagées pour leur formation.

    L’étude révèle que 10 % des jeunes ingénieurs et 15 % des diplômés de management s’expatrient, avec des taux particulièrement élevés à Polytechnique (19 %) et Centrale Supélec (17,4 %). La tendance est en forte progression : la quantité d’expatriés titulaires d’un diplôme d’ingénieur a augmenté de 23 % en dix ans. Pire encore, 57 % des talents interrogés envisagent une expatriation dans les trois prochaines années, dont 21 % de manière sérieuse. Les destinations les plus attractives restent le Canada, la Suisse, les États-Unis et l’Allemagne.

    Si la mondialisation contribue à ce phénomène, plusieurs facteurs internes à la France accentuent la fuite des talents. Lorsque les travailleurs les plus diplômés sont interrogés sur les trois principaux inconvénients de travailler en France, 69 % citent la fiscalité trop élevée et le niveau de rémunération trop faible. Et nous pouvons les comprendre : le salaire médian d’un ingénieur français travaillant en
    France est de 58 888 euros,
    73 000 euros au Canada et
    contre 87 000 euros en Allemagne,
    90 000 euros au Royaume-Uni,
    118 000 euros en Suisse,
    160 000 euros aux États-Unis.

    Plus largement, le climat de défiance est préoccupant : 70 % des talents estiment que la France est en déclin, 74 % s’inquiètent de la situation économique, et 81 % de la situation politique.

    Face à cette situation, la France ne peut plus se permettre de laisser partir ses talents. Depuis des années, l’IREF tire la sonnette d’alarme sur cette fuite des cerveaux, qui menace directement la compétitivité et la prospérité du pays. Pour retrouver de l’attractivité aux yeux de ses talents, la France doit créer un environnement plus libre et favorable à leur épanouissement.

    https://contrepoints.org/fuite-des-cerveaux-un-cout-dun-milliard-deuros-par-an-pour-la-france/

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  51. Retraites : est-ce la faute des boomers ?


    9 octobre 2025
    Élodie Messéant


    Depuis plusieurs années, le débat sur les retraites en France se cristallise autour d’une opposition générationnelle. Les baby-boomers auraient « profité » du système au détriment des générations suivantes. Une lecture simpliste qui divise artificiellement les Français au lieu de s’attaquer au vrai problème : le monopole d’un système par répartition au détriment des options par capitalisation. Et si la vraie fracture n’était pas entre boomers et milléniaux, mais entre ceux qui veulent maintenir un système ruineux et ceux qui veulent le réformer ?

    Les baby-boomers, boucs émissaires faciles
    Il est vrai qu’après guerre, les premières générations bénéficiaires du régime par répartition ont profité d’un rendement exceptionnel. Comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous, les baby-boomers ont bénéficié d’un taux de récupération (mesure du rendement des contributions au régime de retraite) de plus de 200 %. Autrement dit, ils ont touché plus du double de ce qu’ils avaient cotisé. Mais cette situation tient moins à une quelconque « rente générationnelle » qu’au fait que le système, alors en phase de démarrage, fonctionnait avec beaucoup plus d’actifs que de retraités et que les retraités avaient par définition cotisé peu d’années compte tenu de la date de création récente du système d’assurance par répartition des retraites.

    - voir graph sur site -

    Source : Modèle MELETE (XAVIER CHOJNICKI, JULIEN NAVAUX, LIONEL RAGOT)

    La tendance s’est rapidement inversée : ceux qui sont nés dès la fin des années 60 avaient déjà un taux de récupération inférieur à leur taux de contribution. Aujourd’hui, les pensions pèsent toujours plus dans les salaires bruts. Depuis 1995, elles représentent entre 33 % et 38 % des salaires et traitements bruts versés, alors que le taux de cotisation est de 28 % du brut – ce qui fait ressortir un déficit chronique significatif.

    Cette situation est-elle imputable aux baby-boomers ? Elle incombe surtout aux décideurs de l’époque, qui ont surfé sur des promesses électorales et ont aggravé l’équilibre du système par répartition. C’est le cas de François Mitterrand qui, en 1983, a réduit le taux d’emploi des séniors en baissant l’âge légal de départ à 60 ans au lieu de 65 ans, sur fond de sophisme économique du gâteau à partager.

    Un système de plus en plus coûteux pour les finances publiques
    Dans des pays comme le Canada, les Pays-Bas ou l’Australie, les dépenses du secteur privé via la capitalisation ont une part quasi égale dans le PIB aux dépenses du système public de répartition (Panorama des systèmes de retraite en France et à l’étranger, page 17). L’âge pivot de départ est plus tardif : 65 ans au Canada, 67 ans aux Pays-Bas et en Australie. Résultat : les dépenses dédiées aux pensions s’élevaient respectivement à 5 % du PIB au Canada et aux Pays-Bas, 4,3 % du PIB en Australie, contre 14,4 % du PIB en France en 2019. Au sein de l’UE, la France fait partie des pays dont la part des dépenses de pensions dans le PIB est la plus élevée.

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  52. À cela s’ajoute un sujet dont on ne parle pas ou très peu : la retraite des fonctionnaires que l’État prend en charge en payant des cotisations fictives, tant elles sont supérieures à celles du privé (27,9 %). Elles sont de 74,28 % pour les fonctionnaires civils de l’État et de 126,07 % pour les militaires. L’État a aussi versé 3,97 milliards d’euros de cotisations employeurs à l’Ircantec en 2023 pour financer les pensions de ses agents contractuels.

    L’écrasante majorité des fonctionnaires ne cotise pas au système de retraite, mais une part significative (4,4 millions d’agents publics actifs) profite de la capitalisation à travers le régime additionnel de la fonction publique (RAFP) et cotise à hauteur de 5 % du montant de leurs primes chaque mois. Il existe également des régimes propres au Sénat et à la Banque de France. Pour quelle raison mystérieuse les Français ne pourraient-ils pas en bénéficier ?

    La capitalisation, seule issue possible

    Pour améliorer l’équilibre de notre budget, certains proposent de supprimer l’abattement fiscal de 10 % dont bénéficient les pensions (gain de 4,6 milliards d’euros par an), d’annuler l’écart de taux de CSG entre actifs et retraités, ou encore de désindexer les retraites sur l’inflation (gain de 3 milliards d’euros par an). Ces mesures permettent certes d’augmenter les ressources de l’État, mais elles ne corrigent pas le grave déséquilibre de nos régimes de retraite que la baisse démographique va aggraver significativement dans les prochaines années.

    Alors, quelle solution ? Dans les pays qui ont intégré une part de capitalisation dans leur système de retraite, le taux de rendement (rapport entre le montant des cotisations versées et les pensions perçues) est en moyenne supérieur à 3 % : 2,8 % en Suisse, 3,1 % aux Pays-Bas, 3,3 % au Danemark, 4 % en Australie, 4,1 % au Canada… Comme le think tank IREF l’a démontré dans une étude, la capitalisation permettrait de réduire les cotisations, tout en augmentant significativement les pensions : un salarié pourrait obtenir une pension mensuelle équivalent à 86,5 % de son dernier salaire et 101 % de son salaire moyen sur toute sa carrière, après avoir cotisé 15 % sur ses salaires au lieu des 28 % qui sont prélevés actuellement sur les salaires bruts. C’est ce que l’on observe au Danemark et aux Pays-Bas : l’effort financier des cotisants est inférieur de 30 % à celui des Français, alors que les rendements sont supérieurs de 30 % pour les revenus moyens.

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  53. Les Français paient deux fois plus pour recevoir moins, alors que d’autres pays offrent de meilleures retraites avec moins de cotisations. C’est pourquoi la capitalisation est la seule voie crédible pour sauver les retraites françaises et restaurer l’équité entre générations.

    https://contrepoints.org/retraites-est-ce-la-faute-des-boomers/

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  54. « La politique, c'est Hollywood pour les moches ? »*


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 06 octobre 2025 - 10:23


    Résumé pour les pressés : en 2018, l'écrivain William Boyd lâchait dans le Nouvel Obs, sur fond de Brexit : « La politique, c'est le show-business des gens moches. » Sept ans plus tard, c'est pire : un Hollywood républicain où l'apparence prime sur l'action, et où nos élites se pavanent aux frais du contribuable. Brigitte Macron en guest star à la Fashion Week, Rachida Dati en Dior sur les marches de Cannes, Anne Hidalgo et ses 84 000 € de fringues Dior payés par nos impôts – pendant que les artistes crèvent la dalle et que Paris s'effondre. À l'international, Trudeau et Ardern, lissés comme des acteurs, cachent des scandales sous leur vernis ; Zelensky passe du piano avec l'appendice aux milliards de guerre ; von der Leyen, non élue, dépense des fortunes UE en mode diva intouchable.

    Tout est façade : Macron a investi la presse people pour charmer les 30 % d'indécis qui votent au physique, feuilletant Voici chez le coiffeur. Résultat ? Des jeunes politiciens obsédés par le look, un gouvernement Lecornu recyclé ce 5 octobre 2025 comme un remake foireux qui n'aura pas tenu 24h puisqu'il vient de démissioner (« on prend les mêmes et on recommence ! »), et une confiance en chute libre – 70 % des Français voient la corruption partout.

    Boyd avait raison : tout n'est qu'illusion, comme ces dîners d'État à 5 000 € la tête ou l’efficacité du vaccin covid vendue aux Français. Aux jeunes, on vend du TikTok en costard, pas du sens. Il est temps d'éteindre les projecteurs : sobriété, transparence, sanctions. Sinon, qu'ils paient leur ticket VIP. Fin du show.

    * * * Edito * * *

    Ah, la politique ! Ce grand théâtre des illusions où les projecteurs crachent leur lumière factice sur des acteurs qui, soyons honnêtes, n'ont pas grand-chose à envier aux stars de Hollywood en termes de charisme ou de talent. Non, la politique, c'est Hollywood : un monde où l'on vend du rêve sans scénario potable, où la peopolisation – ce mélange toxique de people magazine et de pouvoir public – a envahi la scène comme une brume californienne. Cette formule culte (*), popularisée en français par l'écrivain britannique William Boyd lors d'une interview accordée au Nouvel Obs en 2018, à l'occasion de la promotion de son roman L'Amour est aveugle, résonne avec une ironie mordante sur fond de Brexit : « La politique, c'est le show-business des gens moches. » Boyd, avec son œil acéré, pointait du doigt un monde où tout n'est qu'apparence, une façade glamour masquant le vide.

    Justin Trudeau ou Jacinda Ardern : la politique les a rendus beaux, lissés par les filtres des caméras et les discours ciselés, mais sous le vernis ? Des scandales éthiques, des politiques laxistes sur l'immigration ou la gestion de crise qui masquent une incompétence crasse – Trudeau avec ses blackface et ses promesses vides, Arden avec son départ en fanfare laissant un pays divisé. La beauté politique n'est qu'un maquillage pour cacher les laids du dedans. Et pendant que les vrais citoyens triment pour boucler leurs fins de mois, nos élus se pavanent, se costument et dépensent sans compter, aux frais de la princesse. Ou plutôt, à ceux du contribuable. C'est écœurant, franchement : des salaires grassouillets – jusqu'à 90 000 euros annuels pour une maire comme Anne Hidalgo, sans compter les indemnités – et pourtant, ces mêmes qui se gargarisent de « service public » pillent les caisses communes comme si c'était leur tirelire personnelle.

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  55. Des politiques en tenue de Gala

    Et c'est précisément pour cela qu’Emmanuel Macron a tant investi dans la presse people : traité comme un jeune premier de cinéma dès 2017, avec des couvertures flatteuses dans Paris Match ou Voici, c'est une stratégie délibérée, car on sait que 30 % des électeurs indécis se décident souvent la veille de l'élection, en feuilletant un magazine people chez le coiffeur plutôt qu'en scrutant les programmes. Ces 30 % votent au physique, au charisme filtré, et non aux idées – une élection gagnée sur l'écran plutôt que dans l'isoloir.

    Regardez Brigitte Macron, notre Première Dame autoproclamée en icône mode. À peine la Fashion Week de Paris s'ouvre-t-elle que la voilà, quittant le défilé Louis Vuitton avec l'aisance d'un « top model » en pause cigarette, ou siégeant au premier rang du show Dior aux côtés de Carla Bruni, toutes deux drapées dans du denim chic comme si elles défilaient elles-mêmes. Ce n'est pas une Première Dame en mission diplomatique ; c'est une guest star qui pose pour les photographes, transformant l'Élysée en backstages de podium. Et nous, on paie l'addition pour ces apparitions grandioses, parce que, rappelez-vous, le glamour a un coût public.

    Pire encore, cette peopolisation s'infiltre jusqu'aux couloirs du pouvoir. Prenez Rachida Dati, ministre de la Culture qui semble avoir confondu son portefeuille avec un pass VIP pour les tapis rouges. À Cannes 2025, la voilà en fourreau blanc Dior, montant les marches avec un éclat hollywoodien, embrassant Carla Bruni sous les flashs comme si elle auditionnait pour un remake de « La La Land ». Glamour assumé, certes, mais à quel prix ? Ces sorties people ne sont pas gratuites : voyages, tenues, hôtels – tout cela flotte sur un nuage de frais de représentation opaques, financés par nos impôts. Et pendant ce temps, les vrais artistes, ceux qui galèrent dans les théâtres de banlieue, attendent des subventions qui ne viennent jamais. Quant au « magot » du cinéma français, ce trésor de plus de 700 millions d'euros annuels géré par le CNC – taxes sur les salles, la TV, le streaming –, où est-il passé ? Distribués à foison à centaines de millions, par Dominique Boutannat un proche d’Emmanuel Macron, puis engloutis pendant la crise Covid (1,4 milliard dont les retours sont difficilement visibles), ces fonds publics servent-ils vraiment à faire du bon cinéma, ou à financer les caprices d'une élite qui se rêve en productrice ? L'opacité règne, et on nous serine que c'est « normal ». Normal ? Pour qui ?

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  56. Hidalgo

    Quant à Anne Hidalgo, la maire de Paris qui règne sur la capitale comme une diva capricieuse, son cas est l'illustration parfaite de cette dérive – et le plus écœurant. Notes de frais refusées à la transparence pour la troisième fois depuis 2014, dépenses somptuaires pour des vêtements chez Dior ou ailleurs (84 000 euros rien que pour des fringues entre 2020 et 2024 !), et des voyages qui sentent la proximité avec la jet set plus que le métro bondé (125 000 euros pour les déplacements sur la même période). Tout cela aux frais des contribuables, bien sûr, alors qu'elle perçoit un salaire princier pour « servir » la ville. Elle porte même plainte pour « dénonciation calomnieuse » quand on ose gratter sous le vernis, comme si révéler ces folies était un crime contre sa majesté ou même l'humanité. Et nous, Parisiens ou non, on avale la pilule : des millions pour des caprices princiers ou vestimentaires, pendant que les trottoirs de la Ville Lumière craquellent et que les factures d'électricité explosent. Faut-il être beau pour être un bon politique ? se demande-t-on, ironique, en pensant à ces maires socialistes comme Éric Lejoindre, qui s'offrent des dîners étoilés, des soins de beauté et des fringues sur fonds publics (plus de 35 000 euros remboursés en quatre ans). Légal, disent-ils. Mais moral ? Zéro pointé.

    Gérard Larcher au petit déjeuner

    Quasimodo ne fait plus recette : avant, des figures comme Gérard Larcher ou François Bayrou passaient inaperçus avec leurs physiques ordinaires ou « peu avantageux », sans que quiconque ne s'en offusque. Aujourd'hui, on dissèque la bedaine de Bayrou, un « Pretty Old Man », qui un temps s’est pris au jeu de la comparaison à Richard Gere, comme un symbole flagrant d'abus de position, un embonpoint nourri à nos frais plutôt qu'à la sueur du front.

    Pretty Old Man ?

    Avec la télé-réalité et l'infofiction qui colonisent nos écrans, on ne tolère plus que des beaux visages : les médias ne montrent que ça, polissant les aspérités pour vendre du rêve lisse, reléguant les « moches » au rang de figurants oubliés. Voilà ce qu'on propose comme idée de la politique aux jeunes : aujourd'hui, il suffit de regarder les jeunes politiciens pour voir que, dans leur esprit, le physique est la meilleure arme pour récolter des votes – on n'a rien d'autre à leur offrir que d'être des acteurs sur un plateau télé, des influenceurs en costard plutôt que des bâtisseurs d'avenir.

    Mais le summum de cette farce ne serait-ce pas les dîners d'État, ces bacchanales républicaines où nos élus se croient aux Oscars.

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  57. Le fameux souper de Versailles sous Macron, évalué à plus d'un million d'euros pour 200 invités – soit 5 000 euros par tête, champagne et caviar inclus, tout droit sorti des poches des contribuables. Ou les frais de bouche de l'Élysée qui ont flambé à 1,3 million en 2023, grâce à des rénovations gastronomiques que seuls les palais impériaux mériteraient. Ils y vont en smokings taillés sur mesure, toasts à la main, croyant négocier des traités internationaux entre deux coupes de Dom Pérignon. Mais non : ce ne sont pas des stars vendant du rêve sur grand écran. Ce sont des citoyens – ou du moins, ils l'étaient – censés servir la nation, pas se servir sur son dos, à l'image d'acteurs recyclés en politiciens : Ronald Reagan, le cow-boy d'Hollywood devenu président, ou Volodymyr Zelensky, l'humoriste qui jouait du piano avec son appendice dans des sketches grivois avant de se muer en héros de guerre. Du rire potache aux bunkers de Kiev, au milliards demandés pour la guerre, le passage est sans couture, mais le talent pour gouverner ? Discutable.

    Le diner des con-descendants à Versailles

    Et regardez du côté de Bruxelles : Ursula von der Leyen, cette présidente de la Commission européenne non élue au suffrage direct, se la joue chef d'État en cheffe, dépensant sans compter et outrepassant allègrement ses prérogatives. Budgets UE pharaoniques (2 000 milliards pour 2028-2034, rien que ça !), plans de défense qui contournent le Parlement pour des prêts de 150 milliards, initiatives unilatérales sur l'Ukraine qui font grincer des dents les diplomates – et une motion de censure rejetée de justesse en juillet 2025, pour cause de scandales consultants, des sms habilement « disparus ou perdus » et dépenses opaques sur les contrats mirobolants des vaccins covid (35milliards). Elle somme les États de gonfler leurs budgets militaires, comme si elle était au-dessus des lois. Non élue, mais intouchable : voilà le star system européen en action.

    Les budgets de l'UE, de la Ville de Paris ou du ministère de la Culture ? Ils éclipsent allègrement certaines productions hollywoodiennes – des centaines de millions pour le CNC seul, contre des blockbusters à 200 millions de dollars. Et pour quelques dollars de plus, nos politiques se prennent au jeu : tapis rouges, jets privés, robes de gala, certains allant même jusqu’à acheter de la drogue avec leurs indemnités parlementaires.

    Mais où est la ligne rouge ? Enfreindre les règles de bienséance ? C'est le minimum. Déontologie, civisme, respect des lignes rouges ? Jetés aux orties. Ces pratiques ne sont pas de simples écarts de goût ; elles relèvent de qualifications pénales claires : abus de biens sociaux, détournement de fonds publics, voire escroquerie au jugement quand on résiste à donner les notes de frais. Imaginez un PDG d'entreprise qui rembourse ses tailleurs italiens sur les notes de frais de la boîte, ou un salarié qui charge ses dîners people sur la carte pro : le fisc le rattraperait en deux temps trois mouvements, avec redressement, amendes et peut-être un passage au tribunal. Mais pour nos élites ? Une polémique éphémère, un tweet de défense, et on passe à autre chose. Et les journalistes, ces complices involontaires du cirque ? Ils s'extasient sur les apparitions « stariennes » de Dati à Cannes ou de von der Leyen en grande prêtresse de Bruxelles, omettant piteusement les infos cruciales pour les citoyens : les plaintes pour corruption, les outrepassements budgétaires, les motions de censure qui frôlent l'implosion. Priorités inversées, comme d'hab.

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  58. Au fond, comme le lieutenant Colombo dans ses interrogatoires les plus vicieuses « Une petite question, juste une... Vous servez vraiment l'intérêt des citoyens, ou c'est juste pour le costume ? Et cette faute-là, elle vaut combien en prison ferme ? » –, on se demande : ces gens-là, avec leurs fourberies qui rivalisent avec les mensonges dans un spectacle tartuffien absolu, commettent-ils d'autres crimes que le vol à l'arraché de notre confiance ?

    Prenez le ministre de la Santé – ou ce qui en tient lieu, via le ministère de la Culture – qui ose déclarer que lire France-Soir serait « dangereux pour la santé ». Sérieux ? Alors que les vrais poisons sont ces gaspillages, ces mensonges budgétaires, ces caprices people qui ruinent la nation ? Elle se trompe de cible, ou plutôt, elle vise juste : c'est le prix à payer pour avoir osé critiquer, à juste titre, ces dérives d'une classe politique qui confond Élysée et Oscars, Parlement et podium avec le réel intérêt des citoyens et le devoir qui leur a été conféré. Il y a de quoi écœurer, oui. Profondément. Quand je vois ces pantomimes glamour, je pense à la caissière qui calcule son budget courses au centime près, au prof qui renonce à un week-end pour payer l'électricité, au retraité qui hésite devant le ticket de métro. Eux paient leurs factures tous les mois, rubis sur l'ongle, pendant que nos « représentants » transforment la République en clap de tournage. Résultats au box office politique ? Une baisse importante de la confiance avec 70 % des Français qui estiment qu’aucune personnalité politique actuelle n’incarne un avenir positif pour la France et que la corruption est trop présente en France.

    L'annonce du gouvernement Lecornu ce 5 octobre 2025 en est la preuve flagrante : un grand recyclage, on prend les mêmes acteurs et on recommence, avec des reconductions en cascade qui sentent le remake forcé plutôt que la rupture nécessaire – Bruno Le Maire aux Armées, Roland Lescure à Bercy, et tant d'autres qui reviennent en scène comme si rien n'avait changé. Hier je m'étais amuser à jouer les madame Irma en voyant que Macron nomerait Olivier Faure « immédiatement après que Lecornu aura été censuré ». Et censuré, il l'a été immédiatement. Dans la foulée de l'annonce des membres du gouvernement, Bruno Retailleau déclarait que la rupture n'était pas comme convenue et convoquait un bureau stratégique et le RN déclarait qu'il censurerait Lecornu ! Une censure de fait, par ses pairs ministres, qui mène à la démission de Lecornu. Il devient ainsi le premier ministre le plus éphémère de la cinquième république. Le balai des prétendants reprend avec en ligne de mire article 16, dissolution ou démission.

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  59. The show

    Comme m'explique une personne qui connait bien l'univers politique : « Le star system politique commence à en gonfler plus d’un… là on est dans le ridicule. C’est Tik tok en permanence. Et c’est #nicolasetmoiquipayent ! » Elle n'a pas tort quand on sait que le décret de nomination du gouvernement leur permet de bénéficier de leurs avantages d'anciens ministres !

    Il est temps de baisser le rideau sur ce « Hollywood pour les mauvais, les moches ou les médiocres ». Exigeons la sobriété, la transparence, la sanction.

    Parce que le vrai scandale, ce n'est pas le tapis rouge ; c'est qu'on le déroule encore pour eux.

    Et la prochaine fois, qu'ils paient l'entrée.

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/la-politique-c-est-hollywood-pour-les-moches

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    1. NON N! ON NE PAIE PAS ! C'est le contribuable qui est volé. Il 'contribue' non pas par désir mais sous la coupe du couteau sous la gorge. Il est l'otage de la dictature.
      C'est la différence entre le Peuple et le journaliste.

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  60. Démission de Lecornu : les banques dévissent, l'euro dégringole, l'or s'envole


    France-Soir avec AFP
    le 06 octobre 2025 - 12:30


    L'annonce de la démission du Premier ministre français Sébastien Lecornu lundi a fait fortement chuter le cours des banques françaises à la Bourse de Paris, très sensibles au risque sur la dette française.

    BNP Paribas (-4,45 % vers 12H00), la Société Générale (-5,85 %) et le Crédit Agricole (-4,25 %) ont immédiatement plongé après l'annonce, survenue peu après l'ouverture de la Bourse.

    Quant à l'euro, il dégringole avec l'annonce de cette démission, qui renforce la crise politique en France et alimente le risque d'une dégradation de la note du pays sur le marché obligataire.

    L'once d'or, elle, ne fait que se renforcer, approchant à vive allure la barre des 4000 $, battant un nouveau record à 3 949 $.

    Vers 11H05 à Paris (09H05 GMT), la monnaie unique perdait 0,63 % face au dollar, à 1,1688 dollar pour un euro.

    Le locataire de Matignon, nommé le 9 septembre, qui devait tenir son premier Conseil des ministres à la tête du gouvernement plus tard dans la journée lundi, s'est rendu aux premières heures de la matinée à l'Élysée pour remettre sa démission au président Emmanuel Macron, qui l'a acceptée, selon un communiqué de l'Élysée.

    Cette démission plonge la France dans une crise politique sans précédent depuis des décennies.

    Ce départ "montre clairement à quel point la fracture au sein du Parlement rend presque impossible l'adoption d'un budget visant à réduire le déficit", a souligné Jack Allen-Reynolds, analyste de Capital Economics.

    "Si on avait encore des interrogations sur la dégradation de la note française par les agences de notation, désormais on n'a plus de doute", a dit à l'AFP John Plassard, analyste de Cité Gestion Private Bank.

    Le risque qui pèse sur la France est de devoir emprunter à des taux encore plus élevés. "Le manque de confiance" des investisseurs pèse aussi sur les perspectives économiques de l'Hexagone, a ajouté M. Plassard.

    https://www.francesoir.fr/politique-france/demission-de-lecornu-les-banques-francaises-devissent-en-bourse

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    1. Nommé par un cadavre sans tête il se présente aux ministres devant lui ! HOULALA !

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  61. Bulgarie : l'UE couvre une fraude électorale ! Le gouvernement est-il illégalement en fonction ?


    03.10.2025
    www.kla.tv/39023


    Lors des dernières élections législatives en Bulgarie, le 27 octobre 2024, une fraude électorale scandaleuse s'est produite, qui pourrait ébranler les fondements de toute l'Union européenne. C'est la conclusion d'une enquête d'investigation menée par Kla.tv, qui s'appuie sur des témoignages et des documents filmés publiés :

    Pour entrer au Parlement en Bulgarie, un parti doit obtenir 4 % des suffrages exprimés. Après le dépouillement, le parti d'opposition Velichie a obtenu 3,999% des voix. Le parti Velichie n'a donc pas atteint le pourcentage de voix requis de 4 % et n'a pas pu entrer au nouveau Parlement bulgare.

    [Informations télévisées bulgares :] Il manquait 29 voix à Velichie pour entrer au Parlement. Et le parti reste définitivement en dehors de l'Assemblée nationale.

    La tête de liste du parti Velichie, Ivelin Mihaylov, témoigne que le résultat de 3,999 % lui avait déjà été annoncé AVANT la fin du dépouillement lors d'une conversation confidentielle :
    "Pendant ce temps, entre 11h00 et 17h30, j'ai reçu un appel téléphonique avec une offre de 100 millions d'euros pour être subordonné à Delyan Peevski. 100 millions d'euros, ou si je refusais, le parti ne passerait pas, il obtiendrait 3,99 %, et ce qui se passerait, c'est que je serais arrêté... J'ai même eu un communiqué de presse avant la fin du dépouillement, parce que pendant le dépouillement, il semblait que Velicje allait passer. J'ai reçu des appels de plusieurs chaînes de télévision me demandant un commentaire et j'ai dit que non, Velicje ne passerait pas parce que j'avais refusé cette offre de pot-de-vin. Et à 17h30, le résultat final était connu. Le dépouillement a duré 6 heures et demie, si bien qu'il a manqué 21 voix à Velicje pour entrer à l'Assemblée nationale. Pour démontrer leur force et montrer qu'ils ont pu organiser le vote à une voix près comme ils le souhaitaient, le score était alors de 3,999 %."

    Manifestement, le gouvernement bulgare actuel ne recule devant aucun moyen pour corrompre les véritables opposants ou les menacer de la manière la plus massive qui soit ! Pourtant, la déclaration de Mihaylov ne serait que la pointe de l'iceberg d'un gigantesque marécage de fraudes !
    Pour dénoncer cette fraude électorale du gouvernement corrompu, le parti d'opposition Velichie, ainsi que d'autres députés du précédent parlement bulgare, ont déposé un recours contre les résultats devant la Cour constitutionnelle bulgare. Sur la base de témoignages crédibles et de films, Velichie a pu mettre en lumière la fraude électorale devant le tribunal. Parmi une multitude de vidéos de preuves et de témoignages publiés sur différents sites web, nous ne montrons ici que quelques exemples.

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  62. Les trois vidéos suivantes sont des enregistrements de caméras de surveillance officielles qui doivent être installées dans les isoloirs conformément à la loi bulgare. Au moment de l'enregistrement vidéo, le vote était déjà terminé, les bureaux de vote étaient fermés aux citoyens et le dépouillement des votes était en cours. Pour comprendre la fraude, la remarque préliminaire suivante est importante : En Bulgarie, chaque bulletin de vote doit être tamponné par le superviseur électoral sous les yeux de l'électeur et un coin du bulletin doit être coupé ou déchiré. C'est une condition préalable pour que le vote soit considéré comme valide.

    [Vidéo 1]

    Dans cette vidéo, on voit un membre du personnel électoral arracher des coins de bulletins de vote pendant le dépouillement. Pourquoi aucun des autres membres du personnel électoral ne dénonce-t-il cette fraude évidente ? L'ensemble de l'équipe électorale semble participer à la corruption.

    [Vidéo 2]

    Dans ce bureau de vote, on fait d'abord passer discrètement un tampon, puis une paire de ciseaux. Répétons-le encore une fois : Les bulletins de vote ne doivent jamais être tamponnés ou coupés après coup pendant le dépouillement ! Et cela se fait même par piles ici, il y a donc une fraude massive ! Ensuite, on voit comment les bulletins de vote sont froissés et même, à la fin, jetés par piles dans la corbeille à papier.

    [Vidéo 3]

    L'enregistrement suivant est particulièrement explosif, car la répartition des voix est discutée ouvertement pendant le dépouillement. Apparemment, certains partis peuvent même espérer obtenir des voix.

    [Agent électoral 1] : "Qu'est-ce que tu calcules dans le noir ?"
    [Agent électoral 2] : "Ceux du GERB me demandent plus 25".
    [Agent électoral 1] : "Aha, ils veulent..."
    [Agent électoral 2] : "Ils veulent 7 [pour ITN], 12 [pour Wasraschdane], 18 [pour GERB], 26 [pour PPDB], 28 [pour BSP], 8 [pour DPS]".

    La Cour constitutionnelle bulgare a dû reconnaître la fraude électorale, si bien que Velichie est entré au Parlement avec dix députés après l'annonce du jugement le 13 mars 2025. Le tribunal n'a contrôlé qu'environ 15 % des isoloirs selon le principe de l'échantillonnage. Ce qui reste scandaleux dans ce jugement, c'est que le tribunal n'a pas autorisé une vérification ou un recomptage dans tous les isoloirs. Ainsi, l'ampleur réelle de la fraude électorale reste encore obscure. Ivelin Mihaylov a fait les commentaires suivants à ce sujet :

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  63. "Velichie aurait obtenu deux ou trois fois plus de voix, car j'avais moi-même reçu des informations pendant le vote de la part des agences d'étude sociologique qui étudiaient les résultats. Et nous avons d'abord eu un score très élevé. Ensuite, nous avons aussi dans les services d'information nos sympathisants qui nous ont dit qu'une fois, vers 15h30, ils nous ont pris des voix et la deuxième fois, cette personne du service d'information a dit : "Je n'ai jamais vu une réduction aussi brutale, où l'on nous a retiré au moins 150 000 voix".

    L'arrêt de la Cour du 13 mars 2025 a logiquement modifié la composition du Parlement bulgare. Cependant, le Premier ministre et le Conseil des ministres n'ont été élus qu'avec une majorité de 8 voix, celles de députés qui n'avaient pas été élus légalement, et qui ont perdu leur mandat après le jugement. Lors d'une conférence de presse, Mihaylov a donc souligné l'illégitimité du gouvernement élu :

    "Hier, nous avons mené une enquête pour déterminer combien de députés dont l'élection a été jugée illégale par la Cour constitutionnelle ont participé à l'élection du Premier ministre et du Conseil des ministres. Et il s'est avéré que huit députés ont participé à l'élection du Premier ministre. Nous les avons nommés. Alexander Markov, Andrej Valchev, Emil Trifonov, Eshrev Eshrev, Ivan Kyuchukov, Pavlin Yotov, Temenushka Petkova. Si nous retirons ces huit députés de l'élection du Conseil des ministres et du Premier ministre, il s'avère que la majorité requise pour l'élection de ce gouvernement n'existe pas, ce qui rend illégales toutes ses décisions prises après le 16 janvier 2025, et nous entamerons des consultations avec d'autres partis afin de demander à la Cour constitutionnelle d'annuler les décisions du Conseil des ministres, car elles sont illégales. Cela peut être observé dans la pratique lorsque nous concluons une transaction et qu'il s'avère que la transaction précédente était frauduleuse d'une manière ou d'une autre, que quelque chose ne s'est pas déroulé correctement, que la personne qui a conclu la dernière transaction perd tous ses droits ou qu'après l'irrégularité, toutes les actions ultérieures sont illégales. Il en va de même pour l'élection de l'Assemblée nationale et du Premier ministre : Si nous avons des députés élus illégalement et qu'ils ont participé à une décision aussi importante, cela signifie que l'Assemblée nationale et le Conseil des ministres sont illégitimes et que tous leurs actes devraient être illégitimes depuis lors."

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  64. Après la décision du tribunal, Velichie a également remis les documents relatifs à la fraude électorale à l'UE à Bruxelles, protestant ainsi contre la fraude électorale avérée. A ce jour, la Commission européenne, dirigée par Ursula von der Leyen, n'a toutefois pas réagi à ce scandale de fraude électorale en Bulgarie, pays membre de l'UE. Au contraire, Ursula von der Leyen continue d'embrasser et de serrer dans ses bras l'ancien chef du gouvernement bulgare Boyko Borisov, qui continue de tirer les ficelles du parti au pouvoir dans l'ombre. Ce scandale en Bulgarie soulève de graves questions en ce qui concerne la Commission européenne à Bruxelles et sa présidente Ursula von der Leyen :

    Alors qu'elle a sanctionné les gouvernements critiques envers l'UE de Hongrie et de Pologne par une procédure dite « procédure relative à l'État de droit », la Bulgarie n'a même pas été menacée d'une telle procédure. Pourquoi Ursula von der Leyen ne réagit-elle pas à la fraude électorale avérée et aux accusations de corruption qui y sont liées ?
    En Roumanie, pays voisin de la Bulgarie, les élections ont été annulées et les candidats qui auraient des chances de gagner n'ont pas été admis. L'UE exerce-t-elle une influence massive sur les élections dans les États membres afin que seuls les candidats favorables à l'UE puissent former un gouvernement ? Et même l’UE ne souhaite-t-elle pas des chefs de gouvernement européens corrompus et élus frauduleusement pour pouvoir exercer sur eux une influence considérable, voire les faire chanter ?

    Le fait que les médias du système bulgare, financés par le gouvernement, n'aient pas condamné avec la plus grande fermeté cette fraude électorale révélée montre qu'il ne peut s'agir de médias libres et indépendants ! Manifestement, les médias bulgares du système couvrent la corruption et la fraude et empêchent ainsi qu'elles soient découvertes !

    Chers téléspectateurs, vous voulez agir et faire quelque chose contre la corruption et la fraude électorale ? Aidez-nous à mettre ce scandale en lumière en transmettant ce documentaire à vos amis et connaissances. Montrez ainsi un carton rouge à ceux qui tirent les ficelles sans scrupules ! Merci de votre contribution pour que la corruption et la fraude électorale soient balayées de notre société ! Et pas seulement en Bulgarie.

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  65. de svw.
    Sources/Liens :
    Le résultat des élections du 27 octobre 2025
    https://results.cik.bg/pe202410/rezultati/index.html

    Le résultat électoral corrigé du Parlement après la décision judiciaire
    https://www.parliament.bg/bg/electionassembly51

    La décision judiciaire
    https://www.constcourt.bg/bg/act-10083

    Documents et enregistrements vidéo prouvant la fraude électorale
    https://wallofshame.velichie.bg/regions

    https://app.velichie.bg/pe-202410-map/

    https://www.youtube.com/watch?v=84yTFixZu3g

    Déclaration d'Ivelin Mihaylov sur l'illégitimité du gouvernement
    https://www.youtube.com/watch?v=HtLkcrUir9I

    Procédure de l'UE relative à l'État de droit
    https://osteuropa.lpb-bw.de/rechtsstaatsmechanismus-artikel-7-verfahren

    https://danielfreund.eu/hintergrund-rechtsstaatsstrafen-fuer-polen-und-ungarn/

    https://www1.kla.tv/fr

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  66. Avec ses 850 dollars l'once d'or en 1980, et ses 3848,61 $ aujourd'hui l'on pourrait penser que le prix augmente (sans tenir compte de l'inflation !), mais (car il y a un 'mais'), son prix listé dans les Matières Premières (comme le sont les pétrole, fer, blé et même... jus d'oranges !) est fixé deux fois par jour par un 'bureau' qui ne tient pas compte des transactions mais qu'il l'établit 'à la tête du client' !
    Avec çà tu vas loin !

    Le volume sorti (extrait du sol) depuis toujours représente au monde un cube d'environ 21,50 m d’arête. Donc, comme il est rare, il devrait valoir 100 fois ou 1000 fois plus qu'aujourd'hui. Mais le mal a été fait. Il ne peut revenir à son prix honnête ! (Vous ne sortiriez plus de chez vous avec une bague en or ! ou des boucles d'oreilles, colliers ou bracelets !).

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Relations personnelles avec l'IA : des conséquences fatales

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