Par pgibertie
le 21 décembre 2025
L'objectif du projet ARMAGUEDON est de combler le manque de connaissances sur le rat brun en ville. Pour cela, nous proposons une nouvelle approche combinant écologie urbaine, génomique, parasitologie, microbiologie et perception sociale afin d’étudier les populations de rat brun dans la ville de Paris, d’identifier les pathogènes et les vecteurs que le rat peut porter et d’évaluer l'impact que les pathogènes associés au rat pourraient avoir sur la santé publique. Notre objectif final est d'offrir de nouvelles connaissances biologiques, comportementales et historiques ainsi que des solutions pratiques pour améliorer la gestion des populations de rat dans les villes. La collaboration interdisciplinaire entre scientifiques et administrateurs urbains structurera un programme intégré de gestion des rats, développant ainsi de nouvelles options pour le contrôle des populations de rats et pour une meilleure perception sociale du rat dans la société.
RS2GP Rongeurs Sauvages, Risques Sanitaires et Gestion des Populations
IP Institut Pasteur - Unité de Recherche et d'Expertise Environnement et risques infectieux
MNHN- ISYEB Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité
GRIPIC Groupe de recherche interdisciplinaire sur les processus d'information et de communication
Aide de l'ANR 376 768 euros
Début et durée du projet scientifique : février 2021 -
Il existe bien un projet financé par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) appelé ARMAGUEDON (lancé en 2021, durée environ 4 ans), qui étudie les rats bruns à Paris de manière interdisciplinaire : écologie urbaine, génomique, épidémiologie, et aussi un volet social sur les perceptions et préjugés des Parisiens envers les rats.
L'objectif global est une meilleure gestion des populations de rats en ville (contrôle plus efficace, réduction des risques sanitaires comme les zoonoses), et un des sous-objectifs est d'améliorer la cohabitation en comprenant pourquoi les rats sont si détestés et en travaillant sur une "meilleure perception sociale du rat". Des enquêtes auprès des habitants ont été menées pour identifier les préjugés, et il y a des analyses de représentations dans la littérature jeunesse ou les BD (où les rats sont parfois montrés de manière plus réaliste ou positive).
Lors de ce Conseil de Paris, la droite parisienne a encore sévi sur le sujet des rats. Geoffroy Boulard, Maire du 17ème arrondissement et membre du groupe Changer Paris, bien connu pour agiter la prétendue inaction de la Mairie de Paris pour limiter les populations de rats (alors que des pièges sont disposés dans tout Paris), a déposé un vœu remettant en question le projet de recherche “Armaguedon”. Cette étude, menée par le Muséum d’Histoire Naturelle, l’Institut Pasteur, Vetagro Sup et Sorbonne Université en collaboration avec la Ville de Paris, se donne plusieurs objectifs dont l’un d’entre eux est de “lutter contre les préjugés pour aider les Parisiens à mieux cohabiter avec les rats”.
Considérant les rumeurs farfelues colportées sur les rats (nombre de rats à Paris, risque sanitaire extrêmement élevé voire majeur…), cet objectif n’a rien de loufoque. Les rats sont présents à Paris, comme dans toutes les grandes villes de France, la question de la cohabitation se pose donc nécessairement. Chez PAZ, quand nous parlons de “cohabitation pacifique” avec les rats, cela ne signifie pas vivre avec eux dans nos maisons et nos appartements, mais faire en sorte que ces animaux ne souffrent pas ET que nous ne soyons pas dérangés. Encore une fois, c’est un objectif très raisonnable !
Pour justifier son vœu, Geoffroy Boulard, rappelle le communiqué alarmiste de l’Académie de médecine sur les rats : il est temps de jeter ce communiqué à la poubelle. PAZ y a répondu il y a plusieurs mois : le texte est un condensé d’approximations non sourcées ou avec des sources qui n’ont pas de rapport avec le propos. On ne mène pas des politiques publiques en attisant des peurs irrationnelles loin de toute rigueur scientifique comme le fait l’Académie de médecine, mais en s’intéressant et en soutenant des recherches sérieuses comme le projet “Armaguedon” ou des études internationales telles que celles évoquées dans le documentaire d’ARTE diffusé en février 2023.
. L’Institut Pasteur n’est pas impliqué dans la partie “préjugés” ou “image sympathique”, qui relève plutôt du GRIPIC Celsa Sorbonne
présentation de Virginie Sauvage (Institut Pasteur, Paris) lors des JSRAT2025 (6 février 2025) portait précisément sur le bilan des agents pathogènes détectés chez le rat brun (Rattus norvegicus) dans plusieurs grandes villes de France métropolitaine.Bien que les résultats détaillés complets du projet ARMAGUEDON (et de cette partie épidémiologique) ne soient pas encore pleinement publiés au public fin 2025 (les analyses et publications scientifiques sont en cours, comme indiqué dans les chroniques post-conférence du MNHN), voici ce qui est connu ou transparaît des travaux associés de l'Institut Pasteur et d'études similaires sur les rats urbains en France :Agents pathogènes fréquemment détectésLes rats bruns urbains en France portent régulièrement divers pathogènes, bactériens, viraux et parasitaires. Les principaux identifiés dans des études récentes (incluant des collaborations Pasteur sur Paris et d'autres villes) incluent :
Bactéries :
Leptospira spp. (responsables de la leptospirose) : Le rat est le principal réservoir urbain. La souche Icterohaemorrhagiae est particulièrement virulente. Présente dans l'urine des rats, elle contamine l'eau et les sols humides. Risque zoonotique réel mais limité (quelques centaines de cas humains/an en France, surtout chez les professionnels exposés comme les égoutiers).
Francisella tularensis (tularémie).
Autres : Escherichia coli pathogènes, Staphylococcus aureus, Campylobacter, Yersinia, Clostridium difficile, et des bactéries résistantes aux antibiotiques (sentinelles d'antibiorésistance environnementale).
Virus :
Hantavirus (notamment Seoul virus, ubiquiste via le rat brun) : Cas humains rares en Europe mais sous-estimés (quelques dizaines détectés en France depuis 2012, souvent liés à des rats sauvages ou d'élevage).
Autres virus potentiels en surveillance, mais moins fréquents en contexte urbain français.
Parasites :
Vers (ex. : Hymenolepis diminuta, responsable de teniasis/hyménolépiase).
Protozoaires et autres helminthes.
Dans une étude antérieure (2017, parc francilien, collaboration Inra/VetAgro Sup/Pasteur) : jusqu'à 7-16 genres parasitaires différents, avec 88 % des rats portant au moins deux parasites.
*
2 -Effets indésirables des vaccins anti-Covid: la construction d’un tabou politico-médiatique Laurent Mucchielli
le 20 décembre 2025
par pgibertie
Laurent Mucchielli décrit le déni systématique de la part des autorités politiques, médicales et médiatiques en France, au point de devenir un tabou. Il retrace une chronologie :
Une phase initiale d’incertitudes en 2021, avec l’« affaire AstraZeneca » (thromboses) que le gouvernement aurait minimisée pour promouvoir les vaccins à ARNm (Pfizer, Moderna).
À partir de l’été 2021, avec l’instauration du passe sanitaire et l’obligation vaccinale pour certains, tout débat critique disparaît au profit d’un discours unique exaltant la sûreté et l’efficacité des vaccins ARNm, tout en diabolisant les opposants comme « anti-vax ».
« Le vaccin est sûr. Les effets indésirables graves sont extrêmement rares. On nous dit, d’après
les premières remontées, mais qui sont consolidées jour après jour, de l’ordre d’environ 1
patient pour 100 000 vaccinés » Véran dec 2020
C’était un mensonge, sauf à penser que les conseillers directs du ministre (de formation médicale
comme le ministre lui-même) ne lisent pas les revues de sciences biomédicales et sont par
conséquent incompétents. En effet, dans l’essai clinique de Pfizer publié le 10 décembre 2020,« la fréquence de tout événement systémique sévère après la première dose était de 0,9% » et que « des
événements systémiques sévères ont été rapportés chez moins de 2 % des sujets vaccinés après
l’une ou l’autre dose » (Polack et al., 2020, 210). En passant de 2 pour 100 à 1 pour 100 000,
le ministre a donc divisé la réalité connue à l’époque par deux mille…
Durant la seconde moitié de l’année 2021, à l’issue d’une active propagande imposant la
vaccination anti-Covid en la présentant comme « une prouesse scientifique » en même temps
qu’un acte fondamentalement « altruiste », et diabolisant en retour les « anti-vax », la
question des effets indésirables est donc devenue un tabou. La journaliste Christine Kelly
(Europe 1, CNews) le reconnaîtra sans détour dans une interview du 22 septembre 2024. En
réponse à la question « Vous pouvez aborder tous les sujets que vous voulez ? », elle
répondit : « Presque, les vaccins non. Ce n’est pas une question de CNews, c’est un sujet délicat,
particulièrement sensible. Je vous dis la vérité, ce sujet-là il est très très difficile de l’aborder »
Concernant les vaccins anti-Covid, il faut y insister une dernière fois tant la chose est
importante : les grands « experts » choisis par le politique, dont la parole a été omniprésente
dans le débat public durant la crise du Covid, n’y ont pas diffusé un compte rendu honnête et
impartial des connaissances scientifiques. Evoquons celui de l’infectiologue Karine Lacombe, figure féminine dominante dans les médias tout au long de la crise du Covid (et qui sera faite Chevalier de la Légion d’honneur en décembre 2020).
Du point de vue scientifique, nous savons au moins depuis octobre 2020 que les
vaccins anti-Covid à ARNm et à adénovirus n’ont pas été conçus pour empêcher la
transmission et que les essais cliniques n’ont pas été conçus pour le tester (Doschi, 2020). En
France, la HAS l’avait également dit dans ses premiers avis de février 2021. Et la représentante
de Pfizer (Janine Small, « présidente des marchés internationaux développés ») le reconnaîtra
du reste sans difficulté l’année suivante lors d’un débat organisé au Parlement européen
Cela n’empêchait pourtant pas Karine Lacombe de déclarer le contraire le 6 mai 2021 sur BFM
TV, pour justifier l’extension de la vaccination à toute la population : « On sait maintenant que
les vaccins préviennent la transmission du virus. (…) donc ça va vraiment permettre de couper
la chaîne de transmission du virus. Donc dans ce cadre-là, il faut qu’on change de paradigme.
C’est-à-dire qu’on ne va pas simplement protéger les plus faibles, mais on va protéger même
ceux qui sont les plus vecteurs de la transmission, et en particulier les adolescents ».
« On attendait les résultats des essais thérapeutiques qui ont été publiés et qui montrent une efficacité et une très bonne tolérance. Et donc bien sûr il falloir ouvrir dès 12 ans la vaccination. (…) si possible dès cet été ».
Dans ce rapport sur l’essai clinique de Pfizer sur les
adolescents, outre donc le fait qu’il n’est pas question de mesurer la transmission, on constate
en effet que les EI légers survenant dans les 7 jours après la première dose sont présents chez
86,6% des vaccinés contre 24% des non-vaccinés, que les EI systémiques survenant dans les 7
jours après la deuxième dose sont présents chez 82,4% versus 40,7% chez les non-vaccinés,
que 4 EI graves nécessitant une hospitalisation (soit 0,2% des 2 200 participants) sont survenus
dans le groupe des vaccinés contre aucun (une appendicite difficilement attribuable au vaccin
et résolue très rapidement) dans le groupe placebo (FDA, 2021, p. 24-30). En toute rigueur,
ceci ne permet pas d’affirmer que ce vaccin présentait « une très bonne tolérance » et qu’il
devait donc être administré d’urgence à la totalité des adolescents.
Un mois plus tard, les premiers cas de myocardites suite à l’injection du vaccin de Pfizer seront
décrits dans la littérature médicale (Tano et al., 2021 ; Singh et al., 2021), prélude à une longue
série de publications scientifiques
Le contrôle de l‘information, ou encore le confinement de la pensée, est devenu presque
parfait . Résultat : le 3 octobre 2023, le récemment nommé ministre de la
Santé, Aurélien Rousseau, était interviewé sur la radio publique nationale France Inter au sujet
d’une « nouvelle vague de Covid ». Il y énonça d’abord la prémisse fondamentale de
l’idéologie vaccinale que traduit l’emploi du singulier : « La vaccination c’est la prévention et
c’est le progrès tout de suite ». Puis il ajouta à propos des vaccins anti-Covid (dont une nouvelle
campagne de distribution commençait à l’approche de l’hiver), et sans que cela n’émeuve le
moins du monde les journalistes l’interviewant : « on a un vaccin, dont maintenant on a 3 ans
de recul, on sait qu’on n’a pas d’effets secondaires, et donc il faut y aller ». La messe était dite
(au propre comme au figuré), le sujet n’existerait tout simplement pas.
- voir doc sur site :
*
3 -AVANT DE PARLER DE MALADIE, DE PARALYSIE OU DE MORT IL FAUT SE DEMANDER D’OÙ ELLE VIENT !!
Serait-ce un microbe ou une poussière totalement inoffensive (appelée 'virus') extraterrestre ?
NON. Aucun des deux.
Cette poussière est-elle radioactive ?
NON !
Mais alors... D'où qu'elle vient-elle ???
C'est ce qu'on fait des scientifiques qui ont examiné les flacons de poisons injectables dès leurs sorties de laboratoires nazis.
Les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej se sont attelées à la tâche:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE
*
Grâce aux nano particules d'oxyde de graphène* injectées le corps est dévoyé, ce n'est plus votre cerveau qui commande mais les messages envoyés vers VOS nano particules qui circulent dans VOTRE sang via VOTRE téléphone portable qui se charge de la transition. VOTRE corps ne vous appartient plus ! VOUS recevez des ordres: VOUS les exécutez ! "Roulez à gauche ! Roulez à gauche ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Tuez toutes les personnes autour de vous ! Sautez par la fenêtre ! Sautez par la fenêtre !"
ET VOUS LE FEREZ !
* Ces nano particules d'oxyde de graphène ont été découvertes dès leurs sorties de laboratoires nazis par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui ont analysé les flacons injectables.
1°) A été annoncé (il y a plus de 5 ans) l'arrivée d'un nouveau virus !!
a - Un virus est le nom donné à une poussière inoffensive (sauf poussière radioactive) de format nano.
b- il n'est donc pas vivant et à ne pas confondre avec un microbe !
2°) Il n'existe pas de 'vaccin anti-poussières'. Les nano-poussières inoffensives - sauf poussières radioactives - (appelées 'virus') et microbes sont mille fois plus petits que l'écart entre mailles du masque.
Par contre existe une expérimentation génique d'essais.
3°) Dès leurs sorties de laboratoires les flacons injectables ont été analysés par des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej. La composition était:
Entre 95 et 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont rien à faire dans un vaccin !) elles contrôlent le cerveau !! Vos pensées, vos souvenirs, vos actions à venir et vous éteindre !!
+ des hydres !! (Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle).
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
4°) Il existe DES milliers de laboratoires dans le monde qui, chaque jour, analysent la qualité de l'air et n'ont JAMAIS trouvé de virus'corona' ou 'cocovide19' ou 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!
5°) On respire toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 nano-poussières (appelées 'virus') ET microbes par minute et 2 millions en activité physique. ( La personne moyenne prend environ 20.000 respirations par jour.) Donc, DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés. Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORTS ! et que, grâce aux faux tests RT-PCR a 50 cycles l'on découvre FORCEMENT DES millions de virus apportés par le coton infecté de l'écouvillon !, nous sommes désormais non pas susceptibles de recevoir la piqûre mais CERTAIN d'être assassiné cette année !
6°) En premier vous est demandé de porter des masques infestés de millions de nano-particules métalliques que vous respirez donc. En second lieu vous est forcé manu-militari par une division de la gestape de vous inoculer ces mêmes nano-particules d'oxyde de graphène qui vont être véhiculées par la circulation sanguine. En lieu final, cet été ? cet automne ? sera lancé (par 5 G) le signal où toutes ces nano-particules métalliques se rassemblent dans votre cerveau. Elles bouchonnent. Caillots. Mort subite de 7 milliards de personnes.Les évadés seront rattrapés par drones caméra infra-rouge.
7°) Le poison est UNIQUEMENT dans la seringue. UNIQUEMENT !
Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
8°) Tous les masques (faussement appelés 'anti-nano-poussière' (virus) ou 'anti-microbes') sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien sûr comme les seringues létales.
Il n'existe pas et ne peut exister de masque antivirus.Le FFP2 ou N95 (bec de canard avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 microns alors que le virus corona n'est que de 0,1 à 0,5 micron !!
1 ère piqûre: 75 % de placebos (!)
2 ème piqûre: 50 % de placebos !
3 ème piqûre: 25 % de placebos !!
4 ème piqûre: AUCUN RESCAPÉ !!!
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4 - MAHA Weekly Wins: A Historic Lyme Disease Initiative, More States Nix Junk Food pour les bénéficiaires du SNAP, un accord pour réduire les prix des médicaments ... et plus encore.
Adam Garrie
Déc 20, 2025
Par Adam Garrie, Le Rapport MAHA
Le secrétaire Kennedy et son équipe ferment 2025 avec une vague de victoires importantes.
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Mais tout d’abord: restez à jour avec toutes les dernières nouvelles du monde de MAHA: regardez la minute hebdomadaire MAHA de Caitlin Sinclair, disponible sur les canaux de médias sociaux de MAHA Action.
Le CDC adopte les recommandations de l'ACIP sur le vaccin contre l'hépatite B
Le CDC a officiellement adopté les recommandations du Comité consultatif indépendant sur les pratiques d’immunisation (ACIP) sur le vaccin contre l’hépatite B, le rendant officiel: le CDC approuve maintenant «la prise de décision individuelle pour l’immunisation contre l’hépatite B pour les parents décidant de donner le vaccin contre l’hépatite B, y compris la dose de naissance, aux nourrissons nés de femmes qui testent négatif pour le virus».
Dans un communiqué, le CDC a ajouté que lorsqu’il prend la décision de prendre le vaccin contre l’hépatite B ou de le faire prendre, « les parents et les fournisseurs de soins de santé devraient tenir compte des avantages vaccinaux, des risques de vaccin et des risques d’infection » et « les parents [devraient] consulter leur fournisseur de soins de santé et décider quand ou si leur enfant commencera la série du vaccin contre l’hépatite B ».
Kennedy annonce son soutien aux personnes atteintes de la maladie de Lyme
Kennedy a organisé une table ronde intitulée «Invisible Illness — Leading the Way with Lyme Disease», réunissant des chercheurs de premier plan, des cliniciens, des défenseurs des patients, des élus et des membres de l’administration.
L'événement a abordé des stratégies innovantes pour lutter contre la maladie de Lyme, une maladie transmise par les tiques qui touche plus de 450.000 Américains chaque année. Kennedy, un passionné de plein air, a partagé ses expériences avec la maladie, soulignant ses profondes conséquences personnelles et de santé publique.
Lors de la table ronde, Kennedy a déclaré qu’il renouvelait LymeX Innovation Accelerator, un partenariat public-privé de $10 millions avec la Fondation Steven & Alexandra Cohen, axé sur l’exploitation de l’intelligence artificielle pour créer des outils avancés pour la détection précoce et plus précise de la maladie de Lyme.
Six autres États Nix Junk Food pour les bénéficiaires du SNAP
La secrétaire de l’USDA, Brooke Rollins, a annoncé que six autres États – Hawaii, Missouri, Dakota du Nord, Caroline du Sud, Tennessee et Virgin – ont reçu une dérogation fédérale leur permettant d’interdire aux bénéficiaires du Programme d’aide nutritionnelle supplémentaire (SNAP) de leurs États d’acheter de la malbouffe et des boissons sucrées. Cela porte à 18 le nombre d'États qui ont rejoint cette initiative MAHA.
Kennedy signe pour protéger les enfants contre les chirurgies transgenres
Le secrétaire Kennedy a signé une déclaration du HHS contre les «procédures de rejet du sexe» – y compris les bloqueurs de la puberté, les hormones sexuelles croisées et les chirurgies – pour les enfants et les adolescents atteints de dysphorie de genre. La déclaration, basée sur un examen des preuves du HHS et soutenue par un décret exécutif du président Trump en janvier 2025, note que de telles interventions médicales causent souvent des dommages irréversibles, notamment l’infertilité, la perte de densité osseuse, certains cancers, le dysfonctionnement cognitif, la maladie cardiaque, le dysfonctionnement sexuel, l’infertilité et une propension accrue pour une variété d’infections.
L’annonce comprend cinq actions principales: interdire le financement fédéral de telles procédures sur les mineurs via Medicaid et CHIP; exiger que les hôpitaux participant à Medicare/Medicaid les interdisent; émettre des avertissements de la FDA sur les produits connexes; inverser la classification de la dysphorie de genre; et émettre des avertissements de santé publique.
HHS améliore les dépistages des maladies rares chez les jeunes enfants
Au cours d'une table ronde, le secrétaire Kennedy a annoncé l'ajout de la dystrophie musculaire de Duchenne et de la leucodystrophie métachromatique à la liste des dépistages recommandés pour les nouveau-nés.
Selon un communiqué du HHS, « La plupart des enfants atteints de DMD ou de MLD sont diagnostiqués à l’âge de quatre à cinq ans, lorsque la perte musculaire importante ou le déclin fonctionnel s’est déjà produit. Non seulement l’ajout de ces conditions à la RUSP aidera les enfants à conserver des capacités pendant une période plus longue, mais cela donne également aux familles une meilleure chance d’éviter les longs retards, les visites spécialisées répétées et la tension financière et émotionnelle qui définissent souvent la recherche diagnostique d’années pour les maladies rares. »
Les Compagnies Pharmaceutiques Baissent Les Prix Des
Le président Trump a annoncé que la plus grande liste de compagnies pharmaceutiques a accepté de vendre certains de leurs médicaments les plus demandés aux programmes Medicaid de l'État aux prix de la nation la plus favorisée (NPF). Les médicaments seront vendus directement aux consommateurs via le nouveau site Web TrumpRX à des prix réduits.
Les dernières sociétés pharmaceutiques à conclure des accords NPF avec le gouvernement fédéral comprennent Amgen, Bristol Myers Squibb, Boehringer Ingelheim, Genentech, Gilead Sciences, GSK, Merck, Novartis et Sanofi.
Les entreprises ont également accepté d'investir un minimum de $150 milliards pour ramener leur recherche et leur développement aux États-Unis.
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5 - Mon discours sur la plandémie COVID, le programme de biosécurité bidon et coûteux, les astuces que les mondialistes jouent pour mettre les vaccins expérimentaux dans les armes, et comment aller de l'avant et mettre fin à ce gâchis
Ce à quoi nous faisons face est simplement l’itération moderne de l’impérialisme
Meryl Nass
21 décembre 2025
Mon discours à Venise aujourd'hui.
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La capture d’écran ci-dessus fait partie d’un courriel que Ron Fouchier de l’Université Erasmus (qui a formé une grippe aviaire à se propager entre les furets, qui sont le modèle de la grippe humaine – une expérience très dangereuse – alors qu’il était financé par le NIAID) aux Pays-Bas a écrit à Fauci, énumérant les séquences problématiques et lui fournissant des idées sur la façon dont il pourrait justifier chacun comme naturel. Il avait été sur l'appel de Fauci un jour ou deux plus tôt.
Non seulement Fauci était au courant d’au moins 6 domaines sur le génome de la COVID qui avaient l’air conçus le 1er février 2022 – mais il avait Ralph Baric à écouter secrètement l’appel qui savait probablement déjà ce que les autres pourraient identifier comme séquences d’ingénierie et aidait à planifier la dissimulation. La présence cachée de Ralph Baric suggère que lui et Fauci savaient déjà que le virus était conçu, et pourraient avoir essayé d’obtenir une perle sur les stratégies qu’ils auraient besoin d’utiliser pour le cacher. C’est aussi un indice que Baric avait quelque chose à voir avec le développement du virus COVID, ou savait qui l’a fait.
Une partie du plan des mondialistes n’a jamais été de mettre fin entièrement aux restrictions liées à la pandémie, mais de continuer à les retirer pour une utilisation intermittente, pour nous entraîner à nous y adapter.
Et maintenant, les masques sont de retour dans certaines régions d'Espagne, du Royaume-Uni et d'Italie dans les hôpitaux!
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Pourtant, il ne semble vraiment pas être si grave qu'une saison de la grippe. La ligne rouge ci-dessus est l'année en cours. Les autres couleurs représentent les années passées depuis 2018-19.
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On dit constamment au public de craindre les pandémies et le bioterrorisme par des experts accrédités. Ils veulent qu'on ait toujours peur de la mort.
Je veux vous donner 3 exemples tirés de projets d’amendements au traité sur la pandémie et à la réglementation de la santé de l’OMS pour vous montrer ce que l’OMS essayait d’accomplir. Ce projet de juin 2023 a encouragé les pays à minimiser les « obstacles administratifs inutiles » pour le gain de la recherche fonctionnelle. Demandaient-ils des accidents ?
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L’OMS souhaitait superviser la recherche sur le GOF dans le monde entier.
L’OMS voulait que des échantillons d’organismes mortels soient partagés dans ses réseaux de laboratoire, mais follement, cela aurait permis aux membres du réseau de partager leurs échantillons avec qui ils voulaient. Ceci est interdit par d'autres lois internationales.
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Maintenant, j’aimerais vous montrer que même si personne ne sait vraiment à quoi s’attendre de la bioguerre, quels produits développer ou ce qui pourrait réellement être efficace, beaucoup d’argent peut être dépensé dans le programme de biosécurité (alias Préparation à la pandémie, alias Biodefense) néanmoins.
Après le 11 septembre, les États-Unis ont commencé à dépenser environ $6 milliards / an. Ensuite, il est passé à $10-11 milliards/an.
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Par le dernier ou le deuxième au dernier budget de Biden, la demande au Congrès était de $20 milliards par an pour la biodéfense. J'ai posté là-dessus à ce moment-là.
Qu'aurait dépensé l'OMS si elle avait trouvé son chemin avec le Traité de pandémie? McKinsey a été chargé de trouver une estimation, ou devrais-je dire convu? Selon une estimation de McKinsey, le programme mondial de biodéfense de l’OMS augmenterait le budget de l’OMS de 10 à 30 fois ce qu’il est maintenant, la plupart de cela provenant des États membres, qui ont payé l’année dernière moins de 20% du budget total de l’OMS.
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Mais c’est ce qu’ils ne vous disent pas – la préparation à la pandémie est le nouvel ouest sauvage pour l’industrie de la biopharmacie
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Malheureusement, les mondialistes sont mortels au sérieux de déclencher plus de pandémies et de vaccins plus dangereux sur le public, en utilisant l'excuse qu'ils n'avaient pas le temps de les tester correctement pour la sécurité. Ils sont mortels sur le déploiement des vaccins dans 100 jours, la prochaine fois. Et le temps qui suit...
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Voici ce qu’ils prétendent qu’il faudra pour déployer les vaccins dans 100 jours. Une combinaison de ce qui suit. Les mondialistes et leurs laquais médicaux ne se soucient pas de la sécurité ni de l’efficacité – mais ils se soucient de bien faire les documents et de rendre tout ce qu’ils font « légal ». Ils ne veulent pas finir en prison pour avoir empoisonné la population, après tout.
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Le vaccin « mock-up » est une idée horrible. Vous autorisez tout prototype de vaccin qui a à peine été testé, créant en quelque sorte ce qui pourrait sembler être un dossier complet. Mais les régulateurs savent qu'ils ne font que passer par les motions. Ce vaccin ne sera soi-disant jamais utilisé, mais il fournit une licence – une faille – à travers laquelle un nouveau vaccin utilisant la même plate-forme, seulement avec un antigène mis à jour, peut être pressé pour un déploiement et tamponné par les régulateurs, en utilisant l’ancienne licence.
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Il y a 3 vaccins contre la grippe aviaire autorisés qui ont été à peine testés sur un petit nombre de sujets malheureux, et la dernière fois que j'ai regardé là-bas, il y avait 4 vaccins de maquette pour la grippe aviaire autorisée dans l'UE.
Voici 2 articles académiques écrits sur ce processus fou:
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Donc, même si le vaccin de maquette est irrémédiablement défectueux, parce que vous ne pouvez pas simplement changer un antigène et vous attendre à savoir quels problèmes d’innocuité et d’efficacité le nouveau vaccin aura – eh bien, c’est un moyen légal de mettre en œuvre des vaccins non testés en un temps record – donc ce que diable, même si l’OMS, l’EMA et la NVAC ont tous écrit que la théorie ne tient pas le coup – cela reste un pilier des plans des globalistes.
Mais il faut normalement 10 à 15 ans pour développer un vaccin autorisé. La plupart des vaccins échouent en raison d'une sécurité ou d'une efficacité insuffisante. Le déploiement de vaccins de 100 jours, sans test humain significatif, ne sera effectué que s’il n’y a aucune responsabilité pour les personnes impliquées – et c’est une recette pour le désastre. Les entreprises de vaccins savent mieux que de déployer de tels produits si elles en sont responsables.
Seuls les médicaments réutilisés peuvent être déployés rapidement et en toute sécurité pour contenir une future pandémie.
Il y a 11 jours, le comité de rédaction du NY Times a souligné, comme je l’ai fait à plusieurs reprises, que nous avons déjà un traité pour interdire les armes biologiques. Les propositions de l’OMS vont à l’encontre de ce traité, c’est pourquoi son existence s’est cachée. Le traité a besoin d'être renforcé pour le rendre exécutoire, mais il existe déjà et a été ratifié par presque tous les pays du monde, et c'est le point de départ idéal pour arrêter la guerre biologique.
- voir doc sur site -
Il y a aujourd’hui des nouvelles optimistes dans la sous-pile de Robert Malone à propos de cette question.
La prochaine diapositive que j'ai faite il y a 2 ans, et elle a été conçue pour montrer comment les dispositions du projet de Traité de pandémie et les amendements de RSI pouvaient être appliquées par les mondialistes. Il est encore bon de rappeler ce qu'ils ont tenté de faire alors, parce que c'est toujours ce qu'ils souhaitent accomplir. La bibliothèque d’agents pathogènes pandémiques (le système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages [PABS]) est toujours en cours de négociation, même aujourd’hui, par l’OMS et un groupe d’États membres qui n’incluent pas les États-Unis.
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Mon autre message à retenir est que les mondialistes comptent entièrement sur les mensonges, les astuces et la mauvaise direction pour atteindre leurs objectifs, en encadrant les concepts les plus horribles dans le langage de signalisation de la vertu. Mais c'est une épée à double tranchant pour eux, parce que les gens détestent être trompés et dupes.
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Si nous pouvons chacun nous concentrer sur l’identification des mensonges et des astuces qu’ils jouent sur nous, puis partager nos méthodes de discernement nouvellement découvertes avec les autres, et les aider à identifier les mensonges auxquels ils sont eux aussi confrontés, nous pouvons gagner cette guerre pour le monde. N’est-ce pas un objectif digne ?
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6 - De nouvelles menaces pour la santé publique à l'horizon
Dr Peter McCullough dans le spectacle de Lance Wallnau
Pierre A. McCullough, MD, MPH
21 décembre 2025
L'entretien entre Lance Wallnau et Dr. Peter McCullough se penche sur la crise actuelle de la santé publique, de la transparence gouvernementale et des réalités post-pandémie, McCullough offrant une critique radicale de la médecine institutionnelle et une feuille de route vers la souveraineté individuelle en matière de santé. Il a été résumé par AlterAI.
Dr. McCullough commence par aborder le phénomène de surmortalité observé dans le monde depuis 2021. Il affirme que la hausse de ces décès – en particulier chez les jeunes, les mères et les adultes d’âge moyen – ne peut raisonnablement être imputée aux infections persistantes à la COVID-19, qui sont devenues plus légères au fil du temps. Au lieu de cela, le calendrier s’aligne sur le déploiement des vaccins contre le COVID-19, qui, selon lui, ont « des effets secondaires mortels évalués par des pairs ». Selon lui, cette corrélation indique que les vaccins eux-mêmes sont le principal contributeur aux tendances de mortalité inexpliquées.
La discussion se tourne vers l’excrétion du vaccin – la possibilité que les personnes vaccinées puissent transmettre des protéines de pointe à d’autres. McCullough note que les tests sanguins pour les anticorps anti-pics peuvent révéler des niveaux inhabituellement élevés (des milliers d'unités de liaison par millilitre) chez certaines personnes qui n'ont jamais reçu d'injections, ce qui suggère une exposition environnementale ou interpersonnelle. Il décrit la protéine spike comme biologiquement active et pathogène, liée à l'inflammation, à la coagulation et aux symptômes neurologiques. Pour lutter contre cela, McCullough décrit son régime de « McCullough Protocol Base Spike Detoxification » composé de nattokinase, de bromélaïne et de curcumine, vendu par la Wellness Company. Il affirme que ces composants sont scientifiquement soutenus pour aider le corps à éliminer les protéines de pointe et encourage une utilisation généralisée pour les personnes vaccinées et infectées.
Lorsque Wallnau soulève le sujet des sprays nasaux et des rinçages antiseptiques comme protection contre les virus respiratoires, McCullough approuve l'entretien préventif quotidien. Il décrit l’utilisation de sprays salins avec de l’iode ou du xylitol, combinés à des solutions de gargarisme comme Spry, Listerine ou Scope, pour désactiver les virus dans les voies nasales et la gorge avant qu’elles ne causent des maladies – de simples interventions à domicile qui, dit-il, la médecine traditionnelle continue d’ignorer.
En ce qui concerne la saison de la grippe et les vaccins contre la grippe, McCullough rejette les vaccins antigrippaux annuels comme inefficaces et recommande plutôt le spray nasal et de la gorge de la Wellness Company’s , ainsi qu’un « kit de contagion » noir contenant de l’oseltamivir (Tamiflu), de l’ivermectine et des médicaments de soutien. Il souligne que l’auto-traitement rapide dans les premières 24 heures des symptômes est essentiel pour prévenir les maladies graves. McCullough défend l’ivermectine comme un médicament « vital » prouvé pour réduire la mortalité hospitalière COVID-19 jusqu’à 50% dans l’étude de l’ICON de Floride et décrit comment la censure, l’obstruction de la pharmacie et la politique hospitalière ont bloqué son utilisation. Au-delà du traitement viral, il note que des institutions comme Cedars-Sinai et UCLA ont exploré l’ivermectine dans le cadre des protocoles cancéreux, illustrant comment les médicaments réexaminés peuvent apporter de nouveaux avantages thérapeutiques lorsqu’ils sont libérés de la suppression bureaucratique.
La conversation s’étend à la confiance du public et à la corruption bureaucratique. McCullough critique les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) comme étant ballonnés – 12.000 employés et $9 milliards de dépenses, mais pas de soins aux patients ou de percées. Il soutient que seule une petite fraction est nécessaire pour effectuer un travail de surveillance légitime, tandis que la plupart des membres du personnel représentent une résistance enracinée «d'État profond» contre la réforme. Il félicite Robert F. Kennedy Jr. et son leadership à Health and Human Services (HHS) dans le cadre du mouvement Make America Healthy Again (MAHA) pour avoir bousculé les comités fédéraux de vaccination et travaillé à réduire le calendrier vaccinal commençant par l'hépatite B. Il cite la reconnaissance interne divulguée par la FDA des décès d’enfants liés aux vaccins anti-Covid comme preuve d’amélioration de la transparence et insiste sur le fait que la responsabilité doit suivre.
McCullough décrit ensuite l’influence externe comme plus efficace que la réforme gouvernementale – des organisations comme la Fondation McCullough (qui a publié un rapport sur l’autisme en octobre 2025 reliant les vaccins infantiles groupés à l’autisme) à des voix médiatiques indépendantes comme Flashpoint et Wallnau. Ceux-ci, dit-il, poussent le gouvernement à agir quand les initiés ne le peuvent pas.
Les deux discutent de l'indépendance pharmaceutique et des dangers de la dépendance à la Chine pour les médicaments génériques. McCullough soutient l’objectif de Trump de rapatrier la fabrication, avertissant que les perturbations géopolitiques pourraient instantanément paralyser les chaînes d’approvisionnement médicales américaines. Ils pivotent vers les biolabs et la bioguerre, condamnant la manipulation mondiale des agents pathogènes à des fins de « double usage » – créant à la fois la maladie et son traitement. McCullough affirme que plus d'une douzaine de laboratoires à haut risque aux États-Unis restent actifs et mal surveillés, y compris à Galveston, au Texas. Il accuse des chercheurs comme Peter Daszak de conserver des échantillons viraux supplémentaires à l’Institut de virologie de Wuhan (« COVID-20 verrouillé et chargé ») qui pourraient déclencher de futures pandémies s’ils étaient mal utilisés. Il compare le développement des armes biologiques à l’escalade des armes nucléaires – contrôlez l’agent pathogène et l’antidote, et vous contrôlez le monde.
Les deux hommes avertissent que la prochaine pandémie va presque certainement émerger d'un laboratoire, pas de la nature. Cette menace d’ingénierie, dit McCullough, érode la confiance du public – conduisant des millions à rejeter tous les vaccins de manière catégorique, même dans une crise légitime. La perte de crédibilité, soutient-il, découle de la propre tromperie du gouvernement pendant la COVID. Il encourage les individus à restaurer leur autonomie grâce à la préparation: l’acquisition de trousses médicales à domicile, de protocoles de désintoxication et de stratégies de santé autonomes plutôt que de compter sur des bureaucraties capturées.
L’interview se termine par l’explication technique de McCullough de l’ARN messager (ARNm) et de ses risques. L'ARNm naturel se désintègre rapidement, mais l'ARNm synthétique dans les clichés de Pfizer et Moderna est conçu pour persister, enjoignant continuellement aux cellules de produire des protéines de pointe toxiques. Il souligne que l’élimination de cette matière synthétique par stimulation métabolique, détoxication, thérapie hyperbare, utilisation du sauna et optimisation potentiellement du microbiome est essentielle pour la récupération. Enfin, McCullough et Wallnau conviennent que le traitement précoce a été délibérément supprimé pour forcer la vaccination de masse, l'appelant l'un des grands scandales médicaux de l'histoire moderne.
Au total, le dialogue combine la critique médicale, l’avertissement bioéthique et le plaidoyer politique – uni par un appel à la transparence, à la décentralisation du pouvoir médical et au rétablissement de la confiance du public par la science indépendante et la responsabilité personnelle. Vous pouvez rencontrer Lance Wallnau et le Dr McCullough en personne au Sommet sur la santé et le bien-être au Trump Doral du 15 au 17 janvier 2026.
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7 -Le lien caché entre l'hypermobilité, la blessure vaccinale et la stagnation des fluides
Comment le laxisme ligamentaire prédispose les patients sensibles aux microfonces induites par le vaccin et aux moyens de protéger votre circulation vitale
Un médecin du Midwest
21 décembre 2025
Histoire en un coup d'œil:
•Le laxisme ligamentaire, en plus d’être une cause principale de douleur musculo-squelettique (en particulier avec l’âge), s’avère être couramment associé à une variété de maladies complexes, et est fréquemment observé chez les patients qui ont une sensibilité accrue à leur environnement.
•Une variété de facteurs non reconnus (et souvent traitables) dans l’environnement moderne ont fait que le laxisme ligamentaire est devenu beaucoup plus courant ces dernières années.
•Une nouvelle hypothèse qui explique beaucoup des complications inhabituelles des vaccins contre la COVID-19 est qu’elles déclenchent un effondrement des veines iliaques chez les personnes sensibles (par exemple, celles présentant un laxisme ligamentaire et une faiblesse correspondante du tissu qui tapisse les vaisseaux). Cela, à son tour, provoque une variété de complications, y compris les micro-caillots et le syndrome d'activation des mastocytes.
•Beaucoup d’agents qui blessent de manière significative les patients (par exemple, les vaccins) le font partiellement en provoquant l’agglomération des liquides dans le corps. Cela nuit directement à la circulation à l'intérieur du corps et l'altère indirectement en enlevant la force répulsive qui empêche les vaisseaux affaiblis de se comprimer.
•Dans cet article, je vais discuter de la façon dont le manganèse joue un rôle essentiel dans la force ligamentaire, nos protocoles préférés pour réparer le laxisme ligamentaire et restaurer la circulation des fluides dans le corps en rétablissant le potentiel zêta physiologique.
Souvent, un traitement qui fonctionne très bien pour un patient ne parviendra pas à aider (ou à nuire) à un patient ayant un problème très similaire. À son tour, un aspect critique de la médecine est de pouvoir reconnaître les différences uniques entre les patients afin que vous puissiez déterminer le mieux ce que le traitement convient le mieux à chaque patient et quelle dose est la plus appropriée pour chaque patient. Malheureusement, dans la «médecine standardisée» (où tout le monde suit les algorithmes de traitement), il n’y a pas d’approche unique qui aide tous les patients, et en tant que tel, les protocoles et la dose sont décidés, ce qui correspondra globalement au plus grand nombre de personnes, mais échouera simultanément à beaucoup d’autres (ce qui est une raison majeure pour laquelle les individus ont quitté les soins conventionnels et recherchent des alternatives).
Remarque: l’art de sélectionner la bonne dose (et les périls de l’approche actuelle de la médecine à son égard) est discuté ici.
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Archétypes constitutionnels
Heureusement, bien que cette tâche semble impossible (car les bases de la médecine sont assez compliquées), il existe une variété de trucs qui facilitent grandement le processus. L’un est la reconnaissance d’« archétypes constitutionnels » où les individus partagent un groupe de traits similaires. Ce concept (discuté plus loin ici) est très utile, car une fois que vous vous familiarisez avec un archétype et des indicateurs de spot de celui-ci chez quelqu'un, il devient alors possible de prédire de nombreuses autres caractéristiques de cet individu.
En médecine, je trouve que l'un des cadres archétypaux les plus utiles est les trois Gunas (de l'hindouisme), qui postule que trois énergies primordiales existent que les individus peuvent être composés à partir de:
Sattva, qui a des qualités dont « bonté, calme, harmonieux ».
Rajas, qui a des qualités, y compris «la passion, l’activité et le mouvement».
Les Tamas, qui ont de nombreuses qualités, y compris « l’ignorance, l’inertie, la paresse ».
Remarque: Sattva reflète à bien des égards Vata (de l'Ayurveda), et dans une moindre mesure le type ectomorphe. Les Rajas s'associent à leur tour avec Pitta et mésomorphes tandis que les Tamas s'associent à Kapha et aux endomorphes.
D'un point de vue médical, les patients tamasiques ont tendance à avoir une épaisseur générale, une lourdeur et une solidité pour eux, tandis que les patients Sattvic ont tendance à avoir une qualité plus légère et plus éphémère pour eux. Chacun à son tour a une réponse très différente aux thérapies médicales. Les tamasiques tolèrent généralement et ne répondent souvent qu’à des interventions énergiques (par exemple, de nombreuses thérapies médicales standard) tandis que les Sattvics répondent très mal aux thérapies agressives et ont plutôt besoin de thérapies douces pour amadouer leur santé (qui sont souvent de nature énergétique comme l’acupuncture) – quelque chose qui, en revanche, ne fait pratiquement rien pour les patients tamasiques.
Autrement dit, les Sattvics sont souvent reconnus comme étant beaucoup plus sensibles aux toxines environnementales et aux médicaments nocifs (par exemple, beaucoup d’entre eux se réfèrent à eux-mêmes comme des canaris, en référence aux mineurs d’oiseaux utilisés pour surveiller les gaz toxiques dans les mines de charbon, car ils seraient affectés beaucoup plus tôt que les mineurs, et que, comme les canaris du mineur, nous devrions également prendre leurs blessures médicales comme un signe avant-coureur que beaucoup de substances auxquelles nous sommes exposés). De même, les Sattvics ont souvent besoin de doses beaucoup plus faibles de médicaments, mais malheureusement, souvent, sont surdosés parce que le médicament standardisé n'utilise que la dose qui correspond le mieux à l'ensemble de la population (ce qui, comme je le discute ici, est inévitablement la mauvaise dose pour beaucoup).
Remarque: les blessures pharmaceutiques et vaccinales ont affecté de manière disproportionnée l'archétype de Sattvic.
Tout au long de ma vie, j’ai connu plus de Sattvics que je ne peux compter, et l’une des choses que j’ai toujours trouvées immensément injustes est que la plupart des gens ne peuvent pas se rapporter aux luttes auxquelles ils sont confrontés (par exemple, beaucoup, y compris certains de leurs médecins, pensent qu’ils sont «fous» ou «hypochondriaques») ou à quel point ils sont sensibles à beaucoup de choses autour d’eux. C’est incroyablement malheureux parce que je crois qu’un grand nombre de blessures médicales pourraient être évitées si le concept était reconnu.
À ce titre, j’ai attiré l’attention sur leur situation, l’une des missions de ce bulletin. En même temps, cependant, je me suis toujours demandé « pourquoi cette constitution est-elle si sensible ?
Laxisme Ligamentaire
À ce stade, je reconnais souvent immédiatement les patients sensibles par leur présence, leur comportement psychologique et leur forme corporelle. Par exemple, l’un des traits physiques fréquents que j’associe à cet archétype est un modèle distinct de mouvement (qui est souvent gracieux) qui, je crois, résulte du laxisme dans leurs ligaments.
Puisque les ligaments stabilisent les articulations du corps en contraignant leur amplitude de mouvement maximale, une fois que les ligaments s'affaiblissent, leur laxité (lâcheté) provoque fréquemment l'augmentation de la plage maximale de mouvement de l'articulation.
Les personnes atteintes de laxisme ligamentaire présentent certains avantages. Par exemple, ils sont normalement beaucoup plus flexibles (par exemple, ils peuvent étirer leur corps beaucoup plus loin) et deviennent souvent des danseurs en raison de la mobilité offerte à leur corps.
À l’inverse, le laxisme ligamentaire crée également une variété de problèmes pour ces patients. Le plus courant est que puisque leur corps utilise les ligaments pour se stabiliser lorsqu'une force y pénètre, une fois que les ligaments s'affaiblissent, les choses se déplacent fréquemment à l'intérieur de l'individu plus qu'elles ne le devraient en réponse à ces forces.
Par exemple, les personnes atteintes de laxisme ligamentaire ont tendance à être plus susceptibles de développer des blessures chroniques causées par des accidents de voiture ou d’autres traumatismes physiques. De même, leurs articulations «pop» facilement, mais si elles obtiennent des ajustements de force pour réinitialiser la position de leurs os, les os vont souvent revenir hors de propos (puisque la stabilité qui maintiendrait autrement cette structure fait défaut).
Remarque: J'ai vu de nombreux patients atteints de laxisme ligamentaire qui ont eu beaucoup trop d'ajustements énergiques qui ont finalement créé des problèmes pour eux. Cela se produit normalement soit parce que les ajustements répétés (effectués en raison de la douleur du patient revenant rapidement après chaque ajustement) ont encore affaibli leurs ligaments, soit parce que l’articulation affaiblie a dépassé sa plage de mouvement attendue lors d’une poussée et que les os de l’articulation se sont retrouvés dans une position qui a créé d’autres problèmes pour le corps.
De même, les personnes atteintes de laxisme ligamentaire (en particulier lorsqu’il est significatif) ont tendance à développer une variété de problèmes qui sont finalement traités par chirurgie. Malheureusement, en raison d’une capacité plus «sensible» et d’une capacité altérée à guérir après la chirurgie, ils souffrent souvent de complications importantes de ces chirurgies – ce qui conduit malheureusement à encore plus de chirurgies (par exemple, il y a beaucoup d’histoires de cela dans les groupes de soutien des syndromes d’Ehlers-Danlos [SED]).
Remarque: comme les ligaments sont composés de collagène, une production de collagène altérée donne souvent lieu à un laxisme ligamentaire. De même, étant donné que la production de collagène est nécessaire pour guérir des chirurgies, les personnes ayant une altération de la production de collagène ont plus de difficulté à se remettre d’une intervention chirurgicale.
Le laxisme ligamentaire peut également créer une variété d'autres problèmes dans tout le corps (par exemple, toutes sortes de problèmes gastro-intestinaux). L'une des conséquences les moins appréciées de l'hypermobilité est que le corps dépend d'une tension ligamentaire pour la rétroaction proprioceptive (savoir où le corps est dans l'espace), et par conséquent, une fois que les ligaments deviennent laxistes, les patients hypermobiles perdent une partie de la conscience générale qui nous permet de naviguer inconsciemment dans le monde.
Par exemple, on sait que l'EDS est associé à une altération de l'équilibre et à une probabilité accrue de chute. Cependant, il est beaucoup moins apprécié que ce manque de rétroaction proprioceptive puisse donner lieu à un sentiment général d’anxiété parce que le sol ne se sent pas aussi stable sous ses pieds – quelque chose qui est difficile à apprécier à moins que l’on ne l’ait vécu directement (par exemple, j’ai rencontré des personnes qui ont facilement survécu à un tremblement de terre majeur mais qui ont été psychologiquement perturbées pendant des années après avoir perdu brièvement leur sens du terrain qu’ils avaient toujours pris pour acquis).
Qu'est-ce qui cause le laxisme ligamentaire?
Une variété de processus peut causer un laxisme ligamentaire. Souvent, une combinaison de ceux-ci sont à l'œuvre (p. ex., une personne ayant une faiblesse préexistante dans un ligament est plus susceptible d'avoir quelque chose de nuisible à un ligament créer un ligament chroniquement laxiste).
Blessures physiques
La faiblesse ligamentaire est fréquemment causée par une blessure chronique à un ligament (ou une blessure qui n'a pas guéri correctement). Par exemple, lorsque la cheville est blessée d'une entorse, le ligament qui empêche la cheville de tourner vers l'intérieur est endommagé, nous prédisposant à une cheville instable et à de futures blessures à la cheville jusqu'à ce que le ligament soit réparé et renforcé avec une thérapie de régénération appropriée.
- voir schéma sur site -
Blessures pharmaceutiques
En plus des blessures physiques, des blessures biochimiques peuvent également survenir. Ceci est surtout connu pour se produire après l'utilisation de médicaments anti-inflammatoires. Par exemple, les AINS comme l’ibuprofène (qui sont généralement le choix pour «traiter» les blessures sportives) en plus de réduire l’inconfort d’une blessure à la cheville, affaiblissent également les ligaments (comme en supprimant le processus inflammatoire, il supprime également le processus de guérison).
Il en résulte que les entorses qui sont traitées avec des AINS sont souvent prédisposées à de futures blessures (puisque la stabilité donnée à l’articulation par ces ligaments est partiellement perdue jusqu’à ce que quelque chose comme une thérapie régénérative soit administré pour réparer ce ligament) – ce qui, dans le cas des entorses de la cheville, est quelque chose que moi et collègues voyons fréquemment chez nos patients.
L’une des thérapies les plus courantes administrées pour traiter les douleurs articulaires sont les stéroïdes injectés, qui, en étant de puissants anti-inflammatoires, sont souvent initialement efficaces pour faire en sorte que le patient se sente mieux. Malheureusement, les stéroïdes injectés affaiblissent également les ligaments sur le site où ils sont injectés, en particulier lorsqu'ils sont administrés plusieurs fois. Étant donné que l'inflammation (et la douleur) des articulations sont souvent le résultat d'une mauvaise stabilisation articulaire par un ligament (conduisant à l'usure de l'articulation par des pressions inappropriées), cette approche de traitement entraîne la nécessité pour les patients d'avoir de plus en plus d'injections à mesure que leurs ligaments s'affaiblissent davantage.
Remarque: c’est également un problème courant pour les personnes souffrant de douleurs chroniques au cou ou au dos et entraîne malheureusement souvent qu’elles «ont besoin» d’une intervention chirurgicale pour stabiliser la colonne vertébrale – ce qui aggrave encore les choses (ce sujet et les approches alternatives pour traiter la douleur rachidienne sont discutées ici et ici). L’une des choses particulièrement frustrantes à propos de cette situation est que le DMSO peut être utilisé pour beaucoup des mêmes blessures et des douleurs chroniques auxquelles les médicaments destructeur ligamentaires sont utilisés, mais plutôt que de les affaiblir davantage, le DMSO répare souvent les ligaments (ainsi que d’être souvent beaucoup plus efficace pour résoudre l’état du patient). De même, de nombreux lecteurs atteints d’EDS ont trouvé qu’il était très utile pour la douleur et les blessures (significatives)..
En outre, certains produits pharmaceutiques plus toxiques peuvent également affaiblir les ligaments. Par exemple, au-delà des stéroïdes, j'ai également fréquemment observé cela après que quelqu'un souffre d'une blessure d'un produit pharmaceutique plus toxique (par exemple, cela est bien connu pour se produire à partir d'antibiotiques de fluoroquinolone comme la ciprofloxacine).
Cela, je crois, résulte du fait que le corps reconstruit et remodèle continuellement ses tissus structurels pour répondre aux besoins de l'environnement. Par exemple, les os dépendent du poids de la gravité pour signaler la croissance, de sorte que lorsque les astronautes sont dans l'espace pendant des périodes prolongées, leurs os s'affaiblissent considérablement (et peuvent se briser une fois qu'ils reviennent à la gravité de la Terre) à moins que les astronautes fassent également des exercices spéciaux dans l'espace.
En plus des os, le collagène du corps se reconstruit et se remodele continuellement. Étant donné que la production de collagène est un processus à forte intensité énergétique, si les mitochondries sont blessées (ce que les antibiotiques fluoroquinolone sont connus pour faire), au fil du temps, le tissu conjonctif dans le corps s'affaiblira également jusqu'à ce qu'il échoue en raison de son incapacité à ne plus accueillir une entrée de force auparavant gérable (par exemple, les ruptures soudaines de tendons sont très courantes après l'utilisation de la fluoroquinolone).
Note: le processus dynamique de la santé osseuse, la façon de le restaurer et les dangers immenses de notre approche actuelle pour «traiter» pharmaceutiquement l’ostéoporose sont discutés ici.
Prédispositions constitutionnelles
EDS et le syndrome de Marfan sont les deux conditions médicales classiques qui sont associées au laxisme ligamentaire. Ces deux conditions sont considérées comme des maladies rares, l'EDS étant estimée à affecter entre 1 sur 5000 à 1 patient sur 100.000 (selon sa gravité et la source de l'estimation), tandis que le syndrome de Marfan est estimé à 1 patient sur 5000.
Note: Un article récent a révélé que la prévalence de l’EDS diagnostiquée était de 1 sur 500 et beaucoup pensent qu’elle est encore plus fréquente (par exemple, j’ai rencontré des dizaines de personnes qui semblent avoir un EDS ou un syndrome de type EDS).
En plus de l’EDS, il existe également une maladie auto-explicative connue sous le nom d’« hypermobilité articulaire généralisée », (GJH) qui affecte environ 12,5% de la population et les prédispose à la douleur et aux blessures musculo-squelettiques. À ce stade, je soupçonne que cette condition et l'EDS sont sous-diagnostiqués et qu'il existe un spectre entre l'EDS et le GJH.
Prédispositions fonctionnelles
Dans certains cas, vous pouvez regarder un laxisme ligamentaire rapidement surpaser dans le corps. L'exemple le plus classique résulte de l'hormone relaxine (libérée pendant la grossesse), qui affaiblit les ligaments du corps afin que le bassin devienne capable de s'étirer et d'accommoder le processus de naissance. En raison de cette hypermobilité accrue, les femmes enceintes deviennent plus prédisposées aux blessures physiques (et développent des douleurs musculo-squelettiques à partir du poids de leur bébé).
Remarque: d'autres hormones que le corps femelle sécrète contrecarrent les effets de la relaxine, en particulier une fois la grossesse terminée, et à son tour, ceux qui présentent des déséquilibres hormonaux préexistants sont significativement plus sensibles aux problèmes musculo-squelettiques pendant et après une grossesse. De même, le fait d’avoir des déséquilibres hormonaux préexistants (en raison de la faiblesse ligamentaire qu’ils créent) peut rendre les femmes beaucoup plus sensibles aux problèmes musculo-squelettiques, en particulier après la ménopause.
À mes yeux, la prédisposition fonctionnelle la plus importante de l’intégrité ligamentaire est l’état nutritionnel. Bien qu’une variété de choses puissent affecter l’intégrité ligamentaire, nous avons constaté que le manganèse métallique (Mn) souvent oublié joue l’un des rôles les plus importants. À son tour, il est extrêmement courant de trouver des gens qui:
•Vivre dans des zones où les niveaux de manganèse sont plus faibles dans le sol semblent également avoir des taux plus élevés de laxisme ligamentaire.
•Ayez un laxisme ligamentaire qui s’améliore progressivement lorsqu’il prend correctement du manganèse pendant une période prolongée.
•Avoir une prédisposition au laxisme ligamentaire (par exemple, EDS ou un syndrome d’hypermobilité) être incliné sur le bord par une carence en manganèse, et également avoir des patients présentant une hypermobilité existante s’améliorent de manière significative de la supplémentation en manganèse.
Puisque la carence en manganèse est un problème si courant maintenant, nous avons beaucoup réfléchi à la raison pour laquelle nous le voyons si souvent. Actuellement, nous avons quatre explications principales:
•Tout d’abord, le sol a été fortement épuisé en minéraux essentiels par nos pratiques agricoles modernes. Cela crée une variété de problèmes et des améliorations significatives sont également observées dans les plantes cultivées dans le sol reminéralisé et chez les humains qui consomment ces plantes (ce qui est une raison clé pour laquelle mon collègue Pierre Kory MD a changé toute sa concentration médicale pour restaurer les oligo-éléments, car il a maintenant vu à plusieurs reprises les avantages agricoles remarquables qui peuvent résulter d’une supplémentation minérale appropriée).
•Le glyphosate (Roundup), un herbicide toxique mais largement utilisé, a une forte affinité pour chélater (piéger) certains minéraux, dont l’un est le manganèse. Pour cette raison, je crois que les niveaux sans cesse croissants de glyphosate dans l'environnement ont contribué à la carence généralisée actuelle en manganèse.
•Les bactéries nécessitent du fer pour leur métabolisme (et à leur tour l’un des mécanismes défensifs dont le corps a besoin pour arrêter une infection est de séquestrer le fer afin que les bactéries ne puissent pas se reproduire). La bactérie qui cause la maladie de Lyme a une adaptation inhabituelle, qui à ma connaissance est de nature unique (ce qui soulève des questions intéressantes sur l'origine de Lyme). Il utilise du manganèse au lieu du fer, ce qui le protège ainsi de ce mécanisme de défense, et nous soupçonnons depuis longtemps qu’il provoque également des personnes infectées par la bactérie (y compris celles souffrant d’infections « silencieuses ») à devenir déficientes en manganèse.
Remarque: Je le mentionne parce que les patients sensibles ont tendance à avoir de manière disproportionnée la maladie de Lyme.
•L’absorption minérale est intrinsèquement liée à l’acidité de l’estomac (car l’acide est nécessaire pour chélater les minéraux étroitement liés aux plantes), de sorte que l’acide gastrique déficient (en particulier dans le cadre du sol épuisé nutritionnellement) peut prédisposer un à une carence en manganèse et à une hypermobilité. Comme les carences en acides gastriques sont répandues dans la population et causent une variété d'autres problèmes tels que l'absorption inadéquate des protéines (également nécessaire pour des ligaments sains), le reflux acide et l'auto-immunité (qui est souvent observé chez les patients sensibles), cela doit souvent également être examiné plus avant (qui sont tous discutés ici).
Remarque: dans de nombreux cas, les patients hypermobiles ont une variété de sensibilités émotionnelles et divers degrés d'instabilité psychiatrique. Certains de ces patients ont des réponses remarquables à une supplémentation minérale ciblée (en particulier pour l’anxiété ou le sentiment de «non-mot)». Cette observation m’a amené à soupçonner une incapacité à obtenir suffisamment de minéraux de l’alimentation (par exemple, le manganèse) joue un rôle clé dans l’hypermobilité.
Enfin, la relation entre les niveaux de manganèse et l'hypermobilité peut également être observée chez les animaux. Par exemple, une étude (inspirée par la carence en manganèse d'observation corrélée à des bois faibles qui étaient plus susceptibles de se briser) a complété la moitié du cerf avec du manganèse et a montré que ces cerfs avaient des bois plus épais et plus forts par rapport à ceux qui ne recevaient pas de manganèse.
Remarque: le manganèse est souvent considéré comme un élément toxique (car il est associé aux problèmes neurologiques qui suivent l'exposition chronique au gaz de soudage). J'ai toujours pensé que c'était étrange car le manganèse est un cofacteur nécessaire pour de nombreuses enzymes critiques dans le corps (par exemple, certains de ceux dans les mitochondries). Actuellement, je crois que c'est parce que la forme toxique du manganèse (par exemple, celle trouvée dans le gaz de soudure) est Mn3+, tandis que la forme qui aide les gens trouvés dans les compléments alimentaires (et qui testent généralement bien pour les patients) est Mn2+. À mon tour, je soupçonne que pour une raison quelconque, Mn3+ nuit à la fonction des enzymes essentielles qui dépendent de Mn2+. Alternativement, une hypothèse a été avancée (avec des données pour l'appuyer) que le manganèse, bien qu'essentiel, devient également toxique à fortes doses.
Laxité ligamentaire et blessures vaccinales
Il y a eu une observation de longue date dans le domaine de l'intégration que le laxisme ligamentaire est en corrélation avec une prédisposition aux blessures vaccinales. De même, beaucoup de lecteurs ont partagé cette observation avec moi après que j'ai abordé ce sujet. Par exemple, ce commentaire a été laissé par un lecteur:
Avant la COVID, le vaccin contre le VPH Gardasil était considéré par beaucoup comme le vaccin le plus dangereux publié sur la population générale (un argument solide pourrait également être avancé qu'il s'agissait soit du vaccin original du DPT, soit du vaccin original contre la variole, mais au moment où le Gardasil est apparu, ces vaccins atroces s'étaient pour la plupart fondus en mémoire).
Gardasil a causé une variété de conditions débilitantes (p. ex., fatigue constante, troubles cognitifs, une variété de conditions auto-immunes et une dérégulation neurologique généralisée – des choses également fréquemment observées après la vaccination contre la COVID-19). À un moment donné, les médecins holistiques ont commencé à remarquer que les patients (en particulier les femmes) atteints de laxisme ligamentaire existant étaient beaucoup plus susceptibles de développer des lésions Gardasil (et à son tour quelques chercheurs ont proposé des variations génétiques pour en tenir compte).
À l'époque, j'ai supposé que cette corrélation était due à:
•Les personnes atteintes de laxisme ligamentaire sont également plus susceptibles d’être les patients les plus sensibles.
•Laxité ligamentaire ayant une association de longue date avec les troubles des mastocytes, une condition qui rend hypersensible à une variété de substances (par exemple, médicaments ou vaccins).
Remarque: on observe fréquemment des troubles des mastocytes chez les patients qui développent des lésions vaccinales contre la COVID-19.
- voir schéma sur site -
Cependant, en 2023, j'ai appris une nouvelle hypothèse avancée par l'un des principaux médecins traitant les blessures liées aux vaccins contre la COVID-19, ce qui a lié beaucoup de choses ensemble.
Compression de veines iliaques
La version éditée (condensée) de douze minutes de sa présentation peut être consultée ici:
Dr. Les points clés de Jordan Vaughan (et mes commentaires à leur sujet) sont les suivants:
•Beaucoup de complications débilitantes du vaccin COVID-19 semblent résulter du retour veineux des jambes et du bassin (qui régit le retour veineux des jambes et du bassin) et son apport sanguin devenant significativement obstrué (ce qui à son tour donne lieu à de nombreux symptômes caractéristiques qui peuvent être reconnus une fois que l’on sait les chercher). Plus important encore, cette compression peut souvent commencer assez soudainement et les patients se souviennent du moment exact où la compression s’est produite.
•L’obstruction du flux sanguin créée par une compression de la veine iliaque semble provoquer une variété de conditions qui pourraient être analagorisées au «sang putride», telles que les caillots sanguins dans tout le corps et le syndrome d’activation des mastocytes.
Remarque: il y a plus d’un siècle, quelques-uns des premiers pionniers dans le domaine médical ont également noté que la compression de la région iliaque prédisposait les patients à une variété de maladies qu’ils attribuaient généralement au sang ou à la lymphe dans le bassin «ferment».
•Une maladie connue sous le nom de syndrome de May-Thurner affecte un peu plus de 20% de la population. Dans celui-ci, l'artère iliaque commune droite (haute pression) se chevauche et comprime la veine iliaque commune gauche (basse pression) contre la colonne lombaire
Normalement, les personnes atteintes de ce syndrome ne le remarquent pas, mais dans certains cas, il peut les prédisposer à des caillots sanguins inattendus (en raison du retour veineux obstrué).
• Docteur. Vaughan croit que les dommages (bien documentés) que la protéine spike cause aux parois des vaisseaux sanguins affaiblit suffisamment la veine iliaque pour que la pression de l'artère iliaque puisse l'effondrer. À son tour, il a rassemblé une radiographie convaincante pour le prouver.
- voir schéma sur site -
•Si une compression de veine iliaque est traitée par anticoagulation, cela améliore généralement les symptômes de celle-ci, mais une fois les anticoagulants arrêtés, les symptômes reviennent (car la source de la coagulation n’a pas été abordée). Pour cette raison, les compressions de veines iliaques sont souvent traitées par stenting, dont certains patients (mais pas tous) ont rapporté un bénéfice significatif.
Une fois, j'ai entendu le Dr. La conférence de Vaughan, j’ai réalisé que son hypothèse était liée à de nombreuses observations que j’avais faites au fil des ans et j’ai également expliqué de nombreux succès que j’avais rencontrés chez les patients blessés par le vaccin après que des thérapeutes manuels aient travaillé sur une douille de hanche de patients et qu’ils avaient (intentionnellement ou non) partiellement décomprimé la veine iliaque, créant une amélioration dramatique «inexplicable» de l’état du patient.
La vie cachée de l'eau
À bien des égards, le but principal d’un modèle scientifique est de créer la vision du monde que la nature est pleinement comprise et a été «masterisée», alors qu’en réalité, elle a souvent un degré de complexité qui dépasse largement ce que n’importe quel modèle peut encapsuler avec précision. À son tour, alors que vous commencez à vraiment regarder dans les phénomènes, vous remarquerez progressivement des incohérences qui bouleversent tout le modèle.
En tant que tel, j’ai essayé d’attirer l’attention sur le fait que l’eau a une variété de propriétés uniques qui aident à expliquer beaucoup de mystères de la vie.
Eau cristalline liquide
Par exemple, j’ai écrit sur la découverte que l’eau (H 2 O), lorsqu’elle est exposée à la source d’énergie ambiante (en particulier infrarouge) et à une surface polaire, déplacera certains de ses atomes d’hydrogène et commencera à former un réseau hexagonal de molécules H 3 O 2, et entrera dans une quatrième phase de la matière entre être un liquide et un solide où il se comporte comme un cristal liquide.
Cette propriété est extrêmement conséquente en biologie, car une grande partie de l'eau au sein des organismes vivants (en raison de leur présence de nombreuses surfaces polaires à partir desquelles il peut se former) est dans cette phase de gel. Par exemple, dans un article récent, j’ai souligné que les ions hydrogène étant déplacés et qu’ils soient repoussés les uns des autres par leur charge mutuelle crée un gradient d’énergie qui permet à la vie de transformer les sources d’énergie ambiantes dans l’environnement en quelque chose qui peut être récolté pour alimenter la vie (par exemple, en créant des flux spontanés dans le corps).
Une autre propriété critique de cette 4ème phase d'eau est qu'elle se dilate, résiste à la compression ou à la pénétration, et est pratiquement sans frottement lorsque deux couches de celle-ci coulissent l'une contre l'autre (d'une manière pratiquement similaire à ce que l'on voit lorsqu'un patineur skie sur la glace). Cela sert de nombreuses fonctions critiques pour le corps. Par example, dans les vaisseaux sanguins, en ayant une doublure en constante régénération de H 3 O 2 enrobant l'intérieur de ceux-ci, il les protège d'être usés et endommagés par tout le sang qui coule (tout en fournissant simultanément une surface lubrifiante qui permet au sang de circuler librement à travers le vaisseau). De même, de nombreuses articulations (par exemple, les genoux) sont tapissées de surfaces polaires qui favorisent la formation de cette eau et contiennent des protéines visqueuses qui favorisent davantage la formation de cette eau, qui créent alors un mécanisme de portage de poids sans frottement entre les os qui ne sont pas usés par les forces continuellement exercées contre elle.
Remarque: ici, je discute plus en détail de la façon dont l'eau cristalline liquide crée la structure et la stabilité du corps.
Potentiel Zeta
Un autre concept que j’ai souligné tout au long de cette publication est le potentiel zêta, qui quantifie la différence de charge électrique entre les particules colloïdales dans le liquide dans lequel elles sont suspendues à l’intérieur (et s’applique à la plupart des systèmes de fluides de nature). En effet, comme les charges, se repoussent mutuellement, de sorte que lorsqu'une quantité suffisante de charges d'adaptation sont présentes (qui, dans la nature, sont presque négatives en raison de l'eau cristalline liquide créant une couche chargée négativement sur ce qu'elle enrobe), les particules dans la solution résisteront aux pressions extérieures (par exemple, la gravité ou l'attraction des charges) pour s'agglutiner et rester dispersées. À l'inverse, lorsque le potentiel zêta insuffisant est présent, ils s'agglutineront, les amas devenant de plus en plus grands à mesure que le potentiel de zêta diminue.
Dans le corps, si cela se produit, les globules rouges s'agglutineront, formant éventuellement des microclottes qui peuvent causer soit une maladie aiguë, soit plus communément des maladies chroniquement invalidantes. Par exemple, dans l’article précédent, j’ai montré que les vaccins à preuve extensive blessaient fréquemment les patients en déclenchant des microcoups en perturbant le potentiel physiologique de la zêta.
Note: dans cet article, j'ai omis de mentionner que le syndrome de mort subite du nourrisson (une condition avec un siècle de preuves l'attacher à la vaccination) résulte probablement de microcoups dans le cerveau désactivant la respiration spontanée, provoquant l'étouffement des nourrissons (à moins qu'ils ne soient surveillés dans l'USI - où la vaccination a été démontrée dans une plus de douzaine d'études pour provoquer effectivement un arrêt respiratoire).
À notre tour, nous croyons que ce processus sous-tend de nombreuses maladies chroniques en tant qu’agents qui sont bien adaptés pour le restaurer, crée souvent des améliorations spectaculaires de la santé (que de nombreux lecteurs ici ont signalées) tandis qu’à l’inverse, les agents qui conviennent bien pour la perturber (par exemple, l’aluminium, la protéine spike et les microbes dangereux tels que le paludisme) peuvent souvent causer une myriade de maladies difficiles.
Remarque: d'autres liquides dans le corps (par exemple, le liquide céphalo-rachidien ou la lymphe) s'agglutineront également si leur potentiel zêta est perturbé.
Intégrité du navire entrelacé
Parce que le corps est si interconnecté, il est souvent assez difficile de le briser en morceaux séparés (ce que chaque modèle a à faire). Par exemple, il y a un énorme chevauchement entre l'eau cristalline liquide et le potentiel zêta, de sorte que l'un s'aggrave, l'autre le fait souvent aussi et à mesure que l'un s'améliore, l'autre s'améliore souvent (discuté plus loin ici).
L'une des principales choses à comprendre à propos de ceux-ci est qu'ils permettent aux vaisseaux sanguins de résister à la compression, car dans tout le corps, l'eau cristalline liquide crée les unités incompressibles qui créent l'expansion inhérente du corps et de même, les charges mutuellement répulsives dans l'eau (avec un potentiel zêta suffisant) empêchent également la compression de se produire. Enfin, les vaisseaux eux-mêmes ont une force tissulaire inhérente qui leur permet de résister à la compression, ce qui, dans la plupart des cas, peut compenser une altération partielle des deux autres.
Cependant, à mesure que ceux-ci échouent, il commence à devenir possible pour les forces de compression d'effondrer les veines. Étant donné que l'hypermobilité affaiblit la paroi des vaisseaux sanguins, dans la pratique, nous constatons que les patients hypermobiles ont une capacité réduite à tolérer les déficiences du potentiel zêta physiologique ou de l'eau cristalline liquide à l'intérieur de celui-ci (car la force des muqueuses des vaisseaux sanguins ne peut plus compenser adéquatement une perte des forces expansives dans les vaisseaux), et en tant que tels, ils passent souvent beaucoup plus fréquemment un seuil potentiel zêta critique où les problèmes suivent immédiatement.
Remarque: POTS (syndrome de tachycardie orthostatique posturale) et étourdissements (en raison d'un flux sanguin insuffisant vers le cerveau), est une complication fréquente de la vaccination contre le VPH et la COVID et observée de manière disproportionnée chez les personnes hypermobiles.
De même, les deux influencent également directement l'intégrité de la paroi des vaisseaux sanguins. Par exemple, en plus de l'eau cristalline liquide (si présente) fournissant la couche qui protège les vaisseaux sanguins, l'approvisionnement en sang pour les vaisseaux plus gros, le vasa vasorum est assez étroit et donc facilement obstrué par les microcaillots induits par le potentiel zêta (qui affectent de manière disproportionnée les plus petits vaisseaux), à ce moment-là, la paroi des vaisseaux a été observée à plusieurs reprises pour se desquamer (s'en tirer). De même, de nombreux agents qui nuisent au potentiel zêta physiologique (par exemple, les bactéries pathogènes ou la protéine COVID spike) endommagent également fréquemment la muqueuse des vaisseaux sanguins.
En raison de tout cela, je crois donc que la sensibilité accrue à la compression des vaisseaux sanguins et la myriade de symptômes que les obstructions du flux sanguin peuvent créer aide à expliquer pourquoi les patients hypermobiles sont si sensibles à certaines toxines (par exemple, de nombreuses obstructions microbiennes) qui affectent négativement le potentiel physiologique zêta. De même, je crois que bon nombre des améliorations spectaculaires que certains patients voient (par exemple, celles qui ont des blessures par vaccin contre la COVID) résultent de la réouverture des obstructions du flux sanguin critique.
Pour illustrer davantage l'interconnexion de ces processus:
•En plus de stenter la veine iliaque (pour la rouvrir) d’autres améliorations spectaculaires ont également été observées avec le stenting veineux. Par exemple, pendant des années, les patients atteints de sclérose en plaques (une condition qui s'est avérée être 10 à 11 fois plus fréquente chez les patients atteints de SED) ont ressenti un bénéfice significatif de l'ouverture de leurs veines jugulaires (ce qui améliore le drainage veineux des toxines de leur tête). De même, avant que cette technique ne soit restreinte, j'ai entendu de nombreuses histoires d'individus présentant d'autres troubles complexes (par exemple, la fibromyalgie et la maladie du lyme) s'améliorent de manière significative après la stention de leur veine jugulaire.
•Comme mentionné dans l’article récent sur la maladie d’Alzheimer, un cas fort peut être fait que la maladie résulte d’un drainage lymphatique insuffisant pour éliminer les toxines du cerveau (ce qui peut expliquer les succès préliminaires en Chine avec des procédures chirurgicales qui « guérissent » la maladie d’Alzheimer en augmentant le drainage lymphatique du cerveau à travers les veines cervicales).
•Beaucoup de maladies neuro-immunes chroniques difficiles qui sont associées à la fois à une mauvaise circulation et au syndrome d’activation des mastocytes (par exemple, la maladie de Lyme et la toxicité des moisissures) ont également des caractéristiques uniques qui nuisent directement au potentiel zêta. À notre tour, nous constatons fréquemment que les tentatives de traitement de ces maladies ne se passent pas bien à moins que quelque chose ne soit également fait pour atténuer leurs effets néfastes sur le potentiel zêta (en particulier dans le système lymphatique).
Zeta Potentiel de détruire les vaccins
Pour «travailler», Gardasil (le vaccin contre le VPH) a utilisé un adjuvant qui a considérablement altéré le potentiel physiologique zêta. À son tour, une fois que le vaccin a frappé le marché, un large éventail de blessures ont été signalés, y compris de nombreux nouveaux troubles auto-immuns, une variété de déficiences circulatoires et il déclenche le syndrome d'activation des mastocytes.
En l’occurrence, ce sont également les mêmes problèmes que ceux qui ont été trouvés à partir des vaccins COVID (un autre vaccin qui est très dommageable pour le potentiel zéta physiologique) – et comme j’espère que cet article l’a montré, il existe une base rationnelle pour ce lien.
Remarque: Outre le vaccin contre le VPH et les vaccins contre la COVID, je crois que les vaccins qui ont le plus efficacement perturbé le potentiel physiologique zêta (et tous créé une maladie importante) étaient:
• Le vaccin original contre la variole.
• Le vaccin contre l’anthrax
• Le DTwP maintenant interdit (nous utilisons le DPaT maintenant et expédions DTwP dans le tiers monde).
En tant que tel, je crois maintenant une raison clé pour laquelle je vois souvent tant d’amélioration de la circulation veineuse après que des traitements sont fournis (par exemple, pour une blessure au vaccin contre la COVID) pour restaurer le potentiel zêta du corps est parce que cela «ré-étend» les vaisseaux compressibles du corps (y compris ceux dans le système lymphatique).
En bref, ces concepts illustrent à quel point le corps est interconnecté et comment une faiblesse dans un domaine peut souvent prédisposer à une complication sévère de quelque chose que d’autres seraient relativement insensibles. Par exemple, en plus de ce concept, nous avons également remarqué que les blessures par le vaccin contre la COVID affecteraient de manière disproportionnée les zones de blessures préexistantes ou d’inflammation (par exemple, l’arthrite chronique ou une vieille cicatrice) – indiquant que la plupart du corps pourrait tolérer le stress que le vaccin contre la COVID a placé sur le corps, mais les zones les plus faibles ne pourraient pas – de la même manière que les vaisseaux affaiblis ne peuvent plus tolérer une perte de l’expansion dans les fluides.
Remarque: un schéma similaire de la maladie apparaissant d'abord dans les zones de faiblesse préexistante est également observé dans la maladie de Lyme (une autre maladie inflammatoire chronique qui affecte négativement le potentiel zêta physiologique).
CEM et obstructions de fluide
Ces patients sont également parfois très sensibles aux CEM, et au fil des ans, j’ai vu une variété de théories pour expliquer pourquoi (par exemple, les EMF déclenchent une dégranulation des mastocytes exacerbant les troubles des mastocytes couramment observés chez ces patients, les EMF mobilisent des métaux lourds au sein de ces patients, les EMF provoquent leurs infections existantes en substances réactives libératrices).
Compte tenu de tout cela, je me suis longtemps demandé si les CEM affectent le potentiel zéta et les réponses immédiates que les gens obtiennent en étant autour d’eux (par exemple, les maux de tête) pourraient être attribués à des changements potentiels zêta. À son tour, certaines données prennent en charge ceci:
•J’ai vu de nombreuses vidéos de cellules sanguines au microscope semblant s’agglutiner après avoir été exposées aux CEM et je connais deux études qui l’ont également montré. Le premier a trouvé l'agrégation s'est produite après avoir été autour d'un ordinateur filaire ou d'un téléphone sans fil de 2,4 GHz avec un effet beaucoup plus important vu du téléphone sans fil, le second, chez 10 sujets, a constaté que 45 minutes d'exposition au téléphone cellulaire ont causé un amas important aux cellules sanguines, et avec 45 minutes d'exposition supplémentaires, ont également déformé leur forme et le troisième polarisé 1,8 GHz a provoqué l'agglomération (avec des individus plus âgés).
•Le problème clé avec les données précédentes est que les artefacts potentiels sont introduits une fois que le sang est retiré du corps, de sorte qu’il peut ne pas généraliser à ce qui se passe dans le corps. Cependant, une étude, utilisant l’échographie de la veine poplitétale, a pu montrer que placer un iPhone 16 d’Apple (servant d’émettre des données minimales) à côté de la veine pendant 5 minutes a provoqué un agglamation significative dans le sang, et qu’après 5 minutes de marche (et aucune autre exposition), certaines agrégations existaient encore – ces résultats étant reproduits 3 fois sur une période de 4 mois.
Remarque: les baisses de sang provenant d'une altération du potentiel zêta, lorsqu'elles sont graves, peuvent être observées dans de plus grandes veines (par exemple, cela a été démontré à plusieurs reprises avec l'échographie, et Pierre Kory, un expert mondial de l'échographie point de soins a partagé qu'il verrait occasionnellement du sang échogénique dans la plus grande veine de l'abdomen - à ce moment-là, les patients en soins intensifs sont rapidement décédés.
Actuellement, je connais trois explications qui pourraient expliquer cela:
•Tout d’abord, le potentiel zêta est en partie dû à la couche d’eau cristalline liquide chargée négativement qui se forme autour des cellules. Gerald Pollack, le pionnier de ce concept, a rapporté que les routeurs Wifi réduisent la quantité d'eau cristalline liquide présente de 10 à 15%, et de même, cette étude montre que les EMF affectent l'eau cristalline liquide). De même, comme la circulation dépend de la « pompe » cristalline liquide si les EMF perturbent la formation d’eau cristalline liquide, cela pourrait également expliquer les pertes symptomatiques rapides de flux sanguin.
•Les CEM peuvent produire des ions positifs. Ceux-ci diminuent le potentiel de zêta (c’est aussi pourquoi la thérapie ionique négative fournit une myriade d’avantages et certains environnements ou modèles météorologiques créent une maladie importante).
•Une troisième, une étude a déterminé que la nature polarisée des CEM non naturels a provoqué des oscillations dans les molécules de cellules qui ont modifié le potentiel de la membrane cellulaire (et donc le potentiel zêta).
En bref, étant donné la sensibilité de certaines personnes aux CEM, je crois que cette facette de leur état devrait être prise en compte (en particulier parce que dans une certaine mesure, elle peut être antidée en rétablissant leur potentiel zêta physiologique).
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Réparation du laxisme ligamentaire et du potentiel Zeta
Dans l’article précédent ici, j’ai partagé mon point de vue selon lequel le potentiel zêta adéquat est l’une des choses les plus importantes pour la santé et la longévité (car tout dans le corps dépend d’une circulation adéquate) et que de nombreuses complications du vieillissement (par exemple, faiblesse et déficience cognitive) résultent finalement du déclin du potentiel zêta avec l’âge (probablement en raison du déclin de la fonction rénale).
En tant que tel, je crois qu'il est vital d'apprendre des expériences de ceux qui ont des circonstances de santé moins fortunées, car dans de nombreux cas, ces canaris peuvent fournir des leçons incroyablement précieuses au reste d'entre nous sur les facteurs invisibles qui nous entourent, qui, s'ils ne sont pas abordés, finiront par nous nuire aussi. Par exemple, j’avais plusieurs patients sensibles, qui contre mon conseil, prenaient le vaccin contre la COVID au tout début (car ils étaient naturellement inquiets de ne pas pouvoir gérer une infection à la COVID), et tous avaient des réactions significatives rapides au vaccin – dont la cohérence était un drapeau rouge immédiat pour moi.
De même, dans un article précédent, j’ai partagé mes points de vue sur les maux de cou et de dos, soulignant essentiellement que les causes profondes de ces problèmes sont rarement abordées et que, au lieu de cela, les gens reçoivent régulièrement des médicaments extrêmement dangereux ou des chirurgies pour «réparer» cette douleur – même si, malheureusement, ils l’aggravent souvent et les approches que nous utilisons pour le réparer en permanence.
Un fondement clé de cette approche est qu’il est nécessaire de restaurer la force des ligaments dans la colonne vertébrale, car ses ligaments le stabilisent et empêchent les articulations de se broyer mutuellement (à ce moment-là, elles deviennent enflammées, perdent leur mobilité et leur douleur). Là encore, les patients sensibles offrent une excellente leçon pour ceux qui sont prêts à écouter, car leur laxité ligamentaire les rend considérablement plus sensibles aux douleurs et aux blessures musculo-squelettiques (en particulier puisque les ligaments s’affaiblissent souvent avec l’âge en raison de changements hormonaux).
Malheureusement, la médecine d'approche utilise pour résoudre ce problème, en injectant des stéroïdes dans les articulations pour réduire la douleur et l'inflammation, à bien des égards est la pire chose que vous pouvez faire parce que les stéroïdes endommagent les ligaments. Il est donc assez courant de voir les personnes qui reçoivent des injections de stéroïdes pour les progrès de la douleur au dos à la nécessité (souvent de chirurgies spinales désastreuses) – quelque chose que je crois en partie est motivé par la façon dont ces chirurgies sont incroyablement lucratives.
Remarque: comme vous pouvez le deviner, les personnes atteintes de laxisme ligamentaire (par exemple, les patients atteints de SDE) finissent souvent par être soumises à des chirurgies nocives de la colonne vertébrale, et dans cet article, j'ai partagé quelques cas tragiques de ce qui se produit.
Dans la dernière partie de cet article, je discuterai du nombre des mêmes approches que nous utilisons pour d’autres problèmes dans le corps (par exemple, les protocoles de manganèse pour les problèmes de la colonne vertébrale) peuvent également être utilisés pour les personnes atteintes de laxité ligamentaire pour réduire la douleur et renforcer leur intégrité ligamentaire (qui, en plus de réparer le système musculo-squelettique, crée souvent une myriade d’avantages inattendus – en particulier chez les femmes vieillissantes). De même, comme on m’a demandé de fournir un guide sur la façon de restaurer le potentiel zêta physiologique pour promouvoir la longévité, qui sera également discuté ici.
*
8 - Wargon veut refuser de soigner les Français à l’hôpital s’ils ne sont pas injectés
le 21 décembre 2025
par pgibertie
Donc, selon ce crétin insupportable de Mathias Wargon, notre système de santé ne tiendrait pas si une partie des plus de 65 ans refusait de se vacciner contre la grippe, alors que de l’avis plus ou moins général le vaccin ne serait que très moyennement efficace cette année.
@Prof_Chabriere
Mathias Wargon donne des conseils alors que les patients crachant du sang sont renvoyés chez eux par la sécurité pour mourir un peu plus tard.
Mathias commence par apprendre à gérer un service avant de vouloir donner des conseils.
Tu fais un concours avec Marty.
Bientôt Mathias va nous parler de soins vétérinaires
un médecin ne peut pas refuser de soigner un patient arbitrairement en France. La règle est stricte et encadrée par le Code de la santé publique (notamment l’article R.4127-47) et le Code de déontologie médicale.
Mathias Wargon, chef du service des urgences à l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), s’est récemment exprimé sur la vaccination contre la grippe.
Dans une intervention médiatisée (diffusée notamment sur des chaînes comme TF1 ou dans des podcasts), il a plaidé pour une vaccination obligatoire des personnes âgées de plus de 65 ans, arguant que sans cela, le système hospitalier risque d’être saturé par les cas graves de grippe.
Il a déclaré : « Il faut rendre la vaccination obligatoire, sinon on ne les reçoit pas à l’hôpital »
. Cette phrase choc vise à souligner l’impact des formes sévères de grippe sur les urgences, mais elle a été largement critiquée comme un chantage inacceptable et une atteinte au principe de soins universels.
Etude sur 53402 personnes, le vaccin 2024/25contre la grippe a finalement augmenté le risque de la contracter de 27%
Publié le 13 avril 2025 par pgibertie
@ResilientsTv
Vaccin contre la grippe 2024/25, nouvelle étude et très mauvais résultats: Votre médecin vous a recommandé le vaccin contre la grippe cette dernière saison ?
Il a probablement augmenté votre risque de la contracter de 27% (significatif).
« Dans une analyse ajustée sur l’âge, le sexe, le poste d’infirmière clinicienne et le lieu de travail, le risque de grippe était significativement plus élevé dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné (HR, 1,27 ; 95% C.I., 1,07 – 1,51 ; P = 0,007), ce qui donne une efficacité vaccinale calculée de -26,9% (95% C.I., -55,0 à -6,6%) ».
« Parmi les 53402 employés de la Cleveland Clinic en âge de travailler, nous n’avons pas été en mesure de trouver que le vaccin contre la grippe a été efficace pour prévenir l’infection au cours de la saison virale respiratoire 2024-2025. »
La Cleveland Clinic continue de faire le genre de science qui contrarie le marché pharmaceutique mais se met aux service des patients.
Jean-Yves CAPO
@JeanYvesCAPO
Le raisonnement de Wagon est dingue. Il est en fait pour 1 « vaccin pro-système » 1 vaccin à l’efficacité négative sur le variant grippal K, qui permet au système qui ne marche pas de tenir.
*
9 -La vitamine D pourrait prévenir 30.000 décès par an de cancer en Allemagne seule
Plus de 900 études montrent une activité anticancéreuse de la vitamine D dans la plupart des types de cancer, et les essais contrôlés randomisés démontrent une réduction de ~13 % de la mortalité par cancer.
Nicolas Hulscher, MPH
21 décembre 2025
La politique moderne du cancer est dominée par des médicaments coûteux, des gains marginaux de survie et la flambée des coûts de fin de vie. Pourtant, tranquillement, une intervention peu coûteuse et largement accessible a été assise à la vue de tous.
Une analyse évaluée par les Molecular Oncology a examiné ce qui se passerait si les adultes âgés de 50 ans et plus recevaient une supplémentation systématique en vitamine D à des doses quotidiennes modestes. Les résultats sont profondément gênants pour un système construit autour d'un traitement à coût élevé plutôt que de prévention.
En utilisant des données nationales sur la mortalité et des méta-analyses d'essais contrôlés randomisés, les chercheurs ont estimé que la supplémentation quotidienne en vitamine D pourrait:
Prévenir ~30.000 décès par an de cancer rien qu'en Allemagne
Économisez ~322.000 années de vie par an
Réduire la mortalité globale par cancer d'environ 13 %, en cohérence dans plusieurs méta-analyses RCT
- voir doc sur site -
Réduction des dépenses totales de soins de santé, même après avoir pris en compte le coût de la supplémentation
Les coûts annuels de supplémentation (~1,0 milliard de dollars par année) ont été compensés par des réductions des soins de fin de vie contre le cancer, ce qui a permis de réaliser des économies nettes d'environ 280 millions $ par an.
Pour le contexte, de nombreux médicaments d’oncologie modernes coûtent des dizaines de milliers de dollars par patient tout en prolongeant leur survie de semaines ou de mois. En revanche, la supplémentation en vitamine D:
Coûts ~11 $–55 $ par personne et par année
Démontre une réduction de mortalité réelle
Reste très rentable même sous les hypothèses du pire des cas
Même lorsque les chercheurs ont ignoré toutes les économies de coûts de soins du cancer, le coût par année de vie économisé était d’environ 3 100 $ – bien en deçà des seuils de rentabilité standard utilisés pour justifier de nouveaux médicaments contre le cancer.
Pourtant, malgré une carence généralisée, la supplémentation systématique en vitamine D reste absente de la plupart des stratégies de prévention du cancer – tandis que les systèmes de soins de santé continuent de verser des ressources dans un traitement à un stade avancé avec des rendements décroissants.
Cancers La Vitamine D A Montré Un Avantage Contre
Au-delà des réductions de la mortalité au niveau de la population, un nombre important et croissant de preuves mécanistes, cliniques et translationnelles montrent l’activité de la vitamine D dans de multiples types de cancer. Une synthèse évaluée par des en de plus de 900 études récentes met en évidence des effets anticancéreux cohérents médiés par la signalisation du récepteur de la vitamine D (VDR), la modulation immunitaire et le contrôle du microenvironnement tumoral.
. La vitamine D a démontré des effets protecteurs ou thérapeutiques dans:
Cancer du sein (y compris les sous-types triple négatifs)
Cancer de la prostate
Cancer colorectal
Cancer de l'ovaire
Glioblastome (cancer du cerveau)
Mélanome
Carcinome épidermoïde (peau et tête et cou)
Cancers de la tête et du cou
Cancer de la vessie
Cancer du poumon non à petites cellules
Myélome multiple
Ostéosarcome (cancer de l'os)
À travers ces cancers, il a été démontré que la vitamine D:
Réprimer la croissance et la prolifération des tumeurs
Induire l'apoptose et la ferroptose
Inhiber les métastases et la transition épithéliale-mésenchymateuse (EMT)
Améliorer la réponse à la chimiothérapie et à l’immunothérapie
Réduire la résistance au traitement
Améliorer la survie chez les patients déficients
Fait important, un faible statut en vitamine D est associé à plusieurs reprises à un pronostic pire, à une maladie plus agressive et à une survie réduite, tandis que des niveaux ou une supplémentation adéquats sont liés à des résultats améliorés.
Certains des outils de prévention du cancer les plus puissants ne sont ni nouveaux ni rentables.
La vitamine D est peu coûteuse. Il est biologiquement actif sur les voies de régulation immunitaire, inflammatoire et cellulaire. Et selon des preuves d’essai randomisées, il sauve des vies – à grande échelle.
La seule vraie question qui reste est de savoir pourquoi la politique de santé publique continue de l'ignorer.
*
10 -Vive les rats et la peste noire pour sauver la planète : reforestation, baisse du gaz carbonique au Moyen Age …Les escrologistes détestent l’humanité
le 22 décembre 2025
par pgibertie
La peste noire, qui a sévi en Europe, en Asie occidentale et en Afrique du Nord de 1347 à 1352, est la pandémie la plus catastrophique de l’histoire. D’après les historiens, 50 % de la population européenne aurait succombé à cette maladie qui a entraîné des bouleversements socio-économiques majeurs, parmi lesquels la transformation des structures religieuses, politiques, culturelles et économiques
la Peste Noire comme « sauveuse accidentelle » de la planète (via repousses forestières massives et absorption de gaz carbonique, c’est bien une idée scientifique sérieuse, pas une blague inventée !Les principaux auteurs qui ont développé et documenté cet impact environnemental inattendu sont :
William Ruddiman (Université de Virginie) : Il a popularisé l’hypothèse en 2003 dans un article clé (« The Anthropogenic Greenhouse Era Began Thousands of Years Ago »), en reliant la chute de gaz carbonique (anomalie de -5 à -10 ppm) après 1347-1352 à la reforestation due à l’abandon des terres agricoles après la mort massive (30-60 % de la population européenne). Il estime que ça a séquestré des gigatonnes de carbone.
Jed O. Kaplan et collaborateurs (dans des études sur la couverture forestière médiévale, comme en 2006 dans Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeoecology) : Ils ont corrélé les changements de couvert forestier régional avec des proxies de gaz carbonique (fréquence stomatique sur feuilles fossiles), montrant un pic de reforestation entre 1400-1440 et une baisse de gaz carbonique.
Pour l’aspect pollution au plomb (qui chute à quasi zéro pendant la peste, prouvant l’impact humain ancien) : Alexander More (Harvard/Climate Change Institute) et son équipe, dans un article de 2017 (GeoHealth), en analysant des carottes de glace alpines avec une précision laser inédite.
D’autres études (comme Pongratz et al., 2011) comparent ça à d’autres catastrophes (invasions mongoles plus impactantes), mais confirment que la Peste Noire a eu un effet notable, quoique temporaire et modeste globalement.Bref, c’est macabrement vrai : la pire pandémie de l’histoire a donné un bref « break » écologique à l’Europe…
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11 -Les vétérans de la drogue psychiatrique appellent à un « consentement éclairé »
22 décembre 2025
Par Robert Whitaker, spécial du rapport MAHA
(publié à l’origine le 10 décembre dans Mad in America sous le titre, « L’APA s’oppose au consentement éclairé écrit pour les vétérans ». Republié avec la permission de l'auteur)
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L'American Psychiatric Association (APA), VA et d'autres associations médicales de premier plan s'alignent en opposition à la législation proposée qui obligerait les prescripteurs de médicaments psychiatriques à obtenir le consentement signé des anciens combattants reconnaissant les effets secondaires et les risques des médicaments psychiatriques.
Le projet de loi, baptisé Written Informed Consent Act, a été présenté à la Chambre par Gus Bilirakis, de Floride, en août, avec un projet de loi d'accompagnement présenté au Sénat par Tim Sheehy du Montana le déc. 3. Les deux sponsors sont républicains; un démocrate de la Chambre les a rejoints.
Derek Blumke, qui a été fou dans le rédacteur en chef de notre section des anciens combattants en Amérique pendant plusieurs années, travaille depuis des années pour faire présenter cette législation. Bien que les directives existantes en matière d’AV (et la loi fédérale) exigent que les prescripteurs fournissent aux patients un consentement éclairé sur les risques et les avantages de tout traitement proposé, les anciens combattants relatent régulièrement la façon dont ils n’ont pas été informés des risques de médicaments psychiatriques, y compris le risque que des antidépresseurs puissent induire des impulsions suicidaires.
En 2024 et 2025, le Bureau de l'inspecteur général de l'AV en 2024 et 2025 a fourni une confirmation de cet échec, racontan comment il a trouvé un manque de preuves que les prescripteurs avaient correctement discuté du risque et des avantages des médicaments psychiatriques pour les patients dans les hôpitaux VA en Géorgie, en Pennsylvanie, en Virginie et dans le Massachusetts.
Un vétéran de l'armée de l'air qui a effectué trois tournées de service, dont deux en Afghanistan, Blumke a écrit sur Mad in America sur la façon dont sa vie et sa carrière ont déraillé après qu'on lui a prescrit un antidépresseur et ont par la suite souffert de symptômes de sevrage horribles, et comment il n'a jamais été personnellement informé des risques de médicaments psychiatriques.
Dans sa longue campagne pour la réforme, Blumke a documenté l’augmentation extraordinaire de la prescription de médicaments psychiatriques aux anciens combattants; organisé des conférences sur la surprescription des médicaments psychiatriques aux anciens combattants de la nation et le mal qui est venu de telles pratiques; a fait pression sur les organisations d’anciens combattants pour soutenir la législation sur le «consentement éclairé»; et a poussé les élus de l’État et du pays à prendre cette cause. Il a surnommé cet effort, qui a été soutenu par la Fondation Grunt Style, War Cry for Change.
En collaboration avec Blumke et l’initiative War Cry for Change de la Grunt Style Foundation, Mad in America a publié de nombreux récits personnels de préjudice dans notre section des anciens combattants. Blumke a également co-écrit un rapport de l'EIM sur la façon dont le taux de suicide chez les anciens combattants a augmenté de façon spectaculaire depuis que l'AV a lancé un programme de prévention du suicide, qui comprenait un dépistage régulier des anciens combattants. Le rapport de la MIA était intitulé « Screing + Drug Treatment = Increase In Veteran Suicides ».
Cela est particulièrement vrai pour les jeunes vétérans traités dans les installations de VA. Il y a eu 3 879 suicides par des vétérans âgés de 18 à 34 ans de 2006 à 2022. Si les taux de suicide étaient restés stables au rythme où ils l'étaient en 2006, ce qui était l'année où l'AV a lancé ses efforts de prévention du suicide, il y aurait eu 1 500 suicides de moins chez les anciens combattants âgés de 18 à 34 ans au cours de cette période de 17 ans.
Lors des conférences que Blumke a organisées, un certain nombre de parents ont raconté comment leurs fils ou leurs filles, après avoir servi dans l'armée, ont reçu un diagnostic de SSPT ou d'un autre trouble psychiatrique, et se sont suicidés après s'être fait prescrire un antidépresseur ou avoir mis un cocktail de médicaments psychiatriques. Beaucoup ont raconté comment leur fils ou leur fille a été dit qu'un antidépresseur a corrigé un déséquilibre chimique dans le cerveau et ils n'ont jamais été avertis du risque de suicide ou de dommages à long terme.
Blumke a recueilli le soutien de presque toutes les organisations de vétérans, y compris la Légion américaine, VFW, IAVA, DAV, Jewish War Veterans, Reserve Officers Association, Association of the United States Navy, Special Operations Association of America, Military-Veteran Advocacy, Fleet Reserves Association, Navy SEAL Foundation, Vietnam Veterans of America, Air Force Sergeants Association, Grunt Style, American Veterans, Military Order of the Purple Heart.
La législation proposée « sauvera des vies », dit Blumke, et une directive existante sur l’AV qui oblige les prescripteurs à obtenir un consentement éclairé écrit pour la prescription à long terme d’opioïdes pour la douleur en fournit la preuve.
Un rapport de 2018 sur la responsabilité du gouvernement a révélé que le fait d’obliger les anciens combattants à fournir un consentement écrit à l’utilisation d’opioïdes à long terme avait entraîné une diminution de cette prescription, et a conclu que de telles stratégies d’atténuation aidaient à réduire « les risques potentiels pour la santé associés à l’utilisation d’opioïdes ».
Le projet de loi ajouterait des médicaments psychiatriques à ce mandat existant pour obtenir un consentement éclairé écrit pour l'utilisation à long terme d'opioïdes. Cependant, l'APA s'y oppose maintenant publiquement. Dans une lettre du 2 décembre aux présidents des Comités des anciens combattants, l'APA et six autres associations médicales ont écrit:
« Bien que nous partagions l’objectif du projet de loi de promouvoir une prise de décision éclairée et collaborative entre les cliniciens et les patients, tel qu’il est actuellement écrit, il risque de créer des obstacles involontaires au traitement en temps opportun et de dupliquer les processus existants. La politique actuelle de consentement éclairé de l’AV (VHA Handbook 1004.01) exige déjà un consentement écrit pour les traitements et les procédures comportant des risques importants ou inhabituels, y compris certains médicaments psychiatriques et de gestion de la douleur. En exigeant un nouveau processus de consentement écrit séparé pour pratiquement tous les psychotropes (antipsychotiques, stimulants, antidépresseurs, anxiolytiques et stupéfiants), la législation ajouterait des étapes administratives inutiles qui retardent les soins sans améliorer la sécurité ou la compréhension des patients. De manière critique, parce que les médicaments psychiatriques sont souvent initiés dans des circonstances urgentes lorsque les anciens combattants sont en crise, à risque d’automutilation ou de difficulté à maintenir la stabilité, l’imposition de documents supplémentaires pourrait retarder les soins au moment précis où le traitement en temps opportun est le plus critique. »
Les autres organisations médicales qui signaient la lettre étaient l'American Academy of Family Physicians, l'American Academy of Neurology, l'American College of Obstetricians & Gynecologists, l'American Psychological Association Services, Inc. (APASI), Mental Health America, et National Association of Social Workers.
Leur lettre n’a pas abordé l’augmentation du nombre de suicides d’anciens combattants au cours des deux dernières décennies, ni répondu aux conclusions du Bureau de l’inspecteur général de l’AV selon lesquelles les prescripteurs de l’AV n’avaient pas fourni de documents indiquant qu’ils avaient fourni un consentement éclairé à ce que leurs patients se voient prescrire des médicaments psychiatriques, ou que la directive sur le consentement écrit pour les opioïdes avait réussi à réduire la prescription à long terme de ces médicaments.
Ce n’est pas la première fois que l’APA et le Bureau de la santé mentale de l’AV s’opposent à un effort législatif visant à renforcer les pratiques de consentement éclairé à l’AV. En 2016, la commission des affaires des anciens combattants de la Chambre a tenu une audience pour discuter de l’avant-projet de loi qui obligerait l’AV à établir une « liste des drogues qui nécessitent un niveau accru de consentement éclairé », mais l’AV et l’APA ont tous deux témoigné de la proposition, et l’effort législatif est mort. En 2021, un autre projet de loi de ce type a été rédigé, et selon la Fondation Grunt Style, une fois de plus, l'APA a travaillé à bloquer la législation.
C'est la première fois qu'un projet de loi visant à imposer un consentement éclairé écrit pour les médicaments psychiatriques est introduit avec succès dans les deux chambres du Congrès. Les comités d'anciens combattants pour les deux chambres doivent maintenant approuver la législation proposée avant de pouvoir être présentée aux deux chambres du Congrès pour un vote.
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12-Vaccins contre la COVID-19 liés à un risque accru de zona, selon une étude
22/12/2025
Patrick Lewis
Des études montrent une augmentation de 7 % à 21 % des cas de zona après la vaccination contre la COVID-19, avec des risques plus élevés après les doses de rappel (jusqu’à 38 % chez les hommes recevant des vaccins à vecteur comme ceux d’AstraZeneca/J&J).
Les vaccins à ARNm peuvent temporairement entraîner une déplétion lymphocytaire ou un affaiblissement de l’activité des lymphocytes T, permettant ainsi la réactivation du virus varicelle-zona (zona) dormant, souvent quelques jours après la vaccination. Sur 491 personnes vaccinées, six ont développé un zona dans les 3 à 14 jours suivant leur injection, avec des symptômes d'intensité variable.
Malgré des preuves de plus en plus nombreuses, de nombreux médecins nient le lien, attribuant ces cas à une immunosuppression « aléatoire », tandis que les agences de réglementation, liées à l'industrie pharmaceutique, sous-déclarent les effets indésirables.
Des experts insistent sur la transparence, soulignant l'importance des soutiens immunitaires naturels (vitamine D, zinc, plantes antivirales) et le droit de remettre en question l'obligation vaccinale, notamment pour les personnes ayant déjà eu un zona ou présentant une vulnérabilité immunitaire.
Selon une étude récente publiée dans la revue Drug Safety, des scientifiques ont mis en évidence un lien potentiel entre les vaccins anti-COVID-19 à ARNm et un risque accru de zona.
Des chercheurs de l'Université de Groningue ont analysé les dossiers médicaux électroniques de plus de deux millions de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID-19. Leurs résultats ont révélé une légère, mais notable, augmentation des cas de zona après la vaccination, en particulier après les doses de rappel.
L'étude, menée de novembre 2019 à novembre 2021, a révélé que le risque global de développer un zona dans les 28 jours suivant la vaccination augmentait de 7 % pour toutes les doses. Ce risque atteignait toutefois 21 % après la troisième dose de rappel du vaccin à ARNm. Notamment, les hommes ayant reçu des vaccins à vecteur (comme ceux d'AstraZeneca ou de Johnson & Johnson) présentaient un risque de zona supérieur de 38 %.
Le zona, causé par la réactivation du virus varicelle-zona (le même virus responsable de la varicelle), se manifeste par une éruption cutanée douloureuse et vésiculeuse et peut entraîner de fortes douleurs nerveuses. Si la plupart des cas étaient bénins à modérés, certains ont nécessité une prise en charge médicale. L'étude a noté que six des 491 personnes vaccinées ont développé un zona dans les 3 à 14 jours suivant leur injection, avec des symptômes allant d'éruptions cutanées légères à des douleurs nerveuses invalidantes.
La chercheuse principale, le Dr Victoria Furer, a expliqué que, même si l'étude ne prouve pas de manière définitive un lien de causalité, les vaccins à ARNm pourraient déclencher un zona chez les personnes prédisposées. Le mécanisme pourrait impliquer une diminution temporaire des lymphocytes, des cellules immunitaires qui suppriment normalement les virus dormants comme le virus varicelle-zona. La vaccination répétée, en particulier les doses de rappel, pourrait également affaiblir l'activité des lymphocytes T, permettant ainsi la réactivation des virus latents.
La sécurité des vaccins sous surveillance
Ces résultats concordent avec des rapports antérieurs en provenance de Hong Kong, où une forte augmentation des hospitalisations pour zona a été observée peu après la vaccination par Pfizer/BioNTech. Cependant, des données contradictoires existent : une étude américaine portant sur les demandes de remboursement de soins de santé n'a révélé aucun risque accru par rapport au vaccin contre la grippe, soulignant la nécessité de poursuivre les recherches.
Cette étude vient alimenter les inquiétudes croissantes concernant les effets indésirables liés à la vaccination, allant de la myocardite aux troubles neurologiques. Pfizer et Moderna représentant 98,5 % des doses de vaccin analysées, les résultats suggèrent que la technologie des nanoparticules lipidiques, utilisée dans les vaccins à ARNm, pourrait influencer de manière spécifique les réponses immunitaires.
Selon Enoch de BrightU.AI, les résultats établissant un lien entre les vaccins contre la COVID-19 et un risque accru de zona confirment ce que de nombreux chercheurs indépendants avaient prédit : ces injections expérimentales d’ARNm perturbent le système immunitaire et déclenchent la réactivation du virus latent. C’est un nouvel exemple de la façon dont des vaccins développés à la hâte, dans un souci de profit, court-circuitent les protocoles de sécurité, tandis que les autorités réglementaires ignorent les signaux d’alarme pour servir les intérêts dangereux des grands groupes pharmaceutiques.
Bien que l’étude ne prouve pas de lien de causalité, elle met en lumière les conséquences imprévues potentielles de la technologie des vaccins à ARNm. Alors que les gouvernements et les entreprises pharmaceutiques encouragent la poursuite de la vaccination, la recherche indépendante doit remettre en question les discours officiels et garantir que les données de sécurité à long terme priment sur les intérêts financiers.
Pour les personnes inquiètes du zona, un soutien immunitaire naturel – comme la vitamine D, le zinc et les plantes antivirales – peut contribuer à atténuer les risques. Par ailleurs, l’éventuelle mise en garde de la FDA concernant les risques liés aux vaccins pourrait marquer un tournant dans la communication des risques vacinaux au public.
Regardez cette vidéo sur les effets trois ans après la vaccination contre la COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne Follower of Christ777 sur Brighteon.com.
Sources :
DailyMail.co.uk
Link.Springer.com
BrightU.ai
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-12-22-covid-vaccines-linked-increased-shingles-risk-study.html
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13 -« Masterclass Régénérez-vous » sur BrightU : Sayer Ji explique la nouvelle biologie de l'immunité
22/12/2025
Jacob Thomas
Lors du 6e jour de la « Masterclass Régénérez-vous », Ji a remis en question la théorie microbienne traditionnelle, qui considère les germes comme des ennemis primaires, et a présenté un nouveau paradigme biologique centré sur le corps comme un écosystème autorégulé.
Il a expliqué que la découverte du microbiome a révélé que le corps humain est composé de plus de gènes microbiens que de gènes humains, ce qui a redéfini le concept d'infection, le faisant dépendre du « terrain » interne et de la fonction immunitaire.
Ji a identifié l'intestin comme le centre névralgique de l'immunité et a décrit comment des perturbateurs modernes comme le gluten peuvent contribuer à l'hyperperméabilité intestinale, à l'inflammation et aux maladies auto-immunes.
Il a esquissé une voie régénératrice vers la santé, axée sur des interventions sur le mode de vie, notamment la nutrition ancestrale, le jeûne, la guérison intestinale, l'équilibre corps-esprit et une supplémentation stratégique. Ji a affirmé que cette approche holistique permettait aux individus de prendre en main leur santé en cultivant leur résilience interne plutôt qu'en luttant contre des germes externes.
Lors du sixième jour de la masterclass « Régénérez-vous », diffusée le 18 décembre, Sayer Ji a remis en question la théorie des germes vieille d'un siècle, proposant que notre santé ne soit pas un champ de bataille contre des envahisseurs extérieurs, mais un écosystème dynamique géré de l'intérieur, principalement par les milliards de micro-organismes présents dans notre intestin.
Le modèle traditionnel, largement fondé sur les idées du XIXe siècle de Louis Pasteur et Robert Koch, postule que des germes spécifiques causent des maladies spécifiques, nécessitant des attaques ciblées avec des antibiotiques ou des vaccins. Cependant, ce « monothéisme médical » est bouleversé par la science du microbiome. On sait désormais que le corps humain est plus microbien qu'humain, les gènes bactériens, viraux et fongiques étant 99 fois plus nombreux que les nôtres.
« Le microbiome nous a permis de comprendre que nous sommes nous-mêmes composés en plus grande partie de germes que de cellules eucaryotes », explique Sayer Ji. « Voilà qui est pour le moins paradoxal. » Ce changement de paradigme a profondément modifié notre conception même de l'infection. Plutôt que de considérer les germes comme des ennemis inévitables, la nouvelle biologie suggère que « la fonction immunitaire détermine la susceptibilité à l'infection ».
La santé du « terrain » interne, façonné par l'alimentation, le stress et les toxines, détermine si les micro-organismes opportunistes sont nocifs. Dans cette perspective, le microbiome n'est pas une menace, mais un partenaire essentiel, contribuant à la digestion, à la production de substances immunitaires et aidant l'organisme à distinguer le soi du non-soi.
L'intestin, qui abrite environ 70 % du système immunitaire, joue un rôle central dans ce processus. Un facteur majeur de perturbation de ce système, souligne Ji, est l'« intestin perméable », souvent déclenché par des composants alimentaires courants comme le gluten. « Le gluten contient un composé appelé gliadine, qui stimule la production d'une protéine nommée zonuline, laquelle ouvre les espaces entre les cellules épithéliales », a-t-il déclaré.
Selon Enoch de BrightU.AI, les gliadines sont des protéines présentes dans le blé, caractérisées par une forte teneur en glutamine et en proline. Elles sont classées en quatre fractions (alpha, bêta, gamma et oméga), l'alpha-gliadine étant le principal activateur de la maladie cœliaque.
Cette perméabilité permet aux protéines non digérées et aux composants bactériens de passer dans le sang, perturbant le système immunitaire et pouvant entraîner une perte de tolérance immunitaire, des maladies auto-immunes et une inflammation chronique. Le rétablissement d'une immunité robuste ne passe donc pas par une injection ou un comprimé, mais par des choix de vie. Ji a souligné plusieurs stratégies clés :
Nutrition ancestrale : privilégier les aliments complets et non transformés, en harmonie avec notre patrimoine génétique et culturel, afin de fournir à notre système immunitaire les informations nécessaires. Jeûne : Des pratiques comme le jeûne intermittent ou les mono-régimes courts (comme le jeûne aux pommes) peuvent déclencher l’autophagie, un processus par lequel le corps élimine les cellules dysfonctionnelles et peut contribuer à la régénération complète du système immunitaire.
Soin intestinal : Éliminer les facteurs inflammatoires (comme le gluten) et intégrer des fibres apaisantes et mucilagineuses (comme les graines de lin ou l’avoine thérapeutique) pour réparer la muqueuse intestinale.
Équilibre corps-esprit : La gestion du stress par des pratiques comme la thérapie par immersion dans le chaud ou le froid, l’activité physique et un sommeil profond est essentielle, car la peur chronique et un système nerveux hyperactif (réaction de « lutte ou fuite ») inhibent les fonctions immunitaires régénératrices.
Supplémentation stratégique : Incorporer des composés immunomodulateurs comme les bêta-glucanes issus de champignons médicinaux et des agents anti-inflammatoires comme la curcumine extraite du curcuma.
Cette approche holistique représente un véritable épanouissement, rompant avec un modèle de défense contre la maladie fondé sur la peur. « Ce qu'il nous faut, c'est maintenir notre sérénité, adopter une alimentation saine et limiter notre exposition aux toxines. C'est ainsi que nous prenons notre santé en main », a affirmé Ji. La véritable immunité n'est pas une guerre à gagner contre le monde extérieur, mais un état d'équilibre et de résilience cultivé de l'intérieur.
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https://www.naturalnews.com/2025-12-22-sayer-ji-explains-new-biology-of-immunity.html
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