27/04/2025
Ava Grace
Une étude menée par Lead Safe Mama a révélé que plus de 90 % des 51 marques de dentifrice testées contenaient du plomb, et que beaucoup étaient également contaminées par de l’arsenic, du mercure et du cadmium. Des marques connues comme Crest, Sensodyne et Tom’s of Maine figuraient parmi les plus touchées.
Les dentifrices à base d’argile bentonite, d’hydroxyapatite ou de carbonate de calcium présentaient les concentrations de métaux lourds les plus élevées. Les produits pour enfants, comme le dentifrice pour enfants Tom’s of Maine, présentaient des concentrations de plomb 48 fois supérieures aux limites de sécurité proposées.
La FDA autorise jusqu’à 10 000 à 20 000 ppb de plomb dans les dentifrices, soit bien plus que ce que recommandent les autorités de santé publique. La limite plus stricte de l’État de Washington (1 000 ppb) a été dépassée par plusieurs marques. Les métaux lourds comme le plomb (neurotoxine), le mercure (atteinte au système nerveux) et l'arsenic (cancérigène) présentent de graves risques, notamment pour les enfants, plus vulnérables à l'ingestion et aux effets néfastes à long terme.
De nombreuses entreprises ont nié les conclusions de l'enquête ou ont lancé des menaces de poursuites, alors qu'il existe des alternatives sûres (par exemple, le dentifrice pour bébé Dr. Brown's). Les défenseurs des droits des consommateurs appellent à une réglementation plus stricte et à une plus grande transparence afin de protéger les consommateurs.
Une enquête récente a révélé une contamination généralisée de marques de dentifrice populaires par des métaux lourds dangereux, notamment le plomb, l'arsenic, le mercure et le cadmium.
L'étude menée par l'association Lead Safe Mama (LSM) a révélé que plus de 90 % des 51 marques de dentifrice testées contenaient du plomb, et que beaucoup d'entre elles contenaient également d'autres substances toxiques. Cette découverte soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des produits de soins dentaires quotidiens, en particulier pour les enfants, et met en évidence une lacune réglementaire importante en matière de protection des consommateurs.
Tamara Rubin, fondatrice de LSM, a mené l'enquête il y a 12 ans après avoir constaté une tendance à des taux élevés de plomb dans le sang chez les enfants avec lesquels elle travaillait. Le point commun ? Une marque de dentifrice appelée Earthpaste.
Munie d'un outil de détection du plomb par fluorescence X (XRF), Rubin a étendu ses tests à diverses marques de dentifrices populaires, et ses conclusions étaient alarmantes. 90 % des dentifrices contenaient du plomb, 65 % de l'arsenic, près de la moitié du mercure et un tiers du cadmium. (À lire aussi : Vous empoisonnez-vous avec du dentifrice commercial ?)
Parmi les marques contaminées par ces toxines figuraient des marques connues comme Crest, Sensodyne, Tom's of Maine, Dr. Bronner's, Davids et Dr. Jen. Les niveaux de contamination les plus élevés ont été constatés dans les dentifrices contenant de l'argile bentonite, un ingrédient courant utilisé pour ses prétendues propriétés nettoyantes. L'hydroxyapatite et le carbonate de calcium, d'autres additifs courants, présentaient également des concentrations inquiétantes de métaux lourds.
Ces résultats sont particulièrement inquiétants compte tenu de l'absence de réglementation stricte concernant la teneur en métaux lourds des dentifrices. Bien que la FDA autorise jusqu'à 10 000 parties par milliard (ppb) de plomb dans les dentifrices sans fluor et 20 000 ppb dans les dentifrices fluorés, ces limites sont nettement supérieures à celles fixées par les défenseurs de la santé publique. L'État de Washington, par exemple, a promulgué une loi limitant la teneur en plomb des dentifrices à 1 000 ppb, un seuil que plusieurs des marques testées ont dépassé.
Malgré ces résultats, la plupart des entreprises ne se sont pas engagées à éliminer le plomb et les autres métaux lourds de leurs produits. Certaines ont défendu leurs produits en arguant que des traces de plomb étaient inévitables en raison de l'exposition environnementale, tandis que d'autres ont qualifié les niveaux détectés d'insignifiants. Rubin a déclaré que plusieurs entreprises lui avaient même envoyé des mises en demeure, qu'elle a ignorées et publiées sur son blog.
Les métaux lourds peuvent causer divers problèmes de santé
Le plomb, le mercure, le cadmium et l'arsenic sont tous des cancérogènes connus et peuvent causer divers problèmes de santé. Le plomb, en particulier, est une neurotoxine puissante qui peut causer des troubles cognitifs chez les enfants, endommager les reins et entraîner des maladies cardiaques. Le mercure peut endommager le système nerveux et les reins, tandis que le cadmium est associé à des lésions rénales et au cancer. L'arsenic est un cancérigène connu pouvant provoquer des cancers de la peau, du poumon et de la vessie.
La contamination du dentifrice pour enfants est particulièrement préoccupante. L'organisme des enfants est plus vulnérable aux effets des métaux lourds et ils sont plus susceptibles d'avaler du dentifrice par inadvertance lors du brossage. Le dentifrice naturel sans fluor pour enfants Tom's of Maine, par exemple, contenait 240 ppb de plomb, soit 48 fois plus que le seuil d'intervention recommandé pour les produits pour enfants.
Plusieurs dentifrices pour enfants, comme le dentifrice pour bébé Dr. Brown's, n'ont pas été testés positifs à la présence de métaux, ce qui indique que des alternatives sûres existent. Cependant, l'absence de réglementation stricte signifie que de nombreux dentifrices pour enfants sur le marché peuvent encore présenter un risque.
Les conclusions de l'enquête LSM soulignent le besoin crucial d'une réglementation plus stricte et d'une plus grande transparence dans l'industrie du dentifrice. Si le brossage quotidien des dents est essentiel au maintien d'une bonne santé bucco-dentaire, la présence de métaux lourds dans le dentifrice représente une menace cachée qui pourrait avoir de graves conséquences sur la santé. Les consommateurs méritent de savoir que les produits qu'ils utilisent quotidiennement sont sûrs, et il est de la responsabilité des fabricants et des autorités de réglementation de s'en assurer.
Regardez cette vidéo qui vous apprend à fabriquer votre propre dentifrice naturel, sans métaux lourds dangereux.
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Sources include:
TheGuardian.com
TimesOfIndia.IndiaTimes.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-04-27-90-percent-toothpaste-brands-contain-heavy-metals.html
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Les géants de la technologie et de l'industrie manufacturière augmentent leurs investissements aux États-Unis dans un contexte de promotion de la production nationale
RépondreSupprimer27/04/2025
Laura Harris
Intel, TSMC et Samsung investissent massivement dans la production américaine de semi-conducteurs afin de dynamiser les chaînes d'approvisionnement et de réduire la dépendance à l'égard de la fabrication étrangère.
D'autres secteurs, comme l'industrie pharmaceutique, l'aérospatiale et la technologie, augmentent également leur production américaine, stimulés par la concurrence et les mesures incitatives.
L'administration Trump considère les droits de douane comme un outil pour encourager la production nationale, citant les investissements des entreprises comme preuve de succès. Cependant, les critiques mettent en garde contre les risques pour les petites entreprises et l'incertitude politique à long terme.
Si les grandes entreprises peuvent absorber les coûts, des experts comme Gary Hufbauer affirment que la production américaine de semi-conducteurs pourrait encore avoir du mal à concurrencer les pôles asiatiques moins chers, et que l'impopularité des droits de douane pourrait entraîner de futurs retournements de situation.
Les investissements de grande envergure témoignent de la confiance, mais le secteur manufacturier dans son ensemble reste divisé, avec des inquiétudes quant à la durabilité et aux compromis économiques (hausse des prix à la consommation, difficultés des entreprises de taille moyenne). Les entreprises technologiques et manufacturières de premier plan renforcent leur production aux États-Unis face à une concurrence mondiale accrue dans des secteurs clés comme les semi-conducteurs, l'intelligence artificielle et les produits pharmaceutiques, et aux mesures incitatives soutenues de l'administration Trump pour soutenir l'industrie manufacturière américaine.
L'industrie des semi-conducteurs est à l'avant-garde de cette tendance, avec des acteurs majeurs comme Intel, Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC) et Samsung qui ont investi des dizaines de milliards de dollars dans de nouvelles installations aux États-Unis.
Intel a annoncé un investissement de 20 milliards de dollars dans deux usines de puces de pointe en Arizona, renforçant ainsi sa position parmi les rares fabricants de puces basés aux États-Unis. L'entreprise ouvre également ses installations à d'autres entreprises cherchant des alternatives à la production à l'étranger. TSMC, premier fabricant mondial de puces sous contrat, étend ses activités en Arizona avec 65 milliards de dollars supplémentaires, portant son investissement total aux États-Unis à plus de 100 milliards de dollars.
Cette initiative devrait créer des dizaines de milliers d'emplois dans les hautes technologies et 40 000 emplois dans la construction sur quatre ans. Samsung, quant à lui, construit une usine de semi-conducteurs de 17 milliards de dollars près d'Austin, au Texas. Il s'agit du plus important investissement direct étranger de l'histoire de l'État, afin de stimuler l'approvisionnement mondial en puces.
RépondreSupprimerD'autres secteurs accélèrent également leur expansion aux États-Unis. Eli Lilly prévoit la construction de quatre nouveaux sites de production pharmaceutique, dont trois dédiés à la production de principes actifs pharmaceutiques (API). L'investissement total de l'entreprise aux États-Unis dépassera les 50 milliards de dollars, soit plus du double de ses engagements précédents.
GE Aerospace injecte 1 milliard de dollars dans le secteur manufacturier américain, dont 500 millions pour l'agrandissement de ses installations et 100 millions pour la production de matériaux avancés. L'entreprise prévoit également d'embaucher 5 000 personnes cette année.
Apple a promis des investissements colossaux de 500 milliards de dollars sur quatre ans aux États-Unis, notamment une nouvelle usine de fabrication de serveurs d'IA à Houston et un renforcement de la R&D en ingénierie des semi-conducteurs. Le groupe Hyundai Motor a présenté un plan d'investissement de 21 milliards de dollars aux États-Unis, dont 9 milliards pour la production automobile, 6 milliards pour la localisation des pièces détachées et 6 milliards supplémentaires pour la conduite autonome et la robotique.
Nvidia a également annoncé des partenariats pour produire, pour la première fois, des supercalculateurs d'IA entièrement aux États-Unis. L'entreprise collabore avec Foxconn et Wistron pour construire des installations au Texas, tandis que ses puces d'IA Blackwell sont déjà fabriquées dans l'usine TSMC en Arizona.
Le secteur manufacturier pris entre optimisme et incertitude face à la stratégie tarifaire de Trump
Dans ses discours et déclarations politiques, Trump a présenté les droits de douane non seulement comme une source de revenus, mais aussi comme un levier stratégique pour attirer les entreprises étrangères aux États-Unis. La logique est simple : en renchérissant les produits importés, les entreprises seront fortement incitées à délocaliser leur production aux États-Unis, évitant ainsi des droits de douane élevés tout en bénéficiant d'un accès en franchise de droits au marché américain.
« Les droits de douane visent à rendre l'Amérique à nouveau riche et à lui redonner sa grandeur, et c'est en cours, et cela se produira assez rapidement », a déclaré Trump lors d'un discours conjoint au Congrès en mars. « Il y aura quelques perturbations, mais cela ne nous pose aucun problème. »
RépondreSupprimerLes récentes annonces de ces géants semblent valider l'approche de Trump, mais les sceptiques se demandent si les PME pourront suivre son exemple. Jeremy Tancredi, expert en chaîne d'approvisionnement au sein du cabinet de conseil West Monroe, prévient que l'imprévisibilité de la politique commerciale rend les investissements à grande échelle risqués. (À lire également : Le marché rebondit grâce à la pause tarifaire de Trump, mais l'incertitude plane.)
Par ailleurs, le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a défendu les droits de douane comme un bouclier
Parallèlement, le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a défendu les droits de douane comme un bouclier économique et un outil budgétaire, affirmant qu'ils pourraient générer jusqu'à 600 milliards de dollars par an tout en luttant contre les pratiques commerciales déloyales, notamment de la part de la Chine.
Cependant, les critiques préviennent que le calcul n'est pas si simple. Gary Clyde Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics, note que même avec les droits de douane, la production américaine de semi-conducteurs – un objectif clé de l'administration – pourrait avoir du mal à concurrencer les pôles de compétitivité à moindre coût comme Taïwan et la Corée du Sud. Même si les droits de douane de Trump restent en vigueur, leur impopularité auprès des consommateurs et des entreprises pourrait inciter une future administration à les supprimer, laissant les fabricants dans l'incertitude.
Kate Magill a affirmé dans son article pour Supply Chain Dive que si les droits de douane de Trump ont déjà stimulé des investissements importants, leur impact à long terme dépend de la capacité des petites entreprises à suivre le mouvement et de la capacité des conséquences économiques de la hausse des prix à compenser la relance industrielle promise. Pour l'instant, le secteur manufacturier reste tiraillé entre optimisme et incertitude.
Regardez cet épisode de « Brighton Broadcast News » alors que Mike Adams, le Health Ranger, explique comment les politiques tarifaires de Trump déclenchent un découplage économique mondial.
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Sources include:
TheNationalPulse.com
FoxBusiness.com
Supplychaindive.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-04-27-tech-manufacturing-giants-ramp-up-us-investments.html
L'administration Trump supprime le bureau de Kerry pour le climat, invoquant des excès idéologiques
RépondreSupprimer27/04/2025
Willow Tohi
L'administration Trump a officiellement fermé le Bureau de l'Envoyé spécial du président pour le climat (dirigé par John Kerry sous Biden) en avril 2025, mettant fin à un financement annuel de 17 millions de dollars. Cette décision s'inscrit dans la volonté de Trump de réduire la bureaucratie, de donner la priorité à la croissance économique et de revenir sur les politiques climatiques de l'ère Biden.
Le secrétaire d'État Marco Rubio a qualifié le bureau de « pléthorique » et d'idéologie, inscrivant sa fermeture dans le cadre d'une refonte plus large du Département d'État. L'administration a critiqué le bureau de Kerry pour son « idéologie verte radicale » et a supprimé les pages web consacrées au climat, marquant ainsi un tournant dans la diplomatie axée sur les émissions.
Le mandat de Kerry a été vivement critiqué pour son hypocrisie présumée (par exemple, l'utilisation de jets privés), son manque de transparence et son apparente indulgence envers l'expansion du charbon en Chine. Son bureau a été accusé d'abus de pouvoir, notamment en faisant pression sur les pays occidentaux concernant les combustibles fossiles tout en consultant des groupes d'extrême gauche.
Cette fermeture reflète des revirements plus larges dans la politique climatique américaine, notamment le retrait de Trump de l'Accord de Paris en 2025 (annulant ainsi le retour de Biden en 2021). Ses détracteurs affirment que cette incohérence nuit à la crédibilité internationale, tandis que ses partisans affirment que la priorité donnée à l'accessibilité énergétique profite aux travailleurs américains.
Cette décision renforce la politique énergétique « America First » de Trump, privilégiant la déréglementation et l'industrie nationale aux engagements internationaux en matière de climat. Les écologistes y voient un revers majeur ; les conservateurs y voient un rejet des excès bureaucratiques. Les impacts économiques et environnementaux à long terme restent controversés.
RépondreSupprimerL'administration Trump a officiellement démantelé le Bureau de l'Envoyé spécial du président pour le climat, un département très en vue de l'ère Biden, autrefois dirigé par John Kerry, dans le cadre d'une refonte plus large du Département d'État. La décision d'avril 2025 met fin à une opération annuelle de 17 millions de dollars qui visait activement à conclure des accords mondiaux sur le climat, tout en s'attirant les critiques pour son plaidoyer contre les combustibles fossiles, notamment de la part des législateurs conservateurs et des défenseurs de l'énergie. L'administration a justifié cette fermeture par la nécessité de maîtriser la lourdeur bureaucratique et de se recentrer sur les priorités économiques.
Lancé en 2021, le bureau avait joué un rôle déterminant dans l'élaboration de la politique climatique américaine, en intégrant les discussions environnementales aux relations extérieures. Mais depuis le retour au pouvoir de l'ancien président Donald Trump, le scepticisme à l'égard de ce que les Républicains appellent « l'idéologie verte radicale » a entraîné un recul des initiatives de l'ère Biden.
La disparition d'un bureau controversé
Le Département d'État a confirmé la fermeture, un haut fonctionnaire déclarant que le bureau était « pris en otage par l'idéologie plutôt que par le bon sens ». Le ministère a supprimé ses pages web consacrées au climat peu après la décision, marquant ainsi un net changement par rapport aux politiques privilégiant la réduction des émissions.
Le secrétaire d'État Marco Rubio a présenté cette décision comme s'inscrivant dans un effort plus large de rationalisation : « Dans sa forme actuelle, le département est pléthorique, bureaucratique et incapable de remplir sa mission diplomatique essentielle.»
Il a ajouté que le département d'État était devenu « assujetti à une idéologie politique radicale ».
La suppression du bureau s'inscrit dans la lignée de la priorité accordée depuis longtemps par Trump à la domination énergétique américaine au détriment des engagements internationaux en matière de climat. Début 2025, Rubio a retiré les États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat, annulant ainsi la décision de Biden de revenir dans l'accord, arguant que celui-ci était en conflit avec les intérêts économiques américains.
Un responsable de la Maison-Blanche a renforcé la position de l'administration : « L'administration Trump se concentre sur la réduction du coût de la vie pour les travailleurs américains, et non sur les excuses aux gouvernements étrangers pour avoir libéré la domination énergétique américaine.»
RépondreSupprimerL'héritage de Kerry : diplomatie ou excès de pouvoir ? L'administration Biden a investi Kerry d'un rôle sans précédent, lui accordant des sièges au Cabinet et au Conseil de sécurité nationale, tout en le chargeant de mener les négociations mondiales sur le climat. Kerry a exploité cette position pour promouvoir des politiques vertes agressives, notamment une transition rapide vers les énergies fossiles, et a fréquemment ciblé des secteurs comme l'agriculture pour leur contribution aux émissions.
Mais son mandat a fait l'objet d'un examen minutieux :
Allégations d'hypocrisie : Kerry a été critiqué pour ses nombreux voyages en jet privé alors qu'il prônait la réduction des émissions. Des rapports ont également fait état de consultations menées par son bureau auprès de groupes environnementaux d'extrême gauche.
Controverse chinoise : Alors qu'il faisait pression sur les pays occidentaux pour qu'ils abandonnent le charbon, Kerry a essuyé des critiques pour ne pas avoir réagi à l'expansion des centrales à charbon chinoises. La commission de surveillance de la Chambre a lancé une enquête sur ses relations avec Pékin en 2023.
Manque de transparence : Le bureau a refusé de divulguer les détails de ses opérations, frustrant ainsi les organismes de surveillance et les législateurs.
Le parcours tumultueux de la politique climatique
Cette fermeture marque un nouveau tournant dans la politique climatique américaine. Les États-Unis hésitent sur leurs engagements environnementaux depuis les années 1990, les Républicains s'opposant généralement aux accords mondiaux considérés comme économiquement restrictifs. Le premier mandat de Trump a vu les États-Unis sortir de l'Accord de Paris ; Biden l'a réintégré en 2021, mais Trump s'est à nouveau retiré à son retour au pouvoir.
Les critiques affirment qu'une telle incohérence mine la crédibilité américaine à l'étranger. Ses partisans, en revanche, affirment que privilégier une énergie abordable et une industrie nationale profite davantage à la classe ouvrière américaine que des engagements climatiques symboliques.
Un retour à une politique énergétique « America First »
RépondreSupprimerLa fermeture du bureau de Kerry marque la fin définitive d'une ère de diplomatie centrée sur le climat. Pour l'administration Trump, cette décision souligne son engagement en faveur de la déréglementation et de l'indépendance énergétique, pierres angulaires de sa campagne de 2024.
Si les défenseurs de l'environnement déplorent la perte d'un organe politique clé, les conservateurs la saluent comme un rejet des excès bureaucratiques et de l'activisme idéologique. Alors que Rubio remodèle le Département d'État, le débat se poursuit : le changement climatique doit-il être un pilier de la politique étrangère ou une préoccupation secondaire par rapport à la croissance économique ? Pour l'instant, la Maison Blanche a choisi sa réponse.
Pour les défenseurs de la liberté énergétique, c'est une victoire. Pour les militants pour le climat, c'est un revers. Et pour le public américain, les conséquences – tant économiques qu'environnementales – se feront sentir dans les années à venir.
Sources for this article include:
ClimateDepot.com
FreeBeacon.com
State.gov
https://www.naturalnews.com/2025-04-26-trump-plans-exempt-car-parts-from-tariffs.html
Les législateurs de Floride envisagent un projet de loi autorisant les propriétaires à recourir à une « force raisonnable » contre les drones
RépondreSupprimer26/04/2025
Laura Harris
Les législateurs de Floride envisagent un projet de loi autorisant les propriétaires à recourir à une « force raisonnable » contre les drones qu'ils estiment porter atteinte à leur vie privée, en réponse au malaise croissant suscité par les observations inexpliquées de drones.
L'administration Biden a balayé les inquiétudes concernant les drones mystérieux en 2024, affirmant qu'ils ne représentaient aucune menace pour la sécurité, tandis que le président Donald Trump a suggéré qu'ils étaient probablement exploités par la FAA ou des amateurs.
Le projet de loi, présenté par le sénateur Keith Truenow, permettrait aux propriétaires de prendre des mesures contre les drones survolant leur propriété et de restreindre davantage les vols de drones à proximité de zones sensibles, les forces de l'ordre étant toutefois exemptées.
Ce projet de loi pourrait entrer en conflit avec la loi fédérale, car la FAA réglemente l'espace aérien américain et interdit toute interférence avec les drones. Elle avertit que tirer sur des drones présente des risques pour la sécurité et peut entraîner des sanctions judiciaires. Si cette loi est adoptée (entrée en vigueur en octobre 2025), la Floride serait le premier État à autoriser explicitement de telles mesures, ce qui pourrait déclencher des batailles juridiques et influencer d'autres États face aux inquiétudes croissantes concernant la confidentialité des drones.
Les législateurs floridiens étudient un projet de loi controversé qui autoriserait les propriétaires à recourir à une « force raisonnable » pour abattre les drones qu'ils estiment porter atteinte à leur vie privée, alors que le malaise grandit parmi les résidents face à la recrudescence des observations mystérieuses de drones aux États-Unis.
En 2024, l'augmentation des vols de drones non vérifiés a suscité la frustration des Américains, qui ont exigé des réponses sur l'origine et la réglementation de ces véhicules aériens sans pilote (UAV). L'administration Biden a alors balayé ces inquiétudes, affirmant que les drones ne constituaient pas une menace pour la sécurité nationale et n'étaient pas liés à des adversaires étrangers.
Par ailleurs, le président Donald Trump a suggéré qu'ils étaient probablement exploités légalement par la Federal Aviation Administration (FAA) ou des amateurs, sans toutefois fournir d'explication claire.
En réponse, le sénateur d'État Keith L. Truenow (R) a présenté en mars un projet de loi qui a été approuvé par plusieurs commissions sénatoriales et ajouté au calendrier législatif le 16 avril. Ce projet de loi fait suite au malaise croissant des habitants face à la recrudescence des observations mystérieuses de drones aux États-Unis, dont beaucoup restent inexpliquées malgré les assurances fédérales.
RépondreSupprimerCe projet de loi vise à redéfinir les droits de propriété en permettant aux propriétaires fonciers d'agir contre les drones survolant leur propriété. Cela limiterait davantage les vols de drones à proximité des aéroports, des prisons, des ports, des raffineries et des gazoducs. Notamment, ces règles ne s'appliqueraient pas aux forces de l'ordre, qui déploient régulièrement des drones à des fins de surveillance, notamment lors de rassemblements publics de 50 personnes ou plus.
La Floride dispose déjà de lois comme la loi sur la liberté contre la surveillance injustifiée, qui interdit aux opérateurs de drones d'enregistrer des images de propriétés privées sans consentement. Cependant, le nouveau projet de loi va plus loin en permettant aux propriétaires d'agir contre les drones en temps réel.
Si elle est approuvée, elle entrera en vigueur en octobre 2025. La Floride deviendrait ainsi le premier État à légaliser de telles mesures, créant ainsi un précédent pour les autres États confrontés à l'essor rapide de la technologie des drones et aux préoccupations en matière de respect de la vie privée.
La Floride pourrait entrer en conflit avec la FAA si le projet de loi sur la sécurité des drones était adopté.
Ce projet de loi floridien pourrait entrer en conflit avec la FAA, qui détient l'autorité exclusive sur l'espace aérien américain et interdit formellement d'abattre des drones.
En vertu de la loi fédérale, les drones opérant dans un espace aérien non restreint peuvent légalement survoler des propriétés privées, sauf s'ils présentent un danger direct. De plus, toute interférence délibérée avec un aéronef, même sans pilote, peut entraîner des poursuites pénales et de lourdes amendes.
RépondreSupprimer« Un simple citoyen tirant sur un aéronef, y compris un aéronef sans pilote, représente un risque important pour la sécurité », a écrit l'agence sur son site web. « Un aéronef sans pilote touché par des tirs pourrait s'écraser, causant des dommages aux personnes ou aux biens au sol, ou entrer en collision avec d'autres objets en vol. » (À lire aussi : Les États-Unis, superpuissance, seraient incapables d'abattre des drones « mystérieux », mais nous n'avons aucun problème à abattre nos propres avions de chasse F-18, d'une valeur de 30 millions de dollars.)
« Tirer sur un drone pourrait entraîner une sanction civile de la part de la FAA et/ou des poursuites pénales de la part des forces de l'ordre fédérales, étatiques ou locales.»
En d'autres termes, l'adoption éventuelle du projet de loi en Floride pourrait ouvrir la voie à une bataille juridique entre les autorités étatiques et fédérales.
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Regardez cette vidéo d'une bombe russe détruisant une usine de drones en Ukraine.
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Des essaims de drones ukrainiens ciblent quatre raffineries de pétrole russes lors de la plus grande attaque de drones jamais réalisée.
Une technologie émergente permettrait aux citoyens d'acheter des contre-mesures anti-drones interférant avec leurs missions.
Les États-Unis sécurisent leur chaîne d'approvisionnement en drones, tandis que la domination chinoise sur le marché commercial menace leur SÉCURITÉ NATIONALE.
Des drones attaquent les navires de guerre de la marine américaine et terrorisent les garde-côtes, mais le régime Biden affirme que les milliers de drones présents dans le pays sont inoffensifs et ne constituent pas une menace.
Opération psychologique sur les drones résolue : Des drones chinois, vus lors d'un spectacle de lumières en septembre, ont été utilisés par le régime Biden pour contrôler les pensées américaines et créer un « récit » antireligieux d'invasion extraterrestre.
Sources include:
TheHill.com
MSN.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-04-26-florida-allow-homeowners-use-reasonable-force-drones.html
Un essor des technologies alternatives
RépondreSupprimerEn parallèle du nouvel essor des projets de centrales nucléaires classiques à eau pressurisée, l’époque actuelle est marquée par l’avancée des technologies nucléaires alternatives.
Les centrales à neutrons rapides refroidies au sodium : un nouvel essor technologique.
Cette technologie a le mérite d’utiliser les déchets nucléaires, réduisant ainsi les risques d’usage militaire de ces derniers, et de limiter le besoin de minerai d’uranium. Jusqu’aux années 1990, la plupart des grands pays ont travaillé sur cette filière complexe, de par l’usage de sodium. Mais tout comme en France, les travaux ont été interrompus aux USA et en Grande-Bretagne.
La Russie, à la différence de la France (arrêt du réacteur Superphénix en 1997 sous le gouvernement Jospin ; arrêt du projet Astrid en 2019), n’a jamais interrompu ses efforts. Elle exploite un réacteur de 600 MW depuis 1980, et un de 880MW depuis 2016. Le modèle de série ne semble pas encore défini, mais son déploiement fait partie du plan nucléaire russe à l’horizon 2042.
En Chine, deux réacteurs de design national CFR-600 de 600MW, à combustible russe, sont en construction, et cette technologie y est considérée le pilier probable de la prochaine génération de centrales.
En Inde, le chargement du combustible du réacteur PBFR a démarré en 2024 (retard de 14 ans).
Fin 2024, un accord franco-japonais est conclu pour relancer en commun les travaux de mise au point à l’horizon 2040 d’un nouveau démonstrateur de réacteur au sodium de 600MW: compte tenu de l’arrêt de cette filière durant 25 ans, la remise à niveau technologique et industrielle risque d’être très difficile, les experts ayant disparu.
Particularité américaine : les ‘petits’ réacteurs modulaires petits (moins de 300 MW)
Plusieurs projets se développent en parallèle sous l’impulsion de start-ups, d’investisseurs privés, et d’utilisateurs (notamment les GAFAM : Amazon, Google, META, Microsoft, à la recherche de ressources électriques pour les data centres requis par l’AI). Ils bénéficient d’aides du département fédéral de l’énergie ; 25 États environ (Tennessee, Texas, Michigan, Indiana, Arizona…) ont mis en place des législations favorables. Les projets les plus avancés fonctionnent à la pression atmosphérique, et aucun n’utilise l’eau comme réfrigérant.
RépondreSupprimerLes 3 projets les plus avancés : Terra Power a été le premier à passer durant l’été 2024 du design à la construction d’une première centrale à Kemmerer dans le Wyoming. La société a levé $830 millions auprès d’investisseurs dont Bill Gates, SK Group (grand énergéticien de Corée du Sud), et le sidérurgiste Arcelor-Mittal. La centrale de 345 GW, avec refroidissement au sodium, devrait entrer en production en 2030. Sa construction bénéficie d’un soutien du département fédéral de l’énergie de $ 2 milliards.
Kairos Power a signé en 2024, un contrat avec Google (groupe Alphabet) pour lui fournir 500MW à partir de ses centrales Kairos de 75MW conçues pour une installation par paires. Elles fonctionnent à pression atmosphérique avec refroidissement au sel de fluor. Le combustible est spécifique : des galets de graphite comprenant des kernels d’uranium. La première centrale vise une ouverture en 2030. Un démonstrateur de petite puissance est en construction dans le Tennessee
X-Energy a clos en février 225 une levée de $700 millions auprès notamment d’Amazon et de grands investisseurs de type hedge funds pour financer son projet de réacteur Xe-100 de 80MW conçu pour être mis en place par groupes de 4 ; la petite taille du réacteur permet que la cuve du réacteur soit construite dans une usine et transportée sur le lieu d’implantation de la centrale. Le réfrigérant est l’hélium ; le combustible est similaire à celui de Kairos : des galets de graphite comprenant des kernels d’uranium. En mars, le premier projet de centrale a été déposé par X-Energy et Dow Chemicals auprès du régulateur de l’énergie nucléaire pour autorisation d’une centrale au sein d’usine du chimiste américain sur la côte du Texas ; elle pourrait entrer en service vers 2032. X-Energy et Amazon annoncent viser 5 000 MW en 2039.
Chine : percée dans les centrales nucléaires au thorium et les batteries nucléaires
Un réacteur expérimental (2MW) utilisant du sel fondu de thorium est en service depuis juin 2024 dans l’ouest de la Chine, et a réussi son 1er rechargement de combustible en octobre. Le thorium présente nombre d’avantages : abondance de la matière première ; faible production de déchets nucléaires ; risque de militarisation très limité.
Preuve de relativité : une humanité en quête de vérité (Partie I)
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 26 avril 2025 - 13:30
Une crise de l’humain, pas du virus
Nous sommes à un tournant de l’histoire, où l’humanité, soumise à un stress-test impitoyable, se confronte à ses illusions de maîtrise. La crise sanitaire des années 2020, loin d’être une simple lutte contre un virus, a révélé une guerre intérieure : contre nos dogmes scientifiques, nos biais cognitifs et notre incapacité à tirer les leçons du passé. En 2025, ses échos résonnent – économiques, climatiques, géopolitiques, liberticides – amplifiés par une pollution informationnelle qui obscurcit la vérité et une capture des droits fondamentaux qui consolide le pouvoir d’une minorité. L’intelligence artificielle (IA), souvent parée de vertus salvatrices, n’est qu’un outil humain, imparfait, reflet de nos ambitions et de nos erreurs. Cet essai explore la dualité bien/mal, l’instrumentalisation de la science, les dérives du corporatisme, et les interrelations entre corps, esprit et société. À travers une réflexion philosophique, nous interrogerons notre rapport à la liberté, à la finitude, et à la relativité, pour esquisser un chemin vers une humanité plus lucide, consciente que tout, comme le disait Einstein, est relatif – une danse fragile entre X et son inverse 1/X, entre le yin et le yang.
Essai présenté en trois parties : la première adresse la relativité des valeurs et des crises, la deuxième est sur la confiscation de la vérité et la troisième sur la prise de conscience de l’humanité, sur la résistance.
La dualité bien/mal, une équation sans absolus
Le bien et le mal ne sont pas des vérités figées, mais des notions fluides, interdépendantes, comme X et son inverse 1/X dans une équation cosmique. Cette relativité traverse l’histoire avec une constance déconcertante. Au Moyen Âge, les seigneurs féodaux protégeaient leurs serfs des invasions tout en les asservissant à une vie de labeur, justifiant leur exploitation par un devoir de « sécurité ». À l’ère coloniale, les esclavagistes soignaient leurs captifs pour préserver leur « valeur marchande », apaisant leur conscience par des gestes de fausse bienveillance. Au XIXe siècle, les industriels de la révolution, exploitant ouvriers et ressources jusqu’à l’épuisement, finançaient des œuvres caritatives pour polir leur image. Aujourd’hui, les philanthropes modernes – milliardaires technologiques ou pharmaceutiques – financent de prétendu causes nobles, comme l’accès aux vaccins dans les pays pauvres, tout en accumulant des richesses par des pratiques opaques, comme l’évasion fiscale ou la collecte massive de données personnelles.
En 2025, cette dualité s’incarne dans des politiques ambiguës. Les Zones à Faibles Émissions (ZFE), censées protéger l’environnement en limitant la pollution urbaine, excluent les populations modestes des centres-villes, privant artisans, chauffeurs et livreurs d’accès à leur lieu de travail. La géo-ingénierie, promue comme une solution au réchauffement climatique, risque de perturber les écosystèmes, comme le souligne Robert F. Kennedy Jr., qui dénonce des projets comme l’injection de particules dans l’atmosphère. Les vaccins Covid, présentés comme un bien universel, ont soulevé des questions : une analyse montre des autorisations fragiles face à des effets secondaires sous-estimés, comme la myocardite ou les troubles neurologiques, révélant une tension entre santé publique et intérêts industriels unilatéraux.
RépondreSupprimerRelativité 01
L’IA reflète cette ambiguïté. Elle optimise des processus, comme la logistique médicale pour distribuer des traitements, mais ses algorithmes opaques, nourris de données humaines, reproduisent nos biais – raciaux, sociaux, économiques. Loin d’être une conscience autonome, l’IA est un outil, comparable au Minitel, à la presse écrite ou à Internet, incapable de saisir les interrelations complexes du cerveau humain : émotions qui guident nos choix, intuitions qui défient la logique, liens sociaux qui tissent nos sociétés, mais capable d’en accentuer tous les traumatismes. La crise sanitaire a illustré cette relativité : les confinements, imposés pour protéger les vulnérables, ont engendré des maux profonds – isolement, précarité, défiance – montrant que chaque décision porte en elle son antidote. Platon, dans sa quête du bien, voyait une idée suprême, toujours hors d’atteinte ; nous, nous projetons cette quête sur des machines ou des politiques, oubliant que leur « vérité » n’est qu’un reflet de nos intentions, souvent contradictoires. Comme le yin et le yang, le bien et le mal dansent ensemble, indissociables, nous rappelant que tout choix est relatif, soumis à l’épreuve du temps et des conséquences.
La crise comme stress-test, un miroir impitoyable
La crise sanitaire a agi comme un crash-test sociétal, révélant les fragilités de nos systèmes avec une clarté brutale. Les hôpitaux, débordés par l’afflux de patients, ont exposé les failles d’un système de santé sous-financé depuis des décennies. Les écoles, fermées pendant des mois, ont creusé les inégalités éducatives, laissant des générations d’élèves en décrochage. Les économies, paralysées par les confinements, ont plongé dans une récession inédite. Comme je l’écrivais en le 11 avril 2020, « le coût pour l’économie sera sans pareil », avec des pertes d’emplois massives et un « dur réveil » pour les Français. Les chiffres ont confirmé cette intuition : en France, le chômage partiel a touché 8 millions de salariés en 2020, et les faillites d’entreprises ont bondi de 30 % après la levée des aides publiques (INSEE, 2021). Les petites entreprises – boulangeries, restaurants, commerces de proximité – ont été décimées, tandis que les géants technologiques, comme Amazon, prospéraient, captant une part croissante des richesses.
Ce stress-test s’est prolongé au-delà de l’économie. À Pâques 2020, je notais que les confinements successifs, imposés sans transparence ni débat, sonnaient comme des « cloches » avertissant d’une rupture de confiance entre citoyens et gouvernants. Les Français, cloîtrés chez eux, ont vu leur foi en l’État s’effriter face à des mesures perçues comme arbitraires : fermetures de commerces « non essentiels », couvre-feux, restrictions de déplacement. À l’échelle globale, la crise a accéléré une bascule, analysée en 2020 : la mondialisation, fragilisée par les ruptures de chaînes d’approvisionnement (ex. : pénurie de semi-conducteurs), a cédé du terrain à des dynamiques locales, mais sans corriger les déséquilibres structurels. Les pays dépendants des importations, comme la France, ont vu leur souveraineté économique vaciller, tandis que les multinationales consolidaient leur emprise, captant 40 % des profits mondiaux selon l’OCDE.
RépondreSupprimerRelativité 02 : crash test
Les impacts humains ont été tout aussi dévastateurs. Une étude du National Bureau of Economic Research (2022) estime que les confinements ont contribué à 170 000 décès non-Covid aux États-Unis, liés à des retards de soins, des maladies chroniques non traitées, et une hausse des suicides. En Australie, les confinements stricts des tours de logements sociaux à Melbourne ont été qualifiés de violations des droits humains, traitant les résidents comme des menaces plutôt que des citoyens. En France, l’INSEE a rapporté une surmortalité non-Covid en 2020-2021, notamment chez les jeunes, marqués par l’isolement et la précarité : les suicides ont augmenté de 8 % chez les 15-24 ans (Santé Publique France, 2022). Ces coûts, humains et sociaux, étaient prévisibles, mais ignorés par des décideurs obsédés par des courbes épidémiques, souvent biaisées.
Ce stress-test se prolonge en 2025. Les ZFE, en restreignant l’accès automobile sous prétexte de lutte contre la pollution, pénalisent les travailleurs modestes – chauffeurs, artisans, livreurs – sans s’attaquer aux véritables pollueurs, comme les industries pétrochimiques ou aéronautiques. Les modélisations climatiques, comme celles de la Covid, souffrent de biais humains : une étude montre que le rôle du CO2 est surestimé, minimisant les impacts socio-économiques des politiques vertes. La géo-ingénierie, vantée par certains, risque de déséquilibrer les écosystèmes, ignorant les limites de la nature. Ces crises – sanitaire, économique, climatique – révèlent un schéma (pattern) : l’humanité, en cherchant à dompter l’inconnu, se heurte à ses propres finitudes.
Einstein l’avait compris : tout est relatif, y compris notre capacité à anticiper les conséquences de nos actes. Les leçons de la Covid – précarité, défiance, fracture sociale – semblent oubliées, comme si l’histoire, tel un professeur sévère, nous condamnait à répéter nos erreurs.
Partie II à suivre
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-preuve-de-la-relativite-une-humanite-en-quete-de-verite
Tout a 'commencé' avec les couleurs de peaux et le racisme (inventé par les merdias) alors que le premier être humain sur Terre était bronzé, puis, la glace fondant sur notre globe ont gagné les zones tropicales puis ont gagné les pôles en perdant leur bronzage.
SupprimerPuis est arrivé 1997 avec Al Gore (qui n'est pas un scientifique) à Kyoto déclarant devant ses invités scientifiques qu'il y avait un Global Warming !!
Puis l'arrivée de l'Internet avec ses échanges mondiaux de savoir faisant passer le monde de l'an 2000 avec ses 4 % de surdoués à plus de 10 fois plus depuis. L'inquiétude des dictateurs grandissait.
Puis le 11 Septembre 2001 avec ses holographies d'Hollywood proposant l’invraisemblable situation où des avions en aluminium (sauf réacteurs et trains d'atterrissage en acier) pouvaient couper des poutrelles verticales d'acier larges de 80 cm avec leurs ailes !! (et téléphoner d'avions vers le sol alors qu'en 2001 n'existait pas de relais pour les téléphones portables !!).
Puis 2020 où des poussières (de format nano et non radioactives) pouvaient attaquer les humains !! (Il y a sur Terre des milliers de laboratoires qui chaque jours analysent la qualité de l'air et... ne les ont jamais découvertes ! Çà alors !!). Le Plan Dépopulation21 était lancé avec ses piqûres létales analysées par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej qui démontraient que les flacons injectables contenaient entre:
95 à 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des spikes !!
+ des hydres !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
Mais aujourd'hui... PERSONNE n'en parle !!!!! Çà alors !!
La confiscation de la vérité – Science, narratifs et pouvoir (Partie II)
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 27 avril 2025 - 12:12
Ceci est la seconde partie d'un essai en trois parties sur la relativité. La première partie portait sur l'humanité en quête de vérité.
Avec l’hypnose collective, la vérité est confisquée
La crise sanitaire a engendré une hypnose collective, orchestrée par des récits médiatiques et amplifiée par une pollution informationnelle sans précédent. En 2020, les chaînes d’information diffusaient des courbes épidémiques en boucle, transformant des données brutes en sources d’angoisse collective. Les réseaux sociaux, propulsés par des algorithmes, ont exacerbé la polarisation : d’un côté, les discours officiels prônant les confinements et les vaccins ; de l’autre, des théories alternatives, parfois complotistes, alimentées par la défiance. En 2025, cette fragmentation persiste : sur X, les débats sur le climat, l’Ukraine ou les ZFE oscillent entre dogmatisme et suspicion, sans terrain commun. Une analyse dénonce cette « pollution informationnelle », où des médias, sous couvert de vérité, imposent une vision univoque, étouffant la liberté d’expression. Les fact-checkers, souvent financés par des intérêts corporatistes, qualifient de « désinformation » toute voix dissidente, transformant le débat en tribunal où le verdict précède les preuves.
Cette dynamique repose sur une « fabrique des tendances » : les médias créent des urgences artificielles, manipulant les émotions pour court-circuiter la réflexion critique. Une crise est déclarée – sanitaire, climatique, géopolitique – et les citoyens, submergés par l’urgence, acceptent des mesures qu’ils auraient contestées en temps normal. Une autre analyse décrit une propagande moderne où les « standards » de vérité sont dictés par des narratifs préfabriqués, relayés par des algorithmes qui privilégient l’engagement émotionnel sur la raison. La crise russo-ukrainienne en est un exemple criant : les médias occidentaux, en diabolisant un camp, ont occulté les impacts sur les populations – hausse des prix de l’énergie, insécurité alimentaire – alimentant la peur plutôt que le dialogue.
Relativité 04 - Oeuil
Comme je l’écrivais en 2020, internet fut un paradoxe : un allié, permettant de maintenir des liens sociaux dans un monde cloîtré, et un ennemi, propageant la désinformation à une vitesse inédite. Les citoyens, bombardés de messages contradictoires – « restez chez vous », « vaccinez-vous », « le virus est sous contrôle », « la vague revient » – ont été plongés dans une confusion paralysante. Cette hypnose n’est pas nouvelle : les religions jadis, les idéologies ensuite, ont toujours cherché à façonner les esprits, à capturer la science. Mais, la vitesse et l’ampleur de la manipulation moderne, dopée par les technologies, sont sans précédent.
L’IA, en amplifiant ces dynamiques via des algorithmes d’engagement, n’est ni la cause ni la solution. Comme le Minitel, la presse ou Internet, elle est un outil neutre, manipulé par des humains aux intentions variées. Le cerveau humain, avec sa capacité à douter, à relier corps et esprit, à tisser des liens sociaux, reste le seul rempart contre cette hypnose. Les émotions qui nous animent, les intuitions qui nous guident, les relations qui nous définissent ne se réduisent pas à des lignes de code.
RépondreSupprimerLa relativité des narratifs s’impose : la vérité n’est pas un monolithe, mais un équilibre fragile entre perspectives, un dialogue que la pollution informationnelle cherche à confisquer. Comme Socrate, nous devons questionner sans relâche, car c’est dans le doute que naît la liberté.
L’instrumentalisation de la science : un dogme contre la rupture
La science, jadis espace de débat et de progrès, s’est muée en dogme, capturée par des idéologies, des biais cognitifs et des intérêts économiques. La crise sanitaire a cristallisé cette dérive : le mantra « je crois en la science » est devenu une injonction, étouffant la controverse qui est pourtant le moteur de la découverte. La jurisprudence Hertel (1998), défendue par la Cour européenne des droits de l’homme, le rappelle avec force : « la science avance par ruptures, par des voix dissidentes défiant les consensus établis, non par une vérité imposée par la majorité ». Pourtant, durant la pandémie, un consensus artificiel a été érigé comme une vérité de groupe, transformant la science en arme politique.
Les confinements en sont un exemple flagrant, justifiés par des modélisations mathématiques, notamment celles de Neil Ferguson, Simon Cauchemez, et Arnaud Fontanet, qui reposaient sur des hypothèses alarmistes souvent déconnectées du réel. Les modèles de Ferguson, en particulier, ont joué un rôle central dans les décisions politiques mondiales, mais ils souffrent d’excès systématiques, tant dans leurs prédictions que dans leur conception technique. Pour la Covid, son rapport de mars 2020 prédisait 510 000 morts au Royaume-Uni et 2,2 millions aux États-Unis sans confinement, des chiffres qui ont paniqué les gouvernements, pour qui veut encore le croire, et conduit à des confinements généralisés. Ces estimations reposaient sur des hypothèses irréalistes : un taux de reproduction (R0) exagéré (jusqu’à 3,5, alors que les données ultérieures montrent un R0 moyen de 2,5), une létalité uniforme non ajustée aux groupes d’âge (ignorant que 80 % des décès touchaient les plus de 65 ans), et une absence de prise en compte des comportements adaptatifs spontanés, comme la distanciation volontaire ou l’amélioration des soins. En réalité, même sans confinement strict, des pays comme la Suède ont enregistré des mortalités bien inférieures, avec 6 000 morts en 2020 pour 10 millions d’habitants, contre les 50 000 prédits par des modèles similaires.
Relativité 07
RépondreSupprimerCes excès ne sont pas nouveaux. François Pesty pharmacien l’expliquait dans « les prophéties ubuesques des épidémiologistes modélisateurs ». Ferguson a une histoire de surestimations dans ses modélisations, suggérant un biais vers l’alarmisme. En 2001, pour la fièvre aphteuse au Royaume-Uni, ses modèles ont conduit à l’abattage de plus de 6 millions d’animaux, causant des pertes économiques d’environ 10 milliards de livres ; aucun décès humain n’a été recensé. Des estimations selon lesquelles il aurait prédit 150 000 morts humaines sont répandues, mais non confirmées par des sources primaires, entraînant l’abattage de plusieurs millions d’animaux et des pertes économiques de milliards de livres ; aucun décès humain n’a été recensé. En 2005, pour la grippe aviaire (H5N1), il estimait 200 millions de morts possibles à l’échelle mondiale ; moins de 500 décès ont été confirmés par l’OMS. En 2009, pour la grippe porcine (H1N1), il projetait 65 000 morts au Royaume-Uni ; le bilan final fut de 457 décès. En 2014, pour Ebola, ses modèles anticipaient des centaines de milliers de cas en Afrique de l’Ouest ; le total s’est limité à 28 000 cas, dont 11 000 décès (OMS, 2016). Ces écarts, souvent de l’ordre de 100 à 1 000, ne sont pas de simples erreurs : ils traduisent une méthodologie qui privilégie les scénarios « pire cas » sans les confronter aux données historiques, amplifiant la peur et justifiant des politiques extrêmes.
Techniquement, les modèles de Ferguson souffrent de failles graves, aggravant leurs excès. Une analyse du code source, publiée en 2020, révèle un programme « non déterministe » : les résultats variaient selon l’ordinateur utilisé, même avec les mêmes paramètres initiaux, rendant les prédictions imprévisibles. Le code, écrit en Fortran, contenait 15 000 lignes dans un seul fichier – une pratique jugée « horrible » par les ingénieurs logiciels, rendant l’audit quasi impossible. Des bugs critiques ont été découverts : un générateur de nombres aléatoires défectueux, des erreurs de corruption de données, et des fautes d’orthographe dans les variables (ex. : « household » mal écrit). Une simulation avec le code initial donnait 57 millions de personnes infectées-recouvrées au jour 128, contre 42 millions avec la version corrigée, soit une différence de 34 % pour les mêmes paramètres. Un ingénieur a résumé la situation : « Vous ne parieriez pas votre vie là-dessus ». Le mathématicien Vincent Pavan a aussi démonté les modèles de Cauchemez : il aura fait énormément de mal à la population française avec des modèles qui ne tiennent pas la route scientifiquement entrainant de nombreuses pertes de chance pour la population avec des lois qui reposent potentiellement sur des faux. Ces incohérences rendaient les prédictions fondamentalement peu fiables, mais elles ont été acceptées sans contre-expertise, façonnant des politiques aux conséquences dévastatrices.
Science, philosophie et éducation : la fracture du sens, du bon sens
RépondreSupprimerLa science moderne, coupée de la philosophie, a perdu son ancrage humaniste, devenant une machine à produire des vérités fragmentées, déconnectées du réel. Chez Aristote, la science explorait l’univers pour comprendre l’homme, ses désirs, ses limites ; chez Léonard de Vinci, elle dialoguait avec l’art, capturant la beauté du vivant ; chez Einstein, elle s’entrelaçait avec la relativité, reconnaissant que tout – temps, espace, vérité – est interconnecté.
Aujourd’hui, la spécialisation extrême a brisé ce lien : les scientifiques, cloisonnés dans leurs disciplines, ignorent les impacts sociaux de leurs travaux. La crise sanitaire l’a montré : les modélisations épidémiologiques, obnubilées par les courbes hospitalières, ont négligé les coûts humains – isolement, désespoir, rupture des liens sociaux. La Suède, en misant sur la responsabilité individuelle et une approche mesurée, a rappelé que la science doit s’enrichir de la philosophie pour rester humaine, intégrant les interrelations entre santé physique, mentale et sociale.
L’éducation incarne cette fracture. En France, le système scolaire uniformise les parcours, poussant 90 % des lycéens vers le baccalauréat, marginalisant les talents manuels, artistiques ou intuitifs. Cette obsession pour l’intellectualisation, critiquée par Rousseau dans Émile, ignore la diversité des natures humaines. Un élève doué pour la menuiserie est forcé de suivre des études théoriques, comme si l’intellect était la seule mesure de la valeur. Les confinements ont aggravé cette crise : selon l’UNESCO, 1,5 milliard d’élèves dans le monde ont été privés d’école en 2020, creusant les inégalités et brisant les liens sociaux essentiels à l’apprentissage. En France, les décrochages scolaires ont augmenté de 20 % de 2020 à 2022, touchant surtout les milieux modestes (Éducation Nationale, 2023).
Le Monde/BonSens
L’IA, en automatisant l’apprentissage via des plateformes numériques, risque de standardiser davantage, transformant les élèves en rouages d’un système déshumanisé. Des outils comme les cours en ligne, déployés massivement pendant la Covid, ont réduit l’éducation à des écrans, privant les enfants du contact humain – regards, discussions, émotions – qui forge l’esprit. Pourtant, le cerveau humain, avec ses interrelations complexes entre corps et esprit, reste unique. Nos émotions nous animent, nos doutes nous élèvent, nos liens sociaux nous définissent ; aucun algorithme ne peut reproduire cette alchimie. Une analyse avertit que l’IA menace l’esprit critique si elle devient un oracle, reléguant l’humain à un rôle passif.
RépondreSupprimerLa philosophie pourrait réconcilier ces mondes. Voltaire, dans Candide, raillait l’optimisme aveugle des élites, convaincu que tout était « pour le mieux » ; aujourd’hui, il dénoncerait notre foi naïve dans les modèles scientifiques ou technologiques, qui ignorent les interconnexions entre savoir, éthique et société. Une éducation intégrant science, philosophie et éthique formerait des esprits capables de relativiser, de voir que tout – santé, savoir, liberté – est interdépendant, comme les fils d’une toile infinie. Sans cette synthèse, nous risquons de produire des techniciens compétents, mais des citoyens aveugles, incapables de questionner les dogmes qui façonnent leur monde.
L’humanité comme virus – et cela est une réelle alerte écologique et sociale
Et, si l’humain était un virus pour la planète ? En 2025, la crise climatique s’intensifie, tout du moins dans les médias, mais est-ce une réalité que nous ne sommes pas en mesure de comprendre face à notre hubris ou un cri de la nature ? Les médias rapportent que les canicules records, qui ont tué 61 000 personnes en Europe en 2022, se multiplient tout en omettant de relativiser que les épisodes de froid font globalement 20 fois plus de victimes que les périodes chaudes ; les inondations, comme celles du Pakistan en 2023, déplacent des millions de personnes ; l’extinction d’espèces, à un rythme 1 000 fois supérieur au naturel, menace la biodiversité (IPBES, 2023). Les ZFE, en restreignant l’accès automobile sous prétexte de lutte contre la pollution, pénalisent les travailleurs modestes – chauffeurs, artisans, livreurs – sans s’attaquer aux véritables pollueurs, comme les industries pétrochimiques ou aéronautiques. Les modélisations climatiques, comme celles de la Covid, souffrent de biais humains : une étude montre que le rôle du CO2 est surestimé, minimisant les impacts socio-économiques des politiques vertes. La géo-ingénierie, vantée par certains comme une solution miracle (ex. : injection de particules dans l’atmosphère), risque de déséquilibrer les écosystèmes, ignorant les limites de la nature, comme le souligne Robert F. Kennedy Jr.
Relativité 08
La crise sanitaire était un symptôme de ce déséquilibre. La déforestation, en détruisant les habitats naturels, et l’urbanisation, en rapprochant humains et animaux, ont favorisé les zoonoses, comme le Covid. Les confinements, en paralysant les sociétés, ont montré que l’humanité, malgré sa puissance technologique, est vulnérable face à l’infiniment petit – un virus, une bactérie, un déséquilibre écologique. Pourtant, nous n’apprenons pas. Les ZFE, les politiques climatiques technocratiques, reproduisent les erreurs de la Covid, privilégiant des solutions autoritaires à des approches humaines. La Suède, en évitant les confinements, a montré qu’une stratégie mesurée, respectant les équilibres sociaux et naturels, était possible. Elle a intégré les interrelations entre santé, économie et liberté, reconnaissant que l’humain n’est pas un virus, mais un élément d’un tout interconnecté – corps, esprit, écosystèmes.
L’IA, en démontant les modèles climatiques biaisés, a révélé l’ampleur des erreurs humaines. Cependant, elle reste un outil, qui, utilisé à bon escient, peut aider à la décision, et ce n’est pas une conscience capable de saisir ces interconnexions. Les algorithmes peuvent calculer des émissions de carbone, mais ils ne comprennent ni la douleur d’une communauté déplacée ni la beauté d’une forêt préservée.
RépondreSupprimerLa relativité s’impose : l’humain n’est ni maître ni esclave de la nature, mais un partenaire dans une danse fragile, où chaque pas compte. Comme le disait Rousseau, « l’homme est né libre, et partout, il est dans les fers » ; aujourd’hui, ces fers sont aussi écologiques, nous rappelant que notre liberté dépend de notre respect pour le monde qui nous porte.
Le corporatisme et les lobbies ont « capturé la vérité »
Le corporatisme a gangréné la gestion des crises, transformant les institutions en instruments d’intérêts privés. Pendant la Covid, les lobbies pharmaceutiques ont joué un rôle central. Gilead, avec le Remdesivir, a obtenu des contrats lucratifs malgré des preuves limitées de son efficacité, tandis que des traitements précoces, comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, étaient marginalisés. Frédéric Baldan, dans « UrsulaGates : la compromission par les lobbys », décrit ce mécanisme : les lobbies infiltrent les institutions – gouvernements, agences de santé, médias – orientant les décisions publiques au profit de quelques acteurs puissants. En France, le Conseil scientifique, dominé par des experts liés à l’industrie, a privilégié des solutions vaccinales coûteuses, ignorant des alternatives moins rentables, mais potentiellement efficaces. Dans « la Fabrique du Désastre », Jean-Dominique Michel passe en revue le rôle de chacun de ces acteurs dans la pollution des décisions publiques. Laurent Mucchielli dénonce une « délinquance organisée » où les laboratoires manipulent les données pour maximiser leurs profits, au détriment des patients.
L’OMS, financée à 27 % par des acteurs privés comme la fondation Gates, illustre cette capture. Sa politisation a miné sa crédibilité, transformant une organisation censée protéger la santé mondiale en relais d’intérêts industriels. Les vaccins Covid, autorisés en urgence sans données complètes sur les effets secondaires, en sont un exemple. Les risques, comme la myocardite ou les troubles neurologiques, ont été minimisés, tandis que les fabricants, protégés par des clauses d’immunité, échappaient à toute responsabilité.
Droits fondamentaux vs IMMUNITÉ FÉDÉRALE
RépondreSupprimerLa décision Happel v. Guilford (2025), rendue par la Cour suprême de Caroline du Nord, marque une rupture significative. Pour la première fois depuis des décennies, elle a limité l’application du PREP Act (Public Readiness and Emergency Preparedness Act), qui accordait une immunité quasi-totale aux fabricants de vaccins en cas d’urgence sanitaire. En reconnaissant que les obligations vaccinales violaient les droits fondamentaux – notamment le droit au consentement éclairé et à l’intégrité corporelle – cette décision a redonné du poids à la liberté individuelle face aux intérêts industriels. Elle a établi que les citoyens ne sont pas des cobayes au service des laboratoires, et que la responsabilité des fabricants peut être engagée lorsque la science est instrumentalisée. Ce jugement, salué par des figures comme le Dr Jay Bhattacharya, nommé directeur des NIH pour sa défense d’une science libre, ouvre la voie à une reconsidération des rapports entre santé publique et profits.
Ce corporatisme s’étend à d’autres domaines. Les ZFE, en favorisant les industriels automobiles qui adaptent leurs gammes aux normes environnementales, pénalisent les citoyens modestes, incapables d’acheter des véhicules conformes. L’IA, contrôlée par des géants technologiques, risque d’amplifier ces biais, servant de caution à des politiques corporatistes plutôt qu’à l’intérêt collectif.
La vérité, capturée par ces réseaux d’influence, devient une marchandise, reléguant la science et la démocratie au second plan. Comme le disait Kant, « la liberté de penser s’oppose à l’autorité civile » ; aujourd’hui, cette autorité est autant politique qu’économique, et la lutte pour la vérité exige de briser ces chaînes invisibles.
https://www.francesoir.fr/tribunes/la-confiscation-de-la-verite-science-narratifs-et-pouvoir-partie-ii
SupprimerNe faisons pas tout reposer sur l'IA car, d'une part elle est un programme malfaisant conçu par des humains et, d'autre part de la responsabiliser n'efface rien de l'acte car le malfaiteur n'est pas un issu de données informatiques mais un parmi d'autres complices tout aussi criminel que lui.
En 2020 lors de la sortie des flacons injectables de laboratoires, les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej en ont faites l'analyse qui s'est révélée être de la très haute importance puisque son résultat rapporté sur l'Internet faisait état de paralysie et de mort après injection !
Donc, l'escroquerie 'coronavirus' puis après changeant de pseudonyme en 'cocovide19' aurait dû s'arrêter net ! Mais, les merdias du monde entier détenus par un seul homme pour chaque morceau (télé, radio, journaux) ont délibérément publié des mensonges criminels comme ils l'avaient fait quelques 19 ans plus tôt sur le '11 Septembre' avec un accident d'avion qui arrêtait tous les programmes de télés du monde entier ainsi que ses radios !
Mais attention, ils ne faut pas s'arrêter aux journalistes complaisants qui se prostituaient de par leur fonction mais à leurs complicités volontairement criminelles car chacun d'eux avait lu les rapports d'analyse des flacons publiée sur Internet ! mais aussi parler des dictateurs dirigeants animés par derrière les rideaux de la même froideur extrême d'ôter la vie à la population du monde !
S'il vous plaît, NE TOUCHEZ PAS A LA SCIENCE ! On est scientifique ou on ne l'est pas. On ne fait pas la science on la découvre. (Les merdias ne se sont pas gêné de présenter de FAUX scientifiques habillés de blouses blanches de FAUX docteurs et de FAUX professeurs).
Résistance et renaissance – Vers une humanité consciente (Partie III)
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 28 avril 2025 - 09:30
Ceci est la troisième et dernière partie d'un essai sur la relativité. La première partie portait sur l'humanité en quête de vérité, la seconde sur la confiscation de la vérité.
La capture des droits fondamentaux : un outil de contrôle
La crise sanitaire a révélé un mécanisme insidieux : la capture des droits fondamentaux comme outil de contrôle, consolidant le pouvoir d’une minorité au détriment de la majorité. Les confinements, les passes sanitaires, les obligations vaccinales, imposés au nom de la « santé publique », ont restreint des libertés essentielles – déplacement, travail, expression – sous prétexte d’urgence. En France, un indice mondial des politiques Covid a classé le pays parmi les « démocraties défaillantes », aux côtés de régimes autoritaires, en raison de mesures jugées liberticides : couvre-feux, fermetures arbitraires, censure des voix dissidentes. Ces restrictions, souvent justifiées par des modèles scientifiques biaisés, ont transformé les droits en privilèges conditionnels, accordés ou retirés selon la conformité des citoyens.
Relativité 10
Ce mécanisme n’est pas nouveau. Michel Foucault, dans Surveiller et punir, décrivait comment le pouvoir moderne repose sur la discipline : contrôler les corps, les esprits, les comportements, sous couvert de bien commun. Pendant la Covid, les gouvernements ont utilisé la peur – peur du virus, peur de l’exclusion sociale – pour imposer une obéissance collective. Les passes sanitaires ont créé une société à deux vitesses : les « vaccinés », libres de voyager ou de travailler, et les « non-vaccinés », relégués au statut de parias. Cette discrimination a brisé la cohésion sociale, transformant les citoyens en surveillants les uns des autres – un panoptique moderne où chacun devient gardien de la norme.
À l’origine, les élus sont portés par des idéaux : servir le peuple, défendre la justice, promouvoir le bien commun. Mais la rente de situation – salaires élevés, privilèges, exposition médiatique – les pousse à oublier ces principes. En France, un député gagne 7 200 euros par mois, sans compter les avantages (logement, transport), une « place chaude » qui incite à privilégier la réélection sur l’intérêt général. Les confinements, prolongés sans débat parlementaire, illustrent cette dérive : des décideurs, protégés par leur statut, ont imposé des mesures dévastatrices pour les plus vulnérables – commerçants, précaires, jeunes – sans en subir les conséquences. Cette capture du pouvoir par une élite déconnectée consolide une minorité qui, comme le disait Robert F. Kennedy Jr., refuse de lâcher prise : « Résistez, résistez, car une fois qu’ils ont le pouvoir, ils ne veulent jamais le rendre. »
RépondreSupprimerDroits fondamentaux vs IMMUNITE FEDERALE
La résistance, cependant, émerge. La décision Happel v. Guilford, en limitant l’immunité des fabricants de vaccins, a rappelé que les droits fondamentaux – consentement, intégrité corporelle – priment sur les intérêts industriels. Les citoyens, par des actions judiciaires, des manifestations ou des médias alternatifs, défient cette emprise. Mais le combat est inégal : les lobbies, les médias mainstream, et les algorithmes amplifient les narratifs dominants, marginalisant les voix dissidentes.
La liberté, comme le bien et le mal, est relative : elle dépend de notre capacité à reconnaître les chaînes qui nous entravent et à lutter pour les briser, non par la force, mais par la raison et la solidarité.
Vers des solutions : relativiser pour avancer
L’histoire ne se réinvente pas : de la Covid aux ZFE, nous répétons les mêmes erreurs, comme si les leçons économiques, sociales et humaines restaient lettre morte. En 2020, j’écrivais que les confinements auraient « un coût sans pareil », avec des pertes d’emplois et une fracture sociale durables. Les chiffres l’ont confirmé : en France, le PIB a chuté de 8 % en 2020, et les inégalités se sont creusées, les 1 % les plus riches captant 20 % des richesses (INSEE, 2022). En 2021, je notais que la défiance citoyenne, exacerbée par des mesures opaques, marquerait un tournant irréversible. En 2022, j’analysais une bascule vers des économies locales, sans correction des déséquilibres structurels : les multinationales prospèrent, tandis que les artisans peinent. En 2025, ces constats résonnent encore : les ZFE, comme les confinements, privilégient des solutions technocratiques, ignorant les coûts humains – précarité, exclusion, méfiance.
Mais, la crise n’est pas une fatalité ; elle est une invitation à relativiser, à reconnaître les interconnexions entre corps, esprit et société. Les solutions résident dans l’humilité et la mémoire collective :
Éducation critique : réformer l’école pour former des esprits libres, capables de questionner les modèles scientifiques, les narratifs médiatiques, et les métriques du succès. Trop souvent, le succès est mesuré par l’argent – PIB, salaires, profits – au détriment d’indicateurs humains : bien-être, cohésion sociale, liberté. Une éducation intégrant science, philosophie et éthique enseignerait que la richesse véritable réside dans les liens, la curiosité, la résilience. Le déclassement de la France comme « démocratie défaillante » nous rappelle l’urgence de cet éveil.
Dialogue ouvert : créer des espaces où scientifiques, citoyens et philosophes débattent sans dogme, comme en Suède pendant la Covid. La jurisprudence Hertel (1998) nous y invite, rappelant que la science vit de controverses, non de consensus imposés. Les voix dissidentes, comme celles de Raoult, Perronne ou Bhattacharya, doivent être entendues, non censurées.
RépondreSupprimerÉthique humaine : reconnaître les biais cognitifs – peur, conformisme, avidité – qui déforment les politiques publiques. Les ZFE, comme les confinements, illustrent cette cécité, privilégiant des solutions autoritaires à des approches inclusives. Une éthique ancrée dans les droits fondamentaux, comme le montre Happel v. Guilford, protégerait les citoyens contre l’arbitraire.
Respect de la finitude : intégrer les limites écologiques et humaines dans nos choix. La géo-ingénierie, comme les modèles climatiques biaisés, ignore cette réalité, préférant des chimères technologiques à des solutions ancrées – agriculture durable, circuits courts, sobriété Lien. L’IA peut organiser des données, mais seul l’humain, avec son intuition et ses doutes, donne du sens à ces limites.
Mémoire collective : apprendre des crises passées. La Covid a montré les dangers de l’autoritarisme, de la défiance, de la capture des droits ; le climat nous enseigne l’urgence du dialogue ; l’économie nous rappelle la fragilité des liens sociaux. Avons-nous appris ? Les ZFE, les narratifs géopolitiques, et le déclassement démocratique suggèrent que non. Pourtant, l’histoire est un miroir : en la regardant avec humilité, nous pouvons choisir un autre chemin.
Le succès, trop souvent réduit à l’argent, doit être redéfini. Une société qui valorise les profits sur la santé, comme lors de la Covid, ou sur l’environnement, comme avec les ZFE, sacrifie son âme. Les métriques humaines – bonheur, liberté, solidarité – sont plus fragiles, mais plus vraies.
Comme le disait Aristote, « le bonheur est une activité conforme à la vertu » ; aujourd’hui, cette vertu réside dans notre capacité à relativiser, à reconnecter corps, esprit et société, à résister à la capture du pouvoir.
Relativité 11
RépondreSupprimerUne lumière dans l’ombre
Cette crise n’est pas celle d’un virus, mais celle de l’humanité face à ses illusions. Les confinements, fruits de modèles biaisés, ont confisqué la liberté au nom d’une science dogmatique. Les traitements précoces, étouffés par une propagande vaccinale, illustrent la capture de la vérité par les lobbies. Les droits fondamentaux, instrumentalisés comme outils de contrôle, ont consolidé une minorité avide de pouvoir. Les ZFE, les narratifs climatiques, les conflits géopolitiques prolongent ces dérives, hypnotisant les esprits par la peur, la pollution informationnelle et le corporatisme. L’IA, simple outil, ne sauvera pas l’humain : c’est à lui, avec son corps, son esprit, ses liens, de relativiser ses certitudes.
Gide l’écrivait : « Une pas assez constante pensée de la mort n’a pas donné assez de prix au plus petit instant de ma vie ». En 2025, souvenons-nous de notre finitude. Platon nous l’enseigne : nous sommes des ombres dans la caverne, mais en questionnant nos chaînes – scientifiques, médiatiques, économiques, politiques – nous pouvons entrevoir la lumière. La Suède, en choisissant la mesure face à la covid, a tracé une voie. Robert F. Kennedy Jr. nous l’a dit : « Résistez, résistez », car la liberté, une fois perdue, se regagne au prix d’une lutte acharnée.
À nous de suivre ce chemin, non par des machines, mais par la raison, la solidarité, et l’humanité, conscientes que tout – du corps à la planète – est interconnecté, relatif, et infiniment précieux.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/resistance-et-renaissance-vers-une-humanite-consciente-partie-iii
Pourquoi cette guerre éternelle confirmée par l'arrivée de l'Internet qui publiait en l'an 2000 4 % de surdoués dans le monde tandis qu'aujourd'hui ce chiffre est multiplié par 10 ?
SupprimerLa dictature est dépassée. Dépassée mathématiquement par le nombre d'habitants sur la planète qui obtiennent enfin l'accès à l'intelligence (Regardez la Chine avec son 1,5 milliard d'habitants !).
Les scientifiques sont mis de côté. Effacés, censurés, calomniés ! Tandis que prônent de faux docteurs et faux professeurs comme faux scientifiques !
C'est çà LA guerre d'aujourd'hui !
Besoin d'aide : Site victime d'une attaque DDOS provenant de centaines de milliers d'adresses IP uniques cette semaine, notamment en Chine et aux États-Unis.
RépondreSupprimerPar Jo Nova
April 28th, 2025
Le site est victime d'une attaque hostile.
Le samedi de Pâques, de manière inexplicable, le trafic a soudainement triplé et a continué d'augmenter de jour en jour. À chaque mise à jour et ajustement des paramètres, le site était submergé par un trafic toujours plus important. Des messages d'erreur de toutes sortes apparaissaient alors que les serveurs s'épuisaient. Des pannes en cascade se sont produites pendant des jours, tandis que différentes parties du système tentaient de se rétablir. Malgré le calme actuel, l'activité intense n'a toujours pas ralenti. Hier, le trafic était cinq fois plus élevé que la normale.
Étant donné que l'attaque a débuté deux semaines seulement avant les élections australiennes, et pendant le long week-end de Pâques, elle semblait programmée pour frapper lorsque le service technique serait absent, provoquant ainsi les pannes les plus longues et les perturbations les plus importantes.
Étrangement (malgré nos élections), la majeure partie du nouveau trafic provenait de l'étranger, notamment des États-Unis et de Singapour. De nombreuses requêtes concernaient les mêmes deux anciens articles de 2020 et 2010, apparemment choisis au hasard, ce qui montre qu'il ne s'agissait pas d'un phénomène naturel.
En fin de compte, cette attaque était à la fois maladroite et sophistiquée. Le responsable devait contrôler environ 50 000 robots en Chine, aux États-Unis, au Brésil et en Europe, et accéder à des centaines de milliers d'adresses IP chaque semaine. Pourtant, il n'a même pas pris la peine de demander des pages aléatoires ou récentes, ce qui aurait pu faire croire à un programme d'entraînement d'IA ou à un nouveau trafic. On aurait dit qu'ils voulaient nous faire savoir qu'ils ciblaient le site. Il était hostile. Je vais en informer le Centre australien de cybersécurité (ACSC).
Un serveur chinois s'est avéré être une source de problèmes, et après le blocage de ces requêtes, le trafic en provenance de Singapour a fortement diminué. (Sincères excuses à tous les lecteurs chinois épris de liberté concernés par cette situation.) Évidemment, nous ignorons la véritable source d'origine ; il pourrait s'agir du PCC, mais d'autres candidats voudraient nous faire croire qu'il s'agit de la Chine, tout en occultant leurs propres traces.
Cela dit, certains ne me considèrent peut-être pas comme un critique de la Chine, mais j'ai écrit 134 articles sur la Chine, et rares sont ceux en Australie qui semblent souligner que nous n'avons toujours pas de réponses concernant le plus grand accident industriel de l'histoire, qui a fait des millions de morts. Et nous n'avons aucune excuse pour les mensonges sur la Covid, les mensonges sur le charbon, les expériences irresponsables ou les étranges congélateurs d'Ebola congelé en Californie. Presque personne d'autre ne semble mentionner que les frais postaux bon marché en provenance de Chine sont une arnaque archaïque de l'ONU dont nous payons tous les pots cassés (et qui détruit nos petites entreprises). J'aimerais rappeler à tous que le PCC est le seul « pays en développement » sur Terre qui ne peut pas réduire ses émissions, mais qui peut avoir un programme spatial. Et aussi que les communistes charbonniers paient des militants au Royaume-Uni et aux États-Unis pour nous dire de consommer moins de charbon alors qu'eux en consomment davantage. Beaucoup ont félicité Anthony Albanese pour avoir « rétabli les relations commerciales » avec la Chine, mais je suis l'un des rares à souligner qu'il n'a fait que capituler. (Chut, personne n'a mentionné pourquoi la Chine a lancé cette guerre commerciale !) Bref, vous voyez ce que je veux dire…
Si vous pouvez aider, le site a besoin d'être renforcé.
RépondreSupprimerLe gourou du web (l'excellent Eric) a apporté de nombreux changements. Les serveurs plus puissants coûteront plus cher, et il reste encore beaucoup à faire. Je ne peux pas vraiment détailler les détails pour des raisons évidentes. Mais je vous ferai un compte rendu des progrès dans quelques semaines.
Ne jamais capituler
S'il vous plaît, si vous le pouvez, donnez-moi un pourboire, offrez-moi un café, un steak, un mois d'utilisation du serveur (200 $) et de l'argent pour payer les mises à jour logicielles. Les Australiens préféreront peut-être utiliser le virement automatique (détails ci-dessous), où vous pouvez également mettre en place un don mensuel qui m'aide à anticiper. Merci pour votre contribution, quelle que soit son importance. Je sais que les temps sont durs pour certains.
En raison d'un flou juridique absurde, nous ne pouvons pas utiliser le mot « faire un don ». Sur PayPal, les utilisateurs doivent donc « m'acheter » un nombre d'unités de chocolat d'urgence (1 unité équivaut à 1 $). Indiquez donc le montant en dollars dans le champ Quantité ! (Désolé, ce n'est pas plus convivial. Heureusement que mes lecteurs sont malins. 🙂). Cela fonctionne en AUD, CAD, EUR, GBP, NZD ou USD.
Bouton « Bocal à pourboires »
OU envoyez de l'aide directement via la National Australia Bank for UnQwerty Pty Ltd BSB : 086420 Numéro de compte : 563148308, par virement international ou même par courrier postal.
Merci aux lecteurs patients qui ont supporté les nombreuses perturbations du site la semaine dernière. Et merci à ceux qui ont déjà fait un don !
PS : Meilleurs vœux pour le jour des élections aujourd'hui, Canada !
https://joannenova.com.au/2025/04/help-needed-site-under-ddos-attack-from-hundreds-of-thousands-of-unique-ips-this-week-especially-china-and-the-usa/
Palmares 2024 de l'ARCOM - géométrie variable ou double standards ?
RépondreSupprimerLaurent Pelé, de l’association BonSens.org, avec la rédaction de France-Soir
le 28 avril 2025 - 11:00
Le public peut signaler à l’ARCOM (anciennement CSA) les programmes télévisés ou radiophoniques choquants ou non conformes à la réglementation. L’ARCOM peut intervenir auprès des éditeurs en prononçant des mises en garde ou des sanctions, ou ne pas agir. En 2023, après une procédure CADA, nous avons obtenu la base de données des signalements du public du 1er janvier 2020 au 21 juin 2023. Découvrez notre article sur les séquences télé ou radio les plus signalées à l’ARCOM de 2020 à 2023.
Depuis, le paysage audiovisuel a changé : C8, chaîne très populaire, mais la plus sanctionnée par l’ARCOM, a perdu sa licence TNT. Suite à une nouvelle demande, nous avons obtenu les signalements jusqu’à fin 2024. Au lieu d’un fichier Excel, l’ARCOM a fourni un PDF de 1988 pages (55 Mo), difficile à convertir en format structuré. Ce fichier est cependant plus précis, incluant les noms des émissions signalées et les sous-thèmes des plaintes. Les données complètes sont disponibles sur alertes-arcom.bonsens.org.
L’ARCOM suit son propre agenda, et les programmes les plus signalés ne sont pas toujours les plus sanctionnés.
Évolution des signalements
Les signalements portent principalement sur des problématiques de haine, de discrimination et de traitement de l’information. Depuis le 7 octobre 2023, les conflits au Proche-Orient ont modifié les tendances :
CNEWS (groupe Bolloré) domine largement, dépassant C8.
LCI fait son entrée sur le podium en passant à la 2ᵉ place.
Nom Service Nombre d'alertes alertes 2020 alertes 2021 alertes 2022 alertes 2023 alertes 2024
- voir cadre sur site -
Total 286 880 56 744 42 421 46 937 30 370 110 408
RépondreSupprimerCNews 95 952 0 13 288 7 062 14 150 61 452
non donné par l’ARCOM en 2020 56 744 56 744 0 0 0 0
C8 36 252 0 3 794 21 247 3 211 8 000
France 2 13 402 0 3 474 4 975 1 411 3 542
LCI 12 229 0 0 0 1 037 11 192
RMC Story 11 073 0 4 227 806 147 5 893
BFM TV 10 834 0 1 036 921 2 171 6 706
TMC 8 942 0 6 804 483 261 1 394
M6 6 135 0 535 4 501 463 636
France 5 6 000 0 244 210 3 525 2 021
LCI - La Chaîne Info 5 359 0 4 173 1 056 130 0
France Inter 5 043 0 315 1 590 1 440 1 698
TF1 3 868 0 1 099 868 474 1 427
RMC 3 324 0 620 643 140 1 921
(vide) 2 526 0 1 235 861 430 0
France 3 1 650 0 500 355 430 365
Europe 1 1 538 0 182 123 195 1 038
Autre 1 050 0 0 0 124 926
RTL 1 034 0 331 467 75 161
Franceinfo 1 000 0 111 207 209 473
Sud Radio 801 0 51 50 64 636
LCP 561 0 14 140 23 384
Franceinfo (radio) 535 0 55 127 108 245
W9 515 0 238 144 63 70
Arte 513 0 95 101 89 228
Les séquences les plus signalées de juillet 2023 à fin 2024
1 - « En Quête d’Esprit » (CNEWS) – 33 877 signalements
Le 25 février 2024, l’émission En Quête d’Esprit, diffusée chaque dimanche de 13h à 14h sur CNEWS (environ 100 000 téléspectateurs), a présenté une infographie controversée désignant l’avortement comme la première cause de mortalité mondiale. Cette séquence, survenue peu avant le vote sur la constitutionnalisation du droit à l’avortement et durant les auditions de CNEWS par une commission parlementaire, a battu tous les records de signalements. CNEWS a présenté ses excuses le jour même, mais l’ARCOM a infligé une amende de 100 000 euros.
Note : Environ 1 000 signalements ont été enregistrés le 26 février 2024, bien que l’émission n’ait été diffusée que le 25 février.
2. Déclarations de Louis Sarkozy sur LCI – 6 012 signalements
Le 26 septembre 2024, dans l’émission de Darius Rochebin sur LCI, Louis Sarkozy a tenu des propos polémiques sur le conflit au Liban, déclarant : « Il faut parfois risquer et engendrer la mort de civils [...] Qu’ils crèvent ! Israël fait le travail de l’humanité. » Accusé d’apologie de crimes de guerre, il a suscité de nombreux signalements.
L’ARCOM a décidé, le 15 janvier 2025, de ne pas intervenir.
RépondreSupprimer3. « Morandini Live » (CNEWS) – 5 586 signalements
Le 12 juillet 2024, au lendemain des élections législatives, Morandini Live a diffusé un débat sur une vidéo où des jeunes étrangers ou binationaux déclaraient « Je reste ici ». Avec un responsable du Rassemblement National invité à commenter, le débat a été accusé d’incitation à la haine et à la discrimination.
L’ARCOM a décidé, le 5 mars 2025, de ne pas intervenir.
4. « Morandini Live » (CNEWS) – 5 096 signalements
Le 26 octobre 2023, l’avocate franco-israélienne Nili Naouri a déclaré dans Morandini Live : « Il n’y a pas de civils innocents à Gaza » et « Nous voulons que Gaza soit rasée. » Ces propos ont entraîné de nombreux signalements.
L’ARCOM a adressé un rappel à l’ordre à CNEWS le 13 décembre 2023.
5. « L’Heure des Pros» (CNEWS) – 3 730 signalements
Le 31 octobre 2023, dans L’Heure des Pros, Arno Klarsfeld a tenu des propos controversés sur les musulmans travaillant sur des chantiers, suggérant qu’ils pourraient avoir accès à des explosifs et commettre des attentats. Ces déclarations, jugées incitatrices à la haine, ont suscité de nombreux signalements.
Bien que l’ARCOM ait convoqué les médias début novembre 2023 sur le traitement du conflit au Proche-Orient, aucune sanction spécifique n’a été prononcée pour cette séquence. La justice a été saisie.
6. « Les Grandes Gueules» (RMC/RMC Story) – 3 585 signalements
Le 8 avril 2024, Barbara Lefebvre a déclaré dans Les Grandes Gueules que les gens du voyage « n’ont pas les codes d’une société civilisée ». Ces propos, approuvés par certains sur le plateau sans contradiction suffisante, ont été jugés discriminatoires.
L’ARCOM a émis une mise en garde, notant que les signalements ont surtout été enregistrés le 18 avril, malgré la date de diffusion.
7. Bandeau controversé sur CNEWS – 3 558 signalements
RépondreSupprimerLe 12 février 2024, lors de La Grande Interview de Manuel Bompard (LFI) sur CNEWS, un bandeau affichait : « ISRAËL/HAMAS : l’ambiguïté indécente de LFI ». Ce message, parmi d’autres bandeaux polémiques, a suscité des signalements.
L’ARCOM a estimé que les éventuelles diffamations relevaient de la justice et n’est pas intervenue.
8. « L’Heure des Pros » (CNEWS) – 2 900 signalements
Le 30 août 2024, Pascal Praud a dû recadrer Richard Millet dans L’Heure des Pros pour des propos sur l’orientation sexuelle de Lucie Castets (candidate NFP).
L’ARCOM a décidé, le 23 octobre 2024, de ne pas intervenir, estimant que la chaîne avait maîtrisé la situation.
9. Déclarations sur LCI – 2 753 signalements
Le 7 novembre 2024, Samantha de Bendern a suggéré sur LCI que le comportement d’Israël envers des gendarmes français pourrait être excusé si ceux-ci « avaient l’air d’origine maghrébine ou arabe ». Ces propos, jugés racistes, ont entraîné des signalements.
L’ARCOM a décidé, le 16 avril 2025, de ne pas intervenir.
10. « Morandini Live » (CNEWS) – 1 997 signalements
Le 9 juillet 2024, Morandini Live a affiché des bandeaux polémiques post-élections législatives, comme « Front Populaire : le retour de l’abaya à l’école » et « Front Populaire : la crainte des juifs de France ».
L’ARCOM a décidé, le 9 octobre 2024, de ne pas intervenir.
11. « La Tribu de Baba » (C8) – 1 859 signalements
Le 31 octobre 2024, dans La Tribu de Baba, un débat sur l’annulation d’un match France-Israël a suscité la polémique. Isabelle Morini-Bosc aurait qualifié les pays entourant Israël d’« animaux », bien que la chaîne affirme qu’elle a dit « ennemis ».
L’ARCOM a décidé, le 12 février 2025, de ne pas intervenir.
12. Déclarations de Nicolas Sarkozy sur BFM TV – 1 794 signalements
Le 8 novembre 2024, Nicolas Sarkozy a déclaré lors des Rencontres de l’avenir sur BFM TV : « Les enseignants bossent 24 heures par semaine, six mois par an. » Ces propos ont indigné des institutions scolaires, qui ont saisi l’ARCOM.
La suite reste inconnue.
RépondreSupprimer13. « Touche Pas à Mon Poste» (C8) – 1 550 signalements
Le 13 juin 2024, Cyril Hanouna a tenté, dans TPMP, de jouer les médiateurs entre Jordan Bardella (RN) et Sarah Knafo (Reconquête !) pour une coalition électorale.
L’ARCOM a mis en garde C8 pour ce rôle partisan.
14. Éditorial de Patrick Cohen sur France 5 – 1 526 signalements
Le 27 novembre 2023, dans C à Vous, Patrick Cohen a livré un éditorial intitulé « Bal tragique à Crépol : la mécanique de la haine et du mensonge », accusé d’être trop partisan sur l’affaire Crépol.
L’Arcom a rappelé à l'ordre la chaîne, l'éditorial - trop partisan - manquant de rigueur, d'honnêteté et de mesure.
15. « Punchline » (CNEWS) – 1 334 signalements
Le 28 mai 2024, Rachel Kahn a relaté dans Punchline avoir entendu dans un taxi des sourates anti-Israël, ce qui a suscité une controverse théologique, les plaignants arguant que le Coran ne mentionne pas Israël.
L’ARCOM n’est pas intervenue (25 septembre 2024). Toutefois, le 12 novembre 2024, le conseil de déontologie journalistique et de médiation a considéré qu'il y avait bien une infraction à l'obligation d'exactitude et de véracité.
16. Émissions de CNEWS – 1 116 signalements
Le 8 juillet 2024, Punchline et L’Heure des Pros ont suscité des signalements pour des éditoriaux alarmistes sur un hypothétique gouvernement LFI post-législatives. L’ARCOM n’est pas intervenue (18 septembre et 9 octobre 2024).
17. « Les Grandes Gueules» (RMC/RMC Story) – 1 060 signalements
Le 2 septembre 2024, Charles Consigny a fait une blague douteuse dans Les Grandes Gueules sur les viols dans les parkings, perçue comme une allusion à un crime récent à Metz.
La chaîne a rappelé le chroniqueur à l’ordre, et l’ARCOM n’est pas intervenue (4 décembre 2024).
Mention spéciale : Publicité Bien’ici
Début septembre 2024, une publicité parodiant un film d’horreur (« Vous voulez tuer une jeune femme à la hache ? Bien’ici vous aide à dénicher une maison isolée ») a choqué lors de sa diffusion en prime time, générant plus de 100 signalements.
RépondreSupprimerC'est le Jury de déontologie publicitaire qui a constaté la violation des règles : malgré cinq mois de discussions avec l'ARPP, l'annonceur n'avait pas tenu compte des avertissements et même les professionnels n'ont guère perçu le soi-disant côté « humoristique » de la publicité.
Conclusion
Nous avons cherché à rester neutres dans ce palmarès des séquences les plus signalées, compte tenu de la sensibilité des sujets. N’hésitez pas à commenter ces séquences, le rôle de l’ARCOM, ou à nous dire si vous souhaitez que ce palmarès devienne un rendez-vous régulier. Consultez les détails sur alertes-arcom.bonsens.org.
- voit tweets sur site :
https://www.francesoir.fr/culture-medias/palmares-2024-de-l-arcom
Vidéo. Canada: Crise économique et sociale. Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
RépondreSupprimerPar Prof Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
Mondialisation.ca,
25 avril 2025
C’est arrivé il y a plus de 23 ans. C’était à peine couvert par les médias canadiens.
D’un seul coup, la souveraineté du Canada et du Mexique est anéantie. Tout le territoire du Canada a été militarisé pour ainsi dire.
Les États-Unis peuvent déployer des troupes jusqu’aux territoires du Nord-Ouest et dans l’Arctique.
Il contrôle le passage nord-ouest.
Il peut établir des installations militaires dans tout le Canada.
Notre pays, le Canada, fait partie d’une entité de commandement régional de l’armée américaine intitulée USNORTHCOM.
Canada’s Sovereignty in Jeopardy: “51st State”, Déjà Vu: The Militarization of North America under President Donald Trump
By Prof Michel Chossudovsky,
April 04, 2025
Annoncé par Donald Rumsfeld, la souveraineté américaine du Commandement du Nord concernant le déploiement de l’armée américaine (terre, voies navigables, air) englobe le Mexique, les États-Unis et le Canada, des Caraïbes au pôle Nord.
Il viole également le droit international de la mer des Nations Unies en étendant la juridiction militaire américaine à la « haute mer » (500 miles d’eaux territoriales et internationales)
- voir cadre sur site -
Le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld s’est vanté que :
« Le NORTHCOM – avec toute l’Amérique du Nord comme commandement géographique – « fait partie de la plus grande transformation du Plan de commandement unifié [UCP] depuis sa création en 1947. » (Voir Journal Canada Forces De Défense)
https://www.mondialisation.ca/5698151-2/5698151?doing_wp_cron=1745851032.3817470073699951171875
Une recherche pour établir des faits ou conforter une opinion ?
RépondreSupprimer25 Avril 2025
Pierre Weill*
Source : « John Ioannidis - Reproducibility of scientific results »
Ma note : J'ai « piqué » avec délectation sur LinkedIn. Bien sûr, les problèmes avec la crédibilité et la fiabilité des recherches scientifique sont plus complexes. Mais ce billet a le mérite de poser le constat avec simplicité.
Remettre en cause la science, c’est à la mode…
Pourtant, celle-ci est prolifique : Il sort entre 2000 et 3000 articles dans la presse scientifique à comité de lecture chaque jour. Rien que dans mon domaine des sciences de la vie il en « sort » 1 million par an.
Cette abondance d’articles témoigne bien sûr du fourmillement de la recherche mais favorise aussi une autre tendance à la mode, celle de mêler sciences et idéologie… on trouvera bien dans une revue un article qui confirmera ce que je pensais avant…
Dans mon collectif de recherche, on disait, il y a 30 ans que pour avoir des certitudes, il fallait reproduire 10 fois un résultat positif et avoir 1 fois un résultat négatif.
Et…à l’époque, il s’agissait exclusivement d’études « in vivo » avec des résultats biologiquement mesurables alors que beaucoup d’articles aujourd’hui relatent des expériences « in silico », dites de « modélisation » ou de « corrélation » avec des hypothèses discutables. On cite souvent les articles calculant combien il faut de litres d’eau pour produire un kg de viande, les chiffres variant de 1 à 100 selon les hypothèses et… les opinions de l’auteur…
Je dois donc être nostalgique d’un temps où le consensus scientifique faisait loi, où les expérimentations répétées nous faisaient réfléchir et changer notre manière de penser le monde. Aujourd’hui, c’est parfois l’inverse malheureusement : on construit ses opinions d'abord et on trouve un article « in silico » pour les valider.
Mais la nostalgie n’a pas de place au vu des échéances de demain. La recherche scientifique m’a appris la complexité du vivant et la place centrale en biologie du juste milieu, de la diversité, de l’homéostasie, des équilibres.
Elle m’a permis aussi de mesurer d’étude humaine en étude humaine le lien entre l’équilibre de notre environnement et celui de notre corps.
Quand je raconte le corpus de recherches scientifiques de Bleu-Blanc-Cœur, je m’entend souvent dire que « c’est évident, tout le monde connait le lien entre santé des animaux, des écosystèmes et des hommes ». OK, mais avant de le mesurer, avant de le vérifier, avant de le publier, ce n’est qu’une idée, ou une intuition.
La mesure, la mesure répétée, c’est la différence entre une idée vague, une intuition soudaine et une vérité démontrée.
RépondreSupprimerLa mesure, c’est sur elle que nous avons bâti notre démarche. Quand on mesure, on ne croit plus, on prouve et on construit des solutions pour demain.
En ces périodes où « la » science est remise en cause, il est sans doute bon de rappeler que science et idéologie ne font pas bon ménage. Pour ceux qui le connaissent encore, Lyssenko, ex président des sciences de l'Union soviétique en a fait la démonstration il y longtemps de façon claire…et dramatique.
Il serait bon de ne pas recommencer et ne pas remettre en cause la science quand ses résultats sont répétés et consensuels au nom d’une idéologie, quelle qu’elle soit.
_________
* Ingénieur agronome, PhD en biologie santé, co-titulaire de la chaire Aliments et Bien Manger de l'Université de Rennes, membre de l'Académie d'Agriculture de France.
Source : https://www.linkedin.com/posts/pierre-weill-7045a318_remettre-en-cause-la-science-cest-%C3%A0-la-activity-7306567277494095872-BCF1
https://seppi.over-blog.com/2025/04/une-recherche-pour-etablir-des-faits-ou-conforter-une-opinion.html
Pinault milliardaire dégraisse Le Point
RépondreSupprimerFrance-Soir avec AFP
le 24 avril 2025 - 11:00
L'hebdomadaire Le Point, propriété du milliardaire François Pinault via sa holding Artémis, et subventionné par l'État à hauteur de 2,6 millions d'euros en 2024, va enclencher un plan social qui prévoit 58 suppressions de postes, dont une partie des correcteurs, qui seront remplacés par de l'intelligence artificielle, a appris mercredi l'AFP de sources concordantes, confirmant une information du média La Lettre.
Une démarche récurrente qui commence à poser problème dans une société où les médias sont majoritairement propriété d'oligarques, à des fins bien connues, mais toutefois subventionné par l'État. Une anomalie où le citoyen lambda ce voit financer les danseuses de magnats cherchant à influencer le pouvoir par la pression de leurs médias, médias de moins en moins rentables et toujours plus subventionnés.
Ce projet de plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concerne 32 salariés en CDI (sur 200 environ) et 26 pigistes, ont indiqué plusieurs sources internes à l'AFP. Parallèlement, 18 créations de postes sont envisagées.
Le projet vise notamment les services de révision et correction du magazine, qui comptent une quinzaine de personnes. Certaines de ces tâches seraient à l'avenir assurées par des outils d'intelligence artificielle (IA), sous supervision humaine.
Côté rédacteurs, cinq postes sont concernés.
Le projet a été présenté aux salariés mercredi par le directeur du Point, Etienne Gernelle, et le PDG, Renaud Grand-Clément, à l'issue d'un CSE extraordinaire du magazine détenu par le milliardaire François Pinault.
Sollicitée par l'AFP, la direction n'a pas souhaité commenter ces chiffres.
"C'est un projet de réorganisation qui s'inscrit dans une stratégie de montée en gamme, de singularisation et, dans une certaine mesure, de prise de distance par rapport à la course à l'actualité", pour "investir d'abord sur l'enquête et le reportage", a déclaré M. Gernelle à l'AFP.
Ce processus de "modernisation interne" s'accompagne d'un "usage raisonné et supervisé de nouvelles technologies comme l'intelligence artificielle, dans certains processus d'édition seulement", a-t-il poursuivi, en soulignant qu'il n'était "pas question" de faire écrire des articles par l'IA.
Ces derniers mois, "la rumeur bruissait, mais l'ampleur de ce plan a surpris les salariés", a pour sa part indiqué une source interne à l'AFP, en craignant qu'"un métier entier disparaisse" avec les suppressions de postes dans les services de révision et correction.
RépondreSupprimer"C'est un choc" et "cela crée une perplexité incroyable : comment monter en gamme quand on supprime les réviseurs ?", s'est interrogée une autre source interne.
Les discussions formelles sur ce projet devraient débuter fin avril.
Le Point est un magazine qui continue à perdre du lectorat, selon les chiffres de l'ACPM (Alliance pour les chiffres de la presse et des médias).
Bientôt la CCIJP (Commission de la Carte d'Identité des Journalistes Professionnels) pourrait se voir dans l'obligation d'attribuer la carte de presse à de non-humains, avant qu'elle ne soit elle-même remplacée par l'IA.
https://www.francesoir.fr/emploi/pinault-milliardaire-supprime-des-postes-au-point
Çà y est, c'est fait ! Alors que l'or-métal n'a AUCUNE valeur face à ses concurrents tels que le fer ou le cuivre ! l’Être HUMAIN disparaîtrait face aux programmes robotisés de LIA !! (HAHAHAHA !).
SupprimerLa conjoncture universelle tend à s'éclipser à l'encontre de... l’ÊTRE HUMAIN !!
L'ÊTRE HUMAIN a (EST !) une VALEUR unidimensionnelle et supérieure à tout ce qui vit sur la planète Terre.
Alors... pourquoi avoir choisi ce métal commun (mais rare) qui s'appelle de l'or ?
Des gros cons de l'ancien temps s'appropriaient ce métal de couleur et de poids particulier. Ils 'pensaient' que cette roche sous terre les emmènerait aux pouvoirs infinis de la domination du monde !! Pas de chance pour eux, l'être humain a un cerveau ! (Çà alors !!). Et c'est là se se compliquent les choses. L'Aventure n'a qu'un temps.
LIA a son point défini. C'est un programme à la con destiné à 'confronter' l'être humain qui en sait DES milliards de fois plus qu'elle ! ÔĤ PITAING !!
RépondreSupprimer« La côte Ouest au bord du gouffre » : Le port de Los Angeles devrait connaître une forte baisse de trafic
PAR TYLER DURDEN
MERCREDI 23 AVRIL 2025 - 19H25
L'administration Trump surveille probablement la baisse des volumes d'importations programmées au port de Los Angeles, le plus grand port à conteneurs de l'hémisphère occidental, suite aux déclarations du président Trump dans la nuit laissant entrevoir une possible désescalade de la guerre commerciale avec la Chine. Les propos du président visant à apaiser les tensions commerciales avec Pékin interviennent alors que les volumes d'importations programmées au port de Los Angeles laissent entrevoir de possibles perturbations du commerce entrant.
Selon Port Optimizer, un système de suivi destiné aux opérateurs de navires, les volumes d'importations programmées au port de Los Angeles pour la semaine se terminant le 3 mai affichent une chute de 38,53 % en glissement hebdomadaire. Sur un an, les données indiquent une baisse de 9,79 %. Pour la semaine se terminant le 10 mai, les volumes d'importations programmées ont continué de ralentir, avec une variation d'environ 35 % en glissement annuel. Nous suivons de près depuis des semaines les conséquences des droits de douane de 145 % sur les marchandises chinoises entrant aux États-Unis, alors que les perturbations commerciales se propagent de la Chine vers les États-Unis. Il semble désormais que ces perturbations soient sur le point d'atteindre les ports de la côte ouest américaine.
Passons en revue les événements :
Amazon annule des commandes, Walmart révise ses prévisions face à la montée des droits de douane
Les indicateurs de trafic routier en Chine sont-ils sur le point de s'effondrer, la guerre des droits de douane annulant les commandes des usines ?
Les vendeurs chinois paniqués par Amazon après la campagne de Trump sur les droits de douane
Conséquences du Jour de la Libération : Chute des volumes portuaires chinois suite à la vague de droits de douane de Trump
Les usines de plastique chinoises menacées de fermetures massives face à la disparition des réserves d'éthane américaines
« Nous sommes à un point de bascule sur la côte ouest », a déclaré Ken Adamo, responsable de l'analyse chez DAT Freight & Analytics, à CNBC. Il a ajouté : « Si l'on compare le nombre de chargements de camions disponibles au nombre de camions, nous avons constaté une chute vertigineuse : plus de 700 000 chargements ont disparu à l'échelle nationale la semaine dernière, contre deux semaines auparavant.»
La baisse des volumes d'importations programmées au port de Los Angeles coïncide avec une augmentation des annulations de traversées.
RépondreSupprimerPlus d'informations de CNBC :
La baisse du nombre de navires coïncide avec une augmentation des annulations de traversées par les transporteurs maritimes sur les routes du Pacifique, notamment dans les ports de Long Beach, Los Angeles, Oakland et Seattle, selon une alerte de Worldwide Logistics informant ses clients des traversées non effectuées.
L'alliance Gemini, entre Maersk et Hapag Lloyd, affiche un taux d'annulation de 24,39 % ; suivie par l'Ocean Alliance, composée de CMA CGM, Cosco Shipping, Evergreen et OOCL, avec 18 % ; et la Premier Alliance, composée d'Ocean Network Express, Hyundai Merchant Marine et Yang Ming Marine Transport, avec 15 %. MSC et ZIM affichent actuellement un taux d'annulation de traversées de 10 %.
Les transporteurs maritimes tentent de compenser le recul des commandes résultant des droits de douane et de l'escalade des tensions commerciales. CNBC a récemment fait état de 80 traversées non effectuées, ou annulées, au départ de Chine, la demande s'effondrant et les transporteurs suspendant ou adaptant leurs services transpacifiques.
La possible désescalade de la guerre commerciale par Trump intervient également après que le FMI a annoncé mardi que les droits de douane l'avaient incité à réduire ses prévisions de croissance mondiale.
C'est probablement ce qui a motivé ce changement soudain.
Encore une ou deux semaines, et les rayons sont vides aux États-Unis. De véritables pénuries physiques dignes de la COVID. https://t.co/5m8v5KEvFK
— Gregory Brew (@gbrew24) 23 avril 2025
. . .
https://www.zerohedge.com/economics/west-coast-tipping-point-los-angeles-port-set-steep-drop-traffic
“La guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine démontre que nous ne pouvons pas tenir pour sûre notre sécurité. La Chine, la Corée du Nord et la Russie intensifient leur coopération et préparation militaire, minant la sécurité mondiale, et cela signifie que ce qui se passe dans l’aire euro-atlantique est important pour l’Indo-Pacifique et vice versa. Donc notre sécurité n’est pas inséparable.”
RépondreSupprimerManlio Dinucci
Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo Pangea de vendredi 18 avril 2025 à 21h30 sur la chaîne TV italienne Byoblu
https://www.byoblu.com/2025/04/18/zero-dazi-al-prezzo-di-zero-sovranita/
Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrrizio
Vidéo en italien :
Pour SOUS TITRES – [Pour PC & Mac uniquement, pas de possibilité sur téléphone ou tablette]
1.Cliquer en bas à droite de l’écran sur la petite roue dentée (paramètres)
2.Choisir « sous-titres »
3.Choisir « italien généré automatiquement »
4.A nouveau cliquer sur « sous-titres italien »
5.Choisir « traduire automatiquement »
6.Choisir la langue de votre choix dans le menu déroulant.
*
Manlio Dinucci est géographe et journaliste, ex-directeur exécutif pour l’Italie de l’International Physicians for the prevention of Nuclear War, association qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 1985. Porte-parole du Comitato no Guerra no Nato (Italie) et chercheur associé du Centre de recherche sur la Mondialisation (Canada). Prix international de journalisme 2019 pour Analyse géostratégique du Club de Periodistas de México. Son dernier livre traduit en français : « Guerre nucléaire. Le jour d’avant », Éditions Delga, 2021.
https://www.mondialisation.ca/zero-taxe-au-prix-de-zero-souverainete/5697928?doing_wp_cron=1745058449.7842190265655517578125
RépondreSupprimerLe pari des droits de douane ou l’équation insoluble de Donald Trump
Philippe Alezard
23 avril 2025
Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
La surévaluation du dollar est l’élément clé dans l’asymétrie de la balance commerciale US. En effet un dollar cher rend la production américaine plus chère et par corollaire facilite les importations de biens. Selon Dorn & Hanson[1] entre 600,000 et 1 million d’emplois directs ont été perdus et jusque 2 millions en comptant la sous-traitance, soit 200,000 par an sur la période 2000 – 2011.
La théorie voudrait que ces déséquilibres entre monnaies se corrigent avec le marché. En effet un pays qui a des excédents commerciaux reçoit beaucoup de monnaie étrangère qu’il revend ensuite contre sa propre monnaie, faisant par conséquent monter celle-ci. A terme ce pays devient moins compétitif et la balance s’inverse. Ceci fonctionne sauf quand la monnaie étrangère reçue est une monnaie de réserve que le pays exportateur voudra conserver ou recycler en bons du trésor ou autres obligations.
Pour Stephen Miran économiste diplômé de Harvard, il paraît évident qu’à mesure que le PIB mondial augmente, il devient de plus en plus lourd pour l’économie américaine de financer ces actifs de réserves ainsi que le parapluie mondial de défense et qu’il faut par conséquent « remodeler » le système monétaire et le commerce international. Pour cela, il existe deux options. Une unilatérale qui a l’inconvénient d’avoir comme effet collatéral une forte volatilité sur les marchés financiers et une multilatérale qui devrait engendrer moins de volatilité mais serait plus longue à mettre en œuvre du fait des nombreux partenaires commerciaux à réunir et avec des gains potentiels réduits. C’est donc l’option unilatérale qui sera retenue, car celle-ci offre une plus grande flexibilité et des résultats rapides. Cette refondation du commerce international et ses conséquences monétaires ont été décrites dans une analyse publiée en novembre 2024[2], bible de D. Trump.
Pour mettre en œuvre cette refondation il faut un secrétaire d’état au trésor dont la détermination, la conviction et la capacité à supporter l’impopularité soient inébranlables. Scott Bessent descendant de huguenots, économiste diplômé de Yale, fameux «shortseller[3]» à Wall Street aux cotés de Jim Chanos puis de George Soros possède sans conteste toutes ces qualités.
Le 2 avril 2025 D. Trump dévoile donc l’option unilatérale : des droits de douanes exorbitants appliqués à la quasi-totalité des pays de la planète à l’exception notable de l’Iran, de la Russie et de la Corée du Nord. Les objectifs recherchés sont nombreux et probablement un brin antagonistes. Tout d’abord sur le plan commercial, faire venir chacun des pays négocier des concessions économiques, diplomatiques, de la protection militaire, du gaz et du pétrole, des terres rares, de la relocation industrielle au US, etc… Ensuite sur un plan monétaire, faire baisser le dollar, faire baisser les taux d’intérêt et maitriser l’inflation. Enfin faire entrer des centaines de milliards de dollars dans les caisses de l’Etat pour financer un vaste plan de baisse d’impôts. On est bien loin des règles de Mundell et Tinbergen, enseignées en n’en pas douter à Harvard et Yale, qui nous précisent que pour toute politique économique ayant des objectifs fixés, le nombre d’instruments doit être égal au nombre d’objectifs visés.
RépondreSupprimerLa réaction des marchés financiers ne s’est pas fait attendre, les bourses asiatiques, européennes et américaines perdent en quelques jours entre 15 et 20%. La riposte chinoise non plus. C’est la guerre des chiffres. On a atteint jusqu’à 125% de droits de douane réciproques entre les deux puissances.
Le 9 avril 2025, tout juste une semaine après avoir imposé des droits de douanes applicables le 4 avril, rétropédalage du Président américain qui annonce une suspension de 90 jours de ces droits de douanes, à l’exception de la Chine. Réaction inverse des marchés boursiers qui prennent 10% en quelques minutes, emballé par les algorithmes.
Mais qu’a-t-il bien pu se passer durant cette semaine pour provoquer un tel revirement ? la réponse est probablement à trouver du côté du marché obligataire. La Chine détentrice de 750 milliards de dollars de réserve obligataire américaine a sorti l’arme financière en vendant massivement ses obligations, suivi par le Japon, deuxième détenteur de dette américaine. Pour la première fois depuis la fin de la convertibilité du dollar en or en 1971, le dollar ne s’est pas comporté comme une valeur refuge. Il s’est effondré, de 6,5% contre l’Euro , de 15% contre le Franc Suisse et dans le même temps le rendement de l’emprunt américain à 10 ans prenait 50 points de base et touchait 4,5% alors que les taux européens restaient stables ou baissaient. Ce découplage entre rendements américains et européens est là aussi une première historique.
Rappelons que la dette américaine a passé les 36,000 milliards de dollars, que 9,200 milliards devront être refinancés en 2025, que le service de la dette s’élève à 1,200 milliards et enfin que 1 point de base représente 3,6 milliards de dollars sur la maturité totale de la dette US. Alors un krach obligataire de 50 points de base a de quoi infléchir une position.
Mais quid de ce pari à terme ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, l’inflation pourrait très bien être absente. Il y a aura, certes, un choc de prix sur les premiers mois, mais pour créer de l’inflation il faudrait enclencher la fameuse boucle prix salaires, ce qui paraît peu ensisageable vu les licenciements dans le secteur public et le probable ralentissement de l’économie. La dédollarisation de l’économie et la baisse des taux d’intérêts dépendent de tellement de facteurs exogènes aux décisions déjà chaotiques de D. Trump, tels que nouvelles alliances ou mésalliances économiques, arrêts ou ouvertures de nouveaux conflits, notamment Chine/Taiwan, désorganisation des supply chains, défauts majeurs sur certaines dettes, que l’on ne peut avoir au moins qu’une certitude : nous sommes entrés dans un monde où l’incertitude sera reine, dans lequel de nouvelles règles vont prendre place et où la souplesse, la flexibilité et la réactivité seront clès.
RépondreSupprimer[1] https://www.nber.org/system/files/working_papers/w21906/w21906.pdf
[2] A User’s Guide to Restructuring the Global Trading System
[3] Il fut aux cotés de G. Soros lors de l’attaque contre la livre sterling en 1992
https://www.contrepoints.org/2025/04/23/480349-le-pari-des-droits-de-douane-ou-lequation-insoluble-de-donal-trump
Tour ce qu'explique Philippe Alezard est une analyse de marchés. Si le président Donald Trump agit ainsi c'est qu'il a la solution en attente.
Supprimer
RépondreSupprimerLa dictature verte de l’UE nous pourrit inutilement la vie
Par Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca,
18 avril 2025
Prendre soin de l’environnement pour léguer une planète propre à nos enfants est un beau projet, voire curieux projet quelque peu paranoïaque.
Pour qui nous prenons-nous ?
Mais le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions et les mesures autoritaires que l’écologie punitive nous impose entraînent inutilement ségrégation sociale, aggravation de la crise du logement, disparition de notre agriculture, crise économique, chômage …
Les mesures vertes pour l’habitat augmentent le nombre de mal-logés !
L’ouverture de nos frontières aux migrants permet d’exercer une pression à la baisse des salaires favorable au patronat mais augmente les besoins en logements particulièrement ceux à loyers modérés.
L’obligation de mieux isoler les nouveaux logements et l’interdiction d’artificialiser les sols augmentent considérablement les prix de construction et décourage les investisseurs.
L’interdiction de louer les logements déclarés passoires thermiques et le coût trop élevé des travaux nécessaires pour les mettre aux normes excluent de la location un nombre croissant de logements anciens qui constituent l’essentiel des locations abordables en ville.[1]
Ainsi promettre à la population des logements écologiques aboutit à aggraver la pénurie en logements proposés à la location à de prix accessibles ! Ces mesures vertes précipitent de plus les entreprises de construction et les agences immobilières dans une crise sévère, entraînant déjà de nombreux licenciements.
Ces mesures autoritaires sont peu efficaces sur la consommation réelle d’énergie ! Une étude du crédit mutuel sur les dépenses d’énergie de ses clients a révélé que les ménages habitant les logements présentés comme les moins énergivores dépensent près de deux fois plus d’énergie que prévu. Ceux des logements les plus énergivores, deux fois moins. Pour les maisons individuelles, les moins bien classées ne consomment même que 27 % de plus que les meilleures ! Un démenti sévère des espoirs officiels, que l’organisme attribue pour un tiers à des erreurs de mesures et aux deux tiers à des facteurs comportementaux.
Globalement les obligations écologiques qui pèsent sur les logements aggravent franchement la crise du logement sans diminuer notablement la pollution thermique de l’environnement.
La liberté de circuler réservée aux riches
Les zones à faibles émissions renforcent fortement la ségrégation sociale dans les grandes villes.
Interdits d’habiter en centre-ville par la raréfaction des locations abordables causée par les mesures précédentes, les pauvres se voient maintenant interdits d’y pénétrer par les zones à faibles émissions qui n’acceptent que les voitures récentes. Or selon l’association Transport & Environnement [2], les tarifs des modèles les moins chers de cinq constructeurs européens ont augmenté de 41 % de 26 590 € en 2018 à 36 082 € en 2024. De telles augmentations ont permis aux entreprises automobiles de réaliser des bénéfices records en 2022 et 2023, mais empêchent une grande partie de la population de renouveler leur véhicule.
RépondreSupprimerDu point de vue pollution, autre que sonore, le bilan de ces interdictions de circuler est très discutable. De nombreuses études montrent en effet que sur l’ensemble du cycle d’utilisation, prenant en compte l’usage, mais aussi la fabrication et le recyclage les voitures électriques polluent autant la planète que les voitures thermiques [3, 4, 5, 6] .
En 2025, aux 11 zones à faibles émissions déjà actives s’ajouteront 32 ZFE supplémentaires. Le total passera ainsi à 43 ZFE sur l’ensemble du territoire. 2,7 millions de voitures interdites et à terme, et on estime qu’environ 40 % des véhicules en circulation seront touchés par ces mesures.
Au temps des rois[8], la résidence royale était coupée du monde. Aujourd’hui, grâce aux zones à faibles émissions, les bobos des grandes villes se protègent de la présence des pauvres.
Notre devise 'liberté, égalité, fraternité' est vraiment reniée par la ségrégation sociale engendrée par ces mesures prétendument écologiques.
Extrait d »une entrevue d’Alexandre Jardin avec le journaliste canadien Stéphane Bureau
-Signez les pétitions qui réclament la défense de notre liberté de circuler
-Soutenez les maires, les élus de toute la France et les députés qui proposent une loi visant à supprimer cette politique d’apartheid.
-Participez aux manifestations avec le collectif « Les # Gueux » (initié par l’écrivain Alexandre Jardin) et la fédération française des motards en colère qui vont de nouveau se mobiliser dimanche prochain, en opposition aux zones à faibles émissions (ZFE) dans notre pays.
Les mesures du plan vert tuent notre agriculture et polluent la planète en imposant des importations alimentaires lointaines.
Les mesures prétendument écologiques briment fortement notre agriculture qualifiée de « mamelle de la France » par Sully. Elles menacent notre indépendance alimentaire et privilégient fortement les importations de pays lointains (Amérique du sud, Australie…) favorisant la déforestation de l’ Amazonie et du bush et la pollution de l’atmosphère par les émissions de gaz carbonique du transport maritime qui représente 3 % des émissions mondiales de gaz à 'effet de serre', soit plus du double de ce qu’émet la France.[9]
Il est urgent de libérer nos agriculteurs de toutes ces normes pour permettre une alimentation aussi locale que possible. Ces mesures supposées écologiques aggravent en réalité la production mondiale de gaz carbonique.
La dictature écologique de l’UE précipite la crise économique
Avant l’UE notre industrie reposait sur la voiture et le bâtiment comme l’énonçait un ancien dicton (quand le bâtiment va, tout va).
Les contraintes vertes, en augmentant les couts, ont fortement contribué au marasme du secteur immobilier tant pour acheteurs (investisseurs et les primo accédants) que pour les locataires.
RépondreSupprimerLa politique européenne imposant fin du thermique et objectifs gaz carbonique a tué l’industrie automobile aboutissant à la fermeture d’usines en Allemagne. Ce problème touche aussi les équipementiers et les concessionnaires menaçant beaucoup des plus de 200000 emplois du secteur.
Actuellement la transition énergétique repose essentiellement sur une baisse de la production de biens carbonés, de la construction neuve dans le résidentiel-tertiaire et de la production industrielle, en particulier de l’automobile et de la chimie. Le ralentissement de l’activité du BTP entraîne une chute de l’investissement non compensée par la hausse des investissements d’efficacité énergétique, une contraction de l’activité économique. Le chômage s’accroît, ce qui diminue les revenus disponibles entrainant une chute de la consommation, cette dernière venant rétroagir négativement sur la production. L’ensemble des secteurs économiques est affecté, y compris le secteur tertiaire. À l’horizon 2035, l’économie française risque d’être plus localisée, mais moins créatrice d’emplois avec un taux de chômage plus élevé.
En plus de pourrir notre vie quotidienne par de multiples obligations et interdictions, l’écologie punitive imposée par l’UE risque de nous conduire vers le sous-développement !
Pour vivre mieux et donner l’espoir d’une vie meilleure à nos enfants, il faut supprimer la dictature verte et quitter l’UE.
Dr Gérard Delépine
Notes :
[1] https://www.cae-eco.fr/staticfiles/pdf/focus-103-dpe-230110.pdf
[2] https://www.auto-moto.com/pouvoir-d-achat/2019-2024-quelle-augmentation-de-prix-de-voitures-29674#google_vignette
[3] https://www.consoglobe.com/voiture-electrique-ou-thermique-le-bilan-environnemental-complet-cg/2
[4] https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/diesel/pourquoi-la-voiture-electrique-pollue-plus-que-ce-que-vous-pensez_3030669.html
[5] https://www.leparisien.fr/automobile/voiture-electrique-ou-thermique-laquelle-pollue-le-plus-12-08-2019-8132190.php
[6] https://www.automobile-magazine.fr/toute-l-actualite/article/33673-voitures-electriques-une-etude-prouve-quelles-emettent-autant-de-particules-que-les-essence-et-diesel
[7] https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/d%C3%A8s-2025-pr%C3%A8s-de-40-des-v%C3%A9hicules-seront-touch%C3%A9s-par-cette-r%C3%A8gle/ar-AA1BmTyW?ocid=winp2fp&cvid=e1a15377b30a47c5a1a73522f7a1244e&ei=28
[8] https://greenly.earth/blog/secteurs/quelle-est-l-empreinte-carbone-du-transport-maritime
[9] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/chiffres-cles-du-climat-france-europe-et-monde-edition-2024
https://www.mondialisation.ca/la-dictature-verte-de-lue-nous-pourrit-inutilement-la-vie/5697930?doing_wp_cron=1745060613.6586399078369140625000
Premièrement, la consommation énergétique dépend de l'isolation. Dès la fin du 19 ème siècle a été inventée la brique creuse en terre cuite. Et, au début du 20 ème siècle celle du parpaing en ciment alvéolé. La différence est minime. Passer de la terre cuite au ciment est une chose, mais, l'importance de cette découverte (après plus de 2 millénaires d'idioties) est cet espace d'air. L'air ! L'air produit une différence de température extérieure à celle intérieure.
SupprimerVoir le progrès enfin appliqué à la serre doublée !
https://forum.communspaysans.org/viewtopic.php?t=4346
Deuxièmement, cette 'découverte' a permis de favoriser la pousse et la production de régimes de bananes aux bananiers sous serre doublée alors qu'il gelait dehors et 15° intérieur !! Le maintient de plants de tomates (qui disparaissent dès la première gelée) a présenté ses avantages: LA serre. LA serre doublée -site passant de 86 179 vues le 15 Janvier 2025 à 101 691 vues en presque 100 jours ! - 15 512)).
(...) La liberté de circuler réservée aux riches (...)
Les avions, bateaux et voitures des personnes fortunées battent tous les records !
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