La petite revue de presse de Dominique
Par Dominique Muselet
Mondialisation.ca,
23 avril 2025
(...)
Covid – Des « preuves » qui changent en fonction des agendas politiques peuvent-elles être scientifiques ?
Pour faire prendre conscience aux gens qu’ils colportent la propagande d’Etat sans s’en rendre compte, une question pertinente vaut mieux que mille arguments massues qui risquent d’engendrer des réflexes de défense, car les gens s’identifient d’autant plus aux histoires martelées à la TV qu’ils n’ont aucune connaissance du sujet traité. Lorsque j’ai appris avec consternation que Macron avait rendu obligatoire pour les nouveau-nés tous les vaccins existant sur le marché, j’ai demandé à mon petit-fils de 15 ans : « Si les vaccins sont scientifiques, comment expliques-tu que chaque pays ait une politique vaccinale différente ? » cela a suffi pour introduire dans son esprit le doute qui est la base de l’esprit critique.
Un nouvel exemple du caractère politique des soi-disant preuves scientifiques, nous est donné par le revirement du gouvernement étasunien sur l’origine du Covid. Personnellement je pense que le Covid n’a jamais existé en tant que tel, je pense que c’est la grippe annuelle qu’ils ont baptisée « pandémie du Covid » pour pouvoir faire avancer leur projet de gouvernement mondial et de contrôle des populations. Donc je n’ai jamais cru que le Covid était né d’un pangolin ou d’une chauve-souris, ou sorti d’un laboratoire de Wuhan, même si je pense qu’il y a des recherches sur les gains de fonction. Une chose est sure, vraie ou fausse il était en tout cas, il était interdit d’évoquer la seconde thèse sous peine d’être vilipendé, ostracisé et banni comme l’a été le professeur Montagnier, prix Nobel 2008. Le Parisien, un des principaux relais de la sainte parole gouvernementale explique « scientifiquement » que le professeur a tout simplement perdu les pédales, selon la Communauté scientifique.
Aujourd’hui, on apprend dans la matinale de Tocsin, de la bouche de Senta Depuydt, journaliste et Présidente de la section Children’s Health Defense (CHD) Europe, présidée par Robert F. Kennedy, Jr., que la thèse du Professeur Montagnier est devenue la thèse officielle de laMaison blanche.
Dans ce revirement étasunien, on trouve le rejet des masques, des confinements, de la distanciation sociale et la dénonciation du rôle joué par Fauci, mais pas un mot sur les vaccins ni sur Bill Gates…
Pendant l’opération Covid, le narratif officiel était dominé par Antony Fauci et Bill Gates (qui s’est fait autour de 50 milliards de dollars pendant la pandémie). Ils détenaient à eux deux pratiquement tous les pouvoirs, y compris financiers, dans le domaine de la santé, aux Etats-Unis et à l’OMS. Robert Kennedy Jr a d’ailleurs écrit un livre sur ces deux hommes, « Bill Gates, Antony Fauci, Big Pharma, leur guerre contre la santé publique et la démocratie ».
L’OMS est discréditée, mais son cadavre est toujours secoué des luttes internes « pour se partager le gâteau de tout ce business pandémique. En réalité, c’est une industrie, c’est une arnaque » souligne la journaliste, qui, en mars 2019, avait publié un article sur le plan mondial de la vaccination avec les moyens de surveillance physiques et financiers (global health security agenda) qui seraient mis en place, etc…
https://www.youtube.com/watch?v=TMZdsq6mLmw&t=2251s
Saïd Bouamama – La Stratégie états-unienne au Moyen-Orient
Le Moyen Orient est depuis toujours un lieu stratégique mondial parce qu’il est à l’intersection de 3 continents : l’Europe, l’Asie et l’Afrique. C’est pourquoi, au début du siècle dernier, la Grande Bretagne s’est alliée au Sionisme pour créer un état vassal dans la région pour contrôler la route de Indes, à contrecarrer l’émergence d’une nation arabe unie et à contrôler les flux de gaz et de pétrole. Le Etats-Unis ont pris la suite après la premièreguerre mondiale. La remise en cause de l’hégémonie étasunienne explique le redoublement de violence dans la région avec le génocide des Palestiniens, la neutralisation de l’Iran et de la Syrie, l’attaque du Liban et du Yémen…
En face la Résistance est elle-même en croissance rapide. Le 2 avril, une incursion israélienne à Daraa en Syrie a été confrontée à une résistance inédite. L’Iran a rejeté les ultimatums des Etats-Unis. Le Yémen a subi une cinquantaine de frappes US, mais ne faiblit pas. En Palestine, aussi, la résistance perdure, comme le montre l’appel du Front populaire de libération de la Palestine à la journée mondiale de mobilisation du 7 avril.
Malgré la disproportion des armes, comme dans les guerres du passé, la Résistance peut refluer mais elle ne disparait jamais.
https://www.youtube.com/watch?v=i9hrZmuCpAM
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ENCORE 9 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 9 = 51)
(...) Personnellement je pense que le Covid n’a jamais existé en tant que tel, je pense que c’est la grippe annuelle qu’ils ont baptisée « pandémie du Covid » pour pouvoir faire avancer leur projet de gouvernement mondial et de contrôle des populations. (...)
RépondreSupprimerIL NE S'AGIT PAS D'UN MICROBE !: DUCON ! Il s'agit d'une nano poussière QUI N'EST PAS dans l'air mais seulement offerte en seringue !
RAPPEL !
Dès leurs sorties de laboratoires nazies il y a 5 ans, de très hautes personnalités dans le monde scientifique ont analysé les flacons injectables.
95 à 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des spikes !!
+ des hydres !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venin de serpents différents !!
Les docteures Astrid Stuckelberger (Suisse) et docteure Carrie Madej (USA) ont donc publié leurs rapports sur l'Internet - à la vue de 8 milliards d'habitants - après analyses.
A savoir: Même si les composition diffèrent d'un laboratoire à un autre, elle peut même différé dans un seul laboratoire. C'est pourquoi les effets HCQ peuvent être différents.
Les conséquences sociétales dramatiques des mesures prétendument sanitaires de la période « covid » en France
RépondreSupprimerPar Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca,
23 avril 2025
5 ans après le confinement et les autres mesures sanitaires, on peut en tirer leurs bilans -sanitaire et sociétal- afin de ne plus jamais répéter les erreurs commises lors du covid. Après la précédente tribune montrant le bilan sanitaire mortifère de ces mesures cette revue s’attache à préciser le bilan sociétal factuel du confinement à une période où les responsables de ces mesures tentent d’éluder leurs responsabilités.[1]
Le conditionnement par la peur pour empêcher tout questionnement
Cette période a été marquée par une propagande terrorisante omniprésente pour éviter tout débat démocratique sur la pertinence des mesures imposées.
Contrairement aux informations factuelles rassurantes qui étaient diffusées lors de la grippe asiatique (1956-1958) et celle de Hong Kong (1968-1970) (de mortalités directes pourtant comparables à celle du covid), tous les médias ont adopté une présentation hyper dramatique de l’épidémie. Jérôme Salomon [2] n’a pas hésité à comparer le covid à la peste malgré la disproportion considérable leurs mortalités respectives (170 000/68 400000 soit 0,2% pour le covid contre 40% pour la peste).
La peur s’est emparée de la majorité de la population bloquant toute analyse logique sur la pertinence des mesures.
Cette peur, ravivée depuis en permanence par de nouvelles menaces lourdement surestimées ou inventées (réchauffement climatique, guerre imminente, virus nouveau…), persiste dans une partie importante de la population comme l’illustre le port de masque facial par certains conducteurs pourtant seuls dans leur voiture, alors même que le rôle protecteur du masque contre les virus n’a jamais été démontré.
N’ayez plus peur ! La peur n’évite pas le danger ! Au contraire elle bloque la réflexion qui permet de l’évaluer objectivement pour une réponse adaptée.
Dissimulations et mensonges d’état.
Pour prévenir toute étude critique, le gouvernement a gardé longtemps secret le rapport 9 de Ferguson [3], qui nécessitait pourtant une analyse objective par des experts indépendants pour éclairer la représentation nationale comme cela a été fait en Grande -Bretagne, Suède et aux Pays-Bas. La solidité du rapport aurait dû être évaluée et publiquement débattu par le Parlement avant de prendre une décision aussi lourde de conséquences que celle du confinement aveugle. La Suède et les Pays-Bas ont pris cette précaution aboutissant au rejet des conclusions de Ferguson et au refus du confinement policier.
L’inertie de la justice y compris de la cour européenne des droits de l’homme pour défendre ce droit fondamental d’expression durant la crise covid entache gravement leur crédibilité.
RépondreSupprimerSuppression du droit de s’exprimer des médecins
L’ordre des médecins a recréé le délit d’opinion, pourchassé les médecins donneurs d’alerte et interdit à plusieurs d’exercer leur sacerdoce parce qu’ils avaient averti des risques des mesures sanitaires ou des traitements proposés par le ministère.
Au terme de la loi n° 2022-401 du 21 mars 2022 [5], un lanceur d’alerte se définit comme : « une personne physique qui signale ou divulgue, sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, une menace ou un préjudice pour l’intérêt général, une violation ou une tentative de dissimulation d’une violation d’un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d’un acte unilatéral d’une organisation internationale pris sur le fondement d’un tel engagement, du droit de l’Union européenne, de la loi ou du règlement. Lorsque les informations n’ont pas été obtenues dans le cadre des activités professionnelles mentionnées au I de l’article 8, le lanceur d’alerte doit en avoir eu personnellement connaissance »…Art. 7-1.-Les lanceurs d’alerte définis au I de l’article 6 bénéficient des protections prévues au présent chapitre :
« 1° Si, ayant eu connaissance des informations concernées dans le cadre de leurs activités professionnelles, ils adressent un signalement interne dans les conditions prévues au I de l’article 8 ;
« 2° S’ils adressent un signalement externe dans les conditions prévues au II du même article 8, après avoir adressé un signalement interne ou directement ;
« 3° S’ils procèdent à une divulgation publique, dans les conditions prévues au III dudit article 8.
« Lorsqu’un signalement ou une divulgation publique a été réalisé de manière anonyme, le lanceur d’alerte dont l’identité est révélée par la suite bénéficie des mêmes protections ».
Mais la protection des donneurs d’alerte prévue par la loi a été refusée à ceux qui s’opposaient au crédo officiel comme celui de la toxicité de la chloroquine, de la nécessité des masques, de la fermeture des écoles, de l’efficacité et l’innocuité des vaccins…
Suppression du droit de prescrire des médecins.
RépondreSupprimerDès le début de l’épidémie le ministère a proclamé « n’allez pas voir votre médecin », il a prescrit le « traitement par Doliprane », puis interdit la prescription de chloroquine en prétendant qu’elle serait dangereuse…
Avant la crise la prescription des médicaments était réservée aux médecins qui, après examen du malade, adaptait l’ordonnance à chaque malade particulier en fonction de ses antécédents et de ses risques. Avec le covid le ministère s’est arrogé le droit de prescrire un même produit à tout le monde sans examen personnalisé, ni surveillance et violé l’article 8 du code de déontologie médicale qui proclame « dans les limites fixées par la loi, le médecin est libre de ses prescriptions, qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. »
- voir doc sur site -
Le ministère a fait condamner par l’ordre les médecins qui continuaient de traiter selon le serment d’Hippocrate et guérissaient leur malade sans respecter les ukases gouvernementaux pourtant très douteux scientifiquement.
L’obéissance aveugle de trop nombreux médecins et l’échec de l’administration des traitements officiels a fortement ternis l’image du médecin dans la population et diminué la confiance qu’elle accordait à la médecine académique et aux soignants.
Exclusion d’un grand nombre de médecins multipliant les déserts médicaux.
L’exclusion des médecins non vaccinés des hôpitaux et l’interdiction d’exercer pour les médecins libéraux sous ce même prétexte a aggravé la pénurie nationale de médecins créé par le numérus clausus (décidé par des énarques qui pensaient qu’en réduisant le nombre de médecins ils réduiraient les dépenses de santé) et multiplié les déserts médicaux.
La récente loi restreignant la liberté d’installation des nouveaux médecins ne va pas résoudre le problème mais risque au contraire de l’aggraver. Une profession libérale ne peut s’exercer que librement ; les contraintes bureaucratiques dissuadent de l’exercice médical et poussent les diplômés vers le travail salarié dans les laboratoires ou l’industrie et les encourage à de s’exiler dans les pays étrangers ou la liberté règne encore d’autant que les rémunérations y sont souvent nettement plus élevées qu’en France.
Suppression du droit de manifester
L’expérience des épidémies historiques a démontré que la seule technique non médicamenteuse efficace pour lutter contre la propagation d’une maladie infectieuse est la quarantaine, séparation des biens portants des malades le temps que ces derniers ne soient plus contagieux.
Notre tribune précédente a bien montré que le confinement, enfermant ensemble malades et bien portants, a aggravé la mortalité. Il s’agissait d’une mesure purement politique pour, en autre interdire toute réunion politique et toute manifestation.
Le masque : torture inutile des enfants
RépondreSupprimerL’analyse de 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme qu’aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui. Beaucoup démontrent le contraire comme pour la grippe [13, 14, 15, 16, 17, 18]. La seule étude randomisée concernant l’intérêt du port généralisé du masque contre le covid danmasq19 [19, 20] montre d’ailleurs que les porteurs de masque n’en tirent aucun bénéfice significatif. Conclusion que confirment les expériences désastreuses de la Nouvelle-Zélande [21] ou de Hong Kong fervents supporters de l’obligation généralisée du masque facial..
L’enfant risque moins du covid que de la grippe et ne la transmet pas.
Imposer le port de masque aux enfants était donc totalement inutile d’autant qu’il expose à de nombreuses complications. Même les défenseurs du port du masque en reconnaissent certaines : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent…
Le port généralisé du masque génère de l’anxiété, du stress, des dépressions et autres troubles psychologiques [22], des frustrations en raison de gêne lors de la communication, d’une irritabilité accrue, d’une détérioration de l’humeur, d’une agitation et d’un sommeil plus médiocre.
Il empêche de voir le visage et l’expression des émotions, élément essentiel de la communication avec les autres et des rapports mère /enfant. Cette gêne à l’élocution, rend plus difficile l’acquisition du langage et de la prononciation des mots par les jeunes enfants. Il complique l’enseignement scolaire, et tout particulièrement et l’apprentissage des langues étrangères…
- voir doc sur site -
Une torture toxique pour les enfants sans aucune justification scientifique contre le covid.
La fermeture des écoles a considérablement nuit aux enfants et adolescents
L’expérience de la Suède démontre l’inefficacité sanitaire de la fermeture des écoles [23]. Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses ont confirmé l’inutilité de cette mesure [24, 25] :
« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »
La fermeture des écoles a entraîné des réductions parfois très importantes du temps dédié aux apprentissages, de nombreux retards d’apprentissage et l’augmentation des décrochages scolaires.
RépondreSupprimerElle a aggravé les inégalités dans les conditions d’apprentissage des élèves [26, 27]. De plus dans certaines famille défavorisées la fermeture des écoles a entraîné la perte du repas du midi crucial pour leur équilibre alimentaire.
Hausse des inégalités, déscolarisation, retards d’apprentissage, troubles psychologiques pour une mesure sans intérêt sanitaire réel…
Le confinement responsable de nombreux troubles psychologiques.
Après le conditionnement par la peur, le confinement a entrainé du stress, de l’anxiété, de la colère, de la lassitude, de l’ennui, une augmentation du temps passé devant les écrans, une rupture du rythme quotidien, perturbant le sommeil parfois jusqu’à l’insomnie [28]. Des pertes de repères, de motivation et difficultés de projection dans l’avenir, des dépressions, des actes d’automutilation, des suicides et aussi des violences domestiques, une augmentation de la consommation de tabac, d’alcools et d’autres drogues (chez près de 10% de la population [29] qui, entre autres, ont conduit au décès d’environ 23.000 personnes en France.
Le stress du confinement traduit le ressenti face à une vulnérabilité soudaine et une perte de la maîtrise de la situation augmente l’anxiété.
L’anxiété intense, sensation de danger et de malaise face à quelque chose qui n’est pas forcément identifié peut faciliter la dépression, notamment en raison d’un manque de contact social. Lors de la première vague d’enquête menée du 23 au 25 mars plus d’un quart (27%) des répondants de l’échantillon ressentaient un état d’anxiété [30]. En mai 2020, 13,5 % des plus de 15 ans déclaraient avoir des symptômes d’un état dépressif. Les jeunes étaient les plus touchés avec 22 % d’états dépressifs chez les 15-24 ans, soit le double de l’année précédente.
Chez les personnes fragiles, en particulier chez les jeunes et les femmes cela a pu déclencher une pathologie mentale[31] comme le montre le graphique suivant [32] :
- voir graph sur site -
Beaucoup de ces pathologies mentales persistent encore en 2025, cinq ans après leur apparition ou aggravation par les mesures sanitaires.
Depuis le confinement l’avenir professionnel des psychologues et des psychiatres est assuré pour de nombreuses années.
Le confinement responsable de dégâts économiques majeurs qui s’aggravent.
Le 18 mars 2029 la Banque centrale européenne (BCE) ouvrait grandes les vannes du crédit, en annonçant en urgence un plan d’intervention de 750 milliards d’euros (qui montera finalement à 1 700 milliards d’euros). L’heure de l’argent magique avait sonné. Les gouvernements ont pu emprunter comme jamais, à des taux d’intérêt autour de zéro, pour payer les salaires des gens forcés à rester chez eux, apporter des prêts d’urgence aux entreprises…
Chez les adultes, le confinement a séparé les salariés en deux groupes :
RépondreSupprimer- ceux qui perçoivent l’intégralité de leur salaire, sans travailler nécessairement, ou en télétravail, et dont un certain nombre ont déclaré que ne pas se lever le matin est bien agréable.
- les plus précaires dont le salaire a été diminué ou supprimé (intérimaires, autoentrepreneurs, travailleurs non déclarés) qui ont subi avec angoisse la détérioration brutale de leur situation financière.
En Afrique l’impact économique des mesures restrictives liées à la pandémie a fortement aggravé les crises alimentaires liées aux mauvaises conditions météorologiques et aux conflits. En 2020 le GLOBAL REPORT ON FOOD CRISES 2021 a estimé à 3.5 millions le nombre d’enfants de moins de 5 ans souffrant d’émaciation et à 14.1 millions présentant des retards de croissance.
En France d’après l’Insee, les 2 mois de confinement ont amputé le PIB de 2020 de près de 10% du fait de l’arrêt de secteurs économiques majeurs (construction, commerce, transports, hébergement et restauration, industries automobile et pétrolière) et le gel des commerces non vitaux et des professions libérales dont beaucoup ne s’en sont pas relevé depuis…
Sur l’ensemble de l’année 2020, le PIB a diminué de 6,6 % dans la zone euro, et de7,9% en France [33].
Depuis les confinements l’économie de la France n’a fait que de se détériorer. En 2024 le déficit publica a atteint 5,8 % du PIB (après 5,4 % en 2023 et 4,7 % en 2022). La charge de la dette (les intérêts) a atteint 58 milliards d’euros en 2024, presque 8 milliards de plus qu’en 2023.
Dans un rapport tout récent [34] Natacha Valla a souligné que la productivité tricolore reste en dessous du niveau préconfinement (- 5,9 % par rapport à la productivité d’avant-crise).
Le nombre de faillites d’entreprises est passé de 3999 en janvier 2020 à 5700 en octobre 2024 record depuis 15 ans.
Dans un contexte d’incertitudes 89% des Français sont inquiets pour la situation économique du pays, 86% pour le niveau de la dette publique, 82% pour la situation de l’emploi en France, 69% pour leur propre situation financière.
Combien d’années devrons-nous encore subir les conséquences économiques catastrophiques des mesures sanitaires ?
Quelles leçons pour l’avenir ? Battons-nous pour nos libertés.
La catastrophe Covid dont nous avons souffert et dont nous subissons encore les conséquences est bien davantage due aux mesures totalitaires qui nous ont été imposées qu’à la maladie elle-même.
Contre-productives du point de vue sanitaire, et catastrophiques pour la société, les mesures sanitaires se sont comportées comme une arme de destruction massive de notre démocratie et de notre économie, entraînant discrimination, chômage massif et pauvreté que nous ne parvenons pas encore à combattre efficacement.
RépondreSupprimerIl faut espérer qu’elles ont permis à la population de se rende compte des conséquences de la décroissante voulue par certains associations et écologistes : aggravation des inégalités sociales, de la pauvreté, du chômage, de l’échec solaire, des dépressions, des violences familiales…
La tyrannie des écologistes et du pacte vert de l’UE qui s’exprime actuellement avec la raréfaction des logements à prix abordable (du fait des ukases DPE ) et du droit de circuler des gueux (avec les ZEP ) devrait enfin se heurter à une forte résistance pour sauver nos libertés. Car le but réel des mesures sanitaires était certainement de tester notre tolérance à la dictature « pour notre bien».
L’Onu elle-même s’est inquiété des menaces contre la démocratie.
Le 16 mars 2020, un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme et d’autres rapporteurs spéciaux de l’Onu ont exhorté les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence. « Tout en reconnaissant la gravité de la crise sanitaire actuelle et en admettant que l’utilisation des pouvoirs d’urgence est autorisée par le droit international en réponse à des menaces importantes, nous rappelons aux États que toute réponse d’urgence au coronavirus doit être proportionnée, nécessaire et non discriminatoire », « certains États et institutions de sécurité peuvent trouver attrayante l’utilisation de pouvoirs d’urgence car elle offre des raccourcis. Pour éviter que de tels pouvoirs excessifs ne soient intégrés dans les systèmes juridiques et politiques, les restrictions devraient être étroitement adaptées et constituer le moyen le moins intrusif possible pour protéger la santé publique ».
Il faut confronter les ignorants ou les corrompus qui osent encore prétendre que le confinement aurait été utile aux chiffres officiels de l’OMS et de l’OMC pour qu’à l’avenir une telle mesure aussi scientifiquement infondée et aussi nocive ne puisse plus jamais être proposée ni acceptée [35] ni d’ailleurs d’autres mesures violant nos libertés fondamentales.
Liberté j’écris ton nom
Gérard Delépine
Chirurgien oncologue statisticien
Le 18 avril 2025
Image en vedette : Capture d’écran. Source : universite-paris-saclay.fr
Notes :
RépondreSupprimer[1] https://www.liberation.fr/france/2020/06/18/covid-19-salomon-et-chene-jouent-la-carte-du-deni-face-a-la-commission-d-enquete_1791607/
[2] Directeur général de la santé
[3] 28/04/2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine
[4] Combattons les censures et les atteintes à nos droits fondamentaux https://nouveau-monde.ca/combattons-les-censures-et-les-atteintes-a-nos-droits-fondamentaux/
[5] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFARTI000045388752
[6] https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/sante-publique/prescrire-medicaments-traitements
[7] https://blogs.icrc.org/law-and-policy/fr/2022/02/22/respect-for-the-dead-under-islamic-law-considerations-for-humanitarian-forensics/
[8] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/confinement/tarn-verbalisee-pour-s-etre-rendue-devant-la-fenetre-de-la-chambre-de-son-mari-en-ehpad-6808017
[9] https://www.radiofrance.fr/mouv/elle-prend-un-pv-pour-s-etre-postee-a-la-fenetre-de-son-mari-en-maison-de-retraite-3166466
[10] https://www.obseques-infos.com/actualites/24057-obseques-confinement-coronavirus/
[11] https://www.vexilla-galliae.fr/actualites/covid-19-quelques-cardinaux-et-eveques-selevent-contre-la-gestion-de-la-crise/
[12] https://www.profession-gendarme.com/pour-alimenter-la-peur-et-faire-croire-a-une-pandemie-il-fallait-des-morts/
[13] Xiao J, Shiu E, Gao H, Wong JY,Fong MW, Ryu S, et al. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020;26(5):967–975. https://doi.org/10.3201/eid2605.190994
[14] Haworth E, Barasheed O, Memish ZA, Rashid H, Booy R. Prevention of influenza at Hajj: applications for mass gatherings. J R Soc Med. 2013 Jun;106(6):215-23. doi: 10.1258/jrsm.2012.120170. PMID : 23 761 581 ; PMCID : PMC3705423.
[15] Cowling BJ, Chan KH, Fang VJ, Cheng CK, Fung RO, Wai W, Sin J, Seto WH, Yung R, Chu DW, Chiu BC, Lee PW, Chiu MC, Lee HC, Uyeki TM, Houck PM, Peiris JS, Leung GM. Facemasks and hand hygiene to prevent influenza transmission in households: a cluster randomized trial. Ann Intern Med. 2009 Oct 6;151(7):437-46. doi: 10.7326/0003-4819-151-7-200910060-00142. Epub 2009 Aug 3. PMID : 19 652 172.
[16] Davis BM, Markel H, Navarro A, Wells E, Monto AS, Aiello AE. The effect of reactive school closure on community influenza-like illness counts in the state of Michigan during the 2009 H1N1 pandemic. Clin Infect Dis. 2015 Jun 15;60(12):e90-7. doi : 10.1093/cid/civ182. Epub 2015 Apr 20. PMID : 25 896 795.
[17] Simmerman JM, Suntarattiwong P, Levy J, Jarman RG, Kaewchana S, Gibbons RV, Cowling BJ, Sanasuttipun W, Maloney SA, Uyeki TM, Kamimoto L, Chotipitayasunondh T. Findings from a household randomized controlled trial of hand washing and face masks to reduce influenza transmission in Bangkok, Thailand. Influenza Other Respir Viruses. 2011 Jul;5(4):256-67. doi: 10.1111/j.1750-2659.2011.00205.x. Epub 2011 Feb 17. PMID : 21 651 736 ; PMCID : PMC4634545.
[18] Long Y, Hu T, Liu L, et al. Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks against influenza: a systematic review and meta-analysis. J Evid Based Med. 2020;13(2):93–101
[19] Heneghan C ,Jefferson T.. Une étude danoise historique ne trouve aucun effet significatif pour les porteurs de masque facial . Spectateur 2020 . https://www.spectator.co.uk/article/do-masks-stop-the-spread-of-covid-19
[20] 5 https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-6817
[21] https://nouveau-monde.ca/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-lexperience-desastreuse-de-la-nouvelle-zelande/
RépondreSupprimer[22] Qin Z, Shi L, Xue Y et al (2021) Prevalence and risk factors associated with self-reported psychological distress among children and adolescents during the COVID-19 pandemic in China. JAMA Netw Open 4:e2035487–e2035487. https://doi.org/10.
[23] https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/la-lecon-suedoise-du-covid-19-il-ne-fallait-pas-confiner/
[24] https://www.ladepeche.fr/2020/08/19/coronavirus-un-rapport-devoile-le-role-des-ecoles-dans-la-transmission-du-virus-9026018.php
[25] Ken Rice Effet des fermetures d’écoles sur la mortalité par coronavirus 2019 : anciennes et nouvelles prévisions BMJ. 2020 ; 371 : m3588.Publié en ligne le 7 oct. 2020 doi : 10.1136 / bmj.m3588
[26] Grewenig, E., Lergetporer, P., Werner, K., Woessmann, L. & Zierow, L. (2020). COVID-19 and educational inequality : How school closures affect low-and high-achieving students. IZA Discussion Paper 13820, Institute of Labor Economics, Bonn ; Gustafsson (2021),
[27] Grätz, M. & Lipps, O. (2021). Large loss in studying time during the closure of schools in Switzerland in 2020. Research in social stratification and mobility, 71, 100554. DOI : https://doi.org/10.1016/j.rssm.2020.10055
[28] https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=10-effets-confinement-sur-notre-sante-psychologique
[29] https://shs.cairn.info/revue-psychotropes-2020-2-page-191?lang=fr#s1n5
[30] https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2020/souffrance-psychique-et-troubles-psychiatriques-lies-a-l-epidemie-de-covid-19-et-difficultes-de-la-vie-en-confinement-les-evaluer-pour-mieux-agir
[31] https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=10-effets-confinement-sur-notre-sante-psychologique
[32] https://www.vie-publique.fr/en-bref/279037-covid-19-sante-mentale-et-etats-depressifs-apres-les-confinements
[33] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5389038
[34] https://www.msn.com/fr-fr/finance/%C3%A9conomie/%C3%A9conomie-pourquoi-la-productivit%C3%A9-fran%C3%A7aise-plonge-et-met-en-p%C3%A9ril-la-croissance/ar-AA1CY2GW
[35] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext
https://www.mondialisation.ca/les-consequences-societales-dramatiques-des-mesures-pretendument-sanitaires-de-la-periode-covid-en-france/5697933?doing_wp_cron=1745493426.9159829616546630859375
RAPPEL !
SupprimerDès leurs sorties de laboratoires nazies il y a 5 ans, de très hautes personnalités dans le monde scientifique ont analysé les flacons injectables.
95 à 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des spikes !!
+ des hydres !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venin de serpents différents !!
Les docteures Astrid Stuckelberger (Suisse) et docteure Carrie Madej (USA) ont donc publié leurs rapports sur l'Internet - à la vue de 8 milliards d'habitants - après analyses.
A savoir: Même si les composition diffèrent d'un laboratoire à un autre, elle peut même différé dans un seul laboratoire. C'est pourquoi les effets HCQ peuvent être différents
Avant le confinement belge, la mortalité était semblable en Belgique et aux Pays-Bas. Le confinement a été imposé en Belgique le 17 mars 2020 tandis que les Pays –Bas refusaient de confiner. Le nombre de morts quotidiens a explosé en Belgique 3 semaines après le confinement pour se stabiliser très au-dessus de la mortalité néerlandaise. A la fin du confinement la mortalité belge cumulée de la période atteignait deux fois et demie la mortalité néerlandaise.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
En France le confinement a également été suivi d’une recrudescence importante de la mortalité. Avant le confinement français la mortalité était comparable à la moyenne mondiale et à celle de l’Afrique. Trois mois après le début du confinement la mortalité par million d’habitants en France s’élevait à 7 fois la moyenne mondiale et à 100 fois celle de l’Afrique très peu confinée !
- voir graph sur site -
L’effet mortifère du confinement se retrouve dans tous les pays européens ainsi que le montre ce graphique comparant la mortalité par million d’habitants de la France à celle de la Suède qui n’a pas confiné.
Ces pays furent soumis aux mêmes interdictions thérapeutiques habituellement efficaces dans ce type de grippe (antibiotiques) et aux refus du pouvoir soutenu par l’ordre des médecins et les « professeurs » de l’APHP, des traitements Raoult et de l’ivermectine, et de surcroit aux mêmes erreurs (ventilation artificielle) et absence de traitement anticoagulant.
Toutes ces dérives volontaires sont amplement détaillées dans de nombreux ouvrages dont ceux du PR Raoult, mais aussi L.Muchielli, L.Toubiana, JD Michel et bien d’autres. Les livres abondent de grande qualité multipliant les références précises.
Et pendant ce temps-là les ministres de la santé successifs continuent à prôner l’injection mortifère source de tant de décès et de maladies chroniques voire mortelles (Charcot). Ainsi en Avril 25 actuellement une nouvelle campagne d’injections anticovid va débuter pour deux mois organisée par la DGS. De l’inconséquence pour les citoyens à l’illusion d’impunité pour eux-mêmes, on a du mal à comprendre que rien ne les arrête, y compris leur responsabilité individuelle pénale.
- voir graph sur site -
Ceux qui osent prétendre que les confinements auraient sauvé des vies vivent dans le monde imaginaire des simulations, mais paraissent ignorer les données du monde réel publiées par l’OMS qui montrent que la mortalité Covid de la France est l’une des plus élevée du monde. Leur ignorance n’est sûrement que feinte dans le cadre de la mise en place du totalitarisme par petites touches.
- voir graph sur site -
Des « euthanasies sans consentement » autorisées par E Philippe et O Veran
Les personnes âgées, dont certaines auraient probablement pu être sauvées, ont été consciemment privées de soins.
Et il faut aussi tenir compte des victimes tardives par perte de chances de guérison liées à l’arrêt des diagnostics et traitements précoces et à la misère due au chômage et pertes d’emplois.
RépondreSupprimerLa catastrophe Covid dont nous avons souffert et dont nous subissons encore les conséquences est beaucoup plus due aux mesures totalitaires qui nous ont été imposées dont le confinement, qu’à la maladie elle-même.
Il faut confronter les ignorants ou les corrompus qui osent encore prétendre que le confinement aurait été utile aux chiffres officiels de l’OMS pour qu’à l’avenir une telle mesure aussi scientifiquement infondée et aussi nocive ne puisse plus jamais être proposée et surtout jamais acceptée par des citoyens devenus conscients de la manipulation qu’ils subissent encore aujourd’hui ![7]
*
Dr Gérard Delépine
Chirurgien, orthopédiste et statisticien
Notes :
[1] Voir aussi « autopsie d’un confinement aveugle par G et N Delépine éditions Fauves septembre 2020
[2]Un rouge profond estampillé « secret » Et si le coronavirus provenait d’un laboratoire chinois ? Des agents allemands ont suivi une piste jusqu’à Wuhan.Mais à la chancellerie, les soupçons ont été strictement gardés secrets pendant cinq ans. Par Georg Mascolo et Holger Stark Tiré du ZEIT n° 11/202512. mars 2025
[3] « La Vie Hospitalière » est dédié à Lucienne VANCLOOSTER: Rivotril, sang contaminé, COVID : ce que cache l’Ordre des Médecins – Delépine/Joseph
[4] Les dessous du rapport classé secret défense de Ferguson et le confinement avril 2020
[5] Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? – AgoraVox le média citoyen
[6] Désastre sanitaire et économique du blocage de la chirurgie : juin 2020 / Une moyenne de 70% de perte d’activité chirurgicale a été constatée depuis le début du plan blanc.
Urgence sanitaire :
Il y a trois semaines, nous relayions dans cette tribune[1] l’alerte des personnels soignants sur les victimes collatérales du Covid19, les malades ordinaires, victimes du plan blanc[2]. Malheureusement, nous n’avons guère été entendus de même que les syndicats de chirurgiens qui appelaient à la reprise, et le plan blanc est toujours officiellement actif, alors que l’épidémie se termine et les services Covid presque partout vides ainsi que tous les autres services, tant en public qu’en privé.
[7] Malgré l’évidence, le patron du Medef vient d’oser dire il y a quelques jours en avril 2025 que le déficit de la sécurité sociale serait dû aux NON vaccinés qui rempliraient les hôpitaux ! On peut être certain que ces personnes qui profèrent de tels mensonges ne mourront pas étouffés… tant mieux pour eux. OUVREZ LES YEUX ; regardez les malades autour de vous …
https://www.mondialisation.ca/la-catastrophe-sanitaire-des-confinements-de-2020-en-france/5698086?doing_wp_cron=1745494636.3912489414215087890625
RAPPEL !
SupprimerDès leurs sorties de laboratoires nazies il y a 5 ans, de très hautes personnalités dans le monde scientifique ont analysé les flacons injectables.
95 à 99 % de nano particules d'oxyde de graphène !!
+ des spikes !!
+ des hydres !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venin de serpents différents !!
Les docteures Astrid Stuckelberger (Suisse) et docteure Carrie Madej (USA) ont donc publié leurs rapports sur l'Internet - à la vue de 8 milliards d'habitants - après analyses.
A savoir: Même si les composition diffèrent d'un laboratoire à un autre, elle peut même différé dans un seul laboratoire. C'est pourquoi les effets HCQ peuvent être différents.
Des molécules intéressantes pour lutter contre le cancer mais nuisibles pour les dividendes de Big Pharma
RépondreSupprimere 24 avril 2025
par pgibertie
La Vitamine C : Un Remède Miracle ?
- voir graph sur site -
La vitamine C, ou acide ascorbique, est essentielle pour de nombreuses fonctions corporelles, notamment la production de collagène, la cicatrisation des plaies et le soutien du système immunitaire. Cependant, son potentiel thérapeutique va bien au-delà de ces fonctions de base. Des études ont montré que des doses massives de vitamine C, administrées par voie intraveineuse, peuvent avoir des effets bénéfiques sur diverses pathologies, y compris le cancer.
Linus Pauling, double lauréat du prix Nobel, a été l’un des premiers à défendre l’utilisation de la vitamine C à haute dose dans les années 1970. Ses travaux ont montré des résultats prometteurs, mais ils ont été largement ignorés par la communauté médicale française. Aujourd’hui, des médecins comme le Dr Jean-Philippe Labreze, qui a utilisé cette méthode avec succès sur une patiente en phase terminale, se heurtent à des sanctions sévères, allant jusqu’à la radiation.
https://lemediaen442.fr/big-pharma-vs-medecine-naturelle-pourquoi-la-vitamine-c-est-elle-interdite-en-france-pour-traiter-le-cancer/
Ivermectine et cancer: une revue de la littérature par des Drs en pharmacie qui explore les mécanismes d’action possible, passe en revue des études de cas, rassure sur la sécurité pour des patients cancéreux et appelle à plus de recherche clinique.
« Le traitement à l’ivermectine a (souvent) été refusé en raison de l’étiquette de l’indication actuelle. Pour lever cet obstacle et rendre le traitement plus équitable, il faut recueillir davantage de preuves auprès des patients atteints de cancer et les rassembler en vue de leur examen. L’inquiétude théorique concernant la neurotoxicité potentielle de l’ivermectine chez l’homme n’a pas été confirmée. Cette méta-analyse IPD fournit aux autorités réglementaires et aux décideurs politiques de nouvelles preuves de l’innocuité de l’ivermectine chez les patients atteints de cancer. Les données fournissent des preuves limitées mais inspirantes que l’ivermectine est sûre et bien tolérée chez les patients atteints de cancer ».
- voir doc sur site :
https://pgibertie.com/2025/04/24/des-molecules-interessantes-pour-lutter-contre-le-cancer-mais-nuisibles-pour-les-dividendes-de-big-pharma/
Le coût de l'ignorance des causes profondes des maladies chroniques. J. Mercola
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
24 avril 2025
Les États-Unis consacrent 90 % de leurs 4 500 milliards de dollars de dépenses annuelles de santé aux maladies chroniques, mais la majeure partie de cette somme finance des médicaments et des procédures rentables qui ne s'attaquent pas à la cause profonde de la maladie.
Les médicaments sur ordonnance enferment les patients dans un cycle infernal de dépendance. Une fois qu'ils ont commencé à prendre des médicaments pour des maladies chroniques, ils les arrêtent rarement, même lorsque leur santé continue de décliner.
Les patients atteints de maladies chroniques sont confrontés à de graves difficultés financières ; 32 % d’entre eux ont des dettes médicales en cours de recouvrement et leur taux de faillite est quatre fois plus élevé que celui des personnes en bonne santé.
Au-delà des conséquences physiques, les maladies chroniques impactent la santé mentale, mettent à rude épreuve les relations et engendrent un sentiment d'isolement. Les aidants sont également confrontés au stress, à l'épuisement et à une perte de revenus.
La médecine doit passer de la gestion des maladies à la véritable guérison. Au lieu de masquer les symptômes, l'accent doit être mis sur la restauration des fonctions cellulaires et le soutien du métabolisme pour rompre le cycle des maladies chroniques.
*
Les maladies chroniques constituent la crise sanitaire majeure de notre époque. Malgré les progrès médicaux, les taux de diabète, de maladies cardiaques, de cancer et de maladies neurodégénératives continuent d'augmenter. Les États-Unis dépensent plus en soins de santé que tout autre pays, et pourtant, la population est plus malade, au lieu d'améliorer sa santé.
Cet échec résulte de l'étroite focalisation de la médecine conventionnelle sur les médicaments et les procédures qui ne font que prolonger la dépendance, au détriment de la reconnaissance du rôle de la fonction mitochondriale et de la santé cellulaire dans la prévention et le traitement des maladies chroniques. Il est temps de remettre en question ce système, d'en révéler les failles et d'exiger une transition vers des solutions qui rétablissent véritablement la santé à ses fondements.
- voir clip sur site -
Le coût financier de la gestion des maladies à vie
RépondreSupprimerLe fardeau financier de la gestion des maladies chroniques est écrasant, même pour les personnes bénéficiant d'une assurance maladie. L'endettement médical est ainsi devenu l'une des crises économiques les plus graves aux États-Unis. 1 Le problème n'est pas seulement que ces maladies sont coûteuses, mais aussi qu'elles sont rarement traitées. Les patients sont soumis à des prescriptions et à des procédures à vie qui génèrent des milliards de dollars de revenus pour les compagnies pharmaceutiques et les assurances, sans pour autant rétablir leur santé.
• Une étude majeure révèle que les maladies chroniques augmentent la vulnérabilité financière — Une étude publiée dans JAMA Internal Medicine 2 a évalué plus de 2,85 millions d'adultes et a révélé que plus de 38 % d'entre eux souffraient d'au moins une maladie chronique. Si beaucoup pensent que l'assurance maladie protège contre les dépenses médicales importantes, leurs conclusions montrent que les personnes atteintes de maladies chroniques sont beaucoup plus susceptibles de se retrouver confrontées à des factures médicales impayées, à des dettes impayées, voire à la faillite.
• À mesure que le nombre de conditions chroniques augmente, il en va de même pour la probabilité de tension financière - parmi les personnes atteintes de maladies chroniques, seulement 7,6% avaient une dette médicale dans les collections. Cependant, ce nombre est monté en flèche à 32% pour ceux qui ont sept à 13 conditions chroniques. Ce schéma a également été observé dans la dette non médicale dans les collections, ce qui n'a affecté que 7,2% de ceux sans maladie chronique, mais a augmenté à 24% parmi ceux qui ont le plus de problèmes médicaux.
• La dette délinquante et les scores de crédit médiocres sont plus fréquents avec une maladie chronique - la dette délinquante, ce qui signifie que les paiements manqués sur tout type de dette, ont été trouvés chez 14% des individus en bonne santé, contre près de 43% parmi ceux qui ont plusieurs conditions chroniques.
Le bilan financier des maladies chroniques s'étend également aux scores de crédit et aux taux de faillite. Les individus sans maladies chroniques n'avaient que 17% de chances d'avoir une faible cote de crédit, alors qu'elle était de 47% pour ceux qui géraient sept à 13 conditions chroniques.
• Les taux de faillite augmentent considérablement avec des conditions plus chroniques - les taux de faillite ont également grimpé, avec 1,7% de ceux qui ont plusieurs conditions chroniques déposant le bilan, une augmentation quadruple par rapport aux 0,4% des personnes en bonne santé qui ont dû faire cette étape. Au-delà de la probabilité d'accumuler de la dette, le montant réel de la dette médicale dans les collections a également augmenté avec chaque condition chronique supplémentaire.
• La dette médicale non rémunérée augmente fortement avec des maladies plus chroniques - parmi ceux qui n'ont pas de conditions chroniques, le montant moyen des factures médicales impayées dans les collections était de 784 $. Pour ceux qui souffrent de multiples maladies chroniques, ce nombre est passé à 1 252 $. Cela suggère que même avec l'assurance, les coûts détruits des traitements en cours, des médicaments et des visites spécialisées s'additionnent rapidement, laissant les patients dépassés financièrement.
RépondreSupprimerLe fardeau économique en flèche des maladies chroniques
Les maladies chroniques sont la principale cause de dépenses de santé aux États-Unis. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), 3 90% des frais de santé annuels de 4,5 billions de dollars du pays sont consacrés au traitement des maladies chroniques, en moyenne de 13 493 $ par personne.4 Ces dépenses comprennent les visites chez le médecin, les séjours à l'hôpital, les chirurgies et la consommation de médicaments sur ordonnance à long terme.
• La perte de productivité de la maladie chronique entraîne également des milliards de dollars de pertes économiques chaque année - en 2022, les coûts indirects du diabète dans l'économie américaine ont été estimés à 106,3 milliards de dollars.5 En attendant, une maladie cardiovasculaire devrait coûter aux États-Unis 1,1 million de dollars par an d'ici 2035,6
• Les maladies chroniques créent des difficultés financières intergénérationnelles — Lorsqu'une santé déclinante contraint un travailleur à quitter son emploi, les difficultés financières affectent également toute sa famille. Les conjoints et les enfants deviennent souvent des aidants à temps plein, sacrifiant ainsi leur carrière et leur sécurité financière.
Alors que les dépenses médicales s’accumulent et que les revenus diminuent, les familles se retrouvent piégées dans un cycle d’instabilité économique qui s’étend sur plusieurs générations et rend le rétablissement financier difficile.
• Même les programmes gouvernementaux croulent sous le coût exorbitant des maladies chroniques. Le rapport financier 2024 des Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS) 7 révèle que Medicare représente à lui seul 22 % des dépenses de santé aux États-Unis, tandis que Medicaid y contribue à hauteur de 17 %. Au total, ces programmes traitent plus d'un milliard de demandes de remboursement à l'acte chaque année et représentent environ 13 % des dépenses fédérales totales.
• La plupart des fonds Medicare et Medicaid sont probablement consacrés aux soins des maladies chroniques — Étant donné que les maladies chroniques sont responsables de 90 % des dépenses de santé aux États-Unis, il est probable qu’une part substantielle de ces fonds Medicare et Medicaid soit consacrée à la gestion des maladies chroniques.
Il y a plus de dix ans, Medicare dépensait déjà des sommes très différentes en fonction du nombre de maladies chroniques dont souffrait une personne.
RépondreSupprimer• Les coûts de Medicare augmentent considérablement avec le nombre de maladies chroniques. En 2010, un bénéficiaire Medicare moyen ne souffrant que d'une seule maladie chronique ou d'aucune maladie chronique coûtait au système 2 025 $ par an. Mais pour ceux souffrant de deux ou trois maladies, ce chiffre grimpait à 5 698 $.
Les patients atteints de quatre ou cinq maladies chroniques coûtent en moyenne 12 174 $, tandis que ceux atteints de six maladies ou plus accumulent la somme stupéfiante de 32 658 $ par an. 8 Avec des taux de maladies chroniques augmentant chaque année, on peut supposer que ces chiffres n'ont fait qu'empirer.
• Le système privilégie les traitements à vie plutôt que la guérison des maladies — Le coût exorbitant des maladies chroniques est le reflet d'un système médical conçu pour gérer les symptômes plutôt que pour vous aider à guérir, avec des milliards investis dans les médicaments, les interventions chirurgicales et les traitements qui assurent un flux constant de profits aux sociétés pharmaceutiques et à l'industrie médicale. Même les médicaments les plus vendus au monde ne sont pas conçus pour traiter la maladie, mais pour vous maintenir dépendant.
• Les médicaments les plus vendus génèrent des milliards alors que les maladies persistent ou s'aggravent — Lipitor , un médicament hypocholestérolémiant, a généré plus de 150 milliards de dollars de ventes, 9 pourtant les maladies cardiaques restent la principale cause de décès. De même, le coût de l'insuline continue d'augmenter, 10 même si le diabète de type 2 est largement évitable grâce à des changements d'alimentation et de mode de vie.
Tant que le système tirera profit du maintien des patients sous traitement, la prévention et les solutions concrètes seront ignorées. Pour s'en sortir, il faut commencer à regarder au-delà de la médecine conventionnelle.
Épuisement professionnel des patients : quand les médicaments deviennent une condamnation à perpétuité
Le cycle incessant de la recherche d'un soulagement sans guérison est la réalité fondamentale de millions de personnes prises au piège du système médical moderne. Un patient souffrant de douleurs chroniques, par exemple, peut commencer par une prescription légère pour le soulager, puis se retrouver à devoir recourir à des médicaments plus puissants à mesure que son état s'aggrave.
• Les prescriptions d'opioïdes augmentent au fil du temps mais n'améliorent pas les résultats pour les patients — Une étude publiée dans Pain Medicine 11 a révélé que parmi les patients souffrant de douleurs chroniques non cancéreuses, les taux de prescription d'opioïdes sont passés de 59,6 % au départ à 74,3 % sur deux ans, avec un pourcentage inquiétant de 71 % d'utilisateurs restant sous traitement à long terme.
RépondreSupprimerLa consommation d'opioïdes forts a plus que doublé, passant de 13 % à 31 %. Malgré cette augmentation des prescriptions, les patients ont continué de signaler des douleurs intenses et une forte interférence avec leur vie quotidienne.
• Les consommateurs d'opioïdes de longue date ressentent davantage de douleur et interrompent rarement leur traitement. De plus, l'étude a révélé que les consommateurs d'opioïdes étaient plus susceptibles de souffrir de douleurs et d'incapacités continues que ceux qui n'en recevaient pas. Plus particulièrement, seulement 1 % des patients ont réussi à interrompre leur consommation d'opioïdes au cours de la période de deux ans, ce qui montre qu'une fois le traitement commencé, les patients l'arrêtent rarement, même lorsque la douleur ne s'améliore pas. 12
• Les opioïdes aggravent la douleur au fil du temps en abaissant le seuil de douleur du corps. La recherche a également démontré que l'utilisation d'opioïdes à long terme conduit à une hyperalgésie induite par les opioïdes, une condition dans laquelle votre système nerveux devient plus sensible à la douleur plutôt que moins.
Au lieu d'apporter un soulagement durable, les opioïdes reprogramment vos voies de la douleur, abaissant votre seuil de tolérance à la douleur et rendant l'inconfort encore plus intense. Les médicaments censés soulager vos souffrances les aggravent en réalité avec le temps et vous enferment dans un cycle de douleur croissante et de dépendance aux drogues.
• Pour les personnes souffrant de troubles mentaux, le schéma est étrangement similaire. Brooke Siem, dans le Washington Post, 14, raconte comment elle a passé près de la moitié de sa vie sous antidépresseurs, sans jamais être interpellée par un médecin pour reconsidérer la nécessité de ces médicaments. Comme tant d'autres, elle a accepté l'idée que ses seuls choix étaient de « faire face à la dépression ou de prendre des antidépresseurs ». 15
Des années plus tard, elle se retrouva à regarder par la fenêtre de son immeuble de Manhattan, à envisager le suicide malgré les médicaments censés la stabiliser. Ce n'est qu'après avoir arrêté ces médicaments – un processus atroce de plusieurs mois, marqué par des symptômes de sevrage – qu'elle prit conscience de l'ampleur de sa dépendance .
• L’histoire de Brooke n’est malheureusement pas un cas isolé — on estime que près de 15,5 millions d’Américains prennent des antidépresseurs depuis plus de cinq ans, souvent sans réévaluation. 17
RépondreSupprimerDe plus, une revue systématique et une méta-analyse de 2024 publiées dans The Lancet Psychiatry 18 ont révélé qu'environ 15 % des personnes ayant arrêté leur traitement par antidépresseurs présentaient des symptômes de sevrage directement causés par l'arrêt du traitement. Chez environ 3 % des patients, ces symptômes étaient sévères.
• La polypharmacie réduit la qualité de vie en aggravant la santé mentale et physique — Une étude de 2021 publiée dans Patient Related Outcome Measures 19 a également révélé que les patients présentant un indice de charge médicamenteuse (DBI) élevé — qui mesure l'exposition aux médicaments ayant des effets sédatifs (par exemple, les benzodiazépines, les opioïdes) et anticholinergiques (par exemple, certains antihistaminiques, antidépresseurs, médicaments pour la vessie) — ont signalé un bien-être psychologique nettement moins bon , des limitations fonctionnelles et une qualité de vie globale diminuée.
En d'autres termes, plus une personne prend de médicaments, plus elle risque de souffrir de troubles cognitifs, de fatigue et de détresse émotionnelle. Même lorsque ces médicaments sont prescrits avec de bonnes intentions, leurs effets à long terme rendent souvent la vie quotidienne plus difficile, au lieu de l'améliorer.
Les coûts cachés des maladies chroniques — Stress mental, émotionnel et social
Si vous vivez avec une maladie chronique, vous savez déjà que le combat va bien au-delà des symptômes physiques : les conséquences mentales et émotionnelles peuvent être tout aussi accablantes. Selon une étude publiée dans Middle East Current Psychiatry, 68,7 % des patients atteints de maladies chroniques ressentent du stress, 51,1 % souffrent d'anxiété et 58,8 % souffrent de dépression.
• La tension psychologique est particulièrement grave en cas de maladies chroniques multiples. Ces maladies sont particulièrement répandues chez les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires, de troubles métaboliques, de cancer, de maladies respiratoires, de maladies dégénératives, de maladies rénales chroniques et de troubles hépatiques chroniques.
L’étude Patient Related Outcome Measures21 confirme en outre que les personnes souffrant de trois maladies chroniques ou plus sont significativement plus susceptibles de connaître un bien-être psychologique plus faible.
• Le fardeau des maladies chroniques affecte également les familles des patients — Les recherches montrent que 95 % des patients atteints de maladies chroniques dépendent d’un soignant, généralement un membre de la famille, pour les aider dans les tâches quotidiennes, la prise de médicaments et les rendez-vous médicaux.
RépondreSupprimerLes exigences liées à la prestation de soins peuvent rapidement devenir écrasantes, entraînant épuisement et tension émotionnelle. De nombreux aidants sont confrontés à une fatigue constante , au manque de soutien et à la lourde responsabilité de gérer la santé d'autrui tout en essayant de mener leur propre vie.
• De plus, les maladies chroniques engendrent un sentiment d'isolement. La fatigue, la douleur ou les problèmes de mobilité rendent difficile la participation à des activités sociales et poussent les personnes à abandonner les rassemblements et les loisirs qu'elles appréciaient autrefois. Certaines amitiés s'estompent lorsque les projets sont annulés et que les invitations cessent d'arriver. La solitude qui s'ensuit aggrave la dépression, créant un cycle qui alimente le déclin émotionnel et physique. 23
• Les maladies chroniques mettent à rude épreuve les mariages, les relations et même les enfants — Si vous êtes marié ou en couple depuis longtemps, le passage du statut de partenaire égal à celui de patient et de soignant peut être difficile à gérer.
Des recherches (24) montrent que les maladies chroniques augmentent le risque de divorce et de ruptures conjugales, souvent en raison du stress financier, de l'épuisement émotionnel et de la perte d'intimité. Si vous avez des enfants, ils peuvent éprouver des difficultés émotionnelles ou scolaires, car la gestion de votre maladie est désormais au cœur des préoccupations du foyer ( 25) .
En fin de compte, les maladies chroniques affectent tous les aspects de la vie. Tant que le système médical continuera de se concentrer uniquement sur la gestion des symptômes, des millions de personnes resteront prisonnières d'un cycle qui mine leur qualité de vie.
L'angle mort de la médecine conventionnelle
La médecine moderne s'enorgueillit des progrès réalisés dans les domaines pharmaceutique et chirurgical, mais elle a constamment négligé le facteur le plus fondamental de la santé : la fonction cellulaire. Peu de chercheurs l'ont mieux compris que le regretté Dr Ray Peat, biologiste et pionnier de la médecine bioénergétique et du métabolisme humain, dont les travaux ont remis en question presque tous les dogmes alimentaires et métaboliques dominants.
• L'énergie cellulaire est le fondement de la santé — Les recherches de Peat sur la médecine bioénergétique, qui sont à la base de mon livre « Votre guide pour la santé cellulaire », soulignent le rôle central de l'énergie cellulaire dans la prévention des maladies et le rétablissement de la santé. Il a rejeté l'approche pauvre en glucides, affirmant au contraire que les glucides sont essentiels au fonctionnement des mitochondries et à la santé métabolique.
• Les régimes à faible teneur en glucides peuvent nuire à la santé des mitochondries en limitant le glucose — J'ai déjà fait partie de ceux qui ont promu un régime à faible teneur en glucides, mais le travail de Peat m'a ouvert les yeux sur la réalité selon laquelle les mitochondries se nourrissent de glucose et que priver votre corps de ce carburant essentiel aggrave les conditions mêmes que les régimes à faible teneur en glucides prétendent traiter.
RépondreSupprimerAu lieu de promouvoir la restriction calorique et l’évitement des macronutriments, les travaux de Peat démontrent qu’un apport adéquat en glucides alimente la production d’énergie, réduit les hormones de stress et soutient la fonction thyroïdienne. 26
• Peat a mis en garde contre les huiles de graines et leurs effets métaboliques nocifs — Peat était également l’un des critiques les plus virulents des graisses polyinsaturées (PUF) présentes dans les huiles de graines, bien avant que la médecine traditionnelle ne reconnaisse leurs risques.
Ses recherches ont démontré comment l’excès d’acide linoléique, un composant principal des huiles de graines, perturbe la fonction mitochondriale et favorise l’inflammation. 27 Alors que la communauté médicale continue de promouvoir les huiles végétales comme étant « bonnes pour le cœur », le modèle bioénergétique révèle leur impact dévastateur sur le métabolisme.
• Des recherches importantes comme celles de Peat ont été ignorées parce qu'elles ne correspondaient pas au profit. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres où des recherches révolutionnaires ont été systématiquement ignorées au profit de directives alimentaires axées sur le profit.
Les découvertes de Peat ont des implications profondes pour des pathologies allant de l'hypothyroïdie aux maladies neurodégénératives, mais elles restent largement méconnues de la médecine moderne. Il n'est pas surprenant que la médecine conventionnelle ait rejeté les travaux de Peat, les jugeant trop obscurs ou indignes d'une considération clinique sérieuse, les soumettant à la censure et au ridicule.
• L'industrie médicale résiste aux changements qui pourraient réduire la dépendance aux médicaments — Cette suppression délibérée a limité sa portée, tout comme les travaux des chercheurs pionniers sur lesquels il s'est appuyé. Il n'existe aucune motivation financière pour promouvoir des interventions diététiques et hygiéno-diététiques qui restaurent la fonction mitochondriale, réduisent la dépendance aux médicaments et inversent les maladies chroniques. Après tout, l'industrie médicale est structurée autour de traitements rentables plutôt que de prévention des maladies.
Par conséquent, les recherches prometteuses sur la santé cellulaire et les thérapies métaboliques restent en marge du système de santé, tandis que les patients sont livrés à eux-mêmes. Tant que le corps médical ne se concentrera pas sur le soutien de la fonction mitochondriale, la prise en charge des carences nutritionnelles et l'élimination des expositions toxiques, l'épidémie de maladies chroniques continuera de s'aggraver. Les véritables solutions pour la santé ne sont pas cachées : elles sont tout simplement ignorées.
Un signal d'alarme : le système de santé a désespérément besoin de changement
RépondreSupprimerLa médecine moderne ne parvient pas à soigner ceux-là mêmes qu'elle est censée aider. Les maladies chroniques ont atteint des proportions épidémiques, et pourtant, la seule réponse du système de santé est la multiplication des médicaments, des procédures et des interventions plus coûteuses, sans pour autant s'attaquer aux causes profondes des maladies.
Votre corps ne manque pas de médicaments ; il est privé des conditions essentielles à un fonctionnement cellulaire optimal. Une mauvaise alimentation, un dysfonctionnement métabolique, des toxines environnementales et un stress chronique sont les véritables causes des maladies modernes. Pourtant, ces facteurs sont négligés au profit d'interventions coûteuses et très rentables qui ne font rien pour inverser la maladie au niveau cellulaire.
Ce cycle n'est pas une fatalité. Une véritable santé est possible, mais elle nécessite de passer de la gestion de la maladie à la restauration des fonctions cellulaires. Au lieu de masquer les symptômes, la médecine doit privilégier les conditions qui permettent au corps de s'auto-guérir. La bonne nouvelle, c'est que des solutions existent déjà. La recherche en bioénergétique et en thérapies métaboliques ouvre la voie à un avenir où les maladies chroniques ne seront plus la norme.
Le corps humain est incroyablement résilient lorsqu'il dispose des outils adéquats, et la guérison est à portée de main pour ceux qui sont prêts à sortir du modèle conventionnel. En se concentrant sur la santé cellulaire, l'avenir de la médecine peut enfin dépasser la gestion des maladies et s'orienter vers une vitalité réelle et durable.
Foire aux questions (FAQ) sur la cause profonde des maladies chroniques
Q : Pourquoi les États-Unis dépensent-ils autant dans les soins de santé alors que les conséquences des maladies chroniques s’aggravent ?
R : Malgré l'allocation de 90 % de leur budget annuel de santé de 4 500 milliards de dollars aux maladies chroniques, les États-Unis continuent de constater une augmentation des taux de maladies comme les maladies cardiaques, le diabète et le cancer. La raison ? La plupart des dépenses sont consacrées à des traitements pharmaceutiques et à des interventions chirurgicales rentables qui ne traitent pas le dysfonctionnement cellulaire sous-jacent. Au lieu de favoriser la guérison, ces interventions favorisent une dépendance à vie et ne parviennent pas à inverser la progression de la maladie.
Q : Quel est l’impact financier et émotionnel des maladies chroniques sur les patients ?
R : Les maladies chroniques entraînent de graves difficultés financières, même pour les assurés. Les patients souffrant de plusieurs pathologies sont quatre fois plus susceptibles de déclarer faillite, leur dette médicale impayée moyenne passant de 784 $ (sans pathologie) à 1 252 $ (avec plusieurs pathologies).
Au-delà des questions financières, les patients et leurs familles sont confrontés à une tension émotionnelle intense, au stress, à l'isolement et à des ruptures relationnelles. Les aidants, souvent des membres de la famille, souffrent d'épuisement professionnel et de pertes de revenus alors qu'ils jonglent avec les tâches quotidiennes liées aux soins.
Q : Pourquoi les médicaments sur ordonnance comme les opioïdes et les antidépresseurs sont-ils problématiques pour les maladies chroniques ?
RépondreSupprimerR : Les médicaments sur ordonnance sont souvent une condamnation à perpétuité plutôt qu'une voie vers la guérison. Des études montrent que les patients arrêtent rarement les opioïdes, même lorsque leur douleur ne s'améliore pas, en raison d'une sensibilité accrue à la douleur (hyperalgésie induite par les opioïdes).
De même, l'utilisation d'antidépresseurs à long terme est répandue : 15,5 millions d'Américains en prennent depuis plus de cinq ans, souvent sans réévaluation. Les symptômes de sevrage sont fréquents et parfois sévères, et la polymédication aggrave le bien-être mental et physique général.
Q : Quels sont les « coûts cachés » des maladies chroniques au-delà des symptômes physiques ?
R : Les maladies chroniques ont de graves répercussions sur la santé mentale, émotionnelle et sociale. Près de 70 % des patients souffrent de stress, d'anxiété ou de dépression, en particulier ceux qui souffrent de plusieurs affections. Le repli sur soi, la solitude et les tensions conjugales et relationnelles sont fréquents.
Le fardeau émotionnel pèse également sur les aidants, qui souffrent de fatigue et voient leur qualité de vie diminuer. L'accent mis par le système sur la gestion des symptômes, plutôt que sur une véritable guérison, ne fait qu'aggraver ces conséquences.
Q : Quelle approche peut m’aider à briser le cycle de la maladie chronique et de la dépendance ?
R : La guérison commence par s'attaquer aux causes profondes au niveau cellulaire. Privilégier la santé mitochondriale, un apport adéquat en glucose, une exposition réduite aux huiles de graines et une alimentation riche en nutriments favorise la capacité de l'organisme à se régénérer. Cette approche va au-delà de la gestion des symptômes et vise à rétablir la production d'énergie, à équilibrer les hormones du stress et à réduire la dépendance aux médicaments, favorisant ainsi une santé durable plutôt qu'une dépendance chronique.
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La FDA va supprimer les colorants alimentaires artificiels toxiques de l'approvisionnement alimentaire et des médicaments aux États-Unis
RépondreSupprimerCe plan attendu depuis longtemps constitue une première étape cruciale pour inverser un demi-siècle de préjudice.
Par Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
24 avril 2025
Dans une mesure historique visant à lutter contre l'épidémie de maladies chroniques, le commissaire de la FDA, le Dr Marty Makary, a annoncé aujourd'hui que l'agence éliminerait les colorants alimentaires synthétiques à base de pétrole de l'approvisionnement alimentaire et pharmaceutique américain.
- voir clip sur site -
« Depuis 50 ans, les enfants américains vivent de plus en plus dans une soupe toxique de produits chimiques synthétiques », a déclaré Makary, soulignant les preuves scientifiques croissantes reliant les colorants artificiels à des maladies comme le TDAH, l’obésité, le diabète, la résistance à l’insuline, le cancer, les réactions allergiques et les dommages génomiques.
Makary a cité une étude Lancet en double aveugle contrôlée par placebo menée par McCann et al. qui a révélé que les colorants artificiels entraînent une hyperactivité accrue chez les enfants :
L'essai a porté sur 153 enfants âgés de 3 ans et 144 enfants âgés de 8 à 9 ans, qui ont consommé des boissons avec ou sans colorants alimentaires courants et benzoate de sodium. Les mélanges A et B contenaient des combinaisons de colorants synthétiques couramment utilisés – dont le jaune orangé S, la tartrazine, la carmoisine et le rouge allura – ainsi que du benzoate de sodium, un conservateur, à des doses équivalentes à quelques petits sachets de bonbons. Chez les enfants de 3 ans très assidus, le mélange A a significativement augmenté les niveaux d'hyperactivité (taille d'effet : 0,32, p = 0,02). Chez les enfants de 8 et 9 ans, les mélanges A et B ont tous deux entraîné des scores d'hyperactivité plus élevés, le mélange B ayant un effet marqué (0,17, p = 0,001). Les résultats confirment l'impact comportemental de ces additifs dans la population générale des enfants.
Le plan pour éliminer les colorants nocifs
Établir une norme nationale et un calendrier pour guider les fabricants de produits alimentaires dans la transition des colorants synthétiques vers des alternatives naturelles.
Révoquer dans les prochaines semaines l'autorisation des colorants synthétiques non productifs tels que le Citrus Red No. 2 et l'Orange B.
Éliminer les six colorants restants actuellement utilisés :
Colorant rouge n° 40
RépondreSupprimerColorant jaune n° 5
Colorant jaune n° 6
Colorant bleu n° 1
Colorant bleu n° 2
Colorant vert n° 3
Date cible de retrait : d’ici la fin de l’année prochaine (2026).
Makary a souligné que 30 États ont déjà introduit ou adopté des lois ciblant ces colorants, créant ainsi une situation complexe et déroutante pour les entreprises agroalimentaires. La démarche de la FDA vise à uniformiser les politiques et à donner une orientation claire à l'industrie.
Ce plan, attendu depuis longtemps, constitue une première étape cruciale pour inverser un demi-siècle de préjudice : voir ceci .
https://www.globalresearch.ca/fda-remove-toxic-artificial-food-dyes-us-food-supply-medications/5885159
Les boissons sucrées sont liées à plus de 330 000 décès par an
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
23 avril 2025
Les boissons sucrées sont liées à 338 240 décès par an et ont contribué à 2,2 millions de nouveaux cas de diabète de type 2 en 2020, soit environ 1 cas sur 10 dans le monde.
Les boissons sucrées ont coûté au monde 12,5 millions d’années de vie en bonne santé en 2020 et sont associées à 1,2 million de nouveaux cas de maladies cardiovasculaires, soit environ 1 cas sur 30.
L'Amérique latine, les Caraïbes et l'Afrique subsaharienne sont les pays qui subissent les plus grands impacts sur la santé, certains pays attribuant près de la moitié des nouveaux cas de diabète aux boissons sucrées.
Le fructose transformé, en particulier le sirop de maïs à haute teneur en fructose présent dans les boissons sucrées, surcharge votre foie, favorise le stockage des graisses et contribue à la résistance à l'insuline et à la stéatose hépatique.
Contrairement aux sucres naturels des fruits entiers, le fructose ajouté dans les boissons manque de fibres et de nutriments, fournissant une charge de sucre concentrée qui perturbe le métabolisme et favorise les maladies chroniques.
*
Vous prenez un soda ou une boisson énergisante sans hésiter, mais ces délicieuses gorgées cachent un lourd bilan santé. La plupart de ces boissons sont sucrées au fructose raffiné, généralement sous forme de sirop de maïs à haute teneur en fructose (SHF), ce qui entraîne de graves dommages à long terme.
Les boissons sucrées sont omniprésentes et causent des problèmes dans le monde entier. Pour rester en bonne santé et éviter les maladies chroniques, il est important de comprendre comment les boissons sucrées nuisent à votre santé, où elles sont les plus néfastes et comment y remédier.
Les boissons sucrées riches en sucres ajoutés comprennent des boissons comme les sodas, les boissons énergisantes, les punchs aux fruits et les limonades sucrées. Ce ne sont pas des jus de fruits pur jus ni du thé glacé sans sucre. Voici une information stupéfiante : une canette de soda contient 10 cuillères à café de sucre. Imaginez - vous en verser dans votre thé du matin ! C’est bien plus sucré que ce dont votre corps a besoin en une seule fois.
- voir clip sur site -
Pourquoi le fructose transformé est un danger pour votre santé
RépondreSupprimerTous les sucres n'ont pas le même comportement dans l'organisme. Le fructose, lorsqu'il est extrait des aliments complets et concentré dans les boissons ou les en-cas, provoque des problèmes spécifiques. Contrairement au fructose naturel des fruits, qui est lentement digéré grâce aux fibres et aux nutriments, le fructose transformé a un impact important et rapide sur l'organisme. Cette inondation soudaine force le foie à travailler sans relâche et déclenche une cascade de réactions de stress dans tout l'organisme.
• Les fruits entiers ne sont pas le problème — Lorsque vous mangez des fruits, le fructose naturel est enrichi en fibres, en eau et en antioxydants. Cela ralentit l'absorption du sucre, ce qui donne à votre corps le temps de le traiter sans stress.
• Le fructose transformé est une autre histoire : dans les boissons sucrées et de nombreux aliments transformés, le fructose est séparé du glucose et libéré en grandes quantités d'un seul coup. Cela inclut les édulcorants comme le SHF.
• Votre foie en prend un coup — Contrairement au glucose, utilisé par presque toutes les cellules de votre corps, le fructose est principalement traité par votre foie. Un excès de fructose le surcharge, obligeant votre foie à transformer l'excédent en graisse.
Au fil du temps, cela conduit à une stéatose hépatique, et un cercle vicieux s'installe. Lorsque votre foie est surchargé, il ne régule plus correctement la glycémie ni les lipides. Cela aggrave la résistance à l'insuline, facteur clé du diabète de type 2, et contribue à l'inflammation et aux maladies métaboliques.
• Le fructose transformé augmente le stress mitochondrial. Vos mitochondries, ces minuscules usines à énergie de vos cellules, sont submergées par les sous-produits de l'excès de fructose. Cela crée ce qu'on appelle un stress réducteur , qui rend vos cellules moins capables de produire de l'énergie et plus vulnérables aux dommages.
En résumé ? Ce n'est pas seulement le sucre lui-même qui compte, mais aussi sa forme et sa source. Le fructose, lorsqu'il est isolé et ajouté aux boissons et aux aliments transformés, pousse le foie et les mitochondries au-delà de leurs limites, favorisant ainsi silencieusement le développement de maladies au fil du temps.
Pourquoi devriez-vous vous en soucier ?
RépondreSupprimerLes boissons sucrées ne se contentent pas d'étancher votre soif : elles surchargent votre corps en sucre. C'est comme empiler des sacs supplémentaires dans une valise. Au début, on y arrive, mais bientôt, c'est trop lourd à porter.
Lorsque ce sucre se transforme en fructose, c'est votre foie qui fait le gros du travail. Tout ce sucre raffiné fait grossir et augmente les risques de problèmes de santé graves comme le diabète de type 2 et les maladies cardiaques. Ce ne sont pas des problèmes mineurs ; ce sont des problèmes majeurs qui changent votre vie.
Une étude publiée dans Nature Medicine a examiné les boissons sucrées dans 184 pays entre 1990 et 2020.2 Les résultats ? Ces boissons sont liées à des millions de nouveaux cas de maladies dans le monde. Il ne s'agit pas seulement d'un problème personnel, mais d'un problème mondial. Pour comprendre l'ampleur réelle du problème, examinons les chiffres.
Quel est l’impact des boissons sucrées sur la santé dans le monde ?
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. En 2020, les boissons sucrées ont été associées à 2,2 millions de nouveaux cas de diabète de type 2 , soit près d'un cas sur dix dans le monde. Concernant les maladies cardiaques, elles ont été à l'origine de 1,2 million de nouveaux cas, soit environ un cas sur trente. Imaginez dix amis atteints de diabète de type 2 : l'un d'eux pourrait être dû à sa consommation excessive de sodas.
Cela représente un nombre important de personnes touchées par un produit aussi courant qu'une boisson gazeuse. Au total, l'étude a révélé que les boissons sucrées étaient à l'origine de 80 278 décès dus au diabète de type 2 et de 257 962 décès dus à des maladies cardiovasculaires, soit 338 240 décès qui auraient pu être évités.
Que sont le diabète de type 2 et les maladies cardiaques ?
Vous ne savez pas quelles sont ces maladies courantes liées aux boissons sucrées ? Voici un aperçu :
• Diabète de type 2 — Votre corps a du mal à gérer le sucre, ce qui fait grimper votre glycémie à un niveau trop élevé. Cela vous fatigue et, à terme, endommage vos organes comme vos reins ou vos yeux.
• Maladies cardiovasculaires — Cela couvre les problèmes cardiaques et vasculaires, comme les crises cardiaques ou les accidents vasculaires cérébraux — des conditions qui vous arrêtent net.
Ces deux phénomènes vous prennent souvent par surprise et vous rendent la vie plus difficile qu'elle ne devrait l'être. Les boissons sucrées ne vous rendent pas seulement malade, elles vous volent vos belles années. En 2020, elles ont coûté au monde 12,5 millions d'années de vie en bonne santé, appelées années de vie corrigées de l'invalidité. Ce temps que vous auriez pu passer à vous sentir bien, perdu à cause de la maladie, voire d'une mort prématurée. C'est un signal d'alarme quant à ce que vous avez dans votre tasse.
RépondreSupprimerOù les boissons sucrées causent-elles le plus de problèmes ?
Certains endroits ressentent plus les effets du SSB que d'autres. Par exemple :
• Colombie — Près de la moitié des nouveaux cas de diabète de type 2 (48,1 %) et 23 % des cas de maladies cardiovasculaires sont liés aux boissons sucrées.
• Mexique — 30 % des cas de diabète de type 2 et 13,5 % des cas de maladies cardiovasculaires.
• Afrique du Sud — 27,6 % des cas de diabète de type 2 et 14,6 % des cas de maladies cardiovasculaires.
Cela représente un nombre considérable de problèmes de santé liés à un produit que l'on trouve dans n'importe quel magasin. D'autres statistiques révélées par l'étude montrent également comment les boissons consommées quotidiennement peuvent engendrer des risques majeurs pour la santé.
• Amérique latine et Caraïbes — 24,4 % des nouveaux cas de diabète de type 2 et 11,3 % des nouveaux cas de maladies cardiovasculaires proviennent des boissons sucrées.
• Afrique subsaharienne — 21,5 % des cas de diabète de type 2 et 10,5 % des cas de maladies cardiovasculaires sont liés à ces boissons.
Pourquoi ces régions sont-elles si durement touchées ? Plusieurs facteurs entrent en jeu :
• Habitudes — Les gens boivent souvent du soda avec les repas comme si c'était de l'eau.
• Marketing — Les entreprises de boissons diffusent des publicités partout, rendant les boissons sucrées attrayantes.
• Pas d'eau potable — Dans certains endroits, il est plus facile de se procurer une boisson sucrée que de trouver de l'eau potable. Dans certains cas, ce n'est pas seulement une question de choix, mais aussi de ce qui nous entoure.
RépondreSupprimerQui est le plus exposé aux risques liés aux boissons sucrées ?
On pourrait penser que les problèmes de santé touchent davantage les personnes âgées, mais les boissons sucrées touchent aussi les jeunes. Les 25-29 ans sont particulièrement à risque : 15,6 % de leurs cas de diabète de type 2 sont liés à ces boissons. Pourquoi ? Ils consomment davantage de boissons sucrées. Imaginez un jeune travailleur qui avale des boissons énergisantes ou des sodas pour tenir la journée. À terme, cette habitude entraîne des problèmes de santé. Les hommes sont légèrement en retrait. C’est serré, mais ils pourraient s’emparer plus souvent d’une canette de soda supplémentaire.
• Hommes — 10,1 % des cas de diabète de type 2 sont liés aux boissons sucrées.
• Femmes — 9,5 % des cas de diabète de type 2.
Vie urbaine et éducation
Votre lieu de résidence et votre niveau d'études ont également leur importance. Dans des pays comme l'Afrique et l'Amérique latine, les citadins et les personnes plus instruites sont plus exposés aux risques liés aux boissons sucrées. Pourquoi ? Ils ont de l'argent à dépenser et voient des publicités vantant ces boissons. Si vous êtes dans une ville animée, vous remarquerez peut-être des distributeurs de sodas partout ; pour certains, il est difficile d'y résister.
Le style de vie et le marketing jouent également un rôle important. Les citadins pressés ou les jeunes hommes bombardés de publicités pour les sodas sont plus susceptibles de siroter sans réfléchir. Ce n'est pas seulement une question de vous, mais aussi de ce qui vous cible.
Comment les risques pour la santé liés aux boissons sucrées ont-ils évolué au fil du temps ?
Un changement mondial s'est produit ces dernières décennies. De 1990 à 2020, les problèmes liés aux boissons sucrées ont légèrement augmenté. Les cas de diabète de type 2 qui leur sont liés ont augmenté de 1,3 %, tandis que les cas de maladies cardiovasculaires sont restés stables. Ce n'est pas une augmentation considérable, mais cela montre que le problème persiste. Cependant, un zoom sur les régions montre un changement :
RépondreSupprimer• Afrique subsaharienne — La plus forte hausse — 8,8 % de cas de diabète de type 2 en plus et 4,4 % de cas de maladies cardiovasculaires en plus liés aux boissons sucrées.
• Colombie et États-Unis — Augmentation des cas de diabète de type 2 au fil des ans.
• Nigéria et Russie — Augmentation des cas de maladies cardiovasculaires .
Qu'est-ce qui explique ce phénomène ? Dans certains endroits, les ventes de boissons sucrées explosent. Dans d'autres, comme au Mexique, des politiques comme les taxes ralentissent la croissance. C'est un bras de fer entre habitudes et réglementations.
Que pouvez-vous faire face aux risques pour la santé liés aux boissons sucrées ?
Les sodas et autres boissons sucrées sont bon marché, savoureux et se vendent partout. Sans incitation, on a tendance à en consommer sans cesse. Certains établissements ripostent en imposant des taxes sur les sodas, car la hausse des prix peut vous faire réfléchir à deux fois avant de vous lancer.
• Mexique — Une taxe sur les sodas a rendu les boissons plus chères, ce qui pousse certaines personnes à les éviter.
• L'Afrique du Sud et le Royaume-Uni — Ils ont également des taxes qui incitent les gens à éviter la surconsommation de sucre.
En fin de compte, c’est à vous de prendre le contrôle de votre santé et de faire le choix d’éliminer les boissons sucrées et autres formes de fructose transformé de votre alimentation.
Sucre naturel vs sucre ajouté — Un récapitulatif
• Sucre naturel — Le bon côté — Comme mentionné précédemment, tous les sucres ne sont pas mauvais. Le sucre naturel présent dans les fruits et légumes est associé à des nutriments bénéfiques comme les fibres. Prenez une orange : elle vous apporte du sucre et des fibres pour maintenir votre énergie et votre intestin en bonne santé. C'est gagnant-gagnant.
• Sucre ajouté — Le fauteur de troubles — Le fructose raffiné ajouté est différent. Il est déversé dans les sodas et autres boissons sans apporter aucun apport nutritionnel bénéfique. Le fructose raffiné — surtout sous forme de SHF — inonde votre foie de plus de sucre qu'il ne peut en gérer en toute sécurité. Un soda chargé de SHF inonde votre organisme de fructose transformé rapidement, faisant grimper votre glycémie sans aucun effet bénéfique pour l'équilibrer. C'est comme une bombe de sucre sans bouclier.
Lorsqu'il est consommé, le composant fructose du SHF contourne le métabolisme normal du sucre et va directement dans votre foie où il est stocké sous forme de graisse, tout en ne fournissant aucun signal de satiété à votre cerveau, contribuant ainsi à la surconsommation.
• Pourquoi c'est important — Le sucre naturel présent dans les aliments entiers comme les fruits est acceptable avec modération, c'est ainsi que la nature l'a voulu. Mais le sucre ajouté dans les boissons sucrées augmente les risques comme le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires. La prochaine fois que vous avez envie de sucré, préférez une pomme à une boisson aux fruits. Le miel cru et le sirop d'érable sont également des édulcorants acceptables, mais assurez-vous de choisir des variétés pures, et non celles contenant du SHF ajouté.
RépondreSupprimerComment arrêter de boire des boissons sucrées
Envie d'abandonner les sodas et autres boissons sucrées ? L'étude Nature Medicine propose plusieurs solutions globales, notamment l'ajout d'étiquettes d'avertissement sur les risques sanitaires des boissons sucrées, la limitation de la publicité destinée aux enfants et l'accès à l'eau potable dans les écoles et ailleurs. Voici quelques mesures supplémentaires à prendre au niveau individuel :
1. Commencez par des changements : au lieu d'un soda sucré, essayez une eau pétillante avec un peu de jus. Il s'agit de petits changements faciles à gérer.
2. Hydratez-vous avec de l'eau — Parfois, vous buvez un soda par soif, pas forcément par envie de sucre. Gardez une bouteille d'eau en verre ou en inox sur vous et remplissez-la tout au long de la journée. Ajoutez des tranches de citron, de citron vert ou de concombre pour un petit goût relevé. Vous serez surpris de voir à quel point vos envies diminuent avec une bonne hydratation.
3. Lisez les étiquettes — Avant de prendre une boisson, jetez un œil à l'étiquette nutritionnelle. Vous serez surpris de la quantité de sucre cachée dans certaines boissons « saines » comme les jus de fruits ou les thés aromatisés. Comprendre ce que vous consommez réellement est une première étape essentielle.
4. Trouvez des alternatives saines que vous appréciez vraiment. Que ce soit une tisane, un thé glacé non sucré ou même de l'eau gazeuse nature. Expérimentez différentes saveurs et combinaisons jusqu'à trouver celle qui vous plaît vraiment. Une bonne alternative vous permettra de résister plus facilement aux options sucrées.
5. Planifiez et soyez prêt — En déplacement, il est facile de prendre un soda sur un coup de tête. Apportez votre propre eau ou emportez une boisson saine de chez vous. Si vous savez que vous serez tenté par les boissons sucrées, prévoyez un plan. Les petites préparations sont très utiles.
FAQ — Réponses rapides à vos questions sur les boissons sucrées
Q : Que sont les boissons sucrées (SSB) ?
R : Les boissons sucrées sont des boissons avec du sucre ajouté (sodas, boissons énergisantes, punchs aux fruits) et non des jus de fruits à 100 %.
RépondreSupprimerQ : Comment les boissons sucrées affectent-elles votre santé ?
R : Ils vous surchargent de sucre raffiné comme le sirop de maïs à haute teneur en fructose, augmentant ainsi les risques de prise de poids, de diabète de type 2 et de maladies cardiaques.
Q : Quels sont les endroits les plus touchés par les SSB ?
R : L’Amérique latine, les Caraïbes et l’Afrique subsaharienne sont en tête de liste des pays les plus touchés par les problèmes de santé, mais les conséquences se font sentir à l’échelle mondiale.
Q : Les jeunes sont-ils plus exposés aux risques liés aux sodas et aux boissons sucrées ?
R : Oui. Les personnes âgées de 25 à 29 ans sont exposées à des risques plus élevés car elles boivent davantage : 15,6 % de leurs cas de diabète de type 2 sont liés à ces boissons.
Q : Quelle est la différence entre le sucre naturel et le sucre raffiné ?
R : Le sucre naturel contenu dans les fruits contient des fibres et fait partie d’une alimentation saine ; le sucre ajouté, comme le SHF dans les boissons sucrées, n’a aucun avantage nutritionnel et est nocif pour la santé.
*
Notes
1 American Heart Association, Quelle quantité de sucre est excessive ?
2 Nature Medicine 6 janvier 2025, 31, 552-564
https://www.globalresearch.ca/sugary-drinks-linked-more-than-330000-deaths-year/5885188
ASPC : « 300 décès, c'est trop pour enquêter. » 2 000 pages de rapports internes et de courriels sur le vaccin contre la COVID-19 publiées par l'Agence canadienne de la santé
RépondreSupprimerPar Scoops McGoo
Recherche mondiale,
22 avril 2025
Le phénomène tragique des décès subits est réel, et l'Agence de la santé publique du Canada le suit de près. Le choc d'un décès inattendu est particulièrement douloureux et déroutant pour la famille et les amis de la victime.
Une demande d’accès à l’information déposée en mai 2024 a maintenant donné lieu à des milliers de pages de rapports internes, de revues de la littérature, de courriels, ainsi qu’à 19 feuilles de calcul contenant des données sur les événements indésirables.
Ordonnance de divulgation du commissaire à l'information Maynard . Le rapport complet du commissaire est téléchargeable au bas de cet article.
Plats à emporter
Le gouvernement gère une base de données non protégée par mot de passe , contenant un nombre impressionnant de 22 000 articles scientifiques (et ce nombre ne cesse de croître) sur les vaccins contre le Covid, dont une grande partie porte sur les effets indésirables.
Efficacité négative : La base de données contient une étude de 2023 menée par des chercheurs de la Cleveland Clinic, publiée dans Oxford Academic Press, qui démontre que « le risque de contracter la COVID-19 augmentait également […] avec le nombre de doses de vaccin reçues précédemment. » Autrement dit, plus d’injections = plus d’infections. Cette étude historique réfute toute justification possible de la morbidité et de la mortalité causées par les vaccins contre la COVID-19.
Le personnel de l'ASPC s'est inquiété de la décision de la Floride de cesser de recommander la vaccination contre la COVID-19 aux jeunes hommes en octobre 2022. La réaction d'un employé : « Aïe ! » Une analyse des données de l'ASPC sur la myocardite jusqu'en juin de cette année-là a révélé un risque 24 fois plus élevé chez les filles canadiennes âgées de 5 à 11 ans. Aucune mesure n'a été prise.
Le personnel s'échange régulièrement des courriels pour tenir les membres informés du décompte des décès liés aux vaccins. Aucune mesure n'a été prise à ce jour.
Le rapport de 2023 de Denis Rancourt et al. , qui attribuait environ 17 millions de décès excédentaires dans le monde au programme de vaccination contre la COVID-19, a suscité un tollé à l'ASPC. Le rapport a été transmis à toutes les autorités sanitaires provinciales et territoriales, ainsi qu'à l'armée et à la GRC. La chef de la santé publique, Theresa Tam, a demandé une analyse du rapport. Jugé « non crédible », aucune mesure n'a été prise.
À la mi-2022, sur les 206 décès recensés par l'ASPC, 163 (79 %) étaient survenus dans les 30 jours suivant l'injection. Aucune mesure n'a été prise.
RépondreSupprimerDès octobre 2021, l'ASPC a déterminé que parmi 195 cas mortels signalés, le délai médian avant le décès après l'injection était de seulement 7 jours. Aucune mesure n'a été prise.
L’ASPC filtre les rapports de décès avant de procéder à une évaluation appropriée :
Janvier 2023 : « 300 décès, c'est trop pour enquêter, il faut des critères pour déterminer ce qui doit être examiné, par exemple, une mort subite et inattendue. L'ACCA [Comité consultatif sur l'évaluation de la causalité] examinerait les décès qui ne peuvent pas être expliqués autrement (par exemple, une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral, etc.), ce qui est presque une définition d'exclusion. Par exemple, une personne retrouvée morte sans cause apparente/affection sous-jacente. »
La Brighton Collaboration, les lignes directrices de l'OMS et les « algorithmes de causalité » sont utilisés pour ignorer des centaines de décès canadiens qui ont déjà été réduits de manière agressive par les autorités provinciales et territoriales, malgré le fait que la plupart des décès liés au vaccin contre la Covid dans les bases de données fédérales surviennent dans la semaine suivant l'injection.
Extraits
Avec plus de 2 000 pages, ce dossier démontre une sensibilisation gouvernementale complète à un large éventail d’effets indésirables dangereux, voire mortels, liés à la vaccination (EIPV) – « événements indésirables suivant la vaccination » – présents dans la littérature et survenant partout au Canada.
Au moment où j'écris ces lignes, les autorités fédérales affirment toujours publiquement :
Tous les vaccins contre la COVID-19 autorisés au Canada sont reconnus comme sûrs, efficaces et de haute qualité.
https://www.globalresearch.ca/phac-2000-pages-covid-vaccine-internal-reports-emails-released-canadian-health-agency/5885000
l’OMS annonce une masse salariale déficitaire et des licenciements
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 24 avril 2025 - 10:00
Les finances de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sont dans le rouge. Ce mardi, son directeur général a annoncé une restructuration, mais surtout des licenciements en raison des coupes budgétaires appliquées par son plus grand donateur, à savoir les États-Unis. Il est question d’une masse salariale en déficit entre 560 et 650 millions de dollars pour le prochain exercice, a précisé Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Immédiatement après son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a signé un décret retirant les États-Unis de l’OMS et suspendant les futures contributions financières de ce pays à cette organisation. Le président américain a critiqué l’OMS à plusieurs reprises, en particulier pour sa gestion de la pandémie de Covid-19 et sa relation avec la Chine. Lors de son premier mandat, il a accusé l’agence onusienne d’être “contrôlée par la Chine” et de ne pas avoir suffisamment alerté sur la gravité de la pandémie, allant jusqu’à lui reprocher d’avoir “dissimulé la propagation” du coronavirus et d’avoir “gravement failli dans la gestion" de la crise sanitaire.
Entre 560 et 650 millions de dollars de déficit
En avril 2020, le républicain avait déjà annoncé le gel de la contribution financière américaine à l’OMS, trop complaisante, estime-t-il, envers les autorités chinoises. Donald Trump reprochait aussi à l’OMS de ne pas avoir envoyé des experts médicaux en Chine assez tôt pour contenir l’épidémie. Mais dès janvier 2021, le premier acte du président Biden à sa prise de fonctions était d’annuler ce décret.
À son retour à la Maison Blanche, l’homme d’affaires new-yorkais a publiquement accusé l’OMS d’avoir “escroqué” les États-Unis, de loin, le plus gros donateur à cette organisation. Celle-ci “continue d’exiger des contributions excessivement lourdes de la part des États-Unis, disproportionnées par rapport à celles des autres pays. La Chine, qui compte une population de 1,4 milliard d’habitants - soit 300 % de plus que celle des États-Unis -, contribue pourtant à près de 90 % de moins au budget de l’OMS”, dénonce le décret.
Pour le cycle budgétaire 2022-2023, Washington a versé environ 1,28 milliard de dollars au budget de l’OMS, se répartissant en 218 millions de dollars de contributions obligatoires, 1,02 milliard de contributions volontaires, et 47 millions à un fonds d’urgence. Cela représentait environ 16 à 18 % du budget total de l’organisation. Mais l’administration Trump a refusé de payer les cotisations convenues pour 2024 et 2025, gelant par la même occasion la quasi-totalité de l’aide étrangère américaine, y compris une aide considérable aux projets de santé dans le monde entier.
La décision américaine n’est pas sans conséquence pourl’OMS et ses finances. Mardi 22 avril, Tedros Adhanom Ghebreyesus a annoncé aux États membres une situation financière délicate, obligeant la direction de l’agence onusienne à licencier du personnel et, de ce fait, se restructurer.
“Le refus des États-Unis de verser leurs contributions statutaires pour 2024 et 2025, combiné aux réductions de l’aide publique au développement de certains autres pays, signifie que nous sommes confrontés à un déficit concernant la masse salariale pour l’exercice biennal 2026-2027 compris entre 560 et 650 millions de dollars”, a-t-il déclaré.
Faire sauter les fusibles à la direction
RépondreSupprimerCe déficit “représente environ 25% des coûts du personnel”, poursuit l’Éthiopien, à la tête de l’OMS depuis 2017, année à laquelle il promettait un accès universel aux soins avant de tenter durant son second mandat d’instaurer un État sanitaire mondial dans lequel l’OMS et son patron déclarerait les pandémies et en dicteraient l’agenda. “Cela ne signifie pas nécessairement une réduction de 25 % du nombre de postes”, explique-t-il encore aux États membres.
Sans donner un chiffre quant au nombre d’emplois qui seraient supprimés, il a souligné que le siège de l’OMS à Genève sera le plus touché. “Nous commençons par des réductions au sein de la direction (...) même si ce sont des décisions très douloureuses pour nous. Nous réduisons l’équipe de direction au siège de 12 à 7 membres, et le nombre de départements passera de 76 à 34, soit une réduction de plus de la moitié”, a-t-il ajouté.
La presse suisse révèle une “ambiance très lourde” au siège de l’OMS après les annonces de son directeur. Le personnel est d’autant plus irrité par les annonces de Tedros Adhanom Ghebreyesus, qu’il dénonçait déjà depuis quelque temps des recrutements effréné au sommet de la hiérarchie, des promotions “politiques” et la création de postes coûteux de sa part.
À cela s’ajoute un contexte géopolitique ainsi qu'une situation interne qui laissent présager, poursuivent les médias locaux, des campagnes tendues pour l’élection de 2027.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/l-oms-annonce-une-masse-salariale-deficitaire-et-des-licenciements
(...) Entre 560 et 650 millions de dollars de déficit (...)
SupprimerVous plaisantez ou quoi ? Que sont ces 560 et 650 millions de dollars de déficit ? Des peccadilles !
Donald Trump a eu vent des analyses de scientifiques (publiées en 2020) des putains de flacons injectables à la con distribués au public !! (ÔH PITAING !!) qui présentaient entre:...
95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!
+ des hydres !!
+ des spîkes !!
+ diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
FÉLICITATIONS aux docteures Astrid Stuckelberger (Genève, Suisse) et Dre Carrie Madej (Atlanta, Georgie USA).
DR PETER MCCULLOUGH SUR LE POTENTIEL ANTICANCÉREUX ÉPOUSTOUFLANT DE L'IVERMECTINE
RépondreSupprimerPAR THE WELLNESS COMPANY
le 24 avril 2025
Le secret de la pandémie réside dans les multiples utilisations de médicaments reconnus comme l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, malgré la propagande gouvernementale.
Des recherches montrent désormais que l'ivermectine pourrait également être un outil efficace dans la lutte contre le cancer. Selon la Fondation McCullough :
L'étude intitulée « A Review of Ivermectin Use in Cancer Patients: Is it Time to Repurpose the Ivermectin in Cancer Treatment ?» vient d'être publiée dans la revue Acta Poloniae Pharmaceutica – Drug Research…
Selon la revue systématique la plus complète à ce jour sur l'utilisation de l'ivermectine chez les patients atteints de cancer, l'ivermectine semble sûre, même chez les personnes sous chimiothérapie active. Son large éventail de mécanismes anticancéreux démontrés dans des modèles précliniques, combiné à des rapports anecdotiques d'améliorations liées au cancer, étaye sa candidature à une réorientation comme traitement oncologique. Des essais cliniques bien conçus et à grande échelle devraient être lancés dès que possible afin d'évaluer correctement le potentiel de l'ivermectine contre le cancer.
En effet, l'ivermectine, associée au mébendazole, s'est révélée extrêmement prometteuse dans le traitement d'un large éventail de cancers.
Le mébendazole, un antiparasitaire comme l'ivermectine, est prescrit depuis 100 ans pour aider à éradiquer les parasites – que plus de 60 millions d'Américains ont aujourd'hui dans leur organisme, selon les CDC.
Des experts comme le Dr William Makis ont vanté les premières recherches indiquant que l'ivermectine et le mébendazole sont des traitements efficaces contre le cancer.
Et tout comme l'ivermectine pendant la pandémie, l'information est censurée et l'accès restreint.
Si vous ne vous sentez pas bien, un nettoyage antiparasitaire peut vous aider à retrouver la santé. Rien de tel qu'une solution détoxifiante pure, testée en laboratoire, l'ivermectine et le mébendazole, réunis en une seule capsule par The Wellness Company.
• L'ivermectine et le mébendazole s'associent pour traiter efficacement les infections parasitaires.
• 90 capsules orales contenant chacune 25 mg d'ivermectine et 250 mg de mébendazole, une dose cliniquement efficace.
• La référence absolue en matière de sécurité et d'efficacité ; le seul médicament de ce type prescrit par un médecin agréé et préparé par une pharmacie agréée dans 50 États.
RépondreSupprimerUn médicament fiable, provenant d'une source fiable aux États-Unis
Les experts médicaux de The Wellness Company, comme les Drs Peter McCullough et Kelly Victory, ont joué un rôle de premier plan dans la diffusion d'informations médicales précises au public pendant la COVID. Ces experts ont démontré à maintes reprises qu'ils accordaient la priorité à la santé et au bien-être de leurs patients plutôt qu'aux intérêts financiers des grandes entreprises pharmaceutiques.
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https://www.zerohedge.com/sponsored-post/dr-peter-mccullough-ivermectins-striking-anti-cancer-potential
La crise des prix du cacao est une grosse catastrophe de fixation des prix du gouvernement, pas un changement climatique
RépondreSupprimerPar Jo Nova
April 24th, 2025
La fixation des prix tue la ferme de cacao
- voir graph sur site -
Il y a eu un pic de prix méchant dans les fèves de cacao que les suspects habituels blâment le «changement climatique» comme si votre climatiseur ruinait les cultures de cacao en Afrique de l'Ouest. Au lieu de cela, les gouvernements africains ont fixé le prix du cacao pendant des décennies, obligeant les agriculteurs pauvres à travailler pour une bouchée de pain et à garder les gros bénéfices pour eux-mêmes. Sans surprise, même s'il y a un pic de prix sauvage, les agriculteurs du Ghana quittent l'industrie, les cultures de contrebande (car elles obtiennent un meilleur prix). Ils n'ont pas planté de nouveaux arbres, ils ont manqué d'argent pour l'engrais et n'ont pas essayé de nouvelles variétés. Leurs enfants ne veulent pas cultiver du cacao et les rendements tombent dans des plantations malades.
Ainsi, surprise, les contrôles du gouvernement socialiste ont détruit l'industrie et ils se précipitent maintenant pour rassembler les pièces. Les choses sont si désespérées, le gouvernement du Ghana a augmenté le prix du cacao de 58 % en avril dernier, puis a augmenté le prix du cacao de 45 % en septembre dernier, pour essayer de réduire la contrebande. (Le gouvernement perdait trop d'argent). À un moment donné l'année dernière, il a été estimé qu'un tiers de la récolte nationale était perdue à cause des passeurs. Quelques mois après cela, les agriculteurs thésauraient leurs haricots dans l'attente que le gouvernement devrait leur donner une autre hausse des prix. Juste le chaos pour tout le monde.
Pendant ce temps, d'autres socialistes utilisent ces échecs pour nous dire qu'ils doivent réparer la météo et nous devons leur donner beaucoup d'argent pour le faire.
C’est toujours le chemin. Le grand gouvernement crée une crise et nous bat avec lui, pour exiger plus d'argent et de pouvoir. Greenies prétend se soucier des pauvres, mais ils sont heureux d'exploiter les fermiers pauvres du Ghana en tant que fourrage pour les communiqués de presse pour leurs régimes industriels «renouvelables» et les amis des banquiers.
Sentez la douleur de ces agriculteurs. Certains d'entre eux sont cultivés depuis des décennies, mais ils n'ont rien à montrer pour cela, en disant: «On a l'impression que nous travaillons pour le bénéfice des autres».
Le Ghana produit le cacao mondial; Pourquoi ses agriculteurs sont-ils encore pauvres?
- Byibrahim Khalilulahi Usman, 2 janvier 2025, Afrique Feeds
Le Ghana cultive du cacao depuis plus de 100 ans. Le pays est le deuxième producteur mondial, derrière la Côte d’Ivoire. L'industrie du cacao emploie plus d'un million de personnes et contribue environ 2 milliards de dollars à l'étranger par an. Ces derniers temps, les prix de la marchandise ont augmenté de façon exponentielle, poussée par des événements climatiques extrêmes et une crise de la chaîne d'approvisionnement sur les engrais utilisés par les agriculteurs.
RépondreSupprimerPourtant, des agriculteurs comme Anane et Holiata disent qu'ils voient peu de cette richesse. Ils indiquent les bas prix fixés par le Ghana Cocoa Board (Cocobod), créé en 1947. Le conseil d'administration fixe les prix du cacao pour réglementer l'industrie et protéger les agriculteurs de l'exploitation par les marchands européens, mais les agriculteurs soutiennent que ces prix ne reflètent pas la véritable valeur de la récolte sur les marchés internationaux.
Les commerçants de cocobod étaient en avant pour vendre jusqu'à 70% de la récolte un an à l'avance. Mais lorsque le temps, la maladie et un manque d'engrais ont frappé la récolte, les bureaucrates n'ont pas pu trouver le cacao qu'ils avaient déjà vendu. Ils ont été pris courts, obligés d'acheter du cacao sur le marché libre, ce qui a fait monter les prix. (Si seuls les modèles climatiques fonctionnaient, hein, ils auraient pu voir cela venir?)
Selon Oxfam, jusqu'à 90% des producteurs de cacao ghanéens ne gagnent pas de revenu de vie. Beaucoup des 800 000 petits exploitants agricoles qui cultivent la récolte survivent à moins de 2 $ par jour, aux prises avec des besoins de base tels que la nourriture, les vêtements, le logement et les soins de santé.
L'industrie du cacao regorge de problèmes de droits de l'homme, comme le travail forcé des enfants et l'esclavage. Lorsque les écologistes commencent à se soucier de la douleur et de la souffrance ici et maintenant, au lieu des tempêtes théoriques dans cent ans, nous pourrions penser qu'ils se soucient de rendre le monde meilleur.
Apparemment, le changement climatique artificiel l'a rendu trop mouillé, puis trop sec. Bien sûr, nous vous croyons…
Le temps a été mauvais au Ghana au cours des deux dernières années, d'abord, il était trop humide, ce qui a pourri les vieux arbres maladifs, puis il était trop sec, mais aucun modèle climatique sur Terre n'a prédit ces deux saisons extrêmes correctement (les sorciers pourraient aussi bien utiliser les entrailles de poulet), et d'autres pays à proximité ont également souffert de mauvais temps, mais ils ont également augmenté leur rendement en récolte. Les exportations de cacao du Nigéria ont connu une augmentation d'une année à l'autre de 15% en octobre 2024, et la récolte de cacao du Cameroun devrait augmenter de 7% cette année.
La fixation des prix et le réglementation nuisent aux personnes qu'elle était censée protéger
Le gouvernement du Ghana a formé la Commission de fixation des prix pour essayer de protéger les agriculteurs des prix volatils. Au lieu de cela, ils les ont piégés dans la pauvreté et ont nourri un tas de bureaucrates qui peuvent détruire l'industrie locale.
En vertu de la loi ghanéenne, la vente de cacao à toute autre personne que le Ghana Cocoa Board (CocoBod) par le biais de ses sociétés d'achat agréées (LBC) est un crime. Le marché est étroitement réglementé, les prix fixés chaque année par le gouvernement par le biais du comité d'examen des prix des producteurs (PPRC).
Si le gouvernement avait offert un service mais ne l'a pas contraint aux agriculteurs, les bureaucrates de cocobod auraient dû rester compétitifs, ou les agriculteurs l'auraient abandonné pour conclure leurs propres offres. Mais il n'y avait pas de freins ni de responsabilité au gouvernement. En fin de compte, les agriculteurs l'ont abandonné, mais des années trop tard, car il était contraire à la loi de faire passer le cacao hors du pays - les agriculteurs devaient donc être désespérés avant de prendre le risque.
RépondreSupprimerIl faut jusqu'à cinq ans pour cultiver de nouvelles plants de cacao, donc le chocolat sera cher jusqu'à ce que le marché libre se résout, ce qu'il sera, tant que le gouvernement s'écartera.
Ensemble, la Côte d'Ivoire et le Ghana fournissent 60 % du cacao mondial, ils ont un joli petit monopole. Mais avec ces derniers pics de prix, de nombreux autres pays plantent des fèves de cacao et bientôt il y aura beaucoup plus de concurrence. Le cartel ouest-africain vient de détruire leur propre avantage concurrentiel.
https://joannenova.com.au/2025/04/the-cocoa-price-crisis-is-a-big-government-price-fixing-disaster-not-a-climate-change-one/
Holà ! Les pesticides dérivent de la plaine du Rhin aux hauteurs de la Forêt Noire !
RépondreSupprimer24 Avril 2025
Encore une étude scientifique « d'opinion » ou « militante »
Non, il ne s'agit pas d'une erreur d'illustration. Certains savent que les centrales à charbon allemandes émettent des particules fines qui peuvent se retrouver en France par vent d'est. Ici, la centrale au lignite Uniper Scholven, à Gelsenkirchen, dans la Ruhr.
Le « prestigieux » (ironie) groupe Nature a publié dans Communications Earth & Environment une étude qui n'apporte fondamentalement rien en matière de connaissances, mais sert de support à une communication particulièrement militante.
AGRARHEUTE s'y est laissé prendre.
D'aucuns savent qu'on a trouvé des résidus de pesticides, en particulier du DDT, dans la graisse des ours blanc de l'Arctique et des manchots de l'Antarctique. Quel intérêt y avait-il de déployer beaucoup d'efforts pour déterminer que l'on pouvait trouver sur les pentes de la Forêt Noire des résidus de pesticides épandus par exemple sur les vignes du Kaiserstuhl, situé sur les bords du Rhin non loin de Colmar ?
Voici l'étude...
L'étude, c'est « Current-use pesticides in vegetation, topsoil and water reveal contaminated landscapes of the Upper Rhine Valley, Germany » (les pesticides d'usage actuel dans la végétation, la couche arable et l'eau révèlent des paysages contaminés dans la vallée du Rhin supérieur, en Allemagne) de Ken M. Mauser, Jakob Wolfram, Jürg W. Spaak, Carolina Honert et Carsten A. Brühl.
Ça commence bien : les paysages sont « contaminés »... On tremble d'effroi !
Voici le résumé (découpé) :
« Les zones non ciblées dans les paysages agricoles servent de refuges inestimables pour les organismes et protègent la biodiversité. Cette recherche visait à examiner la distribution à l'échelle du paysage des pesticides d'usage courant (CUP – current use pesticides)dans la vallée du Rhin supérieur en Allemagne, une région caractérisée par une agriculture intensive dans la vallée et bordée par des régions montagneuses boisées.
Nous avons prélevé des échantillons de végétation, de terre végétale et d'eau de surface sur 78 sites non ciblés, hors champ, pendant la saison d'application des pesticides en 2022. Les sites ont été répartis sur six transects de 30 km de long afin de couvrir à la fois la vallée et les régions montagneuses.
Les échantillons ont été analysés pour 93 CUP.
RépondreSupprimerAu total, 63 CUP différents (29 fongicides, 19 herbicides et 15 insecticides) ont été détectés dans tous les échantillons (n = 186).
Des CUP ont été enregistrés dans 97 % de tous les échantillons de végétation et 97 % de tous les échantillons de terre végétale (76 sur 78 échantillons chacun). Au total, 140 mélanges uniques avec ≥ 2 composants ont été enregistrés.
Une carte de prédiction utilisant des paramètres de site supplémentaires suggère une présence étendue de CUPs s'étendant sur plusieurs centaines de mètres au-delà des zones d'application des CUPs.
La contamination par des mélanges à l'échelle du paysage n'est pas prise en compte dans l'évaluation des risques environnementaux pour la réglementation des pesticides. La conception de l'étude pourrait servir de référence pour évaluer la contamination par les pesticides à l'échelle du paysage après la mise en œuvre d'efforts de réduction des pesticides dans les politiques et les pratiques agricoles. »
...et les grosses ficelles...
Une entrée en matière tonitruante, qui implique une action vraiment funeste des pesticides dans les zones où ils sont appliqués... une conclusion prescriptive sur le plan des politiques agricoles et de réglementation des pesticides.
Ces gens ont-ils du reste conscience de l'énormité de la tâche que représenterait la prise en compte des « mélanges à l'échelle du paysage » ?
Et entre les deux ? Quasiment rien ! Quelques chiffres sur le nombre de détections... et basta !
Les détections ont bien évidemment le grand avantage de gonfler les chiffres.
Le procédé est du niveau de quelques entités qui effraient les consommateurs et le public en général avec le nombre de pesticides trouvés dans tel ou tel fruit ou légume, l'Environmental Working Group et ses « dirty dozen » ou encore Générations Futures.
Le texte est même chaotique, indigne d'une revue à comité de lecture, et encore plus indigne de Nature. Non, « Au total, 63 CUP différents (29 fongicides, 19 herbicides et 15 insecticides) » n'ont pas « été détectés dans tous les échantillons (n = 186) », mais dans 76 échantillons sur 78 de sol, ou encore de végétation.
...un corps de texte tout aussi indigent
Les auteurs ont choisi de regrouper en une seule section les résultats et la discussion.
De fait, après un récapitulatif des détections on entre directement, dès le premier paragraphe dans le commentaire.
Le deuxième paragraphe apporte toutefois quelques éléments :
« La majorité, 74 % des 1.195 concentrations individuelles de CUP détectés, étaient < 5 ng g-1 (37 CUP dans la couche arable, 21 CUP dans la végétation et 42 CUP dans les eaux de surface n'ont été détectés qu'avec des concentrations < 5 ng g-1). Néanmoins, même les concentrations individuelles de CUP peuvent atteindre des valeurs comparativement élevées dans les zones non ciblées, comme cela a été le cas pour le fluopyram et le boscalid dans la couche arable (44,25 ng g-1 et 51,86 ng g-1, tous deux à T1_7) et dans la végétation (877,61 ng g-1 à T2_6 et 380,57 ng g-1 à T5_6), en raison de la distance de <10 m par rapport au champ agricole le plus proche (tableau complémentaire 4), où l'exposition aux pesticides est généralement plus élevée30. »
RépondreSupprimerEn bref, on ne trouve quasiment rien quand on s'éloigne des champs – mais les méthodes modernes de détection permettent de détecter l'infinitésimal – et une quantité qualifiée d'« élevée » à moins de dix mètres d'un champ (admirez au demeurant la précision...).
- voir graph sur site -
La figure 1 (partie C) permet cependant de constater qu'on a trouvé bien plus de résidus de pesticides en plaine qu'en montagne. Le contraire aurait été surprenant... Et pour la montagne, rien de surprenant : il y a souvent des vignes et des vergers à leur pied, alors quand on traite et qu'il fait chaud, des gouttes et des vapeurs montent. Mais tout cela interroge aussi sur l'angle qui a été pris pour décrire les résultats.
Fig. 1 : Vue aérienne de la région étudiée (vallée du Rhin supérieur, Allemagne), de l'utilisation des sols et du nombre cumulé de résidus de pesticides d'usage courant mesuré dans la couche arable et la végétation par transect.
A Vue aérienne des 78 sites d'échantillonnage (points blancs) et des six transects (T1-T6). Les sites d'échantillonnage ont été localisés sur les transects linéaires T1 - T6 (du nord au sud) avec une orientation ouest/est et ont été classés en montagne et vallée en fonction de leur emplacement par rapport au pied de la montagne. B Utilisation des sols (C) Nombre cumulé de CUP dans la couche arable et la végétation mesuré par transect. L'eau a été exclue de (C), car elle n'a été disponible que sur 30 sites. La végétation et la terre végétale ont été échantillonnées entre le 15 juin et le 11 juillet 2022. Modèle numérique d'élévation et couverture forestière/urbaine des terres de l'Agence Européenne pour l'Environnement (AEE) (2016) ; les autres catégories d'utilisation des terres de Blickensdörfer et al. (2021) de l'année 2019. Vue aérienne : © 2025 Google, TerraMetrics.
Qu'a-t-on trouvé dans le détail ? C'est dans la figure 2
- voir cadre sur site -
Fig. 2 : Concentrations totales et nombre de résidus des pesticides d'usage courant détectés.
Résultats explicites des 78 sites d'échantillonnage pour le nombre et la concentration totale des CUP. Chacun des six transects linéaires comprenait 13 sites d'échantillonnage. Dans chaque carreau, la végétation (en bas à gauche), la couche arable (en bas au milieu) et l'eau (en bas à droite) et leur concentration totale correspondante en ng g-1 dans les cellules au-dessus sont mentionnées (voir la description du carreau). Les régions sont définies comme vallée et montagne, Forêt du Palatinat et Forêt Noire, nord et sud. Le site 1 était toujours le plus proche du Rhin dans la vallée, le site 7 au pied de la montagne et le site 13 le plus éloigné dans la région montagneuse. Pour plus de détails sur l'emplacement des transects, voir la figure 1.
Mais les valeurs maximales peuvent être plutôt conséquentes. Dans le cas du fluopyram par exemple (44,248 ng/g), c'est 33 grammes/hectare, soit 13 % de la dose d'application autorisée du Velum Prime. Mais c'est sans guère de doute une mesure faite à moins de 10 mètres d'une surface agricole.
RépondreSupprimerRegardons maintenant ce que cela représente en termes de santé, sur la base des données sur la végétation – car, jusqu'à plus ample informé, nous ne mangeons pas le sol – et du fluopyram, la molécule la plus fréquemment trouvée (dans 90,3 % des échantillons) et affichant la plus forte présence sur la végétation (877,609 ng/g, soit 0,878 mg/kg, avec une moyenne de 16,092 ng/g (ce n'est pas la plus élevée) et un minimum de 0,041 ng/g.
Mais il faut bien rappeler qu'on est en période de végétation et, typiquement, pendant ou juste après la période de pulvérisation.
Pour le fluopyram, la dose journalière admissible (DJA) est de 0,012 mg/kg de poids corporel, soit 0,72 mg pour une personne de petite taille pesant 60 kg. Nous serions ici à la limite de l'admissibilité, mais en supposant que cette personne consomme environ un kilogramme d'herbe (la majorité des échantillons étaient composés d'herbe).
Les DJA sont du reste très protectrices, typiquement fixées à un centième de la dernière dose avant celle à laquelle un effet nocif a été constaté chez les animaux de laboratoire (la NOAEL ou DSENO).
Dans la grande majorité des cas, les valeurs enregistrées sont très, très, très inférieures à la DJA. En bref, il s'agit de microgrammes/kilogrammes de végétation d'un côté et de milligrammes/kilogrammes de poids corporel de l'autre.
...sauf pour une instrumentalisation médiatique et politique
Un tel constat ne pouvait qu'être attendu.
Et, bien sûr, il fallait s'attendre à une instrumentalisation de l'étude.
Même la presse agricole s'est laissé tenter comme le montre « Étude : des résidus de produits phytosanitaires dans les zones d'altitude les plus reculées », d'AGRARHEUTE.
La Süddeusche Zeitung cite le premier auteur, M. Ken Mauser, dans « Studie: Pestizide am Oberrhein fernab von Weinbau und Äckern » (étude : des pesticides dans le Rhin supérieur loin des vignes et des champs) :
« "Nous pouvons rencontrer des pesticides en nous promenant, sur les terrains de jeu ou dans notre propre jardin", a expliqué Ken Mauser, premier auteur de l'étude parue dans la revue spécialisée "Communications Earth & Environment". Selon lui, les personnes en contact direct avec les pesticides, c'est-à-dire les agriculteurs, ainsi que les groupes sensibles comme les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées sont particulièrement vulnérables. »
Quel est l'apport de l'étude pour la « vulnérabilité » – autre qu'une citation sélective d'autres études ? Nul !
RépondreSupprimerLa citation précédente est reprise du communiqué de presse de l'Université de Kaiserslautern-Landau (texte d'Eurekalert en anglais). En voici le chapô :
« Une étude récente de l'Université RPTU de Kaiserslautern-Landau révèle une contamination de grande ampleur par les pesticides dans le paysage de la région du Rhin supérieur. L'équipe de recherche dirigée par Carsten Brühl montre pour la première fois que les pesticides chimiques de synthèse issus de l'agriculture conventionnelle ne restent pas dans les zones cultivées, mais se répandent de la plaine à la Forêt Noire et à la Forêt du Palatinat. Les résultats montrent que l'ensemble du paysage est contaminé par des mélanges de pesticides, ce qui jette un nouvel éclairage sur les impacts potentiels de l'agriculture conventionnelle sur l'environnement. Selon les chercheurs, il est urgent de réduire l'utilisation des pesticides afin de protéger les zones autour des champs, des vergers et des vignobles. »
Difficile de faire plus anxiogène...
« ...la première fois » ?
Serait-ce la première fois que l'on observe des dérives ? Bien sûr que non !
Mais quel lecteur remarquera qu'en fait la phrase est exacte : c'est sans doute la première fois pour la vallée du Rhin supérieur..
La phrase est cependant trompeuse, et ce, volontairement (ou à l'insu du plein gré de l'auteur) à notre sens.
À notre connaissance – à nous –, il y a notamment une étude, « Widespread contamination of soils and vegetation with current use pesticide residues along altitudinal gradients in a European Alpine valley » (contamination généralisée des sols et de la végétation par des résidus de pesticides utilisés actuellement, le long de gradients altitudinaux dans une vallée alpine européenne) publiée le 12 février 2024 dans Communications Earth & Environment.
L'étude réalisée dans la vallée du Rhin supérieur (au sens allemand) est fondamentalement la répétition de celle réalisée dans la vallée du Vinschgau, dans le Tyrol du Sud.
Le premier auteur ? Carsten A. Brühl...
https://seppi.over-blog.com/2025/04/hola-les-pesticides-derivent-de-la-plaine-du-rhin-aux-hauteurs-de-la-foret-noire.html