Restauration et réparation de voitures abandonnées et ambulances

 

Ly Thi Dau

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56 commentaires:

  1. Des experts en santé publique ont également réagi. Certains ont souligné que l’étude ne remet pas en question l’efficacité des vaccins pour réduire les formes graves et les hospitalisations, comme démontré par de nombreuses études cliniques. Ils ont noté que l’augmentation des décès pourrait être liée à d’autres facteurs, tels que l’assouplissement prématuré des mesures de contrôle ou une couverture vaccinale inégale, notamment pour les rappels. D’autres ont appelé à des investigations supplémentaires pour comprendre ce « paradoxe », notamment sur le rôle de l’immunité naturelle, qui, selon l’étude, aurait pu jouer un rôle plus important que prévu dans certaines régions comme l’Afrique. Cependant, personne n’évoque les traitements précoces et leur usage important dans les pays africains ou les pays à faibles revenus. « Ils jouent avec la politique, pas concernés par les patients » expliquait le Pr Babalola du Nigéria, un pays avec une utilisation importante de l'ivermectine due à la prévalence de la maladie de la cécité des rivières.

    Conséquences pour la France

    En France, qui fait partie de la région européenne de l’OMS, ces résultats ont des implications significatives. L’Europe a enregistré une augmentation de 223,9 % des décès liés à la COVID-19 pendant la période vaccinale, et a contribué à 34,1 % des décès mondiaux, malgré une couverture vaccinale élevée (souvent supérieure à 70 % pour la vaccination complète).

    Cela soulève des questions sur l’efficacité des stratégies vaccinales françaises, qui ont tout misé sur une vaccination de masse pour contrôler la pandémie.

    1
    Réévaluation des politiques vaccinales : l’étude devrait inciter les autorités françaises à réexaminer les campagnes de vaccination. Les données montrent que les régions à forte couverture vaccinale, comme l’Europe, ont paradoxalement connu une forte augmentation des décès. Cela pourrait indiquer une baisse de l’efficacité des vaccins face aux variants ou une couverture insuffisante des rappels, un point déjà soulevé dans des études européennes (Delaunay et al., 2024). Les autorités devraient se pencher sur les bénéfices prévus et observés et les bien risques plus importants qu’escomptés comme par exemple le fait que selon un sondage de mars 2025, 9 % des vaccinés déclarent avoir dû consulter leur médecin pour des effets indésirables – soit quelque 4,5 millions de personnes.

    - voir graph sur site -

    2
    Renforcement de la surveillance épidémiologique : la France pourrait intensifier la surveillance des variants et de l’immunité populationnelle, en tenant compte de l’immunité naturelle mentionnée dans l’étude. Les données suggérant que l’immunité naturelle aurait pu être aussi protectrice que les vaccins dans certaines régions appellent à une meilleure intégration de ce facteur dans les modèles de prédiction.

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  2. 3
    Impact sur la confiance du public : ces résultats vont contribuer à alimenter la méfiance envers les vaccins en France, où la défiance vaccinale était déjà un défi avant la pandémie. Les autorités devront communiquer clairement pour expliquer que l’étude ne remet pas en cause la sécurité des vaccins ni leur rôle dans la réduction des formes graves, mais souligne des dynamiques complexes (variants, immunité naturelle, etc.) qui nécessitent une approche plus nuancée. Un sondage récent montre la perte de confiance et la demande d’une évaluation indépendante des traitements précoces

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    En outre 73 % des Français trouvent anormal que les parlementaires ayant voté le passe sanitaire et l’obligation vaccinale n’aient pas demandé à voir les contrats des vaccins. Et 64 % estiment que ces personnes ne peuvent pas déclarer avoir agi dans l’intérêt du citoyen.

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    4
    Enseignements pour les futures pandémies : l’étude insiste sur l’importance d’utiliser des données observées plutôt que des modèles pour évaluer l’impact des interventions. En France, cela pourrait encourager une meilleure collecte et analyse des données en temps réel lors de futures crises sanitaires, afin d’ajuster rapidement les stratégies. On rappelle que Pradelle et Lega de l’université de Lyon ont publié une étude basée sur une modélisation frauduleuse concluant à l’estimation que 17 000 personnes seraient mortes de la prise d’hydroxychloroquine.

    Cette étude a fait l’objet d’une rétractation après avoir reçu une couverture très importante dans les médias traditionnels et une promotion sans réserve du professeur Mathieu Molimard de l’Université de Bordeaux. Molimard est aussi connu pour des modélisations erronées sur les dosages en hydroxychloroquine. Aucune sanction n’a été prise à ce jour contre ces scientifiques qui ont jetés le discrédit sur la science française et comme l’écrivait un média américain : « vu des Etats-unis, les 17000 décès liés à l’hydroxychloroquine annoncés ne se sont jamais produits ».

    17000

    Questionnements sur la stratégie du tout-vaccin

    L’étude d’Okoro et al. (2025) met en évidence une augmentation paradoxale des décès liés au COVID-19 pendant la période vaccinale (jusqu’à +1275 % dans la région du Pacifique occidental), malgré une couverture vaccinale élevée, remettant en cause la stratégie du « tout-vaccin » adoptée en France et ailleurs.

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  3. Cette observation est renforcée par l’analyse rétrospective de Lounnas et al. (2024) sur 30 423 patients traités à l’IHU-Méditerranée Infection à Marseille, qui montre que la vaccination n’a pas d’efficacité significative chez les patients de moins de 50 ans (OR ajusté = 1,35 ; IC 95 % = [0,09 ; 8,84], p = 0,781) et présente des interactions défavorables avec la sévérité de la maladie (OR = 8,071 ; IC 95 % = [2,479 ; 34,612], p = 0,002), l’âge supérieur à 89 ans, et les immunodéficiences (Part 2).

    En revanche, le traitement précoce par hydroxychloroquine-azithromycine (HCQ-AZ) a démontré une réduction de 58 %du risque de transfert en soins intensifs ou de décès (OR ajusté = 0,419 ; IC 95 % = [0,327 ; 0,539], p < 0,001) (Part 1). Ces données, corroborées par des méta-analyses sur l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ainsi que par une autre étude, indiquent que des solutions thérapeutiques efficaces étaient disponibles dès 2020, mais ont été marginalisées au profit d’une approche vaccinale exclusive, dont les limites étaient prévisibles et ignorées. Ces chiffres soulignent que des réponses existaient, mais que les choix politiques et scientifiques ont privilégié une stratégie moins performante, au détriment de la santé publique. La guerre du vaccin semble bien avoir eu lieu, et « il fallait éliminer le soldat hydroxychloroquine » tel que le décryptait France-Soir le 12 aout 2020.

    Perte de chance et demande de transparence

    La perte de chance pour les patients français découlerait donc directement de la priorisation d’une stratégie vaccinale sans recul suffisant, alors que des données robustes sur les traitements précoces, avec des risques bien controlés, comme HCQ-AZ, montraient une efficacité significative dès les premières phases de la pandémie alors que la létalité des variants étaient la plus élevées.

    Lounnas et al. (Part 1) confirme que HCQ-AZ, administré précocement, réduisait de 58 % le risque de formes graves, tandis que la vaccination, vantée comme la seule solution, n’a pas atteint les promesses initiales de réduction massive de la mortalité (Okoro et al., 2025) et a entraîné des risques non négligeables, notamment des effets secondaires graves recensés dans les bases comme Eudravigilance (11 448 décès signalés en Europe d’ici décembre 2022) et VAERS (4 496 décès aux États-Unis pour les vaccins à ARNm) avec une sous déclaration bien connue. Les méta-analyses (c19hcq.org et c19ivm.org) renforcent l’idée que des traitements précoces auraient pu limiter les hospitalisations et décès, évitant ainsi une dépendance à une technologie vaccinale expérimentale dont les performances réelles (efficacité tombant à 50-60 % après 4 mois) étaient largement inférieures aux annonces initiales.

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  4. Cette situation est aggravée par l’opacité des autorités françaises, notamment le refus du ministère de la Santé de fournir les données de mortalité toutes causes par statut vaccinal et classe d’âge, demandées depuis février 2022 par l’épidémiologiste Laurent Toubiana et soutenues par l’association BonSens.org. Dans un mémoire en défense, le ministère a invoqué un « travail complexe » qui « dérangerait » ses services, estimant l’effort à 15 jours de travail à temps plein. BonSens.org a répondu en proposant le devis d’un expert indépendant (15 000 euros) pour réaliser cette analyse, mais à ce jour le ministère n’en a pas tenu compte. Toubiana et BonSens.org ont porté l’affaire devant le tribunal administratif, mais l’audience n’a toujours pas été programmée, entravant une évaluation transparente de l’impact des vaccins sur la mortalité globale.

    Cette absence de données, cruciale pour évaluer la pertinence de la stratégie vaccinale, alimente la demande d’une commission d’enquête parlementaire et de la levée du secret défense sur les décision de la gestion de la crise sanitaire, comme évoqué dans un sondage récent. Une telle investigation est essentielle pour comprendre pourquoi des traitements validés ont été écartés, au prix d’une perte de chance pour des milliers de patients, et pour restaurer la confiance dans les décisions de santé publique.

    Conclusion

    L’étude d’Okoro et al. met en lumière un paradoxe troublant : une augmentation des décès liés au COVID-19 malgré la vaccination de masse. Bien que controversée, elle souligne la complexité de la gestion pandémique et la nécessité d’approches plus diversifiées, intégrant l’immunité naturelle et les spécificités régionales. Pour la France, ces résultats appellent à une réflexion sur les stratégies vaccinales, la surveillance épidémiologique et la communication publique, ainsi qu’à une transparence accrue sur les données de mortalité et les décisions sanitaires, afin de mieux préparer le pays à de futures crises.

    La demande des données de mortalité toutes causes par statut vaccinal et classe d’âge devient donc une nécessité pour éclairer la population sur les choix du gouvernement.

    https://www.francesoir.fr/politique-france-societe-sante/augmentation-paradoxale-des-deces-mondiaux-lies-au-covid-19-avec-la

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  5. Ce qu'on ne vous dit pas sur la césarienne
    Exploration des conséquences à court et à long terme d'une intervention souvent inutile


    UN MÉDECIN DU MIDWESTERN
    1er MAI 2025


    Aperçu :

    • Depuis plus d'un siècle, on cherche à médicaliser l'accouchement et à le transformer d'un événement naturel de la vie en un événement nécessitant des interventions majeures pour que tout se passe bien.

    • De nombreuses interventions standard pratiquées lors des accouchements à l'hôpital augmentent le risque de recourir à d'autres interventions invasives, pouvant aller jusqu'à une césarienne.

    • Comme toute chirurgie abdominale majeure, la césarienne expose la mère à des risques importants, nécessite une convalescence prolongée et laisse de larges cicatrices pouvant entraîner de nombreux problèmes chroniques.

    • Les césariennes exposent également les nourrissons à des risques réels et les prédisposent à diverses maladies auto-immunes et neurologiques chroniques.

    Cet article aborde les risques des césariennes, les situations où elles sont nécessaires et certaines approches pour s'en remettre.

    Au fil de l'histoire, de nombreuses traditions ont considéré la naissance comme l'un des moments les plus importants de la vie humaine, car elle prépare le terrain pour tout ce qui suit. Malheureusement, de la même manière que nous profanons le processus de la mort en le surmédicalisant (à tel point que des recherches ont montré que les médecins sont moins susceptibles de recourir aux soins de fin de vie dans un établissement médical), le même problème se pose avec l'accouchement. De nombreux médecins que je connais et qui connaissent bien l'accouchement à l'hôpital ont choisi de l'éviter et d'accoucher à domicile (tout comme de nombreux autres médecins présentés dans un documentaire de 2016).

    À l'inverse, une minorité d'accouchements nécessitent des soins médicaux avancés. Pour ces mères, l'accès à l'hôpital est très bénéfique, notamment si des mesures sont prises pour atténuer les aspects les plus dangereux de l'accouchement à l'hôpital. De ce fait, l'accouchement occupe une place similaire à celle de nombreuses autres controverses médicales ; aucun des deux camps n'a entièrement raison. Cependant, les données montrent clairement que les risques des césariennes systématiques dépassent leurs avantages. Cet article tentera donc de révéler ce qu'elles ne vous disent pas à leur sujet.

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    Le métier de la naissance

    Pendant longtemps, les médecins n'ont pas eu envie d'accoucher. Mais lorsqu'un leader de la profession a compris que les mères reconnaissantes dont ils avaient accouché deviendraient leurs clientes à vie, le professionnel de santé a progressivement remplacé les sages-femmes et a fait passer l'accouchement d'un événement naturel à un événement nécessitant une médicalisation croissante. Si certaines de ces interventions ont été utiles et ont sauvé des vies, beaucoup ne l'ont pas été et ont exposé la mère et l'enfant à diverses complications immédiates et chroniques.

    Étant donné que l'accouchement à l'hôpital ne cherche pas à améliorer le processus naturel, mais plutôt à le contrôler et à le gérer, l'un des principaux problèmes de nombre de ses approches (détaillées ici) est qu'elles engendrent fréquemment des complications nécessitant le recours à des méthodes de plus en plus invasives.

    Dans de nombreux cas, la mère est contrainte de contourner l'accouchement en incisant l'abdomen et en extrayant directement le bébé (via une césarienne coûteuse). Bien que ces interventions soient parfois nécessaires (par exemple, l'OMS a démontré que dans 10 % des cas, elles préviennent la mortalité maternelle et infantile), elles sont beaucoup trop fréquentes (par exemple, en 2023, 32,3 % des naissances aux États-Unis étaient des césariennes).

    Remarque : l’une des statistiques que j’apprécie le moins en médecine est l’augmentation spectaculaire des taux de césariennes aux moments où les médecins souhaitent généralement rentrer à domicile.1,2,3

    Risques généraux des césariennes

    En tant que chirurgie abdominale, les césariennes entraînent divers problèmes fréquemment observés, tels que :

    • La mère a généralement besoin d’une période de convalescence de 4 à 6 semaines.

    • Infection postopératoire (par exemple, dans 5,63 % des cas de césarienne à l’échelle mondiale).

    • Douleur importante (à la période la plus importante de votre vie pour créer un lien affectif).

    • Réactions potentielles à l’anesthésie générale.

    • Blessures accidentelles aux organes (notamment parce que certaines césariennes doivent être pratiquées très rapidement pour sauver la vie du bébé).

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  7. De plus, certaines complications chirurgicales sont spécifiques aux césariennes, telles que :

    • Lésions de la muqueuse utérine créant des adhérences et des cicatrices, ce qui entraîne une fixation incorrecte du placenta lors des grossesses ultérieures (par exemple, deux césariennes multiplient par 13,8 le risque de développer un placenta accreta).

    • La cicatrice utérine fragilisée peut se rompre lors d'un accouchement ultérieur (surtout si de l'ocytocine induisant des contractions est utilisée pendant l'accouchement). Une seule césarienne peut donc nécessiter une césarienne pour tous les accouchements suivants (surtout en cas de fixation placentaire anormale).

    • Le nourrisson peut se couper accidentellement lors de la césarienne (par exemple, 1,5 à 1,9 % des femmes subissent des lacérations faciales).

    • Les cicatrices d'incision de césarienne causent souvent des problèmes importants pendant des années, voire des décennies (jusqu'à ce qu'elles soient correctement traitées). Dans de nombreux cas, ces cicatrices sont la cause cachée de douleurs chroniques et de divers troubles, car elles activent et dérèglent continuellement le système nerveux autonome.

    • Les anesthésiques généraux utilisés pour la césarienne peuvent augmenter le risque de complications néonatales chez le nourrisson.

    Remarque : les césariennes entraînent également divers autres problèmes, tels que des difficultés d'allaitement, une altération du sommeil et des difficultés émotionnelles (par exemple, syndrome de stress post-traumatique ou anxiété).14

    Cependant, au-delà de l'intervention chirurgicale elle-même, le simple fait de contourner le processus normal de l'accouchement peut également entraîner des problèmes importants pour le nourrisson. Par exemple, la maladie des membranes hyalines (syndrome de détresse respiratoire – SDR) touche environ 24 000 nourrissons chaque année aux États-Unis et constitue la principale cause de mortalité néonatale.16 L'accouchement protège contre ce phénomène (des études ont montré que les bébés prématurés nés par césarienne sont 2,4 à 3,92 fois plus susceptibles de développer un SDR1,2,3), probablement en raison de la pression mécanique qui expulse l'excès de liquide des poumons.

    Risques chroniques des césariennes
    Les césariennes ont également été associées à divers problèmes chroniques, la plupart d'origine immunologique ou neurologique.

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  8. Les risques immunologiques comprennent :

    • Une étude Kaiser portant sur 8 953 enfants a révélé que les césariennes augmentaient de 37 % la rhinoconjonctivite allergique (rhume des foins) et de 24 % l'asthme (53 % chez les filles et 8 % chez les garçons).

    • Environ 2 000 études ont évalué le lien entre les césariennes et l'asthme. Une méta-analyse de 2020 a révélé que les césariennes augmentent l'asthme de 41 %, tandis qu'une méta-analyse de 2019 a constaté une augmentation de 20 %.

    • Une étude danoise portant sur 750 000 enfants âgés de 0 à 14 ans a évalué quelques maladies auto-immunes et a constaté que les enfants nés par césarienne présentaient un risque environ 20 % plus élevé de développer une laryngite, de l'asthme, une gastro-entérite, une rectocolite hémorragique, une maladie cœliaque et une arthrite juvénile (ainsi qu'une pneumonie et d'autres infections des voies respiratoires inférieures).

    • Une étude danoise ultérieure portant sur 2 699 479 naissances a révélé que les césariennes programmées entraînaient une augmentation de 14 % du diabète, de 14 % de la polyarthrite rhumatoïde, de 4 % de la maladie de Crohn et de 15 % du syndrome du côlon irritable. En général, le risque de ces affections était plus élevé chez les femmes et lors de césariennes programmées (à l'exception de la maladie de Crohn, qui augmentait de 15 % après une césarienne en urgence). Une autre étude similaire a également révélé que les césariennes augmentaient significativement le risque d'asthme, de maladies systémiques du tissu conjonctif, d'arthrite juvénile, de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin, de déficits immunitaires et de leucémie.

    • Une étude portant sur 7 174 787 naissances a révélé que les césariennes augmentaient de 10 % le risque d'hospitalisation des nourrissons (au cours des 5 premières années de vie) pour des infections (notamment respiratoires, gastro-intestinales et virales).

    • Une étude portant sur 33 226 femmes adultes a révélé que naître par césarienne augmentait de 11 % le risque d'obésité et de 46 % le risque de développer un diabète de type 2.

    Cela est probablement dû en grande partie à la perturbation du microbiome par les césariennes (qui peut persister à l'âge adulte), car les nourrissons dépendent de la flore vaginale (et de la flore fécale externe) pour coloniser initialement le tube digestif (la microflore vaginale étant principalement composée des « bonnes bactéries » nécessaires à notre digestion, et peu après la naissance, l'estomac commence à produire de l'acide gastrique, empêchant ainsi les autres bactéries de coloniser facilement le tube digestif). De plus, de nombreuses études ont montré que les césariennes perturbent considérablement le microbiome, notamment un essai prospectif qui a démontré que le degré de perturbation durable du microbiome chez un nourrisson était directement corrélé à sa probabilité de développer de l'asthme et des sensibilisations allergiques.

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  9. Remarque : une solution partielle à ce problème (qui ne traite pas du problème des microbes hospitaliers nocifs qui remplacent le microbiome normal) consiste à inoculer au nourrisson les sécrétions vaginales de sa mère immédiatement après l'accouchement. Cependant, bien que des preuves convaincantes aient été apportées en faveur de l'ensemencement vaginal au cours de la dernière décennie,1,2 celui-ci n'est pas actuellement recommandé par la communauté médicale et la plupart des hôpitaux ne le proposent pas.

    Les risques neurologiques incluent :

    • Un essai sur des souris a montré que les césariennes entraînaient des changements comportementaux et une augmentation de la mort cellulaire dans certaines zones du cerveau. Une étude rétrospective par IRM portant sur 306 enfants a révélé que les césariennes réduisaient significativement la substance blanche cérébrale et la connectivité neuronale fonctionnelle.

    • Une vaste étude de 2017 a révélé que les enfants nés par césarienne (âgés de 4 à 9 ans) obtenaient de moins bons résultats aux tests standardisés que les enfants nés par voie basse, sans que cela soit dû à des facteurs confondants. Une étude de 2024 a révélé que les césariennes entraînaient une baisse des résultats en matière de développement moteur et langagier pendant certaines tranches d’âge au cours des trois premières années de vie.

    • Une étude tchèque de 2020 a montré que les enfants de 5 ans nés par césarienne obtenaient de moins bons résultats aux tests cognitifs que les enfants nés par voie basse.

    • Il a été constaté que les césariennes augmentaient le taux de TDAH de 15 à 16 % et d’autisme de 23 à 26 %. Parallèlement, une schizophrénie précoce a également été associée aux césariennes (dont une grande partie pourrait être due à la modification des récepteurs de la dopamine dans le cerveau).
    Remarque : comme le montre cette étude, l’augmentation des cas d’autisme est fortement corrélée à l’anesthésie générale chez les mères lors de la césarienne.

    • Il a été constaté que les césariennes altèrent la capacité des nouveau-nés à reconnaître les odeurs familières, les rendent plus réticents au toucher ou aux câlins, et qu’elles ont une intégration sensorielle, une mémoire visuelle et une perception visuospatiale plus faibles. Parallèlement, les mères de bébés nés par césarienne ont un attachement moindre et une évaluation plus négative de leur enfant.

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  10. Le développement neurologique étant un processus complexe, il est difficile de déterminer quel facteur (par exemple, l’anesthésie, la diminution du lien maternel, les altérations du microbiome intestinal) est responsable de ces changements. Cependant, de nombreux excellents guérisseurs avec qui j’ai discuté, issus de diverses traditions (par exemple, les Maoris de Nouvelle-Zélande), ont partagé qu’ils ont remarqué une perte de dynamisme et de vitalité chez les bébés nés par césarienne, qu’ils attribuent au fait qu’ils ne « reçoivent pas l’étincelle » que le processus d’accouchement vaginal facilite (par exemple, parce que le micro-mouvement à l’intérieur du crâne est catalysé par la compression subie pendant le processus d’accouchement).

    L'une des conversations les plus intéressantes que j'ai eues à ce sujet a eu lieu avec un médecin qui m'a confié qu'on lui avait appris que la vitalité des nourrissons était directement liée à leurs pleurs à la naissance (c'est pourquoi, autrefois, les médecins frappaient la plante des pieds des bébés pour déclencher un cri vigoureux). De leur côté, lorsque lui et ses collègues ont tenté d'aider les nourrissons souffrant d'un traumatisme à la naissance en comprimant doucement le sommet de leur crâne pour recréer une partie du processus d'accouchement, ils ont constaté que les nourrissons nés par césarienne émettaient un cri bref mais très vigoureux, tandis que les enfants nés par voie basse émettaient généralement un cri beaucoup plus faible, ce qu'ils attribuaient au fait que l'accouchement initial n'avait pas catalysé le cri nécessaire à ce moment-là (d'où son intensité lors de la compression suivante). Remarque : ce constat est similaire à celui observé en homéopathie : les patients capables de faire baisser leur fièvre ont tendance à avoir une vitalité plus forte et à mieux réagir aux remèdes homéopathiques. Cependant, au fil des décennies, la capacité à faire baisser leur fièvre a diminué et les réactions aux remèdes homéopathiques sont désormais moins prononcées.

    Accouchements à risque

    L’un des principaux facteurs déterminants pour l’accouchement est de savoir si la grossesse est à risque. Malheureusement, déterminer ce qui constitue une grossesse à risque est assez subjectif. Par conséquent, une mauvaise interprétation de cette désignation entraîne souvent de nombreuses interventions stressantes, inutiles et potentiellement dangereuses tout au long de la grossesse.

    Remarque : la détermination d’une grossesse à risque est souvent déterminée par les échographies prénatales. Cependant, comme je l’ai montré précédemment, une grande partie des informations fournies par les échographies en début de grossesse sont soit inexactes, soit impossibles à exploiter. À l’inverse, l’échographie prénatale expose les nourrissons à de réels dangers, ce qui explique son utilisation systématique lorsque les risques l’emportent sur les bénéfices.

    Parallèlement, les accouchements à l'hôpital sont parfois nécessaires et potentiellement vitaux. Outre une urgence aiguë mettant en jeu la vie du fœtus (par exemple, un saignement vaginal inattendu après un accident de voiture), certaines situations courantes peuvent nécessiter un accouchement à l'hôpital ou une césarienne :

    • Le placenta est mal positionné. Une césarienne est généralement nécessaire. Cependant, dans de nombreux cas, le placenta peut se déplacer vers la bonne position. Un diagnostic échographique précoce peut donc engendrer un stress inutile.

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  11. • Le bébé est orienté dans la mauvaise direction, le bassin sortant en premier au lieu de la tête (présentation du siège). Ce sujet est assez controversé, car de nombreuses femmes que je connais accouchent par le siège (et cela s'est bien passé), mais beaucoup d'autres ne le font pas (ayant constaté des complications ou des décès infantiles) après un accouchement par voie basse (par exemple, une vaste étude a révélé que les bébés par le siège ont 2,4 fois plus de risques de mourir lors d'un accouchement par voie basse). C'est pourquoi je pense que la meilleure solution est de régler le problème avant l'accouchement en positionnant le bébé dans la bonne position (ce qui fonctionne souvent, à condition que ce soit fait correctement).

    Remarque : si l'une des jambes ou l'épaule du bébé est en avant, un accouchement par voie basse ne doit jamais être tenté.

    • Le bébé a la tête en bas, mais est orienté dans la mauvaise direction (pas vers l'avant). D'après notre expérience, ces situations nécessitent souvent une césarienne, car il est impossible de sortir le bébé.

    • Présence de jumeaux. Cela ne nécessite pas nécessairement une césarienne, mais divers problèmes sont plus susceptibles de survenir ; il peut donc être très utile d'avoir une assistance supplémentaire à proximité si nécessaire.

    • La mère a déjà subi une césarienne.

    • D'autres caractéristiques d'une grossesse à haut risque existent (par exemple, la mère souffre d'une maladie chronique concomitante ou d'une prééclampsie sévère pendant la grossesse).

    Conclusion

    Récemment, RFK Jr. a été chargé de diriger la Commission américaine « Make America Healthy Again » et de tenter de découvrir les causes de la hausse rapide et sans précédent des maladies chroniques chez nos enfants (par exemple, 12,8 % des enfants nés entre 1988 et 1994 souffraient d'une maladie chronique, alors que chez ceux nés entre 2000 et 2006, ce chiffre avait plus que doublé pour atteindre 26,6 % et, en 2011, il avait atteint 54,1 %).

    Alors que ce tsunami de maladies chroniques menace les fondements de notre société, la commission MAHA a été chargée de tout mettre en œuvre pour trouver la cause de cette épidémie. Comme beaucoup, je soupçonne que les vaccins en sont la cause profonde, car le nombre de vaccins administrés aux enfants a augmenté parallèlement à l'augmentation des maladies chroniques. De plus, toutes les études indépendantes (résumées ici) montrent systématiquement que les enfants vaccinés présentent des taux de maladies chroniques 3 à 10 fois supérieurs à ceux des enfants non vaccinés.

    Cependant, comme j'ai tenté de le démontrer dans cette série, on peut également affirmer que nos approches de l'accouchement (par exemple, les échographies prénatales ou les césariennes) contribuent également à cette vague de maladies chroniques et doivent donc être examinées de toute urgence.

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  12. À mon avis, le problème central réside dans le fait que la médecine nécessite des ventes répétées, ce qui entraîne une surconsommation de produits potentiellement utiles, au point que leurs effets néfastes dépassent largement leurs bénéfices. Par exemple, si les vaccins infantiles sont considérés comme un tout, tous essentiels à la santé, la réalité est que les risques et les bénéfices de chaque vaccin varient considérablement, et nombre de vaccins obligatoires ne peuvent être justifiés par les preuves scientifiques existantes (j'ai passé en revue chaque vaccin infantile ici). De même, comme j'ai tenté de le démontrer ici, si les effets néfastes des césariennes sont généralement largement supérieurs à ceux des accouchements par voie basse, ils sont parfois nécessaires et les complications qu'ils engendrent sont largement compensées par les effets néfastes qu'ils préviennent.

    Ainsi, même si la commission MAHA pourrait proposer de meilleures options à l'avenir, la meilleure solution pour l'instant est de nous informer pleinement sur les risques de ces interventions de routine et de faire tout notre possible pour en réduire le recours (par exemple, les méthodes d'accouchement naturel réduisent considérablement le recours aux césariennes). J'espère sincèrement que cet article vous aura apporté des informations précieuses pour traverser cette période difficile.

    Note de l'auteur : Il s'agit d'une version abrégée d'un article plus long qui détaille de nombreux points abordés ici (par exemple, les complications des césariennes et leur prise en charge), fournit des conseils pour se protéger à l'hôpital, trouver le meilleur endroit pour accoucher et partage plusieurs des stratégies que nous avons identifiées pour avoir le bébé le plus en santé possible, gérer les nombreuses complications qui surviennent pendant la grossesse et assurer un accouchement optimal. Cet article est disponible ici, tandis qu'un article complémentaire sur l'importance du lait naturel (par exemple, l'allaitement) est disponible ici.

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    https://www.midwesterndoctor.com/p/what-the-dont-tell-you-about-c-sections?utm_source=post-email-title&publication_id=748806&post_id=162575365&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  13. Un vaccin pour protéger les enfants contre les overdoses de fentanyl
    Les parents n'auront plus à s'inquiéter de voir leurs enfants fêtards ne pas rentrer à la maison.


    Par John Leake
    Discours courageux
    3 mai 2025


    Depuis l'adoption de la loi nationale sur les préjudices causés par les vaccins infantiles de 1986, qui a accordé une protection en matière de responsabilité aux fabricants de vaccins, le complexe biopharmaceutique a démontré une volonté prodigieuse de protéger les enfants, grâce aux vaccins, contre tout ce qui, dans ce monde effrayant, pourrait leur nuire.

    Cette entreprise visant à protéger les jeunes de tout a eu pour avantage secondaire de générer des centaines de milliards de dollars de bénéfices non responsables pour les fabricants de vaccins, ainsi que des milliards de dollars de subventions du NIH pour les chercheurs universitaires qui cherchent de nouvelles façons de protéger les enfants.

    Tout tourne autour de ces enfants !

    Le miracle de la technologie vaccinale pourrait, en théorie, épargner vos enfants et adolescents de toute maladie, les rendant ainsi invulnérables à tous les vilains microbes que la nature cruelle a infligés aux enfants du passé.

    Par exemple, alors que les anciens de ma génération (nés en 1970) se souviennent avec tendresse d'avoir regardé de nombreux épisodes de La Terre des Disparus, de Banana Splits et des Trois Stooges alors qu'ils restaient à la maison à cause de la varicelle, les enfants nés après 1995 ont été épargnés par cette terrible épreuve grâce à l'introduction du vaccin contre la varicelle.

    Les chercheurs en vaccins ont aujourd'hui franchi une nouvelle étape dans le domaine de la vaccination : protéger les enfants des conséquences de leur propre comportement imprudent avec les produits pharmaceutiques.

    Ce matin, un ami m'a envoyé un article du New York Times intitulé « Kennedy émet des demandes d'approbation de vaccins qui pourraient affecter les rappels de vaccins contre la Covid à l'automne », qui commence par le paragraphe suivant :

    Le secrétaire à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., a annoncé jeudi son intention d'exiger que tous les nouveaux vaccins soient testés contre placebo et de développer de nouveaux vaccins sans utiliser la technologie de l'ARNm. Ces mesures étendent son influence sur le développement des vaccins et soulèvent des questions quant à la disponibilité des rappels de vaccins contre la Covid à l'automne.

    Oh mon Dieu, comment allons-nous nous en sortir sans les rappels de vaccins contre la Covid cet automne ? Selon le Dr Ofer Levy, chercheur en vaccins à Harvard et membre du comité consultatif sur les vaccins de la FDA, ce serait « inacceptable ».

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  14. « Des dizaines de milliers de personnes peuvent mourir sans protection contre la Covid », a déclaré le Dr Levy, cofondateur d'une entreprise travaillant sur un vaccin contre les opioïdes.

    Intrigué par le vaccin contre les opioïdes du Dr Levy, j'ai fait quelques recherches et trouvé un rapport sur son programme de vaccins de précision au Boston Children's Hospital, qui a reçu près de 20 millions de dollars des National Institutes of Health depuis 2019.

    Le vaccin phare de Precision Vaccines est un vaccin « qui empêche le fentanyl de pénétrer dans le cerveau », évitant ainsi aux adolescents fêtards de mourir d'une overdose d'opioïdes. Comme l'a expliqué Elissa Weitzman, directrice du programme au Boston Children's Hospital :

    L'article ne précise pas si le vaccin bloquerait complètement tous les récepteurs, ou seulement jusqu'au seuil de dépression excessive du système nerveux central entraînant une overdose.

    Le Boston Children's Hospital pourrait peut-être créer une « approche sur mesure » ​​pour les étudiants fêtards qui leur permettrait de profiter du fentanyl sans en mourir.

    Le Dr Levy pourrait peut-être jouer un rôle. Il était le directeur scientifique d'une nouvelle entreprise qui vend des « kits opioïdes et vaccins pour les fêtes » – un ensemble combinant des opioïdes de qualité pharmaceutique pour passer un bon moment et un vaccin pour la prévention des overdoses. Ça rapporterait gros.

    Plus sérieusement, l'idée du Dr Levy n'est pas nouvelle. Un roman de science-fiction publié à la fin des années 70 (titre et auteur me fument) présentait un monde futuriste où l'État éliminait la toxicomanie et l'alcoolisme grâce à un programme de vaccination obligatoire bloquant les récepteurs cérébraux de toutes les tentations chimiques.

    Muni de la « science », l'État a créé un monde où les humains n'avaient plus à lutter contre la tentation, le vice et leurs conséquences néfastes. Chaque individu est devenu une unité consommatrice/contribuable, épargnée de toute décision morale et de la difficulté de cultiver des habitudes vertueuses.

    Cet article a été initialement publié sur Courageous Discourse.

    https://www.lewrockwell.com/2025/05/no_author/vaccine-to-protect-kids-from-fentanyl-o-d/

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  15. Et si les vaccinés pouvaient se faire tester pour savoir si la spike « vaccinale » les empoisonne? Un laboratoire allemand le propose


    le 2 Mai 2025
    par pgibertie


    « [Il est possible de différencier la Spike virale de la vaccinale. La 🇫🇷 n’a toujours pas lancé ce dosage. Une start up qui se lance dans ce marché fera fortune car tous les 💉C19 voudront savoir si leurs pb sont liés au vaccin à distance de l’injection] »

    Le laboratoire MMD du Pr Brigitte Koenig à Magdeburg en Allemagne est le seul actuellement qui évalue le taux de protéïne Spike dans le corps.
    Voici son lien: mmd-labor.de
    Il est possible de différencier la protéine spike vaccinale de la virale et de savoir enfin laquelle est responsable des covid longs et des accidents graves de santé

    Publié le 1 septembre 2023 par pgibertie

    Elle ne devait rester dans l’organisme que quelques heures et dans le muscle! La protéine spike vaccinale fabriquée par l’organisme après injection d’ARNm se retrouve partout et 6 mois et plus après !

    Malheureusement les victimes se voient souvent répondre: vous avez eu la covid et c’est la proteine Spike virale qui est responsable.

    On peut enfin les différencier, un labo allemand a pu le faire deux ans après l’injection , une étude américaine, 6 mois après

    Vax Spike détecté 6 mois plus tard chez les patients par Mass-Spec ciblant le changement 2 Proline. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/prca.202300048

    @CorinneReverbel

    Analyse de sang de personnes vaccinées par ARNm par spectroscopie de masse : dans 50% des cas, des fragments spécifiques de protéine Spike recombinante (Spike vaccinale) ont été détectés dans le sang et ont persisté jusqu’à 6 mois

    La pandémie du SRAS-CoV-2 a incité au développement et à l’utilisation de vaccins de nouvelle génération. Parmi ceux-ci, les vaccins à base d’ARNm consistent en des solutions injectables d’ARNm codant pour un Spike recombinant, qui se distingue de la protéine de type sauvage en raison de variations spécifiques d’acides aminés introduites pour maintenir la protéine dans un état préfusé. Ce travail présente une approche protéomique pour révéler la présence de protéine Spike recombinante chez les sujets vaccinés quel que soit le titre d’anticorps.

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  16. Conception expérimentale

    L’examen par spectrométrie de masse d’échantillons biologiques a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de protéine Spike recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.

    Résultats

    Le fragment spécifique PP-Spike a été trouvé dans 50 % des échantillons biologiques analysés et sa présence était indépendante du titre d’anticorps IgG SARS-CoV-2. Les délais minimum et maximum pendant lesquels PP-Spike a été détecté après la vaccination étaient respectivement de 69 et 187 jours.

    @AnneliseBocquet

    Détection de la Spike « vaccinale » par spectrometrie de masse ENFIN !!! OUI, ON PEUT DIFFÉRENCIER LES 2 SPIKE VIA LA SM… Oh! Pour peu, j’embrasserai le Dr. Kevin McKernan ! https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1596440057531228161?t=l4UnMqNgK37YjkXdZNR3Ug&s=19Les auteurs de la publication ont utilisé une stratégie Bottom Up avec purification, digestion enzymatique via la trypsine, HPLC couplée à un spectrometre de masse ESI (electrospray ionization, c’est de la spectrometrie de masse ou SM en abréviation)… ce n’est pas du matériel de laboratoire courant… ça coûte cher et demande une expertise en SM. Il faudrait des ingénieurs biotech suffisamment calés pour pouvoir randomiser ce type d’analyses. Cet article marque un tournant car oui, maintenant, on peut faire les liens de causalité… mais on n’est pas encore sorti des ronces.
    https://twitter.com/AnneliseBocque

    t/status/1697385825422504219?t=f5b-WBHyPntVTm7WdjphHw&s=19… Autre point, il ne faut pas non plus oublier les personnes souffrant de Covid-long… la Spike virale est aussi nocive que la Spike dite « vaccinale ». Or, actuellement en France, il n’y a pas de dosage de la Spike (peu importe, virale ou « vaccinale »). Cela se fait en Allemagne mais pas chez nous… https://twitter.com/AnneliseBocque
    t/status/1694335370719109584?t=f5b-WBHyPntVTm7WdjphHw&s=19…https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1661964034369789952?t=f5b-WBHyPntVTm7WdjphHw&s=19…https://twitter.com/plej_a/status/ 1662384322521776129?t=f5b-WBHyPntVTm7WdjphHw&s=19

    - voir docs sur site :

    https://pgibertie.com/2025/05/02/et-si-les-vaccines-pouvaient-se-faire-tester-pour-savoir-si-la-spike-vaccinale-les-empoisonne-un-laboratoire-allemand-le-propose/

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    1. Enfin des tests pour savoir si on est con, désigné gros con ou petit con, con de première ou con de sa mère !

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  17. Aux origines de la folie humaine


    Patrick Dupuis
    le 03 mai 2025 - 09:50


    L’omniprésence de la folie, de la perversion et de la violence pose un problème grave à l’humanité et menace la survie de la population restée saine, heureusement encore majoritaire, qui tente sans succès de comprendre tout en essayant de se préserver.

    La littérature regorge de phrases énigmatiques qui ont trait à ce mystère :

    « Comprendre, seulement comprendre, comment de tels monstres sont possibles » (S. Beckett, Malone meurt).

    Avec parfois des éclairs de génie :

    « Ils sont mauvais, parce qu’ils ne savent pas qu’ils sont bons. S’ils savaient qu’ils étaient bons, ils ne violeraient pas la petite fille » (F. Dostoïevski, Les Possédés).

    Faute d’explication objective sur l’origine de ce qu’on nomme « le Mal », les récits mythiques ou religieux ont tenu lieu d’explication jusqu’à une époque récente.

    Or voilà que depuis deux décennies, de nombreuses publications neuroscientifiques (principalement aux USA) sont venues enfin nous éclairer sur ce phénomène énigmatique, en mettant en évidence le rôle prépondérant de la maltraitance infantile, et en particulier des abus sexuels, dans la genèse de la pathologie mentale dans son ensemble (dépression, addiction, phobie, schizophrénie, etc.).

    Curieusement, on ne trouve chez nous en France aucun commentaire sur ces multiples publications, comme si ce sujet était chez nous tabou ou interdit. Il s’agit en fait d’une véritable censure, la même qu’eut sans doute à subir Sigmund Freud lorsqu’il découvrit cette réalité insoutenable en 1897 et qui l’obligea à opérer une véritable inversion accusatoire en faisant porter la culpabilité incestueuse à l’enfant lui-même, pourtant à l’évidence victime des adultes. Ce fut la fameuse théorie dite du « complexe d’Œdipe ». L’enfant qui dénonçait un inceste devenait ainsi officiellement un affabulateur, siège de fantasmes incestueux, tout comme ceux qui de nos jours dénoncent des horreurs réelles commises par les élites perverses sont taxés de « complotisme ».

    Cette théorie inversée, qui transforme la victime en coupable, a eu de nombreux effets délétères sur le plan intellectuel et sociétal. En effet, puisque l’enfant était déclaré incestueux, cela signifiait non seulement qu’il était sexualisé dès le départ (ce que démentent les données hormonales actuelles), mais aussi que la malignité et la perversité étaient inhérentes à la nature humaine, et que seule une répression sociale pouvait amender cette nature profondément « perverse polymorphe » du petit d’homme. Une variante « naturaliste » de cette théorie fut le mythe jungien de « la Bête en nous » ou du « Saurien », qui attribuait la perversité à une nature bestiale archaïque, cruelle et incontrôlable, qui serait cachée sous des couches de civilisation.

    À côté de cette hypothèse endogène du Mal, il existait une autre version mythique qui attribuait le Mal à un élément exogène introduit par effraction dans l’être humain. Mais là encore, deux versions s’opposaient :

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  18. Tout cela resta occulté pendant plus d’un siècle, sous la pression du lobby psychanalytique, particulièrement virulent en France. Il fallut attendre les années 1980 pour qu’un sociologue américain de l’Université du New Hampshire, David Finkelhor, redécouvre l’ampleur et la gravité du phénomène de la violence sexuelle faite aux enfants. Une autre étude célèbre (connue sous le nom de ACE Study) menée en 1998 par Vincent Felitti, Professeur de médecine à l’Université de Californie, sur 17 000 patients, révélait le rôle majeur joué par les expériences traumatiques infantiles dans la genèse de la pathologie mentale.

    Mais ce n’est véritablement qu’à partir des années 2000, avec l’avènement des nouvelles techniques d’imagerie cérébrale comme l’IRMf ou l’optogénétique, que les chercheurs en neurosciences purent enfin établir la preuve objective des effets délétères produits par ces événements infantiles sur les structures cérébrales et neuronales (*).

    Je ne citerai parmi ces innombrables publications que les plus emblématiques d’entre elles, qui mettent en évidence principalement deux choses :

    1. L’impact traumatique provoque des lésions des connexions neuronales qui relient le Cortex Préfrontal, pôle régulateur, au Striatum, qui est le pôle exécutif. Cette déconnexion du cerveau limbique archaïque (sous-cortical) de son régulateur naturel (cortical) entraîne une dérégulation généralisée des pulsions, des émotions, des actes et des comportements qui caractérisent la psychopathologie dans son ensemble.

    2. L’impact traumatique déclenche une série de réactions biochimiques dans le cerveau, notamment en modifiant l’expression des gènes chargés de réguler le stress et l’humeur. Ces modifications dites « épigénétiques » vont entraîner des perturbations mentales considérables et durables, sous forme par exemple d’anxiété ou d’agressivité, de dépression ou d’hyperactivité, qui vont perdurer la vie durant et retentir en cascade sur les générations suivantes par l’intermédiaire de ces processus épigénétiques.

    Les chercheurs en psychologie utilisent quant à eux des méthodes d’enquête et de recensement qui permettent d’établir des liens de corrélation statistiques entre les événements infantiles et le devenir des patients à l’âge adulte. La remarquable étude de Paul Bebbington (2011) de l’University College de Londres, qui établit un lien causal entre abus sexuel infantile et schizophrénie, marque par exemple, un tournant dans l’histoire de la psychiatrie, bien que restant ignorée de la communauté scientifique dans sa majorité.

    D’innombrables autres publications attribuent à cette même cause les addictions, la dépression, le suicide, l’anxiété, les phobies, les agressions sexuelles, les troubles alimentaires, les difficultés relationnelles, bref l’ensemble de ce que l’institution psychiatrique nomme abusivement « maladies mentales ». Parmi ces études, une des plus récentes est celle de Jennie Noll (2021) de l’Université de Rochester (USA) intitulée Child Sexual Abuse as a Unique Risk Factor for the Development of Psychopathology.

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  19. L’abus sexuel des enfants y est enfin reconnu comme une cause à part entière et une cause majeure de la pathologie mentale, en dehors des autres formes de maltraitances infantiles comme la négligence affective ou la violence physique, dont les conséquences sont plus réparables ou compensables.

    Toutes ces découvertes arrivent alors même qu’une vague de dévoilements et de révélations d’abus sexuels déferle sur la planète entière, confirmant la réalité et la gravité du phénomène.

    Pourtant, en France, rien ne semble bouger en dehors de quelques soubresauts vite engloutis dans l’actualité quotidienne. La pathologie mentale reste la chasse gardée des Institutions Officielles que sont la Psychiatrie et la Psychanalyse, qui veillent au grain pour que le mythe de l’Inconscient et celui de la Maladie mentale restent opérants, et que les violences sexuelles faites aux enfants restent un phénomène mineur et marginal dont il n’y a pas lieu de se préoccuper outre mesure.

    Patrick Dupuis a travaillé comme médecin généraliste pendant 23 ans en zone rurale. Diplômé de Sexologie de l’Université Paris XIII en 1998, il a exercé la sexologie clinique pendant 13 ans à Périgueux. Il est l’auteur d’une théorie traumatique de la pathologie mentale intitulée Théorie des impensables, par opposition à la Théorie freudienne de l’Inconscient.

    (*)

    V.J. Felitti, R.F. Anda, The Adverse Childhood Experiences Study (1998)

    C. Liston, Stress-induced alterations in Prefrontal Cortical Dendritic Morphology (2006)

    A.F.T. Arnsten, The effects of stress exposure on Prefrontal Cortex : translating basic research into successful treatments for post-traumatic stress disorder (2015)

    B. McEwen, Stress effects on Neuronal Structure (Hippocampus, Amygdala and Prefrontal Cortex) (2016)

    J. Shonkoff, The lifelong effects of early childhood adversity and toxic stress (2011)

    https://www.francesoir.fr/tribunes/aux-origines-de-la-folie-humaine

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    1. En premier la folie a été engendrée et perpétuée par la débile apparition trisomique de la religion. Elle s'est maintenue jusqu'à ce qu'un 'semblant de Démocratie' apparaisse au monde sous le nom de l'Internet. Cette relation sans frontière a donné lieu à l'apparition de l'information (détournée jusqu'à ce jour par les merdias).
      De 4 % de surdoués dans le monde en l'an 2000 on est passé à 19 fois plus !! Avec enfin l'approche scientifique (quotidiennement censurée par la dictature). Le mal biblique disparaissait des pensées. Ainsi s'effaçaient les dieux inventés et les 8 milliards d'habitants revenaient sur Terre !

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  20. RFK Jr. impose des ESSAIS CONTRÔLÉS PAR PLACEBO pour les nouveaux vaccins, révélant ainsi des décennies de tromperies de la part des grandes entreprises pharmaceutiques


    05/03/2025
    Lance D Johnson


    Pendant des décennies, l'industrie des vaccins a opéré dans l'ombre, contournant la référence scientifique – les essais contrôlés par placebo – pour proposer au public des produits non testés et dangereux. Aujourd'hui, dans un geste historique, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr., impose une prise de conscience. En vertu d'une nouvelle règle, tous les futurs vaccins devront être testés contre un véritable placebo – une substance inerte comme une solution saline – avant d'être approuvés. Cette décision choc, initialement rapportée par le Washington Post, brise la supercherie la plus dissimulée de l'industrie pharmaceutique : l'utilisation de faux placebos pour masquer les effets néfastes des vaccins.

    Points clés :

    Le HHS confirme que tous les nouveaux vaccins doivent être soumis à des essais contrôlés par placebo, un changement radical par rapport aux fraudes passées. RFK Jr. et les défenseurs de la liberté de santé exigent l'intégrité scientifique, tandis que les « experts » financés par l'industrie pharmaceutique crient au scandale.
    Des décennies de tests vaccinaux corrompus ont été révélées : aucun vaccin infantile n'a jamais été testé contre un véritable placebo.
    Le corps médical panique face à une nouvelle règle qui menace de révéler les effets néfastes des vaccins, cachés par des essais truqués.

    La grande tromperie vaccinale : comment Big Pharma a truqué la science

    Pendant des années, les fabricants de vaccins ont évité les véritables tests placebo en utilisant un autre vaccin ou une solution toxique chargée d'adjuvants comme « témoin ». Cette pratique frauduleuse garantit que les deux groupes des essais cliniques reçoivent des substances nocives, masquant ainsi le taux réel d'effets indésirables. Comme l'a expliqué Karl Jablonowski, chercheur principal à Children’s Health Defense (CHD), ce système truqué rend impossible de déterminer si un nouveau vaccin est réellement sûr.

    Le Dr Peter McCullough, cardiologue et figure de proue de la transparence médicale, a qualifié cette nouvelle règle de « très attendue ».

    « Tous les nouveaux vaccins et combinaisons de vaccins existants devraient être testés dans le cadre d'essais prospectifs à grande échelle, en double aveugle, randomisés, contrôlés par placebo, en groupes parallèles et portant sur des résultats à long terme », a déclaré McCullough. « C'est la norme pour les produits pharmaceutiques et il ne devrait pas en être autrement pour les vaccins. »

    Pourtant, comme on pouvait s'y attendre, le corps médical, profondément impliqué dans les profits des grandes sociétés pharmaceutiques, est indigné. Le Washington Post a cité des « experts » anonymes affirmant que les tests placebo « pourraient limiter l'accès aux vaccins » et même être « contraires à l'éthique ».

    Calley Means, conseiller de Kennedy, a rétorqué : « Pourquoi les “experts de la santé” s'inquiéteraient-ils de mener des recherches scientifiques sur de nouveaux médicaments ? »

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  21. Pourquoi les vaccins existants ne sont-ils pas soumis aux mêmes normes ?

    Kennedy a depuis longtemps révélé une vérité choquante : aucun vaccin du calendrier infantile des CDC n'a jamais été testé contre un véritable placebo. Au lieu de cela, ils ont été approuvés sans discussion par des essais frauduleux visant à dissimuler les effets indésirables.

    La question cruciale se pose désormais : cette nouvelle règle s'appliquera-t-elle aux vaccins existants ?

    Le Dr David Wohl, spécialiste des maladies infectieuses affilié à Pfizer, a affirmé que les essais placebo étaient « contraires à l'éthique » pour les maladies pour lesquelles les vaccins existants étaient utilisés – une position qui sent le protectionnisme des entreprises. De son côté, Daniel O’Connor, de Trial Site News, a suggéré une « approche fondée sur le risque », autorisant les essais placebo uniquement pour les nouveaux agents pathogènes.

    Mais pourquoi ce deux poids, deux mesures ? Si les vaccins sont aussi sûrs qu'on le prétend, pourquoi craindre la science ?

    Le HHS n'a pas encore précisé si la règle s'appliquerait aux rappels contre la COVID-19, dont l'approbation a été accélérée avec des données de sécurité minimales. Le commissaire de la FDA, Marty Makary, a récemment admis que l'agence manquait de preuves suffisantes pour approuver de nouveaux rappels, alors que les fabricants font déjà pression pour des formulations pour 2025.

    Kennedy plaide également pour le retrait des vaccins contre la COVID du calendrier infantile, invoquant un manque de bénéfices pour les jeunes enfants. En cas de succès, cela pourrait marquer le début de la fin de l'une des expériences médicales les plus désastreuses de l'histoire.

    Pendant trop longtemps, l'industrie des vaccins a opéré au-dessus des lois, protégée par des régulateurs corrompus et des médias complices. Aujourd'hui, avec RFK Jr. aux commandes, la vérité éclate enfin.

    Comme l'a déclaré Mary Holland, PDG de CHD : « C'est une première pour notre pays et une nouvelle avancée bienvenue de la part de l'administration pour la protection de nos enfants.»

    Mais la bataille est loin d'être gagnée. Le complexe médico-industriel continuera-t-il à résister à la transparence ? Ou le peuple américain verra-t-il enfin la vérité, pleine et entière, sur la composition réelle de ses vaccins, et sur le fait que ces ingrédients sont plus nocifs que bénéfiques pour l'organisme ?

    Sources :

    ChildrensHealthDefense.org
    AllClinicalTrials..com
    WashingtonPost.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-03-placebo-controlled-vaccine-trials-to-become-new-standard.html

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  22. Les scanners pourraient être à l'origine de 100 000 futurs cancers ; les médecins mettent en garde contre une surutilisation


    05/02/2025
    Cassie B.


    Les scanners pourraient être à l'origine de 5 % des futurs cas de cancer aux États-Unis, avec 103 000 cancers prévus pour les seuls scanners de 2023.

    Un seul scanner abdominal délivre une dose de radiation équivalente à 1 000 radiographies thoraciques, et les enfants courent un risque de cancer dix fois plus élevé que les adultes.
    Les experts mettent en garde contre une surutilisation motivée par le profit, avec 93 millions de scanners réalisés chaque année, dont beaucoup n'offrent que peu de bénéfices médicaux.
    Les nourrissons et les enfants sont les plus à risque, mais les parents sont rarement informés des dangers du cancer à long terme.

    Les patients devraient remettre en question les scanners inutiles, rechercher des alternatives sans radiation et exiger des options à plus faible dose pour les enfants.
    Des millions d'Américains passent des scanners chaque année, faisant confiance à ces examens d'imagerie de haute technologie pour diagnostiquer des blessures ou des maladies. Mais de nouvelles recherches choquantes révèlent un côté sombre de cette procédure courante : les scanners pourraient être responsables de 5 % de tous les futurs cas de cancer aux États-Unis, soit l’équivalent d’environ 103 000 cancers recensés rien qu’en 2023. Les experts mettent en garde contre la surutilisation, la recherche du profit et le laxisme réglementaire qui exposent les patients à des radiations dangereuses pour peu de bénéfices.

    Une étude de référence publiée dans la revue JAMA Internal Medicine estime que les scanners rivalisent désormais avec la consommation d’alcool et l’obésité comme principaux risques de cancer évitables. Ces scanners utilisent des rayonnements ionisants, un cancérigène connu, dont les doses varient considérablement d’un appareil à l’autre. Par exemple, un scanner abdominal délivre un rayonnement équivalent à 1 000 radiographies thoraciques, tandis qu’un scanner cérébral chez un enfant peut entraîner un risque de cancer dix fois plus élevé que le même scanner chez un adulte.

    Le Dr Rebecca Smith-Bindman, radiologue à l'Université de Californie à San Francisco et auteure principale de l'étude, déclare sans détour : « C'est inconcevable. Nous réalisons de plus en plus de scanners, et les doses ne cessent d'augmenter. » Ses recherches ont révélé que les doses pour des scanners identiques peuvent varier d'un intervalle de dix fois entre les hôpitaux, sans contrôles de sécurité standardisés.

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  23. Le profit avant les patients ?

    Avec 93 millions de scanners réalisés chaque année aux États-Unis, soit une augmentation de 30 % depuis 2007, les critiques accusent les prestataires de soins de privilégier les revenus à la sécurité. Chaque scanner coûte jusqu'à 6 800 dollars, ce qui crée une lucrative incitation à la surutilisation. Le Dr David Johnson, gastro-entérologue à la faculté de médecine de Virginie orientale, exhorte les médecins à « mettre en pause la prescription de scanners, simplement parce que c'est facile et pratique ».

    Les parallèles avec d'autres controverses médicales sont frappants. À l'instar des vaccins contre la COVID-19 et des statines, dont les critiques affirment qu'ils sont surprescrits malgré les risques, les scanners sont souvent utilisés comme outil de diagnostic « par défaut ».

    Les nourrissons soumis à un scanner présentent le risque de cancer le plus élevé au cours de leur vie, les cancers de la thyroïde, du poumon et du sein étant plus susceptibles de se développer plus tard. Pourtant, les parents sont rarement avertis. « Peu de patients et leurs familles sont informés du risque », admet le Dr Malini Mahendra, pédiatre à l'UCSF. L'étude prévoit 9 700 cancers futurs chez les enfants examinés pour la seule année 2023.

    La dépendance du système de santé américain au scanner reflète son dysfonctionnement général. Les nouvelles règles de Medicare exigeant des hôpitaux qu'ils déclarent les doses de radiation d'ici 2027 constituent une réponse tardive, mais les critiques affirment qu'un véritable changement nécessite de rejeter l'approche « mécaniste » de la médecine.

    Ce que vous pouvez faire

    Si votre médecin vous recommande un scanner, il est important de vous assurer qu'il est nécessaire. Bien que ces examens soient justifiés dans certains cas, il y a quelques points à garder à l'esprit.

    Tout d'abord, remettez en question chaque examen. Demandez-vous : « Est-ce absolument nécessaire ? Existe-t-il des alternatives sans radiation comme l'IRM ou l'échographie ? » Dans certains cas, il est possible de choisir un outil diagnostique présentant un risque moindre. Rejetez la « médecine défensive ». Selon les études, jusqu'à 90 % des scanners n'offrent que peu, voire aucune, valeur médicale. Demandez à votre médecin si les bénéfices l'emportent sur les risques.

    Soyez particulièrement prudent avec les enfants. Exigez des protocoles à faible dose ou des options sans radiothérapie pour les jeunes patients, compte tenu de leur risque plus élevé.

    Les scanners sauvent des vies lorsqu'ils sont utilisés judicieusement, mais leur surutilisation généralisée – motivée par le profit, la peur des poursuites judiciaires et un dogme médical dépassé – a créé une épidémie silencieuse. Comme le prévient le Dr Smith-Bindman : « Ces futurs cancers peuvent être réduits en évitant les scanners inutiles.» Tant que le système de santé ne privilégiera pas la prévention au profit, les patients doivent s'informer et s'opposer si nécessaire.

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  24. Suivez CancerCauses.news pour plus d'articles connexes.

    Sources de cet article :

    DailyMail.co.uk
    ICR.ac.uk
    UCSF.edu
    ScienceAlert.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-02-ct-scans-linked-future-cancers-doctors-overuse.html

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  25. Le HHS et le NIH gaspillent 500 millions de dollars dans un programme de vaccination universelle raté, alors que les virus respiratoires continuent de muter au-delà de leur efficacité vaccinale.


    05/02/2025
    Lance D Johnson


    Le gouvernement américain redouble d'efforts pour lutter contre l'échec de la science vaccinale, en investissant un demi-milliard de dollars des contribuables dans une quête vaine de vaccins « universels » contre la grippe et les coronavirus. Le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) et les Instituts nationaux de la santé (NIH) ont annoncé l'initiative « Génération Gold Standard », une version remaniée du projet NextGen de Biden, qui était lui-même la continuation de la désastreuse opération Warp Speed.

    Malgré des décennies de preuves démontrant que les virus respiratoires mutent trop rapidement pour que les vaccins puissent suivre, les bureaucrates et les scientifiques emprisonnés continuent de promouvoir les vaccins à virus entier inactivés par la bêta-propiolactone (BPL) – une technologie vieille de 70 ans qui n'a jamais tenu sa promesse de protection universelle.

    Points clés :

    Le HHS et les NIH investissent 500 millions de dollars dans « Génération Gold Standard », un programme de vaccination universel remanié utilisant une technologie obsolète de virus inactivés par la BPL.

    Les experts avertissent que cette approche est scientifiquement erronée, car les virus respiratoires mutent trop rapidement pour qu'un vaccin puisse conférer une immunité durable.

    Les essais contrôlés par placebo pourraient enfin révéler les risques de ces vaccins, mais l'argent des contribuables est gaspillé dans un projet voué à l'échec.
    Des scientifiques indépendants affirment que ce programme est une nouvelle aide financière de Big Pharma déguisée en innovation, malgré les affirmations de transparence du gouvernement.
    Un échec recyclé, reconditionné en innovation

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  26. Le Dr Jay Bhattacharya, du NIH, a qualifié le programme de « changement de paradigme », mais les scientifiques indépendants n'y croient pas. Le Dr Meryl Nass, défenseur de longue date de la sécurité des vaccins, a déclaré au Defender : « Ce Saint Graal en vaccinologie est recherché depuis des décennies, jusqu'à présent sans succès. Le communiqué de presse ne nous explique pas comment cette méthode va soudainement produire le Saint Graal.»

    La technologie BPL, bien que plus sûre que l'ARNm, comporte néanmoins des risques. L'épidémiologiste Nicolas Hulscher de la Fondation McCullough a mis en garde : « Tout produit injectable délivrant des antigènes toxiques, même inactivé, peut entraîner des effets indésirables graves, surtout s'il est distribué à grande échelle sans essais rigoureux à long terme, en double aveugle et contrôlés par placebo. »

    Le HHS affirme que tous les nouveaux vaccins seront désormais soumis à des tests contrôlés par placebo, ce qui constitue un aveu tacite que les précédents vaccins contre la COVID-19 ont été mis au point à la hâte, sans contrôles de sécurité appropriés. Mais cette mesure sera-t-elle appliquée, ou s'agit-il d'une nouvelle promesse en l'air ?

    Caractéristiques clés de la plateforme de virus entiers inactivés par la bêta-propiolactone (BPL) :
    La plateforme de virus entiers inactivés par la bêta-propiolactone (BPL) est une méthode de production de vaccins qui utilise des virus entiers chimiquement inactivés pour induire une réponse immunitaire. Voici son fonctionnement et son importance :

    Approche par virus entier

    Contrairement aux vaccins sous-unitaires (par exemple, l'antigène de surface de l'hépatite B), cette méthode utilise le virus entier, préservant toutes les protéines structurales (y compris celles absentes des vaccins sous-unitaires).

    Cela peut conduire à une réponse immunitaire plus large, car plusieurs antigènes viraux sont présentés au système immunitaire. Inactivation par la bêta-propiolactone (BPL)

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  27. La BPL est un agent chimique qui endommage de manière irréversible le matériel génétique viral (ARN/ADN), rendant le virus non infectieux tout en préservant sa structure protéique.
    Comparé à d'autres agents inactivants (par exemple, le formaldéhyde), la BPL est moins susceptible de perturber les épitopes antigéniques critiques, ce qui garantit une meilleure reconnaissance immunitaire.

    Sécurité et efficacité

    Comme le virus est totalement inactivé, il n'y a aucun risque de réplication ou d'infection (contrairement aux vaccins vivants atténués).
    La ​​structure virale préservée contribue à stimuler les réponses immunitaires anticorps (humorales) et lymphocytes T (cellulaires), ce qui peut être crucial pour une protection à long terme.
    Exemples d'utilisation

    Historiquement utilisé dans les vaccins contre la rage (par exemple, le vaccin antirabique original de Salk).
    Également utilisé dans certains vaccins contre la COVID-19 (par exemple, le BBIBP-CorV de Sinopharm) et contre la grippe.
    Le véritable objectif : davantage de financement pour le modèle défaillant des grandes entreprises pharmaceutiques
    Alors que le HHS se vante d’être un projet « appartenant au gouvernement », la réalité est que les grandes entreprises pharmaceutiques continueront d’en tirer profit. Le NIH a longtemps été une porte tournante pour les dirigeants pharmaceutiques, et le modèle de « partenariat public-privé » garantit que l’argent des contribuables est finalement versé aux intérêts des entreprises.

    Mary Holland, PDG de Children’s Health Defense (CHD), a souligné l’ironie de la situation : « Il est intéressant de noter que cela ne prévoit pas de paiements directs aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais la question est : les NIH résisteront-ils à la pression de l’industrie lorsque ces vaccins échoueront inévitablement ?»

    Le calendrier est tout aussi suspect :

    2026 : Début des essais cliniques (heureusement après les prochaines élections).
    2029 : Objectif d’approbation par la FDA (en supposant qu’aucun autre scandale n’éclate).
    D’ici là, les virus auront muté au point de devenir méconnaissables, rendant tout vaccin « universel » obsolète.

    Une meilleure solution : l’immunité naturelle et la santé du microbiome
    Le défaut fondamental de cette approche réside dans l’ignorance de l’immunité muqueuse, première ligne de défense de l’organisme dans les voies respiratoires. Les vaccins injectés dans le tissu musculaire ne peuvent reproduire l’ensemble de la réponse immunitaire générée par une infection naturelle.

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  28. De plus, les microbiomes individuels jouent un rôle essentiel dans la fonction immunitaire, un facteur totalement ignoré par les programmes de vaccination universels. Au lieu de gaspiller des milliards dans des projets de vaccins voués à l’échec, pourquoi ne pas investir dans :

    L’immunité basée sur la nutrition, qui améliore l’évolution humaine face aux agents pathogènes (vitamine D, zinc, vitamine C, quercétine) ;

    Rendre les superaliments et les plantes médicinales plus accessibles, plus abordables et normalisés en tant que médicaments.

    Protocoles de traitement précoces non censurés, plus facilement accessibles (ivermectine, hydroxychloroquine).

    Aide à la restauration du microbiome (les intestins de nombreux Américains sont décimés par les antibiotiques et présentent une réponse immunitaire affaiblie).

    Aide au nettoyage des parasites.

    Élimination des obstacles à la fonction immunitaire, qu'il s'agisse de perturbateurs endocriniens, de pesticides, d'herbicides ou d'expositions aux métaux lourds.

    Éducation de santé publique sur la détoxification et la résilience immunitaire grâce à l'utilisation de composés phytochimiques de base, que ce soit dans le thé, la teinture, les compléments alimentaires et les préparations pour smoothies.

    Le gouvernement américain répète les mêmes erreurs qui ont conduit au désastre du vaccin contre la COVID-19 : injecter de l'argent dans un système défaillant tout en ignorant la science de l'immunité naturelle. Les maladies infectieuses ne seront jamais éradiquées, mais la population peut être en meilleure santé grâce à une approche plus large de la santé du système immunitaire qui développe l'immunité collective grâce à une guérison saine de l'infection et à l'immunité naturelle.

    Sources include:

    ChildrensHealthDefense.org
    HHS.gov
    ChildrensHealthDefense.org

    https://www.naturalnews.com/2025-05-02-hhs-nih-waste-500-million-on-failed-universal-vaccine-scheme.html

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  29. Des extraits de plantes naturelles montrent une absence totale de métastases dans une étude sur les cellules souches du cancer du sein


    05/02/2025
    Finn Heartley


    Une étude financée par la Fondation Beljanski a révélé qu'un mélange exclusif d'extraits de plantes stoppait complètement les métastases dans les cellules souches agressives du cancer du sein chez la souris après seulement deux semaines d'administration orale, surpassant ainsi les résultats obtenus chez le groupe témoin non traité.

    La formule associe Pau Pereira (bloquant la réplication cancéreuse), Rauwolfia vomitoria (ciblant les cellules souches cancéreuses) et du thé vert spécialisé (induisant l'apoptose), attaquant sélectivement les tumeurs tout en épargnant les cellules saines.

    Les travaux pionniers du Dr Mirko Beljanski ont été mis à l'écart dans les années 1990, mais sa fille Sylvie poursuit sa mission, des études actuelles validant son approche de médecine naturelle.
    Les premières données sont prometteuses pour le cancer de la prostate et le traitement de la COVID longue, avec des projets d'essais cliniques plus larges et une intégration de la santé holistique (alimentation, détox, soutien émotionnel). Des défenseurs comme Mike Adams affirment que ces résultats révèlent les failles des traitements anticancéreux traditionnels et préconisent une transition vers des thérapies naturelles présentant moins d'effets secondaires.

    Une nouvelle étude financée par la Fondation Beljanski a démontré qu'un mélange exclusif d'extraits de plantes peut prévenir complètement les métastases dans les cellules souches du cancer du sein agressif, même après seulement deux semaines d'administration orale. Ces résultats, qui seront présentés lors d'une prochaine conférence sur le cancer intégratif à Austin, au Texas, remettent en question les approches de chimiothérapie conventionnelles et mettent en évidence le potentiel inexploité de la médecine naturelle.

    L'étude : Zéro métastase chez les souris traitées
    Dans le cadre de cette étude, des souris ont reçu des injections de cellules souches du cancer du sein hautement agressives, connues pour leur résistance à la chimiothérapie et leur capacité à déclencher une rechute métastatique. Un groupe a reçu la formule botanique Beljanski, tandis que le groupe témoin est resté sans traitement.

    Résultats étonnants :

    Les souris traitées n'ont présenté AUCUNE métastase ; aucune propagation tumorale n'a été détectée.
    Les souris témoins ont développé des tumeurs étendues et ont dû être euthanasiées en raison de la progression de la maladie.
    Administrée par voie orale pendant seulement deux semaines, la formule a pourtant eu des effets considérables.
    Mode d'action : Cibler le cancer au niveau cellulaire
    La formule associe trois extraits de plantes clés, chacun possédant des propriétés anticancéreuses avérées :

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  30. Pau Pereira (extrait d'écorce d'Amazonie) – Interrompt la réplication des cellules cancéreuses et possède des propriétés antivirales.
    Rauwolfia vomitoria (écorce de racine africaine) – Inhibe la survie des cellules souches cancéreuses.
    Extrait de thé vert spécialisé – Favorise l'apoptose (mort cellulaire programmée) des cellules malignes.
    Mécanismes d'action :

    Ciblage sélectif – L'imagerie par fluorescence montre que les extraits pénètrent uniquement les cellules cancéreuses, laissant les cellules saines indemnes.
    Multiples voies anticancéreuses – La formule induit l'apoptose, régule le NF-kappa B, inhibe la 5-alpha réductase (élément clé du cancer de la prostate) et régule positivement le suppresseur de tumeur p53.
    Anti-angiogenèse – Affaiblissement des tumeurs en bloquant la formation de vaisseaux sanguins.
    Un héritage de science réprimée
    Sylvie Beljanski, directrice générale de la Fondation Beljanski et fille du regretté Dr Mirko Beljanski, a raconté comment les travaux révolutionnaires de son père ont été ciblés et réprimés par le gouvernement français dans les années 1990. Malgré la publication de 133 articles évalués par des pairs, ses recherches ont été ignorées – jusqu'à présent.

    « Ils ont détruit son laboratoire, sa réputation, mais pas son héritage », a déclaré Sylvie. « Nous poursuivons sa mission : prouver que la nature détient les réponses. »

    Applications humaines et recherches futures

    Alors que l'étude actuelle se concentrait sur le cancer du sein, la fondation étudie désormais les cellules souches du cancer de la prostate, les premières données suggérant un succès similaire. Par ailleurs, un long essai clinique COVID mené en Europe, utilisant la formule de soutien immunitaire à base d'ARN de Beljanski, a montré des améliorations prometteuses chez les patients.

    Prochaines étapes :

    Essais cliniques élargis pour valider l'efficacité chez l'homme.
    Intégration à la santé holistique : les patients sont encouragés à prendre en compte leur alimentation, leurs toxines et leur bien-être émotionnel parallèlement au traitement.
    Accessibilité mondiale – Malgré les obstacles réglementaires en Europe, les formules restent disponibles aux États-Unis.
    Appel à un changement de paradigme médical
    Mike Adams, fondateur de Brighteon.com et fervent défenseur de la médecine naturelle, a souligné les implications de l'étude :

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  31. « Il ne s'agit pas seulement d'un nouveau complément alimentaire, mais de démanteler le modèle barbare du « couper, brûler, empoisonner » en oncologie. La nature possède déjà le remède. Il nous faut juste le courage de l'utiliser.»

    Conclusion : Alors que le monde est confronté à une augmentation des taux de cancer et à l'échec des traitements conventionnels, l'étude de Beljanski offre l'espoir – et la preuve – qu'une solution plus sûre et plus efficace existe dans la pharmacie de la nature.

    Regardez l'épisode complet du « Health Ranger Report » avec Mike Adams, le Health Ranger, et Sylvie Beljanski qui parlent des innovations végétales dans le traitement du cancer.

    Cette vidéo est issue de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Autres articles connexes :

    L'industrie de la peur du cancer : comment les grandes entreprises pharmaceutiques profitent de la panique et quelles alternatives naturelles offrent-elles ?

    Une alimentation végétale réduit considérablement le risque de cancer, selon des études.

    Les taux de cancer explosent aux États-Unis et les CDC dissimulent une vérité mortelle : l'une des plus grandes fraudes a été de permettre que du matériel génétique à ARNm soit légalement défini comme « vaccin ».

    Sources include:

    Brighteon.com
    SylvieBeljanski.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-02-natural-plant-extracts-show-zero-metastasis-in-breast-cancer-stem-cell.html

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  32. L'ouvrage de Leon Chaitow, « En finir avec le cancer », propose une voie nutritionnelle vers l'espoir


    05/02/2025
    Belle Carter


    L'ouvrage de Leon Chaitow, « En finir avec le cancer : l'approche nutritionnelle pour sa prévention et son contrôle », remet en question les idées reçues sur le cancer et prône un changement radical dans la compréhension et la lutte contre cette maladie, en proposant une approche holistique.

    L'ouvrage se concentre sur le laetrile, un extrait concentré de vitamine B17, qu'il présente comme un élément clé d'une stratégie holistique de traitement du cancer. Le Dr Chaitow s'appuie sur l'expérience du Dr H. Moolenburgh, qui a observé des guérisons significatives chez des patients traités au laetrile, soulignant ainsi son potentiel comme un tournant dans le traitement du cancer. Chaitow souligne que le laetrile n'est pas une solution isolée, mais qu'il s'inscrit dans une approche plus large incluant un régime alimentaire strict, une vitaminothérapie, des compléments enzymatiques et minéraux, ainsi qu'une psychothérapie. Ce programme complet vise à soutenir les défenses naturelles de l'organisme et à cibler les cellules cancéreuses tout en minimisant les dommages aux cellules saines.

    L'ouvrage aborde la controverse autour du laetrile, affrontant le scepticisme du corps médical et de l'industrie pharmaceutique. Chaitow critique les essais cliniques menés par des organisations comme le National Cancer Institute, affirmant qu'ils utilisaient des versions de qualité inférieure du laetrile et ignoraient des composants essentiels de l'alimentation et des compléments alimentaires, soulignant ainsi la nécessité de recherches impartiales et exhaustives.

    Au-delà du laetrile, Chaitow prône une approche biologique totale, privilégiant une alimentation riche en vitamine B17 et fournissant une liste détaillée d'aliments anticancéreux. Il met également en lumière les aspects émotionnels et psychologiques du cancer, abordant le pouvoir de l'espoir et d'une attitude mentale positive, encourageant les lecteurs à prendre leur santé en main et à adopter un état d'esprit propice à la guérison. « En finir avec le cancer : l'approche nutritionnelle pour sa prévention et son contrôle » de Leon Chaitow n'est pas un simple ouvrage de plus dans la vaste littérature sur le cancer ; c'est un manifeste audacieux qui remet en question les idées reçues et propose un changement radical dans notre façon de comprendre et de combattre cette maladie dévastatrice.

    Publié à une époque où la communauté médicale est de plus en plus ouverte aux approches intégratives, l'ouvrage de Chaitow est à la fois opportun et stimulant.

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  33. Le principe central de l'ouvrage repose sur le laetrile, un extrait concentré de vitamine B17, que Chaitow présente comme la pierre angulaire d'une stratégie holistique de traitement du cancer. L'idée n'est pas nouvelle, mais l'exploration de Chaitow est à la fois complète et convaincante. Il s'appuie sur l'expérience du Dr H. Moolenburgh, un éminent spécialiste européen qui a constaté des guérisons remarquables chez des patients traités au laetrile. Moolenburgh décrit ce traitement comme un tournant dans sa pratique, racontant l'histoire d'un patient passé d'une sensation de manque d'air à un léger essoufflement après avoir jardiné. Ces témoignages sont éloquents, mais ils soulignent également la nature controversée du laetrile comme option thérapeutique.

    Chaitow reconnaît d'emblée que le laetrile n'est pas une solution isolée. Il s'inscrit dans une approche holistique plus large, incluant un régime alimentaire strict, une vitaminothérapie, des compléments enzymatiques et minéraux, et même une psychothérapie. Ce programme complet est conçu pour soutenir les défenses naturelles de l'organisme et cibler les cellules cancéreuses tout en minimisant les dommages aux cellules saines. L'auteur souligne que cette approche nécessite une compréhension approfondie des principes de guérison naturelle et un engagement envers des changements de mode de vie.

    La science derrière le laetrile est à la fois fascinante et complexe. Chaitow explique que le laetrile libère du cyanure en présence d'une enzyme présente dans les cellules cancéreuses, les détruisant efficacement sans endommager les tissus sains. Ce mécanisme répond à l'une des principales critiques du laetrile : sa toxicité. Selon Chaitow, utilisé correctement, le laetrile est non toxique et peut constituer un outil puissant dans la lutte contre le cancer.

    Cependant, l'ouvrage n'élude pas la controverse entourant le laetrile. Chaitow s'attaque au scepticisme du corps médical et de l'industrie pharmaceutique, historiquement hostiles à l'idée d'un remède naturel contre le cancer. Il relate les batailles juridiques et professionnelles auxquelles ont dû faire face les partisans du laetrile, accusés de charlatanisme et confrontés à une forte opposition.

    Chaitow critique également les essais menés par des organisations comme le National Cancer Institute (NCI), arguant qu'ils étaient souvent entachés d'erreurs. Il souligne que ces essais ont utilisé des versions de laetrile de qualité inférieure et ont ignoré les composants alimentaires et les compléments alimentaires essentiels à son efficacité. Cette critique souligne la nécessité de recherches impartiales et exhaustives qui évaluent véritablement le potentiel du laetrile.

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  34. Au-delà du laetrile, le livre de Chaitow est un appel à une approche biologique totale du cancer. Il souligne l'importance d'une alimentation riche en vitamine B17, présente dans des aliments comme les noyaux d'abricot, les pommes et les pousses de bambou. Il fournit une liste détaillée d'aliments non seulement nutritifs, mais aussi potentiellement anticancéreux. Ce régime ne se limite pas à l'éviction, mais à l'intégration active d'aliments qui peuvent aider le corps à s'auto-guérir.

    L'approche holistique de Chaitow s'étend aux aspects émotionnels et psychologiques du cancer. Il évoque le pouvoir de l'espoir et d'une attitude mentale positive, citant des études et des cas cliniques qui suggèrent qu'une attitude positive peut avoir un impact significatif sur l'évolution de la maladie. Ce thème de l'autonomisation résonne tout au long du livre, encourageant les lecteurs à prendre leur santé en main et à adopter un état d'esprit propice à la guérison.

    Pour en savoir plus sur le livre « En finir avec le cancer », regardez la vidéo ci-dessous.

    This video is from the BrightLearn channel on Brighteon.com.

    Sources include:

    Brighteon.ai
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-02-an-end-to-cancer-nutritional-path-to-hope.html

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  35. L'ABUS D'ANTIBIOTIQUES dans les élevages industriels alimente une prolifération mortelle de superbactéries


    05/02/2025
    Lance D Johnson


    Environ 1,14 million de décès par an sont liés à la résistance aux antibiotiques, due à une surconsommation inconsidérée dans les élevages industriels.

    L'utilisation abusive d'antibiotiques dans l'agriculture industrielle accélère la prolifération de « superbactéries » résistantes aux médicaments, désormais responsables de 1,14 million de décès chaque année dans le monde – un chiffre qui devrait atteindre 8,22 millions d'ici 2050 si la tendance actuelle se poursuit. Malgré ces avertissements alarmants, la Food and Drug Administration (FDA) américaine continue de privilégier les intérêts des entreprises au détriment de la santé publique, réduisant la surveillance tout en nommant des professionnels de l'industrie à des postes réglementaires clés.

    L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis en garde à plusieurs reprises contre l'imminence d'une « ère post-antibiotiques » où des infections courantes pourraient devenir mortelles. Pourtant, aux États-Unis, 70 % des antibiotiques médicalement importants sont utilisés chez le bétail, souvent non pas pour traiter des maladies, mais pour favoriser la croissance et compenser les conditions de vie insalubres et surpeuplées des élevages industriels. Cette pratique irresponsable permet aux bactéries de développer une résistance, rendant inefficaces des médicaments vitaux pour l'homme.

    La FDA licencie le personnel clé supervisant la médecine vétérinaire, laissant les géants de l'agriculture sans contrôle.

    En avril 2024, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a procédé à des licenciements massifs à la FDA, supprimant plus de 140 postes, dont des vétérinaires essentiels à la surveillance du mauvais usage des antibiotiques en agriculture. Parmi les personnes licenciées figurait le vétérinaire en chef, un acteur clé de l'application de la réglementation sur les antibiotiques.

    Delcianna Winders, directrice de l'Animal Law and Policy Institute, a condamné cette décision : « Il semble moins probable que jamais que des progrès soient réalisés sur cette bombe à retardement sous l'administration actuelle. »

    Ces licenciements ont coïncidé avec la nomination de Timothy Schell, ancien cadre d'Elanco Animal Health, un important producteur d'antibiotiques pour le bétail, au poste de directeur par intérim du Centre de médecine vétérinaire (CVM) de la FDA. Ses détracteurs affirment que les liens de Schell avec l'industrie sont à l'origine d'une inaction réglementaire persistante.

    Andrew deCoriolis, de Farm Forward, a déclaré : « Il est assez difficile de prendre au sérieux l'idée que la FDA va limiter l'utilisation des antibiotiques dans les élevages alors qu'elle nomme un ancien lobbyiste de l'industrie pharmaceutique au poste de responsable de la réglementation.»

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  36. La nomination d'un ancien lobbyiste de l'industrie pharmaceutique à la tête de la division vétérinaire de la FDA témoigne d'une capitulation face aux intérêts des entreprises… Les échanges entre les autorités de réglementation et l'industrie minent depuis longtemps la confiance du public envers la FDA. La nomination de Schell s'inscrit dans une logique de mainmise réglementaire, où les agences chargées de protéger les consommateurs servent les intérêts des entreprises.

    Sous la direction de Schell, la FDA a continué de s'appuyer sur des directives volontaires pour l'utilisation des antibiotiques, permettant aux fabricants de médicaments et à l'agro-industrie de s'autoréguler. Parallèlement, le programme de collecte de données de l'agence, financé par l'industrie, a été qualifié de « théâtre inoffensif » par ses détracteurs, car il s'appuie sur les données autodéclarées des entreprises mêmes qui profitent de la surconsommation d'antibiotiques.

    Les États-Unis bloquent les efforts mondiaux visant à réduire l'utilisation d'antibiotiques dans les exploitations agricoles, privilégiant les profits à la santé publique.
    En septembre 2024, les États-Unis ont adhéré à l'engagement des Nations Unies de réduire l'utilisation d'antibiotiques dans les exploitations agricoles d'ici 2030, mais ont activement bloqué les objectifs contraignants, garantissant ainsi l'absence de mesures exécutoires. Cette décision est conforme aux intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques et de l'agriculture industrielle, qui profitent du statu quo.

    Un rapport du Lancet de 2024 sur la résistance aux antimicrobiens (RAM) a révélé des tendances alarmantes :

    Les décès dus au SARM (Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline) ont doublé depuis 1990.
    Les bactéries résistantes aux carbapénèmes tuent désormais plus d'un million de personnes chaque année.
    D'ici 2050, la résistance aux antibiotiques pourrait dépasser le cancer comme principale cause de décès. Malgré ces avertissements, les politiques de la FDA restent faibles et favorables à l'industrie, sans restrictions significatives sur les antibiotiques les plus dangereux. Les enjeux sont on ne peut plus importants. Si la résistance aux antibiotiques persiste sans contrôle, les procédures médicales courantes – des interventions chirurgicales à la chimiothérapie – pourraient devenir mortelles en raison d'infections incurables. Pourtant, les actions de la FDA suggèrent que les affaires continuent comme si de rien n'était, même si la crise s'aggrave. Robert F. Kennedy Jr. et le Dr Martin Makary, tous deux ardents critiques du mauvais usage des antibiotiques, étaient perçus comme des réformateurs potentiels lors de leur nomination à des postes de direction au HHS et à la FDA. Cependant, les récents licenciements et les nominations favorables à l'industrie indiquent qu'un véritable changement est encore loin.

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  37. Que peut-on faire ?

    Soutenez les efforts visant à tenir les responsables de la FDA et les dirigeants des entreprises pharmaceutiques responsables de leur rôle dans cette crise de santé publique.
    Exigez une véritable réforme de la FDA en contactant les représentants politiques et en plaidant pour des restrictions contraignantes sur les antibiotiques.
    Sensibilisez en partageant ces informations et en soutenant le journalisme indépendant qui dénonce les malversations des entreprises.

    For the latest on these trends, check out Superbugs.News.

    Sources include:

    ChildrensHealthDefense.org
    TheLancet.com
    USRTK.org

    https://www.naturalnews.com/2025-05-02-factory-farm-antibiotic-abuse-fuels-deadly-superbug.html

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  38. Un jeune sur quatre dans le monde se sent seul


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 3 MAI 2025 - 5H00


    Une étude de Gallup et Meta, intitulée « L'état mondial des liens sociaux », met en évidence l'ampleur de la solitude aujourd'hui.

    L'enquête, menée auprès de personnes de 15 ans et plus dans 142 pays de juin 2022 à février 2023, donne un aperçu de la prévalence de la solitude dans différentes tranches d'âge.

    Comme le montre Anna Fleck de Statista dans le graphique ci-dessous, à l'échelle mondiale, 25 % des personnes interrogées âgées de 15 à 18 ans se sentent « très seules » ou « assez seules ».

    Ce chiffre est encore plus élevé chez les 19-29 ans, où 27 % des participants ressentent un niveau de solitude important.

    Les personnes interrogées âgées de plus de 65 ans présentent un taux de solitude plus faible, seulement 17 % d'entre elles déclarant un niveau d'isolement significatif.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Un jeune sur quatre dans le monde se sent seul | Statista
    Vous trouverez d'autres infographies sur Statista.

    Si la pandémie de coronavirus a accentué le sentiment d'isolement chez de nombreuses personnes, ces données suggèrent que la solitude continue de toucher un grand nombre de personnes, même après la fin des confinements.

    La solitude peut avoir de graves conséquences sur la santé, l'isolement social étant associé à un risque accru de plusieurs maladies chroniques, comme le diabète et la démence, ainsi qu'à des troubles mentaux comme l'anxiété et la dépression.

    Concernant les raisons pour lesquelles les gens se sentent seuls, l'étude précise que les données recueillies « contribuent à expliquer ce que les gens ressentent, mais qu'il est nécessaire de poursuivre les recherches pour en comprendre les raisons ».

    https://www.zerohedge.com/medical/one-four-young-people-world-feels-lonely-0

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  39. RFK Jr. conseille aux jeunes parents de se renseigner sur les vaccins


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 3 MAI 2025 - 02H05
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times,


    Le ministre de la Santé, Robert F. Kennedy Jr., a conseillé aux jeunes parents de se renseigner sur les vaccins recommandés pour leurs enfants. Il a également révélé que les autorités sanitaires étudiaient la façon dont certains enfants commençaient à présenter des symptômes d'autisme peu après la vaccination.

    Lors d'une réunion publique avec Phil McGraw, alias Dr Phil, le 28 avril, une mère a demandé à Kennedy quels conseils il donnerait aux jeunes mères concernant les vaccins.

    « Je dirais que nous vivons en démocratie, et qu'une partie de la responsabilité d'un parent est de se renseigner », a déclaré Kennedy.

    « Il faut se renseigner sur la poussette, sur les aliments qu'il consomme et sur les médicaments qu'il prend. »

    Kennedy, à la tête du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), a déclaré avant de devenir secrétaire à la Santé qu'aucun vaccin n'était sûr.

    Lors de son audition de confirmation, il s'est décrit comme « pro-sécurité » et non « anti-vaccin ».

    « Je crois que les vaccins ont sauvé des millions de vies et jouent un rôle essentiel dans les soins de santé », a-t-il déclaré à un moment donné.

    Environ un tiers des personnes interrogées dans le cadre d'une enquête Gallup réalisée en 2021 ont déclaré effectuer leurs propres recherches lorsque leur médecin leur donne des conseils médicaux importants.

    Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui font partie du HHS, recommandent actuellement que les enfants reçoivent 12 doses de vaccin au cours de leurs quatre premiers mois de vie, et des dizaines d'autres avant l'âge adulte. Nombre de ces vaccins sont obligatoires pour la scolarité.

    Le dernier rapport des CDC sur les quatre vaccins obligatoires a révélé que la couverture vaccinale avait diminué entre les années scolaires 2019-2020 et 2022-2023, tandis que le taux d'exemption avait augmenté.

    De plus, selon les données des CDC, seulement 13 % des enfants ont reçu les vaccins contre la COVID-19 actuellement disponibles.

    Lors de la réunion publique, Kennedy a confirmé qu'il envisageait de retirer les vaccins contre la COVID-19 du calendrier vaccinal des enfants.

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  40. « Nous constatons de nombreux effets indésirables liés au vaccin, en particulier chez les enfants : myocardites, péricardites, et même accidents vasculaires cérébraux. […] Les Américains nous font confiance pour évaluer correctement le rapport bénéfice/risque lorsque nous recommandons ces produits, et nous devons réexaminer cette recommandation », a-t-il déclaré.

    Kennedy a également indiqué que les autorités étudiaient un lien éventuel entre l'autisme et les vaccins.

    Une femme a demandé à Kennedy d'expliquer comment les ingrédients du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) peuvent provoquer une inflammation du cerveau et l'autisme.

    « Nous menons actuellement des recherches sur toutes ces questions. C'est un fait, car les parents et les médecins rapportent souvent cette série d'événements : une personne se rend à sa visite de suivi à 16 mois ou de bien-être et reçoit le vaccin ROR et peut-être plusieurs autres vaccins en même temps », a déclaré Kennedy.

    « Beaucoup de parents ont signalé que leur enfant a développé un autisme immédiatement après le vaccin ; c'est donc une question que nous examinons actuellement.»

    Le Programme d'indemnisation des victimes de vaccins a identifié des cas de lésions cérébrales induites par les vaccins, et certains experts en vaccins ont affirmé qu'il existe des preuves que les vaccins peuvent provoquer l'autisme. D'autres ont affirmé qu'il n'y avait aucun lien. Les CDC indiquent sur leur site web que des études « montrent que les vaccins ne sont pas associés aux TSA », ou troubles du spectre autistique.

    Le taux d'autisme, un trouble dont les symptômes incluent des difficultés d'apprentissage, est en augmentation ces dernières années. Les autorités ont déclaré en avril que le taux atteignait jusqu'à un enfant sur 31, et Kennedy s'est engagé à en identifier les causes.

    Le 28 avril, Kennedy a également réitéré sa position selon laquelle les autorités sanitaires recommandent le vaccin ROR pour réduire le risque de rougeole, face à plusieurs épidémies aux États-Unis. Il a toutefois ajouté que le vaccin ROR présentait des problèmes et que les autorités l'étudiaient.

    « Le problème réside en réalité dans la partie du vaccin contre les oreillons et dans la combinaison, dont l'innocuité n'a jamais été testée ; cette combinaison n'a jamais été testée », a déclaré Kennedy.

    « Les gens supposent simplement que si trois vaccins distincts étaient sûrs, et lorsqu'on les combine, ils le seraient également. Or, nous savons maintenant qu'il existe une certaine interférence virale et que le vaccin combiné semble être lié à de nombreux effets indésirables que les vaccins distincts ne présentaient pas.»

    Le site web des CDC indique que le vaccin ROR protège généralement contre la rougeole et la rubéole à vie, « mais l'immunité contre les oreillons peut diminuer avec le temps. »

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  41. Les effets secondaires possibles incluent une légère éruption cutanée et une forte fièvre pouvant provoquer des convulsions.

    Le Dr Monica Gandhi, chef adjointe de la division VIH, maladies infectieuses et médecine mondiale de l'Université de Californie à San Francisco, a déclaré à The Epoch Times par courriel que le vaccin ROR est efficace contre les oreillons.

    « Le vaccin est sûr et efficace », a-t-elle déclaré, encourageant les parents à emmener leurs enfants se faire vacciner !

    https://www.zerohedge.com/medical/rfk-jr-says-new-parents-should-do-your-own-research-vaccines

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  42. D'éminents climatologues contestent les allégations de réchauffement catastrophique et affirment que les politiques de neutralité carbone sont injustifiées.


    05/03/2025
    Willow Tohi


    La physique montre que l'effet de réchauffement du gaz carbonique diminue à mesure que les concentrations augmentent, rendant les niveaux actuels (420 ppm) quasiment saturés. Les politiques de neutralité carbone ne feraient baisser les températures que de 0,06 °F à 0,5 °F, soit bien moins que les projections exagérées des modèles.

    Les événements météorologiques extrêmes, comme les vagues de chaleur des années 1930 aux États-Unis, se sont produits bien avant la hausse des niveaux de gaz carbonique. Les modèles climatiques gonflent les prévisions de réchauffement de 30 à 50 %, ce qui compromet leur pertinence politique. Interdire les combustibles fossiles dévasterait la production d'engrais et déclencherait des crises alimentaires. Des niveaux de gaz carbonique plus élevés (par exemple, 800 ppm) pourraient augmenter les rendements agricoles de 60 %, mais les politiques ignorent cet avantage.
    Trump devrait faire preuve de rigueur scientifique et rejeter les modèles climatiques erronés, comme ceux exclus par l'EPA. « Le zéro net est un pacte suicidaire » : la politique énergétique doit suivre les marchés, et non les agendas politiques.

    Le 28 avril, le Dr Richard Lindzen (MIT), physicien de l'atmosphère, et le Dr William Happer (Princeton), physicien, ont publié une étude révolutionnaire qui démonte le principe fondamental de la politique climatique mondiale : le gaz carbonique est le principal facteur de réchauffement catastrophique. Leurs conclusions, étayées par des décennies de recherche en physique des rayonnements, concluent que les niveaux actuels de gaz carbonique ont une capacité résiduelle minimale à piéger la chaleur et que les efforts visant à éliminer les combustibles fossiles – au cœur du programme zéro net – sont scientifiquement infondés et économiquement périlleux. Cette étude intervient dans un contexte de surveillance croissante des politiques climatiques, alors que l'administration du président américain Donald Trump s'apprête à abroger des réglementations fondées sur des modèles erronés.

    La science de la saturation en gaz carbonique : Démystifier la menace des gaz à effet de serre
    L'analyse de Lindzen et Happer repose sur un principe physique fondamental : la capacité du gaz carbonique à piéger la chaleur diminue à mesure que sa concentration atmosphérique augmente – un concept connu sous le nom de saturation. À un niveau actuel d'environ 420 parties par million (ppm), affirment-ils, un apport supplémentaire de gaz carbonique contribue de manière négligeable au réchauffement. Appliqué aux modèles climatiques, cela signifie que même l'atteinte de la neutralité carbone mondiale d'ici 2050 ne permettrait de limiter la hausse des températures que de 0,06 °F à 0,5 °F au maximum. « Les données montrent que le gaz carbonique est désormais un gaz à effet de serre faible. L'idée qu'il soit le principal moteur du changement climatique est scientifiquement indéfendable », a déclaré Happer, professeur émérite à Princeton.

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  43. Les deux hommes rejettent également les affirmations liant le gaz carbonique aux phénomènes météorologiques extrêmes, soulignant que la variabilité naturelle du climat et d'autres facteurs dominent les schémas météorologiques. Les relevés historiques de température de l'EPA elle-même, soulignent-ils, révèlent que les vagues de chaleur américaines des années 1930 ont dépassé les tendances actuelles, alors que les niveaux de gaz carbonique étaient bien inférieurs. Lindzen a critiqué les modèles climatiques pour leur surestimation constante du réchauffement de 30 à 50 %, concluant : « Ils ne sont pas seulement erronés, ils sont dangereusement trompeurs. »

    Politiques de neutralité carbone : Préoccupations économiques et agricoles
    Happer et Lindzen avertissent que les mandats de neutralité carbone pourraient dévaster les économies et la sécurité alimentaire. L'élimination des combustibles fossiles perturberait les infrastructures essentielles, notamment les engrais azotés, qui dépendent du gaz naturel et nourrissent la moitié de la population mondiale. « Plus de gaz carbonique signifie plus de nourriture », a déclaré Lindzen. Doubler le taux de gaz carbonique atmosphérique à 800 ppm pourrait augmenter les rendements agricoles mondiaux de 60 %, en particulier dans les régions sujettes à la sécheresse – mais une telle croissance serait freinée par des politiques diabolisant les émissions.

    Les analyses coûts-avantages des économistes renforcent encore davantage leur critique : pratiquement aucun bénéfice climatique mesurable ne justifie les subventions de plusieurs milliers de milliards de dollars accordées aux parcs éoliens et solaires. « Ce n'est pas de la science ; c'est une arnaque au transfert de richesse », a affirmé Happer, citant le programme américain de dépenses climatiques de 500 milliards de dollars. Pendant ce temps, les populations les plus pauvres, dépendantes d'une énergie abordable, subissent les conséquences dramatiques de la disparition des combustibles fossiles.

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  44. Le mythe du consensus et la pression sur les dissidents climatiques

    Les deux hommes remettent en question le « consensus de 97 % » souvent cité sur le changement climatique comme un outil politique. « La science ne se détermine pas par un vote majoritaire », a déclaré Happer. Citant la maxime du physicien Richard Feynman selon laquelle « il suffit d'une seule expérience pour réfuter une théorie », il a souligné l'incapacité constante des modèles climatiques à refléter les températures réelles.

    Les scientifiques qui osent remettre en question l'orthodoxie sont souvent confrontés à l'exil professionnel. La climatologue Judith Curry, ancienne présidente de Georgia Tech, a perdu financement et crédibilité après avoir rétracté une étude liant les ouragans au réchauffement climatique. De même, le prix Nobel John Clauser a vu son discours au FMI en 2023 annulé après avoir dénoncé l'alarmisme climatique. « La pression académique pour se conformer est extraordinaire », a déclaré Lindzen. « En 1990, aucun professeur du MIT ne se qualifiait de climatologue ; aujourd'hui, c'est une carrière lucrative pour quiconque est prêt à profiter des subventions. »

    Appel à l'intégrité scientifique : rejeter le « faux consensus » en matière de politiques
    Lindzen et Happer exhortent le président Trump à promulguer un décret obligeant les agences fédérales à adopter des politiques rigoureuses, fondées sur des données probantes, exemptes de toute manipulation consensuelle. Ils soulignent l'arrêt de la Cour suprême des États-Unis dans l'affaire State Farm, qui invalide les réglementations qui ignorent des données cruciales ou sélectionnent les résultats avec soin. « L'IPCC et l'EPA ont exclu des études cruciales montrant que les modèles climatiques sont irrémédiablement erronés », a déclaré Lindzen. « Ce n'est pas du scepticisme, c'est de la rigueur élémentaire. »

    Pour les scientifiques, l'enjeu est existentiel. « Le zéro émission nette est un pacte suicidaire mondial », a averti Happer, pointant du doigt la précarité énergétique croissante et l'entrave au développement. « Le gaz carbonique n'est pas un ennemi, c'est un élixir de vie. Laissons les marchés, et non les politiques, choisir notre avenir. »

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  45. Un tournant pour la politique climatique : les preuves plutôt que l'inquiétude

    Alors que les gouvernements s'empressent de respecter les engagements de l'Accord de Paris, la critique de Lindzen et Happer révèle un paradigme en crise. Leur focalisation sur la saturation en gaz carbonique et les impacts économiques remet en question le cadre même de la réglementation environnementale. Que les décideurs politiques tiennent compte de leur appel à la rigueur ou s'accrochent au consensus façonnera non seulement l'action climatique, mais aussi l'avenir de milliards de personnes qui dépendent d'une énergie abordable. « La méthode scientifique survit », a conclu Lindzen. « La vérité survit toujours. »

    Sources include:

    ClimateDepot.com
    Clintel.org
    TheEpochTimes.com

    https://www.naturalnews.com/2025-05-03-prominent-climate-scientists-challenge-catastrophic-warming-claims.html

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  46. La doyenne de nos casseroles fête ses 100 ans, Le Creuset fait plus que jamais recette


    France-Soir avec AFP
    le 03 mai 2025 - 11:55


    Grand classique des foyers français, elle fête ses 100 ans, Le Creuset, cette star des réseaux sociaux, vend désormais la grande partie de ses produits à l'étranger, notamment aux États-Unis où les droits de douane compliquent la donne.

    Sur TikTok, des vidéos de fans de Le Creuset totalisent régulièrement plusieurs millions de vues. Et la série sur Netflix de Meghan, l'épouse du prince Harry, vient de lui offrir une nouvelle vitrine mondiale.

    Mais l'histoire commence loin du numérique, à Fresnoy-le-Grand, modeste bourg de l'Aisne, dans l'usine historique Le Creuset, fondée par deux industriels belges en 1925.

    Dans un four électrique géant appelé "creuset", deux tonnes de fonte montent à 1 550 °C, la température de fusion pour cet alliage de fer et de carbone.

    Le liquide aveuglant, plus brûlant que de la lave, est déversé dans un creuset de transfert, acheminé automatiquement sur un rail.

    La fonte est ensuite coulée en quelques secondes dans des moules uniques en sable, façonnés par des modèles en métal, un pour chaque ustensile : cocotte, terrine ovale, faitout, plancha rectangulaire...

    Ces moules se cassent ensuite sur une ligne de convoyage vibrante, révélant les produits à l'état brut. Les restes de fonte et le sable sont réinjectés dans le processus de fabrication.

    "45 % de notre fonte provient de l'usine", explique Frédéric Sallé, le directeur du site. Tout le sable est réemployé pour former de nouveaux moules, un circuit fermé indispensable, car l'usine en consomme 70 tonnes par heure.

    Après avoir été meulés par des robots (eh oui !), puis décapés en les bombardant de micro-billes en acier, les ustensiles sont enduits d'émail, un mélange de verre, quartz, argile, eau et colorants, avant une vitrification à près de 800 °C.

    Des chiffres gardés bien secrets

    Au-delà de la "volcanique", sa célèbre teinte orange d'origine, Le Creuset a désormais une "centaine de couleurs" dans sa palette.

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  47. Ce foisonnement de formes et de couleurs est un défi industriel mais "fait vraiment la force et l'ADN de la marque" estime M. Sallé.

    Le groupe reste secret sur ses ventes et bénéfices. À peine apprend-on que plus de 95 % de ses produits sont vendus hors de France, dans plus de 80 pays.

    Alors qu'elle végétait, la marque est rachetée en 1988 par Paul van Zuydam, un Britannique d'origine sud-africaine. Sous son aile, le groupe dope sa présence mondiale et se positionne sur le haut de gamme.

    Si la fonte émaillée "made in France" demeure son cœur de métier, avec des prix atteignant plusieurs centaines d'euros, Le Creuset s'est diversifié avec des produits plus abordables fabriqués à l'étranger, comme la céramique en Thaïlande.

    Le groupe compte 575 boutiques dans le monde, ses ventes en ligne ont explosé depuis la pandémie, et continuent de croître fortement.

    US, un marché clef sur fond de taxe

    "La marque va très bien, à peu près partout dans le monde" et "on progresse dans chacun de nos réseaux de distribution" assure Marie Gigot, directrice Le Creuset pour la France et le Bénélux.

    Les États-Unis sont un marché clé du groupe. De quoi être sérieusement menacé par l'augmentation des droits de douane américains ?

    Pour Nick Stene, analyste chez Euromonitor International, les clients de la marque, des foyers aisés, "sont les derniers à souffrir" face à une augmentation de prix.

    "La catégorie des articles ménagers a progressé de 4,5 %" par an dans le monde depuis 2019, "et dans ce secteur, Le Creuset a été l'un des plus performants", confirme l'analyste à l'AFP.

    Le "bien-être est la principale tendance de fond stimulant la croissance dans le secteur de la maison", relève-t-il. Une notion qui porte Le Creuset, dont les produits phares évitent les substances polluantes comme les PFAS.

    "Pour nombre d'utilisateurs des réseaux sociaux, prouver son expertise culinaire passe par posséder un produit Le Creuset, puis démontrer (...) qu'ils savent l'utiliser correctement", observe encore M. Stene.

    https://www.francesoir.fr/lifestyle-gastronomie/la-doyenne-de-nos-casseroles-fete-ses-100-ans-le-creuset-fait-plus-que-jamais

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  48. l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique dû au gaz carbonique n’est pas étayée et elle est éclipsée par des facteurs naturels


    le 3 Mai 2025
    par pgibertie


    @AssoClimatoReal
    Les émissions humaines de #gaz carbonique qui ne représentent que 4 % du cycle annuel du carbone, sont négligeables par rapport aux facteurs naturels tels que les rétroactions de température et la variabilité solaire 👇https://climato-realistes.fr/wp-content/uploads/2025/04/SCC-Grok-3-Review-V5-1-fr.pdf

    L' Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) attribue la variabilité climatique observée principalement aux émissions anthropiques de gaz carbonique, affirmant que ces émissions ont entraîné un forçage radiatif net d’environ 1 Wm-² depuis 1750, ce qui s’est traduit par une hausse de la température mondiale de 0,8 à 0,5°C. 1.1°C.

    Cette conclusion repose en grande partie sur des ensembles de données ajustées et sur les résultats des modèles climatiques mondiaux (MCG) dans le cadre du projet de comparaison des modèles couplés (CMIP).

    Toutefois, cette étude procède à une évaluation rigoureuse de ces affirmations en les juxtaposant à des données d’observation non ajustées et en synthétisant les conclusions de la littérature récente évaluée par les pairs.

    Notre analyse révèle que les émissions humaines de gaz carbonique, qui ne représentent que 4 % du cycle annuel du carbone, sont négligeables par rapport aux flux naturels, les signatures isotopiques et les données relatives au temps de résidence indiquant une rétention atmosphérique à long terme négligeable.

    En outre, les modèles CMIP3 (2005-2006), CMIP5 (2010-2014) et CMIP6 (2013-2016) ne parviennent pas à reproduire les trajectoires des températures observées et les tendances de l’étendue de la glace de mer, affichant des corrélations (R²) proches de zéro par rapport aux relevés non ajustés.

    Une faille critique apparaît dans le fait que le GIEC s’appuie sur une seule reconstruction de l’irradiation solaire totale (TSI) à faible variabilité, malgré l’existence de 27 alternatives viables, où les options à plus forte variabilité s’alignent étroitement sur le réchauffement observé – lui-même exagéré par les ajustements de données.

    Nous concluons que l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique dû au gaz carbonique n’est pas étayée empiriquement et qu’elle est éclipsée par des facteurs naturels tels que les rétroactions de température et la variabilité solaire, ce qui ne nécessite pas une réévaluation fondamentale des paradigmes climatiques actuels.

    https://pgibertie.com/2025/05/03/lhypothese-du-rechauffement-climatique-anthropique-du-au-co%e2%82%82-nest-pas-etayee-et-elle-est-eclipsee-par-des-facteurs-naturels/

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    1. Mais QUE SONT CES CONNERIES SUR LE GAZ CARBONIQUE ??!

      Le gaz carbonique est un très très rare (0,041 % de notre atmosphère. Azote 78 % Oxygène 21%) et il est le gaz le plus lourd de tous avec ses 1,8 gr/litre (air ambiant 1,2 gr, oxygène 1,4 gr/l.). De plus le gaz carbonique est UN GAZ FROID ! Responsable des gelées ! il ne peut donc être 'un gaz réchauffiste' !! Il se détruit (n'existe plus) à une température supérieure à 30,9°C. Il ne peut donc pas être expiré de nos poumons à 37°C ni sortir des pots d'échappement ou cheminées d'usines !

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  49. Le passage à la Real ID pourrait en réalité augmenter le nombre de non-citoyens votant illégalement


    Par Allan Stevo
    3 mai 2025


    Certains affirment que la mise en œuvre de la Real ID empêchera les non-citoyens de voter aux élections américaines. C'est une fausse affirmation. Un citoyen américain et un non-citoyen peuvent tous deux obtenir une Real ID. Par exemple, si un non-citoyen présente l'un des trois documents suivants, il a droit à une Real ID (carte d'identité) au même titre qu'un citoyen américain. Ces trois documents sont les suivants :

    1.) Passeport étranger et visa américain — La combinaison d'un passeport étranger et d'un visa américain valide vous permettra d'obtenir une Real ID même si vous n'êtes pas citoyen américain. Ce passeport peut provenir de presque n'importe quel pays du monde, et un passeport pour apatrides de la Convention de Genève fera également l'affaire. En effet, si nous nous appuyons sur la Real ID pour légitimer nos élections, même les apatrides pourront voter aux élections américaines, ce qui ne constitue pas une amélioration par rapport à la situation actuelle.

    2.) Carte verte — Une carte de résident permanent vous permettra d'obtenir une véritable carte d'identité si vous n'êtes pas citoyen américain. C'est ce document que l'on appelle communément « carte verte ». Dès les années 1940, le gouvernement américain a fourni un document de couleur verte, d'où le terme « carte verte ».

    3.) EAD — Un document d'autorisation de travail (EAD) délivré par le Département de la Sécurité intérieure vous permettra d'obtenir une véritable carte d'identité si vous n'êtes pas citoyen américain.

    Le nombre de personnes détenant ces trois documents pourrait avoisiner les 20 millions. Permettez-moi de détailler ces chiffres.

    Si la véritable carte d'identité est mise en œuvre avec succès, quelque 20 millions de personnes pourront voter illégalement avec une véritable carte d'identité !

    Il est difficile de déterminer des chiffres précis pour la première catégorie ci-dessus. Il ne semble pas exister de décompte public définitif du nombre de détenteurs de passeports étrangers titulaires de visas américains valides. Ils se comptent par millions. Ce nombre fluctue constamment et le nombre de visas accordés varie chaque année. Cela représenterait des millions de personnes appartenant à la première catégorie et pouvant légalement obtenir une Real ID.

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  50. Concernant la deuxième catégorie, le Département de la Sécurité intérieure rapporte qu'en mars 2025, les États-Unis comptaient près de 13 millions de titulaires de cartes vertes. Ces titulaires sont éligibles à une Real ID.

    Concernant la troisième catégorie, environ 2 millions de personnes supplémentaires possèdent une autorisation de travail du Département de la Sécurité intérieure, mais ne possèdent pas de carte verte.

    Pour une estimation très générale du nombre de personnes détenant ces trois pièces d'identité, on estime que 20 millions de personnes pourraient légalement obtenir une Real ID chaque année, sans être citoyennes américaines. Compte tenu de la nature du recensement américain et des flux migratoires importants qui ont récemment touché le pays, il est difficile de connaître avec précision la population américaine actuelle. Celle-ci pourrait se situer entre 340 et 350 millions, voire plus. Cela signifierait que les non-citoyens éligibles à une carte d'identité réelle représenteraient environ 6 % de la population.

    Puisque nous examinons spécifiquement l'impact de la carte d'identité réelle sur le vote, plutôt que de considérer le chiffre de 20 millions par rapport à la population totale, comparons plutôt ces 20 millions de non-citoyens légaux au nombre total d'électeurs inscrits.

    S'appuyer sur la carte d'identité réelle pourrait AUGMENTER le nombre d'électeurs illégaux par rapport à ce qui se produit déjà !

    Obtenir un nombre exact d'électeurs dûment inscrits comporte également ses propres difficultés : incertitudes liées aux doublons, aux électeurs décédés, aux bases de données décentralisées et à d'autres problèmes. À titre d'estimation approximative, le nombre d'électeurs inscrits aux États-Unis pourrait se situer entre 150 et 160 millions. Si les problèmes de bases de données mentionnés ci-dessus étaient correctement résolus, ce nombre serait probablement nettement inférieur, mais utilisons ces chiffres afin d'être prudents dans nos estimations. Cela signifie que si toutes les personnes éligibles à une carte Real ID recevaient une carte Real ID, les bénéficiaires de cette carte pourraient représenter environ 12 à 13 % des électeurs inscrits du pays.

    Nous ignorons combien d'électeurs non citoyens votent illégalement. La plupart des responsables des États semblent peu intéressés à déterminer ce chiffre avec précision. Il pourrait s'agir de 1 %, de 5 % ou de 10 % des électeurs inscrits. Nous l'ignorons tout simplement. Les estimations varient considérablement. En l'absence de statistiques précises sur le nombre de non-citoyens qui votent illégalement, il est tout à fait possible que l'adoption de la carte Real ID comme condition de vote ait pour effet d'augmenter le nombre d'électeurs non citoyens qui votent illégalement. Cela leur confèrerait même une fausse légitimité, d'autant plus que la carte Real ID a été largement présentée comme une solution au vote illégal.

    Si seulement 3 % des électeurs américains sont des non-citoyens votant illégalement, et que la carte d'identité réelle devient la norme pour voter, il est tout à fait possible que nous nous retrouvions avec 6 %, voire 12 % des électeurs non-citoyens présentant une carte d'identité réelle pour voter.

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  51. C'est un enjeu majeur. À lui seul, il constitue une raison suffisante pour annuler le programme Real ID. Il ne devrait certainement pas être présenté comme un élément clé pour des élections plus sûres.

    Rassurez-vous… Le public américain est assuré que la future législation permettra à Real ID de mieux lutter contre la fraude électorale.

    En réponse à ce que j'ai dit, un critique avisé et attentif à l'actualité pourrait dire : « Lorsque certaines lois actuellement proposées seront adoptées, Real ID sera efficace.» C'est un excellent exemple d'« espoir » – un espoir mal placé, voire illusoire. J'ai entendu de telles promesses de la part de législateurs à de nombreuses reprises, et il serait prudent de ne pas accorder trop d'importance à un projet de loi adopté par un organe législatif avant qu'il ne soit effectivement adopté et promulgué.

    De nombreux projets de loi ne deviennent jamais des lois, seulement une infime partie – à peine quelques-uns chaque année. À tout le moins, en signe de bonne foi envers le peuple américain, si l'objectif de Real ID est de prévenir la fraude électorale, le projet de loi visant à y parvenir devrait être adopté avant son entrée en vigueur.

    L'attitude désinvolte d'un « attendons de voir ce qui se passe » n'est pas celle qu'un Américain devrait adopter sur un sujet aussi important que l'adoption d'une carte nationale d'identité et de sa base de données. De plus, cela ne change rien aux nombreuses autres lacunes du programme Real ID, que j'aborderai ultérieurement.

    Le problème des élections américaines est bien plus vaste qu'une simple identification

    Pour protéger les élections, des problèmes plus fondamentaux doivent être résolus. Parmi ceux-ci figurent le retour au vote papier, le retour au vote le jour même, le retour au vote en personne, la suppression du problème des envois massifs de bulletins de vote par correspondance par défaut, la suppression de la nouvelle facilité d'inscription des électeurs par correspondance apparue au cours des trois dernières décennies, et le retour à un système de résultats électoraux vérifiables. Ce sont là des problèmes fondamentaux du système électoral américain apparus au cours des trois dernières décennies.

    Aucun de ces problèmes fondamentaux ne justifie l'existence d'une carte d'identité réelle, et encore moins son exigence. Tous ces problèmes fondamentaux peuvent être résolus en revenant aux systèmes et processus simples utilisés dans de nombreuses régions des États-Unis il y a à peine trente ans, et qui fournissaient de manière fiable les résultats électoraux, circonscription par circonscription, le soir même, ou, à tout le moins – dans les situations les plus désespérées – avant le réveil du public. Je le sais pour avoir vécu de nombreuses élections comme celle-ci et, dans mon enfance, j'ai même été le garçon de courses envoyé livrer « la bande », avec les résultats des élections par circonscription.

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  52. Il y a trente ans, la fraude électorale était possible, mais nos élections étaient relativement impeccables comparées à celles d'aujourd'hui. La façon dont les élections sont organisées aux États-Unis est ridicule. À titre d'exemple, la France et la Russie – deux pays où j'ai personnellement suivi le processus électoral – ont des politiques électorales plus strictes que les États-Unis. Ces politiques ne sont pas toujours respectées, mais dans les deux cas, les règles en vigueur le jour du scrutin sont bien meilleures que celles des États-Unis. Ce n'était pas le cas il y a 30 ans. Malheureusement, les États-Unis sont devenus un pays où les élections peuvent être systématiquement et à distance volées. Ce problème est tel que le système électoral américain n'est plus fiable, et il ne le sera pas tant que les problèmes fondamentaux mentionnés ci-dessus ne seront pas résolus. L'Amérique est passée du statut de leader mondial à celui de république bananière.

    Real ID détourne l'attention du véritable travail à accomplir et, contrairement aux discours des médias et du gouvernement, sa mise en œuvre n'apporte aucun bénéfice à ces enjeux fondamentaux.

    Real ID s'appuie simplement sur les mêmes documents pour prouver la citoyenneté que ceux requis pour voter, sauf que Real ID fait bien pire, puisqu'il offre une carte Real ID à 20 millions de non-citoyens. Si quelqu'un plaide pour la mise en œuvre de Real ID comme solution à la fraude électorale, il faut sérieusement s'interroger sur la fiabilité de celui qui avance cet argument.

    Il est injuste de qualifier la possibilité que Real ID aggrave le problème de « conséquence imprévue ».

    Il est essentiel de reconnaître que l'adoption de Real ID n'a aucune incidence sur le vote des non-citoyens. Real ID pourrait aggraver les problèmes de vote des non-citoyens. Personne ne devrait prétendre de manière plausible que Real ID réduira le nombre d'électeurs non-citoyens. La personne qui affirme cela est soit mal informée, soit menteuse, et ne devrait donc pas être considérée comme fiable sur cette question. Encore une fois, l'adoption actuelle de Real ID pourrait bien accroître le nombre de non-citoyens qui votent illégalement. Je ne prétends pas que cette augmentation du vote illégal avec Real ID soit une certitude, ni même une probabilité, mais elle mérite d'être prise en compte.

    Nombreux sont ceux qui parlent des « conséquences imprévues » de l'action gouvernementale. Ce terme est probablement utilisé de manière trop généreuse et trop fréquente. Ce que je décris ici ne doit pas être considéré comme une conséquence imprévue. Toute personne raisonnable qui s'efforce d'examiner le programme Real ID et ses effets probables sur les élections américaines peut à peine effleurer la surface et constater que Real ID est susceptible de causer ce problème, et peut-être même probable. Il faut agir avec négligence ou malveillance pour passer à côté de ce fait. Il faut vouloir ignorer la vérité pour passer à côté. Il ne faut pas parler de conséquence imprévue, mais de quelque chose de bien moins généreux.

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  53. Le président américain a pour mandat de corriger les failles systémiques qui favorisent la fraude électorale, mais malheureusement, la Real ID n'est pas la solution de facilité qu'elle est présentée.

    Notre système électoral joue un rôle important aux États-Unis. La véracité des élections est essentielle à la prise de décision, à la perception que nous avons de nous-mêmes et à la perception que le reste du monde a de nous. Si le gouvernement américain a connaissance de fraudes électorales, il est crucial que le président Trump intervienne pour protéger les élections américaines avant les élections de mi-mandat de 2026 et l'élection présidentielle de 2028. Il est particulièrement bien placé pour jouer ce rôle, ce qui aura un impact sur les Américains de toutes tendances politiques et pour les décennies à venir. Il a ce mandat.

    La Real ID n'est pas la solution. Elle risque même de constituer une distraction considérable. Les distractions sont un moyen par lequel les ennemis du peuple américain peuvent agir pour saboter subtilement les résultats des élections de 2024. Là encore, la Real ID ne se contente pas de faire diversion, elle risque également d'aggraver la situation sur ce sujet crucial.

    Étant donné l'importance de ce sujet, nous ne devrions pas nous laisser distraire par des projets inefficaces et distrayants comme Real ID. Le président américain doit prendre des mesures décisives pour mettre fin à cette terrible approche de lutte contre la fraude électorale, basée sur Real ID, et doit faire appel à ses conseillers les plus proches pour élaborer une feuille de route plus rigoureuse afin de lutter contre les élections frauduleuses.

    https://www.lewrockwell.com/2025/05/allan-stevo/switching-to-real-id-may-actually-increase-the-number-of-non-citizens-voting-illegally/

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