Nous avons désormais des preuves claires que les injections d’ARNm contre le COVID-19 ont dévasté la capacité de reproduction de l’humanité

le 26 juin 2025

 par pgibertie

 

avant l’autorisation, aucun essai clinique n’a évalué la réserve ovarienne. Les essais de phase III (par exemple, Pfizer, NEJM, 2020) se sont limités à des données générales sur les grossesses sans analyser l’AMH ou le CFA.


🅻🅴 🅲🅾🅻🅻🅴🅲🆃🅸🅵

@tatiann69922625

Nous avons désormais des preuves claires que les injections d’ARNm contre le COVID-19 ont dévasté la capacité de reproduction de l’humanité.😡⬇️

@ouestmoncycle

Dans les modèles animaux, ils détruisent > 60 % de l’approvisionnement limité en ovules des femelles.

https://mdpi.com/2076-393X/13/4/345

Dans les données humaines (n = 1,3 M), les femmes vaccinées ont environ 33 % de grossesses réussies en moins que les femmes non vaccinées.

https://preprints.org/manuscript/202504.2487/v1

Impact des vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 sur la réserve ovarienne

par Enes Karaman1,*,Adem Yavuz2 ,Erol Karakas3ORCID ,Esra Balcioglu4 ,Busra Karaca5 ,Hande Nur Doganay6 ,Koray Gorkem Sacinti7ORCID etOrhan Yildiz8

1

Département d’obstétrique et de gynécologie, Faculté de médecine, Université Omer Halisdemir de Nigde, 51240 Nigde, Turquie

2

École des sciences de la santé, Université de Cappadoce, 50400 Nevsehir, Turquie

3

Op. Dr. Erol Karakas Clinique de gynécologie-obstétrique-esthétique génitale et santé sexuelle, 38140 Kayseri, Turquie

4

Département d’histologie et d’embryologie, Faculté de médecine, Université Erciyes, 38030 Kayseri, Turquie

5

Centre de bonnes pratiques cliniques et de recherche Hakan Cetinsaya, 38030 Kayseri, Turquie

6

Clinique d’obstétrique et de gynécologie, hôpital universitaire de formation et de recherche Omer Halisdemir de Nigde, 51100 Nigde, Turquie

7

Clinique d’obstétrique et de gynécologie, Hôpital de formation et de recherche d’Aksaray, 68200 Aksaray, Turquie

8

Département de microbiologie clinique et des maladies infectieuses, Faculté de médecine, Université Erciyes, 38030 Kayseri, Turquie

*

Auteur à qui la correspondance doit être adressée.

Vaccins 2025 , 13 (4), 345; https://doi.org/10.3390/vaccines13040345

Soumission reçue : 30 janvier 2025 / Révisé : 8 mars 2025 / Accepté : 21 mars 2025 / Publié le 24 mars 2025

(Cet article fait partie du numéro spécial Vaccins COVID : conception, développement et études de réponse immunitaire : 2e édition )

Objectifs : Cette étude visait à élucider les effets des vaccins à ARN messager (ARNm) et à coronavirus inactivé 2019 (COVID-19) sur l’histologie ovarienne et la réserve chez le rat. Méthodes : Trente rates albinos Wistar, âgées de 16 à 24 semaines, ont été réparties aléatoirement en trois groupes ( n = 10) : groupe témoin, groupe vaccin à ARNm et groupe vaccin inactivé.

Chaque groupe vacciné a reçu deux doses (au jour 0 et au jour 28) à des doses équivalentes à celles de l’homme.

Quatre semaines après la deuxième vaccination, des tissus ovariens ont été prélevés pour analyse. Résultats : Une analyse immunohistochimique a été réalisée pour évaluer l’expression du facteur de croissance transformant bêta-1 (TGF-β1), du facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF), de la caspase-3 et de l’hormone anti-Müllerienne (AMH) dans les follicules ovariens.

Les deux vaccins ont induit des augmentations significatives de l’expression de TGF-β1, VEGF et caspase-3, avec des effets plus prononcés dans le groupe vacciné à ARNm. Inversement, l’expression d’AMH dans les cellules de la granulosa des follicules primaires, secondaires et antraux a montré des réductions marquées ( p < 0,001).

Le nombre de follicules primordiaux, primaires et secondaires a diminué significativement dans le groupe vacciné inactivé par rapport aux témoins et davantage dans le groupe vacciné à ARNm par rapport au groupe inactivé ( p < 0,001).

De plus, le groupe vacciné à ARNm a montré une diminution des follicules antraux et préovulatoires et une augmentation des follicules atrétiques par rapport aux autres groupes ( p < 0,05). Le taux sérique d’AMH a diminué avec la vaccination à ARNm par rapport aux groupes témoin et inactivé.

Conclusions : Nos résultats suggèrent que les vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 peuvent avoir un impact négatif sur la réserve ovarienne chez le rat, principalement par une accélération de la perte folliculaire et des altérations des voies apoptotiques au cours de la folliculogenèse. Compte tenu de ces observations chez le rat, des recherches plus approfondies sur les effets des vaccins sur la réserve ovarienne humaine sont nécessaires.

Il a été publié par Manniche et ses collègues dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine, une revue légitime à comité de lecture, respectée pour son intérêt pour la sécurité des patients et la pharmacovigilance. https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/09246479251353384

https://pgibertie.com/2025/06/26/nous-avons-desormais-des-preuves-claires-que-les-injections-darnm-contre-le-covid-19-ont-devaste-la-capacite-de-reproduction-de-lhumanite/

60 commentaires:

  1. Nouvelle campagne de peur autour de la vague de COVID : un échec cuisant…


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 26 JUIN 2025 - 03:45
    Rédigé par Rebekah Barnett via The Brownstone Institute,


    À l'instar de la franchise Marvel, avec ses épisodes et ses spin-offs illimités, une nouvelle campagne de peur autour de la Covid est en cours en Australie.

    À l'instar de la franchise Marvel, le contenu de divertissement existe principalement pour créer une demande de produits dérivés.

    Contrairement à la plupart des films Marvel, cette dernière campagne de peur autour du virus se révèle être un échec cuisant.

    L'accroche : un nouveau sous-variant « hautement contagieux » du Covid Omicron, baptisé NB.1.8.1, est apparu en ville.

    Fidèles à une tradition bien établie, les autorités sanitaires, les experts et les médias misent sur la multiplication des cas, alors que le dernier variant « déferle sur le pays », avec ce que j'estime être la douzième vague de Covid en Australie depuis le début de la vague d'alertes pandémiques en 2020.

    Exposé : « Selon l'Université Griffith, le variant NB.1.8.1 représente plus de 40 % du total des cas de COVID testés dans l'État de Victoria, environ 25 % en Australie-Occidentale et en Nouvelle-Galles du Sud, environ 20 % dans le Queensland et moins de 10 % en Australie-Méridionale », rapporte ABC.

    « Il existe des centaines de souches différentes d'Omicron, et le nouveau sous-variant NB.1.8.1 entraîne une hausse des infections et des hospitalisations, notamment en Asie et en Australie-Occidentale », rapporte le Daily Mail.

    Note du narrateur : Le nombre de cas et les hospitalisations sont bien dans la fourchette normale en Australie-Occidentale (WA), et personne n’a été admis en soins intensifs pour cause de Covid depuis des mois, selon les derniers rapports du ministère de la Santé de WA.

    - voir docs sur site -

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  2. Source : Virus WAtch, 11 mai 2025, WA Health.

    Source : Virus WAtch, 11 mai 2025, WA Health.

    Les statistiques nationales ne présentent rien d’anormal non plus.

    Source : Rapport australien de surveillance respiratoire – du 5 au 18 mai 2025.

    Source : Rapport australien de surveillance respiratoire – du 5 au 18 mai 2025.

    Cependant, ces informations contextuelles ne doivent pas perturber le déroulement du récit.

    Principales conséquences : Retour aux cas, aux cas, aux cas. C’est « presque partout », selon ABC. « Les médecins s’attendent à une nouvelle flambée des cas », c’est pourquoi « les experts encouragent vivement la population à se faire vacciner contre la COVID. »

    Source : ABC

    La vaccination à outrance est la seule issue !

    Escalade climatique : Mais les experts sont furieux que les Australiens ne vaccinent pas suffisamment. Espèces d’Australiens malhonnêtes ! Au cours des six derniers mois, seulement 6,6 % des adultes ont reçu un vaccin contre la Covid, selon des chiffres fédéraux récents, malgré le fait que les vaccins soient « gratuits », c’est-à-dire déjà financés par vos impôts.

    Source : Daily Mail

    Réponse à la crise : Notre protagoniste prend des mesures pour faire face à la menace. Après tout, le gouvernement doit adapter ses produits, et le publireportage sur les vaccins doit donc continuer à faire le buzz.

    Le ministre de la Santé, Mark Butler, fait courageusement le tour des médias, implorant toute personne pouvant obtenir un rappel de « réfléchir sérieusement » à la suite de ce rappel.

    Source : news.com.au

    Héros chancelant : Malheureusement pour Butler, les rappels ne sont plus recommandés pour de nombreuses cohortes en Australie, car le rapport bénéfice/risque n’est pas favorable pour la plupart des gens.

    Les recommandations australiennes actuelles recommandent un rappel tous les six mois pour les adultes de plus de 75 ans, tandis que les personnes âgées de 65 à 74 ans, ainsi que les adultes sévèrement immunodéprimés de plus de 18 ans, devraient en recevoir un chaque année. En dehors de cette période, les rappels ne sont pas recommandés, mais sont accessibles à tous les adultes australiens et aux enfants sévèrement immunodéprimés.

    Coup de théâtre : les experts admettent que si tout le monde a besoin d'un rappel, c'est parce que la vaccination contre un coronavirus à mutation rapide n'est pas très efficace.

    « Le virus évolue progressivement, de sorte que certaines de ses protéines sont légèrement différentes, ce qui lui permet d'éviter les anticorps actuellement présents dans la population », explique l'un d'eux.

    « Dans ce cas, nous avons des mutations dans la protéine Spike qui semblent faciliter la fixation du virus à nos cellules et lui permettre de mieux échapper à nos anticorps », conclut un autre.

    Montage flashback : Tous les experts qui ont mis en garde contre l’empreinte immunitaire, l’immunosuppression, la tolérance immunitaire, le rôle des vaccins dans l’apparition de nouveaux variants, les maladies aggravées associées aux vaccins (MAAV) et l’inutilité générale de la vaccination contre les virus respiratoires.

    Diffuseur lent : un article évalué par des pairs, co-écrit par le Dr Anthony Fauci, conclut que « les vaccins offrant une protection durable contre les virus respiratoires muqueux non systémiques, associés à des taux de mortalité élevés, ont jusqu’à présent échappé aux efforts de développement de vaccins.»

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  3. Coup de théâtre : En bons laquais qu’ils sont, les médias s’emparent de l’histoire du nouveau variant, ce qui a suscité un tollé général.

    Un sondage en ligne réalisé par Murdoch Media indique que les trois quarts de leurs lecteurs ne sont tout simplement pas intéressés.

    Dénouement : Apathie collective. L’échec de cette dernière campagne de peur n’empêchera probablement pas une treizième campagne de peur, car le gouvernement est généralement insensible aux réactions du marché, et ses investissements et engagements d’achat dans l’ARNm influencent ses décisions.

    Les médias continueront de publier sans discernement les communiqués de presse gouvernementaux, à condition qu’ils génèrent des clics – MDR ou non.

    Attendez-vous au prochain épisode juste à temps pour la vague estivale de Covid.

    Republished from the author’s Substack

    https://www.zerohedge.com/covid-19/new-covid-wave-scare-campaign-massive-flop

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  4. Vaccins multiples en une fois


    Peter A. McCullough, MD, MPH
    26 juin 2025

    Questions et préoccupations - Page 6 de 9 | Toutes les pages


    De nombreux vaccins sont recommandés dès le début de la vie pour protéger les jeunes enfants contre les maladies infectieuses dangereuses. Différents vaccins pour enfants peuvent être administrés en même temps.
    Pourquoi c'est important
    Faits

    La vaccination précoce est importante pour prévenir les maladies. Les enfants reçoivent des injections (vaccins) à un jeune âge car c'est à ce moment-là qu'ils courent le plus grand risque de tomber malade ou de mourir s'ils contractent ces maladies.

    Les vaccins sont la meilleure défense contre les infections qui peuvent avoir des complications graves telles que la pneumonie, la méningite, le cancer et même la mort. Les CDC recommande des vaccinations avant l'âge de 2 ans pour protéger les enfants contre 14 maladies infectieuses : rougeole, oreillons, rubéole (rougeole), varicelle (popule), hépatite A, hépatite B, diphtérie, tétanos, coqueluche, hémophilus influenzae de type b (Hib), grippal, grippe (flûte), rotavirus et pneumococcie.

    Les nouveau-nés sont immunisés contre certaines maladies parce qu'ils ont des anticorps qu'ils reçoivent de leur mère, généralement avant leur naissance. Cependant, cette immunité dure quelques mois. La plupart des bébés ne contractent pas d'anticorps protecteurs contre la diphtérie, la coqueluche, la poliomyélite, le tétanos, l'hépatite B ou l'Hib de leur mère. C'est pourquoi il est important de vacciner un enfant avant qu'il ne soit exposé à une maladie.

    Les vaccins contiennent des versions affaiblies ou tuées des germes qui sont à l'origine d'une maladie. Ces éléments de vaccins, et d'autres molécules et micro-organismes qui stimulent le système immunitaire, sont appelés « antigènes ». Les bébés sont exposés à des milliers de germes et d'autres antigènes dans l'environnement depuis leur naissance. Lorsqu'un bébé naît, son système immunitaire est prêt à répondre aux nombreux antigènes dans l'environnement et aux antigènes sélectionnés dans les vaccins.

    Avantages
    Historique

    De nombreux vaccins sont recommandés dès le début de la vie pour protéger les jeunes enfants contre les maladies infectieuses dangereuses. Différents vaccins pour enfants peuvent être administrés en même temps.
    Le saviez-vous ?

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  5. Afin de réduire le nombre de coups de feu qu'un enfant reçoit lors d'une visite médicale, certains vaccins sont proposés sous forme de vaccins combinés. Un vaccin combiné est deux vaccins différents ou plus qui ont été combinés en un seul tir. Les vaccins combinés sont utilisés aux États-Unis depuis le milieu des années 40.

    Des exemples de vaccins combinés sont : DTap (diphtérie, tétanos, coquelucheux), IPV trivalent (trois souches de vaccin poliomyélitique inactivé), ROR (rougeur, orifices, oreillons, rubéole), DTap-Hib et Hib-Hep B.

    Souvent, plus d’un coup de feu sera administré lors de la visite du même médecin, généralement dans des membres séparés (par exemple, un dans chaque bras). Par exemple, un bébé peut recevoir du DTaP dans un bras ou une jambe et un VPI dans un autre bras ou une autre jambe au cours de la même visite.

    Avantages

    Les enfants devraient recevoir leurs vaccins le plus rapidement possible pour leur fournir une protection pendant les premiers mois vulnérables de leur vie.
    Donner plusieurs coups en même temps signifie moins de visites de bureau. Cela permet aux parents d'économiser du temps et de l'argent et peut être moins traumatisant pour l'enfant.

    Ce que montre la recherche
    Faits

    Il a été démontré que l'obtention de vaccins multiples en même temps était sûre.

    Les données scientifiques montrent que l'obtention de plusieurs vaccins en même temps ne cause aucun problème de santé chronique. Un certain nombre d'études ont été réalisées pour examiner les effets de l'administration de diverses combinaisons de vaccins, et lorsque chaque nouveau vaccin est autorisé, il a été testé avec les vaccins déjà recommandés pour un enfant âgé en particulier. Les vaccins recommandés se sont avérés aussi efficaces en association qu'uniformisés. Parfois, certaines combinaisons de vaccins administrés ensemble peuvent provoquer de la fièvre, et parfois des crises fébriles; celles-ci sont temporaires et ne causent aucun dommage durable. Sur la base de ces informations, le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination et l'American Academy of Pediatrics recommandent d'obtenir tous les vaccins de routine pour l'enfance à temps.
    Faits

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  6. Le programme de vaccination recommandé par les CDC pour l'enfance garantit aux enfants la meilleure protection au cours des nombreux stades de croissance et de développement.

    Dès la naissance des bébés, ils sont exposés à de nombreuses bactéries et virus tous les jours. Manger de la nourriture introduit de nouvelles bactéries dans le corps; de nombreuses bactéries vivent dans la bouche et le nez; et un nourrisson place ses mains ou d'autres objets dans sa bouche des centaines de fois chaque heure, exposant le système immunitaire à plus de germes. Lorsqu'un enfant a un rhume, il est exposé à jusqu'à 10 antigènes, et l'exposition à la « gorge de pointe » est d'environ 25 à 50 antigènes. Chaque vaccin utilisé dans le schéma de vaccination de l'enfance a entre 1 et 69 antigènes. Un enfant qui reçoit tous les vaccins recommandés dans le schéma de vaccination de l'enfance de 2018 peut être exposé jusqu'à 320 antigènes par vaccination à l'âge de 2 ans.

    En fait, un rapport de 1994 de l'Institut de médecine, Adverse Events Associated with Childhood Vaccines, déclare: "A face à ces événements normaux, il semble peu probable que le nombre d'antigènes séparés contenus dans les vaccins infantiles représenterait une charge supplémentaire appréciable pour le système immunitaire qui serait immunosuppressive."
    Ce que fait le CDC
    Faits

    Les CDC et la FDA surveillent de près la sécurité de tous les vaccins.

    Les CDC et la FDA se sont engagés à surveiller la sécurité des vaccins. Une fois que les vaccins sont autorisés ou autorisés par la FDA pour être utilisés aux États-Unis, aux CDC, dans la FDA et dans d'autres organismes fédéraux, travaillent ensemble pour les surveiller à l'aide de plusieurs systèmes de sécurité.

    Continuez à lire :
    À propos du programme de surveillance de la sécurité des vaccins des CDC
    Sur cette page

    Pourquoi c'est important
    Avantages
    Ce que montre la recherche
    Ce que fait le CDC

    https://www.cdc.gov/vaccine-safety/about/multiples.html

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  7. L'Institut MAHA pour lutter contre la santé et la fertilité des femmes


    Louis Conte
    25 juin 2025
    Par Louis Conte, rédacteur en chef de la liberté de la santé, le rapport MAHA


    Le vendredi 27 juin, l'Institut MAHA tiendra une table ronde sur la santé des femmes et la fertilité dans la salle Crystal de l'hôtel Willard à Washington, DC.

    Grâce à quatre panels puissants, l'événement abordera les défis de santé des femmes américaines, y compris les causes profondes de l'infertilité – telles que la santé métabolique, l'exposition aux toxines, la surmédicalisation et les facteurs de style de vie.

    Au cœur de l'événement se trouve un désir de travailler avec le corps, pas contre lui.
    Debra Sheldon, vice-président de l'Institut MAHA

    « Les jeunes femmes cherchent des réponses », a déclaré Debra Sheldon, vice-présidente de l’Institut MAHA et co-anductrice de l’événement. « Ils veulent retrouver leur vitalité et leur force vitale. Il s'agit d'un moment unique pour résoudre le problème, à la racine et de manière holistique. »

    Sheldon a poursuivi : « Ce qui est profond en ce moment, c'est que nous passons d'une culture d'obéissance et d'une autorité externalisante sur nos corps à une culture de recherche et de connexion. Il y a une harmonie qui cherche à être restaurée. » Sheldon a poursuivi : « Le Secrétaire Kennedy et les dirigeants du HHS sont à l'écoute et répondent aux idées qui répondent aux normes les plus élevées en matière de santé et de réforme. Nous avons maintenant l’occasion de réformer les soins de santé d’une manière qui soutienne les mères, les bébés et les familles en bonne santé. »

    Selon le CDC, le taux de fécondité de l'Amérique est tombé à un niveau historiquement bas. En 2023, les taux de natalité des femmes âgées de 20 à 39 ans ont diminué. Même avec le déclin, accoucher par l'intermédiaire de la césarienne a augmenté pour la quatrième année consécutive à 32,4 %.

    Voici l'ordre du jour complet de la manifestation du 27 juin.

    Midi – 13h00
    Mauveurs d'information Heure 13 heures-20 heures
    Dr. Sarah E. Hill, auteur de This is Your Brain on Birth Control

    Table ronde 1 – Body Literacy and Fem Tech [1h00 - 14h00

    Animatrice: Emma Waters, Heritage Foundation

    Clare Morell, Centre d'éthique et de politique publique

    Katie Vidmar, Femme naturelle et élévation

    Teresa Kenney, Hormone Genius Podcast

    Dr. Sarah E. Hill, auteur de Ceci est votre cerveau sur le contrôle des naissances

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  8. Laura Delano, auteure de Unshrunk and Founder, Inner Compass Initiative
    Laura Delano, auteure d'Unshrunk et fondatrice de Inner Compass Initiative

    Panneau 2 – Mode de vie et santé métabolique [de 2h00 - 14h45

    Animatrice: Emma Waters, Heritage Foundation

    Ginny Noce, The Women's Health RN

    Victoria Peck Gray, merveilleusement Made Nutrition

    Dr. Andrea Salcedo, DO, Loma Linda University Health

    Pam Schoenfeld, Women and Family Nutrition (Nutriment féminin et famille)

    BREAK 2:45-15:00

    Groupe d’experts 3 – Causes profondes, traitement de la restauration et consentement éclairé [3:00-3:45

    Modératrice: Debra Sheldon, Institut MAHA

    Grace Emily Stark, Natural Womanhood

    Dr. Marguerite Duane, FAITS À propos de la fécondité

    Dr. Tracey Parnell, Institut international de médecine réparatrice de la reproduction

    Dr. Patrick Yeung, Centre RESTORE pour l'endorétriose

    Table ronde 4 – Grossesse, naissance et consentement éclairé [3:45-4:30

    Modératrice: Debra Sheldon, Institut MAHA

    Kallie Fell, Centre pour la culture et la bioéthique

    Dr. Stuart Fischbein, Instincts de la naissance

    Sally Fallon Morrell, Weston A. Fondation des prix

    Adelaide Meadow, Adelaide Meadow

    Claire Dooley, renderesse documentaire et défenseur de la liberté de la santé

    16 h 30 à 17 heures - Temps social

    L'enregistrement

    https://thekennedybeacon.substack.com/p/the-maha-institute-to-tackle-womens?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=166836755&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  9. Kennedy répond fermement au manque d'objectivité du Guardian : un appel ferme pour la transparence sur le thiomersal dans l’intérêt des patients


    Le Collectif Citoyen, France-Soir
    le 25 juin 2025 - 14:09


    Ce mercredi 25 juin 2025, Robert F. Kennedy Jr., Secrétaire américain de la Santé et des Services humains, a publié un message détaillé sur X, répondant directement à un article du Guardian. Intitulé « Le panel des vaccins du CDC va examiner l’ingrédient que RFK Jr vise à supprimer », cet article du Guardian affirme que le thiomersal/thimerosal, un conservateur à base d’éthylmercure utilisé dans certains vaccins, est sûr. Kennedy conteste cette position avec une mise au point rigoureuse, s’appuyant sur des données scientifiques et réglementaires, et appelle à une transparence accrue face à ce qu’il perçoit comme une information polluée par des influences pharmaceutiques. Voici un examen factuel de cette réponse, qui illustre sa détermination à confronter les narratifs médiatiques et à promouvoir une science indépendante.

    C’est une véritable démonstration de journalisme que Kennedy donne au Guardian.

    Le Guardian défend une sécurité incontestée

    Dans l’article publié le 20 juin 2025, le Guardian affirme que le thimérosal, présent dans certains vaccins antigrippaux, est sans danger.

    Citant un site de vérification des faits de l’Académie américaine de pédiatrie (AAP), le journal soutient que cet ingrédient a été retiré des vaccins infantiles de routine et reste sûr, sans toutefois citer d’études révisées par des pairs. Le Dr Paul Offit, un des membres limogés par Kennedy du Comité consultatif (ACIP) cité dans l’article, accuse Kennedy de chercher à rendre les vaccins « moins abordables, moins accessibles et plus redoutés », renforçant le narratif défendu par les médias mainstream, qui rejette les critiques comme des théories conspirationnistes.

    Mais cette position repose davantage sur la confiance accordées aux institutions comme le CDC et l’AAP (Académie Américaine de Pédiatrie) sans détailler les bases scientifiques de ces affirmations.

    Kennedy fait une mise au point avec des données scientifiques remettant en cause la propagande du Guardian

    Dans sa réponse, Kennedy conteste l’absence de preuves primaires dans l’article du Guardian dénonçant « une capture réglementaire » en mettant en avant des faits précis. Il explique que le thimérosal, qui contient environ 50 % de mercure en poids, est toujours utilisé dans les vaccins antigrippaux multidoses recommandés pour les femmes enceintes et les enfants, exposant potentiellement ces groupes à une charge cumulative d’environ 500 microgrammes d’éthylmercure de la naissance à 18 ans – soit près du double de la charge historique provenant de l’ensemble des vaccins infantiles.

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  10. Il souligne également l’absence d’études de sécurité humaine spécifiques, appuyant cette affirmation sur le témoignage de 2001 de William Egan, alors directeur de l’Office de recherche et de revue des vaccins de la FDA, qui a reconnu devant le Congrès l’absence de telles études.

    Kennedy étaye sa position avec pas moins de 28 données scientifiques et réglementaires :

    Des études sur la neurotoxicité : des recherches accessibles sur PubMed et PubChem identifient le thimérosal comme un neurotoxique, un cancérogène et un perturbateur endocrinien. Une étude de 2005 financée par le NIH (Burbacher et al.) démontre que l’éthylmercure traverse la barrière hémato-encéphalique et se métabolise en formes toxiques persistantes dans le cerveau pendant plus de 27 ans (Rooney, 2014).

    Des risques reproductifs : l’lAgence de Protection de l’Environnent (EPA) de Californie classe le thimérosal comme un élément toxique reproductif, avec des données montrant des retards mentaux sévères et des malformations chez les enfants de mères exposées pendant la grossesse. Une étude de 2017 du NIH/CDC (Donahue et al.) indique un risque accru de fausse couche lié aux vaccins antigrippaux, dont environ la moitié contiennent du thimérosal, avec des rapports de cotes de 2,0 à 7,7 selon les cohortes.

    Des incohérences réglementaires : la fiche de données de sécurité (Material Safety Data Sheet : MSDS) du thimérosal met en garde contre des effets sur le système nerveux et reproductif, et son usage a été interdit dans les produits en vente libre aux États-Unis depuis 1998. Pourtant, il persiste dans les vaccins, avec une concentration dépassant de 25 000 fois la limite de sécurité de l’EPA pour l’eau potable. De plus, les vaccins périmés contenant du thimérosal sont classés comme déchets dangereux par la loi fédérale.

    Un historique institutionnel : le rapport de 2001 de l’Institut de médecine (IOM) a jugé « biologiquement plausible » un lien entre le thimérosal et les troubles neurodéveloppementaux, tandis qu’aucune étude post-2001 n’a été menée par le CDC pour évaluer sa sécurité, malgré des recommandations en ce sens.
    Kennedy critique l’article du Guardian pour son manque de références primaires, soulignant qu’il s’appuie sur un site de vérification financé par l’AAP, lui-même influencé par des liens avec l’industrie pharmaceutique. Il appelle à une réévaluation basée sur des données indépendantes, démontrant sa volonté de confronter les narratifs médiatiques ou partisans qui, selon lui, occultent ces risques.

    Un combat pour la transparence

    La réponse de Kennedy illustre sa détermination à s’attaquer aux déséquilibres d’information dans le domaine de la santé publique. En citant des études peer-reviewed, des avertissements réglementaires et des incohérences historiques, il positionne son ministère comme un acteur prêt à défier les influences pharmaceutiques présumées sur les médias et les agences comme le CDC. Son appel à la transparence s’accompagne d’une invitation aux lecteurs à vérifier ses sources, renforçant son engagement à une science accessible et non biaisée. Alors que le débat sur le thimérosal reste ouvert, cette mise au point marque une étape dans sa croisade pour une évaluation rigoureuse et indépendante des vaccins.

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  11. Perspectives

    Cette initiative de Kennedy ouvre la voie à un examen plus approfondi des informations et surtout à une plus grande précaution à apporter à ce qu’on lit dans les médias.

    Les citoyens sont encouragés à consulter les études citées (disponibles via PubMed) et les données de la FDA ou du CDC pour se forger une opinion. Pour les décideurs, une réponse pourrait inclure le financement d’études indépendantes sur le thimérosal, abordant les conflits d’intérêts signalés, notamment les 72 % de présentateurs de l’ACIP 2023 liés à l’industrie pharmaceutique (selon JAMA). Réponse entre le 25 et 27 juin 2025.

    Kennedy offre au Guardian une véritable leçon de journalisme.

    Le Guardian modifiera t-il son article pour montrer sa volonté d’informer le public plutôt que d’agir selon les prérogatives d’une industrie pharmaceutique qui semble de plus en plus contrôler le narratif des médias avec son achat d’espaces publicitaires.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante-science-tech/kennedy-repond-au-guardian-un-appel-ferme-pour-la

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  12. Voici les pays que les riches quittent


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 26 JUIN 2025 - 11H45


    Des données récemment publiées par Henley & Partners montrent que si la Chine et l'Inde étaient encore les pays qui perdaient le plus de millionnaires (ou milliardaires) au profit de l'émigration en 2023, la fuite des millionnaires du Royaume-Uni prend la tête du classement cette année.

    Certains millionnaires britanniques ont déclaré quitter le pays en raison de la fin de la règle du statut fiscal de non-résident.

    Le Tax Justice Network souligne que malgré cette augmentation, la part de ces départs reste très faible par rapport à l'ensemble des millionnaires.

    Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, les 142 000 millionnaires qui devraient migrer cette année ne représentent que 0,2 millionnaire mondial, selon le communiqué.

    Après la chute des migrations des riches pendant la pandémie, un nouveau record de 120 000 millionnaires a quitté son pays d'origine en 2023.

    Après les 142 000 personnes de 2025, l'émigration des riches devrait encore augmenter pour atteindre 165 000 en 2026.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Les pays que les riches quittent | Statista
    Vous trouverez d'autres infographies sur Statista.

    Selon la source, la stabilité politique, les libertés individuelles ainsi que les préoccupations fiscales et financières comptent parmi les raisons qui ont poussé les millionnaires à s'expatrier.

    La guerre en Ukraine a provoqué un exode de Russes – particulièrement marqué en 2022 et 2023 – qui a vu de nouveaux arrivants principalement dans les villes européennes.

    Ce changement a représenté une réduction de 33 % du nombre de millionnaires russes vivant dans leur pays entre 2021 et 2022.

    L'étude portait uniquement sur les personnes disposant d'un patrimoine investissable d'au moins 1 million de dollars, qui s'étaient installées dans un nouveau pays et y avaient passé au moins la moitié de l'année.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/these-are-places-rich-people-are-leaving

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  13. « Cercle vicieux » : l’immigration coûte 3,4 % du PIB à la France


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 26 JUIN 2025 - 08H45


    L’immigration n’a pas apporté les bénéfices économiques promis depuis longtemps en France et pourrait même peser sur l’économie du pays, selon un rapport de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID), cité par Le Figaro.

    Plutôt que de stimuler la croissance, le groupe de réflexion affirme que l’immigration coûte à la France l’équivalent de 3,4 % de son PIB en raison d’un décalage important entre les impôts payés par les immigrés et les services qu’ils consomment.

    Le Figaro rapporte que, selon l’OID, les impôts perçus auprès des immigrés ne couvrent que 86 % de leur coût fiscal, créant ce qu’il qualifie de « déficit budgétaire ». Ce déséquilibre est largement dû au faible taux d’emploi des immigrés : seuls 62,4 % des immigrés en âge de travailler en France ont un emploi, soit l’un des taux les plus bas de l’Union européenne, juste devant la Belgique. En comparaison, le taux d'emploi de la population française autochtone s'élève à 69,5 %.

    L'OID affirme que si les immigrés étaient employés au même taux que les citoyens nés en France, le PIB français serait supérieur de 3,4 % et le revenu imposable augmenterait de 1,5 point de pourcentage.

    « L'immigration entretient un cercle vicieux qui nuit à l'emploi et à l'économie française : elle aggrave les problèmes structurels de l'emploi en France, dégrade les comptes publics et pénalise indirectement les secteurs vulnérables de l'économie », a déclaré Nicolas Pouvreau-Monti, directeur de l'Observatoire.

    Il a reconnu que le débat public se concentre souvent sur les besoins de main-d'œuvre à court terme dans des secteurs comme l'hôtellerie-restauration, la construction et la restauration, mais a averti qu'il s'agissait d'une perspective étroite. « La vision à court terme nous empêche de réfléchir à la meilleure façon de rendre ces professions plus attractives pour les personnes en recherche d'emploi », a-t-il déclaré.

    Pouvreau-Monti a également critiqué le système, qui importe principalement des travailleurs peu qualifiés plutôt que des migrants hautement qualifiés, moteurs de l'innovation. Il a averti que le frein économique créé par ce modèle oblige le gouvernement à augmenter les impôts sur les entreprises, aggravant ainsi la pression économique.

    « En d'autres termes, encourager l'immigration pour éviter des pénuries dans certains secteurs en tension revient à sacrifier la croissance de nos secteurs stratégiques au profit de quelques intérêts privés », a-t-il déclaré.

    Selon le rapport, l'un des principaux moteurs de l'immigration en France est le regroupement familial, ou migration en chaîne, qui privilégie les liens familiaux aux compétences professionnelles. Comme l'a souligné Pouvreau-Monti, « trouver un emploi est plus difficile pour un immigré lorsque l'insertion professionnelle n'est pas à l'origine de la décision d'émigrer en France ».

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  14. Il est inquiétant de constater que cette inactivité économique semble se prolonger jusqu'à la génération suivante. S'appuyant sur des données de l'OCDE, l'OID a constaté que 24 % des jeunes nés en France de parents immigrés n'étaient ni en emploi, ni scolarisés, ni en formation (NEET) en 2020-2021. Il s'agit du deuxième taux de NEET le plus élevé d'Europe et du monde occidental, juste derrière la Belgique.

    L'OID relie cette tendance à la montée de l'auto-ségrégation ethnique, affirmant que l'échec de l'intégration économique contribue à la montée du sectarisme en France et en Belgique, contrairement à d'autres pays européens.

    Ce rapport renforce le scepticisme croissant en Europe quant à l'idée que l'immigration de masse soit un avantage économique. Même le Premier ministre travailliste britannique, Sir Keir Starmer, a récemment déclaré que l'hypothèse selon laquelle l'immigration entraîne automatiquement la croissance économique a été « testée » et « ne tient pas ». Starmer a ajouté un avertissement sévère : à moins que la politique migratoire ne soit réévaluée, la Grande-Bretagne risque de devenir « une île d'étrangers ».

    https://www.zerohedge.com/markets/immigration-costing-france-34-its-gdp

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  15. 4 villes du futur pourraient bien être votre nouveau foyer (Les ultra-riches planifient votre avenir en ce moment même)


    Milan Adams
    25 juin 2025



    Les ultra-riches planifient votre avenir en ce moment même. Ils l'appelleront « utopie » et vous le vendront comme tel, mais c'est en réalité tout le contraire. Bienvenue dans le premier volet d'une série en deux parties.

    L'utopie est un lieu de « perfection idéale, notamment en matière de lois, de gouvernement et de conditions sociales ». C'est du moins la définition du dictionnaire.

    Le fait est que, malgré les efforts déployés par les humains pendant des millénaires pour atteindre la perfection édénique, c'est impossible. Pire encore, l'ironie de ces efforts est littéralement ancrée dans le mot « utopie » :

    La vidéo ci-dessous va vous choquer, car vous serez parmi les premiers à découvrir ce secret !

    - voir clip sur site -

    Extrait de Merriam Webster :

    En 1516, l'humaniste anglais Sir Thomas More publia un ouvrage intitulé Utopia, comparant les conditions sociales et économiques en Europe à celles d'une société idéale sur une île imaginaire au large des côtes des Amériques. More voulait insinuer que les conditions idéales sur son île fictive ne pourraient jamais exister, et il la baptisa donc « Utopia », un nom qu'il créa en combinant les mots grecs ou (« non, non ») et topos (« lieu »).

    Pourtant, cela n'empêche pas les gens de tenter de créer des paradis fictifs. Les dernières tentatives sont, sans surprise, conçues, financées et construites par nos seigneurs milliardaires, qui aspirent à tout posséder et à définir notre avenir.

    Dans le même temps, un paradoxe se dessine. Alors que plusieurs tentatives de paradis imaginés par des milliardaires sont actuellement en cours, certaines échouent, d'autres s'effondrent, et d'autres peinent tout simplement à décoller.

    Ce que l'on sait des élites de la Silicon Valley, des boursicoteurs du Bitcoin et des milliardaires de l'IA, c'est qu'ils rêvent grand et disposent de finances quasiment illimitées. Ainsi, même les tentatives d'utopie ratées – ou quelle que soit leur version – permettent à toute la cohorte de se rapprocher d'une formule qui pourrait tenir. C'est comme un financement illimité pour assouvir un complexe de Dieu.

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  16. Dans la première partie de cette série, nous examinons quatre concepts pour créer un paradis sur terre, imaginés par des adeptes de la liberté, libertariens et adeptes d'une vie optimisée grâce à la technologie. Que promettent exactement ces communautés ? Qui se cache derrière ? Et surtout, ne seraient-elles que des loups dystopiques de 15 minutes déguisés en moutons utopiques ? Plongeons-nous dans le sujet.

    1. Próspera (Honduras)

    Próspera a débuté comme une expérience libertarienne audacieuse sur l'île tropicale de Roatán, au large de la côte nord du Honduras. C'est l'idée originale d'Erick Brimen, un gestionnaire de fonds d'investissement d'origine vénézuélienne qui a imaginé une ville dirigée non pas par des politiciens, mais par les forces du marché et la logique blockchain. Son objectif est de créer un paradis technologique déréglementé et à faible fiscalité, où les entreprises pourraient légiférer ou choisir d'appliquer les lois nationales existantes parmi 36 pays. Les habitants paient de faibles impôts (payables en Bitcoin), et les startups biotechnologiques repoussent les limites de l'allongement radical de la vie grâce à des traitements expérimentaux, non encore éprouvés, interdits dans d'autres pays.

    Grâce au soutien en capital-risque de Coinbase et de projets liés à Sam Altman, ainsi qu'au soutien de personnalités comme Peter Thiel, Próspera est rapidement devenue un pôle d'attraction pour les crypto-évangélistes, les obsédés de la longévité et les partisans de la déréglementation. Elle organise des conférences sur des thèmes tels que « Rendre la mort facultative ». Elle crée une ville fortifiée avec des tribunaux d'arbitrage privés, des juges qui statuent en ligne depuis l'Arizona (je ne sais pas pourquoi l'Arizona ; nos recherches n'étaient pas explicites) et des points de contrôle d'entrée par QR code.

    Mais comme toutes les utopies, ce rêve de ville à charte s'est heurté à la réalité. Un critique l'a qualifié de « fantasme libertaire… qui ne tournera pas rond ». Le gouvernement hondurien, qui avait initialement soutenu le projet et autorisé les lois d'urbanisme le rendant possible, s'est depuis effondré dans un scandale : l'ancien président purge une peine de prison aux États-Unis pour complot en vue d'importer et de distribuer plus de 400 tonnes de cocaïne. C'est un sacré coup dur.

    Les habitants du village voisin de Crawfish Rock n'ont pas accueilli favorablement l'idée de cette ville fermée et ont accusé Prospera d'accaparement de terres, de dommages environnementaux et de tentative de les expulser. Lorsque l'actuel président démocrate-socialiste, Xiomara Castro, a déclaré inconstitutionnelles les lois d'urbanisme de l'ancienne administration, Prospera a riposté devant la Cour internationale de justice, exigeant près de 11 milliards de dollars de dommages et intérêts, soit environ un tiers du PIB du pays, une somme qui mettrait le pays en faillite en cas de défaite.

    Brimen redouble d'efforts, faisant pression sur les politiciens américains pour qu'ils plaident en sa faveur et lançant un projet dérivé destiné à l'Afrique.

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  17. Tout cela se présente comme un ironique retournement de situation historique : une version du XXIe siècle de la république bananière, avec des investisseurs étrangers, des tribunaux privés et un contrôle corporatiste sur les terres, le droit et le travail. Le terme « république bananière » a été inventé par l'auteur O. Henry pour décrire le Honduras, un pays où les entreprises fruitières américaines dominaient l'économie. Aujourd'hui, les crypto-capitalistes et les investisseurs en capital-risque de la Silicon Valley reprennent le flambeau des plantations, sauf que cette fois, ils promettent l'immortalité plutôt que les bananes.

    2. NEOM (Arabie saoudite)

    NEOM était censé être le saut vers l'avenir de l'Arabie saoudite : une oasis high-tech de 500 milliards de dollars en plein désert, à faire rougir même la Silicon Valley. Conçu en 2017 par le prince héritier Mohammed ben Salmane comme le joyau de son plan Vision 2030, NEOM promettait des taxis volants, des dinosaures robots, des lunes artificielles, une station de ski dans le désert avec de la fausse neige et une ville miroir de 170 kilomètres appelée The Line.

    Les vidéos les plus choquantes du monde ! (Vidéo complète ci-dessous)

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    Cette ville miroir devait s'étendre sur 170 kilomètres à travers le désert, sans voitures, sans routes et sans émissions – juste des infrastructures intelligentes, une surveillance biométrique et les taxis volants mentionnés précédemment.

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    Mais comme beaucoup d'utopies, ce fantasme s'effondre déjà sous le poids de la réalité. L'objectif était que la Ligne abrite à terme 9 millions de personnes, dont 1,5 million d'habitants d'ici 2030. Middle East Eye rapporte que les responsables saoudiens prévoient désormais moins de 300 000 habitants à cette échéance. Seuls 2,4 kilomètres de la Ligne pourraient être achevés d'ici 2030. Les revenus pétroliers – principale source de financement – ​​ont fortement diminué, et des sources internes affirment que le royaume est confronté à un « environnement de ressources limitées ». Des révisions budgétaires sont en cours, et d'autres projets NEOM (comme la station de ski ouverte toute l'année) ont été abandonnés, retardés ou considérablement réduits.

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  18. Derrière ces rendus brillants se cache un projet de construction à la culture du travail dystopique. L'ancien PDG de NEOM, Nadhmi al-Nasr, s'est forgé une réputation de gestionnaire abusif. « Je traite tout le monde comme un esclave », disait-il, se réjouissant « quand ils tombent raides morts… C'est comme ça que je mène mes projets. » Il a même dit à un employé de « marcher dans le désert et mourir » pour pouvoir uriner sur sa tombe. En conséquence, un exode massif de cadres étrangers a eu lieu, dont beaucoup ont renoncé à des contrats à six chiffres simplement pour échapper à cet environnement toxique.

    Parallèlement, des membres de la tribu Howeitat, originaires des terres occupées par NEOM, ont résisté au projet. Nombre d'entre eux ont été expulsés de force, au moins un militant a été tué et d'autres ont été emprisonnés pour avoir résisté à leur expulsion. Les groupes de défense des droits humains ont condamné le projet, tandis que les consultants de NEOM ont averti que la mégastructure pourrait modifier le climat et décimer les populations d'oiseaux en raison de ses immenses murs miroirs.

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    Rien de tout cela n'a d'importance ; les responsables saoudiens persistent. Les vidéos promotionnelles promettent toujours un avenir radieux où les « Neomiens » vivraient en harmonie avec la nature, la technologie et les dinosaures robotiques. Mais sur le terrain, la réalité est toute autre : surveillance constante, allégations de harcèlement sexuel ignorées par les dirigeants et contrôle orwellien de la vie des employés. Les promesses d'un espace social libéralisé – avec alcool, mixité, liberté – ont discrètement été retirées par un gouvernement connu pour ses lapidations publiques et autres châtiments extrêmes pour « immoralité ».

    NEOM pourrait bien, en réalité, ne jamais représenter l'avenir de la vie urbaine. Mais il pourrait bien être le monument le plus coûteux au monde dédié à l'illusion autoritaire : le cauchemar dystopique d'une ville bâtie sur le sable, la surveillance et les slogans.

    3. Telosa (Quelque part, États-Unis)

    Telosa, c'est ce qui se passe lorsqu'un milliardaire tente de construire une ville utopique sans utiliser le mot « utopie ». Marc Lore, ancien cadre de Walmart et fondateur de Jet.com et Diapers.com, imagine une nouvelle ville surgissant de zéro quelque part dans le désert américain (ou peut-être dans les Appalaches), conçue pour être durable, accessible à pied, à la pointe de la technologie et juste assez équitable pour éviter de se poser trop de questions.

    D'après le site web de Telosa, ce n'est absolument pas une utopie.

    L'objectif est-il de créer une utopie ?

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  19. Non, nous ne cherchons absolument pas à créer une utopie. Les projets utopiques visent à créer un État parfait et idéaliste ; ce n'est pas le cas. Nous sommes fermement ancrés dans la réalité et dans le possible.

    Nous nous concentrons sur les solutions les plus performantes et les plus durables en matière d'infrastructures, d'urbanisme, de dynamisme économique et de services urbains, mais nous reconnaissons pleinement qu'aucune solution n'est parfaite et que tous les systèmes humains ont des failles. C'est pourquoi nous nous engageons à développer de nouvelles idées, à trouver la meilleure solution aux problèmes complexes et à nous améliorer constamment.

    Et pourtant, les rendus et les vidéos promotionnelles suggèrent le contraire : des tours étincelantes, des places ombragées, des cours accessibles aux personnes handicapées et des monorails traversant silencieusement des zones éco-optimisées. Si cela ressemble à une utopie, si cela sent l'utopie et si cela vise à concevoir le comportement humain comme une utopie, eh bien, faites le calcul.

    Le projet s'appelle « Telosa », du grec telos, qui signifie « but suprême ». Arrêtez de parler d'utopie !

    L'idée principale est d'accueillir 50 000 personnes dans ce lieu encore indéterminé d'ici 2030, pour que la population atteigne à terme 5 millions. Tout le monde vit à quelques minutes à pied (15 minutes peut-être ?) de tout ce dont il a besoin : une école, un parc, un travail (mdr !), et probablement un coach bien-être IA. Les voitures, bien sûr, sont interdites. On verra apparaître des tours solaires, des fermes verticales et une économie fondée sur l'« équité », une réinterprétation d'une idée du XIXe siècle selon laquelle la ville est propriétaire du terrain et utilise la hausse de la valeur immobilière pour financer les services sociaux.

    Mais malgré toutes ses idées ambitieuses, Telosa n'a pas encore donné le moindre coup de pelle. Il n'y a pas de site définitif, pas d'approbation gouvernementale, et pas de financement clair au-delà de l'initiative initiale de Lore. Ce n'est encore qu'un concept miroitant, un mirage esquissé par un architecte de renom (Bjarke Ingels) et évoqué lors d'interviews, de conférences TED et d'expositions de design.

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    Les critiques affirment que si Lore voulait vraiment aider les gens, il pourrait investir dans la résolution des problèmes d'infrastructures dans les villes existantes. D'autres soulignent que les « villes du quart d'heure » ​​– le modèle de Telosa – sont devenues un point de friction mondial, encensées par les urbanistes, mais décriées par les sceptiques, les considérant comme un moyen de centraliser le contrôle, de limiter les déplacements et de surveiller les citoyens.

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  20. Jusqu'à présent, la plus grande réussite de Telosa réside dans sa capacité à promouvoir une ville qui n'existe pas. Si elle voit le jour, nous pourrons peut-être enfin nous demander : une ville conçue par des milliardaires offre-t-elle vraiment la liberté, ou seulement l'illusion du choix dans un monde où l'architecture a déjà pris les décisions à votre place ?

    4. Seasteading et Arkpad (Asie du Sud-Est)

    Si vous avez toujours rêvé d'échapper aux impôts, aux réglementations et à la société elle-même, il existe un projet financé par des milliardaires : Seasteading, ce fantasme libertaire flottant qui ne coulera jamais, malgré ses nombreux échecs.

    Lancé (littéralement et idéologiquement) par le Seasteading Institute en 2008, le projet était initialement financé par… tenez-vous bien… Peter Thiel. Il imaginait des villes autonomes flottant paisiblement dans les eaux internationales, avant de s'en détourner, déclarant qu'elles n'étaient « pas tout à fait réalisables d'un point de vue technique ».

    Le concept était une nation sans nation, où les entrepreneurs pourraient échapper à des contraintes comme le droit du travail, le zonage et la démocratie. En bref : la Silicon Valley rencontre Waterworld, l'humilité en moins.

    Un premier prototype près de la Thaïlande s'est soldé par une descente des autorités thaïlandaises sur la plateforme flottante, accusant les habitants de mettre en danger la souveraineté nationale, un délit passible de la réclusion à perpétuité ou de la peine de mort. Le couple qui vivait sur la péniche s'est caché et la marine thaïlandaise a finalement récupéré ce qui n'était qu'un radeau équipé du Wi-Fi.

    Cette photo, fournie par la Marine royale thaïlandaise, montre une maison flottante habitée par un Américain et sa compagne thaïlandaise dans la mer d'Andaman, au large de l'île de Phuket, en Thaïlande, le 13 avril 2019.
    Le mouvement Seasteading, plus vaste, s'est depuis fragmenté, a évolué et, plus récemment, s'est transformé en un nouveau projet à l'image de marque plus moderne : Arkpad. « En bâtissant une communauté dans l'océan, vous ne créez pas seulement une maison ; vous créez un héritage d'innovation, de liberté et de durabilité », peut-on lire dans le texte marketing.

    Arkpad se présente comme un « projet de style de vie souverain » et un « État en réseau » : un langage crypto-natif pour un rêve toujours d'actualité : gouvernance privée, pas d'impôts, contrôle total. Basé aux Philippines, Arkpad vise à s'appuyer sur des plateformes océaniques et à créer une communauté flottante, dotée de systèmes d'identification décentralisés, de biens immobiliers sous-marins et de NFT pour la résidence. Parce que, bien sûr.

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  21. Leur chaîne YouTube mêle sermons cryptographiques et représentations oniriques de structures épurées émergeant de la mer – de véritables arches de Noé, sans animaux ni déluge, mais avec une forte concentration de Bitcoin et de bernacles. Regardez attentivement les vidéos et vous verrez que les élégants rendus numériques des architectes se fondent dans la réalité de ce qu'est réellement un Arkpad : un bloc de béton flottant au milieu de nulle part. On ignore s'ils fournissent gratuitement de la Dramamine aux résidents.

    Regardez ce toit-terrasse : pas d'ambiance Jimmy Buffett ici.

    Tout comme Seasteading avant lui, Arkpad souffre d'un esquive chronique de la réalité. Les contraintes techniques, la hausse des températures des océans, le droit maritime, la souveraineté internationale et les défis logistiques fondamentaux sont toujours d'actualité. De plus, ces projets ont toujours été moins axés sur la liberté pour tous que sur l'évasion pour quelques-uns. Tout le monde n'est pas invité à ces utopies flottantes. Ce sont des canots de sauvetage de luxe pour une élite numérique qui s'apprête à s'éloigner des conséquences du monde qu'elle a contribué à détruire.

    Jusqu'à nouvel ordre, Seasteading et Arkpad demeurent ce qu'ils ont toujours été : des phares libertaires dans le brouillard, des idéaux radieux sans aucun ancrage dans le monde réel.

    Conclusion : les utopies échouent toujours.

    Qu'ils soient réels ou imaginaires, tous ces concepts utopiques promettent, chacun à leur manière, une nouvelle vie et une harmonie high-tech, ancrés dans la séduisante promesse d'un nouveau mode de vie. Régnés par la blockchain et d'une efficacité irréprochable, il ne reste qu'un léger problème : la réalité.

    L'histoire montre que lorsque les élites se laissent aller à des fantasmes utopiques, la réalité s'en mêle toujours. L'excentricité des riches est tolérable pour un petit groupe de disciples partageant les mêmes idées, mais les humains ne sont pas des robots. Par conséquent, il est peu probable qu'une utopie concoctée par un geek de la technologie, avide de micro-doses et d'immortalité, puisse être transposée à plus grande échelle, sauf en s'appuyant fortement sur la surveillance, la coercition et le contrôle – où tout finit par se transformer en prisons numériques conçues socialement, effaçant la vie privée, le tout enveloppé dans des brochures marketing brillantes et un délire éco-communautaire.

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  22. Il y a aussi le problème des gouvernements : ils ne sont pas vraiment dans la compétition. Mais bon, cela n'empêchera pas ces milliardaires d'essayer. Dans la deuxième partie de cette série, nous examinerons donc d'autres moyens par lesquels les milliardaires prévoient de contrôler l'avenir de la vie urbaine et leurs conséquences potentielles.

    DÉVOILÉ ! Des tunnels de trafic d'enfants sous Israël mènent à des chambres secrètes contenant des artefacts bibliques interdits - Les Marines confirment des sites rituels d'élite cachés depuis des siècles !

    - voir clip sur site -

    Source- collapselife.com

    https://preppgroup.home.blog/2025/06/25/4-cities-of-the-future-might-be-your-new-home-the-ultra-wealthy-are-planning-your-future-right-now/

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  23. La persistance de l'absentéisme


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 25 JUIN 2025 - 23H40
    Rédigé par Larry Sand via AmericanGreatness.com,


    Le fait que de nombreux enfants abandonnent l'école publique américaine est indéniable. Récemment, Nat Malkus, directeur adjoint des politiques éducatives à l'American Enterprise Institute, a indiqué que, bien que l'absentéisme chronique ait augmenté pendant la pandémie de COVID-19, il demeure un problème grave.

    En 2024, les taux étaient 57 % plus élevés qu'avant la pandémie. (Les élèves qui manquent au moins 10 % de l'année scolaire, soit environ 18 jours, sont considérés comme chroniquement absents.)

    Malkus explique ensuite qu'en 2018 et 2019, environ 15 % des élèves des écoles publiques américaines de la maternelle à la terminale étaient chroniquement absents – un chiffre si élevé que de nombreux observateurs et le ministère de l'Éducation des États-Unis qualifient la situation de « crise ».

    Au total, près d'une école publique sur douze aux États-Unis a connu une baisse « substantielle » de ses effectifs au cours des cinq dernières années.

    Le problème est particulièrement flagrant dans nos grandes villes. À Los Angeles, plus de 32 % des élèves étaient chroniquement absents au cours de l'année scolaire 2023-2024.

    À Chicago, la baisse des effectifs a laissé environ 150 écoles à moitié vides, tandis que 47 fonctionnent à moins d'un tiers de leur capacité.

    De plus, les écoles identifiées par leur État comme étant chroniquement peu performantes étaient deux fois plus susceptibles de connaître une baisse importante des effectifs que les autres écoles publiques.

    En février 2025, FutureEd a révélé que les données de 22 États et du District de Columbia pour l'année scolaire 2023-2024 montraient des différences significatives selon les niveaux scolaires, l'absentéisme étant particulièrement élevé au lycée.

    « Dans la plupart des États, les élèves de terminale présentent les taux d'absentéisme chronique les plus élevés, souvent bien supérieurs aux moyennes nationales. Au Mississippi, par exemple, le taux d'absentéisme global était de 24 %, mais chez les élèves de terminale, il a atteint 41 %. Plusieurs autres États affichent des taux d'absentéisme chez les élèves de terminale supérieurs à 40 %, avec des taux dépassant 50 % dans le District de Columbia et l'Oregon. »

    FutureEd signale également que les élèves de maternelle présentent des taux d'absentéisme chronique disproportionnellement élevés.

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  24. Une autre analyse des données de trois États – Caroline du Nord, Texas et Virginie – montre qu'avant la pandémie de COVID-19, 17 % des élèves étaient chroniquement absents. Cependant, en 2023, bien après que les écoles aient dû faire face à de nouveaux variants et à des horaires hybrides, ce chiffre était passé à 37 %.

    La question est donc : pourquoi cela se produit-il ?
    De nombreux enfants ne manifestent aucun intérêt pour l'école. Un rapport de 2024 de Gallup et de la Walton Family Foundation, qui a interrogé plus de 1 000 élèves de la génération Z âgés de 12 à 18 ans, a révélé que seulement 48 % des élèves inscrits au collège ou au lycée se sentaient motivés à aller à l'école. Seule la moitié d'entre eux ont déclaré faire quelque chose d'intéressant à l'école chaque jour. De même, une enquête EdChoice de 2024 indique que 64 % des adolescents jugent l'école ennuyeuse et 30 % la perçoivent comme une perte de temps.

    Les adolescents ne sont pas les seuls à être mécontents de leur école. Selon un sondage Gallup publié en février dernier, 73 % des 1 005 adultes interrogés étaient insatisfaits de la qualité de l’éducation publique aux États-Unis. Il s’agit du taux d’insatisfaction le plus élevé depuis le début de l’enquête et d’une augmentation de 5 points par rapport aux 68 % de l’année dernière. En 2001, ce taux s’élevait à 57 %.

    Une autre raison de la baisse du nombre d’élèves est que les habitants, notamment en milieu urbain, ont moins d’enfants que par le passé. En effet, 80 % des zones métropolitaines connaissent une tendance à la baisse du nombre d’enfants de 14 ans et moins.

    L’ironie de la situation est que, si les inscriptions diminuent, moins d’écoles ferment. L’IZA Institute of Labor Economics a constaté qu’en 2014-2015, le taux de fermeture (la part des écoles nationales ouvertes une année et fermées l’année suivante) était de 1,3 %. En 2023-2024, ce taux n’était plus que de 0,8 %.

    Quelles mesures pouvons-nous prendre pour remédier à cette situation préoccupante ?
    En raison de la baisse des effectifs scolaires, il est nécessaire de regrouper les écoles. Les écoles, comme celles de Chicago, qui ne sont remplies qu'à moitié ou au tiers doivent fermer. Certains élèves devront peut-être prendre le bus pour se rendre à l'école, mais ce n'est pas une tâche fastidieuse.

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  25. La qualité des enseignants pose également problème. Avec la baisse des effectifs scolaires, les enseignants seront probablement licenciés. Idéalement, les enseignants les moins performants devraient être les premiers à être licenciés. Cependant, les conventions collectives restrictives stipulent que les licenciements doivent être basés sur l'ancienneté.

    En fin de compte, les parents doivent assumer la responsabilité de l'éducation de leurs enfants. Ils peuvent choisir de les scolariser à domicile ou de les inscrire dans une micro-école locale. Une étude montre que les programmes de soutien scolaire dispensés par les parents à Oakland « ont produit des gains similaires en lecture pour les jeunes élèves que les cours dispensés par les enseignants – un exemple qui pourrait inspirer des initiatives similaires dans d'autres districts. »

    Il existe actuellement 76 programmes de libre choix d'écoles privées dans 35 États, à Washington D.C. et à Porto Rico. Au total, 45 % des 49,6 millions d'élèves du pays peuvent bénéficier d'un tel programme. Cependant, seuls 1,2 million d'élèves en bénéficient.

    Trop d'Américains dépendent désormais excessivement des écoles publiques, dont beaucoup sont peu performantes. Par conséquent, pour le bien de leurs enfants, les parents doivent assumer la responsabilité de leur éducation, au même titre que de leur alimentation, de leurs vêtements et de leur logement. Ce faisant, ils peuvent changer le cours de leur vie.

    https://www.zerohedge.com/political/persistent-presence-absence

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  26. Quatre forums internationaux de la mi-juin 2025 : pour l’Occident, la réunion Bilderberg et le G7 ; pour le Sud, le sommet Chine-Afrique, le forum économique international de St Petersbourg


    le 26 juin 2025 - 09:38


    L’arrivée du solstice d’été est propice à la tenue de grands rites annuels…quatre ont eu lieu presque simultanément cette année et sont importants pour suivre et comprendre où en est et où va le monde.

    Deux forums internes de l’Occident : la réunion Bilderberg et le G7

    du 12 au 15 juin - réunion annuelle du groupe Bilderberg au Gd Hôtel de Stockolm

    Bilderberg, c’est ce groupe discret de networking élitiste qui se réunit à huis clos et fonctionne comme un club anglais informel selon la règle dite de Gotham House : la parole y est libre ; pas de compte rendu ; on peut mentionner ce qui s’est dit, mais sans en mentionner l’auteur. L’objet est de resserrer les liens entre les États-Unis et l’Europe, avec la bénédiction de la CIA. Le siège de l’organisation est aux Pays-Bas, et le directeur, européen depuis l’origine, en est depuis 2012 le français Henri de Castries, ancien président d’Axa. Deux autres français sont au comité directeur : Nicolas Baverez, économiste, et J-C Trichet, ancien président de la BCE.

    À l’origine, en 1954, Bilderberg comprenait pour chaque pays un représentant du gouvernement en place et un leader de l’opposition. De nos jours, l’assistance est composée de 120 à 140 leaders de la politique, diplomates et autres hauts fonctionnaires (Renseignement, Défense), chefs d’entreprise, journalistes. C’est un échantillon homogène de l’élite occidentale représentative du consensus mondialiste sous l’égide de l’Occident. Les affaires du monde y sont l’objet de discussions sur un fond d’interventions limitées à une dizaine de minutes.

    L’ordre du jour et les participants sont publics : en 2025, onze rubriques ont été annoncées, couvrant une large palette de thèmes du moment, y compris l’Ukraine et le Moyen-Orient, et l’ « Axe autoritaire ». Absence de toute référence à l’Afrique, l’Amérique Latine ou l’Asie : le Sud, comme la multi-polarité, ne semble pas intéresser. Le conflit Israël-Iran déclenché par Israël le premier jour de la réunion a pu troubler le déroulement prévu. Aucun compte rendu des discussions n’étant publié, impossible d’avoir une idée de leur qualité, ni de savoir si cela fait mieux que les forums des réseaux sociaux. Ce n’est pas évident : comme dans tout séminaire, l’essentiel peut résider dans le networking, voire le team-building !

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  27. Il est intéressant de considérer qui sont les douze participants français :

    Deux anciens premiers ministres, Attal et Philippe : chacun est déjà venu à Bilderberg, l’année précédant sa nomination comme premier ministre par Macron ; les retrouver en 2025, pas loin du lancement de la course pour les présidentielles de 2027, est notable : mais y a-t-il de quoi s’enthousiasmer par cette sorte de présélection en vue de notre élection clef ?
    Le secrétaire général de la Défense Nationale, Nicolas Roche ;

    Deux représentants d’instituts de formation et de recherche : Luis Vassy, directeur de Sciences Po Paris depuis septembre 2024, franco-uruguayen, ancien diplomate issu de la promotion ENA de Macron, nommé pour notamment remettre de l’ordre dans un institut marqué par un large soutien à la Palestine ; Laurent Toulemon, directeur de recherche à l’Institut National d’études démographiques, spécialiste des questions de fécondité et de structures familiales, moins connu et original qu’Emmanuel Todd en cette matière ; plus acceptable par le cénacle que Todd (qui annonça la chute de l’URSS et aujourd’hui prédit la défaite de l’Occident), était-il sensé intervenir sur le thème ‘depopulation and migration’ de l’ordre du jour ou expliquer la baisse de fécondité accélérée en France depuis 2022 ?

    Trois financiers, avec outre de Castries (qui préside l’institut Montaigne, think tank hautement atlantiste), Jean Lemierre, le président du conseil de BNP Paribas et Valérie Baudson, la PDG d’Amundi, le plus grand gestionnaire d’actifs européen.
    Trois représentants du monde du CAC 40 : Pouyanné, patron de Total Energies, Caine, patron de Thales, Barbizet, young leader 1994 de la franco-american foundation, ancienne patronne de la holding Pinault, présidente de l’AFEP, le lobby des grandes entreprises françaises, et multi-administratrice de grandes entreprises.

    Arthur Mensch, patron de Mistral, la start-up française de l’IA qui monte ; il rencontrera des leaders de ses concurrents géants, autant d’acheteurs potentiels de son entreprise.
    Pour tout observateur de la situation française, savoir qui participe à Bilberberg est important afin de comprendre et interpréter les prises de position ultérieures. Liste des thèmes et participants au Bilderberg

    15 au 17 juin : G7 au Canada - l’Occident se réunit et contemple ses divisions

    Le rite du sommet annuel G7 réunissant les États-Unis et le Canada, le Japon et les quatre grands européens (Allemagne, France, Italie et Grande-Bretagne, accompagnés des deux présidents de l’UE – Commission et Conseil européen) se présentait mal : pléthore de sujets non consensuels. Qu’on en juge : l’annexion du Canada et du Groenland proposée par les US, les droits de douane étatsuniaméricains, les désaccords sur l’Ukraine et les budgets militaires européens, le conflit Israël-Iran.

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  28. L’ordre du jour prévoyait pour lundi 15 l’économie mondiale, les feux de forêt (suggestion du Canada, lourdement affecté cette année), la drogue et l’immigration illégale ; mardi matin devait être consacré à la situation en Ukraine et à l’OTAN. Dans l’après-midi, le G7 recevait l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, le Mexique, l’Australie et la Corée du Sud. L’Indonésie (retenue en Russie par une visite d’État et le sommet de St. Petersburg), l’Arabie Saoudite avaient refusé l’invitation.

    Bon début de Trump : il affirme que la proposition en 2014 du premier ministre canadien, Trudeau, et d’Obama de sortir la Russie du G8 a été une erreur ; selon lui, le dialogue au plus haut niveau indispensable avec la Russie a alors disparu, et le prix en serait payé maintenant.

    Compte tenu de l’attaque sur l’Iran lancée le 13 par Israël, Trump rentre à Washington dès le début du sommet qui s’en trouve rendu vain. La stratégie sur la crise en Ukraine n’est pas abordée, sauf à travers le refus de Trump de toute sanction complémentaire sur la Russie et l’arrêt du groupe de travail interne à son administration pour accentuer la pression sur la Russie. Par contre, le coup économique que s’est infligée l’Europe avec les sanctions contre la Russie est mis sur la table, notamment par l’Italie ; cette dernière mentionne le 13 juin le chiffre de € 171 milliards : cela constitue aussi un ordre de grandeur pour la France, et serait cohérent avec un choc économique global de € 1000 milliards pour l’UE. Certains européens (UK et Allemagne) semblent regretter que le G7 n’ait pu acter l’objectif d’un arrêt de tout usage de gaz russe en 2027.

    Le communiqué final émis par la présidence canadienne est particulièrement elliptique sur l’Ukraine, comme demandé par les USA. Le sujet reste entier à l’approche du sommet de l’OTAN à La Haye fin juin. Le format de ce dernier – là encore sur demande des USA - est déjà passé de trois jours à une session et un dîner. Les affaires européennes n’intéressent guère Trump, si ce n’est un niveau de dépenses militaires porté à 5 % du PIB, qui serait toujours utilisé en majorité à acheter des armes aux États-Unis. Le Japon et la Corée annoncent que leurs premiers ministres ne viendront pas au sommet de l’OTAN.

    Une déclaration commune spécifique est faite par le G7 sur le conflit Israël-Iran : avec la rédaction « L’Iran est la principale source d’instabilité et de terrorisme dans la région. Nous avons toujours été clairs sur le fait que l’Iran ne pourra jamais disposer d’une arme nucléaire », le G7 confirme sans surprise sa vision biaisée de la situation : Israël n’est-il pas, et de loin, la source principale de tension dans la région ? Par ailleurs, Israël disposant de l’arme nucléaire, le G7 maintient sa posture typique du « deux poids, deux mesures ».

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  29. Un plan d’action « minéraux critiques » est lancé sur la base des principes adoptés aux G7 de 2023 et 2024 ; il vise à diversifier les sources d’approvisionnement. La ‘Charte de Kananaskis’ sur les feux de forêts est publiée ; elle est aussi adoptée par les pays invités. Ces deux résultats demeurent déclaratifs.

    Daniel Godet est ancien administrateur civil, cadre de grande entreprise en retraite, et esprit curieux.

    Impact économique des sanctions russes sur l’Italie

    G7: Résumé de la présidence

    G7: Déclaration des dirigeants du G7 sur les développements récents entre Israël et l’Iran

    G7: plan d’action ‘minéraux critiques’

    G7: Charte de Kananaskis wildfire

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quatre-forums-internationaux-de-la-mi-juin-2025-pour-l-occident-la-reunion

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    1. La réunion d'un cartel de personnes non élues par le Peuple ne représente RIEN sinon que ces argentiers maintiennent les cordons de la 'bourse' (vide) dont ils ont fabriqué une 'fortune' d'argent no-présent puisqu'il est composé ad-vitam æternam par les banques.
      Les discussions sont portées sur le reversement du Peuple sous l'effet de la dictature (monarchique, républicaine ou impériale). Le problème traité entre-lignes propose de faire obstacle à toutes intelligences qui osent se montrer sur Internet. Donc, d'éliminer l'opposition du Peuple de 8 milliards de personnes.

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  30. Manipulation médiatique : l'État accusé de bloquer un rapport sur l'exposition aux pesticides dans des zones viticoles


    26 Juin 2025


    Trois entités incorporées sous forme d'associations accusent l'État de bloquer la publication du rapport sur l'étude « PestiRiv » sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole. La manœuvre est explicite : une tentative d'influencer le sort de la proposition de loi Duplomb-Ménonville... Le Monde et France Inter se sont prêtés au jeu...

    La Commission mixte paritaire « chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur » (PPL Duplomb-Ménonville) se réunira le 30 juin. Elle est composée de 7 députés et de 7 sénateurs, dans les deux cas 5 favorables et deux défavorables à la loi.

    Cela n'empêche pas les activistes de tenter des manœuvres d'influence.

    Si les tentatives d'interférer dans le processus législatif sont sans doute vaines, à ce stade, elles ont le mérite de médiatiser l'existence des activistes.

    Le Monde a ainsi publié le 25 juin 2025, sur son site Internet, « L’adoption de la loi Duplomb représenterait un recul majeur pour la santé publique » (c'est une citation tirée du texte). En chapô :

    « Cette proposition de revenir, notamment, sur l’interdiction de pesticides dangereux, examinée en commission mixte paritaire à partir du 30 juin, subordonne, selon un collectif de scientifiques et de patients dans une tribune au "Monde", la santé aux intérêts économiques et répète des erreurs dévastatrices. »

    Non, ces gens ne connaissent pas la honte : il s'agit en pratique d'autoriser à titre dérogatoire l'acétamipride et dans des conditions quasi draconiennes, un insecticide couvert par l'interdiction franco-française des néonicotinoïdes pour des raisons politiciennes, autorisé au niveau de l'Union Européenne car ne présentant pas de risques inacceptables pour la santé et l'environnement (texte du Sénat, qui formera la base principale des travaux de la CMP).

    Le même jour, le Monde publiait, également sur son site Internet, « "Le gouvernement affaiblit méthodiquement les agences environnementales et sanitaires" : la tribune d’un collectif de 95 personnalités ». En chapô :

    « Elles dénoncent, dans une tribune au "Monde", les réductions de moyens drastiques qui touchent les institutions chargées de défendre l’environnement et la santé publique, d’une "irresponsabilité sans précédent", selon les sections syndicales des établissements concernés, à l’initiative de ce texte. »

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  31. Non, ces gens ne connaissent pas la honte : leur premier motif de récrimination est une circulaire... datée du 4 novembre 2024, qui instaure pour les administrations de l’État un « contrôle annuel unique » dans le secteur agricole. Les agences environnementales et sanitaires sont effectivement affaiblies (ironie)...

    Enfin, le Monde a publié le 24 juin 2025, également sur son site Internet, un article de MM. Stéphane Foucart et Stéphane Mandard, « Pesticides : le gouvernement accusé de "bloquer" une étude révélant une surimprégnation des enfants près des vignes ». En chapô :

    « Trois organisations de défense de l’environnement demandent la "publication immédiate" d’une étude sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole. Selon nos informations, ses résultats sont jugés "très préoccupants" par les experts. »

    Non, ces gens – Générations Futures, France Nature Environnement (FNE) et Alerte des Médecins sur les Pesticides ne connaissent pas la honte.

    PestiRiv est une étude de grande ampleur dont la collecte de données a débuté en octobre 2021. L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation, de l'Environnement (ANSES) a écrit dans une page datée du 18 octobre 2021 et manifestement mise à jour :

    « […] Menée en France métropolitaine, cette étude consiste en des mesures dans les urines et les cheveux chez 3 350 participants répartis dans 6 régions couplées à des mesures dans l’air, les poussières et les fruits et légumes du jardin. L’alimentation, l’activité professionnelle et les usages domestiques seront aussi documentés. Les résultats permettront d’identifier les sources qui contribuent le plus à l’exposition aux pesticides et de renforcer les mesures de prévention.

    […]

    Après une 1re période d’enquête menée d’octobre 2021 à février 2022, Santé publique France et l’Anses ont lancé la 2ème étape de l’étude PestiRiv, de mars à août 2022, auprès des personnes vivant près de vignes et de celles vivant loin de toute culture. En savoir plus sur la 2ème période d'enquête. »

    Santé Publique France avait précisé dans une page dont il est dit qu'elle a été mise à jour le 30 mars 2022, mais qui l'a aussi été ultérieurement :

    « A quoi vont servir les résultats et quand seront-ils disponibles ?

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  32. Les résultats vont permettre de mieux connaître l’exposition aux pesticides des personnes vivant près de vignes et de celles vivant loin de toute culture et de savoir si certaines personnes sont plus exposées que d’autres à ces substances. Les résultats permettront d’identifier les sources qui contribuent le plus à l’exposition aux pesticides. Ils pourront être utiles pour établir des recommandations de diminution des expositions. Ces résultats seront également utiles pour améliorer les connaissances en vue de l’évaluation des risques pour la santé, et pour contribuer à la définition de mesures de gestion et à l’évaluation des dispositifs mis en place localement.

    Le rapport complet des résultats de l’étude PestiRiv sera publié sur les sites internet de Santé publique France et de l’Anses en 2025. »

    Pour celles et ceux qui ont des difficultés à se situer dans le temps, nous sommes à la mi-2025...

    Or donc, notre trio d'organisations a organisé une conférence de presse le mardi 24 juin 2025...

    Mais comment faire pour insinuer un blocage malveillant des résultats de l'étude – dont le Monde a déjà pu annoncer qu'ils sont « jugés "très préoccupants" par les experts » (notez l'article défini...) ?

    Il suffit de se référer à une version antérieure de la page de Santé Publique France (par exemple, celle-ci, mise à jour le 15 juillet 2021, donc avant le début de la collecte des premières données) : elle qui annonçait 2024, et de tonitruer, comme on l'a fait par exemple sur France Inter, que les résultats avaient été « promis » pour 2024.

    Fastoche !

    Notons toutefois que Santé Publique France a fait preuve d'une extraordinaire légèreté, bien sûr exploitée par nos activistes. Il était tout à fait irresponsable d'annoncer une date de publication pour un exercice d'une grande complexité, et l'échéance de 2024 est restée sur le site pendant très longtemps ; en outre, les dates affichées de mise à jour ne sont pas – disons – très honnêtes.

    L'échéance de 2024 figurait encore dans une version de la page archivée le 10 septembre... 2024. Et c'est devenu 2025 au plus tard le 18 mai... 2025, sur une page prétendument mise à jour... le 30 mars 2022.

    Le Monde de MM. Stéphane Foucart et Stéphane Mandard écrit :

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  33. « […] les trois organisations ont demandé la "publication immédiate" des données afin d’"éclairer les débats" qui doivent désormais se tenir en commission mixte paritaire, lundi 30 juin, après le rejet du texte controversé – qui prévoit notamment d’autoriser de nouveau des pesticides interdits – à l’Assemblée nationale. »

    Lien entre les résultats de PestiRiv – une étude en zones viticoles – et la ré-autorisation éventuelle de l'acétamipride pour, essentiellement, la betterave à sucre et la noisette ? Aucun !

    Nous avons là un exemple typique du journalisme d'influence et de connivence : les auteurs de ce passage savent très bien en quoi consiste la procédure menée par la CMP, et que l'argument des activistes est spécieux. Mais l'argument est posé, car il est indispensable à la raison d'être de l'article, sans mise en perspective, car celle-ci aurait détruit ou au mieux minimisé ladite raison d'être.

    Le Monde cite encore deux intervenants dans la controverse :

    « "Les données de PestiRiv seraient-elles si dérangeantes qu’il faille les retirer du débat au moment du passage en force de la proposition de loi Duplomb ?", interroge Pierre-Michel Périnaud, d’Alerte des médecins sur les pesticides. De son côté, le député (Les Ecologistes) de Gironde, Nicolas Thierry, a écrit, mardi 24 juin, aux ministres de la santé et de la transition écologique pour déplorer une "absence de publication" qui "suscite une incompréhension légitime". »

    C'est de la pure gesticulation, de la manipulation.

    Si nous avons bien compris, il y a/avait un comité de suivi pour cette grande enquête PestiRiv qui avait commencé dans des conditions très chaotiques. En faisaient partie – toujours si nous avons bien compris – Générations Futures et Alerte des Médecins sur les Pesticides...

    Il faut donc croire que ces membres du comité de suivi n'ont pas bien suivi le déroulé des opérations, ni saisi la nature et les implications des résultats obtenus, au point de se sentir obligés de poser des questions désobligeantes, de susciter le doute chez les lecteurs de la prose médiatique,et de menacer de saisir la justice pour obtenir la publication du rapport.

    Et le Monde et France Inter se sont prêtés au jeu...

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/manipulation-mediatique-l-etat-accuse-de-bloquer-un-rapport-sur-l-exposition-aux-pesticides-dans-des-zones-viticoles.html

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    1. Pour les vignes c'est 'fastoche', les remèdes aux maladies se composent du mildiou combattu à la bouillie bordelaise et pour l'oïdium c'est du souffre. Donc: point de médicaments dangereux susceptibles de tuer les gens !

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  34. Pourquoi la propagande de guerre fonctionne toujours

    Tout comme l'imagerie érotique, la propagande de guerre active les circuits les plus puissants et les plus archaïques du cerveau.


    John Leake
    24 juin 2025


    Dans le film Troie de 2004, Brad Pitt incarne un Achille très beau et redoutable. Dans le récit homérique de la guerre de Troie, celle-ci a commencé lorsque le prince troyen Pâris a volé l'épouse (Hélène) du roi spartiate Ménélas. En réalité, la guerre visait probablement à contrôler le trafic maritime par l'unique entrée des Dardanelles ; les Grecs voulaient donc arracher aux Troyens le contrôle de cette précieuse voie maritime.

    Néanmoins, le casus belli érotique du récit homérique me semble pertinent. De la même manière que l'imagerie érotique est toujours efficace pour vendre des produits, la propagande de guerre est toujours efficace pour persuader les gens que leur nation doit participer à la guerre.

    Dans le cerveau masculin en particulier, l'excitation au combat semble provenir du même circuit neuronal que l'excitation sexuelle, et du désir, étroitement lié, des jeunes hommes de faire leurs preuves aux yeux des jeunes femmes.

    Peu après la déclaration de guerre du gouvernement britannique à l'Allemagne, le 4 août 1914, des jeunes femmes furent déployées dans les villes britanniques pour aborder les jeunes hommes dans la rue et leur demander pourquoi, selon toute apparence, ils ne s'étaient pas encore engagés.

    Lorsqu'un sous-marin allemand torpilla le Lusitania, qui transportait plus de 4 millions de cartouches de mitrailleuses des États-Unis vers la Grande-Bretagne, le gouvernement britannique créa une propagande puissante utilisant diverses images de jeunes filles noyées et de jeunes mères serrant leurs enfants dans leurs bras alors qu'ils coulaient au fond de l'Atlantique.

    Aux États-Unis, divers partis qui souhaitaient la participation américaine à la guerre, notamment les intérêts bancaires, publièrent une propagande tout aussi puissante pour attiser la peur et le dégoût de l'Allemagne. Peu importe le nombre d'opérations militaires américaines à l'étranger qui échouent et dont il est révélé ultérieurement qu'elles ont été lancées sous de faux prétextes, de larges pans de l'opinion publique américaine peuvent facilement être manipulés pour soutenir une nouvelle aventure téméraire et coûteuse. Les humains sont des inconditionnels de la propagande de guerre.

    https://www.thefocalpoints.com/p/why-war-propaganda-always-works?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=166733825&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  35. Troisième Guerre mondiale et autres simulacres


    Par CJ Hopkins
    OffGuardian
    25 juin 2025


    Ainsi, la déstabilisation et la restructuration du Moyen-Orient par l'empire capitaliste mondial se poursuivent.

    Oui, je fais référence à « l'attaque préventive » d'Israël contre la République islamique d'Iran, ou « Troisième Guerre mondiale », ou quel que soit le nom que les médias officiels et les influenceurs des réseaux sociaux tentent de vous faire adopter en ce moment.

    Vous m'excuserez si je ne partage ni le récit officiel selon lequel « Israël se défend contre l'arme nucléaire que l'Iran est à deux doigts de développer depuis vingt-cinq ans », ni le récit officieux selon lequel « les sionistes malfaisants qui contrôlent le gouvernement américain tentent d'entraîner Trump dans une guerre pour Israël ».

    C'est l'empire capitaliste mondial, et non « l'Amérique » ou « Israël », qui déstabilise et restructure le Grand Moyen-Orient depuis la fin de la Guerre froide. Cela continuera ainsi jusqu'à ce que toutes les nations de la région jouent le jeu de l'empire.

    « L'Amérique » n'est pas l'empire. « Les sionistes » ne contrôlent pas le monde. Les États-Unis et Israël sont des composantes de l'empire capitaliste mondial. Israël est le quartier général de l'empire au Moyen-Orient. Le complexe militaro-industriel américain et ses partenaires internationaux sont les muscles de l'empire. L'empire mène une opération mondiale de neutralisation et de maintien, neutralisant la résistance interne et « restructurant » le territoire qu'il a conquis et qu'il occupe désormais.

    C'est ce qui se passe au Moyen-Orient. À Gaza. En Iran. En Israël. Regardez une carte. Notez quels pays jouent le jeu de l'empire capitaliste mondial. Notez ceux qui ne jouent pas le jeu. Notez ceux qui ont déjà été « restructurés ».

    Ou ne faites pas ça. Déconnectez-vous et absorbez les récits caricaturaux que les médias et les influenceurs vous soutirent. Les méchants Iraniens et leurs armes nucléaires ! Les méchants sionistes qui contrôlent le monde ! Netanyahou a dupé Trump ! Trump a piégé MAGA ! Les Rothschild ! L'État profond ! Les suprémacistes juifs ! Le retour des néoconservateurs ! La Troisième Guerre mondiale !

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  36. L'empire capitaliste mondial préférerait que vous fassiez cela. Et peu lui importe le récit que vous consommez. L'empire se fiche que vous soyez libéral ou conservateur. Il se fiche complètement de savoir pour qui vous avez voté. Il se fiche que vous soyez un progressiste anti-Trump utilisant des pronoms multigenres ou un conservateur MAGA fan d'Elon Musk. Il se fiche que vous soyez un immigré clandestin qui brûle des Waymo et arbore le drapeau mexicain ou un crypto-fasciste raciste. Il se fiche que vous soyez sioniste ou antisioniste. Il se fiche complètement de ce que vous pensez des vaccins.

    Qui que vous soyez, quel que soit votre « camp », l'empire a un récit tout prêt pour vous. Un récit qui n'a rien à voir avec l'empire capitaliste mondial et son opération de maintien de l'ordre mondial.

    Et c'est là l'un des grands avantages de l'empire capitaliste mondial sur les systèmes totalitaires antérieurs. Contrairement aux communistes et aux nationaux-socialistes, le capitalisme mondial n'a pas d'idéologie ; il peut donc se transformer en tout ce qu'il veut, y compris toute opposition potentielle.

    C'est ce qu'il fait depuis quelques années, plus ou moins depuis la fin de l'ère Covid. De même que l'émission « Espoir et Changement » d'Obama a capté et neutralisé l'opposition croissante à la guerre contre le terrorisme (c'est-à-dire la version originale de la déstabilisation et de la restructuration du Moyen-Orient par l'empire capitaliste mondial), l'émission « Make America Great Again » (avec l'aide du culte Musk) a capté et neutralisé l'opposition « populiste » au nouveau Reich normal (c'est-à-dire la nouvelle forme de totalitarisme capitaliste mondial déployée pendant la pandémie de Covid).

    J'ai exploré ce sujet dans l'essai introductif de « Peur et dégoût dans le Nouveau Reich Normal », mon dernier livre. En voici un extrait…

    Il s'agit également d'une caractéristique essentielle du Nouveau Reich Normal : la capture, le conditionnement et la marchandisation de forces d'opposition irréductibles. (Rappelons qu'il s'agit du totalitarisme capitaliste mondial, et non de la version maladroite du XXe siècle.)

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  37. Toute résistance interne à l'empire qui ne peut être anéantie, ou réduite au silence, peut être marchandisée, stigmatisée et vendue à ses membres comme un simulacre de lui-même. En fin de compte, il peut être instrumentalisé, comme « la Confrérie » dans 1984 d'Orwell. Il peut être transformé en un « mouvement de résistance », qui existe et n'existe pas simultanément, car il n'existe que comme un simulacre (c'est-à-dire une copie d'une chose qui n'existe plus, qui dissimule le fait qu'elle n'existe plus), et déployé pour attirer l'opposition politique dans une guerre sans fin contre d'autres simulacres, une guerre qui est elle-même un simulacre (c'est-à-dire une copie d'une guerre qui n'est pas menée, qui n'a jamais été menée et qui ne sera jamais menée, car elle était déjà terminée avant même d'avoir commencé).

    « Free-speech X » en est un parfait exemple.

    La facilité avec laquelle Elon Musk et un consortium

    La facilité avec laquelle Elon Musk et un consortium de géants du capitalisme mondial, de membres de la royauté saoudienne et d'autres oligarques ont racheté la plateforme autrefois connue sous le nom de Twitter, l'ont rebaptisée « Bastion de la liberté d'expression » (malgré le fait que X continue de collaborer avec l'empire pour censurer la dissidence), ont rassemblé la majorité de l'opposition « populiste » à l'émergence du Reich de la Nouvelle Normalité et l'ont transformée en un culte mondial de la personnalité, témoigne de la polyvalence du capitalisme et de l'avantage de l'absence d'idéologie officielle. Lorsqu'on n'est pas tenu de se conformer à une idéologie spécifique, on peut porter le masque qu'on veut. On peut jouer le rôle qui lui est assigné.

    Tout n'est que marketing, publicité, image de marque. Il s'agit de vendre des images. Les images ne signifient rien. Ce ne sont que des stimuli pavloviens destinés à déclencher une réaction chez le consommateur cible.

    La transformation de Twitter/X en culte d'Elon Musk et sa fusion avec (ou sa prise de contrôle) le mouvement MAGA a été un spectacle fascinant, quoique extrêmement déprimant. À l'heure actuelle, il semble sur le point de devenir l'ennemi officiel que l'empire simule désespérément depuis des années.

    J'ai écrit cela en décembre 2024, juste après l'élection qui a inauguré un « nouvel âge d'or de l'Amérique », ou quelque chose comme ça. Et maintenant… eh bien, nous y voilà. La déstabilisation et la restructuration du Moyen-Orient progressent à grands pas. Israël et l'Iran sont officiellement en guerre. La bande de Gaza est réduite en ruines. Le régime d'Assad a disparu, remplacé par une bande de voyous d'Al-Qaïda, adeptes du capitalisme mondial. Le régime Trump délivre des personnes aux tatouages ​​suspects aux goulags salvadoriens, arrête des étudiants pour avoir écrit des éditoriaux, envoie des hommes de main masqués pour arrêter les « illégaux » et, plus généralement, « rendre sa grandeur à l'Amérique ».

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  38. X est désormais un cloaque de haine raciale amplifiée par des algorithmes, de rage insensée, de propagande d'Elon Musk et de MAGA, de publicités pour des widgets et d'idioties diverses. Palantir est en train de constituer une base de données maîtresse des données personnelles des Américains. Les gens réclament à cor et à cri des « expulsions massives ». Stephen Miller s'inspire de Joseph Goebbels. Elon Musk accuse Trump d'actes dégénérés sur l'île d'Epstein. Personne n'est poursuivi pour avoir menti à tout le monde sur la « Covid », mais Bobby Kennedy a licencié une poignée de bureaucrates, et le défilé militaire d'anniversaire de Trump… et ainsi de suite.

    En résumé, l'empire capitaliste mondial s'est transformé en opposition à lui-même, ou en un simulacre d'opposition à lui-même, et instrumentalise et démantèle simultanément cette opposition (en se vendant lui-même et l'opposition à lui-même à lui-même et l'opposition à elle-même).

    L'empire capitaliste mondial est capable de faire cela parce qu'il n'a ni idéologie ni valeurs à défendre. Il n'a pas besoin d'être cohérent ni cohérent. Il peut porter le masque qu'il veut, car il n'y a pas de visage derrière le masque. Il n'y a rien, ni valeurs, ni idéologie, ni croyances, ni principes, rien à défendre ou à trahir, rien qui l'empêche de devenir quoi que ce soit… et de devenir l'exact opposé l'instant d'après.

    Désolé, j'ai tout gâché. C'est philosophique, et ça a probablement ennuyé beaucoup de mes lecteurs. Oubliez l'empire capitaliste mondial, le néant derrière les masques, et tout ça.

    Je suis presque sûr que je réfléchis trop à ce genre de choses, et c’est juste que les Juifs possèdent tout, ou que les musulmans nous détestent à cause de notre liberté, ou que nous sommes remplacés par des Mexicains illégaux, ou que Trump est Hitler, ou que Saddam a des armes de destruction massive, ou, je ne sais pas… Je suis sûr qu’il y a un expert des médias d’entreprise ou un podcasteur dissident qui peut expliquer ce qui se passe réellement et nous dire pour qui nous sommes censés soutenir.

    This article was originally published on OffGuardian.

    https://www.lewrockwell.com/2025/06/no_author/world-war-iii-and-other-simulacra/

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    1. Les 'partis" communistes ou capitaliste n'existent pas ou existent dans le monde entier ! C'est une divergence élaborée par la dictature pour créer des oppositions.
      Il s'agit là d'un simulacre qui ne représente AUCUNEMENT les idées du Peuple. C'est tout l'art de faire croire qu'il existe une rivalité entre les communistes (mettre en commun) et les capitalistes où l'argent (et non la valeur) sublime le tout dans la vie.
      Or, l''argent' n'a AUCUNE valeur depuis son existence !! SEULE l'intelligence prédomine !
      Le Peuple (8 milliards d'habitants) prédomine dans sa fonction d'élaborer la paix et la VRAIE justice.

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  39. Acétamipride = « chlordécone de la métropole » : formule plaisante mais stupide


    25 Juin 2025



    (Source)
    "La proposition de loi dite « Duplomb-Ménonville » (signée par 185 sénateurs) n'est pas au bout de ses peines. L'opposition reste aussi intransigeante qu'irrationnelle (c'est mon opinion et je la partage). Des petits malins viennent d'exhumer une formule percutante afin d'influencer la suite des opérations. Oui, mais..."

    Rappels

    La proposition de loi dite « Duplomb-Ménonville » – du nom des deux premiers d'une liste de 185 sénateurs signataires du texte d'origine – est loin d'être « sous toit » selon une expression romande (de la partie de la Suisse qui parle une langue dont un politicien français voudrait changer le nom).

    Elle avait pour objectif de « lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur » sur quatre sujets : les produits phytosanitaires et notamment la « surtransposition » des normes européennes ; les normes applicables à l'élevage ; l'irrigation ; les relations avec l'Office Français de la Biodiversité.

    La Commission de l'Environnement de l'Assemblée Nationale, en particulier, en a fait l'exact contraire. C'est le cas notamment de l'irrigation – et donc pour partie de l'avenir de l'agriculture dans le contexte du changement climatique (de la production alimentaire – car, si nos bobos peuvent se passer de l'agriculture, ils ne peuvent pas encore se passer de manger trois fois par jour). Elle deviendrait quasiment impossible si le texte issu de cette commission était adopté.

    Et l'horizon s'assombrissait encore pour l'agriculture et les agriculteurs – pour notre production agricole et alimentaire, et donc notre souveraineté – avec la nuée de propositions d'amendement (3.455) soumises à l'Assemblée pour le débat en séance publique par les Écologistes et la France Insoumise .

    Comme on le sait, le rapporteur, Julien Dive, a déposé une motion de rejet qui fut adoptée à une large majorité (274 contre 121) le lundi 26 mai 2025, coupant ras le débat. La proposition de loi est donc renvoyée à une commission mixte parlementaire de sept députés et sept sénateurs, en principe sur la base du texte adopté par le Sénat le 27 janvier 2025, en pratique sur la base également des modifications adoptées par la Commission des Affaires Économiques de l'Assemblée Nationale (voir le dossier législatif).

    - voir doc sur site -

    « … les néonicotinoïdes... » ? Décidément, on ne se refuse rien ! (Source)

    Une acétamipride hautement allergénique (il irrite les anti-pesticides...)

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  40. Un des points d'achoppement – sinon « le » point – est la disposition qui, faute de rayer de la législation française l'interdiction généralisée et de principe des insecticides néonicotinoïdes (issue de la loi n° 2016-1087 du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité), permettrait d'autoriser par dérogation, dans des conditions très encadrées, le recours à l'acétamipride.

    L'acétamipride est approuvée au niveau européen jusqu'en 2033 par le Règlement d'exécution (UE) n° 2018/113 du 24 janvier 2018.

    Sont visées plus spécifiquement les cultures de betteraves à sucre, contre les pucerons vecteurs de jaunisses virales, et de noisettes, contre le balanin et la punaise diabolique.

    Nombre d'intervenants dans le « débat » issus des milieux de l'agriculture insistent sur la problématique de la « distorsion de concurrence » que subissent les agriculteurs français face à leurs homologues des autres pays européens, ou non-européens, qui peuvent recourir à l'acétamipride pour protéger leurs cultures. En fait, le problème est plus grave : il s'agit de la survie de nos filières betteraves et noisettes, en l'absence d'autres solutions efficaces.

    - voir doc sur site -

    « …il pourra empoisonner, parfois tuer, des milliers de personnes parce qu'on l'aura interdit trop tard » ? Décidément, on ne se refuse rien ! (Source)

    Vachement au courant... (Source)

    Et voici le « bon mot »...

    Il est probable que la Commission Mixte Paritaire maintiendra la possibilité d'accorder des dérogations. Il est donc important pour les opposants de maintenir la pression ; c'est aussi efficace compte tenu du matraquage médiatique exercé jusqu'ici pour décrire l'acétamipride comme l'abomination de la désolation.

    Et voici que des petits malins ont exhumé une déclaration faite par M. Christian Huyghe, alors directeur scientifique agriculture de l'Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE) le 5 avril 2023 devant la Commission des Affaires Économiques du Sénat

    Voici un extrait du compte rendu de la réunion un peu plus large permettant de saisir une partie du contexte (vidéo ici à 00:17:29) :

    « L'autre élément important qui constitue une des forces de ces molécules et en même temps une de leurs très grandes faiblesses, c'est leur demi-vie, qui est très longue. La demi-vie d'un produit comme l'imidaclopride est de 228 jours. Au bout de 228 jours, 50 % de la molécule est encore présente et disponible dans le sol. Au bout de 456 jours, il en reste encore 25 %.

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  41. À ces teneurs-là, si vous semez une plante 450 jours après, elle va être en mesure d'absorber ces molécules par ses feuilles, ses fleurs et son nectar. C'est là le vrai problème : quand vous avez semé une betterave, des quantités d'imidaclopride, par exemple, restent disponibles dans le sol durant deux années, à des teneurs suffisantes pour avoir un impact sur la biodiversité. C'est pourquoi la loi de 2020 a interdit de semer du colza durant deux années après le cycle de culture des betteraves.

    L'acétamipride, que la France n'a heureusement jamais utilisé, est pire que l'imidaclopride. Il s'agit d'un produit stable qui est donc en quelque sorte le "chlordécone de l'hexagone". » (C'est nous qui graissons)

    - voir doc sur site -
    (Source)

    ...mais c'est faux !

    On peut être bref : selon l'ARLA (Agence de Réglementation de la Lutte Antiparasitaire), la demi-vie de l'acétamipride au sol, en condition aérobie – à comparer aux 228 jours de l'imidaclopride évoqués ci-dessus – est de...

    - voir doc sur site -

    4,5 jours.

    Le rapport d'évaluation de l'EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments) est plus disert, mais moins précis. En bref, la persistance y est qualifiée de « très faible à modérée ».

    Grok nous dit :

    « Selon les études évaluées par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) dans le cadre de l'approbation de l'acétamipride (rapport de 2016 et mise à jour de 2024), la demi-vie dans le sol varie généralement de 1 à 8 jours en conditions aérobies en laboratoire. Dans des conditions de terrain, elle peut aller de 1 à 15 jours, avec une moyenne autour de 3 à 7 jours. »

    On est donc très loin du chlordécone...

    Post scriptum

    Une autre manière de semer la panique (source)...

    - voir doc sur site -

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/acetamipride-chlordecone-de-la-metropole-formule-plaisante-mais-stupide.html

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    1. La 'guerre en Iran' est menée principalement pour l'appropriation des ressources pétrolières (après celles de la Libye et de l'Irak) mais, aujourd'hui y est ajouté celle de l'urée. L'Iran 2 ème producteur d'engrais dans le monde après la Chine. Et là, on comprend !
      Pas d'engrais = pas de cultures = famine mondiale !

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  42. Il a lu « Les Illusionnistes » de Géraldine Woessner et Erwan Seznec...


    25 Juin 2025


    (« emprunté » à) Gilles Nassy*

    J'ai trouvé sur LinkedIn... C'est tellement juste que je me permets de le « piquer » pour le poster aussi sur ce blog.

    C’est en lisant « Les illusionnistes », l’ouvrage lumineux de Géraldine Woessner et d’Erwan Seznec, que je découvre que certains se lèvent chaque matin, non pour améliorer la vie de la cité, mais pour, au contraire, la détériorer !

    Ces deux journalistes dignes de leur profession ont mené une enquête très approfondie pour dévoiler l’imposture de l’écologie politique qui, malgré sa très faible représentativité démocratique, est à l’origine des politiques publiques majeures depuis 20 ans (nucléaire, ENRi, OGM, ZFE, ZAN, DPE, phytosanitaires...).

    Dans cet ouvrage, nos deux journalistes analysent une à une les controverses écologistes pour les évaluer soigneusement à la lumière des avis scientifiques et pour les remettre à leur véritable place. Ils nous rappellent qu’un danger n’est pas un risque dès lors que celui-ci est maitrisé par les mesures de sécurité et marges de précautions.

    Puis, en s’appuyant sur nombre de faits et de preuves convaincantes, ils décrivent comment l’écologie politique s’est organisée depuis 40 ans, non pour résoudre des problèmes, mais pour les construire médiatiquement sur la base de données et d’informations volontairement travesties.

    Le pire dans cette histoire, c’est que les conséquences de ces impostures ont été immenses. D’abord pour le climat car les solutions mises en œuvre en son nom lui ont été néfastes. Ensuite pour les citoyens dont les paysages et la qualité de vie s’en sont trouvés durablement dégradés. Enfin pour la jeunesse de ce pays qui a subi de plein fouet cette vision pessimiste du futur et qui finalement a été dépossédée de son envie d’avenir.

    Média, enseignants, intellectuels sont nombreux à avoir fait écho à ces affirmations écologiques que l’on découvre aujourd’hui infondées. Ce narratif apocalyptique et culpabilisant a infusé dans la société telle une nouvelle religion basée sur la morale plus que sur la science.

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  43. Agriculture, énergie, transports, médicaments, phytosanitaires, nucléaire, génétique... tous ces secteurs pourvoyeur de progrès pour notre pays autrefois innovant ont été la cible de leurs méfaits. La France a dû abandonner ses positions de leader dans ces domaines sous la pression médiatique détournée des avis scientifiques. Les politiques se sont retrouvés otages de ces organisations militantes et ont voté depuis 20 ans des lois de déconstruction du progrès.

    Cet ouvrage remarquable doit inspirer nos politiques et nos leaders d’opinions afin qu’ils comprennent le piège dans lequel ils sont tombés et qu’ils reprennent, ensemble, la grande marche du progrès humain pour construire un avenir heureux aux générations futures.
    _________

    * Directeur du pôle viandes et charcuteries chez IFIP – Institut du Porc.

    Source : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7342226243196510208/

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/il-a-lu-les-illusionnistes-de-geraldine-woessner-et-erwan-seznec.html

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  44. Les coupures de courant sont causées par les vagues de chaleur, vous savez ! La faute au changement climatique (et non aux énergies renouvelables !)

    Comment prévenir les coupures de courant pendant une vague de chaleur


    Par Jo Nova
    June 25th, 2025


    Bloomberg prépare tout le monde aux coupures de courant
    Le dernier article de Bloomberg est tout droit sorti de Renewables-Marketing-Inc. Il s'agit d'un appel à l'adaptation de chacun à un réseau défaillant, mais il s'agit surtout d'une pure opération psychologique visant à apprendre aux sbires à imputer les pannes de réseau et le coût élevé de l'électricité aux fortes chaleurs. Ainsi, si le changement climatique provoque des coupures de courant, la solution est « augmenter l'énergie éolienne et solaire », n'est-ce pas ?!

    Tout d'abord, habituez-vous à moins d'électricité et à plus de souffrances.

    Filles et garçons, vous ne pouvez pas continuer à utiliser la climatisation ou à recharger votre voiture aux heures de pointe. Laissez tomber votre style de vie, Susie !

    « Les phénomènes météorologiques extrêmes de toutes sortes – vagues de chaleur, ouragans, inondations – exercent une pression considérable sur le réseau électrique et la vie des citoyens », explique Kit Kennedy, responsable de la division Énergie du Natural Resources Defense Council [NRDC], une organisation à but non lucratif. De simples gestes de la part des consommateurs, comme éviter de recharger sa voiture électrique aux heures de pointe et augmenter la température de la climatisation, peuvent atténuer la pression sur le réseau, affirme Kennedy. « La flexibilité sera la clé.»

    Bloomberg informe ses lecteurs que Kit Kennedy travaille pour une agence à but non lucratif, mais oublie de préciser que ce même NRDC dispose de 462 millions de dollars d'actifs à dépenser, que sa branche chinoise est financée par des agences nationales chinoises, que le personnel du bureau de Pékin travaillait auparavant pour le PCC et que le NRDC estime que la Chine fait un excellent travail. Si Kit était plutôt lié à Exxon, ils veilleraient à ce que nous le sachions tous.

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  45. Cela explique peut-être pourquoi l'équipe de Bloomberg écrit comme des instituteurs communistes :

    Voici ce que vous devez savoir sur l'impact de la chaleur extrême sur les réseaux électriques et comment contribuer à prévenir les pannes.

    N'oubliez pas : si vous pouvez prévenir les pannes, c'est que lorsqu'elles surviennent, c'est de votre faute ! Ne nous blâmez pas, les enfants. Vous avez allumé le four…

    La chaleur extrême perturbe le réseau électrique
    Apparemment, la chaleur actuelle réduit l'efficacité des « générateurs » anonymes et fait chauffer les transformateurs, ce qui perturbe également le flux normal d'électricité. Si seulement la planète ne se réchauffait pas de 0,1 °C tous les dix ans !

    Préparez-vous à des articles 'scientifiques' parmi les pires que vous ayez jamais lus, presque comme si quelqu'un essayait de torturer les métaphores :

    Comment la chaleur extrême nuit aux réseaux électriques

    D'une certaine manière, le réseau électrique fonctionne comme une bascule : il reste stable si l'offre et la demande d'électricité sont égales. Mais les périodes de forte chaleur peuvent réduire l'efficacité de la production et du transport d'électricité, compromettant ainsi l'approvisionnement. Pendant ce temps, de plus en plus de foyers, de bureaux, de magasins et d'usines allumeront leurs ventilateurs ou climatiseurs, consommant davantage d'énergie sur le réseau. Un déséquilibre entre l'offre et la demande peut entraîner une panne de courant, explique Timothy Wang, directeur général du cabinet de conseil Filsinger Energy Partners.

    Étrangement, personne ne s'inquiétait de l'impact des journées chaudes sur l'efficacité des générateurs pendant toutes les décennies où nous avons dépendu des centrales à charbon et à gaz. Étant donné que les anciennes centrales à charbon fonctionnent à 540 °C (1 000 °F), il est peu probable qu'elles se soucient d'une augmentation de 2 °C des températures mondiales. Les générateurs que l'équipe de Bloomberg ne souhaite pas nommer sont ceux qui démarrent dans le sud et l'ouest. Les panneaux solaires perdent près d'un demi pour cent pour chaque degré au-dessus de 25 °C. S'ils atteignent 60 °C sous un soleil de plomb, ils perdent 10 à 17 % de leur production. Les éoliennes peuvent fonctionner par temps chaud, mais les journées chaudes sont souvent sans vent.

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  46. Ils auraient pu se contenter de dire que les nouveaux générateurs, peu fiables, ne supportent pas la chaleur.

    Les transformateurs nécessaires à la fourniture d'électricité peuvent également chauffer, limitant leur capacité à répondre à la demande croissante. Les températures nocturnes élevées empêchent les équipements de refroidir au coucher du soleil. Si la charge électrique du réseau augmente trop, un transformateur vieillissant pourrait exploser, provoquant probablement une panne de courant, voire un incendie, explique Wang.

    Que Dieu nous vienne en aide ! Les vieux appareils tombent en panne à haute température. Alors, ils tombent probablement en panne à des températures glaciales aussi ?

    Votre facture d'électricité sera ensuite affectée par des ondes étranges :

    La chaleur extrême perturbe également le flux normal d'électricité sur les lignes de transmission, ce qui augmente la consommation d'énergie des appareils électroniques de votre maison, explique Marshall. En effet, l'électricité circule par ondes sur les lignes à haute tension, et lorsque ces ondes s'écartent de ce qui est considéré comme idéal, cela perturbe le courant qui alimente les foyers. Selon une estimation de Whisker Labs, cela peut augmenter jusqu'à 20 % la facture d'électricité des consommateurs.

    Ce que Whisker Labs essaie probablement de vous cacher, c'est que les panneaux solaires peuvent provoquer des surtensions à l'heure du déjeuner, ce qui augmentera certaines factures d'électricité. En Australie, la surabondance de l'énergie solaire a poussé la tension électrique jusqu'à la limite de 253 V. Cette tension élevée fera consommer plus d'électricité que d'habitude aux radiateurs, grille-pain, sèche-cheveux et anciens climatiseurs, d'où une augmentation des coûts grâce aux énergies renouvelables.

    Imputez la responsabilité du changement climatique à la hausse des prix de l'électricité.

    Lower those expectations people — you will be lucky if the lights stay on.

    https://joannenova.com.au/2025/06/blackouts-are-caused-by-heatwaves-you-know-blame-climate-change-not-renewables/

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    1. Et oui, c'est l(hiver (depuis le 21 Juin) en Australie !
      4°C en Tasmanie (île en Australie du Sud 'correspondant' à la latitude Nord du Sud de la France)
      et , jusqu'à 27°C à Darwin au Nord de l'Australie. (Brisnane 22°C et 14°C à Sydney).

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  47. Le Royaume-Uni réduit drastiquement les taxes « zéro émission nette » sur les industries énergivores afin d'enrayer l'effondrement de l'industrie britannique


    Par Jo Nova
    June 24th, 2025


    Cela n'a pas pris longtemps ?
    On dirait que le « zéro émission nette » subit un démantèlement rapide et imprévu.

    Il y a deux mois, le Premier ministre britannique était sur la défensive. Il a déclaré au monde que la Grande-Bretagne mettrait tout en œuvre pour accélérer l'objectif « zéro émission nette », renforcer la sécurité énergétique et la maîtrise des conditions climatiques, car « c'est dans l'ADN de mon gouvernement ». Cette semaine, le même Premier ministre a annoncé qu'il sauverait des usines en réduisant les factures d'électricité de plus de 7 000 entreprises parmi les plus énergivores « jusqu'à 25 % » grâce à une réduction drastique des taxes « zéro émission nette ». Ainsi, les entreprises les plus émettrices de gaz carbonique seront excusées, car elles feront faillite, mais le reste du Royaume-Uni pourra payer encore plus, car il n'est pas encore au bord de la faillite.

    À ce propos, des groupes industriels ont averti il ​​y a quelques semaines que les coûts élevés de l'électricité menaçaient l'industrie manufacturière britannique. Il y a cinq jours, la plus grande usine de fibre de verre du Royaume-Uni a annoncé sa fermeture en raison des prix élevés de l'électricité.

    Prétendre atteindre la neutralité carbone est absurde tout en exemptant les plus gros émetteurs. Le gaz carbonique est-il important ou non ? De toute évidence, la neutralité carbone n'est qu'un prétexte pour taxer au maximum « ce que le marché peut supporter ». Taxer jusqu'à ce qu'ils hurlent ?

    L'équipe du Telegraph rapporte que les entreprises britanniques paient la somme exorbitante de 258 £ (351,28 $) par MWh en 2023, « contre 218 £ en Italie, 178 £ en France et 177 £ en Allemagne ». Les entreprises américaines n'ont payé que 65 £. Incroyable ! Mais le lignite australien continue de soumissionner et de remporter les enchères de gros d'électricité en Australie à 5 ou 10 £ par MWh. Si le Royaume-Uni envahissait l'Australie (ce ne serait pas difficile, il suffirait d'éviter les lignes aériennes de Virgin), il pourrait implanter une usine près de Loy Yang et bénéficier de l'électricité la moins chère du monde développé.

    Je suis assez vieux pour me souvenir d'avril 2025 :

    Cet article date de plus d'un mois. La Grande-Bretagne accélérera sa transition vers la neutralité carbone, déclare Starmer lors d'un sommet sur l'énergie.

    The Guardian, 25 avril 2025

    La Grande-Bretagne mettra tout en œuvre pour un avenir bas carbone et accélérera sa transition vers la neutralité carbone au lieu de ralentir comme certains l'ont réclamé, a déclaré le Premier ministre jeudi. Dans sa plus ferme déclaration de soutien à ce programme, Sir Keir Starmer a déclaré lors d'une conférence à Londres réunissant plus de 60 pays que la lutte contre la crise climatique et le renforcement de la sécurité énergétique étaient « inscrits dans l'ADN de son gouvernement ».

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  48. Aujourd'hui, dans un moment héroïque qui marque un « tournant pour l'économie » et une « rupture avec le court-termisme », il va réduire drastiquement les taxes « zéro émission nette » :

    Le salami marketing devient irréel :

    Starmer réduit drastiquement les taxes « zéro émission nette » pour sauver les usines britanniques. Pour rectifier le sous-titre du Telegraph, le Premier ministre ne « réduit pas les factures d'électricité » d'un seul centime. Il n'a pas rendu l'électricité moins chère, ni amélioré l'efficacité, la productivité ou la concurrence. Il se contente de réduire légèrement ses propres taxes, qui jouent sur les conditions climatiques.

    Certaines entreprises britanniques qui survivront jusqu'en 2027 n'auront pas à payer les taxes « zéro émission nette », comme l'obligation d'énergies renouvelables et le tarif de rachat garanti :

    The Telegraph : 22 juin 2025

    Les taxes « zéro émission nette » seront réduites pour des milliers d'industriels, tandis que Sir Keir Starmer s'efforce de sauver l'industrie britannique des coûts d'électricité exorbitants.

    Dans le cadre de la stratégie industrielle tant attendue du gouvernement, le Premier ministre prévoit de réduire jusqu'à 25 % les factures d'électricité de quelque 7 000 fabricants « grands consommateurs d'électricité », notamment les constructeurs automobiles, les usines aéronautiques et les usines chimiques. Cette décision fait suite à des avertissements répétés selon lesquels les fabricants britanniques paient les prix de l'électricité industrielle les plus élevés de tous les pays développés, avec une production en baisse d'un tiers depuis 2021.

    Le Premier ministre a déclaré : « Cette stratégie industrielle marque un tournant pour l'économie britannique et une rupture nette avec le court-termisme et les pansements du passé. »

    Il y a seulement six mois, lors de la COP29, le Royaume-Uni a présenté un « exemple brillant » d'objectifs pour 2035, s'engageant à réduire ses émissions de 81 % d'ici 2035. À l'époque, quelques jours seulement après l'élection de Trump, la neutralité carbone était un objectif de « croissance » et une course pour « aller de l'avant » :

    « Notre objectif de 1,5 °C est aligné sur nos objectifs de croissance », a déclaré Starmer lors de la conférence mondiale sur le climat.

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  49. « Car ne vous y trompez pas, la course est lancée pour les emplois du futur dans les énergies propres ; l'économie de demain. Et je ne veux pas être en queue de peloton. Je veux prendre de l'avance. »

    À quel jeu voulait-il gagner ? Gagner au bingo de l'ONU ?

    D'ici une génération, nous devrons répéter tous ces mots insidieux et catégoriques à l'école afin que les enfants grandissent en apprenant que les politiciens peuvent proférer des fantasmes à 100 %, jusqu'à ce que tout s'écroule, et même là, ils ne s'arrêteront pas.

    https://joannenova.com.au/2025/06/uk-slashes-net-zero-taxes-on-gas-guzzling-industries-to-stop-the-collapse-of-british-industry/

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  50. Les industries américaines mettent en garde contre une contraction de la chaîne d'approvisionnement après l'instauration des droits de douane


    24 Juin 2025
    AGDAILY reporters*


    Une coalition de plus de 200 associations commerciales et agricoles, menée par la Chambre de Commerce Américaine, tire la sonnette d'alarme sur ce qu'elle craint être une répétition du chaos qui a frappé la chaîne d'approvisionnement pendant la pandémie. Dans une lettre envoyée mardi à des responsables fédéraux, dont le secrétaire aux Transports Sean Duffy, le secrétaire au Commerce Howard Lutnick et le président de la Commission Maritime Fédérale Louis Sola, le groupe demande que des mesures rapides soient prises, car la modification des droits de douane et la reprise des échanges commerciaux avec la Chine exercent une pression considérable sur les infrastructures de transport de marchandises du pays.

    La lettre dresse un tableau familier : après une forte hausse des droits de douane au début de l'année, qui a conduit de nombreuses entreprises américaines à suspendre ou à annuler leurs commandes en provenance de Chine, la récente suspension des droits de douane pendant 90 jours a déclenché une ruée effrénée pour expédier des marchandises. Cette demande soudaine entraîne déjà une pénurie de conteneurs d'expédition, une réduction de la capacité des navires et une flambée des tarifs de fret. Les entreprises se préparent à en subir les conséquences.

    « Les parties prenantes craignent fortement que les changements dans la mise en œuvre des droits de douane [...] ne recréent les difficultés rencontrées dans la chaîne d'approvisionnement pendant la pandémie, avec une congestion portuaire importante, une capacité de transport maritime et des conteneurs inaccessibles, des tarifs de fret plus élevés et des retards d'expédition », indique la lettre.

    La coalition ne se contente pas de pointer du doigt, elle propose également des solutions. La principale consiste à demander à l'administration Trump de rétablir le groupe de travail de la Maison Blanche sur les perturbations de la chaîne d'approvisionnement. Le groupe estime qu'une coordination proactive dès maintenant entre les ports, les chemins de fer, les camionneurs, les entrepôts et la main-d'œuvre est le meilleur moyen d'éviter une catastrophe ultérieure.

    « Nous ne pouvons pas nous permettre de voir se reproduire la congestion et les problèmes de vitesse de transport qui ont affecté les chaînes d'approvisionnement américaines pendant la pandémie », prévient la lettre.

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  51. Cette préoccupation n'est pas théorique. Les tarifs de transport maritime augmentent déjà rapidement, et des médias tels que le Wall Street Journal et CNBC font état d'une flambée des coûts de fret, les entreprises s'efforçant de rattraper les retards dans leurs commandes. La coalition estime que l'administration doit travailler en étroite collaboration avec les transporteurs maritimes et les prestataires logistiques pour répondre à la demande croissante, sous peine de subir des répercussions économiques qui pourraient toucher aussi bien les petites entreprises locales que les exportateurs nationaux.
    ______________

    * Source : U.S. industries warn of post-tariff supply chain squeeze | AGDAILY

    Ma note : Les décisions politiques et politiciennes étant ce qu'elles sont, il est important de noter que l'original de cet article est daté du 20 juin 2025.

    https://seppi.over-blog.com/2025/06/les-industries-americaines-mettent-en-garde-contre-une-contraction-de-la-chaine-d-approvisionnement-apres-l-instauration-des-droits-de-douane.html

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  52. L'accaparement des terres : les technocrates pourraient bien profiter d'un pactole de 250 millions d'acres (101 171 410,56 ha) dissimulé dans la loi H.R.1


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 JUIN 2025 - 13H20
    Via Beef News,


    Une disposition méconnue du nouveau projet de loi de réconciliation du Sénat ne concerne pas seulement la vente de terres publiques : elle vise à priver les communautés locales de leur contrôle. Cette disposition interdit aux États et aux comtés de réglementer les « systèmes d'IA » pendant une décennie, ouvrant ainsi la voie à un développement opaque bien au-delà du logement. Des centres de données aux zones à accès restreint, ce projet de loi redéfinit la question de savoir qui a son mot à dire sur l'avenir des terres américaines.

    Oui, le projet de loi Big Beautiful contient des dispositions qui impactent la loi sur les espèces menacées (ESA), et plus particulièrement son droit d'action privé, un mécanisme juridique permettant aux associations militantes de bloquer net l'utilisation des terres.

    Alors que le Sénat débat d'un projet de vente de 1,3 million d'hectares de terres fédérales, cette disposition obscure est devenue le moteur silencieux d'un changement radical dans la répartition des pouvoirs sur le territoire américain.

    Mais les poursuites judiciaires ne représentent qu'une partie de l'histoire. L'autre moitié concerne ce qui se passe après la vente des terres.

    Un confinement à deux vitesses

    D'un côté, le projet de loi de réconciliation du Sénat (H.R.1) propose de vendre entre 0,9 et 1,3 million d'hectares de terres du BLM et du Service des forêts, soit environ 0,5 % à 0,75 % des propriétés fédérales de l'Ouest. Mais, caché dans les petits caractères, se cache quelque chose de plus dangereux : le projet de loi rend plus de 100 millions d'hectares éligibles à la nomination privée, sans consultation publique, sans obligation d'accessibilité financière et sans obligation de révéler l'identité des acquéreurs.

    En bref, le rêve éveillé d'un technocrate en matière d'infrastructures nécessaires au développement des empires de l'IA...

    Via wilderness.org
    Plus alarmant encore est l'article 43201(C) du projet de loi, qui, selon ses opposants, pourrait interdire aux gouvernements des États et aux collectivités locales de réglementer l'utilisation des terres en raison de sa formulation trop vague de « systèmes d'IA ».

    Les critiques, dont Breeauna Sagdal, analyste politique chez Beef Initiative, soulignent que le langage vague et étendu de cet article pourrait involontairement invalider les réglementations locales au-delà de l'IA, ce qui pourrait affecter l'utilisation des terres si des outils d'IA sont utilisés.

    Les réglementations locales susceptibles d'être contournées comprennent : les lois concernant les biais algorithmiques dans la construction de logements, ou la justice pénale, comme le système COMPAS (Correctional Offender Management Profiling for Alternative Sanctions), ou les systèmes de police prédictive, interdits par de nombreuses municipalités à travers le pays.

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  53. D'autres ont soutenu que l'expression « systèmes d'IA » pourrait être interprétée par les agences administratives compétentes (qui servent à la discrétion du Président) comme désignant des centres de données ou des emplacements physiques. À ce stade, le zonage local serait impacté par le droit de préemption accordé au gouvernement fédéral pour dix ans.

    En clair : le projet de loi ne se contente pas de vendre des terres. Il prive le gouvernement local de contrôle, créant un risque considérable qui dépend de l'identité de l'occupant de la Maison-Blanche.

    L'économie des poursuites

    De l'autre côté de l'équation juridique se trouvent les terres domaniales détenues en fiducie – des parcelles concédées aux États pour générer des revenus pour les écoles publiques et compenser les impôts. Nombre de ces parcelles restent inexploitées, non pas en raison des conditions du marché, mais en raison d'un litige relatif à la loi sur les espèces en voie de disparition (ESA).

    En vertu de l'article 11(g) de l'ESA, des groupes comme les Centers for Biological Diversity (CBD) ont été incités à poursuivre les agences étatiques et fédérales, engrangeant ainsi des millions de dollars tout en imposant des changements de politique.

    Un seul procès peut stopper n'importe quel projet : pâturage, atténuation des incendies de forêt, et même infrastructures scolaires.

    CBD revendique un taux de réussite de 93 % devant les tribunaux et finance ses activités en partie grâce aux honoraires d'avocats récupérés lors de ces victoires. Son modèle de contentieux a façonné la politique nationale d'aménagement du territoire et généré des millions de dollars.

    Pendant ce temps, les terres domaniales détenues en fiducie ne sont pas gérées. Les incendies se propagent. Les revenus disparaissent. Et le public n'a jamais le droit de se prononcer sur quoi que ce soit.

    Il ne s'agit pas seulement d'une vente de terrains. C'est un lock-out.

    Bien que le projet de loi du Sénat soit présenté comme une solution au logement, la grande majorité des terrains du BLM et du Service des forêts sont situés loin des infrastructures existantes. Selon Headwaters Economics, seule une petite fraction – estimée à moins de 2 % – se trouve à proximité de quartiers où la demande de logements est forte. De plus, le projet de loi ne contient aucune disposition exigeant l'accessibilité financière, la densité ou les services publics, ce qui laisse la porte ouverte à des projets de luxe ou de développement spéculatif.

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  54. Si l'on ajoute à cela l'interdiction décennale de la réglementation de l'IA par l'État prévue à l'article 43201, qui pourrait avoir un impact sur les réglementations locales d'utilisation des sols, ainsi que sur diverses réglementations fédérales relatives à l'acquisition foncière et à l'expropriation, on obtient un tableau tout autre.

    Il ne s'agit pas de logements.
    Il s'agit de pôles.

    Pôles de données.
    Pôles énergétiques.
    Couloirs logistiques.

    Le squelette des futures villes intelligentes, discrètement greffé sur des terrains autrefois publics.

    Réforme juridique ? Ne retenez pas votre souffle. Début 2025, l'administration Trump a proposé de restreindre la définition de « dommage » de l'ESA afin d'exclure la destruction d'habitats, tentant ainsi de réduire les goulets d'étranglement judiciaires. Mais l'arme juridique principale, le droit privé d'action, reste intacte. Seul le Congrès peut l'abroger.

    D'ici là, les terres publiques restent ouvertes à deux voies :

    L'enclavement par des poursuites judiciaires.

    Ou la vente aux enchères hors de tout contrôle local.

    Dans les deux cas, les droits de propriété privée sont menacés, malgré les affirmations en ligne selon lesquelles il s'agirait d'une solution aux objectifs 30×30 de l'Agenda 2030.

    Conclusion : Une tendance, pas une politique
    Lorsque des terres sont bloquées par des poursuites judiciaires ou soustraites au contrôle local après leur vente, il ne reste plus que protection et progrès. Il s'agit d'un transfert de pouvoir, d'accès, de droits.

    La disposition de l'ESA relative aux poursuites civiles, autrefois un outil de responsabilisation publique, constitue désormais un obstacle à l'utilisation des terres par les États et en milieu rural. Le projet de loi sénatorial sur la vente de terrains, présenté comme une solution au problème du logement, cache l'infrastructure juridique de l'exclusion : ventes descendantes, litiges ascendants et suppression totale de la voix locale.

    Il ne s'agit pas seulement de terrain.
    Il s'agit de savoir qui aura le pouvoir de contrôler les choses.

    Une inconnue risquée, en attendant les résultats des prochaines élections.

    https://www.zerohedge.com/political/big-beautiful-land-grab-technocrats-stand-profit-250-million-acre-bonanza-hidden-hr1

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    1. Par 'terres privées' il ne faut pas entendre l'arrivée de paysans pour les cultiver mais 'terres privées de nourritures' ! Ces terres serviront de friches, puis de forêts qui ne servent à rien à l'heure où la population crie famine !

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