Les vaccins infantiles contiennent des milliards de fragments d’ADN fœtal humain capables d’intégration génomique

  le 21 octobre 2025

  par pgibertie

  

ÉTUDE : Les vaccins infantiles contiennent des milliards de fragments d’ADN fœtal humain capables d’intégration génomique


Une étude évaluée par des pairs a découvert que les fragments d’ADN humain dans les vaccins dérivés de cellules fœtales dépassaient la limite de la FDA jusqu’à 2 760 % et a cartographié leurs sites d’intégration potentiels sur les gènes associés à l’autisme ⬇️

📍 Les vaccins contre la rubéole (Meruvax II) et l’hépatite A (Havrix) contenaient des niveaux massifs d’ADN humain résiduel — 142 à 276 ng par flacon, bien au-dessus de la limite de 10 ng de la FDA.

📍 Les fragments variaient de 215 pb à >48 000 pb — suffisamment grands pour s’intégrer dans les chromosomes.

⚠️ Il a été démontré que l’ADN humain du même type s’intégrait dans le génome des cellules humaines in vitro, affectant jusqu’à 0,6 % de l’ADN total.

🧬 Les « points chauds » d’intégration chevauchaient les gènes associés à l’autisme, suggérant un mécanisme plausible de perturbation génomique.

La cause de la mauvaise qualité de l’ADN étranger n’est pas l’autisme ; le séquençage l’a déjà réfuté. Le problème, c’est qu’il est transmis aux générations suivantes, et nous le savons depuis 1960 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/13798979/

📉 Au Royaume-Uni, en Norvège et en Suède, la prévalence de l’autisme a chuté après la chute de l’adoption du vaccin ROR lors de la « peur de Wakefield » de 1998, puis a fortement augmenté lorsque la couverture vaccinale a repris.

Les auteurs ont conclu que la contamination résiduelle de l’ADN fœtal dans les vaccins constitue un mécanisme biologiquement plausible de mutagenèse insertionnelle et de lésions neurodéveloppementales, y compris l’autisme.

https://pgibertie.com/2025/10/21/les-vaccins-infantiles-contiennent-des-milliards-de-fragments-dadn-foetal-humain-capables-dintegration-genomique/

60 commentaires:

  1. VIOLENCE VACCINALE : Le vaccin anti-Hib contient une bactérie dangereuse qui provoque de graves effets indésirables après l’administration, mettant en danger 3,5 millions d’enfants américains.


    21/10/2025
    S.D. Wells


    Brian Hooker, Ph. D., directeur scientifique de Children’s Health Defense (CHD), et Karl Jablonowski, Ph. D., chercheur principal, ont publié une étude révolutionnaire intitulée « Détection des effets indésirables de l’administration d’HibTITER® sans thimérosal chez les enfants », publiée dans l’International Journal of Risk and Safety in Medicine. L’article présente des résultats alarmants qui soulèvent de sérieuses questions quant à la sécurité et à la surveillance réglementaire du vaccin HibTITER®, autrefois largement administré aux nourrissons aux États-Unis. Résultats de l'étude : Brian Hooker, Ph. D., et Karl Jablonowski, Ph. D., chercheurs du CHD, ont analysé les données Medicaid de Floride (2003-2007) et identifié 19 affections indésirables statistiquement significatives liées au vaccin HibTITER® sans thimérosal, notamment la tuberculose pulmonaire, l'asthme, la colite, l'œsophagite par reflux et la gastro-entérite.

    Contexte du vaccin : Le vaccin HibTITER®, fabriqué par Wyeth Pharmaceuticals, a été utilisé de 1990 à 2007 pour protéger contre les infections à Haemophilus influenzae de type b (Hib). Il a été discrètement arrêté en 2007, après avoir été administré à environ 35 millions de nourrissons américains entre 1991 et 2007.

    Problèmes de sécurité : Les chercheurs ont critiqué la portée limitée des essais cliniques, soulignant que les suivis ne duraient que 72 heures après la vaccination. Ils affirment que des études rigoureuses de sécurité à long terme n'ont jamais été menées, ce qui rend l'approbation et la distribution du vaccin injustifiées scientifiquement.

    Implications plus larges : L'article souligne que les vaccins conjugués anti-Hib demeurent expérimentaux, avec des formulations complexes et instables impliquant des polysaccharides, des vecteurs protéiques et des adjuvants. Les auteurs avertissent que la poursuite des expérimentations vaccinales sans tests adéquats a contribué à l'augmentation des taux de blessures et de maladies chroniques liées aux vaccins.

    Dangers cachés du vaccin HibTITER® : De nouvelles recherches révèlent de graves risques pour la santé de millions d'enfants

    L'étude a analysé un ensemble de données Medicaid de Floride contenant des dossiers médicaux de janvier 2003 à juin 2007, en se concentrant sur les effets indésirables liés à HibTITER®, un vaccin développé pour protéger contre Haemophilus influenzae de type b (Hib), une bactérie responsable d'infections graves telles que la méningite, la pneumonie et la septicémie. Malgré l'objectif initial du vaccin, les données ont révélé 19 pathologies distinctes, allant de maladies bénignes à des maladies potentiellement mortelles, statistiquement associées à l'administration d'HibTITER®.

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  2. Lors des essais cliniques initiaux du vaccin, les évaluations de sécurité se limitaient à des appels téléphoniques effectués auprès des soignants 72 heures après la vaccination. À l'issue de ces brefs suivis, les chercheurs ont déclaré le vaccin « sûr et efficace ». Cependant, comme l'a souligné le Dr Jablonowski : « Nous avons été stupéfaits par les résultats de ces données. Ce vaccin aurait dû être étudié beaucoup plus intensément avant d'être autorisé sur le marché. En fait, son injection chez les nourrissons n'aurait jamais dû être autorisée sans études de sécurité rigoureuses.»

    L'analyse de Hooker et Jablonowski a notamment révélé une augmentation notable des cas de tuberculose pulmonaire chez les enfants vaccinés. Parmi les autres effets indésirables liés à HibTITER® figuraient l'asthme, les infections des voies respiratoires supérieures, la bronchiolite, l'otite moyenne, l'œsophagite par reflux gastro-œsophagien, la colite, l'entérite et la gastro-entérite. Nombre de ces résultats suggèrent une dysrégulation immunitaire et inflammatoire après la vaccination, signe que le vaccin pourrait avoir déclenché des effets systémiques généralisés chez les enfants en développement.

    Le vaccin HibTITER®, produit par Wyeth Pharmaceuticals Inc., a été distribué aux États-Unis de 1990 jusqu'à son arrêt discret en 2007. Malgré l'absence de rappel public ou d'avertissement de sécurité, le retrait du vaccin a coïncidé avec des inquiétudes croissantes quant à sa sécurité et une augmentation des signalements d'effets indésirables. Le Dr Hooker a commenté : « Il est évident que ce vaccin a été discrètement retiré du marché en 2007, notamment au vu de son lien avec de nombreux effets indésirables chez les enfants.»

    À son apogée, HibTITER® était le vaccin Hib dominant entre 1991 et 1994, avant de partager le marché avec d'autres formulations. Les chercheurs estiment que, compte tenu du taux de natalité aux États-Unis et du respect des calendriers de vaccination des CDC, environ 35 millions d'enfants américains nés entre 1990 et 2007 pourraient avoir reçu le vaccin. Ces personnes, aujourd'hui âgées de 16 à 33 ans, pourraient encore souffrir de conséquences à long terme sur leur santé, liées à leur exposition précoce.

    L'étude souligne également le caractère expérimental des vaccins conjugués contre Hib, qui reposent sur des adjuvants complexes, des substances conçues pour amplifier la réponse immunitaire de l'organisme. L'innocuité de ces adjuvants reste mal comprise. Dans le cas d'HibTITER®, le processus de conjugaison impliquait la liaison chimique de polysaccharides Hib à des transporteurs protéiques, par des méthodes simples ou réticulées. Cependant, Hooker et Jablonowski soulignent qu'aucun essai clinique, ni sur l'animal ni sur l'homme, n'a établi de manière définitive l'innocuité ou l'efficacité à long terme de ces vaccins conjugués.

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  3. Par ailleurs, le développement des vaccins continue d'évoluer grâce à des expérimentations de plus en plus poussées en immunologie, biologie moléculaire et glycobiologie. Si ces innovations sont souvent présentées comme des avancées majeures, elles ont également contribué à ce que les critiques qualifient d'épidémie croissante de « lésions vaccinales » et de « violence vaccinale ». La volonté de renforcer les réponses immunitaires, par le biais de stimulations artificielles et de nouveaux systèmes d'adjuvants, pourrait avoir des conséquences biologiques imprévues, notamment chez les nourrissons et les jeunes enfants dont le système immunitaire est encore en développement.

    Les implications de cette étude sont profondes. Pendant des décennies, les parents ont été assurés que les vaccins comme HibTITER® étaient à la fois sûrs et essentiels. Pourtant, cette recherche révèle le manque de données de sécurité à long terme et le potentiel de dommages importants. Ces résultats appellent à une réévaluation urgente des processus d'approbation des vaccins, à une plus grande transparence de la part des fabricants et à une surveillance indépendante des données de sécurité des vaccins.

    En conclusion, les recherches des Drs Hooker et Jablonowski constituent un signal d'alarme pour la communauté médicale et le public. Le vaccin HibTITER®, autrefois administré à des millions de nourrissons dans le cadre de programmes approuvés par les gouvernements, pourrait avoir causé des dommages importants, passés inaperçus pendant des années.

    Alors que la science continue de découvrir les interactions complexes entre les vaccins, le système immunitaire et les effets à long terme sur la santé, il devient de plus en plus évident que la sécurité doit primer sur la rapidité et le profit. Une véritable santé publique ne peut exister sans une transparence totale, des tests rigoureux et la responsabilité éthique de protéger les plus vulnérables : nos enfants. Ajoutez Infections.news à vos favoris pour obtenir les dernières informations sur les virus génétiquement modifiés, propagés par les eugénistes.

    Sources for this article include:

    Pandemic.news
    NaturalNews.com
    SHTFplan.com
    ChildrensHealthDefense.org
    NIH.gov

    https://www.naturalnews.com/2025-10-21-hib-vaccine-causes-serious-adverse-outcomes-3-5-million-u-s-children-at-risk.html

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  4. Avantages pour la santé de la transpiration

    La transpiration embarrassante a de nombreuses propriétés rédemptrices.


    Pierre A. McCullough, MD, MPH
    Oct 22, 2025


    La plupart d’entre nous pensent que la sueur est un inconvénient ou quelque chose à éviter. D'un autre côté, il y a beaucoup à considérer sur les avantages de la transpiration.

    La sueur humaine sert principalement à réguler la température corporelle par refroidissement par évaporation, mais elle peut également jouer un rôle mineur dans l'excrétion de certaines substances qui pourraient être considérées comme des toxines ou des déchets.

    Composition de la Sueur et de sa fonction de base

    La sueur est produite par deux principaux types de glandes: les glandes eccrines (trouvées sur tout le corps, responsable de la plupart de la sueur) et les glandes apocrines (la plupart du temps dans des zones comme les aisselles et l'aine, activées pendant le stress). La sueur eccrine est d'environ 99% d'eau, avec le 1% restant composé de:

    Les électrolytes comme le sodium, le chlorure et le potassium.

    De petites quantités de sous-produits métaboliques tels que l'urée (un déchet azoté provenant de la dégradation des protéines), l'acide lactique et l'ammoniac.

    Les oligo-éléments et autres composés.

    Le but principal est la thermorégulation: Lorsque votre corps chauffe (par exemple, pendant l'exercice ou dans des environnements chauds), la sueur s'évapore de la peau, dissipant la chaleur et empêchant la surchauffe. C’est un processus physiologique essentiel, mais la désintoxication n’est pas son intention principale.

    Preuve du rôle de Sweat dans la désintoxication

    Alors que le foie et les reins manipulent la majeure partie de la désintoxication – le traitement des toxines par la biotransformation et leur excrétion par l’urine, les matières fécales et la bile – certaines recherches indiquent que la sueur peut éliminer de petites quantités de certaines toxines environnementales ou métaux lourds. Cela se produit parce que ces substances peuvent s'accumuler dans les tissus et être mobilisées en sueur pendant la transpiration induite (par exemple, par l'exercice, les saunas ou l'exposition à la chaleur). Voici ce que montrent les études:

    Excrétion des métaux lourds: Plusieurs études ont détecté des métaux lourds comme le nickel (Ni), le plomb (Pb), le cuivre (Cu), l'arsenic (As) et le mercure (Hg) dans la sueur, souvent à des concentrations plus élevées que dans l'urine ou le sang. Par exemple, la transpiration induite (par l'exercice ou les saunas) a été démontrée par Kuan et al pour réduire le fardeau corporel de ces métaux en les mobilisant du stockage dans les tissus et en les excrétant via des glandes sudoripares. L'exercice d'endurance semble plus efficace que les rafales courtes et intenses pour l'excrétion de plomb.

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  5. Autres produits chimiques: La sueur peut aider à éliminer le bisphénol A (BPA, un produit chimique plastique lié aux problèmes de santé) et certains biphényles polychlorés (BPC, polluants industriels). Genuis et al ont trouvé du BPA dans la sueur, ce qui suggère qu’il s’agit d’une voie viable pour surveiller et réduire l’exposition. De même, certains PCB se lient aux composants de la transpiration et sont excrétés, mais pas tous les types.

    Avantages bactériens et microbiens: La sueur contient des glycoprotéines qui peuvent se lier aux bactéries sur la peau, aidant potentiellement à leur élimination et réduisant le risque d’infection. healthline.com Ce n’est pas vrai «désintoxication» mais contribue à la santé de la peau en éliminant les menaces microbiennes.

    Ces effets sont plus prononcés avec des méthodes de « transpiration induite » comme les saunas, le yoga chaud ou l’exercice vigoureux, qui augmentent le volume de la sueur et peuvent mobiliser les toxines stockées des tissus adipeux ou des organes comme suggéré par Hussain et al.

    Limitations et mythes

    Malgré ce qui précède, la transpiration n’est pas une voie de désintoxication primaire ou efficace pour la plupart des toxines:

    Les quantités de toxines excrétées dans la sueur sont généralement minimes par rapport à ce que les reins et le foie manipulent. Par exemple, l’urée en sueur ne représente qu’environ 1% de ce qui est excrété dans l’urine.

    Les allégations selon lesquelles la sueur «nettoie» le corps de l’alcool, des drogues ou des «toxines» générales ne sont pas étayées par des preuves; la sueur ne les purge pas de manière significative. La transpiration excessive (par exemple, dans une chaleur extrême) peut entraîner une déshydratation, un déséquilibre électrolytique ou des maladies liées à la chaleur sans avantages significatifs de désintoxication.

    Vaccins à ARNm COVID-19

    L'ARNm vaccinal a été détecté dans le sang/plasma (jusqu'à 3,2 ans après la vaccination dans certains cas). L'ARNm vaccinal a été trouvé dans le lait maternel qui est modifié par la sueur (quantités de traces, jusqu'à 2 ng/mL dans le lait entier et 17 pg/mL dans les vésicules extracellulaires (VE ou exosomes) dans les 48 heures à la semaine) après la vaccination. L'ARN du SRAS-CoV-2 et la protéine Spike ont été trouvés dans le sperme lors d'une infection aiguë. Le polyéthylène glycol (PEG), un composant LNP, a également été trouvé dans le lait maternel. Ces résultats indiquent que l'ARNm de Pfizer et Moderna et peut-être la protéine Spike vaccinale peuvent être détoxifiés du corps par la sueur.

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  6. Hypothèses sur l'excrétion de sueur:

    La sueur contient naturellement des EV/exosomes du sang et des cellules de la peau (par exemple, les kératinocytes), qui portent des ARN fonctionnels comme les miARN (20-200 pb, sélectivement enrichis à partir du plasma). Les LNP vaccinaux (60-100 nm) sont structurellement similaires à ces véhicules électriques et pourraient théoriquement emballer l'ARNm ou la protéine Spike pour l'excrétion par les glandes sudoripares, en particulier lors de la transpiration accrue (un effet secondaire du vaccin rapporté).

    Compte tenu de l'énormité des blessures et des handicaps liés aux vaccins à ARNm après la vaccination, il est urgent de faire de la recherche pharmacocinétique/dynamique, y compris l'élucidation des voies d'élimination, y compris la sueur.

    En résumé, alors que la sueur peut excréter des traces de métaux lourds, de certains produits chimiques et, plus important encore, de l’ARNm vaccinal COVID-19 – aidant potentiellement la désintoxication mineure chez les personnes ayant des expositions élevées – ce n’est pas un substitut aux principaux systèmes de désintoxication du corps. Mettre l'accent sur une alimentation équilibrée, l'hydratation, éviter les sources de toxines, y compris les vaccins à ARNm, et la conformité quotidienne avec la désintoxication de la protéine Spike de base du protocole McCullough en plus de la transpiration régulière de grand volume est un cours raisonnable jusqu'à ce que nous en apprenions davantage sur ce sujet.

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    Pierre A. McCullough, MD, MPH

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    Kuan WH, Chen YL, Liu CL. Excrétion de Ni, Pb, Cu, As, et Hg en Sueur dans deux conditions de transpiration. Int J Environnement Res Santé Publique. 2022 Apr 4;19(7):4323. doi: 10.3390/ijerph19074323. PMID: 35410004; PMCID: PMC8998800.

    Genuis SJ, Beesoon S, Birkholz D, Lobo RA. Excrétion humaine de bisphénol A: étude du sang, de l'urine et de la sueur (BUS). J Environnement Santé publique. 2012;2012:185731 doi: 10.1155/2012/185731. Epub 2011 Déc 27. PMID: 22253637; PMCID: PMC3255175.

    Hussain J, Cohen M. Effets cliniques de la baignade régulière de sauna sec: un examen systématique. Complément Basé Sur Evid Alternat Med. 2018 Apr 24;2018:1857413. doi: 10.1155/2018/1857413. PMID: 29849692; PMCID: PMC5941775.

    Banoun H État actuel des connaissances sur l'excrétion d'ARNm et de pic produit par les vaccins anti-ARNm COVID-19; possibilité de contamination de l'entourage des personnes vaccinées par ces produits. Recherche sur les maladies infectieuses 2022;3(4):22.

    https://www.thefocalpoints.com/p/health-benefits-of-sweating?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=176533246&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  7. Niveau des élèves français en mathématiques : le naufrage d’une école égalitariste


    21 octobre 2025
    Romain Delisle


    Depuis plusieurs décennies, le niveau des élèves français ne cesse de reculer, en particulier en mathématiques. Les comparaisons internationales les classent parmi les derniers de l’OCDE. Un constat qui laisse dubitatif sur l’efficacité des réformes pédagogiques menées depuis des années.

    « En France, il y a des jeunes qui ont passé des années à l’école et même à l’université et qui n’ont pas les compétences d’un enfant de dix ans » : c’est, textuellement, le pavé dans la mare qu’a jeté il y a quelque temps Andreas Schleicher, le directeur du département d’Éducation et des Compétences de l’OCDE, à l’occasion de la publication du rapport de l’organisation sur l’éducation dans les pays membres.

    La baisse de niveau généralisée des élèves dans les pays de l’OCDE est un phénomène avéré auquel l’IREF avait déjà consacré une étude. Le constat est en France de plus en plus évident. L’affaiblissement est tel que ce n’est plus seulement le niveau des élèves qui pose un problème : celui des professeurs suscite également les plus vives inquiétudes. Il est possible, dans le cas des professeurs des écoles dont le concours est départementalisé, d’être admis avec une moyenne de 6/20, même dans de grandes académies comme celles de Versailles ou de Créteil.

    L’Iref s’était penché il y a peu, sur l’apprentissage de la lecture, qui souffre de graves défauts. Intéressons-nous maintenant à cette chute vertigineuse des compétences en mathématiques au pays d’Henri Poincaré et de Descartes.

    La baisse des compétences mathématiques touche durement la France
    Comme le montre une étude du haut-commissariat à la stratégie et au plan, le niveau en mathématiques baisse de manière abyssale et continue, au moins depuis 1975. Le graphique suivant affiche les résultats des élèves en fonction de leur année de naissance ; ils sont calculés à des âges différents selon les enquêtes, la plus ancienne étant « Lire, écrire, compter ».

    Le haut-commissariat précise que ces résultats ont été standardisés, c’est-à-dire que les différents modes de notations des enquêtes ont été mis sur une échelle commune. L’année 2005 est le pivot de la comparaison, le score des différentes enquêtes représentant l’écart observé avec les compétences en mathématiques des petits Français cette année-là.

    - voir graph sur site -

    Les résultats, assez parlants, montrent un effondrement du niveau, qui transcende d’ailleurs les classes sociales et les sexes. Entre 1987 et 2017, le score des enfants de cadres passe de 280 à 200, c’est-à-dire en dessous du niveau des enfants d’ouvriers en 1987, lequel suit la même tendance et passe de 240 points à 170.

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  8. La massification scolaire, l’influence des réseaux sociaux, le temps passé devant les écrans de plus en plus importants chez les plus jeunes, sont probablement pour beaucoup dans ce phénomène. Il touche l’ensemble des pays développés mais, en comparaison internationale, la France se retrouve souvent en queue de peloton.

    Seuls les pays d’Asie de l’Est, avec une éthique de l’effort prononcée, résistent
    L’enquête TIMSS (Trends in Mathematics and Science Study) réalisée en 2023, donne 484 points au niveau des élèves de CM2 français : c’est le pire de tous les pays de l’OCDE. A titre de comparaison, la moyenne générale est de 525 points ; le score des élèves coréens est de 594 points, japonais 591points, anglais 552 points, néerlandais 537 points… En classe de 4ème, les petits Français obtiennent 479 points, toujours largement distancés par les Coréens et les Japonais (596 et 595 points), les Anglais (525 points) et les Suédois (517 points), la moyenne s’établissant à 507 points.

    Autre graphique, celui de l’enquête PISA (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) : cette fois, la baisse de niveau touche tous les pays développés, seul le Japon faisant exception.

    - voir graph sur site -

    Au regard de ces résultats, il devient difficile de nier l’évidence : la France paie aujourd’hui le prix de décennies de réformes inspirées par le pédagogisme et le refus de l’exigence. L’école a sacrifié la transmission des savoirs sur l’autel de l’égalitarisme, produisant une génération d’élèves désarmés face aux défis du monde moderne. Pendant que l’Asie de l’Est récolte les fruits d’une culture de l’effort et du mérite, notre pays persiste dans le déni. Si la France veut éviter un décrochage irréversible, il lui faudra rompre avec cette logique de nivellement par le bas et renouer d’urgence avec l’excellence, l’autorité et la responsabilité.

    https://contrepoints.org/niveau-des-eleves-francais-en-mathematiques-le-naufrage-dune-ecole-egalitariste/

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    1. Le 'progrès' est passé par là ! Lire ? il y a la télé qui raconte. Écrire ? le stylo (ou plume 'sergent major') remplacé par le clavier et compter ? la calculette va beaucoup plus vite.
      Ce n'est pas trop trop grave mais il y a l'info ! Aaaaalors là, sa recherche est décevante. Les jeunes préfèrent être cons que scientifiques ! La mode des selfies, des clips sur Youtube et conneries sur Facebook sans parler de l''attrait' de la pédale !!
      Quand on voit des profs retenus avec... 6 sur 20 ! HOULALA ! HOULALA !

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  9. Le Documentaire «Une Étude Incommode: Cela Pourrait Tout Changer» Expose Les Tactiques D’intimidation Contre La Recherche Scientifique Indépendante


    Louis Conte
    Oct 22, 2025
    Par Louis Conte, rédacteur en chef de Health Freedom, The MAHA Report


    « Et si tout ce qu’on nous disait sur la science autour des vaccins est faux ? » – Tony Lyons, cofondateur, MAHA Action.

    Le documentaire An Inconvenient Study, un film de Del Bigtree et son Informed Consent Action Network (ICAN), amplifie la question que Lyons a posée à une foule réunie lors de la Table ronde de l’Institut MAHA de septembre sur l’autisme à Washington, D.C.

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    Le film se concentre sur les données de la célèbre Henry Ford Health Foundation (HFHF), qui a comparé les résultats pour la santé des enfants qui n'ont pas été vaccinés avec des enfants qui l'étaient.

    En 2018, le chercheur principal, le Dr. Marcus Zervos, a accepté de faire l'étude après avoir rencontré Bigtree et l'avocat Aaron Siri. Zervos a promis de publier l'étude quels que soient les résultats. Si la recherche a montré que les vaccinés étaient plus sains que les non vaccinés, Bigtree a souligné: «Ce serait l’occasion de contrer les critiques des personnes qui remettent en question la sécurité des vaccins.»

    Selon Bigtree, Zervos a déclaré qu'il était prêt à faire la recherche et à publier l'étude parce qu'il était proche de la retraite. Médecin pro-vaccin, Zevros semblait espérer que les résultats démontreraient les résultats positifs pour la santé des enfants vaccinés.

    Cependant, l’étude HFHF – Impact de la vaccination infantile sur les résultats chroniques à court et à long terme de la santé chez les enfants: une étude de cohorte de naissance – a montré exactement le contraire.

    Les résultats sont dévastateurs pour ceux qui défendent le régime vaccinal actuel de l’Amérique.

    "Cette étude a révélé que l'exposition à la vaccination était associée indépendamment à une augmentation globale de 2,5 fois de la probabilité de développer un problème de santé chronique, par rapport aux enfants non exposés à la vaccination", a conclu l'étude - pas du tout ce que Zevros espérait.

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  10. « Cette association était principalement motivée par l’asthme, la maladie atopique, l’eczéma, les maladies auto-immunes et les troubles neurodéveloppementaux. Cela suggère que chez certains enfants, l’exposition à la vaccination peut augmenter la probabilité de développer un problème de santé chronique, en particulier pour l’une de ces conditions. »

    L'étude de la HFHF cite des experts au dossier même si Dr. Zervos et la HFHF ont reculé de leur promesse de publier leurs conclusions. La HHFF a envoyé des lettres de cessation et d'abandon à Bigtree et à l'ICAN dans le but de supprimer une étude gênante, et toute la couverture de l'étude, qui, selon eux, n'a pas passé d'examen par les pairs. La HFHF est déterminée à censurer les résultats de l'étude et à la garder hors des revues scientifiques accréditées et de la vue du public.

    D'après ce qui est présenté dans le film, il semble que l'article n'ait jamais été soumis pour publication, même si les protocoles de l'étude se sont alignés sur la conception d'une étude vaxée/non disponible établie par les Centers for Disease Control des années avant le début de la recherche.

    Le documentaire expose l'histoire et les questions scientifiques qui mènent à l'article. Les résultats de l'étude ne sont pas vraiment surprenants car les études précédentes vaxées/non vaporisées, bien qu'avec des tailles d'échantillons plus petites, ont montré des tendances similaires. Mais l’étude est plus convaincante que les études précédentes, peut-être parce qu’elle provient d’une population d’échantillons robuste: «Un total de 18.468 sujets consécutifs répondaient à des critères d’admissibilité pour l’étude, dont 1.957 n’avaient aucune exposition à la vaccination et 16.511 avaient reçu au moins un vaccin lors de leur inscription dans le plan avec divers niveaux d’exposition.»

    Des études vaxées/non vaxées ont été présentées et évaluées dans le livre Skyhorse Publishing, Vax-Unvax: Let the Science Speak, de Robert F. Kennedy Jr. (avant de devenir secrétaire à la Santé et aux Services sociaux) et Brian Hooker. Del Bigtree a écrit la préface.

    L'étude sur le vaccin a mis en vedette des personnes comme le Dr. Paul Thomas, qui a publié sa propre étude vaxée/non vaxée en novembre 2020 avec le Dr. James Lyons-Weiler, contributeur au rapport MAHA.

    Dans le film, on nous montre comment le Dr. L’intégrité scientifique de Thomas a été récompensée par le conseil médical de son État, qui a rapidement révoqué le Dr. La licence médicale de Thomas. Thomas se tient à ses recherches. L’article HFHF inédit soutient les résultats que lui et Lyons-Weiler ont trouvés.

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  11. La présence de Thomas dans le documentaire rappelle aux spectateurs l’importance du courage moral.

    Mais pendant que le Dr. Thomas s'est levé, Dr. Zervos s'assit.

    Pour comprendre les raisons de Zervos de changer d’avis, l’équipe de cinéma de Del Bigtree a secrètement enregistré un dîner avec le Dr. Zervos, au cours duquel il dit: «L'étude était bonne... mais je serai renvoyé si je le publie. Je ne veux pas passer par là. »

    Zervos n'était pas l'homme qu'il était il y a quelques années.

    Pourquoi Zervos a-t-il changé d'avis ?

    Il a eu une carrière stellaire. C’est le scientifique qui a appelé l’État du Michigan sur les niveaux de plomb dans le système d’eau de Flint. À cette époque, il était considéré comme un héros de santé publique.

    Puis vient cette chose appelée la pandémie de Covid et Zervos fait une erreur catastrophique. Il a publié un article en 2020 prouvant que l'hydroxychloroquine est efficace contre le virus.

    Comme le révèle une étude pratique, l’étude de Zervos a été immédiatement attaquée par les médias traditionnels. L’homme a un jour salué pour son écologisme a rapidement été étiqueté «théoricien du complot» et vilipendé.

    Parfait familier ?

    Entrez le Dr. Anthony Fauci dira au public américain, dans une série d’interviews sur les médias hérités, que nous ne devrions pas prendre d’hydroxychloroquine, malgré son approbation par le président Trump.

    En 2020, Fauci était à la hauteur de son influence – l’autorité de santé publique la plus puissante sur terre. Il contrôlait des millions de dollars de recherche. Il était « le médecin de l’Amérique », s’adressant au public presque quotidiennement. Fauci était le gars que les gens écoutaient alors que le monde s'effilochait sous nos yeux.

    Mais le film de Bigtree voit Fauci différemment. Dans une étude gênante, le film offre un aperçu de ce que les vaccinés et les non vaccinés peuvent nous apprendre.

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  12. Nous devons reconnaître les faits présentés dans Impact of Childhood Vaccination. Si les enfants vaccinés sont moins en bonne santé que les enfants non vaccinés, la nation doit le savoir, les conséquences doivent être damnées.

    Nous devons également tenir Fauci et les autres auteurs de la pandémie de Covid pour responsables de la création du climat de peur, de censure et de science politisée.

    Jusqu’à ce que cela se produise, il y aura plus de chercheurs qui feront le choix de Zervos.

    Plats à emporter:

    Une étude gênante, un documentaire, étudie les recherches de la Henry Ford Health Foundation qui compare les résultats pour la santé chez les enfants vaccinés avec ceux au sein des familles qui choisissent de ne pas vacciner leurs enfants.

    L’étude conclut: «L’exposition à la vaccination a été associée indépendamment à une augmentation globale de 2,5 fois de la probabilité de développer un problème de santé chronique, par rapport aux enfants non exposés à la vaccination. »

    Le film montre également les effets néfastes des diktats de santé publique de l'ère Covid.

    Une étude pratique est disponible en téléchargement sur ICAN - Informed Consent Action Network.

    https://www.themahareport.com/p/documentary-an-inconvenient-study?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=176153312&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  13. L'agenda De La Ville Intelligente Commence Par Prendre Votre Terrain | Daily Pulse
    Tu croyais posséder ta maison ? Réfléchissez encore.


    Le Renard Vigilant
    Oct 22, 2025


    Regardez l'épisode complet

    STORY #1 - Les banques du Royaume-Uni suivent maintenant l'empreinte carbone de chaque achat effectué par leurs clients - de l'épicerie aux vêtements - tout comme le gouvernement déploie Digital ID.

    - voir clips de Maria sur site -


    Ce qui était autrefois rejeté comme une conspiration se produit maintenant en temps réel. NatWest, l’une des plus grandes banques britanniques, a introduit un « score carbone » pour évaluer les habitudes de dépenses des clients. Alors que d’autres ont encouragé les gens à louer des vêtements au lieu de les acheter pour réduire leur «impact carbone».

    Un rapport de 2019 d’ARUP et C40 Cities a décrit exactement où cela mène: un monde où les gens sont limités à trois nouveaux vêtements par an, zéro viande ou produits laitiers, et un vol court – tous les trois ans.

    Les critiques avertissent que ce système dystopique ne vient pas, qu’il est construit via votre compte bancaire – et il est déjà là.

    Les Américains vont-ils se réveiller et se battre avant qu’il ne soit trop tard ?

    Regardez l'épisode complet ici.

    *

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  14. HISTOIRE #2 - La propagande pour normaliser la Troisième Guerre mondiale a commencé - et elle est juste à la vue de tous.

    Un point de vente britannique conditionne les hommes à accepter la conscription, relançant les mêmes tactiques de plumes blanches utilisées pendant la Première Guerre mondiale pour faire honte à ceux qui ont refusé de se battre. C’est même dire aux lecteurs d’être « prêts à être honteux » s’ils ne s’enrôlent pas.

    Les dirigeants mondiaux parlent comme si la guerre était un accord conclu. Le président serbe a admis que « tous les pays se préparent à la guerre », tandis que les États-Unis. Commandant du Corps des Marines Gen. Eric Smith a averti: «Le prochain combat arrive. Crois-moi, ça vient. »

    L'économiste Martin Armstrong a longtemps averti que l'effondrement économique pousserait l'Occident vers un conflit mondial. Cet effondrement est maintenant plus proche que jamais – et la machine de propagande nous y prépare déjà.

    Le scénario de la Troisième Guerre mondiale est en cours d'écriture en temps réel. La seule question est: quelqu'un l'arrêtera-t-il avant que le monde ne franchisse le point de non-retour?

    Regardez l'épisode complet ici.

    *

    HISTOIRE #3 - Les propriétaires canadiens se réveillent à l'impensable - la terre sous leurs pieds n'est peut-être plus la leur.

    Une décision choquante de la Cour suprême de la Colombie-Britannique a privé les titres privés de résidents de longue date et les a remis aux tribus Cowichan, citant le « titre autochtone » en vertu de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (UNDRIP).

    Le 7 août, la cour a placé 7,5 kilomètres carrés de Richmond, en Colombie-Britannique, sous contrôle tribal, effaçant des générations de propriété privée pendant la nuit. Cent cinquante familles ont été aveuglées, recevant des lettres avertissant que leurs hypothèques et leurs titres fonciers étaient soudainement « compromis ». Beaucoup disent qu'ils n'ont jamais imaginé que quelque chose comme ça pourrait se produire au Canada.

    Ce qui est décrit comme une « réconciliation », avertissent les critiques, est en fait une accaparement de terres soutenue par l’ONU déguisée – une entreprise qui place les terres locales sous contrôle mondial. Ils soutiennent que l’UNDRIP ne concerne pas l’autonomisation des Autochtones, mais la surveillance de la «ville intelligente» et la gouvernance centralisée.

    Si votre terre et votre maison n’en sont pas à l’abri, qu’est-ce que c’est?

    Regardez l'épisode complet ici.

    *

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  15. Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.

    Nous reviendrons avec un autre spectacle demain. On se voit alors.
    Regardez l'épisode complet ci-dessous:

    https://www.vigilantfox.com/p/homeowners-wake-up-to-unthinkable?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=176770691&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  16. Dette publique : la France championne d’Europe en 2030 ?


    21 octobre 2025
    Lorenzo Delpech


    Selon le dernier Fiscal Monitor du FMI, la dette publique mondiale devrait dépasser 100 % du PIB d’ici 2029, un niveau inédit depuis 1948. Dans un scénario encore plus sombre, elle pourrait même atteindre 124 %. Les grandes économies, dont la France bien évidemment, figurent parmi les plus exposées. Plus précisément, alors que les dépenses publiques par rapport au PIB des économies avancées ont presque doublé en 60 ans (passant d’environ 22 % à 43 % du PIB, contre 35 % à 57 % du PIB pour la France), ces dernières afficheront une dette moyenne de 110,2 % du PIB en 2025, contre 73,9 % pour les économies émergentes. À l’horizon 2030, la dette moyenne des économies avancées pourrait même atteindre 118,5 % du PIB.

    Au sein de l’Union européenne, seules la Grèce et l’Italie ont actuellement une dette publique supérieure à celle de la France. Cependant, l’évolution future laisse paraître un avenir sombre pour l’Hexagone. En 2016, la dette atteignait 134,2 % du PIB en Italie et 183,7 % en Grèce, contre 98,1 % en France, soit un écart de 36,1 points de pourcentage avec l’Italie et de 85,6 points avec la Grèce.

    En 2024, l’écart s’est considérablement réduit : 113,1 % pour la France contre 135,3 % pour l’Italie (soit un écart de 22,2 points) et 154,8 % pour la Grèce (un écart de 41,7 points). Autrement dit, en huit ans, l’écart de la dette publique entre la France et l’Italie s’est réduit de 13,9 points de pourcentage, et celui avec la Grèce de 43,9 points.

    D’après les prédictions de ce même rapport pour 2030, la situation continuerait de se dégrader. L’écart ne serait plus que de 0,8 point de pourcentage avec la Grèce et de 7,6 points avec l’Italie. Ces projections traduisent un rapprochement préoccupant (voire un possible dépassement) entre la dette française et celles des pays historiquement les plus endettés de l’Union européenne.

    Sur le plan international, entre 2016 et 2024, la dette française a donc augmenté de 15 points, passant de 98,1 % à 113,1 % du PIB, faisant partie des plus fortes hausses parmi les économies avancées. Plus largement, entre 2016 et 2030, la France, avec une hausse de 31,3 points de pourcentage, enregistrerait la troisième progression de dette la plus forte parmi les économies avancées, juste derrière les États-Unis, dont la dette augmenterait de 36 points, et Singapour, avec une progression de 72,4 points. A noter que la dette américaine pourrait atteindre 143,4 % du PIB en 2030.

    Alors que S&P a abaissé la note de la France de AA- à A+, l’agence Moody’s doit rendre sa décision le 24 octobre. Dans un contexte où la dette publique mondiale peut potentiellement dépasser les niveaux historiques de l’après-guerre, la trajectoire française continue d’inquiéter. En espérant que les probables futures dégradations des notes de la France par les agences de notation ne suivent pas la même pente que la croissance de la dette française annoncée par le FMI.

    https://contrepoints.org/dette-publique-la-france-championne-deurope-en-2030/

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    1. En France il y a des chômeurs et... ils font massivement rentrer des 'réfugiés climatiques' a grand renfort d'avions, de bateaux et de voitures ! Les allocations plombent l'économie.
      De plus, les banques prêtent de l'argent... qu'elles n'ont pas et demandent à être remboursées en billets ! (Essayez d'en faire autant !).

      La 'dette' EST UN MENSONGE ! Une escroquerie internationale comme pour le 'Global Warming', le '9-11' ou le canulars des nano-poussières extraterrestres appelées 'virus' ! Nous sommes au 21 ème siècle ! On est envahi par les machines et robots qui travaillent gratuitement 24/24 h pour nous ! HOURRA ! On devrait toutes et tous être multi-millionnaires !

      AUCUN ministère ne tient debout ! AUCUN ! Ils sortiraient de 'grandes écoles' et ne savent RIEN ! RIEN DE RIEN ! Plus con qu'un ministre il n'y a pas !

      Le niveau de culture dans certains pays étant aujourd'hui sous le plancher la vie de cons n'a jamais été aussi belle !

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  17. Stephen Colbert HUMILIE Karine Jean-Pierre dans Un choc en ondes que personne n'a vu venir

    Colbert a pris un sérieux problème avec une affirmation que Karine Jean-Pierre a faite à propos de Joe Biden.


    Le Renard Vigilant
    Oct 21, 2025


    Ce n’est pas tous les jours que vous voyez Stephen Colbert prendre des photos à son côté du spectre politique. Mais c’est ce qui s’est passé lundi soir dans The Late Show alors que Colbert a fait un échange animé avec l’ancienne attachée de presse de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre.

    Pendant deux années complètes en tant que attaché de presse, Jean-Pierre a directement induit le peuple américain en erreur sur la capacité cognitive de Joe Biden, offrant des affirmations telles que:

    A affirmé que Biden " passe un test cognitif chaque jour - chaque jour alors qu'il passe d'un sujet à un autre sujet ".

    Insisté sur le fait que « 80 est le nouveau 40 » lorsqu’on l’a poussé à connaître l’âge et l’aptitude de Biden à exercer ses fonctions.

    A affirmé que le président Biden était "aussi pointu que jamais", malgré un examen accru des médias à la suite sa performance dans le débat.

    Et elle continue de pousser des affirmations similaires aujourd'hui alors qu'elle promeut son nouveau livre, Independent: A Look Inside a Broken White House, Outside the Party Lines.

    Dans son livre, Jean-Pierre affirme que l’éviction de Biden était une « trahison » de la part des démocrates – un « peloton d’exécution », écrit-elle.

    Colbert a contesté cette affirmation (qui a déclenché l'échange). À la fin du débat, Colbert en a eu tellement marre du spin de Jean-Pierre qu’il a commencé à lui parler comme un enfant.

    REGARDEZ:

    - voir clip sur site -

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  18. COLBERT: « J’ai vu un gars que je n’avais pas vu en coulisses... Cela semblait être une personne radicalement différente. Et à 81 ans, ce n’est pas totalement inattendu. Vous pouvez imaginer pourquoi les gens se sont tellement inquiétés. »

    KJP: « Personne ne dit qu’il n’a pas vieilli. Je parle de l’avoir... de l’acuité mentale, était-il capable de gouverner ? Et l’homme que je voyais presque tous les jours était quelqu’un qui était engageant, comprenait la politique et mettait toujours le peuple américain au premier plan. »

    COLBERT: «Je ne pense pas que quelqu'un ait remis en question son cœur ou sa politique. Mais il faut plus que cela pour être le président des États-Unis. Et dans un moment de grande pression sur scène, nous avons vu quelqu'un nous choquer et nous inquiéter, et rien ne pouvait apaiser cette inquiétude. Donc, je ne pense pas que ce soit nécessairement une trahison de Joe Biden comme d’autres personnes disant: «Nous ne pensons pas qu’on nous ait montré le Joe Biden que vous avez vu. »

    KJP: «J'ai vu chaque jour une agression vraiment laide contre quelqu'un qui avait plus de 50 ans d'expérience et qui, encore une fois, avait objectivement fait un bon travail en tant que président des États-Unis. Et c’était déchirant de voir ce type de comportement. »

    COLBERT: « Ce qui s’est passé, c’est la performance du débat. Tout est en aval de cela. »

    KJP: «Et personne ne dit que la performance du débat n’était pas choquante, ce n’était pas une déception. Personne ne dit ça. »

    COLBERT: « La déception est un terme si léger. »

    KJP: "J'utilise tes mots."

    COLBERT (se moquer): «C'était pénible. Écoutez, écoutez, nous n’allons jamais être d’accord là-dessus. »

    KJP: "Nous ne sommes pas."

    COLBERT: «A part le fait que je suis heureux que vous soyez venu ici ce soir, et je vous dis de vous enrouler là-bas. Voulez-vous dire une chose de plus avant de partir ? »

    https://www.vigilantfox.com/p/stephen-colbert-humiliates-karine?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=176734485&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  19. De plus en plus d'usagers à la peine dans leurs démarches administratives


    France-Soir avec AFP
    le 21 octobre 2025 - 12:03


    En une décennie, les difficultés rencontrées par des usagers dans leurs démarches administratives, pour beaucoup en ligne, ont sérieusement augmenté, poussant certains à renoncer à leurs droits, surtout chez les personnes se disant discriminées, relève le Défenseur des droits (DDD) dans une enquête publiée lundi.

    L'enquête sur l'accès aux droits, qui renouvelle celle de 2016 et est consacrée aux relations des usagers avec les services publics, met en avant que près de deux tiers des usagers rencontrent des difficultés dans la réalisation de leurs démarches et que presque un quart renoncent à demander un droit auquel ils peuvent prétendre.

    Ils sont 61 % à indiquer avoir rencontré des difficultés dans leurs démarches administratives, alors qu'ils n'étaient que 39 % huit ans auparavant.

    Et plus de quatre usagers sur dix déclarent avoir rencontré des problèmes, soit une légère baisse en huit ans (42 % en 2024, 54 % en 2016).

    "Ces deux résultats contribuent notamment à éclairer les effets ambivalents du processus de dématérialisation. Si ce dernier facilite les interactions avec les services publics (...), il peut en revanche constituer un obstacle nouveau", appuie le DDD.

    Selon le rapport de la mission d'information du Sénat sur l'accès aux services publics remis mi-septembre, 82 % des démarches administratives sont réalisées en ligne chaque année.

    - Aisance numérique -

    Les rapporteurs du Sénat ont alerté notamment sur la "déshumanisation des services publics", la "précarité relationnelle" (absence de contact humain) et les "fractures persistantes" dans l'accès au numérique qui en résultent.

    Et d'après le baromètre du numérique 2025, 73 % des Français ont effectué une démarche administrative en ligne en 2024 (contre 67 % en 2021 et seulement 33 % en 2011).

    En 2018, les Petits Frères des Pauvres s'alarmaient déjà de la dématérialisation avec une étude indiquant que 4 millions de personnes âgées de 60 ans et plus n'utilisaient jamais internet, en majorité des personnes de plus de 80 ans et des personnes aux revenus inférieurs à 1 000 euros.

    Le DDD mentionne que 59 % des 55-79 ans rapportent avoir rencontré des difficultés en 2024, contre 30 % en 2016.

    Il met cependant en lumière une augmentation massive des difficultés dans les démarches chez tous les profils de répondants, y compris ceux qui étaient moins concernés auparavant, telles les personnes de niveau master et plus (58 % en 2024, contre 33 % en 2016).

    Mais il pointe aussi que certains groupes sont plus fréquemment concernés comme les personnes en difficultés financières (69 %, contre 44 % en 2016), sans emploi (62 % en 2024), les ouvriers et employés (62 %), les personnes en situation de handicap (68 %).

    Et qu'ils ne sont que 49 % à réussir à effectuer seuls leurs démarches, soulignant "le rôle déterminant des compétences et ressources personnelles - aisance dans la réalisation de démarches administratives, maîtrise du numérique, possibilité d'être aidé par des proches - dans le processus de démarches administratives mais aussi dans l'aboutissement de démarches en cas de problèmes".

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  20. - Discriminations -

    Face à une difficulté, 88 % recontactent l'administration, majoritairement par téléphone (55 %) mais aussi en se rendant sur place (33 %), ce qui démontre une volonté de contourner le numérique en cas de problème, souligne le DDD.

    Enfin, l'enquête met en lumière que 23 % des usagers renoncent à demander un droit auquel ils peuvent prétendre, à cause des difficultés rencontrées durant leurs démarches, de l'échec d'une relance en cas de problème, des discriminations.

    En effet, 21 % de la population déclarent avoir vécu des discriminations dans les relations avec les administrations ou les services publics, telles que les personnes rencontrant des difficultés financières (29 %), les personnes perçues comme noires, arabes ou maghrébines (38 %).

    Et ce sont 50 % de ces personnes se disant discriminées qui renoncent à entamer des démarches, contre 20 % de celles qui n'en ont pas vécues.

    Selon l'Insee, en 2022, les démarches les plus problématiques sont celles pour l'accès aux droits sociaux (allocations familiales, RSA, bourse, prime d'activité, reconnaissance d'un handicap), 56 % des ménages indiquant avoir connu au moins une difficulté dans la démarche.

    L'enquête du DDD a été réalisée auprès de 5 030 personnes âgées de 18 à 79 ans, entre octobre 2024 et janvier 2025.

    https://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/de-plus-en-plus-d-usagers-la-peine-dans-leurs-demarches-administratives

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  21. Facebook veut utiliser les contenus stockés dans les téléphones de ses utilisateurs pour entraîner l’IA


    M. A.
    le 21 octobre 2025 - 10:24


    Pour alimenter son IA, Facebook et sa maison mère Meta ne reculent plus devant rien. Quitte à fouiller dans votre téléphone afin de, à terme, utiliser vos images pour entraîner son intelligence artificielle. La fonctionnalité a été lancée en Amérique du Nord, suscitant des inquiétudes en matière de confidentialité et de respect de la vie privée.

    Entre 2024 et 2025, Meta a progressivement déployé plusieurs mesures visant à utiliser les contenus des utilisateurs de ses plateformes Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp pour entraîner ses intelligences artificielles. Dès l’été 2024, Meta avait d’abord annoncé son intention de s’appuyer sur les publications publiques des utilisateurs européens pour améliorer ses modèles d’IA, notamment LLaMA. Ce projet fut rapidement suspendu après les interventions de la Data Protection Commission (DPC) irlandaise et de la CNIL française, qui jugeaient la base juridique et la transparence du traitement incompatibles avec le RGPD.

    Meta pousse à la publication des contenus privés

    Moins d’un an plus tard, la société californienne est revenue à la charge, officialisant le lancement de cette politique en Europe. À ce stade, ce sont les contenus publics, que ce soit des textes, des photos, des commentaires ou toute réaction publique publiée par les utilisateurs adultes de Facebook et Instagram qui serviront désormais à l’entraînement de ses modèles d’intelligence artificielle.

    C’est en mai dernier que la mise en œuvre effective a commencé. Meta a notifié ses utilisateurs européens via des messages ou des courriels, les informant qu’ils pouvaient refuser l’usage de leurs données grâce à un formulaire d’opposition. S’ils ne remplissent pas ce formulaire, leurs contenus publics sont automatiquement inclus dans l’entraînement des modèles d’IA, en vertu d’un “intérêt légitime” défini par le RGPD.

    En parallèle, Meta AI, son assistant conversationnel a été progressivement intégré à Facebook, Instagram et WhatsApp. Les interactions avec ce chatbot sont elles aussi enregistrées et utilisées pour améliorer le système.

    Un nouveau cap est en train d’être franchi puisque la nouvelle fonctionnalité de Meta ne cible pas que les contenus publics mais aussi privés. Cette fois-ci, Facebook ira chercher ces contenus dans les téléphones de ses utilisateurs.

    Cet outil, déjà lancé aux États-Unis ainsi qu’au Canada, propose des montages, des collages ou des effets pour rendre les images non exploitées “publiables” sur Facebook Stories ou le fil d’actualité. Dans son communiqué, le groupe américain justifie sa démarche par le fait que les utilisateurs prennent plusieurs images pour immortaliser des moments de leur quotidien sans les partager.

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  22. Si cette méthode est déjà utilisée par de nombreuses plateformes comme Google Photos, celles-ci effectuent leurs traitements localement sur le téléphone. À l’opposé de Meta, dont la solution transfère les images sur ses serveurs cloud.

    Les casseroles s’entassent

    Dans un communiqué, Meta assure que ces contenus resteront privés et ne seront pas exploités à des fins publicitaires ni pour un entraînement de ses modèles de l’IA. Sauf si les utilisateurs éditent ses images avec l’outil de Meta et les publient. “Cela signifie que les contenus de la pellicule téléchargés via cette fonctionnalité pour faire des suggestions ne seront pas utilisés pour améliorer l’IA de Meta. Des améliorations de l’IA de Meta ne pourront être apportées que si vous modifiez les suggestions avec nos outils d’IA ou si vous les publiez sur Facebook”, explique Mari Melguizo, porte-parole du groupe.

    Qui veut bien croire Mark Zuckerberg, ce baron de la data... À ce stade, la fonctionnalité n’est disponible qu’en Amérique du Nord. Les règles du RGPD retardent ainsi son lancement. La principale source de préoccupations ne réside pas uniquement dans l’exploitation des contenus publics pour nourrir l’IA, ou dans le fait de promouvoir, à l’aide d’outils dynamiques, la diffusion de contenus privés afin de pousser leurs propriétaires à les publier, mais dans le transit des images dans les serveurs de Meta.

    En 2023, Meta a admis avoir entraîné ses modèles avec des contenus publics de Facebook et Instagram dont la publication remontait à 2007. La société traîne une longue histoire de mensonges et de violations concernant la gestion des données personnelles de ses utilisateurs. Le scandale le plus retentissant reste celui de Cambridge Analytica, où les informations de près de 87 millions de comptes ont été utilisées à des fins politiques sans consentement. Cette affaire a abouti à des condamnations massives  : 5 milliards $ d’amende par la Federal Trade Commission (FTC) américaine en 2019, 500 000 € au Royaume-Uni, et 725 millions $ versés en 2022 pour solder les recours collectifs.

    Depuis, Meta a multiplié les défaillances, entre fuites de millions de données, amendes et sanctions pour violations des règles en matière de gestion de la data des utilisateurs, adultes ou mineurs, en Europe comme aux États-Unis.

    https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/facebook-veut-utiliser-les-contenus-stockes-dans-les-telephones-de-ses

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  23. La fin de la Grande-Bretagne, de la France et de l'Allemagne

    Par John Leake
    Discours courageux
    18 octobre 2025

    Hier, j'ai lu un article du Telegraph intitulé « La Grande-Bretagne et la France sont au stade ultime de l'effondrement du « papa centriste » et j'ai trouvé le paragraphe suivant sur Starmer et Macron particulièrement mémorable.

    Ayant tort sur presque tout, détestés des électeurs, incapables de dire la vérité, animés par une croyance messianique en l'environnementalisme et la technocratie mondiale, incapables d'affronter la réalité, en proie à une empathie suicidaire et accros à la vertu, Starmer et Macron sont devenus d'improbables frères d'armes, malgré leurs styles apparemment incompatibles.

    Ce rapport a résonné en moi, car j'avais eu, la veille, une longue conversation téléphonique avec l'ancien député britannique Andrew Bridgen au sujet de la situation actuelle en Angleterre. Il les perçoit comme très sombres. [amazon template=*lrc ad (right)&asin=]

    À l'été 2014, à l'occasion du 100e anniversaire de la Première Guerre mondiale, je me suis rendu à Leipzig, en Allemagne, où je suis entré dans une librairie près de l'église Saint-Thomas, dont J.S. Bach avait été le directeur musical de 1723 à 1750. La librairie regorgeait de livres écrits par des auteurs qui cherchaient tous à répondre à la question : pourquoi les grandes nations européennes se sont-elles pratiquement suicidées en 1914-1918 ?

    La réponse, me semble-t-il, réside dans la tendance marquée de la classe politique de toute société à se laisser capturer par des intérêts et des idéologies qui n'ont que peu à voir avec ceux des personnes qu'elle gouverne. Hormis les banquiers et les fabricants d'armes, la Grande Guerre de 1914-1918 n'a servi personne dans les pays en guerre. Au contraire, il a envoyé des millions de leurs jeunes hommes, y compris les plus instruits, se faire mitrailler et gazer dans les tranchées.

    Si certains éléments de l'État sont nécessaires pour assurer la sécurité de base, maintenir les infrastructures essentielles et régler les conflits, l'État devient invariablement beaucoup trop grand et parasitaire, et finalement cancéreux.

    Je crains que la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne ne souffrent actuellement d'un cancer de stade 4, né au sein de leurs gouvernements étranges, dirigés par des individus totalement excentriques qui ne représentent en rien les intérêts de leurs citoyens.

    Cet article a été initialement publié sur Courageous Discourse.

    https://www.lewrockwell.com/2025/10/no_author/the-end-of-britain-france-and-germany/

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    Réponses
    1. (...) « Nous importons la pauvreté » –

      Un journal italien affirme que les étrangers appauvrissent l'Italie après la publication de nouvelles données

      « Nous importons des pauvres. Sur la population immigrée totale, 35,6 % vivent dans la pauvreté absolue. Ce taux est cinq fois supérieur à celui des Italiens… » (...)

      https://www.zerohedge.com/the-market-ear/svb-20-spxs-50-day-breaks-vol-erupts

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    2. En cas de 'faillite' les États deviennent privés (Ils s'accaparent). Privés de tout jusqu'à la Démocratie ! Il n'existerait donc plus de 'domaines publics' ni de 'domaines privés'. TOUT reviendrait (et c'est là le devenir de l'escroquerie 'dettes' montée) à de richissimes dictateurs mondialistes s'octroyant le bien de tous.

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  24. Sébastien Lecornu annonce la suppression de 3 119 postes de fonctionnaires : à ce rythme, la France mettrait environ 255 ans pour atteindre la moyenne de l’OCDE


    16 octobre 2025
    Lorenzo Delpech


    Le gouvernement de Sébastien Lecornu a présenté ce mardi 14 octobre en Conseil des ministres un projet de budget visant à réaliser un « effort » de 30 milliards d’euros, en sollicitant principalement les ménages les plus aisés et en réduisant certaines dépenses de l’État. Parmi les mesures phares, une d’entre elles a particulièrement retenu l’attention. Elle concerne la suppression de postes dans la fonction publique. En 2026, le projet prévoit la suppression de 3 119 postes de fonctionnaires, dont 1 735 au sein des 434 opérateurs et agences de l’État.

    Ce chiffre apparaît dérisoire au regard de la structure globale de l’emploi public en France. Selon un rapport de l’OCDE, les administrations publiques représentent environ 21 % de l’emploi total, pour un total d’environ 30,4 millions de travailleurs français en 2023. Pour référence, en 2020, l’IREF avait montré que ce pourcentage pouvait être plus élevé si l’on incluait les fonctionnaires assimilés (emplois aidés dans la fonction publique, dans les organismes publics hors fonction publique, dans les organismes à financement public prédominant, dans les entreprises publiques, etc).

    À la lumière des comparaisons internationales, l’écart entre annonces et réalité est perturbant. Si l’on maintenait le rythme de 3 119 suppressions de postes dans la fonction publique par an, il faudrait 255 ans pour que la France atteigne la moyenne de l’OCDE (18,4 %), 687 ans pour rejoindre le niveau des États-Unis (environ 14 %) et 884 ans pour atteindre celui de l’Allemagne (environ 12 %).

    Même si ces suppressions peuvent avoir un effet symbolique sur certains opérateurs publics, elles restent extrêmement limitées par rapport à l’ampleur de l’emploi public en France. Les chiffres montrent qu’une réduction significative de la taille de l’État ne se résume pas à quelques milliers de postes et nécessiterait des efforts bien plus massifs pour produire un impact réel.

    https://contrepoints.org/sebastien-lecornu-annonce-la-suppression-de-3-119-postes-de-fonctionnaires-a-ce-rythme-la-france-mettrait-environ-255-ans-pour-atteindre-la-moyenne-de-locde/

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    1. Encore un parvenu qui n'a rien, dans la tête ! Ils se congratulent, ils se félicitent ou se disent bonjour, mais sans plus. Sans plus car il ne conversent pas avec les dizaines de millions de sujets qui en n'ont plus dans la tête qu'eux !
      Alors, ils se fusionnent, s'assemblent, s'enculent à tout-va mais ne s'instruisent en rien.

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  25. L’OMC nous annonce les coûts de la flambée du protectionnisme


    16 octobre 2025
    Lorenzo Delpech


    Le commerce mondial de marchandises affichera encore +2,4 % pour 2025, mais la croissance retombera à seulement +0,5 % en 2026, selon le dernier rapport de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). L’effet des tarifs douaniers, des achats anticipés liés à ces tarifs et du ralentissement des échanges nord-américains pèsera lourdement sur les flux mondiaux. Malgré la vigueur du commerce des biens liés à l’intelligence artificielle, le commerce mondial entrera dans une phase de décélération dès l’année prochaine.

    Après une année 2024 déjà en reprise (+2,8 % pour les biens, +6,8 % pour les services), 2025 apparaît comme une période charnière. Les échanges de biens ont progressé de +2,4 % et ceux de services, de +4,6 %. L’Asie et l’Afrique, avec respectivement +5,3 % d’exportations pour chacune, figurent en tête du classement mondial ; l’Amérique du Nord recule de 3,1 % sous l’effet direct des hausses tarifaires et l’Europe stagne à 0,7 %. Quant aux importations africaines (+11,8 %), elles témoignent d’un dynamisme inédit, tout comme celles d’Amérique du Sud (+8,8 %) et d’Asie (5,7 %). Les importations européennes, elles, restent stables (+2,4 %).

    2025 : une année de transition portée par l’IA

    La vedette de cette croissance 2025 est sans conteste le commerce des biens liés à l’intelligence artificielle. L’IA bondit de +20 % sur un an, atteignant 1 920 milliards de dollars au premier semestre 2025 (contre 1 610 milliards de dollars au premier semestre 2024). Les produits (semi-conducteurs, serveurs, machines-outils, ordinateurs et équipements télécoms) représentent 15 % du commerce mondial et 43 % de la croissance totale. Ces biens technologiques compensent partiellement les effets des politiques protectionnistes en maintenant artificiellement le cap d’une croissance encore solide en 2025, mais qui risque de se dégrader en 2026.

    Le directeur général de l’OMC, Ngozi Okonjo-Iweala, souligne : « La réponse mesurée des pays aux changements tarifaires, le potentiel de croissance de l’IA et l’essor du commerce entre pays émergents ont contribué à limiter les reculs du commerce en 2025. » Les échanges Sud-Sud, hors Chine, affichent ainsi une hausse de 9 % en valeur, bien supérieure à la moyenne mondiale de 6 %.

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  26. 2026 : le retour des vents contraires

    La comparaison entre les prévisions d’avril et celles d’octobre 2025 illustre parfaitement la fragilité du commerce international face aux tensions protectionnistes. En avril, l’OMC anticipait une contraction de – 0,2 % suivie d’un rebond à + 2,5 % en 2026. Désormais, c’est l’inverse : une croissance de + 2,4 % cette année, puis un net ralentissement à + 0,5 % l’an prochain. Autrement dit, la montée des barrières tarifaires n’a pas supprimé le choc : elle l’a simplement repoussé.

    En 2026, l’Asie et l’Amérique du Nord connaîtront des trajectoires différentes. Les exportations des marchandises asiatiques devraient stagner à 0 %, après un solide +5,3 % en 2025, tandis que ses importations progresseront modérément de +2,7 %, en retrait par rapport aux prévisions d’avril. À l’inverse, l’Amérique du Nord subira un repli significatif de son commerce extérieur. Les exportations reculeront de 1,0 %, prolongeant la baisse observée en 2025, tandis que les importations connaîtront une chute plus marquée encore de 5,8 %, bien en dessous des prévisions initiales.

    Dans ce contexte, l’Asie apparaît comme la moins touchée par l’instabilité actuelle du commerce international. La nouvelle offensive que Donald Trump a engagée contre plusieurs partenaires visait en particulier la Chine, qui semble pourtant assez peu affectée par les droits de douane qu’impose Washington.

    Les services résistent mieux. En effet, toujours selon les prévisions de l’OMC, le numérique maintiendra une croissance soutenue (+6,1 % en 2025, puis +5,6 % en 2026). En revanche, les services commerciaux progresseront encore de 5,8 % en 2025, avant de ralentir à +5,1 % en 2026. Le transport montrera également des signes d’essoufflement (+2,5 %, puis +1,8 %).

    L’ère des murs tarifaires : l’Europe face à un choix stratégique

    Quant à l’Europe, elle devrait faire preuve d’une relative résilience malgré la révision à la baisse de l’OMC : les exportations de marchandises, initialement prévues à +2,5 % en 2026, ne progresseraient finalement que de 2 %, tandis que les importations, attendues à +2,7 %, ne s’élèveraient qu’à +0,8 %.

    Pour protéger son industrie face à la concurrence, notamment chinoise, la Commission européenne envisage de taxer jusqu’à 50 % l’acier importé, à l’image des mesures protectionnistes de Donald Trump. Ces surtaxes ont pour objectif de freiner les importations à bas coût, mais elles risquent, à court terme, d’alourdir les prix et de peser sur la demande intérieure. Déjà fragilisée par une baisse de productivité et le ralentissement industriel de ses principales économies, l’Europe pourrait voir sa croissance durablement freinée, et elle pourrait de moins en moins peser sur le commerce international.

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  27. En 2026, la véritable bataille de la croissance se jouera sur ce choix stratégique : protéger (ou croire protéger) ses industries ou maintenir l’ouverture et la liberté commerciale qui ont toujours enrichi le monde.

    https://contrepoints.org/lomc-nous-annonce-les-couts-de-la-flambee-du-protectionnisme/

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  28. Les Français préfèrent les économies à la hausse des impôts


    16 octobre 2025
    Philbert Carbon


    Interrogés par l’Ifop pour Intercommunalités de France, 91% de nos compatriotes estiment qu’il est prioritaire de réduire les dépenses de l’État. Ils sont encore 52% à penser qu’il est urgent de réduire les dépenses sociales.

    Si on leur demande de choisir entre économies budgétaires et maintien des services publics de proximité, les Français ne le font pas. Une moitié penche du côté des économies budgétaires quitte à fermer certains services publics, tandis que l’autre moitié est favorable au maintien de ces services quitte à augmenter les impôts. Il est plus que probable que ceux qui ne paient ni l’impôt sur le revenu ni les taxes foncières se retrouvent dans la dernière catégorie. En revanche, il est satisfaisant de constater que les chiffres étaient respectivement de 42% et 58% en 2024.

    De même, 47 % des sondés sont favorables à la diminution des impôts et des prélèvements quitte à réduire les prestations fournies par les services publics locaux (contre 38 % en 2024), alors que ceux qui pensent l’inverse ne sont plus que 33 % (contre 36 % en 2024).

    Pour 86% des électeurs du NFP, la réduction des dépenses de l’État est une urgence !

    Petit à petit, les esprits se rendent donc à l’évidence. C’est encourageant et le Premier ministre aurait dû profiter de ce contexte favorable pour annoncer des économies budgétaires bien au-delà des 17 milliards d’euros prévus dans son projet de budget.

    Il a préféré se soumettre à la gauche qui estime que toute réduction des dépenses est une « déclaration de guerre sociale faite au peuple de France » (Mathilde Panot) ou une « attaque en règle des droits des travailleurs et travailleuses » (intersyndicale). Une gauche qui ne représente pas les Français, ni même ses propres électeurs : toujours selon le sondage Ifop, 86 % des électeurs du NFP aux dernières législatives pensent qu’il est urgent de réduire les dépenses.

    https://contrepoints.org/les-francais-preferent-les-economies-a-la-hausse-des-impots/

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  29. En Grèce, les députés votent la journée de travail de 13 heures


    16 octobre 2025
    Yves Bourdillon


    Pendant qu’en France on décourage le travail (et la prise de risque), ailleurs on se rend compte qu’il faut se retrousser les manches. Les députés grecs ont adopté jeudi un projet de loi qui instaure la possibilité d’une journée de travail de 13 heures dans le secteur privé, dénoncé par les syndicats et la gauche comme un « véritable Moyen Âge du travail ».

    A l’issue de deux jours de débat houleux, une majorité d’élus, surtout ceux de la droite au pouvoir, a voté en faveur de ce texte porté par le gouvernement qui prévoit que, moyennant une rémunération supplémentaire de 40 %, un employé puisse travailler jusqu’à 13 heures par jour. Une mesure qui peut sembler, en effet, dangereuse pour la santé des travailleurs mais cela serait possible durant un nombre de jours limité par an, environ trois par mois, et sur la base du volontariat. A deux reprises, le 1er octobre et mardi, la Grèce s’est retrouvée partiellement paralysée par une grève générale pour protester contre cette réforme.

    Dans un pays où l’économie s’est redressée depuis la crise financière mais reste plombée par des bas salaires, la possibilité d’un travail quotidien de 13 heures existe déjà mais uniquement si un employé dispose de deux employeurs ou plus, ce qui le met en position de refuser éventuellement des pressions de son patron.

    Le gouvernement a insisté sur le fait qu’ »il existe des travailleurs qui demandent à travailler davantage d’heures » surtout dans le secteur du tourisme, l’un des principaux moteurs de l’économie où l’été, serveurs, personnels hôteliers et cuisiniers enchaînent les journées à rallonge. La durée légale du temps de travail quotidien en Grèce est actuellement de huit heures avec la possibilité d’effectuer jusqu’à trois heures supplémentaires. Le taux de chômage a chuté de 18% à 8% en 6 ans.

    https://contrepoints.org/en-grece-les-deputes-votent-la-journee-de-travail-de-13-heures/

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  30. Pétrole, la Russie toujours "l'un des principaux producteurs" malgré les sanctions


    France-Soir avec AFP
    le 17 octobre 2025 - 10:45


    Le président russe Vladimir Poutine s'est félicité jeudi que son pays reste "l'un des principaux producteurs" au monde de pétrole, malgré les sanctions occidentales et les pressions de son homologue américain Donald Trump sur les clients de Moscou.

    "La Russie conserve sa position parmi les principaux producteurs de pétrole, malgré les mécanismes de concurrence déloyale utilisés à notre encontre", a déclaré M. Poutine lors d'un forum consacré à l'énergie à Moscou. Selon lui, la Russie assure 10% de la production mondiale.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/petrole-la-russie-toujours-l-un-des-principaux-producteurs-malgre-les-sanctions

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  31. La révolution robotique : Comment la Chine, en pleine automatisation, laisse l’Occident à la traîne


    16/10/2025
    Zoey Sky


    La Chine a pris une avance considérable en matière d’automatisation, creusant un fossé technologique grandissant qui a choqué les chefs d’entreprise occidentaux.
    Cette révolution de l’automatisation, soutenue par l’État et stratégique, est portée par des initiatives gouvernementales telles que « Made in China 2025 » et des subventions aux entreprises pour l’achat de robots. L’objectif est de maintenir la domination du secteur manufacturier malgré le vieillissement de la population et de devenir leader dans des secteurs à forte valeur ajoutée comme les véhicules électriques et la robotique.

    L’ampleur de l’adoption des robots en Chine est stupéfiante. En 2024, la Chine avait installé plus de deux millions de robots industriels.
    Cette domination robotique a déjà un impact sur les marchés mondiaux. Les entreprises chinoises, notamment dans le secteur des véhicules électriques, peuvent développer et produire des voitures beaucoup plus rapidement et à moindre coût que leurs concurrents occidentaux, ce qui leur permet de conquérir rapidement des parts de marché.

    Les pays occidentaux, en particulier le Royaume-Uni, accusent un retard considérable.

    Le Royaume-Uni affiche un taux d'adoption de robots très faible, et les nouvelles installations sont en déclin. Les experts avertissent que l'absence d'automatisation ne protégera pas les emplois, mais les détruira au contraire, à mesure que les industries perdront leur compétitivité et que la main-d'œuvre se déplacera vers des pays plus performants et automatisés.

    Un choc sourd et profond se propage aux échelons supérieurs de l'industrie occidentale. Les chefs d'entreprise et les dirigeants d'entreprise de retour de missions d'enquête en Chine rapportent un constat cohérent et inquiétant : le fossé technologique ne se réduit pas, il se creuse à un rythme alarmant.

    La source de leur malaise n'est pas seulement la main-d'œuvre bon marché, mais quelque chose de bien plus transformateur et redoutable : une révolution radicale, soutenue par l'État, dans la robotique et l'automatisation, qui a propulsé Pékin au sommet de l'industrie manufacturière mondiale. Les anecdotes de ces visites semblent provenir du futur. Andrew Forrest, le milliardaire australien à l'origine de Fortescue, a décrit sa marche le long d'un immense tapis roulant dans une usine chinoise.

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  32. Des machines ont surgi du sol pour assembler des pièces, et des centaines de mètres plus loin, un camion terminé est arrivé. La caractéristique la plus frappante ? « Il n'y a personne », a remarqué Forrest. Tout est robotisé.

    D'autres dirigeants parlent de vastes « usines obscures » – des installations tellement automatisées que les travailleurs n'ont pas besoin d'éclairage. Greg Jackson, d'Octopus Energy, se souvient avoir visité une de ces usines produisant un nombre astronomique de téléphones portables.

    La fabrication était entièrement assurée par des machines, avec une équipe réduite à l'essentiel pour la maintenance. Selon Jackson, cela marque un changement fondamental : la compétitivité de la Chine est passée d'une question de subventions et de bas salaires à une vague d'ingénieurs hautement qualifiés, moteurs d'une innovation incessante.

    Cette transformation high-tech marque une rupture radicale avec l'étiquette « Made in China », longtemps associée à des produits bon marché et de mauvaise qualité. Aujourd'hui, la Chine est un leader reconnu dans des secteurs à forte valeur ajoutée comme les véhicules électriques (VE), les batteries, les panneaux solaires et la robotique avancée. Cette métamorphose est soutenue par une obsession nationale pour l'automatisation, activement encouragée et subventionnée par le gouvernement.

    Les chiffres sont stupéfiants. Selon la Fédération internationale de robotique (IFR), la Chine a déployé plus de deux millions de robots industriels en 2024, soit une progression considérable par rapport aux 189 000 robots installés il y a dix ans. À titre de comparaison, la Chine a installé 295 000 nouveaux robots rien que l'année dernière, soit plus que les États-Unis (34 000), l'Allemagne (27 000) et le Royaume-Uni (à peine 2 500) réunis.

    L'avance ne se résume pas à une question d'échelle. En termes de densité de robots, un indicateur clé de la pénétration de l'automatisation, la Chine compte désormais 567 robots pour 10 000 ouvriers du secteur manufacturier, devançant largement l'Allemagne (449), les États-Unis (307) et le Royaume-Uni (104).

    D'un atelier à une puissance industrielle : la stratégie derrière la main-d'œuvre du silicium
    Si l'augmentation de la productivité est un objectif universel, les analystes soulignent des motivations stratégiques plus profondes pour la poussée de l'automatisation menée par Pékin. Rian Whitton, de Bismarck Analysis, explique que, parallèlement à sa volonté de dominer les industries d'avenir, la Chine utilise activement les robots pour atténuer l'impact du vieillissement rapide de sa population.

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  33. Face à un problème démographique imminent et à un secteur manufacturier traditionnellement à forte intensité de main-d'œuvre, l'automatisation est perçue comme une compensation nécessaire, un moyen de maintenir, voire d'accroître, son avantage concurrentiel. Cette politique est formalisée par des initiatives telles que « Made in China 2025 » et une stratégie spécifique baptisée « jiqi huanren », signifiant littéralement « remplacer les humains par des machines ». Les autorités locales remboursent souvent aux entreprises une part importante de leurs dépenses en robots industriels, créant ainsi une puissante incitation financière à l'automatisation.

    L'impact concret de cette domination robotique se fait désormais sentir sur les marchés occidentaux, notamment sur les routes. Les véhicules électriques fabriqués en Chine, plébiscités pour leurs bas prix et leurs intérieurs bien équipés, gagnent des parts de marché croissantes. En Grande-Bretagne, par exemple, le constructeur automobile chinois BYD a vu ses ventes décupler en un seul mois, dépassant ainsi celles des marques européennes établies.

    La rapidité du développement est un facteur de différenciation clé. Les experts du secteur soulignent que les constructeurs automobiles chinois peuvent développer et lancer de nouveaux modèles environ deux fois plus vite que leurs homologues européens, une agilité rendue possible par des lignes de production automatisées et ultra-efficaces.

    L'avertissement lancé par des experts comme Sander Tordoir du Centre pour la réforme européenne est sans appel. L'Europe et le Royaume-Uni doivent d'urgence accélérer leur déploiement de la robotique pour suivre le rythme.

    L'enjeu est double. Premièrement, la robotique est essentielle pour accroître la productivité, une préoccupation majeure pour les économies occidentales vieillissantes. Deuxièmement, le secteur a d'importantes répercussions sur le complexe militaro-industriel, faisant de l'avance de la Chine un enjeu de sécurité économique et nationale.

    Le danger de prendre du retard

    Le Royaume-Uni, cependant, s'oriente dans la mauvaise direction. Son bilan en matière d'adoption de robots est déjà médiocre, avec une densité de robots deux fois inférieure à celle de la France. Fait alarmant, le nombre de nouveaux robots installés au Royaume-Uni a chuté de 35 % l'an dernier.

    Les experts mettent en garde contre la tendance des responsables politiques à protéger les usines vieillissantes des industries traditionnelles au lieu de favoriser les emplois de haute technologie de demain. La conséquence de cette inertie n'est pas la préservation de l'emploi, mais sa destruction à terme. Whitton soutient, contre toute attente, que lors du premier « choc chinois » des années 2000, les pays ayant automatisé plus agressivement ont conservé une part plus importante de leurs emplois industriels.

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  34. « On parle beaucoup de la façon dont l'automatisation entraînera des pertes d'emplois », ajoute-t-il. « Mais en réalité, ces pertes d'emplois toucheront de manière disproportionnée les pays qui n'automatisent pas. »

    L'expérience humiliante des dirigeants occidentaux en Chine est un signal d'alarme. L'avenir de l'industrie manufacturière s'écrit à la lueur des écrans, dans des usines obscures et silencieuses.

    Ne pas moderniser et accepter cette réalité ne sauvera pas l'industrie occidentale ; cela conduira simplement à un autre type d'usine obscure chez nous, celle où les lumières sont éteintes parce que le travail a complètement disparu.

    Le moteur d'IA Enoch de BrightU.AI explique que l'Occident devrait s'inquiéter de l'avance considérable de la Chine en matière d'automatisation, car elle crée un écart technologique important et croissant qui menace la compétitivité économique occidentale. Cet écart n'est pas seulement numérique ; il représente une transformation fondamentale des capacités industrielles.

    Regardez Mike Adams, le Health Ranger, expliquer comment les dirigeants de l'industrie manufacturière américaine étaient « terrifiés » par la maîtrise de l'automatisation robotisée qu'ils ont constatée en Chine dans cette vidéo.

    This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.

    Sources include:

    Telegraph.co.uk
    Global.ChinaDaily.com.cn
    Futurism.com
    BrightU.AI
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2025-10-16-robotic-revolution-china-automation-leaving-west-behind.html

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    1. (...) la compétitivité de la Chine est passée d'une question de subventions et de bas salaires à une vague d'ingénieurs hautement qualifiés, moteurs d'une innovation incessante. (...)

      La force est à l'intelligence.

      (...) Les chiffres sont stupéfiants. Selon la Fédération internationale de robotique (IFR), la Chine a déployé plus de deux millions de robots industriels en 2024, soit une progression considérable par rapport aux 189 000 robots installés il y a dix ans. À titre de comparaison, la Chine a installé 295 000 nouveaux robots rien que l'année dernière, soit plus que les États-Unis (34 000), l'Allemagne (27 000) et le Royaume-Uni (à peine 2 500) réunis. (...)

      la Chine a déployé plus de deux millions de robots industriels en 2024, soit une progression considérable par rapport aux 189 000 robots installés il y a dix ans.
      Plus d'esclaves gratos = plus de pouvoir d'achat popur les chinois.

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  35. L'ex-PDG de Netflix s'est fait une station de ski réservée aux ultra-riches


    France-Soir
    le 15 octobre 2025 - 10:50


    Reed Hastings, cofondateur de Netflix, a fait de Powder Mountain un sanctuaire de luxe réservé aux ultra-riches. Ce modèle hybride mêlant public et privé promet de "s'échapper de la foule", et cela n'a pas de prix... Que la montagne est belle !

    Qui ne rêve pas d'une montage où les files d'attente sont un lointain souvenir et où chaque remontée est un voyage privé ? C’est ce que promet Powder Mountain, la station de ski de Reed Hastings, ancien patron de Netflix, qui a racheté la station en 2021 pour 100 millions de dollars. Il en a fait un lieu de ski ultra-exclusif où les membres payants – les plus fortunés – peuvent se ressourcer loin des masses. Le modèle hybride mélange une partie publique, accessible à tous via un abonnement annuel de 1 499 dollars, et une partie privée réservée à ceux prêts à dépenser jusqu’à 100 000 dollars par an pour un accès exclusif.

    Ce modèle s’inspire des clubs privés déjà existants aux États-Unis, comme le Yellowstone Club, où se croisent Bill Gates et Mark Zuckerberg, entre autres. Mais Powder Mountain, loin d’être un simple club de luxe, se veut un espace discrètement élitiste, loin des flashs et du bling-bling. Le concept séduit une clientèle fortunée, principalement composée de personnalités de la tech et du monde des affaires.

    Mais comme le rapporte l'ADN, la privatisation rampante du domaine – 800 hectares passés sous contrôle privé – ne plaît pas à tout le monde. En témoigne la pétition lancée par les habitants locaux pour protester contre cette tendance. Le « capital naturel » devient ainsi un business model, un refuge de luxe dans la nature, qui éloigne les plus modestes.

    Derrière cette montée en gamme de la montagne, c’est tout un secteur qui se redéfinit. Le marché du ski nord-américain devrait dépasser les 8 milliards de dollars d’ici à 2035. En Europe, des stations comme Courchevel ou Megève sont déjà des symboles de l’élitisme en montagne, mais la législation française fait obstacle à ce genre de transformation radicale. Clémence Perrin-Malterre, sociologue des sports à l’Université Savoie Mont Blanc, alerte : « Le ski est déjà une pratique élitiste, mais des modèles comme celui de Powder Mountain risquent d’accentuer cet écart, renforçant une montagne à deux vitesses ».

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/l-ex-pdg-de-netflix-s-est-fait-une-station-de-ski-reservee-aux-ultra-riches

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    1. Bravo les riches qui osent dépenser de l'argent pour faire tourner le commerce de millions d'emplois !

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  36. L’Union européenne s’oppose au quasi-monopole de la Chine sur la production des métaux rares


    14 octobre 2025
    Yves Bourdillon


    L’Union européenne va discuter avec ses partenaires du G7 d’une « réponse coordonnée » aux restrictions annoncées la semaine dernière par la Chine sur les exportations de technologies liées aux terres rares, a-t-elle annoncé mardi. Ces contrôles « ont déjà contraint certaines entreprises européennes à suspendre leur production, provoquant des dégâts économiques réels », a déclaré à la presse le Commissaire européen chargé du Commerce, Maros Sefcovic, à l’issue d’une réunion ministérielle au Danemark.

    Avant même l’annonce de ces nouvelles restrictions, l’encadrement par la Chine des exportations de terres rares n’était déjà pas satisfaisant pour les entreprises européennes, a estimé le commissaire. Ces dernières sont obligées par Pékin de déposer des demandes d’autorisation d’achat de terres rares dans lesquelles elles doivent détailler leurs processus de production. Cela inclut souvent l’obligation de fournir « une documentation photographique de l’ensemble de leurs lignes de production », ainsi que « des informations sur l’entièreté de leur chaîne d’approvisionnement », et « c’est quelque chose de très excessif », a estimé M. Sefcovic. Pékin s’arroge aussi le droit d’interdire les exportations de produits comptant plus de… 0.1 % de terres rares. Ce qu’on peut assimiler à une tentative de faire chanter les industries de haute technologie occidentales.

    La Chine s’est constitué un quasi-monopole mondial de production de ces métaux indispensables aux hautes technologies, dans le numérique, l’automobile, l’énergie ou encore l’armement. En effet, les mines d’extraction de ces métaux sont extrêmement polluantes, en plus d’être très intensives en main d’œuvre.

    https://contrepoints.org/lunion-europeenne-soppose-au-quasi-monopole-de-la-chine-sur-la-production-des-metaux-rares/

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  37. (...) La Chine s’est constitué un quasi-monopole mondial de production de ces métaux indispensables aux hautes technologies, dans le numérique, l’automobile, l’énergie ou encore l’armement. (...)

    La Chine s’est constitué un quasi-monopole mondial de... ! HAHAHAHA !

    La Chine EST constitué un quasi-monopole mondial de...

    Après çà on parlera du pétrole, de l'or et des chewing-gums ! HAHAHAHA !

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  38. Notes de frais d’Anne Hidalgo, le Conseil d’État met fin à la procédure portée par l’association Union parisienne


    M. A.
    le 14 octobre 2025 - 09:56


    Anne Hidalgo esquive la sanction… ! Après des années de procédures, de tensions et d’accusations, l’affaire liée aux notes de frais de la maire de Paris prend subitement fin. Le Conseil d’État a débouté les demandes de l’Union Parisienne (UP!) sans fournir d'argument ni de détails.

    En 2014, l’affaire débute avec les premières demandes de transparence concernant les notes de frais d’Anne Hidalgo, alors tout juste élue maire de Paris. La Ville vote dès cette année une diminution des plafonds de frais de représentation attribués à la maire et aux maires d’arrondissement. Cependant, durant ses deux mandats, la maire fait face à une pression croissante de la part de plusieurs associations citoyennes (dont UP!, Transparence citoyenne et Rouler libre) qui exigent la publication exhaustive de ses frais de déplacement, de bouche, de représentation et d’achats vestimentaires.

    Hidalgo lâche du lest sans convaincre

    Jusqu’en 2020, la mairie refuse systématiquement de dévoiler le détail de ses notes de frais, arguant du respect des règles internes et d’une tentative de déstabilisation politique. La situation s’envenime lorsque plusieurs médias, puis le Parquet national financier, s’intéressent à une série d’achats jugés luxueux réalisés par Anne Hidalgo : entre juillet 2020 et fin 2024, 84 000 euros auraient été dépensés en vêtements de luxe, en parallèle de 125 000 euros de frais de déplacement sur la même période, pour des missions à New York, Tokyo ou Tahiti. Ces voyages, en particulier celui à Tahiti, font l’objet d’une enquête spécifique pour vérifier leur lien avec l’exercice du mandat municipal.

    À partir de 2021, face à la montée de la polémique et à l’approche des élections municipales, la pression médiatique et associative s’intensifie. En 2022 et 2023, les voyages officiels de la maire à l’étranger, souvent très coûteux, sont révélés au public, accentuant le débat sur la légitimité de ces frais et leur adéquation avec les besoins du mandat. Malgré la publication partielle de documents, de nouveaux refus et des plaintes pour dénonciation calomnieuse émanant de la mairie persistaient jusqu’à cette année.

    En septembre et octobre 2025, sous la pression de Mediapart et de l’association Transparence citoyenne, Anne Hidalgo publie finalement plusieurs relevés détaillés de ses frais, ainsi que ceux des maires d’arrondissement. Des audits indépendants, menés par la presse, confirment que les règles organisées par la Ville et la Haute autorité pour la transparence sont respectées, selon l’AFP, mais notent l’absence de justification directe pour certains achats.

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  39. La socialiste a annoncé dans la foulée sa décision de porter plainte le 19 septembre pour “dénonciations calomnieuses” après la révélation par Mediapart de ses frais de déplacement et de représentation, qui s’élèvent à au moins 75 000 euros sur quatre ans en frais, notamment vestimentaires, dans le respect du plafond légal.

    Le Conseil d’État met fin à la procédure

    Lundi, à la surprise générale, le Conseil d’Etat a mis fin à la procédure. La plus haute juridiction de l’État, selon le Figaro qui a dévoilé l’information, a fourni très peu d’explications, outre la phrase: “Aucun de ces moyens n’est de nature à permettre l’admission du pourvoi”.

    C’est l’association Transparence citoyenne qui donne plus de détails. “Dans leur décision récente, le Conseil d'Etat a considéré que l'inscription des noms des convives sur un ticket de caisse de restaurant n'est pas une obligation légale ou réglementaire de sorte qu'on ne peut en exiger communication”, explique l’organisation, qui dit s’attendre également à voir l’UP! déboutée de ses autres demandes.

    “Nous nous attristons de cette décision, qui constitue un recul dans le droit à la communication des documents administratifs, véritable pilier du contrôle démocratique des citoyens”, déplore Transparence citoyenne.

    La décision du Conseil d’État de clore la procédure sur les notes de frais d’Anne Hidalgo tombe à quelques mois des élections municipales de 2026, dans un climat politique particulièrement tendu à Paris. Ce contexte a été marqué par un échange vif et public entre Anne Hidalgo et Rachida Dati lors du Conseil de Paris en octobre. Dati a justement reproché à Hidalgo le train de vie des élus socialistes. Hidalgo lui a répliqué en soulignant le défi de “vivre avec l’indemnité de 4 900 euros nets après impôts”, n'oubliant pas de signaler à Dati qu'elle allait être jugée pour corruption en septembre 2026, en référence aux démêlés judiciaires de la ministre de la Culture.

    Une passe d’armes déclenchée par des années de tensions entre les deux personnalités politiques aux controverses multiples, notamment par la proximité présumée de Transparence Citoyenne avec le camp de Rachida Dati, qu'Hidalgo interprète comme une volonté de “de salir et de nuire” à son image.

    https://www.francesoir.fr/politique-france/notes-de-frais-d-anne-hidalgo-le-conseil-d-etat-met-fin-la-procedure-portee-par-l

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  40. Trump a admis en 2023 qu'il voulait voler le pétrole du Venezuela. Espérons que des têtes plus froides vont le dissuader maintenant et il va arrêter de tirer sur des bateaux dans les eaux internationales

    La Colombie a déclaré que l'un de ces bateaux contenait des ressortissants colombiens.


    Meryl Nass
    Oct 12, 2025


    Le sénateur Rand Paul exige également des preuves que les gens qui sont époustouflés en tant que terroristes ou membres de cartel du Venezuela sont vraiment des membres de cartel ou des terroristes – et quels sont leurs noms? Ils ont été soufflés à des smithereens dans les eaux internationales. Il note: «La mort n’est pas la peine pour trafic de drogue.» Le droit international accorde une procédure régulière à l'interdiction des drogues.

    https://x.com/BenjaminNorton/status/1977045511451689046

    - voir clip sur site :

    https://merylnass.substack.com/p/trump-admitted-in-2023-he-wanted?publication_id=746368&post_id=17598750
    8&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true

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  41. 1997–2025 : Quand l’Occident est distrait, la Chine progresse


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 22 OCT 2025 - 5H25
    Rédigé par Tamuz Itai via The Epoch Times,


    Depuis près de trois décennies, le monde occidental n’a guère connu de période calme : attentats terroristes, guerres au Moyen-Orient et en Ukraine, effondrements financiers, pandémies et fractures politiques croissantes. Chacun de ces événements a fait la une des journaux, a vidé les finances publiques et monopolisé l’attention des décideurs politiques, de Washington à Bruxelles.

    Le résultat ? Une concentration fragmentée, où les urgences prennent le pas sur les menaces à long terme.

    Mais si l’on compare ces moments de désarroi occidental au calendrier de Pékin, une tendance se dessine. Pour une raison ou une autre, nombre des avancées les plus cruciales de la Chine – territoriales, économiques et institutionnelles – ont eu lieu précisément pendant, ou juste avant, les moments de distraction de l’Occident.

    Chronique des chevauchements

    Tout commence à l'été 1997, le 2 juillet. La Thaïlande dévalue son baht, déclenchant la crise financière asiatique. Celle-ci va engloutir les marchés de Séoul à Jakarta, anéantissant des milliers de milliards de dollars et révélant la fragilité des économies émergentes, les « Tigres asiatiques ». Les marchés sont secoués, les devises s'effondrent et les prêteurs se démènent.

    Pourtant, le 1er juillet, la veille seulement, la Grande-Bretagne rétrocède Hong Kong à Pékin après 156 ans de domination coloniale. Au moment même où les marchés financiers asiatiques s'effondrent, la Chine s'arroge la souveraineté sur l'un des principaux pôles financiers mondiaux : une porte d'entrée vers les capitaux internationaux qui alimentera bientôt sa machine à exporter.

    Remontons à mai 1999, lors de la campagne de l'OTAN au Kosovo. Le 7 mai, des avions de guerre américains, commettant une erreur tragique, bombardent l'ambassade de Chine à Belgrade, faisant trois morts et des dizaines de blessés. La fureur éclate. Des journées de manifestations éclatent devant les missions américaines à Pékin et au-delà, une plaie à vif qui allait s'envenimer pendant des années dans les relations sino-américaines.

    Il convient de noter qu'en Chine, les manifestations de cette ampleur sont presque toujours orchestrées par l'État. Cette grève de l'ambassade semble avoir laissé une cicatrice, érodant la confiance à un moment où l'Occident était consumé par les impératifs moraux et militaires d'une intervention. En juillet 1999, le Parti communiste chinois (PCC) lança sa persécution du groupe spirituel Falun Gong, une persécution qui perdure encore aujourd'hui.

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  42. Le tournant du millénaire fut marqué par le 11 septembre 2001 : les pirates de l'air d'Al-Qaïda attaquèrent le World Trade Center, faisant près de 3 000 morts lors de l'attaque la plus meurtrière jamais perpétrée sur le sol américain. Washington, sous le choc, se lance dans une guerre mondiale contre le terrorisme, remodelant ses alliances, ses budgets et ses priorités en matière de renseignement.

    Trois mois plus tard cette année-là, la Chine adhère officiellement à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), mettant fin à quinze années de négociations et s'immisçant dans une économie mondiale fondée sur des règles, pour finalement en bafouer la plupart. Tandis que l'Amérique se lamente et se mobilise, Pékin s'intègre et accède à des marchés qui alimenteront son essor industriel.

    Le 20 mars 2003, les forces armées dirigées par les États-Unis envahissent l'Irak, renversant Saddam Hussein dans une campagne qui va impliquer l'Occident pendant deux décennies. Le même mois, des rumeurs d'une nouvelle menace émanent de Chine : le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) commence à se propager à l'échelle internationale, ce qui incite l'OMC à émettre sa première alerte mondiale le 12 mars concernant des foyers de pneumonie atypique au Guangdong et à Hanoï. Alors que la portée de Washington s'évanouit dans les sables du Moyen-Orient, la première pandémie moderne arrive d'Orient. Pékin la nie d'abord, puis s'abstient de communiquer son ampleur réelle, sanctionnant ainsi les responsables qui publient les chiffres, ce qui constitue un signal d'alarme précoce.

    Des travailleurs migrants portant des masques de protection se dirigent vers la gare pour quitter la ville, craignant le SRAS à Guangzhou, capitale de la province du Guangdong, en Chine, le 2 mai 2003. Christian Keenan/Getty Images

    Le 7 juillet 2005, des kamikazes ont détruit le réseau de transport londonien, tuant 52 personnes lors d'une attaque coordonnée qui, selon l'enquête du gouvernement britannique, a révélé de graves lacunes dans la préparation à la lutte antiterroriste. L'Europe, alarmée, a renforcé ses frontières et redoublé d'échanges de renseignements.

    Pendant ce temps, Pékin, sans se laisser décourager, a accéléré ses investissements à l'étranger en assouplissant les règles de fusions-acquisitions et a lancé le premier Dialogue de haut niveau sino-américain en août de la même année, un forum de discussions économiques et sécuritaires qui allait déboucher sur des liens bilatéraux plus étroits. Alors que l'Europe se concentrait sur la lutte antiterroriste, la Chine s'est intégrée plus étroitement aux réseaux financiers occidentaux.

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  43. Août 2008 a vu l'organisation des Jeux olympiques de Pékin, une démonstration éclatante de l'« arrivée » de la Chine. Le 15 septembre, la faillite de Lehman Brothers a déclenché la crise financière mondiale, plongeant l'Occident dans la récession et provoquant des renflouements de Wall Street à Londres en passant par Francfort. En novembre, Pékin a dévoilé un plan de relance colossal de 586 milliards de dollars, une bouée de sauvetage qui a non seulement stabilisé son économie, mais aussi soutenu la demande mondiale de matières premières, du minerai de fer au pétrole. Alors que les banques occidentales vacillaient, la puissance de feu budgétaire de la Chine a accéléré sa chute, la faisant passer d'usine à nation créancière.

    L'implosion de la dette souveraine européenne a suivi en mai 2010, le premier plan de sauvetage de la Grèce révélant les fissures de la zone euro. Pékin a réagi en augmentant les prêts étrangers par l'intermédiaire des banques d'État et, en septembre, en imposant des restrictions sur les exportations de terres rares. Des investissements et des prêts massifs de Pékin ont commencé à acheter le silence et l'acquiescement des nations européennes.

    Le début des années 2010 a été marqué par de multiples événements : les manifestations du Printemps arabe de 2011 et 2012 ; la guerre civile en Libye, soutenue par l'OTAN ; et les secousses persistantes de la zone euro. Les capitales occidentales ont jonglé entre changements de régime, flux de réfugiés et austérité. Dans l'ombre, Pékin a méthodiquement préparé sa propre transition à la tête du pays : l'accession de Xi Jinping au rang de dauphin présomptif lors du Congrès du Parti de 2012 a scellé une transition de leadership propice à une posture plus affirmée. Le chaos mondial a fourni le prétexte idéal pour des vols internes et un contrôle moindre.

    En mars 2014, le président russe Vladimir Poutine a annexé la Crimée, défiant les normes internationales en vigueur et s'attirant des sanctions occidentales. Puis, en octobre, 21 pays, dont plusieurs alliés des États-Unis, ont signé le mémorandum portant création de la Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (BAII), rivale de Pékin à la Banque mondiale. Tandis que l'Occident isolait Moscou, la Chine construisait une architecture financière parallèle.

    En 2015, en Europe, le déchaînement de Daech a culminé le 13 novembre avec les attentats de Paris, faisant 130 morts sous les balles et les bombes, plongeant le continent dans le deuil et renforçant l'état d'alerte. Cet été-là, la bourse chinoise s'était déjà effondrée, effaçant des milliers de milliards de dollars de valeur dès juillet ; Pékin a réagi en instaurant des contrôles de capitaux en août, freinant les sorties de capitaux pour endiguer l'hémorragie. L'UE avait le regard rivé sur les djihadistes, tandis que Pékin renforçait ses remparts financiers.

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  44. Le vote sur le Brexit du 23 juin 2016 a brisé la façade du projet européen, inaugurant des années de négociations et d'incertitude. Quelques semaines plus tard, le 12 juillet, la Cour permanente d'arbitrage de La Haye a rejeté les vastes revendications du PCC en mer de Chine méridionale, invalidant sa « ligne en neuf traits ». Pékin les a rejetées catégoriquement, redoublant d'efforts pour construire des îles et patrouiller. Le désarroi de l'UE a reflété – et peut-être atténué – toute réprimande occidentale unifiée.

    En juin 2019, les rues de Hong Kong se sont enflammées à cause d'un projet de loi d'extradition, provoquant des manifestations de masse qui ont mis à l'épreuve l'emprise du PCC. Cette situation s'est accompagnée d'une surveillance américaine croissante : les inculpations contre Huawei et sa directrice financière, Meng Wanzhou, ont été rendues publiques en janvier, mais les batailles pour les arrestations et les extraditions ont continué tout au long de l'année. La sécurité technologique est apparue comme la nouvelle ligne de fracture dans la rivalité entre grandes puissances.

    La pandémie est apparue fin 2019 et, en mars 2020, l'OMS a déclaré la COVID-19 « urgence mondiale », avec une réaction qui a submergé les hôpitaux et les économies. Trois mois plus tard, le 30 juin, Pékin a imposé sa loi sur la sécurité nationale à Hong Kong, criminalisant la dissidence et érodant considérablement la promesse « un pays, deux systèmes ». Les crises sanitaires ont étouffé les critiques majeures.

    Août 2021 a marqué le retrait des États-Unis d'Afghanistan, que beaucoup ont décrit comme un échec, bloquant des alliés et dégradant la crédibilité américaine. Pékin n'a pas perdu de temps, accueillant des délégations talibanes en juillet et août afin de témoigner de l'établissement de liens et de se positionner pour combler le vide de pouvoir en Asie centrale.

    Le 24 février 2022, la Russie a lancé son invasion à grande échelle de l'Ukraine, déclenchant une longue guerre d'usure. Trois semaines plus tôt, le 4 février, Xi et Poutine avaient signé leur partenariat « sans limites », un pacte qui allait renforcer les liens militaires et économiques alors que les missiles pleuvaient sur Kiev.

    L'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 a déclenché la guerre de Gaza, polarisant les alliés et mettant à rude épreuve l'unité occidentale. Plus tôt cette année-là, en mars, Pékin avait négocié une détente surprise entre l'Iran et l'Arabie saoudite. Alors que l'Occident naviguait dans le regain d'intérêt pour le Moyen-Orient, la Chine a tergiversé, courtisant tous les États riches en ressources énergétiques tout en soutenant le Hamas.

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  45. Et aujourd'hui, en 2025, le cycle continue. Les droits de douane draconiens imposés par l'administration Trump – jusqu'à 60 % sur les importations chinoises – font l'objet de contestations judiciaires croissantes, notamment un réexamen par la Cour suprême des États-Unis prévu pour sa session de septembre, suite à l'annulation, le 29 août, par le Circuit fédéral, des droits de douane basés sur l'IEEPA. Pékin s'adapte en réorientant les chaînes d'approvisionnement vers de nouveaux blocs commerciaux et des voies de contournement, tandis que le commerce mondial se durcit en sphères rivales – un nouveau nom pour un découplage tant décrié.

    Modèles émergents
    L'analyse des événements correspondants ci-dessus permet d'identifier six tendances :

    Périodes de diversion : Les coups les plus audacieux de la Chine se concentrent dans les crises occidentales, des saisies territoriales aux lancements institutionnels.

    Avantage contracyclique : Lorsque les économies occidentales vacillent – ​​pensez à 2008 ou 2010 – Pékin se développe, prêtant à l'étranger ou accumulant des ressources.

    Tests de résistance institutionnels : Face aux turbulences de Wall Street ou aux tensions sur l'OTAN, la Chine met en place des alternatives, comme la BAII, ou défie les décisions, comme celles de La Haye.

    Consolidation intérieure : Le tollé mondial étouffe les mesures de répression internes, de l'accession de Xi Jinping à la loi sur la sécurité nationale de Hong Kong.

    Posture de couverture et position de courtier : À Gaza ou en Ukraine, Pékin joue le rôle de courtier apparemment neutre, comme dans le cas de l'accord Iran-Arabie saoudite.

    Un rythme de 6 à 12 mois : Les actions se déroulent dans les fenêtres de crise, sans s'éterniser.

    Parfois, la Chine agit juste avant la tempête – les Jeux olympiques avant Lehman Brothers, le pacte Xi-Poutine avant l'Ukraine – et la diversion étouffe les représailles. Pékin avait-il anticipé ces événements, ou pire ? Peut-être. Nous n'avons aucune preuve de ce qui le suggère. Mais l'exploration incessante des frontières par le PCC s'avère payante lorsque l'Occident est occupé par ailleurs.

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  46. Aborder les sceptiques

    Soyons clairs : ce schéma est loin d'être parfait. Mais la réalité l'est souvent. Par exemple, la rétrocession de Hong Kong était planifiée des décennies auparavant ; l'adhésion à l'OMC était en préparation depuis 15 ans. Certaines mesures, comme le plan de relance de 2008, semblaient découler des problèmes d'exportation de la Chine. Plus généralement, il est connu que les grandes puissances agissent sans cesse dans de nombreuses directions, de sorte que les chevauchements sont inévitables.

    Cependant, jusqu'à présent, nous avons souligné une corrélation, et non une causalité. Cette tendance se maintient. C'est un signal, et non un bruit. Pour une raison ou une autre, au moment où les diversions se produisent, Pékin insiste, et souvent l'emporte.

    On constate que la guerre contre le terrorisme a englouti des milliers de milliards de dollars – 8 000 milliards de dollars rien que pour l’Irak et l’Afghanistan, selon le projet « Costs of War » de l’Université Brown –, détournant l’énergie de l’exécutif, du Congrès et des alliances de la stratégie chinoise. Le « pivot vers l’Asie » de l’administration Obama en 2011 a été sous-financé et entravé par les bourbiers persistants du Moyen-Orient.

    Il en va de même pour les facteurs internes, comme le plan de relance chinois de 2008. On pourrait dire qu’il visait à sauver l’économie exportatrice chinoise, et non à exploiter la crise occidentale. Cependant, ces impératifs nationaux prennent un essor supplémentaire lorsque des rivaux sont soudainement mis à l’écart.

    Lorsqu'il s'agit de critiquer la conduite de la Chine, même à l'époque irakienne, la diplomatie américaine a continué de dénoncer les violations des droits de l'homme et leur sous-évaluation. Mais imaginez l'alternative : une concentration sans faille se traduisant par des sanctions plus sévères, des alliances plus rapides et des politiques industrielles plus audacieuses. La diversion n'a pas complètement effacé la réponse, mais l'a grandement atténuée.

    Il est important de noter ici que le PCC est extrêmement sensible aux critiques publiques sur les droits de l'homme. Cela pourrait constituer un levier considérable pour l'Occident, qu'il utilise malheureusement rarement.

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  47. Interprétation et implications

    Tout ce qui précède témoigne d'un timing stratégique : de l'opportunisme, au minimum. Les diversions réduisent considérablement le prix de l'audace, qu'elle soit a posteriori ou préventive. Il s'agit également d'une avancée à double sens : à l'extérieur, des institutions comme la BAII courtisent le Sud ; à l'intérieur, les contrôles se resserrent du Xinjiang à Hong Kong. Les gains sont alors intégrés avant que la résistance ne se forme.

    Cette tendance en dit long sur les vulnérabilités occidentales autant que sur la stratégie chinoise, et peut-être aussi sur l'absence d'une vision globale de la situation géopolitique réelle. Nos réponses ont été soit insuffisantes, soit excessives – et décidément trop tardives –, créant des lacunes que le PCC n'a pas pu combler.

    Comme l'aurait dit Mark Twain : « L'histoire ne se répète pas, mais elle rime souvent.» Ici, le vers est sans équivoque : lorsque l'Occident détourne le regard, la Chine avance. À nous d'en saisir la rime et d'être prêts à agir.

    Views expressed in this article are opinions of the author and do not necessarily reflect the views of The Epoch Times or ZeroHedge.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/1997-2025-when-west-distracted-china-advances

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  48. Comment s'est déroulé le « Braquage du siècle » du Louvre


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 22 OCTOBRE 2025 - 11H00
    Rédigé par Rachel Roberts via The Epoch Times


    Le vol audacieux de bijoux inestimables au Louvre à Paris, le 19 octobre, a été qualifié de « braquage du siècle » par plusieurs journaux locaux, et les commentateurs ont rapidement établi des parallèles avec des crimes similaires ayant fait la une des journaux au fil des ans.

    Des questions sur le dispositif de sécurité du musée le plus visité au monde, qui attire près de 9 millions de visiteurs par an, ont été soulevées suite à ce vol en plein jour, ainsi que des spéculations sur les commanditaires potentiels.

    Alors que les enquêteurs s'efforcent d'arrêter les personnes impliquées, voici ce qu'il faut savoir sur la manière dont le braquage a été réalisé en quelques minutes seulement, ce qui a été volé et pourquoi les experts craignent que les bijoux ne soient jamais retrouvés.

    Déroulement

    Le matin du 19 octobre, des voleurs cagoulés ont fait irruption dans une galerie à l'étage. Ils ont utilisé une nacelle élévatrice montée sur camion, appelée « nacelle élévatrice », pour briser une fenêtre avant de piller des objets précieux dans une zone abritant les joyaux de la couronne française.

    Les braqueurs ont frappé à 9 h 30, heure locale, une demi-heure seulement après l'ouverture du musée au public, a déclaré la procureure de Paris, Laure Beccuau, à la télévision française.

    Ils se sont arrêtés sur une route longeant la Seine et ont escaladé une échelle télescopique sur la nacelle élévatrice pour forcer une fenêtre de la Galerie d'Apollon. Bien que les voleurs ne portaient pas d'armes conventionnelles, ils ont menacé les gardiens du musée avec les meuleuses d'angle qu'ils avaient utilisées pour découper la fenêtre, selon Mme Beccuau.

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  49. Le Monde et d'autres médias français ont rapporté l'existence de quatre voleurs, dont deux portaient des gilets jaunes réfléchissants censés les faire ressembler à des ouvriers du bâtiment. Deux d'entre eux étaient à bord du camion, tandis que les deux autres étaient à scooter.

    Les voleurs ont tenté, sans succès, de mettre le feu à la grue en prenant la fuite à moto.

    Le musée a été évacué dès que l'alarme a retenti suite au vol et est resté fermé jusqu'au 20 octobre.

    Qu'est-ce qui a été volé ?

    Neuf objets étaient visés, mais huit ont été dérobés. Les voleurs ont laissé tomber le neuvième, la couronne de l'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, lors de leur fuite, a indiqué le procureur. La pièce est ornée de 1 354 diamants et de 56 émeraudes, selon le site web du musée.

    Alexandre Giquello, président de la maison de ventes Drouot, a déclaré à Reuters que la maison valoriserait la couronne à « plusieurs dizaines de millions d'euros », précisant qu'à son avis, il ne s'agissait pas de l'objet le plus important du butin visé.

    Le ministère de la Culture a indiqué que les huit objets volés comprenaient :

    Un diadème provenant d’une parure en saphirs ayant appartenu à la reine Marie-Amélie et à la reine Hortense
    Un collier provenant de la même parure en saphirs
    Une boucle d’oreille (une moitié de paire) provenant de cette même parure en saphirs
    Un collier d’émeraude provenant de la parure de l’impératrice Marie-Louise (seconde épouse de Napoléon Ier)
    Une paire de boucles d’oreilles en émeraudes provenant de la parure de Marie-Louise
    Une broche dite « broche reliquaire »
    Un diadème ayant appartenu à l’impératrice Eugénie (épouse de Napoléon III)
    Une grande broche en nœud de corsage ayant appartenu à l’impératrice Eugénie
    On ignore encore pourquoi les voleurs n’ont pas également dérobé le diamant Régent, exposé à la Galerie d’Apollon et estimé à plus de 60 millions de dollars selon Sotheby’s.

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  50. (Sens horaire, de haut en bas à gauche) Un diadème, un collier et une boucle d'oreille de la parure en saphirs de la reine Marie-Amélie et de la reine Hortense. Un collier et une paire de boucles d'oreilles en émeraudes de la parure de l'impératrice Marie-Louise. Une broche dite « broche reliquaire ». Une grande broche en nœud de corsage de l'impératrice Eugénie. Un diadème de l'impératrice Eugénie. La couronne de l'épouse de Napoléon III, l'impératrice Eugénie. Stéphane Maréchalle/Musée du Louvre
    Qui pourrait être derrière tout ça ?

    Beccuau a déclaré, immédiatement après le crime, que rien n'était exclu et que toutes les pistes d'enquête étaient ouvertes, même si l'ingérence étrangère ne figurait pas parmi les principales hypothèses des enquêteurs.

    Elle a déclaré qu'il était probable que le vol ait été commandité par un collectionneur – auquel cas il y avait une chance de retrouver les bijoux en bon état – ou perpétré par des voleurs uniquement intéressés par la valeur monétaire des bijoux et métaux précieux.

    « Nous explorons l'hypothèse du crime organisé », a déclaré la procureure, précisant que les coupables pourraient être des voleurs travaillant pour le compte d'un acheteur ou recherchant des bijoux susceptibles d'être utilisés pour blanchir des fonds criminels.

    « Aujourd'hui, tout peut être lié au trafic de drogue, compte tenu des sommes importantes obtenues grâce à [ce crime]. »

    L'enquête est menée par une unité de police spécialisée, affichant un taux de réussite élevé dans la résolution de vols de grande envergure, selon le ministre français de l'Intérieur, Laurent Nuñez.

    Pourquoi la sécurité n'a-t-elle pas été renforcée ?

    Ce braquage a relancé le débat sur le financement des musées, bien que beaucoup moins sûrs que les banques, et pourtant de plus en plus ciblés par les voleurs.

    Plus tôt cette année, les responsables du Louvre ont demandé en urgence des fonds au gouvernement français pour restaurer et rénover les salles d'exposition vieillissantes du musée et mieux protéger ses innombrables œuvres d'art.

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  51. Le président français Emmanuel Macron a déclaré sur X qu'un nouveau plan gouvernemental pour le Louvre, annoncé en janvier, « prévoit un renforcement de la sécurité ». Malgré la promesse du président français d'une rénovation de 700 millions d'euros, le personnel du musée s'est mis en grève en juin en raison d'une surpopulation jugée dangereuse.

    La ministre de la Culture, Rachida Dati, a déclaré, lors d'une visite sur les lieux du crime le 20 octobre, que la question de la sécurité des musées n'était pas nouvelle.

    « Pendant 40 ans, la sécurité de ces grands musées a été peu prise en compte, et il y a deux ans, le président du Louvre a demandé un audit de sécurité au préfet de police. Pourquoi ? Parce que les musées doivent s'adapter aux nouvelles formes de criminalité », a-t-elle déclaré. « Aujourd'hui, c'est le crime organisé, des professionnels.»

    Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a déclaré que ce crime avait jeté un éclairage « déplorable » sur la France. L'opposition a critiqué le gouvernement pour ce qu'elle a qualifié d'humiliation nationale, alors que le pays est déjà plongé dans une profonde crise politique.

    Christopher Marinello, fondateur d'Art Recovery International, une organisation spécialisée dans la récupération d'œuvres d'art volées, a déclaré : « Le Louvre est l'un des musées les mieux financés au monde. Et s'ils sont touchés, tous les musées sont vulnérables. »

    La France va revoir la protection des sites culturels à travers le pays et renforcer la sécurité si nécessaire, ont annoncé les autorités le 20 octobre.

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  52. Ce vol surpasse-t-il les précédents ?

    Ce n'est pas le premier vol commis dans le célèbre musée parisien, qui a été la cible de nombreuses attaques, certains de ces braquages ​​ayant fait la une des journaux ayant donné lieu à des adaptations cinématographiques.

    L'un des vols d'art les plus célèbres et les plus audacieux de l'histoire a eu lieu en 1911 : la Joconde a été dérobée au musée par un ancien employé qui connaissait l'agencement et la sécurité du bâtiment.

    Read the rest here...

    https://www.zerohedge.com/markets/how-louvre-heist-century-unfolded

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Les vaccins infantiles contiennent des milliards de fragments d’ADN fœtal humain capables d’intégration génomique

  le 21 octobre 2025   par pgibertie    ÉTUDE : Les vaccins infantiles contiennent des milliards de fragments d’ADN fœtal humain capables ...