Louis Conte
Nov 04, 2025
Louis Conte, rédacteur en chef de la liberté de la santé, The MAHA Report
« Si les choses restent comme elles sont maintenant, nous ne mourrons à aucun but. »
— Une victime de la maladie de Minamata
La Conférence des Parties (COP) à la Convention de Minamata a commencé à se réunir lundi à Genève, en Suisse, pour la sixième convention annuelle – réunissant plus de 1000 participants engagés à interdire le mercure.
Dans une vidéo diffusée lundi sur X, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS) Robert F. Kennedy Jr. a appelé la Convention à faire de l’utilisation du mercure dans les vaccins « l’histoire ».
"Maintenant que l'Amérique a retiré le mercure de tous les vaccins, j'appelle chaque autorité sanitaire mondiale à faire de même - pour s'assurer qu'aucun enfant, nulle part dans le monde, ne soit à nouveau exposé à cette neurotoxine mortelle", a déclaré le secrétaire Kennedy dans la vidéo.
En juillet, sous la direction de Kennedy, HHS a adopté la recommandation de la Commission consultative sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC pour éliminer le thimérosal, un agent de conservation contenant du mercure éthylique, de tous les vaccins antigrippaux américains.
Le secrétaire a noté que la Convention de Minamata travaille depuis des décennies à réduire la pollution au mercure et les expositions, « En 2010, au fur et à mesure que le traité prenait forme, les négociateurs ont fait une exception majeure – les vaccins contenant du thimérosal ont été découpés dans le règlement », a déclaré Kennedy dans la vidéo. « Le même traité qui a commencé à éliminer progressivement le mercure dans les lampes et les cosmétiques, a choisi de le laisser dans les produits injectés chez les bébés, les femmes enceintes et les plus vulnérables d’entre nous. Nous devons demander « pourquoi ? »
Kennedy a noté le double standard: le mercure n'est pas acceptable dans les batteries et les médicaments en vente libre, mais est acceptable dans les vaccins et les obturations dentaires. Il a rappelé au public que le thimérosal dans les vaccins n'a jamais subi d'études de sécurité chez l'homme et qu'il existe une montagne de science, qu'il a détaillée dans son livre Thimerosal: Let the Science Speak, qui décrit le thimérosal comme une neurotoxine puissante, un mutagène, un cancérigène et un perturbateur endocrinien.
La Convention de Minamata a été formée sous les auspices des Nations Unies après la tragédie de l'empoisonnement au mercure de masse qui a frappé les résidents de la ville de Minamata, au Japon, à partir de 1956 Les résidents sont tombés gravement malades après des années d'exposition au mercure, un produit déchiquet de fabrication chimique, a été déversé dans la baie de Minamata par la Chisso Corporation, une grande entreprise chimique au Japon. Les résidents dépendaient du poisson qu’ils ont pêché dans la baie pour une grande partie de la protéine dans l’alimentation des résidents. La neurotoxine a augmenté la chaîne alimentaire, empoisonnant des milliers de personnes et causant des maladies graves, la mort et des malformations congénitales.
Maladie de Minamata - wikidoc
Depuis l’adoption de la première Convention de Minamata en 2013, elle a contrôlé l’utilisation du mercure dans des industries telles que l’extraction artisanale et à petite échelle de l’or, tout en réglementant l’utilisation du mercure dans les batteries, les cosmétiques, les fluorescents et d’autres produits.
Voici les biographies des personnes que j'ai nommées dans le dernier billet qui doivent également faire l'objet d'une enquête sur les origines du COVID.
RépondreSupprimerMeryl Nass
Nov 03, 2025
Vineet Menachery, PhD, l’étudiant vedette de Ralph Baric, qui peut être en congé sabbatique à l’Université Emory (ou récemment), qui est attaché à la hanche au CDC et à sa bande de criminels.
Stanley Perlman, MD, PhD, qui reste dans l'ombre, mais a montré ses vraies couleurs lorsqu'il a été nommé dans le cadre du VRBPAC de la FDA pour examiner les vaccins contre la COVID. Les coronavirus étaient autrefois appelés virus de l'hépatite de souris. Pourquoi Perlman utilise-t-il encore cette terminologie ? Baric et Perlman sont tous deux sur le cas du coronavirus depuis 4 décennies. Pourquoi passer votre vie à étudier une maladie qui jusqu'en 2002 n'était connue que pour causer le rhume chez l'homme? Se pourrait-il que son potentiel militaire ait été noté des décennies plus tôt?
Ralph Baric a reçu plus de $100 millions en subventions au cours de sa carrière. Combien Perlman a-t-il reçu ? Qui les a financés lorsque les coronavirus ne provoquent que du rhume chez l'homme?
L’épouse de Vincent Munster, Emmie de Wit, étudie les virus respiratoires pathogènes humains. Pourquoi ne pas sortir et dire « coronavirus » au lieu de danser autour de lui ? Oui, la grippe, le VRS et quelques autres existent. Ces biographies ont-elles été à la laverie ?
Jonna Mazet est une vétérinaire sale qui a dû apporter une tonne d'argent à l'UC Davis. Elle, Peter Daszak et Dennis Carroll espéraient devenir très riches du Global Virome Project, une version précoce privatisée du système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages du Traité pandémique. A noter que d'autres qui faisaient partie de ce projet étaient Nathan Wolfe (dont l'entreprise a joué un rôle déterminant dans la construction de biolabs ukrainiens et était enchevêtré financièrement avec Hunter Biden) et George Gao, alors chef du CDC chinois.
Si cela a quelque chose à voir avec la santé mondiale, les virus mondiaux ou une santé, elle est dessus!
Hillary Marston, MD. Quelle bio ! Il a travaillé pour Bill Gates, McKinsey, Tony Fauci, le Conseil de sécurité nationale. J'ai éliminé les vaccins anti-Covid. Pourquoi avait-elle reçu autant d’e-mails de Fauci ? Pourquoi la fille de Fauci a-t-elle été placée à la FDA en 2022? Cette fille a tout fait correctement, et s'est fait une brillante carrière au sommet de la pyramide des apparatchik. Nuire à toute la planète.
- voir doc sur site :
Et voici sa bio LinkedIn. Elle est maintenant consultante pour l’industrie pharmaceutique.
https://merylnass.substack.com/p/here-are-bios-of-the-people-i-named?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=177898999&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Il y a 18 mois, Sen. Roger Marshall a enquêté sur la chasse au virus de Jonna Mazet et Daszak, dans laquelle le contribuable a payé deux fois Mazet et UC Davis pour les mêmes agents pathogènes
RépondreSupprimerTout est dans mon ancien post de sous-pile
Meryl Nass
Nov 03, 2025
Le gouvernement américain paie deux fois pour collecter des milliers d'agents pathogènes potentiels contre la pandémie auprès du prof. Jonna Mazet (UC Davis) et du réseau de Daszak
Meryl Nass
20 mai 2024
- voir doc sur site :
https://merylnass.substack.com/p/18-months-ago-sen-roger-marshall?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=177904185&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Un homme de 75 ans utilise le DMSO pour traiter la sinusite, puis quelque chose de remarquable se produit
RépondreSupprimerIl a effacé les sinus de Murray « instantanément », mais ce qu’il a fait à sa vue était « incroyable ».
Le Renard Vigilant
Nov 03, 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
Cet homme de 75 ans, aveugle depuis sa naissance, a soudainement repris la vue après avoir utilisé du DMSO pour traiter la sinusite.
Cela a effacé ses sinus « instantanément », dit Murray, mais ce qu’il a fait à sa vue était « incroyable ».
Pour la première fois de sa vie, il a enfin pu voir de la couleur dans son œil gauche.
Et quand il n’arrêtait pas d’utiliser DMSO, sa vision continuait à s’améliorer: Il pouvait distinguer les détails et même compter les doigts, quelque chose qu’il « ne pouvait jamais faire auparavant ».
Cela peut sembler une coïncidence, mais on a montré à plusieurs reprises que le DMSO guérissait les problèmes oculaires que la médecine ne peut toujours pas résoudre, comme la cécité, la dégénérescence maculaire, les flotteurs et la cataracte.
C’est le pire cauchemar de Big Pharma. Et il se cache à la vue de tous pour seulement 20 $ la bouteille.
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Cette information provient du travail du chercheur médical A Midwest Doctor. Pour toutes les sources et tous les détails, lisez le rapport complet ci-dessous.
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DMSO guérit les yeux et transforme l'ophtalmologie
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Les propriétés thérapeutiques uniques de DMSO révèlent le fil unificateur entre de nombreuses maladies oculaires « incurables » différentes... Read .
Quand Un médecin du Midwest
RépondreSupprimerd'abord écrit sur DMSO, les attentes étaient minimes.
Mais les commentaires et les messages ont explosé, rapidement !
Plus de 4.700 commentaires. Près de 3.000 témoignages uniques. Les gens commentaient en masse, affirmant que cela guérissait leur douleur et leurs blessures.
Et dans certains cas, DMSO a été crédité pour avoir restauré la vision. Ouah !
80 à 90 % des personnes qui ont commenté leur expérience ont fait en sorte que leurs maux s’améliorent. C’est sans précédent.
Tout le monde mérite d'être au courant pour DMSO.
Pour voir pourquoi cela compte autant, il faut comprendre la dissimulation.
DMSO a été redécouvert dans les années cinquante. Les médecins étaient naturellement étonnés par cela.
Pourquoi ? C'était un tissu cicatrisant, arrêtant la douleur instantanément et montrant une toxicité nulle.
Puis la FDA est intervenue.
Une mort allergique sans rapport, et l’ensemble du composé a été interdit – du jour au lendemain.
Ils devaient attendre quelque chose qu’ils pouvaient blâmer, puis ils ont trouvé la raison de tirer sur la gâchette.
La raison de l’interdiction de DMSO n’avait rien à voir avec la sécurité – tout était une question de contrôle.
DMSO a travaillé pour des centaines de conditions, et cela n'a coûté que de simples centimes.
Pharma ne pouvait pas le breveter, donc ils devaient s’en débarrasser.
La FDA a affirmé qu’elle « pourrait causer la cécité », même si des dizaines de milliers de patients l’avaient utilisée en toute sécurité, et que certains l’avaient même utilisée pour restaurer leur vue !
Malheureusement, la campagne de diffamation a fonctionné.
Mais maintenant, DMSO fait son grand retour.
RépondreSupprimerPendant des décennies, l'établissement médical s'est moqué de toute personne qui a mentionné DMSO.
Mais les données étaient claires. Et ça ne s'est jamais envolé.
Des décennies d’études – et des dizaines de milliers de cas humains – prouvent qu’il s’agit de l’un des composés les plus sûrs et les plus efficaces jamais testés.
On le trouve même naturellement dans les fruits et les légumes, entre autres.
Alors pourquoi les gens en parlent-ils à nouveau soudainement ?
Parce que DMSO fait des choses que la médecine moderne n’a pas encore compris comment faire. Des choses comme la guérison des yeux et la restauration de la vision.
Nous revenons toujours à la vérité et à ce qui fonctionne.
Lorsqu'il est appliqué sur la peau ou les yeux, le DMSO se concentre dans la cornée.
C’est pourquoi les gens qui l’utilisent pour quelque chose comme le mal de dos, où ils l’appliquent par voie topique, rapportent une vision plus claire quelques jours plus tard!
Un effet secondaire incroyable.
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Le rapport complet – médecins, études de cas et 3.000+ témoignages qu’ils ne veulent pas que vous voyiez.
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Un réseau de médecins en Allemagne utilise discrètement DMSO depuis plus d’une décennie.
RépondreSupprimerIls ont traité toutes sortes de maux oculaires – des choses comme la sécheresse, la dégénérescence maculaire, la cataracte et l’inflammation – avec un succès extraordinaire.
Les patients décrivent des «yeux frais», un éblouissement réduit, une vision nocturne plus aiguë et zéro effet secondaire.
Un ophtalmologiste a traité 200 patients atteints de DMSO pour la dégénérescence maculaire et l'uvéite.
Beaucoup de leurs patients ont retrouvé une vue mesurable.
D’autres l’ont utilisé pour la cataracte, évitant complètement la chirurgie. Ouah !
Lorsqu'il est combiné avec des médicaments ou des nutriments légers, les résultats se sont améliorés encore plus rapidement.
Les commentaires Un médecin du Midwest
a reçu vraiment parler pour eux-mêmes.
DMSO ne guérit pas seulement – il se rétablit!
« Il prend soin de mes yeux secs chroniques pendant 6 à 8 heures. »
« [4 mois de DMSO] a sauvé mon mari d’une chirurgie de la cataracte. »
« Je n’ai plus le syndrome de l’œil sec dans cet œil. »
« Mes yeux semblent plus clairs et ma vision plus nette [après 10 mois d’utilisation de DMSO]. »
« J’utilise DMSO à mes yeux depuis plus d’un an maintenant. Augmenter lentement la force. Même à [faibles doses], la vie change ! »
« J’ai bu du DMSO dans un verre de jus, et en moins d’une heure, ma vision s’était améliorée. J’ai fait ça environ 3 fois de plus, et ma vision était à nouveau tout à fait normale. »
« J’ai utilisé DMSO pendant quelques mois après vos articles initiaux et je n’ai pas eu d’utérus depuis... »
« [Mon] irite a disparu maintenant. Je suis étonné qu’une dilution aussi élevée semble avoir fonctionné et que l’amélioration semble être permanente. »
« DMSO fonctionne mieux que la dexaméthasone pour l’uvéite. Cela m’a sauvé la vue et normalisé ma pression oculaire. »
Les histoires personnelles sont infinies et étonnantes. Lisez-les par vous-même dans Un médecin du Midwest
L’article complet.
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Les chercheurs ont même utilisé le DMSO pour traiter la rétinite pigmentaire, une cause génétique de cécité.
RépondreSupprimerUn homme est passé de la façon à peine vue à mouvement de la main au comptage des doigts à cinq pieds en quelques mois – et l’a maintenu pendant des années!
Et les études sur les animaux le confirment aussi.
Ce n’est pas du folklore ou un vœu pieux. Ce sont de vraies personnes et de vraies données.
Malgré le succès de DMSO, presque aucun ophtalmologiste d’aujourd’hui ne sait même qu’il existe, et encore moins qu’il pourrait guérir certains de leurs patients.
Pourquoi ? Parce que ce n’est pas rentable.
La bonne science meurt toujours tranquillement dans la médecine moderne.
La FDA l’a qualifiée de « dangereuse ». La preuve dit qu'il restaure la vue.
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Alors, comment DMSO aide-t-il réellement les yeux? Quel est le mécanisme ?
C’est assez simple, en fait. DMSO surcharge la microcirculation – fournissant de l’oxygène et des nutriments tout en éliminant les déchets et l’inflammation.
Il stabilise également les gels cellulaires, réhydrate les tissus et ravive les cellules dormantes.
Bref, ça aide les yeux à se réveiller. Super !
Et c’est pourquoi les utilisateurs rapportent des choses incroyables comme ne plus avoir besoin de lunettes, de flotteurs à la fuite, de contraste plus net et d’une vision nocturne plus claire.
Certains ont même dit que leur vision devenait floue – seulement pour réaliser que leurs lunettes étaient maintenant trop fortes. Leurs yeux avaient réellement guéri !
Je ne sais pas pour vous, mais c’est une information convaincante. Ça ressemble absolument à quelque chose qui vaut la peine d'être essayé.
Les témoignages de récupération sont vraiment à couper le souffle.
Un homme aveuglé par la dynamite retrouvé après DMSO.
Une femme a guéri la couleur aveugle après 9 mois de gouttes pour les yeux.
Les chevaux atteints de traumatismes cérébraux ont retrouvé la vision après IV DMSO.
Chaque espèce répond de la même façon.
Peut-être que votre histoire est la prochaine!
DMSO ne guérit pas seulement – il amplifie également d’autres traitements.
RépondreSupprimerIl aide les médicaments et les nutriments à atteindre les zones dans le corps qu’ils ne peuvent normalement pas – comme la rétine ou le nerf optique.
Cela signifie des doses plus faibles, aucune injection et moins d'effets secondaires.
Il a également été démontré que le DMSO réduit la pression intraoculaire dans le glaucome, dissout la cataracte et protège la lentille du rayonnement et du stress oxydatif.
Il a même guéri les brûlures chimiques et les blessures qui, selon les médecins, devaient enlever l'œil! Ouah !
Une goutte, une molécule, un potentiel apparemment infini.
DMSO pourrait littéralement changer l'ophtalmologie pour toujours. Mais nous avons besoin de plus de gens pour savoir. Lire l'article complet de Un médecin du Midwest
et assurez-vous de le partager.
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Des milliers de personnes ont déjà utilisé le DMSO pour restaurer leur vision, soulager la douleur et rajeunir les yeux vieillissants.
Le tout sans la permission de Big Pharma.
Parce que parfois, la guérison ne vient pas avec une étiquette de prix élevée ou d’une ordonnance – elle vient de ce qui ne peut pas être breveté.
L’histoire de DMSO est énorme. Mais il ne s’agit pas seulement de DMSO.
C’est ce que révèle sa suppression. Quand quelque chose de bon marché, sûr et efficace menace des marchés d’un milliard de dollars, il disparaît.
Non pas parce qu’il échoue, mais parce qu’il fonctionne trop bien.
Parce qu’ils ne veulent pas vraiment que vous soyez en bonne santé.
DMSO donne aux gens la capacité de se guérir eux-mêmes – en dehors du contrôle du système médical.
C’est pourquoi l’établissement médical l’a enterré.
Et c’est pour cela qu’il refait surface maintenant.
Cela peut sembler, mais ce n’est pas une histoire miracle.
C’est juste la preuve que la nature a déjà construit la médecine que la science moderne continue d’essayer de remplacer.
DMSO se cache à la vue de tous. Et maintenant, cela aide les gens à revoir.
Ce devrait être une nouvelle en première page.
DMSO est un remède incroyablement générique qui pourrait tout changer.
RépondreSupprimerTout le monde mérite de savoir.
Alors faites votre part pour en savoir plus et diffuser les nouvelles sur les incroyables pouvoirs de guérison de DMSO.
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Merci d'avoir lu ! Cette information était basée sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
Le côté oublié de la médecine
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Pendant que vous y êtes, donnez un suivi à A Midwest Doctor. Personne n’apporte plus de recherche, de connaissance clinique ou de contexte historique lorsqu’il s’agit d’exposer les mythes de la santé que nous avons tous été nourris. C’est facilement l’un des comptes les plus précieux que vous suivrez.
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"Redfield's Warning": Dans un nouveau livre explosif, l'ancien directeur du CDC détaille ce qui s'est passé dans les coulisses pendant la pandémie
RépondreSupprimerLouis Conte
Nov 03, 2025
Par Louis Conte, rédacteur en chef de Health Freedom, The MAHA Report
« J’ai toujours cru que la connaissance est meilleure que l’ignorance. Même des connaissances désagréables », écrit l’ancien directeur du CDC, le Dr. Robert Redfield dans son nouveau livre, Redfield’s Warning: What I Learned (But Couldn’t Tell You) pourrait vous sauver la vie.
Ces deux phrases introduisent le lecteur au raisonnement éthique et compatissant qui a caractérisé la longue et souvent controversée carrière de Redfield.
Redfield détaille comment sa vie personnelle, sa carrière militaire et médicale, et sa fascination pour les virus l'ont souvent placé au centre des controverses médicales. Ce qui émerge est un portrait convaincant d'un homme qui se consacrait à ses patients et à sa nation.
En lisant l’Avertissement de Redfield (à paraître le 4 novembre par Skyhorse Publishing), il m’est venu à l’esprit qu’il s’agissait d’un homme qui se présentait souvent avec des choix qui auraient pu rendre sa vie plus confortable, qui a continuellement choisi le chemin le plus difficile mais le plus véridique.
Redfield nous ramène aux jours sombres de l'épidémie de sida. Il ne travaillait pas dans un laboratoire calme sur une base militaire, loin de l'action. Il traitait directement les patients qui mouraient du sida, « Qui sont devenus mes amis », écrit Redfield. Il espérait que lui et d’autres médecins trouveraient un moyen de traiter ces patients atteints du sida – trouveraient une cause et un remède qui empêcheraient plus de décès. Gardez à l'esprit la peur et la stigmatisation du sida au début de l'épidémie. Personne ne connaissait la cause ou à quel point la maladie était contagieuse.
L’étude précédente de Redfield sur l’hépatite B parmi les militaires en Corée était essentielle à la compréhension éventuelle que le sida était sexuellement transmis par l’activité homosexuelle et hétérosexuelle. Ce n'était pas un message populaire dans les premiers jours de la pandémie de sida.
Redfield a correctement identifié que l'hépatite B se propageait dans l'armée par contact avec des travailleurs du sexe près de bases militaires. Il a compris cela en étudiant les travailleurs du sexe. Dans l’Avertissement de , il écrit: «La pratique de la bonne science vous emmène dans des endroits inattendus. Honnêtement, au cours de ma formation, je n’ai jamais prévu de mener une étude sur les prostituées coréennes. »
Redfield a pris son expérience avec l'hépatite B et l'a appliquée au sida. Citant An Enemy of the People d’Ibsen, Redfield note qu’il a fait l’objet de critiques sévères à cette époque – pour avoir ce qui était considéré comme le point de vue d’un étranger – mais cela s’est apaisé lorsqu’il a finalement été prouvé qu’il était correct.
RépondreSupprimerC’est devenu un modèle qui caractérise la fonction publique de Redfield – un modèle que le livre guide le lecteur à travers: l’histoire gênante de la santé publique au cours des cinquante dernières années. Il touche à des épidémies allant du SRAS à Ebola et note les succès et les échecs de santé publique sans le slogan typique de la rah-rah de la messagerie de l’ère COVID.
Redfield détaille également ce qui s'est passé dans les coulisses de la réponse fédérale à la pandémie de Covid.
Ce n'est pas une jolie image.
La politique et les personnalités – et non la science – régnaient souvent sur la journée. Beaucoup ne sont peut-être pas d’accord avec l’analyse de Redfield sur la prise de décision du gouvernement fédéral, mais il présente son opinion et les critiques qu’il reçoit tout en permettant au lecteur d’évaluer et de se faire sa propre opinion.
Contre les mandats
Redfield s’est opposé aux mandats du vaccin contre le Covid, écrivant: «Je ne croyais pas qu’il était dans l’intérêt de quiconque d’enlever son choix personnel. J’ai toujours eu assez de respect pour que le public américain croie que si je peux leur présenter des informations montrant qu’être vacciné lui profite personnellement et que la santé publique en général, ils feraient le choix évident. »
Il n’était pas non plus d’accord avec l’effort de vaccination unique qui a joué: «Il y avait peu de science derrière le fait de forcer les policiers ou les soldats de vingt-cinq ans à être vaccinés. Mais ils étaient couverts par la même réglementation que les personnes âgées qui étaient à risque. Je ne crois pas que le vaccin aurait dû être prescrit pour les personnes de moins de cinquante ans en bonne santé. »
Ce qui est remarquable chez Redfield, c'est qu'il détaille honnêtement les erreurs de la médecine traditionnelle et de la santé publique commises avec le Covid mais divulgue également ses erreurs au CDC parce qu'il veut que nous apprenions d'eux. Il veut que nous apprenions de nos échecs pour que nous puissions mieux nous préparer à la prochaine pandémie.
"Bien que nous ayons cherché avec diligence des méthodes pour prévenir et traiter les épidémies, il n'en demeure pas moins que nous avons été pris essentiellement sans préparation à la COVID-19", admet Redfield. « Nous avons fait des erreurs. Des dégâts ont été causés. J'étais en première ligne de cette guerre, et j'ai appris des leçons d'une importance vitale. En plus de la recherche scientifique actuellement menée, il y a plusieurs autres choses que nous devrions faire pour corriger ces erreurs et être mieux préparés pour la prochaine pandémie. »
RépondreSupprimerRedfield craint que la grippe aviaire n'évolue enfin au point où elle se propage de l'humain à l'humain. Il craint également que les humains déclenchent une autre pandémie en s'engageant imprudemment dans des expériences de gain de fonction dangereuses, auxquelles il s'oppose ouvertement.
"Si, comme je crois, il (Covid) a été créé et échappé d'un laboratoire", écrit-il, "la question évidente suivante est: Pourquoi a-t-elle été créée? Ma réponse est l'arrogance scientifique. Ce n’est pas parce que nous pouvons faire quelque chose que nous ne sommes pas une raison suffisante pour le faire. »
Enfin, Redfield se tourne vers l'avenir et voit le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux Robert F. Les engagements de Kennedy Jr. en matière de science et de transparence de l’or comme clés d’un avenir plus prospère pour la santé publique aux États-Unis.
« Les jours de croyance des autorités parce qu’elles sont dans une position faisant autorité sont terminées », note judicieusement Redfield vers la fin de l’Avertissement de « Le moyen de convaincre les gens de suivre les recommandations est de fournir la preuve que les recommandations ne sont pas arbitraires ou politiquement motivées, mais basées sur la science. Nous devons fournir le contexte. Nous devons admettre quand nous avons tort. Nous devons être prêts à changer à mesure que les données changent. Les recommandations politiques ne seront jamais une science parfaite. Mais, dans notre engagement envers la science et en disant la vérité au public américain, nous sauverons des vies. »
Le livre de Redfield est à la fois un cadeau et une lecture requise pour tous ceux qui se soucient de l’endroit où notre santé publique a été et de la façon dont elle doit changer.
https://www.themahareport.com/p/redfields-warning-in-explosive-new?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=177878367&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&token=eyJ1c2VyX2lkIjoyNDcxNjYyNTEsInBvc3RfaWQiOjE3Nzg3ODM2NywiaWF0IjoxNzYyMjA3MjkyLCJleHAiOjE3NjQ3OTkyOTIsImlzcyI6InB1Yi0xNzEyNTU3Iiwic3ViIjoicG9zdC1yZWFjdGlvbiJ9.KvQV1Tb7O-ZdJc4YiLquyoIUkYjHlc53emfYb6xMRSY&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Une nouvelle étude révèle que l’insuffisance cognitive grimpe en flèche à travers l’Amérique
RépondreSupprimerAmaza neurotoxique de masse + dépendance généralisée à l'intelligence artificielle = une génération qui perd sa capacité à penser.
Nicolas Hulscher, MPH
Nov 04, 2025
Une nouvelle étude majeure de neurologie analysant plus de 4,5 millions d’adultes américains a révélé une tendance frappante: l’autodéficience cognitive déclarée – difficulté à se concentrer, à se souvenir ou à prendre des décisions – a augmenté de 40% au cours de la dernière décennie.
Selon les données du CDC Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS), la prévalence est passée de 5,3% en 2013 à 7,4% en 2023, marquant la plus forte augmentation jamais enregistrée.
Même depuis 2019, les taux sont passés d’environ 6,4% à 7,4% à l’échelle nationale, soit un bond de 16% en seulement quatre ans. La hausse la plus spectaculaire s’est produite chez les jeunes adultes âgés de 18 à 39 ans, où les taux ont presque doublé, passant de 5,1% à 9,7%. Cette ascension a commencé vers 2016 et s'est poursuivie régulièrement jusqu'en 2023, sans aucun signe d'arrêt.
- voir graph sur site -
Les implications vont bien au-delà des cliniques de neurologie. L’effondrement de l’attention soutenue, du raisonnement logique et des capacités de prise de décision imprègne maintenant le discours public, les lieux de travail et les relations.
Et deux accélérateurs émergents versent probablement de l'essence sur ce feu déjà brûlant:
Masse neurotoxique « vaccination »
Catastrophic Neurological and Psychiatric Damage from COVID-19 'Vaccines'
Nicolas Hulscher, MPH
5 janv.
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Une étude de cohorte sud-coréenne à l'échelle nationale par Roh et al a analysé plus de 558.000 adultes âgés de 65 ans et plus. Il a constaté que les bénéficiaires d’injections d’ARNm COVID-19 faisaient face à un risque nettement plus élevé de développer des troubles cognitifs dans les trois mois:
Déficience cognitive légère (ICM): 138% de risque plus élevé (OR 2,38; IC à 95 % 1,85–3,06)
Maladie d’Alzheimer: 23% de risque plus élevé (OR 1,23; 95% d’IC 1,03–1,46)
Thorp et al ont identifié 86 troubles neuropsychiatriques graves liés à la vaccination contre la COVID-19 – y compris les troubles cognitifs, la démence, la schizophrénie, les pensées suicidaires et homicides, les accidents vasculaires cérébraux, la psychose, la dépression, les illusions et plus encore.
Étant donné que plus de 80% de la population mondiale a reçu ces injections, il devrait y avoir un énorme fardeau de population de déclin cognitif nouveau ou accéléré.
Utilisation de l'intelligence artificielle généralisée
MIT Study Finds Artificial Intelligence Use Reprograms the Brain, Leading to Cognitive Decline
Nicolas Hulscher, MPH
21 juin
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Une étude neurocognitive récente du MIT – Your Brain on ChatGPT: Accumulation of Cognitive Debt lors de l’utilisation d’un assistant d’IA pour la rédaction d’essais – montre que la dépendance à de grands modèles de langage comme Grok, ChatGPT et Gemini conduit à une suppression neuronale mesurable et durable.
RépondreSupprimerLes scanners cérébraux EEG ont révélé une connectivité neuronale affaiblie, un rappel de mémoire réduit et une baisse persistante de l'activité cérébrale, même après que les participants ont cessé d'utiliser l'IA.
Par la session 4, lorsque les étudiants ont tenté d’écrire sans assistance, leur cerveau est resté sous-activé – incapable de réengager leurs propres circuits exécutifs et créatifs.
Les auteurs avertissent que ce « déchargement cognitif » crée une dépendance neuronale à long terme: le cerveau commence à externaliser l’effort, la logique et la créativité aux machines.
Combinez l'exposition neurotoxique de masse avec le désengagement neuronal induit par l'IA, et le résultat est prévisible: une population qui ne peut pas se concentrer, se rappeler, synthétiser ou se sentir propriétaire sur ses propres pensées.
Une société d’individus cognitivement affaiblis devient facile à manipuler, incapable de détecter les contradictions ou de résister à la tromperie. Le chaos accéléré dans le monde – son inversion morale, sa confusion et sa volatilité – peut ne pas être simplement politiq
https://www.thefocalpoints.com/p/new-study-finds-cognitive-impairment?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=177938959&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Niveaux de testostérone masculins liés à la vitalité
RépondreSupprimerJohn Fredericks trébuchant avec des candidats de Virginie encadre la question
Pierre A. McCullough, MD, MPH
Nov 04, 2025
Si vous êtes un homme, votre taux de testostérone en déclin pourrait-il être la cause d'une perte subtile d'énergie, de force et de vitalité? S'il vous plaît profiter de ce bref clip de John Fredericks Outside the Beltway a les souches pour candidats conservateurs de Virginie dans son pouvoir-RV.
Ce qui suit a été adapté d'Alter AI. La testostérone régule la synthèse des protéines musculaires, la concentration d'hémoglobine, l'humeur et la fonction neurocognitive. Les baisses de testostérone totale et libre en circulation avec l’âge – environ 1% par an après l’âge de 30 ans – sont accompagnées de diminutions de la vigueur et de la motivation physiques déclarées. ( Stanworth RD & Jones TH. « Régulation hormonale de l’énergie masculine et de l’humeur. » Eur J Endocrinol. 2008;159:S27‐S39.) L'ampleur de l'association entre la concentration de testostérone et l'énergie subjective/vitalité est modérée mais cohérente dans les études épidémiologiques et interventionnelles. Voici quelques-unes des nombreuses sources de preuves.
- Dans l'étude sur le vieillissement masculin du Massachusetts (n = 1 709), la testostérone totale était indépendamment associée à des scores de fatigue et à une perturbation de l'humeur après ajustement de l'âge et des comorbidités .( Feldman HA et al. J Clin Endocrinol Metab. 2002;87:589‐598.)
- L’étude européenne sur le vieillissement masculin (EMAS) a analysé ~ 3 400 hommes (40–79 ans). Les hommes dans le tertile le plus bas de la testostérone totale et libre ont rapporté and des scores de domaine SF‐36 Vitalité et Fonction physique significativement inférieurs; corrélation partielle r ≈ 0,27 pour le T total et la vitalité (p < 0,001) .( Wu FCW et coll. J Clin Endocrinol Metab. 2010;95:1810‐1818 (EMAS).
- Chez les hommes obèses et diabétiques, T biodisponible corrélé à la force de l'adhérence (r = 0,33, p < 0,01) et à l'énergie auto-évaluée (r = 0,29) (Nettleship JE et al., Clin Endocrinol (Oxf) 2009;70:398‐404).
https://www.thefocalpoints.com/p/male-testosterone-levels-related?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=177552857&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
L’habitude De Santé Quotidienne Qui Raccourcit Tranquillement Votre Vie
RépondreSupprimerLa véritable pandémie n’est pas virale. C’est ça.
Le Renard Vigilant
Nov 04, 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
En 2000, Vince Carter a stupéfié le monde quand il a littéralement .
Il s’appelait le « Dunk of Death ».
Vingt-cinq ans plus tard, ce moment est un symbole de ce dont le corps humain est capable de savoir quand il est libre.
Parce qu’aujourd’hui, la plupart d’entre nous ne peuvent même pas toucher nos orteils.
Selon Harvard Health, l'Américain moyen passe 10 heures et demie par jour assis.
Vince Carter défiait la gravité. Mais la plupart d’entre nous n’ont même pas l’énergie de défier nos chaises.
Et plus nous restons immobiles, plus vite nous mourons à l'intérieur.
Encore et encore, je l’ai vu de mes propres yeux.
Une personne âgée est admise dans une maison de repos. Ils peuvent marcher, faire des tâches et prendre soin d’eux-mêmes.
Leur fille leur achète une chaise de scooter pour plus de commodité.
Six mois plus tard, ils sont dépendants. Un an plus tard, ils sont morts.
Ce n'est pas une coïncidence.
Cette information provient du travail du chercheur médical A Midwest Doctor et changera complètement la façon dont vous voyez la santé et le mouvement. Pour toutes les sources et tous les détails, lisez le rapport complet ci-dessous.
Retrouver la liberté de mouvement dans le corps Esprit et esprit
Retrouver la liberté de mouvement dans le corps Esprit et esprit
La vie moderne nous a piégés à plus d’un titre, mais elle n’a pas besoin d’être ainsi... Lire la suite.
Avez-vous déjà vu des gibbons au zoo ? Ils peuvent se balancer à travers les arbres à 35 miles à l'heure! Leur vitesse et leur agilité semblent impossibles, mais ils sont là.
RépondreSupprimerVous êtes-vous déjà demandé ce que cela pourrait être de pouvoir bouger comme ça ?
Bien que nous ne puissions pas glisser dans l’air comme ils le peuvent, ce que nous pouvons faire, c’est avoir un degré de liberté similaire dans l’esprit et l’esprit, tout en augmentant la liberté de mouvement dans notre corps.
La vie moderne nous a piégés à plus d’un titre, mais elle n’a pas besoin d’être ainsi.
La liberté de mouvement ne consiste pas seulement à pouvoir se pencher et toucher vos orteils.
Il s’agit de la façon dont l’énergie circule à travers votre corps, vos pensées et même votre esprit.
Les vieilles images d'astronautes de la NASA glissant sans poids dans l'espace montrent une sorte de mouvement que peu d'humains ne ressentent plus jamais, mais nous aspirons tous à le faire.
Nous sommes devenus liés – nos articulations sont verrouillées, nos esprits sont fixes, notre créativité est ternie.
Et nous confondons cette raideur avec le vieillissement normal.
Ce n’est pas normal.
Lorsque le mouvement disparaît, les conséquences se répercutent à travers tous les systèmes du corps.
La stagnation physique entraîne une inflammation et une douleur chronique.
La rigidité mentale engendre la fermeture d'esprit.
La paralysie spirituelle draine la vitalité.
Le mouvement, la circulation, la curiosité et la liberté sont tous liés.
Quand l'une de ces choses se bloque, les autres suivent souvent.
Saviez-vous que même quelque chose d’aussi simple que la marche est en fait une médecine?
La marche est le fondement de la circulation, de la longévité et de la clarté mentale. Tout est nécessaire pour une bonne santé et longévité.
Pourtant, nos vies modernes nous obligent à nous asseoir pendant des heures – dans les bureaux, dans les voitures, sur les écrans – tandis que nos corps s’arrêtent lentement.
La véritable pandémie n’est pas virale. C’est de l’immobilité.
Et tout commence à un âge de plus en plus jeune. Quand les enfants d'aujourd'hui frapperont l'âge moyen, comment se sentiront-ils? C'est une sombre pensée, mais que va-t-il se passer pour la qualité de vie et l'espérance de vie?
RépondreSupprimerÀ mesure que les gens vieillissent, leur corps se raidit, et leurs pensées aussi.
L'esprit perd de la souplesse en parallèle avec la colonne vertébrale.
C’est pourquoi ceux qui restent physiquement actifs ont tendance à rester mentalement vifs. Nous connaissons tous des gens comme ça.
La perte de mouvement accélère le déclin à tous les niveaux.
Le vrai vieillissement, selon les preuves, est simplement la perte progressive de la liberté.
Certains chercheurs lient cette rigidité à des changements biologiques plus profonds – le déclin des reins, la réponse au danger cellulaire et la réduction de la charge électrique dans le corps.
Lorsque le corps perd du flux, chaque système souffre – immunitaire, musculaire et cognitif.
La guérison nécessite de rétablir le mouvement à tous les niveaux, pas seulement de masquer la douleur.
Les périodes d’immobilité ne font pas que blesser le corps – elles blessent l’esprit.
La dépression, l’anxiété et la fatigue suivent souvent de longues heures de calme.
Le mouvement agit littéralement comme un antidépresseur naturel, entraînant la circulation et l'énergie à travers tout le système.
C’est pourquoi l’exercice surpasse constamment les médicaments antidépresseurs, sans l’étiquette de prix et les effets secondaires destructeurs.
Le même principe s’applique à l’esprit.
Les humains ont besoin de la liberté d’expression.
Lorsque cela est réprimé – par la censure, la conformité ou la peur – l’esprit humain se rétrécit.
Les sociétés qui étouffent la créativité ou punissent la dissidence créent une maladie émotionnelle et spirituelle à grande échelle.
La liberté de mouvement et la liberté de pensée sont inséparables.
Jetez un coup d’œil autour de vous... Notre société encourage-t-elle la créativité ou l’écrase-t-elle ?
En médecine, cette suppression a créé une génération de médecins qui ont peur – et parfois même incapables – de remettre en question quoi que ce soit.
Ceux qui défient le système qu’ils travaillent dans le risque de perdre leur carrière. C’est gros.
En conséquence, l’innovation meurt, la vérité est réduite au silence et les patients souffrent.
Tout comme le corps devient rigide sans mouvement, la médecine est devenue rigide sans liberté et débat ouvert.
L'article complet de Un médecin du Midwest
RépondreSupprimerse plonge dans la façon dont la rigidité physique reflète la rigidité spirituelle et sociétale:
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Alors, quel est l'antidote? La liberté !
Les gens qui vivent avec spontanéité – qui bougent, s’adaptent et expriment – restent en meilleure santé et plus résilients tout au long de leur vie.
La poursuite du pouvoir ou du contrôle, en revanche, engendre la paralysie.
Le pouvoir semble offrir la liberté, mais c’est un piège. Il vous enferme dans des obligations et des attentes sans fin.
La vraie santé vit dans la flexibilité, pas la domination.
Cette philosophie peut littéralement remodeler la façon dont nous abordons la guérison.
L’objectif n’est pas de supprimer la douleur, c’est de restaurer le mouvement.
Lorsque vous ramenez de la flexibilité à la colonne vertébrale, la circulation aux organes et la curiosité à l’esprit, la douleur et le dysfonctionnement disparaîtront naturellement!
Le mouvement n’est pas un effet secondaire de la santé. It C'est la santé.
L'ordre des opérations est si important.
C’est pourquoi la plupart des traitements conventionnels de la colonne vertébrale, en particulier les fusions, se retournent contre la tête.
Ils restreignent le mouvement, accélérant la dégénérescence.
Guérir la colonne vertébrale nécessite de faire le contraire: la libérer!
Pour chaque degré de mouvement retrouvé, vous êtes un pas de plus vers la liberté et la vitalité.
Vous vous souvenez de la vidéo des gibbons ? Nous pouvons restaurer ce même flux à notre manière – en libérant notre corps de la douleur, notre esprit de la peur et nos esprits de la stagnation.
La santé n’est pas quelque chose accordé par la médecine.
C’est quelque chose que chacun de nous peut nous redécouvrir par le mouvement, la curiosité et le courage! Et c’est quelque chose que vous pouvez commencer maintenant.
La clé est de prendre la responsabilité de restaurer cette liberté vous-même.
Trop de gens attendent des interventions externes lorsque la guérison la plus transformatrice vient souvent de ce que vous faites quotidiennement – comment vous bougez, comment vous respirez et comment vous vivez.
RépondreSupprimerPour les personnes âgées, en particulier, la reprise de mouvement peut faire la différence entre le déclin et le renouvellement. C’est vraiment une grosse affaire.
Des exercices doux, des bains stimulant la circulation et des schémas de guérison conjointe peuvent restaurer la liberté qu’ils pensaient avoir disparu pour toujours.
La guérison ne nécessite pas toujours des médecins.
Mais cela nécessite une motion.
La perte de mouvement équivaut à une perte de vie. Reprendre le mouvement équivaut à retrouver la liberté !
C’est aussi simple que ça.
Lorsque le corps se raidit, l’esprit se ferme. Quand le mental se ferme, l'esprit s'atténue.
Mais quand vous bougez – vous bougez vraiment – tout commence à couler à nouveau.
La santé ne se trouve pas dans le contrôle, les pilules ou les procédures. Il se trouve dans la liberté.
Et cette liberté commence par une seule étape, littéralement.
Le corps humain a été conçu pour bouger. L’esprit humain a été conçu pour explorer.
Plus vous vous déplacez librement dans la vie, plus vous devenez vivant.
Où que vous soyez dans le monde aujourd'hui, envisagez de faire une promenade.
Chaque maladie chronique, chaque blocage émotionnel, chaque sentiment de stagnation partage exactement la même racine: une perte de mouvement.
Le rétablissement de ce flux – à travers le corps, l’esprit et l’esprit – est le fondement d’une véritable guérison.
La liberté guérit. Le silence écœure.
Il est temps de bouger à nouveau.
Pour des idées sur la façon de restaurer le mouvement dans votre vie, de la thérapie aquatique à la marche, consultez l'article complet de Un médecin du Midwest
. Vous ne regretterez pas de l’avoir fait.
Retrouver la liberté de mouvement dans le corps Esprit et esprit
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Merci d'avoir lu ! Cette information était basée sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
Le côté oublié de la médecine
RépondreSupprimerRetrouver la liberté de mouvement dans le corps Esprit et esprit
L’un des principaux objectifs de la rédaction de cette publication a été de fournir une voix aux victimes oubliées de la médecine, alors j’essaie de répondre à tous les messages que je reçois, en particulier ceux qui en ont cruellement besoin. Cependant, comme cette publication est devenue plus grande, il est devenu de plus en plus difficile pour moi de le faire de manière adéquate en raison du volume de correspondances que je reçois. Pour cette raison, j'ai décidé d'avoir des fils ouverts mensuels où les lecteurs peuvent demander ce qu'ils veulent et lier cela dans un sujet bref et perspicace...
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Pendant que vous y êtes, donnez un suivi à A Midwest Doctor. Personne n’apporte plus de recherche, de connaissance clinique ou de contexte historique lorsqu’il s’agit d’exposer les mythes de la santé que nous avons tous été nourris. C’est facilement l’un des comptes les plus précieux que vous suivrez.
https://www.vigilantfox.com/p/the-everyday-health-habit-thats-quietly?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=177994086&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Les visionnaires oubliés: Voix précoces sur les minéraux, l'eau et la santé.
RépondreSupprimerUn siècle de visionnaires disait la même chose: la vie a besoin de plus de minéraux que nous ne l'avions jamais imaginé. Ils ont dessiné la carte... et Shimanishi a plus tard trouvé le trésor.
Pierre Kory, MD, MPA
Nov 05, 2025
Ok, des sbires minéraux, vous avez remarqué que je vous ai donné un jour de congé ? Bien qu’il n’y ait pas trop de minéraux (votre corps prend en grande partie ce dont il a besoin et déverse le reste), j’ai senti que vous aviez besoin de temps pour réfléchir et « recharger » (jeu de mots absolument prévu). Connaître ce billet apparaît également comme le chapitre 8 dans la table des matières de « Des volcans à la vitalité ».
L'attraction de l'histoire médicale
Tout au long de ma carrière, alors que j’aimais à plusieurs reprises la recherche de thérapies transformatrices, j’ai développé une profonde appréciation de l’histoire de la médecine, en ce sens que j’aimais lire des articles académiques d’il y a 100 à 150 ans – la profondeur de la connaissance m’a toujours émerveillé. Comment savaient-ils autant à l'époque ? Avec de tels outils scientifiques primitifs ?
Ce qu’ils ont découvert par une observation clinique simple et prudente n’était souvent rien de moins que profond. Et ce qui m'a le plus fasciné, c'est la préscience des premiers visionnaires. Chaque fois qu’un traitement ou une pratique s’est avéré transformateur, il y avait toujours – quelque part dans les archives – une voix solitaire, souvent ignorée, appelant des décennies plus tôt pour sa valeur potentielle.
Bien sûr, le côté sombre de cette réalisation est plus difficile à ignorer: les innombrables médecins et chercheurs visionnaires dont les idées ont été rejetées, discréditées ou délibérément réduites au silence. Mais n’y allons pas encore – j’essaie de rester sur mon meilleur comportement, le plus positif ici.
Ce chapitre met en lumière les personnes qui ont vu la «plus grande image» autour des oligo-éléments et de l’eau purifiée et structurée avant la plupart. Des scientifiques du sol aux chimistes lauréats du prix Nobel, tous ont essayé de montrer au monde que les oligo-éléments manquants – silencieux et invisibles – façonnaient tout, des rendements des cultures aux maladies chroniques.
Note de l'auteur: Les visionnaires que j'ai négligés
Ce chapitre a été écrit il y a des semaines, et ce n'est qu'après qu'il soit apparu sur Substack que certains lecteurs ont souligné que j'avais échoué à reconnaître les contributeurs antérieurs dans ce domaine (ou pire, semblaient avoir plagié leurs idées). À ma grande surprise, j’ai découvert que certains des arguments que j’avais avancés n’étaient pas nouveaux. Étrangement, je me sentais à la fois humiliée et validée. J’étais arrivé à ces conclusions (ou plus précisément, j’avais rassemblé les données scientifiques les plus récentes et les plus robustes pour les soutenir) sans savoir que d’autres avaient fait un travail similaire avant moi.
La vérité est que je n'ai jamais entrepris d'écrire ce livre, et je ne suis pas entré en science minérale avec un plan de recherche systématique. Au lieu de cela, mon voyage a commencé par une introduction à l’extraction par Shimanishi d’un complexe minéral historiquement unique et primordial. J'ai d'abord appris cela par le biais d'interactions avec un collègue, Kacper Postawski. Puis, alors que j’ai commencé à faire des recherches et à essayer de le comprendre, j’ai rapidement été submergé par son potentiel à avoir un impact massif sur la santé des sols, des plantes, des animaux et des humains. Ainsi, j’ai commencé « à l’envers », motivé par la seule compétence que j’ai jamais ressentie, m’a rendu un peu unique, comme suggéré dans la Préface.
RépondreSupprimerDe cette étincelle d’inspiration, j’ai suivi des joyaux de connaissances aléatoires – « The Untold Truth » d’Elmer Heinrich – et d’innombrables coups de pouce vers des domaines d’experts minéraux comme Matt Bakos. Ce n’est qu’après que les lecteurs ont commenté que j’ai réalisé que j’étais parvenu à des conclusions que d’autres avaient déjà formulées.
Donc, permettez-moi de prendre un moment pour reconnaître humblement les scientifiques comme Forrest Nielsen, Walter Mertz et Bruce Ames, qui ont soutenu il y a longtemps que de nombreux minéraux « non essentiels » sont, en fait, essentiels – et que même des carences mineures peuvent perturber la biologie. Le plus pertinent est d’Albert Earl Carter, écrit il y a plus 30 ans, insistant sur le fait que physiologie humaine repose sur beaucoup plus d’éléments que les manuels ne l’admettent.
Ainsi, je ne prétends pas être un visionnaire ou un pionnier. Ma contribution est plus étroite, mais je crois qu’elle est historiquement unique: malgré un siècle de recherche sur l’épuisement des minéraux et la physiologie des oligo-éléments, aucun scientifique, chercheur ou auteur majeur n’a jamais écrit sur la découverte de Shimanishi.
Comment cela s'est-il passé ? Pour autant que je puisse l'expliquer, c'est parce que Shimanishi travaillait dans un autre monde; non seulement il vivait et travaillait au Japon, mais il se concentrait sur les brevets plutôt que sur les revues médicales, et sur les tests industriels plutôt que sur les conférences académiques. Son principal objectif était de déployer ses minéraux dans des applications agricoles et de traitement de l'eau.
Ainsi, on sait peu de ses avantages pour la santé en dehors d'un minuscule cercle de praticiens, dont l'un vous rencontrera plus tard dans le livre, Dr. Hisatake Nojima, qui a écrit cinq livres sur son utilisation des minéraux de Shimanishi dans sa pratique, dont l’un a été traduit en anglais et c et a été trouvé sur Amazon.
Ainsi, la connaissance de ses minéraux en médecine n’est détenue que par quelques précieux, sans études publiées sur leurs bienfaits pour la santé. En conséquence, la seule technologie minérale capable de fournir des sulfates ioniques denses et bioactifs – avec des implications mondiales pour l’eau, le sol et la santé humaine – est restée invisible pour les communautés très médicales et nutritionnelles à la recherche d’une telle solution.
Je crois que le mien est le premier travail à sortir la percée de Shimanishi de l’obscurité et à la lumière de la science et de la médecine. Cependant, cette découverte ne venait pas de moi; elle est venue à moi, et puis à travers moi. Du moins, c'est mon sens de tout ce qui m'a amené à ce point.
Alors, accroche-toi et tiens bon. Tout d’abord, nous rendrons hommage à certains des visionnaires qui sont venus avant. Puis, samedi, après quelques jours de repos bien mérité, nous franchirons le seuil vers la frontière que Shimanishi a ouverte.
https://pierrekorymedicalmusings.com/p/the-forgotten-visionaries-early-voices?utm_source=post-email-title&publication_id=645524&post_id=177965079&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La vaccination systématique de l'enfance est le plus grand et modifiable facteur de risque pour l'autisme (nouveau nom de l'encéphalite !)
RépondreSupprimerGrant Stinchfield décompose le rapport de la Fondation McCullough
Pierre A. McCullough, MD, MPH
Nov 05, 2025
S'il vous plaît, profitez de cet excellent résumé et de cette interview que j'ai eu avec Grant Stinchfield qui a digéré le rapport de la sur l'autisme et a produit une excellente analyse pour les laïcs. Gardez à l’esprit que Grant et moi-même avons pris des dizaines de vaccins au cours de notre vie et n’avons pas subi de blessures par le vaccin en nous-mêmes ou chez nos enfants. Nous sommes donc à la fois impartiaux et capables de rendre des opinions indépendantes sur la question.
Pour beaucoup, ce rapport est l’actualité la plus révélatrice et la plus convaincante sur la marée montante du trouble du spectre de l’autisme, et l’autisme profond en particulier, qui est susceptible de changer les préférences personnelles et familiales sur la vaccination de routine pour les enfants à l’avenir.
Veuillez vous abonner à FOCAL POINTS en tant que membre payant (5 $ par mois) ou fondateur afin que nous puissions continuer à vous apporter la vérité.
Pierre A. McCullough, MD, MPH
Président, Fondation McCullough
www.mcculloughfnd.org
Nicolas Hulscher, MPH, John S. Leake, MA, Simon Troupe, MPH, Claire Rogers, MSPAS, PA-C, Kirstin Cosgrove, BM, CCRA, M. Nathaniel Mead, MSc, PhD, Breanne Craven, PA-C, Mila Radetich, Andrew Wakefield, MBBS, et Peter A. McCullough, MD, MPH. (2025). Rapport de la Fondation McCullough: Déterminants du trouble du spectre de l'autisme. Zenodo. https://doi.org/10.5281/zenodo.17451259
https://www.thefocalpoints.com/p/routine-childhood-vaccination-largest?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=177727092&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
La protéine Spike plus dangereuse qu’attendu:un impact sur plus de 60 000 protéines humaines ainsi que sur 2 500 processus biologiques
RépondreSupprimerle 5 novembre 2025
par pgibertie
LE COLLECTIF 🅻🅴 🅲🅻🅻🅴🅲🆃🅸🅵
@tatiann69922625
C’est bien pire que vous ne pouvez l’imaginer… La protéine de pointe de la sous-unité S1 peut avoir un impact sur plus de 60 000 protéines humaines ainsi que sur 2 500 processus biologiques ! Ils voulaient vous parler des récepteurs ACE2 uniquement pour une raison précise : gagner du temps… https://mdpi.com/2218-273X/14/12/1549
La sous-unité S1 de la protéine Spike du SARS-CoV-2 est essentielle à la reconnaissance par l’ACE2 et à l’entrée du virus dans les cellules humaines.
Elle a été détectée dans le sang de patients atteints de COVID-19 et de personnes vaccinées. À l’aide de BioGRID, j’ai identifié 146 protéines humaines significatives interagissant avec S1. J’ai ensuite créé un modèle d’interactome facilitant l’étude de ses activités fonctionnelles.
Par une approche de rétro-ingénierie, 27 interactions spécifiques de S1 avec le protéome humain ont été sélectionnées. S1 interagit de cette manière indépendamment du contexte biologique, qu’il s’agisse d’une infection ou d’une vaccination.
En revanche, lorsqu’elle interagit avec des protéines virales, ces dernières induisent de multiples attaques sur une même protéine humaine, révélant ainsi une interaction fonctionnelle différente.
Les implications fonctionnelles et le tropisme du virus pour les organes et tissus humains ont été étudiés à l’aide de Cytoscape. Le système nerveux, le foie, le sang et les poumons figurent parmi les organes les plus touchés.
En tant que protéine unique, S1 opère dans un paysage métabolique complexe comprenant 2 557 processus biologiques (GO), soit bien plus que les 1 430 termes contrôlés lorsqu’elle opère au sein d’un groupe.
Une approche de fusion de données révèle que plus de 60 000 protéines sont impliquées dans la cellule par S1, avec une implication moyenne de 26,19 par processus biologique. Cependant, de nombreuses protéines humaines sont impliquées dans plus de 100 activités biologiques différentes.
L’analyse de regroupement a mis en évidence des activations significatives de nombreux mécanismes moléculaires, notamment ceux liés à l’infection par le virus de l’hépatite B.
Ceci suggère une implication potentielle dans la carcinogenèse, via une stratégie virale utilisant le système ubiquitine pour altérer les fonctions de suppresseur de tumeur et antivirales de TP53, ainsi que le rôle de RPS27A dans le renouvellement protéique et les réponses au stress cellulaire.
https://pgibertie.com/2025/11/05/la-proteine-spike-plus-dangereuse-quattenduun-impact-sur-plus-de-60-000-proteines-humaines-ainsi-que-sur-2-500-processus-biologiques/
La FDA change discrètement la politique sur le fluorure ingestible pour les enfants
RépondreSupprimerJames Lyons-Weiler, PhD
Nov 05, 2025
Par James Lyons‐Weiler, Journaliste en sciences et médecine, The MAHA Report
Après une revue de cinq mois, les États-Unis Food and Drug Administration (FDA) a annoncé le 31 octobre 2025 qu'elle limiterait les comprimés de fluorure ingérables et les gouttes prescrites aux enfants.
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De tels comprimés ou gouttes ont été prescrits pendant des années pour que les enfants avalent; ils sont destinés à prévenir les caries de l'intérieur (fluorure systémique), par opposition aux formes topiques comme le dentifrice ou le vernis.
L'agence a envoyé des avis d'intention de prendre des mesures d'application de la loi contre quatre entreprises qui produisent ces ingestibles et a conseillé aux cliniciens de ne pas utiliser de tels produits chez les enfants de moins de trois ans ou chez les enfants plus âgés.
La politique restreint l’utilisation aux enfants à haut risque âgés de trois ans et plus et laisse le fluorure topique et la fluoration de l’eau communautaire en dehors du champ d’action, une mesure cohérente avec l’utilisation par l’administration de politiques stratifiées qui adaptent les décisions préventives ou thérapeutiques au niveau de risque spécifique d’un patient plutôt que d’appliquer un traitement uniforme à tout le monde.
« Cet Halloween, la FDA, est à l’origine d’un enjeu à travers le cœur d’une science dépassée », a déclaré Robert F, secrétaire à la Santé et aux Services sociaux. Kennedy Jr. a déclaré dans l’annonce de la presse, encadrant le mouvement dans la stratégie Make Our Children Healthy Again de l’Administration. Le commissaire Marty Makary a ajouté qu’il « y a de meilleures façons de protéger les dents des enfants que de prendre du fluorure ingestible non approuvé ».
L’action de la FDA vise les gouttes et les comprimés de fluorure de sodium non approuvés et ingestibles, historiquement donnés aux nourrissons et aux tout-petits. Il ne modifie pas l'état du dentifrice ou du vernis au fluor, et ne détermine pas la fluoration de l'eau communautaire. L’agence a jumelé l’action à une lettre de deux pages aux professionnels de la santé et à une évaluation scientifique de 27 pages qui détaille l’utilisation, les avantages et les risques.
Dans son examen, la FDA a rapporté que 500.000 ordonnances pour le fluorure ingestible ont été remplies en 2024, soit 1,2 million lorsque les suppléments sont inclus. Le rapport concluait que la fluorose dentaire, une condition cosmétique causée par une exposition excessive au fluorure au cours du développement dentaire, conduisant à des stries blanches ou brunes sur l’émail, est un risque bien établi d’exposition systémique, tandis que les preuves d’effets neurocognitifs, thyroïdiens, microbiomes et pondéraux sont une hypothèse générante et justifie une étude plus approfondie. Dans l’ensemble, la FDA recommande de limiter les médicaments au fluorure ingérables aux enfants à haut risque de trois ans et plus.
RépondreSupprimerUne revue publiée par la Collaboration Cochrane en 2011 a révélé des preuves limitées que les suppléments de fluor prévient la carie dans les dents primaires; les résultats étaient incertains et biaisés vers des études plus anciennes. Une mise à jour de 2024 sur la fluoration de l'eau communautaire dans la base de données Cochrane a rapporté de petits avantages incertains dans les cohortes modernes, conformément à l'utilisation généralisée de dentifrice au fluor.
Une étude publiée dans JAMA Pediatrics en 2025 a analysé 74 études et a trouvé un lien entre une exposition plus élevée au fluorure et des scores de QI plus faibles dans diverses populations. Une autre étude menée par des chercheurs de l’Université de Toronto en 2019 a révélé un QI plus faible pour enfants associé à des niveaux plus élevés de fluorure d’urine maternelle, en particulier chez les garçons. Une étude canadienne connexe publiée dans Environment International a rapporté une réduction de l’intelligence non verbale chez les enfants exposés à des niveaux plus élevés de fluorure d’eau du robinet. En revanche, une étude de l'Université d'Otago en Nouvelle-Zélande n'a trouvé aucune association entre l'exposition de l'enfant à la fluoration de l'eau communautaire et le QI adulte. Cette étude, cependant, s’est ajustée pour l’éducation des adultes – un résultat influencé par l’intelligence de l’enfance – masquant potentiellement tout effet réel du fluorure.
Le rapport de la FDA ne mentionnait pas les preuves croissantes de la recherche sur les combinaisons aluminium-fluorure, qui, selon les études, peuvent perturber la signalisation et le développement du cerveau. Le potentiel des complexes d'aluminofluorure - où l'aluminium et le fluorure agissent de manière synergique pour influencer la fonction et le développement neuronaux - est bien documenté. La toxicité synergique résulte lorsque l'effet toxique combiné de deux ou plusieurs expositions est supérieur à la somme des effets individuels.
Une autre étude, en neurosciences, a montré que les expositions combinées au fluorure et à l'aluminium peuvent exacerber les mécanismes neurobiologiques pathologiques liés aux lésions neurodégénératives ou développementales. L'action du 31 octobre consiste en des avis d'application de la loi aux fabricants, une évaluation scientifique, la lettre des cliniciens et la nouvelle initiative de recherche. La dentisterie organisée soutient la prescription fondée sur le risque, mais conteste la pondération par les FDA des risques émergents. L’American Dental Association a salué l’accent mis sur les enfants à haut risque, mais a maintenu que les suppléments de fluorure restent sûrs et efficaces lorsqu’ils sont correctement prescrits.
La décision de la FDA affine, plutôt que d'inverser, la politique sur le fluorure. Il limite l'utilisation systémique du fluorure ingestible aux enfants à haut risque pour les caries, en alignant la prévention sur les données probantes modernes et en mettant l'accent sur la transparence et en utilisant un principe de précaution en santé publique.
RépondreSupprimerhttps://www.themahareport.com/p/the-fda-quietly-changes-ingestible?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=177904993&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&token=eyJ1c2VyX2lkIjoyNDcxNjYyNTEsInBvc3RfaWQiOjE3NzkwNDk5MywiaWF0IjoxNzYyMzQ1ODI3LCJleHAiOjE3NjQ5Mzc4MjcsImlzcyI6InB1Yi0xNzEyNTU3Iiwic3ViIjoicG9zdC1yZWFjdGlvbiJ9.7kU9GbEv4zae1qNbgq
TyO9KyX8mVE9XzFzhhpCXTRHw&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Bill Gates et Devex ont obtenu la note de service pour soutenir le changement climatique et les ODD - mais le secrétaire général de l'ONU - Gutteres est coincé sur l'ancien script: $1,3 billion par an pour arrêter le changement climatique
RépondreSupprimerJe suppose que s'il reste de vrais croyants qui vont mobiliser et transférer l'argent de leurs citoyens, il pourrait encore collecter un paquet
Meryl Nass
Nov 05, 2025
La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques COP30 arrive plus tard cette semaine à Belem, au Brésil. Les États-Unis n’y assisteront pas. Ou enverra une délégation de bas niveau.
- voir doc sur site -
L’Accord de Paris (portant l’augmentation de la température en dessous de 1,5 degré centigrade – depuis le début de la révolution industrielle au début du XIXe siècle) – est une farce. Pourquoi choisir une ligne de base d’il y a 200 ans ? Pour confondre tout le monde et laisser beaucoup de marge de manœuvre concernant ce qu'était vraiment la température à l'époque, par rapport à maintenant. Trump a sorti les États-Unis – deux fois.
Mais il y a des progrès réels dans le monde. Et qu'est-ce que c'est, vraiment ? Faites défiler jusqu'au fond pour le savoir.
https://unfccc.int/cop30
- voir doc sur site -
Il s’agit d’argent pour rien, bien sûr: les marchés du carbone. Un peu comme l’ESG, mais potentiellement beaucoup plus lucratif: vendre et acheter le droit de «polluer» en libérant du carbone ou du gaz carbonique dans l’atmosphère, où il appartient. Donne-moi une pause. Ne laissez pas vos impôts payer cette arnaque. Les données peuvent être falsifiées si facilement. Quelle blague.
https://merylnass.substack.com/p/bill-gates-and-devex-got-the-memo?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=178051265&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Vous devriez vous mobiliser contre la publication du plan énergétique qui coûtera 300mds aux contribuables
RépondreSupprimerle 4 novembre 2025
par pgibertie
Sous prétexte d’un « besoin de continuer sur la dynamique des énergies renouvelables », Roland Lescure souhaite publier rapidement la PPE 3. En réalité, la demande d’électricité stagne depuis 5 ans et la surproduction progresse, comme le confirment RTE et la CRE. Rien ne justifie cette précipitation réglementaire.
La PPE 3 est discutée depuis des mois. Son coût est aussi pharaonique qu’absurde au moment où le pays est ruiné : 10 % de la dette alors que l’on est déjà en surproduction d’électricité. Pour qui ? Pour les Français ou pour les lobbies de l’énergie qui s’activent et étendent leur influence ? Nos centrales nucléaires sont la colonne vertébrale de notre électricité. Elles garantissent un prix juste, une continuité absolue, une stabilité que nos enfants méritent. Et si tout cela s’effondrait à cause de décisions hâtives, par dogme ou par pression, qui en assumera la responsabilité ?
Le 22 octobre dernier, un colloque de députés de gauche et de Quota Climat (qui a une tribune à l’Assemblée) ont sorti une étude visant à cartographier la désinformation climatique dans les médias français. Ils dénoncent un certain nombre d’informations qu’ils jugent inacceptables et ils poussent une proposition de loi donnant la possibilité à l’ARCOM de sanctionner tous les propos qui leur déplairaient. »
Réécouter l’émission 🔗 https://youtu.be/ilpurY2tDkE
🗣️ Éric Leser, journaliste et rédacteur en chef de
@TransitionsEner
, révèle les récentes discussions à l’Assemblée nationale entre l’association Quota Climat — financée par les industries éoliennes — et plusieurs députés de gauche, visant à dénoncer ce qu’ils considèrent comme de la #désinformation sur les enjeux climatiques.
https://pgibertie.com/2025/11/04/vous-devriez-vous-mobiliser-contre-la-publication-du-plan-energetique-qui-coutera-300mds-aux-contribuables/
Dick Cheney est passé. L'article du NYT sur lui est extrêmement long. J'ai sélectionné des pièces que j'ai trouvé importantes à retenir.
RépondreSupprimerMeryl Nass
Nov 04, 2025
L'article du NYT sur la mort de Dick Cheney à 84 ans était équilibré (!) et contenait quelques paragraphes intéressants sur la croissance des comportements anticonstitutionnels des États-Unis.
Ce paragraphe sur le Patriotic Act nous dit efficacement à quel point il est antidémocratique et comment nous devons nous en débarrasser:
Plus tard, il est devenu évident que l'acte était utilisé pour étayer les tribunaux secrets, les écoutes téléphoniques sans mandat, la détention illimitée de suspects sans audiences ni accusations, et les méthodes d'interrogatoire qui contournaient les interdictions de torture dans les Conventions de Genève. Il y a eu de larges protestations et même des défis constitutionnels. Mais Monsieur. Cheney a fermement défendu la loi et son expansion du droit présidentiel r, et elle est restée en vigueur. [Et le Congrès ne cesse de le renouveler — Nass]
Ce paragraphe nous indique comment un problème est créé pour mettre en œuvre une solution extrêmement agressive:
Dans la foulée [du 11 septembre/01, que Cheney avait très probablement instigé — Nass], M. Cheney est devenu le stratège derrière une expansion rapide du pouvoir présidentiel pour lutter contre le terrorisme et un fervent partisan de M. L’avertissement doctrinal de Bush au monde: que les nations et les régimes seraient comptés comme pour ou contre les États-Unis dans la nouvelle ère du terrorisme, et que des mesures militaires préventives seraient prises contre quiconque représentait une menace pour la sécurité du pays.
Chickenhawk Cheney (qui a reçu 4 reports d'étudiants et un déférent parental pour éviter de servir dans la guerre du Vietnam) était aussi belliqueux qu'ils viennent. Il a utilisé de faux prétextes pour envahir les nations avec des ressources précieuses. On a dit que l'Afghanistan hébergeait $1Trillion de minéraux, et plus dans le gaz, le pétrole et les pipelines potentiels du bassin de la Caspienne, et l'Irak avait du pétrole et un niveau de vie élevé. Voici ce que j'ai documenté en 2011:
Monsieur. Cheney a également fortement influencé M. La décision de Bush d’envahir l’Afghanistan pour chasser Oussama Ben Laden, le chef d’Qaïda qui a dirigé les attentats du 11 septembre, et de réprimer un régime taliban fanatique qui avait abrité des terroristes et imposé une théocratie brutale au peuple afghan.
Et c'était Mr. Cheney qui était une voix dominante derrière M. La décision de Bush d’envahir l’Irak en 2003 puis de justifier la guerre. Il a insisté sur le fait que le président irakien, Saddam Hussein, avait des liens avec les terroristes d’Qaïda, possédait des armes de destruction massive et menacerait l’Amérique et ses alliés de chantage nucléaire.
Ce qui a commencé comme une opération de combat d'un mois en Irak a cédé la place à une occupation de près de neuf ans, une lutte contre les insurgés irakiens et la guerre interne qui ferait près de 4.500 victimes américaines et coûterait plus de $2 billions, selon certaines estimations.
Les contours d’un énorme « échec » de l’intelligence (mes guillemets – Nass) ont commencé à émerger. La commission du 11 septembre, un groupe indépendant chargé d'enquêter sur les attentats de 2001, n'a trouvé aucune preuve de collaboration entre l'Iraq et Al-Qaïda, et l'inspecteur en chef des armes de l'Agence centrale de renseignement, nommé à la Maison Blanche, a conclu que l'Iraq n'avait aucun stock d'armes biologiques, chimiques ou nucléaires. [Et rappelez-vous que le Sept. 11 Commission était dirigée par l’associé proche de Condoleeza, Philip Zelikow, et a dissimulé un peu d’informations encore plus accablantes. — Nass]
RépondreSupprimerCheney et Bush se souciaient de la volonté du Congrès ou du peuple:
Le président a également parlé de la coopération avec le Congrès et a déclaré qu'il examinerait les propositions d'un groupe d'étude bipartite sur l'Irak appelant à un désengagement progressif de l'Irak.
Mais il est vite devenu clair que M. Bush avait l'intention de ne faire ni l'un ni l'autre. Au début de 2007, avec Mr. L’aval de Cheney, le président a envoyé des dizaines de milliers de soldats américains en Irak, augmentant les 132.000 là-bas, dans une poussée pour aider le gouvernement à réprimer la violence autour de Bagdad. La Chambre a adopté une résolution non contraignante contre le plan, auquel M.. Cheney a déclaré: «Cela ne nous arrêtera pas.»
Il semblait que rien ne le ferait. Après des années de carnage et de violence sectaire qui avaient quitté l'Irak au bord de la guerre civile, M. Cheney a rejeté les suggestions selon lesquelles le pays était sur le point de s'effondrer. "La réalité sur le terrain, c'est que nous avons fait des progrès majeurs", a-t-il déclaré. [Cheney préférait les mensonges à la vérité, semble-t-il—Nass]
Cheney aimait la torture:
Et lorsque la commission du renseignement du Sénat a accusé la CIA de torturer des suspects de terrorisme pendant les années Bush, M. Cheney s’est levée pour défendre l’agence, arguant que ses interrogatoires avaient été légalement autorisés et « absolument, totalement justifiés ». Il a rejeté les allégations selon lesquelles la CIA avait induit la Maison-Blanche en erreur sur ses méthodes ou gonflé la valeur des informations obtenues des prisonniers.
Et il ne se souciait pas d'un signe de loi ou de la Constitution:
Au Congrès, Monsieur. Cheney a défendu l'espionnage domestique contre les accusations selon lesquelles il pourrait être inconstitutionnel et en violation de la loi de 1978 sur la surveillance du renseignement étranger, qui régit la collecte de renseignements aux États-Unis.
Le Congrès a également eu des problèmes pour protéger la Constitution:
Au-dessus de Mr. Les objections de Cheney, le Sénat, a adopté une proposition de M. McCain, autrefois prisonnier de guerre au Vietnam, interdit le traitement « cruel, inhumain et dégradant » des détenus. L'indignation suscitée par Abu Ghraib, la prison irakienne où des prisonniers nus avaient été photographiés empilés dans des pyramides humaines et se cachant devant des chiens, et des rapports faisant état d'autres abus avaient conduit à une pression bipartite pour l'interdiction.
RépondreSupprimerEn juin 2006, les États-Unis La Cour suprême a remis à l'administration un autre revers, jugeant qu'elle avait violé les Conventions de Genève et la loi américaine en créant des commissions militaires pour juger les suspects de terrorisme à Guantánamo Bay sans procédure judiciaire. La Cour a déclaré que le Congrès n'avait pas autorisé de tels tribunaux. Les critiques de la campagne Bush-Cheney pour étendre les pouvoirs présidentiels ont salué la décision.
Mais en quelques mois, le Congrès, toujours contrôlé par les républicains, a donné à l'administration une victoire de retour, en adoptant une législation façonnée par M. Cheney qui a autorisé les commissions militaires, a renouvelé M. Le pouvoir de Bush de désigner des détenus « combattants ennemis illégaux » et a permis au gouvernement d’emprisonner, d’interroger et de les juger sans contrôle judiciaire indéfiniment.
Alors que beaucoup se demandaient à quoi ressemblait vraiment Cheney, c'est l'information la plus personnelle qui pourrait être glanée:
Dans les années 1950, les vendredis soirs à Casper signifiaient des matchs de football, une danse et un voyage sur le stand de bière à la racine. À l'école secondaire du comté de Natrona, Dick était capitaine de l'équipe de football et président de sa classe senior, mais pas un étudiant de haut niveau. Son annuaire montre un adolescent bourru avec une coupe d'équipage et un sourire serré. Sa petite amie était la reine du retour, Lynne Vincent, qu'il épouserait en 1964.
Après l'obtention de son diplôme, il est allé à Yale, mais ses notes étaient médiocres; il a jeté deux fois et est parti après trois semestres. Il a voyagé à travers l'Ouest, à un moment donné, posant des lignes pour une compagnie d'électricité, et a été arrêté deux fois pour conduite en état d'ébriété avant de s'installer à l'Université du Wyoming à Laramie, où il a obtenu un baccalauréat en 1965 et une maîtrise en 1966, tous deux en sciences politiques. L'Amérique était en guerre au Vietnam, mais M. Cheney n'a jamais servi dans l'armée, remportant quatre reports en tant qu'étudiant et un en tant que parent marié.
https://merylnass.substack.com/p/dick-cheney-has-passed-the-nyt-article?utm_source=post-email-title&publication_id=746368&post_id=177998790&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
Exit Tax: Quand les macroniens et leurs complices découvrent avec horreur que les Etats Unis sont en réalité l’URSS car ces rouges luttent contre les fuites de capitaux
RépondreSupprimerle 4 novembre 2025
par pgibertie
Comment baisser fortement les impôts sur ce qui est produit en France, les charges sociales? En réduisant les dépenses mais également en réalisant une véritable révolution fiscale pénalisant les fuites de capitaux …*
Les Américains l’ont compris depuis longtemps…
Les Américains ont une chance folle. En effet ils sont contribuables du fisc américain quel que soit leur lieu de résidence dans le monde. Qui plus est, ils sont imposables sur tous les revenus qu’ils perçoivent de par le monde. Etre citoyen américain cela ne se mérite plus comme au bon vieux temps de la Guerre d’Indépendance, cela se paye fiscalement. Ne plus l’être aussi, d’ailleurs.
Comment, en effet, légalement, pour un Américain, échapper au fisc américain ?
Il n’y a qu’une solution : s’expatrier et rendre son passeport.
S’expatrier peut être coûteux. Le 17 juin 2008, à la fin de son mandat, le Président des Etats-Unis, George Bush a signé une loi, THE HEART ACT, selon laquelle l’« expatrié couvert », c’est-à-dire l’expatrié légal, doit s’acquitter d’une taxe sur ses biens, l’EXIT TAX. Cette taxe a pour base d’imposition la plupart des biens mondiaux du candidat, évalués à leur valeur vénale au jour précédant celui de l’expatriation.
Comment un Américain peut-il être considéré comme un « expatrié couvert » redevable de l’EXIT TAX ? Il faut qu’il remplisse au moins l’un des critères suivants :
– Disposer d’une fortune nette d’au moins 2 millions de dollars (les 626’000 premiers dollars sont exonérés)
– Avoir un revenu imposable moyen d’au moins 145’000 dollars pendant les cinq ans précédant l’expatriation
– Avoir omis de certifier être en règle avec les prescriptions fiscales pendant les cinq dernières années.
La date d’expatriation, qui va être utilisée pour valoriser les biens, est la première des dates suivantes :
– La date à laquelle l’individu renonce à la nationalité américaine devant un diplomatique ou un employé consulaire des Etats-Unis
– La date à laquelle l’individu fournit au Département d’Etat une déclaration signée de renonciation volontaire de la nationalité américaine confirmant l’acte d’expatriation
– La date à laquelle le Département d’Etat publie un certificat de perte de nationalité
– La date à laquelle une Cour américaine annule le certificat de naturalisation d’un citoyen
Il y a deux exceptions qui permettent d’échapper à l’EXIT TAX. Toutes deux s’appliquent aux binationaux de naissance :
– Il faut qu’à partir de la date d’expatriation, l’individu continue à être un citoyen de l’autre pays et à être imposé comme un résident de cet autre pays
RépondreSupprimer– Il faut que l’individu ait été un contribuable des Etats-Unis pour moins de 10 ans pendant une période de 15 ans finissant avec l’année imposable d’expatriation (cette exception s’applique à celui qui renonce à la citoyenneté avant 18 ans et demi).
Pourquoi la France a-t-elle créé l’Exit Tax ? Histoire et objectifs
Le concept d’exit tax, signifiant l’imposition des plus-values latentes lors du transfert par les contribuables de leur domicile fiscal hors de France, a été initié dès 1998.
D’un point de vue historique, l’idée d’une telle taxe a émergé afin de lutter contre l’évasion fiscale et notamment, au cas particulier, lutter contre le départ de personnes domiciliées en France à l’étranger, dans des pays dont l’imposition des plus-values sur la cession de titres serait plus avantageuse qu’en France, afin de vendre leurs parts de sociétés qui auraient pris de la valeur depuis leur acquisition.
La volonté en introduisant une telle taxe est donc de taxer les plus-values latentes, c’est-à-dire des plus-values non encore réalisées à la date du départ à l’étranger (donc une imposition avant même la vente des titres et donc avant d’avoir obtenu le prix de la vente), lors du transfert de domicile d’un contribuable français.
L’impôt créé par Nicolas Sarkozy en 2012, qui visait à freiner l’évasion fiscale des entrepreneurs, a été amoindri par les gouvernements Macron successifs. Il a été rétabli à la suite du vote d’un amendement déposé par le RN.
Exit tax, acte 2. Les députés ont approuvé lundi le rétablissement de l' »exit tax » (taxe d’expatriation), telle qu’elle existait de 2012 à 2019, dans le cadre de l’examen en première lecture de la partie recettes du budget de l’État.
Cet impôt avait été créé par Nicolas Sarkozy afin de freiner l’évasion fiscale des entrepreneurs, mais très nettement adouci par les macronistes.
Si vous transférez votre domicile fiscal hors de France, vous êtes imposable, sous certaines conditions, à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux au titre de vos plus-values latentes, de vos créances trouvant leur origine dans une clause de complément de prix et de vos plus-values de cession ou d’échange placées sous un régime de report d’imposition.
Vous êtes concerné si vous avez été résident fiscal français pendant au moins six ans au cours des dix années précédant le transfert de votre domicile à l’étranger et si vous détenez des droits sociaux, titres ou droits atteignant une valeur globale d’au moins 800 000 € ou représentant au moins 50 % des bénéfices sociaux d’une société
L’Assemblée a approuvé un amendement de Jean-Philippe Tanguy (RN) revenant à la version d’origine, la droite et les macronistes contre et la gauche s’abstenant très majoritairement. La mesure doit rapporter 70 millions d’euros, selon la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin.
Autre mesure notable approuvée lundi matin: un amendement de Corentin Le Fur (LR avec le soutien du RN) qui vise à ramener de 22 à 17 ans la durée de détention ouvrant droit à exonération totale d’impôt sur la plus-value immobilière applicable aux résidences secondaires et autres biens immobiliers non affectés à la résidence principale.
RAPPEL, l’exit tax américaine et celle de Sarko
Réponse du Secrétariat d’État chargé du commerce extérieur publiée le 26/10/2011
RépondreSupprimerRéponse apportée en séance publique le 25/10/2011
. Robert del Picchia. Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, je voulais ce matin attirer votre attention sur la mise en œuvre de l’exit tax par les États-Unis.
Pour résumer, je rappellerai simplement que cette taxe d’expatriation vise les personnes renonçant soit à leur citoyenneté américaine, soit à leur statut de résident permanent aux États-Unis et disposant de revenus et d’un patrimoine importants.
Elle touche en particulier nos ressortissants quittant les États-Unis pour aller travailler ailleurs ou pour venir prendre leur retraite en France.
Le fait générateur de cet impôt est déterminé non pas par la cession des biens détenus par le contribuable, mais par le transfert du domicile fiscal hors des États-Unis.
Une vente virtuelle de l’ensemble des actifs non seulement aux États-Unis, mais des actifs mondiaux de l’expatrié est réputée être effectuée le jour précédant l’expatriation, c’est-à-dire le jour où il quitte les États-Unis. La plus-value est taxée à la valeur de marché sur la fraction supérieure à 600 000 dollars, soit moins de 500 000 euros.
Pour les pensions, il y a soit une retenue à la source au taux de 30 %, soit une taxation sur la valeur actuelle des pensions latentes sans abattement, ce qui est le cas, semble-t-il, pour les anciens fonctionnaires internationaux.
Le montant de cette taxe est tel que certains de nos compatriotes ne peuvent plus rentrer en France et sont de facto contraints de rester aux États-Unis ou de prendre la nationalité américaine.
Cette situation, outre qu’elle porte atteinte aux libertés individuelles de nos concitoyens, prive la France de contribuables qui sont, pour certains, particulièrement aisés et pourraient aider au dynamisme de notre économie par leurs dépenses ou à l’augmentation des ressources publiques par leurs impôts. Il est donc souhaitable qu’ils puissent ramener leurs avoirs des États-Unis vers la France.
N’ayant pas pu obtenir de réponse claire de la part de l’ambassade des États-Unis, je souhaiterais avoir des précisions sur l’assiette et le taux de cette taxe américaine s’agissant, d’une part, des biens mobiliers et immobiliers et, d’autre part, des pensions de retraite.
Je voudrais également savoir si la convention fiscale franco-américaine permet d’éviter une double imposition à l’ensemble de nos ressortissants. Et qu’en est-il pour les fonctionnaires internationaux, auxquels cette convention ne s’applique pas ?
Enfin, monsieur le secrétaire d’État, pouvez-vous m’indiquer quelle est la position de nos partenaires européens sur cette taxe américaine ? Le gouvernement français entend-il appliquer le principe de réciprocité ?
M. le président. La parole est à M. le secrétaire d’État.
M. Pierre Lellouche, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé du commerce extérieur. Monsieur le sénateur Robert del Picchia, M. le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, qui ne peut pas être présent aujourd’hui et vous prie de bien vouloir l’en excuser, m’a chargé de répondre à votre question.
Vous faites part de votre préoccupation à propos de nos compatriotes qui ont exercé pendant plusieurs années une activité professionnelle outre-Atlantique et qui sont désormais susceptibles d’être assujettis à la taxe d’expatriation mise en place aux États-Unis lors de leur retour en France.
RépondreSupprimerLe Gouvernement est évidemment soucieux des intérêts de ses concitoyens et reste particulièrement vigilant quant au règlement des difficultés auxquelles ils pourraient être confrontés.
Dans son principe, la taxe d’expatriation, la fameuse exit tax, mise en place en 2008 frappe, sous certaines conditions, les revenus, biens et gains des résidents qui renoncent à la citoyenneté américaine ou à leur statut de résident.
Comme vous le savez, cet impôt est prélevé sur certaines pensions et sur le patrimoine détenu dans le monde par les intéressés.
Dans sa mise en œuvre pratique, cette taxation nécessite toutefois de tenir compte de certains critères tenant à la vie personnelle, aux revenus et au statut juridique des personnes concernées. Aussi, afin d’en connaître les modalités précises d’application eu égard à leur situation particulière, celles-ci pourront utilement se rapprocher de l’Internal Revenue Service, ou IRS, l’agence fédérale américaine chargée de la fiscalité et de l’application de la réglementation interne, plutôt que du ministère français de l’économie et des finances, monsieur le sénateur.
Par la suite, ces personnes pourront se rapprocher des services de Bercy si elles estiment subir une double imposition justifiant un examen par leurs soins.
Enfin, je tiens à vous préciser que, lors de la négociation de l’avenant du 13 janvier 2009 à la convention fiscale entre la France et les États-Unis, la France a obtenu le droit de pouvoir mettre en place des impositions à la charge d’anciens résidents de France. Il y a donc réciprocité.
D’ailleurs, l’article 48 de la loi du 29 juillet 2011 de finances rectificative pour 2011 a introduit une disposition visant, sous certaines conditions, à taxer certaines des plus-values des résidents qui transfèrent leur domicile hors de France, et ce à compter du 3 mars 2011.
Ces éléments témoignent, me semble-t-il, de la volonté de la France de préserver les intérêts de ses ressortissants installés à l’étranger, de garantir un équilibre dans ses relations avec ses partenaires et de défendre au mieux ses intérêts financiers.
https://pgibertie.com/2025/11/04/exit-tax-quand-les-macroniens-et-leurs-complices-decouvrent-avec-horreur-que-les-etats-unis-sont-en-realite-lurss-car-ces-rouges-luttent-contre-les-fuites-de-capitaux/
L'exode des médecins : Comment la bureaucratie, l'épuisement professionnel et les contraintes administratives poussent les médecins à quitter la profession
RépondreSupprimerPar Brian C. Joondeph, M.D.
3 novembre 2025
Une nouvelle étude publiée dans les Annals of Internal Medicine a révélé que près de 5 % des médecins américains ont quitté la pratique clinique en 2019, soit une augmentation de 40 % en seulement six ans.
Cela confirme ce que chaque médecin en exercice sait déjà : les médecins américains sont épuisés, démotivés et quittent la profession, les femmes médecins et celles exerçant en milieu rural étant les plus susceptibles de partir.
L'étude, menée par Rotenstein et ses collègues de Yale, UCLA et UCSF, a examiné plus de 700 000 médecins soignant des patients bénéficiant de Medicare et a constaté que les médecins s'occupant de patients plus âgés, plus malades et plus pauvres étaient plus susceptibles de quitter la profession. Bien que l'article soit descriptif plutôt que prescriptif, le message est clair : la profession médicale est en crise.
La médecine est devenue la seule profession où le client n'est pas le patient, le patron n'est pas le médecin et l'ordinateur gagne toujours.
Graphique de l'exode des médecins
Image générée par ChatGPT
Les raisons de ce départ massif ne sont pas mystérieuses ; elles sont inhérentes au système.
Pour de nombreux médecins, c'est la mort à petit feu. La journée du médecin moderne n'est plus définie par les soins aux patients, mais par la nécessité de satisfaire les exigences bureaucratiques. Les dossiers médicaux électroniques étaient censés faire gagner du temps, mais ils sont rapidement devenus des voleurs de temps.
Pour chaque heure de soins aux patients, les médecins passent près de deux heures à la documentation et aux tâches administratives. Rien de tout cela n'améliore les soins de santé, mais tout cela satisfait les avocats et les administrateurs. Les soirées en famille sont sacrifiées, remplacées par de longues séances de saisie de données tard le soir pour satisfaire les exigences de facturation.
Vient ensuite l'angoisse des poursuites pour faute professionnelle, l'épée de Damoclès toujours présente. Environ un médecin sur trois a été confronté à un procès à un moment donné de sa carrière. Même dans les États où la réforme de la responsabilité civile a été mise en œuvre, un seul mauvais résultat ou un avocat opportuniste peut engendrer des années de stress et de difficultés financières.
Il en résulte une « médecine défensive », où les examens et les consultations spécialisées sont prescrits non pas parce que les patients en ont besoin, mais parce que les avocats pourraient l'exiger. Il y a aussi le stress psychologique. Tout médecin qui a été poursuivi en justice, que l'affaire soit fondée ou non, en garde des séquelles. Chaque futur patient devient un plaignant potentiel.
À cela s'ajoutent la baisse des remboursements et l'augmentation des coûts. Les paiements aux médecins par Medicare ont chuté de 33 % depuis 2001, après ajustement pour l'inflation, tandis que les dépenses des cabinets médicaux ont augmenté de 59 % au cours de la même période.
Les assureurs fixent des tarifs qui couvrent à peine les frais généraux, tandis que l'inflation, les pénuries de personnel et les mises à niveau technologiques obligatoires font grimper les dépenses. Les médecins indépendants, ceux qui considèrent encore la médecine comme une vocation plutôt qu'un emploi d'entreprise, vendent leurs cabinets aux hôpitaux.
Selon l'AMA, « la proportion de médecins exerçant en cabinet privé était de 42,2 % en 2024, soit une baisse de 18 points de pourcentage par rapport à 60,1 % en 2012 ». Autrement dit, moins de la moitié des médecins exercent encore en cabinet privé.
RépondreSupprimerL'implication des fonds d'investissement privés dans le secteur de la santé a explosé. Leur approche est simple : acquérir des cabinets, augmenter la productivité, réduire les dépenses et revendre avec profit. Pour les médecins, cela se traduit par davantage d'indicateurs de performance, moins d'indépendance et une pression constante pour voir plus de patients en moins de temps. L'objectif n'est pas l'efficacité, mais la marchandisation de la médecine, où les soins deviennent un centre de profit et l'épuisement professionnel une simple variable d'ajustement.
Blue Cross Blue Shield utilise désormais des algorithmes d'IA pour réduire les paiements aux médecins qu'ils estiment surfacturer leurs patients les plus complexes. Pourtant, les politiciens ne subissent aucune « correction » de ce type pour leurs propres malversations financières.
Des enquêtes révèlent qu'environ 45 % des médecins américains présentent actuellement des symptômes d'épuisement professionnel et qu'un médecin sur cinq prévoit de quitter la médecine clinique au cours des deux prochaines années.
Où vont tous ces médecins ?
Certains prennent une retraite anticipée, épuisés et désillusionnés. D'autres se reconvertissent dans le conseil, la biotechnologie ou l'administration – tout ce qui ne nécessite pas d'autorisations préalables des assurances ou de « tableaux de bord de productivité ».
Un nombre croissant se tourne vers les cabinets de médecine privée ou à paiement direct, facturant en espèces et contournant complètement les intermédiaires de l'assurance.
Ce n'est pas que les médecins ne veulent plus soigner les patients, mais ils ne le peuvent tout simplement plus dans le système actuel. Comme l'a dit un collègue : « La médecine consistait autrefois à soigner les malades. Maintenant, il s'agit de satisfaire les exigences des tableaux Excel. »
Qui restera pour prendre soin de nous ? Un rapport de l'AAMC de 2024 a révélé que « le pays sera confronté à une pénurie de médecins pouvant atteindre 86 000 d'ici 2036 ».
Mais ce chiffre est peut-être optimiste. À mesure que de plus en plus de médecins quittent la profession, leurs remplaçants proviendront probablement de trois sources : les diplômés en médecine étrangers, les infirmiers praticiens et les assistants médicaux.
RépondreSupprimerLes médecins étrangers diplômés (FMG) sont depuis longtemps essentiels au système de santé américain, en particulier dans les régions rurales mal desservies. Cependant, l'obtention d'un visa H-1B est complexe, coûteuse et imprévisible.
L'administration Trump a proposé d'augmenter considérablement les frais de visa H-1B, jusqu'à 100 000 dollars, ce qui, si cette mesure était adoptée, empêcherait de fait la plupart des médecins étrangers d'exercer aux États-Unis.
Bien que de nombreux FMG soient d'excellents professionnels de santé, les différences linguistiques et culturelles peuvent créer des difficultés de communication, surtout dans des situations de forte pression.
Les infirmières praticiennes et les assistants médicaux sont des membres précieux de l'équipe soignante, mais ce ne sont pas des médecins, et prétendre le contraire nuit à la fois à la qualité des soins et à la responsabilité professionnelle. Leur formation représente généralement environ un sixième à un huitième des heures de formation clinique d'un médecin.
De plus en plus de patients consultent désormais un « professionnel de santé de pratique avancée » au lieu d'un médecin, souvent sans en être informés. Si cela peut être acceptable pour des problèmes simples, cela devient risqué pour les cas complexes, non diagnostiqués ou à haut risque.
Les conséquences se font sentir. Les patients attendent plus longtemps pour obtenir un rendez-vous et doivent parcourir de plus longues distances pour trouver des médecins qui acceptent encore de nouveaux patients. Il faut désormais en moyenne 31 jours pour obtenir un rendez-vous dans les 15 plus grandes agglomérations américaines.
Les services d'urgence sont surchargés, les centres de soins d'urgence se développent rapidement et la télémédecine est utilisée au-delà de ses limites pratiques.
À long terme, l'exode des médecins menace non seulement l'accès aux soins, mais aussi l'essence même de la médecine.
Lorsque les médecins manquent de temps ou d'autonomie pour réfléchir en profondeur à leurs patients, les soins deviennent purement transactionnels. Le lien sacré entre le médecin et le patient est remplacé par une froide efficacité, mesurée en « clics par consultation ». Les médecins ne sont plus qu'un simple « prestataire de services ».
Résoudre ce problème ne sera pas facile. Cela commence par la réduction de la bureaucratie, la réforme des lois sur la responsabilité médicale et une rémunération équitable des médecins pour leur temps et leur expertise. Les organismes de réglementation doivent cesser de considérer les médecins comme de simples rouages interchangeables d'un système de santé.
RépondreSupprimerLa technologie, lorsqu'elle est utilisée correctement, peut être utile. L'intelligence artificielle pourrait un jour prendre en charge les tâches fastidieuses de saisie des dossiers et de facturation, permettant aux médecins de se concentrer davantage sur les soins aux patients. Mais à moins que la culture ne change – si la médecine cesse de privilégier les indicateurs quantitatifs au détriment du jugement clinique – l'exode se poursuivra.
Ce à quoi nous sommes confrontés n'est pas seulement une pénurie de main-d'œuvre ; c'est une crise morale. Un pays qui décourage ses soignants par la bureaucratie, les poursuites judiciaires et une gestion axée sur les chiffres ne devrait pas s'étonner de voir de moins en moins de personnes vouloir soigner les autres.
Si nous continuons à traiter les médecins comme de simples employés administratifs, nous récolterons ce que nous avons semé : un système de santé géré par des comptables, défendu par des avocats et composé de ceux qui restent. Et ceux qui en souffriront le plus ne seront ni les bureaucrates ni les dirigeants, mais les patients, qui attendront un médecin qui ne répondra plus à l'appel.
Brian C. Joondeph, M.D., est médecin et écrivain. Suivez-moi sur Twitter @retinaldoctor, Substack Dr. Brian’s Substack, Truth Social @BrianJoondeph, LinkedIn @Brian Joondeph et par courriel à brianjoondeph@gmail.com.
https://www.americanthinker.com/articles/2025/11/the_great_physician_exodus_how_burea
ucracy_burnout_and_bean_counters_are_driving_doctors_away.html
Le département de l'Énergie de Trump investit 100 millions de dollars dans la modernisation des centrales à charbon face aux inquiétudes concernant la fiabilité du réseau électrique
RépondreSupprimer11/05/2025
Belle Carter
Le département de l'Énergie (DOE) alloue 100 millions de dollars à la modernisation des centrales à charbon, revenant ainsi sur les politiques de l'ère Biden qui privilégiaient les énergies renouvelables, invoquant des préoccupations quant à la fiabilité du réseau électrique.
Le secrétaire du DOE, Chris Wright, avertit que la fermeture rapide des centrales à charbon sans solutions de remplacement fiables risque d'entraîner des pannes de courant généralisées, s'appuyant sur un rapport du DOE de juillet qui prévoit des risques de pannes 100 fois plus élevés si le charbon et le nucléaire sont éliminés trop rapidement.
Le financement cible la gestion avancée des eaux usées, la flexibilité du changement de combustible (du charbon au gaz naturel) et les systèmes de cogénération afin d'améliorer l'efficacité et de prolonger la durée de vie des centrales.
Cette décision est en contradiction avec la politique de Biden axée sur les énergies renouvelables et la lutte contre le changement climatique, les critiques affirmant que l'énergie éolienne et solaire, intermittente, manque de fiabilité lors des conditions météorologiques extrêmes, tandis que les opposants évoquent des préoccupations concernant les émissions.
Cet investissement de 100 millions de dollars de Trump fait suite à un engagement de 625 millions de dollars en septembre pour l'expansion du charbon, présentant le charbon comme essentiel à la sécurité énergétique et annulant les réglementations de l'ère Obama qui avaient réduit la part du charbon dans la production d'électricité américaine de 50 % à 19,5 %.
L'administration Trump prend une mesure décisive pour relancer l'industrie américaine du charbon, allouant jusqu'à 100 millions de dollars de fonds fédéraux pour rénover et moderniser les centrales électriques au charbon existantes. Le département de l'Énergie (DOE) a annoncé cette initiative le vendredi 31 octobre, la présentant comme une étape nécessaire pour renforcer la fiabilité du réseau électrique après des années de pression réglementaire sous les administrations Biden et Obama.
Le secrétaire du DOE, Chris Wright, a souligné l'urgence de la situation, avertissant que la poursuite des fermetures de centrales sans solutions de remplacement adéquates pourrait entraîner des pannes de courant généralisées. Cet investissement s'inscrit dans le cadre du décret présidentiel d'avril de Donald Trump visant à redynamiser la production de charbon – un revirement radical par rapport aux politiques de l'ère Biden qui privilégiaient les énergies renouvelables.
Le dernier appel à projets du DOE cible trois domaines clés pour la modernisation des centrales à charbon : la gestion avancée des eaux usées, la flexibilité du changement de combustible entre le charbon et le gaz naturel et les systèmes de cogénération pour optimiser l'efficacité. Cette décision fait suite à un rapport du DOE de juillet qui prévoit que les risques de pannes de courant pourraient être multipliés par 100 si des sources d'énergie fiables comme le charbon et le nucléaire sont éliminées trop rapidement.
Wright a présenté cette initiative comme une mesure corrective après ce qu'il a qualifié de « ciblage incessant » du charbon sous les administrations précédentes. « Pendant des années, les administrations Biden et Obama ont ciblé sans relâche l'industrie et les travailleurs du charbon américains, entraînant la fermeture de centrales électriques fiables et une augmentation du coût de l'électricité », a déclaré Wright. « Heureusement, le président Trump a mis fin à cette guerre contre le charbon américain et rétablit des politiques énergétiques de bon sens qui privilégient les Américains. »
RépondreSupprimerCette annonce de financement fait suite à un engagement pris en septembre par le Département de l'Énergie (DOE) d'investir 625 millions de dollars dans l'expansion de l'industrie du charbon – un signal clair que l'administration considère le charbon comme indispensable à la sécurité énergétique.
Divergences en matière de politique énergétique : Charbon contre énergies renouvelables
La politique de l'administration Trump en faveur du charbon contraste fortement avec les politiques de l'ère Biden qui ont accéléré la transition vers l'énergie éolienne et solaire au nom de la lutte contre le changement climatique. Les critiques affirment que les énergies renouvelables intermittentes manquent de fiabilité par rapport au charbon et au gaz naturel, notamment lors d'événements météorologiques extrêmes comme les tempêtes hivernales ou les vagues de chaleur.
Le débat sur l'avenir du charbon est profondément politisé. Ses partisans soulignent son rôle de source d'énergie de base, tandis que ses opposants s'inquiètent des émissions. Cependant, le dernier rapport du DOE suggère que l'instabilité du réseau – et pas seulement l'idéologie – est à l'origine de l'urgence de l'administration.
Le charbon a longtemps dominé la production d'énergie aux États-Unis, atteignant son apogée au début des années 2000 avant de connaître un fort déclin en raison de la concurrence du gaz naturel et des réglementations plus strictes, explique Enoch de BrightU.AI. Le Clean Power Plan de l'administration Obama a imposé des limites d'émissions strictes, accélérant la fermeture des centrales. En 2022, le charbon ne représentait plus que 19,5 % de la production d'électricité aux États-Unis, contre plus de 50 % au début des années 2000.
La dernière initiative de l'administration Trump vise à inverser cette tendance, en présentant le charbon comme un atout stratégique plutôt qu'une relique. Le fonds de 100 millions de dollars vise à rendre les centrales vieillissantes plus efficaces et adaptables, prolongeant potentiellement leur durée de vie opérationnelle.
Alors que l'administration Trump s'efforce de relancer le charbon, le débat sur l'avenir énergétique des États-Unis s'intensifie. Ses partisans affirment que le charbon demeure essentiel à la stabilité du réseau électrique, tandis que ses détracteurs mettent en garde contre les conséquences environnementales et économiques néfastes. Face aux risques de coupures de courant et à la hausse de la demande énergétique, l'investissement de 100 millions de dollars du Département de l'Énergie (DOE) témoigne d'un regain de confiance dans le charbon, du moins pour l'instant. La réussite de cette stratégie dépendra des progrès technologiques, des forces du marché et de l'issue des prochaines élections.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo ci-dessous où le secrétaire à l'Énergie, M. Wright, met en garde contre les conséquences d'une paralysie du réseau électrique sur l'approvisionnement énergétique national.
This video is from the TrendingNews channel on Brighteon.com.
Sources include:
WattsUpWithThat.com
Energy.gov
WhiteHouse.gov
BrightU.ai
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-11-05-trump-energy-dept-pushes-coal-plant-revival.html
Non, la vérité n’est pas en soi du côté des chercheurs, des universitaires ou des journalistes
RépondreSupprimerMatthieu Creson
4 novembre 2025
Le journal Libération s’apprête à organiser le 8 novembre 2025 à la Cité de la musique à Paris une journée de débats, de rencontres et de spectacles sur le thème de la vérité, baptisée « Les 24h de Libé ». À cette occasion, le média donne la parole, dans son édition du week-end du 18 et 19 octobre, à des auteurs, journalistes, enseignants-chercheurs et acteurs pour répondre à la question : la vérité a-t-elle encore un avenir ?
Salomé Saqué, auteur d’un ouvrage intitulé Résister (Payot), a affirmé qu’il existe aujourd’hui « un mouvement de délégitimation et de mise en danger de ceux dont le métier consiste à produire du savoir : universitaires, chercheurs ou journalistes ». Elle se lamente de ce que désormais, d’un côté de l’Atlantique comme de l’autre, « les producteurs ou diffuseurs d’information sont accusés d’être des ‘idéologues’ ». Parler de « journalisme woke » ou de « chercheurs d’extrême gauche » ne serait pour elle que le signe… d’un combat d’extrême droite, dont le but serait ni plus ni moins de… « détruire le savoir ». Elle déplore par exemple le fait que J.D. Vance, vice-président de Trump, ait déclaré en 2021 : « Les universités sont l’ennemi ». Or on sait bien que depuis des décennies, nombre d’universités américaines sont devenues des repaires du progressisme parfois gauchiste, alors qu’elles sont censées être des temples du savoir, de l’innovation et de la transmission des idées. Épicentre du « politiquement correct » ou PC dans les années 1980 et 1990, elles ont été suivies dans cette même mouvance par des pans entiers de la société, tels Hollywood et plusieurs médias dits « mainstream ». On ne saurait ainsi accepter l’idée que la vérité de l’information puisse être confondue avec les présupposés progressistes de la bien-pensance idéologique, commune à une grande partie des médias et de l’université, en particulier dans le domaine des « sciences humaines ».
L’existence précède l’essence comme les faits précèdent toute interprétation
Salomé Saqué stigmatise certes avec raison « cet océan de relativisme » qui serait caractéristique de notre temps, « où chacun revendique ‘sa vérité’ ». D’où la défiance croissante à notre époque à l’égard des scientifiques ou des journalistes qui « répondent à une déontologie ». Elle rappelle, également à juste titre, que la science, comme le journalisme (on pourrait aussi dire l’histoire) impliquent le recours à la méthode scientifique. « La méthode scientifique, universitaire ou journalistique, souligne-t-elle, ne garantit pas la vérité ; elle rend possible l’existence du vrai ». Elle ajoute que « Ce qui distingue le savoir de l’opinion ou de la propagande n’est pas la vertu de celles et ceux qui le produisent, mais le régime de contrainte dans lequel ils s’inscrivent ! » En effet, le métier de chercheur et de journaliste a (ou plutôt devrait avoir) pour fondement l’établissement de l’exactitude des faits, la confrontation des sources, et l’obligation de ne tenir pour vrai que ce qui a été dûment prouvé et constaté, quand bien même ses propres opinions se trouveraient être infirmées par la réalité mise au jour.
Tout cela est très vrai. Mais notre auteur oublie un peu vite que la probité intellectuelle n’est pas davantage inhérente à la profession de chercheur, d’universitaire ou de journaliste que, pour recourir à un peu de jargon philosophique, l’existence n’est contenue dans l’essence. Suggérons-lui de lire ou relire Jean-François Revel, et notamment son magistral ouvrage La Connaissance inutile (Grasset, 1988), en particulier le chapitre 10, « La puissance adultère » – où Revel, pourtant journaliste lui-même, et fort de son expérience dans ce domaine, n’hésitait pas à asséner des coups qui n’avaient rien de gratuits.
RépondreSupprimerLa qualité d’un travail universitaire ou journalistique dépend de la probité de son auteur
Voici par exemple ce que Revel écrivait (p. 260) : « Même les organes d’information qui jouissent de la meilleure réputation professionnelle et du plus grand prestige international se laissent aller à déformer la simple relation des faits. » (p. 257) Il rappelle ainsi que « pour plusieurs responsables américains des médias, il fallait que la politique économique de Reagan fût un échec. » « Aussi longtemps, ajoute-t-il, que cette thèse resta tenable contre le témoignage des chiffres, ils la soutinrent, mais surtout, ce qui est plus grave, la travestirent en information ». « Malheureusement, conclut Revel au terme d’un minutieux examen des faits qui lui était coutumier, le pouvoir (des médias) ne milite pas toujours au seul service de la vérité, tant s’en faut » (p. 261).
Dans ses Mémoires, Le Voleur dans la maison vide (Plon, 1997), Revel écrivait d’ailleurs qu’il faudrait faire prononcer aux journalistes un serment de Socrate, comme on demande aux médecins de prononcer un serment d’Hippocrate. Contrairement donc à ce que dit ici Salomé Saqué, tout dépend de la probité intellectuelle du journaliste, de l’historien ou du chercheur, probité qu’impose certes, ou devrait imposer, la méthode expérimentale : la vérification des faits, de tous les faits, et leur interprétation non tendancieuse, fût-elle contraire à la « ligne éditoriale » du média.
https://contrepoints.org/non-la-verite-nest-pas-en-soi-du-cote-des-chercheurs-des-universitaires-ou-des-journalistes/
Les putains de journalistes à la botte des dictateurs pensent changer le monde en publiant continuellement des mensonges dans les merdias, mais le Peuple est doté du pouvoir de réflexion ! Le Peuple sait faire la part des choses. La vérité est ineffaçable !
SupprimerJamais un seul journal, une seule radio ou seule télé n'a osé demander l'avis du Peuple !! Jamais ! Les merdias se contentent d'inventer !
C'est alors qu'est arrivé l'Internet ! HOULALA ! Le monde parle ! C'est là qu'on voit la différence. C'est pourquoi les dictateurs censurent continuellement les sites et s'évertuent à effacer les propos.
Ce n'est pas 'Libé' qui dira çà !!
Avant la guerre, la peur : l’État muscle son appareil sécuritaire face à sa propre population
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 04 novembre 2025 - 12:55
Le message du général Fabien Mandon, nouveau chef d’état-major des armées, a fait l’effet d’un électrochoc : les forces françaises doivent « se tenir prêtes à un choc dans les trois ou quatre ans à venir ». Une mise en garde lourde de sous-entendus : la France doit se préparer à la guerre. Mais laquelle, contre qui, au juste ? La Russie, désignée comme menace principale par le CEMA ? Ou une partie de ses propres citoyens, que le gouvernement soupçonne déjà de s’opposer à une intervention à l’Est ? Telle est la question !
L’ombre d’un engagement à l’Est
Depuis de nombreux mois déjà, les signaux se multiplient : dans les états-majors, à Matignon et à l’Élysée, on évoque ouvertement la possibilité d’un engagement militaire majeur en Europe de l’Est, en soutien à l’Otan ou à un pays allié. Le chef des armées le dit sans détour : une Russie « tentée de poursuivre la guerre sur notre continent » impose à la France d’être prête. Mais prête à quoi en fait ?
Cette rhétorique guerrière s’accompagne d’une préparation certes moins visible, mais néanmoins bel et bien là : celle d’un dispositif de sécurité intérieure destiné à contenir les réactions que pourrait provoquer une telle décision. Au ministère de l’Intérieur, on ne se fait guère d’illusion : un envoi de troupes à l’Est pourrait rallumer les braises d’une contestation sociale et politique déjà vive.
La Gendarmerie en première ligne du “front intérieur”
Le général Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale (DGGN), l’a reconnu devant les parlementaires : « Si nous avons un engagement majeur à l’Est, je pense que cela ne se passera pas sans agitation sur le territoire national. »
Un euphémisme pour décrire une inquiétude bien réelle. Dans un rapport interne, la Gendarmerie se prépare désormais à réprimer d’éventuelles manifestations hostiles à un engagement militaire, à faire face à des actions de sabotage, voire à des opérations d’influence ou de désinformation, pourquoi pas orchestrées depuis l’étranger. La guerre extérieure aurait son miroir intérieur, du macrocosme au microcosme… et le maintien de l’ordre deviendra de fait le prolongement de la politique de défense, voire même le nerf de la guerre.
Cette logique de “continuum sécurité–défense” est assumée par la hiérarchie militaire. Elle inquiète toutefois certains observateurs, qui y voient une militarisation croissante de la sécurité intérieure et un risque de confusion entre contestation politique et menace à la sûreté nationale, un amalgame aisé qui autoriserait du coup pas mal de débordements côté démocratie.
RépondreSupprimerLes “Centaures”, symbole d’une préparation tous azimuts, au milieu de millions de munitions
Le déploiement des véhicules blindés Centaure le 18 septembre dernier illustre cette évolution.
Vingt-quatre engins, parmi les quatre-vingt-dix commandés par l'Élysée, équipés de grenades lacrymogènes, caméras thermiques et d’un système pouvant accueillir une mitrailleuse légère, ont été mobilisés dans toute la France lors d’une journée de grève nationale — du jamais-vu. Une mise en garde ?
Selon Le Figaro, les services de renseignement redoutaient la présence de plus de 8 000 individus “à risque”. Mais pour beaucoup, ce déploiement massif a surtout marqué le retour d’une logique de confrontation entre l’État et une partie de sa population. Un signe, peut-être, que le gouvernement se prépare à gérer une guerre… sur deux fronts : extérieur, mais surtout intérieur.
Quand la défense du territoire commence dans la rue
Officiellement, il ne s’agit que de prudence. Le général Bonneau évoque la nécessité de « couvrir le territoire » et de renforcer les capacités de la Gendarmerie en cas de montée en puissance des armées. En pratique, le dispositif ressemble de plus en plus à un pré-positionnement sécuritaire préventif — pour encadrer, voire neutraliser, toute forme d’opposition à une future intervention, une opposition donc politique.
Avec 800 millions d’euros prévus pour moderniser ses équipements — dont 22 000 fusils d’assaut et de nouveaux systèmes de vision nocturne — la Gendarmerie se dote d’un arsenal qui va bien au-delà du simple maintien de l’ordre, la plupart de ces armements étant létaux. Pour le pouvoir, la défense de la nation semble désormais passer par la rue plutôt que par le champ de bataille.
Un “choc” à deux visages
Les mots du général Mandon résonnent désormais avec une double signification.
Oui, la France se prépare à un “choc” géopolitique, face à une Russie perçue comme une menace. Mais elle se prépare aussi à un choc intérieur, celui d’une société potentiellement fracturée par une éventuelle décision de guerre qu’une bonne partie des citoyens refuserait.
Entre peur de la Russie et peur de la contestation, le gouvernement semble avoir choisi de privilégier la plus facile à mater. Une question gronde, désormais dans le silence des salons, la guerre qui se profile se jouera-t-elle à l’Est… ou ici, en France, en passant par l'article 16 ?
https://www.francesoir.fr/politique-france/avant-la-guerre-la-peur-l-etat-muscle-son-appareil-securitaire-face-sa-propre
La France est écrasée sous la pédale ! Ruinée par ses dépenses aux allocations pour les 'réfugiés climatique'. Ruinée par son industrie quasi inexistante et ses lois contre les françaises et les français. Effectivement, cela ne peut durer.
SupprimerDuralex ouvre ses souscriptions citoyennes : un savoir-faire français à soutenir
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 04 novembre 2025 - 14:41
La verrerie Duralex, reprise il y a un peu plus d’un an par ses salariés sous forme de coopérative (SCOP), poursuit sa relance avec succès, avec un chiffre d’affaires qui devrait atteindre 31 millions d’euros en 2025, et un objectif de 35 millions pour atteindre l’équilibre. Ici chaque salarié est actionnaire et participe aux décisions stratégiques, un modèle rare qui associe performance et gouvernance partagée. “On sait pourquoi on travaille.” Cette phrase de Gilles Pelletier, salarié depuis plus de 30 ans, résume ce tournant historique.
Fort de cette relance et alors que Duralex s’apprête à fêter ses 80 ans, la verrerie franchit une nouvelle étape avec une levée de fonds citoyenne de 5 millions d’euros, ouverte sur Lita.co. Sous forme de titres participatifs, elle permet de renforcer ses fonds propres, moderniser les équipements, élargir les gammes et créer une nouvelle ligne de production. Cette levée complète les 10 millions déjà sécurisés auprès de la région et de partenaires bancaires.
En moins d’un an, Duralex est passée du redressement judiciaire à une entreprise en croissance, portée par ses salariés et un modèle coopératif unique. Cette levée citoyenne s’impose donc comme une occasion pour chacun de participer concrètement à la relance d’un symbole industriel français.
Et puis plutôt que d’acheter des verres fabriqués en Chine, quoi de plus logique finalement que d’acheter français… Ces verres que nous avons tous connus dans nos cantines restent un des symboles du savoir faire Made in France, robustes, durables, indémodables et iconiques.
https://www.francesoir.fr/societe-economie/duralex-ouvre-ses-souscriptions-citoyennes-la-cooperative-entre-dans-une-nouvelle
L'Annonce d'OpenAI : ChatGPT met fin aux conseils en santé et en droit – un tournant pour l'IA Générative ?
RépondreSupprimerLe Collectif citoyen et Xavier Azalbert, France-Soir
le 04 novembre 2025 - 18:30
Dans un mouvement inattendu qui secoue le monde de l'intelligence artificielle (IA), OpenAI, la société derrière ChatGPT, aurait annoncé le 1ᵉʳ novembre 2025 une révision majeure de sa politique d'utilisation. Désormais, l'outil emblématique ne pourra plus fournir de conseils personnalisés en matière de santé, de droit ou de finances.
Cette décision, relayée par des comptes influents sur X comme @LeadingReport et @CataPaul2, marque un recul significatif pour l'IA conversationnelle, autrefois saluée pour sa polyvalence. Mais au-delà de la restriction technique, cette annonce soulève des questions profondes sur les risques, les pressions externes et l'avenir de la régulation des IA génératives. Explorons les tenants et aboutissants de ce changement.
L'annonce en détail : qu'est-ce qui change précisément ?
Selon la nouvelle politique d'utilisation d'OpenAI, ChatGPT et ses modèles associés sont explicitement interdits de dispenser des conseils « professionnels et personnalisés » dans des domaines sensibles comme la santé, le droit et les finances. Concrètement :
- Santé et médical : plus de diagnostics, de plans de traitement ou de recommandations de médicaments. L'IA se limite à des informations générales, éducatives ou issues de sources publiques (comme l'OMS ou les CDC), en renvoyant systématiquement les utilisateurs vers des professionnels qualifiés.
- Droit : interdiction d'interpréter des lois spécifiques, de rédiger des documents légaux ou de conseiller sur des cas personnels. Seules les explications générales sur les systèmes juridiques ou la terminologie restent autorisées.
- Finances : pas de conseils d'investissement personnalisés ni de fiscalité sur mesure. L'IA peut partager des données économiques publiques ou de la littératie financière basique. Cette mesure, effective immédiatement, transforme ChatGPT en un « outil éducatif » pur, comme l'a souligné un rapport de News18.
Sur X, les réactions fusent : certains utilisateurs, comme @shloimysch, ironisent sur un futur où même les GPS refuseraient des indications pour « raisons légales », tandis que d'autres, tel @SamWest_7, regrettent l'utilité vitale de l'IA – l'un d'eux affirme avoir détecté une tumeur rare grâce à ChatGPT, sauvant potentiellement sa vie.
Les raisons de ce changement : pressions, lobbying ou peur des risques ?
OpenAI justifie cette restriction par une volonté de « prévenir les risques inutiles » et d'éviter des situations où l'IA pourrait causer du tort, comme des paniques médicales infondées ou des erreurs légales coûteuses. Mais derrière cette rhétorique prudente se profile une crainte plus tangible : la responsabilité juridique. Des incidents réels ont émaillé l'usage de ChatGPT, avec des cas où des conseils erronés ont retardé des soins ou mené à des litiges. Un article de Yahoo News évoque explicitement des « peurs de poursuites judiciaires » comme moteur principal.
S'agit-il d'une capitulation face à des pressions externes ? Les lobbies professionnels – médecins, avocats et conseillers financiers – pourraient y voir une victoire. Ces secteurs, menacés par la démocratisation de l'IA, exercent une influence croissante. OpenAI a d'ailleurs multiplié par sept ses efforts de lobbying en 2025, priorisant l'énergie et la régulation plutôt que les deepfakes, selon MIT Technology Review. Cependant, aucune preuve directe de lobbying spécifique n'émerge ; il s'agit plutôt d'une anticipation proactive.
RépondreSupprimerLa comparaison avec les agences de notation lors de la crise des subprimes (2008) est particulièrement pertinente. Ces agences, comme Moody's ou S&P, ont été accusées d'avoir minimisé les risques des prêts hypothécaires à haut risque, menant à un effondrement mondial. Leur « conseil » implicite – via des notes optimistes – a exposé les investisseurs à des pertes massives, entraînant des amendes colossales (plus de 2 milliards de dollars pour S&P seule). De même, une IA donnant un « avis médical » erroné pourrait causer des dommages personnels irréparables, sans que l'entreprise ne porte d'assurance-responsabilité, ni ne puisse « examiner » un patient. OpenAI, évaluée à plus de 150 milliards de dollars, craint un « subprime de l'IA » : non pas une bulle financière (bien que des analystes comparent déjà le battage de l’IA à la crise des subprimes, avec des investissements gonflés), mais un scandale de responsabilité qui ébranlerait sa viabilité. C'est une peur légitime : l'IA n'est pas infaillible, et ses « hallucinations » (réponses fictives) amplifient les dangers.
Conséquences : une restriction des IA génératives qui redessine le paysage
Cette décision a des répercussions immédiates sur les IA génératives. ChatGPT perd en utilité pratique, se cantonnant à un rôle de « secrétaire éducatif » – bon pour résumer des articles du New York Times, mais inutile pour un diagnostic rapide ou un contrat de base. Cela ouvre des opportunités inattendues : les professionnels (médecins, avocats) pourraient se recentrer sur des tâches à haute valeur, utilisant l'IA comme assistant plutôt que concurrent. Sur X, @OldeWorldOrder y voit un avantage pour des rivaux comme Grok (xAI), qui pourrait « dominer le marché des conseils santé avec bon sens ».
À plus grande échelle, cela freine l'innovation. Les IA génératives, propulsées par des modèles comme GPT-4, étaient promises à une ubiquité : aide-soignante virtuelle, juriste low-cost. Ces restrictions auto-imposées pourraient décourager les investissements, déjà sous tension – OpenAI brûle des milliards en calcul, et une « crise subprime de l'IA » pointe, avec des coûts d'entraînement dépassant les revenus. Pour les utilisateurs, c'est frustrant : l'IA devient plus « sage » mais moins accessible, exacerbant les inégalités d'accès aux services pros.
Le début d'une régulation globale des IA ?
RépondreSupprimerAbsolument, cette annonce sonne comme un signal d'alarme. OpenAI opte pour l autorégulation, mais elle préfigure une vague réglementaire plus large. L'Union européenne a déjà adopté l'AI Act en 2024 (même s’il y a de nombreuses limitations et faillites dans cet act), classant les IA génératives comme « à haut risque » pour la transparence – ChatGPT devra divulguer ses sources et limites. Aux États-Unis, des débats au Congrès portent sur des mandats similaires, avec des défis : vitesse d'innovation vs. sécurité, comme le note Brookings Institution.
Tel que l’explique clairement Emmanuelle Darles dans son ouvrage IA : illusions d’avenir – les dangers de l’intelligence artificielle, les risques éthiques émergent. Cela comprend des biais dans les conseils généraux, des manipulations (interdite par OpenAI), ou des atteintes à la liberté d'expression via des restrictions excessives. Sans régulation équilibrée, l'IA pourrait stagner ; avec, elle pourrait devenir plus sûre et inclusive. Des experts comme ceux de Stanford plaident pour une « gouvernance sous incertitude », combinant auto-régulation et normes internationales.
Thématiques clés : éthique, innovation et concurrence
- Éthique et société : l'IA doit-elle jouer les « docteurs » ou rester un outil ? Cette restriction protège les vulnérables mais limite l’autonomisation – imaginez un pays en développement sans accès à des pros.
- Innovation vs. Sécurité : OpenAI sacrifie la disruption pour la stabilité, mais des concurrents comme Anthropic ou xAI pourraient combler le vide, favorisant une concurrence saine.
- Économie de l'IA : avec des bulles spéculatives (investissements dans l’AI supérieurs aux investissements dans les subprimes), cette prudence pourrait refroidir le marché, mais aussi le rendre durable.
- Avenir Professionnel : les métiers « à licence » respirent, mais l'IA formera peut-être les juniors (OpenAI recrute déjà d'ex-banquiers pour modéliser la finance).
En somme, l'annonce de ChatGPT n'est pas une fin, mais un pivot. OpenAI, sous pression de risques réels, trace la voie d'une IA responsable. Reste à voir si cela inspirera une régulation mondiale ou un exode vers des outils moins bridés. Une chose est sûre : l'ère des IA « tout-terrain » touche à sa fin, au profit d'un écosystème plus nuancé. Avec une question clé en suspens pour un débat démocratique sur le rôle de l’IA dans la vie de tous les jours avec comme question additionnelle : l'IA doit-elle conseiller, ou seulement informer ?
Pour approfondir ces enjeux, le livre d'Emmanuelle Darles alerte sur les limites probabilistes de l'IA et ses risques éthiques en santé, justice et éducation, plaidant pour une vigilance collective et une décision humaine finale. Ce manifeste accessible permet d'en savoir beaucoup plus sur les illusions autour de l'IA et les garde-fous nécessaires, en lien direct avec les récentes restrictions d'OpenAI.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/l-annonce-de-openai-chatgpt-met-fin-aux-conseils-en-sante-et-en-droit-un
Coluche l'avait bien expliqué: "C'est l'histoire d'un belge qui trouve une merde dans la rue. ÔH ! Regarde, on dirait que c'est une merde ! L'un d'eux s'abaisse, plante son doigt dedans puis le porte à sa bouche. T'as raison, c'est de la merde ! Et dire qu'on a failli y mettre le pied dedans !!"
SupprimerRoyaume-Uni : la ministre des Finances, Rachel Reeves, a ouvert la voie à des hausses d’impôts
RépondreSupprimer4 novembre 2025
Yves Bourdillon
Nos voisins d’Outre-Manche sont dans une panade budgétaire qui n’a pas grand-chose à envier à la nôtre. Certes, le niveau de dépenses publiques y est moindre, à 45 % du PIB contre 57 % en France, mais il a augmenté de cinq points depuis cinq ans et suit actuellement une dynamique qui laisse craindre une perte de contrôle. Ce alors que Londres ne peut tabler sur la croissance pour faire augmenter mécaniquement les rentrées fiscales, puisqu’elle a été abaissée récemment à 1% pour fin 2025. Le niveau élevé, de près de 5 %, des taux d’intérêts sur la dette britannique signe aussi une défiance croissance des investisseurs et tout signal selon lequel le gouvernement ne s’attaquerait pas sérieusement au déficit, qui a atteint un record depuis vingt ans, serait sanctionné par une hausse de la prime de risque pour détenir des obligations britanniques, avec effet boule de neige.
Du coup, la ministre britannique des Finances, Rachel Reeves, a ouvert mardi la voie à des hausses d’impôts lors du prochain budget. « Si nous voulons construire ensemble l’avenir du Royaume-Uni, nous devrons tous contribuer à cet effort. Chacun de nous doit apporter sa part pour la sécurité du pays et pour un futur prometteur », a-t-elle déclaré lors d’un discours très inhabituel à trois semaines de la présentation du nouveau budget, le 26 novembre. Elle devra alors préciser ses projets en termes de hausse éventuelle de l’impôt sur le revenu, ou de la TVA, deux impôts que les travaillistes, au pouvoir depuis juillet 2024, s’étaient explicitement engagés à ne pas toucher dans leur programme. Elle prévoit aussi des coupes dans les dépenses publiques jugées drastiques par l’opposition, quoique ne dépassant pas 14 milliards de livres par an d’ici à la fin de la décennie, soit à peine 1 % du total des dépenses.
Mme Reeves, qui a déjà augmenté fortement les prélèvements cette année, en particulier pour les entreprises, tout en coupant les dépenses, est sous pression pour équilibrer les comptes publics. Au plus bas dans les sondages et contesté jusque dans son camp, le Premier ministre Keir Starmer joue lui aussi gros avec l’échéance du budget, au moment où le parti anti-immigration et pro-Brexit, Reform UK, caracole en tête des intentions de vote. Une performance d’autant plus troublante que l’extrême droite n’a quasiment jamais existé durant les trois siècles et demi d’existence de la monarchie parlementaire au Royaume-Uni. Le Labour risque de payer cher dans les sondages ce reniement de ses promesses.
https://contrepoints.org/royaume-uni-la-ministre-des-finances-rachel-reeves-a-ouvert-la-voie-a-des-hausses-dimpots/
L'impôt ne sert pas à l’État à construire des entreprises mais a seulement se remplir les poches tout en empêchant la personne fortunée de créer des emplois.
SupprimerLe total des dépenses sociales françaises représente un dixième du total mondial
RépondreSupprimer4 novembre 2025
Yves Bourdillon
Une nouvelle étape du marathon budgétaire s’ouvre mardi à l’Assemblée : avec la suspension de la réforme des retraites et d’autres mesures explosives, le budget de la Sécurité sociale arrive dans l’hémicycle, où son adoption la semaine prochaine est incertaine. Ce alors que le total des dépenses sociales françaises représente un dixième du total mondial, un chiffre vertigineux pour un pays concentrant seulement 0.8 % de l’humanité.
Les députés vont examiner le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), sans avoir réussi à terminer l’examen du budget de l’État qui va reprendre mi-novembre. Franchises médicales, durée des arrêts de travail, cotisation sur les tickets-restaurants… Les discussions sur le PLFSS s’annoncent inflammables, la gauche dénonçant « un musée des horreurs ». Le gouvernement a prévu des économies pour réduire le déficit de la Sécu à 17,5 milliards en 2026, contre 23 cette année. Mais le texte sera sans aucun doute remanié. Sébastien Lecornu a lui-même déclaré vendredi être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et minimas sociaux, l’une des mesures les plus contestées. Une nouvelle concession, après avoir fait inscrire la suspension de la réforme des retraites dans le texte, l’une des conditions du PS pour ne pas censurer. Selon le rapporteur de la commission des affaires sociales, Thibaud Bazin, le projet présenté par le gouvernement équivaudrait à un déficit « entre 22 et 25 milliards », loin de l’objectif, ce qui inquiète la Cour des comptes.
https://contrepoints.org/le-total-des-depenses-sociales-francaises-represente-un-dixieme-du-total-mondial/
Non, M. Léaument, les salariés ne sont pas les seuls à produire la richesse !
RépondreSupprimer4 novembre 2025
Élodie Messéant
Dans un débat particulièrement houleux avec le chef d’entreprise Philippe Véran, Antoine Léaument, député LFI de l’Essonne, a une fois de plus démontré sa méconnaissance du fonctionnement d’une entreprise, de l’économie de marché et du processus de création de richesse. Il a asséné : « La richesse, ce sont les salariés qui la produisent ». Une formule qui flatte la vieille rhétorique révolutionnaire, mais qui repose sur une théorie dépassée : la lutte des classes marxiste, opposant ceux qui détiennent le capital et ceux qui travaillent.
Dans le monde réel, aucune entreprise ne naît spontanément de la seule volonté des salariés. Il faut d’abord quelqu’un qui prenne un risque, qui mobilise un capital, conçoive un produit, anticipe une demande et investisse sans certitude de succès. Sans entrepreneur, pas d’entreprise. Sans entreprise, pas d’emplois, pas de salaires. Si les « riches » existent, ce n’est pas parce qu’ils volent le travail des autres, mais parce qu’ils prennent des risques que d’autres ne veulent pas prendre, parce qu’ils ont des idées que d’autres n’ont pas, parce qu’ils ont un charisme, une volonté de travail, une capacité… que d’autres n’ont pas.
De même, sans actionnaires, c’est-à-dire sans ceux qui apportent des capitaux à long terme, pas d’investissement, pas de recherche, pas de croissance. Les salariés, eux, interviennent dans un cadre déjà construit, financé, organisé. Leur travail est essentiel, mais il est rendu possible par un écosystème complet où chacun joue un rôle et où les actions des uns et des autres sont interdépendantes. Comme les entrepreneurs et les actionnaires, les salariés ont aussi intérêt à la réussite de l’entreprise.
Un débat honnête sur la question ne devrait pas opposer les salariés aux chefs d’entreprise. Il implique, au contraire, de s’intéresser aux conditions nécessaires à la création de richesses et de questionner le rôle de l’État : moins il intervient par des normes et des prélèvements obligatoires, et plus il libère l’esprit entrepreneurial et valorise le travail. Si M. Léaument s’intéressait réellement au sort des salariés, peut-être qu’il passerait plus de temps sur l’audiovisuel public à défendre le salaire complet au lieu de pourfendre les entrepreneurs.
https://contrepoints.org/non-m-leaument-les-salaries-ne-sont-pas-les-seuls-a-produire-la-richesse/
Un ouvrier qui a 20 ans, 30 ou 40 ans d'usine n'en connaît pas plus qu'aux premiers jours lorsqu'il y est rentré ! Pareil pour une caissière ou étalagiste de supermarché !
SupprimerMême pas capable en regardant l'entreprise de se dire "Un jour je ferai pareil !"