Élodie Messéant
Dans un climat politique dans lequel la critique des grandes entreprises est devenu réflexe, la question qui revient sans cesse est la suivante : les PDG méritent-ils vraiment leur rémunération ? L’Éditorial Board du Wall Street Journal rappelle, exemples à l’appui, que la réponse est oui – et que l’économie s’effondre vite lorsque l’on oublie ce rôle central du leadership entrepreneurial.
L’article prend le cas de Doug McMillon, patron de Walmart depuis 2014, qui quittera ses fonctions en 2026 après plus de quarante ans au sein du groupe. Il a gravi tous les échelons, du job étudiant dans un rayon jardinage jusqu’à la direction du premier distributeur mondial. Ce parcours n’a rien d’un conte. Il illustre un constat simple que l’antibusiness ambiant refuse de regarder en face : un dirigeant capable de transformer un mastodonte vaut énormément.
Lorsque McMillon prend les rênes de Walmart, l’entreprise est déjà un géant, mais fragilisé par Amazon et la montée fulgurante de l’e-commerce. Beaucoup de colosses ont disparu pour moins que cela : Sears, Kmart, ou General Electric dans un autre secteur. Contrairement aux administrations publiques, les entreprises ne survivent que si leur direction sait s’adapter. C’est cette compétence rare, décisive, mesurable que les détracteurs des « hauts salaires » refusent de prendre en compte.
La contribution de McMillon est factuelle : il a réorienté Walmart vers le commerce en ligne et en a fait un concurrent crédible d’Amazon ; il a fait entrer l’IA dans la gestion opérationnelle, augmentant productivité et marges ; il a navigué intelligemment à travers les turbulences protectionnistes de l’ère Trump, en particulier les droits de douane sur les importations – cruciaux pour un groupe qui achète massivement à l’étranger. Les résultats se lisent dans les comptes : les revenus annuels sont passés de 486 à 681 milliards de dollars ; l’action a bondi de 310 % sur sa période ; et les salaires et avantages de 2,1 millions d’employés ont été relevés. On peut débattre du montant de la rémunération d’un PDG si on veut, mais on peut difficilement nier le fait que la création de valeur dépend avant tout d’une stratégie… et donc d’un stratège.
Pour le WSJ, la comparaison la plus éclairante est l’État fédéral américain. Alors que Washington accumule dettes, déficits et inefficacités, Walmart crée des emplois, finance des retraites et permet à des centaines de milliers de ménages d’accéder à la propriété ou d’envoyer leurs enfants à l’université. Bien entendu, McMillon n’en est pas l’unique artisan – et il ne prétend pas l’être – mais il a rendu cela possible.
Critiquer la rémunération des chefs d’entreprise est facile ; créer de la valeur sur une décennie, dans un secteur hypercompétitif, l’est beaucoup moins.
https://contrepoints.org/pourquoi-les-chefs-dentreprise-sont-parfois-tres-bien-payes/
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L'argent est de prime-abord un confort. Confort nécessaire aux chefs d'entreprises. Maintenant il y a deux façons de voir le reste: Planquer son argent sous le matelas ou en coffres aux Bahamas ne sert à rien puisqu'il ne profite à personne. 2è façon acheter. S'en servir pour construire villa, bagnole, avion et yacht. Çà fait travailler beaucoup beaucoup de personnes. Une personne riche dépense 100 fois, 1000 fois plus que quiconque et fait donc travailler beaucoup plus de personnes que quiconque.
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La conférence de l'ONU sur le climat retire les « énergies fossiles » du projet d'accord. Les militants s'exclament : « Nous n'avons plus rien ! »
Par Jo Nova
November 22nd, 2025
C'est comme si Satan avait disparu de la Bible.
Le dogme de la lutte contre le changement climatique s'effrite de jour en jour. L'accord de la COP30 est en cours de négociation au Brésil, mais toute mention des « énergies fossiles » a été supprimée du projet.
Il semblerait que les pays producteurs de pétrole aient formé un bloc s'opposant à une clause obligeant les pays à prendre des mesures plus strictes et plus rapides pour réduire leur consommation d'énergies fossiles. Le Royaume-Uni, la France et quelques autres pays ont rejeté cette clause, mais les mêmes petits États insulaires, craignant d'être submergés par les ressources, ont rejoint ce bloc.
Il semblerait qu'on leur ait proposé davantage de fonds pour s'adapter au changement climatique.
Le sommet de l'ONU sur le climat abandonne toute mention des énergies fossiles dans le projet d'accord
Par Georgina Rannard, BBC
Toute mention des énergies fossiles, de loin les principaux responsables du changement climatique, a été retirée du projet d'accord en cours de négociation, alors que la COP30, la conférence des Nations Unies sur le climat à Belém, au Brésil, entre dans sa phase finale.
Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva et certains pays, dont le Royaume-Uni, souhaitent que le sommet engage les pays à prendre des mesures plus fortes et plus rapides pour réduire leur consommation d'énergies fossiles.
Un texte antérieur proposait trois pistes pour y parvenir, mais cette formulation a été abandonnée suite à l'opposition des pays producteurs de pétrole.
La ministre française de la Transition écologique, Monique Barbut, a déclaré que l'accord était bloqué par « les pays producteurs de pétrole – la Russie, l'Inde, l'Arabie saoudite, mais aussi de nombreux pays émergents ». Elle a suggéré que les petits États insulaires pourraient accepter un accord moins contraignant sur les énergies fossiles s'ils obtenaient davantage de financements pour s'adapter aux changements climatiques induits par la hausse des températures.
Tout a toujours été une question d'argent.
La grande question (si cela se confirme) est : pourquoi le bloc pétrolier n'a-t-il pas agi ainsi il y a des années ?
La question encore plus importante est de savoir si le bloc pétrolier a trouvé un moyen de contourner l'ONU. S'il verse directement des pots-de-vin aux petits pays en coulisses, l'ONU ne touchera pas sa part des revenus. Quelle mascarade !
L'ironie, c'est que si le « changement climatique d'origine humaine » était réellement une crise, il serait plus logique que les géants pétroliers financent la construction de digues par les îles, plutôt que de bouleverser l'économie mondiale pour tenter de contrôler les nuages et les océans. Mais ce sacrilège impensable élimine les intermédiaires et met fin à toute cette course au pouvoir totalitaire.
L'ONU ne renoncera pas si facilement à son ambition de devenir un gouvernement mondial.
La ministre française de l'Environnement était mécontente :
Concernant la position de la France, elle a déclaré : « À ce stade, même sans feuille de route, une simple mention des énergies fossiles suffirait. Mais en l'état actuel des choses, nous n'avons plus rien.»
Attendez-vous à ce que The Blob se batte jusqu'au bout. Il y aura des tractations, puis peut-être une « joie euphorique » à l'idée d'un « accord historique » prêt à être présenté au journal télévisé de 21 h.
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« Tous responsables » : le gouvernement traite les Français comme des enfants
21 novembre 2025
Lorenzo Delpech
Le 20 novembre, le gouvernement a mis en ligne un guide de survie intitulé « Tous responsables », destiné à nous aider à être « bien préparés, bien protégés » face aux différents risques. Ce petit manuel, élaboré depuis plusieurs mois, ambitionne de nous prémunir contre les menaces climatiques, économiques, militaires ou les cyberattaques. Une version « Facile à lire et à comprendre » est également disponible. Mais, à y regarder de plus près, il apparaît une fois de plus que l’État-nounou ne peut s’empêcher de nous donner des leçons, qui ne sont pas forcément utiles.
Dans la section « bien préparés », on nous rappelle les principes essentiels en situation de crise : boire, manger, se soigner et se maintenir au chaud. Était-il nécessaire que l’État nous initie à ces évidences ? Dans la partie « bien protégés », on nous recommande, en cas d’inondation, de ne pas prendre sa voiture, de rester à l’abri et de ne pas descendre dans les sous-sols. Même prudence en cas de feu de forêt : rester à l’abri, boucher les aérations et les bas de porte pour empêcher l’entrée des fumées. Merci pour ces précieux conseils…
Concernant la désinformation, le guide invite à s’interroger sur la source des informations et leur caractère officiel. En cas d’attaque terroriste, selon le guide, il faut fuir et prévenir les secours. Vraiment ?
Il est vrai que certaines indications peuvent être pertinentes, comme savoir reconnaître les signaux d’alerte des alarmes, un savoir que tout le monde ne possède pas forcément. Mais dans l’ensemble, ce kit « Tous responsables », financé par l’argent public, demeure un énième exemple d’un gouvernement qui, avec maladresse, vient nous expliquer la vie.
Ce qui retiendra sans doute le plus l’attention, c’est le contexte de sa publication : en pleine crise géopolitique, notamment avec la Russie. Le guide évoque même la possibilité d’un « engagement majeur de nos forces armées dans des opérations défensives en dehors du territoire national ». Autrement dit, il n’est pas déraisonnable de penser que ce kit de survie est surtout destiné à préparer les Français à une éventuelle guerre.
https://contrepoints.org/tous-responsables-le-gouvernement-traite-les-francais-comme-des-enfants/
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« Tous responsables »!... sauf les ministres !
Dans un couple il arrive qu'un dépassement de budget surgisse. Le couple fait donc attention et, le mois suivant, l'affaire est réparée.
Mais, chez les ministres... aaaaalors là PUTAIN ! que ne ferait-on pas avec l'argent des autres ??! Même que ces gros cons parlent (attention, çà va faire mal:) de guerre avec la Russie !!! HAHAHAHAHA ! En moins de 10 secondes l'élysée et Paris-tour-eiffel sont RASÉS ! sans qu'un missile français, européen ou américain ne puisse atteindre la Russie !! HAHAHAHA !
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Le mot qui tue la vérité : « polémique »
Xavier Azalbert, France-Soir
le 21 novembre 2025 - 10:23
Commençons par le commencement, comme le voulait Descartes, en posant les définitions pour ne pas nous égarer dans le brouillard sémantique que nos élites affectionnent tant.
Le mot « polémique » vient du grec polemikos, qui signifie « relatif à la guerre ». En français courant, une polémique désigne une controverse vive, souvent passionnée, où deux camps s’affrontent sur des interprétations divergentes d’un même fait. Elle implique donc un débat, une ambiguïté possible, une zone grise où l’on peut légitimement discuter du sens, de l’intention, du contexte. Une polémique, c’est ce qui surgit quand les mots sont flous, maladroits ou sujets à caution. Ce n’est pas ce qui surgit quand les mots sont limpides, brutaux, et qu’ils frappent l’auditeur en pleine face comme une gifle.
Or, quand le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, déclare devant le salon des maires qu’il faut restaurer la « force d’âme » des Français pour être prêts à « accepter de perdre nos enfants » dans une guerre à venir, il n’y a aucune ambiguïté. Aucun flou artistique. Aucune zone d’ombre où l’interprétation pourrait danser. Les mots veulent exactement ce qu’ils disent : préparez-vous à sacrifier vos fils et vos filles. Point. Ce n’est pas une maladresse rhétorique, c’est une mise en garde crue, militaire, presque clausewitzienne dans sa franchise.
Ce n’est pas une « polémique ». C’est un scandale. Un choc. Une déclaration politique lourde de conséquences qui mérite indignation, débat de fond, voire sanction démocratique ou démission de l’intéressé – mais pas la réduction infantilisante à une simple « polémique ».
Ce qui aurait été approprié ? Des mots honnêtes : « maladresse », « erreur de communication », « propos inopportuns », ou plus courageusement encore : « dérapage irresponsable ». Ou, soyons fous, une simple reconnaissance : « Ces mots sont graves et reflètent une vision que nous assumons. » Mais non. Catherine Vautrin, dépêchée en urgence sur les plateaux comme un pompier de service, choisit « polémique » parce que ce mot est une arme de neutralisation massive. Il transforme une claque en petite querelle de salon. Il suggère que ceux qui s’indignent exagèrent, politisent, instrumentalisent. Bref, il inverse la charge : ce ne sont plus les mots du général qui posent problème, ce sont ceux qui les entendent tels qu’ils sont prononcés.
On comprend la mécanique. Le général Mandon, ancien chef d’état-major particulier d’Emmanuel Macron, reste un proche du président. Le désavouer ouvertement serait admettre que le sommet de l’État a validé, en sous-main, un discours va-t-en-guerre devant des maires médusés. Alors on envoie la ministre des Armées – assurance tous risques du macronisme – pour éteindre l’incendie sans mouiller le costume du chef. Elle parle de « propos sortis de leur contexte » (comme si le contexte changeait le sens des mots « perdre nos enfants »), de « langage militaire » (comme si les militaires avaient licence de terroriser la population civile), et surtout, elle répète en boucle : « Il n’y a pas de place pour la polémique. » Même si cela parait une habitude de lancer les polémiques ! 'Et cela semble une habitude pour Catherine Vautrin. Alors ministre du Travail, de la Santé, et des Solidarités, elle s'était faite huer au congrès de la Société française des soins palliatifs en déclarant : «… je sais que si le diable avait un visage, peut-être serait-ce le mien », alors qu'elle s'exprimait la justification de l'aide à mourir.)
Philosophiquement, c’est fascinant. Nous assistons à ce que Orwell appelait la novlangue : un mot est brandi non pour décrire la réalité, mais pour la dissoudre. « Polémique » devient l’équivalent moderne de « circulez, il n’y a rien à voir ». Il nie la capacité du peuple à comprendre ce qu’il entend. Il postule que les Français sont soit trop bêtes pour saisir la portée littérale d’une phrase, soit trop manipulés par les réseaux sociaux pour en saisir la « vraie » profondeur.
Dans les deux cas, c’est une insulte. Une insulte aristocratique, presque platonicienne : les gardiens de la Cité savent, le peuple doit se taire et obéir.
Le général s’est trompé d’audience, c’est évident. Devant des soldats, ces mots auraient pu passer pour une mise en garde virile. Devant des maires, élus de proximité qui enterrent les morts et consolent les familles, c’est une bombe. Il a cru parler à des stratèges ; il a parlé à des parents. Et dans quelle optique ? Celle d’une guerre que personne n’a votée, que personne n’a débattue au Parlement, que l’on nous présente comme inéluctable parce que Moscou « se prépare d’ici 2030 ». Mais où sont les preuves, hormis dans les élucubrations des cerveaux qui paraissent de plus en plus dérangés, non pas par la réalité et la vérité, mais par la perte du pouvoir. Ce serait une guerre par procuration en Ukraine qui pourrait devenir directe, non par nécessité vitale, mais par alignement atlantiste et par hubris présidentiel.
Alors oui, les politiques nous prennent pour des idiots. Ou pire : pour des enfants qu’on endort avec des mots doux pendant qu’on prépare les cercueils.
Alors dire « polémique » au lieu de « scandale », c’est refuser le débat démocratique sur la guerre et la paix. C’est traiter le langage comme un rideau de fumée et utiliser des mots extincteurs alors qu'ils mettent le feu à des forêts. C’est, en un mot, mépriser la souveraineté du peuple sur le sens des mots – et donc sur son destin.
Il est temps de rendre aux mots leur sens et leur tranchant. Et aux citoyens leur dignité.
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/le-mot-qui-tue-la-verite-polemique
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Grâce au président Vladimir Poutine la guerre ne peut avoir lieu. Car, les russes ont conçu une stratégie de défense plus que redoutable: le missile invisible ! Le missile invisible au radar. La Russie est inattaquable, elle a 1000 fois plus d'armes intelligentes que tout autre pays. Alors, si la France se lançait contre elle elle serait rasée en quelques 2 minutes comme les États Unis en moins de 5 minutes !
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8.
* Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros ou 'google': sent zéro.
https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux Etats-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
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Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
dimanche 8 novembre 2015
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/11/secretaire-la-defense-suggere-poutine.html
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Viande de synthèse : quand l’UE recadre l'Italie et la Hongrie qui veulent l’interdire... et la France dans tout ça ?
France-Soir
Publié le 21 novembre 2025 - 14:41
La Hongrie entre en conflit ouvert avec Bruxelles et adopte une loi qui interdit la production et la vente de viande cultivée, cette « viande de synthèse » produite à partir de cellules animales en laboratoire. Le Parlement hongrois a approuvé ce texte à une écrasante majorité (140 voix pour, 10 contre) en invoquant la défense de la santé, de l’environnement, et surtout de « une tradition rurale » face à un type de technologie « non traditionnelle ».
Et la Commission européenne a immédiatement riposté : selon Bruxelles, cette interdiction viole les principes du marché unique qu’elle prétend protéger, notamment la libre circulation des biens, ainsi que la procédure d’autorisation des nouveaux aliments.
Un bras de fer cependant qui n’est pas sans précédent : l’Italie avait déjà tenté une telle interdiction, mais s'était fait retoquer par Bruxelles, arguant un non-respect des procédures européennes.
Plusieurs pays — Pays-Bas, Suède, Lituanie — ainsi que des ONG comme ProVeg ou Good Food Institute dénoncent la loi hongroise. Ils y voient une attaque contre l’innovation, la recherche européenne et surtout une remise en cause de la liberté de choix des consommateurs… Consommateurs que l'on pousse petit à petit à l'abandon des traditions ancestrales et des cultures locales.
Et la France dans tout ça ? Ironie du sort, ce pays, encore mondialement reconnu, peut être plus pour longtemps, pour sa gastronomie, et l'excellence de ses produits, ne se dresse pas franchement en rempart du « patrimoine culinaire » face à ces nouveaux pseudos aliments : le gouvernement, loin de bloquer la viande de synthèse, adopte des mesures plus symboliques, comme restreindre l’usage des termes « steak » ou « jambon » sur des produits végétaux, sans s’attaquer réellement aux technologies cellulaires.
Tant qu’Emmanuel Macron présidera, l’élan “européiste” l’emportera visiblement sur les velléités de défense de la "tradition gastronomique" et du beau : plutôt que d'en protéger les codes, la France semble plus soucieuse d'être à la page sur l’innovation technologique, où d'ailleurs elle se trouve à la traine.
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Une nouvelle série d'études met en cause les aliments ultra transformés
France-Soir
le 21 novembre 2025 - 11:15
Le 19 novembre, dans The Lancet, quarante-trois experts internationaux ont dévoilé trois études qui interrogent frontalement ce que nous mettons dans nos assiettes, quand et comment. En France comme ailleurs, ces travaux menés notamment par des équipes de l’Inserm et d’INRAE décrivent une consommation d’aliments ultra transformés en hausse et des risques sanitaires déjà bien documentés.
Les paniers de courses ont bien changé depuis quelques dizaines d'années. Une avalanche de produits formulés à grand renfort de procédés chimiques ou mécaniques pèse désormais près d’un tiers des apports caloriques français, et parfois presque deux fois plus aux Etats-Unis, selon l’Inserm. Comme le rapporte Le Monde, "entre 2009 et 2023, le marché a crû, à l’échelle mondiale, de 1 500 milliards à 1 900 milliards de dollars".
Les chercheurs rappellent que ces régimes s’accompagnent d’un cocktail de sucres, graisses dégradées et additifs potentiellement problématiques. En plus des trois articles publiés dans The Lancet, une revue générale et systématique incluant cent quatre études montre que quatre vingt douze d’entre elles établissent un lien avec diverses maladies chroniques, dont obésité, diabète ou dépression.
En réaction, les chercheurs prônent un système alimentaire repensé en profondeur, des étiquetages clarifiés, des restrictions de publicité envers les enfants et l’éviction des aliments ultra transformés dans les écoles ou hôpitaux. Certains pays testent déjà ces orientations de bon sens.
Mais il y a, sans surprise, des stratégies industrielles qui freinent la régulation au profit d'un modèle économique fondé sur des ingrédients bon marché et un marketing massif. Les auteurs réclament une mobilisation internationale capable de reprendre la main sur un système qui s’est emballé.
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Rapport : Alimentation omnivore vs végétalienne/végane, impact climatique et enjeux mondiaux de Santé Publique
le 21 novembre 2025
par pgibertie
Rapport par Jean-François Lesgards, PhD
Ce rapport compare de manière simple l’alimentation omnivore (qui inclut des produits animaux et végétaux) et l’alimentation végétalienne ou végane (stricte, sans aucun produit animal).
Nous examinons les arguments liés au climat, à la santé et à la société.
Nous mettons en lumière les avantages des aliments d’origine animale et les limites des alternatives comme les végétaux purs, les insectes ou les viandes cultivées en laboratoire..
Notre but est d’offrir une analyse claire et objective, sans parti pris, pour aider chacun à mieux comprendre ces questions importantes.
En résumé, en général et surtout à l’échelle mondiale, l’alimentation omnivore, avec un mélange d’aliments animal et végétal, est supérieure par rapport à l’alimentation végétalienne/végane pour la nutrition humaine : protéines plus complètes, absorption facile et moins de carences. Les alternatives comme les insectes ou la viande de laboratoire peuvent être intéressantes, mais ne sont pas encore fiables pour tous et posent des problèmes à la fois de santé et d’éthique. Nous recommandons des repas équilibrés avec 100-150 grammes de viande par jour, accompagnés de légumes. Investissons dans un élevage durable, des recherches honnêtes, et des débats ouverts sur la question de l’alimentation. L’humanité a toujours gagné avec cette synergie animal/végétal : protégeons-la pour la santé, l’équité et le contrôle de notre alimentation.
Dans les végétaux, des acides aminés comme la lysine et la méthionine sont rares. Les végétaliens en consomment deux fois moins que les omnivores. Une étude montre des baisses de 26 à 52 % pour ces acides aminés. Les acides aminés soufrés (méthionine, cystéine) sont cruciaux pour la synthèse du glutathion, notre principal bouclier contre les toxines et l’oxydation. 67 % des végétaliens n’atteignent pas les niveaux nécessaires, risquant diabète, cancer ou infections. 3.3 – D’AUTRES CARENCES ET LEURS CONSÉQUENCES Vitamine B12 : présente uniquement dans les animaux ; sans elle, anémie et problèmes nerveux. Fer : Le fer issus des animaux est mieux absorbé ; les végétaux en bloquent l’absorption, causant l’anémie chez 1,74 milliard de personnes. Oméga-3 (DHA et EPA) : Essentiels pour le cerveau et le cœur, les végétaux n’en fournissent pas assez. Iode et Cholestérol : Bas dans le végétal. Le manque d’iode affecte la thyroïde, et un cholestérol trop bas augmente le risque de cance
- voir doc sur site :
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EXCLUSIF: La réalité terrifiante derrière les tirs COVID et le cancer | Daily Pulse
La vérité sur la poussée du cancer n'est rien de moins qu'alarmante. Et une fois que vous verrez ce qui le conduit vraiment, vous saurez exactement ce que vous devez faire pour vous protéger.
Le Renard Vigilant
22 novembre 2025
- voir clips de Maria sur site -
Les données sur le cancer qu’ils ont enterrées font un trou dans le récit officiel de la COVID, et les implications sont beaucoup plus effrayantes que quiconque ne l’admet.
Chaque nouvelle preuve ressemble moins à une étude et plus à une poussée d’avertissement.
Et le silence des institutions qui devraient tirer la sonnette d'alarme dit plus que les chiffres que jamais.
À ce stade, la vraie question n’est pas de savoir si la vérité sort – c’est combien de temps ils peuvent continuer à prétendre qu’elle n’est pas déjà ici.
Deux grandes études de population évaluées par des pairs – une d’Italie et maintenant une seconde de Corée du Sud – indiquent la même réalité alarmante: les individus vaccinés présentent des risques significativement plus élevés de cancers multiples.
Les médecins ont longtemps mis en garde contre les « cancers du turbo » – des tumeurs malignes soudaines et agressives chez des personnes en bonne santé. Maintenant, les données à grande échelle de deux continents différents confirment ces avertissements.
De plus, une étude récente évaluée par des pairs confirme que des microcaillots amyloïdes anormaux ont été trouvés dans 100 % de la population injectée de COVID. Y a-t-il un lien entre les deux ? John Richardson Jr. dit qu'il y en a et qu'il se joint à nous pour discuter.
Richardson a ouvert l’interview en pointant vers ce qu’il a appelé un signal de données « massif » qu’aucun gouvernement ne veut reconnaître.
Il a guidé Maria à travers une étude italienne qui a suivi 300.000 personnes vaccinées sur 30 mois et a constaté une augmentation de 23 % du cancer global. Mais ce qui l’a vraiment abasourdie, c’est le détail suivant qu’il a exposé: certains cancers n’ont pas seulement augmenté – ils ont grimpé en flèche, le cancer du sein ayant bondi de 54 %, le cancer de la vessie 62 % et le cancer colorectal 35 % après une seule dose.
Il a rappelé aux téléspectateurs que des millions de personnes ont pris le coup sous la pression de l’emploi ou des mandats de voyage, et beaucoup ont fini par faire ce qu’il a décrit comme un «choix fatal» sans jamais connaître le risque. Richardson a souligné encore et encore que ces résultats n’étaient pas des projections ou des théories, mais des résultats réels.
Selon Richardson, les institutions chargées de protéger le public ont plutôt enterré les signes avant-coureurs tout en poussant les mandats pour protéger Big Pharma aux dépens des êtres humains. Sa frustration était indubitable.
Maria a évoqué l'étude de microcaillot avec un sentiment d'urgence, notant que chaque participant vacciné avait les mêmes structures amyloïdes que l'on trouve dans les grands emblamères de caillots blancs et fibreux qui tirent maintenant des corps. Richardson n’en a pas dilué la gravité. Il a déclaré que c’était « évidemment lié » à la hausse du cancer et aux décès soudains.
Il a décrit les embaumeurs et les travailleurs de la morgue en lui parlant en privé de longs caillots caoutchouteux qu’ils retiraient des artères et des veines – le genre de conclusions qui auraient dû déclencher une enquête immédiate. Au lieu de cela, leurs rapports ont été accueillis avec le silence, le déni et même la censure des organisations au-dessus d'eux. Beaucoup ne parleraient que «hors du dossier», expliquant que les corps étaient incinérés si rapidement que les preuves disparaissaient avant que quiconque puisse l’examiner.
Richardson a également souligné que les gens ont encore des options. Les traitements existent, dit-il, pointant vers le Dr. Bryan Ardis et aux soutiens métaboliques comme la nicotine et le B17. Mais le point le plus grand était inévitable: ces caillots n’étaient pas aberrants. Ils se présentaient à chaque fois.
Richardson est ensuite passé à la machine politique derrière le silence sur les blessures par vaccin. Il a souligné que la question n’était pas une simple incompétence – à son avis, tout le système est capturé.
Il a parlé à Maria des appels hebdomadaires auxquels il assiste avec des médecins et des initiés de premier plan qui décrivent des campagnes de lobbying agressives pour élargir les protections de responsabilité non seulement pour les vaccins, mais aussi pour les produits chimiques agricoles.
Les sociétés pharmaceutiques opèrent déjà avec un bouclier unique contre les poursuites judiciaires. Maintenant, a-t-il dit, des entreprises comme Bayer et Monsanto veulent la même immunité pour des produits comme le glyphosate et le Roundup, même si ces produits chimiques sont déjà liés à des milliards d’allégations liées au cancer. Selon Richardson, ces entreprises versent de l’argent au Congrès pour bloquer tout ce qui pourrait changer l’élan vers la médecine naturelle ou le vaccin blessé.
Il a dit à Maria que le silence fédéral n'a rien à voir avec le manque de preuves. Il s’agit des « milliers de milliards de dollars » liés à ces produits. Des briefings internes, des réformes au point mort, des pressions politiques – rien de tout cela n’atteint jamais le public, a-t-il dit, parce que les gens au pouvoir ont l’intention de le garder enterré.
Richardson n’a pas enrobé sa conclusion: «Ils investissent des milliards et paient les membres du Congrès.»
Richardson a également partagé une histoire qui a capturé à quel point les attitudes du public ont radicalement changé en quelques années seulement. Il a déclaré qu'un administrateur médical principal supervisant un réseau de 1.000 MD a admis que les médecins sont maintenant frustrés parce que les patients continuent de poser des questions sur les traitements naturels et les causes profondes de leurs maladies.
Il a contrasté cela avec le passé, expliquant qu’il y a seulement quelques années, « pas un seul patient » a soulevé ces questions. Maintenant, a-t-il dit, quatre sur cinq le font – un changement qu’il considère comme une preuve d’effondrement de la confiance. Les gens ne supposent plus que leurs médecins savent automatiquement ce qui est le mieux, surtout après le déploiement du Covid, la poussée du vaccin et les années de silence entourant la santé métabolique.
Richardson a décrit ce moment comme un réveil culturel, avec plus de gens qui se rendent compte que « les experts » fonctionnent souvent plus comme des extensions de sociétés pharmaceutiques que des conseillers indépendants. Il a déclaré que ce changement est stimulant parce qu'il oblige le système médical à faire face aux questions qu'il a évitées pendant des décennies.
Comme il l’a dit, les médecins eux-mêmes admettent que les patients soulèvent maintenant des problèmes qu’ils n’ont jamais été formés pour résoudre: «Maintenant, 80% des patients posent cette question.»
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Alors que l'interview touchait à sa fin, Richardson a tout tiré ensemble avec le message qu'il considère comme le cœur de toute la discussion. Il a soutenu que le cancer n’est pas du tout un mystère génétique, mais une « maladie de carence métabolique » alimentée par les régimes industriels, l’exposition chimique et la suppression de composés naturels comme B17.
Il a décrit la participation à des conférences où les médecins ont présenté des preuves convaincantes que la santé s’améliore considérablement lorsque les gens retournent à la « nourriture donnée par Dieu », réduisent les produits transformés et comblent les carences en nutriments de base. Il a souligné des cultures comme les Hunzas et les Mennonites, qui font rarement face au cancer et vivent souvent bien au-delà de 100 en s’appuyant sur des aliments naturels riches en nutriments, en particulier les noyaux d’abricots riches en amygdaline.
Richardson a également souligné les scandales vieux de plusieurs décennies, y compris les recherches enterrées de Sloan Kettering montrant que Laetrile ralentissait les métastases. Il a partagé des témoignages de survivants à long terme qui se sont éloignés de la chimiothérapie et ont survécu à chaque prédiction médicale par décennies.
Son message plus large était que l'établissement médical refuse de tolérer la concurrence. Selon Richardson, les médecins qui recommandent la guérison naturelle risquent de perdre leurs permis ou même leur liberté, peu importe la solidité des preuves.
Et il a conduit le point à la maison en répétant son affirmation centrale: «Le cancer est une maladie de carence métabolique.»
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