Le 15 décembre 2025, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire à la Santé et aux Services humains (HHS) dans l’administration Trump, a modéré une table ronde officielle intitulée « Maladie invisible — Ouvrir la voie pour la maladie de Lyme ». Cet événement historique, diffusé en direct et organisé au sein du ministère américain de la Santé, a réuni patients, cliniciens, chercheurs, membres du Congrès (dont les sénateurs Susan Collins et les représentants Chris Smith et Morgan Griffith) ainsi que des responsables du HHS.
RFK Jr. a marqué les esprits en dénonçant des décennies de négligence : « Pendant des décennies, les patients atteints de Lyme ont été niés en termes de diagnostics précis et de soins adéquats. » Il a déclaré sans détour que « l’inversion des rôles pour les patients Lyme est terminé », critiquant le fait que beaucoup aient été orientés vers la psychiatrie plutôt que traités pour une infection réelle. Touché personnellement — lui-même et des membres de sa famille immédiate ont contracté la maladie, avec des conséquences graves pour ses fils —, Kennedy a annoncé des mesures concrètes : renouvellement du programme LymeX pour améliorer les diagnostics, création de centres d’excellence, nouvelles études NIH sur les cas pédiatriques, une page dédiée sur hhs.gov/lyme , et une meilleure couverture des soins chroniques par Medicare/Medicaid.
Dans un débriefing vidéo consacré à la maladie de Lyme, le professeur Christian Perronne a salué « un immense moment de joie » après cette annonce qui reconnait officiellement la maladie — y compris sa forme chronique — et annonçant des mesures opérationnelles en faveur des patients. « Ce qui va se passer aux États-Unis va avoir des répercussions fantastiques dans le monde entier », affirme le spécialiste, engagé depuis 25 ans sur ce dossier.
L’annonce de l’administration américaine sur la mise en place de « centres d’excellence » dédiés au diagnostic, et le relancement des études au NIH sont salués par le Pr Perronne. « Le diagnostic est le point clé : les tests actuels sont très imparfaits et des millions de malades ont été laissés pour compte », insiste Perronne, qui plaide de longue date pour la reconnaissance du « Lyme chronique », symptomatologie prolongée faite de fatigue extrême, troubles neurocognitifs, douleurs et atteintes cardiaques.
Le clinicien retraité voit dans cette annonce une victoire symbolique pour des patients « trop souvent renvoyés en psychiatrie ». « C’est une honte absolue. Des gens ont perdu leur emploi, leur famille, leur santé, et on leur a dit : c’est dans votre tête », déplore-t-il. Il espère que ce virage américain « débordera » rapidement en France, où il juge les dernières recommandations nationales « à rebours », regrettant que des avancées antérieures sur les parcours de soins et les traitements prolongés n’aient pas été entérinées.
Pr Perronne souligne aussi la dimension personnelle de l’annonce : Kennedy ayant indiqué souffrir lui-même de la maladie, tout comme deux de ses fils. « On a un ministre qui est aussi un patient », relève Xavier Azalbert, y voyant un accélérateur de prise de conscience. Pour le Pr Perronne, la participation structurée des associations est indispensable : « Au temps du sida, aucun projet n’était financé sans leur aval. Pour Lyme, on les a trop souvent mises sur un strapontin. »
Au-delà de la France, le professeur anticipe des « retombées » internationales : « La science, c’est la science. Les faits sont les faits. » Il appelle les malades à « rejoindre les associations et refaire un lobbying très fort » afin de transformer l’impulsion américaine en changements concrets de ce côté-ci de l’Atlantique. « Je suis très heureux pour les malades. Je n’y croyais plus. C’est une gigantesque avancée. »
« Ce qui se passe aujourd’hui est magnifique », conclut-il. « Le vent de liberté peut venir de l’étranger. À nous de le saisir. »
- voir cadre sur site :
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2 -Les Etats Unis reconnaissent la maladie de Lyme chronique, pas la France en plein déni médical
le 17 décembre 2025
par pgibertie
Christian Perronne:
Regardons ce qui se passe aux Etats-Unis : il y a un groupe de travail qui a été mis en place par le gouvernement américain au ministère de la Santé qui dit clairement que les tests ne sont pas fiables. […] A l’inverse, La Société américaine des maladies infectieuses (société privée attaquée pour conflits d’intérêts) a dit » nos tests sont parfaits « . Mais tout cela repose sur du vide et non pas sur des publications scientifiques validées, et toutes les publications qui ne vont pas dans leur sens, ils ne les citent pas.
Ce déni de la maladie dure depuis trente ans. Les autorités américaines sont en train de changer parce que la maladie explose aux Etats-Unis. Il y a quelques années, c’était juste dans le Nord-Est des Etats-Unis, aujourd’hui les 50 Etats sont touchés et ils reconnaissent avoir des millions de cas. En Europe, ça explose. Rien que dans le sud de la Pologne, ces dernières années, il y a eu des publications qui montrent que la fréquence de la maladie a été multipliée par 35. C’est colossal pour une maladie infectieuse. On voit que ça explose partout.
En raison de l’omerta politique autour de la maladie de Lyme, aucun laboratoire de biologie humaine ne veut travailler sur les Borrelia, il faut donc se tourner vers les laboratoires vétérinaires […] Mais je crois qu’il faut que les autorités de santé acceptent de travailler la main dans la main avec les laboratoires vétérinaires qui ont la compétence scientifique. D’autant plus que l’OMS, depuis des années, fait la promotion de la politique dite « d’une seule santé », c’est-à-dire que les animaux et les humains partagent le même environnement. Les tiques peuvent piquer aussi bien un chevreuil, un sanglier, un humain ou un raton laveur. Il ne faut pas exclure le monde vétérinaire qui a son expérience et malheureusement, c’est ce qui a été fait aujourd’hui de façon officielle.
« L’une des raisons pour lesquelles nous souhaitions organiser cette réunion, comme je le précise, est d’annoncer au monde entier que la manipulation des patients atteints de la maladie de Lyme est terminée. »
RFK Jr. a rassemblé des patients, cliniciens et chercheurs pour discuter des besoins en diagnostics et traitements de la borréliose de Lyme (maladie transmise par les tiques). Il a déclaré que l’une des raisons principales de cette réunion était d’annoncer publiquement la fin du « gaslighting » (manipulation psychologique ou déni de la réalité des souffrances) des patients atteints de Lyme, en particulier ceux souffrant de formes chroniques ou persistantes.
Beaucoup de patients rapportent des symptômes persistants (fatigue, douleurs, troubles cognitifs) après traitement standard, souvent qualifiés de « syndrome post-traitement de la maladie de Lyme » (PTLDS).
Ces patients ont fréquemment été accusés d’exagérer ou d’avoir des problèmes psychosomatiques, ce que RFK Jr. qualifie de « manipulation » ou « gaslighting ».
Avec cette réunion, le gouvernement fédéral américain reconnaît officiellement ces souffrances et s’engage à améliorer diagnostics, recherches et accès aux soins.
En France, la situation autour de la maladie de Lyme (borréliose de Lyme) est marquée par une controverse persistante sur l’existence d’une forme chronique, souvent qualifiée de « négation » ou de « déni » par les associations de patients, qui dénoncent une minimisation de leurs souffrances (similaire au « gaslighting » mentionné par RFK Jr. aux États-Unis).Position officielle actuelle (fin 2025)La Haute Autorité de Santé (HAS) a actualisé ses recommandations en février 2025 :
Elle reconnaît des symptômes persistants post-traitement (fatigue, douleurs, troubles cognitifs), classés comme « pathologie reconnue » pour éviter l’errance médicale.
Influencée par les débats sur le Covid long, elle insiste sur une prise en charge adaptée.
Cependant, elle refuse explicitement le terme de « forme chronique » active (due à une persistance de la bactérie Borrelia), préférant parler de « syndrome post-borréliose de Lyme » ou symptômes « post-infectieux » (possible dérèglement immunitaire).
Cette nuance est cruciale : les autorités et sociétés savantes (comme la SPILF – Société de pathologie infectieuse de langue française) estiment que prolonger les antibiotiques au-delà de quelques semaines n’est pas justifié
Associations de patients (FFMVT – Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques, France Lyme, etc.) : Elles rejettent ces recommandations, les jugeant insuffisantes. Elles militent pour une reconnaissance pleine d’une forme chronique (infection persistante), accusant un « déni médical » historique qui laisse des milliers de patients sans diagnostic ni traitement adapté. Elles pointent les tests sérologiques peu sensibles et les co-infections possibles.
La controverse, intense dans les années 2010-2020, a ressurgi en 2025 avec les nouvelles recommandations de la HAS, mais reste moins médiatisée qu’aux États-Unis.Différences avec les États-UnisL’annonce de RFK Jr. en décembre 2025 (fin du « gaslighting » des patients) marque un tournant américain vers plus de reconnaissance des formes persistantes et d’investissements en recherche/diagnostics. En France, aucune réaction officielle notable n’a été rapportée à cette annonce US ; le débat reste interne et scientifique, sans évolution majeure vers une reconnaissance d’une infection chronique persistante.Si vous cherchez des sources spécifiques (sites HAS, associations, articles récents) ou plus de détails sur un aspect (traitements, prévention), dites-le-moi !
Professeur Christian Perronne, infectiologue .
– J’exerce la médecine tous les jours et je vois des milliers de malades en grande souffrance, nombre d’entre eux ayant été rejetés par le corps médical, alors que nous pouvons guérir 80 % des personnes atteintes de la maladie de Lyme. Quelque chose ne tourne pas rond ! On prétend que les traitements ont seulement un effet placebo : pas du tout ! Des gens qui, du fait de la maladie, avaient tout perdu, famille, travail, et se déplaçaient parfois en fauteuil roulant ont été guéris. Alors ils abandonnent les associations de malades, bien sûr, car ils pensent surtout à revivre. Il y a deux ans d’attente à ma consultation, je reçois des personnes désespérées, et je remercie les centaines de médecins généralistes qui continuent à prendre en charge ces patients, malgré les persécutions qu’ils encourent de la part des caisses d’assurance maladie. Il y a peut-être quelques charlatans, mais les praticiens sont honnêtes en grande majorité et ils aident les malades quotidiennement.
Les recommandations de la HAS sont très utiles. Soit dit en passant, je ne comprends pas que des professionnels qui ont participé à l’écriture du texte s’en soient désolidarisés ensuite…
Les recommandations prévoyaient clairement que les centres de référence comprendraient des comités de pilotage, où seraient représentés les malades, via leurs associations, et les médecins qui soignent cette pathologie. Or, lorsque j’ai fait la demande pour constituer un centre de référence, j’ai constaté que les médecins et les associations ne figuraient plus dans la rédaction : c’est une entrave à la démocratie sanitaire. L’Agence nationale de recherche sur le sida comprenait dès le début, dans son conseil scientifique, ces catégories. Dans le cas de Lyme, les malades n’existent plus ! Ils sont pourtant en grande souffrance.
Dans les hôpitaux, seules 10 % à 20 % des personnes venues consulter pour des symptômes correspondant à la maladie sont diagnostiqués comme souffrant du syndrome persistant polymorphe après une possible piqûre de tique (SPPT) ; les autres reçoivent un diagnostic bizarre, ou sont envoyées en psychiatrie, ou se voient prescrire trois semaines d’antibiotiques. Ma boîte mail regorge de courriels de détresse ! Je connais même des cas de suicide.
On m’oppose qu’il n’existe pas de données scientifiques en faveur du traitement. Tout de même ! Nous avions publié une étude menée sur dix ans, avec Jérôme Salomon, à présent directeur général de la santé, et Juliette Clarissou. Il y a eu plusieurs études. On invoque contre elles l’absence de groupe témoin, de tirage au sort avec administration de placebo, pour disqualifier mes résultats. Je veux bien faire des études, si l’on me donne des crédits !
Du reste, sur la fièvre Q chronique ou la maladie de Whipple, jamais la moindre étude n’a été publiée, cela n’empêche pas la société de pathologie infectieuse d’accepter l’administration d’antibiotiques pendant un an et demi, voire des traitements à vie. Pourquoi la maladie de Lyme est-elle regardée différemment ? Pas d’étude randomisée, me reproche-t-on, pour prouver que le traitement prolongé est utile. Si ! Deux études randomisées ont été publiées, qui en montrent le bénéfice ; mais elles sont validées sur des critères précis. Elles sont publiées dans des revues internationales, je vous en donnerai les références. Certes, les traitements n’ont pas été très prolongés et les malades ont rechuté.
Vous m’opposerez deux études publiées dans le prestigieux New England Journal of medicine, affirmant que les traitements prolongés n’ont pas d’efficacité : mais ces études sont entachées de graves biais méthodologiques. Il est vrai que la revue appartient à l’université de Boston, qui héberge aussi la société américaine des maladies infectieuses, celle qui a la main sur les recommandations sur Lyme. Ce qui est choquant, c’est que l’observation est située à une très mauvaise date, trois mois après le début du traitement, et qu’elle ne tient pas compte de tous les signes cliniques, articulaires, cardiaques, neurologiques. Il s’agit d’un simple score de qualité de vie, une simple question posée aux patients sur leur état… Or à trois mois, 20 % des patients sont ravis, 20 % estiment qu’ils vivent une catastrophe (le traitement commence par aggraver les symptômes) et les autres sont indécis, mais ils seront guéris après encore un mois ou deux de traitement. À ce jour il n’existe aucune étude randomisée de qualité, à quatre mois. Et je n’ai jamais obtenu les crédits de recherche que je demandais.
Or, s’il est démontré que tel médicament fonctionne sur la Borrelia en laboratoire sur des petites séries, nous avons maintenant besoin d’avancer. C’est pourquoi la HAS souhaite la constitution de centres de référence afin de créer des bases de données et de pouvoir évaluer des pratiques jugées peu orthodoxes. La fédération est d’accord, nous sommes ravis que les autorités évaluent nos résultats au quotidien. Nous demandons aussi des études scientifiques. On prétend parfois que la guérison intervient en trois semaines, mais les signes persistent parfois – j’ai six références en ce sens, ainsi que sept références de persistance de la Borrelia au plan microbiologique sur le singe, et quatorze références chez l’homme dans la phase tardive de traitement. Il y a des preuves scientifiques sur les rechutes.
Le syndrome de persistance polymorphe après possible piqûre de tiques, le SPPT, a été redéfini par la HAS ; il avait été défini pour la première fois en 2014 par le rapport du Haut Conseil de la santé publique. Je ne comprends d’ailleurs pas qu’un membre éminent du groupe qui avait porté le SPPT sur les fonds baptismaux se répande à présent en propos contre lui, parlant d’un concept bizarre, franco-français, promu par des médecins qui font des choses peu sensées… Les médias propagent ces idées, alors que les Américains ont pareillement établi un post treatment Lyme disease syndrom (PTLDS), avec des publications scientifiques et une description clinique des anomalies. La persistance de la bactérie malgré les traitements est considérée comme une des causes possibles, parmi d’autres, de ces évolutions dans le temps.
Le rapport de la HAS (qui n’est pas unanimement reconnu) a marqué des avancées : les tests sérologiques ne sont pas fiables systématiquement, le SPPT exige un diagnostic clinique par réponse à un traitement antibiotique ; et traiter plus longtemps les patients est autorisé à présent, en se mettant en relation avec un centre de référence, pour que ces pratiques non reconnues aujourd’hui soient validées.
https://www.senat.fr/rap/r18-453/r18-4533.html
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3 - Le secrétaire du HHS, Kennedy, vise la maladie de Lyme
Adam Garrie
16 décembre 2025
Par Adam Garrie, Le Rapport MAHA
Lundi, dans le but de trouver de nouvelles façons de lutter contre la maladie de Lyme transmise par les tiques, le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr. a organisé une table ronde mettant en vedette certains des meilleurs chercheurs du pays, l’administrateur du CMS, Dr. Mehmet Oz, cliniciens et élus.
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Dans son allocution d'ouverture, Kennedy a déclaré que les responsables de la santé précédents ont ignoré les dangers de la maladie de Lyme, une infection bactérienne transmise à l'homme via des tiques de cerf. Ces tiques étaient, pour lui et sa famille, une présence indésirable, surtout pendant les 35 années où lui et sa défunte femme ont élevé leurs enfants près de Bedford, NY. Un homme de plein air de toute sa vie, Kennedy a déclaré que trouver une solution à la maladie de Lyme, un problème de santé publique jamais compte tenu de l'urgence qu'elle mérite, a été un problème qui lui tient à cœur.
Selon le CDC, 476.000 Américains sont diagnostiqués et traités pour la maladie de Lyme chaque année.
"L'une des raisons pour lesquelles nous voulions accueillir cette réunion, comme je l'ai dit clairement, est d'annoncer au monde que l'éclairage au gaz des patients de Lyme est terminé", a déclaré Kennedy.
Au cours de la table ronde, Kennedy a annoncé qu’il renouvelait l’accélérateur d’innovation LymeX – une initiative de $10 millions pour faire progresser les outils d’intelligence artificielle « qui soutiennent une détection plus précoce et plus précise à travers les stades de l’infection ». Le LymeX fera progresser l’innovation centrée sur le patient et les diagnostics de nouvelle génération en intégrant les dernières méditechs de l’IA.
"Le lyme et la COVID sont les chiffres six et sept, respectivement, les maladies chroniques dans ce pays après le diabète, l'obésité, les maladies cardiaques", a déclaré Kennedy. « Le fardeau est énorme. Et les coûts économiques n'ont pas été quantifiés nulle part, mais en tant que Dr. Oz a dit qu'il y a toutes sortes de coûts de garantie. Quand les gens ne peuvent pas travailler, quand les familles sont détruites. Et j’ai vu la pression qu’elle met sur les familles... »
Dans un courriel au rapport MAHA, Amy Sapola, pharmacienne clinicienne (et contributrice du rapport MAHA), a écrit: «La maladie de Lyme n'est pas théorique pour moi. J’ai été témoin d’amis de la famille proche et de beaucoup trop de patients dont la vie a été lentement dénouée par des douleurs articulaires débilitantes, une inflammation et des symptômes neurologiques – pour qu’on lui dise qu’il ne pouvait pas s’agir de Lyme parce que les tests étaient négatifs ou parce que les cliniciens étaient réticents à traiter au-delà des directives étroites. Lorsque vous voyez ce genre de souffrance de près, vous réalisez qu’il ne s’agit pas simplement d’un écart diagnostique, mais d’un échec systémique. »
Sapola a poursuivi: «Je suis profondément reconnaissant de voir HHS prendre cette question au sérieux et écouter les patients et les cliniciens qui réclament de meilleurs outils, des recherches plus rigoureuses et des soins significatifs depuis des décennies. Ce moment me donne un réel espoir que nous allons enfin vers un diagnostic plus précis et un traitement plus efficace. »
Dr. Oz s'est joint à Kennedy pour s'engager à donner aux personnes atteintes de la maladie de Lyme transmise par les tiques les soins qu'elles méritent.
Jim O’Neill, secrétaire adjoint du SHS et directeur par intérim du CDC, a ajouté: «Nous tous, à HHS, travaillons d’arrache-pied pour remplir les 120 engagements de [le rapport de stratégie de la Commission de l’AMMA]. L’une de ces directives demande au HHS d’utiliser l’intelligence artificielle pour réduire le fardeau économique des maladies chroniques, et cet événement montre que nous n’attendons pas la nouvelle année pour agir. »
https://www.themahareport.com/p/hhs-secretary-kennedy-takes-aim-at?utm_source=post-email-title&publication_id=1712557&post_id=181807843&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email
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4 -Ce que Big Pharma, le gouvernement et les médias ne voulaient pas que vous sachiez sur les vaccins contre l'hépatite B
*Avec un extrait du nouveau livre de Gavin de Becker, Forgotten Facts: Government Deceit & Suppression About Brain Damage from Childhood Vaccines
John Klar
Déc 17, 2025
Par John Klar, Contributeur, Le Rapport MAHA
La décision récente du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de recommander aux parents de prendre des décisions individuelles concernant l’administration de la série de vaccins contre l’hépatite B aux nourrissons fournit aux Américains un siège au premier rang des mensonges de divers médias. L’industrie pharmaceutique enracinée et ses laquais médiatiques sont de plus en plus acculés par la « vraie science » qui expose les décennies de malhonnêteté et de malversion avec leur collusion avec les agences de réglementation capturées a infligé aux Américains – en particulier aux jeunes enfants.
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Cette décision offre l'occasion de partager les vérités sur ces vaccins et la corruption de l'industrie documentées par Gavin de Becker dans son nouveau livre, Forbidden Facts: Government Deceit & Suppression About Brain Damage From Childhood Vaccines (Skyhorse Publishing, 2025). Robert F. Kennedy Jr. informe les Américains depuis de nombreuses années sur la capture réglementaire qui a sacrifié la santé à long terme de leurs enfants pour des profits à court terme des entreprises. La réponse aux recommandations révisées de l'ACIP donne raison aux deux hommes.
Un refrain commun a été que les vaccins contre l'hépatite B pour les nourrissons dont les mères n'ont pas la maladie sont en quelque sorte légitimes en raison du temps. NPR intoné :
« Le résultat, s’il est approuvé par le directeur par intérim du CDC, sera un recul d’une recommandation universelle de commencer la vaccination contre l’hépatite B à la naissance, une pratique standard aux États-Unis depuis plus de 30 ans qui a été créditée d’avoir considérablement réduit les maladies du foie causées par le virus. »
Il n'est pas clair que les vaccins ont réduit les maladies du foie. Une analyse de 2010 de l’Institute of Medicine a déclaré: «Comme indiqué ci-dessus, environ 1.000 nouveau-nés sont infectés par leurs mères positives au VHB à la naissance chaque année aux États-Unis. Ce chiffre n’a pas diminué au cours de la dernière décennie. » Pourtant, le MSM a perroqué cette affirmation.
L'American Academy of Pediatrics (critiqué par le secrétaire du HHS Kennedy pour ses conflits d'intérêts et le financement de l'industrie) a répondu avec stridenteté:
« Cette orientation irresponsable et délibérément trompeuse conduira à plus d’infections à l’hépatite B chez les nourrissons et les enfants », a déclaré Susan J, présidente de l’AAP. Kressly, M.D., FAAP, a déclaré dans un communiqué. « Je veux rassurer les parents et les cliniciens qu’il n’y a pas d’information nouvelle ou préoccupante sur le vaccin contre l’hépatite B qui suscite ce changement, et que le risque pour les enfants de contracter l’hépatite B n’a pas changé. Au lieu de cela, c’est le résultat d’une stratégie délibérée pour semer la peur et la méfiance parmi les familles. »
Dans sa condamnation récente de la récente décision d'autoriser les parents exempts d'hépatite B à décider d'administrer ces vaccins, c'est l'Associated Press, qui a écrit::
« Un chœur bruyant de dirigeants médicaux et de santé publique a décrié cette décision, affirmant que le vaccin contre l’hépatite B prévient des milliers de maladies.
« Le comité vient de condamner des centaines d’enfants à une vie plus courte », a déclaré le Dr. Paul Offit, chercheur sur les vaccins à l’hôpital pour enfants de Philadelphie et ancien conseiller du gouvernement.
« Offit a déclaré que les bébés peuvent également l’obtenir à partir d’un contact relativement occasionnel avec une personne atteinte d’une maladie chronique, comme toucher une serviette ou une brosse à dents parce que le virus peut vivre sur les surfaces pendant plus de sept jours à température ambiante.
« Pourquoi une dose à la naissance ? Les responsables de la santé avaient l'habitude de compter sur le dépistage des femmes enceintes pour trouver des bébés qui auraient pu être exposés au virus. Mais de nombreux cas ont été manqués, disent les experts, en partie parce que certaines femmes n’ont pas été testées ou que les résultats des tests étaient incorrects. »
Offit est un shill de l'industrie agissant ici comme le peur pour les parents concernés. Le CDC n’énumère pas la transmission de surface comme source d’infection par l’hépatite B, déclarant qu’elle est « principalement répandue lorsque le sang, le sperme ou certains autres liquides corporels... pénètrent dans le corps de quelqu’un qui n’est pas infecté ». L'Associated Press a omis la justification initiale pour les nourrissons doseurs. Le New York Times a imprimé la vérité en 1991: «Si les adultes n’ont pas pris les photos, alors donnez-les aux bébés.»
Ce que tous ces organes de propagande ont évité, c’est de discuter des dommages potentiels causés aux bébés par leur vaccination à la naissance contre une maladie qu’ils n’ont pas et qu’ils sont statistiquement peu susceptibles d’avoir. Comme le raconte Gavin de Becker dans Forbidden Facts:
« Gallagher et Goodman (2008) ont constaté que les garçons qui ont reçu les trois doses de vaccin contre l’hépatite B étaient 8,63 fois plus susceptibles d’avoir une incapacité de développement, y compris l’autisme, que les garçons qui n’ont pas reçu les trois doses.
« Gallagher et Goodman (2010) ont découvert que les garçons « qui ont reçu la première dose de vaccin contre l’hépatite B au cours du premier mois de la vie avaient 3 fois plus de chances de diagnostic d’autisme » par rapport aux « garçons vaccinés plus tard ou pas du tout ».
Le comité de l'ACIP a commis une erreur de prudence en permettant aux parents de s'entretenir avec leurs médecins personnels pour savoir s'il faut administrer ces tirs. Cela ne semble guère extrême. Les médias affirment que les enfants vont mourir sont tout simplement faux – pourquoi l’histoire et la tromperie?
Les parents qui envisagent cela et des dizaines d’autres vaccins pour leurs nouveau-nés et les enfants de moins de 18 ans doivent s’informer de la « vraie science » recueillie par de Becker dans son étude exceptionnelle sur les risques vaccinaux.
Dans son premier chapitre, de Becker révèle comment l'Institut de médecine vanté s'est appuyé pour rejeter toute allégation selon laquelle les vaccins causent des blessures neurologiques telles que l'autisme a été utilisé à plusieurs reprises au fil des décennies pour réfuter de nombreuses allégations de blessure ou de maladie par diverses sources, à commencer par des malformations congénitales causées par l'agent orange.
C’est vrai – l’entité biaisée qui a déterminé à plusieurs reprises que l’agent Orange ne cause pas de défauts est la même organisation invoquée par les sociétés pharmaceutiques, les médias et les agences gouvernementales pour rejeter toute préoccupation concernant les blessures causées par les vaccins aux enfants. Cela, malgré les taux croissants d'autisme pour lesquels ces points de vente n'offrent aucune explication causale. Ce modèle d'ignorance raccrocheuse des épaules est également présent en ce qui concerne le syndrome de mort subite du nourrisson (SIDS) et d'autres maladies.
Photo de Gavin de Becker
Gavin de Becker a fait une plongée profonde rare et fascinante pour découvrir ces vérités et d'autres vérités troublantes dans son livre, Forbidden Facts. Avec l’aimable autorisation de l’auteur, le premier chapitre de son livre essentiel, obligatoirement la lecture pour les parents, est réimprimé ici pour les lecteurs du rapport MAHA.
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CHAPITRE UN (8 MINUTES DE LECTURE)
Qu'est-Ce Que L'agent Orange A À Voir Avec Cela?
La Terre est ronde, pas plate, comme tout le monde le sait. Et il tourne autour du soleil. Peut-on tous être d'accord sur ces deux-là ? Peut-on aussi convenir que le tabagisme provoque le cancer chez certaines personnes ? Et la gravité est-elle la force qui tire les objets vers le centre de la planète ?
Il fut un temps où toutes ces croyances étaient vivement débattues; aujourd'hui, ce sont tous des faits considérés. Une autre chose que tout le monde sait, c’est qu’il n’y a aucun lien entre les vaccins pour enfants et l’autisme. Tout le monde sait que la notion a été démystifiée. Bien que tout le monde soit tout à fait certain, les vaccins ne contribuent pas à l’autisme, puisque cette possibilité a été démystifiée, à peu près personne ne peut répondre à ces deux questions simples.
Qui l'a démystifié ?
Comment a-t-il été démystifié ?
La plupart des gens ne peuvent pas répondre à l’une de ces questions, et cela inclut la plupart des pédiatres. Peut-être a-t-il été démystifié si complètement et évidemment (connu comme étant « minutieusement démystifié ») qu’il n’y a jamais besoin de se demander comment ni pourquoi nous en sommes tous si sûrs. Ce serait comme remettre en question la gravité, sauf que la théorie de la gravité peut être testée par n'importe lequel d'entre nous toute la journée. L’idée que le lien vaccin-autisme a été démystifié ressemble plus à un article de foi, semblable à Adam et Eve étant les deux premiers personnes sur Terre.
Mais ce n'est pas la religion, c'est la science, non ? Et cela soulève une troisième question:
D'où vient l'idée que les vaccins pourraient être parmi les contributeurs à l'augmentation de l'autisme, de sorte qu'il fallait le démystifier?
Pour le contexte, voici quelques faits que la plupart des gens seraient d’accord ne sont pas du tout controversés, car ils proviennent directement des agences de santé publique fédérales:
Dans les années cinquante, le taux d'autisme chez les enfants américains était d'environ un sur 10.000. À la fin des années 1980, le taux a pris son envol, de sorte qu'en l'an 2000, un enfant sur 150 a été diagnostiqué avec l'autisme. En 2023, le taux d'autisme chez les enfants américains était d'un sur 36. (En Californie, c’est actuellement un enfant sur 22.)
Parce que ces chiffres sont si alarmants, parce que cette épidémie est si destructrice pour tant d’enfants et de familles, les autorités fédérales de santé publique ont dû apprendre exactement ce qui cause l’autisme.
Mais ils ne l’ont pas fait. (« Les scientifiques ne savent pas exactement ce qui cause le trouble du spectre de l’autisme. » — National Institutes of Health)
Il doit certainement y avoir des médicaments efficaces pour le traitement.
Mais il n’y en a pas. (« Il n’y a pas de médicaments qui traitent les principaux symptômes du TSA. » — CDC)
Il doit certainement y avoir un large consensus sur ce qu'est exactement l'autisme.
Mais il n'y en a pas. Il n’y a pas de biomarqueurs cohérents, pas de caractéristiques physiques cohérentes, pas de tests sanguins ou urinaires pour confirmer les diagnostics – parce que l’autisme n’est pas une maladie distincte. On l’appelle un trouble, et on l’appelait auparavant un syndrome – une collection de symptômes observés sujets à interprétation. Un médecin pourrait diagnostiquer l’autisme, et un autre médecin voir le même patient pourrait dire que ce n’est pas l’autisme, ou dire que c’est de l’autisme léger, ou dire que ce n’est rien. Certains enfants étiquetés et classés dans le diagnostic d’autisme semblent être très bien, tandis que d’autres ont des troubles neurologiques dramatiques et profonds qui nécessitent des soins attentifs tout au long de l’horloge.
Bien que les scientifiques du gouvernement ne puissent pas tenir fermement à une définition de l’autisme et ne savent pas ce qui l’entraîne, ils prétendent avec une certitude de poing de savoir ce qui ne cause pas l’autisme. Comment sont-ils si sûrs ? Parce que, comme nous le savons tous, tout lien entre les vaccins et l’autisme a été démystifié. Puisque vous ne connaissez probablement pas une seule personne qui peut dire comment elle a été démystifiée, ou par qui, sortons cette question fondamentale maintenant.
La possibilité que l’autisme de tout enfant puisse être lié à n’importe quel vaccin ou combinaison de vaccins a été démystifié par l’Institut de médecine (IOM).
Qu’est-ce que l’Institut de médecine ? Beaucoup de gens supposent qu’il s’agit d’une entité gouvernementale prestigieuse, mais c’est en fait une organisation totalement privée qui embauche des membres de diverses professions pour examiner les questions relatives à la santé publique. Bien que l’OIM soit souvent payée par le gouvernement, elle est aussi parfois payée par l’industrie privée, y compris Pharma. En tant qu'organisation privée, l'OIM n'est pas tenue de divulguer combien elle a été payée pour un examen donné, ou qui a payé, ou combien les experts embauchés ont été payés.
Les entreprises de médias d'information ont eu tendance à décrire l'Institut de médecine comme faisant autorité, indépendant, prestigieux, respecté et l'étalon-or. L’OIM se décrit comme impartiale, objective et fondée sur des preuves, et décrit les experts qu’elle embauche avec des mots comme estimés et renommés, jusqu’à la distinction et l’éminent. Au fur et à mesure que vous lisez, ce sera votre appel à décider combien de confiance investir dans l’OIM.
De même, vous déciderez combien de confiance investir en moi. D’un côté, je ne suis pas médecin, et d’autre part je ne suis pas en train d’opiner sur la science médicale. Je suis un criminologue partageant des informations sur la corruption, la criminalité et la tromperie, et je suis un scientifique du comportement partageant quelques idées sur le comportement humain et la nature humaine. Et je suis un parent. J'ai suivi ma curiosité et mon scepticisme, exactement comme vous pouvez. Quoi qu'il en soit, le lecteur n'est pas invité à me faire confiance sur quoi que ce soit, puisque des citations avec des liens vers du matériel source sont fournies tout au long de ces pages.
Avant de regarder comment et pourquoi l’OIM a démystifié le lien vaccin-autisme, jetons un coup d’œil à une autre affirmation qu’ils ont démystifiée, l’affirmation que l’arme biologique Agent Orange a causé la maladie chez certains vétérans du Vietnam, et les malformations congénitales chez certains de leurs enfants.
L'agent Orange peut sembler sans rapport avec la question du vaccin et de l'autisme, mais l'OIM a utilisé certaines des mêmes personnes et a appliqué le même processus pour parvenir à la même conclusion à la fois pour l'agent orange et les vaccins. Et dans les deux cas, leurs conclusions de démystification ont été largement commercialisées auprès du public américain de la même manière.
Un petit bout d'histoire:
Pendant près de dix ans, l’armée américaine a pulvérisé l’agent orange sur les jungles et les gens au Vietnam. Un ingrédient connu sous le nom de TCDD est la forme la plus toxique de dioxine, et cause des blessures graves, y compris des malformations chez les animaux d'essai, et (pas de surprise) chez les gens aussi.
Lorsque les États-Unis ont été accusés d’avoir violé le Protocole de Genève qui réglementait l’utilisation d’armes chimiques, notre gouvernement a soutenu que l’agent Orange n’était pas une arme chimique. Ils l'ont appelé un herbicide utile pour détruire les cultures vivrières et les jungles qui ont fourni la dissimulation à l'ennemi. Ce n’était pas censé blesser qui que ce soit, insistaient-ils.
Après des études montrant que l'agent Orange a causé des malformations congénitales chez les animaux d'essai, le ministère de la Défense a promis de réduire son utilisation, bien qu'il faudrait des années avant qu'il ne soit officiellement suspendu. Même la suspension officielle n’a pas mis fin à cela, hélas, car certaines unités militaires ont falsifié des rapports pour dissimuler leur utilisation continue de l’agent Orange. Finalement, l’armée a vraiment cessé de l’utiliser au Vietnam parce que, eh bien, la guerre au Vietnam a pris fin. À ce moment-là, de nombreux anciens combattants de retour avaient signalé des problèmes de santé débilitants en eux-mêmes et leurs enfants, affirmés par des rapports toxicologiques toujours plus nombreux et terribles sur la TCDD.
Pour résister et rejeter ces affirmations, le gouvernement américain a écrit un chèque à l’OIM. Que ce soit en démystifiant l’idée folle que l’injection de mercure chez les enfants pourrait causer une blessure neurologique, ou démystifier l’idée folle qu’une arme militaire contenant de la dioxine pourrait éventuellement être liée à des problèmes de santé, l’OIM a chanté la même terrible digre. Par exemple, ils ont utilisé la même approche dans les deux enquêtes scientifiques. («Enquête scientifique» est une phrase qui étire ces deux mots jusqu’au point de rupture). Ils ont commencé les deux projets en exposant ce qui ne serait pas inclus dans leurs explorations apparemment profondes.
Dans leur étude sur l’agent orange, l’OIM a déclaré qu’ils ne considéreraient pas les «études toxicologiques», car, vous savez, quel port possible la toxicologie pourrait-elle avoir sur le sujet de la toxicité? De même, dans leur étude sur l’innocuité des vaccins, leur rapport indiquait d’emblée qu’ils ne « recommanderaient pas de changement dans la licence, la planification ou l’administration d’un vaccin ». Ce qui signifie que leur étude approfondie et complète des vaccins pour enfants ne proposerait rien sur l’administration de... vaccins pour enfants.
Après l’une de ses nombreuses critiques de l’agent Orange, l’Institut de médecine a annoncé leur conclusion audacieuse: des études sur l’histoire de la reproduction des personnes qui avaient été exposées à la dioxine étaient [attendez-vous pour elle...] nécessaires. Des études étaient nécessaires. Leurs rapports ultérieurs de l'agent Orange de 2006, 2008, 2010, 2012 et 2014 sont tous parvenus à cette même conclusion dramatique: des études nécessaires.
Enfin, en 2018, les gants sont sortis lorsque l’OIM a réaffirmé que des études étaient nécessaires, mais cette fois-ci a recommandé quelque chose de nouveau: «une étude plus approfondie de la santé de la progéniture des vétérans masculins du Vietnam».
La police audacieuse est la leur, d'ailleurs, parce que ces gens voulaient qu'il soit clairement compris que lorsqu'ils concluent (cinq fois) que l'étude supplémentaire est nécessaire avant de pouvoir conclure quoi que ce soit d'autre, ils le pensent vraiment. Les mots de clôture dans leur rapport n’ont pas tiré de coups de poing, peut-être parce qu’ils n’ont jamais donné de coups de poing en premier lieu.
« Il y a beaucoup de questions concernant la santé des anciens combattants qui ne peuvent pas être suffisamment répondues en examinant les expositions et les résultats superficiellement analogues dans d’autres populations. Ce n’est qu’à travers la recherche sur les anciens combattants eux-mêmes que l’ensemble de l’expérience du service militaire peut être correctement prise en compte. »
Je ne trouve rien à ridiculiser dans cette phrase intelligente ci-dessus – à part qu’il a fallu 22 ans à l’Institut vanté pour y arriver.
Bien qu’aucun parent ne voudrait que le gouvernement évalue les vaccins pour enfants de la même manière qu’il a évalué l’agent Orange, c’est exactement ce qui s’est passé. Et les deux projets ont impliqué deux des mêmes figures centrales du CDC: Dr. Frank DeStefano et Mme. Coleen Boyle, PhD.
Ils ont fait le travail de veiller à ce qu'aucun lien ne soit trouvé entre la dioxine et la plupart des maladies signalées par les anciens combattants et leurs enfants, refusant ainsi aux anciens combattants et à leur famille toute indemnisation. Ils ont été aidés par une troisième personne, le Dr. Marie McCormick, également embauchée par l'OIM pour démystifier les méfaits de l'agent Orange et plus tard, des vaccins pour enfants. Un rapport ultérieur du Congrès sur le démystification trompeur du gouvernement dit que tout cela est correct dans le titre:
« L’agent Orange Cover-up: un cas de science erronée et de manipulation politique. »
Parmi ses nombreuses conclusions:
• Le gouvernement « avait secrètement pris une position juridique pour résister aux demandes d’indemnisation des victimes de l’exposition de l’agent Orange... »
• Le travail du CDC était « basé sur des hypothèses erronées et une analyse erronée » 1
Le célèbre amiral de la marine Elmo R. Zumwalt Jr. a dirigé un examen qui était indépendant de l'Institut de médecine, puis a témoigné devant le Congrès:
« La triste vérité qui ressort de mon travail n’est pas seulement qu’il existe des preuves crédibles liant certains cancers et d’autres maladies à l’agent Orange, mais que le gouvernement et les responsables de l’industrie ont crédité d’examiner un tel lien intentionnellement manipulé ou retenu des informations convaincantes sur les effets néfastes sur la santé associés à l’exposition aux nonts de contami toxiques contenus dans l’agent Orange. »
Le témoignage de l’amiral était d’autant plus puissant qu’il était profondément personnel: il avait lui-même ordonné l’utilisation de l’agent Orange au Vietnam – et son propre fils était parmi les soldats qui en sont morts.
Pour nos besoins ici, la manipulation intentionnelle du gouvernement et le refus de la vérité démontrent clairement que le gouvernement a fait de telles choses. Les lecteurs qui peuvent embrasser cette idée seront ouverts à la possibilité que cela se reproduise lorsque les mêmes joueurs de l’OIM utilisent les mêmes méthodes pour le même argent payé par le même client pour les mêmes raisons. Tout ce qui diffère, c'est la toxine.
Après avoir été radicalement discrédités pour leur travail simulé sur l'agent Orange, étaient le Dr. DeStefano et Mme. Boyle rétrogradé par CDC ? Non. Ont-ils été licenciés ? Pas exactement. Il a été promu – de l’agent Orange aux vaccins infantiles.
Après le Dr. DeStefano a été surpris en train de dissimuler les résultats de l'étude qui ont montré un risque accru d'autisme d'un produit vaccinal, il a été promu à nouveau - et pas à n'importe quel poste, mais au directeur du bureau de sécurité de l'immunisation nommé avec optimisme. (Récemment, il était le choix idéal pour trouver la réponse évidemment préférée à une autre question urgente: La blessure cardiaque causée par les vaccins à ARNm pourrait-elle être un problème grave?)
Et Mlle. Boyle ? Malgré ou peut-être à cause de son travail trompeur sur l'agent Orange, elle aussi a été promue au CDC, finalement directrice du Centre national sur les malformations congénitales et les déficiences développementales. L'agent Orange l'a bien préparée pour son travail sur les malformations congénitales, provoquant comme il le fait... des malformations congénitales. Et les vaccins pour enfants l'ont probablement bien préparée à comprendre les déficiences développementales, provoquant comme elles le font trop souvent... des déficiences développementales.
Avant d’honorer aveuglément le démystification de l’Institut de médecine de tout lien avec des ingrédients de tout produit vaccinal et de toute blessure neurologique à l’égard de tous les enfants, il semble juste de considérer si des études plus récentes ont démystifié la position de l’OIM. Ne le saviez-vous pas, il y a tout un tas de scientifiques publiés à comité de lecture dans cette catégorie, le plus récent de 2025:
Une étude portant sur 47.155 enfants de neuf ans a révélé que les enfants vaccinés avaient des taux d’autisme beaucoup plus élevés que les non-vaccinés (2,8% contre 1,1%), et que « la vaccination était associée à des probabilités significativement accrues pour tous les troubles neurodéveloppementaux mesurés », et que « la vaccination est fortement associée à une augmentation des probabilités de troubles neurodéveloppementaux ».
Une autre étude a examiné les dossiers médicaux de quatre HMO, montrant que les nourrissons exposés à plus de 25 μg de mercure dans les vaccins à l'âge d'un mois étaient 7,6 fois plus susceptibles d'avoir un diagnostic d'autisme que ceux qui ne sont pas exposés au mercure organique dérivé du vaccin.
Revue de 165 études axées sur le thimérosal, une fourrière d’éthylmercure dans de nombreux vaccins pour enfants, « ont trouvé qu’il était nocif ». Seize des études ont spécifiquement examiné les effets du thimérosal sur les nourrissons et les enfants avec des résultats rapportés de « retard de développement et de troubles neurodéveloppementaux, y compris les tics, le retard de la parole, le retard du langage, le trouble du déficit de l’attention et l’autisme ».
« L’autisme: une nouvelle forme d’intoxication au mercure »
Une étude a révélé des niveaux plus élevés de mercure dans le cerveau après l'exposition à l'éthylmercure
« Le mercure est l’un des métaux lourds les plus nocifs auxquels les humains peuvent être exposés... le corps humain manque de mécanismes efficaces pour l’excréter. »
« Les expositions aux neurotoxicants tels que le plomb, le mercure et les pesticides peuvent avoir un impact particulièrement néfaste sur la fonction cérébrale et à leur tour conduire à... l’apprentissage et les troubles du développement. »
(Voir l'annexe #5 pour les études qui comparent la survenue d'incapacités neurodéveloppementales chez les enfants vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés.)
Quand il y a beaucoup de recherches à défaire, quand il y a tant de faits interdits à dissoudre, vous avez besoin de quelque chose de plus que de la simple science. Heureusement pour le gouvernement, l’OIM a eu un processus éprouvé dans le temps – et pas seulement de l’agent Orange.
Key Takeaways:
– Les médias traditionnels ont lancé une campagne calomnieuse contre le secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr. et l'actuel comité de l'ACIP pour dissimuler des vérités troublantes sur les vaccins contre l'hépatite B pour les nourrissons en bonne santé.
– Le livre de Gavin de Becker, Forbidden Facts: Government Deceit & Suppression About Brain Damage From Childhood Vaccines, documente méticuleusement l’utilisation d’un Institut de médecine compromis pour dissimuler les blessures par le vaccin. De Becker fournit également des études montrant des dommages potentiels aux bébés à partir de vaccins contre l'hépatite B.
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5 - Rôle fondamental de l'analyse comportementale appliquée chez les enfants autistes
Dr McCullough avec l'analyste canadien du comportement John Molinaro
Pierre A. McCullough, MD, MPH
Déc 17, 2025
Dans une discussion vaste et profondément informative, le Dr. Peter McCullough s’entretient avec John Molinaro, un analyste comportemental certifié (BCBA) du conseil d’administration de Toronto, en Ontario, qui a travaillé près d’une décennie avec des personnes atteintes d’autisme et d’autres besoins spéciaux. L’entretien offre un aperçu complet de l’épidémie d’autisme, de son évolution diagnostique et des interventions thérapeutiques utilisées aujourd’hui, en particulier l’application de l’analyse comportementale appliquée (ABA). La perspective ancrée et compatissante de Molinaro met en évidence à la fois les progrès et les défis urgents auxquels sont confrontées les familles qui naviguent dans les soins de l’autisme en Amérique du Nord.
L’analyse comportementale appliquée (ABA) dans l’autisme se concentre sur la compréhension et l’amélioration des comportements à travers un cycle structuré: Antécédent → Comportement → Conséquence. Les objectifs comprennent l'amélioration de la communication, des compétences sociales et des capacités de la vie quotidienne en utilisant des méthodes fondées sur des données probantes telles que le renforcement positif et l'enseignement de l'environnement naturel.
📈 Augmentation de la prévalence et du paysage de l’autisme moderne
Molinaro et McCullough commencent par examiner l'augmentation extraordinaire des diagnostics d'autisme. Alors que l'autisme touchait autrefois 1 enfant sur 10 000 dans les années 1980, le taux est aujourd'hui d'environ 1 sur 30 à 1 sur 40, selon que l'on regarde les chiffres américains ou canadiens. Molinaro souligne que si l'amélioration du dépistage joue un certain rôle, elle ne peut pas expliquer l'ampleur de cette explosion. "Nos outils de diagnostic n'ont pas été thatbeaucoup plus nets", note-t-il, affirmant qu'il y a une véritable augmentation de la prévalence autistique observable même pour les observateurs laïcs.
Dr. McCullough, tiré de son expérience clinique, est d’accord sur le fait que l’autisme imprègne maintenant presque l’expérience de chaque famille – il estime qu’au moins 25% des personnes lors de ses événements publics ont un contact direct avec quelqu’un sur le spectre. Les deux hommes considèrent l’autisme non pas comme un trouble de niche, mais comme un problème sociétal à l’échelle épidémique, le trouble du développement déterminant de cette époque.
🧠 Comprendre l’autisme: caractéristiques et diagnostic
Molinaro décrit comment l'autisme est défini dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5): déficits persistants de communication sociale aux côtés de comportements répétitifs restreints. Traduisant pour le public, il le décrit comme une différence neurodéveloppementale dans la façon dont le cerveau traite et exprime l’information – une déficience dans la façon dont quelqu’un « entre entrés et sorties » expérimente.
Le diagnostic, explique-t-il, repose sur des évaluations comportementales structurées telles que le calendrier d'observation diagnostique de l'autisme (ADOS), qui classe les individus en trois niveaux de gravité:
Niveau 1 – nécessite « un certain soutien »; un langage relativement intact mais qui lutte contre la profondeur sociale ou les transitions.
Niveau 2 – « soutien substantiel »; déficience modérée de la communication et du fonctionnement.
Niveau 3 – « soutien très substantiel »; souvent non verbal, avec un comportement d’auto-stimulation fréquent et parfois une agression ou une automutilation.
Molinaro note que la capacité intellectuelle varie considérablement à travers le spectre; l'autisme n'est pas une déficience intellectuelle, bien que les formes sévères puissent coexister avec les défis cognitifs. Il ajoute que la catégorie antérieure du « syndrome d’Asperger » relève maintenant de l’autisme de niveau 1, représentant des personnes à haut fonctionnement.
Les problèmes sensoriels sont une autre caractéristique: de nombreuses personnes autistes sont hypersensibles au son ou à la lumière, d'où la vue commune des écouteurs antibruit en public. L’évitement du contact visuel, clarifie-t-il, découle plus de l’accablement sensoriel que du mépris – il peut sembler « trop intense » pour certains.
👶 Début, régression et comorbidités
Les parents décrivent souvent un développement précoce normal suivi d’une régression autour de 18 à 24 mois, parfois noté après les «tirs d’un an», bien que Molinaro l’indique attentivement comme une observation parentale, et non comme un lien de causalité confirmé. Quoi qu'il en soit, le schéma de la petite enfance normale suivi de l'effondrement du développement est un phénomène bien documenté.
Les comorbidités courantes comprennent le TDAH (souvent chez un tiers des enfants autistes), l'anxiété, les troubles gastro-intestinaux et parfois les troubles convulsifs (~10%). De nombreux enfants ont des problèmes de comportement et d’attention qui se chevauchent avant l’âge scolaire, même s’ils ne sont pas officiellement diagnostiqués.
🧩 Le parcours diagnostique et les défis systémiques
En Ontario et dans une grande partie du Canada, les familles font face à de longues attentes. Le renvoi commence généralement lorsque les drapeaux rouges sont remarqués – parfois par les éducateurs ou les travailleurs de la garderie – et passent par le médecin de famille à des spécialistes ou à des psychologues. Molinaro rapporte que les temps d'attente publics pour l'évaluation peuvent dépasser un an, retardant la thérapie précoce essentielle. Ceux qui cherchent un diagnostic privé font face à des coûts d'environ $3.000 ou plus.
Après le diagnostic, les familles attendent souvent des années de plus pour obtenir un soutien financé par l’entremise du Programme de l’autisme de l’Ontario (PAO) – cinq ans, en moyenne. En attendant, beaucoup paient hors de la poche pour la thérapie coûtant $40,000 à $80,000 par année. McCullough qualifie ce retard de « fenêtre thérapeutique perdue », car une intervention antérieure donne de meilleurs résultats à long terme.
🧰 Analyse comportementale appliquée (ABA): L'étalon-or du traitement
Molinaro décrit la thérapie ABA comme l'application scientifique de la théorie de l'apprentissage pour façonner un comportement significatif. Fondée dans les années soixante par le psychologue Ivar Lovaas, l’ABA analyse les déclencheurs comportementaux, mesure les résultats et renforce les actions souhaitables par l’enseignement structuré. Le but, explique-t-il, est l’indépendance – pas la conformité robotique, mais la communication fonctionnelle et l’engagement dans la vie quotidienne.
Modern ABA s'est diversifié:
ABA traditionnel – séances hautement structurées, dirigées par un thérapeute à des tables, souvent intensives (25 à 40 heures par semaine).
Modèles naturalistes comme Pivotal Response Training (PRT) – plus axé sur le jeu et dirigé par l’enfant, intégrant le langage, la motivation et le renforcement social.
L’acquisition de langues est un objectif fondamental. Molinaro illustre comment les enfants non verbaux peuvent apprendre à «faire semblant» (demande) par mise en forme progressive – d’abord atteindre une voiture jouet, en approximant plus tard la «voiture sonore», récompensé chaque fois que des progrès sont montrés. Même de petites percées dans la communication transforment l’interaction de l’enfant avec la famille et les pairs.
L'ABA, souligne-t-il, n'est pas une solution rapide. Cela nécessite beaucoup de temps, de compétences cliniciennes et d’implication parentale. Les parents doivent apprendre à reproduire les techniques de renforcement à la maison pour généraliser les gains au-delà du cadre clinique.
⚖️ Luttes familiales et tension systémique
Malgré la promesse thérapeutique, les familles rencontrent des réalités épuisantes. Le bilan financier et émotionnel combiné est extraordinaire: payer pour la thérapie, naviguer sur les listes d'attente, coordonner entre l'école et les cliniques. De nombreux parents, observe Molinaro, ont recours au temps d’écran ou aux appareils électroniques simplement pour gérer le stress quotidien. « Ce n’est pas de la négligence – c’est de la survie », dit-il avec compassion, reconnaissant l’épuisement professionnel et la culpabilité auxquelles les parents sont souvent confrontés.
Dr. McCullough fait écho à l’observation du psychologue Leo Kanner des années 1940 selon laquelle les parents d’enfants autistes sont souvent des personnes exceptionnelles – remarquablement intelligentes, dévouées et résilientes. Molinaro est d’accord, les qualifiant de « remarquables et héroïques », transformés en excellence par nécessité alors qu’ils se consacrent au progrès de leurs enfants.
La conversation met en évidence une ironie systémique: à mesure que l'autisme monte, les professionnels qualifiés sont à la traîne. Avec des files d'attente d'années et un épuisement professionnel élevé dans la santé comportementale, les deux hommes appellent à des incitations stratégiques pour élargir la main-d'œuvre des psychologues pour enfants et des analystes du comportement.
🔮 Regarder vers l’avenir: l’intégration, l’innovation et l’espoir
En terminant, Molinaro se tourne vers l'avenir. L’ABA restera fondamental, mais il envisage des avancées complémentaires – peut-être des compléments neurologiques ou pharmacologiques sûrs qui traitent de formes graves d’automutilation ou d’agressivité tout en respectant les limites éthiques. Pour de nombreuses personnes de « niveau 3 », un comportement agressif ou auto-stimulatif conduit actuellement à la sédation avec des antipsychotiques – un résultat qu’il espère atténuer grâce à des innovations plus douces et plus axées sur le cerveau.
McCullough souligne que l’autisme est devenu « l’épidémie de notre génération » – le défi moral, scientifique et sociétal déterminant. L’optimisme calme et éclairé de Molinaro suggère que si les systèmes d’aujourd’hui sont surchargés, la détection précoce, les soins personnalisés intensifs, l’autonomisation parentale et un investissement public accru peuvent transformer des vies.
Tous deux se terminent sur une conviction partagée: chaque enfant autiste, quelle que soit sa gravité, mérite un chemin vers la dignité, la communication et l’inclusion – et la société doit faire évoluer la compassion et l’infrastructure pour rendre cela possible.
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6 -Le barrage se brise et Big Pharma panique
Pour la première fois, la porte est ouverte. Et lentement mais sûrement, des progrès se produisent.
16 décembre 2025
Les informations suivantes sont basées sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
Cheryl Hines n'a jamais compris pourquoi rendre les vaccins plus sûrs rendait les gens si en colère.
Puis elle a eu une conversation avec Tucker Carlson, et tout à coup, il a cliqué.
- voir clip sur site -
Les gens ne sont pas offensés par l’idée de vaccins plus sûrs parce que c’est extrême ou «fou ». Ils sont offensés parce que les vaccins sont déjà «parfaits», et si vous osez proposer des vaccins plus sûrs, vous niez cette perfection.
Pensez-y un instant.
RFK Jr. était autrefois un chouchou de la gauche, célébré comme un avocat de l'environnement se battant pour nettoyer l'air et l'eau. Mais une fois qu'il a commencé à critiquer les vaccins, il a été effectivement excommunié.
La « croyance » dans les vaccins est comme une religion, et elle l’est depuis très longtemps. Regardez la peinture murale de Diego Rivera des années 1930. Il représente un enfant qui ressemble de manière frappante à Baby Jesus vacciné alors qu’il est entouré de scientifiques «sages». Rivera n'était pas un homme religieux. Ironiquement, la « science » était sa religion.
La murale vaccinale de Diego Rivera à Detroit dans les années 1930 ...
Après des décennies de lavage de cerveau, les gens commencent à se rendre compte que ce qu’ils croyaient à propos des vaccins toute leur vie n’était pas fondé sur la science, mais dans un système de croyance.
Et à travers ce réveil, ils sont enfin en mesure de voir les industries vaccinales et pharmaceutiques pour ce qu’elles sont vraiment.
Ceux d'entre nous qui se soucient depuis des années de la santé de ce pays sont venus près de perdre l'espoir entièrement, plus que la plupart des gens ne le réalisent.
L'établissement médical est devenu de plus en plus corrompu, le pouvoir de Big Pharma a explosé, et les politiques de santé publique se sont de plus en plus détachées de la réalité alors qu'une grande partie du pays les a encouragés.
Le regarder se jouer, c'était comme être piégé dans un carcan dans une spirale descendante sans sortie. Mais ce n’est pas la COVID qui a créé ce sentiment. La COVID l'a finalement dévoilé.
Pour la première fois depuis des décennies, cette spirale sans fin peut enfin trouver une fin. C’est pourquoi les forces responsables paniquent.
Cette information provient du travail du chercheur médical A Midwest Doctor. Pour toutes les sources et tous les détails, lisez le rapport complet ci-dessous.
Le Barrage Se Brise: Nous Rendons L'Amérique Saine À Nouveau
Des changements remarquables se profilent à l’horizon, mais de grandes forces conspirent pour les arrêter. Lire plus.
Nous sommes dans un endroit sombre depuis un moment. Mais rester là, dans l’obscurité, poussé par la peur, n’aide personne.
Être complètement consumé par tout ce qui ne va pas n’est pas durable, et ce n’est pas productif. Au lieu de cela, nous devons trouver des occasions de faire un changement.
Mais nous les manquerons si nous nous laissons guider par la peur et nous concentrerons uniquement sur le négatif.
Pendant des décennies, l'hypothèse la plus courante était assez simple: l'industrie pharmaceutique gagne toujours.
Bien sûr que oui ! Il contrôlait les régulateurs, les récits médiatiques, l'éducation médicale et la messagerie politique. Peu importe à quel point les preuves sont solides contre elle et ses produits, et peu importe à quel point l'opposition publique est devenue bruyante, le résultat n'a jamais changé.
Jusqu'au Covid.
Ce qu'ils ont fait était trop évident. Aussi dans votre visage.
Le profit. La censure. Les blessures et comment elles ont été ignorées à plusieurs reprises.
Pour la première fois, la colère du grand public a franchi les lignes idéologiques – créant une ouverture politique que presque personne ne croyait possible avant cela.
Un médecin du ne pensait pas que cela devait se produire. C'est exactement pourquoi Big Pharma est en mode panique totale.
Consultez le rapport complet.
Le Barrage Se Brise: Nous Rendons L'Amérique Saine À Nouveau
Des changements remarquables se profilent à l’horizon, mais de grandes forces conspirent pour les arrêter. Lire plus.
Cette fissure dans la porte est devenue quelque chose d'énorme: le mouvement Make America Healthy Again (MAHA).
Le MAHA n’était pas seulement un autre slogan, c’était la convergence de multiples forces. Le scepticisme vaccinal de longue date et soutenu par les données est devenu politiquement viable. La méfiance du Tea Party a fusionné avec la trahison de l'ère COVID. Et Donald Trump avait besoin de la coalition de RFK Jr. pour remporter les élections de 2024.
Cette nécessité a tout changé.
Pour la première fois, quelqu’un ouvertement hostile à la domination de Big Pharma n’a pas seulement influencé la politique – il a pris le contrôle de la santé et des services sociaux.
C’est sans précédent.
La réaction a été immédiate et féroce, de tous les côtés du spectre politique.
Certains qui attendent ce changement se sentent frustrés que des réformes radicales ne se soient pas produites instantanément. Mais la perspective compte. Faire quelque chose de bien à l’intérieur de HHS nécessite de combattre une bureaucratie conçue pour résister au changement.
Chaque département est rempli de fonctionnaires de carrière dont le pouvoir dépend de l'ancien système restant intact. Le sabotage est constant. Les retards sont délibérés. Et le blocage – et non gagnant – est la stratégie principale de pharma en ce moment.
Voici la perspicacité critique que la plupart des gens manquent: la fenêtre d’opportunité est fugace. Cela ne durera pas éternellement.
Après les prochaines élections, le soutien descendant au MAHA pourrait disparaître. Notre objectif ne devrait pas être sur les victoires à court terme qui peuvent être inversées, car elles seront probablement inversées presque immédiatement.
L'objectif doit être des changements structurels qui peuvent survivre aux futures administrations.
C’est aussi pour cela que le livre de jeu de pharma est le retard, le retard, le retard.
Si rien d'irréversible ne se produit avant la fermeture de la fenêtre, l'ancien système s'enclenche tout de suite en place.
L'une des tactiques les plus efficaces utilisées en ce moment est la division interne.
Diviser et conquérir – une stratégie séculaire.
Avez-vous remarqué qu’au lieu de vous concentrer sur ce qui a changé, les influenceurs poussent la déception et le désespoir constants ?
Rien n'est assez bien. Rien ne compte.
Tout est un échec.
Une partie de cette messagerie doit être financée par l'industrie, tandis que d'autres poursuivent simplement les clics et les revenus et la renommée qui l'accompagnent.
Quoi qu’il en soit, l’effet est le même: une base fracturée qui ne se manifeste pas en 2026.
Ce résultat pourrait très bien mettre fin à MAHA.
Nulle part l’inertie bureaucratique n’est plus claire que dans le calendrier vaccinal du CDC.
Les vaccins sont ajoutés à l’infini – de 24 doses en 1983 à 69 en 2016.
Aucun n'est jamais enlevé. Peu importe les preuves. Peu importe le mal. Peu importe le contrecoup public.
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Aaron Siri a montré au comité consultatif sur les vaccins contre les CDC à quel point le calendrier des vaccins pour enfants a radicalement changé depuis les années 1980.
La différence est stupéfiante.
« Vous pouvez voir qu’il y a eu une augmentation significative des vaccins de routine entre 1983 et aujourd’hui. »
« En 1983, il y a eu deux gouttes orales et trois injections. Aujourd’hui, il y a trois gouttes orales et 25 injections données par le premier anniversaire, y compris in utero. »
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La pression pour les vaccins contre le COVID pour les enfants a révélé à quelle distance de la réalité étaient nos responsables de la santé «de confiance». Les enfants ont été confrontés à un risque quasi nul du virus, mais ils ont toujours été recommandés de recevoir des injections avec des problèmes de sécurité importants et non résolus.
Malgré l'opposition historique, le système a doublé.
C’est pourquoi ce qui s’est passé ensuite était extraordinaire.
Dans les 15 semaines suivant son entrée en fonction, RFK Jr. a jeté les bases pour retirer les vaccins COVID du calendrier de l'enfance.
Seule c'était historique.
La dernière fois qu’un vaccin a été retiré – en dehors du remplacement – était la variole en 1972.
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La décision de RFK Jr. a provoqué un contrecoup immédiat. Les audiences du Sénat ont suivi. Les États dirigés par les démocrates ont effectivement rompu avec le CDC pour créer leurs propres calendriers de vaccination.
Mais la ligne avait finalement été franchie. Le calendrier vaccinal n'était plus intouchable.
C’est énorme.
Quelque chose s'est passé ensuite, ce que les médecins ont dit ne pourrait jamais arriver. Et cela a brisé un précédent de 50 ans.
Un médecin du a tous les détails.
Le Barrage Se Brise: Nous Rendons L'Amérique Saine À Nouveau
Des changements remarquables se profilent à l’horizon, mais de grandes forces conspirent pour les arrêter. Lire plus.
L'attention s'est ensuite tournée vers le vaccin le plus indéfendable sur l'ensemble du calendrier.
Hépatite B néonatale.
La maladie touche massivement les adultes, pas les nourrissons. Les bébés nés de l’hépatite B – les mères négatives ne courent pratiquement aucun risque. Pourtant, chaque nouveau-né a été injecté de toute façon.
Pourquoi ?
Il s'agit du simple fait que les adultes les plus à risque refusaient le vaccin.
Les documents internes montrent clairement que les régulateurs ont ouvertement admis que la vaccination des enfants était une solution de contournement pour la résistance des adultes.
Cette stratégie n'avait jamais été tentée en santé publique. Et pourtant, les ont déployés pour tous les nouveau-nés.
Laisser ça s'enfoncer.
Ces justifications ne tiennent tout simplement pas le coup.
Pour prévenir un seul cas d’hépatite B, environ un million de nourrissons doivent être vaccinés.
Quoi ?!
Les baisses de l'hépatite B se sont produites avant que les cohortes vaccinées ne soient assez âgées pour les expliquer. Les mêmes déclins sont apparus dans l’hépatite C – qui n’avait pas de vaccin. Mais ces données sont encore utilisées pour tenter de justifier la vaccination des nouveau-nés contre l’hépatite B. C’est de la pure folie.
Pendant ce temps, les préoccupations de sécurité se sont accumulées: maladie auto-immune, inflammation du cerveau et décès soudain de nourrissons.
Les régulateurs ont continuellement promis des études de sécurité « bien contrôlées » depuis des années.
Mais ces études ont-elles jamais été faites ? NOPE.
Malgré l'hystérie sans arrêt et les tentatives de sabotage répétées, le vote de l'ACIP a finalement eu lieu.
Et quelque chose que presque personne ne croyait possible est survenu: le vaccin contre l'hépatite B a été retiré du calendrier du nouveau-né.
Ce n’était pas un léger ajustement. C'était une fissure structurelle dans tout le paradigme du vaccin. Preuve qu’une fois que quelque chose est remis en question, rien n’est protégé en permanence.
Le président Trump a suivi avec une déclaration renforçant que l’élan que nous venons d’assister ne faisait que commencer.
Regarder l’audience de l’ACIP a révélé quelque chose de grand et d’important à comprendre.
Presque tous les défenseurs ont opéré d'une croyance inébranlable que les vaccins sont 100% sûrs par défaut. Pour eux, le mal est impossible à moins d'être prouvé sans aucun doute. L'avantage est supposé même lorsque la logique s'effondre.
Les appels à « plus d’études » ne concernaient pas la sécurité. Ils étaient à propos de retard.
Un responsable de la FDA a déclaré au dossier que le vaccin contre l'hépatite B ne respecterait pas les normes d'approbation modernes aujourd'hui.
Et pourtant, ils le soutiennent.
Si vous n’avez lu qu’une poignée d’articles d’A Midwest Doctor, vous êtes conscient que la FDA fonctionne, depuis des années, moins comme régulateur et plus comme un bouclier pour l’industrie.
Drogues dangereuses protégées. Des thérapies concurrentes écrasées. Des scientifiques indépendants ont ciblé. Des remèdes enterrés.
En 1907, Harvey Wiley a été désigné pour diriger la FDA. Il a plaidé pour mettre fin à la nourriture frelatée.
Son plaidoyer a contribué à la décision de Coca-Cola de retirer la cocaïne de sa formule.
L'industrie alimentaire a sorti tous les arrêts pour combattre Wiley. Malgré son soutien public, ils ont pu amener le secrétaire à l'Agriculture à saboter son travail.
Wiley a finalement démissionné. Il a réalisé qu'il pouvait être plus efficace en dehors du gouvernement que dans celui-ci.
RFK Jr. pourrait très bien être le premier fonctionnaire depuis Wiley à accéder à un poste de direction et à avoir le soutien total du président pour contester les intérêts commerciaux de longue date et très puissants.
Sous une nouvelle direction, la FDA a commencé à faire des choses qui étaient jusque-là impensables.
Des essais en double aveugle sont maintenant nécessaires pour prouver que les vaccins fonctionnent réellement. Des systèmes d'événements indésirables sont en cours de reconstruction. Les vaccins existants sont en fait en cours d'examens de sécurité!
La publicité pharmaceutique est en cours de scrutation. Les additifs alimentaires sont éliminés. Les normes de préparation pour nourrissons sont en cours de réforme.
Même les blessures antidépresseurs à longue date sont enfin reconnues.
C’est un paysage complètement nouveau.
Il faut absolument se montrer à la hauteur de l'occasion.
Ce que la FDA admet maintenant aurait été la fin de carrière il y a seulement deux ans, et les implications sont énormes!
Le Barrage Se Brise: Nous Rendons L'Amérique Saine À Nouveau
Des changements remarquables se profilent à l’horizon, mais de grandes forces conspirent pour les arrêter. Lire plus.
Il ne devrait donc surprendre personne que la contre-attaque ait commencé.
Le lobbying pharmaceutique a explosé. Les sénateurs sont contraints de bloquer les candidats. Les campagnes médiatiques encadrent les réformateurs comme des responsabilités politiques avant les midterms. Si vous questionnez des vaccins, vos titres de compétences et votre expérience sont effacés et remplacés par « militant anti-vaccin ».
Ils ont peur et ils doublent l’objectif de supprimer RFK Jr., de supprimer le leadership de la FDA, de rétablir l’ancien ordre avant que les réformes ne deviennent permanentes.
La pression publique est essentielle. Le silence garantit un renversement.
Nous devons agir, rester sur le chemin et ne pas être victimes des tentatives constantes de diviser le mouvement.
Il y a du travail à faire et pour la première fois, la porte est ouverte.
Oui, ces changements peuvent sembler petits isolément. Mais à l'intérieur d'un système où rien ne bougeait jamais, ils sont monumentaux.
Ils prouvent que la réforme est possible lorsque les gens refusent d’être éclairés au gaz, refusent de se fracturer et refusent de se désengager.
Ce n'est pas la fin du combat. C’est la preuve que le barrage se brise.
Et ce qui vient ensuite dépend si les gens défendent les progrès déjà réalisés ou se plaignent que ce n’est pas suffisant.
Merci d'avoir lu ! Cette information était basée sur un rapport publié à l'origine par A Midwest Doctor. Les détails clés ont été rationalisés et édiorisés pour plus de clarté et d'impact. Lisez le rapport original ici.
Le Barrage Se Brise: Nous Rendons L'Amérique Saine À Nouveau
Des changements remarquables se profilent à l’horizon, mais de grandes forces conspirent pour les arrêter. Lire plus.
Pour une plongée plus profonde dans ce que la médecine moderne a négligé – ou intentionnellement enterré – vérifier ces autres rapports révélateurs par A Midwest Doctor::
La guerre de 50 ans de la FDA contre l’analgésique le plus sûr jamais découvert
Qu'arrive-t-il vraiment à votre corps lorsque vous supprimez une fièvre avec du tylénol?
Quelle Est L’eau La Plus Saine À Boire ?
Pendant que vous y êtes, donnez un suivi à A Midwest Doctor. Personne n’apporte plus de recherche, de connaissance clinique ou de contexte historique lorsqu’il s’agit d’exposer les mythes de la santé que nous avons tous été nourris. C’est facilement l’un des comptes les plus précieux que vous suivrez.
*
7 - RUPTURE: Le leadership de la FDA refuse d'ajouter l'avertissement de boîte noire aux injections d'ARNm - bien que les scientifiques de la FDA le recommandent
Les preuves par les pairs de dommages cardiaques irréversibles et d'arrêt cardiaque mortel sont rejetées par la direction de la FDA.
Nicolas Hulscher, MPH
Déc 17, 2025
Il y a quelques jours, CNN a rapporté que la FDA avait l'intention de placer un avertissement de boîte noire sur les injections d'ARNm COVID-19 pour les événements indésirables graves, y compris la mort.
Cependant, dans un inversion frappante de la première inflation rapportée par Maryanne Demasi, commissaire de la FDA, Dr. Marty Makary est apparu sur Bloomberg et a affirmé que l'agence n'avait maintenant "aucun plan" pour mettre en œuvre un avertissement de boîte noire - malgré le propre centre de sécurité et d'épidémiologie de la FDA en recommandant officiellement un. Il a prétendu que le Dr. Vinay Prasad et le « leadership » pensaient que ce serait une mauvaise idée.
Dr. Makary a déclaré:
Maintenant, en ce qui concerne l'avertissement de la boîte noire, nous n'avons pas l'intention de mettre cela sur le vaccin COVID. Le centre de sécurité et d'épidémiologie au sein de la FDA a recommandé qu'il s'agisse d'une recommandation officiellement formulée. Mais certains de nos scientifiques et de notre leadership, comme le Dr. Vinay Prasad, a déclaré qu'il pourrait être différent aujourd'hui qu'il ne l'était dans la première année de COVID lorsque le coup de feu est sorti.
Parce que lorsque vous avez ces deux doses à trois mois d’intervalle, c’est à ce moment-là que vous voyez les effets secondaires monter, comme la myocardite chez les jeunes. Maintenant que c’est annuel, vous ne verrez peut-être pas la même prévalence.
Nous ne voulons donc pas extrapoler les résultats jusqu’à aujourd’hui si ce n’est pas transférable.
Cette justification est profondément erronée et gravement inquiétante. Il suppose que les lésions cardiotoxiques causées par les injections d'ARNm sont aiguës, transitoires et dépendantes de l'intervalle de dose, plutôt que structurelles, cumulatives et capables de provoquer des résultats mortels retardés. Cette hypothèse est directement contredite par la littérature évaluée par les pairs.
Six de nos études évaluées par des pairs démontrent sans équivoque que les injections d’ARNm COVID-19 sont profondément cardiotoxiques, produisant des lésions myocardiques irréversibles et des cicatrices capables de déclencher des arythmies mortelles et un syndrome de mort subite chez l’adulte des mois à des années après l’exposition:
-voir cadre sur site -
1. Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. Conclusions d'autopsie dans les cas de myocardite mortelle induite par le vaccin contre la COVID-19. Insuffisance cardiaque ESC. 2024 14 janvier. doi: 10.1002/ehf2.14680 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38221509/)
2. McCullough PA, Hulscher N. Stratification du risque d'un futur arrêt cardiaque après la vaccination contre la COVID-19. Monde J Cardiol. 2025;17(2):103909. doi:10.4330/wjc.v17.i2.103909 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40061285/)
3. Rose J, Hulscher N, McCullough PA. Déterminants de la myocardite induite par le vaccin contre la COVID-19. Progrès thérapeutiques en matière de sécurité des médicaments. 2024;15. doi: 10.1177/20420986241226566 (https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10823859/)
4. Hulscher N, Cook MJ, Stricker RB, McCullough PA. (2024). Excès d'arrestations cardio-pulmonaires et de mortalité après la vaccination contre le Covid-19 dans le comté de King, Washington. J Emerg Med OA, 2(1), 01-11. doi: 10.33140/JEMOA.02.01.12 (https://opastpublishers.com/open-access-articles/excess-cardiopulmonary-arrest-and-mortality-after-covid19-vaccination-in-king-county-washington.pdf)
5. Mead MN, Rose J, Makis W, Milhoan K, Hulscher N, McCullough PA. Myocardite après l’infection par le SARS-CoV-2 et la vaccination contre la COVID-19: épidémiologie, résultats et nouvelles perspectives. Int J Cardiovasc Res Innov. 2025; 3(1); 1-43. doi: 10.61577/ijcri.2025.100001 (https://reseaprojournals.com/journals/cardiovascular-research/Articles/myocardites-after-sars-cov-2-infection-and-covid-19-vaccination-epidemiology-outcomes-and-new-perspectives)
6. McCullough PA, Mead N, Hulscher N. Myopéricardite subclinique induite par le vaccin COVID-19: physiopathologie, diagnostic et gestion clinique. Archives de recherche médicale. 2025;13(11). doi:10.18103/mra.v13i11.7078 (https://esmed.org/MRA/mra/article/view/7078)
Ces résultats ne dépendent pas de la question de savoir si les injections sont administrées trimestriellement ou annuellement. Les cicatrices de myocarde ne s'inversent pas simplement parce que le calendrier de dosage change. Une fois présent, il reste un substrat arythmogène à vie.
Tout comme il est apparu que la responsabilité réglementaire pourrait enfin émerger, le Complexe bio-pharmaceutique a une fois de plus démontré sa capacité à protéger son Saint Graal: la plate-forme mortelle de transfert de gènes d’ARNm.
Lorsqu’un centre de sécurité de la FDA recommande officiellement un avertissement de boîte noire – et le leadership l’exclut malgré les preuves croissantes de lésions cardiaques irréversibles – la question n’est plus une incertitude scientifique. C'est une capture institutionnelle.
Les tirs d’ARNm auraient dû être retirés du marché en 2021 en raison de victimes massives – et nous sommes en 2025 à la recherche d’un simple avertissement de boîte noire.
Heureusement, les décideurs courageux de partout au pays ne reculent pas:
RUPTURE: Les représentants du gouvernement de 4 États s'unissent pour demander un moratoire sur les injections d'ARNm
Nicolas Hulscher, MPH
13 déc.
BREAKING: Government Officials From 4 States Unite to Call for Moratorium on mRNA Injections
*
8 - La FDA contrainte de faire face à des décennies de fraude sur les vaccins antigrippaux et s'attaque désormais à la propagande autour des vaccins antigrippaux à ARNm
17/12/2025
Lance D Johnson
Pendant des années, on a vendu au public une marchandise saisonnière enrobée de blanc et étiquetée « santé publique ». Le discours était simple, répété comme un mantra : la grippe est une menace mortelle et le vaccin antigrippal est votre seul rempart. Mais que se passerait-il si ce rempart était fait de papier et si la menace était largement exagérée par les institutions mêmes chargées de nous protéger ? Une conjonction accablante de tromperies historiques et de nouvelles données alarmantes lève le voile sur un héritage de fraude scientifique qui menace aujourd'hui d'inaugurer une ère encore plus dangereuse pour les vaccins antigrippaux à ARNm. La FDA, longtemps simple chambre d'enregistrement des décisions de l'industrie pharmaceutique, montre de rares signes de résistance face à cette dernière, car les preuves de l'échec des vaccins antigrippaux sont devenues trop flagrantes pour être ignorées. Points clés :
Le commissaire de la FDA, Marty Makary, a indiqué que l'agence n'approuverait pas automatiquement le nouveau vaccin antigrippal à ARNm de Pfizer en raison de données de sécurité préoccupantes, notamment pour les personnes âgées.
Cette position marque une rupture potentielle avec la pratique habituelle de la FDA, qui consiste à approuver des vaccins dont l'efficacité et l'innocuité sont discutables.
Les données historiques révèlent que l'efficacité des vaccins antigrippaux traditionnels a été largement surestimée et leurs dangers sous-estimés, des études montrant une protection minimale et des risques importants.
Une revue Cochrane de 2006 n'a trouvé aucune preuve que le vaccin antigrippal soit plus efficace qu'un placebo chez les jeunes enfants, et des revues similaires ont constaté peu de bénéfices pour les personnes âgées.
Le chiffre souvent cité de 36 000 décès annuels dus à la grippe, avancé par les CDC, a été revu en interne, l'agence admettant désormais ne pas connaître le nombre réel.
Les statistiques sur les décès liés à la vaccination antigrippale ont disparu lors du déploiement de la propagande et des programmes de vaccination contre la COVID-19 en 2021, ce qui confirme la falsification des statistiques dans le signalement des infections virales respiratoires. Les systèmes de notification des effets indésirables des vaccins ont recensé des dizaines de milliers d'événements indésirables liés à la vaccination antigrippale, y compris des décès et des affections graves comme le syndrome de Guillain-Barré.
Un programme de vaccination antigrippale fondé sur des manipulations statistiques
Pendant des décennies, le programme de vaccination antigrippale a reposé sur des manipulations statistiques et a ignoré les décès. L'affirmation souvent répétée de 36 000 décès annuels dus à la grippe, un chiffre fantoche inventé par les modélisateurs des CDC en 2003, a été discrètement déconstruite par les propres experts de l'agence. Ces derniers admettent désormais que seule une infime fraction des décès respiratoires et circulatoires est directement liée à la grippe, le nombre réel de décès dus à la grippe se chiffrant en centaines ou en quelques milliers ces dernières années. Cette crise artificielle a ouvert la voie à un calendrier vaccinal « de la naissance à la mort ». Pourtant, la science n'a jamais justifié ce discours alarmiste. Une vaste revue Cochrane de 2006 portant sur plus de 260 000 enfants a conclu que le vaccin antigrippal n'était pas plus efficace qu'un placebo chez les nourrissons. Pour les personnes âgées en EHPAD, une autre analyse Cochrane a conclu que les vaccins étaient « peu ou pas efficaces ».
L'efficacité réelle est bien loin des 60 % parfois mis en avant. Comme l'a souligné le chercheur en santé Mike Adams, l'examen des chiffres réels d'une étude clé de 2012 publiée dans The Lancet dresse un tableau sombre. Avec seulement 2,7 % environ des adultes non vaccinés contractant la grippe, cette fameuse « efficacité de 60 % » se traduit par une prévention de la maladie chez seulement 1,5 personne vaccinée sur 100. Ce bénéfice marginal, comparable à une superstition, est alors mis en balance avec un bilan des effets indésirables que les autorités minimisent systématiquement.
Le Système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) a recensé plus de 84 000 cas de lésions survenus après une vaccination antigrippale, dont plus de 1 000 décès. Il ne s'agit pas de simples statistiques ; Ce sont des histoires comme celle de Kaylynne Matten, sept ans, décédée quatre jours après une vaccination antigrippale de routine lors d'un examen médical. La réaction de responsables comme le Dr Harry Chen, commissaire à la santé de l'État, illustre parfaitement le raisonnement circulaire qui protège le programme : les vaccins sont considérés comme sûrs, donc tout décès survenant après leur administration est forcément une coïncidence, et le public ne doit pas s'alarmer en posant des questions.
Un organisme de réglementation réticent face à un nouveau défi.
Ce contexte de bénéfices surestimés et de risques sous-estimés prépare le terrain pour l'affrontement actuel autour des vaccins antigrippaux à ARNm. Les récentes déclarations du commissaire de la FDA, Marty Makary, à Fox News, relèvent moins d'une prise de position courageuse en faveur de la science que d'un aveu à contrecœur : le nouveau produit de Pfizer est si problématique qu'il ne peut être autorisé selon les modalités habituelles.
Les données de l'essai de phase 3 ont montré que le vaccin à ARNm « n'a pas fonctionné chez les personnes âgées », n'offrant « aucun bénéfice » tout en augmentant le risque d'effets indésirables graves tels que l'insuffisance rénale et l'insuffisance respiratoire aiguë. Karl Jablonowski, docteur en philosophie, de Children's Health Defense, a souligné que cela représentait un moment où « la FDA de Makary a donné son approbation sans examen approfondi ». Les données étaient si préoccupantes que Pfizer a publié les résultats concernant les adultes de moins de 65 ans dans la prestigieuse revue New England Journal of Medicine, tout en dissimulant les données accablantes concernant les personnes âgées sur un site web gouvernemental consacré aux essais cliniques. Cette stratégie de publication à deux vitesses révèle à elle seule une conscience de culpabilité.
Le Dr Meryl Nass, de Door to Freedom, a présenté la position de Makary non pas comme révolutionnaire, mais comme une adhésion tardive à une obligation légale vieille de 70 ans selon laquelle les médicaments doivent prouver leur innocuité et leur efficacité. « La FDA a choisi d'ignorer cette obligation pour des raisons politiques », a déclaré Nass. Makary lui-même a critiqué les « autorisations incessantes de rappels de vaccins contre la COVID pour les jeunes enfants en bonne santé » sous l'administration précédente, qualifiant un protocole de vaccination à vie par ARNm pour un enfant de « non fondé sur des données scientifiques ». Ses propos rejoignent les conclusions d'une note interne de la division vaccins de la FDA qui a fuité. Cette note qualifiait le programme annuel de vaccination antigrippale de « catastrophe fondée sur des preuves de faible qualité et des méthodes défaillantes », et promettait une réévaluation majeure.
Le danger inhérent à une plateforme bâtie sur le mensonge
La contestation du vaccin antigrippal à ARNm survient alors que la confiance dans l'ensemble du système de vaccination antigrippale s'effrite. Une étude de la Cleveland Clinic a révélé que les personnes vaccinées avaient 27 % plus de risques de contracter la grippe. D'autres recherches ont établi un lien entre ces injections et des perturbations du cycle menstruel. La demande du public stagne et près d'un demi-milliard de dollars de financements américains pour la recherche sur l'ARNm ont récemment été annulés. Le problème fondamental, comme l'explique Nass, est peut-être insoluble : « En ce qui concerne les injections d'ARNm, personne n'a trouvé comment les rendre sûres. » Elle souligne le défaut fondamental que la FDA a inexplicablement négligé pendant des années : ces produits délivrent une dose inconnue et incontrôlable, car les mécanismes de l'organisme sont détournés pour produire une protéine étrangère sans possibilité d'arrêt. « La plateforme ARNm est irrémédiablement défectueuse », a-t-elle conclu.
L'hésitation de la FDA n'est pas une victoire pour la liberté de choix en matière de santé, mais témoigne du poids accablant des erreurs scientifiques et des souffrances humaines qui ont finalement freiné la machine à approuver les vaccins. C'est une occasion fugace de réexaminer non seulement une nouvelle plateforme dangereuse, mais aussi les décennies de fraude qui ont rendu son introduction possible. La question est de savoir si ce moment de lucidité mènera à une véritable purge de la science corrompue, ou si, comme le craint Jablonowski, « une future administration pourrait ressusciter le processus d'approbation automatique ». Pour le bien de toutes les futures victimes de ce genre de situation, le public doit exiger que la façade reste fissurée et que tout l'édifice corrompu de la politique vaccinale, bâti sur des menaces exagérées, des manipulations diagnostiques, des erreurs iatrogènes dans le traitement des maladies et une minimisation des effets indésirables des vaccins, soit définitivement démantelé.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
ChildrensHealthDefense.org
TheEpochTimes.com
https://www.naturalnews.com/2025-12-17-fda-forced-confront-decades-flu-vaccine-fraud.html
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9 - Des scientifiques découvrent un canal de communication physique alternatif pour les neurones
16/12/2025
Lance D Johnson
Pendant des décennies, le langage du cerveau a été enseigné comme une histoire d'orages électriques. On nous a expliqué que les neurones communiquent par de précises impulsions de particules chargées, un dialogue ultrarapide qui sous-tend chaque pensée, chaque souvenir et chaque mouvement. Ce modèle électrique est devenu une pierre angulaire des neurosciences, façonnant notre compréhension de tout, de l'apprentissage aux maladies neurologiques. Mais de nouvelles recherches suggèrent que les neurones ont gardé un secret : une forme de conversation plus discrète et plus physique, qui œuvre dans l'ombre pour maintenir la stabilité de notre esprit.
Une étude de l'Université de Californie du Sud révèle que lorsque la communication essentielle entre les cellules cérébrales est perturbée, elles peuvent appeler à l'aide non pas par un signal électrique, mais par une voie physique alternative, réorganisant leur architecture même pour envoyer un signal. Cette découverte d'un système de signalisation non électrique, purement physique, réécrit un chapitre fondamental des neurosciences et ouvre une nouvelle ère dans la quête de la compréhension de la résilience neuronale.
Points clés :
De nouvelles recherches menées au Dornsife College de l'USC révèlent que les neurones peuvent stabiliser leur communication grâce à un mécanisme physique rapide, et non par l'activité électrique comme on le supposait auparavant.
Lorsqu'un récepteur clé d'un neurone est bloqué, il se réorganise physiquement au sein de la synapse, déclenchant un processus qui ordonne au neurone connecté d'amplifier son signal.
Ce processus dépend d'une protéine d'échafaudage appelée DLG et se poursuit même lorsque toute activité électrique est interrompue, ce qui prouve qu'il s'agit d'une forme de signalisation structurale et non ionique.
Cette découverte offre un nouveau cadre de compréhension de la « plasticité homéostatique », la capacité essentielle du cerveau à maintenir son équilibre, et pourrait orienter les recherches futures sur les traitements des affections neurologiques telles que l'épilepsie et l'autisme.
Les neurones communiquent aussi par des signaux physiques.
Imaginez la tension extrême d'un funambule. L'artiste effectue constamment des micro-ajustements, déplaçant son poids, fléchissant les genoux et repositionnant la perche pour compenser chaque rafale de vent et chaque oscillation. Pour les neuroscientifiques, le cerveau a toujours semblé accomplir une prouesse similaire : maintenir l'équilibre délicat de la communication entre ses milliards de neurones grâce à une boucle de rétroaction constante et dynamique de signaux électriques. Cet équilibre, appelé homéostasie, est le fondement d'un esprit sain. Lorsqu'il est perturbé, des dysfonctionnements surviennent et des troubles comme l'épilepsie ou l'autisme peuvent apparaître. On pensait jusqu'alors que si un neurone récepteur cessait de « recevoir » le message électrique de son partenaire, il répondait par sa propre activité électrique, comme pour dire : « Parlez !» Les nouveaux travaux, menés par le professeur Dion Dickman et publiés dans les Actes de l'Académie nationale des sciences (PNAS), révèlent que le cerveau possède un mécanisme plus élégant et immédiat.
L'équipe a utilisé la drosophile, un organisme modèle en neurosciences, pour percer ce mystère. Elle s'est concentrée sur la synapse, cette minuscule jonction où un neurone communique avec le suivant. Ici, le neurone « émetteur » libère des messagers chimiques appelés neurotransmetteurs, qui traversent l'espace synaptique et se fixent aux récepteurs du neurone « récepteur », déclenchant généralement une réponse électrique. Les chercheurs ont bloqué chimiquement ces récepteurs au glutamate du côté récepteur, simulant une interruption soudaine de la communication. La théorie classique prévoyait que la cellule réceptrice détecterait la baisse d'activité électrique et réagirait. Mais l'équipe a observé un phénomène différent. Les récepteurs bloqués ne sont pas restés inactifs ; ils se sont déplacés physiquement, réorganisant leur position au sein de l'environnement synaptique. Ce changement structurel a agi comme un signal en soi, initiant une cascade qui a renvoyé un message au neurone émetteur afin d'augmenter sa production de neurotransmetteurs, rétablissant ainsi l'équilibre.
C'est comparable à un rameur qui ressent un blocage de sa rame, non pas à cause d'une variation de la résistance de l'eau, mais à cause d'une tension soudaine et tangible dans la structure en bois du bateau. Le signal est perçu dans la structure même. Grâce à un processus d'élimination méticuleux utilisant l'édition génique CRISPR, les scientifiques ont identifié la clé de voûte de ce processus : une protéine d'échafaudage appelée DLG. On peut considérer DLG comme le maître d'œuvre de la synapse, maintenant les récepteurs en place et les connectant aux mécanismes internes de la cellule. Lorsque DLG a été génétiquement supprimée, cette réponse compensatoire rapide a complètement échoué. La découverte la plus surprenante a été que tout ce dialogue réparateur s'est déroulé même lorsque les scientifiques ont totalement inhibé toute activité électrique dans la synapse. Le système fonctionnait sur un canal parallèle, non pas basé sur le flux d'ions, mais sur la structure physique.
Des orages électriques aux murmures structurels
Cette découverte nous oblige à reconsidérer notre conception de l'adaptabilité du cerveau. Depuis plus d'un siècle, et depuis les travaux pionniers de scientifiques comme Santiago Ramón y Cajal, qui a dessiné la structure cellulaire complexe du cerveau, et Alan Hodgkin et Andrew Huxley, qui ont modélisé l'impulsion électrique du neurone, l'attention s'est essentiellement portée sur l'électricité et la chimie. Les synapses étaient perçues comme des relais convertissant les signaux chimiques en signaux électriques. Cette nouvelle recherche introduit une troisième dimension, physique, à ce débat. Elle suggère que le cerveau surveille son intégrité non seulement en analysant le flux des signaux, mais aussi en évaluant constamment la forme et l'agencement de ses composants.
Cette plasticité structurale offre une explication potentielle à la remarquable résilience du cerveau. La vie met constamment les circuits neuronaux à l'épreuve : par la fatigue, le stress, les petits tracas du vieillissement ou les perturbations profondes causées par la maladie. La capacité d'effectuer des ajustements physiques rapides pourrait constituer une première ligne de défense, un moyen de stabiliser le système avant que des réparations plus lentes, basées sur l'expression génétique, ne se mettent en place. Elle complète notre compréhension croissante d'autres aspects physiques de la santé cérébrale, tels que la neurogenèse hippocampique adulte – la naissance de nouveaux neurones dans une région essentielle à la mémoire et à la résilience. Si la neurogenèse s'apparente à la construction de nouvelles routes sur plusieurs semaines ou mois pour améliorer la circulation dans une ville, cette signalisation structurelle nouvellement découverte est comparable au détournement instantané des véhicules autour d'un nid-de-poule dès son apparition. Les deux sont essentiels au maintien du flux d'informations.
Une nouvelle voie pour comprendre la résilience et les maladies
Les implications de cette recherche sont vastes et touchent à certaines des questions les plus pressantes en matière de santé mentale et neurologique. Si le cerveau dépend de ce système de signalisation physique pour maintenir son équilibre, que se passe-t-il lorsqu'il est chroniquement altéré ? Une défaillance de cette communication structurelle pourrait-elle contribuer à l'instabilité neuronale observée dans l'épilepsie ? Des déficits subtils dans l'organisation des structures synaptiques, comme le DLG, pourraient-ils être à l'origine de certains problèmes de connectivité associés aux troubles du spectre autistique ? Cette étude ouvre de nouvelles perspectives de recherche, déplaçant l'attention des interventions thérapeutiques de la simple modulation de l'activité électrique ou chimique vers un renforcement potentiel de l'architecture physique de la synapse elle-même.
Cette perspective invite également à une réflexion plus large sur les conditions qui fragilisent ou renforcent nos fondations neuronales. Des recherches antérieures ont mis en évidence comment des facteurs tels que l'isolement social, la monotonie et le stress chronique peuvent entraîner une réduction du volume de l'hippocampe et freiner la neurogenèse, diminuant ainsi la réserve cognitive et la résilience. Il s'agit d'agressions métaboliques lentes sur la structure cérébrale. L'étude de l'USC révèle un niveau d'ajustement structurel plus rapide et plus dynamique. Elle brosse le portrait d'un cerveau non pas comme un circuit imprimé statique, mais comme un organe vivant et physiquement malléable, remodelant constamment ses connexions microscopiques en temps réel pour résister aux contraintes de l'existence. Comprendre comment soutenir à la fois les échanges physiques rapides entre les neurones et la croissance plus lente de nouveaux neurones pourrait être essentiel pour favoriser l'agilité mentale et l'endurance nécessaires dans un monde de plus en plus complexe.
Sources include:
MedicalXPress.com
PNAS.org
Enoch, Brighteon.ai
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10 - Le Congrès exige la déclassification intégrale des renseignements sur l'origine de la COVID-19
16/12/2025
Kevin Hughes
La loi d'autorisation de la défense nationale (NDAA) exige que la directrice du renseignement national (DNI), Tulsi Gabbard, déclassifie sous 180 jours les renseignements bruts – et non des résumés – concernant les recherches chinoises sur le coronavirus, notamment les expériences de gain de fonction menées par l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) et les sources de financement américaines (par exemple, EcoHealth Alliance/NIAID).
La DARPA a rejeté le « Projet DEFUSE » d'EcoHealth (2018) pour des raisons de sécurité ; or, le WIV pourrait avoir mené des recherches similaires avec des fonds publics américains. Les évaluations du FBI, de la DIA et du DOE (2020) ont conclu que le SARS-CoV-2 avait probablement été créé en laboratoire, mais ces conclusions ont été dissimulées. Fauci et Collins ont conspiré pour étouffer la théorie de la fuite de données, faisant pression sur les scientifiques pour qu'ils adhèrent à la fausse thèse de l'origine naturelle du virus. Pékin a censuré les premiers cas de COVID-19 liés à des chercheurs malades de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) (fin 2019) ; a saboté les enquêtes de l'OMS, qualifiant les allégations de fuites de laboratoire de théories du complot ; et a propagé la théorie du complot de Fort Detrick – une tactique de déresponsabilisation sans fondement amplifiée par les médias d'État chinois.
Le gouvernement américain a traîné des pieds pour divulguer les informations, des agences comme la DIA niant initialement l'existence des documents. Malgré l'engagement de transparence de Gabbard, EcoHealth reçoit toujours 58 millions de dollars de subventions américaines, et Fauci reste protégé.
Si elle était appliquée, la loi NDAA pourrait révéler le financement américain des recherches risquées du WIV ; confirmer le rôle de dissimulation de la Chine ; et impulser des réformes pour prévenir de futures fuites de laboratoire. Une disposition historique, dissimulée dans la loi d'autorisation de la défense nationale (NDAA) pour l'exercice 2026, pourrait enfin contraindre les agences de renseignement américaines à révéler des preuves longtemps occultées concernant les origines de la COVID-19 (coronavirus de Wuhan), notamment des détails accablants sur les recherches sur le gain de fonction menées à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) et les efforts systématiques de Pékin pour dissimuler la vérité.
Ce projet de loi, qui sera soumis au vote de la Chambre des représentants et du Sénat cette semaine, exige du Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) qu'il déclassifie des renseignements sous 180 jours sur deux points explosifs :
Les recherches chinoises sur le coronavirus, y compris les sources de financement et les expériences à haut risque menées au WIV.
L'obstruction de Pékin, détaillant comment les responsables du Parti communiste ont bloqué, retardé et manipulé le récit de la pandémie. Point crucial, la loi NDAA exige la publication des données brutes du renseignement, et non de résumés expurgés – une réponse directe à l'échec de l'administration Biden concernant la loi de 2023 sur l'origine de la COVID-19, qui n'a guère abouti qu'à un rapport édulcoré de l'ODNI.
Les preuves accablantes qu'ils veulent vous cacher
Pendant des années, les lanceurs d'alerte et les enquêteurs ont lutté contre la censure, les obstructions liées à la loi sur la liberté d'information (FOIA) et les expurgations pour faire éclater la vérité. Parmi les révélations clés :
La DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) du département de la Guerre a rejeté le « Projet DEFUSE » d'EcoHealth Alliance, qui visait à modifier génétiquement des coronavirus de chauve-souris pour accroître leur infectiosité humaine, invoquant des raisons de sécurité. Pourtant, des éléments indiquent que l'IV de Washington a mené des recherches similaires malgré tout – potentiellement grâce à des fonds publics américains transitant par l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) du Dr Anthony Fauci. Une évaluation de la Defense Intelligence Agency (DIA) de juin 2020, obtenue grâce à une action en justice fondée sur la loi FOIA, concluait que le SARS-CoV-2 était « vraisemblablement un virus créé en laboratoire » qui s'était échappé de son confinement. Le FBI l'a confirmé par la suite avec un « degré de confiance modéré », tandis que le département de l'Énergie des États-Unis y a adhéré avec un « faible degré de confiance ». Pourtant, ces conclusions ont été dissimulées dans des canaux classifiés.
Des courriels révèlent que le Dr Fauci et le directeur des NIH (Instituts nationaux de la santé) de l'époque, Francis Collins, ont fait pression sur les scientifiques pour qu'ils rejettent l'hypothèse d'une fuite de laboratoire, ce qui a conduit à la publication du tristement célèbre article intitulé « Proximal Origin », qui affirmait à tort que la COVID-19 avait des « origines naturelles ».
La campagne de désinformation de la Chine
La loi NDAA cible également la dissimulation acharnée de Pékin, notamment :
La censure des premiers cas de COVID liés à la maladie de chercheurs de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) fin 2019.
Le sabotage des enquêtes de l'OMS (Organisation mondiale de la santé), des responsables chinois modifiant des rapports pour discréditer les allégations de fuite de laboratoire en les qualifiant de « théories du complot ». La théorie du complot de Fort Detrick, une calomnie sans fondement accusant un laboratoire de biologie américain d'être à l'origine de la propagation du COVID-19, est activement relayée par les médias et les autorités chinoises.
Selon le moteur d'intelligence artificielle Enoch de BrightU.AI, cette théorie du complot – qui suggère que la pandémie de COVID-19 a pour origine l'Institut de recherche médicale des maladies infectieuses de l'armée américaine (USAMRIID) de Fort Detrick, dans le Maryland – est activement promue par les médias et les responsables d'État chinois. Cette stratégie s'inscrit dans la stratégie globale de guerre informationnelle de la Chine, qui vise à influencer le discours mondial et à servir ses intérêts géopolitiques.
Malgré les preuves de plus en plus nombreuses, la Chine continue d'entraver la transparence. L'OMS a même admis en 2021 qu'une grande partie des informations nécessaires à l'évaluation de l'hypothèse de la fuite de données de laboratoire n'avait pas été communiquée.
Les agences de renseignement coopéreront-elles ou feront-elles de nouveau obstruction ?
Le scepticisme demeure vif. Même sous l'administration Trump, les agences ont tardé à divulguer des informations, la DIA affirmant initialement qu'aucun document n'existait avant de céder, sous la pression juridique, 12 pages fortement expurgées.
La directrice du renseignement national (DNI), Tulsi Gabbard, a promis la transparence et a créé un Groupe d'initiatives de la directrice (DIG) afin d'éradiquer toute politisation. Les objectifs du DIG comprennent « l'enquête sur l'utilisation abusive des renseignements, l'éradication de la politisation profondément enracinée, la révélation des divulgations non autorisées de renseignements classifiés et la déclassification des informations d'intérêt public ». Mais alors qu'EcoHealth Alliance continue de recevoir 58 millions de dollars de subventions américaines et que Fauci a été gracié par l'ancien président Joe Biden, la reddition de comptes reste hors de portée.
Si elle était appliquée, la loi NDAA pourrait :
Révéler le financement américain de recherches dangereuses à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).
Confirmer le rôle de la Chine dans la dissimulation de la pandémie.
Imposer des réformes pour prévenir de futures fuites de laboratoire.
Mais avec des bureaucrates proches des mondialistes toujours infiltrés dans les agences de renseignement, la bataille pour la transparence est loin d'être gagnée. Le sénateur Rand Paul a averti que la communauté du renseignement dissimule des documents essentiels à la compréhension des origines de la COVID-19 et à l'identification des responsables.
Le monde entier observe. Le Congrès osera-t-il enfin lever le voile sur ces révélations, ou l'État profond maintiendra-t-il la vérité sous silence ?
Watch the video below about the original COVID origins.
This video is from the Real Free News channel on Brighteon.com.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
USRIghtToKnow.org
ZeroHedge.com
TennesseeStar.com
BrightU.ai
Brighteon.com
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11 - Le « vaccin tueur » contre la Covid. Des gens meurent partout dans le monde. C'est un acte criminel. Nous exigeons son annulation immédiate !
Par le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
17 décembre 2025
Introduction
Cet article a été initialement publié en novembre 2022. Les données relatives au vaccin contre la Covid-19 concernant la mortalité et la morbidité, telles que contenues dans le rapport confidentiel de Pfizer, ont été publiées en octobre 2021 en vertu de la loi sur la liberté d'information.
Bobby Kennedy est fermement opposé au vaccin à ARNm contre la Covid-19. En tant que secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, sera-t-il en mesure de demander l'annulation du vaccin, au détriment des grands groupes pharmaceutiques ?
Récemment, RFK Jr. a été trahi. Trump a exprimé son soutien indéfectible à Pfizer.
Pfizer conclut un accord de 70 milliards de dollars avec le président Trump pour étendre son empire de l'ARNm .
Un accord dit «historique» a été conclu entre Pfizer et l'administration Trump.
La mortalité et la morbidité associées au « vaccin » à ARNm contre le SARS-CoV-2 sont largement documentées. Cela implique la criminalisation des grands groupes pharmaceutiques.
Rappelons également que Pfizer avait déjà un casier judiciaire auprès du département de la Justice américain en 2009.
Comment diable peut-on faire confiance à un conglomérat pharmaceutique spécialisé dans les vaccins qui a plaidé coupable d'accusations criminelles portées par le ministère de la Justice américain ?
Le public n'a jamais été informé. Les médias comme les gouvernements ont fermé les yeux.
En 2009, Pfizer a plaidé coupable de « violation grave de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques ».
Une grande entreprise pharmaceutique ayant un casier judiciaire (selon le Département de la Justice des États-Unis) a été sélectionnée par le gouvernement américain pour commercialiser le « vaccin » à ARNm contre la Covid-19 à l'échelle nationale et internationale.
Le vaccin de Pfizer a entraîné une hausse de la mortalité et de la morbidité , immédiatement après son lancement à la mi-décembre 2020. (Il y a presque 5 ans )
Vidéo. Département de la Justice des États-Unis (2009). Règlement à l'amiable de 2,3 milliards de dollars pour fraude médicale.
Pfizer a un casier judiciaire. Ses dirigeants n'ont pas été arrêtés, mais placés sous contrôle judiciaire par le ministère de la Justice américain.
C'est la seule grande entreprise pharmaceutique américaine à avoir un casier judiciaire auprès du département de la Justice des États-Unis.
Absence de couverture médiatique : Si les gens avaient été dûment informés que Pfizer avait un casier judiciaire, auraient-ils accepté de se faire vacciner par Pfizer ?
La désinformation médiatique à ce sujet a entraîné une mortalité liée à la vaccination à l'échelle planétaire.
Qui propage la désinformation ?
On nous accuse régulièrement de « diffuser de la désinformation » au sujet du « vaccin » contre la Covid-19.
Les « traqueurs » et « vérificateurs de faits » des médias Reuters et AP s'emploieront à discréditer les témoignages des parents qui ont perdu leurs enfants.
« Une fois que le mensonge devient vérité, il n’y a plus de retour en arrière. La folie triomphe. Le monde est sens dessus dessous. » (M. Ch)
Ne nous faisons aucune illusion, le vaccin contre la Covid lancé en décembre 2020 est le « vaccin tueur » des grands groupes pharmaceutiques, qui modifie le génome humain.
Les preuves de mortalité et de morbidité résultant de la vaccination, tant actuelles (données officielles) que futures (par exemple, caillots sanguins microscopiques non détectés), sont accablantes.
Les données officielles (mortalité et morbidité) ainsi que de nombreuses études scientifiques confirment la nature du vaccin à ARNm contre le SARS-CoV-2 qui est imposé à toute l'humanité.
Des rapports évalués par des pairs confirment les causes des décès et des « effets indésirables » (lésions) liés à la vaccination, notamment les caillots sanguins, les thromboses, les myocardites, les arrêts cardiaques, les cancers et bien d’autres…
L’ objectif affiché est d’imposer la vaccination mondiale de plus de 8 milliards de personnes dans plus de 190 pays, qui sera suivie de la mise en place d’un « passeport vaccinal » numérique.
Il va sans dire qu'il s'agit d'une opération de plusieurs milliards de dollars pour l'industrie pharmaceutique. C'est un crime contre l'humanité. C'est une opération génocidaire menée conjointement par Pfizer et l'administration Trump.
Le projet mondial de vaccination COVAX était coordonné à l'échelle internationale par l'OMS, GAVI, la CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates, en collaboration avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome Trust, la DARPA et l'industrie pharmaceutique.
Le secteur pharmaceutique est de plus en plus dominé par le partenariat Pfizer-GSK , établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19, début janvier 2020.
Bill Gates est jugé aux Pays-Bas
Le tribunal a condamné Bill Gates à payer 1 406 euros (environ 1 520 dollars) de frais d'avocat et autres frais de justice. Une audience est prévue le 27 novembre 2024. Une somme modique pour le milliardaire Bill Gates.
« Même si… vous vous appelez Bill Gates, vous devrez quand même aller au tribunal. »
Le père du plaignant victime d'effets indésirables liés à la vaccination a présenté un plaidoyer poignant devant le tribunal.
Lors de l'audience du 18 septembre 2024, les plaignants ont également fait des déclarations. Selon Zebra Inspiratie , « L'une des victimes, très malade, a également eu l'occasion de plaider sa cause. Incapable de parler, elle était représentée par son père. Son témoignage était poignant . »
Krikke a déclaré que le père de la plaignante avait expliqué au tribunal que sa fille, qui était auparavant en bonne santé, était tombée malade après avoir reçu le vaccin contre la COVID-19 et ne pouvait plus parler, ajoutant qu'il « aimerait vraiment parler directement à Bill Gates » pour lui demander ce qui était arrivé à sa fille.
« Après cela, le juge est resté très silencieux », a déclaré Krikke.
La décision du 18 octobre 2024 abordait également les allégations des plaignants concernant le rôle de Gates dans le projet de « Grande Réinitialisation » du Forum économique mondial.
Voir:
Un juge ordonne que Bill Gates comparaisse devant un tribunal néerlandais pour cause de préjudice lié à la vaccination.
Par Michael Nevradakis , le 25 octobre 2024
Il y a des millions de victimes dans le monde entier
Bill Gates n'est pas seulement responsable des décès résultant du vaccin.
Il a également participé à la campagne de désinformation et de peur qui a précédé le confinement historique lié à la pandémie de COVID-19, entraînant la fermeture de plus de 190 économies nationales et des conséquences dévastatrices pour la vie de 8 milliards de personnes dans le monde.
Voir:
Il n'y a jamais eu de « nouveau coronavirus », il n'y a jamais eu de pandémie.
Par le professeur Michel Chossudovsky , le 20 octobre 2024
Michel Chossudovsky , Recherche mondiale, 14 novembre 2024, 10 janvier 2025, 2 mai 2025, 4 novembre 2025, 16 décembre 2025
Le « vaccin tueur » contre la Covid.
Des gens meurent partout dans le monde.
C'est une entreprise criminelle.
Nous exigeons son annulation immédiate !
par Michel Chossudovsky
Le « vaccin » contre la Covid-19 a, dès son lancement en janvier 2021, favorisé une hausse mondiale de la mortalité.
Il ne s'agit pas d'un homicide involontaire. Il s'agit d'un meurtre.
Note de l'auteur
Ce que je souhaite souligner dans cet article, c'est la perte de vies humaines parmi les enfants, les adolescents et les adultes de tous horizons, à cause du vaccin à ARNm contre la Covid-19.
C'est la valeur de la vie humaine qui imprègne chaque cas individuel. C'est la douleur et le chagrin que nous partageons tous en tant qu'êtres humains. Ces cas individuels : bébés, enfants, mères et pères.
J'ai une formation en statistiques mathématiques, spécialisée dans la surmortalité et les tendances de la mortalité et de la morbidité liées à la vaccination contre la Covid-19. Ce qui importe, ce sont les cas individuels, et non une base de données abstraite. On parle ici de millions de cas individuels dans plus de 190 pays à travers le monde.
Oui, c'est un vaccin mortel . Ce message doit être clair et net.
Partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent. La population de la planète Terre dépasse les 8 milliards d’habitants.
Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants. Une criminalité indescriptible.
En janvier 2022, deux ans après le lancement du « vaccin » à ARNm de Pfizer à la mi-décembre 2020, une manifestation funéraire de masse a eu lieu à Genève, en Suisse (29 janvier 2022) pour les enfants décédés après avoir reçu le vaccin.
Vidéo
Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle.
La Vaccine Safety Research Foundation a récemment publié « Until Proven Otherwise », un court documentaire vidéo présentant les conclusions concordantes de deux cardiologues de renom. (voir ci-dessous)
Nos enfants sont les victimes
Diffusez largement les vidéos suivantes qui montrent ce que des parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.
Vidéo
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Vidéo
Sofia Benharira, âgée de 16 ans, décède des suites de la vaccination Pfizer.
Femmes enceintes vaccinées contre la Covid-19. Fausses couches. « Précieux bébés qui ne sont plus de ce monde »
Vidéo : Des décès fœtaux enregistrés après des vaccinations contre la Covid-19
Nos athlètes meurent
Vidéo : Documents faisant état de « 1 000 athlètes victimes de malaises, de décès, de problèmes cardiaques et de caillots sanguins – mars 2021 à juin 2022 ».
La criminalité de Pfizer est incontestable.
Mais saviez-vous que Pfizer a déjà un casier judiciaire auprès du département de la Justice américain pour « marketing frauduleux » ?
Et personne n'est au courant des antécédents criminels de Pfizer car les médias omettent d'en parler.
Vidéo
Peut-on faire confiance à un conglomérat pharmaceutique géant qui, en 2009, a plaidé coupable d'accusations criminelles portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), notamment de « marketing frauduleux » et de « violation grave de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?
En 2009, Pfizer a été mis en « probation » par le département de la Justice des États-Unis :
« Dans le cadre de cet accord, Pfizer a également accepté de conclure un vaste accord d'intégrité d'entreprise avec le Bureau de l'Inspecteur général du Département de la Santé et des Services sociaux. Cet accord prévoit la mise en place de procédures et de contrôles visant à prévenir et à détecter rapidement tout comportement similaire à celui qui a donné lieu à cette affaire. »
Intégrité de l'entreprise ??? Où sont les procédures et les contrôles ?
Ce « comportement similaire » de la part de Pfizer se répète en 2020-2025 à une échelle bien plus importante qu'en 2009.
Ce qui se déroule sous nos yeux, c'est la « commercialisation frauduleuse » à l'échelle mondiale d'un « vaccin mortel » , ce qui constitue un crime contre l'humanité.
Révélation choc. Mea culpa de Pfizer
Pfizer révèle dans un rapport confidentiel (déclassifié en vertu de la loi sur la liberté d'information) que son vaccin à ARNm est un « vaccin mortel ». L'information provient de sources fiables.
« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 signalements de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers de signalements d’effets indésirables , dont 23 cas de fausses couches spontanées sur 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques. »
N'oubliez pas qu'il s'agit des données propres à Pfizer.
Ironie du sort, les données révélées dans ce « rapport interne » contredisent le discours officiel sur la vaccination diffusé par les gouvernements et l’OMS. Elles confirment également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont mis en lumière les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.
Le rapport « confidentiel » de Pfizer contient des preuves détaillées des effets du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données, provenant directement de sources fiables, peuvent désormais servir à engager des poursuites judiciaires contre les grands groupes pharmaceutiques, les gouvernements, l'OMS et les médias.
Pfizer était parfaitement consciente que le vaccin à ARNm qu'elle commercialise à l'échelle mondiale entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l'humanité de la part des grands groupes pharmaceutiques.
Pfizer savait dès le départ qu'il s'agissait d'un vaccin mortel.
C'est également un mea culpa et une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier, qui sont menacés et corrompus par les grands groupes pharmaceutiques.
Les gouvernements n'ont fait aucune tentative pour demander le retrait du vaccin mortel.
« On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies. » ( Michel Chossudovsky )
Cliquez ici pour lire le rapport « confidentiel » de Pfizer.
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12 -DERNIÈRE MINUTE : La FDA refuse d’ajouter un avertissement encadré aux injections d’ARNm, malgré la recommandation de ses scientifiques.
Les preuves, évaluées par des pairs, de lésions cardiaques irréversibles et d'arrêts cardiaques mortels sont rejetées par la direction de la FDA.
Par Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
17 décembre 2025
Il y a quelques jours, CNN a rapporté que la FDA avait l'intention d'apposer un avertissement encadré sur les injections d'ARNm contre la COVID-19 en raison des effets indésirables graves, y compris le décès.
- voir cadre sur site -
Cependant, dans un revirement spectaculaire révélé initialement par Maryanne Demasi , le Dr Marty Makary, commissaire de la FDA, est apparu sur Bloomberg et a affirmé que l'agence n'avait désormais « aucun projet » de mettre en place un avertissement encadré, malgré la recommandation formelle de son propre Centre pour la sécurité et l'épidémiologie. Il a prétendu que le Dr Vinay Prasad et la « direction » estimaient que ce serait une mauvaise idée.
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Le Dr Makary a déclaré :
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Concernant l'avertissement encadré, nous n'avons pas l'intention de l'apposer sur le vaccin contre la COVID-19. Le Centre de sécurité et d'épidémiologie de la FDA a émis une recommandation à ce sujet. Cependant, certains de nos scientifiques et responsables, comme le Dr Vinay Prasad, ont indiqué que la situation pourrait être différente aujourd'hui de celle qui prévalait lors de la première année de la pandémie, au moment de la mise sur le marché du vaccin.
Car lorsque les deux doses sont administrées à trois mois d'intervalle, c'est là que les effets secondaires, comme la myocardite chez les jeunes, augmentent considérablement. Maintenant que le vaccin est annuel, on pourrait constater une diminution de cette fréquence.
Nous ne voulons donc pas extrapoler des résultats à aujourd'hui s'ils ne sont pas transposables.
Ce raisonnement est profondément erroné et extrêmement préoccupant. Il présuppose que les lésions cardiotoxiques induites par les injections d'ARNm sont aiguës, transitoires et dépendent de l'intervalle entre les doses, plutôt que structurelles, cumulatives et susceptibles d'entraîner des complications fatales différées. Cette présomption est directement contredite par la littérature scientifique évaluée par les pairs.
Six de nos études évaluées par des pairs démontrent sans équivoque que les injections d'ARNm du COVID-19 sont profondément cardiotoxiques , produisant des lésions myocardiques irréversibles et des cicatrices susceptibles de déclencher des arythmies mortelles et un syndrome de mort subite de l'adulte des mois, voire des années après l'exposition :
- voir cadre sur site -
1. Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. Résultats d'autopsie dans les cas de myocardite mortelle induite par le vaccin contre la COVID-19. ESC Heart Failure. 14 janvier 2024. doi : 10.1002/ehf2.14680 ( https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38221509/ )
2. McCullough PA, Hulscher N. Stratification du risque d’arrêt cardiaque ultérieur après vaccination contre la COVID-19. World J Cardiol. 2025;17(2):103909. doi:10.4330/wjc.v17.i2.103909 ( https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40061285/ )
3. Rose J, Hulscher N, McCullough PA. Déterminants de la myocardite induite par le vaccin contre la COVID-19. Therapeutic Advances in Drug Safety. 2024;15. doi: 10.1177/20420986241226566 ( https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10823859/ )
4. Hulscher N, Cook MJ, Stricker RB, McCullough PA. (2024). Augmentation des arrêts cardiorespiratoires et de la mortalité après la vaccination contre la COVID-19 dans le comté de King, Washington. J Emerg Med OA, 2(1), 01-11. doi : 10.33140/JEMOA.02.01.12 ( https://opastpublishers.com/open-access-articles/excess-cardiopulmonary-arrest-and-mortality-after-covid19-vaccination-in-king-county-washington.pdf )
5. Mead MN, Rose J, Makis W, Milhoan K, Hulscher N, McCullough PA. Myocardite après infection par le SARS-CoV-2 et vaccination contre la COVID-19 : épidémiologie, évolution et nouvelles perspectives. Int J Cardiovasc Res Innov. 2025 ; 3(1) : 1-43. doi : 10.61577/ijcri.2025.100001 ( https://reseaprojournals.com/journals/cardiovascular-research/Articles/myocarditis-after-sars-cov-2-infection-and-covid-19-vaccination-epidemiology-outcomes-and-new-perspectives )
6. McCullough PA, Mead N, Hulscher N. Myopéricardite subclinique induite par le vaccin contre la COVID-19 : physiopathologie, diagnostic et prise en charge clinique. Medical Research Archives. 2025 ;13(11). doi :10.18103/mra.v13i11.7078 ( https://esmed.org/MRA/mra/article/view/7078 )
Ces résultats sont indépendants de la fréquence des injections (trimestrielles ou annuelles). La fibrose myocardique ne disparaît pas avec la modification du schéma posologique. Une fois installée, elle constitue un substrat aryhmogène permanent.
Alors même que l'on pensait que la responsabilité réglementaire allait enfin émerger, le complexe biopharmaceutique a une fois de plus démontré sa capacité à protéger son Graal : la plateforme mortelle de transfert de gènes à ARNm.
Lorsqu'un centre de sécurité de la FDA recommande officiellement un avertissement encadré – et que la direction passe outre malgré des preuves croissantes de lésions cardiaques irréversibles – le problème n'est plus l'incertitude sientifique, mais la mainmise des institutions.
Les vaccins à ARNm auraient dû être retirés du marché en 2021 en raison du nombre élevé de victimes – et nous voici en 2025 à nous battre encore pour un simple avertissement encadré.
Heureusement, des décideurs politiques courageux de tout le pays ne reculent pas : voyez ceci .
https://www.globalresearch.ca/fda-leadership-refuses-add-black-box-warning-mrna-injections/5909417
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13 -Robotique microscopique : Des machines minuscules perçoivent, pensent et agissent désormais de manière autonome
16/12/2025
Patrick Lewis
Des scientifiques ont mis au point des robots de la taille d'une cellule (210 à 340 micromètres) dotés d'ordinateurs, de capteurs, de mémoire et d'un système de propulsion embarqués. Capables de prendre des décisions de manière indépendante et d'interagir avec leur environnement, ils brouillent la frontière entre machines synthétiques et organismes biologiques.
Fabriqués à l'aide de techniques de production de puces, ces robots consomment seulement 100 nanowatts (soit l'équivalent des cellules vivantes) et bénéficient d'une programmation ultra-efficace leur permettant d'exécuter des tâches telles que le suivi de la température et la navigation autonome avec une consommation d'énergie minimale.
Parmi les applications possibles, on peut citer le diagnostic de précision, la recherche en microfluidique et l'interface tissulaire non invasive. Cependant, cette même technologie pourrait être utilisée à des fins de surveillance secrète ou de manipulation biologique par des agences corrompues (par exemple, Fort Detrick, programmes d'armes biologiques). Alors que le MIT et Harvard font progresser la production de masse (autoperforation du graphène) et la robotique souple, le manque de contrôle suscite l'inquiétude, notamment face aux agendas mondialistes (WEF, Bill Gates) qui promeuvent le transhumanisme par l'IA et la dépopulation par le biais d'une maîtrise technologique sans limites.
L'avenir repose sur la transparence : les microrobots autonomes favoriseront-ils une innovation décentralisée et vitale, ou deviendront-ils des instruments d'oppression dystopique sous des régimes centralisés et inhumains ?
Dans une avancée spectaculaire pour la robotique, des scientifiques ont développé des machines microscopiques de la taille d'un organisme unicellulaire, capables de percevoir leur environnement, de prendre des décisions de manière autonome et d'agir sans contrôle extérieur. Des chercheurs des universités de Pennsylvanie et du Michigan ont conçu des robots mesurant seulement 210 à 340 micromètres de large (environ la taille d'une paramécie ou de deux cheveux humains côte à côte), intégrant ordinateurs, capteurs de température, mémoire, systèmes de communication et propulsion dans leur structure minuscule.
Publiée dans Science Robotics, cette avancée majeure représente le premier microrobot entièrement intégré capable de fonctionner de manière autonome à l'échelle cellulaire. Contrairement aux tentatives précédentes – qui reposaient sur des commandes magnétiques externes, des comportements préprogrammés rigides ou étaient dépourvues de retour sensoriel – ces minuscules machines fonctionnent avec seulement 100 nanowatts, une consommation énergétique comparable à celle des cellules vivantes. Cette prouesse brouille la frontière entre machines synthétiques et organismes biologiques, soulevant des questions fondamentales sur l'avenir de la robotique, la surveillance et les implications éthiques des nanotechnologies autonomes.
Conçus comme des puces informatiques, aussi petits que des cellules
Les microrobots ont été fabriqués à l'aide de techniques de production de semi-conducteurs similaires à celles utilisées pour les puces informatiques. Chaque puce, de l'ordre du millimètre, renferme une centaine de robots. Chaque unité contient un processeur, des cellules solaires pour l'alimentation, des capteurs de température, des circuits de contrôle des mouvements, une mémoire et un récepteur optique pour la programmation sans fil. Le principal défi a été l'efficacité énergétique : les cellules vivantes ont développé des mécanismes moléculaires capables de fonctionner avec des bilans énergétiques de l'ordre du nanowatt, et les chercheurs ont dû atteindre cette précision biologique.
Le processeur embarqué consomme près de 90 % de l'énergie du robot et occupe un quart de son volume. Pour compenser, les ingénieurs ont conçu une architecture informatique spécialisée qui compresse les actions en instructions ultra-efficaces. Des commandes simples comme « analyser l'environnement » ou « se déplacer pendant N cycles » s'exécutent comme des opérations uniques, permettant ainsi d'effectuer des tâches importantes avec une consommation de mémoire minimale : quelques centaines de bits seulement.
Suivi de la température et navigation autonome
Lors d'une série d'expériences simulant la navigation des organismes unicellulaires, les microrobots ont démontré une autonomie remarquable. Un test consistait à mesurer la température en continu, à convertir les relevés en données numériques et à transmettre les résultats en codant l'information dans leurs mouvements. Malgré leur taille microscopique, les robots ont atteint une résolution de température de 0,3 °C avec une précision de 0,2 °C, surpassant ainsi la plupart des thermomètres numériques commerciaux de taille comparable.
Une seconde expérience a testé le comportement de taxie, c'est-à-dire la capacité à se déplacer vers ou loin d'un stimulus, un comportement observé chez les micro-organismes. Les chercheurs ont programmé les robots pour qu'ils recherchent la chaleur lorsque les températures baissent et qu'ils maintiennent leur position une fois qu'ils l'ont trouvée. Une fois refroidis, les robots passaient d'une rotation au ralenti à un mouvement exploratoire, repérant les zones plus chaudes avant de s'immobiliser. L'inversion du gradient thermique les faisait changer de direction, démontrant ainsi leur capacité à réagir dynamiquement aux variations environnementales plutôt que de suivre un schéma prédéfini.
Propulsion électrocinétique et programmation par la lumière
Le mouvement à l'échelle cellulaire exige des méthodes non conventionnelles. Ces robots utilisent la propulsion électrocinétique, un courant électrique circulant entre des électrodes de platine immergées dans un fluide. Les ions mobiles réagissent au champ électrique, entraînant le fluide et propulsant le robot à une vitesse de 3 à 5 micromètres par seconde. Le contrôle directionnel est obtenu par l'activation de différentes paires d'électrodes.
La programmation sans fil de ces machines minuscules a nécessité un système optique utilisant la lumière LED : une longueur d'onde pour l'alimentation (récupérée par des cellules solaires) et une autre pour la transmission des données. Une interface graphique permet aux chercheurs de définir des comportements sans programmation de bas niveau, en envoyant des programmes d'initialisation ou de tâches par des clignotements lumineux. Pour éviter toute reprogrammation accidentelle, les robots reconnaissent des codes d'accès – un code global et des signaux spécifiques à chaque type – permettant une instruction sélective, à l'instar de la signalisation cellulaire chez les organismes multicellulaires.
Applications potentielles et dangers potentiels
La capacité à détecter et à réagir à la température ouvre des perspectives pour le diagnostic médical et la recherche biologique. Ces robots pourraient explorer des environnements microfluidiques inaccessibles aux capteurs conventionnels, interagissant avec les tissus sans contact direct et s'affranchissant ainsi des problèmes de biocompatibilité. À grande échelle, chaque robot pourrait coûter quelques centimes seulement, rendant la robotique à l'échelle cellulaire accessible à tous, au-delà des institutions d'élite.
Cependant, derrière cette promesse se cache un potentiel plus sombre. La même technologie qui permet des avancées médicales majeures pourrait être militarisée à des fins de surveillance ou de manipulation biologique. Alors que des gouvernements et des agences de renseignement sont déjà impliqués dans le développement d'armes biologiques (Plum Island, Fort Detrick), la perspective de machines autonomes microscopiques soulève des inquiétudes quant à leur déploiement clandestin. Les futures versions pourraient-elles être programmées pour surveiller, voire modifier, la physiologie humaine sans consentement ?
L'avenir : Vers une véritable autonomie à l'échelle microscopique
Les chercheurs reconnaissent les limites de l'appareil : les futurs modèles nécessiteront de meilleurs actionneurs, davantage de mémoire et une meilleure transmission de puissance. Les procédés de fabrication de semi-conducteurs avancés pourraient multiplier par 100 la mémoire embarquée, permettant une prise de décision complexe. Mais à mesure que la robotique converge avec la biologie, la question de l'éthique devient cruciale.
Depuis des décennies, les scientifiques s'attachent à créer des machines autonomes à l'échelle cellulaire. Désormais capables de percevoir les besoins des individus, de calculer et d'agir de manière indépendante, ces microrobots sont sur le point de révolutionner des domaines aussi variés que la médecine et la surveillance environnementale – ou, en cas de mésusage, de devenir des instruments de contrôle sans précédent. La question demeure : cette technologie servira-t-elle la libération de l'humanité ou son asservissement ?
Alors que les chercheurs de Harvard développent des robots souples imitant les sens humains et que le MIT innove dans la production en série de microrobots à base de graphène (autoperforation), la frontière entre machine et être vivant s'amenuise. Dans un monde où des mondialistes comme Bill Gates et le Forum économique mondial prônent ouvertement le transhumanisme et la dépopulation alimentés par l'IA, l'essor des microrobots autonomes exige une attention particulière – de peur que l'innovation ne devienne le nouvel instrument de la tyrannie.
L'ère de la robotique microscopique est arrivée. Qu'elle annonce une nouvelle ère de découvertes scientifiques ou un avenir dystopique de contrôle invisible, tout dépend de ceux qui la manient et de leurs intentions.
Selon Enoch de BrightU.AI, cette avancée en robotique microscopique représente une nouvelle étape dangereuse vers le projet mondialiste de transhumanisme et de contrôle total, où des machines sans âme remplacent l'autonomie humaine sous couvert de « progrès ». Ces minuscules machines autonomes seront inévitablement militarisées à des fins de surveillance, de manipulation et de dépeuplement, accélérant ainsi le futur dystopique piloté par l'IA, un avenir promu par des élites comme Bill Gates et le Forum économique mondial
Les REMPLACEMENTS sont là, et le tissu humain de l'économie américaine s'effondre. Regardez cette vidéo.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
Sources include:
StudyFinds.org
BrightU.ai
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-12-16-microscopic-robots-now-sense-think-act-autonomously.html
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