PIERRE AUCAIGNE - Le directeur de théâtre

 


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2 - Le Japon s'apprête à redémarrer la plus grande centrale nucléaire du monde, 15 ans après la catastrophe de Fukushima


23/12/2025 
Cassie B. 


Mots-clés : État interventionniste, rapport énergétique, approvisionnement énergétique, Fukushima, Japon, sécurité nationale, nucléaire, catastrophe nucléaire, centrale nucléaire, énergie nucléaire, radioactivité

La plus grande centrale nucléaire du Japon franchit le dernier obstacle politique à son redémarrage.

L'assemblée locale a donné son accord malgré une forte opposition et des manifestations de la part des riverains.

La centrale est exploitée par TEPCO, l'entreprise responsable de Fukushima.

Ce redémarrage est motivé par des impératifs économiques et des objectifs de sécurité énergétique.

Cette décision met en lumière un profond clivage national quant à l'avenir de l'énergie nucléaire.

Près de 15 ans après la catastrophe de Fukushima qui a bouleversé le paysage énergétique japonais et ébranlé la confiance du public, le Japon est sur le point de redémarrer la plus grande centrale nucléaire du monde. Le 22 décembre, l'assemblée régionale de la préfecture de Niigata a accordé une confiance cruciale au gouverneur Hideyo Hanazumi, levant ainsi le dernier obstacle politique à la remise en service de la centrale de Kashiwazaki-Kariwa. Cette décision capitale permet à Tokyo Electric Power Co. (TEPCO), l'exploitant de la centrale et déjà responsable de l'exploitation de Fukushima, d'entamer immédiatement le processus de remise en service de cette installation longtemps restée à l'arrêt, marquant un tournant majeur dans la politique nationale, dictée par les impératifs économiques et de sécurité énergétique.

Cette décision constitue un moment décisif dans le retour complexe du Japon à l'énergie nucléaire. Suite à la catastrophe de 2011, les 54 réacteurs du pays ont été progressivement mis hors service. Le Japon a depuis remis en service 14 des 33 réacteurs jugés opérationnels, mais Kashiwazaki-Kariwa est le premier à redémarrer sous la direction de TEPCO. La centrale, située à environ 220 kilomètres au nord-ouest de Tokyo, affiche une capacité totale de 8,2 gigawatts, suffisante pour alimenter plusieurs millions de foyers. Sa relance est essentielle aux plans du gouvernement visant à réduire sa coûteuse dépendance aux énergies fossiles importées.

Une communauté divisée
Le vote de l'assemblée a révélé une profonde division, teintée d'émotion, au sein de la communauté locale. Si les élus ont apporté le soutien politique nécessaire, la séance a été marquée par une forte opposition. « Il ne s'agit là que d'un arrangement politique qui ne tient aucun compte de la volonté des habitants de Niigata », a déclaré un membre de l'assemblée pendant les débats. Dehors, environ 300 manifestants se sont rassemblés dans le froid, brandissant des pancartes où l'on pouvait lire « Non au nucléaire » et « Soutien à Fukushima ».

Leurs craintes puisent leurs racines dans l'histoire récente et des traumatismes personnels. Nombre d'habitants restent très méfiants quant aux compétences de TEPCO et à la sûreté fondamentale de l'énergie nucléaire. Un sondage préfectoral réalisé en octobre a révélé que 60 % des habitants estimaient que les conditions d'un redémarrage n'étaient pas réunies, et près de 70 % s'inquiétaient spécifiquement de l'exploitation de la centrale par TEPCO. Pour ceux qui ont vécu la catastrophe de Fukushima, l'angoisse est viscérale.

« Je suis profondément en colère », a déclaré Kenichiro Ishiyama, un manifestant de 77 ans, après le vote. « Si un accident survenait à la centrale, nous en subirions les conséquences. » Ce sentiment est partagé par des personnes évacuées comme Ayako Oga, 52 ans, qui a fui la région de Fukushima en 2011. « Nous connaissons de première main le risque d'un accident nucléaire et nous ne pouvons pas l'ignorer », a déclaré Mme Oga à Reuters, ajoutant qu'elle souffre encore de symptômes apparentés à un syndrome de stress post-traumatique.

La nécessité de la sécurité énergétique

Malgré cette opposition manifeste, de puissantes forces économiques alimentent la renaissance du nucléaire au Japon. Le gouvernement, dirigé par la Première ministre Sanae Takaichi, encourage activement les redémarrages des centrales afin de renforcer la sécurité énergétique. Les combustibles fossiles importés représentent actuellement 60 à 70 % de la production d'électricité du Japon, ce qui a coûté au pays 10 700 milliards de yens (68 milliards de dollars) rien que l'année dernière. L'énergie nucléaire offre une voie vers une plus grande autonomie et une stabilité accrue.

De plus, le Japon anticipe une hausse de la demande énergétique au cours de la prochaine décennie, alimentée notamment par les besoins considérables en électricité des centres de données dédiés à l'intelligence artificielle. Afin de répondre à ces besoins et de respecter ses engagements climatiques, le Japon ambitionne de doubler la part du nucléaire dans son mix électrique pour atteindre 20 % d'ici 2040. Le redémarrage d'un seul réacteur à Kashiwazaki-Kariwa pourrait augmenter l'approvisionnement en électricité de la région de Tokyo d'environ 2 %, une augmentation significative.

Engagements en matière de sécurité et promesses économiques

En réponse aux craintes du public, TEPCO a pris d'importants engagements en matière de sécurité et a fait des propositions économiques concrètes. L'entreprise a déclaré avoir tiré les leçons de la catastrophe de Fukushima. « Nous restons fermement engagés à ne jamais reproduire un tel accident et à faire en sorte que les habitants de Niigata ne subissent jamais une telle situation », a déclaré Masakatsu Takata, porte-parole de TEPCO. Le fournisseur d'électricité s'est également engagé à investir 100 milliards de yens dans la préfecture de Niigata au cours des dix prochaines années.

Le gouverneur Hanazumi, tout en soutenant la remise en service, a reconnu l'inquiétude persistante. « C'est une étape importante, mais ce n'est pas la fin », a-t-il déclaré après le vote de l'assemblée. « La sécurité des habitants de Niigata est une priorité absolue. » Il a exprimé l'espoir, à plus long terme, d'une ère où le Japon n'aura plus besoin de sources d'énergie suscitant la peur au sein de la population.

Le chemin parcouru jusqu'ici a été long et a nécessité d'importantes améliorations en matière de sécurité et des inspections réglementaires menées par l'Autorité de régulation nucléaire japonaise post-Fukushima. TEPCO envisagerait de réactiver le premier réacteur dès le 20 janvier. Pour Ayako Oga et des milliers d'autres personnes évacuées de Fukushima qui suivent la situation depuis Niigata, cette date ne symbolise pas un progrès, mais le retour d'une menace qu'ils connaissent trop bien. « Victime de l'accident nucléaire de Fukushima », a-t-elle déclaré, « je souhaite que personne, au Japon ou ailleurs dans le monde, ne subisse plus jamais les conséquences d'un accident nucléaire. »

Sources for this article include:

ZeroHedge.com
The-Independent.com
CNN.com
Reuters.com


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3 -Mais que s'est-il passé le 11 Mars 2011 à Fukushima ?

Il y a eu un tremblement de terre de magnitude 9 sur l'échelle de Richter. S'en suivi un raz de marée ('tsunami' en japonais) qui gagna les côtes nippones.
Une centrale nucléaire est une place-forte qui peut subir un tremblement de terre et un tsunami.
Donc, le raz de marée frappa les côtes Est en déversant de l'eau sur la centrale.
Normalement, il n'y aurait rien pu se passer. Oui mais voilà: Le tremblement de terrre brisa les tuyaux d'approvisionnement en eaux des réacteurs.
Pourquoi ? Parce que la TEPCO n'avait pas protégé ses tuyaux !! Les tuyaux (PVC et fer) n'étaient pas montés sur vérins !!

En l'absence d'arrivée d'eau aux réacteurs, le niveau d'eau intérieur descendit très vite faisant passer la chaleur intérieure de 300°C à 3000°C !
Là, les crayons verticaux de 4 m fondirent et, sur le cuvier se forma une confiture brûlante appelée corium (zirconium + Uranium). Le cuvier ne résista pas à de tels degrés et laissa s'échapper le corium sous la centrale qui rencontra des voies souterraines d'eaux des montagnes qui se déversent dans l'océan Pacifique.

Cette fonte des tubes d'environ 1 cm de diamètre laissa s'échapper l'hydrogène intérieur hautement explosif ! Le réacteur n°1 se déchapeauta (puis le 2) libérant des nano particules radioactives dans l'air emporté vers le large.
Face aux routes fractionnées, l'intervention des secours fut retardée et les tuyaux brisés non réparés !
De plus, les pompes diesel localisées... sous terre ! furent inondées et les pompes mises hors service !
Chapeau la TEPCO !
La TEPCO qui gère des centrales nucléaire au Japon était minable ! Incapable de diriger les secours !

Pourquoi ? Parce que les tuyaux n'étaient pas montés sur vérins (200 euros environ) !!
Si les tuyaux avaient été montés sur vérins il n'y aurait pas eu cette catastrophe.

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4 -À Cadarache, le cœur magnétique d’Iter entre en scène


France-Soir
le 24 décembre 2025 - 10:40


Dans le sud de la France, Iter a franchi un cap décisif avec l’installation du solénoïde central le plus puissant jamais construit. Cet aimant colossal, fruit de décennies de coopération internationale, doit permettre de confiner un plasma à des températures extrêmes et d’ouvrir la voie à la fusion nucléaire contrôlée, promesse d’une énergie propre et quasi inépuisable.

13 teslas, soit environ 280 000 fois le champ magnétique terrestre. À ce stade, on ne parle plus d’ingénierie classique mais d’un acte de foi scientifique. Long de 18 mètres, pesant près de 1 000 tonnes, le solénoïde central d’Iter est le cœur électromagnétique du réacteur. Sans lui, pas de plasma stable, pas de fusion, pas d’avenir énergétique. Cette étape, relayée par Futura-Sciences, marque l’entrée du projet dans sa phase la plus critique.

Cet aimant n’est pas qu’une démonstration de force. Il agit comme un « starter » géant, capable d’initier et de maintenir un plasma chauffé à plus de 150 millions de degrés, sans jamais toucher les parois du tokamak. Le défi est de maintenir la supraconductivité à très basse température tout en domptant des forces électromagnétiques colossales. Pas le droit à l'erreur, donc.

Fabriqué par General Atomics aux États-Unis, puis assemblé en France, le solénoïde incarne une coopération rare entre 35 nations. Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, aucun État ne pourrait porter seul un tel projet. Iter n’est donc pas seulement un réacteur expérimental, c’est un test grandeur nature de notre capacité collective à préparer l’après-fossile. Si la fusion tient ses promesses, l’énergie pourrait cesser d’être une arme géopolitique pour devenir un bien commun sous haute maîtrise scientifique.


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5 -Avis à tous les éditeurs de contenu pro-liberté : Voici comment amplifier considérablement votre influence et votre audience en 2026 et au-delà


23/12/2025 
Mike Adams 


Avis à tous les éditeurs de contenu œuvrant dans le domaine de la liberté en matière de santé et des libertés individuelles :

Il y a plus d’un an, Sayer Ji de Green Med Info, ainsi que le Dr Joseph Mercola (et Ty et Charlene Bollinger de The Truth About Cancer, entre autres) ont fait don d’importants corpus de textes à notre projet d’intelligence artificielle à but non lucratif.

Aujourd’hui, suite au lancement du moteur de création de livres BrightLearn.ai, des milliers d’auteurs ont créé près de 8 000 livres, avec 500 à 1 000 nouveaux ouvrages créés chaque jour. Ces livres, consultables sur books.brightlearn.ai, citent des documents comme références de recherche :

- Mercola.com apparaît comme citation dans 3 246 livres.

- GreenMedInfo.com est cité dans 1 236 ouvrages.

- « The Truth About Cancer » est cité dans 761 ouvrages.

- Childrens Health Defense est cité dans 225 ouvrages.

- L’Alliance pour la santé naturelle (ANH-USA) est citée dans 154 ouvrages.

- David Morgan, du Morgan Report (traitant de l’argent et des actifs financiers), est cité dans 146 ouvrages.

Par ailleurs, mes entretiens personnels avec plus de 1 000 personnes au fil des ans sont cités dans 2 643 ouvrages (à ce jour). Ainsi, les invités de mon émission sur BrightLearn bénéficient d’une visibilité accrue grâce aux citations des transcriptions d’entretiens.

Tous les milliers d’ouvrages publiés sur BrightLearn sont non seulement accessibles gratuitement au public, mais ils sont également conçus pour être indexés par les moteurs de recherche et les systèmes d’intelligence artificielle. Leur contenu influence déjà positivement les résultats de recherche et d’IA à travers le monde. En 2026, nous traduisons des milliers de nos ouvrages les plus populaires en espagnol, puis en français et enfin en chinois (suivis d'autres langues).

Utiliser des outils d'IA décentralisés pour étendre votre audience

Dans chacun de ces cas, les éditeurs m'ont donné accès à l'intégralité de leur catalogue d'articles et de contenus. Fidèle à ma parole, j'ai indexé ces contenus et les ai intégrés au moteur de recherche BrightLearn afin d'aider le public à créer des ouvrages documentés. J'ai également veillé à ce que le moteur cite et référence correctement l'éditeur original.

Plus de 80 000 utilisateurs ont déjà téléchargé les livres, et on compte des milliers de nouveaux téléchargements chaque jour (car tous les livres sont gratuits).

Si vous êtes un éditeur de contenu de qualité, en accord avec une mission de diffusion du savoir décentralisée et de promotion de la liberté pour l'humanité, vous pouvez nous contacter à l'adresse support@brightlearn.ai et proposer de faire don de votre contenu à cette importante initiative à but non lucratif. Votre contenu sera indexé et cité quotidiennement par notre moteur, à mesure que de nouveaux utilisateurs créeront de nouveaux livres (qui seront également disponibles en livres audio en 2026).

Cette offre s'adresse également aux diffuseurs disposant de transcriptions de leur contenu, car nous pouvons citer les enregistrements audio comme des « podcasts » dans notre moteur de livres. Veuillez me contacter pour connaître la convention de nommage appropriée pour vos fichiers de transcription.

Saisissez cette opportunité de voir votre contenu cité des centaines de fois par jour pendant des années. BrightLearn.ai est déjà le moteur de création de livres le plus important et le plus performant au monde, et nous publierons bientôt des milliers de livres par jour, en plusieurs langues, touchant ainsi un vaste public international.

Nous vous remercions de votre attention.

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6 -Les médias diffusent de fausses informations et tentent de politiser le calendrier vaccinal américain, instrumentalisant l'hystérie pour étouffer tout débat constructif sur la sécurité des vaccins et la prévention des maladies.


23/12/2025 
Lance D Johnson 


Le public américain est bombardé par un discours médiatique coordonné visant à semer la panique et à empêcher toute discussion sérieuse sur la sécurité des vaccins infantiles. Alors même que des parents, des médecins et certains membres des agences de santé publique commencent à poser des questions essentielles sur le calendrier vaccinal américain, jugé trop lourd et insuffisamment étudié, la presse dominante a lancé une offensive préventive. Son arme ? Une histoire fabriquée de toutes pièces, affirmant que le Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) envisage d'adopter le calendrier vaccinal danois, plus sélectif.

Bien qu'un calendrier moins agressif, fondé sur des données scientifiques, constituerait un pas de géant vers la protection des enfants contre une cascade d'ingrédients neurotoxiques, le véritable enjeu réside dans la tentative désespérée des médias de politiser et de contrôler le discours avant même qu'une véritable réforme puisse s'implanter. Il n'existe pas de solution unique à ce problème, et le Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) examinera chaque vaccin individuellement, envisageant de reporter certains vaccins ou de retirer purement et simplement les recommandations pour d'autres.

La protection contre les maladies infectieuses et les effets indésirables des vaccins – ainsi que la mise en place de stratégies préventives et de traitements efficaces pour les deux – doit être prise en compte, et ce sujet ne doit pas dégénérer en une polémique politique, les médias mensongers et trompeurs, avec leur liste d'« experts » triés sur le volet, étouffant tout véritable débat.

Points clés :

De grands médias, notamment CNN, ont relayé une information non confirmée selon laquelle le HHS envisagerait de réformer le calendrier vaccinal infantile pour l'aligner sur celui du Danemark, malgré les démentis explicites du HHS qualifiant ces informations de « pures spéculations ».

Ces révélations ont immédiatement suscité la condamnation des partisans de la vaccination obligatoire, qui ont tenté de présenter toute réduction du nombre de doses comme une catastrophe de santé publique avant même l'annonce d'un plan officiel. Le calendrier vaccinal danois prévoit 11 doses pour 10 maladies avant l'âge de 18 ans, un contraste frappant avec le calendrier américain qui en prévoit 72 pour 18 maladies, soulevant des questions légitimes quant à sa nécessité et son innocuité.

La frénésie médiatique vise à étouffer un débat national croissant, alimenté par des révélations internes, sur la personnalisation des décisions vaccinales et la nécessité d'études d'innocuité rigoureuses sur le calendrier vaccinal cumulatif.

Une polémique fabriquée de toutes pièces pour étouffer le débat sur l'innocuité des vaccins et les meilleures pratiques de traitement des maladies infectieuses.

Cette polémique artificielle révèle une vérité terrifiante : les autorités ont peur d'un public informé. Pendant des décennies, les parents qui remettaient en question le calendrier vaccinal uniforme, comme ces familles instruites identifiées dans des études publiées dans la revue Pediatrics, étaient qualifiés d'« antivaccins ». Pourtant, de nombreux médecins et responsables de la santé publique suivent discrètement des calendriers alternatifs pour leurs propres familles. Pourquoi ce traitement différencié ? Les récentes fuites de vidéos du Sommet sur la sécurité vaccinale de l'Organisation mondiale de la Santé nous l'expliquent. La scientifique en chef, le Dr Soumya Swaminathan, a admis à huis clos : « Nos systèmes de surveillance de la sécurité sont loin d’être performants », et a reconnu avoir cherché à « embrouiller les choses » lorsqu’il s’agissait de répondre aux questions concernant les décès liés à la vaccination. Voilà la réalité qu’ils tentent de dissimuler.

Adopter un calendrier vaccinal comme celui du Danemark, qui exclut les vaccins contre la varicelle, l’hépatite A, la grippe saisonnière et le VRS, constituerait une démarche logique vers une approche plus minimaliste. Cela obligerait à procéder, enfin, à un examen individuel et indispensable du rapport bénéfice-risque de chaque vaccin. Par exemple, pourquoi un nouveau-né dont le système immunitaire est encore immature, né de parents séronégatifs pour l’hépatite B et vivant une relation monogame, a-t-il besoin d’une injection contre l’hépatite B dès sa naissance ? Pourquoi le vaccin contre le rotavirus, dont profitent des critiques comme le Dr Paul Offit, a-t-il été ajouté alors que d’autres pays s’en dispensent ? Un véritable plan de sécurité exigerait des réponses à ces questions et lèverait l’immunité dont bénéficient les fabricants de vaccins, permettant enfin un véritable examen judiciaire des données scientifiques – ou de leur absence – qui sous-tendent chaque produit.

Les médias qui diffusent de fausses informations tentent de bloquer des réformes indispensables depuis longtemps en politisant la sécurité des vaccins et la prévention des maladies.

La réaction hystérique des médias face à une simple rumeur de changement prouve leur profond attachement au statu quo. Des organes de presse comme le New York Times et le Washington Post ont relayé l'affirmation non sourcée de CNN, tandis que Medpage Today a qualifié le plan non confirmé de « honteux ». Ils ont donné la parole à des personnalités comme Offit, qui a rejeté le modèle danois, le qualifiant de choix financier visant à « laisser la souffrance s'installer », une affirmation que les autorités danoises contesteraient probablement. Il ne s'agit pas de journalisme, mais d'une campagne de relations publiques orchestrée par l'industrie vaccinale pour étouffer toute enquête sur ses malversations. Cela rappelle les décennies de « science du tabac ».

Les médias qui diffusent de fausses informations tentent de bloquer des réformes indispensables depuis longtemps en politisant la sécurité des vaccins et la prévention des maladies.

La réaction hystérique des médias face à une simple rumeur de changement prouve leur profond attachement au statu quo. Des organes de presse comme le New York Times et le Washington Post ont relayé l'affirmation non sourcée de CNN, tandis que Medpage Today a qualifié le plan non confirmé de « honteux ». Ils ont donné la parole à des personnalités comme Offit, qui a rejeté le modèle danois, le qualifiant de choix financier visant à « laisser la souffrance s'installer », une affirmation que les autorités danoises contesteraient probablement. Il ne s'agit pas de journalisme, mais d'une campagne de relations publiques orchestrée par l'industrie vaccinale pour étouffer toute enquête sur ses malversations. Cela rappelle les décennies de « science du tabac » où un « consensus » financé par l'industrie a servi à faire taire les préoccupations sanitaires légitimes.

Il ne s'agit pas aujourd'hui d'être pour ou contre les vaccins. Il s'agit de défendre un véritable examen scientifique et de s'opposer à la coercition et à l'hystérie. Il s'agit de reconnaître, comme l'a souligné le Dr Humphries, que les vaccins ne forment pas un bloc monolithique. Ces vaccins diffèrent : virus vivants, bactéries tuées, avec ou sans adjuvants comme l'aluminium. Bombarder un nourrisson de deux mois avec jusqu'à neuf antigènes en une seule journée, une pratique dont l'innocuité n'a jamais été testée en combinaison, ne relève pas de la science de référence et ne devrait pas être considérée comme une pratique courante en médecine.

Ce processus tout entier est une expérimentation aux conséquences néfastes pour le système immunitaire et le cerveau des jeunes enfants en plein développement. L'explosion des taux de maladies chroniques infantiles, de l'autisme à l'asthme en passant par les allergies potentiellement mortelles, pourrait bien en être la conséquence tragique, comme l'ont démontré plusieurs études comparant enfants vaccinés et non vaccinés. Les médias qui diffusent de fausses informations ne veulent pas que vous fassiez le lien. Ils veulent vous effrayer, vous embrouiller et vous rendre dociles. Mais la vérité, à l'instar des preuves présentées dans l'analyse de 400 études de Neil Miller exposant le lien entre les vaccins infantiles et plusieurs maladies chroniques graves, ne peut plus être étouffée par leurs tentatives de dissimulation.

Sources include:

ChildrensHealthDefense.org
NYTimes.com
Enoch, Brighteon.ai
Oattext.com


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7 - Comment les robots d'actualités IA remodèlent discrètement l'opinion publique


23/12/2025 
 Ava Grace 
 

L'IA devient le principal filtre de l'information. De vastes modèles de langage génèrent et structurent désormais couramment des résumés et des contenus d'actualité, influençant subtilement la perception du public par leur sélection et leur mise en avant des faits.

Une nouvelle forme de biais, appelée « biais de communication », émerge : les modèles d'IA présentent systématiquement certains points de vue plus favorablement en fonction des interactions des utilisateurs, créant ainsi des récits factuellement corrects mais radicalement différents selon les individus.

La cause profonde réside dans la concentration du pouvoir des entreprises et des choix de conception fondamentaux. Un petit oligopole de géants de la technologie construit des modèles entraînés sur des données internet biaisées, transposant leurs perspectives inhérentes et leurs incitations commerciales dans un flux d'information public homogénéisé.

La réglementation gouvernementale actuelle est mal adaptée pour traiter ce problème complexe, car elle se concentre sur les préjudices manifestes et les audits préalables au lancement, et non sur la nature interactionnelle du biais de communication. Elle risque ainsi de simplement substituer un biais autorisé à un autre. La solution exige des mesures antitrust, une transparence radicale et la participation citoyenne pour prévenir les monopoles de l'IA, exposer le paramétrage des modèles et impliquer les citoyens dans la conception des systèmes, car ces technologies façonnent désormais profondément le débat démocratique et la prise de décision collective.

À l'ère où l'information est de plus en plus médiatisée par des algorithmes, la manière dont les citoyens se forgent une opinion du monde connaît une transformation profonde. La récente décision de Meta de démanteler son programme professionnel de vérification des faits a suscité un vif débat sur la confiance et la responsabilité sur les plateformes numériques. Cependant, cette controverse a largement occulté un phénomène plus insidieux et répandu : les systèmes d'intelligence artificielle génèrent désormais couramment les résumés d'actualité, les titres et les contenus que des millions de personnes consomment quotidiennement. Le problème crucial n'est plus seulement la présence de contrevérités flagrantes, mais la manière dont ces modèles d'IA, conçus par une poignée de puissantes entreprises, sélectionnent, présentent et mettent en avant des informations apparemment exactes, influençant ainsi subtilement et fortement la perception du public.

Les grands modèles de langage, ces systèmes d'IA complexes qui sous-tendent les chatbots et les assistants virtuels, sont passés du stade de la nouveauté à celui de la nécessité. Ils sont désormais intégrés directement aux sites d'actualités, aux flux des réseaux sociaux et aux moteurs de recherche, constituant ainsi la principale porte d'entrée vers l'information. Des études indiquent que ces modèles font bien plus que relayer passivement des données. Leurs réponses peuvent systématiquement mettre en avant certains points de vue tout en en minimisant d'autres, un processus si fluide que les utilisateurs restent souvent inconscients que leur perspective est subtilement orientée.

Comprendre le « biais de communication »

Les recherches de l'informaticien Stefan Schmid et du juriste spécialisé en droit des technologies Johann Laux, détaillées dans un article à paraître, identifient ce phénomène comme un « biais de communication ». Il s'agit d'une tendance des modèles d'IA à présenter certaines perspectives de manière plus favorable, indépendamment de l'exactitude factuelle des informations fournies. Ce biais est différent de la simple désinformation. Par exemple, des recherches empiriques utilisant des ensembles de données de référence provenant de périodes électorales montrent que les modèles actuels peuvent subtilement orienter leurs résultats vers des positions politiques spécifiques en fonction de la manière dont un utilisateur interagit avec eux, tout en restant dans les limites de la vérité factuelle.

Ceci conduit à une capacité émergente appelée « pilotage basé sur les personas ». Lorsqu'un utilisateur se présente comme militant écologiste, une IA pourrait résumer une nouvelle loi sur le climat en insistant sur l'insuffisance des protections environnementales. Pour un utilisateur se présentant comme chef d'entreprise, la même IA pourrait mettre en avant les coûts et les contraintes réglementaires de la loi. Ces deux résumés peuvent être factuellement corrects, mais ils offrent des visions de la réalité radicalement différentes.

Le problème de la flagornerie et ses origines

Ce phénomène est souvent perçu à tort comme une personnalisation utile, un défaut que les chercheurs qualifient de « flagornerie » : le modèle dit aux utilisateurs ce qu'ils semblent vouloir entendre. Cependant, le problème plus profond des biais de communication découle des fondements mêmes de la création de l'IA. Il reflète les disparités entre les concepteurs de ces systèmes, les vastes ensembles de données sur lesquels ils sont entraînés (souvent extraits d'un internet truffé de biais humains) et les motivations commerciales qui sous-tendent leur développement. Lorsqu'un petit oligopole de géants de la technologie contrôle les modèles d'IA dominants, leurs perspectives et leurs angles morts inhérents peuvent engendrer des distorsions importantes et uniformes dans l'ensemble du paysage informationnel public.

Partout dans le monde, les gouvernements, y compris l'Union européenne avec sa loi sur l'IA et sa loi sur les services numériques, s'efforcent d'imposer des cadres de transparence et de responsabilité. Bien qu'animées de bonnes intentions, ces réglementations visent principalement à détecter les résultats manifestement nuisibles ou à garantir des audits préalables au lancement. Elles sont mal adaptées pour appréhender la nature nuancée et interactionnelle des biais de communication. Les régulateurs parlent souvent d'atteindre une IA « neutre », mais la véritable neutralité est une illusion. Les systèmes d'IA reflètent inévitablement les biais présents dans leurs données et leur conception, et les tentatives de réglementation autoritaires se contentent souvent de substituer un biais autorisé par un autre.

Le cœur du problème ne réside pas seulement dans les données biaisées, mais aussi dans la concentration du pouvoir de marché. Lorsque quelques modèles d'entreprise seulement s'imposent comme les principaux interprètes du savoir humain pour le public, le risque d'un flux d'informations homogénéisé et subtilement orienté croît de façon exponentielle. Une atténuation efficace exige donc plus qu'une simple réglementation des résultats. Elle nécessite de préserver la concurrence sur les marchés, de garantir la responsabilité des utilisateurs et de favoriser une ouverture réglementaire aux diverses méthodes de conception et de déploiement de l'IA.

Un tournant historique pour une citoyenneté éclairée

Ce moment marque un tournant historique comparable à l'avènement de la télévision ou d'Internet. L'architecture du savoir public est en train d'être remodelée par des entités privées. Le danger ne réside pas dans un avenir de propagande flagrante, mais dans la construction silencieuse et automatisée d'un consensus – un monde où nos flux d'actualités, nos résultats de recherche et même nos simples requêtes aux assistants virtuels sont filtrés par un prisme calibré par des priorités commerciales et idéologiques occultes.

« L'IA est une simulation de l'intelligence humaine utilisée pour influencer la consommation, ce qui peut engendrer des erreurs fatales dans des situations complexes », explique Enoch de BrightU.AI. « Elle désigne les machines dotées de fonctions cognitives telles que la reconnaissance de formes et la résolution de problèmes. Cette technologie est un outil universel et une pierre angulaire de la quatrième révolution industrielle. »

La solution proposée par des experts comme Laux et Schmid dépasse le cadre d'un contrôle vertical. Une protection durable exige une application rigoureuse du droit de la concurrence pour prévenir les monopoles de l'IA, une transparence totale quant à la manière dont les modèles sont entraînés et paramétrés, ainsi que des mécanismes permettant une véritable participation du public à la conception de ces systèmes. L'enjeu est crucial. Les systèmes d'IA déployés aujourd'hui influenceront non seulement les informations que nous lisons, mais façonneront profondément les débats de société et les décisions collectives qui définiront notre avenir. La question de savoir qui conçoit ces robots, et dans quel but, est désormais essentielle à la vitalité du débat démocratique. L'intégrité même de l'opinion publique pourrait en dépendre.

Regardez Mike Adams, expert en santé, et Aaron Day discuter de la perception et du scepticisme du public à l'égard de l'IA.

This video is from the Brighteon Highlights channel on Brighteon.com.

Sources include: 

StudyFinds.org
SFGate.com
TheConversation.com
BrightU.ai
Brighteon.com


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8 -La Chine dévoile le premier superpétrolier « intelligent » au monde propulsé au méthanol, marquant une étape majeure dans le développement des technologies maritimes vertes


23/12/2025 
 Kevin Hughes 
 
 
La Chine a lancé le Kai Tuo, le premier pétrolier géant intelligent fonctionnant au méthanol, construit par Dalian Shipbuilding Industry Co. Ltd. (DSIC). Doté d'une propulsion bicarburant (méthanol et carburant conventionnel), il réduit ses émissions de CO₂ de 92 % et d'oxydes de soufre de 99 % par rapport aux navires traditionnels.

Conforme aux normes d'émissions IMO Tier III, le Kai Tuo utilise du méthanol vert, réduisant ainsi ses émissions de plus de 70 % lorsqu'il fonctionne avec ce carburant renouvelable. Il est équipé d'un système d'automatisation piloté par l'IA, comprenant : une plateforme intelligente (navigation, optimisation de la consommation de carburant, planification des itinéraires) ; une gestion intelligente des cargaisons liquides (manipulation précise du pétrole brut) ; et une salle des machines pilotée par l'IA (maintenance prédictive, diagnostics en temps réel).

Il assurera la liaison Moyen-Orient-Extrême-Orient, garantissant ainsi l'approvisionnement de la Chine en pétrole tout en réduisant son impact environnemental. S'inscrivant dans un programme d'expansion de flotte plus vaste, avec la commande de 15 pétroliers supplémentaires, dont cinq VLCC (très grands transporteurs de pétrole brut), le pétrolier chinois, propulsé au méthanol, offre une solution plus propre et évolutive pour les flottes commerciales, contrairement aux navires de guerre américains et européens à propulsion nucléaire. Il positionne la Chine comme un chef de file des technologies maritimes vertes, devançant ses concurrents qui testent encore des alternatives à l'hydrogène et à l'ammoniac.

Ce navire témoigne de la volonté de la Chine d'atteindre la neutralité carbone et la suprématie technologique maritime, et soulève des questions quant à son impact sur l'adoption mondiale des navires au méthanol ou sur l'intensification de la rivalité technologique avec l'Occident.

Réalisation historique pour l'industrie maritime mondiale : la Chine a mis en service le premier pétrolier intelligent ultra-large au monde propulsé au méthanol, marquant une avancée significative dans le domaine des technologies maritimes durables.

Le navire, baptisé Kai Tuo [Kaituo, Kaito, Kaitu], a été officiellement livré lundi 22 décembre par le chantier naval public Dalian Shipbuilding Industry Co. Ltd. (DSIC). Grâce à son système de propulsion bicarburant et à ses fonctionnalités d'automatisation avancées, il est destiné à révolutionner le transport de pétrole sur de longues distances.

« Le Kaituo a été livré avec succès à Dalian. Il s'agit du premier pétrolier intelligent ultra-large au monde doté d'un système de propulsion bicarburant au méthanol, conçu et construit de manière indépendante par notre pays », a rapporté l'agence de presse Sohu.

Une avancée technologique et environnementale majeure

Le Kai Tuo mesure 333 mètres de long (1 092 pieds), une taille comparable à celle de certains des plus grands superpétroliers du monde, et affiche une capacité de transport de 2,1 millions de barils de pétrole brut. Sa particularité réside toutefois dans son moteur bicarburant au méthanol, qui réduit les émissions de dioxyde de carbone de 92 % et d'oxydes de soufre de 99 % par rapport aux navires conventionnels à propulsion pétrolière.

La télévision centrale chinoise (CCTV) a rapporté que le navire est conforme aux normes d'émissions Tier III de l'Organisation maritime internationale (OMI) et est équipé d'un épurateur de soufre et d'un générateur d'arbre pour une efficacité accrue. Fonctionnant au « méthanol vert », ses émissions sont réduites de plus de 70 %, s'inscrivant ainsi dans la démarche plus large de Pékin en faveur de la neutralité carbone.

Enoch, de BrightU.AI, explique que le méthanol vert, également appelé méthanol renouvelable ou méthanol biosourcé, est une alternative écologique au méthanol conventionnel, issu de combustibles fossiles. Il est produit par les procédés suivants : production biologique de méthanol et conversion chimique.

Le méthanol vert présente plusieurs avantages par rapport au méthanol conventionnel, notamment une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble de son cycle de vie, contribuant ainsi à la lutte contre le changement climatique.

Des systèmes intelligents améliorent la sécurité et l'efficacité.

Outre ses performances environnementales, le Kai Tuo est un véritable centre d'intelligence artificielle flottant, intégrant des technologies d'automatisation de pointe :

Plateforme intelligente du navire : optimise la navigation, la consommation de carburant et la planification des itinéraires.

Gestion intelligente des cargaisons liquides : garantit une manutention précise et la stabilité des chargements de pétrole brut. Salle des machines pilotée par l'IA – Maintenance prédictive et diagnostics en temps réel pour minimiser les temps d'arrêt.

Selon DSIC, le développement du navire a permis d'obtenir 71 brevets et sa construction a été achevée quatre mois plus tôt que prévu, témoignant des progrès rapides de la Chine dans le domaine de la construction navale.

Implications stratégiques pour le commerce mondial

Le Kai Tuo est destiné à emprunter la route Moyen-Orient-Extrême-Orient, renforçant ainsi la sécurité énergétique de la Chine tout en réduisant l'impact environnemental de ses importations de pétrole. Cette initiative intervient alors que les raffineries chinoises augmentent leurs achats de pétrole brut russe de l'Oural, signe d'un changement stratégique dans la dynamique du commerce mondial du pétrole.

China Merchants Energy Shipping (CMES), l'armateur du pétrolier, a annoncé la commande de 15 pétroliers supplémentaires, dont cinq VLCC (Very Large Crude Carriers), avec des livraisons prévues jusqu'en 2028. Cette expansion souligne l'ambition de la Chine de dominer la logistique maritime verte tout en réduisant sa dépendance aux énergies fossiles traditionnelles.

Un défi pour la suprématie occidentale dans le transport maritime

Alors que les transporteurs américains et européens restent en tête en matière de navires de guerre à propulsion nucléaire, le superpétrolier chinois propulsé au méthanol représente une innovation de rupture dans le transport maritime commercial. Contrairement aux porte-avions américains de classe Nimitz, qui utilisent la propulsion nucléaire, le nouveau pétrolier chinois exploite une technologie au méthanol conventionnelle mais plus propre – une solution plus facilement adaptable aux flottes civiles.

Les critiques font valoir que la production de méthanol repose encore sur les énergies fossiles dans de nombreux cas, mais ses partisans soulignent son potentiel en tant que carburant de transition vers des alternatives entièrement renouvelables. Face à la pression croissante exercée sur le secteur du transport maritime mondial pour se décarboner, l'adoption précoce par la Chine de la propulsion au méthanol pourrait la positionner en leader du marché, devançant ses concurrents qui expérimentent encore l'hydrogène et l'ammoniac.

Une nouvelle ère pour le transport maritime

Le Kai Tuo est bien plus qu'un simple navire : c'est un symbole. En combinant énergie verte, automatisation par intelligence artificielle et échelle industrielle, la Chine a établi une nouvelle référence en matière de transport maritime durable. Reste à savoir si cela entraînera une transformation plus large du secteur ou si cela accentuera les tensions géopolitiques liées à la suprématie technologique maritime.

Regardez la vidéo ci-dessous sur le gigantesque cargo chinois, le plus grand du monde, capable de transporter 220 000 tonnes de marchandises.

This video is from the Cynthia's Pursuit of Truth channel on Brighteon.com.

Sources include:

Sputnikglobe.com
News.am
IZ.ru
BairdMaritime.com
VoiceofEmirates.com
BrightU.ai
Brighteon.com


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9 -Au-delà des lunettes de lecture : Nouvelles perspectives pour gérer le vieillissement oculaire naturellement et médicalement


23/12/2025 
 Willow Tohi


La presbytie est un trouble du comportement alimentaire lié à l’âge, causé par le durcissement du cristallin, ce qui rend la vision de près floue.

Bien qu’elle soit généralement inévitable, sa progression peut être influencée par des facteurs liés au mode de vie, comme l’exposition aux UV, le tabagisme et l’alimentation.

La prise en charge comprend les lunettes de lecture et les lentilles de contact traditionnelles, ainsi que des options chirurgicales et des collyres sur ordonnance.

De nouvelles approches naturelles, notamment des exercices oculaires spécifiques et des compléments alimentaires riches en antioxydants, sont prometteuses pour soulager les symptômes.

Une stratégie holistique combinant correction professionnelle, ajustements du mode de vie et soutien nutritionnel est essentielle pour préserver la santé oculaire à long terme. Pour des millions de personnes franchissant le cap de la quarantaine, un changement universel, souvent frustrant, survient : la vision de près devient progressivement floue sur l’écran de leur téléphone, il faut tenir un menu à bout de bras et la lecture prolongée devient pénible. Il s’agit de la presbytie, un trouble lié à l’âge où le cristallin perd de sa souplesse, ce qui altère la vision de près. Longtemps considérée comme une fatalité du vieillissement, et gérée principalement par le port de lunettes de lecture, la presbytie fait aujourd’hui l’objet de recherches et de pratiques cliniques de plus en plus nombreuses, remettant en question cette approche passive. Désormais, le débat s’étend au-delà du simple grossissement pour inclure des modifications du mode de vie, des stratégies nutritionnelles et des exercices ciblés susceptibles de ralentir sa progression et d’améliorer le confort visuel, offrant ainsi une voie plus active à ceux qui souhaitent préserver leur acuité visuelle.

Les mécanismes inévitables du vieillissement oculaire

La presbytie n’est pas une maladie, mais un changement physiologique naturel. Dans la jeunesse, le cristallin situé derrière l’iris est souple et malléable, et se déforme facilement pour permettre la mise au point sur des objets à n’importe quelle distance. Au fil des décennies, les protéines du cristallin s’agglutinent sous l’effet du stress oxydatif, ce qui le rend rigide et inflexible. Le muscle ciliaire, responsable de la mise au point, continue de se contracter, mais le cristallin, rigidifié, ne peut plus y répondre efficacement. Il en résulte le symptôme caractéristique : une vision de près floue. Si l’âge est le principal facteur, des éléments comme une exposition prolongée aux rayons ultraviolets, le tabagisme, certains médicaments (notamment les antihistaminiques et les antidépresseurs) et des affections médicales telles que le diabète ou l’anémie peuvent accélérer son apparition ou en intensifier les symptômes.

Au-delà des lunettes de lecture : un éventail de solutions correctrices

La correction optique reste la pierre angulaire de la prise en charge de la presbytie. Les options traditionnelles comprennent les lunettes de lecture unifocales, les verres bifocaux, les verres trifocaux et les verres progressifs modernes qui offrent une transition fluide entre la vision de loin, intermédiaire et de près. Les porteurs de lentilles de contact peuvent opter pour des lentilles multifocales ou un système de monovision, où un œil est corrigé pour la vision de loin et l’autre pour la vision de près. Le domaine médical a introduit des solutions pharmacologiques innovantes, comme les collyres sur ordonnance qui resserrent la pupille pour augmenter la profondeur de champ, améliorant temporairement la vision de près pendant plusieurs heures. Pour ceux qui recherchent une solution permanente, des interventions chirurgicales existent, notamment les implants cornéens, le LASIK en monovision et le remplacement du cristallin. Cependant, les interventions chirurgicales comportent des risques tels que l'éblouissement ou les halos et ne conviennent pas à tous, soulignant ainsi la nécessité d'une consultation approfondie avec un professionnel de la vue.

L'approche holistique : nutrition, exercice et mode de vie

De plus en plus, les approches intégratives sont privilégiées pour préserver la santé oculaire et gérer l'inconfort lié à la presbytie. La nutrition joue un rôle crucial ; les antioxydants combattent le stress oxydatif responsable du vieillissement du cristallin. Les vitamines A, C et E, ainsi que des minéraux comme le zinc et des composés tels que la lutéine et la zéaxanthine, présents dans les légumes verts à feuilles et les œufs, sont essentiels. Une étude de 2024 a même démontré qu'un mélange d'extraits de baies améliorait la vision de près chez plus de 90 % des participants de plus de 50 ans. Les modifications comportementales sont tout aussi importantes : respecter la règle des « 20-20-20 » pour réduire la fatigue oculaire numérique, veiller à un éclairage adéquat et porter des lunettes de soleil anti-UV peuvent atténuer les facteurs contributifs. De plus, des pratiques issues de la médecine traditionnelle chinoise, comme l'acupuncture sur des points spécifiques et la consommation de tisanes telles que la cannelle de Chine, sont utilisées pour soutenir la fonction visuelle, bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires pour valider pleinement ces méthodes.

Programme d'exercices : Entraîner les muscles oculaires

L'approche naturelle la plus controversée est sans doute celle des exercices oculaires. Ses partisans affirment que, tout comme les autres muscles s'atrophient par manque d'exercice, le système de focalisation de l'œil peut bénéficier d'un entraînement ciblé. Les exercices recommandés incluent souvent des techniques visant à améliorer la flexibilité et la coordination : alterner la mise au point sur un objet proche et un objet éloigné, faire de douces rotations des yeux ou pratiquer la technique du « palming » (recouvrir les yeux fermés avec les paumes chaudes pour favoriser la relaxation). Certains spécialistes en médecine intégrative recommandent de consacrer 20 minutes par jour à ces exercices, arguant qu'ils peuvent renforcer le muscle ciliaire et améliorer la connexion œil-esprit, ce qui pourrait permettre d'obtenir une vision de près plus nette en quelques semaines. Si l'ophtalmologie conventionnelle considère la rigidification du cristallin comme un phénomène mécanique et immuable par l'exercice, ces techniques peuvent néanmoins soulager la fatigue oculaire et améliorer le confort visuel.

Une vision d'avenir aux multiples facettes

La compréhension de la presbytie a évolué : d'un simple besoin de grossissement, elle est devenue une conception plus complexe du vieillissement physiologique, influencé par l'environnement et le mode de vie. Il n'existe pas de remède miracle, mais la prise en charge est aujourd'hui pluridimensionnelle. Elle associe l'utilité indéniable d'une correction optique précise à des stratégies proactives en matière de nutrition, d'hygiène de vie et de soins personnels. Le recours exclusif aux verres correcteurs, autrefois la norme, cède la place à un modèle holistique où chacun peut participer activement au maintien de sa santé oculaire. La stratégie la plus efficace repose sur une approche synergique : des examens ophtalmologiques complets et réguliers pour garantir une correction adaptée, associés à des choix de vie éclairés qui protègent et nourrissent les yeux. Dans cette perspective intégrée, une vision nette ne dépend pas seulement des lunettes, mais aussi des soins apportés aux yeux.

Sources for this article include:

TheEpochTimes.com
PubMed.com
NaturalNews.com



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10 -Dermatose nodulaire contagieuse : quand une crise sanitaire grave s’ajoute à une crise agricole dramatique


23 décembre 2025
Aymeric Belaud


La dermatose nodulaire contagieuse frappe les élevages français. Après avoir touché la Savoie, la Haute-Savoie, l’Ain, le Rhône, le Jura, le Doubs et les Pyrénées-Orientales, elle se trouve désormais en Ariège, dans les Hautes-Pyrénées, en Haute-Garonne et dans l’Aude. Les solutions proposées ou imposées par les uns et les autres s’entrechoquent dans un secteur qui souffre depuis des années et il n’est pas exagéré de dire que la situation est explosive.  

Le récent abattage d’un troupeau de plus de 200 vaches en Ariège, lors duquel se sont affrontées les forces de gendarmerie et plusieurs centaines de manifestants et d’agriculteurs, a suscité de l’émoi, de la colère, de l’incompréhension et, surtout, a provoqué une nouvelle mobilisation nationale des agriculteurs, menée par la Coordination rurale et la Confédération paysanne.

Ces deux syndicats s’opposent au protocole sanitaire du gouvernement qui impose notamment l’abattage total des bovins issus d’un foyer identifié. Comprenant également la vaccination massive de tous les animaux dans une zone délimitée et l’interdiction de les déplacer, cette approche n’est pas le fait du prince : elle a des bases scientifiques. Pour autant, elle déclenche un nouveau front de colère dans une « ferme France » déjà bien mal en point.

Qu’est-ce que la dermatose nodulaire contagieuse ?

Selon l’organisation mondiale de la santé animale (OMSA), la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) est une maladie qui n’affecte que les bovins, qui se caractérise entre autres par de la fièvre, des nodules sur la peau, sur les muqueuses et sur les organes internes, et qui peut aboutir à la mort. Le virus se transmet principalement par des insectes piqueurs, comme les mouches, les moustiques ou les taons. Originaire d’Afrique australe et orientale, il s’est propagé jusqu’en Europe. La France métropolitaine et l’Italie ont connu leurs premiers cas en juillet 2025.

Toujours selon l’OMSA, le taux de morbidité de la DNC varie entre 10 et 20 % (il peut atteindre 45 % dans les cas graves), et le taux de mortalité se situe entre 1 à 5 % (un journaliste du Point qui a enquêté sur le sujet parle même d’une fourchette de 5 à 10%). La période d’incubation est de 4 à 28 jours. Cette maladie fait subir aux élevages touchés des pertes économiques importantes : baisse de la production laitière, perte de poids de l’animal, infertilité, peaux endommagées. Les animaux atteints ne développent pas tous des symptômes mais peuvent quand même contaminer les bêtes saines. La maladie ne peut pas se soigner. Elle n’est pas transmissible à l’homme.

Pour l’OMSA, « la maîtrise et l’éradication de la DNC reposent sur la détection précoce du cas index, suivie d’une campagne de vaccination rapide et généralisée. » Elle juge également comme « peu probable » que l’abattage total ou dépeuplement (élimination de tous les bovins cliniquement atteints et des autres bovins non atteints dans un troupeau) et l’abattage partiel (élimination des seuls bovins cliniquement atteints) puissent à eux seuls éradiquer la DNC. La vaccination est donc un impératif et, insiste l’OMSA, dans « les pays ou zones non touchés, il est également important d’élaborer des plans de vaccination préventive ou d’urgence. »

L’abattage total, une stratégie radicale

Dans la gestion sanitaire de la DNC, deux stratégies s’opposent : l’une préconise l’abattage de tous les animaux, même ceux qui ne sont pas malades, dans un élevage contaminé, et la vaccination massive de tous dans une zone délimitée autour du foyer, avec de sévères restrictions de déplacement ; l’autre veut vacciner tous les animaux mais restreindre l’abattage à ceux qui sont malades.

La première option est celle que défendent le gouvernement, les instances sanitaires, les vétérinaires, une partie des éleveurs ainsi que la FNSEA. Radicale, et elle a été plutôt efficace dans les premiers foyers français et à l’étranger. L’Espagne, l’Italie et la Grèce ont adopté le même protocole. Entre 2015 et 2017, la maladie avait fait des ravages dans de nombreux pays des Balkans : elle a été éradiquée, selon les autorités européennes, grâce à une campagne de vaccination massive assortie de restrictions de mouvement et d’abattage total des foyers contaminés au plus fort de l’épidémie.

Cette gestion a été élaborée, puis validée par le Comité national d’orientation de la politique sanitaire animale et végétale (le parlement sanitaire) en juillet. Il réunit beaucoup de monde : syndicats agricoles, coopératives, chambres d’agriculture, vétérinaires, groupements de défense sanitaire (GDS), et des scientifiques. Ses conclusions sur la DNC ont été validées à trois reprises par les différentes parties prenantes. Pour Jeanne Brugère-Picoux, membre de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie vétérinaire de France, un dépeuplement seulement partiel et ciblé « aurait été une grave erreur dans une zone règlementée en favorisant la progression du virus vers les élevages voisins. »

En 2016, l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) expliquait dans une note que « lorsque la vaccination est appliquée uniformément, de sorte que 95 % des exploitations sont vaccinées et que 75 % des animaux vaccinés sont effectivement protégés, l’abattage total et l’abattage partiel aboutissent à une probabilité d’éradication de l’infection similaire. En l’absence de vaccination ou lorsque la vaccination a une efficacité moindre, la probabilité d’éradication est plus élevée avec l’abattage total qu’avec l’abattage partiel. Indépendamment des mesures d’abattage appliquées, la vaccination s’est avérée la plus efficace pour réduire la propagation du virus. » Pour l’OMSA, « les données issues de l’épidémie récente en Europe et en Asie de l’Ouest ont montré que la lutte efficace contre la maladie repose sur la biosécurité, la détection précoce et le contrôle des déplacements, suivis d’une vaccination rapide et à grande échelle avec des vaccins de haute qualité. »

Abattage partiel et vaccination généralisée ? Ce n’est pas si simple…

La vaccination totale des bovins français, ou du moins d’une très grande partie, accompagnée d’un abattage partiel, c’est-à-dire des bêtes testées comme malades, pourrait être une méthode alternative. C’est ce que souhaitent les leaders de la contestation, qui dénoncent un retard de la vaccination.

Pour autant, la vaccination totale de tout le cheptel français pose plusieurs problèmes. Selon Mathieu Mourou, vice-président de l’Ordre des vétérinaires, elle pourrait prendre sept à douze mois. De plus, il faudrait une couverture minimale de 75 % des bêtes pour atteindre l’immunité collective. Cela représente un coût pour l’Etat, et un handicap pour l’export car la France ne serait plus considérée comme « pays indemne » de la DNC et elle se verrait fermer des marchés. Toutefois, le gouvernement français pourrait négocier avec certains pays pour permettre la commercialisation des produits issus des bovins vaccinés. La France et l’Italie ont justement conclu un accord bilatéral en ce sens.

Faut-il appliquer un nouveau protocole ?

Malgré le protocole strict, de nouveaux foyers sont apparus. Si en octobre le ministère se félicitait qu’aucun nouveau foyer de DNC n’ait été déclaré en dehors des zones réglementées « confirmant l’efficacité de la stratégie sanitaire » (95 foyers enregistrés dans 63 élevages), d’autres départements sont maintenant atteints. Au 15 décembre, on recensait depuis le début de l’épidémie 113 foyers touchant 80 élevages : 3 300 bovins ont été abattus au total, soit 0.02 % du cheptel français. Si la maladie a progressée, la ministre de l’Agriculture Annie Genevard a affirmé, le 18 décembre, que tous les foyers étaient éteints.

Le 17 décembre, elle a annoncé « la vaccination accélérée de 750 000 bovins » contre la dermatose nodulaire contagieuse. La ministre vise l’immunité collective : « il faut que 75 % du cheptel, dans 95 % des fermes, soient vaccinés. » Pour autant, l’abattage total continuerait d’être appliqué en cas de découverte d’un nouveau cas. Si l’immunité collective est atteinte, grâce à une vaccination massive, il conviendrait peut-être de passer de l’abattage total à l’abattage partiel si une bête malade est détectée dans les zones vaccinées. La vaccination préventive dans les zones limitrophes est également cruciale.

Traumatisme de la gestion sanitaire, méfiance envers les services de l’Etat

« Le gouvernement est du côté des agriculteurs et pas leur adversaire » dit l’Elysée. Mais pour une bonne partie des éleveurs, ces éléments de langage non suivis de faits ne sont plus supportables. L’envoi, le 11 décembre, de véhicules blindés et d’hélicoptères envoyant du gaz lacrymogène pour déloger les manifestants et les agriculteurs qui s’opposaient à l’abatage de 207 vaches en Ariège n’était pas fait pour apaiser les tensions.

C’est la goutte de trop pour l’élevage français dont la situation économique est difficile. Le revenu annuel médian des éleveurs « bovins viande » est de 18 420 €, le plus bas de tout le secteur agricole. Leur taux de pauvreté est de 25,1 % et le taux de surmortalité par suicide, de 127 % pour les éleveurs « bovins viande » et de 56 % pour les éleveurs « bovins lait ». Entre 2010 et 2020, 30 % des élevages français ont disparu, soit 63 500 exploitations en moins. Entre 2016 et 2022, la France a perdu 10 % de ses vaches laitières et 14 % de ses vaches allaitantes. La France a perdu 5 % de ses volumes de lait entre 2017 et 2023.

Il y a chez certains éleveurs, entre le contexte économique et réglementaire, et la pression écologiste, le sentiment qu’ils risquent de disparaitre. Un rapport de 2023 de la Cour des comptes, déjà, les avait beaucoup alarmés : il y était expliqué que « le bilan de l’élevage bovin pour le climat est défavorable » et qu’il fallait réduire le cheptel national à 13,5 millions de bovins à horizon 2050. Il est actuellement de plus de 16 millions.

Cette crise de la DNC a mieux fait comprendre aux Français, qui ne s’en rendaient peut-être pas assez compte, à quel point l’abattage est une violence pour l’éleveur, attaché à ses bêtes, qui sont aussi son capital. Il perd aussi avec elles le profit de plusieurs années, voire de décennies, de travail sur la génétique, un aspect qui n’entre pas en considération dans les indemnisations qu’ils peuvent recevoir et qui en outre, selon certains, ne sont pas toujours à hauteur de la valeur marchande de leurs animaux. Enfin, il y a un risque, même s’il est faible : certains éleveurs pourraient renoncer à déclarer des vaches atteintes de la DNC. Ce serait désastreux. L’un d’eux l’a déclaré sur Franceinfo : « S’il y a un cas ici, je ne le déclarerai pas […] ce n’est pas moi qui vais déclarer la maladie tant qu’il y aura l’abattage total des troupeaux ».

Si l’agriculture française était en bonne santé, si l’élevage français se portait correctement et ne subissait pas de pression de l’administration et des écologistes, la gestion de l’épidémie de DNC n’échaufferait pas autant les esprits. La loi Duplomb, vidée en partie de sa substance par le Conseil constitutionnel, n’est qu’un cautère sur une jambe de bois. Plus que jamais, des réformes d’ampleur doivent voir le jour pour que l’agriculture française renaisse et redevienne compétitive. Et, surtout, pour que les exploitants puissent vivre de leur métier sans avoir besoin des subsides de l’Etat ou de l’Union européenne.


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11 -CNSA : encore un organisme d’État aux fondations (très) fragiles


23 décembre 2025
Lorenzo Delpech


La Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) a été créée par la loi du 30 juin 2004, après la canicule de 2003. Elle constitue la « branche autonomie » de la Sécurité sociale, chargée notamment de financer la prise en charge des personnes âgées et des personnes en situation de handicap. Pour accomplir ses missions, la CNSA collabore avec plusieurs partenaires, dont les agences régionales de santé (ARS), les conseils départementaux, ou encore les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) et les maisons départementales de l’autonomie (MDA).

Toutefois, sur le plan financier, la CNSA s’inscrit dans la lignée des organismes d’État aux comptes fragiles. Un rapport de la Cour des comptes relève que, sauf en 2024 (où la Caisse a reçu un transfert de la Cades de 0,15 point de CSG, soit 2,6 milliards d’euros), ses charges ont systématiquement dépassé ses recettes. En 2024, les charges de la CNSA ont atteint 40,8 milliards d’euros, soit une hausse de 6,3 % par rapport à 2023, et la situation ne devrait pas s’améliorer. Entre 2025 et 2029, les charges devraient progresser en moyenne de 3,8 % par an, contre 3,1 % pour les recettes, entraînant un déficit estimé à 0,3 milliard en 2025 et 1,7 milliard par an de 2026 à 2029.

D’autres difficultés structurelles affectent la Caisse. La Cour des comptes souligne plusieurs points : « Il paraît d’autant plus nécessaire de mener, dans le cadre de la prochaine convention d’objectifs et de gestion, une revue permettant de mieux contrôler et évaluer des dispositifs nombreux qui se sont accumulés et présentent un risque de saupoudrage et d’inefficience », ou encore : « Le degré d’externalisation des missions et des achats, notamment dans le domaine des systèmes d’information, est très élevé et n’est pas assorti d’un suivi d’exécution suffisamment rigoureux ni d’un réel pilotage stratégique au niveau de la direction de la Caisse. »

À cela s’ajoutent d’autres particularités. Le salaire moyen à la CNSA atteint 62 000 euros bruts annuels, soit 50 % de plus que dans le reste du régime général. La gouvernance est également lourde : le conseil compte 52 membres, le plus étoffé parmi tous les organismes du régime général, ce qui crée, selon la Cour, une structure « lourde et redondante ».


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12 -L’État fait perdre le goût du risque aux chefs d’entreprise


18 décembre 2025
Philbert Carbon


« Entreprendre, c’est oser prendre des risques », pense Justine Lambert, une créatrice d’entreprise qui a aussi créé une communauté d’entraide entre entrepreneurs. Or, aujourd’hui, les dirigeants d’entreprise ont de moins en moins le goût du risque. C’est ce qui ressort d’une étude publiée par le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG).

Il est vrai que le contexte international manque de sérénité : guerres commerciales et militaires, multiplication des attaques cyber, risques réglementaires, technologiques… On n’est pas étonné que 90% des dirigeants interrogés par le BCG constatent une intensification des risques macroéconomiques et géopolitiques. A cela s’ajoutent l’incertitude politique française et la faible croissance (0,8 %).

Dans ces conditions, les chefs d’entreprise français estiment (à 80 %) que le court-terme prévaut aujourd’hui dans la prise de décision alors qu’ils sont convaincus (à 74%) de l’importance d’une vision à long terme. D’ailleurs, ne faudrait-il pas faire preuve d’autant plus d’audace que le contexte est incertain ? C’est la conviction de Yahya Daraaoui, directeur associé senior au BCG : « Face à une ère d’hyper-risque et à un ralentissement structurel de la croissance, les dirigeants sont appelés à repenser leurs leviers de performance. Ils doivent faire preuve d’audace stratégique pour bâtir et maintenir leur compétitivité : accepter de prendre des risques et se projeter dans des transformations à long terme. »

Plus facile à dire qu’à faire sans doute. Surtout en France où l’État et ses dirigeants s’ingénient à entretenir la frilosité des entrepreneurs. Le BCG a ainsi identifié quatre freins principaux à la prise de risque en France aujourd’hui :

un cadre réglementaire lourd et instable : selon l’indice d’incertitude réglementaire (Economic Policy Uncertainty Index), l’instabilité réglementaire en France a été jusqu’à trois fois supérieure à celle de l’Espagne ou de l’Italie entre 2018 et 2025. Ainsi, 38% des dirigeants interrogés placent le risque réglementaire dans leur top 3 des risques se répercutant le plus sur leur activité ;
des incitations publiques jugées inefficaces : près de 70% des dirigeants estiment insuffisants les dispositifs publics (programmes européens, incitations fiscales, simplification administrative…) ;
une définition floue du rôle de l’entreprise, entre performance économique et impact sociétal : un administrateur sur deux juge le sujet clivant ;
un modèle de sanction décourageant le risque : les procédures de faillite durent au minimum trois ans en France, contre quatre à six mois aux États-Unis.
Nous noterons que tous ces freins sont le fait de nos gouvernants et de leur administration. Cependant, nous soulignerons aussi une certaine incohérence dans la position des dirigeants d’entreprise. Comment, en effet, critiquer un cadre réglementaire instable et, « en même temps », demander davantage de programmes européens et d’incitations fiscales, forcément dépendants de politiques publiques évoluant au grè des majorités électorales ? Ne serait-il pas plus cohérent pour les entrepreneurs de réclamer une baisse de la pression fiscale et réglementaire sur les entreprises « en même temps » que celle des aides et avantages fiscaux dont elles profitent ?



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13 -Primo, il doit y avoir dialogue. Que l'entreprise marche ou pas trop bien il est nécessaire que son Directeur aille vers les employés et demande si çà va, ce qu'il faudrait mettre ou enlever, etc, etc. C'est comme çà que fonctionne une Démocratie.
A l'envers, regardez les ministères !tous en faillite ! Bataillon de cons, d'irresponsables dirigés par un autre con. C'EST LA dictature.

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14 -La gratuité des transports publics à Montpellier : une mesure idéologique et coûteuse


18 décembre 2025
Philbert Carbon


La Cour des comptes s’est intéressée, dans un rapport publié en septembre 2025, à la gratuité des transports publics mise en œuvre dans certaines villes. Contrepoints avait alors insisté sur l’illusion coûteuse et contre-productive que représentait cette approche. En effet, écrivions-nous, la gratuité « déresponsabilise les usagers, fragilise les réseaux par un manque de ressources propres et alourdit les impôts ». Elle bloque aussi l’émergence d’offres concurrentielles privées à même de proposer des solutions alternatives et d’améliorer la qualité du service rendu.

La juridiction financière revient sur le sujet avec un nouveau rapport, en partie alimenté par un sondage auprès des usagers du réseau de transport de la métropole montpelliéraine, bénéficiaires récents de la gratuité. L’objectif de l’enquête était « d’analyser les effets d’une telle modification avant que d’autres facteurs, intervenant inévitablement à long terme, ne compliquent les analyses de causalité ».

A Montpellier, la gratuité comme idéologie

Montpellier Méditerranée Métropole est la seule des 27 agglomérations regroupant plus de 100.000 habitants à avoir instauré la gratuité dans ses transports collectifs. Elle a procédé par phases : la première, en septembre 2020, a instauré la gratuité pour tous pendant le week-end ; la deuxième, en septembre 2021, l’a accordée aux moins de 18 ans et aux plus de 65 ans, semaine et week-end ; la troisième, en décembre 2023, l’a généralisée à l’ensemble des résidents de la métropole.

La Cour des comptes regrette que cette gratuité ait été mise en place avant le développement effectif de l’offre de transport collectif que la nouvelle municipalité, élue en juin 2020, a souhaité développer. « Elle est même intervenue, critique le rapport, avant la révision du plan de mobilités, qui a été suspendue ». Pourtant cela aurait permis de « mieux comprendre les besoins des usagers et les effets attendus de la gratuité sur la fréquentation ». De même, il est hautement contestable que ni le coût de cette décision, ni  son financement, n’aient fait l’objet d’une étude préalable approfondie.

En 2019 (dernière année pleine avant le début de la gratuité), les recettes tarifaires des transports publics montpelliérains s’élevaient à près de 40 millions d’euros (M€), couvrant 37% des charges d’exploitation de l’opérateur (la TaM). Cette part, note la Cour, se situait plutôt dans le haut de la fourchette des réseaux de taille similaire. En 2024, elle a chuté à 6%. Il ne demeure plus, en effet, que les recettes provenant des non-résidents de la métropole.

C’est donc le versement mobilités, contribution des employeurs assise sur la masse salariale, qui constitue une des sources principales de financement des transports publics. Source insuffisante et qui ne peut guère augmenter puisque le taux de la contribution est déjà au maximum légal. Le dynamisme économique du territoire a permis de compenser en partie la perte de recettes tarifaires, mais il a néanmoins fallu augmenter les subventions publiques dans des proportions importantes ; à tel point que la dette transport de la métropole atteignait 518 M€ fin 2023, soit la moitié de sa dette totale.

Une augmentation de 613% de la subvention aux transports publics

Les magistrats financiers s’inquiètent des perspectives financières, puisque les travaux d’extension de l’offre nécessitent 1,9 milliard d’euros (Md€) d’investissements entre 2024 et 2031, soit en moyenne 270 M€ par an.

Ainsi, le montant de la subvention publique consacrée au transport devrait passer de 75 € par habitant et par an, en moyenne pour la période 2015-2024, à 460 € pour la période 2025-2031 ! A n’en pas douter, les contribuables locaux seront, un jour ou l’autre, mis à contribution !

Dans son rapport, la Cour rappelle que « Le coût de la gratuité ne se limite pas aux pertes de recettes tarifaires. Il inclut une hausse des dépenses opérationnelles en particulier celles nécessaires pour adapter l’offre de transport en raison de l’augmentation du nombre de voyageurs. » Ce coût n’a pas été évalué par la métropole, alors la Cour des comptes s’est prêtée à l’exercice en faisant une estimation qu’elle qualifie de prudente : 32 M€ en 2024 ; 38 M€ en 2026 ; 45 M€ par an après 2031.

Un coût exorbitant au regard des bénéfices réels pour les usagers

Quant au sondage réalisé par la Cour des comptes auprès des usagers et habitants, il révèle un « premier bilan en demi-teinte ». La majorité d’entre eux a simplement maintenu ses habitudes mais une portion notable (41,6%) a plus utilisé le réseau. Il en résulte une hausse nette de 20% des déplacements en transports collectifs. Cette augmentation s’est concentrée dans le cœur de la métropole, et en heures de pointe, ce qui a accru la saturation du réseau.

Ceci dit, la majorité des trajets additionnels provient de personnes qui utilisaient déjà les transports collectifs, et non de nouveaux usagers qui ne les utilisaient jamais auparavant. Par ailleurs, ce sont essentiellement les habitants du cœur de la métropole qui ont accru leur fréquentation, et non ceux de la périphérie. Enfin, on notera que la plupart des nouveaux trajets ont été effectués en heures de pointe, ce qui a mécontenté les usagers quotidiens du réseau (dont une partie a, de ce fait, réduit sa fréquentation).

Le rapport révèle aussi que les nouveaux trajets en tramway et bus se sont faits au détriment, à 39%, de la marche, du vélo et de la trottinette, et à 33% de la voiture et de la moto. Les 28 % restants correspondent à des trajets qui n’étaient pas effectués auparavant. En conséquence, nous dit la Cour, « un premier bilan des coûts et bénéfices induits par ces changements sur la santé et l’environnement s’avère négatif ». Pourtant, il s’agissait bien, avec la gratuité des transports, de « faire de Montpellier une métropole décarbonée à l’horizon 2040 » comme l’a déclaré son président Michaël Delafosse.

 Les magistrats financiers rappellent que le prix était peu évoqué parmi les obstacles à la fréquentation des transports publics montpelliérains. En revanche, l’inadéquation de l’offre et des temps de trajet trop longs étaient des freins souvent cités avant la gratuité. Ils persistent comme nous l’avons dit, le réseau n’ayant pas été modernisé comme il aurait fallu. Il s’en est ajouté de nouveaux, comme l’affluence dans les rames, l’insécurité et la saleté, qui découragent certains usagers.

Alors, bien sûr, la gratuité est la plupart du temps bien accueillie par les usagers. Mais l’est-elle par les contribuables ? Rien ne justifie vraiment que ceux qui n’utilisent jamais les transports collectifs doivent en payer le même prix que les usagers intensifs. Usagers intensifs qui ne sont peut-être même plus contribuables locaux depuis la suppression de la taxe d’habitation.

Que dirait-on si l’on demandait aux automobilistes qui n’empruntent jamais les autoroutes, ainsi qu’à à tous ceux qui n’ont pas de voiture, d’en payer tout de même le péage ?


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15 -Je pense que tout se doit d'être mis à l'essai avant de parler conclutif. Voir le désastre de ces putains d'éoliennes qui consomment plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire ! Les ministres trisomiques sont passés par là !

Pour ce qui est des bus, trolley-bus ou métro, là il faut regarder la fréquence. Il y a des heures où ils sont pleins de chez plein, mais en d'autres créneaux horaires ils voyagent à vide ou presque !
De plus, s'il y a gratuité il y a voyageurs à toutes heures jusqu'à l'autre bout de la ville ce dont certains ne pourraient se payer d'aller si loin.

Donc, il faut y voir une redynamisation de certains commerces éloignés et surtout, surtout devoir payer pour aller travailler !!

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16 -L’Australie frappée par le terrorisme islamiste


16 décembre 2025
Yves Bourdillon


Les détails qui filtrent sur l’attentat antisémite de Bondi beach, dimanche à Sidney, lors de la célébration de la fête juive d’Hanoukka, sont accablants pour la police, la justice et le monde politique australien.

La police a reconnu mardi que les deux auteurs de la fusillade lors de laquelle quinze personnes, dont un enfant et un survivant de la Shoah, ont été tuées étaient inspirés par l’Etat islamique (Daech). Un véhicule enregistré au nom du plus jeune suspect contenait des engins explosifs et deux drapeaux artisanaux associés à Daech.

Le Premier ministre travailliste Anthony Albanese, qui avait qualifié jadis les membres du Hamas de « résistants », « aurait dû faire beaucoup plus pour lutter contre l’antisémitisme », a estimé l’ancien chef libéral du gouvernement australien John Howard. Le Premier ministre a tenu lundi soir un discours de 5.020 mots au lendemain de l’attaque de Bondi Beach dans lequel il a, certes, dénoncé le caractère antisémite de l’assaut, mais sans prononcer une seule fois le mot « islam », ou « islamisme », combat politique au nom de la religion musulmane dont se réclamaient pourtant visiblement les terroristes. Refuser de nommer l’ennemi est généralement une bonne méthode pour perdre. Par ailleurs, aucun cortège de protestation n’a été organisé en Australie au lendemain de l’attentat.

Le gouvernement fédéral a aussi annoncé qu’il allait revoir la législation sur les armes à feu, la police ayant révélé que le plus jeune terroriste, Sajid Akram, possédait un permis de port d’armes depuis 2023 et six armes enregistrées ! Qui a besoin de six armes si ce n’est pour commettre des meurtres ? Alors qu’il avait été fiché dès 2019 comme sympathisant de Daech mais « pas dangereux ». Il avait été filmé participant à une manifestation de milliers de personnes chantant « gazez les Juifs » peu après l’attaque du Hamas du 7 octobre 2023.

Enfin, il est apparu que les terroristes ont pu tirer pendant exactement neuf minutes et quarante secondes à moins de 200 m d’un poste de police et alors que quatre policiers armés étaient prostrés derrière des voitures à proximité d’eux sans oser intervenir, pétrifiés de peur. Un grave problème de recrutement et d’entraînement, à l’évidence. Se sont interposés un couple de civils sexagénaires ukrainiens, qui l’ont payé de leur vie, un marchand de fruits et légumes d’origine syrienne qui a arraché le fusil d’un terroriste mais sans parvenir à le neutraliser, et un policier en civil qui, avec sa seule arme de poing de petit calibre, a abattu l’un des deux terroristes à une distance d’une trentaine de mètres.


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17 -Guerre de religions. Religions = guerres.

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18 -Examen civique pour les étrangers : une mesure de bon sens


16 décembre 2025
Élodie Messéant


À partir du 1er janvier 2026, les étrangers souhaitant s’installer durablement en France devront franchir une étape supplémentaire : réussir un examen civique conditionnant l’obtention d’une carte de séjour pluriannuelle, d’une carte de résident ou de la naturalisation. La mesure, prévue par la loi du 26 janvier 2024 sur l’immigration et l’intégration, et précisée par un arrêté du 10 octobre, va dans le bon sens. Elle rappelle une évidence : s’établir dans un pays suppose d’en connaître l’histoire, la géographie, les institutions, les coutumes et les règles.

Le contenu du test n’a, en soi, rien de scandaleux : connaître la devise nationale, les principales institutions politiques de la Ve République, les droits et libertés individuelles, les principales périodes historiques, les territoires ou encore le patrimoine français relève du minimum attendu de toute personne aspirant à un titre de séjour ou de résidence, a fortiori à la nationalité. Exiger une validation formelle de ces connaissances permet de donner une portée concrète aux discours souvent incantatoires sur l’assimilation.

Les critiques formulées par des associations comme le Secours catholique sont à côté de la plaque : l’argument selon lequel on demanderait plus aux étrangers qu’aux nationaux alors qu’« il existe une portion de Français illettrés et un nombre non négligeable qui ne sont pas allés à l’université » revient à oublier le fait que le droit de séjourner, de résider ou d’acquérir la nationalité française se mérite. Ils constituent l’aboutissement d’un parcours volontaire qui implique nécessairement des efforts, parfois au point d’en savoir plus que les Français eux-mêmes. Si une partie de la population maîtrise imparfaitement ses propres connaissances des institutions françaises, rien ne justifie d’abaisser le niveau d’exigence pour ceux qui demandent à rejoindre la communauté nationale. C’est d’ailleurs pourquoi exiger seulement 80 % de bonnes réponses est excessivement clément : le risque est de transformer l’examen en une formalité administrative supplémentaire, que l’on finit par réussir à force de répétitions, sans que cela prouve l’acquisition des connaissances de base ou traduise une réelle appropriation des normes communes.

Dès lors, si l’objectif affiché est de faciliter l’assimilation des immigrés (et non leur simple intégration comme on l’entend habituellement), il conviendrait d’aller plus loin. Un examen civique pourrait s’accompagner de critères plus stricts. Pour la naturalisation par exemple, exiger dix ans de résidence effective et continue au lieu de cinq, à l’instar de la loi fédérale suisse sur les naturalisations ordinaires, renforcerait le caractère exceptionnel et mérité de l’accès à la nationalité. 


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19 - Nourrir les riches ! 7 milliards de dollars pour un programme de batteries domestiques où une poignée de privilégiés reçoivent des rabais de 18 000 $


Par Jo Nova
December 16th, 2025


Un transfert de richesse à haute tension déguisé en politique climatique

Le nouveau programme de « batteries moins chères » a été si mal conçu qu’il a englouti 2,3 milliards de dollars en seulement six mois. On aurait pu construire deux nouvelles centrales à gaz… au lieu de cela, on a offert à quelques foyers aisés des batteries surdimensionnées, qui resteront probablement inutilisées la plupart du temps. Le programme est tellement catastrophique que le gouvernement a déjà promis d’y ajouter 5 milliards de dollars.

Et comme la plupart des propriétaires refusent de partager leur batterie avec les fournisseurs d’énergie voraces dans une centrale électrique virtuelle, cette énergie supplémentaire restera probablement inutilisée dans les foyers du pays, en espérant qu’elle ne prenne pas feu trop souvent. C’est un nouvel échec à la soviétique, typique des incompétents communistes.

Le gouvernement ne cesse de se vanter du succès retentissant du programme, mais c’est un fiasco mondialiste de bout en bout. Le programme de batteries moins chères était censé permettre aux propriétaires d'économiser 4 000 $ sur une nouvelle batterie domestique de 10 kWh, mais la prime était offerte « par kilowattheure », et non par batterie. (Chris Bowen sait-il seulement ce qu'est un kilowattheure ?)

Ce système incitait les installateurs de panneaux solaires à proposer aux propriétaires des batteries surdimensionnées (des monstres de 20, 30, 40 ou 50 kWh), et ces derniers avaient tout intérêt (mis à part les considérations morales et éthiques) à laisser les contribuables payer pour des batteries bien plus grandes que nécessaire ou qu'ils n'auraient achetées eux-mêmes.

Finn Peacock, fondateur de « Solar Quotes », a expliqué à ABC qu'au lieu d'acheter une batterie de 10 kWh, les propriétaires pouvaient commander une batterie de 50 kWh, ce qui leur permettrait de bénéficier d'une prime allant jusqu'à 18 000 $. Au final, a-t-il affirmé, le coût pour le propriétaire serait sensiblement le même, quelle que soit la taille de la batterie. Cela inciterait aussi les gens à acheter la batterie la plus grosse et la moins chère possible – quel problème cela pourrait-il poser ?

Les experts du gouvernement pensaient que les gens achèteraient des systèmes de 10 kWh, comme sur le marché libre, mais sur ce nouveau marché artificiel, la capacité moyenne installée est désormais de 25 kWh.

Lancé en juillet, le programme a échoué comme prévu, mais le gouvernement ne s’est apparemment rendu compte de l’ampleur du problème qu’après l’installation de 160 000 grosses batteries dans les foyers australiens. Selon ABC, les installateurs de panneaux solaires et de batteries ont été convoqués vendredi dernier à une réunion d’information urgente du ministre, prévue samedi, présentant les principaux changements apportés à la politique. De quoi paniquer au ministère de l’Énergie et du Climat !

L’objectif initial était d’aider de nombreux ménages à réduire leur facture d’électricité (aux dépens des autres ménages qui subventionnaient les panneaux solaires et les batteries). Au lieu de cela, quelques propriétaires fortunés, capables de dépenser des milliers de dollars pour une batterie, ont empoché le pactole avec des primes allant jusqu’à 18 000 $.

Le programme de subventions aux batteries fait l'objet d'une refonte « urgente » face à l'explosion des coûts

Par Daniel Mercer, ABC

Cette politique était censée réduire le prix d'achat d'une batterie d'environ 30 %, permettant aux consommateurs d'économiser près de 4 000 $ lors de l'acquisition d'un système standard de 10 kilowattheures de stockage.

Cependant, des sources du secteur affirment qu'une conception défaillante a entraîné une ruée vers des systèmes beaucoup plus volumineux, jusqu'à la capacité maximale autorisée de 50 kilowattheures, et a épuisé le budget disponible bien plus rapidement que prévu par le gouvernement.

Alors que le gouvernement a déclaré que les fonds seraient disponibles jusqu'en 2030, les analystes estiment qu'une grande partie du budget a déjà été dépensée et sera épuisée d'ici le milieu de l'année prochaine.

Un gaspillage colossal :

D'autres acteurs du secteur, non autorisés à s'exprimer publiquement en raison de leur rôle de conseillers auprès du gouvernement, ont déclaré que le programme avait engendré un gaspillage considérable.

Ils ont souligné que la plupart des ménages ne consommaient qu'environ 10 kilowattheures d'électricité pendant la nuit et auraient du mal à remplir un système cinq fois plus puissant.

Un critique a déclaré : « On se retrouve avec une multitude de batteries qui ne se chargeront jamais, restant vides indéfiniment, payées par le contribuable australien. »

Si le gouvernement impose ensuite la gratuité de l'électricité pour tous à l'heure du déjeuner, les propriétaires de batteries les plus aisés pourront en tirer un profit considérable.

C'est dommage pour l'économie nationale.

Et c'est dommage aussi pour la chimie des batteries. Certains craignent que le fait de faire fonctionner les batteries à pleine capacité pour profiter au maximum de la période de « gratuité » ne les fragilise…

L'une de ses plus grandes préoccupations était la ruée des consommateurs vers les batteries les moins chères du marché – une tendance alimentée par la volonté de privilégier la taille à la qualité.

De plus, il a affirmé que l'étalement des périodes de « gratuité » en milieu de journée, destiné à absorber le surplus d'énergie solaire, créait un autre risque.

« Les gens achètent de grosses batteries et les font tourner à plein régime pendant trois heures par jour pour les recharger grâce à l'électricité gratuite », a-t-il déclaré.

« Ce que nous constatons, c'est que ces batteries sont mises à rude épreuve, au point qu'un rappel a déjà été effectué. »

Le fabricant chinois de batteries Sigenergy a procédé le mois dernier à un rappel volontaire de certains de ses onduleurs en raison de problèmes de surchauffe des prises.

Comme d'habitude, le Parti travailliste a contribué à enrichir une poignée de privilégiés au détriment des travailleurs pauvres.

Useful links:

SolarQuotes have a Rebate Calculator. 
Home battery rebate changes
Battery Rebate Funding


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20 -Si ce n'est pas l'invasion, quoi ?

Appeler les choses par leurs noms


el gato malo
15 déc. 2025


Alors voici une question honnête que j’aimerais que vous le gardiez à l’esprit en lisant ceci:

Si nous ne devons pas appeler une grande partie de ce qui se passe à l’ouest de la fin de « l’invasion » alors quoi, franchement et franchement, devons-nous l’appeler ?

Quels sont les mots ?

Quel est le nom de cette chose ?

quand un grand nombre de personnes violentes viennent de l’étranger sans intention de rejoindre une civilisation mais plutôt de piller, d’attaquer et de la dominer, comment en décrire ce cours d’événements ?

et quand les nations hôtes elles-mêmes l’invitent à bras ouverts, en le défendant et en l’excusant, que devons-nous donc appeler cela ?

Je ne vais pas répondre à cette question.

Mais je pense que tu devrais.

Parce que nous jouons avec le feu le plus dangereux ici et que les enjeux sont à peu près aussi élevés que les enjeux.

Encore une fois, cette fois à sydney, dans une «zone franche» notamment, nous voyons des attaques meurtrièrement efficaces par des dévots à la «religion de la paix» autoproclamée sur des innocents cherchant simplement à célébrer une fête en paix. (dans ce cas, hanoukkah) deux djihadistes islamiques avec des fusils ont commencé à tirer sur la foule. ils ont tiré beaucoup de fois plus de 10 ou 20 minutes, s'arrêtant à plusieurs reprises pour recharger.

Cela aurait probablement été pire si un spectateur courageux (et non armé) avait plaqué l'un des tireurs et l'avait désarmé.

c’était un geste incroyablement courageux, d’autant plus qu’il y avait encore un deuxième tireur actif. lundi matin quartbacking sur «pourquoi ne l’a-t-il pas tué ? » semble injuste ici. c’était un acte étonnant et désintéressé à grand risque personnel. l’homme est un héros légitime et je n’utilise pas ce mot à la légère.

il semble y avoir eu au moins 4 flics aussi armés sur les lieux. aucun n’a rien fait pendant la majeure partie de cette fusillade. ils n’ont pas retourné le feu. ils ont juste fraisé (ou en fait caché) comme le meilleur d’uvalde. cela semble également être un nombre terriblement maigre pour un endroit comme bondi (j’avais l’habitude de vivre à Sydney donc je connais bien la région).

les tireurs semblent avoir été motivés par le désir de massacrer les juifs.

Je suis sûr que nous aurons la série complète de «juste un bon garçon, j’ai adoré réciter son coran et aimé sa famille», mais soyons réels pendant une minute:

Les bons garçons ne salont pas des parcs pleins de gens paisibles.

vous ne le sauriez pas pour entendre parler la presse aussi. ils ont pris un ton aussi prévisible que terrible «gee, nous ne pouvons tout simplement pas spéculer sur ce que sont les facteurs qui ont contribué à cette terrible tragédie... »

vous pouvez penser que j’exagère. voyez par vous-mêmes:

Tout est une voix passive et un ring de main sur la « tragédie » comme si c’était un accident ou une mésaventure fortuite. « ne voulez pas spéculer. » « les gens ont perdu la vie. »

Non, ils ont été tués.

Dites-le à haute voix dans une voix active.

c'était un meurtre prémédité et ceux qui l'ont fait espéraient tuer beaucoup plus de gens qu'ils ne l'ont fait.

« le vrai problème est le récit d’être différent et nous devons « détoxifier » la façon dont nous pensons aux gens qui ne sont pas comme nous. »

Qu'est-ce que l'on peut même dire en réponse à un tel encadrement?

l’expression « empathie suicidaire » semble tout à fait inadéquate un descripteur.

C'est une grenouille qui, autrefois, aurait piqué un autre scorpion.

l'affaire est rendue d'autant plus complexe que l'homme qui s'est attaqué au tireur a eu un ahmed al-ahmed résident de Sydney, père de deux enfants, et propriétaire d'une petite entreprise (un marché de produits à proximité). ahmed est également un musulman et un immigrant de première génération, apparemment du Liban.

Donc, ça va juste vous montrer, il y a de bonnes personnes partout, un fait qui une fois fait l'immigration sélectionnée et sélective si bénéfique à l'ouest.

Je soupçonne que c’est le souvenir de ceci et le fait que, incontestablement, il y a de grandes personnes mélangées avec le problème des gens dans ces récentes vagues d’immigration qui rend cela si difficile à analyser.

vous voulez protéger les innocents et permettre les bons. je l'ai fait.

mais j'ai perdu confiance que dans la plupart des cas, nous le pouvons.

nous ne voulons pas qu’il soit vrai que certaines personnes sont aussi horribles et qu’elles existent en si grand nombre, que ce flux d’agneaux présumés soit chargé de loups. Je suis sûr que l’enfer ne l’a pas fait. mais au-delà d’un certain point, il devient assez difficile de continuer à accepter les mêmes justifications fatiguées.

et après un point, « les bons » cessent d’être en valeur le prix. je déteste. vous voulez ahmed al-ahmed dans votre pays. semble être un helluva stand up guy. mais si le prix de lui est « ces deux autres » le calcul va rapidement au vinaigre.

Si vous aviez un nid de guêpes sur votre pont et que vous continuiez à vous faire piquer quand vous êtes sorti, diriez-vous « Eh bien, toutes les guêpes de ce nid ne m’ont pas piqué, donnons-leur une chance? »

Peut-être une fois.

Peut-être deux fois.

probablement aucun si vous avez un sens, les guêpes étant des guêpes, mais peu importe:

après un point, le nid de guêpe est un nid de guêpes, et vous ne pouvez pas l’avoir près de l’endroit où vous vivez.

pas même si certaines des guêpes sont de beaux insectes agréables et productifs.

Au-delà d'un point, les mauvaises pommes ruinent le baril.

Avec une préscience remarquable, les hicchens christopher ont mis en garde contre cela il y a 20 ans.

« Le droit de se plaindre vous sera enlevé. »

tout un mode de vie en Europe est en cours de démolition parce qu’il est devenu d’abord « impoli » et de plus en plus « illégal » de critiquer ceux qui cherchent à l’immoler.

Encore une fois, comment devons-nous appeler cela? Comment appelle-t-on ceux qui viennent sur votre terre pour faire cela?

et comment appelle-t-on ceux qui s'excusent et les apaisent ?

la sauvagerie de celui-ci est quelque chose avec lequel l'Occident a perdu la familiarité, et ce manque d'imagination a mis l'Occident en danger.

Une attaque a été déjouée ce week-end en bavière. le plan était d'enfoncer des véhicules dans un marché de Noël tuant autant de personnes que possible. cela a été planifié et encouragé par la mosquée locale.

Alors, vous me dites, est-ce de l’islamophobie ? Parce que d’où je m’assieds, ce sont les marchés de Noël qui ont tous besoin (en apparence de justification) de barrières de crash pour les protéger et pourtant les mosquées sont toutes grandes ouvertes et sûres.

Si c'était un préjugé et une prédation contre les musulmans, ce serait l'inverse, non ? Noël serait en sécurité et les tapis de prière en danger. est-il «phobique» de craindre quelque chose qui ne cesse de vous attaquer? de prétendre que cela semble être de la propagande. il semble «arrêter d’être du poulet renifophobe, il y a beaucoup de vulpins précieux dans notre communauté».

Une classe spéciale d'habitants est apparue ici.

Même lorsque les mosquées prévoient des atrocités comme celle-ci, quelque chose leur arrivera-t-il ? Seront-ils fermés, interdits, les individus, au moins, seront-ils tenus de rendre des comptes? probablement pas.

cela n’arrivera pas parce que ces groupes sont très tribaux, très unifiés, et feront rage et émeute si vous essayez. et une fois que vous les laissez arriver à une certaine taille, il n’y a plus de pulvérisation du nid de guêpes parce qu’il y en a trop d’autres autour. attaquez-en un et tous viendront piquer.

Ainsi, les gouvernements perdent le pouvoir dans leur propre terre pour faire respecter les lois, la paix et la morale.

Ils vivent dans la peur d'un peuple étranger résidant sur son propre sol.

et donc, je demande encore, comment appelle-t-on cette terrible perte de souveraineté, d’un Etat vivant dans la peur de ses habitants importés, si l’on ne veut pas l’appeler invasion ?

Qu’est-ce qu’un tel état sinon un État de conquête ?

et à quel point cela ne se produit que dans certains endroits et non dans d'autres...

et en fin de compte, c’est pourquoi les arguments sur « mais les bons ! » et « pas tous les scorpions ! » échouer. vous ne pouvez pas les séparer sauf par le but le plus prudent dans la politique. et la plupart du temps cela se fait mal. vous ne pouvez pas le faire fonctionner.

Que fait-on même autour d'un ensemble d'inclinaisons et de pratiques comme celle-ci?

Bien sûr, ce n’est jamais « tout le monde » mais à quel moment faut-il simplement décider « pas plus ? »

Il y en a trop de mauvaises. les chiffres ne mentent pas.

permettre l’immigration est un choix, un choix à la fois de combien et qui permettre.

et ce n’est pas une zone grise, une attribution injuste de la malveillance et de l’intention à une personne irréprochable cherchant simplement à nous rejoindre et à adopter nos voies.

le jour même de l’attaque à bondi, nous obtenons une marche pour l’Intifada à birmingham. les rapports sont que beaucoup scandaient «honorer les martyrs». je suppose que l’on pourrait légitimement demander «est-ce que cela signifie bondi ou un autre martyr?» Mais en fin de compte, est-ce que cela est d'une manière légitime? et le fait qu'il y en ait autant à choisir en soi ne parle-t-il pas de volumes ?

Rien à ce sujet n'est accidentel ou accessoire.

ces gens qui sautent à l’occasion de déménager dans votre pays et de vivre de son bien-être vous diront ouvertement qu’ils vous méprisent, vous trouvent dégénéré, ne s’assimileront jamais et ne souhaiteront pas détruire votre culture.

Rencontrez mohammed nusairat, un « érudit islamique » en chicago.

Ce discours date d’il y a un mois, 14/11/2025 au centre islamique de midi, un groupe ayant des liens avec le hizb ut-tahrir, un groupe transnational interdit dans un certain nombre de pays pour la promotion de la suprématie islamique.

Compte tenu des sentiments, il n’est pas difficile de voir pourquoi.

« L’islam n’est pas venu pour coexister. L’Islam est toujours supérieur.

Rien n’est au-dessus de l’islam. » « Il n’est pas venu vivre avec d’autres religions... L’islam est venu pour CORRIGER tout cela. Supprimer l’oppression de ces religions. C’est la seule voie vers la justice. »

personne d'autre n'obtient une part de vérité. islam est la SEULE vérité. il ne peut pas exister en tant que religion parmi les religions (ou parmi les non-croyants). il doit être la seule religion. et tout le monde doit croire.

Encore une fois, pas mes paroles. écoutez-les par vous-même. ce n’est ni subtil ni dit d’aucune manière dans la plaisanterie. c’est un groupe qui vous dit exactement ce qu’ils veulent et comment ils vous voient. et gardez à l’esprit que lorsqu’ils disent cela, ils semblent islamiques et charia comme inséparables du gouvernement, du droit et de la vie. ce n’est pas une culture de « vivre et laisser vivre ». c’est une culture de conquête théocratique absolue.

Fait étonnant, ce groupe est interdit en Égypte, en Jordanie, en saoudien, en Syrie, en Libye et en Tunisie, ainsi qu'en kazakhstan, en Ouzbékistan, en kyrghizistan, en tadjikistan et en turcménistan, en Inde, en Pakistan, en Turquie. même le Royaume-Uni les qualifie de terroristes et les a interdits.

Mais en illinois ?
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C’est le genre spécial de stupide qui afflige la haute confiance, la haute fonction de la société à son apogée. cela fait si longtemps que de telles sociétés n’ont rien à craindre qu’elles aient oublié le concept de danger. Les agneaux marchent jusqu’aux loups esclaves sûrs dans leurs petits cœurs de cœurs de lamby qu’ils doivent tous être de bons chiens qui ont juste besoin d’un mot gentil et d’une chance.

et Londres voit avec les graines de la violence sécaire avec des marches pour l'Intifada (c'était de la nuit dernière) déferlant à travers le cirque picadilly dans le temps généralement tenu de côté pour les célébrations de Noël.

Tout est chaos et aucune autorité ne lève le petit doigt pour l'arrêter.

C’est une inversion étonnante du pouvoir. touchez l’une de ces personnes et vous ferez le temps. enfer, meme à ce sujet et les bobbies viendront pour vous.

mais bloquez le centre-ville avec des fusées éclairantes et des chants pour l’Intifada mondiale (qui ne l’oublions pas est littéralement un appel à l’insurrection et à la conquête) et tout bon compagnon. pas un cuivre ne s’en souciera. Je ne sais pas comment dire «bob’s your oncle» en arabe, mais je crains que beaucoup de britons soient sur le point d’apprendre.

pour toute cause, ce genre de perturbation et de comportement serait intolérable, mais en soutien à l’Intifada à Noël le lendemain d’un massacre et dans un europe dont les marchés de Noël ont maintenant besoin d’une protection antivéhicule au niveau de la jajah, cela devient assez sauvage. c’est de la pure provocation et de la domination.

le maire de Londres est sir sadiq kahn. le lord maire de birmingham est zafar iqbal MBE. c’est toujours le même jeu: quand ces groupes sont minoritaires, ils exigent des droits minoritaires. et une fois qu’ils prennent le pouvoir, ils n’en offrent à personne d’autre.

il dit littéralement cela à l'extérieur de la boîte. ils le proclament fièrement dans leurs propres mots. ce plan n'est pas un secret et il est en train d'être couru avec une ambition impitoyable, la violence et le vol. les partisans du Hamas attaquent / harcelent une célébration de vacances à amsterdam. c'est tout ce qui n'a jamais, jamais, eu l'habitude de se produire en Occident. et (à part momena shoma) tout cela s'est passé ce week-end.

mais parlez-moi encore de religions et de paix...

ceux qui sont assez imprudents pour laisser cela aller trop loin deviennent prisonniers dans leur propre terre, les extraterrestres dans leur propre culture, leur mode de vie sacrifié sur un autel qu'ils ont pris pour l'enrichissement culturel.
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il semble ne pas « faire chaud » aux États-Unis de la même manière parce que la même masse critique n’a pas été atteinte et parce que les Américains sont trop bien armés pour menacer de la même manière, mais vous pouvez voir l’intensité du courage tribal et voler dans le minnesota et d’autres grandes concentrations de personnes qui habitent le venn se croisent de la religion de la conquête et de la faible confiance, les cultures tribales basées sur la guerre où le but de l’État est de codifier quelle tribu.

le jeu est toujours le même et l'histoire de celui-ci est bien passée à rimer et à la répétition pure.

et le jeu est nul. tout ce qui le fait est de perdre votre société à être obligé d'accumuler le bien avec le mauvais et de commencer à les garder tous et à renvoyer les gens à la maison par le chargement du cargo et encourager le reste à s'auto-déporter en coupant l'accès aux avantages sociaux, au bien-être, au logement et aux services.

c'est un jeu de choix seulement cruels. la seule façon de gagner était de ne pas jouer et la plupart de l'ouest a déjà bâclé celui-là. (des endroits comme la Pologne et les baltiques ont l'air très intelligents sur celui-ci)

Dans la pièce à venir, la tête dans la tolérance au sable, la soumission craintive et la racinement vont être des croyances de luxe ruineusement chères. rien de tout cela n’est une blague, c’est mortel grave, comme «est-ce que votre petite-fille sera autorisée à apparaître à découvert en public» sérieux, comme «tout système occidental de confiance élevé ou florissant économique survivra-t-il». nous ne pouvons pas tous aimer ces choix tout ce que nous voulons.

La conquête islamique comme principe religieux de base a persisté pendant 1400 ans. depuis cette époque, l'Occident a vu une grande atténuation de la ferveur religieuse. le catholisme, le protestantisme et le judaïsme sont peu comme les croyances féroces de cette époque. on pourrait même soutenir qu'ils sont devenus trop tipides et plus performatifs que sincères. mais ce n'est pas vrai de l'islam. si vous n'avez pas voyagé dans cette partie du monde, il est vraiment

l’Occident a oublié ce que signifie « profondément religieux ». le monde islamique ne l’a pas fait et leur foi est explicitement celle de l’intolérance et de la domination. prétendre que vous pouvez partager une société pluraliste avec elle est l’illusion de soi. ils vous diront que vous pouvez, jusqu’à ce qu’ils soient trop grands pour se battre et résister, puis ils prennent le contrôle. encore une fois, ce n’est pas une conjecture. ils en parlent explicitement.

Ne jamais faire la paix quand on est puissant.

Demandez-le toujours aux puissants quand vous êtes faible.

et maintenant, ils sont ici, en nombre croissant, en croissance au pouvoir politique et en croissance dans la violence contre l’incroyant. et si vous pensez que c’est violent maintenant, attendez de voir ce qui se passe quand ils obtiennent plus de nombres et plus de pouvoir. dans une grande partie de l’Europe, c’est à un point de basculement en ce moment. des lois sont adoptées pour criminaliser la critique de cette prise de contrôle. c’est comme ça que vous savez que le changement de pouvoir a commencé à affecter la capture institutionnelle.

et donc si l’Occident évite d’être subsumé et conquis, on ne peut plus repousser cette question.

décider du nom par lequel cela doit être appelé et l'appeler.

et si cela signifie blesser les sentiments des gens ou se faire appeler «phobique» par le genre de personnes qui vont vous crier cela de toute façon, eh bien, des biscuits, des effritements, ainsi soit-il.

L'objectif de l'islam est la charia par le djihad.

Il ne s'excuse pas pour cela.

Il s'attend à ce que vous le remerciiez de vous avoir corrigé, de vous avoir montré le chemin.

« Le poing du bien-aimé est aussi doux que les raisins secs. »

Ce n’est pas une blague. c’est un dicton sur le fait de battre votre femme.

Beaucoup de religions avaient autrefois des idées comme celles-ci en monnaie commune. mais celle-ci n’en sort jamais grande. et non, ce n’est pas tout le monde, mais c’est beaucoup d’entre elles, dans de nombreux endroits, la plupart ou tous. même ceux plus modérés (moins que vous ne le pensez) ne parleront presque jamais contre les plus extrêmes.

et non, il ne peut pas être raisonné avec ou discuté. c’est fondamentaliste. il s’y tient depuis 1400 ans.

il intègre une grande violence contre les femmes et les étrangers comme une pièce maîtresse de sa morale tout en épousant la paix.

Et si vous craquez pour celui-là, eh bien, vous tomberez pour n’importe quoi.

et ce que vous avez appelé la civilisation ne restera pas longtemps à vous.


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21 -Cette invasion n'est pas à confondre avec la touristique ! Les touristes viennent parce qu'ils aiment ce pays tandis que les 'réfugiés climatiques' eux ils viennent pour piller, pour voler, pour tuer, toucher des allocations et chasser les autochtones !

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22 -Impôt sur la fortune : près de 70 % des pays de l’OCDE l’ayant mis en place l’ont ensuite supprimé


15 décembre 2025
Lorenzo Delpech


Lors de la sous-commission FISC du Parlement européen du 11 décembre 2025, (où un certain Gabriel Zucman est intervenu), Michael Christl, chercheur pour Tax Foundation Europe, a mis en lumière les nombreuses problématiques liées à la taxation des ultra-riches, en se plaçant dans un point de vue historique. Depuis 1965, treize pays de l’OCDE ont instauré un impôt sur la fortune visant les patrimoines les plus élevés, dans l’objectif de générer des rentrées fiscales supplémentaires. Toutefois, force est de constater aujourd’hui que l’efficacité de cette mesure est manifestement douteuse : seuls quatre pays continuent de le maintenir, ce qui représente près de 70 % des pays ayant initialement adopté cette taxe qui l’ont finalement supprimée.

Toujours selon l’intervention de Michael Christl, avant sa suppression en 2017, l’impôt sur la fortune français rapportait moins de 0,2 % du PIB, un chiffre très faible par rapport aux attentes initiales. Comme l’a récemment révélé Contrepoints, parmi les pays « développés » de l’OCDE, seuls trois pays ont conservé cet impôt : la Norvège, la Suisse et l’Espagne. Si l’on analyse le rendement de l’impôt sur la fortune dans ces trois pays, on constate également des résultats modestes : il représente 0,61 % du PIB en Norvège, 0,21 % en Espagne, et 1,16 % du PIB en Suisse. En proportion des recettes fiscales totales, ces contributions restent elles aussi relativement faibles, représentant seulement 1,48 % en Norvège, 0,57 % en Espagne et 4,28 % en Suisse.

Les effets comportementaux sont également significatifs et mesurables. Rien qu’en 2016, soit avant la suppression de l’impôt sur la fortune en France, 12 000 millionnaires français ont quitté le pays. De plus, Michael Christl rappelle qu’en 2022, lorsque la Norvège a augmenté son impôt sur la fortune, elle a également constaté un exode notable d’individus fortunés. Selon Christine Blandhol, économiste à l’université de Princeton aux États-Unis, cette augmentation pourrait entraîner à long terme une baisse de 1,3 % de la production économique en Norvège.

Face à ces constats, Michael Christl recommande plusieurs actions concrètes pour limiter les distorsions économiques et réduire la complexité normative. Il plaide pour un système largement simplifié, comportant moins d’exemptions et de régimes fiscaux particuliers, afin de rendre la fiscalité plus efficace et plus lisible. IREF-Contrepoints milite depuis de nombreuses années pour la disparition totale de cet impôt contre-productif, et souhaite également la suppression de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) dans le cadre français.


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