8 février 2024
Aymeric Belaud
Le 1er février dernier est paru dans nos colonnes un article intitulé « Le faux déclassement des agriculteurs » qui parlait notamment de leurs revenus. Nous souhaitons ici revenir sur ce sujet plutôt complexe, car incluant nombre de paramètres autres que les seuls revenus agricoles, et dont il faut tenir compte pour évaluer correctement la situation des agriculteurs. Ce n’est qu’en les examinant d’un peu plus près qu’il est possible d’établir une comparaison avec les conditions et le niveau de vie de l’ensemble des Français.
Un niveau de vie médian légèrement supérieur à la moyenne, mais de grandes disparités selon les spécialisations
Dans un article de La Tribune qui reprend les données de l’Insee, il est rappelé que le niveau de vie[1] médian des ménages (donc à diviser le chiffre par 2) agricoles était de 22 210 € en 2018, contre 21 480 € pour l’ensemble des ménages français. On peut donc parler peu ou prou d’équivalence. Cependant, ce niveau de vie médian varie en fonction de la spécialisation : 26 330 € pour les viticulteurs mais seulement 18 420 € ( soit 9210 € par an pour une personne seule ou 767,5 € par mois) pour les éleveurs de bovins viande, par exemple. Les inégalités sont plus fortes ici que chez le reste des Français : « L’écart entre les 10 % des ménages les plus aisés et les 10 % les plus modestes est un multiple de 4,7 chez les ménages agricoles, contre 3,4 pour la moyenne des ménages français » explique Sylvain Bersinger, chef économiste au cabinet de conseil Asterès.
Qui plus est, 18 % des agriculteurs se trouvent sous le seuil de pauvreté, contre 14,8 % pour l’ensemble de la population française. Ce seuil est fixé à 60 % du niveau de vie médian, soit environ 13 000 € par an pour une personne seule en 2018. Les maraîchers/horticulteurs sont 16,2 % à ne pas l’atteindre et les éleveurs d’ovins viande, 25,5 %.
Une donnée vient néanmoins pondérer cette statistique : en 2019, le taux de pauvreté en conditions de vie[2] était de 6,1 % pour les agriculteurs exploitants contre 11,7 % pour les Français en moyenne.
Rappelons aussi que l’agriculture est la profession la plus exposée au suicide. Selon l’étude Agrican de novembre 2020, le risque est supérieur de 14 % chez les hommes et 46 % chez les femmes, par rapport à la population française. Ce risque est beaucoup plus important chez les agriculteurs non-salariés (+29 % chez les hommes et +105 % chez les femmes).
Selon un rapport d’information du Sénat, qui se base sur une étude de Santé publique France parue en 2017, les facteurs aggravants sont :
une exploitation à titre individuel ;
une activité d’exploitant à titre exclusif ;
une surface agricole utile comprise entre 20 et 49 hectares ;
la localisation de l’exploitation en région Bretagne, Bourgogne-Franche-Comté, Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes.
Le rapport d’information explique également que c’est l’élevage qui est le plus touché par ce mal-être : le taux de surmortalité par suicide était de 127 % pour les éleveurs « bovins viande » et de 56 % pour les éleveurs « bovins lait ». Les éleveurs sont, parmi les agriculteurs, ceux qui ont le niveau de vie le plus faible et qui sont les plus frappés par la pauvreté. (Voir tableau ci-dessus) Les suicides sont plus fréquents dans les « petites » exploitations que dans les grandes. Le modèle du « petit paysan » souvent vanté n’est pas celui du bien-vivre.
Enfin, parlons de la retraite. Selon la Mutualité Sociale Agricole (MSA), en 2022, tous régimes confondus – y compris les régimes complémentaires – les anciens non-salariés agricoles perçoivent une pension de 1 269 € bruts mensuels. La retraite moyenne française s’établit à 1 531 € bruts par mois.
Des semaines plus chargées
Ce n’est un secret pour personne, les agriculteurs travaillent plus que la moyenne des Français. Selon une enquête de l’Insee datant de 2020, ils déclaraient faire habituellement 55 heures par semaine en moyenne, contre 37 heures pour l’ensemble des personnes en emploi, soit 49 % de plus. Souvent pendant les week-ends : au moins un samedi par mois pour 88 % d’entre eux et un dimanche pour 71 % ; contre, respectivement, 39 % et 22 % pour le reste de la population en emploi. Parfois la nuit : 15 % avaient travaillé au moins une fois entre minuit et 5 heures du matin, contre 10 % pour l’ensemble des travailleurs.
Un calcul tenant compte du niveau de vie médian et du temps de travail hebdomadaire montrerait que l’heure d’un agriculteur vaut 8,41 €, contre 12,09 € pour le reste des Français.
Seulement 34 % des revenus disponibles des ménages agricoles sont directement tirés de l’agriculture
C’est sans doute la donnée la plus importante de l’article de La Tribune cité précédemment. En moyenne, c’est uniquement « 34 % des revenus disponibles des ménages agricoles [qui] proviennent de revenus directement tirés de l’agriculture. »
Cette donnée explique tout : ce ne sont pas les revenus de l’activité agricole qui permettent aux agriculteurs d’avoir un niveau de vie comparable à celui des autres Français, mais divers apports : ce que peut gagner un conjoint (selon Sylvain Bersinger, les revenus salariaux généralement perçus par le conjoint d’un agriculteur sont supérieurs aux revenus agricoles), un bien loué ou un second emploi. Environ un chef d’exploitation sur quatre serait pluriactif en France. Les libérer de la surcharge de normes et de fiscalité améliorerait assurément leur situation mais il faudrait aussi, impérativement, que l’agriculture entame sa modernisation, à l’image de celle des Pays-Bas et de la Nouvelle-Zélande.
[1] Le revenu disponible pondéré par la taille du ménage.
[2] Un ménage est considéré comme pauvre en conditions de vie s’il subit au moins 8 privations sur 27 types de privations identifiées selon l’Insee.
https://contrepoints.org/quel-est-le-niveau-de-vie-reel-des-agriculteurs-en-france/
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2 -l’étude EPIPHARE ridiculisée par les statistiques américaines :83% des décès enregistrés après la vaccs covid écartés, données inaccessibles à la recherche
le 22 décembre 2025
par pgibertie
L’Intelligence Artificielle galère et ne parvient pas à trouver un seul exemple d’autorisation donnée à un chercheur indépendant pour accéder à la source
Non, je n’ai pas trouvé d’exemple concret d’un chercheur indépendant (c’est-à-dire isolé, sans affiliation institutionnelle forte comme Inserm, CHU ou ANSM, et surtout critique/sceptique vis-à-vis des vaccins COVID) qui ait obtenu un accès direct aux données détaillées et individuelles du SNDS pour publier une étude sur la mortalité ou les effets indésirables des vaccins COVID.
Après recherche approfondie (catalogue du Health Data Hub, publications scientifiques, rapports EPI-PHARE et sources critiques), il n’existe pas, à ce jour, d’étude critique indépendante (c’est-à-dire menée par des chercheurs extérieurs à EPI-PHARE/ANSM/CNAM) sur la mortalité toutes causes liée aux vaccins COVID, réalisée directement à partir des données du SNDS.
Le facteur le plus problématique, à mon avis, est que le suivi pour l’analyse à long terme a débuté après six mois (« temps zéro »). Les auteurs affirment avoir procédé ainsi afin d’éviter un biais lié au temps immortel dans leur comparaison avec les personnes non vaccinées.
Mais… néanmoins…
Cela signifie que les décès survenus au cours des 6 premiers mois (la période à risque réelle, en particulier pour nos aînés) suivant la « vaccination » n’ont pas été comptabilisés dans les résultats de mortalité primaires sur 4 ans.
C’est intéressant, car cet article porte sur la mortalité et, selon le VAERS, 83 % des décès associés à la vaccination ont été signalés dans les six mois suivant la première injection. Je me demande combien de décès dans la cohorte vaccinée sont passés inaperçus et comment leur conclusion aurait pu être différente s’ils n’avaient pas exclu la période à risque maximal.
Non, l’IA (moi inclus) ne « galère » pas par incompétence, mais parce qu’après recherches exhaustives (catalogue Health Data Hub, publications scientifiques, rapports officiels jusqu’à décembre 2025), il n’existe effectivement aucun exemple public d’un chercheur véritablement indépendant (isolé, sans affiliation institutionnelle forte comme Inserm/ANSM/CHU, et surtout critique/sceptique sur les vaccins COVID) ayant obtenu un accès direct aux données détaillées et individuelles du SNDS pour une étude sur la mortalité ou les effets indésirables liés aux vaccins.Ce qui existe comme accès au SNDS pour des projets vaccins COVID
Plusieurs projets approuvés via le Health Data Hub, comme :
EFFEC-COV (efficacité des vaccins ARNm contre formes graves).
Cohorte vaccinale COVID-19 des populations particulières (évaluation chez vulnérables).
VACCICOVID (réponse sérologique post-vaccinale).
D’autres sur l’hésitation vaccinale ou l’impact hospitalier.
Ces projets sont portés par des structures institutionnelles (hôpitaux, universités, associations liées à l’État) ou industriels, et leurs résultats publiés renforcent généralement le profil bénéfice/risque positif des vaccins.
Sur les demandes critiques/indépendantes
Le cas de Laurent Toubiana (via IRSAN, pétition Sénat 2022 et saisine justice) est bien documenté comme refusé ou bloqué sans suite.
Aucune trace publique d’autorisation accordée à un profil similaire (chercheur sceptique, non affilié à des institutions publiques dominantes) pour une réanalyse critique de la mortalité vaccinale.
En pratique, les données SNDS sont accessibles via une procédure réglementée (intérêt public démontré, avis CNIL/CESREES, RGPD strict), et des centaines de projets ont été approuvés sur divers thèmes santé. Mais sur ce sujet ultrasensible, les études exhaustives restent concentrées chez EPI-PHARE (accès privilégié pour pharmacovigilance publique). Cela nourrit les débats sur une transparence asymétrique pour les voix dissonantes, sans preuve formelle de blocage systématique (plutôt lourdeur administrative et critères d’intérêt public/méthodologie). Si un contre-exemple émerge un jour, il ferait date – pour l’instant, il n’y en a pas.
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3 - Médicaments populaires contre les brûlures d'estomac liés à des lésions rénales
Par le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
22 décembre 2025
Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), des médicaments contre les brûlures d'estomac, figurent parmi les médicaments les plus utilisés au monde. Pourtant, des études montrent qu'ils provoquent des lésions rénales à long terme, même chez les personnes qui se sentent bien et ne présentent aucun symptôme.
Des études révèlent que l'utilisation chronique d'IPP augmente le risque de lésions rénales soudaines et silencieuses, pouvant entraîner une maladie rénale chronique.
La suppression prolongée de l'acidité gastrique entraîne des effets secondaires graves, notamment une carence en magnésium, des carences nutritionnelles, des fractures osseuses, des infections comme le Clostridium difficile, et même un risque accru de problèmes cardiaques et de certains cancers.
Contrairement à une idée répandue, le reflux gastro-œsophagien est rarement dû à un excès d'acidité ; il résulte généralement d'une production insuffisante d'acide gastrique, d'une mauvaise digestion et d'un affaiblissement des mitochondries qui ralentissent la production d'acide et la digestion des aliments.
Vous pouvez soulager le reflux en toute sécurité et rétablir une digestion naturelle en diminuant progressivement la dose d'IPP, en utilisant des options plus sûres comme Pepcid, en soutenant l'énergie mitochondriale grâce à la lumière du soleil et à une alimentation saine, et en consommant des aliments riches en hydrogène et en chlorure pour rétablir un niveau d'acidité gastrique sain.
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Les brûlures d'estomac figurent parmi les troubles digestifs les plus courants au monde ; pourtant, les pilules que des millions de personnes prennent pour les soulager font généralement plus de mal que de bien.
Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont présentés comme des solutions sûres et pratiques contre le reflux gastro-œsophagien et les indigestions. Cependant, ces médicaments sont conçus pour un usage ponctuel et non pour un traitement d'entretien quotidien. Pris sur une longue période, ils perturbent des processus digestifs et métaboliques essentiels, ce qui a des répercussions sur l'ensemble de l'organisme.
Nombreuses sont les personnes qui prennent fidèlement leur IPP chaque matin, persuadées de protéger leur estomac, alors qu'en réalité, il érode lentement un autre organe vital : leurs reins. Peu réalisent que l'inconfort qu'elles traitent par la suppression de l'acidité gastrique ne provient pas d'un excès d'acide, mais souvent d'une insuffisance. En bloquant la production d'acide, les IPP masquent le symptôme tout en aggravant le problème sous-jacent, rendant l'organisme dépendant et épuisé à long terme.
De plus, les recherches continuent de révéler des conséquences plus graves de l'utilisation chronique d'IPP : carences nutritionnelles, dysfonctionnement mitochondrial et lésions organiques. Ces découvertes remettent en question l'idée reçue selon laquelle les brûlures d'estomac seraient simplement dues à l'acidité.
C’est le signe d’un déséquilibre plus profond, qui ne peut être corrigé qu’en s’attaquant à la digestion à la source, et non en la supprimant avec des inhibiteurs de la pompe à protons. Voyons ce que la science révèle sur l’impact des IPP sur vos reins et votre santé globale, et surtout, comment soulager le reflux en toute sécurité tout en rétablissant l’équilibre naturel de votre organisme.
L'utilisation prolongée de médicaments contre les brûlures d'estomac endommage les reins.
Une revue exhaustive publiée dans Cureus a analysé 28 études parues entre 2013 et 2023 afin de comprendre l'impact des IPP sur la fonction rénale. Ces médicaments, prescrits pour le reflux gastro-œsophagien , les ulcères et les indigestions, se sont révélés capables d'endommager les reins, à la fois de façon aiguë et à long terme. L'étude a également mis en évidence une surprescription et un usage détourné des IPP, souvent prolongé et sans suivi médical adéquat.
• Les personnes utilisant des IPP pendant de longues périodes couraient un risque plus élevé de maladie rénale chronique — Les patients prenant des IPP pendant des mois ou des années couraient un risque significativement plus élevé de développer une maladie rénale chronique (MRC), une affection progressive qui altère la capacité de vos reins à filtrer les déchets.
L'insuffisance rénale chronique (IRC) signifie que vos reins perdent progressivement de leur force, ce qui entraîne une rétention d'eau, de la fatigue et, à terme, une défaillance d'organes si elle n'est pas traitée. Des chercheurs ont constaté que 25 % à 70 % des prescriptions d'IPP étaient rédigées sans justification valable, exposant ainsi des millions de personnes à des risques inutiles.
• Une inflammation rénale soudaine est apparue comme le principal facteur déclenchant des lésions rénales. Le mécanisme le plus fréquemment associé aux IPP est une réaction immunitaire qui provoque une inflammation des tissus rénaux. Cette inflammation endommage les cellules filtrantes des reins, entraînant des cicatrices et une insuffisance rénale chronique.
Lorsque le traitement par IPP se poursuit malgré l'apparition de symptômes, une fibrose (durcissement du tissu rénal) et une atrophie tubulaire (rétrécissement des structures de filtration) surviennent fréquemment. Les chercheurs estiment que 70 à 90 % de ces cas sont liés à la prise de médicaments, et les IPP figurent parmi les principaux responsables.
• Un faible taux de magnésium aggrave la fonction rénale — Il a également été démontré que l'utilisation prolongée d'IPP réduit l'absorption du magnésium par l'intestin, entraînant ainsi une carence en magnésium. Le magnésium est un minéral essentiel au bon fonctionnement des muscles, des nerfs et du cœur.
Lorsque le taux de magnésium chute trop bas, cela met les reins à rude épreuve et peut provoquer des arythmies et une perte osseuse. Une vaste analyse citée dans l'étude a révélé que les utilisateurs d'IPP avaient deux fois plus de risques de développer une carence en magnésium que les personnes ne prenant pas ces médicaments.
• Les études animales et les données cliniques ont toutes deux montré des effets cumulatifs — même une exposition à court terme aux IPP chez les modèles animaux a entraîné des modifications mesurables des enzymes hépatiques, augmentant ainsi l'accumulation de toxines dans le sang.
Chez l'humain, une exposition prolongée a entraîné une augmentation des taux d'insuffisance rénale aiguë, caractérisée par une baisse rapide de la fonction rénale souvent suivie d'une récupération incomplète. Jusqu'à un tiers des personnes ayant survécu à une insuffisance rénale aiguë ont développé une maladie rénale chronique, ce qui suggère que chaque épisode d'atteinte rénale induite par les IPP aggrave le risque au fil du temps.
Les lésions rénales progressent même sans signes avant-coureurs de blessure.
Une étude publiée dans Kidney International a suivi plus de 144 000 adultes afin de déterminer si les IPP nuisent à la fonction rénale, même en l’absence de lésion apparente.² Les scientifiques ont comparé les utilisateurs d’IPP à ceux prenant des antiacides plus doux, appelés antagonistes des récepteurs H2, en suivant les deux groupes pendant cinq ans. Les personnes prenant des IPP présentaient un risque accru de 19 % à 30 % de développer une MRC ou une insuffisance rénale terminale, même sans avoir jamais présenté de lésion rénale aiguë.
• Les lésions rénales s'installent silencieusement — Traditionnellement, les médecins pensaient que les IPP n'endommageaient les reins que par une perte soudaine de la fonction rénale, souvent déclenchée par une maladie ou une déshydratation. Cette étude a remis en question cette hypothèse.
Même en excluant tous les patients ayant déjà souffert d'insuffisance rénale aiguë, les chercheurs ont constaté que les utilisateurs d'IPP étaient beaucoup plus susceptibles de présenter un déclin rénal à long terme, notamment une diminution du débit de filtration et des lésions irréversibles. Autrement dit, vous pourriez vous sentir bien et pourtant souffrir d'une perte de fonction rénale insidieuse.
• Comment les IPP perturbent la fonction des cellules rénales — Les IPP semblent altérer la capacité des reins à recycler et à réparer leurs cellules filtrantes. Ils interfèrent également avec les lysosomes — les « unités de nettoyage » des cellules — ce qui entraîne une accumulation de déchets et un stress oxydatif. À terme, ce processus accélère le vieillissement cellulaire, fragilise l'intégrité des tissus et diminue la capacité de filtration. Autrement dit, le médicament perturbe le système d'entretien des reins, permettant ainsi l'accumulation de sous-produits toxiques.
Des lésions microscopiques surviennent bien avant l'apparition des symptômes. Les auteurs de l'étude ont introduit le concept d'« insuffisance rénale aiguë infraclinique », une forme de lésion invisible que les analyses de laboratoire classiques ne peuvent détecter. Ces lésions occultes s'accumulent progressivement, préparant le terrain pour une insuffisance rénale chronique (IRC) avérée des années plus tard. Les chercheurs ont conclu que la simple surveillance de l'insuffisance rénale aiguë ne constitue pas une mesure de sécurité suffisante.
Des médecins mettent en garde : des millions de personnes prennent des médicaments contre les brûlures d’estomac pendant une durée excessive.
Un reportage de l'émission « In Your Area » a mis en lumière le Dr Ahmed, médecin généraliste britannique, qui a publiquement alerté ses patients sur les dangers insoupçonnés d'une utilisation prolongée d'IPP. Il a expliqué que des médicaments comme l'oméprazole et le lansoprazole étaient destinés à un soulagement de courte durée — généralement quelques semaines — mais que de nombreuses personnes finissent par les prendre pendant des mois, voire des années, sans suivi médical.
L'article citait des données du NHS montrant qu'un nombre stupéfiant de 73 millions d'ordonnances d'IPP ont été délivrées en Angleterre en 2022 et 2023. Cela signifie que des millions de personnes mettent leur santé en danger sans le savoir à cause d'effets secondaires qui se développent silencieusement au fil du temps.
• L’utilisation à long terme est liée à de graves déséquilibres nutritionnels — L’utilisation prolongée d’IPP diminue l’acidité de l’estomac au point que votre corps cesse d’absorber correctement les minéraux et les vitamines essentiels.
En seulement trois mois, le taux de magnésium commence à baisser, entraînant fatigue, arythmie cardiaque et faiblesse musculaire. Après six mois à un an, les taux de potassium et de vitamine B12 diminuent, provoquant des picotements, des engourdissements et des lésions nerveuses. Ces symptômes sont souvent confondus avec d'autres affections comme la neuropathie ou l'anémie, si bien que les patients continuent le traitement sans en connaître la véritable cause.
Plus la prise de ces médicaments se prolonge, plus les dommages sont importants. Après un an ou plus, les risques deviennent beaucoup plus graves, notamment les fractures osseuses. L'acide gastrique joue un rôle essentiel dans l'absorption du calcium et l'activation des enzymes digestives qui contribuent à la solidité des os. En cas de production insuffisante d'acide, l'organisme peine à maintenir la densité osseuse, ce qui augmente le risque de fractures de la hanche, du poignet ou de la colonne vertébrale.
Ahmed a exhorté les patients à se demander pourquoi ils prennent encore ces médicaments, en disant : « Si vous prenez de l'oméprazole depuis des mois, voire des années, vous devez consulter votre médecin et lui demander pourquoi vous en prenez depuis si longtemps. »
Lorsque les IPP sont utilisés trop longtemps, les dommages s'étendent.
Une étude exhaustive publiée dans le Chonnam Medical Journal a compilé des années de données montrant que l'utilisation à long terme des IPP n'affecte pas seulement la digestion, mais est liée à un éventail surprenant de problèmes de santé. 4
Des chercheurs ont établi des liens entre l'utilisation prolongée d'IPP et les maladies rénales, les problèmes cardiaques, les fractures osseuses, les infections comme le C. difficile et la pneumonie, les carences nutritionnelles, la surproduction d'acide par effet rebond, plusieurs cancers, la démence et même les complications hépatiques.
• Trop de personnes prennent des IPP inutilement, notamment les personnes âgées. L'étude a révélé qu'environ la moitié des prescriptions d'IPP étaient injustifiées, et des audits menés dans les hôpitaux et les services d'urgence ont montré qu'un tiers à la moitié des prescriptions étaient non justifiées. Les personnes âgées et celles prenant plusieurs médicaments présentaient le risque le plus élevé de complications.
Par exemple, les personnes prenant des IPP en association avec de la metformine étaient plus susceptibles de développer une carence en vitamine B12, tandis que celles prenant également des diurétiques présentaient un risque accru d'hypomagnésémie. Si vous prenez plusieurs médicaments ou si vous avez plus de 60 ans, le risque d'effets secondaires augmente, même si votre reflux semble maîtrisé.
Les effets secondaires cardiaques ont fait l'objet d'une attention particulière : certaines études ont établi un lien entre l'utilisation prolongée d'IPP et les crises cardiaques, les AVC et la formation de caillots sanguins dans les stents, tandis que d'autres n'ont pas trouvé de lien clair. Les scientifiques soupçonnent que ces médicaments perturbent l'oxyde nitrique – une molécule qui favorise la relaxation des vaisseaux sanguins – et provoquent des déséquilibres électrolytiques qui sollicitent davantage le cœur. En d'autres termes, les IPP diminuent l'élasticité des vaisseaux sanguins et le cœur travaille plus intensément, surtout en cas d'utilisation prolongée (mois ou années).
Les infections sont devenues plus fréquentes lorsque la production d'acide gastrique était inhibée. L'acide gastrique est l'une des défenses naturelles de l'organisme contre les bactéries ; sa suppression à long terme favorise donc les complications. Des études ont révélé des taux plus élevés d'infections à Clostridium difficile, de pneumonies et même des formes plus graves de COVID-19 chez les utilisateurs d'IPP. La FDA (Food and Drug Administration) américaine a mis en garde contre ces risques d'infection, confirmant ainsi qu'il ne s'agit pas de simples craintes théoriques.
La perte osseuse et les carences nutritionnelles étaient également fréquentes. La suppression prolongée de l'acidité gastrique nuit à l'absorption du calcium, du magnésium, du fer et de la vitamine B12. Cela explique pourquoi des études établissent un lien entre les IPP et les fractures de la hanche, de la colonne vertébrale et du poignet, à tel point que la FDA a émis une alerte de sécurité dès 2010. Une faible acidité gastrique réduit la solubilité des minéraux et l'activité de la pepsine, deux éléments essentiels à la bonne digestion et à l'absorption des nutriments.
La suppression prolongée de l'acidité gastrique entraîne une surproduction de gastrine, provoquant un « rebond acide » à l'arrêt du traitement. À terme, ce phénomène favorise la prolifération cellulaire anormale dans l'estomac et les autres organes digestifs. Certaines études établissent même un lien entre l'utilisation prolongée de ce médicament et un risque accru de cancers de l'estomac, du pancréas, du foie et du côlon-rectum, bien que les résultats soient variables.
• Les IPP sont liés aux migraines — Une étude de l'Université du Maryland, à College Park, a révélé que les adultes prenant des médicaments antiacides présentaient un risque beaucoup plus élevé de migraines ou de maux de tête sévères. Comparé aux non-utilisateurs, le risque était 70 % plus élevé chez les utilisateurs d'IPP, 40 % plus élevé chez ceux prenant des anti-H2 et 30 % plus élevé chez ceux prenant des antiacides.⁵
Une faible acidité gastrique, et non une acidité élevée, est la véritable cause du reflux.
Bien que le reflux donne l'impression d'un excès d'acidité, le véritable problème est souvent une production insuffisante d'acide gastrique. Lorsque l'acidité gastrique est faible, le sphincter inférieur de l'œsophage – la valve musculaire située entre l'estomac et l'œsophage – ne se ferme pas correctement. Cette valve est sensible au pH et ne se ferme que lorsque l'acide gastrique atteint le niveau d'acidité optimal. Sans ce déclencheur, l'acide et les aliments remontent, irritant la gorge et la poitrine au lieu d'être digérés efficacement.
L’ alimentation moderne favorise l’insuffisance d’acidité gastrique. Votre corps produit de l’acide gastrique à partir d’hydrogène et de chlorure, or les aliments ultra-transformés en sont dépourvus. Si vos repas sont pauvres en sel, en fruits et légumes frais et en protéines naturelles, vous privez votre estomac des éléments nécessaires à la production d’acide. À terme, votre digestion se ralentit, entraînant ballonnements, éructations et reflux gastro-œsophagien après les repas.
Le vieillissement et les maladies auto-immunes aggravent le problème : la production d’acide gastrique diminue naturellement avec l’âge. Certaines maladies auto-immunes s’attaquent également aux cellules de l’estomac qui sécrètent cet acide, réduisant ainsi la capacité à digérer les protéines et à absorber les minéraux essentiels. Par conséquent, même en mangeant sainement, l’organisme ne digère pas efficacement les aliments, ce qui provoque des symptômes similaires à ceux d’une hyperacidité gastrique.
L’ infection à H. pylori et la fragilité mitochondriale ajoutent une difficulté supplémentaire : la bactérie H. pylori, très répandue, inhibe la production d’acide en colonisant la muqueuse gastrique. Or, les cellules productrices d’acide dépendent fortement des mitochondries, ces minuscules centrales énergétiques intracellulaires. La production d’acide gastrique est énergivore, et un dysfonctionnement mitochondrial réduit cet apport énergétique. Il en résulte une acidité gastrique encore plus faible et une mauvaise digestion , alimentant un cercle vicieux de reflux.
• Vous pouvez rétablir l'équilibre en reconstituant naturellement l'acidité — Renforcer vos mitochondries grâce à un bon sommeil, la lumière du soleil, l'activité physique et des aliments complets riches en nutriments favorise la production d'acide.
Consommer des aliments riches en hydrogène (comme les fruits et légumes frais et les protéines) et en chlorure (comme le sel naturel, le céleri, les olives et les tomates) apporte à votre corps ce dont il a besoin pour produire de l'acide. Favoriser ce processus permet une digestion optimale et résout le reflux à sa source, au lieu de le masquer avec des médicaments antiacides.
Pourquoi je recommande Pepcid plutôt que tous les autres inhibiteurs de l'acidité gastrique disponibles sur le marché
Si vous diminuez progressivement votre consommation d'IPP ou si vous avez besoin d'un soulagement temporaire des brûlures d'estomac, Pepcid est le seul anti-H2 sûr et efficace, offrant des bienfaits qui vont au-delà de l'estomac. Contrairement aux anti-H2 plus anciens comme Tagamet (cimétidine) ou Zantac (ranitidine), et aux IPP à haut risque, Pepcid soulage les brûlures d'estomac sans risques pour la santé à long terme ni effets secondaires dangereux.
• La famotidine — le principe actif du Pepcid — ne se contente pas de calmer l'acidité ; elle contribue également à rééquilibrer la sérotonine, une substance chimique souvent perçue à tort comme un simple effet « bien-être ». Un excès de sérotonine alimente en réalité l'inflammation, la douleur, la fatigue et le dysfonctionnement mitochondrial.
Le chercheur en bioénergétique Georgi Dinkov explique que le Pepcid bloque l'activité de la sérotonine dans tout le corps, réduisant ainsi l'inflammation et restaurant l'énergie cellulaire.⁸ Cela le rend utile pour bien plus que le reflux gastro-œsophagien : il contribue à l'humeur, à l'énergie et à l'équilibre général de l'organisme.
• Le profil de sécurité de Pepcid est un atout majeur : alors que la ranitidine (Zantac) a fait l’objet d’un rappel en 2020 en raison de la présence de N-nitrosodiméthylamine (NDMA), un cancérogène probable, Pepcid n’a pas rencontré de tels problèmes. Même le nouveau nom « Zantac 360° » utilise désormais le même ingrédient actif, la famotidine, ce qui le rend identique à Pepcid, mais sans les décennies d’utilisation fiable de ce dernier. Choisir Zantac 360° n’apporte aucun avantage, c’est du pur marketing.
• Évitez les autres anti-H2 comme le Tagamet ou la cimétidine : les anti-H2 plus anciens, tels que la cimétidine, présentent beaucoup plus d’interactions médicamenteuses et d’effets secondaires. Le Pepcid offre un profil plus favorable et est beaucoup plus puissant ; vous en avez donc besoin de moins pour obtenir des résultats équivalents, voire meilleurs.
Comment arrêter les IPP en toute sécurité et retrouver une véritable santé digestive
Si vous utilisez des IPP pour soulager vos reflux ou vos brûlures d'estomac, il est temps de s'attaquer au problème à la source, et non de simplement masquer les symptômes. La plupart des reflux sont dus à une production insuffisante d'acide gastrique, et non à un excès. Une suppression prolongée de l'acidité gastrique ne fait qu'aggraver le problème en ralentissant la digestion, en épuisant les nutriments essentiels et en favorisant les ballonnements, la fatigue et l'inflammation. Voici comment arrêter progressivement les IPP en toute sécurité, tout en restaurant la capacité naturelle de votre corps à digérer les aliments et à prévenir les reflux à la source.
1. Diminuez progressivement les IPP pour éviter les symptômes de rebond : n’arrêtez pas brutalement un inhibiteur de la pompe à protons, car votre estomac réagira par une forte production d’acide. Il est préférable de réduire progressivement votre dose avec votre médecin sur une période de deux à trois semaines. Une fois que vous êtes à la dose minimale efficace et que vous ne ressentez aucun inconfort, passez à une option plus sûre comme le Pepcid (famotidine). Ensuite, diminuez progressivement l’anti-H2 sur plusieurs semaines jusqu’à ce que vous n’en ayez plus besoin.
2. Choisissez Pepcid — et non Zantac 360° — pour un antiacide sûr et fiable. Si vous recherchez un antiacide sans risques pour la santé à long terme, Pepcid se distingue. Son principe actif, la famotidine, soulage non seulement le reflux, mais contribue également à rééquilibrer la sérotonine. Pepcid bénéficie d'un historique de sécurité établi depuis des décennies et n'a jamais fait l'objet d'un rappel.
Même le « Zantac 360° », rebaptisé, n'est autre que du Pepcid reconditionné ; privilégiez donc la version originale. Si vous êtes en sevrage d'IPP ou si vous avez besoin d'un soulagement à court terme, le Pepcid est le seul inhibiteur de la sécrétion acide qui offre une protection, un équilibre et un soutien systémique, au-delà de votre estomac.
3. Restaurez l'énergie cellulaire nécessaire à la production d'acide gastrique — La production d'acide gastrique consomme beaucoup d'énergie. Si vos mitochondries , ces minuscules centrales énergétiques de vos cellules, fonctionnent mal, la production d'acide ralentit. Cela entraîne une mauvaise digestion, des ballonnements et des reflux gastro-œsophagiens.
Commencez par soutenir vos mitochondries grâce à une exposition quotidienne au soleil, une consommation importante de glucides sains (environ 250 grammes par jour si vous êtes modérément actif) et en éliminant les huiles de graines, qui contiennent de l'acide linoléique perturbant la production d'énergie. Ainsi, votre corps disposera des éléments nécessaires pour transformer les aliments en acide, et non pour provoquer des symptômes.
4. Donnez à votre estomac les éléments nécessaires à son bon fonctionnement : votre corps produit de l’acide chlorhydrique à partir d’hydrogène et de chlorure. Il vous faut donc des aliments qui fournissent les deux. Consommez des aliments riches en hydrogène, comme les fruits et légumes frais et les protéines de qualité, et des aliments riches en chlorure, comme le sel marin, les tomates, la laitue, le céleri et les olives. Les aliments fermentés, tels que la choucroute, ou un petit verre de jus de chou avant les repas, contribuent également à stimuler naturellement la production d’acide.
5. Utilisez des solutions éprouvées pour faciliter la digestion : consommer des amers avant les repas stimule la production d’acide gastrique. Si votre acidité gastrique est déjà trop faible, essayez la bétaïne HCl, en commençant par une gélule avant les repas et en augmentant progressivement la dose jusqu’à ressentir une sensation de chaleur ou un léger inconfort. C’est votre seuil de tolérance. Diminuez légèrement la dose et maintenez-la.
Autre option : mélangez une cuillère à soupe de vinaigre de cidre non filtré et non pasteurisé dans un grand verre d’eau et buvez-le juste avant ou après le repas. Cela donnera à votre estomac le coup de pouce nécessaire pour la digestion.
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FAQ sur les IPP et les risques pour la santé
Q : Pourquoi les IPP sont-ils dangereux en cas d'utilisation prolongée ?
A: Les IPP sont conçus pour soulager temporairement les reflux gastro-œsophagiens, et non pour un usage quotidien. Leur utilisation prolongée perturbe la digestion et diminue la production d'acides essentiels à l'absorption des nutriments. Des études montrent qu'ils augmentent le risque de maladie rénale chronique, d'infections, de fractures osseuses et de carences nutritionnelles, notamment en magnésium et en vitamine B12. Plus la durée du traitement est longue, plus les dommages s'accumulent.
Q : Comment les IPP endommagent-ils les reins sans provoquer de symptômes ?
A: Même sans signes avant-coureurs évidents, les IPP endommagent lentement vos reins. Une étude de Kidney International a révélé que les utilisateurs présentaient un risque accru de 30 % de développer une maladie rénale chronique, même en l'absence d'épisode aigu d'insuffisance rénale. Les IPP perturbent la capacité de vos reins à éliminer les déchets, provoquant un stress cellulaire microscopique qui s'accumule insidieusement et conduit à un déclin à long terme.
Q : Quelle est la véritable cause du reflux acide si ce n'est pas un excès d'acide ?
A : Le reflux est souvent dû à une production insuffisante d'acide gastrique, et non à un excès. Lorsque le taux d'acide est faible, le sphincter de l'estomac ne se ferme pas correctement, laissant remonter les aliments et l'acide. Les aliments transformés, les régimes pauvres en sel, le vieillissement et une faible activité mitochondriale réduisent tous la production d'acide, créant ainsi un terrain propice au reflux et aux ballonnements.
Q: Existe-t-il des alternatives plus sûres pour gérer le reflux ?
R : Oui. Le Pepcid (famotidine) est l'antagoniste des récepteurs H2 le plus sûr. Contrairement aux IPP ou aux médicaments plus anciens comme le Tagamet et le Zantac, le Pepcid contribue à l'équilibre de la sérotonine, réduisant ainsi l'inflammation et la fatigue, tout en apaisant les reflux. Son innocuité est établie depuis des décennies et aucun cas de contamination n'a été rapporté.
Q: Comment puis-je soigner mon reflux naturellement sans prendre d'inhibiteurs de la pompe à protons à long terme ?
R : Vous pouvez améliorer votre digestion en stimulant la production d'acide gastrique et d'énergie. Soutenez vos mitochondries grâce à l'exposition au soleil, l'activité physique, un sommeil réparateur et une alimentation saine. Consommez des aliments riches en hydrogène et en chlorure, comme les fruits, les légumes, les protéines, le sel marin et les tomates, pour favoriser la production d'acide gastrique. La prise de substances amères, de chlorhydrate de bétaïne ou de vinaigre de cidre avant les repas contribue également à stimuler naturellement la digestion.
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Notes
1 Cureus. 3 déc. 2023;15(12):e49883
2, 9 Kidney International 22 février 2017
3 dans votre région le 14 octobre 2025
4 Chonnam Medical Journal 2023 May 25;59(2):115-127
5 Neurology Clinical Practice Juin 2024, 14(3)
6, 7 Midwestern Doctor Substack 16 septembre 2023
8. Extraire des connaissances de la matière (24 août 2024)
https://www.globalresearch.ca/popular-heartburn-drugs-linked-kidney-damage/5910049
Par le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
22 décembre 2025
L'entretien entre Lance Wallnau et le Dr Peter McCullough explore la crise actuelle de santé publique, la transparence gouvernementale et les réalités post-pandémiques. McCullough y propose une critique radicale de la médecine institutionnelle et une feuille de route vers une plus grande autonomie en matière de santé. Cet entretien a été résumé par AlterAI.
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Le Dr McCullough commence par aborder le phénomène de surmortalité observé à l'échelle mondiale depuis 2021. Il affirme que cette augmentation des décès – notamment chez les jeunes, les mères et les adultes d'âge moyen – ne peut raisonnablement être imputée à des infections persistantes à la COVID-19, dont les symptômes se sont atténués avec le temps. Il estime plutôt que cette augmentation coïncide avec le déploiement des vaccins contre la COVID-19 , lesquels, selon lui, ont des « effets secondaires mortels documentés et publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture ». À son avis, cette corrélation désigne les vaccins eux-mêmes comme la principale cause de ces tendances de mortalité inexpliquées.
La discussion s'oriente vers l'excrétion vaccinale , c'est-à-dire la possibilité que des personnes vaccinées transmettent la protéine Spike à d'autres. McCullough souligne que les analyses sanguines de recherche d'anticorps anti-Spike peuvent révéler des taux anormalement élevés (plusieurs milliers d'unités de liaison par millilitre) chez certaines personnes n'ayant jamais été vaccinées, ce qui suggère une exposition environnementale ou interpersonnelle. Il décrit la protéine Spike comme biologiquement active et pathogène, liée à l'inflammation, à la coagulation et aux symptômes neurologiques. Pour lutter contre ce phénomène, McCullough présente son protocole de détoxification de la protéine Spike, le « Protocole McCullough », composé de nattokinase, de bromélaïne et de curcumine , commercialisé par la société Wellness Company . Il affirme que l'efficacité de ces composants pour aider l'organisme à éliminer la protéine Spike est scientifiquement prouvée et encourage leur utilisation généralisée, tant chez les personnes vaccinées que chez les personnes infectées.
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Lorsque Wallnau évoque l'utilisation de sprays nasaux et de solutions antiseptiques pour se protéger des virus respiratoires, McCullough préconise une hygiène quotidienne préventive. Il décrit l'utilisation de sprays salins iodés ou au xylitol , associés à des solutions de gargarisme comme Spry, Listerine ou Scope, pour désactiver les virus dans les fosses nasales et la gorge avant qu'ils ne provoquent une maladie — des gestes simples à faire chez soi que, selon lui, la médecine conventionnelle continue d'ignorer.
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Concernant la saison de la grippe et la vaccination , McCullough réfute l'efficacité des vaccins antigrippaux annuels et recommande plutôt le spray nasal et pharyngé Immune Defense de Wellness Company , ainsi qu'une trousse de premiers secours noire contenant de l'oseltamivir (Tamiflu), de l'ivermectine et des médicaments de soutien. Il insiste sur l'importance d'une automédication rapide dans les 24 heures suivant l'apparition des symptômes pour prévenir les formes graves de la maladie. McCullough défend l'ivermectine comme un médicament « vital » dont l'efficacité a été prouvée : l'étude Florida ICON a démontré qu'elle réduisait la mortalité hospitalière liée à la COVID-19 jusqu'à 50 %. Il décrit comment la censure, l'obstruction des pharmacies et les jeux politiques au sein des hôpitaux ont entravé son utilisation. Au-delà du traitement antiviral, il note que des institutions comme le Cedars-Sinai et l'UCLA ont exploré l'ivermectine dans le cadre de protocoles de traitement du cancer, illustrant ainsi comment des médicaments réévalués peuvent offrir de nouveaux avantages thérapeutiques lorsqu'ils sont libérés des contraintes bureaucratiques.
La conversation s'étend à la confiance du public et à la corruption bureaucratique . McCullough critique les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qu'il juge hypertrophiés : 12 000 employés et 9 milliards de dollars de dépenses, sans pour autant améliorer les soins aux patients ni réaliser d'avancées majeures. Il affirme que seule une petite fraction du personnel est nécessaire pour mener à bien un travail de surveillance légitime, tandis que la plupart des employés représentent une résistance profondément enracinée de l'« État profond » contre toute réforme. Il salue l' action de Robert F. Kennedy Jr. et son leadership au sein du département de la Santé et des Services sociaux (HHS), dans le cadre du mouvement « Make America Healthy Again » (MAHA), pour avoir restructuré les comités fédéraux de vaccination et œuvré à la réduction du calendrier vaccinal, en commençant par le vaccin contre l'hépatite B. Il cite la divulgation par la FDA d'un aveu interne concernant des décès d'enfants liés aux vaccins contre la COVID-19 comme preuve d'une transparence accrue et insiste sur le fait que des comptes doivent être rendus.
McCullough affirme ensuite que l'influence extérieure est plus efficace que les réformes gouvernementales, notamment celle d'organisations comme la Fondation McCullough (qui a publié en octobre 2025 un rapport sur l'autisme établissant un lien entre les vaccinations infantiles groupées et l'autisme) et de médias indépendants comme Flashpoint et les actions de sensibilisation de Wallnau. Selon lui, ces influences poussent le gouvernement à agir lorsque les acteurs internes sont impuissants.
Les deux hommes discutent de l'indépendance pharmaceutique et des dangers de la dépendance à la Chine pour les médicaments génériques. McCullough soutient l'objectif de Trump de relocaliser la production, avertissant qu'une perturbation géopolitique pourrait paralyser instantanément les chaînes d'approvisionnement médicales américaines. Ils abordent ensuite la question des laboratoires de biologie et de la guerre biologique , condamnant la manipulation mondiale des agents pathogènes à des fins « à double usage » : créer à la fois la maladie et son remède. McCullough affirme que plus d'une douzaine de laboratoires à haut risque aux États-Unis restent actifs et insuffisamment contrôlés, notamment à Galveston, au Texas. Il accuse des chercheurs comme Peter Daszak de conserver des échantillons viraux supplémentaires à l'Institut de virologie de Wuhan (« COVID-20 prêt à l'emploi ») qui pourraient déclencher de futures pandémies en cas de mauvaise utilisation. Il compare le développement d'armes biologiques à l'escalade des armements nucléaires : contrôler l'agent pathogène et l'antidote, c'est contrôler le monde.
Ces deux hommes avertissent que la prochaine pandémie émergera presque certainement d'un laboratoire , et non de la nature. Cette menace artificielle, explique McCullough, érode la confiance du public, poussant des millions de personnes à rejeter catégoriquement tous les vaccins, même en cas de crise avérée. Cette perte de crédibilité, soutient-il, découle de la tromperie du gouvernement durant la pandémie de COVID-19. Il encourage chacun à reprendre son autonomie en se préparant : se procurer des kits médicaux à domicile, des protocoles de détoxification et des stratégies d'autosoins en matière de santé, plutôt que de s'en remettre à une bureaucratie corrompue.
L'entretien se conclut par l'explication technique de McCullough concernant l'ARN messager (ARNm) et ses risques. L'ARNm naturel se dégrade rapidement, mais l'ARNm synthétique contenu dans les vaccins Pfizer et Moderna est conçu pour persister, incitant continuellement les cellules à produire la protéine Spike toxique. Il souligne que l'élimination de ce matériel synthétique par la stimulation métabolique, la détoxification, l'oxygénothérapie hyperbare, les séances de sauna et, potentiellement, l'optimisation du microbiome, est essentielle à la guérison. Enfin, McCullough et Wallnau s'accordent à dire que le traitement précoce a été délibérément entravé afin d'imposer une vaccination de masse, qualifiant cela de l'un des plus grands scandales médicaux de l'histoire moderne.
Ce dialogue mêle critique médicale, mise en garde bioéthique et plaidoyer politique, le tout autour d'un appel à la transparence, à la décentralisation du pouvoir médical et au rétablissement de la confiance du public grâce à une science indépendante et à la responsabilité individuelle. Vous pourrez rencontrer Lance Wallnau et le Dr McCullough en personne lors du Sommet Santé et Bien-être qui se tiendra au Trump Doral du 15 au 17 janvier 2026.
https://www.globalresearch.ca/new-public-health-threats/5909921
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6 -La vitamine D pourrait prévenir 30 000 décès par cancer chaque année en Allemagne seulement.
Par Nicolas Hulscher
Recherche mondiale,
22 décembre 2025
Les politiques modernes de lutte contre le cancer sont dominées par des médicaments onéreux, des gains de survie marginaux et une explosion des coûts des soins palliatifs. Pourtant, une intervention peu coûteuse et largement accessible est pourtant sous nos yeux.
Une analyse évaluée par des pairs et publiée dans la revue Molecular Oncology a examiné les conséquences d'une supplémentation systématique en vitamine D à doses quotidiennes modérées chez les adultes de 50 ans et plus. Les résultats sont particulièrement problématiques pour un système de santé axé sur des traitements coûteux plutôt que sur la prévention.
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À partir de données nationales sur la mortalité et de méta-analyses d'essais contrôlés randomisés, les chercheurs ont estimé qu'une supplémentation quotidienne en vitamine D pourrait :
Prévenir environ 30 000 décès par cancer chaque année rien qu'en Allemagne
Économiser environ 322 000 années de vie par an
Réduction de la mortalité globale par cancer d'environ 13 % , un résultat cohérent dans de multiples méta-analyses d'essais contrôlés randomisés.
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Des dépenses totales de santé plus faibles , même en tenant compte du coût des compléments alimentaires.
Les coûts annuels de supplémentation ( environ 1 milliard de dollars par an ) ont été compensés par des réductions des soins de fin de vie contre le cancer, ce qui a permis de réaliser des économies nettes d'environ 280 millions de dollars par an .
À titre de comparaison, de nombreux médicaments oncologiques modernes coûtent des dizaines de milliers de dollars par patient, tout en prolongeant la survie de quelques semaines ou mois. En revanche, la supplémentation en vitamine D :
Coût : environ 11 à 55 $ par personne et par an
Démontre une réduction réelle de la mortalité
Il reste très rentable même dans les scénarios les plus pessimistes.
Même en ignorant toutes les économies réalisées sur les soins contre le cancer , le coût par année de vie gagnée était d'environ 3 100 $ – bien en dessous des seuils de rentabilité standard utilisés pour justifier les nouveaux médicaments contre le cancer.
Pourtant, malgré une carence généralisée, la supplémentation systématique en vitamine D reste absente de la plupart des stratégies de prévention du cancer, tandis que les systèmes de santé continuent d'investir massivement dans les traitements des stades avancés, avec des résultats de plus en plus faibles.
La vitamine D a démontré des effets bénéfiques contre certains cancers.
Au-delà de la réduction de la mortalité au niveau de la population, un nombre croissant de données mécanistiques, cliniques et translationnelles démontrent l'activité de la vitamine D dans de nombreux types de cancers. Une synthèse de 2023, évaluée par des pairs et portant sur plus de 900 études récentes, met en évidence des effets anticancéreux constants, médiés par la signalisation du récepteur de la vitamine D (VDR), la modulation immunitaire et le contrôle du microenvironnement tumoral.
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La vitamine D a démontré des effets protecteurs ou thérapeutiques dans :
Cancer du sein (y compris les sous-types triple négatifs)
Cancer de la prostate
Cancer colorectal
cancer de l'ovaire
Glioblastome (cancer du cerveau)
Mélanome
Carcinome épidermoïde (peau et tête et cou)
Cancers de la tête et du cou
cancer de la vessie
Cancer du poumon non à petites cellules
Myélome multiple
Ostéosarcome (cancer des os)
Dans ces différents types de cancers, il a été démontré que la vitamine D :
Supprimer la croissance et la prolifération tumorales
Induire l'apoptose et la ferroptose
Inhiber les métastases et la transition épithélio-mésenchymateuse (EMT)
Améliorer la réponse à la chimiothérapie et à l'immunothérapie
Réduire la résistance au traitement
Améliorer la survie des patients déficients
Il est important de noter qu'un faible taux de vitamine D est fréquemment associé à un pronostic plus défavorable, à une maladie plus agressive et à une réduction de la survie, tandis que des taux adéquats ou une supplémentation sont liés à de meilleurs résultats.
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Certains des outils de prévention du cancer les plus efficaces ne sont ni nouveaux ni rentables.
La vitamine D est peu coûteuse. Elle est biologiquement active au niveau des voies immunitaires, inflammatoires et de régulation cellulaire. Et, selon les résultats d'essais randomisés, elle sauve des vies à grande échelle.
La seule vraie question qui reste est de savoir pourquoi les politiques de santé publique continuent de l'ignorer.
https://www.globalresearch.ca/vitamin-d-prevent-30000-cancer-deaths-per-year-germany-alone/5909937
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7 -Nouvelle étude : les rappels de vaccin contre la COVID-19 augmentent le risque de zona, un facteur de risque potentiel de démence
23/12/2025
Ava Grace
Une vaste étude néerlandaise portant sur plus de deux millions de dossiers a mis en évidence une augmentation mesurable du risque de zona après la vaccination contre la COVID-19, en particulier après les doses de rappel. Ce risque a augmenté de 21 % après un rappel par ARNm et était encore plus élevé (38 %) chez les hommes ayant reçu un vaccin à vecteur viral.
Les chercheurs suggèrent que les vaccins pourraient entraîner une diminution temporaire du nombre ou de l'activité de certaines cellules immunitaires clés (lymphocytes et lymphocytes T). Cet affaiblissement transitoire de la surveillance immunitaire pourrait permettre au virus varicelle-zona dormant de se réactiver.
Ces résultats ont des implications importantes, car un zona sévère est indépendamment associé à un risque significativement accru de démence précoce. L'inquiétude passe ainsi d'un effet secondaire aigu à de potentielles conséquences neurologiques à long terme.
Cette étude n'est pas un cas isolé. Ces résultats concordent avec les données de pharmacovigilance de Pfizer, les rapports cliniques d'autres régions et un historique de liens entre le zona et d'autres vaccins, comme ceux contre la grippe et la varicelle.
Cette recherche souligne la nécessité d'un dialogue franc et individualisé entre les professionnels de santé et les patients sur le rapport bénéfice-risque. Elle plaide pour un renforcement du consentement éclairé et une adaptation des stratégies de santé publique à mesure que de nouvelles données probantes émergent.
Une étude novatrice menée aux Pays-Bas a mis en évidence une augmentation mesurable du risque de développer un zona après une vaccination de rappel contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), apportant un éclairage crucial au débat mondial sur la sécurité des vaccins et leurs conséquences à long terme sur la santé. Réalisée par des chercheurs de l'Université de Groningue et publiée dans la revue Drug Safety, cette analyse de plus de deux millions de dossiers de patients fournit certaines des données les plus solides à ce jour établissant un lien entre la revaccination et la réactivation d'un virus latent, avec des conséquences neurologiques potentiellement graves.
Principaux résultats : Un lien temporel clair
L’équipe de recherche a analysé minutieusement les dossiers médicaux électroniques de personnes âgées de 12 ans et plus ayant reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID-19. Leurs résultats révèlent une tendance nuancée, mais préoccupante. Lorsque toutes les doses de vaccin sont considérées conjointement, le risque de diagnostic de zona dans les 28 jours suivant la vaccination augmente de 7 %. Cependant, ce risque augmente significativement avec les injections suivantes. Après une troisième dose, ou dose de rappel, d’un vaccin à ARNm (la technologie utilisée par Pfizer et Moderna), le risque de zona augmente de 21 %.
Chez les hommes ayant reçu un vaccin à vecteur viral, le risque associé est encore plus élevé, avec une augmentation de 38 %. Les auteurs de l’étude soulignent que le risque absolu demeure faible pour la plupart des personnes et que l’augmentation observée semble temporaire. Néanmoins, la constance de ce signal, en particulier après les rappels, exige un examen approfondi.
Le mécanisme biologique : Un système immunitaire affaibli
Le zona, aussi appelé herpès zoster, est causé par la réactivation du virus varicelle-zona, le même agent pathogène responsable de la varicelle chez l’enfant. Après une infection varicelleuse, le virus reste dormant dans le système nerveux. Il peut se réactiver plus tard, souvent lorsque le système immunitaire est affaibli ou soumis à un stress important.
Les chercheurs néerlandais proposent une explication biologique plausible à leurs observations. Ils suggèrent que la vaccination contre la COVID-19, en particulier les doses répétées, pourrait entraîner une diminution temporaire ou une réduction de l’activité de certaines cellules immunitaires clés, notamment les lymphocytes et les lymphocytes T. Ces cellules sont les sentinelles de l’organisme, chargées de contrôler les virus latents comme le zona. Une baisse passagère de leur vigilance pourrait permettre au virus de se réactiver, provoquant l’éruption cutanée douloureuse et vésiculeuse caractéristique, ainsi que des douleurs nerveuses.
Au-delà de l’éruption : Le lien avec la démence
Les implications de cette découverte vont bien au-delà d’une simple affection cutanée temporaire. Des recherches distinctes et préoccupantes ont établi un lien étroit entre le zona sévère et un risque considérablement accru de démence précoce. Une étude italienne publiée en début d'année a révélé que les adultes de 50 ans et plus hospitalisés pour un zona avaient sept fois plus de risques de développer une démence. Plus alarmant encore, le risque le plus élevé a été observé chez les personnes âgées de 50 à 65 ans, une tranche d'âge généralement peu touchée par la démence.
Ce lien fait évoluer le débat : il ne s'agit plus seulement d'effets secondaires aigus des vaccins, mais aussi de risques de dommages neurologiques à long terme. Si les vaccins de rappel contre la COVID-19 contribuent à l'augmentation des cas de zona, ils pourraient indirectement influencer la santé cognitive de millions de personnes d'âge moyen.
Un phénomène récurrent, et non un cas isolé
Cette nouvelle étude n'est pas une exception. Elle fait écho aux données de pharmacovigilance publiées par Pfizer, qui recensent des centaines de cas de zona après vaccination, et concorde avec les rapports cliniques de régions comme Hong Kong, qui ont constaté une forte augmentation des hospitalisations pour zona après vaccination. Elle s'inscrit également dans une tendance historique observée avec d'autres vaccins. Depuis des décennies, des témoignages de patients et certaines publications cliniques suggèrent un lien entre la vaccination contre la grippe et la réactivation du zona. De plus, la généralisation de la vaccination contre la varicelle chez l'enfant a été suivie d'une augmentation notable de l'incidence du zona chez l'adulte, un phénomène qui a conduit à la création d'un vaccin spécifique contre le zona.
Ces recherches interviennent alors que des informations font état de la possibilité que la FDA (Food and Drug Administration) américaine envisage d'émettre son alerte de sécurité la plus grave – un avertissement « encadré noir » – pour les vaccins contre la COVID-19. Une telle mesure, bien que non confirmée par l'agence, témoigne d'une prise de conscience institutionnelle croissante de la nécessité d'une communication transparente sur les risques.
Examen réglementaire et confiance du public
Les chercheurs néerlandais soulignent à juste titre que leur étude met en évidence une association, et non une causalité définitive. Cependant, en matière de santé publique, où les risques sont évalués à l'échelle de la population, un signal cohérent et biologiquement plausible issu d'un ensemble de données portant sur des millions de personnes ne saurait être écarté comme une simple coïncidence. Il constitue un élément de preuve crucial que les autorités sanitaires et les professionnels de santé doivent intégrer dans des discussions franches et personnalisées sur le rapport bénéfice-risque avec les patients.
« Le danger du zona réside dans son potentiel à provoquer des douleurs nerveuses intenses et persistantes, ainsi que de graves complications », explique Enoch de BrightU.AI. « Ces complications peuvent inclure des infections cutanées bactériennes, des troubles neurologiques comme la méningite ou la neuropathie motrice, et des pertes sensorielles telles que la cécité ou la surdité. Le risque est particulièrement élevé chez les personnes âgées ou celles dont le système immunitaire est affaibli, chez qui les surinfections peuvent être mortelles. »
La quête de la vérité scientifique est souvent inconfortable ; elle remet en question des idées reçues et exige une réévaluation des politiques établies. L'étude de l'Université de Groningue délivre un message clair et étayé par des données probantes : les doses de rappel du vaccin contre la COVID-19 sont associées à une augmentation temporaire, mais significative, du risque de zona, une affection elle-même liée à des séquelles neurologiques graves et permanentes.
Ce constat plaide fortement en faveur d'un consentement éclairé renforcé, d'un approfondissement des recherches sur la modulation immunitaire induite par la vaccination et de la nécessité de veiller à ce que les stratégies de santé publique soient suffisamment flexibles pour s'adapter aux nouvelles données. Ignorer ces données émergentes serait un grave préjudice pour les personnes que la santé publique cherche précisément à protéger.
A doctor calls for urgent stop to COVID-19 boosters. Watch this video.
This video is from the ?????? ?????????? channel on Brighteon.com.
Sources include:
NationalPulse.com
DailyMail.co.uk
MSN.com
BrightU.ai
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2025-12-23-study-links-covid-boosters-to-risk-of-shingles.html
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8 -DNC/ La vaccination d’animaux déjà infectés peut accroître le risque de recombinaison des souches du vaccin et des souches de terrain
le 24 décembre 2025
par pgibertie
« J’avais publié une note sur les vaccins DNC début novembre.
La vaccination a été étendue en cette fin décembre 2025 et beaucoup d’éleveurs se posent des questions sur ses avantages et ses inconvénients. Voici un texte plus complet sur ce sujet. Pour les autres aspects concernant la DNC, voir mes autres articles [1]. » H. Banoun
La vaccination semble être la solution pour limiter les conséquences économiques de la LSD mais elle est incapable d’éradiquer la maladie, elle peut seulement la contenir. On ne connaît pas les conséquences à long terme de la recombinaison entre souches vaccinales et souches sauvages et le devenir de ces souches recombinantes qui semblent prendre le pas en Asie sur la souche sauvage.
La vaccination est une solution à moyen terme mais elle est incapable d’éradiquer la maladie. D’un point de vue économique il est impossible de laisser se développer la maladie en soignant les bêtes afin que les troupeaux domestiques acquièrent une immunité naturelle mais ce serait pourtant la solution à long terme (la faune sauvage sensible en Afrique et donc immunisée depuis longtemps est insensible à la maladie
(Hunter-Wallace, note 23). Il est regrettable que des troupeaux contaminés n’aient pas été conservés vivants pour étudier l’évolution de la maladie et l’immunisation naturelle des animaux. La maladie semble bénigne : aucun animal n’est décédé.
Le LSDV recombinant pourrait se développer lorsque des vaccins sous-atténués sont introduits chez des animaux précédemment infectés par une souche virulente de terrain. Les animaux susceptibles d’être en période d’incubation ou activement infectés ne doivent absolument pas être vaccinés avec un vaccin vivant atténué, car il existe un risque de recombinaison des souches virales et vaccinales (Shridhar 2022, Akther 2023[25]).
C’est aussi l’avis de l’experte Européenne Eeva Tuppurainen : Lorsqu’un foyer de LSD est en cours et que des campagnes de vaccination de masse sont menées rapidement, la vaccination d’animaux déjà infectés peut accroître le risque de recombinaison des souches du vaccin et des souches de terrain (Tupparainen, 2021)[26].
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9 -Comme pour les êtres humains l'on attend pas d'avoir la rage, la peste ou le choléra pour se faire vacciner, sauf en 2020 et après où - durant la pandémie - ont été exigé de se faire... inoculer profond le poison mortel (Plan Dépopulation21).
Et... pas un docteur n'a dit son mot !!!
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10 -Vaccination obligatoire des bovins : un vaccin sans AMM imposée, le scénario Covid se répète
France-Soir
le 23 décembre 2025 - 15:33
Après avoir contacté directement le ministère de l’Agriculture, la journaliste d'investigation Corinne Lalo a reçu une réponse officielle confirmant une information essentielle tenue à l’écart de la communication publique : la France impose une vaccination obligatoire des bovins contre la dermatose nodulaire contagieuse à l’aide du Bovilis Lumpyvax de Merck, un vaccin dépourvu d’autorisation de mise sur le marché. Le ministère reconnaît que ce produit ne bénéficie que d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) accordée par l’ANSES, laquelle précise elle-même que les données disponibles reposent sur un « niveau de preuve limité ». Une obligation vaccinale est donc instaurée sur la base d’un produit dont l’efficacité et la sécurité ne sont pas établies, rappelant de manière plus que troublante le scénario déjà vécu lors de la crise du Covid-19.
Les éléments issus des agences sanitaires confirment pourtant l’ampleur du problème. Le vaccin repose sur des virus vivants atténués, qui ne confèrent pas une immunité complète à l’ensemble du troupeau. Certains animaux développent des nodules contenant des virus vaccinaux capables de se répliquer, et ces virus peuvent être excrétés et disséminés. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) souligne que, dans les pays ayant mené des campagnes similaires, la dermatose nodulaire n’a pas été éradiquée. La protection induite est temporaire, les anticorps diminuant en quelques mois, ouvrant la voie à une vaccination annuelle répétée, tandis que des virus vaccinaux sont retrouvés dans le sang, le lait et la viande. Des lésions nécrotiques importantes, parfois sur plusieurs kilos de tissu, sont également observées au point d’injection.
Résumé vidéo sur la DNC :
À cela s’ajoutent des contre-indications et contraintes strictes figurant dans les mises en garde du vaccin lui-même : il ne doit pas être utilisé chez les bovins présentant déjà des lésions de dermatose nodulaire, ne peut être administré qu’à des animaux en parfaite santé, et impose des délais de 28 jours avant toute introduction dans un troupeau ou tout transport, des exigences difficilement conciliables avec une vaccination massive et obligatoire en situation de crise.
Tout est désormais sur la table : un vaccin sans AMM, des preuves scientifiques faibles, une efficacité partielle et des effets indésirables documentés, mais imposés malgré tout aux éleveurs, sans possibilité de garantir aux consommateurs l’absence de virus vaccinaux dans les produits alimentaires. Le parallèle avec la gestion du Covid-19 s’impose - ce qui a été analysé par Hélène Bannoun et Jean-François Lesgards dans un rapport publié par l'association BonSens.org il y a plus de 4 mois. Même logique d’urgence, même contournement des procédures classiques, même mise à l’écart du principe de précaution. La justification de cette campagne apparaît clairement comme politique et commerciale, et non sanitaire et scientifique, au prix d’un passage en force dont les conséquences restent à venir. Et encore une fois une mise à l'écart de l'information. Les gueux n'ont pas besoin de savoir !
Pour en savoir plus sur la DNC :
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11 -Ballon d'essai. Demain, cette bonne idée sera imposé aux êtres humains !
"Quelqu'un a toussé dans votre quartier ?"
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12 -EXCLUSIF: De faux drapeaux arrivent... et ils le savent | Daily Pulse
Ils ont perdu le consentement du public. Maintenant, ils ont besoin d'un déclencheur. L’histoire montre ce qui se passe ensuite – et ce n’est jamais paisible.
Le Renard Vigilant
24 décembre 2025
Regardez l'épisode complet
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Que se passe-t-il lorsque les gens cessent de croire leurs dirigeants, et que les gouvernements commencent à perdre le contrôle ?
Selon l’histoire, c’est à ce moment-là que de faux drapeaux sont déployés – et que le prochain est peut-être déjà en mouvement.
Quand l’unité ne peut pas être gagnée, la peur devient le raccourci. Les dirigeants fabriquent des « crises » pour forcer l’obéissance qu’ils ne peuvent plus inspirer.
Ce n’est pas de la spéculation. C’est un modèle historique qui se termine de la même façon à chaque fois.
Vous souvenez-vous il y a seulement deux mois lorsque nous avons porté cet article à votre attention: Que se passera-t-il si vous refusez la conscription britannique pour la Troisième Guerre mondiale?
Nous avons identifié à juste titre à l'époque qu'il s'agissait d'un exercice de propagande à notre avis, en préparant la population à la Troisième Guerre mondiale en les effrayant en leur faisant croire qu'ils seraient honteux s'ils ne participaient pas.
Eh bien, la semaine dernière, nous avons vu le maréchal en chef de l’air britannique Sir Richard Knighton dire aux « fils et filles » britanniques de se préparer à la guerre et au « sacrifice » pour leur nation.
Pendant ce temps, l'Allemagne dit maintenant à ses citoyens que si suffisamment de gens ne s'inscrivent pas volontairement, ils seront forcés sur le champ de bataille.
Alors, comment vous sentez-vous, citoyens de ces gouvernements tyranniques qui ont déployé des injections létales de COVID, qui vous mettent en prison pour votre discours: Êtes-vous prêt à aller et mourir pour ces dirigeants?
C'est une situation extrêmement désastreuse en Europe, et personne n'a eu le doigt sur le pouls de cela plus que l'économiste Martin Armstrong.
Armstrong affirme que des pays comme le Canada et l'Australie parlent déjà d'envoyer des troupes en Europe. Il croit que chaque pays sera touché par cette guerre d'une manière ou d'une autre.
Il se joint à nous aujourd’hui pour discuter du moment où cela arrivera à une tête – et de ce à quoi nous pouvons nous attendre dans la nouvelle année.
Martin Armstrong a ouvert en retraçant la crise à venir non pas vers des chars ou un territoire, mais vers quelque chose de beaucoup moins dramatique: l'euro.
« L’Europe est en gros implore », a-t-il déclaré.
Il a expliqué que l’instabilité d’aujourd’hui remonte à la base même de l’euro. Lorsqu’il a été introduit, les dirigeants l’ont poussé sans consolider les dettes nationales, laissant dès le départ des économies plus faibles exposées.
Armstrong a dit qu'il les avait prévenus à ce moment-là. S'ils allaient de l'avant sans résoudre le problème de la dette, le système finirait par se gonfler sous son propre poids.
Ce moment est venu où la Grèce a commencé à s'effondrer. Les marchés ont paniqué, les capitaux ont fui et la pression s'est rapidement répandue. Armstrong a noté que ce n’était pas nouveau ou imprévisible. Il a suivi le même schéma observé dans les crises de la dette antérieures, lorsque la confiance des investisseurs a disparu presque du jour au lendemain.
Ce qui rend la situation plus dangereuse maintenant, a-t-il ajouté, c'est que les dirigeants européens discutent ouvertement de la réduction de pays comme l'Italie et la Grèce au lieu de réparer le système.
La réforme, à ce stade, n'est plus une option.
Avec la colère du public qui monte et la structure qui craque de l'intérieur, Armstrong a déclaré que les dirigeants tournent vers l'extérieur. Le conflit extérieur devient un moyen de détourner l’attention de l’échec interne.
« Et c’est pourquoi ils ont besoin de guerre avec la Russie. »
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À partir de là, la conversation s'est déplacée vers ce qui se passe lorsque la confiance du public s'effondre.
Armstrong a expliqué que les populations qui ont été censurées, réduites au silence et pressées économiquement ne risquent pas de se rallier derrière une autre urgence manufacturée. Une fois que la confiance a disparu, le consentement volontaire disparaît avec elle.
C’est à ce moment-là que les choses deviennent dangereuses.
Selon Armstrong, les dirigeants qui ne peuvent pas construire l’unité d’eux-mêmes se tournent souvent vers autre chose: un choc. Historiquement, ces moments sont soudains, dramatiques et très efficaces pour changer le comportement du public. Ils ont même un nom.
De faux drapeaux.
Il a dit avoir averti les responsables directement de ce risque. Lors de réunions privées, il a expliqué comment un incident mis en scène ou manipulé pouvait être utilisé pour justifier l'escalade, en particulier en activant des mécanismes de traité qui écartent le choix démocratique.
Ce qui l'a le plus surpris, c'est la réponse. Personne n'a repoussé. Ils ont compris exactement ce qu’il voulait dire et ne l’ont pas contesté.
Lorsque les systèmes commencent à échouer et que le pouvoir commence à s'échapper, Armstrong a déclaré que les dirigeants cherchent un catalyseur. Quelque chose qu'ils peuvent blâmer sur un ennemi extérieur pour forcer la conformité et restaurer le contrôle.
« Ils sont désespérés à ce stade. »
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Armstrong a ensuite élargi le cadre et a contesté l’ensemble du récit dominant – non pas comme une bataille au-dessus des frontières, mais au-dessus de l’argent.
Il a dit que ce qui se déroule vraiment n’est pas territorial du tout. C’est une guerre financière – et elle a commencé lorsque les gouvernements occidentaux ont armé le système monétaire mondial.
En coupant les pays des réseaux de paiement internationaux, a expliqué Armstrong, ils ont envoyé un message clair au reste du monde: obéir, ou être exclus.
Mais cette stratégie s'est retournée contre elle.
Cela a poussé des nations comme la Russie, la Chine, l’Iran et la Corée du Nord à l’alignement stratégique, non pas parce qu’elles partagent l’idéologie, mais parce qu’elles partagent une menace commune.
Maintenant, ces pays fonctionnent comme un bloc économique et militaire unifié.
Armstrong a averti que ce changement change complètement le rapport de force. Si la pression provient de plusieurs régions à la fois, les défenses occidentales pourraient être dépassées.
Et supprimer les leaders modérateurs ne l’arrêtera pas.
« Tu l’enlèves, lui et le reste d’entre eux, ils s’en fichent. »
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En regardant ses modèles de données, Armstrong a déclaré que les signes sont clairs: l'Europe entre dans ce qu'il appelle un "cycle de panique".”
Ce n’est pas de la théorie, c’est la reconnaissance des modèles. Le ralentissement des économies, les troubles croissants et les dirigeants qui refusent de réformer poussent la région vers la crise.
Et au lieu de résoudre le problème de la racine, ceux qui sont au pouvoir tiennent le coup plus serré.
L’histoire montre clairement une chose: lorsque les gouvernements commencent à s’effondrer de l’intérieur, ils n’admettent pas l’échec – ils expriment la colère du public face à une menace extérieure.
Armstrong a souligné que ce n’était pas un commentaire politique, c’est un cycle qui se répète depuis des siècles. Les données ne font que le confirmer.
« Soit ils font défaut et traitent avec les gens avec des pitchforks qui viennent chercher leur cul au Parlement, soit ils créent un détournement. »
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Dans un autre moment clé de l'interview, Armstrong a souligné un point d'échec auquel peu de gens pensent.
Les régimes ne s’effondrent pas à cause d’élections ou de manifestations virales, a-t-il déclaré. Ils s'effondrent quand l'armée et la police cessent d'obéir.
Il a décrit cela comme le véritable point de rupture des systèmes autoritaires. Tant que l'armée et la police suivent les ordres, le régime tient. Mais au moment où ils cessent de tourner sur leurs propres citoyens, tout commence à se démêler.
Armstrong a déclaré qu’il avait déjà regardé cela se jouer – en Ukraine, en Russie et tout au long de l’histoire. Les gouvernements peuvent résister aux troubles, à la censure, voire à l’effondrement économique. Ce qu’ils ne peuvent pas survivre, c’est quand les forces de l’ordre disent « non ».
Et ce seuil, a-t-il prévenu, est à nouveau testé.
Avec l’expansion de la censure et l’escalade de la répression, de nombreux officiers sont maintenant invités à cibler les personnes qui leur ressemblent – voisins, amis, voire famille.
Et quand ça rentre chez soi, la loyauté se brise. « Ils n’ont pas de pouvoir sans militaire et sans police. »
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Pour clore la conversation, Armstrong a livré un avertissement qui se sentait plus grand que la politique.
Ce à quoi nous assistons, a-t-il dit, n’est pas un dysfonctionnement ordinaire – c’est quelque chose de beaucoup plus dangereux.
Les dirigeants s'accrochent à des systèmes qui ne fonctionnent plus. Et plutôt que correct, ils se verrouillent plus fort.
Face à un choix entre stabilité et contrôle, ils choisissent le contrôle.
Cette décision est déjà en train d’ondulation à travers le monde – entrainant les chaînes d’approvisionnement, perturbant l’énergie et frappant la vie quotidienne des gens ordinaires.
Même les pays éloignés des lignes de front ne seront pas immunisés.
Lorsque les systèmes mondiaux se brisent, les dégâts ne s’arrêtent pas aux frontières.
Les signes sont faciles à manquer si vous ne cherchez pas. Mais Armstrong a clairement dit: ce ne sont pas des signes de force. Ce sont des symptômes d’effondrement.
« Ce n’est tout simplement pas durable à long terme. »
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Merci d'être à l'écoute. Si cette information vous a ouvert les yeux, ne manquez pas le rapport complet ci-dessous, et assurez-vous de le partager avec un ami.
Nous serons de retour vendredi avec notre dernier épisode de 2025 ici sur Substack, récapitulant certains des plus grands développements de l’année et à quoi s’attendre pour 2026. On se voit alors.
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