L’administration Trump veut relancer son nucléaire avec cofinancement de Tokyo

 

France-Soir

 le 31 octobre 2025 - 09:59


Washington mise sur Tokyo pour raviver son nucléaire. Le gouvernement des États-Unis annonce un investissement majeur de 80 milliards de dollars pour lancer la construction de dix nouveaux réacteurs d’ici 2030. Dans ce vaste projet, le Japon joue un rôle clé, avec un engagement potentiel de 332 milliards de dollars dans un accord global de 550 milliards de dollars visant à renforcer les infrastructures américaines, incluant la technologie, l’industrie et la production d’énergie nucléaire.

La récente visite officielle de Donald Trump au Japon a marqué un tournant diplomatique majeur entre Washington et Tokyo. Accueilli avec tous les honneurs par la nouvelle Première ministre japonaise Sanae Takaichi et l’empereur Naruhito, le président américain a quitté Tokyo auréolé d’une série d’accords destinés à consolider “l’alliance au plus haut niveau” entre les deux pays et à amorcer un “nouvel âge d’or” des relations nippo-américaines. Au cœur des discussions figuraient le commerce, les lourds investissements japonais attendus sur le sol américain, et la volonté de Tokyo de renforcer son budget de défense face à la montée en puissance de Pékin. Dans ce contexte, des protocoles d’accord ont été signés, concernant les terres rares et surtout, le secteur nucléaire.

Mitsubishi et Toshiba pressentis

Ce rapprochement diplomatique intervient alors que le nucléaire américain opère un revirement stratégique inédit sous le deuxième mandat de Donald Trump. Après une décennie de déclin, de fermeture massive de réacteurs et de mise en concurrence désavantageuse face au gaz de schiste, les industriels du secteur nucléaire entrevoient l’espoir d’une relance. En marge du partenariat américano-japonais, la Maison-Blanche a annoncé le déblocage d’un budget colossal d’au moins 80 milliards de dollars dédié à la construction de nouveaux réacteurs conventionnels, sous l’impulsion de Westinghouse Electric Company. 

Cette décision, qui prolonge le décret présidentiel “Redynamiser le parc nucléaire industriel”, doit permettre de lancer dix chantiers de réacteurs d’ici à 2030, dont l’un des principaux buts est de répondre à la demande électrique en raison de l’essor des centres de données et de l’intelligence artificielle.

Lors de son voyage en Asie, le président américain a révélé que le Japon fournirait jusqu'à 332 milliards de dollars pour soutenir un vaste projet de 550 milliards de dollars dédié à l'infrastructure aux États-Unis. La participation japonaise englobe aussi bien le secteur nucléaire que la technologie, l’industrie, l’automobile et l’agriculture.

Quant à la participation précise au projet de Westinghouse, le montant n’a pas encore été communiqué et peut varier selon les négociations entre les groupes industriels concernés.

Plusieurs médias affirment tout de même que Tokyo prendra part à la construction de réacteurs Westinghouse AP1000 et de petits réacteurs modulaires.

Ce sont les entreprises Mitsubishi Heavy Industries et Toshiba qui seront concernées, selon une fiche d'information publiée mardi par les deux pays sur l'accord commercial.

Ce projet constitue un profond changement pour la filière nucléaire américaine, qui n’avait plus construit de centrale depuis 2009, victime de son impopularité et du coût exorbitant des infrastructures, exacerbés par les précédents de Three Mile Island, Tchernobyl et Fukushima. Mais la crise énergétique déclenchée par l’invasion russe en Ukraine et la montée des besoins liés au cloud et à l’IA ont rebattu les cartes.

Trump poursuit sa politique 

Depuis son retour à la Maison-Blanche en 2025, Donald Trump poursuit une stratégie commerciale axée sur la conclusion d'accords bilatéraux avec plusieurs alliés pour stimuler les investissements sur le sol américain et rééquilibrer les balances commerciales tout en favorisant la relance industrielle des États-Unis. 

L’accord commercial signé entre l’UE et les États-Unis en juillet 2025, bien qu’annoncé comme “un pas important” dans la relance des investissements transatlantiques, a rapidement provoqué une vive controverse en Europe. Il a été largement décrié pour son caractère déséquilibré, imposant notamment une surtaxe de 15 % sur les importations européennes aux États-Unis sans contrepartie équivalente.

En Asie, outre le Japon avec son engagement à investir 550 milliards de dollars dans les infrastructures américaines, Trump a aussi négocié avec la Corée du Sud, le Vietnam et l’Indonésie, imposant des droits de douane plus élevés tout en ouvrant largement les marchés de ces pays aux exportations américaines. 

Lors de sa tournée en Asie, Donald Trump a rencontré son homologue chinois Xi Jinping en Corée du Sud et les deux dirigeants ont conclu un accord d’un an, renouvelable, apaisant la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine. Pékin a accepté de suspendre ses restrictions à l’exportation de terres rares, essentielles pour l’industrie technologique et de défense, tandis que Washington a réduit de moitié les droits de douane imposés sur certains produits chinois. Cet accord inclut également des engagements chinois accrus pour l’achat de soja américain.

https://www.francesoir.fr/politique-monde/l-administration-trump-veut-relancer-son-nucleaire-avec-cofinancement-de-tokyo

Pas de smartphone pour les enfants de Steve Jobs, Bill Gates et Cie.

 

29.10.2025 
 www.kla.tv/39260


Dans la Silicon Valley californienne, où se trouvent l'industrie technologique multimilliardaire et de nombreux grands acteurs comme Apple, Google, Amazon, Facebook et autres, la nouvelle génération est délibérément envoyée dans des écoles où le tableau noir, le stylo et le papier sont utilisés à la place de la tablette et du ChatGPT. "L'idée qu'une application sur un iPad puisse mieux enseigner la lecture ou l'arithmétique à mes enfants est ridicule", déclare Alan Eagle, ex-directeur de la communication chez Google. Le fondateur d'Apple, Steve Jobs, avait un jour reconnu que ses enfants n'avaient pas le droit d'utiliser l'iPad, qui était sorti à l'époque. Les enfants de Bill Gates n'étaient pas non plus autorisés à posséder un téléphone portable jusqu'à l'âge de 14 ans et leur utilisation a ensuite été réglementée, a mentionné le fondateur de Microsoft dans une interview. Il est intéressant de noter que Microsoft et Apple sont toutes deux actives dans le domaine de l'éducation. Les deux veulent aider les enfants dans les écoles à se préparer à un avenir dans un monde numérisé. L'élite technologique tient donc délibérément ses propres enfants à l'écart des médias numériques et de la technologie mobile, mais soumet les écoles publiques à une technologie numérique de plus en plus importante - et ce n'est pas un hasard - parce qu'ils savent très bien que cette consommation excessive de médias nuit non seulement à la santé, mais aussi à la vie de famille et à la réussite scolaire !

de abu.
Sources/Liens :
Alan Eagle, Steve Jobs, Bill Gates : les enfants de l'élite technologique sont délibérément tenus à l'écart des médias numériques
epochtimes.de/gesellschaft/bildung/die-kinder-der-tech-elite-sollen-moeglichst-ohne-technik-lernen-a4908016.html

L'influence dangereuse de la numérisation
https://www.kla.tv/37673#s=fr

Plus il existe de films français subventionnés, moins il y a de spectateurs

 

28 octobre 2025

Philbert Carbon


Un rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) sur les aides au cinéma fait un constat accablant de la situation. Alors que les financements privés baissent et que le nombre de spectateurs se réduit, la production de films s’intensifie et dépend de plus en plus de la manne publique. Mais l’IGF ne suggère que quelques millions d’économies alors qu’il faudrait remettre en cause tout le système de financement public du cinéma français.

Quand on le compare, le cinéma français n’est pas à plaindre : les salles comptent 2,6 entrées par habitant contre 1,5 dans le reste de l’Union européenne (UE) ; le taux d’écrans pour 100 000 habitants s’élève à 9,7 en France, contre 5,8 en moyenne européenne ; la part du cinéma français dans le marché national s’établit à 40% alors que les parts de marché du cinéma européen sur le territoire de l’UE étaient en moyenne de 34% au cours des dix dernières années.

Le cinéma français : un géant aux pieds d’argile

De fait, même si la fréquentation des salles françaises semble avoir atteint un plateau entre 2009 et 2019, avec un peu plus de 200 millions d’entrées par an, le nombre d’entrées se maintient à un niveau élevé : 180 millions en 2023, 181 millions en 2024.

Du côté de la production, sur les 716 films qui ont fait l’objet d’une première sortie commerciale en France, 406 étaient français (57%). Parmi ceux-ci, 298 ont été agréés par le Centre national du cinéma (CNC), dont 236 films d’initiative française (79%). L’Inspection générale des finances (IGF) constate, dans son rapport, que la production de films agréés atteint régulièrement, depuis 2015, le seuil de 300 films. Ce niveau élevé représente un accroissement de près de 50% par rapport au niveau de production des années 2000 (213 films en moyenne) et de près de 100% par rapport au niveau de production des années 1990 (152 films en moyenne).

Précisons que le CNC peut délivrer aux films français ou coproduits par au moins un producteur français un agrément, nécessaire pour ouvrir droit aux aides financières. Il est délivré en deux temps : un premier agrément, dit « des investissements », est accordé avant le tournage ; un second, dit « de production », l’est après le tournage et l’obtention du visa d’exploitation.

Toujours est-il que l’offre croissante de films, notamment agréés, d’un côté et la baisse du nombre d’entrées de l’autre, se traduit par une augmentation du nombre de films qui n’ont que peu, voire très peu, de spectateurs.  En 2022, plus d’un tiers des films financés sur fonds publics (35%) ont comptabilisé moins de 20 000 entrées et près des trois quarts (72%) moins de 200 000 (c’est-à-dire moins de 1,5 M€ de recettes en salle, alors que le budget moyen d’un film en France est d’environ 4,3 M€). En 2015, les films réalisant moins de 20 000 entrées ne représentaient que 15% du total. Cette année-là, 11% des films subventionnés étaient vus par moins de 5 000 spectateurs ; en 2022, c’était 18%. A l’autre bout du spectre, les films faisant plus d’un million d’entrées, qui représentaient 8% du total en 2015, n’étaient plus que 2% en 2022.

L’IGF relève également un accroissement des montants de financements publics mobilisés par spectateur : alors que 15% des films sortis en 2015 n’ont pas bénéficié de fonds publics (7%) ou ont coûté moins d’un euro de financement public par spectateur (8%), ils n’étaient plus que 6% en 2022 (dont 2% n’ayant reçu aucune subvention). La même année, 20% des films ont coûté plus de 50 € d’argent public par spectateur (2% en ont même coûté plus de 500).

Le rapport décrit également une filière sous tension dont la rentabilité économique dépend fortement des aides publiques, généralement non remboursables. Ainsi, selon les années, seules 10% à 15% des sociétés de production ont un résultat d’exploitation positif si l’on déduit les aides du CNC. Pour les sociétés de distribution, les chiffres sont de 8% à 19%.

L’IGF a également examiné la rentabilité de 837 films sortis entre 2015 et 2018 et ayant reçu l’agrément de production. Pour un coût de production total de 3 941 millions d’euros (M€), les recettes se sont élevées à 2 811 M€ et les pertes, par conséquent, à 1 130 M€, ramenées à 297 M€ après versement des 833 M€ d’aides publiques.

Sur l’ensemble de la période 2015-2018, seuls 16% des films ont généré des recettes supérieures à leurs coûts de fabrication. Par conséquent, 84% des films ne sont pas rentables (et ils sont encore 72% après versement des aides publiques).

Des aides multiples, certaines quelque peu escamotées

Le rapport tente d‘établir la liste des financements publics et privés obligatoires au cinéma : obligations d’investissement dans des œuvres cinématographiques auxquelles sont soumises les médias audiovisuels (415 M€ en 2023) ; préfinancements de la production octroyés par l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (IFCIC) ; crédits d’impôt soutenant la production cinématographique ; soutiens du Centre national du cinéma (CNC) ; taux réduit de TVA sur les billets de cinéma. Au total, l’IGF estime que près d’1,2 milliard d’euros (Md€) d’aides publiques ou de financements privés obligatoires sont accordés à la filière du cinéma.

Il nous semble que l’GF minimise les aides publiques. Si elle a pris en compte les subventions régionales dans le total de 1,2 Md€, elle fait l’impasse sur les aides communales. A Paris, par exemple, la mission cinéma de la ville est dotée de 10 M€ par an pour soutenir la production de court-métrages, les tournages, les salles « art et essai » indépendantes, les festivals, etc.

Le rapport ne dit pas non plus un mot du régime des intermittents du spectacle qui bénéficie à environ 130 000 personnes et qui est structurellement déficitaire d’1 Md€ par an. Le cinéma en profitant largement, il conviendrait d’ajouter une bonne partie de cette somme au 1,2 Md€. Par conséquent, le montant des aides publiques au cinéma serait plutôt de l’ordre de 2 à 2,5 Md€ chaque année.

L’inspection générale des finances propose quelques économies, à hauteur de 80 millions d’euros (M€), soit à peine 6,7% du montant des aides qu’elle a recensées. Autant dire une goutte d’eau, alors que l’État aurait besoin d’économiser au moins 200 Md€ par an pour redresser sa situation financière.

En réalité, c’est le principe même de ces aides au cinéma qu’il conviendrait de remettre en cause. Ce que l’IGF se garde bien de faire. Il est, en effet, particulièrement choquant de consacrer autant d’argent, pris dans la poche des Français, pour soutenir la production de films qu’ils ne veulent pas voir. De surcroît, l’industrie cinématographique ne craint pas de rémunérer très grassement la plupart de ses protagonistes, à commencer par les acteurs.

Des acteurs trop payés

Une polémique était d’ailleurs née à ce sujet il y a une dizaine d’années, à la suite d’une tribune publiée dans Le Monde critiquant sévèrement l’économie du cinéma français. Ce qu’écrivait alors l’auteur, le distributeur et producteur Vincent Maraval, mérite d’être relu : « Après les films des studios américains, la France détient le record du monde du coût moyen de production : 5,4 M€, alors que le coût moyen d’un film indépendant américain tourne autour de 3 M€. Ce coût moyen ne baisse jamais, alors qu’il y a toujours plus de films produits, que le marché de la salle stagne, que la vidéo s’écroule et que les audiences du cinéma à la télévision sont en perpétuel déclin face à la télé-réalité et aux séries. » Pourquoi les coûts français sont-ils si élevés, d’après Maraval ? Parce que les acteurs sont trop payés : « Mais pourquoi, au fond, les acteurs seraient-ils pires que les sportifs ? Parce que leur carrière est potentiellement plus longue ? Non, le seul scandale, le voilà : les acteurs français sont riches de l’argent public et du système qui protège l’exception culturelle. A part une vingtaine d’acteurs aux Etats-Unis et un ou deux en Chine, le salaire de nos stars, et encore plus le salaire de nos moins stars, constitue la vraie exception culturelle aujourd’hui. » Et il ajoutait : « Pourquoi, par exemple, Vincent Cassel tourne-t-il dans Black Swan (226 M€ de recettes monde) pour 226 000 euros et dans Mesrine (22,6 M€ de recettes monde) pour 1,5 M€ ? Dix fois moins de recettes, cinq fois plus de salaire, telle est l’économie du cinéma français. »

Depuis cette tribune, les chiffres sur les cachets des acteurs sont très méticuleusement dissimulés. Pour calmer les esprits, le CNC décida, en 2014, de plafonner le salaire des acteurs des films qu’il finance à 990 000 euros. Ce montant a-t-il été revalorisé depuis ? Nous n’avons pas trouvé l’information.

Au lieu de mettre fin à ce système honteux, le projet de budget du ministère de la Culture pour 2026 prévoit de réduire les crédits alloués au patrimoine (-58 M€ par rapport à 2025), et ce, alors même que Rachida Dati a décrété « l’urgence patrimoniale », et rappelé que 20% de nos monuments historiques sont en mauvais état et 5 % en péril.

https://contrepoints.org/plus-il-existe-de-films-francais-subventionnes-moins-il-y-a-de-spectateurs

Les Allemands sacrifient l'énergie nucléaire à leur Dieu "Énergie verte" La dernière centrale nucléaire allemande, parfaitement bonne, a explosé en Bavière ce samedi.

 John Leake

27 octobre 2025


D'autres preuves que les personnes qui dirigent l'Allemagne ont perdu la tête sont venues ce samedi lorsque deux tours de refroidissement de l'ancienne centrale nucléaire de Gundremmingen ont été démolies, près de quatre ans après l'arrêt du dernier réacteur.

La raison d’être déclarée pour l’arrêt du secteur de l’énergie nucléaire extrêmement efficace et propre de l’Allemagne était l’accident nucléaire de Fukushima en mars 2011, lorsque le réacteur a été frappé par le tsunami de Tohoku en 2011 qui avait des hauteurs de vague allant jusqu’à 14 mètres ou 50 pieds. Peu importe que la Bavière et le reste des réacteurs nucléaires intérieurs de l’Allemagne ne soient nulle part près d’une zone de tsunami.

Comme le « vaccin COVID-19 », « l’énergie verte » est un artefact religieux rémunérateur, créé par des intérêts industriels impitoyables exploitant l’épidémie psychique ou le « virus de l’esprit » de la peur du soi-disant « changement climatique ».

Notez que la destruction de l’industrie de l’énergie nucléaire ajoute un nouveau niveau d’irrationalité à ce culte bizarre, car l’énergie nucléaire ne libère pas de soi-disant « gaz à effet de serre » en dehors d’une quantité modeste de vapeur provenant des tours de refroidissement.

Les lecteurs qui sont intrigués par l'effondrement parfaitement symétrique du bâtiment WTC 7 observeront que la démolition contrôlée des deux tours de refroidissement n'a pas été réalisée était la même symétrie presque parfaite.

Le culte du « changement climatique » est l’un des virus mentaux que j’examine dans mon prochain (10 février 2026) de ce titre, maintenant disponible en précommande sur Amazon.

Une caractéristique terrifiante de cette folie est l’énergie religieuse suicidaire, anti-humaine et fanatique qu’elle exprime. Un autre virus mental est le syndrome de dérangement russe qui a également saisi l'esprit des personnes qui dirigent l'Allemagne. Plutôt que de reconnaître que la Russie a des préoccupations légitimes en matière de sécurité qu’elle exprime depuis le Sommet de Bucarest de l’OTAN de 2008 – préoccupations que la chancelière Angela Merkel a expressément reconnues – les dirigeants allemands sont apparemment maintenant déterminés à mettre en scène un conflit final Götterdämmerung (Twilight of the Gods) avec la Russie – un événement dans la mythologie nordique qui présente une étrange similitude avec la révélation de John de la fin du monde, que l’ambassadeur de Trump en Israël.

La recherche de ce conflit avec la Russie par l’Allemagne est particulièrement étonnante, étant donné que l’Allemagne a envahi la Russie en 1941 et tué des millions de Russes avant d’être battu à Berlin quatre ans plus tard. La Wehrmacht a utilisé l'Ukraine comme rampe de lancement en Russie proprement dite. Le traumatisme apocalyptique subi par le peuple russe à la suite de l'opération Barbarossa est précisément la raison pour laquelle les Russes se sont si méfiés à l'égard de l'Occident établissant une grande présence militaire en Ukraine. Il n’y a pas si longtemps, tous les écoliers d’Europe occidentale l’ont compris. Je suis incapable d'expliquer la pandémie d'ignorance extrême et dangereuse qui a balayé l'Occident ces dernières années.

Les citoyens allemands et américains raisonnables doivent compter sur la possibilité que le monde soit actuellement gouverné par des maniaques homicides en proie à des fantasmes millénaires.

La génération Baby-Boomer qui dirige le monde depuis plusieurs années semble se contenter de laisser les jeunes générations aux prises avec des dizaines de milliers de milliards de dettes et un monde en guerre. Cela ne me surprendrait pas s’ils ne sont pas non plus troublés par la perspective que le monde se termine simplement avec la fin de leur vie.

Le roi de France Louis XV aurait prétendument dit: «Après moi, le déluge», ou «Après nous, le déluge», cette dernière variation faisant référence à lui-même et à sa maîtresse préférée, Madame de Pompadour. Il semble que nos dirigeants actuels ressentent la même chose.

https://www.thefocalpoints.com/p/germans-sacrifice-nuclear-power-to?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=177283490&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

EXCLUSIF: La confession choquante de Merkel exposée: "Nous voulions la guerre" | Daily Pulse « Ce n’est pas la Grande Réinitialisation, c’est le Grand Effondrement. »

 

Le Renard Vigilant

Oct 28, 2025


Regardez l'épisode complet

- voir clips de Maria sur site  -

L’Occident n’a jamais voulu la paix avec la Russie, seulement la guerre.

L'ancienne chancelière allemande Angela Merkel a admis que l'accord de Minsk n'avait jamais été censé être honoré. « Nous voulions la guerre », dit-elle.

L’économiste Martin Armstrong l’a appelé la confession qui change tout – la preuve que le conflit ukrainien a été scénarisé bien avant que le premier coup de feu ne soit tiré.

Et la raison pour laquelle l’OTAN refuse encore la paix est plus sombre que quiconque est prêt à affronter.

Le monde se sent à la limite en ce moment. Le président de la Serbie a récemment averti que les relations diplomatiques étaient mortes dans l'eau et que chaque pays se préparait tranquillement à la guerre. Pendant ce temps, le Royaume-Uni aurait l'intention de faire honte à ceux qui refusent la conscription pour la troisième guerre mondiale.

Mais au milieu de tout ce chaos, il y a encore des voix qui appellent à la paix. L'un d'eux est l'économiste Martin Armstrong. Des personnalités puissantes cherchent à obtenir ses conseils – et il a maintenant publié un plan de paix pour la Russie et l’Ukraine.

Martin dit que chaque nation veut se concentrer sur son propre peuple, mais la vérité est que notre monde est profondément interconnecté. Il y a un moyen de sortir de cela, et il se joint à nous pour expliquer comment.

Armstrong ne s’est pas atténué dans la conversation – il est sorti en se balançant. « Le véritable ennemi ici est l’OTAN et l’UE », a-t-il déclaré.

Il a expliqué que la paix n'était jamais vraiment sur la table parce que l'Occident a besoin de ce conflit pour survivre. L’Ukraine, a-t-il ajouté, n’est qu’un « proxy dès le début ».

Selon lui, Poutine ne poursuit pas la conquête; il réagit à un système qui a complètement abandonné la diplomatie.

Armstrong a averti que les élites mondiales ont transformé l’Ukraine en une pièce d’échecs – un jeu dangereux qui, s’il n’était pas maîtrisé, pourrait enflammer quelque chose de beaucoup plus catastrophique que ce à quoi quiconque se préparait.

Regardez l'interview complète ici.

Ensuite, Armstrong a appelé ce qu’il considérait comme une hypocrisie flagrante en Occident – avec une ligne qui a fait une pause à Maria. « Nous voulions la guerre. »

L’aveu public de Merkel que les accords de Minsk n’ont jamais été censés être honorés, a-t-il déclaré, était la preuve que le conflit était prémédité dès le départ.

Pour Armstrong, il ne s’agissait pas de défendre la démocratie, il s’agissait de tromper la Russie assez longtemps pour armer l’Ukraine.

Ses paroles recadraient toute la guerre, non pas comme un faux pas tragique, mais comme une trahison calculée de la paix.

Regardez l'interview complète ici.

Armstrong a averti que la guerre n’est pas seulement politique – pour l’Europe, elle est devenue une question de survie.

“"L'Europe a besoin de guerre", a-t-il déclaré catégoriquement, expliquant que l'effondrement des économies et la crise des migrants ont créé une pression immense pour distraire le public.

Lorsque la prospérité disparaît, a-t-il expliqué, les gouvernements commencent à chercher des ennemis extérieurs à blâmer.

Son avertissement résonna à travers l’histoire – le même modèle d’effondrement économique, d’agitation civile et de montée de l’extrémisme qui a préparé le terrain pour les années 1840.

Regardez l'interview complète ici.

L'économiste a ensuite décrit ce qu'il a appelé les premiers signes d'un confinement financier.

Les contrôles des capitaux prennent déjà forme, a-t-il averti, et les CBDC vont « piéger l’argent des citoyens à l’intérieur des économies qui s’effondrent ».

Il a comparé le moment aux saisies d’or de la Seconde Guerre mondiale – sauf cette fois, « vous ne pourrez même pas acheter du Bitcoin. »

Sa voix est restée calme, mais son avertissement était clair: l'argent numérique est sur le point de devenir des chaînes numériques.

Regardez l'interview complète ici.

Armstrong a fini avec peut-être son avertissement le plus dégrisant à ce jour: «Ce n’est pas la Grande Réinitialisation – c’est le Grand Effondrement.»

Il a déclaré que les gouvernements se noient dans la dette, imprimant de l'argent juste pour payer les intérêts sur ce qu'ils doivent déjà. Quand le système se brisera enfin, a-t-il averti, « ce sera soudain et total ».

Pourtant, même au milieu de la sombre perspective, il a laissé une étincelle d'espoir. La connaissance, dit-il, c’est la survie. « Si vous savez ce qui arrive, vous survivrez à toi. »

C’était une approche proche d’une conversation définie par un thème récurrent – la vérité dépouillée de l’illusion.

Regardez l'interview complète ici.

Merci d'être à l'écoute. Suivez-nous (@Zeee_Media et @VigilantFox) pour des histoires qui comptent – les histoires que les médias ne veulent pas que vous voyiez.

Nous reviendrons avec un autre spectacle lundi. On se voit alors.

Regardez l'interview complète ci-dessous:

https://www.vigilantfox.com/p/exclusive-the-real-reason-nato-refuses?utm_source=post-email-title&publication_id=975571&post_id=177290167&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

Voici les populations les plus instruites du monde

 

PAR TYLER DURDEN

LUNDI 27 OCTOBRE 2025 - 09h15


Quels sont les pays dont les populations sont les plus instruites ?

Un niveau d'études supérieures élevé au sein d'une population indique généralement un plus grand potentiel d'innovation et de croissance économique, mais ce n'est pas toujours le cas.

Dans ce graphique, Marcus Lu de Visual Capitalist visualise le niveau d'éducation par pays, en le répartissant en trois catégories : niveau inférieur au lycée, niveau lycée ou diplôme, et diplôme universitaire.

Données et discussion

Ces données proviennent du rapport « Education at a Glance 2025 » de l'OCDE. Ce tableau compare le niveau d'éducation des adultes en âge de travailler dans 45 pays en 2024.

Pays . Niveau inférieur au lycée (%).  Lycée ou diplôme (%). Diplôme universitaire (%) (voir cadre meilleur sur site)

🇨🇦 Canada 6,4 28,9 64,7

🇮🇪 Irlande 10,7 31,7 57,5

🇰🇷 Corée du Sud 6,5 37,3 56,2

🇱🇺 Luxembourg 17,6 28,0 54,4

🇬🇧 Royaume-Uni 17,1 29,0 53,8

🇦🇺 Australie 13,0 33,9 53,1

🇸🇪 Suède 11,7 36,5 51,8

🇺🇸 États-Unis 8,0 41,3 50,7

🇮🇱 Israël 12,3 37,2 50,5

🇳🇴 Norvège 17,1 32,5 50,4

🇱🇹 Lituanie 7,0 45,3 47,7

🇨🇭 Suisse 13,8 39,7 46,5

🇩🇰 Danemark 16,2 38,7 45,1

🇳🇱 Pays-Bas 18,3 36,6 45,1

🇧🇪 Belgique 17,2 37,8 45,0

🇮🇸 Islande 20,4 35,1 44,5

🇳🇿 Nouvelle-Zélande 16,9 39,2 44,0

🇫🇷 France 16,1 40,6 43,4

🇫🇮 Finlande 10,9 46,4 42,7

🇪🇪 Estonie 9,5 47,9 42,5

🇪🇸 Espagne 34,7 23,0 42,3

🇱🇻 Lettonie 10,7 48,9 40,5

🇵🇱 Pologne 5,2 55,4 39,5

🇦🇹 Autriche 13.1 49.2 37.7

🇬🇷 Grèce 18.1 46.7 35.3

🇸🇮 Slovénie 11.0 54.4 34.6

🇩🇪 Allemagne 15.9 49.9 34.3

🇧🇬 Bulgarie 13.1 53.1 33.8

🇨🇱 Chili 25.0 42.1 32.9

🇵🇹 Portugal 38.5 30.1 31.4

🇭🇺 Hongrie 11.9 57.0 31.1

🇨🇴 Colombie 32.7 36.8 30.6

🇭🇷 Croatie 9.7 59.9 30.4

🇸🇰 République slovaque 6.3 64.7 29.0

🇨🇷 Costa Rica 51.7 20.5 27.8

🇨🇿 Tchéquie 5.7 66.8 27.5

🇹🇷 Turquie 49.9 23.1 26.9

🇦🇷 Argentine 32.2 43.6 23.7

🇮🇹 Italie 33.3 44.4 22.3

🇲🇽 Mexique 54.4 23.7 21.9

🇧🇷 Brésil 39.9 38.6 21.5

🇷🇴 Roumanie 24.6 56.2 19.2

🇮🇳 Inde 75.2 10.5 14.2

🇮🇩 Indonésie 57.3 29.7 13.1

🇿🇦 Afrique du Sud 49.3 41.7 9.0

Leaders de l'enseignement supérieur

Le Canada arrive en tête de liste avec près de 65 % des adultes titulaires d'un diplôme universitaire, suivi de près par l'Irlande et la Corée du Sud.

Ces pays ont massivement investi dans l'accès à l'enseignement supérieur, stimulés par des économies fondées sur la connaissance qui valorisent les qualifications supérieures.

Selon d'autres données de l'OCDE, des niveaux d'éducation plus élevés offrent des avantages salariaux importants. Par exemple, dans les pays de l'OCDE, les diplômés de l'enseignement supérieur gagnent généralement deux fois plus que les personnes n'ayant pas terminé leurs études secondaires.

Modèles d'éducation équilibrés en Europe

Des pays comme l'Autriche et l'Allemagne présentent une répartition plus équilibrée entre l'enseignement supérieur et la formation professionnelle (formation liée à un métier ou une profession spécifique).

Par exemple, l'Allemagne se classe au 19e rang mondial en termes de PIB par habitant, alors que seulement 34 % de ses adultes sont titulaires d'un diplôme universitaire.

Le pays dispose d'un solide système d'apprentissage où les étudiants combinent formation pratique et enseignement théorique, ce qui se traduit par un taux d'emploi élevé après l'obtention du diplôme.

Si vous avez apprécié cet article, découvrez « Les universités qui forment le plus de milliardaires » sur Voronoi, la nouvelle application de Visual Capitalist.

https://www.zerohedge.com/personal-finance/these-are-worlds-most-educated-populations

30 % des Américains déclarent ne pas pouvoir s'offrir de vacances

 

PAR TYLER DURDEN

LUNDI 27 OCTOBRE 2025 - 10h45


Selon les données de la dernière enquête Consumer Insights de Statista, près de trois Américains sur dix (29 %) affirment ne pas pouvoir partir en vacances cette année faute de moyens financiers.

Comme le montre Valentina Fourreau de Statista dans le graphique ci-dessous, il s'agit de la proportion la plus élevée parmi les 20 pays inclus dans l'enquête.

Infographie : 3 Américains sur 10 déclarent ne pas pouvoir s'offrir de vacances | Statista

Retrouvez d'autres infographies sur Statista

La proportion de Canadiens dont les finances ne leur permettaient pas de partir en vacances cette année était légèrement inférieure, à 28 %.

Comme le montre également l'infographie, la Chine est le seul pays où moins de 10 % des personnes interrogées n'ont pas pu s'offrir de vacances cette année, un chiffre bien inférieur à celui de l'Allemagne (22 %), de la France (19 %) ou même du Japon (26 %).

https://www.zerohedge.com/personal-finance/30-americans-say-they-cant-afford-holiday

Alerte : Dépénalisation de la pédophilie

 


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Blog n°248
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Budget : Un amendement de LFI pour taxer les motos de plus de 450 cm³ comme produits de luxe

 France-Soir

 le 24 octobre 2025 - 18:55


Après la voiture, ils sont à cheval sur la moto... Le 22 octobre, l’Assemblée nationale a adopté un amendement porté par des députés FLI qui requalifie les motos de plus de 450 cm³ en produits de luxe. L'idée serait d'augmenter leur TVA à 33 % dans le cadre du projet de loi de finances 2026. Un choix douteux qui fait bondir les motards et interroge sur la cohérence sociale d’une telle mesure.

Certains élus considèrent qu'enfourcher une 500 cm³ relève désormais du privilège. Dans l’amendement I-CF865 du budget 2026, ces machines sont classées au même rang que les jets privés, les montres de prestige et les lingots d’or. Une Kawasaki Z650 serait donc, sur le papier, l’équivalent d’une Ferrari ou d'un yacht. Une logique que seule la colère de gauche explique, étant donné que ces modèles coûtent souvent moins de 10 000 euros.

« Notre amendement vise à faire contribuer ce secteur du luxe, aux marges exceptionnellement hautes, à la solidarité nationale », affirment les députés, cités par Auto-Moto. Le hic, c'est que les motos visées ne concernent pas les fortunés, mais les apprentis pilotes ou les usagers quotidiens. Les moto-écoles, qui utilisent ces cylindrées pour la formation au permis A2, redoutent déjà un coup dur pour leur activité. La Fédération française des motards en colère (FFMC) dénonce une mesure « aussi injuste qu’absurde ».

Comme souvent, la fracture entre perception politique et réalité du terrain est large. En assimilant un véhicule populaire à un produit d’exception, le pouvoir législatif semble oublier que la moto reste souvent un moyen de transport économique et une passion accessible.

https://www.francesoir.fr/societe-transport/budget-un-amendement-de-lfi-pour-taxer-les-motos-de-plus-de-450-cm3-comme

Comment la théorie des germes a déclenché la révolution sanitaire... et fait exploser l'espérance de vie

 PAR TYLER DURDEN

JEUDI 23 OCT 2025 - 11H45


Avant que la théorie des germes ne soit acceptée à la fin du XIXe siècle, les médecins comprenaient mal le mode de propagation des maladies. Les épidémies de choléra, de typhus et d'autres maladies transmissibles étaient fréquentes, notamment dans les villes industrielles surpeuplées et insalubres, selon un article fascinant de History.

De 1850 à 1880, l'espérance de vie à la naissance aux États-Unis oscillait autour de 40 ans, avant de chuter pendant la guerre de Sécession. Mais ce chiffre était fortement faussé par une forte mortalité infantile, explique S. Jay Olshansky, professeur de santé publique à l'Université de l'Illinois à Chicago. Environ 30 à 40 % des enfants américains mouraient avant l'âge de cinq ans.

« Au milieu du XIXe siècle, la mortalité humaine était essentiellement sous l'emprise des forces naturelles », explique Samuel Preston, professeur émérite de sociologie à l'Université de Pennsylvanie. La médecine n'offrait que peu d'avantages, hormis le vaccin contre la variole, qui se généralisa dans les années 1840 et 1850. La mortalité infantile était bien plus élevée dans les villes et parmi la population noire que parmi la population blanche, note-t-il.

L'article de History détaille que des maladies comme la tuberculose et la pneumonie étaient endémiques. La théorie dominante des miasmes incriminait les mauvaises odeurs et la pollution de l'air, jusqu'à ce que les découvertes de Louis Pasteur en 1861, issues de sa théorie des germes, révèlent que les micro-organismes étaient à l'origine des maladies. L'acceptation de cette idée à la fin du XIXe siècle marqua le début de la révolution sanitaire.

Grâce à de nouvelles connaissances sur la contamination bactérienne, les villes commencèrent à transformer leurs systèmes d'approvisionnement en eau et d'évacuation des eaux usées, explique Michael Haines, professeur d'économie à l'Université Colgate. La filtration de l'eau, la réglementation des eaux usées et la plomberie intérieure se développèrent rapidement. En 1902, la plupart des quartiers de New York étaient équipés d'un réseau d'égouts, et des innovations comme la réfrigération et les cuisinières à gaz amélioraient la sécurité alimentaire.

« Faire bouillir l'eau et le lait était une pratique inconnue jusque dans les années 1890 », explique Preston. « Le lavage des mains était encouragé, tout comme l'isolement des patients malades à domicile. L'enthousiasme était immense.»

La médecine progressait parallèlement à l'assainissement. L'antitoxine diphtérique des années 1890 devint le premier traitement efficace contre une maladie infantile mortelle, et des vaccins suivirent rapidement pour d'autres maladies. Les réformes du début du XXe siècle standardisèrent l'enseignement médical aux États-Unis, fermant les écoles privées de mauvaise qualité.

« C'est la prise en compte de certains de ces problèmes fondamentaux de santé publique, combinée à la médecine, qui eut un impact considérable », explique Olshansky.

À mesure que les parents apprenaient à protéger leurs enfants des infections, la mortalité infantile a chuté, passant d'environ 347 décès pour 1 000 naissances vivantes en 1880 à 180 pour 1 000 en 1915, selon les données de l'ONU. « Une fois ces décès précoces maîtrisés… on a constaté une augmentation spectaculaire de l'espérance de vie », explique Olshansky.

En 1900, l'espérance de vie aux États-Unis atteignait 47 ans ; en 1950, elle atteignait 68 ans. La pandémie de grippe de 1918 a provoqué une brève baisse, mais la progression s'est poursuivie grâce au déclin des maladies infectieuses à tous les âges.

Haines qualifie cette augmentation de la longévité de « l'une des grandes réussites de l'ère moderne ». L'espérance de vie a approché 77 ans en 2000 et a atteint 78,4 ans en 2023, selon les CDC.

« Les humains d'il y a 140 à 150 ans ont connu ce phénomène ; les générations suivantes en ont bien sûr bénéficié », explique Olshansky. « Mais un tel bond en avant en matière d'espérance de vie ne peut se produire qu'une seule fois.»

Lire l'article complet d'History ici.

https://www.zerohedge.com/markets/how-germ-theory-sparked-sanitary-revolutionand-life-expectancy-skyrocketed


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Blog n° 245

70 articles ci-dessous

Un simple test capillaire permet d'identifier les enfants les plus à risque de dépression et d'anxiété

 

PAR TYLER DURDEN

MERCREDI 22 OCT 2025 - 10H15


Selon une étude, mesurer le niveau de stress à partir d'échantillons de cheveux pourrait fournir des indices importants sur les risques pour la santé mentale des enfants atteints de maladies physiques chroniques.

« Le cortisol capillaire constitue un biomarqueur non invasif et facile à prélever qui pourrait un jour être utilisé pour dépister les enfants et déterminer si les traitements ou les programmes de soutien contribuent à réduire le stress », a déclaré Mark Ferro, co-auteur de l'étude et professeur à l'École des sciences de la santé publique de l'Université de Waterloo, dans un communiqué de presse.

On estime que 40 % des enfants au Canada vivent avec une maladie physique chronique (MPC), un chiffre en augmentation depuis plusieurs décennies.

Comme le détaille George Citroner pour Epoch Times, les personnes présentant un taux de cortisol élevé sont plus susceptibles de développer des problèmes de santé mentale, à des taux variant de 20 à 50 %, un taux nettement supérieur à la prévalence observée chez les enfants en bonne santé, ont noté les chercheurs.

Ces affections peuvent entraîner une baisse de la qualité de vie, des pensées suicidaires et un recours accru aux services de santé.

Maladie chronique liée aux difficultés de santé mentale

Publiée cette année dans la revue Stress and Health, l'étude a suivi 244 enfants canadiens atteints de maladies physiques chroniques pendant quatre ans. Les chercheurs ont utilisé le cortisol capillaire, un marqueur biologique qui reflète le stress au fil du temps, pour mesurer les niveaux de stress.

Les résultats ont montré que plus des deux tiers des enfants présentaient des taux de cortisol constamment élevés.

En comparant ces schémas de stress aux rapports de difficultés émotionnelles et comportementales, les scientifiques ont constaté que les enfants dont le taux de cortisol avait diminué présentaient moins de symptômes d'anxiété, de dépression et de problèmes de comportement que ceux dont le taux restait élevé.

Pourquoi les tests capillaires sont importants

Contrairement aux méthodes de dépistage actuelles qui reposent sur des évaluations comportementales après l'apparition des problèmes, le test capillaire du cortisol pourrait permettre d'identifier les enfants à risque des années plus tôt. Le cortisol s'accumule dans les cheveux au fil des mois, offrant une image à long terme des niveaux de stress que les analyses sanguines ou salivaires ne peuvent pas détecter.

Selon les chercheurs, cette découverte pourrait contribuer à orienter les stratégies de prévention et de traitement afin de mieux soutenir le bien-être des enfants.

« Nos résultats suggèrent qu'un stress chronique élevé, mesuré à partir d'échantillons de cheveux, pourrait aider à identifier les enfants atteints de CPI présentant un risque élevé de développer des problèmes de santé mentale. Cela ouvre la voie à un soutien plus précoce et plus ciblé », a déclaré Emma Littler, auteure principale de l'étude et doctorante en sciences de la santé publique à l'Université de Waterloo, dans un communiqué de presse.

À mesure que les cheveux poussent, le cortisol, présent dans le sang et les sécrétions des glandes sudoripares et sébacées, s'incruste dans la tige capillaire.

Les cheveux humains poussent généralement à un rythme assez régulier, d'environ 1 centimètre par mois. Un segment de cheveux d'un centimètre constitue donc un indicateur fiable du niveau de stress moyen au cours de ce mois.

Pour établir un historique de l'exposition au cortisol, les cheveux sont souvent divisés en segments ; par exemple, un échantillon de 3 centimètres peut être divisé en trois segments de 1 centimètre, chacun représentant un mois distinct. En laboratoire, l'échantillon de cheveux est lavé pour éliminer les contaminants externes, puis pulvérisé et incubé dans un solvant tel que le méthanol pour extraire le cortisol.

L'hormone extraite est ensuite dosée à l'aide de techniques très sensibles telles que l'immuno-analyse enzymatique ou la chromatographie liquide couplée à la spectrométrie de masse. La mesure obtenue est exprimée en quantité de cortisol par milligramme de cheveux, généralement en picogrammes par milligramme.

La Dre Molly McVoy, professeure agrégée de psychiatrie à la faculté de médecine de l'université Case Western Reserve, qui n'a pas participé à l'étude, a souligné que l'anxiété et les troubles de l'humeur, comme la dépression, sont le plus souvent associés à des maladies chroniques. Elle a souligné que, dans ces conditions, les variations du taux de cortisol sont des signes indiquant qu'un enfant est plus à risque de développer un trouble anxieux ou de l'humeur.

Signes d'alerte à surveiller par les parents

McVoy a énuméré des signes ou symptômes spécifiques que les parents devraient surveiller chez leurs enfants et qui pourraient indiquer un stress élevé ou des problèmes de santé mentale.

« Je recommande aux parents de réfléchir à ce que leurs enfants sont censés faire à cet âge », a-t-elle ajouté. « En sont-ils capables ? Sinon, on se demande ce qui les en empêche. »

Par exemple, les enfants d'âge scolaire qui ont du mal à apprendre, à se faire des amis ou à apprécier ces activités, ainsi que les adolescents qui n'interagissent pas avec leurs pairs, peuvent présenter des signes avant-coureurs de stress ou de problèmes de santé mentale, a déclaré McVoy.

D'autres signes avant-coureurs incluent des troubles du sommeil chez les enfants qui n'ont pas accès à des appareils susceptibles de les maintenir éveillés, et l'incapacité à participer à des activités adaptées à leur âge.

Comment réduire le stress chez les enfants

McVoy a souligné que les enfants atteints de maladies chroniques ont besoin d'une vie aussi « normale » que possible, tout en tenant compte de leurs besoins spécifiques.

À faire :

Les aider à fréquenter l'école régulièrement lorsque cela est possible

Les encourager à pratiquer des sports et des activités qu'ils peuvent gérer

Faciliter les moments passés avec leurs amis

Maintenir des habitudes de sommeil et d'activité physique saines

À ne pas faire :

Supprimer toutes les attentes que vous pourriez avoir envers des enfants en bonne santé

« Surcompenser » en leur rendant la vie trop facile

Les traiter si différemment qu'ils se sentent socialement séparés de leurs camarades

Les parents surcompensent souvent dans la façon dont ils traitent leurs enfants atteints de maladies chroniques, en supprimant toutes les attentes qu'ils auraient envers un enfant en bonne santé, a déclaré McVoy. Cependant, cela peut aggraver le stress des enfants et accroître le sentiment de séparation sociale.

https://www.zerohedge.com/medical/simple-hair-test-identifies-children-highest-risk-depression-and-anxiety

Les vaccins infantiles contiennent des milliards de fragments d’ADN fœtal humain capables d’intégration génomique

  le 21 octobre 2025

  par pgibertie

  

ÉTUDE : Les vaccins infantiles contiennent des milliards de fragments d’ADN fœtal humain capables d’intégration génomique


Une étude évaluée par des pairs a découvert que les fragments d’ADN humain dans les vaccins dérivés de cellules fœtales dépassaient la limite de la FDA jusqu’à 2 760 % et a cartographié leurs sites d’intégration potentiels sur les gènes associés à l’autisme ⬇️

📍 Les vaccins contre la rubéole (Meruvax II) et l’hépatite A (Havrix) contenaient des niveaux massifs d’ADN humain résiduel — 142 à 276 ng par flacon, bien au-dessus de la limite de 10 ng de la FDA.

📍 Les fragments variaient de 215 pb à >48 000 pb — suffisamment grands pour s’intégrer dans les chromosomes.

⚠️ Il a été démontré que l’ADN humain du même type s’intégrait dans le génome des cellules humaines in vitro, affectant jusqu’à 0,6 % de l’ADN total.

🧬 Les « points chauds » d’intégration chevauchaient les gènes associés à l’autisme, suggérant un mécanisme plausible de perturbation génomique.

La cause de la mauvaise qualité de l’ADN étranger n’est pas l’autisme ; le séquençage l’a déjà réfuté. Le problème, c’est qu’il est transmis aux générations suivantes, et nous le savons depuis 1960 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/13798979/

📉 Au Royaume-Uni, en Norvège et en Suède, la prévalence de l’autisme a chuté après la chute de l’adoption du vaccin ROR lors de la « peur de Wakefield » de 1998, puis a fortement augmenté lorsque la couverture vaccinale a repris.

Les auteurs ont conclu que la contamination résiduelle de l’ADN fœtal dans les vaccins constitue un mécanisme biologiquement plausible de mutagenèse insertionnelle et de lésions neurodéveloppementales, y compris l’autisme.

https://pgibertie.com/2025/10/21/les-vaccins-infantiles-contiennent-des-milliards-de-fragments-dadn-foetal-humain-capables-dintegration-genomique/

ÉTUDE: Les vaccins infantiles contiennent des milliers de milliards de fragments d'ADN fœtal humains capables d'intégration génomique

 Une étude évaluée par des pairs a révélé que les fragments d’ADN humain dans les vaccins dérivés des cellules fœtales dépassent la limite de la FDA jusqu’à 2,760% et ont cartographié leurs sites d’intégration potentiels à des gènes associés à l’autisme.


Nicolas Hulscher, MPH

Oct 21, 2025


Un article évalué par par Deisher et al intitulé, Epidemiology and Molecular Relationship Between Vaccine Manufacture and Autism Spectrum Disorder Prevalence, a livré l'une des découvertes les plus alarmantes dans la recherche moderne sur la sécurité des vaccins: les vaccins pour enfants cultivés dans les lignées de cellules fœtales humaines contiennent des milliards à des milliers de milliards de molécules d'ADN humain fragmentées - capables d'entrer et de s'intégrer dans le génome des cellules humaines.

L’équipe a combiné des analyses de laboratoire et de population, démontrant que ces fragments d’ADN fœtal persistent non seulement dans les flacons de vaccin, mais pénètrent également facilement dans le noyau des cellules humaines et s’alignent sur les «points chauds» chromosomiques situés dans des gènes fortement liés à l’autisme.

Les chercheurs ont analysé deux vaccins fabriqués dans des lignées cellulaires avortées-fœtales – Meruvax II (le composant de rubéole du vaccin ROR II) et Havrix (hépatite A) – pour:

    Contenu résiduel de l'ADN humain à l'aide de tests de fluorescence PicoGreen® et OliGreen®.

    Taille du fragment par électrophorèse en gel.

    L'absorption et l'intégration génomique de fragments d'ADN humain étiquetés dans diverses lignées cellulaires humaines.

    Corrélation écologique entre la couverture vaccinale de la ROR et la prévalence de l’autisme au Royaume-Uni, en Norvège et en Suède à la suite de la perturbation de l’absorption de la ROR en 1998.

CONSTATATIONS CLÉS

1. Contamination massive de l'ADN fœtal

    Meruvax II (Rubella): ~ 142 ng monobrin à brins + 35 ng ADN double brin par flacon.

    Havrix (Hep A): ~ 276 ng monobrin à brin + 35 ng ADN double brin par flacon

C’est 14 à 27× plus élevé que la limite de sécurité de 10 ng de la FDA, ce qui équivaut à des milliards de milliers de milliards de fragments d’ADN fœtal humain dans chaque flacon.

2. Intégration-Fragments Prêts

    Les fragments de Meruvax II étaient en moyenne de ~215 paires de bases, optimales pour une absorption nucléaire spontanée.

    Les fragments de Havrix ont dépassé 48000 pb, assez grands pour contenir des gènes entiers et des régions de régulation.

3. L'incorporation De Cellules Humaines Démontrée*

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- voir doc sur site 

-En utilisant des fragments d'ADN humain équivalents en taille et en séquence à ceux trouvés dans les vaccins, les chercheurs ont montré que dans les 24 à 48 heures, ces fragments ont été absorbés dans des noyaux de cellules humaines et intégrés dans l'ADN chromosomique.

L'intégration s'est produite dans jusqu'à 0,6% de l'ensemble du génome dans certaines lignées cellulaires - soit l'équivalent de dizaines de millions de paires de bases insérées dans des conditions de laboratoire.

4. Les gènes liés à l'autisme montrent une vulnérabilité exceptionnelle

L’équipe a cartographié 280.000 «points chauds» de recombinaison méiotique et a découvert qu’ils sont concentrés de manière disproportionnée dans les gènes associés à l’autisme, en particulier sur le chromosome X. Ces points chauds sont des zones d'atterrissage idéales pour les ruptures à double brin et la mutagénèse insertionnelle par fragments d'ADN exogènes.

5. Corrélation Population-niveau

Lorsque la couverture de RMM a chuté après le Dr. LancetLa publication historique de Lancet de 1998 d’Andrew Wakefield – au Royaume-Uni, en Norvège et en Suède, la prévalence de l’autisme a fortement diminué, puis a augmenté à nouveau à mesure que l’absorption de la ROR s’est rétablie vers 2001. Le groupe de Deisher a décrit cela comme une «expérience naturelle» démontrant une relation de causalité potentielle entre les vaccins dérivés des cellules fœtales et la prévalence des TSA.

Chaque dose de vaccins dérivés des cellules fœtales peut livrer des milliards à des milliers de milliards de molécules d’ADN humain dans un enfant en développement – dont certains, dans des conditions inflammatoires, peuvent s’insérer directement dans leurs chromosomes. Cela fournit encore un autre mécanisme biologiquement plausible par lequel les vaccins pourraient contribuer aux troubles neurodéveloppementaux, y compris l'autisme.

Cette étude est l’une des plus de 300 incluses dans notre prochain rapport historique sur l’autisme – parmi les analyses les plus complètes jamais menées sur les déterminants environnementaux et iatrogènes de l’autisme.

https://www.thefocalpoints.com/p/study-childhood-vaccines-contain?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=176684879&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true&utm_medium=email

Environ 48 % des dirigeants de TPE gagnent autant ou moins que le SMIC : le cri d’alarme des petits patrons

 

19 octobre 2025

Lorenzo Delpech


Selon la dernière enquête du Syndicat des Indépendants et des TPE (SDI), un dirigeant de TPE sur deux a une rémunération ne dépassant pas le SMIC au troisième trimestre 2025, pour 50 heures de travail hebdomadaire. Ce chiffre met en lumière le malaise profond qui ronge les petites entreprises françaises, véritables piliers de l’économie locale.

Toujours selon cette enquête, sur 1608 interrogés, la situation économique et morale des très petites entreprises se dégrade trimestre après trimestre. 92 % des dirigeants expriment un sentiment négatif (contre environ 72 % il y a deux ans), tandis que 59 % constatent une baisse de leur chiffre d’affaires (contre 54 % au trimestre précédent). Malgré ces chiffres, seulement 16 % envisagent de cesser leur activité d’ici la fin de l’année 2025.

La trésorerie reste un point noir : 55 % déclarent rencontrer des problèmes financiers, une proportion quasi inchangée malgré les alertes répétées des mois précédents. Pour survivre, 51 % des dirigeants s’appuient désormais sur le revenu de leur conjoint(e), et 26 % puisent dans leurs économies personnelles. Sur le plan de l’activité, 43 % jugent leur niveau inférieur à celui du troisième trimestre 2024. Le ralentissement économique s’ajoute à des difficultés de recrutement, mentionnées par une majorité d’entre eux, dont 45 % imputent le problème au poids des charges salariales.

Pour 45 % des interrogés, les charges salariales sont un problème pour recruter

La précarité devient la norme. Loin des débats politiques, cette « France des petits patrons » s’épuise entre charges écrasantes et sentiment d’abandon. Et sans elle, c’est une grande partie du tissu économique local qui risque de s’effondrer.

https://contrepoints.org/environ-48-des-dirigeants-de-tpe-gagnent-autant-ou-moins-que-le-smic-le-cri-dalarme-des-petits-patrons/

Dossier Elon Musk : Un regard derrière la façade des relations publiques

 


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Blog n°240
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Le Département de l'Énergie des États-Unis dévoile sa feuille de route nationale pour la production commerciale d'énergie de fusion d'ici le milieu des années 2030

 PAR TYLER DURDEN

SAMEDI 18 OCT 2025 - 00H50


Le Département de l'Énergie des États-Unis a publié sa feuille de route pour la science et la technologie de la fusion, une stratégie nationale visant à accélérer le développement et la commercialisation de l'énergie de fusion selon ce qu'il qualifie de « l'échéancier le plus court et le plus responsable de l'histoire ». Ce plan décrit la stratégie « Construire, Innover, Croître » du Département, qui harmonise les investissements fédéraux avec l'innovation du secteur privé afin de fournir au réseau une énergie de fusion commerciale d'ici le milieu des années 2030, selon un communiqué de presse du Département.

Selon le Département de l'Énergie, cette feuille de route représente le premier effort national unifié visant à coordonner la recherche, les infrastructures et les activités industrielles dans le secteur de la fusion aux États-Unis. Elle vise à renforcer la sécurité énergétique des États-Unis, à reconstruire les chaînes d'approvisionnement et à consolider le leadership du pays en matière de production d'énergie propre et fiable.

« La feuille de route pour la science et la technologie de la fusion assure une coordination sans précédent au sein du secteur américain de la fusion », a déclaré le Dr Darío Gil, sous-secrétaire aux sciences du DOE. « Pour la première fois, le DOE, l'industrie et nos laboratoires nationaux s'alignent sur un objectif commun : accélérer la mise en place d'une centrale de fusion commerciale et renforcer le leadership américain en matière d'innovation énergétique.»

Le DOE indique que cette initiative s'inscrit dans l'objectif plus large de l'administration d'accroître la production énergétique nationale, conformément au décret « Unleashing American Energy » du président Trump, qui appelle à restaurer la domination énergétique des États-Unis grâce à des technologies de pointe.

Dévoilée lors du Sommet des entreprises américaines de l'énergie de fusion à Washington, D.C., la feuille de route a été élaborée avec la contribution de plus de 600 scientifiques, ingénieurs et acteurs de l'industrie. Elle identifie les lacunes critiques en matière de recherche et de technologie à combler pour réaliser une usine pilote de fusion et garantir la compétitivité des États-Unis sur le marché mondial de la fusion.

La stratégie se concentre sur la construction d'infrastructures clés pour combler les lacunes en matière de matériaux et de technologies, stimuler l'innovation grâce à la recherche de pointe et à l'intelligence artificielle, et développer l'écosystème américain de la fusion grâce à des partenariats public-privé, des pôles régionaux et le développement de la main-d'œuvre.

« La fusion est réelle, proche et prête à une action coordonnée », a déclaré Jean-Paul Allain, directeur adjoint du Bureau des sciences de l'énergie de fusion du DOE. « Cette feuille de route fournit les bases stratégiques pour construire la base scientifique, technique et industrielle nécessaire pour assurer le leadership américain dans la fusion commerciale selon un calendrier ambitieux.»

La feuille de route met en évidence six défis majeurs à relever pour atteindre la maturité commerciale : les matériaux de structure, les composants face au plasma, les systèmes de confinement, le cycle du combustible, les couvertures, ainsi que l'ingénierie et l'intégration des centrales.

Plus de neuf milliards de dollars d'investissements privés ont déjà permis de faire progresser la recherche sur la fusion, finançant des prototypes de réacteurs et des démonstrations de combustion de plasma. Le cadre coordonné « Construire-Innover-Croître » du DOE vise à compléter ces efforts en fournissant les infrastructures publiques et le soutien à la R&D nécessaires à un déploiement à grande échelle.

La feuille de route définit des actions à court, moyen et long terme pour la prochaine décennie, visant à créer une industrie nationale de la fusion capable de développer ses activités commerciales dans les années 2030. Si elle définit des priorités et des étapes stratégiques, les engagements financiers spécifiques dépendront des crédits votés par le Congrès et des futurs partenariats public-privé.

Le PDF complet de la « feuille de route » est disponible ici.

https://www.zerohedge.com/markets/doe-launches-national-roadmap-deliver-commercial-fusion-power-mid-2030s

Vous avez plus de 80 ans, vous avez subi 5 injections covid arnm, vous êtes toujours vivant? Vous êtes un miraculé !

 

le 16 octobre 2025

 par pgibertie

 

Cinq doses de « vaccin » contre la COVID-19 sont mortelles pour presque tous les participants à Medicare Une analyse évaluée par des pairs portant sur 157 495 participants à Medicare montre que chaque dose réduit la durée de vie d’environ 74 jours. 1 dose : 308 jours à vivre 5 doses : 59 jours restants — espérance de vie moyenne presque épuisée 6 doses : − 16 jours restants (déjà passé zéro) — presque tous les participants sont morts avant une sixième dose

L’étude relie ce modèle de mortalité aux caillots fibreux blancs amyloïdogènes formés par des fragments de protéines de pointe, désormais présents dans un grand nombre de cadavres, comme le rapportent les embaumeurs du monde entier. Les fibrilles nanoscopiques (10 à 20 nm de large, jusqu’à 2 µm de long) s’agrègent en de grandes masses caoutchouteuses et insolubles qui bloquent aussi bien les microcapillaires que les principaux vaisseaux.

: Une nouvelle analyse dévastatrice évaluée par des pairs a révélé que chaque dose de « vaccins » expérimentaux à ARNm contre la Covid réduit l’espérance de vie, reliant directement les injections répétées à des vies raccourcies.

Cette découverte alarmante démantèle systématiquement les affirmations selon lesquelles les « vaccins » ont sauvé des millions de vies et confirme au contraire le contraire : la mortalité a en réalité augmenté à chaque dose supplémentaire.

L’étude a été menée par les chercheurs Dr John Oller, un pharmacien de premier plan de Floride, et Dr Eduardo Santiago, professeur émérite à l’Université du Nouveau-Mexique.

L’article, « The Oller and Santiago Rebuttal », examine les données mondiales sur la surmortalité et le déploiement des vaccins, et constate une corrélation inquiétante entre le nombre de doses administrées et une baisse mesurable des taux de survie de la population.

L’étude collaborative la plus notable menée par ces deux chercheurs est intitulée « All Cause Mortality and COVID-19 Injections: Evidence from 28 Weeks of Public Health England ‘COVID-19 Vaccine Surveillance Reports' », publiée en 2022 dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research (DOI : 10.56098/IJVTPR.v3i1.73).

    Objectif principal : Analyser les données de mortalité toutes causes confondues en lien avec les injections COVID-19, en utilisant des rapports de surveillance du Public Health England (PHE). Les auteurs examinent des corrélations statistiques entre le nombre de doses administrées et les taux de mortalité, en soulignant des tendances potentiellement alarmantes dans les sous-groupes d’âge (par exemple, une augmentation de la mortalité chez les personnes âgées vaccinées).

    Méthodologie : Les chercheurs ont traité des données brutes de Medicare et PHE via des analyses statistiques (régressions, tests de corrélation) pour comparer les taux de mortalité avant et après les campagnes de vaccination. Ils insistent sur l’utilisation de données publiques non modifiées, avec des fichiers Excel suplementaires disponibles pour vérification.

    Conclusions clés (résumées) :

        Une corrélation positive significative entre le nombre de doses COVID-19 et la mortalité toutes causes, particulièrement chez les plus de 80 ans.

        Les auteurs appellent à une enquête plus approfondie, critiquant les biais potentiels dans les rapports officiels et plaidant pour une transparence accrue en santé publique.

https://pgibertie.com/2025/10/16/vous-avez-plus-de-80-ans-vous-avez-subi-5-injections-covid-arnm-vous-etes-toujours-vivant-vous-etes-un-miracule/

Cheryl Hines CLAPS RETOUR aux Dames de The View dans un moment brut À propos des vaccins

 

Ce clip devient viral.


Le Renard Vigilant

Oct 14, 2025


L'épouse du secrétaire du HHS, Robert F. Kennedy Jr. est entrée en territoire ennemi mardi matin alors qu'elle s'asseyait avec les dames de The View pour ce qui est rapidement devenu un échange inoubliable.

Cheryl Hines a connu un moment brut et non filtré alors qu’elle applaudissait les critiques sur la position de Bobby sur les vaccins, transformant ce qui a commencé comme une discussion polie en un défi audacieux de la façon dont la société traite les parents d’enfants blessés par le vaccin.

Joy Behar a posé la question: «Il semble que Bobby et Trump jettent le doute sur l'efficacité du vaccin, ce qui rend les Américains très nerveux. C’est donc le problème que nous avons. »

Hines a pris les critiques de Behar calmement, soulignant que le programme d’indemnisation pour blessures vaccinales du gouvernement américain n’a versé que $5,4 milliards aux victimes depuis sa création il y a 39 ans.

Mais c'est sa ligne suivante qui a déclenché des tensions dans la pièce.

Hines a demandé: «Pouvons-nous faire mieux? Peut-on les rendre [vaccins] plus sûrs ? Peut-on écouter les parents qui disent: «Mon enfant a reçu le vaccin et a changé et a cessé de frapper des marqueurs, a cessé de développer la façon dont ils se développaient.» Peut-on écouter les gens quand ils disent ça, au lieu de dire: «Tu es fou»? «

La remarque a clairement frappé un nerf avec Behar, qui a tiré en arrière avec: «Mais vous voulez écouter les scientifiques.»

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Sur une note connexe, le journaliste de santé et producteur de cinéma Del Bigtree a mis un énorme coup de projecteur sur les dangers du calendrier vaccinal avec son nouveau film, An Inconvenient Study, sorti le 12 octobre. Le film s’est concentré sur une étude si accablante qu’elle a été enterrée pendant cinq ans parce que l’auteur principal craignait qu’elle ne détruise sa carrière.

Cette peur a été prise sur une caméra cachée, comme le Dr. Marcus Zervos, l’auteur principal de l’étude, a ouvertement avoué pourquoi il avait refusé de publier les résultats, en disant: «En publiant quelque chose comme ça, autant prendre ma retraite. J’aurais fini. »

Voici ce que l’étude a révélé:

• Les enfants vaccinés étaient 4,29 fois plus susceptibles d'avoir de l'asthme.

• Trois fois plus de risque de maladies atopiques (comme l’eczéma).

• Près de six fois plus de risque de troubles auto-immuns – une catégorie qui comprend plus de 80 maladies différentes.

• 5,5 fois plus de risque de troubles neurodéveloppementaux.

• 2,9 fois plus de handicaps moteurs.

• 4,5 fois plus de troubles de la parole.

• Trois fois plus de retards de développement.

• Six fois plus d'infections aiguës et chroniques de l'oreille.

• Chez près de 2.000 enfants non vaccinés, il y avait ZÉRO cas de TDAH, de diabète, de problèmes de comportement, de troubles d’apprentissage, de déficiences intellectuelles, de tics ou d’autres troubles psychologiques.

• La conclusion de l’étude a été dévastatrice. Il a déclaré: «[J]e contraste avec nos attentes, nous avons constaté que l’exposition à la vaccination était indépendamment associée à une augmentation globale de 2,5 fois de la probabilité de développer un problème de santé chronique par rapport aux enfants non exposés à la vaccination. »

Lisez l'étude par vous-même ou regardez le film sur aninconvenientstudy.com

https://www.vigilantfox.com/p/cheryl-hines-claps-back-at-the-ladies?publication_id=975571&post_id=176160604&isFreemail=true&r=435mp7&triedRedirect=true

NO WAY BACK - Russell Crowe, Helen Slater, Etshushi Toyokawa

  https://www.youtube.com/watch?v=uH2SzBVLa80