Catastrophe silencieuse : les vaccins contre la COVID-19 sont liés à une chute de la fécondité, selon des données tchèques

05/11/2025 

 Lance D Johnson

 

Une étude nationale tchèque a révélé que les femmes vaccinées avaient 33 % de grossesses réussies en moins que les femmes non vaccinées.

Les vaccins à ARNm, notamment Comirnaty de Pfizer, ont dominé la campagne de vaccination tchèque, représentant 96 % des doses administrées. Mi-2021, seulement 7 % des naissances vivantes provenaient de femmes vaccinées, alors qu'elles représentaient 39 % de la population – un écart stupéfiant.

Les auteurs de l'étude mettent en garde contre un possible signal d'innocuité lié au lot de vaccins, les premiers lots de vaccins pouvant causer des dommages disproportionnés.

En République tchèque, l'indice synthétique de fécondité a chuté de 1,83 naissance pour 1 000 femmes en 2021 à 1,45 en 2023, suggérant un effondrement systémique de la fécondabilité.

Alors que les gouvernements et les autorités sanitaires continuent de promouvoir la vaccination contre la COVID-19 comme étant « sûre et efficace », de nouvelles données alarmantes suggèrent un impact dévastateur sur la santé reproductive des femmes. Une étude révolutionnaire menée en République tchèque révèle que les femmes vaccinées ont connu des taux de conception significativement inférieurs à ceux de leurs homologues non vaccinées, ce qui soulève des questions urgentes quant aux conséquences à long terme de ces injections expérimentales. Malgré les discours dominants qui minimisent les inquiétudes liées à la fertilité, les données dressent un tableau sombre : si ces tendances se confirment, le monde pourrait être confronté à un effondrement démographique silencieux, orchestré par les institutions mêmes chargées de la santé publique.

La chute libre de la fertilité : ce que révèlent les données

L’étude menée en République tchèque, analysant 1,3 million de femmes âgées de 18 à 39 ans entre 2021 et 2023, révèle une corrélation inquiétante entre la vaccination contre la COVID-19 et la baisse de la fertilité. Les femmes vaccinées présentaient des taux de natalité nettement inférieurs à ceux des femmes non vaccinées, l’écart se creusant à mesure que les taux de vaccination augmentaient. En juin 2021, alors que 39 % des femmes étaient vaccinées, elles ne représentaient que 7 % des naissances vivantes – un écart statistiquement peu plausible. L’indice synthétique de fécondité a chuté de 1,83 en 2021 à 1,45 en 2023, une baisse qui correspond précisément au déploiement de la vaccination. Si certains attribuent ce phénomène aux tensions économiques ou liées à la pandémie, les données suggèrent un lien direct avec la vaccination.

L'étude reconnaît des biais potentiels, tels que l'autosélection (les femmes évitant la vaccination pour concevoir), mais note que la baisse globale de la fertilité contredit cette explication. De plus, des recherches antérieures ont documenté des irrégularités menstruelles et des effets ovariens liés aux vaccins à ARNm, ce qui renforce la plausibilité biologique. Ces résultats font écho aux tendances observées en Allemagne, en Suède et aux États-Unis, où des baisses de fertilité et une augmentation des fausses couches après la vaccination ont été signalées.

Bien qu'il ne s'agisse pas d'une preuve définitive de causalité, l'étude souligne la nécessité de mener d'urgence des enquêtes à grande échelle sur les effets des vaccins contre la COVID-19 sur la reproduction. Les données remettent en question les assurances officielles quant à la sécurité des vaccins pendant la grossesse et mettent en évidence les conséquences démographiques potentielles à long terme.

Une tendance à la tromperie

Les agences de santé publique insistent depuis longtemps sur le fait que les vaccins contre la COVID-19 ne présentent aucun risque pour la fertilité, malgré l'absence d'études de sécurité à long terme avant leur déploiement à grande échelle. Pourtant, des recherches récentes révèlent une tout autre réalité :

• Une étude de 2023 a révélé que les vaccins à ARNm détruisent les follicules primordiaux chez le rat, entraînant des lésions ovariennes irréversibles, faisant planer le spectre d’une ménopause précoce et de la stérilité chez la femme.

• Des études de biodistribution confirment que les nanoparticules lipidiques, vecteurs des injections d’ARNm, s’accumulent dans les ovaires, provoquant potentiellement inflammation et mort cellulaire.

• Les CDC et l’OMS continuent d’ignorer des preuves de plus en plus nombreuses, multipliant les recommandations pour les femmes enceintes, malgré l’augmentation des cas de mortinatalité et de fausses couches signalés dans le monde entier.

La grande dissimulation

Les auteurs de l’étude tchèque soulignent prudemment que leurs conclusions « sous-entendent des hypothèses », mais leurs implications sont désastreuses. Si les vaccins à ARNm épuisent effectivement les réserves ovariennes, les conséquences pourraient être générationnelles. Pourtant, au lieu de suspendre les vaccinations pour des investigations plus approfondies, les autorités sanitaires rejettent ces inquiétudes, les qualifiant de « désinformation ».

Ce n'est pas la première fois que Big Pharma et les autorités de réglementation trahissent la santé des femmes. Du scandale de la thalidomide à la catastrophe du Dalkon Shield, l'histoire regorge d'exemples de négligence des entreprises et de mainmise réglementaire. Aujourd'hui, face à l'effondrement des taux de fécondité dans le monde occidental, la question se pose : notre espèce est-elle vouée à la dépopulation ?

Les femmes méritent un consentement éclairé, et non la coercition ou la propagande. Les données tchèques viennent s'ajouter à un ensemble croissant de preuves montrant que les vaccins contre la COVID-19 pourraient nuire à la fertilité – en détruisant la réserve d'ovules des femmes –, et pourtant les gouvernements continuent de les imposer, de les inciter et de faire pression sur les femmes pour qu'elles les reçoivent. Si ces tendances se poursuivent, l'hiver démographique autrefois redouté par les sceptiques pourrait devenir une réalité incontournable, orchestrée par les institutions mêmes qui ont juré de nous protéger.

Sources include:

X.com

Preprints.org

Enoch, Brighteon.ai

https://www.naturalnews.com/2025-05-11-czech-study-covid-vaccines-linked-plummeting-fertility.htm


ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS CI-DESSOUS (60 - 2 = 58)

56 commentaires:

  1. La très officielle étude sur le rappel covid en 2024 (29 millions de pers ): des taux d’hospitalisation et de mortalité bien supérieurs pour les vaccxx que pour les non vaccx


    le 12 Mai 2025
    par pgibertie


    Une importante étude multi-pays menée par James Humphreys d’ Epiconcept (Paris) et coordonnée par le réseau VEBIS-EHR a fourni une évaluation inquiétante de l’efficacité en conditions réelles du rappel monovalent XBB.1.5 contre la COVID-19 de 2023. Menée dans six pays européens – la Belgique, le Danemark, l’Italie, le Portugal, l’Espagne (Navarre) et la Suède – et financée par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), l’étude a testé l’hypothèse centrale selon laquelle le rappel XBB.1.5 conférait une protection contre les hospitalisations et les décès liés à la COVID-19 pendant la vague estivale 2024, dominée par les sous-variants KP et JN.1 immuno-évasifs. À l’aide d’une conception de cohorte historique rétrospective basée sur des dossiers médicaux électroniques harmonisés, les chercheurs ont évalué plus de 19 millions de personnes âgées de 65 ans et plus, en suivant les résultats de juin à août 2024. Des modèles de régression de Cox ajustés en fonction de l’âge, des comorbidités, du sexe et des rappels antérieurs ont été utilisés pour estimer l’efficacité du vaccin (EV), avec des rapports de risque regroupés combinés via une méta-analyse à effets aléatoires.
    Résultats

    Français Les résultats sont frappants et troublants. Pour les personnes âgées de 65 à 79 ans, l’EV contre l’hospitalisation n’était que de 13 % (IC à 95 % : –12 % à 33 %) et contre le décès de 39 % (IC à 95 % : –7 % à 65 %) plus de six mois après la vaccination. Dans le groupe ≥ 80 ans, l’EV contre l’hospitalisation a encore chuté à 7 % (IC à 95 % : –7 % à 19 %) et contre le décès n’était que de 3 % (IC à 95 % : –23 % à 23 %). Plus inquiétant encore, la cohorte vaccinée présentait des taux absolus d’hospitalisation et de décès plus élevés que les non-vaccinés : 6,4 contre 6,2 pour 100 000 mois-personnes pour les hospitalisations (65 à 79 ans) et 2,1 contre 0,9 pour les décès.

    Chez les personnes âgées de 80 ans et plus, le groupe vacciné présentait des taux d’hospitalisation de 24,9 contre 21,9 et des taux de mortalité de 16,3 contre 5,6 pour 100 000 mois-personnes, respectivement. Ces résultats paradoxaux suscitent des inquiétudes quant à un facteur de confusion résiduel, un biais de sélection ou d’éventuelles limites biologiques de la formulation monovalente XBB.1.5 face aux nouvelles souches.

    Bien que la population vaccinée incluait davantage de personnes présentant des comorbidités à haut risque (6,6 % contre 2,1 %) et ayant déjà reçu un rappel (92,7 % contre 32,5 %), la direction et l’ampleur des différences de risque absolu, notamment de décès, sont difficiles à ignorer. Une hétérogénéité entre les pays était également notable, certains sites (par exemple, la Belgique) affichant une EV négative contre l’hospitalisation. Il n’a pas été possible d’estimer la plupart des sous-intervalles dans les 90 jours suivant la vaccination en raison d’un nombre insuffisant d’événements, ce qui signifie que la protection immédiatement après le rappel reste indéfinie dans cette analyse.
    Limites

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  2. Les auteurs de l’étude reconnaissent plusieurs contraintes méthodologiques. La principale d’entre elles est le potentiel de confusion résiduelle dû à des variables non mesurées, notamment le comportement de recherche de soins et les infections antérieures non documentées. Un biais de sélection lié à la plus grande fragilité des personnes vaccinées pourrait avoir biaisé l’EV à la baisse, bien que l’ampleur des écarts de résultats rende cette explication insuffisante à elle seule. Une mauvaise classification des données de vaccination ou de décès, notamment en Belgique, où les dossiers démographiques n’ont pas été mis à jour après juillet 2024, pourrait également avoir influencé les résultats. De plus, la quasi-totalité des personnes vaccinées (99,8 %) avaient reçu leur rappel depuis plus de six mois, ce qui limite les connaissances sur l’EV à court terme. Enfin, l’inadéquation antigénique entre la souche vaccinale (XBB.1.5) et les variants circulants (BA.2.86/JN.1) a probablement contribué à l’échappement immunitaire et à la diminution de l’efficacité.
    Conclusion et implications

    Cette évaluation à grande échelle, basée sur le DSE, dresse un sombre tableau de l’efficacité du rappel XBB.1.5 lors de la vague de vaccination de l’été 2024 dans l’UE. L’absence quasi totale de protection mesurable contre l’hospitalisation ou le décès chez les personnes âgées plus de six mois après la vaccination renforce les appels croissants en faveur de vaccins anti-COVID-19 de nouvelle génération, à la fois compatibles antigéniquement et durables.

    De plus, l’étude soulève des questions sur l’utilité des stratégies de rappel saisonnier sans tenir compte de l’évolution des variants ou de la diminution de l’immunité.

    Les autorités européennes de santé publique devront peut-être réévaluer le calendrier et la formulation des futures campagnes, en introduisant éventuellement des rappels de printemps pour les groupes à haut risque ou en s’orientant vers des approches à spectre plus large ou pan-sarbecovirus.

    Ce rapport souligne la nécessité de transparence et l’urgence d’adapter la politique vaccinale aux données réelles plutôt qu’aux hypothèses modélisées. Les signaux d’alerte ne sont plus subtils. Les résultats doivent être évalués par des pairs.
    Chercheur principal/Enquêteur principal

    James Humphreys , Epiconcept, Paris, France
    Baltazar Nunes, Epiconcept, Paris, France ; Programme européen de formation à l’épidémiologie d’intervention (EPIET), Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, Stockholm, Suède

    Les chercheurs de l’étude sont connus collectivement sous le nom de groupe de travail VEBIS-EHR.

    Source : MedRxiv v

    https://pgibertie.com/2025/05/12/la-tres-officielle-etude-sur-le-rappel-covid-en-2024-29-millions-de-pers-des-taux-dhospitalisation-et-de-mortalite-bien-superieurs-pour-les-vaccxx-que-pour-les-non-vaccx/

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  3. Levothyrox : Merck et l'ANSM mis en examen pour tromperie aggravée


    France-Soir
    le 12 mai 2025 - 20:15


    Mercredi 7 mai, la cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé la mise en examen des laboratoires Merck et de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour tromperie aggravée. En 2017, une nouvelle formule du Levothyrox, prescrite à trois millions de Français, aurait provoqué d’importants effets secondaires chez des milliers de patients.

    Une étape décisive pour le combat judiciaire mené depuis sept ans par des associations de malades. En 2017, Merck modifie la composition du Levothyrox, sur demande de l’ANSM, en remplaçant les excipients de l’ancienne version. Résultat : une avalanche de plaintes de patients évoquant maux de tête, pertes de cheveux, vertiges ou insomnies. Une tempête d’autant plus mal gérée qu’aucune information claire n’a été donnée au moment de cette substitution. Comme un air de déjà-vu.

    « Ce que j’ai vécu, c’est comme un empoisonnement », résume Sylvie Chéreau à France Info. Peau sèche, crampes, incapacité à vivre normalement… jusqu’à ce qu’elle revienne à l’ancienne formule.

    La confirmation de la mise en examen, rendue publique par France Télévisions, représente une victoire symbolique pour les victimes, mais aussi un avertissement à l’industrie pharmaceutique. L’AFMT, l’Association française des malades de la thyroïde, qui s’était constituée partie civile dès 2018, salue « la reconnaissance d’indices graves ou concordants » qui accréditent la thèse d’une tromperie aggravée. L’entreprise allemande, elle, continue de nier toute faute : « Ni la qualité du médicament, ni les informations données aux patients ne permettent de mettre en cause Merck », insiste son avocat, Mario Stasi.

    Au-delà du seul débat juridique, cette affaire (parmi tant d'autres) soulève une nouvelle fois la question épineuse de la confiance qu'on veut bien accorder aux institutions censées protéger la santé publique. Alors que Merck s’apprête à se pourvoir en cassation, l’ANSM, censée superviser et informer, est elle-même sur le banc des accusés. Et pendant que l’enquête pénale suit son cours, pendant que les victimes espèrent justice, tant d'autres scandales sanitaires attendent d'être révélés officiellement...

    https://www.francesoir.fr/societe-justice/levothyrox-merck-et-l-ansm-mis-en-examen-pour-tromperie-aggravee

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  4. Transgénique, transgenre, transhumain – L’agenda techno-obsessionnel des « moins qu’humains »


    Par Julian Rose
    Recherche mondiale,
    12 mai 2025


    La tendance techno-obsessionnelle de cette époque est la nouvelle pandémie, conçue comme sa prédécesseure, pour faire dérailler la race humaine.

    Il s’agit de promouvoir les formes de vie non biologiques comme étant « plus avancées » que les formes de vie biologiques évolutives qui constituent l’infinie diversité de notre planète vivante – y compris nous, les humains.

    Cette grande tromperie centrée sur la technologie est le plan directeur soigneusement élaboré par une secte d’élite qui a appris à imiter le comportement des humains sans appartenir réellement à la famille humaine.

    Ils sont cependant intelligents et ont reconnu que pour repenser la vie afin qu'elle soit une subversion mécanisée « intelligente » de ses origines biologiques, il faut procéder par étapes progressives, chaque étape apparaissant comme une « amélioration » par rapport à l'original.

    L'agenda techno-numérique actuel est présenté comme un moyen plus « efficace », plus « intelligent » et plus « rapide » d'atteindre l'objectif final. Il doit s'agir d'un moyen entièrement contrôlable et prévisible pour y parvenir. Un objectif que l' État profond du XXIe siècle a déclaré être « sauver la planète ».

    En réalité, son objectif est de déformer, de stériliser et, en fin de compte, de supprimer le rythme cardiaque biologique de la vie planétaire.

    Il faut donc d'abord convaincre le public de la supercherie de la secte visant à « sauver le monde » – et ensuite – que la réingénierie radicale de la vie biologique est le seul moyen d'y parvenir. Il faut alors s'attaquer au patrimoine génétique même de la vie.

    L'objectif de l'État profond, qui était de convaincre le public de sa rhétorique « sauver la planète », a été largement atteint. Le facteur secondaire – le seul moyen d'y parvenir étant de manipuler génétiquement l'ADN biologique de la vie planétaire – n'a pas été atteint. Mais c'est ce sur quoi ils travaillent.

    Expliqué de cette façon aux citoyens du monde, la réponse typique aurait pu être : « Vous ne vendrez jamais celui-là à nous, le peuple ! »

    Cependant, une fois que la tâche de convaincre s’est étalée sur une période d’environ 40 ans, des voix d’assentiment à ce concept diabolique ont commencé à émerger.

    Une fois que le message initial a été lié à une seule cause spécifique – « Stop au réchauffement climatique – mettre fin aux sources anthropiques de gaz carbonique ! » exposé par les gouvernements mondiaux, les pseudo-scientifiques et les médias du monde entier, le chant stupide a commencé à rouler « Nous devons tous travailler ensemble pour atteindre le zéro net d'ici 2050 ! »

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  5. Peu importe que personne n'ait compris ce que signifiait « zéro émission nette ». Il suffisait de se faire dire que le gaz carbonique est un polluant néfaste et que seul un contrôle total sur celui-ci permettra de sauver la planète de la surchauffe.

    Puis, après avoir réussi à installer cette illusion particulière de réalité virtuelle dans le néocortex des masses, la voie a été ouverte pour qu'une nouvelle série de tromperies soit ajoutée au mélange des sorcières.

    J'ai sélectionné trois distorsions de la vie non biologiques interconnectées pour montrer comment la poussée continue vers la déshumanisation de la race humaine est de plus en plus couverte par l'utilisation du mot « Trans » : Transgénique, Transgenre, Transhumain.

    Le but ultime étant la liquidation de notre véritable nature évolutive en la retirant de sa connexion directe avec la Source Suprême de (notre) existence.

    Le virus « transgenre » a été créé comme un moyen de division visant à saper la procréation humaine et ainsi à réduire la population mondiale.

    Considérez les forces sinistres en jeu qui ont conduit les jeunes (les enfants) à croire qu’ils peuvent défier les lois biologiques de la nature afin d’être techniquement transformés en une entité qui nie la réalité fondamentale de la sexualité masculine et féminine.

    Considérez la rapidité avec laquelle la cause « trans » est devenue un enjeu politique, avec la montée en puissance, socialement conçue, des « défenseurs de la liberté de choisir » qui se sont portés garants de la cause LGBT et ont affirmé que la discrimination était utilisée par quiconque s'adressait aux personnes trans en utilisant le pronom il/elle.

    Et avant même que vous ne vous en rendiez compte, des professionnels de la santé soi-disant responsables ont commencé à proposer leurs services pour mutiler les organes sexuels de ces jeunes tragiques dont le développement en tant qu'êtres humains adultes n'avait même pas commencé.

    Avec l’avancée de la puberté et la vulnérabilité qui l’accompagne, comment peut-on s’attendre à ce qu’un jeune prenne une décision sûre sur quelque chose qui affecterait profondément le reste de sa vie ?

    Les architectes malsains du Grand Reset/Nouvel Ordre Mondial pouvaient sans doute se réjouir du chaos qu'ils ont engendré par cette sombre opération socio-psychologique. Une opération visant à détruire les deux piliers fondamentaux de l'existence, sans lesquels aucune procréation naturelle ne peut avoir lieu. Seule la vie est obtenue par insémination artificielle contrôlée en laboratoire et/ou par génie génétique.

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  6. Dans le cas rare où un système judiciaire se range du côté de la vérité, en avril 2025, la Haute Cour du Royaume-Uni a déclaré la réalité biologique inviolable de l'homme et de la femme et l'illégalité des transsexuels revendiquant les droits des personnes de genre normal.

    On ne peut qu'espérer que cette lueur de bon sens prévaudra. Mais la brigade anti-vie poursuivra sans aucun doute ses efforts pour ériger la distorsion transgenre en « droit humain ». Ce n'est pas le cas : c'est un droit inhumain, si tant est qu'il y ait un droit.

    Ce qui nous amène à la notion de « transgénique ». Issus de la même école d'ingénierie des mutations de l'État profond que celle responsable de la promotion de la « mode » transgenre, viennent les partisans du transgène. Les concepteurs et vendeurs d'organismes génétiquement modifiés.

    La définition du dictionnaire de transgénique est « Une branche de la biotechnologie concernée par la production de plantes, d’animaux et d’aliments transgéniques. »

    Les scientifiques qui manipulent les gènes des règnes végétal et animal prétendent agir ainsi pour raccourcir le temps nécessaire à l'obtention d'un résultat souhaité. Ils ignorent si ce « résultat souhaité » améliore ou retarde l'évolution de la vie sur Terre, ni comment il pourrait affecter la vie végétale et animale environnante.

    Tout comme la tentative malavisée d’atteindre le « Net Zero » nécessite une vision tunnel, un état d’esprit borné qui ne pose jamais la question : « Voulons-nous réellement un monde dans lequel les ressources vitales en gaz carbonique sont gravement épuisées ? »

    De même, les partisans de la transgénèse ne posent jamais la question : « Dans quel but voulons-nous modifier irrévocablement l’ADN de la vie biologique ? »

    L'État profond refuse qu'on lui pose de telles questions sur son projet de monde transgénique. Il ne recrute que ceux qui acceptent que leur travail constitue une promotion sur l'échelle professionnelle approuvée par le statu quo. Aucune question n'est posée.

    Le mouvement transgénique – tout comme le mouvement transgenre – est une tentative délibérée de détourner l'évolution de l'humanité, motivée par Dieu. Ce passage d'un état inconscient à un état de conscience de soi, ce moment où notre potentiel encore inexploité devient pleinement effectif.

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  7. Cependant, la vision technologique des technologies de l’information exprimée avec tant de force par le conseiller du Forum économique mondial Yuval Noah Harari, évite complètement la voie spirituelle vers le salut : « Nous ferons mieux que Dieu », affirme-t-il.

    Le modèle agroalimentaire qui a adopté cette vision promeut les OGM (organismes génétiquement modifiés) comme moyen de garantir que la désertification de la planète causée par la croissance omniprésente de ses monocultures créées par l’agrochimie, puisse être compensée en modifiant les gènes des plantes – et des animaux – pour qu’ils puissent tolérer de telles conditions dégradées.

    Au lieu de mettre un terme à la dénaturation toxique de l’environnement naturel, ils prennent son état pollué comme un fait accompli, puis déforment davantage le patrimoine génétique pour tenter de l’adapter à une désertification déficiente en minéraux.

    Au cours du processus, les semences génétiquement modifiées contaminent les semences conventionnelles par le biais du pollen transporté par le vent, des insectes et d’autres activités dans les champs.

    Une fois que l'édition et le génie génétique sont devenus dominants – comme c'est le cas aux États-Unis –, c'est toute la chaîne alimentaire qui en est victime. Et contrairement à ce que l'industrie des OGM tente de nous convaincre, les produits agrochimiques utilisés dans les cultures OGM sont plus toxiques que leurs prédécesseurs, réduisant ainsi la diversité végétale naturelle à néant.

    Tout cela fait partie du « Green New Deal » et de la « Quatrième révolution industrielle » du Forum économique mondial, promus par Klaus Schwab, désormais « à la retraite », et ses collègues trompeurs de Davos.

    Le processus de modification génétique consiste à modifier génétiquement des animaux de ferme pour qu'ils produisent plus de lait ou plus de viande tout en souffrant physiquement des déséquilibres qui en résultent dans leur corps.

    Sans compter les produits chimiques et les antibiotiques qui font partie intégrante de leurs « soins de santé ».

    Le point oméga de cette activité transgénique est la production en laboratoire de boîtes de Pétri d'aliments synthétiques dont l'élite de Davos nous assure qu'ils sont spécifiquement conçus pour aider à la cause de « stopper le réchauffement climatique ».

    Les vaches émettent du méthane et le méthane provoque le réchauffement climatique, déclarent les faux maîtres écologistes du discours.

    Donc, plus de vaches, de lait ni d'autres produits laitiers. À la place, on nous encourage à savourer les plaisirs de la version chimique de synthèse transgénique. « Il n'y a aucune différence », nous dit-on.

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  8. Vous voyez comment, étape par étape, une humanité largement endormie et passive se transforme en un cyborg conçu par l’informatique.

    Le troisième des programmes toxiques de stérilisation « Trans » est devenu le joyau de la couronne des idéaux techno-fascistes de la secte de la mort de la Silicon Valley et du WEF : le Transhumain.

    Une fois ce stade atteint, il ne restera plus grand-chose de l'espèce originelle (l'humain). Mais ce ne sera plus le cas, à condition que l'humanité accélère son éveil actuel et cesse d'accepter la piratage du caractère sacré de la vie comme une forme de « progrès ».

    Le Transhumain est censé viser l'immortalité cybernétique. Une forme techno-numérique de vie éternelle. Sauf que cette « vie » n'en est pas une. C'est une forme d'existence suspendue, dépourvue de toute qualification de ce qu'est réellement la vie réelle.

    Alors que le transhumanisme prétend faire progresser les caractéristiques physiques, intellectuelles et émotionnelles, produisant ainsi une forme d'humain plus « avancée », il s'agit en réalité d'une vision réductionniste, impliquant l'édition/suppression de modèles émotionnels naturels au point de devenir une falsification complète de ce que signifie être humain.

    La vitesse à laquelle les algorithmes « intelligents » et la dépendance numérique sont intégrés à la vie quotidienne signifie que les fréquences micro-ondes électromagnétiques dominent désormais les communications humaines.

    Les fréquences de rayonnement micro-ondes pulsées 4, 5 et 6G pénètrent les cellules et les neurones du corps et du cerveau humains. Cela amorce déjà un processus de déshumanisation, pouvant éventuellement entraîner une forme d'addiction chez les utilisateurs fréquents des technologies micro-ondes basées sur le Wi-Fi.

    Il suffit d’étendre cela en fonction de la progression prévue de l’IA – et ainsi viendront la cybernétique et la robotique.

    À ce stade, l'humain est perdu. La technologie déviante a submergé les multiples expressions créatives humaines qui reflètent la Source suprême omnisciente de la Vie universelle.

    Le transhumanisme se révèle être une idéologie de mort. Le cerveau humain devient un réceptacle d'informations informatisé, dénué de tout lien avec le cœur et l'essence spirituelle qui maintiennent l'humanité à jamais liée à la source sacrée et omnipotente de la vie.

    Les non-croyants et les athées ne succombent pas nécessairement à cette version cyborgienne du futur.

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  9. S’il y a de la chaleur dans le cœur et un sentiment d’amour prédominant, l’humanité ne peut pas être entraînée dans ce renversement démoniaque de l’aventure mystérieuse et exaltante de la vie qui est le droit de naissance de chaque individu.

    Nous sommes l'humanité. Nous sommes « pour la vie ». Nous avons à peine entamé le grand voyage de découverte qui révélera finalement ce qu'est vraiment la vie. Ne laissez aucune forme de « technologie » vous détourner de ce chemin.

    https://www.globalresearch.ca/transgenic-transgender-transhuman-techo-obsessive-agenda-less-than-human/5886657

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    Réponses
    1. Après plus de un mois de censure afin que les lecteurs n'aient plus accès aux informations scientifiques publiées, le site a enfin pu effacer la page demandant aux internautes s'ils étaient ou pas des robots !!

      *

      Les docteurs sont aujourd'hui là pour prescrire des nouveaux 'médicaments' tout juste sortis de laboratoires nazis. Plus ils font des ordonnances plus ils sont payés. Et d'avoir des billets d'avions et chambres d'hôtels 4 ou 5 étoiles çà se refuse pas !

      Rappelez-vous l'arrivée de la maladie d’Alzheimer après l'introduction de nano-particules d'aluminium dans les vaccins à partir de 1929. Les docteurs s'en sont aperçus ! Les laboratoires aussi ! mais... ils ont continué !! Et, la maladie d’Alzheimer qui atteignait les octogénaires est passée aux septuagénaires ! puis aux soixantenaires, cinquantenaires, quarantenaires, trentenaires et même vingtenaires !!

      C'était déjà le Plan Dépopulation21 qui était en marche !

      Il suffit d'inventer des maladies ! Créer de faux remèdes qui sont de vrais poisons ! Et çà marche !! Regardez l'escroquerie du 'coronavirus' !! Çà marche ! Il suffit de faire croire aux cons qu'un virus (nano poussière inoffensive) est très très méchant ! Encore plus méchant que les microbes !! HAHAHA !
      Et il y en a même qui pensent qu'une poussière (appelée 'virus') EST un microbe ! Ah les cons !!

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  10. Notre espèce est génétiquement modifiée. Assistons-nous à la marche de l'humanité vers l'extinction ? « Les virus sont nos amis, pas nos ennemis »

    Livre numérique sur la recherche mondiale, Centre de recherche sur la mondialisation (CRG)


    Par David Skripac
    Recherche mondiale,
    2 mai 2025


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    Le livre de David Skripac, publié pour la première fois le 22 janvier 2022

    Notre espèce est génétiquement modifiée
    Sommes-nous témoins
    La marche de l’humanité vers l’extinction ?
    Les virus sont nos amis, pas nos ennemis

    par David Skripac

    Livre numérique sur la recherche mondiale, décembre 2021

    À propos de l'auteur
    David Skripac est titulaire d'un baccalauréat en technologie du génie aérospatial. Au cours de ses deux missions comme capitaine dans l'Aviation canadienne, il a effectué de nombreux vols en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti.

    Grâce à son esprit curieux, à son sens aigu du détail et à ses compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré près de 200 heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener à bien ce livre.

    Depuis le printemps 2020, il a également écrit plusieurs essais sur le thème du COVID-19 pour Global Research.

    Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG)

    Table des matières

    Préface

    Remerciements

    Introduction

    Chapitre I

    Le microbiome et le virome

    Chapitre II

    Notre guerre contre la nature

    Chapitre III

    Que s'est-il passé en 2020

    Chapitre IV

    Ignorer les débris

    Préface

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  11. Lorsque la prétendue « pandémie » a été déclarée en mars 2020, comme des millions d’autres personnes dans le monde, j’ai prêté une attention particulière aux politiciens et aux responsables de la santé publique ainsi qu’aux bureaucrates de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) créée par la Fondation Rockefeller, qui ont tous annoncé, dans une synchronisation presque parfaite : « C’est la nouvelle norme jusqu’à ce qu’un vaccin puisse être développé. »

    C'est étrange, me suis-je dit. Pourquoi la solution immédiate par défaut est-elle un vaccin ? Et pourquoi un seul coronavirus est-il accusé de provoquer des maladies aux quatre coins du monde ? Un autre facteur – peut-être une ou plusieurs toxines présentes dans l'environnement – ​​pourrait-il en être le véritable responsable ?

    Il m'était impossible de m'empêcher de poser question après question et de réfléchir aux réponses possibles. Car, si les autorités de santé publique de presque toutes les juridictions de la planète (des organisations internationales de santé aux agences nationales de santé, en passant par les services de santé des États et des collectivités locales) se souciaient réellement du bien-être des citoyens, alors :

    Pourquoi l’immunité naturelle, qui a été un élément clé de la santé et de la survie humaines pendant plus de 200 000 ans, a-t-elle soudainement été traitée comme si elle n’existait plus ?
    Pourquoi personne au pouvoir ne nous a encouragé à adopter une alimentation saine, équilibrée, biologique et pauvre en sucre ?
    Pourquoi personne n’a mentionné l’importance de dormir suffisamment ?
    Pourquoi ne nous encourageait-on pas à sortir et à faire de l’exercice ?
    Pourquoi personne n'a-t-il suggéré d'augmenter nos apports en zinc et en vitamine D ? Après tout, les scientifiques savent depuis plus de cinquante ans que la vitamine D, absorbée naturellement par le soleil ou prise par voie orale sous forme de comprimés, est extrêmement bénéfique pour le corps humain à bien des égards, notamment pour renforcer le système immunitaire inné.
    Tous les points précédents, s’ils étaient pris au sérieux, auraient pu nous aider à améliorer notre système immunitaire et nous donner l’occasion de combattre les effets négatifs du syndrome connu sous le nom de COVID-19.

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  12. Ce qui est encore plus étrange, c’est que, dès le début de la « pandémie », les médias contrôlés par les grandes entreprises ont continuellement sollicité l’avis de Bill Gates, qui n’est ni médecin ni scientifique, sur la ligne de conduite que les gouvernements du monde entier devraient adopter pour lutter contre la propagation du soi-disant virus SARS-CoV-2.

    Alors que deux semaines de confinement mondial – prétendument pour « aplatir la courbe » – se sont prolongées et se sont transformées en plusieurs mois de confinement, il est devenu douloureusement évident qu’aucune des « mesures de santé publique » – allant de la distanciation physique au port du masque en passant par l’auto-isolement – ​​mises en œuvre par les gouvernements du monde entier n’avait quoi que ce soit à voir avec leur objectif déclaré de protéger tout le monde du COVID.

    Ces mesures ont cependant joué deux rôles clés, totalement étrangers à la santé publique :

    Premièrement, ils ont été calculés dès le départ pour créer une population polarisée . De fait, nous sommes devenus les sujets d'une expérience d'ingénierie sociale visant à diviser l'humanité, nous empêchant ainsi de communiquer, de converger, de coopérer et de nous soulever ensemble contre un plan diabolique visant à éradiquer la démocratie représentative, les États-nations souverains et les libertés individuelles.

    Deuxièmement, ils ont eu pour conséquence escomptée de paralyser l'économie mondiale, plongeant des millions de personnes dans la faillite, l'extrême pauvreté et le désespoir. Les vautours qui dévorent les débris morts et décomposés de l'économie en ruine sont de puissants intérêts financiers : de grandes banques, des entreprises et des milliardaires dont l'objectif est de contrôler tous les secteurs de l'économie, y compris toutes les ressources naturelles et tous les actifs publics et privés. Ces prédateurs, bien que peu nombreux, ont semé les ravages nécessaires pour acheter – pour une bouchée de pain – tout ce qui existe dans le monde. Mais ils ne se contentent ni d'une richesse inouïe ni de tout posséder. Au contraire, il semble qu'ils ne connaîtront de répit que lorsqu'ils auront atteint une domination mondiale totale en nous exploitant et en nous asservissant tous.

    Au cours des deux années de panique provoquée par la pandémie, à laquelle la majeure partie du monde semble avoir succombé, de nombreux pays ont été gouvernés par des décrets et des directives illégaux émanant des ministères de la Santé, tous promulgués au nom de la « science ». Ce terme détourné signifie en réalité que des citoyens effrayés suivent le commandement mondial de croire à un faux récit qui impute toute la responsabilité de la destruction à un prétendu virus – un virus non isolé, non purifié, généré par ordinateur et prétendument « nouveau ». Pendant ce temps, les droits constitutionnels et civils consacrés de milliards d'êtres humains sont bafoués.

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  13. De toutes les pensées qui me traversaient l'esprit, celle qui me touchait le plus profondément était la prise de conscience qu'un élément naturel et bénéfique de l'environnement était accusé d'être à l'origine de la pseudo-pandémie. J'ai compris que, tout comme il existe des escrocs du « réchauffement climatique » qui falsifient les données climatiques et rédigent des rapports universitaires inexacts pour prétendre dénigrer le dioxyde de carbone (un élément qui génère la vie sur Terre – le contraire de sa destruction !) et ainsi gagner des fortunes grâce à leur arnaque, il existe aussi des gangsters de la « pandémie » qui prétendent dénigrer une autre merveille de la nature – le virus – dans le même but vénal.

    Je savais que je devais faire quelque chose de cette découverte. Autrement dit, je devais faire des recherches pour prouver que ma théorie était fondée, et non fantaisiste. Pendant quatre mois, j'ai passé tout mon temps libre à lire d'innombrables articles et à regarder une multitude d'interviews. (Voir mes remerciements ci-dessous pour connaître mes principales sources.) Ensuite, j'ai rassemblé tout ce que j'avais appris et rédigé un article en quatre parties. Lors de sa publication sur le site web de Global Research, il a reçu tellement de vues et de commentaires positifs que le rédacteur en chef de Global Research m'a encouragé à en faire un court ouvrage. Voici ce livre.

    J'espère avoir réussi à déconstruire le récit officiel : d'abord, en expliquant comment les virus infestent la Terre de leurs codes génétiques depuis des éternités, créant ainsi la biodiversité et permettant l'adaptation de l'ensemble de l'écosystème ; ensuite, en soulignant les multiples façons dont un comportement humain irresponsable engendre une véritable catastrophe environnementale – non pas l'arnaque du carbone, mais la pollution, la déforestation et l'extinction d'espèces, pour ne citer que quelques fléaux. Ces problèmes bien réels sont ignorés par les partisans du faux « changement climatique », qui dissimulent leurs motivations mercenaires derrière des euphémismes comme « Objectifs de développement durable » (ODD) et des critères « environnementaux, sociaux et de gouvernance » (ESG) et des expressions pompeuses comme « Grande Réinitialisation » et « Reconstruire en mieux ».

    Remerciements

    Je tiens à remercier tout particulièrement les Drs David Martin, Sucharit Bhakdi, Andrew Kaufman et Byram Bridle. Dès le début de la pandémie, ils se sont distingués par leur intelligence et leur courage exceptionnels, mettant à profit ces qualités pour remettre en question le discours officiel. Leur expertise scientifique, leur raisonnement rigoureux et leurs questions logiques m'ont permis de saisir la situation dans son ensemble : non seulement les faits occultés, mais aussi les motivations profondes des acteurs de la pandémie.

    De plus, je tiens à remercier humblement le Dr Zach Bush pour m'avoir aidé à comprendre les subtilités et les subtilités du monde naturel. Sans son vaste corpus de travaux et les connaissances précieuses qu'il a acquises au fil des ans, il m'aurait fallu toute une vie pour rassembler les informations que vous allez lire.

    Je remercie également sincèrement Michel Chossudovsky, rédacteur en chef de Global Research , d'avoir suggéré de transformer mon article original en quatre parties en un court ouvrage. Sans la décision du professeur Chossudovsky de créer son site web d'agrégation d'informations et les efforts considérables qu'il a déployés pour le maintenir pendant plus de deux décennies, cet ouvrage n'existerait probablement pas.

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  14. Enfin, je voudrais exprimer ma plus sincère gratitude à mon éditeur, qui, pour des raisons personnelles, préfère rester anonyme.

    Introduction

    La guerre n'est pas censée être gagnée, elle est censée être continue . —George Orwell

    Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire de l’humanité.

    Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée.

    Les fabricants de vaccins ont désormais rendu possible la modification permanente du génome humain – et la transformation à jamais de la relation de l’humanité avec la nature – au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

    À la lumière de cet événement marquant, je crois que nous devons examiner avec lucidité les motivations et les actes qui transforment l'humanité telle que nous la connaissons. Parallèlement, nous devons examiner notre traitement de plus en plus destructeur du monde naturel.

    Afin d’étudier les nombreuses variables qui accélèrent la disparition de l’humanité et sabotent notre rôle unique de gardiens de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé ce court livre en quatre chapitres principaux.

    *

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  15. Chapitre I
    Le microbiome et le virome

    Dans ce chapitre, nous découvrirons que, contrairement à ce que la médecine allopathique occidentale nous enseigne depuis plus d'un siècle, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ni nous nuire de quelque manière que ce soit. En réalité, plutôt que d'être nos ennemis mortels, les virus sont nos amis.

    Cette affirmation vous paraît-elle trop farfelue pour être vraie ? Si oui, je ne serais pas surpris. Mais je crois que si vous étudiiez l'écosystème complexe des micro-organismes qui composent le microbiome et que vous vous plongeriez dans le monde fascinant du virome, vous parviendriez à la même conclusion que moi : nous nageons littéralement dans une vaste mer de virus, qui, depuis la nuit des temps, sont essentiels à la formation et à l'épanouissement de la vie sur cette précieuse Terre. Les informations communiquées par ces virus contribuent à la survie, voire à l'épanouissement, de toutes les espèces vivantes.

    Le microbiome

    Le microbiome (dérivé du grec micro , signifiant « petit », et biotikos , signifiant « relatif à la vie ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Incroyablement, quelque 40 000 espèces de bactéries , 300 000 espèces de parasites , 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 et 5 millions d'espèces de champignons peuplent notre environnement et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète en permanence une multitude de virus, qui servent de réseau de communication aux bactéries, parasites, protozoaires et champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, et non pour nous entraver. Autrement dit, ils sont porteurs de vie, et non de mort.

    Voici un aperçu de la complexité, de l'incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : le règne fongique compte au moins 125 000 milliards de gènes ! À titre de comparaison, le génome humain ne compte que 20 000 gènes. Une mouche à fruits en possède 13 000, une puce 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu'un infime fragment d'information génétique comparé au vaste monde d'informations génomiques contenu dans le microbiome.

    Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d'informations protéiques d'un micro-organisme à un autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de fins filaments blancs) des champignons leur permet de communiquer entre eux sur des distances pouvant atteindre plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques sur plus d'un kilomètre. Comment ? Elles utilisent l'énergie lumineuse et les électrons qui circulent dans les voies du sol. Ainsi, le microbiome contribue à l'épanouissement des plantes et autres formes de vie multicellulaires. Il n'est pas exagéré de qualifier le réseau mycélien du règne fongique de « cerveau » de la planète. D'ailleurs, tous les minuscules organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l'énergie biophotonique du soleil.

    Aussi difficile à imaginer que cela puisse paraître, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent dans le corps humain. Le côlon humain abrite à lui seul 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe, y compris le cerveau, possède son propre microbiome. Le rôle des bactéries et des champignons présents dans notre corps est de nourrir et de nourrir nos cellules, nous maintenant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome qui nous entoure.

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  16. Le Virome

    Le virome est l'immense monde où vivent les messagers de Mère Nature. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, parasites, protozoaires et champignons du microbiome susmentionné. Le corps humain adulte moyen contient 1 x 10 15 virus. En comparaison, dans l'air qui enveloppe la Terre, on trouve 1 x 10 31 virus ; dans le sol terrestre , 2,5 x 10 31 virus ; et dans les océans, 1,2 x 10 30 virus. Pour donner une idée de ces chiffres impressionnants, 1 x 10 31 est 10 millions de fois supérieur au nombre d'étoiles connues dans l'univers entier.

    En termes simples, un virus est constitué d'informations génomiques, soit de l'ADN, soit de l'ARN, enveloppées dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines qui dépassent de la surface externe de l'enveloppe protéique d'un virus sont appelés protéines de spicule. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n'ont pas de métabolisme pour produire de l'énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

    Les virus voyagent à travers le monde, au-delà de la couche limite atmosphérique , depuis des millions d'années, bien avant l'invention des machines aériennes. Leurs codes génétiques recouvrent la Terre depuis des éons, créant de la biodiversité et permettant l'adaptation de l'ensemble de l'écosystème. Par adaptation, j'entends que les virus cherchent constamment à adapter leurs codes génétiques afin de garantir la santé résiliente de toutes les formes de vie sur la planète. Il est absurde de prétendre que, pour voyager d'une région du globe à une autre, un virus doit sauter à bord d'un avion, comme la Division de recherche sur la sécurité nationale de la RAND voudrait nous le faire croire.

    De plus, les virus, y compris les coronavirus, n'apparaissent pas par vagues successives pour disparaître sans laisser de traces, pour réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou à un autre. Au contraire, les virus ne disparaissent jamais, n'expirent jamais. Ils habitent chaque élément de notre environnement. En bref, ils sont omniprésents et omniprésents.

    Notre relation avec certains virus peut changer en raison de nos actions néfastes envers la nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l'air, le sol et l'eau, ils créent un déséquilibre entre l'humanité et le virus, un déséquilibre qui peut nous amener à entrer en déséquilibre avec un virus particulier.

    Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, continue de faire croire à une grande partie de la communauté scientifique que les bactéries, les champignons et les virus sont nos ennemis.

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  17. Le fondement de la médecine allopathique de Rockefeller repose sur la « théorie des germes » erronée de Louis Pasteur, selon laquelle des micro-organismes extérieurs, tels que les bactéries et les virus, attaquent, envahissent et infectent l'organisme, provoquant ainsi des maladies. Bien qu'il n'ait reçu aucune formation scientifique formelle, la plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l'établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne », un paradigme qui attribue l'origine de chaque maladie à un seul germe. Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits, ce qui explique pourquoi le corps médical actuel et l'industrie pharmaceutique qui lui est codépendante refusent de reconnaître leurs failles ou d'admettre leur inefficacité.

    En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et développée plus tard par Antoine Béchamp (1816-1908), affirme que c'est le terrain – c'est-à-dire l'environnement interne du corps – et non un germe externe qui détermine notre santé ou son absence. Ce que Béchamp appelait « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne appelle aujourd'hui le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était incontestablement sur la bonne voie en découvrant comment le corps humain interagit réellement avec l'environnement extérieur.

    Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation scientifique universitaire. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans l'organisme lorsque ses processus métaboliques sont déséquilibrés. Lorsque l'organisme est en déséquilibre, affirmait Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, en stimulent d'autres, conduisant finalement à la maladie.

    Bien que Béchamp ait progressé dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique de Rockefeller, dépendante des germes, a prévalu, en grande partie grâce à d'importantes injections de fonds, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers octroyées sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux centres de recherche médicale. Leurs largesses « philanthropiques », qui ont largement dépassé les 100 millions de dollars (2,9 milliards de dollars actuels), leur ont permis d'influencer la politique de l'ensemble du corps médical américain et, finalement, de la plupart des pays occidentaux, les orientant vers un régime allopathique exclusivement basé sur la chimie.

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  18. Dans cet ouvrage, je soutiens que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ni pour nous nuire de quelque manière que ce soit. Au contraire, l'information moléculaire génétique (ADN et ARN) contenue dans les virus est littéralement la pierre angulaire de la vie sur Terre . Pour utiliser une analogie moderne, on peut considérer le flux d'information d'un virus comme une mise à jour logicielle contenant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, si nécessaire, vers n'importe quelle cellule d'un organisme multicellulaire vivant, y compris l'une des 70 000 milliards de cellules que compte le corps humain. Nos cellules régulent les nouvelles informations génomiques reçues et celles qui ne le sont pas. Les virus cherchent simplement à s'adapter aux cellules afin de créer une santé humaine résiliente.

    Immunité innée et adaptative

    Un mot sur le système immunitaire. Il existe deux types d'immunité : innée et adaptative.

    Le système immunitaire inné est le principal moyen par lequel notre corps interagit avec un virus. Il aide l'organisme à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. L'organisme n'a pas besoin de répliquer ou de reproduire la nouvelle information virale après plus de quatre ou cinq jours de mises à jour. Le système immunitaire inné fonctionne à des frontières saines dans le corps humain, comme les barrières physiques entre l'intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique dans nos cellules (comme les protéines mutagènes présentes dans nos cellules). De plus, le système immunitaire inné fonctionne grâce à diverses enzymes, comme APOBec3A/3G et CAS9 . Ces enzymes sont désormais considérées comme essentielles à l'immunité innée.

    Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre organisme interagit avec les virus. Il élabore une réponse hautement spécifique contre un virus en utilisant les globules blancs de l'organisme, appelés lymphocytes (lymphocytes B et T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération des anticorps dans la circulation sanguine.

    Les anticorps constituent le deuxième moyen d'interaction de l'organisme avec un virus, et non le premier, après la réception d'une nouvelle mise à jour virale ou après un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement 3 à 6 semaines après la première exposition de l'organisme à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant l'organisme à éliminer les virus et les bactéries inutiles. Parallèlement, les lymphocytes T stimulent la production d'anticorps par les lymphocytes B.

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  19. Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s'adapte au virome, prenons l'exemple d'un nourrisson de sept jours . Il contient 1 x 108 particules virales dans un seul gramme de selles. Bien que cet enfant ne soit pas capable de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s'adapte instantanément à ces particules virales et reste en parfaite santé. Au lieu de développer de la fièvre, il maintient un équilibre stable – l'homéostasie – avec le virome, tant sur le plan microbien que génétique. Ce seul fait prouve que nous n'interagissons pas avec le virome par le biais de notre système immunitaire adaptatif, mais plutôt par le biais de notre système immunitaire inné.

    Quel est le principal enseignement à tirer de ces faits ? Pour moi, c'est que la décision du corps d'assimiler l'information génétique est un processus biologique extrêmement complexe et contrôlé. Notre corps dispose de nombreuses façons de maintenir l'équilibre avec l'immense quantité d'informations génétiques que nous respirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

    Puisqu'un virus n'est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus – et ne le souhaiterait d'ailleurs pas. Comme mentionné précédemment, le système immunitaire inné parvient simplement à un équilibre génétique avec un nouveau virus. Il y parvient en se répliquant ou en recevant des mises à jour de ce virus, et en réagissant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l'équilibre génétique atteint, généralement quatre à cinq jours après l'exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d'autres mises à jour.

    De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent empêcher une « épidémie » ou une « pandémie », ni en modifier la trajectoire. Autrement dit, il est inutile – pire qu'inutile : c'est même néfaste – de tenter de contrer un virus toujours efficace en déployant un dispositif expérimental d'édition génétique non approuvé, conçu pour produire une réponse anticorps (autrement appelée réponse immunitaire adaptative induite par l'injection). Ce modèle scientifique archaïque est biologiquement illogique et ne fonctionnera jamais. Nous savons maintenant qu'il interfère avec notre système immunitaire inné, parfaitement conçu pour gérer tout virus susceptible de nous déséquilibrer temporairement. (La manière exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le VIH ou tout autre coronavirus, sera expliquée plus loin dans le livre.)

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  20. De plus, contrairement au discours officiel propagé par les fabricants de vaccins et les agences gouvernementales de santé du monde entier, notre système immunitaire conserve la mémoire des virus avec lesquels notre organisme a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement – ​​lors de la réception d'une nouvelle mise à jour virale – dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l'enzyme Cas9, responsable du clivage de l'ADN excédentaire lorsqu'une quantité excessive de virus est introduite dans une cellule, constitue la banque de données de la mémoire naturelle qui mémorise le motif d'ADN rencontré.

    De plus, les enregistrements permanents conservés par un système immunitaire inné sont transmis aux générations suivantes, qui ne présenteront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (source des anticorps) et les lymphocytes T (stimulants des lymphocytes B) assurent une immunité durable.

    Une étude multidimensionnelle du NIH, présentée par le Centre de recherche et de politique sur les maladies infectieuses (CIDRAP) en 2008, a démontré de manière concluante que l'immunité par les anticorps peut durer toute la vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang auprès de trente-deux survivants – âgés de 91 à 101 ans – de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En réalité, le nom exact de cette pandémie est la grippe du Kansas, son lieu d'origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d'un siècle plus tard, tous les participants à l'étude étaient toujours porteurs d'anticorps dirigés contre la même souche de grippe.

    Sur la base des conclusions de cette étude vieille de vingt et un ans, nous pouvons rejeter la propagande véhiculée par les médias grand public et les organisations médicales . Il est faux de prétendre que l'immunité naturelle au virus SARS-CoV-2 peut s'estomper six mois à un an après la première exposition. Il est également faux de prétendre qu'une injection expérimentale est le seul moyen d'obtenir une immunité. Ces affirmations infondées ne sont que des ruses inventées pour servir les intérêts cupides de l'industrie pharmaceutique et des autres technocrates agissant en coulisses.

    En résumé : la puissance de l’immunité naturelle surpassera toujours toute immunité perçue contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

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  21. L'hypothèse du VIH conduisant au sida

    D'un point de vue biologique, toute vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d'ARN et d'ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes de transfert génétiques de conception sophistiquée, essentiels à l'initiation et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d'aujourd'hui ont été insérés il y a des millions d'années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d'ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intriguant est le fait qu'il y a des millions d'années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l'émergence des mammifères placentaires .

    Il est intéressant de noter qu'une étude de 2017 publiée par les National Institutes of Health (NIH) démontre que beaucoup d'entre nous sont porteurs du rétrovirus VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs ont « exploré les données de séquences non humaines issues du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe, dont aucun n'a été diagnostiqué comme étant atteint d'une maladie infectieuse. Ils ont constaté que 42 % des participants étaient positifs à la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, l'hépatite B, l'hépatite C et la grippe.

    La communauté médicale et les médias contrôlés par les grandes entreprises nous ont inculqué que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % des cas de VIH positifs proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, on s'attendrait à trouver très peu de VIH dans d'autres régions et une prévalence bien plus élevée, par exemple, de l'hépatite C ou de la grippe. Or, c'est tout l'inverse ! En réalité, l'étude de 2017 a révélé une prévalence du VIH cinq fois supérieure à celle de l'hépatite C et de la grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun d'eux était parfaitement équilibré avec le VIH, même si aucun d'entre eux n'avait jamais voyagé en Afrique. Force est de constater que non seulement le monde a complètement méconnu la prévalence du VIH aux quatre coins du globe, mais que notre peur de ce virus – et du virus en général – est totalement injustifiée.

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  22. Étant donné que de nombreuses organisations influentes, publiques et privées, profitent des subventions et dons colossaux qui perpétuent le mouvement incessant de lutte contre le sida, il n'est pas surprenant qu'aucune étude scientifique évaluée par des pairs n'ait été menée pour apporter la preuve concluante qu'un virus appelé VIH provoque une maladie appelée sida. Si une telle étude était entreprise, elle prouverait que l'hypothèse du VIH conduisant au sida est infondée et, plus précisément, frauduleuse.

    La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : que se passe-t-il en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus VIH, faisant que 95 % d’entre elles sont testées séropositives ?

    Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où les virus résident et restent en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j'entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas ici référence à la théorie du terrain de Bernard/Béchamp mentionnée ci-dessus.) Lorsqu'un terrain est perturbé par quelque chose qui ne lui est pas naturel – par exemple, l'empoisonnement de l'environnement par un comportement humain irresponsable – les virus deviennent surexprimés et l'équilibre du corps avec le virome est rompu.

    Compte tenu du terrain, nous constatons que le principal facteur commun à toutes les épidémies ou pandémies de maladies infectieuses est la destruction de l'écosystème. Autrement dit, le terrain naturel a été altéré par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à l'ensemble de l'information génétique qui nous entoure est compromise.

    Ce ne sont pas les virus qui provoquent une maladie. Ils offrent simplement à l'organisme une nouvelle possibilité d'adaptation génétique. Le système immunitaire inné détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu'il va absorber. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation – peut-être en raison de mauvaises habitudes alimentaires, d'un mode de vie sédentaire ou d'une toxicité environnementale – le virus provoque une inflammation pendant le processus de régénération de l'organisme. Celle-ci s'accompagne généralement de fièvre, d'une perte d'appétit et d'une augmentation du nombre de globules blancs. Ce phénomène inflammatoire est ce que l'on appelle communément la « grippe ».

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  23. Ce que nous appelons péjorativement une infection virale ou un événement inflammatoire – sous-entendu néfaste pour l'organisme – fait en réalité partie du processus de guérison. L'inflammation est nécessaire à la régénération de l'organisme. Elle agit en faveur de l'organisme, et non contre lui. Mais si le microbiome est saturé au lieu d'être en manque, il n'aura pas besoin d'être renouvelé et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

    En Afrique subsaharienne, l'écosystème est en train de mourir. L'effondrement des sols riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l'eau, le manque d'assainissement de base, une population chroniquement sous-alimentée et l'élimination complète de l'agriculture biologique traditionnelle – supplantée par l'oxymore de la Révolution verte, imposée aux pays en développement par l'agriculture industrielle – ont entraîné chez une grande partie de cette population un déséquilibre entre son système immunitaire inné et l'environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l'expression de ce déséquilibre. Le virus VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d'être le principal responsable du sida – une forme de culpabilité par association. En réalité, le virus VIH est bénin et ne cherche pas à s'emparer du fonctionnement d'une cellule.

    La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné des populations d'Afrique subsaharienne a été dégradé par une malnutrition à tel point qu'elles sont la proie d'une myriade de maladies (tuberculose, pneumonie, lymphome de Hodgkin, endocardite, etc.), regroupées sous le nom de « SIDA ». Cependant, au lieu de prendre conscience de la réalité de ce désastre écologique, les « scientifiques » accusent le virus VIH de servir de couverture à des décennies de crimes environnementaux et économiques commis par les gouvernements et les entreprises.

    Au vu des informations présentées jusqu'à présent, nous pouvons conclure à juste titre qu'il est impossible que des virus ou des agents pathogènes provoquent des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses – car il n'existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme – comme le « SIDA », « Ebola » et d'autres pandémies « virales » infondées. Certes, la propagande pharmaceutique a imposé le paradigme des maladies infectieuses à la pensée mondiale pendant des siècles. Mais la croyance en l'existence de telles maladies n'est qu'une conséquence de la théorie des germes, démentie par Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat d'une dégradation du système immunitaire inné chez une partie de la population mondiale. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure une intoxication chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail ci-dessous.

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  24. Comme le montre la description ci-dessus du virome, il n'est pas exagéré de dire qu'il est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans un vaste océan d'informations génomiques, essentielles à l'apparition et à l'épanouissement de la vie sur cette précieuse Terre, et qui contribuent encore aujourd'hui à la survie de toutes les espèces. La matrice d'organismes qui compose le microbiome a construit un flux d'informations viromiques qui a permis l'adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d'informations viromiques est à l'origine de la construction de l'espèce humaine.

    Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais font partie intégrante de leur vaste et complexe écosystème. Pourtant, nous nous opposons de plus en plus directement au système vivant dont nous faisons partie intégrante : la nature.


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  25. Chapitre II
    Notre guerre contre la nature

    Dans ce chapitre, nous explorerons comment nos propres comportements irresponsables détruisent l'environnement, nous conduisant ainsi vers la sixième extinction massive. J'entends par là que je traiterai de la véritable catastrophe environnementale, et non du canular du « réchauffement climatique » financé par des milliardaires, initié par le Club de Rome et relayé par le Forum économique mondial (FEM).

    L'espèce Homo sapiens est la seule sur cette planète à chercher activement à s'éradiquer elle-même et à détruire son habitat. Tous les systèmes de vie terrestres – sol, eau et air – sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le maximum de cette terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

    En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques et éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes désormais esclaves, engendre des carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui ravagent sans cesse l’écosystème et son environnement. Les méga-entreprises continuent de propager l’idéologie d’une croissance économique sans fin, qu’elles entendent extraire d’une planète aux ressources limitées et dont elles seules bénéficieront financièrement. Leurs objectifs égocentriques entrent en conflit avec les motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les êtres humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits des milliardaires au détriment du bien-être social de tous alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un éco-holocauste. En bref, ce à quoi nous assistons est une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs à l’ensemble de l’humanité alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

    Pensez à ce que nous faisons à notre eau douce. 80 % de la surface de notre planète est composée d'eau, dont 97 % d'eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d'eau potable ont été traités de manière si insouciante qu'ils sont hautement pollués et s'épuisent rapidement. Sur ces 3 % d'eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et des produits laitiers, grandes consommatrices d'eau . Les Nations Unies estiment qu'au cours de la prochaine décennie, deux milliards de personnes souffriront d'une pénurie d'eau extrême et que d'ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme de pénurie d'eau.

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  26. Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus très respectueuses de l'environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont détruit plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une pollution considérable des sols et des eaux de surface. Ailleurs dans le pays, le forage pour l'extraction de pétrole et de gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique, plus connu sous le nom de fracking, rejette des substances cancérigènes et toxiques dans l'air, l'eau et le sol, aggravant encore le problème de pollution. Bien que présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis au pétrole étranger, la fracturation hydraulique est en réalité l'acte le plus stupide d'un État pétrolier.

    Les industries de la viande et des produits laitiers mentionnées ci-dessus font plus de mal que de simplement monopoliser l'eau. L'élevage, qui englobe les immenses fermes industrielles et les petites exploitations familiales, est également la principale cause des gaz à effet de serre , de la déforestation, de l'extinction des espèces et des « zones mortes » océaniques. L'élevage intensif industriel d'animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux d'extinction massive d'espèces le plus élevé depuis 65 millions d'années. De plus, aucune autre industrie sur la planète n'a besoin d'autant de superficie que l'élevage : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation , 70 % de la forêt amazonienne est détruite uniquement pour la culture de soja ou de maïs OGM destinés à nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne ont été déboisés.

    Quelques faits supplémentaires à prendre en compte :

    La moitié des réserves mondiales de céréales sont destinées à l’alimentation animale, alors qu’un milliard de personnes sont confrontées à la famine.
    Aux États-Unis, 54 % de toute l’eau douce est détournée par l’agriculture animale à un moment où 99,8 % de la zone géographique de la Californie est en proie à une sécheresse critique.
    À l’échelle mondiale, l’industrie de l’élevage , qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions chaque jour), contribue à 51 % de toutes les « émissions de gaz à effet de serre », dépassant de loin les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.
    Le « fait » le plus surprenant concernant les ravages causés par l’élevage est que presque toutes les organisations environnementales à but non lucratif se taisent sur cette question.

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  27. La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans. La pêche commerciale détruit la vie marine, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l'histoire. Aucune autre industrie ne tue autant d'animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media indique qu'entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans les fermes piscicoles commerciales artificielles et qu'au moins un autre billion d'animaux aquatiques vivant dans les plans d'eau naturels sont tués pour leur consommation. Une étude présentée sur le site web d'Oceana affirme que ce total ahurissant n'inclut pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques tués chaque année en tant que prises accessoires. (Les prises accessoires correspondent au nombre total d'animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.)

    En raison de toutes ces extractions et exterminations, les populations mondiales de nombreuses espèces aquatiques sont en chute libre, à des niveaux proches de l'extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prédit que si la pêche commerciale mondiale se poursuit au rythme actuel, d'ici 2048, les océans seront pratiquement vides.

    Tout aussi inquiétant, les océans servent de dépotoir aux entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n'est pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l'UC San Diego aient découvert que les populations de poissons des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l'hexachlorobenzène.

    L'agriculture chimique et les OGM

    Les fabricants de produits chimiques de synthèse, de pesticides, d'insecticides, d'herbicides et d'engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La nouvelle menace pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, appelées organismes génétiquement modifiés (OGM). Avec l'introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la nature à un rythme inimaginable à toute époque antérieure. Malheureusement, en raison de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

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  28. Comment notre discussion susmentionnée sur le microbiome, le virome et l’immunité s’intègre-t-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

    D'une part, depuis l'introduction de l'agriculture chimique et l'utilisation des OGM à l'échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à tel point que nous décimons notre système immunitaire inné. (Rappelez-vous cette date : 1996.) En conséquence, la prévalence des maladies auto-immunes et autres maladies chroniques, qui ne touchaient autrefois qu'un infime pourcentage de la population générale, explose aujourd'hui. La chronologie de cette flambée ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à affecter massivement l'homme à partir de, oui, 1996. Il n'est donc pas exagéré de conclure que l'utilisation excessive des OGM est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

    Je citerai quelques exemples : une personne sur quatre dans le monde souffre aujourd’hui d’allergies ; une personne sur trois en Amérique du Nord est obèse ; une femme sur deux et un homme sur trois aux États-Unis développeront un cancer au cours de leur vie. De plus, le trouble du développement appelé trouble du spectre autistique est passé d’un enfant sur 5 000 en 1975 à un sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Parallèlement, sur la même période, nous avons constaté une augmentation spectaculaire d’autres maladies du système immunitaire, telles que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

    Les cultures OGM sont traitées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, dont le principe actif est le glyphosate, l' herbicide/antibiotique cancérigène le plus répandu sur la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde . Aujourd'hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, pour atteindre deux milliards de kg. Composé hydrosoluble, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l'Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l'air que nous respirons. Une étude de l' US Geological Survey menée en 2007 révèle que du Roundup (aussi appelé glyphosate) et son sous-produit toxique, l'acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été détectés dans plus de 75 % des échantillons d'air et de pluie analysés dans le Mississippi en 2007.

    Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d'affluents, collectent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures aux États-Unis. Le Mississippi est également le siège de milliers d'autres polluants chimiques déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n'est donc pas surprenant que les habitants des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane – plus précisément dans la région de Baton Rouge et de La Nouvelle-Orléans – présentent des taux de cancer parmi les plus élevés au monde.

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  29. Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd'hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur mondial de glyphosate. En 2017, elle a exporté plus de 300 000 tonnes de glyphosate dans le monde. Il s'avère que la province du Hubei, où se trouve la tristement célèbre Wuhan, est l'un des principaux utilisateurs de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l'industrie lourde et de l'agriculture chimique dans le Hubei ont fait de cette région l'un des endroits les plus pollués de la planète. L'écosystème autrefois diversifié et propre de Wuhan a été complètement ravagé par les polluants d'origine humaine et l'utilisation massive de glyphosate dans l'agriculture industrielle.

    Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé actuel de cancer et l'utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette hausse, entre 1990 et 2015 (soit environ une génération), la toxicité de l'environnement a également doublé.

    Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems démontrent de manière convaincante l'existence d'une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l'utilisation du glyphosate et l'incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer des voies urinaires et de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l'étude de Swanson montrent que l'augmentation de la prévalence du cancer coïncide parfaitement avec l'utilisation accrue du glyphosate.

    Un autre lien incontournable est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé reproductive, prévoit que le nombre médian de spermatozoïdes chez l'homme devrait atteindre zéro d'ici 2045. Avec l'introduction des perturbateurs endocriniens (PE), le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Certes, les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans notre eau potable posent un problème, mais ce problème est insignifiant comparé aux effets néfastes de l'agriculture chimique et de l'utilisation du glyphosate, affirme le Dr Zach Bush, spécialiste en médecine interne, en endocrinologie et métabolisme, sur son site web Global Health Education .

    De plus, écrit le Dr Bush, « le glyphosate fonctionne comme un puissant agent de chélation, emprisonnant les nutriments dans le sol, les plantes et les systèmes hydriques de telle sorte que nous pouvons maintenant nous retrouver dans un état biologique équivalent de famine au milieu de l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

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  30. Les avertissements d'autres scientifiques, médecins et écologistes du monde entier abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante écologiste et écoféministe pour la souveraineté alimentaire basée à Delhi, en Inde, n'a cessé d'avertir, dans ses livres et articles, ainsi que dans ses discours et interviews donnés dans le monde entier, que les OGM ont détruit les sols et la vie végétale en inhibant leur capacité à maintenir les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, essentiels à la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d'opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l'agriculture industrielle », le Dr Shiva citait une étude de 1995 qui révélait que l'agriculture industrielle (lancée en 1965) était responsable de 75 % de l'érosion de la biodiversité terrestre, de 75 % de la destruction de ses ressources en eau et de 40 % des émissions de gaz à effet de serre, tout en ne produisant que 30 % de l'approvisionnement alimentaire humain.

    Depuis le milieu des années 1990, l'agriculture industrielle et chimique a décimé le microbiome du sol à l'échelle mondiale. Considérez ceci : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations Unies, Maria-Helena Semendo de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), a expliqué lors d'un forum qu'à moins de développer de nouvelles approches agricoles, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne en 2050 ne représenterait qu'un quart du niveau de 1960. Considérez également ceci : dans une étude menée par l'Université de Lancaster en septembre 2020, des chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle de la planète s'éclaircissaient et que 16 % d'entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

    En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes mâles, combinée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

    Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou tout autre herbicide encore plus toxique, aujourd'hui largement utilisé – comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est l'un des principaux ingrédients de l'herbicide de guerre chimique connu sous le nom d'Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate contenu dans le Roundup) – nous détruisons le microbiome du sol, des mauvaises herbes et des plantes, des animaux et de notre propre microbiome. Et, pour insister sur un point déjà évoqué, le Roundup se disperse non seulement dans le sol, mais aussi dans l'air. Il en va de même pour ses concurrents.

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  31. Malheureusement, les herbicides ne sont pas les seules substances toxiques présentes dans l'air que nous respirons. De nombreux autres polluants – mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n'en citer que quatre – circulent également dans l'atmosphère. Ces toxines, produites par les secteurs des transports et de l'énergie, se lient facilement aux particules de carbone. Les fines particules de carbone, appelées PM2,5 (c'est-à-dire des particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu'un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et de réactions chimiques. Elles sont particulièrement préoccupantes pour la santé humaine lorsque les concentrations de PM2,5 dans l'air sont élevées, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la Bibliothèque nationale de médecine des NIH et du New England Journal of Medicine .

    Il s'avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient uniformément dans l'atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l'air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

    Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l'hémisphère nord. Durant cette période, les concentrations de particules de carbone, d'émissions de CO2 et d'autres polluants, normalement absorbés par les arbres, les plantes, les océans et les sols, ne peuvent plus l'être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants se déplaçant vers l'est, portées par les vents. (Avec en prime des amas de virus hérissés qui se sont accrochés aux particules de carbone.) Le problème est aggravé – et rappelle les effets néfastes de l'agriculture chimique – par l'augmentation des concentrations de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant a perdu sa capacité à absorber le carbone à tout moment de l'année, quelle que soit la saison.

    Grâce aux images satellites de la NASA , nous pouvons observer chaque année, à partir de la mi-octobre, un important panache de carbone provenant des pôles d'industrie lourde de Chine et d'autres régions industrielles du monde et se dispersant vers l'est à travers l'hémisphère nord. Dès le mois de mai, cette brume toxique recouvre l'hémisphère nord. Vous pouvez consulter IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

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  32. Étrangement, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la nature entre en sommeil dans l'hémisphère nord. Durant ces mois, notre corps est plus exposé aux manifestations inflammatoires : fièvre, congestion, toux et perte d'appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s'adapte et s'équilibre avec les toxines industrielles présentes dans l'environnement. À l'arrivée de l'été, fin juin, la nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement disparaître, réduisant ainsi le risque de maladies respiratoires. C'est pourquoi nous sommes rarement, voire jamais, touchés par la grippe pendant les mois d'été dans l'hémisphère nord. Ainsi, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons cartographier et prédire précisément où se situeront les foyers d'infections respiratoires, de pandémies et de grippe saisonnière.

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  33. Chapitre III
    Que s'est-il passé en 2020

    Nous allons maintenant examiner comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a éclaté en 2020 – une « pandémie » qui a conduit à l'injection expérimentale massive de substances inconnues à des « sujets » humains en 2021 et dont la fin est incertaine. (Tout au long de ce livre, j'ai mis le terme « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. Il serait plus juste et plus juste de le décrire comme une « plandémie », une « scamdémie », une pseudo-pandémie ou tout autre terme désignant une supercherie.)

    Au cours des mois précédant 2020, la Terre a connu une série d'incendies de forêt sans précédent, de l'Australie à l'Amazonie et de l'Indonésie à la Californie. Rien qu'en Californie, la saison des incendies de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terres et 732 bâtiments. Au total, les incendies de forêt mondiaux de 2019 ont émis 7,8 milliards de tonnes de CO₂ et de particules de carbone dans la stratosphère , soit le niveau de PM2,5 le plus élevé depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur source. De nombreuses villes du monde, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité de l'air extrêmement dégradée en raison des niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

    Il s'avère que l'une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie – combustion provoquée soit par des incendies de forêt, soit par des réactions chimiques industrielles – est le cyanure. Plus précisément, le gaz cyanhydrique. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire, voire la mort en l'absence de traitement approprié.

    Ainsi, à l'entrée dans la « saison grippale » au second semestre 2019 et au début 2020, la planète était confrontée à une véritable tempête de toxicité. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des concentrations élevées de sous-produits industriels comme le soufre, le mercure, l'arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour affaiblir le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, souvent déjà confrontées à de graves problèmes de santé sous-jacents.

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  34. Pour couronner le tout, la plupart des patients souffrant de ces affections sous-jacentes – hypertension, diabète, obésité, coronaropathie et néphropathie – prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons désormais, grâce à une étude initialement publiée le 31 mars 2020 dans l' American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent positivement le récepteur de l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (IEC2), par lequel le coronavirus pénètre dans l'organisme. L'IEC2 est une protéine présente à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment celles de l'intestin, des reins, de l'utérus, des testicules, du cerveau, du cœur et, plus important encore pour notre sujet, des poumons et des muqueuses nasales et buccales.

    L'enzyme ACE2 joue un rôle important dans la régulation de la pression artérielle et la cicatrisation des plaies et des inflammations. De plus, les acides aminés de l'ACE2 contribuent à la capture et à la fragmentation d'une protéine nocive appelée angiotensine II, qui augmente la pression artérielle et endommage les tissus. C'est pourquoi les médecins occidentaux prescrivent généralement des IEC afin de stimuler l'expression de l'ACE2, réduisant ainsi le risque d'hypertension artérielle. De plus, lorsque l'enzyme ACE2 est régulée positivement, elle peut très facilement capturer – ou s'accrocher – à n'importe laquelle des nombreuses protéines Spike présentes à la surface d'un coronavirus.

    Recherche sur les gains de fonction

    Puisque nous parlons des protéines de pointe, j'aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction (GoF) dans ce domaine. La recherche sur le gain de fonction, redéfinie intentionnellement et à tort en octobre 2021 par le National Institute of Health (NIH) comme « agents pathogènes pandémiques potentiellement améliorés » ( EPPP ), est une recherche qui vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d'un virus afin d'améliorer sa capacité à infecter une espèce et d'accroître potentiellement son impact en tant que pathogène aéroporté.

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  35. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu'il pourrait ensuite être utilisé comme arme de guerre biologique (arme biologique) contre un ennemi potentiel. On sait qu'il existe des laboratoires de recherche sur les armes biologiques à Wuhan, en Chine, et sur le site de l'armée américaine à Fort Detrick, dans le Maryland. (En 2018, au moins quinze autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l'Allemagne et la Russie, disposaient de programmes d'armes biologiques et de laboratoires de recherche sur les armes biologiques.)

    (1) Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort Detrick, ou l'un d'eux, aient manipulé l'une des protéines de pointe d'un coronavirus, ce qui la rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l'Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.

    (2) Le Dr Anthony Fauci entretient-il des liens financiers étroits avec le laboratoire de Wuhan, du fait de son poste de directeur, depuis 1984, de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) ? Absolument.

    (3) Par extension, le gouvernement américain est-il impliqué indirectement ou directement dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.

    (4) Le Dr Fauci et le spécialiste du GoF de l'Université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils tous deux reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales – NIH, DARPA et NIAID – pour étudier le GoF dans les coronavirus, comme le souligne clairement ce dossier du Dr David Martin ? Absolument.

    Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette couverture médiatique du GoF pourrait en réalité être une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous n’avons aucune preuve scientifique évaluée par des pairs qu’un coronavirus provoque le syndrome respiratoire connu sous le nom de COVID-19.

    De plus, l’attention soudaine et intense des médias sur le Dr Fauci et le lien avec Wuhan pourrait être une tactique visant à détourner la responsabilité vers la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs de nombreuses nations et organisations, comme le WEF, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour asservir toute l’humanité dans un cauchemar dystopique technocratique.

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  36. Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les vaccins expérimentaux non approuvés (appelés vaccins contre la COVID-19) actuellement déployés dans le monde entier ? L'avenir nous le dira.

    Toxines ou infections virales ?

    Pour revenir aux événements de 2020, on constate qu'en régulant positivement le récepteur ACE2 présent à la surface des poumons et des muqueuses nasales, nous avons facilité l'absorption du coronavirus et des particules PM2,5 transportant du cyanure et d'autres polluants potentiels par les voies respiratoires. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et par pénétrer dans les globules rouges. Lorsqu'une toxine pénètre dans les globules rouges, elle modifie la forme de l'hémoglobine, protéine qui transporte l'oxygène dans les globules rouges, les rendant incapables de transporter l'oxygène. Ce processus prive littéralement l'organisme d'oxygène. Par conséquent, grâce à cette combinaison de facteurs, les conditions étaient réunies au second semestre 2019 pour que le système de distribution idéal puisse permettre l'intoxication au cyanure.

    L'intoxication au cyanure provoque une affection appelée hypoxie histotoxique. Cette affection se manifeste par les symptômes suivants :

    Changements de couleur de la peau (allant du bleu au rouge)
    Confusion
    Toux
    Fréquence cardiaque élevée
    Respiration rapide
    Essoufflement (perte de la capacité des globules rouges à transporter l'oxygène)
    Transpiration
    Par conséquent, fin 2019 et début 2020, des professionnels de santé de la province du Hubei, du nord de l'Italie, de l'agglomération new-yorkaise et d'ailleurs ont pris en charge des patients présentant des symptômes d'intoxication au cyanure. Comme le souligne un article du JAMA d'avril 2020 , ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d'une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d'une pneumonie ou d'une insuffisance respiratoire. Autrement dit, ils n'avaient pas de fièvre (apyrétique), pas d'accumulation de liquide dans les poumons et pas d'élévation du nombre de globules blancs (ce qui serait attendu en cas d'infection).

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  37. se déplacer (y compris quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit)
    voyages (y compris entre les États, les provinces, les pays et les continents)
    s'associer (c'est-à-dire se réunir en personne avec des amis et la famille)
    se rassembler (dans des manifestations pacifiques contre des décrets injustes, des pratiques corrompues et la censure)
    culte (y compris les réunions avec d'autres croyants)
    exprimer son individualité (y compris choisir de porter ou non un masque)
    jouir d'une autonomie corporelle (y compris ne pas être psychologiquement contraint ou physiquement forcé à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit)
    rester en activité (au lieu d’être considérées par les politiciens tyranniques et les bureaucrates de la santé publique comme « non essentielles » – une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente).
    Le Dr Bush résume ainsi les cas de maladies respiratoires aiguës graves qu’il a observés en 2020 :

    Malheureusement, nous n'avons pas considéré cela comme un empoisonnement, mais plutôt comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes mouraient d'une infection. Je pense qu'elles étaient clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure, transportées dans les poumons et, finalement, dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l'organisme par les tissus pulmonaires, vasculaires et nerveux, comme les sinus. Cette perte de goût et d'odorat est observée chez les personnes exposées à ce virus car il transite par le récepteur ACE2, présent à la surface de tous ces tissus. Ce récepteur se lie au coronavirus et attire le cyanure directement dans les globules rouges, empoisonnant ainsi le corps humain avec de grandes quantités de pollution atmosphérique, non pas inhalées, mais ciblées dans la circulation sanguine par le simple témoin d'un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps.

    Sa description détaillée montre clairement que les décès étaient dus à une toxicité environnementale, et non à une infection virale. C'est précisément la raison pour laquelle aucune étude scientifique, évaluée par des pairs, n'apporte de preuve concluante qu'un virus appelé SARS-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée COVID-19 . De telles preuves sont inexistantes, car le soi-disant coronavirus ne cherche à nuire à personne, mais se contente de présenter une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

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  38. Sans surprise, au 30 novembre 2021, 127 établissements de santé et de sciences dans plus de vingt-cinq pays n'avaient fourni ni cité aucun document décrivant la purification du prétendu virus SARS-CoV-2 à partir d'un échantillon de patient. Bien que certains scientifiques, notamment en Australie, en Chine, au Canada, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Nouvelle-Zélande, affirment avoir purifié un coronavirus à partir d'un échantillon de patient, un examen plus approfondi révèle que leurs allégations sont sans fondement au vu des recherches méticuleuses menées par la biostatisticienne Christine Massey , M.Sc.

    S'appuyant sur ces recherches , Massey a adressé, en un an, de nombreuses demandes d'accès à l'information (FOIA) à plus d'une centaine d'établissements de santé à travers le monde. Les résultats de ses demandes sont alarmants, mais sans surprise. Toutes les réponses confirment qu'il n'existe, comme elle le dit, aucune trace d'« isolement/purification du SARS-CoV-2 jamais réalisé par qui que ce soit, où que ce soit sur la planète ».

    (Pour ceux d'entre vous qui ne sont pas familiers avec la procédure d'isolement/purification, je vous renvoie à l'analyse du processus par le Dr Andrew Kaufman . Il utilise six critères (développés par le Dr Thomas Rivers, qui a modifié les postulats de Koch) pour détecter une maladie virale de la manière suivante : premièrement, isoler le virus de l'hôte malade ; deuxièmement, cultiver le virus dans les cellules hôtes ; troisièmement, fournir la preuve de la filtrabilité ; quatrièmement, produire la même maladie dans un nouvel hôte ; cinquièmement, réisoler le virus ; sixièmement, détecter une réponse immunitaire spécifique au virus.)

    De plus, selon les recherches de Massey, non seulement le SARS-CoV-2 original n’a jamais été isolé/purifié, mais il n’est pas surprenant qu’au moment de la publication de ce livre, aucun laboratoire n’ait isolé/purifié d’échantillons du prétendu « variant Delta ».

    Plus important encore, l’Organisation mondiale de la santé – la principale machine à semer la peur et à semer la panique chez les gens par ses affirmations non fondées – n’a pas en sa possession d’isolat du nouveau coronavirus original de 2019, ni d’isolat d’un autre variant – y compris le dernier « variant Omicron ».

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  39. L'OMS possède cependant une séquence génomique générée par ordinateur du prétendu virus SARS-CoV de 2003, transmis début 2020 par le Dr Christian Drosten et ses collègues de l'Institut de virologie de Berlin à l'hôpital de la Charité (une institution généreusement financée , ce n'est pas un hasard, par la Fondation Bill et Melinda Gates). Eurosurveillance , une revue médicale hebdomadaire à comité de lecture basée en Europe, a confirmé ce point dès le début de la pseudo-pandémie, le 23 janvier 2020, en publiant l'affirmation suivante :

    Nous rapportons la mise en place et la validation d'un protocole de diagnostic pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [par RT-PCR], conçu en l'absence d'isolats viraux ou d'échantillons de patients originaux disponibles . La conception et la validation ont été rendues possibles par l'étroite parenté génétique avec le SARS-CoV de 2003 et facilitées par l'utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques.

    Par conséquent, compte tenu des faits précédents, nous pouvons conclure que non seulement personne n’a isolé/purifié le virus, mais qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour étayer l’affirmation frauduleuse selon laquelle nous avons affaire à une « nouvelle » variante du coronavirus du SRAS de 2002/03.

    Résumé des scénarios 2020

    Nous avons eu deux scénarios différents en 2020. Je vais résumer chacun d’eux ci-dessous.

    Dans un scénario, nous avons observé des personnes présentant un épisode inflammatoire caractérisé par de la fièvre, une congestion, une perte d'appétit, une augmentation du nombre de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on pourrait s'attendre lorsqu'un nouveau variant d'un coronavirus ou de tout autre virus déclenche le système immunitaire inné – et finalement le système immunitaire adaptatif – pour rétablir l'équilibre grâce à une nouvelle mise à jour génomique virale. Rappelons que les coronavirus fournissent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils travaillent pour nous et ne nous transmettent pas de maladies.

    Dans l’autre scénario, nous avons vu des personnes atteintes de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, comme décrit par le Dr Bush dans la longue citation ci-dessus.

    Certes, dans les deux cas, le coronavirus est présent, mais de manière bénigne. Comme je l'ai expliqué précédemment, un virus ne cherche pas à prendre le contrôle des mécanismes d'une cellule de l'organisme. Il ne provoque ni ne force quoi que ce soit. Il est simplement présent – ​​un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le VIH et le sida que j'ai évoqué au chapitre 1.

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  40. Cependant, au lieu de différencier les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, instruits par la direction totalement corrompue de l'OMS, les ont commodément regroupés sous une seule catégorie : la COVID-19. Ils ont utilisé pour cela le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, dont l'inventeur Kary Mullis affirmait (avant son décès prématuré en août 2019) qu'il n'était pas destiné à diagnostiquer la maladie, mais simplement à vérifier la présence d'une charge virale.

    Malgré ses résultats faciles à falsifier et donc fréquemment falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier en remplacement des analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ignorant que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que l'expression effrayante de « cas positif » ne signifie pas la présence d'une infection et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni être porteuses ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu'un agent pathogène dangereux tuait une grande partie de la population. Par conséquent, ce à quoi nous assistons, en réalité, n'est rien d'autre qu'une pandémie de « cas positifs au test PCR », et non de « cas positifs à la COVID-19 ».

    En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de port du masque néfastes et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciation physique absurdes.

    Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi réprimer comme des dictateurs ?

    Les responsables politiques et de la santé publique doivent obéir à des ordres menaçants, accepter des pots-de-vin irrésistibles ou simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, croyant naïvement agir « juste » dans l'intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, il faut les inciter, par tous les moyens, à convaincre les citoyens de participer à la plus grande expérience médicale de l'histoire : une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue pour injecter à chaque personne obéissante une thérapie génique expérimentale non testée et non approuvée, appelée ARNm de la COVID-19. (Dans de nombreux pays, comme en Europe, en Amérique du Nord, en Arabie saoudite , en Chine et au Tadjikistan , même les réticents sont contraints de se soumettre à l'injection de la COVID-19.)

    Les parallèles entre l'« épidémie de sida » et la « pandémie de COVID-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l'acteur principal est un virus bénin qui peut aisément être accusé d'être la cause première d'une maladie déclarée, malgré l'absence de preuves scientifiques et évaluées par des pairs pour étayer cette affirmation. De plus, dans les deux cas, le virus peut servir de couverture pour masquer des décennies de dégradation environnementale causées par des entités gouvernementales et privées, dont les chefs de file ne paient jamais leurs crimes ni par des amendes ni par des peines de prison. Enfin, dans les deux cas, l'histoire du virus procure d'immenses profits à l'industrie pharmaceutique mondiale, qui n'est jamais tenue financièrement responsable des blessures et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments – ces derniers tant qu'ils ne sont pas identifiés comme la véritable cause du décès (pensez à l'AZT).

    *

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  41. Chapitre IV
    Ignorer les débris

    Au lieu de prendre conscience de la destruction de notre habitat, au lieu d'apprendre les leçons que la nature tente de nous inculquer depuis vingt mois, la plupart d'entre nous ont ignoré les dégâts et refusé d'en tirer des leçons. Au contraire, l'humanité n'a fait qu'intensifier sa guerre contre la nature durant la pseudo-pandémie de l'année écoulée.

    Par exemple, depuis janvier 2020, 129 milliards de masques (la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée dans Environmental Science & Technology. Une part importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Sans oublier les milliards et milliards d'emballages alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés – et jetés – suite à la forte augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, alors que les restaurants étaient fermés aux clients sur place.

    Et ce n'est là qu'une partie des dégâts environnementaux causés par cette arnaque parmi toutes les arnaques. Partout dans le monde, des gouvernements, notamment en Chine et en Italie, déversent des biocides cancérigènes dans l'atmosphère. Cet acte insensé, visant à contenir ou à détruire ce virus injustement redouté, expose les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l'eau du robinet de millions de foyers. Bref, nous ignorons totalement les conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme.

    Les professionnels de la santé réduits au silence

    Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé prêter serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices du respect des faux mandats de la pandémie.

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  42. Ces hommes et femmes courageux, tous médecins ou titulaires d'un doctorat et portant donc le titre de « Dr » — comprennent Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ; le pédiatre Lawrence Palevsky ; le médecin de soins primaires Vladimir Zelenko ; l'ancienne scientifique du NIAID Judy Mikovits ; l'avocate, médecin et fondatrice d'America's Frontline Doctors Simone Gold ; le médecin de famille Stephen Malthouse ; le microbiologiste Sucharit Bhakdi ; le professeur associé d'immunologie virale Byram Bridle ; le pédiatre Paul Thomas ; le cardiologue Richard Fleming ; le médecin urgentiste et de famille Patrick Philips ; le pathologiste Roger Hodkinson ; et l'ancien directeur scientifique de Pfizer Mike Yeadon, pour n'en citer que quelques-uns.

    Chacun d'entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels sur la santé humaine de ces « vaccins » jamais testés, ni approuvés, ni utilisés. Et, pour avoir osé s'exprimer, chacun est menacé, censuré, et pire encore. Collectivement, leurs appréhensions vont de (1) aux effets possibles des nanoparticules lipidiques (LNP) sur le cerveau humain ; (2) à la manière dont l'utilisation du polyéthylène glycol (PEG) pourrait provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes ; (3) à la manière dont les protéines Spike induites artificiellement et circulant dans le corps humain pourraient provoquer des troubles de la coagulation sanguine dans différentes parties du corps ; et (4) à la manière dont cet excès de protéines Spike, une toxine neurovasculaire, pourrait provoquer une myocardite (inflammation du muscle cardiaque) chez les enfants et les jeunes adultes.

    Les praticiens de la médecine sont notamment victimes de la brutalité des organismes qui les autorisent à exercer. Par exemple, l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario (OMCO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer leur permis d'exercice à tout médecin qui dénoncerait publiquement – ​​ou même remettrait en question – les effets secondaires néfastes des confinements et/ou des vaccins contre la COVID dont il aurait été témoin en travaillant en première ligne dans ses hôpitaux et ses communautés. Aux États-Unis, la procédure de retrait du permis d'exercice d'un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même. Chaque État dispose de son propre ordre médical, qui peut suspendre temporairement un permis d'exercice sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire a enfreint la norme de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

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  43. D'autres tentatives visant à empêcher le public d'accéder à des informations scientifiques essentielles incluent le discrédit et l'étouffement des praticiens médicaux, des médecins et des scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public des géants du numérique, comme YouTube de Google. Cela n'est pas surprenant, puisque Google, créé par la CIA , entretient également des liens étroits avec des sociétés pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces individus sont également déplateformés de Facebook – une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA – ainsi que par Instagram, Amazon Web Services (AWS), LinkedIn et Twitter.

    Des traitements alternatifs sont-ils disponibles ?

    Pire encore, les médecins ont été confrontés à une censure extrême pour avoir fourni la preuve de l'existence de traitements viables, efficaces et peu coûteux contre la COVID-19 – des traitements qui rendent le développement d'un « vaccin » superflu. Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d'autres de nombreux pays, ont non seulement vanté, mais démontré à maintes reprises, l'efficacité des antipaludiques chloroquine (CQ) et hydroxychloroquine (HCQ), ainsi que d'autres médicaments comme l'ivermectine, l'azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de la COVID-19. Ils ont prouvé, par exemple, que la CQ et l'HCQ, administrées à faibles doses prescrites, n'entraînent que peu, voire aucun, d'effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent.

    Néanmoins, les agences gouvernementales de santé – la FDA, le NIH et le CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada – ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font des déclarations manifestement fausses à leur sujet.

    Français Pour comprendre pourquoi cette suppression des traitements efficaces se produit, il suffit de regarder l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de la FDA pour les vaccins destinés à prévenir la COVID-19, délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document , sous la section lll, Critères et considérations pour la délivrance d'une EUA pour un vaccin contre la COVID-19, le dernier point indique clairement que la FDA ne peut délivrer une EUA que si elle a déterminé qu'« il n'existe pas d'alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou l'affection ». Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l'EUA repose sur la présupposition qu'il n'existe aucune intervention alternative disponible.

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  44. Pourtant, les injections de modification génétique contre la COVID-19 continuent d'être promues avec acharnement par les propagandistes et leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré des preuves accablantes que la transmission asymptomatique est impossible ; que pour rester en bonne santé, nous n'avons pas besoin de ces injections, dont l' innocuité et l'efficacité ont été prouvées ; que la COVID-19 est loin d'être aussi mortelle qu'on le pensait ; et que les enfants n'ont pas besoin de protection contre ce virus. De plus, malgré leurs affirmations contraires, rien ne prouve l'existence du SARS-CoV-2, et encore moins qu'il soit la cause de la COVID-19.

    Partout dans le monde, les gouvernements continuent de corrompre, de menacer et de contraindre leurs citoyens – en violation directe du Code de Nuremberg et sous couvert de « santé publique » – à se soumettre à ces injections. Par exemple, le 1er décembre 2021, la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, a exhorté les États membres de l'Union européenne à envisager la mise en œuvre de vaccins COVID obligatoires au sein de l'UE. Étant donné qu'un tiers de la population européenne n'est pas « vaccinée », cette mesure draconienne, si elle était mise en œuvre, priverait environ 150 millions de personnes de leur droit à l'autonomie corporelle.

    Ceux d'entre nous qui ont étudié et lu sur ce sujet depuis ses débuts savent qu'il n'a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question de mettre en œuvre un plan mondial de biosécurité et un système de contrôle transhumaniste qui, s'il se concrétisait, signifierait la fin de l'espèce humaine.

    Cette crise artificielle a fourni le tremplin idéal à la convergence bionumérique. Pour ceux d'entre vous qui pensent que l'idée d'associer le corps humain aux systèmes numériques est une exagération ou une fantaisie, je voudrais attirer votre attention sur le document « Explorer la convergence bionumérique » publié le 11 février 2020 par Horizons de politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur des politiques canadiennes a discuté du concept effrayant de modifier l'évolution du corps humain par l'intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s'avère que la vaste modification génétique de l'espèce humaine, provoquée par les injections expérimentales de COVID-19, n'est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

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  45. Comme si le document canadien n'était pas suffisamment alarmant, une menace encore plus grande pour l'humanité se déploie ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « L'augmentation humaine : l'aube d'un nouveau paradigme ». Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de conception et de doctrine (DCDC) du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande. Leur objectif est de « comprendre les implications futures de l'augmentation humaine (AH) et d'ouvrir la voie à des recherches et développements plus approfondis en matière de défense ». En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet DCDC vise à mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bio-informatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu'elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l'AH sera sans aucun doute, à l'instar de nombreux programmes militaires développés au cours de l'histoire, un jour déployée dans le secteur civil.

    Les passeports vaccinaux (vaxxports) déployés par un grand nombre de gouvernements nationaux ne sont que la partie émergée de l'iceberg dystopique. Certes, pour l'instant, ils ne servent qu'à punir ceux qui refusent de renoncer à leur autonomie corporelle face à l'injection de modifications génétiques biomédicales. Mais les vaxxports dépasseront bientôt cet objectif : ils marquent la transition entre l'incapacité de nos prétendus contrôleurs à nous dominer totalement (en refusant de nous y conformer, nous conservons une partie de notre autonomie et de notre souveraineté individuelles) et notre soumission totale à l'IoT (Internet des objets), à l'IoB (Internet des corps) et à la MNBC (Monnaie numérique de banque centrale). À ce stade, des dirigeants technocrates non élus deviennent nos maîtres suprêmes et nous leurs esclaves du « rien ne nous appartient et nous sommes heureux ».

    Je dois le dire sans équivoque : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à notre destruction volontaire de l’écosystème, constituent les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est confrontée aujourd’hui. Peut-être jamais.

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  46. Trump déclare la guerre aux prix exorbitants des médicaments : une victoire en vue pour les patients américains ? Analyse.


    Le Collectif Citoyen, France-Soir
    le 13 mai 2025 - 08:08


    13 mai 2025 – Le président Donald Trump a signé, le 12 mai 2025, un décret exécutif visant à instaurer une tarification de type « nation la plus favorisée » (Most-Favored-Nation, MFN) pour les médicaments sur ordonnance aux États-Unis. Cette mesure ambitieuse, détaillée sur le site officiel de la Maison-Blanche, cherche à réduire les coûts exorbitants des traitements pour les patients américains, mais elle suscite déjà de vives réactions, tant dans les médias que sur les réseaux sociaux.

    Un décret pour répondre à une problématique majeure

    Le décret s’attaque à une inégalité de longue date : les États-Unis, qui représentent moins de 5 % de la population mondiale, financent environ 75 % des profits pharmaceutiques mondiaux, selon les chiffres avancés par la Maison Blanche. Cette disparité découle d’une stratégie des fabricants pharmaceutiques, qui offrent des remises importantes à l’étranger tout en imposant des prix élevés aux patients américains pour compenser ces rabais. Par exemple, un traitement contre le cancer peut coûter 30 à 80 % moins cher dans d’autres pays développés, comme le souligne un Reuters ce 12 mai 2025.

    Pour remédier à cette situation, le décret ordonne au secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr., de fixer, dans un délai de 30 jours, des prix cibles pour les médicaments alignés sur ceux pratiqués dans les pays comparables. Si les fabricants ne s’alignent pas, des mesures coercitives sont prévues : l’importation de médicaments à bas coût sous la section 804(j) de la Federal Food, Drug, and Cosmetic Act (FDCA), ou même la révocation par la FDA des approbations pour des médicaments mal évalués ou faisant l’objet d’un marketing hors indication.

    Les points clés du décret

    Le décret, intitulé « Fournir aux patients américains le prix des médicaments d'ordonnance de la nation la plus favorisée », repose sur plusieurs axes majeurs :

    Fixation des prix cibles : le HHS, en coordination avec d’autres agences, doit communiquer des prix cibles aux fabricants pharmaceutiques pour aligner les coûts aux niveaux des autres nations développées.
    Importation de médicaments : si les prix ne baissent pas, le secrétaire à la Santé devra certifier que l’importation de médicaments est sûre et économiquement avantageuse pour les consommateurs.
    Sanctions contre les pratiques anticoncurrentielles : le décret cible les tactiques des laboratoires, comme les accords avec les fabricants de génériques pour retarder l’entrée de versions moins chères sur le marché.
    Révision des exportations : le département du Commerce est chargé d’examiner les exportations de médicaments et d’ingrédients actifs qui contribuent aux écarts de prix mondiaux.

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  47. Une prise de parole remarquée de Robert F. Kennedy Jr.

    Lors de la conférence de presse suivant la signature du décret, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, a pris la parole pour défendre cette initiative, déclatant : « Ce décret est une étape cruciale pour mettre fin à l’exploitation des patients américains par Big Pharma. Les prix des médicaments doivent refléter une justice mondiale, et non un système où les États-Unis subventionnent les soins de santé des autres nations. » Il a également ajouté que cette politique devrait rallier les progressistes américains, une position qui a surpris certains observateurs compte tenu de son association avec une administration républicaine.

    Cette déclaration, relayée par The Guardian, a renforcé la tonalité combative de l’événement, où Trump était également flanqué de Mehmet Oz, administrateur des centres pour Medicare et Medicaid.

    « Un décret totalement parfait », analyse Jeffrey Tucker

    L’économiste Jeffrey A. Tucker, président de l’Brownstone Institute, a apporté une perspective favorable dans une interview. Selon lui, ce décret représente « un mouvement énorme vers la concurrence sur le marché, visant à briser le cartel pharmaceutique américain qui surchargait les contribuables depuis des décennies ». Tucker souligne que « personne n’avait eu le courage de faire cela auparavant, et c’est une chose évidente, de bon sens ».

    Il critique également le système actuel, où les brevets, notamment grâce à la Bayh-Dole Act, permettent une « monopolisation industrielle légale ». Selon lui, les États-Unis subventionnent indirectement le reste du monde en payant des prix exorbitants, alors que d’autres pays bénéficient de prix normaux, parfois dix fois moins élevés. Tucker estime que ce décret, bien que controversé, pourrait forcer une réforme structurelle de l’industrie pharmaceutique.

    Conséquences pour les différents acteurs

    Pour l’industrie pharmaceutirque : les grandes entreprises pharmaceutiques, souvent surnommées "Big Pharma", pourraient voir leurs bénéfices sérieusement affectés. La menace de révocation des approbations par la FDA, mentionnée dans le post d’Emily Kopp, est particulièrement lourde. Moderna, par exemple, a vu son action plonger de 62,32 % sur cinq ans, passant de 449,38 $ en septembre 2021 à 25,13 $ le 12 mai 2025,

    Le lobby pharmaceutique PhRMA a rapidement réagi, qualifiant le décret de « mauvais marché pour les patients », selon le New York Times du 12 mai 2025, un média pro-démocrate censé prendre la défense des consommateurs !

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  48. Pour les consommateurs : les patients américains pourraient bénéficier de prix plus bas, notamment grâce à des programmes d’achat direct qui contourneraient les assurances. Cependant, des experts interrogés par NPR mettent en garde : une baisse forcée des prix pourrait pousser certains fabricants à limiter l’offre de certains traitements, ce qui risquerait de perturber l’accès aux soins.

    Pour les médecins : les médecins pourraient jouer un rôle accru dans la transparence des prix. Le décret encourage des pratiques qui permettraient aux professionnels de santé de mieux conseiller leurs patients sur des alternatives abordables, un point déjà abordé dans une initiative antérieure de Trump sur l’insuline, datant du 15 avril 2025, où le prix de ce médicament vital avait été réduit à 0,03 $ pour les patients à faible revenu.

    Réactions polarisées sur X et dans les médias

    Sur X, les réactions sont mitigées. Trump Daily Posts salue le décret comme une « victoire pour les patients américains », tandis qu'Anna R. Matson critique son manque de clarté juridique, estimant qu’il « risque de s’effondrer devant les tribunaux ». Le médecin Aaron Kheriaty met en garde contre les effets sur l’innovation : « Si les profits chutent, qui financera la recherche de nouveaux traitements ? »

    De son côté, le directeur de la FDA Dr Marty Makary appelle à une réforme plus large :

    « Réunissons les différentes sociétés pharmaceutiques autour d'une table et voyons si elles peuvent résoudre ce problème. Je les ai rencontrées et elles savent pertinemment que le prix de certains de ces médicaments est 5, 10, 12 fois plus élevé aux États-Unis qu'à Londres, en Allemagne ou en France. C'est absurde. Et cela n'a aucun sens pour aucun électeur. »

    Dans les médias, le ton est tout aussi divisé. Reuters rapporte que des experts juridiques doutent de la légalité du décret, arguant que certaines mesures, comme influencer les prix à l’étranger, dépassent l’autorité exécutive sans l’approbation du Congrès. NPR souligne les défis logistiques, rappelant que des initiatives similaires sous la première administration Trump, comme l’importation de médicaments du Canada, avaient échoué en raison de blocages juridiques et pratiques. D’autres notent que la nomination de figures controversées comme Robert F. Kennedy Jr. au HHS pourrait compliquer la mise en œuvre, en raison de ses positions critiques envers l’industrie pharmaceutique.

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  49. Un décret dans la continuité des actions de Trump

    Ce décret s’inscrit dans une série d’initiatives de Trump sur les prix des médicaments. En avril 2025, il avait déjà lancé une mesure pour réduire le coût de l’insuline, et durant son premier mandat, une tentative d’indexation des prix sur ceux d'autres pays avait été bloquée par un tribunal, comme le rappelle Reuters. Cette nouvelle tentative pourrait donc se heurter aux mêmes obstacles, notamment en raison de l’opposition farouche des lobbies pharmaceutiques et des incertitudes juridiques.

    Perspectives et défis à venir

    Si le décret vise à rééquilibrer les coûts des médicaments, son application reste incertaine. Les fabricants pourraient contester les mesures devant les tribunaux, et l’absence de soutien clair du Congrès, pourrait limiter son impact. Par ailleurs, la coopération internationale, nécessaire pour ajuster les prix mondiaux, semble difficile à obtenir, surtout avec des figures comme Kennedy et Jay Bhattacharya (nommé à la tête des NIH) à des postes clés, connus pour leur scepticisme envers l’industrie.

    En conclusion, ce décret représente une tentative audacieuse de s’attaquer à un problème de longue date, mais son succès dépendra de sa capacité à surmonter les défis juridiques, logistiques et politiques. Les prochains mois seront décisifs pour savoir si les patients américains verront enfin une baisse significative des prix des médicaments, ou si cette réforme restera une promesse inachevée.

    Il s'ajoute aussi à la liste qui s'allonge de jour en jour des décisions prises aux États-Unis en faveur des patients : fin du financement fédéral de la recherche sur le gain de fonction, mise en place de tests placebo pour les vaccins, baisse des prix des médicaments ainsi que les enquêtes du ministère de la Justice sur les pratiques contestées des revues scientifiques. Le vent continue de souffler dans la bonne direction.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/trump-declare-la-guerre-aux-prix-exorbitants-des-medicaments-une-victoire-en-vue

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  50. Sanofi et Bristol Myers Squibb acceptent de verser 700 millions de dollars à Hawaï pour mettre fin à des poursuites contre le Plavix


    France-Soir
    le 12 mai 2025 - 10:32


    Le feuilleton Plavix prend fin aux États-Unis. Vendredi, les laboratoires américain, Bristol Myers Squibb (BMS) et français, Sanofi, ont conclu un accord avec l’État de Hawaï pour éviter un procès en appel lié à leur médicament Plavix. Après plus d’une décennie de procès et de condamnations, les deux sociétés ont accepté de payer 700 millions de dollars pour clore le litige.

    Le Plavix, dont le principe actif est le clopidogrel, est un médicament anticoagulant largement prescrit pour prévenir la formation de caillots sanguins, notamment afin de réduire les risques d’accidents vasculaires cérébraux et d’infarctus. Développé conjointement par le laboratoire américain Bristol Myers Squibb (BMS) et la firme française Sanofi, il agit en empêchant les plaquettes sanguines de s’agglutiner. Cependant, son efficacité dépend d’une activation enzymatique qui varie selon le profil génétique des patients.

    Depuis plus de dix ans, BMS et Sanofi sont confrontés à des poursuites judiciaires initiées par l’État d’Hawaï, qui leur reproche de ne pas avoir suffisamment informé les médecins et les patients sur les limites d’efficacité du Plavix chez une partie de la population. Environ 30 % des patients, principalement d’origine asiatique ou des îles du Pacifique, des groupes ethniques fortement représentés à Hawaï, présentent en effet des variations génétiques qui limitent l’activation du médicament dans l’organisme, réduisant ainsi son effet protecteur contre les accidents cardiovasculaires.

    “Une victoire majeure”, se félicite Hawaï

    Les autorités hawaïennes accusaient les laboratoires d’avoir minimisé ou retardé la diffusion de ces informations cruciales, alors que des études scientifiques en avaient déjà fait état.

    Ce contentieux a donné lieu à plusieurs procès. Un premier jugement avait condamné les deux groupes à verser 834 millions de dollars à l’État d’Hawaï, mais cette décision a été partiellement annulée en appel, entraînant un nouveau procès. En mai 2024, la justice hawaïenne a durci la sanction, condamnant BMS et Sanofi à 916 millions de dollars, estimant qu’ils avaient “volontairement ralenti et amoindri les recherches sur le Plavix durant plus d’une décennie” et qu’ils n’avaient pas mis à jour les informations destinées aux prescripteurs locaux.

    Les deux laboratoires ont contesté cette décision, affirmant que la majorité des preuves scientifiques démontraient que le Plavix restait un traitement sûr et efficace, indépendamment de l’origine ethnique ou de la génétique du patient.

    Vendredi, ce contentieux a pris fin. Bristol Myers Squibb ainsi que trois filiales de Sanofi aux États-Unis ont accepté de verser 700 millions de dollars à Hawaï, a annoncé l’État américain.

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  51. Selon cet accord, le montant sera pris en charge à part égales par BMS et Sanofi. “Peu importe qu’il s’agisse d’une petite entreprise ou d’une compagnie pétrolière multimilliardaire, nous appliquerons sans relâche les lois hawaïennes sur la protection des consommateurs”, a déclaré la procureure générale de l’État, Anne Lopez, dans un communiqué de l’État. Le gouverneur, Josh Green, a salué une “victoire majeure”. “Les fonds seront versés par virement bancaire au plus tard le 9 juin 2025”, explique-t-on encore.

    Un revers judiciaire de plus pour Sanofi

    Malgré leurs arguments pendant ces douze années de litige, les deux laboratoires décident ainsi de tourner la page d’une affaire susceptible de susciter des incertitudes sur leurs résultats et nuisible à leur image et leur réputation, déjà entachées par des revers judiciaires récents.

    En 2013, l’Autorité de la concurrence avait sanctionné Sanofi pour abus de position dominante à hauteur de 40,6 millions d’euros. Le laboratoire a été accusé d’avoir mis en place une stratégie de dénigrement à l’encontre des génériques de Plavix.

    En septembre dernier, le laboratoire français était condamné dans une autre affaire similaire, qui a également duré une douzaine d'années. Il était question de l’antiépileptique Dépakine, pour lequel Sanofi a fait preuve de “défaut d’information” entourant les risques de la prise du médicament, aujourd’hui jugé “défectueux”.

    Commercialisé depuis 1967, le Dépakine a été responsable de nombreuses lourdes pathologies chez des milliers d’enfants suite à la prise du médicament par les mères au moment de la grossesse. L’Assurance-maladie et l’Agence nationale de sécurité du médicament ont estimé le principe actif du médicament responsable de malformations chez 2 150 à 4 100 enfants, tandis que les troubles neurodéveloppementaux se retrouveraient chez 16 600 à 30 400 enfants.

    Selon le jugement, Sanofi est “responsable d’un défaut d’information des risques malformatifs et neurodéveloppementaux de la Dépakine, qu’elle commercialisait, du maintien en circulation d’un produit qu’elle savait défectueux, et d’une faute de vigilance au moment des grossesses de Mme Marine Martin (la plaignante à l’origine de l’affaire, NDLR), entre 1998 et 2002”.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/sanofi-et-bristol-myers-squibb-acceptent-de-verser-700-millions-de-dollars-hawai-pour

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  52. Se souvenir de la fête des mères durant « le confinement COVID-19 ». Votre gouvernement ne vous permettait pas de « serrer votre mère dans vos bras ».


    Par Maya Chossudovsky Ladouceur
    Mondialisation.ca, 11 mai 2025
    9 mai 2020


    Célébrer la fête des mères en plein milieu du confinement contre la COVID-19
    La fête des mères. Dimanche 10 mai 2020. Le jour où les familles se réunissent, le jour où les gens dans de nombreux pays du monde entier célèbrent la maternité sous toutes ses formes, qu’il s’agisse de futures mères, de mères décédées, de belles-mères, de grands-mères…

    La fête des mères est une célébration familiale qui honore la maternité. Cette année, la Fête des mères 2020 sera gravée dans la mémoire des gens pour toujours, mais malheureusement pas pour les bonnes raisons. Comme nous vivons dans des temps étranges en raison de la pandémie de la COVID-19, les gens de nombreux pays se voient interdire par leur gouvernement de se réunir pour célébrer la matriarche de la famille.

    Le nombre moyen d’enfants dans une famille aux États-Unis est de 1,9 et comme les rassemblements de plus de 2 personnes, même de la même famille, sont interdits à moins qu’elles ne vivent dans le même domicile, les gens devront célébrer cette fête à part.

    Si, par exemple, une famille compte deux enfants adultes qui ont à leur tour une famille à eux, ils ne pourront pas rendre visite à leur propre mère, et encore moins à leur grand-mère. En outre, certaines mères peuvent être plus à risque que la population moyenne : celles qui ont plus de 65 ans, ainsi que celles qui souffrent de problèmes médicaux sous-jacents (asthme, diabète, maladies cardiaques, cancer, etc.).

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  53. Cet isolement vaut-il vraiment toute l’anxiété, la tristesse et la séparation familiale que tout le monde connaît ?

    Les reportages des médias frôlent le ridicule.

    « Une distance sociale sûre ». Votre gouvernement ne vous permet pas de « serrer votre mère dans vos bras ».

    Se réunir — à une distance sociale sûre

    Si les ordonnances locales le permettent et si vous vous sentez tous deux à l’aise, rassemblez-vous à une distance sociale sûre pour dire « bonjour » le jour de la fête des mères. Que vous vous retrouviez en plein air ou que vous passiez chez elle avec un défilé de voitures, elle sera ravie de voir votre visage souriant.

    Est-il prudent d’offrir des cartes et des fleurs en cette fête des mères ? Les réponses à vos questions sur la COVID-19

    Devrions-nous continuer à suivre les règles pour la fête des mères ?

    Nos gouvernements nous disent-ils la vérité ?

    Ce droit fondamental de rencontre des familles doit-il être supprimé ?

    Espérons que tout sera réouvert pour la fête des pères, c’est-à-dire le 21 juin…

    https://www.mondialisation.ca/celebrer-la-fete-des-meres-en-plein-milieu-du-confinement-contre-la-covid-19/5645347?doing_wp_cron=1747059530.0274579524993896484375

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  54. Tentative de meurtre au laboratoire biologique de Fort Detrick : interruption des activités
    Sabotage, négligence et contrat de gestion ridicule


    Par John Leake
    Discours courageux
    12 mai 2025


    Depuis les attaques aux lettres à l’anthrax du 18 septembre 2001, le laboratoire biologique américain de Fort Detrick m’apparaît comme emblématique de l’imprudence et de l’irresponsabilité du gouvernement américain.

    Rappelons que ce jour-là, des lettres contenant des spores d’anthrax sont arrivées dans les bureaux des médias et dans ceux des sénateurs Tom Daschle et Patrick Leahy, chefs de file de l’opposition au Patriot Act.

    Ces attaques ont fait cinq morts et dix-sept victimes. Ces attentats ont permis de relancer le programme de vaccination contre l'anthrax de l'armée américaine, interrompu en juin précédent pour des raisons de sécurité. Le 28 juin 2002, l'ensemble du personnel militaire a de nouveau été tenu de se faire vacciner.

    Les attentats ont été mis en scène pour faire croire qu'ils étaient l'œuvre d'agents irakiens ou de terroristes islamistes. Cependant, le FBI a rapidement établi qu'ils n'étaient pas l'œuvre d'un adversaire étranger, mais qu'ils avaient très probablement été commis par un membre de la biosécurité américaine.

    Après des années d'hésitations et de dissimulations, le FBI a finalement annoncé (en 2008) qu'ils avaient été perpétrés par Bruce Edwards Ivins, un scientifique travaillant au laboratoire de biodéfense de Fort Detrick.

    Ivins était furieux et désespéré car le programme de vaccination contre l'anthrax, auquel il avait consacré sa vie, avait été annulé en juin 2001. Il a donc décidé de « montrer » au gouvernement et au peuple américains à quel point ils avaient besoin de son vaccin.

    Ce qui est particulièrement perfide dans cet incident, c'est que, bien que le FBI sache que les attaques n'étaient pas l'œuvre d'un adversaire étranger, le Département de la Défense les a néanmoins utilisées comme prétexte pour relancer le programme de vaccination contre l'anthrax, permettant ainsi à Ivins de réussir son pari.

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  55. Le Congrès a utilisé ces attaques comme prétexte pour adopter la loi de 2002 sur la sécurité sanitaire publique et la préparation et la réponse au bioterrorisme, prévoyant des fonds supplémentaires pour le développement de vaccins. De fait, les attaques à l'anthrax ont joué un rôle décisif dans l'instauration du climat de peur qui a conduit à l'adoption de la loi PREP de 2005, ouvrant la voie à tous les abus et fraudes, exempts de toute responsabilité, qui ont marqué la réponse à la pandémie de 2020.

    Ce n'est qu'en 2008 que l'attentat bioterroriste le plus grave de l'histoire des États-Unis a été commis par un chercheur de haut rang du Département de la Défense. À cette époque, le peuple américain avait surmonté tous les traumatismes infligés par le gouvernement américain lors des années de « terrorisme islamique » de 2001 à 2008.

    Une élection présidentielle et une crise financière se préparaient, et il semble que peu d'Américains aient remarqué toutes les ruses de leur gouvernement détestable après les attaques à l'anthrax de 2001.

    On apprend maintenant que le directeur des NIH, le Dr Jay Bhattacharya, a suspendu les activités du laboratoire de niveau de biosécurité 4 de Fort Detrick, suite à des signalements de tentative de meurtre par sabotage et négligence. Le directeur Bhattacharya a annoncé la nouvelle sur son compte X.

    La controverse s'est encore aggravée avec la révélation, publiée par le Dr Richard Ebright sur X, selon laquelle les activités du laboratoire biologique de Fort Detrick sont gérées par Laulima Government Solutions, une SARL hawaïenne basée dans un parc de bureaux à Orlando, en Floride, dans le cadre d'un contrat de 116 millions de dollars avec participation minoritaire.

    À noter que, dès 2017, le Dr Ebright avait mis en garde contre la sécurité des laboratoires biologiques de l'Institut de virologie de Wuhan et d'autres laboratoires. Dans son article sur Fort Detrick, il faisait l'observation suivante :

    Ce sont ces décisions – et ces personnes qui les prennent – ​​qui sont censées nous « protéger » des agents pathogènes dangereux.

    Fermons-les. Nous, le peuple, en avons assez de voir le gouvernement américain et le Département de la Défense utiliser nos impôts de manière aussi stupide, gaspilleuse et irresponsable.

    Cet article a été initialement publié sur Courageous Discourse.

    https://www.lewrockwell.com/2025/05/no_author/attempted-murder-at-fort-detrick-bio-lab-halts-operations/

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La population trompée : Le scandale des contrats secrets du lobby de l'énergie éolienne

    https://www.kla.tv/f r BLOG n°98