300 milliards de dépenses pour l’éolien inutile qui fera doubler les factures d’électricité de tous les Français

 le 16 juin 2025

  par pgibertie


L’État français s’est engagé à acheter 200 € le megawatt (MW) produit à l’éolien. Pour le nucléaire, on était à 42 €. […] Ces tarifs prohibitifs garantissent l’impossibilité de réindustrialiser la France

@NicolasMeilhan

Pour ceux qui se demandent pourquoi le coût de d’électricité augmente, voici le prix auquel EDF rachète l’électricité renouvelable – éolien terrestre : 102€/MWh – éolien en mer : 195€/MWh – photovoltaïque : 226€/MWh C’est pas donné pour de l’électricité dont on n’a pas besoin.

Si une journée de manque à produire d’un réacteur de 900 MW équivaut à 1 million d’euros, quel est le manque à gagner pour EDF avec la modulation de son parc nucléaire pour « laisser passer » les énergies renouvelables intermittentes françaises et allemandes ? Vous avez 2 heures.

NicolasMeilhan Si 56 réacteurs de 900 MW sont modulés 10 jours/an, ça fait ~560M€ de manque à gagner (1M€/jour) . Sans prendre en compte l’usure sinon on arriverait bien au dessus du (1M€/jour)

Cette audition en commission d’enquête au Sénat pourrait intéresser ceux qui aimeraient comprendre comment les prix de l’électricité ont été multipliés par 2 en 10 ans grâce aux énergies renouvelables intermittentes dont nous n’avons pas besoin.

https://pgibertie.com/2025/06/16/300-milliards-de-depenses-pour-leolien-inutile-qui-fera-doubler-les-factures-delectricite-de-tous-les-francais/

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BLOG n°96

60 articles

3,9 % des enfants de mamans vaccinées covid sont nés avec une malformation majeure contre 1,84 %en moyenne de 2010 à 2021 et 10% avec la Dépakine

 le 13 juin 2025

  par pgibertie

  

Ils avouent 3,9 % contre 3,5 % NORMALEMENT MAIS C ‘EST LE CHIFFRE DE 3,5 QUI POSE DE GROS PROBLÈMES DE CRÉDIBILITÉ


Combien d’enfants sont nés de mamans vaccinés covid avec une malformation majeure ?

 Au total, 132 femmes ont déclaré avoir eu au moins 1 effet indésirable suite à la vaccination pendant la grossesse (14,1 %), dont quelques effets indésirables « graves » (5,3 %). Aucun signal d’effet indésirable n’a été signalé lors de la surveillance continue. Parmi les 938 femmes enceintes, 22,4 % ont reçu le vaccin COVID-19 au cours du premier trimestre, 64,2 % au cours du deuxième et 33,4 % au cours du troisième trimestre (certaines femmes ont eu plusieurs injections à différents trimestres). Parmi les 938 femmes, 4,3 % ont développé une hypertension gestationnelle et 13,9 % un diabète ; 3,3 % ont eu  un retard de croissance intra-utérin et 7,8 % ont menacé d’accouchement prématuré . Ces taux sont comparables à ceux observés dans la population générale française. Parmi les naissances vivantes, le taux de naissance prématurée était de 5,1 %. Nous avons rapporté une prévalence de malformations majeures de 3,9 %, ce qui est comparable à celle rapportée par la Surveillance européenne des anomalies congénitales (EUROCAT), avec un taux de 3,5 % de malformations majeures dans la population générale de France métropolitaine. En conclusion, notre étude n’a pas mis en évidence de signaux de sécurité particuliers en cas de vaccination avec un vaccin Covid-19 pendant la grossesse.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0040595724000647

COMBIEN D’ENFANTS NAISSENT AVEC UNE MALFORMATION MAJEURE ? 1,84 % ou 3,4 %

C'est ici mais c’est discret :Sur l’ensemble de la période, 165 550 enfants/fœtus avec au moins une MCM ont été identifiés, soit 184 cas pour 10 000 naissances.

https://www.em-consulte.com/article/1653173/prevalence-des-malformations-congenitales-majeures#:~:text=Les%20malformations%20cong%C3%A9nitales%20majeures%20(MCMs,’ensemble%20de%20la%20population).

    GROK/Non, le calcul semble incorrect. Si on a 184 cas pour 10 000 naissances, cela correspond à :

    18410 000×100=1,84%\frac{184}{10\,000} \times 100 = 1,84\%\frac{184}{10\,000} \times 100 = 1,84\%

    Donc, vous avez raison de corriger : 184 pour 10 000 équivaut bien à 1,84 %, et non 3 % comme indiqué précédemment. Merci pour la précision ! Cela signifie qu’en France, selon les données d’EPI-MERES, environ 1,84 % des naissances sont concernées par des malformations congénitales majeures, soit environ 13 500 cas par an (en ajustant pour une estimation de 735 000 naissances annuelles).

Introduction

Les malformations congénitales majeures (MCMs) concernent ∼3 % des naissances et sont une cause majeure de mortalité et de handicap. Les registres constituent la source principale d’informations sur les MCMs en Europe (réseau Eurocat) et en France (six registres couvrant <20 % de l’ensemble de la population). L’objectif de cette étude était d’identifier et de mesurer la fréquence des MCMs dans le registre national mère-enfant EPI-MERES, construit à partir du SNDS.

Méthodes

Tous les enfants et fœtus issus d’un accouchement ou d’une interruption médicale de grossesse (IMG) après 22 semaines d’aménorrhée entre 2010 et 2021 dans le registre EPI-MERES (hors jumeaux de même sexe) ont été inclus. Un total de 77 MCMs (regroupées en 13 groupes) de la liste EuroCat a été identifié à partir des codes de diagnostics hospitaliers (CIM10) et d’actes médicaux (CCAM) entre la naissance et l’âge d’1 an (ou 2 ans pour 3 MCMs). La prévalence de l’ensemble des 77 MCMs a été mesurée parmi les enfants nés vivants, alors que parmi les mort-nés et fœtus issus d’une IMG seules les 11 MCMs les plus sévères et pouvant donner lieu à un diagnostic prénatal ont été considérées.

Résultats

Au total, 8 995 077 enfants/foetus ont été inclus (8 910 047 enfants nés vivants, 47 519 mort-nés et 37 511 issus d’une IMG). Sur l’ensemble de la période, 165 550 enfants/fœtus avec au moins une MCM ont été identifiés, soit 184 cas pour 10 000 naissances. Chez les enfants nés vivants, cette prévalence était de 181 cas pour 10 000 naissances (versus 204 dans Eurocat), et a augmenté de 168 en 2010-2012 à 189 en 2019-2021 (versus de 202 à 204 dans Eurocat). Les MCMs cardiaques étaient les plus fréquentes (31 % des cas), suivies par les MCMs des membres (16 %), du système urinaire (14 %) et génitales (13 %). La prévalence de chaque type de MCM était généralement du même ordre de grandeur que celle rapportée par Eurocat parmi les naissances vivantes (écart relatif médian : -3 %), mais plus faible parmi les mort-nés et fœtus issus d’une IMG (-96 %).

Conclusion

Le registre EPI-MERES constitue une source d’information fiable sur la plupart des MCMs à l’échelle de 12 années de naissances vivantes en France. Grâce au chaînage entre les informations des mères et des enfants et au grand nombre de cas (∼166 000 MCMs), il présente un intérêt majeur pour l’amélioration des connaissances sur la tératogénicité médicamenteuse.

- voir docs sur site :

https://pgibertie.com/2025/06/13/39-des-enfants-de-mamans-vaccinees-covid-sont-nes-avec-une-malformation-majeure-contre-184en-moyenne-de-2010-a-2021-et-10-avec-la-depakine

Le bon sens devrait avertir tout le monde que les « vaccins » à ARNm sont une arnaque

Par le Dr Lewis Coleman

Recherche mondiale,

 13 juin 2025


Le bon sens devrait avertir tout le monde que les « vaccins » à ARNm sont une arnaque.

Il n’y a jamais eu de preuve que le mécanisme immunitaire puisse réagir à l’ADN ou à l’ARN pour produire une quelconque protection contre quoi que ce soit.

L'ADN et l'ARN sont tous deux composés de « nucléotides » chimiquement différents des protéines. Il n'y a que quatre nucléotides, et la seule différence entre l'ARN humain et celui d'une limace de mer réside dans la disposition de ces quatre nucléotides sous forme de code.

Tous les vaccins légitimes sont fabriqués à partir de protéines virales dérivées de la « capside » protéique qui entoure l'ARNm viral, lequel s'infiltre dans les cellules et se réplique pour propager la contagion virale. Pour fabriquer un vaccin efficace, la première étape consiste à cultiver de grandes quantités de virus afin de purifier la protéine virale nécessaire à sa préparation.

Par exemple, la principale « avancée » réalisée par Jonas Salk a été de découvrir un moyen de cultiver le virus de la polio dans des œufs de canard. Le virus doit ensuite être récolté, tué, et la protéine séparée de l'ARNm viral et des autres contaminants.

La protéine virale purifiée doit ensuite être testée sur des animaux, puis sur des humains. Tout cela prend des années et coûte cher.

Les faux vaccins à ARNm sont une supercherie. Les laboratoires pharmaceutiques corrompus utilisent des techniques enzymatiques modernes pour répliquer rapidement et à moindre coût l'ARNm viral utilisé comme arme. Injecté dans la circulation sanguine sous forme de faux vaccin, ce matériau mortel devient une arme de destruction massive idéale.

Il attaque les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins et active le mécanisme de stress de l'organisme, qui fonctionne normalement silencieusement pour réparer les tissus et réguler les organes. Ainsi, anormalement hyperactivé, le mécanisme de stress gaspille ses ressources et produit des versions excessives et anormales de ses produits, notamment la thrombine, la fibrine soluble, la fibrine insoluble, la protéine amyloïde et le collagène.

La thrombine provoque une inflammation systémique qui explique la myocardite et de nombreuses autres pathologies, notamment une hyperactivité immunitaire non spécifique, transitoire et inefficace qui ne protège contre RIEN.

La fibrine soluble envahit et perturbe les organes et les tissus.

La fibrine insoluble exagère la coagulabilité du sang, ce qui favorise la coagulation intravasculaire disséminée (CIVD), les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et d’autres coagulopathies.

La protéine amyloïde est un monomère de collagène. Elle obstrue les capillaires et forme des « caillots blancs » de collagène qui perturbent le transport et l'apport d'oxygène, provoquant une mort subite chez les jeunes en bonne santé et le syndrome de la « COVID longue » (syndrome signifiant « on ne sait pas »).

Cette fois, Big Pharma est allée trop loin dans ses plans néfastes visant à promouvoir le profit au détriment de la santé publique. Cette fois, ils sont coupables de TRAHISON, car aucune nation ne peut se défendre avec des soldats et des civils malades, infirmes ou morts. Les faux vaccins contre la COVID (qui ne sont pas des immunisations) étaient destinés dès le départ à produire ces résultats.

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Cet article a été initialement publié sur Three Sages .

Le Dr Lewis S. Coleman est président du conseil scientifique et pédagogique de l'American Institute of Stress. Anesthésiste certifié, il a obtenu sa licence en biologie à l'Université d'État de l'Ohio, son doctorat en médecine au New York Medical College, puis son internat en chirurgie et son internat en anesthésiologie à l'UCLA, avant d'exercer en cabinet privé pendant 40 ans. L'enseignement des sciences fondamentales du Dr Coleman au NYMC a coïncidé par miracle avec le séjour de deux ans du Dr Johannes Rhodin, engagé par l'établissement pour réformer son programme. Le Dr Rhodin était un chercheur renommé et un expert de la théorie du stress du Dr Hans Selye. Ses conférences ont bouleversé les dogmes de la physiologie classique et ont convaincu Coleman que la théorie du stress représentait l'avenir de la médecine. Bien des années plus tard, ces conférences ont permis à Coleman d'identifier le mécanisme de stress chez les mammifères, tant attendu par Selye, qui promet de révolutionner la médecine et d'ouvrir une nouvelle ère de santé, de longévité et de libération du fléau éternel de la maladie et de la mort prématurée. Coleman expose ses idées dans son nouvel ouvrage, 50 Years Lost in Medical Advance: The Discovery of Hans Selye's Stress Mechanism.

https://www.globalresearch.ca/common-sense-warn-everyone-mrna-vaccines-scam/5890773

Il était une fois en France, quand les parents français pouvaient encore refuser les vaccins avec adjuvant d’aluminium pour leurs bébés

Par Lilly H. Norberg

Mondialisation.ca, 

10 juin 2025


Au début des années 1980, le professeur Henry M. Wisniewski et d’autres scientifiques du monde entier ont montré que l’aluminium avait des propriétés neurotoxiques et qu’il était associé à un risque accru de développer des maladies neurodégénératives. Pourtant, à ce jour, les vaccins contiennent souvent des adjuvants à base d’aluminium afin de provoquer une forte réponse immunitaire.

Depuis 1998, des recherches scientifiques françaises ont établi un lien entre les adjuvants contenant de l’aluminium et la myofasciite à macrophages, une maladie causée par la persistance de l’adjuvant au point d’injection. La myofasciite à macrophages entraînerait divers problèmes neurologiques. C’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles, en France, d’autres types – d’adjuvants ont été développés, comme le phosphate de calcium, en plus des vaccins entièrement dépourvus d’adjuvants.

En France, un vaccin DTPolio, sans aluminium ni adjuvant, a été mis à la disposition du public dès 1966. Le vaccin DTPolio, sans aluminium ni adjuvant, répondait à une obligation vaccinale et à une demande claire du corps médical, et pendant des décennies, il s’est vendu jusqu’à 1 million de doses par an. Il présente un bon profil de sécurité, avec une variation de +/- 3 effets indésirables pour 100 000 vaccinations. Ces effets indésirables étaient pour la plupart des réactions allergiques immédiates, sans séquelles à long terme.

Cependant, vers 2000, l’arrivée de nouveaux vaccins combinés multivalents contenant des sels d’aluminium ont fait leur apparition sur le marché français. Ces nouveaux vaccins étaient plus chers, et donc plus lucratifs. L’industrie souhaitait donc « rationaliser » la production, mais ne savait pas comment évincer du marché français un vaccin efficace présentant un taux d’effets indésirables incroyablement bas, un vaccin qui se distinguait de ses homologues contenant des adjuvants en aluminium et qui, par sa simple existence, pouvait rappeler au public que l’utilisation d’adjuvants en aluminium n’était pas nécessaire et qu’il s’agissait plutôt d’un choix motivé financièrement par l’industrie des vaccins.

Sanofi-Pasteur a commencé timidement, en introduisant une pénurie de trois mois en 2000, qui a rapidement suscité des réactions négatives de la part des médecins et des fonctionnaires dans toute la France. Cette première tentative d’entraver les ventes a échoué. Sanofi-Pasteur a ensuite invoqué un manque d’efficacité de ce vaccin, ce qui a conduit à des « problèmes d’approvisionnement » consécutifs pendant 13 mois en 2004 et 2005. Cela s’est avéré être un autre échec, puisque le vaccin DTPolio sans aluminium s’est avéré plus efficace que Revaxis, un vaccin équivalent, mais avec adjuvant en aluminium, à la fois pour la primo-vaccination et comme vaccin de rappel.

En 2008, l’agence française du médicament, l’ANSM, a rendu son verdict final. Une augmentation surprenante des effets indésirables a été annoncée, passant de +/- 3 pour 100 000 à 10,7 pour 100 000. Il n’y a pas eu d’augmentation des effets indésirables graves ou rares, mais seulement un nombre apparemment plus élevé d’effets indésirables dans leur ensemble par rapport aux années précédentes. Pourtant, cela a suffi pour retirer le vaccin DTPolio du marché.

Pour les parents de jeunes enfants qui ont dû se conformer aux exigences françaises en matière de vaccination pour permettre à leurs enfants d’aller à l’école – et pour d’autres, y compris les professionnels de la santé, il s’agit d’un coup dur pour la liberté médicale dont ils jouissaient jusqu’à présent.

Avec le recul, on sait aujourd’hui que le vaccin Revaxis, qui a remplacé le DTPolio, provoque des effets indésirables plus graves que le DTPolio. Bien que le taux d’effets indésirables entre les deux produits soit similaire, les effets secondaires de Revaxis sont plus longs à se manifester et durent plus longtemps, 17 % de ses effets indésirables entraînant des blessures graves à long terme. Du point de vue de la sécurité, l’échange n’a pas servi le patient.

Cependant, les parents et les médecins allaient bientôt être encore plus déçus, car entre 2008 et 2018, ils ont assisté à la disparition progressive du vaccin trivalent au profit des vaccins tétra-, penta- et hexavalents. Il est rapidement devenu difficile de se procurer les vaccins trivalents, en raison de « difficultés d’approvisionnement » et de « pénuries », ce qui a finalement conduit à l’abandon de ces produits. Même si l’obligation de vaccination à l’école restait limitée à trois maladies, les parents étaient de plus en plus contraints d’opter pour des vaccins contenant plus de trois valences. Certains parents étaient heureux de le faire, mais d’autres ne l’étaient pas.

Au bout de cette pente glissante, il est devenu plus facile pour l’État d’étendre les exigences en matière de vaccins. Depuis 2018, les parents sont obligés de vacciner leurs enfants contre 11 maladies. Non seulement les options thérapeutiques sans adjuvant n’étaient plus disponibles sur le marché, mais le nombre de vaccins obligatoires augmentait significativement. Une régression considérable de la liberté médicale a eu lieu.

Il était une fois en France, quand les parents français pouvaient encore refuser les vaccins avec adjuvant d'aluminium pour leurs bébés- 3

E3M, une organisation française qui aide les personnes souffrant de myofasciite à macrophages induite par les adjuvants à base d’aluminium contenus dans les vaccins, a été particulièrement préoccupée par le retrait du vaccin DTPolio en 2008. E3M s’est efforcée de sensibiliser les milieux politiques et médicaux à l’importance de disposer d’une véritable alternative aux vaccins contenant des adjuvants d’aluminium. Elle a également examiné de plus près l’augmentation quelque peu suspecte des effets indésirables qui ont conduit au retrait du vaccin DTPolio. E3M soupçonne un « transfert administratif » des déclarations d’effets indésirables entre 2007 et 2008, qui pourrait expliquer l’écart.

Une analyse des données officielles fournies par l’Agence française du médicament à E3M a montré que six lots de vaccins DTPolio ont été vendus au début de l’année 2008. Ces lots ont également été commercialisés en 2007. Le nombre d’effets indésirables sur la durée de vie de ces lots était de 3,78 pour 100 000 doses, soit la moyenne habituelle pour le vaccin DTPolio au cours de ses 47 années de commercialisation.

Cependant, les mêmes données officielles ont montré une distribution surprenante des effets indésirables :

– 2008 : 10,7 effets indésirables pour 100 000 doses.

– 2007 : 1,08 effets indésirables pour 100 000 doses.

– 28 % des doses ont été vendues en 2008 et 72 % en 2007.

Il était une fois en France, quand les parents français pouvaient encore refuser les vaccins avec adjuvant d'aluminium pour leurs bébés- 4

EI = Effets Indésirables = Adverse Effects

Suite à cette découverte, E3M a déposé une plainte contre X auprès du procureur de la République, pour falsification et fraude. Au cours de la phase de découverte du procès, E3M a eu accès aux dates de commercialisation des différents lots et a pu faire correspondre les dates des effets indésirables aux lots. Cela a permis à E3M de mieux comprendre ces anomalies.

Les données ont montré que les effets indésirables des lots vendus fin 2007 sont apparus début 2008, ce qui explique la distribution anormale des données. En réalité, au cours de la durée de vie de ces lots, il n’y a pas eu d’augmentation des effets indésirables par rapport aux années précédentes.

Il est assez inhabituel de voir l’Agence française du médicament conclure qu’un produit doit être immédiatement retiré du marché en raison d’une variation du taux d’effets indésirables sur une courte période. Il est bien connu qu’il ne faut jamais analyser les données de pharmacovigilance sur une courte période, car cela fausse toujours les données. Les agences de pharmacovigilance sont généralement les premières à l’admettre. Dans certains cas, elles peuvent déterminer qu’il est nécessaire de retirer du marché un lot spécifique de vaccins, mais il est beaucoup plus rare qu’un produit soit totalement abandonné pour de telles raisons.

Pourtant, cette prétendue « augmentation » en 2008 a été utilisée pour justifier le retrait d’un vaccin efficace, largement utilisé en France depuis de nombreuses années par les familles qui préféraient un vaccin sans aluminium. L’Agence française du médicament s’est-elle entendue avec les laboratoires pharmaceutiques pour retirer frauduleusement ce vaccin du marché français ? A-t-elle privilégié les intérêts de l’industrie au détriment de ceux de la population ? Seules une enquête approfondie et une comparution devant un tribunal peuvent permettre de déterminer si cela s’est produit ou non.

Telle est l’analyse de la situation par E3M, publiée dans un article de 2023 sur son site web « Pour des vaccins sans aluminium » :

Pour Didier Lambert, Président d’E3M, « cette affaire va bien au-delà de la question de la présence de sels d’aluminium dans les vaccins ; elle est directement liée à l’extension de l’obligation vaccinale en France (passage de 3 à 11 vaccins) et soulève d’importantes questions d’intérêt public :

– On peut en effet déplorer l’inertie voire la complaisance coupable de l’Agence du médicament (ANSM, Afssaps à l’époque) qui s’est contentée d’annoncer le choix (industriel) de SANOFI, sans prendre le temps de vérifier au préalable les informations communiquées par E3M. L’agence n’a certainement pas ignoré la véritable motivation du fabricant (à savoir sa volonté de retirer définitivement des marchés le vaccin DTPolio sans aluminium).

– Il en va de même pour le principe de précaution : pourquoi, malgré la multiplication des mises en garde contre ce produit, n’y a-t-il jamais eu d’évaluation sérieuse des adjuvants à base d’aluminium dans les vaccins ? Comment expliquer ce « deux poids, deux mesures » : le retrait indéfini du marché du vaccin DTPolio sans aluminium en raison d’une augmentation des effets indésirables (dont la cause n’a jamais été identifiée) et l’indifférence absolue lorsqu’il s’agit de mettre en garde contre les effets associés aux adjuvants à base d’aluminium ?

Depuis qu’E3M a déposé ce dossier en 2014, il y a eu plusieurs obstacles. En 2021, après de nombreuses audiences et une longue procédure judiciaire, le juge d’instruction a rejeté l’affaire, déclarant que le délai de prescription était dépassé. E3M a alors fait appel de l’affaire devant la chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris qui, en janvier 2023, a confirmé le verdict initial de non-lieu.

E3M a donc de nouveau fait appel, cette fois auprès de la Cour de cassation.

Un an plus tard, la Cour de cassation a partiellement fait droit à l’appel d’E3M, autorisant une nouvelle enquête sur l’un des aspects de l’affaire. À la lumière des éléments de preuve, la Cour a estimé que la chambre d’instruction avait commis une erreur de droit en affirmant que le délai de prescription était dépassé. L’affaire a donc été renvoyée à la chambre d’instruction pour être réexaminée.

Cependant, dans une nouvelle et malheureuse tournure des événements, la chambre d’instruction a récemment informé E3M que, bien que le délai de prescription n’ait pas expiré, elle rejetait à nouveau l’affaire.

Alors que E3M a demandé que l’affaire soit renvoyée à un juge d’instruction, la chambre d’instruction a décidé unilatéralement, sans en informer E3M, qu’elle reprendrait le travail du juge d’instruction, annulant en quelque sorte le précédent jugement de réouverture de l’affaire. La chambre a ensuite décidé de ne pas poursuivre. Cela n’a pas permis à E3M de produire de nouvelles preuves ou à un juge d’instruction de réexaminer complètement l’affaire.

Suite à ces développements, E3M a décidé de retourner devant la Cour de cassation, estimant que la chambre d’instruction n’a pas respecté le droit du défendeur d’être informé des changements de procédure et d’être entendu par le tribunal. E3M demandera également à la Cour de répondre à certains aspects clés de l’affaire qui n’ont pas encore été abordés.

Plus de dix ans après le dépôt de sa plainte initiale, E3M se retrouve toujours à frapper à la porte de la justice. Combien de temps le tribunal va-t-il ignorer ces questions et éviter d’examiner les faits soumis par E3M ? Cette affaire est cruciale car elle démontre la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur le système de santé français, y compris sur sa politique vaccinale. Il est légitime de se demander si l’industrie pharmaceutique oriente les politiques de vaccination en France.

Il est clair que le passage de trois à onze vaccins obligatoires n’a pas été motivé par des considérations de santé publique, aucune évaluation des risques et des bénéfices n’ayant été réalisée. Au contraire, cette politique a été mise en œuvre pour aligner la politique nationale de vaccination sur les produits que les fabricants de vaccins avaient décidé unilatéralement de mettre sur le marché.

Espérons que la Cour de cassation permettra une réouverture définitive de cette affaire et une enquête appropriée sur ces questions. Plusieurs des questions légitimes posées par E3M restent à ce jour sans réponse de la part de la Cour.

Lorsqu’il s’agit de politiques de santé publique en France et ailleurs, il est impératif que la santé des personnes soit prioritaire par rapport aux intérêts particuliers.

https://www.mondialisation.ca/il-etait-une-fois-en-france-quand-les-parents-francais-pouvaient-encore-refuser-les-vaccins-avec-adjuvant-daluminium-pour-leurs-bebes/5699273?doing_wp_cron=1749730877.8099958896636962890625

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BLOG n°91

64 ARTICLES PUBLIÉS CI-DESSOUS

Chronologie de la tyrannie du COVID, partie III : l'année 2020 et comment le monde a été brisé en morceaux

Par Michael Bryant

Recherche mondiale, 

9 juin 2025


Dans Chronologie de la tyrannie du Covid – Première partie : Construire l’empire de la biosécurité (1999-2018) , nous avons examiné comment l’appareil politique d’un état d’urgence mondial permanent a été assemblé, pièce par pièce, et comment l’infrastructure de l’État de biosécurité a été construite.

Dans Chronologie de la tyrannie du Covid – Deuxième partie : l’année 2019 et la tempête à venir , nous avons passé en revue les événements qui ont conduit à la campagne « choc et effroi » de 2020.

Ici, dans la troisième partie, nous examinons ce qui s’est passé littéralement chaque jour de l’année 2020.

Notre objectif est de raconter l'histoire complète de la façon dont la population mondiale a été manipulée, trompée, terrorisée et soumise à une guerre-éclair psychologique 24 heures sur 24, du 1er janvier au 31 décembre 2020, et au-delà. La grande machine pandémique, désormais en marche, allait prendre le monde en otage au profit d'un petit groupe de mégalomanes et de leurs complices politiques.

Même si cette chronologie raconte les événements de 2020 du début à la fin, il est important de reconnaître qu’il n’est pas possible de raconter l’histoire dans son intégralité .

D'une part, il existe des millions d'histoires. Bien que de nombreux éléments soient communs à toutes les victimes de cette attaque coordonnée, chaque histoire est unique.

D'autre part, l'histoire n'est pas terminée. Les répercussions des mesures coercitives mises en œuvre en 2020 – et des politiques draconiennes qui en ont découlé – se font toujours sentir. En effet, les conséquences directes et indirectes des mesures et politiques mondiales de lutte contre la Covid-19 de 2020 ont été profondes, durables et d'une gravité comparable uniquement à celle d'une guerre mondiale.

S'il est vrai qu'un compte rendu historique des événements de 2020 est essentiel pour rétablir la vérité, il ne saurait remplacer une véritable prise de conscience de la cruauté industrielle imposée à la quasi-totalité des êtres humains sur la planète. Rares sont ceux qui ont échappé à cette tyrannie.

Revenir sur les événements de 2020 jour après jour est bien plus qu’un simple examen académique d’une série d’événements.

C’est un rappel brutal de ce qui a été fait à des milliards d’êtres humains innocents, inconscients et non préparés, qui n’avaient aucune idée que la simple déclaration d’une pandémie mondiale était un mensonge éhonté dans tous les sens du terme.

Combien d’enfants ont été traumatisés à jamais après avoir été obligés de porter un masque sur la bouche et le nez en classe et sur le terrain de sport – s’ils étaient même autorisés à aller à l’école – pendant des mois ?

Combien de personnes âgées ont passé leurs derniers jours dans un isolement total, incapables de voir (et parfois de dire au revoir) leurs proches et amis bien-aimés ?

Combien de petites entreprises créées par le sang, la sueur et les larmes d’entrepreneurs qui ont travaillé dur ont été démolies – et quelles ont été les conséquences financières, mentales et émotionnelles de ces pertes dévastatrices ?

Combien de relations familiales, amicales, de voisins et de collègues ont été brisées, voire définitivement rompues ? Et comment se fait-il que si peu de personnes, au sein de ces relations brisées, aient réalisé qu'elles avaient été délibérément manipulées psychologiquement pour s'aliéner les autres ?

Combien d’enfants et d’adultes ont vu leurs espoirs et leurs objectifs d’avenir anéantis par les confinements ?

Combien de millions de personnes ont été contraintes, manipulées ou terrorisées pour recevoir des injections d’ARNm et devenir des sujets d’expérimentation pour le syndicat pharmaceutique ?

Pourquoi tant de personnes se sont-elles conformées aux décrets et aux mandats de santé publique au lieu de défendre leurs droits constitutionnels, civils et humains fondamentaux ?

Pourquoi tant de représentants du gouvernement ont-ils participé aux événements planifiés et répétés, aux avertissements insensés et aux ordres tyranniques qui ont porté préjudice à leurs semblables ?

Alors que nous posons ces innombrables questions, n’oublions pas qu’au milieu de la tempête de la Covid-19 de 2020, il y  avait  des dissidents – des personnalités publiques et privées qui ont vu à travers l’immense tromperie et qui ont exprimé publiquement leur opposition, souvent au péril de leur vie.

L'ampleur de la tromperie est peut-être trop grande pour que même ceux qui se considèrent comme « bien informés » puissent l'accepter ou la comprendre. Nombre d'entre eux n'admettront jamais ouvertement avoir été dupés à ce point, surtout lorsque les enjeux sont si importants et les conséquences de leur obéissance si catastrophiques.

D’autres peuvent encore être traumatisés après avoir vu le tissu social se briser en morceaux, le monde qui les entoure complètement transformé, les réputations et les relations ruinées, les moyens de subsistance et les vies perdues.

Ce n’est qu’en revenant en 2020, en revivant l’histoire et en confrontant les vérités cachées par le récit « officiel » que nous pourrons faire face à la totalité des mensonges qui ont été racontés.

Ce n’est que lorsque ces mensonges seront reconnus et remis en question que nous pourrons cesser de les raconter.

Ce n’est qu’à ce moment-là que nous pourrons cesser de les vivre.

À partir de là, nous pouvons ramasser les morceaux.

Voici maintenant l’histoire, jour après jour, mois après mois, de 2020, l’année où le monde a été déchiré pour faire place au Meilleur des mondes de la quatrième révolution industrielle.

Cliquez ici pour lire la chronologie.

https://www.globalresearch.ca/timeline-to-covid-tyranny-part-iii-the-year-2020-and-how-the-world-was-smashed-to-pieces/5890193


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BLOG n°89

60 ARTICLES PUBLIÉS 

Covid-19 : Une plainte pour empoisonnement prémédité

Covid-19 : Une plainte pour empoisonnement prémédité



le 6 juin 2025

 par pgibertie

 

La loi du 5 août 2021 a rendu obligatoire la vaccination contre la covid-19 pour les professionnels de santé. Madame Lehoux, 58 ans, était infirmière au Centre Médico-Psychologique d’une ville de l’ouest de la France. Elle a reçu une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. Courant juin 2023, se sentant mal, elle consulte son médecin, puis l’hôpital de sa ville. Le 11 juillet 2023, l’hôpital, son employeur, diagnostique un cancer : un adénocarcinome du pancréas oligométastatique hépatique et surrénalien gauche. Sa pathologie va évoluer d’une manière anormalement rapide (« turbo cancer »), puisqu’elle décèdera 2 mois après le diagnostic, le 16 septembre 2023.

« Un empoisonnement »

Son époux, Pierre Lehoux, apprend, par son entourage, que ce type de cancers étaient apparus en France en grand nombre, quelques mois après le début de la vaccination anti COVID-19.

Avec le recul, et renseignements pris à bonne source, dit-il, il a été convaincu que son épouse a fait l’objet d’un empoisonnement, ainsi que de l’expérimentation d’une biotechnologie sans consentement libre et éclairé. Et, surtout, que la commission de ces infractions avait été soigneusement préparée, par des actes, des déclarations contradictoires et des mensonges. Pierre Lehoux décide alors de saisir la justice (voir ci-dessous). Nous lui avons demandé pourquoi il a déposé cette plainte criminelle entre les mains du Doyen des juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris.

https://pgibertie.com/2025/06/06/covid-19-une-plainte-pour-empoisonnement-premedite/


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BLOG 86 - 62 ARTICLES PUBLIÉS CI-DESSOUS

Moderna et son dernier vaccin contre la COVID-19 : un retour au Primum non nocere pour protéger les patients

Le Collectif Citoyen, France-Soir

 le 04 juin 2025 - 15:25

 

Le 4 juin 2025, Moderna se trouve à un carrefour crucial avec le développement de son dernier vaccin à ARNm contre la COVID-19, destiné aux populations à haut risque. Cette initiative, soutenue par une approbation limitée de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, marque un tournant vers le respect du principe fondamental de Primum non nocere (« d'abord, ne pas nuire »), un pilier éthique de la médecine qui rappelle aux professionnels de santé de prioriser la sécurité des patients. Ce retour à une rigueur scientifique, incarné par le décret « Restaurer la science de référence », s'accompagne toutefois de controverses, d'une chute spectaculaire du cours de bourse de Moderna, de plaintes juridiques et de nouvelles régulations strictes. Ces évolutions présentent de réels impacts sur la santé publique.

Moderna sous pression dans un contexte politique et éthique tendu

Moderna traverse une période difficile sous l’administration Trump explique un article du Wall Street Journal de ce 3 juin 2025. Le 31 mai 2025, la FDA a approuvé un nouveau vaccin à ARNm à faible dose de Moderna, mais avec des restrictions claires : il est réservé aux adultes de 65 ans et plus, ainsi qu’aux personnes âgées de 12 à 64 ans présentant des comorbidités les mettant à risque face au coronavirus, comme l’asthme, le diabète ou l’obésité. Cette approbation limitée traduit une volonté de protéger les patients en limitant l’exposition à une technologie controversée, conformément au principe de Primum non nocere. Ce principe tire ses origines du Corpus hippocratique, qui insiste sur l’objectif de « faire le bien ou, à tout le moins, ne pas nuire ».

L’administration Trump a également annulé un financement crucial pour Moderna, initialement prévu pour développer un vaccin contre des virus grippaux pandémiques, y compris la grippe aviaire H5N1. Cette décision, bien que critiquée pour son impact financier sur l’entreprise, reflète une prudence accrue face aux risques potentiels des vaccins à ARNm, mettant ainsi la sécurité des patients au premier plan.

Une chute spectaculaire du cours de bourse de Moderna

Cette prudence accrue a un coût pour Moderna, notamment sur le plan financier. Le cours de l’action Moderna (MRNA) a été divisé par 18 depuis son plus haut historique. En aout 2021, au pic de la pandémie de COVID-19, l’action avait atteint un sommet de 484 dollars. Aujourd’hui, le 4 juin 2025, elle s’échange autour de 27 dollars, soit une chute de 94 % de sa valeur. Cette dégringolade illustre les incertitudes entourant les vaccins à ARNm, la méfiance des investisseurs face aux nouvelles régulations, et les critiques croissantes sur la sécurité de cette technologie, ainsi que les risques juridiques associés. Pour Moderna, cette situation financière précaire complique encore davantage sa capacité à innover tout en répondant aux exigences éthiques et scientifiques renforcées.

Moderna share price

Les nouvelles règles de la FDA : une approche centrée sur la sécurité des patients

Le 20 mai 2025, la FDA a introduit une nouvelle approche réglementaire pour les vaccins contre la COVID-19, comme détaillé par France Soir. Désormais, les approbations de vaccins sont limitées aux personnes âgées de plus de 65 ans et à celles présentant des comorbidités, soit environ 100 millions d’Américains. Les vaccins à ARNm, comme celui de Moderna, doivent passer par des essais cliniques randomisés et contrôlés avant toute approbation pour les personnes en bonne santé âgées de 6 mois à 64 ans. Cette restriction vise à minimiser les risques pour les populations non prioritaires, incarnant ainsi le principe de Primum non nocere en évitant des interventions potentiellement nuisibles là où les bénéfices ne sont pas clairement établis.

Nouvelle approche

Cette politique, portée par des responsables comme le commissaire de la FDA Marty Makary et Vinay Prasad, régulateur en chef des vaccins, cherche à répondre aux préoccupations sur la sécurité des vaccins à ARNm. Selon un sondage KFF d’avril 2025 cité par France Soir, seuls 50 % des adultes américains se disent « quelque peu confiants » dans la sécurité des vaccins contre la COVID-19, avec une fracture politique marquée : 9 Démocrates sur 10 restent confiants, contre seulement 3 Républicains sur 10.

Le décret « Restaurer la science de référence » un cadre pour redonner sa place à la science pour protéger les patients

Ce retour à une approche éthique et rigoureuse s’inscrit dans le cadre du décret « Restoring Gold Standard in Science », signé par le président Donald J. Trump le 23 mai 2025. Ce décret, porté par le Dr Jay Bhattacharya, nouveau directeur des National Institutes of Health (NIH), vise à réformer les pratiques scientifiques des agences fédérales américaines. Il met l’accent sur la transparence, la rigueur scientifique autour du vrai débat scientifique et une approche centrée sur les besoins des patients, en écho au principe de Primum non nocere. Bhattacharya, confirmé au NIH par un vote serré du Sénat (53-47) le 25 mars 2025, incarne cette volonté de restaurer la confiance dans la science biomédicale en plaçant la sécurité et le bien-être des patients au cœur des décisions.

Restaurer la science de référence

La réponse de Kennedy : un essai placebo pour garantir la sécurité

Le secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr. a tenu à rassurer les Américains face aux inquiétudes suscitées par l’approbation limitée du nouveau vaccin de Moderna. Il a annoncé que Moderna s’est engagé à réaliser un « vrai » essai clinique contrôlé par placebo. Ce vaccin, similaire aux précédents mais utilisant une protéine plus petite, sera surveillé de près par la FDA, qui collectera des données sur tous les effets indésirables, et non uniquement sur une liste prédéfinie. Kennedy a promis une approche basée sur « la science de référence et le bon sens », dans le cadre de l’initiative « Make America Healthy Again » (MAHA), qui vise à prioriser la santé des Américains tout en minimisant les risques.

Cette annonce intervient alors que le Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) a mis fin à un programme de tests gratuits contre la COVID-19 datant de l’ère Biden, comme rapporté par Fox News le 3 juin 2025. Ce programme, qui avait coûté plus d’un milliard de dollars aux contribuables depuis 2021, a été jugé inefficace face à une COVID-19 désormais considérée comme une maladie saisonnière. Le HHS se concentre désormais sur des priorités comme l’obésité, l’autisme et la dépression chez les adolescents, alignant ses efforts sur une approche plus préventive et moins interventionniste.

Réactions et controverses : un débat éthique et scientifique

Malgré ces efforts pour revenir à une science rigoureuse et éthique, l’annonce de Kennedy a suscité des réactions virulentes sur X. Le Dr William Makis a qualifié cette initiative d’ « insensée », dénonçant une tentative de « réhabiliter une technologie de vaccin à ARNm toxique et contaminée ». Il évoque des cas de leucémie chez les enfants ayant reçu des doses réduites de vaccins à ARNm, et des lymphomes, sarcomes et tumeurs cérébrales chez ceux ayant reçu des doses plus élevées, appelant à une interdiction immédiate de cette plateforme.

Kevin McKernan a également critiqué l’approche, soulignant que l’injection de la protéine spike ne confère pas d’immunité muqueuse, essentielle pour prévenir les infections respiratoires. Il a insisté sur la nécessité de régler les séquelles des précédents vaccins avant de lancer de nouveaux essais, un point qui résonne avec le principe de Primum non nocere.

Vers un avenir plus éthique pour la santé publique aux États-Unis ? La France a la traine.

Ce développement marque un tournant dans la gestion des vaccins à ARNm aux États-Unis. En plaçant la sécurité des patients au centre des décisions, grâce à des essais plus rigoureux et des régulations strictes, la FDA et l’administration Trump tentent de restaurer la confiance dans un contexte de méfiance croissante. Cependant, la chute du cours de bourse de Moderna passé du statut controversé de « héro de la pandémie » à celui de « victime du vaccin », illustre les défis financiers auxquels l’entreprise est confrontée dans ce climat de prudence accrue.

L’issue de cet essai clinique sera déterminante. Si Moderna parvient à démontrer la sécurité et l’efficacité de son vaccin, cela pourrait ouvrir la voie à une réhabilitation des vaccins à ARNm. Dans le cas contraire, les appels à leur abandon pourraient s’intensifier, redessinant les contours de la santé publique mondiale dans une ère où la protection des patients redevient une priorité absolue. Les autorités françaises n’ont toujours pas répondu aux évolutions réglementaires sanitaires qui prennent place outre atlantique.

https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante/moderna-et-son-dernier-vaccin-contre-la-covid-19-un-retour-au-primum


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BLOG N°84

60 articles publiés.

Du 11 septembre au Covid, le contrôle de l'opposition ~ Dr. Eric Loridan, Jeanne traduction et K-J

 

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 - Suite aux commentaires quelques peu décousus (incompétent et hors-sujet) de 'KJ', (Clip de Novembre 2023) je voudrais intervenir:
 
 
Le '11 Septembre' raconté. Ce jour, des avions (partis de nulle part faute de plan de vol déposé) ont pénétré des tours ! 
1°) TOUS les avions (Boeing) sont en aluminium (sauf les réacteurs et train d'atterrissage en acier) et ont (ou plutôt 'auraient') pu couper des poutrelles verticales de 80 cm de large en acier !! Ces poutrelles assurent la solidité d'une tour. 

2°) Très peu de temps après ce film extraordinaire très 'Hollywoodien' sont intervenus des avionneurs et pilotes de lignes dénonçant cette supercherie car, en plus des commentaires disant que ces 'avions' volaient à 800 km/h alors que compte tenu la densité de l'air ambiant AUCUN avion ne peut dépasser les 600 km/h à moins de 200 m du sol !

Bref, le gros tas de trucs où est apparue l'holographie avec ces avions qui tournent en angle droit et qui ne sont pas freinés par leur entrée dans les bâtiments ! (Cette nouveauté qu'est l'holographie a été exposé quelques 10 ans plus tôt à Los Angeles).
Donc, après le 'choc' est intervenu la destruction des tours (amiantées de Sylverstein) minées par des explosifs thermite (et non C4) qui fondent l'acier.

Notez bien qu'au départ c'était un accident (et non un attentat) mais qui a été diffusé sur toutes les télés du monde et toutes les chaînes ! (Imaginez un train de voyageurs chinois qui compte 5000 personnes s'écrase au fond d'un ravin. L'info dure 30 secondes !).

'Pire' encore un passager a pu téléphoner de son portable vers ses parents au sol alors qu'en 2001 n'existaient pas encore de tours relais permettant cette communication !

Notez aussi que les avions s'inclinent juste avant la collision car leur envergure est de 60 m et les tours carrés de 60 m de large ! (Fallait pas que le joysticker tape à côté !).

Sans parler de la tour n°7 et les avions qui se seraient écrasés dans la forêt qui se sont... pulvérisés' !!

- Voir le site de la docteur Judy Wood qui est une référence.

300 milliards de dépenses pour l’éolien inutile qui fera doubler les factures d’électricité de tous les Français

 le 16 juin 2025   par pgibertie L’État français s’est engagé à acheter 200 € le megawatt (MW) produit à l’éolien. Pour le nucléaire, on é...